Un homme soupçonné du meurtre à l'arme blanche d'une octogénaire dans son appartement parisien a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire, indique aujourd'hui une source judiciaire. Sa compagne a été mise en examen pour recels et placée sous contrôle judiciaire, a-t-il été précisé.
La victime avait été retrouvée morte à son domicile le 23 décembre, dans le XIIIe arrondissement de Paris. Née en 1925, cette octogénaire est décédée des suites de coups de couteaux.
Le suspect avait été interpellé mercredi matin et placé en garde à vue avant d'être déféré devant un juge d'instruction vendredi soir. L'enquête a permis de montrer que la carte bancaire de la victime avait été utilisée après son décès
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/31/97001-20111231FILWWW00300-octogenaire-tuee-le-suspect-ecroue.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
samedi 31 décembre 2011
RER A à Torcy : un homme gravement blessé en chutant sur les rails
Un homme est tombé sur les rails du RER A, en gare de Torcy (Seine-et-Marne), ce matin, peu après 8 heures. Lorsque les secours sont arrivés, la victime, qui a eu une jambe sectionnée, était encore en vie. Le commissariat de Noisiel doit déterminer s’il s’agit d’une tentative de suicide ou d’un accident, l’homme étant visiblement ivre lorsqu’il est tombé.
Le trafic a été fortement perturbé jusqu’à 9 h 30, entre Torcy et Bussy-Saint-Georges. Des bus de remplacement ont été mis en place.
http://www.leparisien.fr__null__/rer-a-a-torcy-un-homme-gravement-blesse-en-chutant-sur-les-rails-31-12-2011-1790966.php
http://www.leparisien.fr__null__/rer-a-a-torcy-un-homme-gravement-blesse-en-chutant-sur-les-rails-31-12-2011-1790966.php
15 heures, le 4 x 4 fonce dans la banque
« On a entendu un gros boum! On s’est demandé ce qui se passait, mais on n’a rien vu », témoignaient hier après-midi des habitants et des commerçants encore sous le choc. L’attaque du distributeur automatique de billets (DAB) réalisée hier à 15 heures au Crédit lyonnais de la rue Gambetta, en plein centre-ville de Chelles, était dans toutes les conversations.
L’épave de la puissante Jeep Cherokee immatriculée dans le Val-d’Oise, qui a servi aux malfaiteurs, n’a pas laissé non plus les passants indifférents. « Chelles est une grande ville, alors ça arrive », soupirait une salariée d’une agence immobilière voisine.
Dans l’espoir de dérober les liasses de billets du distributeur automatique, un homme a lancé en marche arrière le 4 x 4 contre l’appareil. Les deux autres, encagoulés eux aussi, faisaient le guet dans la rue. « L’un d’eux a placé une bûche pour que le véhicule monte plus facilement sur le trottoir, explique le directeur départemental du Crédit lyonnais. L’agent d’accueil l’a vu mais tout s’est déroulé si vite que l’on n’a rien pu faire. »
L’arrière défoncé de la Jeep immobilisée par un plot en béton et de grosses traces noires sur la porte blindée enfoncée du DAB témoignent de la violence du choc. Bredouilles, les malfaiteurs ont pris la fuite par une allée située sur le côté de la banque.
Il y a dix ans, l’agence avait déjà été le théâtre d’un braquage. Les malfaiteurs étaient repartis avec une somme peu élevée composée en partie de billets en francs perforés afin de les rendre inutilisables; c’était au moment de l’apparition de l’euro!
Comme prévu, en raison du Nouvel An, l’agence est fermée aujourd’hui. Elle rouvrira mardi. Quant au distributeur, le directeur départemental ne pouvait dire hier quand on pourrait de nouveau s’en servir.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/15-heures-le-4-x-4-fonce-dans-la-banque-31-12-2011-1790688.php
Dans l’espoir de dérober les liasses de billets du distributeur automatique, un homme a lancé en marche arrière le 4 x 4 contre l’appareil. Les deux autres, encagoulés eux aussi, faisaient le guet dans la rue. « L’un d’eux a placé une bûche pour que le véhicule monte plus facilement sur le trottoir, explique le directeur départemental du Crédit lyonnais. L’agent d’accueil l’a vu mais tout s’est déroulé si vite que l’on n’a rien pu faire. »
L’arrière défoncé de la Jeep immobilisée par un plot en béton et de grosses traces noires sur la porte blindée enfoncée du DAB témoignent de la violence du choc. Bredouilles, les malfaiteurs ont pris la fuite par une allée située sur le côté de la banque.
Il y a dix ans, l’agence avait déjà été le théâtre d’un braquage. Les malfaiteurs étaient repartis avec une somme peu élevée composée en partie de billets en francs perforés afin de les rendre inutilisables; c’était au moment de l’apparition de l’euro!
Comme prévu, en raison du Nouvel An, l’agence est fermée aujourd’hui. Elle rouvrira mardi. Quant au distributeur, le directeur départemental ne pouvait dire hier quand on pourrait de nouveau s’en servir.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/15-heures-le-4-x-4-fonce-dans-la-banque-31-12-2011-1790688.php
La conductrice coincée sous sa voiture au péage
« Elle a eu une chance inouïe ! » Même le major Georges Serres, qui commande le peloton autoroutier de l'A4 à Château-Thierry et qui en a déjà vu des vertes et des pas mûres, n'en revient pas lui-même.
Hier matin, sur les coups de 10 heures, une conductrice s'est retrouvée coincée entre le guichet du péage castel et sa voiture, un monospace Renault. Comment en est-elle arrivée là ? Difficile à expliquer tant la situation s'avère « abracadabrantesque ».
Quand les gendarmes, appelés par un automobiliste, arrivent sur la bretelle de péage, ils découvrent un véhicule avec la portière conducteur ouverte. Le témoin est accroupi. La victime, à ses pieds. Impossible pour elle de se mouvoir.
Elle est prisonnière du bas de caisse de la voiture et du bloc en béton du péage. Complètement contorsionnée. Dans cette position douloureuse, elle souffre le martyre. Les pompiers castels arrivent dans la foulée. Eux aussi sont surpris en voyant la dame enchevêtrée. Pour la secourir, il leur faudra dégager la portière et soulever le véhicule.
La conductrice, une femme de 45 ans, domiciliée à Joinville et qui travaille à Meaux (Seine-et-Marne), sera transportée au centre hospitalier de Château-Thierry. Les praticiens diagnostiqueront deux côtes cassées et des contusions. Un moindre mal quand on tente d'imaginer le calvaire subi.
Elle veut ramasser des pièces
Que s'est-il donc passé au péage castel ? Il semblerait que la conductrice, au moment de régler son trajet, ait fait tomber des pièces. Elle aurait voulu les ramasser - est-elle sortie, s'est-elle penchée ? Mystère, les gendarmes s'en assureront en visionnant la vidéo de la Sanef (Société des autoroutes du Nord-Est de la France) -, mais la voiture équipée d'une boîte automatique aurait reculé. La déséquilibrant et l'entraînant sur quelques mètres entre un bloc de béton et la carcasse.
La voiture aurait été arrêtée par ce fameux bloc de béton. Une chance pour la conductrice qui a failli être écrasée par son propre véhicule. À n'en pas douter, elle se souviendra longtemps de cet épisode qui aurait pu lui coûter la vie.
Apparemment, elle avait raté sa sortie habituelle. Elle avait donc emprunté la prochaine, celle de Château-Thierry pour reprendre l'autoroute dans le sens inverse. Son périple s'est achevé à l'hôpital.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/la-conductrice-coincee-sous-sa-voiture-au-peage
Hier matin, sur les coups de 10 heures, une conductrice s'est retrouvée coincée entre le guichet du péage castel et sa voiture, un monospace Renault. Comment en est-elle arrivée là ? Difficile à expliquer tant la situation s'avère « abracadabrantesque ».
Quand les gendarmes, appelés par un automobiliste, arrivent sur la bretelle de péage, ils découvrent un véhicule avec la portière conducteur ouverte. Le témoin est accroupi. La victime, à ses pieds. Impossible pour elle de se mouvoir.
Elle est prisonnière du bas de caisse de la voiture et du bloc en béton du péage. Complètement contorsionnée. Dans cette position douloureuse, elle souffre le martyre. Les pompiers castels arrivent dans la foulée. Eux aussi sont surpris en voyant la dame enchevêtrée. Pour la secourir, il leur faudra dégager la portière et soulever le véhicule.
La conductrice, une femme de 45 ans, domiciliée à Joinville et qui travaille à Meaux (Seine-et-Marne), sera transportée au centre hospitalier de Château-Thierry. Les praticiens diagnostiqueront deux côtes cassées et des contusions. Un moindre mal quand on tente d'imaginer le calvaire subi.
Elle veut ramasser des pièces
Que s'est-il donc passé au péage castel ? Il semblerait que la conductrice, au moment de régler son trajet, ait fait tomber des pièces. Elle aurait voulu les ramasser - est-elle sortie, s'est-elle penchée ? Mystère, les gendarmes s'en assureront en visionnant la vidéo de la Sanef (Société des autoroutes du Nord-Est de la France) -, mais la voiture équipée d'une boîte automatique aurait reculé. La déséquilibrant et l'entraînant sur quelques mètres entre un bloc de béton et la carcasse.
La voiture aurait été arrêtée par ce fameux bloc de béton. Une chance pour la conductrice qui a failli être écrasée par son propre véhicule. À n'en pas douter, elle se souviendra longtemps de cet épisode qui aurait pu lui coûter la vie.
Apparemment, elle avait raté sa sortie habituelle. Elle avait donc emprunté la prochaine, celle de Château-Thierry pour reprendre l'autoroute dans le sens inverse. Son périple s'est achevé à l'hôpital.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/la-conductrice-coincee-sous-sa-voiture-au-peage
vendredi 30 décembre 2011
Elle roule à contresens sur l’A432 et blesse trois personnes
Le drame a été évité de justesse, hier soir, mais pas l’accident.
Dans des circonstances encore difficiles à établir à l’heure où nous mettions sous presse, une voiture en a percuté deux autres après s’être engagée à contresens sur l’autoroute A432, qui relie le Nord-Isère et l’Ain à l’aéroport de Lyon/Saint-Exupéry.
Le premier choc s’est produit vers 19 h 45, à la hauteur de la commune de Villette-d’Anthon, à la limite du département de l’Ain. Le véhicule désorienté et circulant sur les voies descendantes (sens Ain-Rhône) a, dans un premier temps, percuté une voiture, sans faire de blessé.
Mais ce premier accrochage n’a pas suffi à stopper sa course. Peu de temps après, le véhicule roulant toujours dans le mauvais sens a percuté une seconde voiture. La famille iséroise qui se trouvait à l’intérieur n’a pas eu le temps de réagir. Un père et ses deux filles ont été blessés dans le choc. Si, hier soir, on ignorait encore la gravité exacte de leurs blessures, leur pronostic vital ne semblait pas engagé. Quant à la conductrice à l’origine de l’accident, une Iséroise âgée de 48 ans, elle n’aurait pas été blessée.
Cet accident a provoqué de grosses difficultés de circulation hier soir, puisque l’A432 a été fermée dès après l’accident, et jusque tard dans la nuit, entre la barrière de péage de La Boisse (Ain) et l’aéroport Saint-Exupéry.
Un dépistage d’alcoolémie a été pratiqué et une enquête a été ouverte afin de déterminer comment et pourquoi cet automobiliste a pu s’engager à contresens sur l’autoroute.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/12/30/elle-roule-a-contresens-sur-l-a432-et-blesse-trois-personnes
Dans des circonstances encore difficiles à établir à l’heure où nous mettions sous presse, une voiture en a percuté deux autres après s’être engagée à contresens sur l’autoroute A432, qui relie le Nord-Isère et l’Ain à l’aéroport de Lyon/Saint-Exupéry.
Le premier choc s’est produit vers 19 h 45, à la hauteur de la commune de Villette-d’Anthon, à la limite du département de l’Ain. Le véhicule désorienté et circulant sur les voies descendantes (sens Ain-Rhône) a, dans un premier temps, percuté une voiture, sans faire de blessé.
Mais ce premier accrochage n’a pas suffi à stopper sa course. Peu de temps après, le véhicule roulant toujours dans le mauvais sens a percuté une seconde voiture. La famille iséroise qui se trouvait à l’intérieur n’a pas eu le temps de réagir. Un père et ses deux filles ont été blessés dans le choc. Si, hier soir, on ignorait encore la gravité exacte de leurs blessures, leur pronostic vital ne semblait pas engagé. Quant à la conductrice à l’origine de l’accident, une Iséroise âgée de 48 ans, elle n’aurait pas été blessée.
Cet accident a provoqué de grosses difficultés de circulation hier soir, puisque l’A432 a été fermée dès après l’accident, et jusque tard dans la nuit, entre la barrière de péage de La Boisse (Ain) et l’aéroport Saint-Exupéry.
Un dépistage d’alcoolémie a été pratiqué et une enquête a été ouverte afin de déterminer comment et pourquoi cet automobiliste a pu s’engager à contresens sur l’autoroute.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/12/30/elle-roule-a-contresens-sur-l-a432-et-blesse-trois-personnes
Une petite station de ski sauvée par ses habitants
C'est une belle histoire. Menacée de fermeture, la petite station de ski de Saint-Hugues/Les Egaux, dans le massif de la Chartreuse (Isère), a pu ouvrir ses quatre téléskis pour les vacances de Noël grâce à la mobilisation bénévole de ses habitants.
Cette station familiale, située à 900 mètres d'altitude sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse, était menacée de fermeture après la décision du syndicat intercommunal d'arrêter deux de ses quatre tire-fesses et de fermer les pistes le mercredi hors vacances scolaires.
« On allait perdre 80 % de notre clientèle et c'était la mort assurée d'ici deux ou trois ans », affirme Guy Bècle-Berland, chef d'exploitation du domaine skiable.
La station a donc décidé de quitter le syndicat intercommunal pour passer sous la gestion d'une association. Une trentaine d'habitants et d'entreprises locales se sont mobilisés bénévolement pour permettre à l'activité de ski alpin de perdurer.
« Ils ont construit une cabane pour faire la caisse. Le moniteur de la station a creusé des tranchées pour acheminer l'électricité. D'autres ont fait la peinture des WC ou aidé à installer des perches et des électriciens ont tiré des câbles », raconte Guy Bècle-Berland. Mercredi, journée record, 500 forfaits ont été vendus
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/30/1250577-isere-une-petite-station-de-ski-sauvee-par-ses-habitants.html
Cette station familiale, située à 900 mètres d'altitude sur la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse, était menacée de fermeture après la décision du syndicat intercommunal d'arrêter deux de ses quatre tire-fesses et de fermer les pistes le mercredi hors vacances scolaires.
« On allait perdre 80 % de notre clientèle et c'était la mort assurée d'ici deux ou trois ans », affirme Guy Bècle-Berland, chef d'exploitation du domaine skiable.
La station a donc décidé de quitter le syndicat intercommunal pour passer sous la gestion d'une association. Une trentaine d'habitants et d'entreprises locales se sont mobilisés bénévolement pour permettre à l'activité de ski alpin de perdurer.
« Ils ont construit une cabane pour faire la caisse. Le moniteur de la station a creusé des tranchées pour acheminer l'électricité. D'autres ont fait la peinture des WC ou aidé à installer des perches et des électriciens ont tiré des câbles », raconte Guy Bècle-Berland. Mercredi, journée record, 500 forfaits ont été vendus
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/30/1250577-isere-une-petite-station-de-ski-sauvee-par-ses-habitants.html
Les bus à l’arrêt après une bagarre
Les chauffeurs du dépôt de la compagnie Veolia de Carrières-sous-Poissy ont cessé le travail, hier matin, pour protester contre l’agression, la veille, d’un de leurs collègues. Il est environ 22h20, mercredi soir, rue de la Senette à Carrières-sous-Poissy, lorsqu’un bus de la ligne 2 arrive à l’arrêt Foyer.
Le chauffeur, qui veut se garer sur des zébras, klaxonne un homme déambulant sur la route, manifestement éméché. Il fait un appel de phares et décide d’avancer. L’individu se retire au dernier moment.
Des insultes pleuvent. Le conducteur ouvre la porte. L’homme ivre monte dans le bus suivi de quatre amis. Hamid, un agent d’ambiance, tente de s’interposer alors que les cinq jeunes, âgés de 16 à 18 ans, rouent de coups le conducteur. « La bagarre a éclaté. Comme j’étais au milieu, j’ai pris des coups de partout et je suis tombé. Ils m’ont tapé à coups de pied et de poing sur le visage », raconte Hamid. Ce dernier se relèvera avec un nez cassé, un œdème à l’œil et des contusions aux genoux. Les blessures lui valent d’ailleurs six jours d’interruption temporaire de travail.
L’épisode de violence ne s’arrête pas là. Un second agent d’ambiance, qui tentait de venir à la rescousse de ses collègues, est tenu en respect sous la menace d’un couteau par un des agresseurs afin de le dissuader d’intervenir.
Au bout d’un moment, les agresseurs s’enfuient. Le machiniste met en route le bus et démarre. Appelée aussitôt, la police arrive quelques minutes plus tard. Durant son enquête, elle visionne les images de la vidéosurveillance pour tenter de mieux cerner les conditions de cette agression. Les deux agents ont été entendus, le conducteur le sera ce matin. La nouvelle de cette agression arrive, hier en milieu de matinée, aux oreilles des agents du dépôt de Carrières-sous-Poissy. Aussitôt, ils décident d’exercer leur droit de retrait. « Il y en a marre, martèle Mustapha. Il y a déjà eu une agression sur la même ligne la semaine dernière. Le chauffeur a fini à l’hôpital. » Les agents se plaignent aussi de ne pas avoir immédiatement été avertis par leur direction. En quelques minutes, les lignes 2, 10, 15 et 25 se trouvent fortement perturbées, paralysant l’ensemble du trafic entre Poissy, Chanteloup-les-Vignes et Carrières-sous-Poissy. Pour informer les voyageurs, la direction de Veolia affiche des avis de perturbation du trafic sur les arrêts et relaie également l’information sur son site Internet, www.idf.veolia-transport.fr/reseau-bus-cso. Par ailleurs, Eddie Aït, maire PRG de Carrières-sous-Poissy, a écrit au directeur de Veolia Transports pour assurer les agents et la compagnie de son « soutien ». « Cette agression est intolérable. D’autant plus qu’elle concerne une entreprise parfaitement intégrée au tissu urbain. » Les chauffeurs devraient reprendre le travail ce matin, selon la direction.
http://www.leparisien.fr/chanteloup-les-vignes-78570/les-bus-a-l-arret-apres-une-bagarre-30-12-2011-1789145.php
Le chauffeur, qui veut se garer sur des zébras, klaxonne un homme déambulant sur la route, manifestement éméché. Il fait un appel de phares et décide d’avancer. L’individu se retire au dernier moment.
Des insultes pleuvent. Le conducteur ouvre la porte. L’homme ivre monte dans le bus suivi de quatre amis. Hamid, un agent d’ambiance, tente de s’interposer alors que les cinq jeunes, âgés de 16 à 18 ans, rouent de coups le conducteur. « La bagarre a éclaté. Comme j’étais au milieu, j’ai pris des coups de partout et je suis tombé. Ils m’ont tapé à coups de pied et de poing sur le visage », raconte Hamid. Ce dernier se relèvera avec un nez cassé, un œdème à l’œil et des contusions aux genoux. Les blessures lui valent d’ailleurs six jours d’interruption temporaire de travail.
L’épisode de violence ne s’arrête pas là. Un second agent d’ambiance, qui tentait de venir à la rescousse de ses collègues, est tenu en respect sous la menace d’un couteau par un des agresseurs afin de le dissuader d’intervenir.
Au bout d’un moment, les agresseurs s’enfuient. Le machiniste met en route le bus et démarre. Appelée aussitôt, la police arrive quelques minutes plus tard. Durant son enquête, elle visionne les images de la vidéosurveillance pour tenter de mieux cerner les conditions de cette agression. Les deux agents ont été entendus, le conducteur le sera ce matin. La nouvelle de cette agression arrive, hier en milieu de matinée, aux oreilles des agents du dépôt de Carrières-sous-Poissy. Aussitôt, ils décident d’exercer leur droit de retrait. « Il y en a marre, martèle Mustapha. Il y a déjà eu une agression sur la même ligne la semaine dernière. Le chauffeur a fini à l’hôpital. » Les agents se plaignent aussi de ne pas avoir immédiatement été avertis par leur direction. En quelques minutes, les lignes 2, 10, 15 et 25 se trouvent fortement perturbées, paralysant l’ensemble du trafic entre Poissy, Chanteloup-les-Vignes et Carrières-sous-Poissy. Pour informer les voyageurs, la direction de Veolia affiche des avis de perturbation du trafic sur les arrêts et relaie également l’information sur son site Internet, www.idf.veolia-transport.fr/reseau-bus-cso. Par ailleurs, Eddie Aït, maire PRG de Carrières-sous-Poissy, a écrit au directeur de Veolia Transports pour assurer les agents et la compagnie de son « soutien ». « Cette agression est intolérable. D’autant plus qu’elle concerne une entreprise parfaitement intégrée au tissu urbain. » Les chauffeurs devraient reprendre le travail ce matin, selon la direction.
http://www.leparisien.fr/chanteloup-les-vignes-78570/les-bus-a-l-arret-apres-une-bagarre-30-12-2011-1789145.php
Alcool, incendies et sursis
Les sursis tombent
Un Rémois de 18 ans a été incarcéré à la maison d'arrêt de Reims après avoir été interpellé par les policiers, mardi, vers 15 heures, alors qu'il marchait dans la rue du Chalet. Damien Vautier se trouvait en effet sous le coup de la révocation de deux peines avec sursis auxquelles il avait été condamné par le tribunal correctionnel, soit un mois et quinze jours d'emprisonnement.
Contrôles d'alcoolémie
Deux automobilistes ont été épinglés sous l'emprise de l'alcool lors d'un contrôle effectué par les policiers, mardi entre 23 h 40 et 0 h 40, sur seize véhicules, à hauteur du pont de Saint-Brice-Courcelles. Le premier présentait un taux d'alcoolémie contraventionnel, inférieur à 0,8 g d'alcool par litre de sang. Le second, en revanche, a été contrôlé avec un taux d'alcoolémie délictuel de 1,30 g d'alcool par litre de sang.
Il jette sa veste enflammée dans une poubelle
Jugé mardi dans le cadre d'une comparution immédiate, l'homme a expliqué à la barre du tribunal correctionnel de Reims avoir agi sous l'emprise de l'alcool. Une circonstance aggravante qui lui a valu d'être condamné à une peine de six mois d'emprisonnement intégralement assortie d'un sursis avec mise à l'épreuve. Un peu plus tôt au cours de la nuit, peu après 1 h 30 du matin, il avait été interpellé par les hommes de la brigade anti-criminalité (Bac) après avoir été aperçu par un témoin alors qu'il venait de mettre le feu à une poubelle, rue du Danube.
Les policiers l'ont appréhendé dans une rue environnante, avant qu'il ne soit formellement identifié par le témoin. Ce dernier a expliqué l'avoir vu retirer sa veste de survêtement, manifestement ivre, puis l'enflammer et la jeter ainsi dans une poubelle.
Plusieurs incendies de poubelles à Croix-Rouge en quelques heures
Plusieurs incendies de conteneurs à poubelles et de détritus ont émaillé la fin de la nuit de mardi à mercredi, dans le quartier Croix-Rouge. La série a débuté peu après 4 heures, allée Edgar-Degas, où deux premiers conteneurs ont été la proie des flammes. Puis au moins un autre vers 4 h 30, allée Bonaparte. Moins d'une heure plus tard, à 5 h 25, les sapeurs-pompiers intervenaient allée des Savoyards où deux autres conteneurs ont été volontairement incendiés. Un peu après 5 h 45, c'est allée des Picards que des conteneurs ont été à leur tour incendiés, ainsi que quelques autres de nouveau allée Bonaparte. La série s'est achevée à 7 h 10, retour à l'allée des Picards où un feu de détritus venait d'être allumé au sein d'un local à ordures.
Feu de voiture à Villers-Franqueux
Une Peugeot 205, non signalée volée, a été incendiée dans des circonstances indéterminées mardi soir, vers 23 h 30, rue du Moulin, face à la gare de Villers-Franqueux. Une enquête de gendarmerie a été ouverte
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/alcool-incendies-et-sursis
Un Rémois de 18 ans a été incarcéré à la maison d'arrêt de Reims après avoir été interpellé par les policiers, mardi, vers 15 heures, alors qu'il marchait dans la rue du Chalet. Damien Vautier se trouvait en effet sous le coup de la révocation de deux peines avec sursis auxquelles il avait été condamné par le tribunal correctionnel, soit un mois et quinze jours d'emprisonnement.
Contrôles d'alcoolémie
Deux automobilistes ont été épinglés sous l'emprise de l'alcool lors d'un contrôle effectué par les policiers, mardi entre 23 h 40 et 0 h 40, sur seize véhicules, à hauteur du pont de Saint-Brice-Courcelles. Le premier présentait un taux d'alcoolémie contraventionnel, inférieur à 0,8 g d'alcool par litre de sang. Le second, en revanche, a été contrôlé avec un taux d'alcoolémie délictuel de 1,30 g d'alcool par litre de sang.
Il jette sa veste enflammée dans une poubelle
Jugé mardi dans le cadre d'une comparution immédiate, l'homme a expliqué à la barre du tribunal correctionnel de Reims avoir agi sous l'emprise de l'alcool. Une circonstance aggravante qui lui a valu d'être condamné à une peine de six mois d'emprisonnement intégralement assortie d'un sursis avec mise à l'épreuve. Un peu plus tôt au cours de la nuit, peu après 1 h 30 du matin, il avait été interpellé par les hommes de la brigade anti-criminalité (Bac) après avoir été aperçu par un témoin alors qu'il venait de mettre le feu à une poubelle, rue du Danube.
Les policiers l'ont appréhendé dans une rue environnante, avant qu'il ne soit formellement identifié par le témoin. Ce dernier a expliqué l'avoir vu retirer sa veste de survêtement, manifestement ivre, puis l'enflammer et la jeter ainsi dans une poubelle.
Plusieurs incendies de poubelles à Croix-Rouge en quelques heures
Plusieurs incendies de conteneurs à poubelles et de détritus ont émaillé la fin de la nuit de mardi à mercredi, dans le quartier Croix-Rouge. La série a débuté peu après 4 heures, allée Edgar-Degas, où deux premiers conteneurs ont été la proie des flammes. Puis au moins un autre vers 4 h 30, allée Bonaparte. Moins d'une heure plus tard, à 5 h 25, les sapeurs-pompiers intervenaient allée des Savoyards où deux autres conteneurs ont été volontairement incendiés. Un peu après 5 h 45, c'est allée des Picards que des conteneurs ont été à leur tour incendiés, ainsi que quelques autres de nouveau allée Bonaparte. La série s'est achevée à 7 h 10, retour à l'allée des Picards où un feu de détritus venait d'être allumé au sein d'un local à ordures.
Feu de voiture à Villers-Franqueux
Une Peugeot 205, non signalée volée, a été incendiée dans des circonstances indéterminées mardi soir, vers 23 h 30, rue du Moulin, face à la gare de Villers-Franqueux. Une enquête de gendarmerie a été ouverte
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/alcool-incendies-et-sursis
jeudi 29 décembre 2011
Un policier en état d'ivresse a été interpellé après avoir frappé sa femme
Un policier de 37 ans, ivre au volant de sa voiture, a été interpellé dans la nuit de lundi à mardi à Torcy en Seine-et-Marne et placé en garde à vue après avoir frappé sa femme lors d'une dispute au domicile familial, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Cet homme, en état d'ivresse, venait de quitter son domicile familial de Lognes après une dispute avec sa femme, au cours de laquelle il lui a coincé le poignet dans la porte d'entrée de la maison et lui a donné des coups au visage, a-t-on précisé de source judiciaire, confirmant une information du Parisien.
Cette femme, qui a déposé plainte, s'est vu prescrire trois jours d'ITT (Incapacité totale de travail). Le policier, en exercice au commissariat de Villepinte (Seine-Saint-Denis), a été placé sous contrôle judiciaire et sera jugé en janvier devant le tribunal correctionnel de Meaux, a-t-on précisé de même source.
http://www.lepoint.fr/societe/un-policier-en-etat-d-ivresse-a-ete-interpelle-apres-avoir-frappe-sa-femme-29-12-2011-1413347_23.php
Cette femme, qui a déposé plainte, s'est vu prescrire trois jours d'ITT (Incapacité totale de travail). Le policier, en exercice au commissariat de Villepinte (Seine-Saint-Denis), a été placé sous contrôle judiciaire et sera jugé en janvier devant le tribunal correctionnel de Meaux, a-t-on précisé de même source.
http://www.lepoint.fr/societe/un-policier-en-etat-d-ivresse-a-ete-interpelle-apres-avoir-frappe-sa-femme-29-12-2011-1413347_23.php
Le plongeon dramatique d’un camion sur l’A9
Un effroyable accident s’est produit hier matin sur l’autoroute A9, à proximité de la sortie vers le Perthus, à hauteur du viaduc des Cluses.
Selon les premiers éléments, peu avant 10 heures du matin, un camion de 12 tonnes, avec deux personnes à son bord, circulait sur la voie centrale dans le sens France - Espagne, au niveau du viaduc de la Calcine, et procédait au dépassement d’un semi-remorque de 44 tonnes qui roulait sur la voie de droite, tandis qu’une voiture doublait du côté gauche sur la troisième voie.
Les circonstances de l’accident encore confuses
Malheureusement, en contrebas, le bilan s’avérait bien plus lourd. Une équipe médicale du Samu s’est rendue sur place à bord de l’hélicoptère Dragon 66 de la sécurité civile qui s’est posé en bordure de la RD900. Toutefois, malgré les efforts déployés et les massages cardiaques pratiqués par les secours pour les ranimer, les deux hommes, Christian Durrieu, âgé de 53 ans et demeurant à Canohès et Yann Lebris, âgé de 43 ans, domicilié à Perpignan, ont succombé à leurs blessures.
Aucune irrégularité constatée quant à la vitesse
Les services de gendarmerie, dont les militaires de l’EDSR (escadron départemental de la sécurité routière) se sont rendus aussitôt sur place ainsi que Jean-Marie Nicolas, secrétaire général de la préfecture des Pyrénées-Orientales. La circulation sur l’A9 dans le sens France - Espagne a été réduite à une voie le temps de dégager la chaussée et a occasionné un bouchon de 4,5 km qui s’est progressivement résorbé. Le trafic dans l’autre sens n’a subi aucune perturbation.
Une enquête a été ouverte, confiée aux gendarmes du peloton autoroute, afin de déterminer les causes précises de ce dramatique accident. Sachant que les deux hommes étaient partis de Perpignan vers 9 heures et transportaient, pour leur propre compte semble-t-il, des meubles vraisemblablement jusqu’en Espagne. Le chauffeur ne roulait donc que depuis 45 minutes au moment du drame. Aucune irrégularité n’a été constatée quant à la vitesse.
Des prélèvements sanguins ont été pratiqués sur le chauffeur et sont en cours d’analyse. Les autres conducteurs impliqués ont été soumis à un dépistage alcoolémie qui s’est révélé négatif.
Les investigations se poursuivent ainsi que les recoupements des auditions des différents témoins pour tenter de trouver une explication.
Selon les premiers éléments, peu avant 10 heures du matin, un camion de 12 tonnes, avec deux personnes à son bord, circulait sur la voie centrale dans le sens France - Espagne, au niveau du viaduc de la Calcine, et procédait au dépassement d’un semi-remorque de 44 tonnes qui roulait sur la voie de droite, tandis qu’une voiture doublait du côté gauche sur la troisième voie.
Les circonstances de l’accident encore confuses
Que s’est-il passé ? Les circonstances exactes et la chronologie des faits demeurent encore confuses. Toujours est-il que le chauffeur du 12 tonnes, au centre, aurait perdu le contrôle de son véhicule qui aurait heurté le 44 tonnes et la voiture, puis aurait été projeté sur le terre-plein central, écrasant les barrières de sécurité, traversant toute la chaussée en sens inverse, avant de percuter et de défoncer le parapet du viaduc et de chuter dans le vide, retombant de 35 à 40 mètres en contrebas de l’A9.
L’alerte a immédiatement été donnée auprès des sapeurs-pompiers qui ont été dépêchés sur zone en deux postes. Un groupe sur l’autoroute A9 pour prendre en charge tous les usagers éventuellement blessés et un autre au pied du viaduc pour secourir le chauffeur et le passager du poids lourd. Au final, une dame, passagère de la voiture impliquée, a été extrêmement choquée et évacuée vers le centre hospitalier de Perpignan.Malheureusement, en contrebas, le bilan s’avérait bien plus lourd. Une équipe médicale du Samu s’est rendue sur place à bord de l’hélicoptère Dragon 66 de la sécurité civile qui s’est posé en bordure de la RD900. Toutefois, malgré les efforts déployés et les massages cardiaques pratiqués par les secours pour les ranimer, les deux hommes, Christian Durrieu, âgé de 53 ans et demeurant à Canohès et Yann Lebris, âgé de 43 ans, domicilié à Perpignan, ont succombé à leurs blessures.
Aucune irrégularité constatée quant à la vitesse
Les services de gendarmerie, dont les militaires de l’EDSR (escadron départemental de la sécurité routière) se sont rendus aussitôt sur place ainsi que Jean-Marie Nicolas, secrétaire général de la préfecture des Pyrénées-Orientales. La circulation sur l’A9 dans le sens France - Espagne a été réduite à une voie le temps de dégager la chaussée et a occasionné un bouchon de 4,5 km qui s’est progressivement résorbé. Le trafic dans l’autre sens n’a subi aucune perturbation.
Une enquête a été ouverte, confiée aux gendarmes du peloton autoroute, afin de déterminer les causes précises de ce dramatique accident. Sachant que les deux hommes étaient partis de Perpignan vers 9 heures et transportaient, pour leur propre compte semble-t-il, des meubles vraisemblablement jusqu’en Espagne. Le chauffeur ne roulait donc que depuis 45 minutes au moment du drame. Aucune irrégularité n’a été constatée quant à la vitesse.
Des prélèvements sanguins ont été pratiqués sur le chauffeur et sont en cours d’analyse. Les autres conducteurs impliqués ont été soumis à un dépistage alcoolémie qui s’est révélé négatif.
Les investigations se poursuivent ainsi que les recoupements des auditions des différents témoins pour tenter de trouver une explication.
Un an ferme pour des menaces de mort
À force, on finit par lasser la patience des magistrats. Un Rémois de 47 ans l'a appris à ses dépens en écopant, lundi, d'une peine de deux ans d'emprisonnement dont un an assorti d'un sursis avec mise à l'épreuve, pour avoir proféré des menaces de mort à plusieurs reprises, délit dont il était coutumier.
Le 25 décembre, vers 17 heures, il s'était présenté complètement ivre à l'accueil des urgences de la clinique Saint-André et avait rapidement jeté son dévolu sur l'hôtesse en présence, en l'insultant et en réitérant des menaces de mort à son encontre.
Il avait alors été interpellé, puis placé en garde à vue. Bien connu de la police, l'homme n'en était pas à son coup d'essai.
Les personnels de la clinique avaient déjà eu affaire à lui quand, passablement éméché, l'homme se rendait régulièrement dans l'établissement pour proférer des noms d'oiseaux à qui voulaient l'entendre.
Jugé dans le cadre d'une comparution immédiate, le quadragénaire a reconnu les faits. Un mandat de dépôt ayant été délivré par le tribunal correctionnel, il a été incarcéré.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-an-ferme-pour-des-menaces-de-mort
Le 25 décembre, vers 17 heures, il s'était présenté complètement ivre à l'accueil des urgences de la clinique Saint-André et avait rapidement jeté son dévolu sur l'hôtesse en présence, en l'insultant et en réitérant des menaces de mort à son encontre.
Il avait alors été interpellé, puis placé en garde à vue. Bien connu de la police, l'homme n'en était pas à son coup d'essai.
Les personnels de la clinique avaient déjà eu affaire à lui quand, passablement éméché, l'homme se rendait régulièrement dans l'établissement pour proférer des noms d'oiseaux à qui voulaient l'entendre.
Jugé dans le cadre d'une comparution immédiate, le quadragénaire a reconnu les faits. Un mandat de dépôt ayant été délivré par le tribunal correctionnel, il a été incarcéré.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-an-ferme-pour-des-menaces-de-mort
mercredi 28 décembre 2011
Il jette une bouteille au visage de sa concubine
Pas de trêve pour les violences conjugales. Un Rémois de 35 ans a en effet été interpellé pour ce motif le jour de Noël, au lendemain d'une précédente plainte pour coups et blessures déposée par sa concubine.
Un Noël dont elle se souviendra
Dimanche, peu après 9 heures, les policiers sont en l'occurrence intervenus au domicile du couple, rue Charles-Roche à Reims, à la suite d'une violente dispute au cours de laquelle le mis en cause n'aurait pas trouvé mieux que de jeter une bouteille brisée au visage de sa compagne.
En se protégeant, cette dernière n'a pu éviter une coupure à la main.
Placé en garde à vue pendant plus de 24 heures, l'homme a fini par reconnaître partiellement les faits, non sans cacher son penchant chronique pour l'alcool et certains problèmes d'ordre psychologique.
Ivre au moment des faits avec un taux de 2,28 grammes d'alcool par litre de sang, il s'est retranché, pour le reste, derrière une amnésie passagère provoquée, selon lui, par sa consommation d'alcool excessive.
Il a été remis en liberté avec une convocation en poche devant le tribunal correctionnel de Reims. Comparution prévue le 23 mars.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-jette-une-bouteille-au-visage-de-sa-concubine
Un Noël dont elle se souviendra
Dimanche, peu après 9 heures, les policiers sont en l'occurrence intervenus au domicile du couple, rue Charles-Roche à Reims, à la suite d'une violente dispute au cours de laquelle le mis en cause n'aurait pas trouvé mieux que de jeter une bouteille brisée au visage de sa compagne.
En se protégeant, cette dernière n'a pu éviter une coupure à la main.
Placé en garde à vue pendant plus de 24 heures, l'homme a fini par reconnaître partiellement les faits, non sans cacher son penchant chronique pour l'alcool et certains problèmes d'ordre psychologique.
Ivre au moment des faits avec un taux de 2,28 grammes d'alcool par litre de sang, il s'est retranché, pour le reste, derrière une amnésie passagère provoquée, selon lui, par sa consommation d'alcool excessive.
Il a été remis en liberté avec une convocation en poche devant le tribunal correctionnel de Reims. Comparution prévue le 23 mars.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-jette-une-bouteille-au-visage-de-sa-concubine
Cambriolé... pour la septième fois !
La police ? Elle était sur place tout l’après-midi. Il faut dire qu’ils sont habitués", lâche, dépité, ce Montpelliérain. Un homme dont la modeste villa, située rue de la Brigantine dans le quartier d’Alco, entre les avenues Louis-Ravas et des Moulins, a été une nouvelle fois la cible d’un cambriolage. Cette fois, cette intrusion s’est déroulée hier vers 14 h.
"Chez moi, il n’y a pas de bijoux, pas d’ordinateur"
"La précédente, c’était il y a deux mois, celle d’avant encore, en février", poursuit cet habitant qui ne sait désormais plus à quel saint se vouer. En quelques mois, c’est en effet la septième fois qu’il est victime de tels agissements. "Chez moi, il n’y a pas de bijoux, pas d’ordinateur. À chaque fois, “ils” ne volent rien mais cassent les volets, les portes...", se lamente-t-il. Car avec autant de dégâts en si peu de temps, voilà que son assureur commence à tiquer.
Résultat : "Aujourd’hui, il me dit : “Ce n’est plus possible !” Il ne veut plus m’assurer ! Demain (aujourd’hui, NDLR), je vais encore aller déposer plainte." Et l’homme de dresser cet amer constat : celui d’un quartier autrefois tranquille mais qui, semble-t-il, est devenu l’un des coins préférés du Clapas chez les monte-en-l’air. Des voisins ayant déjà subi un sort identique.
http://www.midilibre.fr/2011/12/28/collision-mortelle-avec-un-sanglier,436633.php
"Chez moi, il n’y a pas de bijoux, pas d’ordinateur"
"La précédente, c’était il y a deux mois, celle d’avant encore, en février", poursuit cet habitant qui ne sait désormais plus à quel saint se vouer. En quelques mois, c’est en effet la septième fois qu’il est victime de tels agissements. "Chez moi, il n’y a pas de bijoux, pas d’ordinateur. À chaque fois, “ils” ne volent rien mais cassent les volets, les portes...", se lamente-t-il. Car avec autant de dégâts en si peu de temps, voilà que son assureur commence à tiquer.
Résultat : "Aujourd’hui, il me dit : “Ce n’est plus possible !” Il ne veut plus m’assurer ! Demain (aujourd’hui, NDLR), je vais encore aller déposer plainte." Et l’homme de dresser cet amer constat : celui d’un quartier autrefois tranquille mais qui, semble-t-il, est devenu l’un des coins préférés du Clapas chez les monte-en-l’air. Des voisins ayant déjà subi un sort identique.
http://www.midilibre.fr/2011/12/28/collision-mortelle-avec-un-sanglier,436633.php
Lons-le-Saunier: braquage éclair après la fermeture
Deux individus encagoulés, qui avait pénétré par l'entrée de service, ce mardi vers 19h15, sont reprartis avec la caisse de plusieurs jours du magasin Gifi de Lons-le-Saunier.
L'enseigne Gifi, implantée au Lieudit La Guiche à Lons-le-Saunier, a été la cible d'un braquage, ce mardi vers 19h15. Peu après la fermeture, alors que trois employés se trouvaient encore dans le magasin, deux individus encagoulés ont pénétré par l'entrée de service.
En à peine cinq minutes, ils ont fait main basse sur la caisse de plusieurs jours. Le préjudice est en cours d'évaluation mais il se monterait à plusieurs milliers d'euros.
Les malfaiteurs ont ensuite pris la fuite à pied.
La police lance un appel à témoin. Toute personne ayant remarqué des comportements suspects entre 19 heures et 19h30 aux abords du magasin Gifi (et secteur alentour) est invitée à se manifester auprès du commissariat de police de Lons au 03 84 35 17 10.
http://www.leprogres.fr/jura/2011/12/27/lons-le-saunier-braquage-eclair-apres-la-fermeture
L'enseigne Gifi, implantée au Lieudit La Guiche à Lons-le-Saunier, a été la cible d'un braquage, ce mardi vers 19h15. Peu après la fermeture, alors que trois employés se trouvaient encore dans le magasin, deux individus encagoulés ont pénétré par l'entrée de service.
En à peine cinq minutes, ils ont fait main basse sur la caisse de plusieurs jours. Le préjudice est en cours d'évaluation mais il se monterait à plusieurs milliers d'euros.
Les malfaiteurs ont ensuite pris la fuite à pied.
La police lance un appel à témoin. Toute personne ayant remarqué des comportements suspects entre 19 heures et 19h30 aux abords du magasin Gifi (et secteur alentour) est invitée à se manifester auprès du commissariat de police de Lons au 03 84 35 17 10.
http://www.leprogres.fr/jura/2011/12/27/lons-le-saunier-braquage-eclair-apres-la-fermeture
Hébergé pour la nuit, il frappe la bonne samaritaine
Un jeune homme de 21 ans était gracieusement accueilli pour la nuit. Ivre, il a pété les plombs et passé ses nerfs sur sa logeuse et ses biens.
LE jeune garçon avait trop bu. Une quinquagénaire l'a accepté chez elle, le temps que son taux d'alcoolémie redescende. Bien mal lui en a pris. Elle a reçu un coup. Ensuite, son salon et sa voiture ont également « trinqué ».
L'agression et les dégradations ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi. Le jeune homme, âgé de 21 ans et résidant à Villers-Cotterêts, avait un peu forcé sur la bouteille ce soir-là. Bonne âme, l'une de ses connaissances, âgée de cinquante-cinq ans, propose de l'héberger à son domicile à Coyolles (canton de Villers-Cotterêts). La motivation est simple : éviter l'accident.
Le garçon a-t-il pensé qu'il s'agissait d'une invitation coquine ? En tout cas, vers 22 h 30, alors qu'il se trouve dans la demeure de la dame, il pète un plomb. Descendant dans une pièce de la maison, il passe ses nerfs sur les meubles. Un piano et une vitre sont casés.
Arrêté le lendemain
La femme le rejoint pour le calmer. Loin de là l'idée du jeune homme : il lui assène un coup de tête. Ensuite, il lui dérobe les clés de la maison, ainsi qu'un manteau et essaie de s'en aller… Avec la voiture de celle qui l'hébergeait !
Il a pris les clés de la maison, mais pas celle de la voiture. Pour s'introduire dans l'habitacle du véhicule, le garçon ivre brise une vitre. Ensuite, il tente de le démarrer en connectant les fils. Il n'arrive pas à ses fins. Toujours hors de lui, il pousse la voiture contre un mur. Après cet accès de fureur, il débarrasse le « plancher ».
Les gendarmes, avertis des faits, ont été « cueillir » le jeune homme hier matin, à son domicile cotterézien. Conduit à la brigade de gendarmerie de Villers-Cotterêts, il a été placé en garde à vue, puis remis en liberté dans la journée. Il a rendez-vous en février devant les juges du tribunal correctionnel de Soissons pour violence, dégradation de bien, vol et tentative de vol.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/heberge-pour-la-nuit-il-frappe-la-bonne-samaritaine
LE jeune garçon avait trop bu. Une quinquagénaire l'a accepté chez elle, le temps que son taux d'alcoolémie redescende. Bien mal lui en a pris. Elle a reçu un coup. Ensuite, son salon et sa voiture ont également « trinqué ».
L'agression et les dégradations ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi. Le jeune homme, âgé de 21 ans et résidant à Villers-Cotterêts, avait un peu forcé sur la bouteille ce soir-là. Bonne âme, l'une de ses connaissances, âgée de cinquante-cinq ans, propose de l'héberger à son domicile à Coyolles (canton de Villers-Cotterêts). La motivation est simple : éviter l'accident.
Le garçon a-t-il pensé qu'il s'agissait d'une invitation coquine ? En tout cas, vers 22 h 30, alors qu'il se trouve dans la demeure de la dame, il pète un plomb. Descendant dans une pièce de la maison, il passe ses nerfs sur les meubles. Un piano et une vitre sont casés.
Arrêté le lendemain
La femme le rejoint pour le calmer. Loin de là l'idée du jeune homme : il lui assène un coup de tête. Ensuite, il lui dérobe les clés de la maison, ainsi qu'un manteau et essaie de s'en aller… Avec la voiture de celle qui l'hébergeait !
Il a pris les clés de la maison, mais pas celle de la voiture. Pour s'introduire dans l'habitacle du véhicule, le garçon ivre brise une vitre. Ensuite, il tente de le démarrer en connectant les fils. Il n'arrive pas à ses fins. Toujours hors de lui, il pousse la voiture contre un mur. Après cet accès de fureur, il débarrasse le « plancher ».
Les gendarmes, avertis des faits, ont été « cueillir » le jeune homme hier matin, à son domicile cotterézien. Conduit à la brigade de gendarmerie de Villers-Cotterêts, il a été placé en garde à vue, puis remis en liberté dans la journée. Il a rendez-vous en février devant les juges du tribunal correctionnel de Soissons pour violence, dégradation de bien, vol et tentative de vol.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/heberge-pour-la-nuit-il-frappe-la-bonne-samaritaine
mardi 27 décembre 2011
Trois morts dans un accident d’hélicoptère parti récupérer un cœur
Les trois occupants d’un hélicoptère parti récupérer un cœur en vue d’une transplantation ont trouvé la mort lorsque l’appareil s’est écrasé dans le sud-est des Etats-Unis, a rapporté mardi la presse locale.
L’hélicoptère s’est écrasé lundi matin après avoir décollé de Jacksonville, en Floride, pour gagner Gainesville, distante d’une centaine de km, a précisé le quotidien Florida Times-Union. L’accident a forcé l’hôpital qui avait préparé la transplantation cardiaque à reporter l’opération.
La cause de l’accident n’a pas été précisée. Les autorités locales n’étaient pas joignables pour commenter ces informations.
http://www.bienpublic.com/faits-divers/2011/12/27/trois-morts-dans-un-accident-d-helicoptere-parti-recuperer-un-coeur
L’hélicoptère s’est écrasé lundi matin après avoir décollé de Jacksonville, en Floride, pour gagner Gainesville, distante d’une centaine de km, a précisé le quotidien Florida Times-Union. L’accident a forcé l’hôpital qui avait préparé la transplantation cardiaque à reporter l’opération.
La cause de l’accident n’a pas été précisée. Les autorités locales n’étaient pas joignables pour commenter ces informations.
http://www.bienpublic.com/faits-divers/2011/12/27/trois-morts-dans-un-accident-d-helicoptere-parti-recuperer-un-coeur
Il menaçait les passagers du tram avec une bouteille
Les policiers municipaux ont fait une « bonne pioche » en interpellant un perturbateur dans le tram. Ce dernier, en effet, était recherché pour infraction à la législation sur les étrangers.
Et pour cause : il était en situation irrégulière. Placé en garde à vue au service du quart, il a été laissé libre, hier après-midi, dans l'attente des suites judiciaires ou administratives. Cet individu agressait verbalement les usagers en les menaçant avec une bouteille à la main à bord de la rame n° 27, au niveau de l'arrêt Jean-Médecin, en direction de Pont-Michel. Le PC Tram a donné l'alerte et, depuis le centre de supervision urbaine, les « municipaux » ont suivi la progression de la rame tout en restant en liaison avec les équipes sur le terrain. À l'arrêt Garibaldi, le suspect a été repéré et sorti du tramway
http://www.nicematin.com/article/nice/il-menacait-les-passagers-du-tram-avec-une-bouteille.724415.html
Et pour cause : il était en situation irrégulière. Placé en garde à vue au service du quart, il a été laissé libre, hier après-midi, dans l'attente des suites judiciaires ou administratives. Cet individu agressait verbalement les usagers en les menaçant avec une bouteille à la main à bord de la rame n° 27, au niveau de l'arrêt Jean-Médecin, en direction de Pont-Michel. Le PC Tram a donné l'alerte et, depuis le centre de supervision urbaine, les « municipaux » ont suivi la progression de la rame tout en restant en liaison avec les équipes sur le terrain. À l'arrêt Garibaldi, le suspect a été repéré et sorti du tramway
http://www.nicematin.com/article/nice/il-menacait-les-passagers-du-tram-avec-une-bouteille.724415.html
Double braquage au centre commercial
Un supermarché et un tabac-presse ont été braqués coup sur coup, hier après-midi, au cœur du quartier Empalot à Toulouse. Il n'y a pas eu de blessés mais les victimes sont choquées.
Deux braquages ont eu lieu, hier après-midi, au centre commercial à ciel ouvert du quartier d'Empalot, allée Henri-Sellier à Toulouse. Quatre hommes armés et encagoulés ont d'abord fait irruption, aux alentours de 16 h 20, dans le supermarché Casino de la place. Ils ont menacé les employés et les clients qui se trouvaient à l'intérieur pour se faire remettre le contenu de deux caisses. Les victimes n'ont pas tenté de résister et ont remis plusieurs centaines d'euros aux braqueurs qui sont repartis.
Quelques instants plus tard à une centaine de mètres de là, la même équipe a pénétré dans le tabac-presse situé en face du supermarché. « J'étais là, il y avait quatre clients, témoignait hier le responsable, Yves Menjou-Marcat, encore sous le choc. Ils sont arrivés à quatre, l'un d'entre eux avait un pistolet. Il m'a dit de me baisser pour ne pas voir et il m'a mis en joue. Pendant ce temps, ils se sont servis dans la caisse et dans les cigarettes. Ensuite, ils sont partis. Parmi mes clients, il y avait deux femmes. L'une d'elle, prise par la peur, a fait une crise de nerf. »
Les services de police se sont rendus très rapidement sur place. Et le dispositif déployé a payé. En effet, quelques minutes plus tard, quatre individus ont été interpellés en flagrant délit par les policiers de la brigade anticriminalité et de la BST. Ces quatre hommes âgés de 16 ans, 17 ans, 18 ans et 26 ans ont été placés en garde à vue.
À l'heure où les braquages ont été perpétrés, de nombreux habitants du quartier se trouvaient à proximité de ces deux commerces séparés par une aire de jeux pour les enfants. Hier soir, riverains et commerçants déploraient le manque de sécurité. « Nous faisons des efforts chaque jour pour qu'il y ait une vie dans le quartier et, à chaque fois, tout est gâché, s'emportait l'un d'eux. On a l'impression de ne pas être entendus. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/27/1248610-empalot-double-braquage-au-centre-commercial.html
Deux braquages ont eu lieu, hier après-midi, au centre commercial à ciel ouvert du quartier d'Empalot, allée Henri-Sellier à Toulouse. Quatre hommes armés et encagoulés ont d'abord fait irruption, aux alentours de 16 h 20, dans le supermarché Casino de la place. Ils ont menacé les employés et les clients qui se trouvaient à l'intérieur pour se faire remettre le contenu de deux caisses. Les victimes n'ont pas tenté de résister et ont remis plusieurs centaines d'euros aux braqueurs qui sont repartis.
Quelques instants plus tard à une centaine de mètres de là, la même équipe a pénétré dans le tabac-presse situé en face du supermarché. « J'étais là, il y avait quatre clients, témoignait hier le responsable, Yves Menjou-Marcat, encore sous le choc. Ils sont arrivés à quatre, l'un d'entre eux avait un pistolet. Il m'a dit de me baisser pour ne pas voir et il m'a mis en joue. Pendant ce temps, ils se sont servis dans la caisse et dans les cigarettes. Ensuite, ils sont partis. Parmi mes clients, il y avait deux femmes. L'une d'elle, prise par la peur, a fait une crise de nerf. »
Quatre interpellations
C'est la troisième fois que le commerçant est braqué en quelques mois. « J'ai déjà été attaqué en avril et juillet. J'en ai plus que ras-le-bol, exprime-t-il. On ne peut pas rester comme ça. Cela fait longtemps que nous, les commerçants, le disons. Il faut faire quelque chose. »Les services de police se sont rendus très rapidement sur place. Et le dispositif déployé a payé. En effet, quelques minutes plus tard, quatre individus ont été interpellés en flagrant délit par les policiers de la brigade anticriminalité et de la BST. Ces quatre hommes âgés de 16 ans, 17 ans, 18 ans et 26 ans ont été placés en garde à vue.
À l'heure où les braquages ont été perpétrés, de nombreux habitants du quartier se trouvaient à proximité de ces deux commerces séparés par une aire de jeux pour les enfants. Hier soir, riverains et commerçants déploraient le manque de sécurité. « Nous faisons des efforts chaque jour pour qu'il y ait une vie dans le quartier et, à chaque fois, tout est gâché, s'emportait l'un d'eux. On a l'impression de ne pas être entendus. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/27/1248610-empalot-double-braquage-au-centre-commercial.html
Alcool au volant : prison ferme pour un récidiviste
Depuis qu’il a décroché son permis de conduire, ce Montpelliérain âgé de 27 ans tombe toujours dans le même travers. Son casier judiciaire, énoncé hier à l’audience du tribunal correctionnel où il comparaissait à l’issue de sa garde à vue chez les gendarmes, est éloquent. Depuis 2004, il a ainsi été condamné à six reprises pour conduite en état alcoolique. Une récidive qui se double d’une autre puisque son permis est systématiquement annulé par la justice, ce qui ne l’empêche cependant pas de reprendre le volant...
La dernière fois, c’était le 23 décembre au petit matin, à hauteur de Milhaud sur l’A9. Le jeune homme, qui était sorti de prison trois jours plus tôt, est à l’origine d’un accident qui aurait pu avoir de tragiques conséquences.
Au volant de son auto, une voiture prêtée par un ami en fait, il rentre alors de discothèque. La soirée a été arrosée, le prévenu ne s’en cache pas devant ses juges qui lui demandent des précisions. "Quelques bières" dans un restaurant de Montpellier, puis "deux bouteilles de vodka consommées à plusieurs" en discothèque. Sur le parking de la boîte déjà, les choses tournent au vinaigre. Le prévenu évoque une histoire confuse, "une embrouille", dit-il, l’ayant opposé à plusieurs hommes qui, selon ses dires, lui auraient ensuite donné la chasse en voiture.
"Bref", abrège le président du tribunal qui ne perd de vue que quoi qu’il en soit, il n’avait rien à faire au volant d’une auto, et ce à double titre. Sur l’A9, à hauteur de Milhaud, pour une raison que le prévenu ne peut expliquer, son véhicule part en embardée, il percute le muret de l’autoroute puis un poids lourd. La voiture, immobilisée en travers de la chaussée, et que rien ne signale dans la nuit, est percutée par un automobiliste puis deux autres. Un carambolage qui n’entraîne cependant pas d’autres dégâts que matériels. Le Montpelliérain est contrôlé à près de deux grammes d’alcool par litre de sang et est placé en garde à vue par les gendarmes. Le président hausse le ton : "C’est dangereux de vous croiser en voiture. Et si quelqu’un était mort dans l’accident ?" "Je regrette", murmure le prévenu qui, quelques instants plus tôt, avait reconnu "un grave problème avec l’alcool".
"Son problème, c’est son problème, tonne le procureur. Ce n’est pas aux autres usagers de la route de le régler." Contre le prévenu, cet "irresponsable" qui "peut tuer quelqu’un", le magistrat requiert trente mois de prison avec maintien en détention et l’annulation pendant trois ans du permis de conduire.
En défense, Me Marie-Camille Chevenier tente d’infléchir le tribunal vers "une peine mixte" qui mettrait l’accent sur des soins médicaux pour son client. Ferme, la juridiction l’a finalement condamné à trente mois de prison avec maintien en détention, l’interdiction de repasser le permis avant un an et à 200 € d’amende en ce qui concerne le défaut de maîtrise du véhicule.
La dernière fois, c’était le 23 décembre au petit matin, à hauteur de Milhaud sur l’A9. Le jeune homme, qui était sorti de prison trois jours plus tôt, est à l’origine d’un accident qui aurait pu avoir de tragiques conséquences.
Au volant de son auto, une voiture prêtée par un ami en fait, il rentre alors de discothèque. La soirée a été arrosée, le prévenu ne s’en cache pas devant ses juges qui lui demandent des précisions. "Quelques bières" dans un restaurant de Montpellier, puis "deux bouteilles de vodka consommées à plusieurs" en discothèque. Sur le parking de la boîte déjà, les choses tournent au vinaigre. Le prévenu évoque une histoire confuse, "une embrouille", dit-il, l’ayant opposé à plusieurs hommes qui, selon ses dires, lui auraient ensuite donné la chasse en voiture.
"Bref", abrège le président du tribunal qui ne perd de vue que quoi qu’il en soit, il n’avait rien à faire au volant d’une auto, et ce à double titre. Sur l’A9, à hauteur de Milhaud, pour une raison que le prévenu ne peut expliquer, son véhicule part en embardée, il percute le muret de l’autoroute puis un poids lourd. La voiture, immobilisée en travers de la chaussée, et que rien ne signale dans la nuit, est percutée par un automobiliste puis deux autres. Un carambolage qui n’entraîne cependant pas d’autres dégâts que matériels. Le Montpelliérain est contrôlé à près de deux grammes d’alcool par litre de sang et est placé en garde à vue par les gendarmes. Le président hausse le ton : "C’est dangereux de vous croiser en voiture. Et si quelqu’un était mort dans l’accident ?" "Je regrette", murmure le prévenu qui, quelques instants plus tôt, avait reconnu "un grave problème avec l’alcool".
"Son problème, c’est son problème, tonne le procureur. Ce n’est pas aux autres usagers de la route de le régler." Contre le prévenu, cet "irresponsable" qui "peut tuer quelqu’un", le magistrat requiert trente mois de prison avec maintien en détention et l’annulation pendant trois ans du permis de conduire.
En défense, Me Marie-Camille Chevenier tente d’infléchir le tribunal vers "une peine mixte" qui mettrait l’accent sur des soins médicaux pour son client. Ferme, la juridiction l’a finalement condamné à trente mois de prison avec maintien en détention, l’interdiction de repasser le permis avant un an et à 200 € d’amende en ce qui concerne le défaut de maîtrise du véhicule.
Alcool, accident, violences : un réveillon de Noël agité
Aisne. De nombreuses interventions, plusieurs interpellations. Les forces de l'ordre n'ont pas chômé pendant le réveillon.
PRÈS de deux cents appels reçus, une trentaine d'interventions et sept interpellations. Pendant que beaucoup d'Axonais avaient les pieds sous la table, les gendarmes, étaient sur le pied de guerre. Ils ont eu à intervenir au quatre coins du département pour des affaires diverses. Accident domestique, violences, tapage ou encore accident ont occupé les forces de l'ordre dans la nuit de samedi à dimanche.
Samedi, vers 19 heures, un premier accident a été recensé. Dans le nord du département, un 4 x 4 conduit par un homme ivre a percuté un autre véhicule, sur la commune de Boué (lire ci-dessous). Par chance, il n'y a eu aucun blessé. Les militaires de la brigade du Nouvion-en-Thiérache ont procédé à l'interpellation du chauffeur ayant consommé de l'alcool.
Autre arrestation, pour un autre motif à Villers- Cotterêts dans le même créneau horaire. Là, c'est un voleur à l'étalage que les gendarmes ont emmené au poste.
Entre 20 et 22 heures, les autorités vont se heurter à différents types de violences. A Origny-en-Thiérache, une altercation entre deux voisins éméchés donne lieu à une interpellation. Autre dispute sur fond d'alcool peu de temps après à Bohain-en-Vermandois, toujours entre voisins. Un mineur et un majeur ont notamment échangé des coups. Ils seront tous les deux arrêtés (lire ci-contre).
Dérapages et accidents
Les faits répréhensibles se multiplient notamment au sein de la sphère familiale. À Courcelles-sur-Vesle, dans le Soissonnais, un homme est arrêté pour avoir menacé sa concubine. Plus au nord, à Vendhuile, dans le canton du Catelet, c'est un fils ayant mordu son père à la main que les gendarmes doivent emmener avec eux.
À plusieurs reprises, les forces de l'ordre interviennent également pour désamorcer la situation. Exemple à Voyenne, dans le canton de Marle. Les membres d'une famille ont un peu trop forcé sur la bouteille et s'écharpent. La venue des représentants de la force publique calme un peu les choses.
En deuxième partie de nuit, à partir de minuit, de nombreuses sorties ont lieu pour des faits de tapages nocturnes. Après le repas, certains ont eu tendance à monter le son à un niveau un peu trop élevé…
Plusieurs accidents sont également constatés (lire ci-contre), notamment sur l'A26, ou encore à Montreuil-aux-Lions (Canton de Charly-sur-Marne), et Neufchâtel-sur-Aisne, au sud- est de Laon. Ces pertes de contrôles n'ont heureusement pas fait de blessé. Les conducteurs concernés n'étaient pas non plus « alcoolisés ».
Un accident a fait en revanche deux blessés dans le village de Thenailles, à côté de Vervins. Une dame âgée a chuté d'un escalier extérieur. Son fils, en accourant pour lui porter secours, est également tombé. Ils ont été tous deux transportés à l'hôpital.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/alcool-accident-violences-un-reveillon-de-noel-agite
PRÈS de deux cents appels reçus, une trentaine d'interventions et sept interpellations. Pendant que beaucoup d'Axonais avaient les pieds sous la table, les gendarmes, étaient sur le pied de guerre. Ils ont eu à intervenir au quatre coins du département pour des affaires diverses. Accident domestique, violences, tapage ou encore accident ont occupé les forces de l'ordre dans la nuit de samedi à dimanche.
Samedi, vers 19 heures, un premier accident a été recensé. Dans le nord du département, un 4 x 4 conduit par un homme ivre a percuté un autre véhicule, sur la commune de Boué (lire ci-dessous). Par chance, il n'y a eu aucun blessé. Les militaires de la brigade du Nouvion-en-Thiérache ont procédé à l'interpellation du chauffeur ayant consommé de l'alcool.
Autre arrestation, pour un autre motif à Villers- Cotterêts dans le même créneau horaire. Là, c'est un voleur à l'étalage que les gendarmes ont emmené au poste.
Entre 20 et 22 heures, les autorités vont se heurter à différents types de violences. A Origny-en-Thiérache, une altercation entre deux voisins éméchés donne lieu à une interpellation. Autre dispute sur fond d'alcool peu de temps après à Bohain-en-Vermandois, toujours entre voisins. Un mineur et un majeur ont notamment échangé des coups. Ils seront tous les deux arrêtés (lire ci-contre).
Dérapages et accidents
Les faits répréhensibles se multiplient notamment au sein de la sphère familiale. À Courcelles-sur-Vesle, dans le Soissonnais, un homme est arrêté pour avoir menacé sa concubine. Plus au nord, à Vendhuile, dans le canton du Catelet, c'est un fils ayant mordu son père à la main que les gendarmes doivent emmener avec eux.
À plusieurs reprises, les forces de l'ordre interviennent également pour désamorcer la situation. Exemple à Voyenne, dans le canton de Marle. Les membres d'une famille ont un peu trop forcé sur la bouteille et s'écharpent. La venue des représentants de la force publique calme un peu les choses.
En deuxième partie de nuit, à partir de minuit, de nombreuses sorties ont lieu pour des faits de tapages nocturnes. Après le repas, certains ont eu tendance à monter le son à un niveau un peu trop élevé…
Plusieurs accidents sont également constatés (lire ci-contre), notamment sur l'A26, ou encore à Montreuil-aux-Lions (Canton de Charly-sur-Marne), et Neufchâtel-sur-Aisne, au sud- est de Laon. Ces pertes de contrôles n'ont heureusement pas fait de blessé. Les conducteurs concernés n'étaient pas non plus « alcoolisés ».
Un accident a fait en revanche deux blessés dans le village de Thenailles, à côté de Vervins. Une dame âgée a chuté d'un escalier extérieur. Son fils, en accourant pour lui porter secours, est également tombé. Ils ont été tous deux transportés à l'hôpital.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/alcool-accident-violences-un-reveillon-de-noel-agite
lundi 26 décembre 2011
Mandelieu: l'escroc "caméléon" tente de s'équiper à moindres frais
C'est l'histoire d'un « caméléon », qui voulait jouer le Père Noël à Mandelieu. Mercredi en fin d'après-midi, l'individu se présente à la caisse du magasin Dartydes Tourrades, les bras chargés de matériel high-tech. Le problème, c'est que sa carte bancaire ne cesse de « bugger » au moment de payer. De quoi mettre la puce à l'oreille de la caissière, qui alerte une patrouille de gendarmerie, dévouée à la surveillance du secteur en période de fêtes. À l'arrivée des uniformes, l'homme détale sans chercher à remplir sa hotte. Dans sa course, il laisse tomber son portefeuille, dans lequel les militaires découvrent des cartes bancaires et papiers d'identité frauduleux et falsifiés.
Un Russe domicilié à Nice
La traque se poursuit dans toute la zone commerciale, jusqu'à ce que le fuyard sème les gendarmes en escaladant le grillage de l'aérodrome Cannes-Mandelieu. C'était grimper pour mieux sauter. Trois heures plus tard, le suspect est reconnu et interpellé, à proximité du Géant Casino de Mandelieu.
Ce Russe d'une quarantaine d'années est en possession de multiples alias. Dans la foulée, une perquisition effectuée dans le quartier des Musiciens, à Nice, ne fait que renforcer les soupçons sur ce « caméléon ». À son domicile de la rue Paganini, les limiers trouvent d'autres papiers, falsifiés, sur lesquels le suspect a accolé sa photo d'identité, ainsi qu'un nouveau stock de cartes bancaires.
L'individu a donc été déféré au parquet de Grasse hier, et écroué. Une information judiciaire est désormais ouverte pour escroquerie en bande organisée, et l'enquête confiée à la Brigade de recherches de la gendarmerie de Cannes.
http://www.nicematin.com/article/papier/mandelieu-lescroc-cameleon-tente-de-sequiper-a-moindres-frais.723655.html
Un Russe domicilié à Nice
La traque se poursuit dans toute la zone commerciale, jusqu'à ce que le fuyard sème les gendarmes en escaladant le grillage de l'aérodrome Cannes-Mandelieu. C'était grimper pour mieux sauter. Trois heures plus tard, le suspect est reconnu et interpellé, à proximité du Géant Casino de Mandelieu.
Ce Russe d'une quarantaine d'années est en possession de multiples alias. Dans la foulée, une perquisition effectuée dans le quartier des Musiciens, à Nice, ne fait que renforcer les soupçons sur ce « caméléon ». À son domicile de la rue Paganini, les limiers trouvent d'autres papiers, falsifiés, sur lesquels le suspect a accolé sa photo d'identité, ainsi qu'un nouveau stock de cartes bancaires.
L'individu a donc été déféré au parquet de Grasse hier, et écroué. Une information judiciaire est désormais ouverte pour escroquerie en bande organisée, et l'enquête confiée à la Brigade de recherches de la gendarmerie de Cannes.
http://www.nicematin.com/article/papier/mandelieu-lescroc-cameleon-tente-de-sequiper-a-moindres-frais.723655.html
Restos du cœur : attention aux faux démarcheurs
Pas sûr que Coluche aurait apprécié… Même avait beaucoup d'humour difficile de se fendre d'un sympathique rictus quand des supposés membres des Restos du cœur vous aborde pour vous vendre des badges soit disant « au profit de l'association. » Place du Capitole, à Toulouse, Daniel, un jeune enseignant a été abordé par un couple qui se réclamait membre des Restos du cœur.
« Jeudi, vers 12 heures, un homme m'a proposé un badge à l'effigie de l'association en contre partie d'un peu de monnaie pour les plus démunis. J'ai donné 4€. J'ai vu une dame donner 8€… pour un badge autocollant de fabrication artisanale. Il était plastifié et le logo avait été scanné », a remarqué Daniel, peu convaincu par l'honnêteté de la démarche.Dernièrement, Maurice Dhumeau, administrateur des Restos du Cœur en Haute-Garonne a expliqué qu'il s'agissait de faux démarcheurs. « Toute quête sur la voie publique est strictement interdite. C'est dans la charte des Restos du cœur. L'association n'a aucun lien avec ces démarcheurs qui agissent au nom des Restos «, a-t-il précisé.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/26/1247761-restos-du-c-ur-attention-aux-faux-demarcheurs.html
« Jeudi, vers 12 heures, un homme m'a proposé un badge à l'effigie de l'association en contre partie d'un peu de monnaie pour les plus démunis. J'ai donné 4€. J'ai vu une dame donner 8€… pour un badge autocollant de fabrication artisanale. Il était plastifié et le logo avait été scanné », a remarqué Daniel, peu convaincu par l'honnêteté de la démarche.Dernièrement, Maurice Dhumeau, administrateur des Restos du Cœur en Haute-Garonne a expliqué qu'il s'agissait de faux démarcheurs. « Toute quête sur la voie publique est strictement interdite. C'est dans la charte des Restos du cœur. L'association n'a aucun lien avec ces démarcheurs qui agissent au nom des Restos «, a-t-il précisé.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/26/1247761-restos-du-c-ur-attention-aux-faux-demarcheurs.html
dimanche 25 décembre 2011
Constats de décès: le maire en colère
Jeudi, un homme était découvert décédé de mort naturelle, dans sa chambre, au foyer d'hébergement Aftam de Montataire, après que ses voisins se soient inquiétés de ne plus le voir depuis deux jours. Une histoire malheureusement banale. Mais la suite des événements est jugée « scandaleuse», par le maire communiste, Jean-Pierre Bosino. «Entre 10heures du matin et 18heures, la responsable du foyer, la police et moi-même avons dû passer des dizaines d'appels téléphoniques, batailler pied à pied sur des valeurs, sur le respect de la personne humaine, même décédée, pour qu'enfin un médecin accepte de se déplacer pour délivrer un certificat de décès», s'indigne l'élu. Et encore faudra-t-il pour en arriver là l'intervention auprès de la préfecture, la mobilisation de la déléguée départementale de l'Agence régionale de la santé, et les menaces de réquisition. La scène s'est déroulée sous les yeux de la fille enceinte du défunt, venue de Soissons. «Ce genre de situations se multiplie, et quasiment à chaque fois qu'il y a décès dans un lieu privé, à chaque fois qu'il y a nécessité d'intervenir pour un internement, les difficultés sont les mêmes pour obtenir un médecin acceptant de se déplacer pour délivrer un certificat.»
Jean-Pierre Bosino est conscient des problèmes de démographie médicale. «Bien sûr, les médecins de ville, SOS Médecins, sont très sollicités, mais peut-on, doit-on se résigner? Je m'y refuse.»
Le maire de Montataire considère que l'État doit prendre des mesures «pour permettre le respect de la dignité humaine, la continuité d'une forme de service public». Il se dit prêt à participer à une table-ronde sur le sujet avec l'ensemble des partenaires. «Ça ne doit pas être si compliqué d'organiser des semaines de garde, avec deux ou trois médecins de permanence», propose-t-il.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Constats-de-deces-le-maire-en-colere
Jean-Pierre Bosino est conscient des problèmes de démographie médicale. «Bien sûr, les médecins de ville, SOS Médecins, sont très sollicités, mais peut-on, doit-on se résigner? Je m'y refuse.»
Le maire de Montataire considère que l'État doit prendre des mesures «pour permettre le respect de la dignité humaine, la continuité d'une forme de service public». Il se dit prêt à participer à une table-ronde sur le sujet avec l'ensemble des partenaires. «Ça ne doit pas être si compliqué d'organiser des semaines de garde, avec deux ou trois médecins de permanence», propose-t-il.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Constats-de-deces-le-maire-en-colere
Miracle sur l’autoroute A26
Deux véhicules qui entrent en collision sur l’autoroute. Aucun blessé. Le bilan de l’accident qui s’est produit samedi matin sur l’A26 tient du miracle. Les cinq personnes présentes dans les deux véhicules impliqués s’en sont sorties indemnes.
L’incident s’est produit vers 5 heures du matin, à hauteur de la commune d’Urvillers, au sud de Saint-Quentin. Un français résidant en Grande-Bretagne roulait en direction de la Bourgogne lorsqu’il s’est endormi et a perdu le contrôle. Son véhicule fait plusieurs tonneaux puis s’est immobilisé sur la deux fois deux voies.
Un autre véhicule arrivant derrière n’a pu l’éviter. À l’intérieur, une famille venant de Belgique. Leur voiture a percuté l’autre.
Pompiers de Saint-Quentin et gendarmes du peloton autoroutier se sont rendus au plus vite sur place. Les agents de la Sanef également. Les secours n’ont constaté chez les victimes que quelques égratignures.
Le trafic a été légèrement perturbé au niveau du lieu de l’accident. La circulation s’est effectuée sur une voie, le temps d’évacuer les véhicules accidentés.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/miracle-sur-l%E2%80%99autoroute-a26
L’incident s’est produit vers 5 heures du matin, à hauteur de la commune d’Urvillers, au sud de Saint-Quentin. Un français résidant en Grande-Bretagne roulait en direction de la Bourgogne lorsqu’il s’est endormi et a perdu le contrôle. Son véhicule fait plusieurs tonneaux puis s’est immobilisé sur la deux fois deux voies.
Un autre véhicule arrivant derrière n’a pu l’éviter. À l’intérieur, une famille venant de Belgique. Leur voiture a percuté l’autre.
Pompiers de Saint-Quentin et gendarmes du peloton autoroutier se sont rendus au plus vite sur place. Les agents de la Sanef également. Les secours n’ont constaté chez les victimes que quelques égratignures.
Le trafic a été légèrement perturbé au niveau du lieu de l’accident. La circulation s’est effectuée sur une voie, le temps d’évacuer les véhicules accidentés.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/miracle-sur-l%E2%80%99autoroute-a26
samedi 24 décembre 2011
Le violeur en récidive agresse quatre femmes
Hier matin, un homme de 21 ans a agressé sexuellement quatre femmes, en plein centre ville. Interpellé place Sainte-Cécile, ce natif d'Albi, déjà condamné pour viol, sortait juste de prison.
Un prédateur sexuel a semé la panique hier matin, dans le centre historique d'Albi. En moins d'une heure, cet homme âgé d'à peine 21 ans, qui était fortement alcoolisé, s'en est pris à quatre femmes, croisées au hasard dans la rue. Les victimes, toutes majeures, se rendaient sur leur lieu de travail. Parmi elles, une secrétaire, une commerçante et une employée du centre hospitalier. C'est peu après 8 heures que la première agression a eu lieu, rue des Catherinettes, à deux pas du marché couvert. Les trois autres ont été commises au Castelviel, près du Skate park, au Bondidou et à proximité du centre hospitalier, derrière le monument aux morts.
L'homme, vêtu d'un sweat à capuche et d'un jeans de couleur claire, a profité de sa force athlétique et de l'effet de surprise pour imposer des attouchements sexuels à ses victimes et même, pour deux d'entre elles, une fellation. Voilà qui justifie la qualification criminelle de « viols et tentatives de viol en récidive » retenue par le parquet d'Albi qui ouvrira ce jour une information judiciaire. Les victimes, « très choquées », n'ont pas subi de blessures nécessitant une hospitalisation même si l'une d'elles a été jetée à terre.
C'est au volant de ce véhicule que la police l'a interpellé, vers 8 h 50, place Sainte-Cécile. « Dès que nous avons été alertés de la première agression, nous avons mobilisé cinq équipages de police secours, de la BSU et du roulement. Grâce au signalement donné par les victimes mais aussi par des témoins, nous avons pu le prendre en chasse et bloquer son véhicule devant la cathédrale », souligne le commandant Jean-Pierre Benoît, satisfait bien sûr de cette interpellation en flagrant délit.
L'agresseur en série a passé la matinée en cellule de dégrisement avant d'être placé en garde à vue. Son audition se poursuivait hier soir, dans les bureaux de la brigade de sûreté urbaine.
Le jeune homme doit être déféré ce matin au parquet d'Albi puis conduit dans la foulée au pôle de l'instruction criminelle, à Toulouse.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/24/1246836-le-violeur-en-recidive-agresse-quatre-femmes.html
Un prédateur sexuel a semé la panique hier matin, dans le centre historique d'Albi. En moins d'une heure, cet homme âgé d'à peine 21 ans, qui était fortement alcoolisé, s'en est pris à quatre femmes, croisées au hasard dans la rue. Les victimes, toutes majeures, se rendaient sur leur lieu de travail. Parmi elles, une secrétaire, une commerçante et une employée du centre hospitalier. C'est peu après 8 heures que la première agression a eu lieu, rue des Catherinettes, à deux pas du marché couvert. Les trois autres ont été commises au Castelviel, près du Skate park, au Bondidou et à proximité du centre hospitalier, derrière le monument aux morts.
L'homme, vêtu d'un sweat à capuche et d'un jeans de couleur claire, a profité de sa force athlétique et de l'effet de surprise pour imposer des attouchements sexuels à ses victimes et même, pour deux d'entre elles, une fellation. Voilà qui justifie la qualification criminelle de « viols et tentatives de viol en récidive » retenue par le parquet d'Albi qui ouvrira ce jour une information judiciaire. Les victimes, « très choquées », n'ont pas subi de blessures nécessitant une hospitalisation même si l'une d'elles a été jetée à terre.
Sorti de prison il y a 10 jours
Cette affaire pose une nouvelle fois la question de la prévention de la récidive. En effet, le mis en cause avait été remis en liberté à la mi-décembre, après avoir purgé une partie des 5 années de prison auxquelles la cour d'assises des mineurs du Tarn l'avait condamné en 2009… dans une affaire de viol. Pour autant, il faisait l'objet d'un suivi socio-judiciaire strict, avec une interdiction de séjour dans le Tarn. Résidant dans un département des Pyrénées, il n'a donc pas respecté cette interdiction. Sans doute voulait-il retrouver sa famille, qui réside à Albi, pour les fêtes. Empruntant une Peugeot 307 à un ami, il a donc pris la route du Tarn.C'est au volant de ce véhicule que la police l'a interpellé, vers 8 h 50, place Sainte-Cécile. « Dès que nous avons été alertés de la première agression, nous avons mobilisé cinq équipages de police secours, de la BSU et du roulement. Grâce au signalement donné par les victimes mais aussi par des témoins, nous avons pu le prendre en chasse et bloquer son véhicule devant la cathédrale », souligne le commandant Jean-Pierre Benoît, satisfait bien sûr de cette interpellation en flagrant délit.
L'agresseur en série a passé la matinée en cellule de dégrisement avant d'être placé en garde à vue. Son audition se poursuivait hier soir, dans les bureaux de la brigade de sûreté urbaine.
Le jeune homme doit être déféré ce matin au parquet d'Albi puis conduit dans la foulée au pôle de l'instruction criminelle, à Toulouse.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/24/1246836-le-violeur-en-recidive-agresse-quatre-femmes.html
Des policiers attaqués au marteau dans le hall du commissariat
Furieux de s'être fait retirer son permis, un homme est revenu au commissariat de Reims armé d'un marteau. Il a tapé sur le comptoir et pulvérisé la télé de l'accueil tout en menaçant de mort les policiers.
LES ennuis continuent pour Yohann Van Waeyenberghe. Atteint d'un cancer de la thyroïde qu'il impute au passage du nuage radioactif de Tchernobyl, cet intérimaire de Reims aujourd'hui âgé de 43 ans avait attaqué l'Etat devant le tribunal administratif, fin 2009, pour qu'il soit reconnu responsable de sa maladie du fait des mensonges proférés à l'époque par les autorités françaises.
Alors défendu par l'avocat rémois Emmanuel Ludot, l'homme avait été débouté de sa demande (l'union des 9 et 23 octobre 2009). Deux ans après, il revient devant un tribunal, mais dans un tout autre registre, celui d'un prévenu jugé hier après-midi en comparution immédiate pour des violences commises avec un marteau à l'intérieur même du commissariat de Reims.
« Je vais vous fumer ! »
Mardi matin, lors d'un contrôle routier à Cormontreuil, Yohann Van Waeyenberghe apprend qu'il est sous le coup d'un retrait de son permis de conduire d'une durée de trois mois (la décision prise par le tribunal correctionnel à la suite d'une condamnation pour vol en 2009 est devenue exécutoire). Sur injonction des policiers, il les accompagne au commissariat pour les formalités, puis repart à pied jusqu'à sa voiture où l'attend quelqu'un. « J'ai ruminé en chemin », explique-t-il.
Grande souffrance psychologique
Dans sa voiture, il prend un marteau, plus précisément une massette de maçon, puis revient à l'hôtel de police. « Je voulais demander si je pouvais récupérer mon permis seulement le temps des vacances. »
C'est un homme très énervé qui arrive dans le hall. La policière de l'accueil lui demande de repasser quand il sera calmé. Soudain, c'est l'explosion. « Bande de bâtards ! En… de flics ! Je vais vous fumer ! », hurle-t-il en plongeant la main dans la ceinture de son pantalon.
L'espace d'un instant, la policière s'attend au pire. « J'ai cru qu'il allait sortir une arme à feu et que j'allais mourir. J'ai eu un flash, l'image de ma fille de trois ans, que je pensais ne plus jamais revoir. » Ce n'est pas une arme à feu qui apparaît mais le marteau. L'excité en donne un violent coup sur le comptoir. La policière a juste le temps de se jeter en arrière, en s'appuyant si violemment sur le bureau qu'elle se blesse à une main. Une collègue court s'emparer d'une bombe lacrymogène. Elle en asperge l'agresseur qui recule et bondit au milieu du hall, devant le public effrayé, pour pulvériser d'un coup de massette le téléviseur à écran plat suspendu au plafond. Quatre policiers lui sautent dessus pour le maîtriser. Il se débat en donnant des coups de pied dans les jambes. L'un des fonctionnaires est légèrement blessé à un genou.
« Je ne sais pas ce qui m'a pris », bredouille le prévenu. Son avocat, Me Simon Miravete, décrit une personne en grande souffrance psychologique dont la situation aurait été aggravée par les suites du procès intenté contre l'Etat « Il est tombé sur un avocat qui a médiatisé cette affaire. Ça a fait un gros flop et il s'est retrouvé seul avec sa maladie. »
L'homme est ressorti libre de l'audience. Le tribunal l'a condamné à un an de prison intégralement assorti d'un sursis avec mise à l'épreuve comprenant l'obligation de suivre des soins psychologiques et d'indemniser les victimes. Il devra verser 800 € à chacune des deux policières, 400 € au collègue blessé au genou
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/des-policiers-attaques-au-marteau-dans-le-hall-du-commissariat
LES ennuis continuent pour Yohann Van Waeyenberghe. Atteint d'un cancer de la thyroïde qu'il impute au passage du nuage radioactif de Tchernobyl, cet intérimaire de Reims aujourd'hui âgé de 43 ans avait attaqué l'Etat devant le tribunal administratif, fin 2009, pour qu'il soit reconnu responsable de sa maladie du fait des mensonges proférés à l'époque par les autorités françaises.
Alors défendu par l'avocat rémois Emmanuel Ludot, l'homme avait été débouté de sa demande (l'union des 9 et 23 octobre 2009). Deux ans après, il revient devant un tribunal, mais dans un tout autre registre, celui d'un prévenu jugé hier après-midi en comparution immédiate pour des violences commises avec un marteau à l'intérieur même du commissariat de Reims.
« Je vais vous fumer ! »
Mardi matin, lors d'un contrôle routier à Cormontreuil, Yohann Van Waeyenberghe apprend qu'il est sous le coup d'un retrait de son permis de conduire d'une durée de trois mois (la décision prise par le tribunal correctionnel à la suite d'une condamnation pour vol en 2009 est devenue exécutoire). Sur injonction des policiers, il les accompagne au commissariat pour les formalités, puis repart à pied jusqu'à sa voiture où l'attend quelqu'un. « J'ai ruminé en chemin », explique-t-il.
Grande souffrance psychologique
Dans sa voiture, il prend un marteau, plus précisément une massette de maçon, puis revient à l'hôtel de police. « Je voulais demander si je pouvais récupérer mon permis seulement le temps des vacances. »
C'est un homme très énervé qui arrive dans le hall. La policière de l'accueil lui demande de repasser quand il sera calmé. Soudain, c'est l'explosion. « Bande de bâtards ! En… de flics ! Je vais vous fumer ! », hurle-t-il en plongeant la main dans la ceinture de son pantalon.
L'espace d'un instant, la policière s'attend au pire. « J'ai cru qu'il allait sortir une arme à feu et que j'allais mourir. J'ai eu un flash, l'image de ma fille de trois ans, que je pensais ne plus jamais revoir. » Ce n'est pas une arme à feu qui apparaît mais le marteau. L'excité en donne un violent coup sur le comptoir. La policière a juste le temps de se jeter en arrière, en s'appuyant si violemment sur le bureau qu'elle se blesse à une main. Une collègue court s'emparer d'une bombe lacrymogène. Elle en asperge l'agresseur qui recule et bondit au milieu du hall, devant le public effrayé, pour pulvériser d'un coup de massette le téléviseur à écran plat suspendu au plafond. Quatre policiers lui sautent dessus pour le maîtriser. Il se débat en donnant des coups de pied dans les jambes. L'un des fonctionnaires est légèrement blessé à un genou.
« Je ne sais pas ce qui m'a pris », bredouille le prévenu. Son avocat, Me Simon Miravete, décrit une personne en grande souffrance psychologique dont la situation aurait été aggravée par les suites du procès intenté contre l'Etat « Il est tombé sur un avocat qui a médiatisé cette affaire. Ça a fait un gros flop et il s'est retrouvé seul avec sa maladie. »
L'homme est ressorti libre de l'audience. Le tribunal l'a condamné à un an de prison intégralement assorti d'un sursis avec mise à l'épreuve comprenant l'obligation de suivre des soins psychologiques et d'indemniser les victimes. Il devra verser 800 € à chacune des deux policières, 400 € au collègue blessé au genou
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/des-policiers-attaques-au-marteau-dans-le-hall-du-commissariat
vendredi 23 décembre 2011
Ossages (40) : le conducteur accidenté entre la vie et la mort
Jeudi soir, peu avant 21 heures, un homme a été grièvement blessé dans un accident de voiture à Ossages (40). Inconscient au moment de l'arrivée des secours, celui-ci a été évacué vers le centre hospitalier de Dax puis, en fin de nuit, transféré jusqu'au centre hospitalier universitaire de Bordeaux-Pellegrin.
Le pronostic vital est engagé pour ce policier de 46 ans qui a perdu le contrôle de son véhicule au sortir d'un virage de la route départementale D 463, aussi appelé route de Puyo, entre Ossages et Habas.
Sa voiture, une Peugeot 405, a alors percuté un talus, sectionné un poteau téléphonique en bois et terminé son embardé sur le toit
http://www.sudouest.fr/2011/12/23/ossages-40-le-conducteur-accidente-entre-la-vie-et-la-mort-589048-7.php
Le pronostic vital est engagé pour ce policier de 46 ans qui a perdu le contrôle de son véhicule au sortir d'un virage de la route départementale D 463, aussi appelé route de Puyo, entre Ossages et Habas.
Sa voiture, une Peugeot 405, a alors percuté un talus, sectionné un poteau téléphonique en bois et terminé son embardé sur le toit
http://www.sudouest.fr/2011/12/23/ossages-40-le-conducteur-accidente-entre-la-vie-et-la-mort-589048-7.php
Une mère et son fils attaqués par deux chiens
Mercredi en fin d'après-midi, au lieu dit La Rebière à La Bachellerie, une femme de 39 ans et son fils de 6 ans ont été attaqués par deux chiens, qui s'étaient échappés d'un élevage. Grièvement mordue à la cheville, notamment au tendon d'Achille, la mère a été transportée à l'hôpital de Brive (Corrèze) pour y subir une intervention chirurgicale. Les deux victimes ont été secourues par une femme qui passait par là en voiture, et qui a pu les amener au centre de secours des sapeurs-pompiers du Lardin.
Les chiens, déchaînés et de race fila de san miguel, ne font pas partie des catégories 1 et 2 dites dangereuses. L'élevage, comprenant une dizaine de chiens et appartenant à une Vendéenne de 29 ans installée depuis peu dans la région, présenterait un défaut de précaution au niveau de l'enclos.
Interrogée sur le sujet en l'absence du maire Roland Moulinier, la première adjointe Catherine Lustrissy n'a souhaité faire aucun commentaire, mais il semblerait, d'après des voisins de l'élevage, qu'il s'agisse du premier problème de ce type.
http://www.sudouest.fr/2011/12/23/une-mere-et-son-fils-attaques-par-deux-chiens-588373-2224.php
Les chiens, déchaînés et de race fila de san miguel, ne font pas partie des catégories 1 et 2 dites dangereuses. L'élevage, comprenant une dizaine de chiens et appartenant à une Vendéenne de 29 ans installée depuis peu dans la région, présenterait un défaut de précaution au niveau de l'enclos.
Interrogée sur le sujet en l'absence du maire Roland Moulinier, la première adjointe Catherine Lustrissy n'a souhaité faire aucun commentaire, mais il semblerait, d'après des voisins de l'élevage, qu'il s'agisse du premier problème de ce type.
http://www.sudouest.fr/2011/12/23/une-mere-et-son-fils-attaques-par-deux-chiens-588373-2224.php
Il a sauvé la vie d'une désespérée
Jean-Claude L, 63 ans, est concierge au gymnase de la Ramée. Avant hier, il a sauvé du suicide une femme qui s'était immolée par le feu.
Comment se sont déroulés les évènements ?
Je suis allé ouvrir les grilles du terrain de foot, vers 17h15. D'habitude, je n'y vais pas aussi tôt, il n'y a jamais personne à cette heure là. Je ne sais pas pourquoi j'ai décidé d'y aller à ce moment là. Il faisait noir. Après avoir vu des traces de brûlé sur un mur, je suis tombé sur le corps calciné de cette femme qui s'est alors relevée. C'était vraiment très dur.
Comment avez-vous réagi?
J'ai d'abord eu un choc, ça a duré 30 secondes.J'ai immédiatement appelé les secours, qui m'ont dit de ne pas la toucher et de lui parler, le plus possible. C'est ce que j'ai essayé de faire. Je n'ai pas évoqué ses problèmes, je voulais juste la rassurer pour qu'elle ne se sente pas seule. Je suis resté avec elle le plus longtemps possible.
Cette histoire, dans ce qu'elle a de plus tragique, vous touche personnellement...
Oui. Il y a quatre ans jour pour jour, à la même heure., j'ai appris le décès de mon fils, qui s'est jeté du troisième étage d'un immeuble. Je suis obligé de faire le rapprochement. C'est une histoire incroyable. J'ai l'impression d'avoir redonné à quelqu'un ce que j'ai perdu il y a quatre ans. J'ai la chance d'être entouré, par mes collègues notamment. Je pense avant tout à la famille de cette femme.
Avez-vous un message à leur transmettre ?
Tout ce que je souhaite, c'est qu'elle se rétablisse le plus vite possible. J'ai eu son mari au téléphone, je veux lui témoigner tout mon soutien. On est en période de fêtes, on ne peut pas croire à des choses pareilles. Si un jour elle souhaite me recevoir, j'espère la revoir.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/23/1246453-la-ramee-il-a-sauve-la-vie-d-une-desesperee.html
Comment se sont déroulés les évènements ?
Je suis allé ouvrir les grilles du terrain de foot, vers 17h15. D'habitude, je n'y vais pas aussi tôt, il n'y a jamais personne à cette heure là. Je ne sais pas pourquoi j'ai décidé d'y aller à ce moment là. Il faisait noir. Après avoir vu des traces de brûlé sur un mur, je suis tombé sur le corps calciné de cette femme qui s'est alors relevée. C'était vraiment très dur.
Comment avez-vous réagi?
J'ai d'abord eu un choc, ça a duré 30 secondes.J'ai immédiatement appelé les secours, qui m'ont dit de ne pas la toucher et de lui parler, le plus possible. C'est ce que j'ai essayé de faire. Je n'ai pas évoqué ses problèmes, je voulais juste la rassurer pour qu'elle ne se sente pas seule. Je suis resté avec elle le plus longtemps possible.
Cette histoire, dans ce qu'elle a de plus tragique, vous touche personnellement...
Oui. Il y a quatre ans jour pour jour, à la même heure., j'ai appris le décès de mon fils, qui s'est jeté du troisième étage d'un immeuble. Je suis obligé de faire le rapprochement. C'est une histoire incroyable. J'ai l'impression d'avoir redonné à quelqu'un ce que j'ai perdu il y a quatre ans. J'ai la chance d'être entouré, par mes collègues notamment. Je pense avant tout à la famille de cette femme.
Avez-vous un message à leur transmettre ?
Tout ce que je souhaite, c'est qu'elle se rétablisse le plus vite possible. J'ai eu son mari au téléphone, je veux lui témoigner tout mon soutien. On est en période de fêtes, on ne peut pas croire à des choses pareilles. Si un jour elle souhaite me recevoir, j'espère la revoir.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/23/1246453-la-ramee-il-a-sauve-la-vie-d-une-desesperee.html
Hakim a rendu la vie à René
René Dubois pense qu’il va jouer au prochain Euro Millions. Après tout, une bonne étoile veille sur ce retraité noiséen. Elle a même un visage, celui d’Hakim Rekik, 39 ans, chef d’équipe de sécurité incendie au supermarché Cora, à Livry-Gargan. C’est sur ce parking que René s’est effondré, le 18 décembre, terrassé par un arrêt cardiaque
Sans la ténacité d’Hakim, il n’aurait peut-être plus passé Noël auprès de sa femme et de sa fille.
Dimanche dernier, René, qui a fêté ses 73 ans la veille, voulait faire quelques courses au supermarché, avec un bon cadeau de 30 € en poche. « J’aurais acheté quelques chocolats! » sourit-il. Mais, en descendant de voiture, il s’effondre. La suite, c’est Hakim qui la raconte. « Une cliente a prévenu l’accueil qu’un homme faisait un malaise », se souvient ce géant de 2 m, qui accourt. René est sur le ventre. Il a les yeux grands ouverts mais ne respire plus. Ses lèvres bleuissent. « Il était en arrêt cardiaque, j’ai demandé par radio un défibrillateur, qu’on appelle les pompiers, et je me suis mis à masser. » L’appareil est apporté par un collègue. Hakim installe les deux électrodes sur la poitrine de René, il sait les secondes comptées. Le défibrillateur annonce la couleur : un choc est nécessaire. Ce sera le seul.
Il rêvait d’être pompier « pour aider les gens »L’intervention d’Hakim est salutaire mais elle va continuer de longues minutes, jusqu’à l’arrivée des pompiers puis du Samu. Autour de lui, les clients s’agglutinent et crient. « J’entendais dire : Il va mourir… mais je restais concentré sur le massage, les insufflations et le bouche-à-bouche, lorsque le monsieur a commencé à faire des râles, puis il a de nouveau respiré ; j’étais aux anges. Sauver quelqu’un, il n’y a pas plus beau que ça », se souvient Hakim, les yeux brillants. Le Samu et les pompiers l’ont félicité. « J’ai fait entre sept et neuf minutes de massage », évalue le sauveteur.
Voilà huit ans que cet ancien basketteur professionnel s’est reconverti dans la sécurité incendie. Petit, il se rêvait pilote ou pompier, « pour aider les gens ». Cet habitant de Pantin est devenu pompier des magasins, aux Galeries Lafayette, à Paris, puis à Cora, à Livry-Gargan. Les bobos et les chutes, les crises d’épilepsie et même des tentatives de suicide rythment son quotidien d’ange gardien. Il a déjà porté assistance à une femme qui perdait les eaux et secouru un bébé au bord de l’étouffement.
Une rencontre est prévue entre René et Hakim. Le retraité est encore à l’hôpital de Montfermeil, où il s’est fait poser un défibrillateur interne pour réguler ses emballements de cœur. Mais il a déjà retrouvé sa repartie d’« emmerdeur » et peut même espérer rentrer chez lui ce week-end, pour déguster un « peu de homard avec un demi-verre de champagne »… Il réfléchit aussi à une idée de cadeau pour Hakim, son sauveur.
Sans la ténacité d’Hakim, il n’aurait peut-être plus passé Noël auprès de sa femme et de sa fille.
Dimanche dernier, René, qui a fêté ses 73 ans la veille, voulait faire quelques courses au supermarché, avec un bon cadeau de 30 € en poche. « J’aurais acheté quelques chocolats! » sourit-il. Mais, en descendant de voiture, il s’effondre. La suite, c’est Hakim qui la raconte. « Une cliente a prévenu l’accueil qu’un homme faisait un malaise », se souvient ce géant de 2 m, qui accourt. René est sur le ventre. Il a les yeux grands ouverts mais ne respire plus. Ses lèvres bleuissent. « Il était en arrêt cardiaque, j’ai demandé par radio un défibrillateur, qu’on appelle les pompiers, et je me suis mis à masser. » L’appareil est apporté par un collègue. Hakim installe les deux électrodes sur la poitrine de René, il sait les secondes comptées. Le défibrillateur annonce la couleur : un choc est nécessaire. Ce sera le seul.
Il rêvait d’être pompier « pour aider les gens »L’intervention d’Hakim est salutaire mais elle va continuer de longues minutes, jusqu’à l’arrivée des pompiers puis du Samu. Autour de lui, les clients s’agglutinent et crient. « J’entendais dire : Il va mourir… mais je restais concentré sur le massage, les insufflations et le bouche-à-bouche, lorsque le monsieur a commencé à faire des râles, puis il a de nouveau respiré ; j’étais aux anges. Sauver quelqu’un, il n’y a pas plus beau que ça », se souvient Hakim, les yeux brillants. Le Samu et les pompiers l’ont félicité. « J’ai fait entre sept et neuf minutes de massage », évalue le sauveteur.
Voilà huit ans que cet ancien basketteur professionnel s’est reconverti dans la sécurité incendie. Petit, il se rêvait pilote ou pompier, « pour aider les gens ». Cet habitant de Pantin est devenu pompier des magasins, aux Galeries Lafayette, à Paris, puis à Cora, à Livry-Gargan. Les bobos et les chutes, les crises d’épilepsie et même des tentatives de suicide rythment son quotidien d’ange gardien. Il a déjà porté assistance à une femme qui perdait les eaux et secouru un bébé au bord de l’étouffement.
Une rencontre est prévue entre René et Hakim. Le retraité est encore à l’hôpital de Montfermeil, où il s’est fait poser un défibrillateur interne pour réguler ses emballements de cœur. Mais il a déjà retrouvé sa repartie d’« emmerdeur » et peut même espérer rentrer chez lui ce week-end, pour déguster un « peu de homard avec un demi-verre de champagne »… Il réfléchit aussi à une idée de cadeau pour Hakim, son sauveur.
Plusieurs vols dans la nuit Malgré le boucan, les riverains n'entendent rien
Deux cambriolages ont eu lieu la même nuit d'un côté et de l'autre de l'agglomération de Château-Thierry. Au cours de l'un d'eux, les voleurs ont fait un sacré bruit.
EN matière de cambriolage, plus c'est gros et plus ça passe. Lorsqu'un magasin d'électroménager est cambriolé à Brasles, les voisins préviennent les forces de l'ordre. A Azy-sur-Marne la même nuit, quand la cave d'un viticulteur est pillée à grand bruit et durant un certain temps, personne n'a rien entendu.
Les deux vols ont eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi, en deuxième partie de nuit, soit entre minuit et cinq heures du matin. Le premier larcin concerne le magasin spécialisé Gitem, installé à Brasles. Un voleur seul a pénétré par effraction dans les locaux. Il a ensuite dévalisé la remise et rempli à ras bord le coffre de sa berline. « Ses agissements ont déclenché l'alarme. J'ai donc été prévenu », indique le gérant. « Lorsque je suis arrivé, il partait, j'ai tenté de m'interposer, mais il m'a foncé dessus. »
Plusieurs kilomètres sur un Manitou volé
Un voisin a eu le bon réflexe. En voyant de l'agitation autour du magasin fermé, il a composé le 17. Les forces ont pu déployer un dispositif de recherche rapidement à la suite de ce signalement. Malheureusement, le déploiement n'a pas permis de mettre la main sur le malfaiteur. Le butin emporté, en cours d'estimation, s'établit à plusieurs milliers euros.
Plusieurs milliers d'euros, c'est également le « pactole » emporté par d'autres voleurs, probablement une équipe cette fois, à Azy-sur-Marne. S'introduisant chez un viticulteur de la commune, qui préfère ne pas être cité, ils ont emporté pour près de 20 000 euros de champagne. D'après nos informations, les malfrats ont accédé au lieu de stockage par un chemin situé à proximité de la propriété. Ils ont ensuite pénétré par effraction dans les locaux. Là, ils se sont servis allègrement. Les caisses de bouteilles ont vraisemblablement été chargées « à la main », dans un fourgon garé dans le sentier.
Manque de chance pour les voleurs, le camion s'est embourbé lors de leur départ. Ne doutant de rien, ils sont allés chercher un engin pour le dégager… Chez un autre exploitant viticole de la commune voisine ! Le village de Romeny-sur-Marne est situé à trois kilomètres de là où ils ont eu des ennuis. Sans scrupule, ils ont « emprunté » chez ce second viticulteur un chariot élévateur muni d'un bras articulé (type « Manitou »). Sans gêne, ils ont emprunté la route départementale avec l'engin dérobé jusqu'à Azy-sur-Marne.
Là, après plusieurs manœuvres, ils ont réussi à sortir leur camion chargé de bouteille de l'ornière. Et ont pris la clé des champs. Le chariot élévateur a été laissé sur place. Son propriétaire a pu le récupérer quasi intact.
Deux enquêtes ont été ouvertes par les gendarmes de Château-Thierry, Charly-sur-Marne et de la brigade de recherches. Hier, ils ont reçu l'aide d'un technicien en identification criminelle, venu de Laon. Il a effectué divers prélèvements sur les lieux des larcins.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/brasles-et-azy-sur-marne-plusieurs-vols-dans-la-nuit-malgre-le-boucan-les-riverains-ne
EN matière de cambriolage, plus c'est gros et plus ça passe. Lorsqu'un magasin d'électroménager est cambriolé à Brasles, les voisins préviennent les forces de l'ordre. A Azy-sur-Marne la même nuit, quand la cave d'un viticulteur est pillée à grand bruit et durant un certain temps, personne n'a rien entendu.
Les deux vols ont eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi, en deuxième partie de nuit, soit entre minuit et cinq heures du matin. Le premier larcin concerne le magasin spécialisé Gitem, installé à Brasles. Un voleur seul a pénétré par effraction dans les locaux. Il a ensuite dévalisé la remise et rempli à ras bord le coffre de sa berline. « Ses agissements ont déclenché l'alarme. J'ai donc été prévenu », indique le gérant. « Lorsque je suis arrivé, il partait, j'ai tenté de m'interposer, mais il m'a foncé dessus. »
Plusieurs kilomètres sur un Manitou volé
Un voisin a eu le bon réflexe. En voyant de l'agitation autour du magasin fermé, il a composé le 17. Les forces ont pu déployer un dispositif de recherche rapidement à la suite de ce signalement. Malheureusement, le déploiement n'a pas permis de mettre la main sur le malfaiteur. Le butin emporté, en cours d'estimation, s'établit à plusieurs milliers euros.
Plusieurs milliers d'euros, c'est également le « pactole » emporté par d'autres voleurs, probablement une équipe cette fois, à Azy-sur-Marne. S'introduisant chez un viticulteur de la commune, qui préfère ne pas être cité, ils ont emporté pour près de 20 000 euros de champagne. D'après nos informations, les malfrats ont accédé au lieu de stockage par un chemin situé à proximité de la propriété. Ils ont ensuite pénétré par effraction dans les locaux. Là, ils se sont servis allègrement. Les caisses de bouteilles ont vraisemblablement été chargées « à la main », dans un fourgon garé dans le sentier.
Manque de chance pour les voleurs, le camion s'est embourbé lors de leur départ. Ne doutant de rien, ils sont allés chercher un engin pour le dégager… Chez un autre exploitant viticole de la commune voisine ! Le village de Romeny-sur-Marne est situé à trois kilomètres de là où ils ont eu des ennuis. Sans scrupule, ils ont « emprunté » chez ce second viticulteur un chariot élévateur muni d'un bras articulé (type « Manitou »). Sans gêne, ils ont emprunté la route départementale avec l'engin dérobé jusqu'à Azy-sur-Marne.
Là, après plusieurs manœuvres, ils ont réussi à sortir leur camion chargé de bouteille de l'ornière. Et ont pris la clé des champs. Le chariot élévateur a été laissé sur place. Son propriétaire a pu le récupérer quasi intact.
Deux enquêtes ont été ouvertes par les gendarmes de Château-Thierry, Charly-sur-Marne et de la brigade de recherches. Hier, ils ont reçu l'aide d'un technicien en identification criminelle, venu de Laon. Il a effectué divers prélèvements sur les lieux des larcins.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/brasles-et-azy-sur-marne-plusieurs-vols-dans-la-nuit-malgre-le-boucan-les-riverains-ne
jeudi 22 décembre 2011
Un Belfortain, recherché pour tentative d’homicide, se livre à Montbéliard
Quelle n’est pas la surprise du vice-procureur Lionel Pascal, lundi, quand un homme entre dans son bureau pour, dit-il, « se rendre ». « J’ai des peines à exécuter », affirme encore le Belfortain, âgée d’une vingtaine d’années. Les peines infligées relevant du tribunal correctionnel de la cité du Lion, le représentant du parquet lui propose de prendre contact - directement - avec les magistrats belfortains. Oui, mais, voilà… Le jeune homme indique que son avocat lui a conseillé de voir « directement une juge d’instruction à Montbéliard ». Après vérification, il s’avère qu’il est en effet recherché dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Chemsedine Bouyahia, tué d’une balle dans la tête en octobre dernier à Belfort. « On m’a conseillé de me rendre. Je suis là », déclare-t-il au procureur Pascal.
En charge de l’enquête avec la PJ, les policiers belfortains sont venus le chercher pour le placer en garde à vue. Il est soupçonné de tentative d’homicide sur, semble-t-il, l’auteur présumé du coup mortel (Mounir Z., 23 ans, actuellement en détention). Le Belfortain aurait voulu porter secours à la victime touchée en agressant le tireur. Dans le dossier, des témoins le mettent en cause et précisent que celui-ci était armé d’un couteau.
Malheureusement, hier, la juge d’instruction n’a pas pu en savoir plus. L’homme, sans profession, a refusé de s’expliquer et nie les faits qui lui sont reprochés. Il a été mis en examen pour tentative d’assassinat puis présenté devant la juge des libertés et de la détention. Le parquet a requis l’incarcération et la JLD est allée en ce sens. L’homme a été conduit en maison d’arrêt.
Au lendemain du drame, survenu dans un contexte de rixes devant la gare et dans le quartier des Résidences, six personnes, dont Mounir Z. (arrêté au poste de frontière du Perthus), avaient été placées en garde à vue. Encore à l’heure actuelle, les circonstances et les causes du meurtre sont nébuleuses. Les bagarres « annexes » avant et après le drame, tout autant… Des informations judiciaires avaient été ouvertes par le pôle d’instruction montbéliardais, pour meurtre, tentative de meurtre et violences volontaires.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/12/22/on-m-a-conseille-de-me-rendre
En charge de l’enquête avec la PJ, les policiers belfortains sont venus le chercher pour le placer en garde à vue. Il est soupçonné de tentative d’homicide sur, semble-t-il, l’auteur présumé du coup mortel (Mounir Z., 23 ans, actuellement en détention). Le Belfortain aurait voulu porter secours à la victime touchée en agressant le tireur. Dans le dossier, des témoins le mettent en cause et précisent que celui-ci était armé d’un couteau.
Malheureusement, hier, la juge d’instruction n’a pas pu en savoir plus. L’homme, sans profession, a refusé de s’expliquer et nie les faits qui lui sont reprochés. Il a été mis en examen pour tentative d’assassinat puis présenté devant la juge des libertés et de la détention. Le parquet a requis l’incarcération et la JLD est allée en ce sens. L’homme a été conduit en maison d’arrêt.
Au lendemain du drame, survenu dans un contexte de rixes devant la gare et dans le quartier des Résidences, six personnes, dont Mounir Z. (arrêté au poste de frontière du Perthus), avaient été placées en garde à vue. Encore à l’heure actuelle, les circonstances et les causes du meurtre sont nébuleuses. Les bagarres « annexes » avant et après le drame, tout autant… Des informations judiciaires avaient été ouvertes par le pôle d’instruction montbéliardais, pour meurtre, tentative de meurtre et violences volontaires.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/12/22/on-m-a-conseille-de-me-rendre
Deux jeunes voleurs interpellés
Pas très futés les types ! Deux jeunes gens ont été dernièrement interpellés par la Brigade anticriminalité (Bac) du commissariat de Castres. Ils sont soupçonnés d'être les auteurs d'au moins un cambriolage. Il s'agit d'un jeune majeur (18 ans) et d'un mineur (17 ans). Le 13 décembre dernier, en plein jour, ils se seraient introduits par effraction dans une maison d'habitation. Là, ils auraient fait main basse sur trois ordinateurs portables, un lecteur de CD, un appareil photo numérique…. le cambriolage ayant eu lieu chemin des Amialhes. Non loin de là, les deux jeunes gens étaient aperçus, juchés sur un scooter, par une patrouille de la Bac. À la vue de la police, un sac à dos est jeté dans les fourrés. Les policiers se rendent compte de la manœuvre et se saisissent aussi sec du sac en question : ils y découvrent une partie du butin du cambriolage et un téléphone portable… grâce auquel ils « remontent » jusqu'à l'un des eux jeunes gens. Interpellés, les deux quidams, ont balbutié quelques explications visant à nier leur responsabilité dans le vol. Une convocation dans les tribunaux leur a été délivrée.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245727-deux-jeunes-voleurs-interpelles.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245727-deux-jeunes-voleurs-interpelles.html
Jeté par un copain dans la rivière, il est sauvé grâce à la vidéosurveillance
Ivre, un homme a jeté par-dessus la rambarde d'un pont son camarade de beuverie. C'est grâce à la vidéosurveillance que les policiers ont pu sauver la victime.
«Sans la vidéosurveillance, on aurait eu un mort, voire deux » n'hésite pas à lâcher Christophe Gau, brigadier-chef principal de la police municipale, qui est intervenu avec deux de ses collègues dans la nuit de mardi à mercredi, vers 2h du matin, sur le pont Villegoudou en plein centre-ville. Là où quelques minutes auparavant un homme ivre a jeté volontairement son copain de beuverie par-dessus la rambarde du pont. « Les images font froid dans le dos. On voit bien l'homme arriver vers l'autre, lui faire une clé de bras et le faire basculer dans l'eau », témoigne un policier.
Car c'est grâce à la caméra de vidéosurveillance qui a filmé la scène en direct et à la vigilance des opérateurs que les policiers municipaux ont pu intervenir aussi vite et sans doute sauver de la noyade la pauvre victime. « Les opérateurs nous ont aussitôt prévenus alors que l'on était avenue Charles de Gaulle pour un tapage nocturne », raconte Christophe Gau. Quand ils arrivent sur le pont, l'agresseur est toujours là à regarder sa victime qui, emportée par le courant, a dérivé quelques mètres avant de s'accrocher à une canalisation d'évacuation pluviale.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245760-castres-jete-par-un-copain-dans-la-riviere-il-est-sauve-grace-a-la-videosurveillance.html
«Sans la vidéosurveillance, on aurait eu un mort, voire deux » n'hésite pas à lâcher Christophe Gau, brigadier-chef principal de la police municipale, qui est intervenu avec deux de ses collègues dans la nuit de mardi à mercredi, vers 2h du matin, sur le pont Villegoudou en plein centre-ville. Là où quelques minutes auparavant un homme ivre a jeté volontairement son copain de beuverie par-dessus la rambarde du pont. « Les images font froid dans le dos. On voit bien l'homme arriver vers l'autre, lui faire une clé de bras et le faire basculer dans l'eau », témoigne un policier.
Car c'est grâce à la caméra de vidéosurveillance qui a filmé la scène en direct et à la vigilance des opérateurs que les policiers municipaux ont pu intervenir aussi vite et sans doute sauver de la noyade la pauvre victime. « Les opérateurs nous ont aussitôt prévenus alors que l'on était avenue Charles de Gaulle pour un tapage nocturne », raconte Christophe Gau. Quand ils arrivent sur le pont, l'agresseur est toujours là à regarder sa victime qui, emportée par le courant, a dérivé quelques mètres avant de s'accrocher à une canalisation d'évacuation pluviale.
De forts taux d'alcoolémie
« L'homme dans l'eau était conscient mais se plaignait du froid. Il nous disait que ses pieds touchaient quelque chose donc ce n'était pas la peine que l'un d'entre nous plonge et prenne le risque de créer un suraccident, raconte encore le policier. Un de mes collègues a continué à lui parler pour ne pas qu'il perde connaissance et qu'il lâche prise, pendant qu'un autre appelait les pompiers en leur décrivant la scène pour qu'ils emportent le bon matériel ». Christophe Gau, en chef de patrouille, s'occupait lui de « gérer » l'agresseur tout en appelant les policiers nationaux pour qu'ils viennent l'interpeller. « Je pense que quand on est arrivé, il se rendait vaguement compte de ce qu'il venait de faire et qu'il hésitait à plonger pour récupérer son camarade », raconte-t-il. À quelques minutes près c'étaient peut-être deux hommes que les pompiers, qui sont descendus en rappel récupérer la victime avec un harnais, auraient dû repêcher. La victime, âgée de 44 ans, a été transportée à l'hôpital en hypothermie. « Il était bleu quand il est remonté mais il était conscient », se rappelle le policier.Pas de plainte
L'auteur, âgé de 28 ans, de ce qui est pour l'instant qualifié de tentative d'homicide a été d'abord placé en cellule de dégrisement au commissariat le temps de dessaouler et était entendu hier par les enquêteurs. Il a eu du mal à véritablement expliquer son geste. Il faut dire qu'il avait un taux d'alcoolémie de 2,44 g/l lors de son interpellation. Son ami, qui lui avait un taux de 3 g/l, n'a pas souhaité porter plainte. Les deux hommes, qui avaient bu chez un ami commun, ont reconnu de gros problèmes d'alcoolisme.http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245760-castres-jete-par-un-copain-dans-la-riviere-il-est-sauve-grace-a-la-videosurveillance.html
Trois policiers blessés lors d’une interpellation
Trois policiers du commissariat d’Alès ont été blessés vendredi lors d’une interpellation.
Les policiers nationaux étaient intervenus sur un différend, un homme ayant menacé une femme avec un couteau dans l’après-midi.
L’Alésien étant retranché chez lui, les policiers ont dû faire appel à un serrurier pour pouvoir entrer dans l’appartement de ce logement de la grand-rue Jean-Moulin.
C’est lors de leur entrée que l’agression s’est produite. L’habitant les attendait derrière la porte avec des ciseaux. Le serrurier a été blessé à la main ainsi que trois policiers, alors que les fonctionnaires utilisaient la force pour maîtriser l’Alésien. Un policier a deux doigts fracturés, un autre a une entorse au genou et le troisième une entorse au poignet.
L’agresseur a ensuite été placé en hôpital psychiatrique.
À la suite de cette agression, le syndicat Unité SGP Police FO a réagi. Son représentant alésien a salué la réaction de la préfecture qui a "apporté son soutien aux fonctionnaires blessés en appelant chacun d’eux".
Par contre le syndicaliste a regretté "le comportement de la direction départementale de la sécurité publique qui a envoyé les trois policiers au contrôle médical" comme seule réaction à l’agression. "À cause du manque d’effectif, notre direction a préféré vérifier le bien-fondé de l’arrêt maladie des fonctionnaires", a expliqué le représentant d’Unité SGP Police FO.
Les policiers nationaux étaient intervenus sur un différend, un homme ayant menacé une femme avec un couteau dans l’après-midi.
L’Alésien étant retranché chez lui, les policiers ont dû faire appel à un serrurier pour pouvoir entrer dans l’appartement de ce logement de la grand-rue Jean-Moulin.
C’est lors de leur entrée que l’agression s’est produite. L’habitant les attendait derrière la porte avec des ciseaux. Le serrurier a été blessé à la main ainsi que trois policiers, alors que les fonctionnaires utilisaient la force pour maîtriser l’Alésien. Un policier a deux doigts fracturés, un autre a une entorse au genou et le troisième une entorse au poignet.
L’agresseur a ensuite été placé en hôpital psychiatrique.
À la suite de cette agression, le syndicat Unité SGP Police FO a réagi. Son représentant alésien a salué la réaction de la préfecture qui a "apporté son soutien aux fonctionnaires blessés en appelant chacun d’eux".
Par contre le syndicaliste a regretté "le comportement de la direction départementale de la sécurité publique qui a envoyé les trois policiers au contrôle médical" comme seule réaction à l’agression. "À cause du manque d’effectif, notre direction a préféré vérifier le bien-fondé de l’arrêt maladie des fonctionnaires", a expliqué le représentant d’Unité SGP Police FO.
La camionnette s'encastre sous un poids lourd : un Carolo tué
Un accident sur la D988 hors agglomération de Sécheval, a fait un mort et deux blessés. Il s'agit d'un Carolo qui exerçait le métier de marchand ambulant sur les marchés des Ardennes. Sa femme, passagère, a été grièvement blessée. Un accident qui fait monter à vingt le nombre de morts sur les routes des Ardennes depuis le début de l'année.
HIER, vers 14 heures, une terrible collision entre une fourgonnette et un poids lourd sur la route départementale 988 hors agglomération de la commune de Sécheval a fait la vingtième victime de la route cette année.
Un chiffre qui vient encore faire exploser les statistiques sur les accidents mortels de la route dans la mesure où le chiffre de l'année dernière qui était d'une dizaine, a doublé alors que les fêtes de fin d'année ne sont encore pas terminées.
Sur les circonstances exactes de l'accident, seule l'enquête diligentée par les gendarmes de la compagnie de Charleville-Mézières pourra apporter des réponses. Mais à voir l'état du pare-brise du poids lourd ou encore celui de la fourgonnette, on peut imaginer aisément que le choc a été très violent.
Lorsque les secours sont arrivés sur place, ils ont dénombré trois victimes. Le chauffeur du poids lourd, âgé de 24 ans, transporté en état de choc à hôpital.
La passagère de la camionnette, âgée d'une trentaine d'années, grièvement blessée, qui a été médicalisée par les médecins du SAMU avant son transport au centre hospitalier dans un véhicule sanitaire d'assistance aux victimes des pompiers ainsi que le chauffeur de la fourgonnette âgé d'une quarantaine d'années, qui lui est décédé sur le coup.
Marchand ambulant
Les deux victimes de la fourgonnette sont, selon les premiers éléments de l'enquête, mari et femme. Un couple de Carolos, résidant dans le secteur de la Ronde Couture, qui exerçait le métier de marchand ambulant sur les marchés du département. En effet, dans la camionnette du couple, les gendarmes ont trouvé tout le matériel du marchant ambulant. Il semblerait qu'avant l'accident, le couple était allé au marché de Revin et regagnait son domicile à Charleville-Mézières.
Un automobiliste qui tractait une caravane, arrivé derrière le poids lourd, quelques secondes après l'accident avait du mal à retenir son émotion : « Il y a un mort. Je pense que le conducteur de la camionnette a perdu le contrôle de son véhicule juste avant le virage et est allé s'encastrer dans le poids lourd. J'ai vu le conducteur du camion, il était très choqué ».
Le maire de Sécheval, Philippe Canot est arrivé rapidement sur les lieux, déjà pour constater le décès du conducteur de la fourgonnette et mais aussi pour apporter son soutien aux victimes. Ce ne sont pas moins de quatorze sapeurs pompiers des casernes de Charleville-Mézières, Renwez et Sedan, sous les ordres du chef de groupe l'adjudant-chef Marc Sambert et de l'officier de proximité le capitaine Rigolet, qui sont intervenus. En effet, le conducteur du poids lourd, comme la passagère de la fourgonnette ont dû être désincarcérés avant que les médecins du SAMU les prennent en charge.
Le directeur de cabinet du préfet des Ardennes, en charge de la sécurité routière, Stéphane Chapellier est aussi venu sur les lieux de l'accident pour se rendre compte du bon déroulement des opérations de secours.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/la-camionnette-sencastre-sous-un-poids-lourd-un-carolo-tue
HIER, vers 14 heures, une terrible collision entre une fourgonnette et un poids lourd sur la route départementale 988 hors agglomération de la commune de Sécheval a fait la vingtième victime de la route cette année.
Un chiffre qui vient encore faire exploser les statistiques sur les accidents mortels de la route dans la mesure où le chiffre de l'année dernière qui était d'une dizaine, a doublé alors que les fêtes de fin d'année ne sont encore pas terminées.
Sur les circonstances exactes de l'accident, seule l'enquête diligentée par les gendarmes de la compagnie de Charleville-Mézières pourra apporter des réponses. Mais à voir l'état du pare-brise du poids lourd ou encore celui de la fourgonnette, on peut imaginer aisément que le choc a été très violent.
Lorsque les secours sont arrivés sur place, ils ont dénombré trois victimes. Le chauffeur du poids lourd, âgé de 24 ans, transporté en état de choc à hôpital.
La passagère de la camionnette, âgée d'une trentaine d'années, grièvement blessée, qui a été médicalisée par les médecins du SAMU avant son transport au centre hospitalier dans un véhicule sanitaire d'assistance aux victimes des pompiers ainsi que le chauffeur de la fourgonnette âgé d'une quarantaine d'années, qui lui est décédé sur le coup.
Marchand ambulant
Les deux victimes de la fourgonnette sont, selon les premiers éléments de l'enquête, mari et femme. Un couple de Carolos, résidant dans le secteur de la Ronde Couture, qui exerçait le métier de marchand ambulant sur les marchés du département. En effet, dans la camionnette du couple, les gendarmes ont trouvé tout le matériel du marchant ambulant. Il semblerait qu'avant l'accident, le couple était allé au marché de Revin et regagnait son domicile à Charleville-Mézières.
Un automobiliste qui tractait une caravane, arrivé derrière le poids lourd, quelques secondes après l'accident avait du mal à retenir son émotion : « Il y a un mort. Je pense que le conducteur de la camionnette a perdu le contrôle de son véhicule juste avant le virage et est allé s'encastrer dans le poids lourd. J'ai vu le conducteur du camion, il était très choqué ».
Le maire de Sécheval, Philippe Canot est arrivé rapidement sur les lieux, déjà pour constater le décès du conducteur de la fourgonnette et mais aussi pour apporter son soutien aux victimes. Ce ne sont pas moins de quatorze sapeurs pompiers des casernes de Charleville-Mézières, Renwez et Sedan, sous les ordres du chef de groupe l'adjudant-chef Marc Sambert et de l'officier de proximité le capitaine Rigolet, qui sont intervenus. En effet, le conducteur du poids lourd, comme la passagère de la fourgonnette ont dû être désincarcérés avant que les médecins du SAMU les prennent en charge.
Le directeur de cabinet du préfet des Ardennes, en charge de la sécurité routière, Stéphane Chapellier est aussi venu sur les lieux de l'accident pour se rendre compte du bon déroulement des opérations de secours.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/la-camionnette-sencastre-sous-un-poids-lourd-un-carolo-tue
mercredi 21 décembre 2011
Un immeuble en feu avenue Charles-de-Gaulle à Neuilly-sur-Seine
L’incendie d’un immeuble de l’avenue Charles-de-Gaulle, à Neuilly-sur-Seine, a fait six blessés en début d’après-midi. Deux d’entre eux sont dans état critique. Soixante-dix personnes ont été évacuées du bâtiment en proie aux flammes, qui fait sept étages, tandis que plus de cent sapeurs-pompiers sont mobilisés pour venir à bout des flammes.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/un-immeuble-en-feu-avenue-charles-de-gaulle-a-neuilly-sur-seine-21-12-2011-1778458.php
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/un-immeuble-en-feu-avenue-charles-de-gaulle-a-neuilly-sur-seine-21-12-2011-1778458.php
L'incendiaire amoureux agissait lors des éclipses
Convaincu d'être passé à côté du grand amour un jour d'éclipse en Alsace, un Toulousain de 37 ans a persécuté pendant douze ans l'auberge de jeunesse de Saverne (Bas-Rhin) qu'il jugeait responsable de son échec. Cet astronome amateur agissait systématiquement lors des éclipses de lune ou de soleil, passant progressivement des messages anonymes aux dégradations puis aux tentatives d'incendie.
Ce célibataire, technicien à l'université Paul-Sabatier de Toulouse, avait été foudroyé par les yeux d'une jeune Anglaise rencontrée dans l'auberge de jeunesse alsacienne où il était venu observer l'éclipse totale du soleil du 11 août 1999.
Le nouvel astre de ses jours étant parti sans laisser d'adresse, il avait écrit à l'auberge. Faute de réponse, vexé il avait joué les corbeaux pour assouvir sa vengeance, avant de tenter d'incendier l'auberge lors d'une éclipse solaire en août 2008.
L'amoureux pyromane, arrêté grâce à la perspicacité d'un gendarme, a été jugé accessible à une sanction pénale. L'homme qui aimait les éclipses mais ne supportait pas celle de son amour sera jugé le 2 février prochain.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/21/1245041-l-incendiaire-amoureux-agissait-lors-des-eclipses.html
Ce célibataire, technicien à l'université Paul-Sabatier de Toulouse, avait été foudroyé par les yeux d'une jeune Anglaise rencontrée dans l'auberge de jeunesse alsacienne où il était venu observer l'éclipse totale du soleil du 11 août 1999.
Le nouvel astre de ses jours étant parti sans laisser d'adresse, il avait écrit à l'auberge. Faute de réponse, vexé il avait joué les corbeaux pour assouvir sa vengeance, avant de tenter d'incendier l'auberge lors d'une éclipse solaire en août 2008.
L'amoureux pyromane, arrêté grâce à la perspicacité d'un gendarme, a été jugé accessible à une sanction pénale. L'homme qui aimait les éclipses mais ne supportait pas celle de son amour sera jugé le 2 février prochain.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/21/1245041-l-incendiaire-amoureux-agissait-lors-des-eclipses.html
Paris : bloquée avec son agresseur dans un ascenseur
C’est une agression d’une extrême violence dont a été victime une jeune femme dans la nuit de jeudi à vendredi dernier à Paris. Vers 3h45, Laure*, 25 ans, regagne son domicile, situé dans le XVIIe arrondissement lorsqu’elle est surprise par un inconnu. Ce dernier surgit alors que la jeune femme vient d’entrer dans le hall de son immeuble. Sans lui dire un mot, il la frappe très violemment au visage puis la fait chuter au sol. L’agresseur saisit ensuite les cheveux de sa victime avant de la traîner jusque dans l’ascenseur. Terrorisée, Laure tente de repousser son assaillant, qui lui arrache alors ses collants avant de tenter de la violer. Alertée par les hurlements de la jeune femme, une voisine compose aussitôt le 17, le numéro de police secours.
Il avait agressé une autre femme quelques heures plus tôt
Plusieurs policiers se rendent sur les lieux avant de constater que la victime et son agresseur sont enfermés dans l’ascenseur. « Au cours de la lutte, les portes de l’ascenseur se sont bloquées, relate une source proche de l’affaire. Les policiers ont pu entrouvrir les deux battants avant de voir l’agresseur, qui tentait de se cacher derrière sa victime. Cette dernière était très choquée et avait le visage en sang. »
Pendant près de vingt minutes, Laure demeure coincée dans la cabine à quelques centimètres de son agresseur avant de recouvrer la liberté, après l’intervention des pompiers. La jeune femme, qui souffre d’une fracture du nez et de nombreuses plaies au visage, a été hospitalisée. Elle s’est vu prescrire quinze jours d’interruption totale de travail (ITT). L’auteur des coups, Marian P., 28 ans, a été placé en garde à vue dans les locaux du 1er district de police judiciaire (DPJ). Auditionné, il a dans un premier temps nié avoir tenté d’agresser sexuellement sa victime avant de reconnaître les faits. Au cours de leurs investigations, les enquêteurs ont également découvert que ce jeune suspect, sans domicile fixe et de nationalité roumaine, avait agressé quelques heures plus tôt une autre jeune femme. « Il a été trouvé en possession d’un iPhone qu’il venait de voler sur une autre victime, âgée de 31 ans, dans le IVe arrondissement. Il avait commencé par l’importuner avant de se jeter sur elle alors qu’elle se trouvait dans la rue. Cette jeune femme avait réussi à prendre la fuite mais il avait pu s’emparer de son téléphone. » Déféré devant un juge d’instruction, Marian P. a été mis en examen pour « violences volontaires » et « tentative d’agression sexuelle » avant d’être placé en détention provisoire.
* Le prénom de la victime a été changéhttp://www.leparisien.fr/faits-divers/paris-bloquee-avec-son-agresseur-dans-un-ascenseur-21-12-2011-1778149.php
Il avait agressé une autre femme quelques heures plus tôt
Plusieurs policiers se rendent sur les lieux avant de constater que la victime et son agresseur sont enfermés dans l’ascenseur. « Au cours de la lutte, les portes de l’ascenseur se sont bloquées, relate une source proche de l’affaire. Les policiers ont pu entrouvrir les deux battants avant de voir l’agresseur, qui tentait de se cacher derrière sa victime. Cette dernière était très choquée et avait le visage en sang. »
Pendant près de vingt minutes, Laure demeure coincée dans la cabine à quelques centimètres de son agresseur avant de recouvrer la liberté, après l’intervention des pompiers. La jeune femme, qui souffre d’une fracture du nez et de nombreuses plaies au visage, a été hospitalisée. Elle s’est vu prescrire quinze jours d’interruption totale de travail (ITT). L’auteur des coups, Marian P., 28 ans, a été placé en garde à vue dans les locaux du 1er district de police judiciaire (DPJ). Auditionné, il a dans un premier temps nié avoir tenté d’agresser sexuellement sa victime avant de reconnaître les faits. Au cours de leurs investigations, les enquêteurs ont également découvert que ce jeune suspect, sans domicile fixe et de nationalité roumaine, avait agressé quelques heures plus tôt une autre jeune femme. « Il a été trouvé en possession d’un iPhone qu’il venait de voler sur une autre victime, âgée de 31 ans, dans le IVe arrondissement. Il avait commencé par l’importuner avant de se jeter sur elle alors qu’elle se trouvait dans la rue. Cette jeune femme avait réussi à prendre la fuite mais il avait pu s’emparer de son téléphone. » Déféré devant un juge d’instruction, Marian P. a été mis en examen pour « violences volontaires » et « tentative d’agression sexuelle » avant d’être placé en détention provisoire.
* Le prénom de la victime a été changéhttp://www.leparisien.fr/faits-divers/paris-bloquee-avec-son-agresseur-dans-un-ascenseur-21-12-2011-1778149.php
L'ado fugueuse retrouvée, son compagnon interpellé
La petite-fille de Micheline Provotal, maire de Goussancourt, a été retrouvée dans le sud de la France. L'adolescente de 16 ans se trouvait avec son compagnon lorsque les gendarmes les ont identifiés. L'homme est soupçonné d'avoir commis plusieurs vols ces derniers jours.
MICHELINE PROVOTAL avait toutes les raisons du monde de s'inquiéter et de chercher à ameuter l'opinion autour du sort de sa petite fille, Leelou, 16 ans, portée disparue depuis le 30 novembre dernier (l'union du 13 novembre). Maire de Goussancourt, petite bourgade de Soissonnais, elle avait même entamé une grève de la faim pour que les autorités prennent son histoire au sérieux et qu'elles poussent un peu plus loin leurs recherches. Finalement, l'ado, originaire de Villiers-sur-Orges (Essonne) et scolarisée en classe de seconde à Saint-Eugène a été retrouvée ou plutôt… rattrapée. Cela faisait plusieurs jours que le parquet d'Evry et le commissariat de Palaiseau étaient sur sa trace et sur celle de son compagnon, majeur. C'est finalement les gendarmes du Luc-en-Provence qui leur ont mis le grappin dessus, ce 17 décembre, au Cannet-des-Maures (Var).
Ledit compagnon, Fathi Chouli, âgé de 24 ans et domicilié à Fère-en-Tardenois, était hier déféré au parquet de Draguignan (Var).
Il est soupçonné d'être l'auteur de plusieurs vols commis dans la région lyonnaise et sur la Côte d'Azur.
Sous influence ?
En fait, selon toute vraisemblance, le couple avait quitté l'Aisne sans un sou en poche, ce qui l'avait contraint de trouver quelques moyens peu réglementaires pour poursuivre son périple.
C'est le 30 novembre que l'adolescente avait effectué un dernier passage au domicile familial en l'absence de ses parents.
Le soir même, elle leur avait envoyé un sms leur promettant de les rappeler. Mais elle ne l'avait jamais fait.
Dès lors, durant trois semaines, leur cavale s'est poursuivie à un rythme effréné pour s'achever dans la région du Luc.
Dans leur voiture, les enquêteurs ont découvert plusieurs objets résultant de vols : console de jeu, autoradio, ordinateur portable, etc.
Charge revient, désormais, à la justice de répertorier le plus précisément possible le nombre de larcins à mettre à l'actif de Fathi Chouli et de déterminer dans quel état d'esprit se trouvait la jeune fille de 16 ans durant cette expédition.
Était-elle consciente de la gravité de ses actes ou sous l'influence de son compagnon ?
Une chose est sûre : ce dernier attendra la date de son jugement en cellule.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/lado-fugueuse-retrouvee-son-compagnon-interpelle-0
MICHELINE PROVOTAL avait toutes les raisons du monde de s'inquiéter et de chercher à ameuter l'opinion autour du sort de sa petite fille, Leelou, 16 ans, portée disparue depuis le 30 novembre dernier (l'union du 13 novembre). Maire de Goussancourt, petite bourgade de Soissonnais, elle avait même entamé une grève de la faim pour que les autorités prennent son histoire au sérieux et qu'elles poussent un peu plus loin leurs recherches. Finalement, l'ado, originaire de Villiers-sur-Orges (Essonne) et scolarisée en classe de seconde à Saint-Eugène a été retrouvée ou plutôt… rattrapée. Cela faisait plusieurs jours que le parquet d'Evry et le commissariat de Palaiseau étaient sur sa trace et sur celle de son compagnon, majeur. C'est finalement les gendarmes du Luc-en-Provence qui leur ont mis le grappin dessus, ce 17 décembre, au Cannet-des-Maures (Var).
Ledit compagnon, Fathi Chouli, âgé de 24 ans et domicilié à Fère-en-Tardenois, était hier déféré au parquet de Draguignan (Var).
Il est soupçonné d'être l'auteur de plusieurs vols commis dans la région lyonnaise et sur la Côte d'Azur.
Sous influence ?
En fait, selon toute vraisemblance, le couple avait quitté l'Aisne sans un sou en poche, ce qui l'avait contraint de trouver quelques moyens peu réglementaires pour poursuivre son périple.
C'est le 30 novembre que l'adolescente avait effectué un dernier passage au domicile familial en l'absence de ses parents.
Le soir même, elle leur avait envoyé un sms leur promettant de les rappeler. Mais elle ne l'avait jamais fait.
Dès lors, durant trois semaines, leur cavale s'est poursuivie à un rythme effréné pour s'achever dans la région du Luc.
Dans leur voiture, les enquêteurs ont découvert plusieurs objets résultant de vols : console de jeu, autoradio, ordinateur portable, etc.
Charge revient, désormais, à la justice de répertorier le plus précisément possible le nombre de larcins à mettre à l'actif de Fathi Chouli et de déterminer dans quel état d'esprit se trouvait la jeune fille de 16 ans durant cette expédition.
Était-elle consciente de la gravité de ses actes ou sous l'influence de son compagnon ?
Une chose est sûre : ce dernier attendra la date de son jugement en cellule.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/lado-fugueuse-retrouvee-son-compagnon-interpelle-0
mardi 20 décembre 2011
La voiture folle finit sa course dans la cour de l’école
Le conducteur est dans un état préoccupant. En raison des vacances, l’établissement était presque désert.
Policier ou passante, tous se faisaient la même réflexion, hier après-midi, après un incroyable accident survenu dans la cité Saint-Martin. "On a évité le pire. Heureusement que l’école était fermée pour cause de vacances, sinon, il y aurait eu des morts."
Vers 15 h 30, une Mercedes qui venait apparemment à vive allure de la rue Jean-Vachet a continué sa route, à l’angle de la rue de Cherchell, et a percuté et arraché le portail de l’école élémentaire Diderot. La voiture folle a fini sa course au fond de la cour de récréation, s’écrasant contre le mur d’un des bâtiments. Il y avait pourtant des enfants dans un bâtiment de l’école, qui sert en fait de centre aéré pendant les vacances scolaires...
Un témoin, habitant du quartier : "Il roulait à 130 km/h et il a fait un tout droit dans l’école"
"Il roulait à 130 km/h, il est passé à fond devant nous, il a fait un tout droit dans l’école" raconte un jeune du quartier. Le conducteur, un homme de 29 ans, agent d’entretien, a été très grièvement blessé dans cette collision. Il a été désincarcéré par les pompiers et évacué à l’hôpital. Notamment touché à la tête, il devait être opéré hier soir et son pronostic vital était engagé. Il n’a donc pas pu être entendu.
Les services de police restent pour l’heure très prudents, ne privilégiant aucune hypothèse. Avait-il bu ? A-t-il eu un malaise au volant après un coup de fatigue lié à son travail ? Aurait-il voulu mettre fin à ses jours ? L’enquête va se poursuivre pour déterminer les circonstances de cet accident.
Policier ou passante, tous se faisaient la même réflexion, hier après-midi, après un incroyable accident survenu dans la cité Saint-Martin. "On a évité le pire. Heureusement que l’école était fermée pour cause de vacances, sinon, il y aurait eu des morts."
Vers 15 h 30, une Mercedes qui venait apparemment à vive allure de la rue Jean-Vachet a continué sa route, à l’angle de la rue de Cherchell, et a percuté et arraché le portail de l’école élémentaire Diderot. La voiture folle a fini sa course au fond de la cour de récréation, s’écrasant contre le mur d’un des bâtiments. Il y avait pourtant des enfants dans un bâtiment de l’école, qui sert en fait de centre aéré pendant les vacances scolaires...
Un témoin, habitant du quartier : "Il roulait à 130 km/h et il a fait un tout droit dans l’école"
"Il roulait à 130 km/h, il est passé à fond devant nous, il a fait un tout droit dans l’école" raconte un jeune du quartier. Le conducteur, un homme de 29 ans, agent d’entretien, a été très grièvement blessé dans cette collision. Il a été désincarcéré par les pompiers et évacué à l’hôpital. Notamment touché à la tête, il devait être opéré hier soir et son pronostic vital était engagé. Il n’a donc pas pu être entendu.
Les services de police restent pour l’heure très prudents, ne privilégiant aucune hypothèse. Avait-il bu ? A-t-il eu un malaise au volant après un coup de fatigue lié à son travail ? Aurait-il voulu mettre fin à ses jours ? L’enquête va se poursuivre pour déterminer les circonstances de cet accident.
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