Une touriste allemande âgée d'une soixantaine d'années est morte noyée aujourd'hui dans la station balnéaire de Tiuccia (Corse-du-Sud) sur la côte ouest de l'île, ont indiqué les pompiers.
La victime, qui avait été emportée dans la matinée par les vagues, a pu être secourue par les pompiers qui ne sont toutefois pas parvenus à la ranimer. Sur une plage voisine, un vacancier de 55 ans, également emporté par les vagues, en dépit des conseils d'extrême prudence diffusés par la préfecture en raison du vent violent soufflant depuis ce matin et de la forte houle, a été sauvé de justesse.
En début d'après-midi, une adolescente a été à son tour emportée par les vagues dans le même secteur mais a pu être ramenée sur le rivage et a été hospitalisée à Ajaccio.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/31/97001-20120831FILWWW00521-une-touriste-allemande-noyee-en-corse.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
vendredi 31 août 2012
Deux policiers blessés par un père de famille à Vallauris
Deux policiers de Vallauris ont été transportés, jeudi soir, à l’hôpital de la Fontonne. Ils souffrent de blessures légères (5 jours d’ITT) qui leur ont été infligées par un père de famille.
Cet homme, un jeune Vallaurien, est entré dans une colère incontrôlable quand son ex-compagne, venue récupérer sa fille, s’est présentée chez lui escortée des deux agents.
Le père a été placé en garde à vue. La sœur de ce dernier a, elle, fini sa nuit à l’hôpital car elle s’est aussi mêlée à la rixe.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/deux-policiers-blesses-par-un-pere-de-famille-a-vallauris.977392.html
Cet homme, un jeune Vallaurien, est entré dans une colère incontrôlable quand son ex-compagne, venue récupérer sa fille, s’est présentée chez lui escortée des deux agents.
Le père a été placé en garde à vue. La sœur de ce dernier a, elle, fini sa nuit à l’hôpital car elle s’est aussi mêlée à la rixe.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/deux-policiers-blesses-par-un-pere-de-famille-a-vallauris.977392.html
Après un vol plané, elle finit dans l'abribus
Une automobiliste d'une trentaine d'années s'est fait une belle frayeur hier aux alentours de 16h30, place Stalingrad, en face de la gare d'Albi ville. La jeune femme, d'après les policiers sous l'emprise de l'alcool a percuté de plein fouet un abri bus. Antoine, employé de la mairie, en scooter juste derrière la jeune femme au moment de l'accident raconte : «Elle a percuté le panneau d'indication des horaires de bus, puis sûrement prise de panique a appuyé sur l'accélérateur». La 206 grise immatriculée dans le Tarn chevauche une voiture stationnée sur le parking de la gare, monte à plus d'un 1,70 m de hauteur et finit sa course encastrée dans l'abribus. Le verre autour du véhicule témoigne de la violence de l'impact. «C'était spectaculaire», raconte Christelle, qui se trouvait sur le parking de la gare au moment du choc. «Elle était seule dans sa voiture et ne roulait pas très vite, à une trentaine de km» indique-t-elle. Visiblement très «choquée», la femme est sortie indemne de l'accident. «Heureusement, renchérit Christelle, personne ne se trouvait dans l'abribus».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/31/1429194-albi-vol-plane-pour-une-automobiliste.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/31/1429194-albi-vol-plane-pour-une-automobiliste.html
Une famille réveillée en pleine nuit par les flammes
Un feu d'habitation s'est déclaré vers 00h45, dans la nuit de jeudi à vendredi, au village de "Montchaud" à Yssingeaux. Les quatre occupants de la maison ont été réveillés par des voisins.
Le feu s'est déclaré dans une ancienne ferme rénovée en résidence principale et occupée par la famille d'un des adjoints au maire d'Yssingeaux. Il serait parti des combles, dans des circonstances encore indéterminées. Les flammes ont vite gagné la toiture sur une aile du bâtiment avant d'être contenu par la trentaine de soldats du feu mobilisée sur cette intervention.Quatre lances ont été mises en batterie dont une sur l'échelle aérienne qui a permis une attaque efficace du sinistre.
Au total, près de 80m² de surface de toit (sur les 200m² au sol de l'habitation) sont partis en fumée et les combles ont été ravagés mais les pièces à vivre de la maison ont pu être préservées. Réveillés par les voisins, les quatre occupants de la maison s'en sont sortis indemnes. L'intervention des secours, pour déblayer les gravats et écarter tout risque de reprise, devait se poursuivre jusqu'au petit matin ce vendredi
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/08/31/une-famille-reveillee-en-pleine-nuit-par-les-flammes
Le feu s'est déclaré dans une ancienne ferme rénovée en résidence principale et occupée par la famille d'un des adjoints au maire d'Yssingeaux. Il serait parti des combles, dans des circonstances encore indéterminées. Les flammes ont vite gagné la toiture sur une aile du bâtiment avant d'être contenu par la trentaine de soldats du feu mobilisée sur cette intervention.Quatre lances ont été mises en batterie dont une sur l'échelle aérienne qui a permis une attaque efficace du sinistre.
Au total, près de 80m² de surface de toit (sur les 200m² au sol de l'habitation) sont partis en fumée et les combles ont été ravagés mais les pièces à vivre de la maison ont pu être préservées. Réveillés par les voisins, les quatre occupants de la maison s'en sont sortis indemnes. L'intervention des secours, pour déblayer les gravats et écarter tout risque de reprise, devait se poursuivre jusqu'au petit matin ce vendredi
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/08/31/une-famille-reveillee-en-pleine-nuit-par-les-flammes
La Rochelle : un fidèle du port de plaisance se tue
Mardi, vers 17 heures, le corps sans vie d'un habitué du port de plaisance de La Rochelle a été retrouvé dans son voilier de 9,30 m amarré au ponton 40. L'homme était âgé de 81 ans et vivait sur son bateau.
C'est un ami qui, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, était venu jusqu'au ponton et avait regardé par le hublot du bateau. Il avait prévenu la capitainerie qui alertait la police. Les fonctionnaires forçaient la porte de la cabine. Ils craignaient déjà le pire puisqu'auparavant avait été découvert le cadavre du chien du plaisancier. L'animal avait été tué d'un coup de fusil à pompe, arme que le plaisancier a retournée contre lui, la thèse du suicide étant privilégiée.
Discret, Jacques Raimbault, le disparu, était client du port depuis vingt-neuf ans. Il était très apprécié.
http://www.sudouest.fr/2012/08/30/un-fidele-du-port-de-plaisance-se-tue-806887-739.php
C'est un ami qui, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, était venu jusqu'au ponton et avait regardé par le hublot du bateau. Il avait prévenu la capitainerie qui alertait la police. Les fonctionnaires forçaient la porte de la cabine. Ils craignaient déjà le pire puisqu'auparavant avait été découvert le cadavre du chien du plaisancier. L'animal avait été tué d'un coup de fusil à pompe, arme que le plaisancier a retournée contre lui, la thèse du suicide étant privilégiée.
Discret, Jacques Raimbault, le disparu, était client du port depuis vingt-neuf ans. Il était très apprécié.
http://www.sudouest.fr/2012/08/30/un-fidele-du-port-de-plaisance-se-tue-806887-739.php
jeudi 30 août 2012
Ariège : la randonneuse de 13 ans retrouvée
L'adolescente, qui avait disparu mercredi après-midi, a passé
la nuit dehors dans le mauvais temps, mais son état ne nécessitait apparemment
pas une hospitalisation. Ellle devait être remise à ses parents dans
l'après-midi à Castillon-en Couserans, une fois redescendue du col de la Core où
elle a été retrouvée par les secours, non loin du lieu de sa disparition. La
jeune fille aurait croisé en fin de matinée des randonneurs informés des
recherches en cours et qui l'auraient conduite vers les secours. Une vingtaine
de gendarmes
notamment du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM), assistés de
chiens, étaient à sa recherche depuis mercredi soir.
La jeune fille et ses parents se trouvaient mercredi sur le GR
10, le sentier de grande randonnée qui traverse les Pyrénées, quand le groupe a
été surpris par le brouillard dans le secteur de Castillon-en-Couserans.
L'adolescente, qui était partie devant ses parents, a alors été séparée d'eux.
Les parents sont redescendus de la montagne pour avertir les gendarmes qu'ils
avaient perdu leur fille. Une première équipe partie à sa recherche dans un
secteur très vaste ne l'a pas retrouvée mercredi soir. Les recherches ont repris
jeudi matin, avec l'aide de chiens. Un hélicoptère de gendarmerie avait été
mobilisé mais les conditions météorologiques ne lui ont pas permis de décoller.
Condamné par le tribunal pour enfants à 25 ans, il sera rejugé
Ayant menti sur son âge, un
homme avait été condamné par le tribunal pour enfants alors qu'il était majeur.
Il va être rejugé par le tribunal correctionnel de Grenoble.
C'est la première fois que je vois ça. Les jugements du tribunal pour enfants ont été prononcés contre quelqu'un qui n'existe pas et par une juridiction incompétente. Elles sont donc nulles de plein droit ", s'est énervé Pierre Becquet, vice-procureur de la République au tribunal de Grenoble. Un homme condamné par le tribunal pour enfants alors qu'il avait menti sur son âge et avait en réalité 25 ans, va être rejugé par le tribunal correctionnel de Grenoble, a indiqué jeudi le parquet et son avocat, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
L'intéressé, qui se disait Marocain et né en mai 1993, a en réalité vu le jour en Algérie le 12 novembre 1986. "A l'origine, le but de l'opération, c'était d'éviter l'expulsion. Il savait qu'en disant qu'il était mineur, il ne serait pas expulsé", a expliqué son avocat Arnaud Lévy-Soussan. Mais, jugé pour plusieurs affaires (violences avec arme, vol aggravé, port d'arme, recel, etc.) en mars et avril 2012 par le tribunal pour enfants de Grenoble, le jeune homme écope alors d'une peine de prison ferme. Et finit par révéler sa véritable identité au juge d'application des peines. "Sous son vrai nom, il avait des garanties (au regard de l'aménagement de sa peine, ndlr) qu'il n'avait pas sous sa fausse identité", a souligné Me Lévy-Soussan.
Père depuis quelques mois d'un enfant français, il disposait en effet par ce biais d'un titre de séjour en règle. Le jeune homme pouvait en outre présenter un contrat de travail en tant que réparateur automobile. "Ce qui est assez étonnant, c'est qu'il a pu rester très longtemps sous cette fausse identité. Il n'avait pas de fausse pièce d'identité, il donnait cette information oralement", a poursuivi l'avocat. "C'est une personne d'allure juvénile qui a joué de son physique", a aussi noté Pierre Becquet. Les empreintes du jeune homme ont même été relevées sous ses deux identités (la véritable et la fausse) mais "les policiers n'ont pas fait le rapprochement", selon son avocat. Le tribunal correctionnel de Grenoble l'a condamné mercredi à 1.000 euros d'amende, dont 500 euros avec sursis, pour "fourniture de fausse identité". Et le parquet va relancer les poursuites pour les faits pour lesquels il avait été condamné devant le tribunal pour enfants, qui remontent à 2010 et ne sont donc pas prescrits. "Cet homme n'échappera pas à la justice. Son stratagème ne sera pas payant. Il va être jugé par le tribunal correctionnel à la lumière de sa malhonnêteté", tempête M. Becquet.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/condamne-par-le-tribunal-pour-enfants-a-25-ans-il-sera-rejuge-7484280.html
C'est la première fois que je vois ça. Les jugements du tribunal pour enfants ont été prononcés contre quelqu'un qui n'existe pas et par une juridiction incompétente. Elles sont donc nulles de plein droit ", s'est énervé Pierre Becquet, vice-procureur de la République au tribunal de Grenoble. Un homme condamné par le tribunal pour enfants alors qu'il avait menti sur son âge et avait en réalité 25 ans, va être rejugé par le tribunal correctionnel de Grenoble, a indiqué jeudi le parquet et son avocat, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
L'intéressé, qui se disait Marocain et né en mai 1993, a en réalité vu le jour en Algérie le 12 novembre 1986. "A l'origine, le but de l'opération, c'était d'éviter l'expulsion. Il savait qu'en disant qu'il était mineur, il ne serait pas expulsé", a expliqué son avocat Arnaud Lévy-Soussan. Mais, jugé pour plusieurs affaires (violences avec arme, vol aggravé, port d'arme, recel, etc.) en mars et avril 2012 par le tribunal pour enfants de Grenoble, le jeune homme écope alors d'une peine de prison ferme. Et finit par révéler sa véritable identité au juge d'application des peines. "Sous son vrai nom, il avait des garanties (au regard de l'aménagement de sa peine, ndlr) qu'il n'avait pas sous sa fausse identité", a souligné Me Lévy-Soussan.
Père depuis quelques mois d'un enfant français, il disposait en effet par ce biais d'un titre de séjour en règle. Le jeune homme pouvait en outre présenter un contrat de travail en tant que réparateur automobile. "Ce qui est assez étonnant, c'est qu'il a pu rester très longtemps sous cette fausse identité. Il n'avait pas de fausse pièce d'identité, il donnait cette information oralement", a poursuivi l'avocat. "C'est une personne d'allure juvénile qui a joué de son physique", a aussi noté Pierre Becquet. Les empreintes du jeune homme ont même été relevées sous ses deux identités (la véritable et la fausse) mais "les policiers n'ont pas fait le rapprochement", selon son avocat. Le tribunal correctionnel de Grenoble l'a condamné mercredi à 1.000 euros d'amende, dont 500 euros avec sursis, pour "fourniture de fausse identité". Et le parquet va relancer les poursuites pour les faits pour lesquels il avait été condamné devant le tribunal pour enfants, qui remontent à 2010 et ne sont donc pas prescrits. "Cet homme n'échappera pas à la justice. Son stratagème ne sera pas payant. Il va être jugé par le tribunal correctionnel à la lumière de sa malhonnêteté", tempête M. Becquet.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/condamne-par-le-tribunal-pour-enfants-a-25-ans-il-sera-rejuge-7484280.html
Un jeune de 13 ans tire des plombs sur des passants
Un adolescent âgé de 13 ans a été mis en examen mercredi après avoir tiré à plusieurs reprises sur des passants dans la rue, avec une arme de guerre factice et une carabine à air comprimé.
D'après le parquet de Nantes, il a été mis en examen pour "violences avec armes", il fera l'objet d'une mesure de "liberté surveillée préjudicielle".
C'est le père de l'adolescent qui lui avait offert quelques jours auparavant une réplique d'arme tirant des billes ainsi qu'une carabine à air comprimé tirant des petits plombs. Aucune mesure n'a cependant été prise à l'encontre du père puisque ces deux armes ne nécessitent pas d'autorisation de détention spécifique. Celles-ci ont néanmoins été confisquées et seront détruites.
Lundi et mardi dernier, l'enfant, monté sur le toit de son immeuble, avait tiré en direction de la cour d'un collège, situé dans le quartier Malakoff à l'est de Nantes.
Le principal, qui se trouvait dans le cours lors des tirs, a immédiatement appelé la police. Le jeune a alors été interpellé le mardi après avoir été identifié à l'origine des faits.
Celui-ci avait également tiré dans la rue et avait blessé un passant, en le touchant à la base du cou. Le passant a tout de même reçu un jour d'interruption temporaire de travail. Le parquet de Nantes a indiqué mercredi : "nous avons régulièrement des affaires de ce type".
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/30/1428683-nantes-un-jeune-de-13-ans-tire-des-plombs-sur-des-passants.html
D'après le parquet de Nantes, il a été mis en examen pour "violences avec armes", il fera l'objet d'une mesure de "liberté surveillée préjudicielle".
C'est le père de l'adolescent qui lui avait offert quelques jours auparavant une réplique d'arme tirant des billes ainsi qu'une carabine à air comprimé tirant des petits plombs. Aucune mesure n'a cependant été prise à l'encontre du père puisque ces deux armes ne nécessitent pas d'autorisation de détention spécifique. Celles-ci ont néanmoins été confisquées et seront détruites.
Lundi et mardi dernier, l'enfant, monté sur le toit de son immeuble, avait tiré en direction de la cour d'un collège, situé dans le quartier Malakoff à l'est de Nantes.
Le principal, qui se trouvait dans le cours lors des tirs, a immédiatement appelé la police. Le jeune a alors été interpellé le mardi après avoir été identifié à l'origine des faits.
Celui-ci avait également tiré dans la rue et avait blessé un passant, en le touchant à la base du cou. Le passant a tout de même reçu un jour d'interruption temporaire de travail. Le parquet de Nantes a indiqué mercredi : "nous avons régulièrement des affaires de ce type".
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/30/1428683-nantes-un-jeune-de-13-ans-tire-des-plombs-sur-des-passants.html
Disparition d'une adolescente dans le Var
Maëlle, 14 ans, a disparu mardi soir du camping des Noguières, au Muy (Var). Selon les premiers éléments de l'enquête ouverte par le parquet de Draguignan, la jeune fille serait partie en compagnie d'un vendeur de beignet de 23 ans, originaire d'Ile-de-France, qu'elle fréquentait depuis quelques jours.
La jeune fille mesure 1m65, est blonde aux cheveux longs et a des yeux verts. Sa photo est disponible sur le site de Var Matin.
L'homme qui est censé l'accompagner mesure 1m90, est de corpulence mince, a les yeux verts et les cheveux courts
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/29/97001-20120829FILWWW00591-disparition-d-une-adolescente-dans-le-var.php
La jeune fille mesure 1m65, est blonde aux cheveux longs et a des yeux verts. Sa photo est disponible sur le site de Var Matin.
L'homme qui est censé l'accompagner mesure 1m90, est de corpulence mince, a les yeux verts et les cheveux courts
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/29/97001-20120829FILWWW00591-disparition-d-une-adolescente-dans-le-var.php
Agen : Il frappe sa compagne et s'enferme avec le bébé
Le réveil a été difficile, hier, pour ce couple et leur enfant de trois mois, habitants de la cité Rodrigues à Agen, rue Georges-Cuvier.
La veille, lundi, cette jeune maman, 20 ans, d'un bébé de trois mois avait annoncé à son compagnon et père de l'enfant son intention de le quitter.
Ce dernier, 23 ans et déjà en attente d'une comparution devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour d'autres violences, sur une ancienne compagne, l'a mal pris. Au réveil donc, vers 8 heures du matin, il s'en est pris à sa compagne. Elle fait état de coups au visage, et tête frappée contre un mur. Lui parle de gifle. La victime a dix jours d'incapacité totale de travail.
Le jeune homme n'a pas été plus avenant avec les policiers. Alors que sa compagne est sortie de l'appartement pour prévenir les policiers, il se serait enfermé à l'intérieur, avec le bébé. A l'arrivée des forces de l'ordre, il a menacé de s'en prendre à eux. De fait, l'un des fonctionnaires de police s'est pris un coup de tête.
Lorsque le jeune homme est finalement sorti de l'appartement, après quelques minutes de pourparlers, il a été conduit en cellule de dégrisement, au commissariat de police. Il avait plus d'un gramme d'alcool dans le sang. Et un couteau de cuisine dans sa poche.Il doit comparaître, ce matin, devant le tribunal correctionnel.
http://www.sudouest.fr/2012/08/29/agen-il-frappe-sa-compagne-et-s-enferme-avec-le-bebe-806723-3603.php
La veille, lundi, cette jeune maman, 20 ans, d'un bébé de trois mois avait annoncé à son compagnon et père de l'enfant son intention de le quitter.
Ce dernier, 23 ans et déjà en attente d'une comparution devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour d'autres violences, sur une ancienne compagne, l'a mal pris. Au réveil donc, vers 8 heures du matin, il s'en est pris à sa compagne. Elle fait état de coups au visage, et tête frappée contre un mur. Lui parle de gifle. La victime a dix jours d'incapacité totale de travail.
Le jeune homme n'a pas été plus avenant avec les policiers. Alors que sa compagne est sortie de l'appartement pour prévenir les policiers, il se serait enfermé à l'intérieur, avec le bébé. A l'arrivée des forces de l'ordre, il a menacé de s'en prendre à eux. De fait, l'un des fonctionnaires de police s'est pris un coup de tête.
Lorsque le jeune homme est finalement sorti de l'appartement, après quelques minutes de pourparlers, il a été conduit en cellule de dégrisement, au commissariat de police. Il avait plus d'un gramme d'alcool dans le sang. Et un couteau de cuisine dans sa poche.Il doit comparaître, ce matin, devant le tribunal correctionnel.
http://www.sudouest.fr/2012/08/29/agen-il-frappe-sa-compagne-et-s-enferme-avec-le-bebe-806723-3603.php
mercredi 29 août 2012
Une enfant de 10 ans victime de tortures à Vallauris
Durant prés de six mois, de mars à août, une fillette de 10 ans aurait subi des actes de maltraitance caractérisée entre torture et coups, de la part de son oncle et de sa tante au domicile de ses parents.
Alertée par un coup de fil anonyme, la brigade de protection des mineurs s'est saisie de l'enquête.
L'enfant porte des stigmates de nombreux coups portés sur tout le corps et s'est vu notifié quatre jours d'interruption totale de travail.
Les quatre adultes, parents, oncle et tante, ont été placés sous contrôle judiciaire en attendant de comparaitre devant le tribunal de Grasse le 1er octobre.
La fillette, elle, a été placée en foyer d'accueil.
http://www.nicematin.com/vallauris/une-enfant-de-10-ans-victime-de-tortures-a-vallauris.975790.html
Alertée par un coup de fil anonyme, la brigade de protection des mineurs s'est saisie de l'enquête.
L'enfant porte des stigmates de nombreux coups portés sur tout le corps et s'est vu notifié quatre jours d'interruption totale de travail.
Les quatre adultes, parents, oncle et tante, ont été placés sous contrôle judiciaire en attendant de comparaitre devant le tribunal de Grasse le 1er octobre.
La fillette, elle, a été placée en foyer d'accueil.
http://www.nicematin.com/vallauris/une-enfant-de-10-ans-victime-de-tortures-a-vallauris.975790.html
Ivre, il braque... deux policiers en civil
Un homme totalement ivre a tenté de voler les téléphones de deux personnes dans
une rue de Paris ce week-end. Manque de chance, il s'agissait de deux policiers
en civil.
Totalement ivre et brandissant un couteau, un homme a tenté de
voler les téléphones de deux personnes qui discutaient dans une rue de Paris
dans la nuit de samedi à dimanche, mais, pas de chance, il s'agissait de
policiers en civil, a-t-on appris mercredi de source policière.
La scène s'est déroulée lundi vers 4h du matin sur les Grands
boulevards parisiens. Les deux policiers de la Brigade anti-criminalité de nuit
du IIe arrondissement parisien ont immédiatement maîtrisé l'apprenti voleur, qui
n'a opposé "aucune résistance", selon cette source. Après être passé en cellule
de dégrisement, l'homme, âgé de 23 ans, a été déféré au parquet de Paris.
Un homme blessé par balle dans un village du Var
Un homme d'une quarantaine d'années, vivant en famille dans une rue tranquille du village de Tourves dans le Var, a été blessé par balle, dans la nuit de mardi à mercredi, par plusieurs hommes armés et cagoulés.
Sur les coups de 23 heures, deux ou trois détonations ont retenti, suivies de longs cris. Puis des riverains, témoins de la scène, affirment avoir vu deux hommes s'enfuir en courant, des valises dans chaque main.
La victime a été transportée par hélicoptère aux urgences de la Timone à Marseille. Ses jours ne seraient pas en danger.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-homme-blesse-par-balle-dans-un-village-du-var.975484.html
Sur les coups de 23 heures, deux ou trois détonations ont retenti, suivies de longs cris. Puis des riverains, témoins de la scène, affirment avoir vu deux hommes s'enfuir en courant, des valises dans chaque main.
La victime a été transportée par hélicoptère aux urgences de la Timone à Marseille. Ses jours ne seraient pas en danger.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-homme-blesse-par-balle-dans-un-village-du-var.975484.html
Un couple et ses enfants victimes d'un home-jacking à Spéracèdes
Ce mardi à 5 h 30, un groupe d'individus encagoulés et armés a pénétré dans une villa de Spéracèdes, près de Grasse. À l'intérieur, le couple de propriétaires qui dormait encore, ne tarde pas à être réveillé, menacé et agressé avec une arme à feu.
Le soleil n'est pas encore levé, l'homme de 65 ans, alerté par du bruit à l'extérieur, sort de sa maison. Il tombe nez à nez sur les intrus qui le frappent. Sa femme, plus jeune, subit le même sort. Dans la maison, les deux enfants qui dormaient sont sous le choc.
Le véhicule volé, retrouvé à Grasse
Après avoir fait main basse sur l'argent en liquide trouvé dans la villa, les individus, dont certains étaient casqués, repartent au volant de la Mercedes des victimes.
Quelques heures plus tard, en milieu de matinée, le véhicule volé, est retrouvé abandonné par un équipage de la police municipale sur la route de Draguignan, à Grasse. « Nous ne désespérons pas de retrouver de l'ADN, que ce soit dans le véhicule ou dans la maison. Nous ne sommes qu'au début de l'enquête », indiquait hier soir le procureur de la République Jean-Michel Cailliau.
Les investigations ont été confiées à la Brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Grasse.
Les victimes choquées, n'ont pas été transportées à l'hôpital. « Cependant, j'ai insisté pour qu'il y ait une prise en charge ou une aide psychologique à leur disposition », précisait le procureur de la République.
http://www.nicematin.com/grasse/un-couple-et-ses-enfants-victimes-dun-home-jacking-a-speracedes.975108.html
Le soleil n'est pas encore levé, l'homme de 65 ans, alerté par du bruit à l'extérieur, sort de sa maison. Il tombe nez à nez sur les intrus qui le frappent. Sa femme, plus jeune, subit le même sort. Dans la maison, les deux enfants qui dormaient sont sous le choc.
Le véhicule volé, retrouvé à Grasse
Après avoir fait main basse sur l'argent en liquide trouvé dans la villa, les individus, dont certains étaient casqués, repartent au volant de la Mercedes des victimes.
Quelques heures plus tard, en milieu de matinée, le véhicule volé, est retrouvé abandonné par un équipage de la police municipale sur la route de Draguignan, à Grasse. « Nous ne désespérons pas de retrouver de l'ADN, que ce soit dans le véhicule ou dans la maison. Nous ne sommes qu'au début de l'enquête », indiquait hier soir le procureur de la République Jean-Michel Cailliau.
Les investigations ont été confiées à la Brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie de Grasse.
Les victimes choquées, n'ont pas été transportées à l'hôpital. « Cependant, j'ai insisté pour qu'il y ait une prise en charge ou une aide psychologique à leur disposition », précisait le procureur de la République.
http://www.nicematin.com/grasse/un-couple-et-ses-enfants-victimes-dun-home-jacking-a-speracedes.975108.html
Unieux: disparition inquiétante d'un jeune homme de 25 ans
Vu le problème lié au numéro de téléphone, l'article est supprimé!
Cependant il peut être consulté sur ce lien ....http://www.leprogres.fr/loire/2012/08/28/unieux-un-jeune-homme-de-25-ans-disparu-depuis-dimanche-soir
Cependant il peut être consulté sur ce lien ....http://www.leprogres.fr/loire/2012/08/28/unieux-un-jeune-homme-de-25-ans-disparu-depuis-dimanche-soir
Rixe à la fête du village / Le jeune homme toujours dans un état grave
Le pronostic vital de Christophe, 18 ans, frappé avec un objet pointu ce week-end, est toujours engagé. Le témoignage de sa sœur, qui était présente lors de la rixe, aurait permis d'identifier l'agresseur.
CHRISTOPHE D, le jeune homme de 18 ans domicilié à Autrecourt-et-Pourron, qui a été grièvement blessé au foie, avec un objet pointu samedi vers 2 heures du matin, était toujours hospitalisé hier dans un état jugé grave au centre hospitalier de Manchester.
Aux dernières nouvelles, l'auteur de l'agression était toujours en fuite et recherché par les gendarmes, selon les informations recueillies auprès du substitut du procureur de la République de Charleville-Mézières.
Les faits se sont déroulés à une centaine de mètres de la salle des fêtes où le bal, organisé par les jeunes du village, battait son plein. Lors de la rixe, le jeune homme de 18 ans a été grièvement blessé au foie.
Selon les premiers éléments de l'enquête, dirigée par le commandant de la compagnie de gendarmerie de Sedan, tous les protagonistes participaient au bal du village lorsqu'ils se sont retrouvés, pour des raisons que l'enquête devra déterminer, à l'extérieur de la salle des fêtes, au niveau des installations de la fête foraine.
La victime a été touchée à l'angle d'une maison, à proximité d'une piscine gonflable avant de faire quelques pas et de s'écrouler sur de la chaussée. Des traces de sang étaient encore visibles, samedi matin, sur le mur et sur le sol de la terrasse.
Le témoignage de la sœur
Christophe D. a été frappé avec un objet pointu. Sur la nature de l'arme utilisée par l'agresseur, les enquêteurs restent très vagues. Ils attendent le résultat des expertises médicales pour la déterminer.
Selon une source proche de l'enquête, les secours sont restés plus d'une demi-heure à pratiquer un massage cardiaque sur le blessé avant de le médicaliser et de le transporter au centre hospitalier de Manchester où il a subi une opération chirurgicale.
Dans le cadre des investigations, les gendarmes ont interrogé hier plusieurs personnes dont la sœur de la victime qui était aux côtés de son frère lorsque ce dernier a été touché. C'est d'ailleurs elle qui aurait alerté les secours. Un témoignage qui s'est avéré primordial car, selon une source, il aurait permis d'identifier l'agresseur.
Le travail des enquêteurs pour déterminer les circonstances de la rixe et la cause de l'agression devrait porter ses fruits dans les prochains jours. Pour l'heure, les principaux protagonistes de la bagarre ont déjà franchi les portes de la compagnie de gendarmerie de Sedan où ils ont été interrogés.
Du côté de la famille de la victime, c'est la consternation. Un parent proche de Christophe nous faisait part, hier, de ses nombreuses interrogations dans cette affaire.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/rixe-a-la-fete-du-village-le-jeune-homme-toujours-dans-un-etat-grave
CHRISTOPHE D, le jeune homme de 18 ans domicilié à Autrecourt-et-Pourron, qui a été grièvement blessé au foie, avec un objet pointu samedi vers 2 heures du matin, était toujours hospitalisé hier dans un état jugé grave au centre hospitalier de Manchester.
Aux dernières nouvelles, l'auteur de l'agression était toujours en fuite et recherché par les gendarmes, selon les informations recueillies auprès du substitut du procureur de la République de Charleville-Mézières.
Les faits se sont déroulés à une centaine de mètres de la salle des fêtes où le bal, organisé par les jeunes du village, battait son plein. Lors de la rixe, le jeune homme de 18 ans a été grièvement blessé au foie.
Selon les premiers éléments de l'enquête, dirigée par le commandant de la compagnie de gendarmerie de Sedan, tous les protagonistes participaient au bal du village lorsqu'ils se sont retrouvés, pour des raisons que l'enquête devra déterminer, à l'extérieur de la salle des fêtes, au niveau des installations de la fête foraine.
La victime a été touchée à l'angle d'une maison, à proximité d'une piscine gonflable avant de faire quelques pas et de s'écrouler sur de la chaussée. Des traces de sang étaient encore visibles, samedi matin, sur le mur et sur le sol de la terrasse.
Le témoignage de la sœur
Christophe D. a été frappé avec un objet pointu. Sur la nature de l'arme utilisée par l'agresseur, les enquêteurs restent très vagues. Ils attendent le résultat des expertises médicales pour la déterminer.
Selon une source proche de l'enquête, les secours sont restés plus d'une demi-heure à pratiquer un massage cardiaque sur le blessé avant de le médicaliser et de le transporter au centre hospitalier de Manchester où il a subi une opération chirurgicale.
Dans le cadre des investigations, les gendarmes ont interrogé hier plusieurs personnes dont la sœur de la victime qui était aux côtés de son frère lorsque ce dernier a été touché. C'est d'ailleurs elle qui aurait alerté les secours. Un témoignage qui s'est avéré primordial car, selon une source, il aurait permis d'identifier l'agresseur.
Le travail des enquêteurs pour déterminer les circonstances de la rixe et la cause de l'agression devrait porter ses fruits dans les prochains jours. Pour l'heure, les principaux protagonistes de la bagarre ont déjà franchi les portes de la compagnie de gendarmerie de Sedan où ils ont été interrogés.
Du côté de la famille de la victime, c'est la consternation. Un parent proche de Christophe nous faisait part, hier, de ses nombreuses interrogations dans cette affaire.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/rixe-a-la-fete-du-village-le-jeune-homme-toujours-dans-un-etat-grave
mardi 28 août 2012
Nord: un homme tué, le fils s'accuse
Le fils d'un homme de 58 ans tué dimanche à Marpent, dans le Nord, par des tirs de fusil, s'accuse du meurtre qui serait lié à un conflit familial, selon une source judiciaire, confirmant une information de La Voix du Nord.
Le fils de la victime, âgé d'environ 28 ans et qui vivait avec ses parents, affirme avoir tiré deux coups de fusil sur son père pour protéger sa mère, menacée d'un couteau lors d'une dispute conjugale. Il s'est ensuite senti menacé par son père, selon lui. Les tensions étaient importantes au sein de la famille, selon la source.
Le mis en cause est accusé d'homicide volontaire sur ascendant et doit être présenté cet après-midi devant un juge d'instruction. L'information judiciaire doit déterminer si le mis en cause était ou non en état de légitime défense. Une autopsie est prévue demain matin.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/28/97001-20120828FILWWW00461-nord-un-homme-tue-le-fils-s-accuse.php
Le fils de la victime, âgé d'environ 28 ans et qui vivait avec ses parents, affirme avoir tiré deux coups de fusil sur son père pour protéger sa mère, menacée d'un couteau lors d'une dispute conjugale. Il s'est ensuite senti menacé par son père, selon lui. Les tensions étaient importantes au sein de la famille, selon la source.
Le mis en cause est accusé d'homicide volontaire sur ascendant et doit être présenté cet après-midi devant un juge d'instruction. L'information judiciaire doit déterminer si le mis en cause était ou non en état de légitime défense. Une autopsie est prévue demain matin.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/28/97001-20120828FILWWW00461-nord-un-homme-tue-le-fils-s-accuse.php
Piqué par des frelons asiatiques, le retraité frôle la mort
Un septuagénaire a été piqué à six reprises par des frelons asiatiques vendredi soir alors qu'il était en train de nettoyer une citerne. L'homme était transporté dans un état comateux à l'hôpital de Gourdon. Il a regagné depuis son domicile où il se remet lentement du choc subi.
Pendant l'été, le gros frelon noir et jaune avait fait peu parler de lui et de ses festins à l'entrée des ruches. Le frelon asiatique avait-il migré ? La chaleur caniculaire avait-elle anesthésié ses instincts voraces ? Certains l'espéraient mais, depuis vendredi soir, on sait que l'insecte n'a rien perdu de sa dangerosité. Un retraité de Saint-Chamarand en a fait la douloureuse expérience. Piqué à plusieurs reprises, cet homme de 73 ans a échappé de peu à la mort. Aujourd'hui, Bernard Bouard se remet lentement du choc subi mais porte sur le corps les séquelles des piqûres.
Le jour de l'accident, le retraité avait décidé de nettoyer une citerne en ciment utilisée pour recueillir l'eau de pluie. Juché sur le réservoir, Bernard Bouard commence à ôter la poussière et heurte involontairement un nid de frelon. L'insecte, énervé ne lui laissera pas le temps de se replier. Le septuagénaire subit six piqûres de la tête aux pieds mais trouve encore la force de glisser le long de l'échelle, pour s'écrouler, inanimé, quelques mètres plus loin. L'alerte est donnée et la rapidité d'intervention des sapeurs-pompiers venus de Gourdon lui sauvera la vie. La victime est évacuée toujours inconsciente sur l'hôpital de Gourdon. Les antiallergiques vont agir très vite et environ 24 heures après avoir été piqué, Bernard Bouard pouvait regagner son domicile. «Il faut alerter les pouvoirs publics, les élus, ce frelon asiatique est extrêmement dangereux. Mon père n'aurait pas eu une corpulence forte, je ne sais pas s'il en aurait réchappé» insiste Carole Bouard, la fille de la victime.
Le nid a été détruit par un apiculteur de Saint-Cirq Souillaguais. Les destructeurs et insectiseurs recommencent à avoir du travail. Un autre nid a été détruit hier matin près du pont Valentré à Cahors, un second aurait été repéré dans le quartier de Cabessut. Sur Gagnac, dans le Nord du département, un de ces «ballons» a été repéré sous un toit.
«Ils (les frelons asiatiques) sont revenus et pas seulement dans le Lot, la moitié du pays serait infesté» confirme Michel Bétaille, le président du Groupement de défense sanitaire des abeilles.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/28/1427024-saint-chamarand-pique-par-des-frelons-asiatiques-le-retraite-frole-la-mort.html
Pendant l'été, le gros frelon noir et jaune avait fait peu parler de lui et de ses festins à l'entrée des ruches. Le frelon asiatique avait-il migré ? La chaleur caniculaire avait-elle anesthésié ses instincts voraces ? Certains l'espéraient mais, depuis vendredi soir, on sait que l'insecte n'a rien perdu de sa dangerosité. Un retraité de Saint-Chamarand en a fait la douloureuse expérience. Piqué à plusieurs reprises, cet homme de 73 ans a échappé de peu à la mort. Aujourd'hui, Bernard Bouard se remet lentement du choc subi mais porte sur le corps les séquelles des piqûres.
Le jour de l'accident, le retraité avait décidé de nettoyer une citerne en ciment utilisée pour recueillir l'eau de pluie. Juché sur le réservoir, Bernard Bouard commence à ôter la poussière et heurte involontairement un nid de frelon. L'insecte, énervé ne lui laissera pas le temps de se replier. Le septuagénaire subit six piqûres de la tête aux pieds mais trouve encore la force de glisser le long de l'échelle, pour s'écrouler, inanimé, quelques mètres plus loin. L'alerte est donnée et la rapidité d'intervention des sapeurs-pompiers venus de Gourdon lui sauvera la vie. La victime est évacuée toujours inconsciente sur l'hôpital de Gourdon. Les antiallergiques vont agir très vite et environ 24 heures après avoir été piqué, Bernard Bouard pouvait regagner son domicile. «Il faut alerter les pouvoirs publics, les élus, ce frelon asiatique est extrêmement dangereux. Mon père n'aurait pas eu une corpulence forte, je ne sais pas s'il en aurait réchappé» insiste Carole Bouard, la fille de la victime.
Le nid a été détruit par un apiculteur de Saint-Cirq Souillaguais. Les destructeurs et insectiseurs recommencent à avoir du travail. Un autre nid a été détruit hier matin près du pont Valentré à Cahors, un second aurait été repéré dans le quartier de Cabessut. Sur Gagnac, dans le Nord du département, un de ces «ballons» a été repéré sous un toit.
«Ils (les frelons asiatiques) sont revenus et pas seulement dans le Lot, la moitié du pays serait infesté» confirme Michel Bétaille, le président du Groupement de défense sanitaire des abeilles.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/28/1427024-saint-chamarand-pique-par-des-frelons-asiatiques-le-retraite-frole-la-mort.html
Six mois pour un gymkhana bisontin en quad dans l’Écusson
Vous êtes venus faire du quad dans les rues de Montpellier ?", ironise le président Bruyère à l’endroit du prévenu. Dans le box de la correctionnelle, Hafid n’en mène pas large. Mais, malgré tout, se défend. Comme il le peut : "C’est eux qui sont partis en agressivité (sic). Ils ont commencé à courir vers moi, plusieurs ont voulu me sauter dessus. Dans la panique, j’ai accéléré."
Et quelle panique que celle créée rue du Plan-d’Agde puis près de la place Saint-Roch. Là où, vendredi soir, dans ces ruelles remplies de monde, comme l’est le péage de Saint-Arnoult un jour de chassé-croisé, Hafid et un copain, tous deux venus "en vacances de Besançon", ont traversé cette partie de l’Écusson, juché sur des quads.
Et faisant, apparemment, peu cas des piétons qui s’y trouvaient. Et a commencé par heurter la jambe d’une dame, aurait ensuite souri en expliquant qu’il fallait se pousser. De là, des proches de la victime l’auraient coursé. Ni une, ni deux, le garçon aurait accéléré "et délibérément foncé sur un autre piéton", selon les témoignages, avant de lui rouler sur le corps !
Puis de tenter de fuir aux policiers municipaux qui essayaient de le stopper, avant que l’un d’eux ne parvienne à le désarçonner de sa monture mécanique. "Il n’a pas tenu compte de nos injonctions. Il nous a esquivés", ont déclaré les deux agents dans leur déposition.
"Même moi, je contrôlais pas. Je l’ai pas fait exprès !", justifie Hafid.
"Toutes ces déclarations font peur", lance en écho le magistrat, en épluchant les cotes du dossier. Il enchaîne : "Vous n’avez pas un très bon rapport avec l’autorité il semble." Il est vrai que le jeune homme a déjà eu maille à partir avec l’institution judiciaire. Notamment pour des outrages, des violences et une rébellion avec des agents de la force publique.
"Il l’a volontairement percuté et, pire encore, roulé dessus !", insiste l’avocat de la partie civile. "Il essaie de vous vendre la théorie selon laquelle il avait peur. Mais ses déclarations sont truffées d’incohérences. Sa version ne tient pas un seul instant", estime le représentant du parquet, avant de requérir six mois ferme assortis d’un maintien en détention contre Hafid.
"Dans l’action, je veux bien croire qu’il a accéléré et paniqué. Sur l’intention volontaire que l’on cherche à retenir, je ne suis pas d’accord", plaide Me Hermes en défense.
Au final, les magistrats ont finalement condamné Hafid à six mois, intégralement assortis d’un sursis.
Et quelle panique que celle créée rue du Plan-d’Agde puis près de la place Saint-Roch. Là où, vendredi soir, dans ces ruelles remplies de monde, comme l’est le péage de Saint-Arnoult un jour de chassé-croisé, Hafid et un copain, tous deux venus "en vacances de Besançon", ont traversé cette partie de l’Écusson, juché sur des quads.
Et faisant, apparemment, peu cas des piétons qui s’y trouvaient. Et a commencé par heurter la jambe d’une dame, aurait ensuite souri en expliquant qu’il fallait se pousser. De là, des proches de la victime l’auraient coursé. Ni une, ni deux, le garçon aurait accéléré "et délibérément foncé sur un autre piéton", selon les témoignages, avant de lui rouler sur le corps !
Puis de tenter de fuir aux policiers municipaux qui essayaient de le stopper, avant que l’un d’eux ne parvienne à le désarçonner de sa monture mécanique. "Il n’a pas tenu compte de nos injonctions. Il nous a esquivés", ont déclaré les deux agents dans leur déposition.
"Même moi, je contrôlais pas. Je l’ai pas fait exprès !", justifie Hafid.
"Toutes ces déclarations font peur", lance en écho le magistrat, en épluchant les cotes du dossier. Il enchaîne : "Vous n’avez pas un très bon rapport avec l’autorité il semble." Il est vrai que le jeune homme a déjà eu maille à partir avec l’institution judiciaire. Notamment pour des outrages, des violences et une rébellion avec des agents de la force publique.
"Il l’a volontairement percuté et, pire encore, roulé dessus !", insiste l’avocat de la partie civile. "Il essaie de vous vendre la théorie selon laquelle il avait peur. Mais ses déclarations sont truffées d’incohérences. Sa version ne tient pas un seul instant", estime le représentant du parquet, avant de requérir six mois ferme assortis d’un maintien en détention contre Hafid.
"Dans l’action, je veux bien croire qu’il a accéléré et paniqué. Sur l’intention volontaire que l’on cherche à retenir, je ne suis pas d’accord", plaide Me Hermes en défense.
Au final, les magistrats ont finalement condamné Hafid à six mois, intégralement assortis d’un sursis.
Saintes : un riverain tente de s'intoxiquer au gaz
Les habitants de la rue du Général Sarrail, dans le centre-ville de Saintes, se souviendront probablement longtemps de cette nuit du 25 août. Il était environ une heure du matin, quand la police est intervenue pour évacuer une dizaine de logements, autour du numéro 69, où un homme d'une quarantaine d'années qui vivait seul a allumé le gaz, tentant de se donner la mort.
« Ça sentait fort dans la rue », témoigne un voisin qui est parti à toute hâte. « Apparemment, à l'intérieur de l'appartement, l'air était tout bonnement irrespirable », explique une maman relatant le témoignage de son fils, qui a tout entendu. « Quand les secours sont entrés, ils toussaient énormément », explique-t-elle.
« Ils ont sonné cinq ou six fois à ma porte, relate ce jeune voisin. Au début, nous avons cru à des plaisantins. Puis ils nous ont crié ''évacuez, évacuez''. Alors nous sommes partis nous réfugier chez de la famille avant de pouvoir revenir une heure plus tard », poursuit-il.
« Quelqu'un de discret »
« C'était quelqu'un de discret, poli et gentil », témoigne une voisine. Personne, dans le quartier n'imaginait qu'un tel geste pourrait se produire. C'est dire l'atmosphère qui régnait samedi matin. L'homme, lui, évacué dans un état inquiétant, a finalement pu sortir 24 heures plus tard de l'hôpital de Saintes
http://www.sudouest.fr/2012/08/27/un-riverain-tente-de-s-intoxiquer-au-gaz-804584-1531.php
« Ça sentait fort dans la rue », témoigne un voisin qui est parti à toute hâte. « Apparemment, à l'intérieur de l'appartement, l'air était tout bonnement irrespirable », explique une maman relatant le témoignage de son fils, qui a tout entendu. « Quand les secours sont entrés, ils toussaient énormément », explique-t-elle.
« Ils ont sonné cinq ou six fois à ma porte, relate ce jeune voisin. Au début, nous avons cru à des plaisantins. Puis ils nous ont crié ''évacuez, évacuez''. Alors nous sommes partis nous réfugier chez de la famille avant de pouvoir revenir une heure plus tard », poursuit-il.
« Quelqu'un de discret »
« C'était quelqu'un de discret, poli et gentil », témoigne une voisine. Personne, dans le quartier n'imaginait qu'un tel geste pourrait se produire. C'est dire l'atmosphère qui régnait samedi matin. L'homme, lui, évacué dans un état inquiétant, a finalement pu sortir 24 heures plus tard de l'hôpital de Saintes
http://www.sudouest.fr/2012/08/27/un-riverain-tente-de-s-intoxiquer-au-gaz-804584-1531.php
lundi 27 août 2012
Un centre de bronzage brûle, un mort
Une personne est morte dans l'incendie d'un centre de bronzage dans le XIIIe arrondissement de Paris cet après-midi, selon une source policière.
Selon les premiers éléments, l'incendie pourrait avoir été déclenché par une "étui à lunettes laissé sur une lampe à bronzer", selon cette source. Trois personnes qui se trouvaient dans ce centre de bronzage, avenue d'Italie à Paris, ont pu être évacuées, a précisé cette source.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00508-paris-un-centre-de-bronzage-a-pris-feu.php
Selon les premiers éléments, l'incendie pourrait avoir été déclenché par une "étui à lunettes laissé sur une lampe à bronzer", selon cette source. Trois personnes qui se trouvaient dans ce centre de bronzage, avenue d'Italie à Paris, ont pu être évacuées, a précisé cette source.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00508-paris-un-centre-de-bronzage-a-pris-feu.php
Cinq heures de retard pour quatre TGV entre Angers et Nantes
Dimanche soir, à 21 h, un câble haute tension ERDF est tombé sur une caténaire de la SNCF au niveau de la commune Le Cellier, dans le pays d’Ancenis. Bilan : quatre TGV et un train intercité bloqués en gare d’Angers, arrivant à destination avec cinq heures de retard.
Pour les passagers, beaucoup de familles rentrant de vacances ou des enfants de retour de colonie de vacances, il a fallu s’armer de patience. En raison de la durée d’intervention nécessaire pour ce type d’incident, les trains en provenance de Montpellier, Paris ou Lille ont fait marche arrière.
Indemnisation de 75 % du billet
Pour contourner le Cellier, près de 600 passagers ont été regroupés dans un même train. Direction Le Mans puis Rennes. Pour arrivée à Nantes aux alentours de 4 h du matin. À leur arrivée, les passagers ont été pris en charge. Certains poursuivaient jusqu’à la côte. « Ils seront indemnisés à hauteur de 75 % de leur billet », promet la SNCF.
Dès l’annonce de la déviation empruntée, de nombreux passagers ont opté pour un retour à Nantes par leur propre moyen. Taxis collectifs, covoiturages ou nuit à Angers se sont organisés spontanément.
Au Cellier, toujours en lien avec la chute du câble, les pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de tableaux électriques chez des riverains
Sa voiture prend feu, il la déclare volée
C'est une drôle d'histoire de dénonciation mensongère doublée d'une «combustion spontanée» d'un véhicule dont les gendarmes lauzertains sont venus à bout. Tout commence un matin de dimanche, au lendemain des fêtes de Fauroux. Un Marseillais en vacances du côté de Montcuq se présente à la brigade de Lauzerte pour le vol de son véhicule cette même nuit. Les militaires enquêtent et très vite, le véhicule est découvert entièrement calciné à Saint-Cyprien, village situé près… de Montcuq. Entre en scène «l'expert», le technicien en identification criminelle de proximité. Ses constatations et les témoignages recueillis mettent à mal la thèse du vol. Entendu sur les faits reprochés, la victime devenue auteur reconnaît avoir menti. Il explique alors qu'à la suite d'un accident matériel, il voulait regagner sa maison lotoise mais la voiture aurait subitement pris feu. Paniqué, il l'aurait abandonné dans un lieu isolé. Surprenant enchaînement de circonstances qui ne l'auront pas empêché de revenir sur Fauroux avec un ami puis dès le lendemain, prévenir son assurance et porter plainte. L'auteur est convoqué devant le tribunal correctionnel de Montauban au mois d'octobre pour répondre de ses actes délictuels
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/27/1426273-lauzerte-sa-voiture-prend-feu-il-la-declare-volee.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/27/1426273-lauzerte-sa-voiture-prend-feu-il-la-declare-volee.html
Col de Pavezin: un couple de motards grièvement blessé
Dimanche, en début d’après-midi, une moto a été percutée par un véhicule sur la RD7, à la hauteur du Col de Pavezin dans le Pilat. A bord du deux-roues, le couple de trentenaires habitant Pélussin a été grièvement blessé.
L'homme a été transporté sur l’Hôpital de Lyon sud, tandis que la femme a été dirigée sur le CHU de Saint-Etienne.
Un adolescent de 12 ans tombe du 3e étage
Les faits se sont déroulés vendredi vers 23 heures. Un adolescent âgé de 12 ans est tombé d'un balcon dans le quartier d'Orzy. D'après les premiers éléments de l'enquête, il aurait chuté en voulant récupérer un portable qui lui avait échappé des mains.
LA vie reprend peu à peu son cours mais les habitants de l'immeuble Pierre-Roux, dans le quartier d'Orzy à Revin, restent choqués et attristés par l'accident qui s'est produit vendredi.
La soirée a tourné au drame lorsqu'aux alentours de 23 heures, un enfant de 12 ans est tombé d'un balcon situé au troisième étage.
Les locataires de l'immeuble, géré par l'organisme de logement Espace Habitat, ont été réveillés par les cris d'une femme. Son enfant prénommé Mohamed est tombé sur le trottoir, trois étages plus bas.
« Je suis descendu avec la mère. Quand on est arrivé, l'enfant criait », raconte une voisine.
Les habitants ont tenté de garder l'adolescent éveillé en attendant l'arrivée des secours. « Ce sont des gens très gentils, qui ne demandent jamais rien à personne. Le père est très proche de son fils. Je suis triste pour eux » témoigne une voisine.
Arrivés quelques minutes plus tard sur les lieux du drame, les sapeurs-pompiers de Revin et une équipe médicale du SMUR ont prodigué les premiers soins à l'adolescent qui était conscient.
Transféré à l'hôpital de Reims
Mohamed a d'abord été conduit en ambulance médicalisée au centre hospitalier Manchester à Charleville-Mézières puis il a été transféré dans la nuit au centre hospitalier universitaire de Reims, où il a subi une opération chirurgicale.
Les gendarmes de la compagnie de Revin se sont aussi rendus sur les lieux de l'accident.
Une enquête a aussitôt été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de la chute du garçon.
Selon les premiers éléments de l'enquête, un portable tombé en bas de l'immeuble serait à l'origine de la chute.
Le garçon aurait tenté de récupérer le portable et aurait chuté sur le trottoir.
Hier après-midi, les gendarmes sont revenus dans le quartier pour interroger des riverains ainsi que les membres de la famille qui étaient présents dans l'appartement au moment des faits.
Interrogé sur cette affaire, le substitut du procureur de la République de Charleville-Mézières a confirmé qu'il s'agissait d'une chute accidentelle.
La magistrate a aussi expliqué que l'état de santé de l'enfant était grave mais que son pronostic vital n'était pas engagé.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-adolescent-de-12-ans-tombe-du-3e-etage
LA vie reprend peu à peu son cours mais les habitants de l'immeuble Pierre-Roux, dans le quartier d'Orzy à Revin, restent choqués et attristés par l'accident qui s'est produit vendredi.
La soirée a tourné au drame lorsqu'aux alentours de 23 heures, un enfant de 12 ans est tombé d'un balcon situé au troisième étage.
Les locataires de l'immeuble, géré par l'organisme de logement Espace Habitat, ont été réveillés par les cris d'une femme. Son enfant prénommé Mohamed est tombé sur le trottoir, trois étages plus bas.
« Je suis descendu avec la mère. Quand on est arrivé, l'enfant criait », raconte une voisine.
Les habitants ont tenté de garder l'adolescent éveillé en attendant l'arrivée des secours. « Ce sont des gens très gentils, qui ne demandent jamais rien à personne. Le père est très proche de son fils. Je suis triste pour eux » témoigne une voisine.
Arrivés quelques minutes plus tard sur les lieux du drame, les sapeurs-pompiers de Revin et une équipe médicale du SMUR ont prodigué les premiers soins à l'adolescent qui était conscient.
Transféré à l'hôpital de Reims
Mohamed a d'abord été conduit en ambulance médicalisée au centre hospitalier Manchester à Charleville-Mézières puis il a été transféré dans la nuit au centre hospitalier universitaire de Reims, où il a subi une opération chirurgicale.
Les gendarmes de la compagnie de Revin se sont aussi rendus sur les lieux de l'accident.
Une enquête a aussitôt été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de la chute du garçon.
Selon les premiers éléments de l'enquête, un portable tombé en bas de l'immeuble serait à l'origine de la chute.
Le garçon aurait tenté de récupérer le portable et aurait chuté sur le trottoir.
Hier après-midi, les gendarmes sont revenus dans le quartier pour interroger des riverains ainsi que les membres de la famille qui étaient présents dans l'appartement au moment des faits.
Interrogé sur cette affaire, le substitut du procureur de la République de Charleville-Mézières a confirmé qu'il s'agissait d'une chute accidentelle.
La magistrate a aussi expliqué que l'état de santé de l'enfant était grave mais que son pronostic vital n'était pas engagé.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-adolescent-de-12-ans-tombe-du-3e-etage
dimanche 26 août 2012
Sarthe : il sauve 4 enfants des flammes
Gilda Garbin est devenu par son courage, un véritable héros à Sablé-sur-Sarthe (Sarthe). Jeudi après-midi, un violent incendie se déclare au quatrième étage d'un bâtiment, dans le quartier de Montreux. Au balcon d'un appartement : quatre enfants en pleurs, âgés de 6 à 14 ans, qui tentent de se mettre à l'abri des flammes.
Un riverain témoin de la scène aperçoit alors un jeune homme se ruer dans le bâtiment. Gilda Garbin, un ancien militaire, monte jusqu'au dernier étage, casse la porte de l'appartement à coups de pied et évacue les quatre enfants. «J'ai pris un enfant à droite, l'autre à gauche et j'ai dit à un troisième de bien se tenir à mon tee-shirt pour descendre les escaliers, on ne voyait plus rien» raconte le jeune homme de 29 ans. Particulièrement modeste, il ajoute : «n'importe qui aurait fait comme moi, quand il s'agit de sauver des enfants».
Très vite, une trentaine de sapeurs-pompiers se déploie sur place. Ils procèdent à l'évacuation de tout le bâtiment. «Les enfants n'ont pas été blessés, ils n'ont pas été transportés au centre hospitalier, ils vont tous bien», indique le major Pointecouteau.
Aucune victime n'est à déplorer, mais les dégâts sont important. Sept familles doivent être relogées. Une enquête est ouverte par la gendarmerie afin de déterminer les causes de l'incendie. Le directeur du centre communal d'action sociale et les responsables de Sarthe Habitat, propriétaire de l'immeuble, étaient sur place pour étudier les solutions de relogement. «Certaines familles seront hébergées par des parents, et pour les autres, nous cherchons des chambres d'hôtel» explique Nicolas Fossey, directeur du CCAS
http://www.leparisien.fr/faits-divers/sarthe-il-sauve-4-enfants-des-flammes-26-08-2012-2137538.php
Un riverain témoin de la scène aperçoit alors un jeune homme se ruer dans le bâtiment. Gilda Garbin, un ancien militaire, monte jusqu'au dernier étage, casse la porte de l'appartement à coups de pied et évacue les quatre enfants. «J'ai pris un enfant à droite, l'autre à gauche et j'ai dit à un troisième de bien se tenir à mon tee-shirt pour descendre les escaliers, on ne voyait plus rien» raconte le jeune homme de 29 ans. Particulièrement modeste, il ajoute : «n'importe qui aurait fait comme moi, quand il s'agit de sauver des enfants».
Très vite, une trentaine de sapeurs-pompiers se déploie sur place. Ils procèdent à l'évacuation de tout le bâtiment. «Les enfants n'ont pas été blessés, ils n'ont pas été transportés au centre hospitalier, ils vont tous bien», indique le major Pointecouteau.
Aucune victime n'est à déplorer, mais les dégâts sont important. Sept familles doivent être relogées. Une enquête est ouverte par la gendarmerie afin de déterminer les causes de l'incendie. Le directeur du centre communal d'action sociale et les responsables de Sarthe Habitat, propriétaire de l'immeuble, étaient sur place pour étudier les solutions de relogement. «Certaines familles seront hébergées par des parents, et pour les autres, nous cherchons des chambres d'hôtel» explique Nicolas Fossey, directeur du CCAS
http://www.leparisien.fr/faits-divers/sarthe-il-sauve-4-enfants-des-flammes-26-08-2012-2137538.php
Lacapelle-Cabanac. Rixe mortelle: un père et son fils écroués
Comment une querelle de voisinage amorcée par l'excès de bruit a tourné au drame rue du Lot à Saint-Vite (47) dans la soirée du samedi 18 août et se solde par la mort de Martial Monclin, un ferrailleur lotois de 50 ans, originaire de Lacapelle-Cabanac, marié et père de quatre enfants ? La garde à vue d'un père âgé de 38 ans et de son fils de 18 ans, interpellés lundi soir par les gendarmes, a permis d'apporter des éclaircissements sur les circonstances.
Excédée, le samedi 18 août vers 18 heures, par du tapage généré par un groupe de jeunes dans la rue, la victime vient siffler la fin de la partie.
Le fils en question évolue dans la bande. L'homme repart mais le trouble persiste. Il revient une seconde fois, peut-être équipé d'une matraque, et une altercation germe cette fois avec le père, arrivé dans l'intervalle. L'entrevue houleuse tourne au pugilat physique entre le père et la victime qui se retrouvent face à face.
D'après les auditions, le fils serait arrivé dans le dos de cette dernière et lui aurait asséné sur le crâne des coups de queue de billard. Des assauts violents qui laisseront peu de chance au quinquagénaire de s'en sortir.
Dès le départ, son pronostic vital était engagé. Martial Monclin décédera mardi soir à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. Les mis en cause qui vivent dans la même rue que le ferrailleur, appartiennent à la communauté des gens du voyage sédentarisés.
Le jeune est sans profession. Il se peut que l'altercation ait eu lieu dans un contexte d'alcoolisation, difficile à démontrer dans la mesure où l'arrestation des suspects a eu lieu 48 heures après.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/26/1425813-lacapelle-cabanac-rixe-mortelle-un-pere-et-son-fils-ecroues.html
Excédée, le samedi 18 août vers 18 heures, par du tapage généré par un groupe de jeunes dans la rue, la victime vient siffler la fin de la partie.
Le fils en question évolue dans la bande. L'homme repart mais le trouble persiste. Il revient une seconde fois, peut-être équipé d'une matraque, et une altercation germe cette fois avec le père, arrivé dans l'intervalle. L'entrevue houleuse tourne au pugilat physique entre le père et la victime qui se retrouvent face à face.
D'après les auditions, le fils serait arrivé dans le dos de cette dernière et lui aurait asséné sur le crâne des coups de queue de billard. Des assauts violents qui laisseront peu de chance au quinquagénaire de s'en sortir.
Dès le départ, son pronostic vital était engagé. Martial Monclin décédera mardi soir à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. Les mis en cause qui vivent dans la même rue que le ferrailleur, appartiennent à la communauté des gens du voyage sédentarisés.
Le jeune est sans profession. Il se peut que l'altercation ait eu lieu dans un contexte d'alcoolisation, difficile à démontrer dans la mesure où l'arrestation des suspects a eu lieu 48 heures après.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/26/1425813-lacapelle-cabanac-rixe-mortelle-un-pere-et-son-fils-ecroues.html
Nord: 1400 foyers privés de gaz
Environ 1.400 foyers ont été privés de gaz après qu'une entreprise de travaux
publics eut endommagé une conduite à Baisieux dans le Nord.
L'incident qui s'est déroulé samedi matin a nécessité de couper l'arrivée de
gaz et
a privé de gaz 1.400 clients, en grande majorité à Baisieux, commune située non
loin de la frontière belge, et dans deux communes voisines.
GRDF, qui a pu accéder à la partie endommagée en début d'après-midi, travaillait à la remise en route de l'accès au gaz des clients touchés et espérait un retour à la normale pour 75% d'entre eux avant 22H00. Le reste des usagers devait retrouver l'accès au gaz dimanche matin. Les pompiers sont intervenus mais personne n'a dû être évacué, a précisé le distributeur GRDF.
Pour toute question concernant la remise en route de l'accès, les personnes
concernées peuvent contacter le 0800 47 33 33.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/nord-1400-foyers-prives-de-gaz-7474008.html
GRDF, qui a pu accéder à la partie endommagée en début d'après-midi, travaillait à la remise en route de l'accès au gaz des clients touchés et espérait un retour à la normale pour 75% d'entre eux avant 22H00. Le reste des usagers devait retrouver l'accès au gaz dimanche matin. Les pompiers sont intervenus mais personne n'a dû être évacué, a précisé le distributeur GRDF.
Pour toute question concernant la remise en route de l'accès, les personnes
concernées peuvent contacter le 0800 47 33 33.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/nord-1400-foyers-prives-de-gaz-7474008.html
Agen : de la prison ferme pour une conduite en état d'ivresse
C'était dimanche dernier. Rachid Douiri, 42 ans, d'origine marocaine et vivant à Agen, a été contrôlé par les gendarmes à hauteur d'Antagnac. Il était 11 heures du matin, l'homme présentait un taux d'alcoolémie de 1,20 g / l de sang.
Lors de sa comparution immédiate, hier matin, il a raconté avoir passé une soirée festive et alcoolisée à Biscarrosse avec des amis, samedi soir. À une heure du matin, il se couche dans sa voiture, mais à 6 h 30, l'ami agenais qui l'accompagnait le réveille pour rentrer. Ce dernier conduit, mais comme il zigzague, Rachid Douiri reprend le volant.
Lors du contrôle de gendarmerie, le conducteur donne le nom de son frère, Ali Douiri, son cadet de trois ans. Convoqué lundi dernier à la gendarmerie d'Agen, l'homme ne se présente pas, déclenchant une enquête de gendarmerie. L'épouse du frère finit par informer les forces de l'ordre de l'usurpation d'identité.
Bien connu des services de gendarmerie et du parquet, Rachid Douiri a déjà été condamné à huit reprises dont quatre pour conduite en état d'ivresse. Sa première condamnation avait aussi eu lieu pour blessures involontaires liées à la conduite sous empire alcoolique. Chaque fois, son permis avait été annulé. Les deux dernières condamnations de ce dernier remontent au 3 janvier et au 4 mai dernier pour conduite en état d'ivresse et pour menaces et appels téléphoniques malveillant.
Permis de conduire annulé
Sans surprise, le réquisitoire de la vice-procureur, Violaine Jardel, a été sans concession. « La lutte contre l'insécurité routière est une priorité du parquet, a-t-elle débuté. Cette année, 39 personnes sont décédées sur les routes du Lot-et-Garonne. Chaque fois, les principaux facteurs étaient la vitesse et l'alcool. »
Reprochant à Rachid Douiri de se présenter en tant que victime « de tout », de son alcoolisme, des services sociaux qui n'ont pu lui trouver de solution adéquate et enfin des agents de tutelle qui ont eu la charge de le protéger, la vice-procureur a fortement regretté que l'homme ne se soit jamais remis en cause. La vice-procureur a requis une condamnation de huit mois de prison ferme et un mandat de dépôt à son encontre.
Le conseil de Rachid Douiri, Me Bruneau, a plaidé la défaillance du système. « Son propre frère avait déclaré qu'il fallait faire quelque chose avant qu'un drame ne se produise, or ce n'est pas à la famille de décider du placement en cure de désintoxication, a-t-il expliqué. C'est à la justice d'en prendre la décision. Il faut souhaiter pour la société que Rachid soit hospitalisé et non emprisonné. »
Le juge Colette Lajoie a finalement tranché pour une peine de 4 mois de prison ferme, espérant ainsi provoquer une prise de conscience chez Rachid Douiri. En outre, son permis a été annulé, avec interdiction de le repasser durant 8 mois. Elle a également prononcé une peine de 15 jours de prison ferme pour l'usurpation d'identité du frère, déposé un mandat de dépôt à son encontre et prononcé l'obligation de se faire soigner à sa sortie de prison.
http://www.sudouest.fr/2012/08/25/de-la-prison-ferme-pour-une-conduite-en-etat-d-ivresse-803454-3603.php
Lors de sa comparution immédiate, hier matin, il a raconté avoir passé une soirée festive et alcoolisée à Biscarrosse avec des amis, samedi soir. À une heure du matin, il se couche dans sa voiture, mais à 6 h 30, l'ami agenais qui l'accompagnait le réveille pour rentrer. Ce dernier conduit, mais comme il zigzague, Rachid Douiri reprend le volant.
Lors du contrôle de gendarmerie, le conducteur donne le nom de son frère, Ali Douiri, son cadet de trois ans. Convoqué lundi dernier à la gendarmerie d'Agen, l'homme ne se présente pas, déclenchant une enquête de gendarmerie. L'épouse du frère finit par informer les forces de l'ordre de l'usurpation d'identité.
Bien connu des services de gendarmerie et du parquet, Rachid Douiri a déjà été condamné à huit reprises dont quatre pour conduite en état d'ivresse. Sa première condamnation avait aussi eu lieu pour blessures involontaires liées à la conduite sous empire alcoolique. Chaque fois, son permis avait été annulé. Les deux dernières condamnations de ce dernier remontent au 3 janvier et au 4 mai dernier pour conduite en état d'ivresse et pour menaces et appels téléphoniques malveillant.
Permis de conduire annulé
Sans surprise, le réquisitoire de la vice-procureur, Violaine Jardel, a été sans concession. « La lutte contre l'insécurité routière est une priorité du parquet, a-t-elle débuté. Cette année, 39 personnes sont décédées sur les routes du Lot-et-Garonne. Chaque fois, les principaux facteurs étaient la vitesse et l'alcool. »
Reprochant à Rachid Douiri de se présenter en tant que victime « de tout », de son alcoolisme, des services sociaux qui n'ont pu lui trouver de solution adéquate et enfin des agents de tutelle qui ont eu la charge de le protéger, la vice-procureur a fortement regretté que l'homme ne se soit jamais remis en cause. La vice-procureur a requis une condamnation de huit mois de prison ferme et un mandat de dépôt à son encontre.
Le conseil de Rachid Douiri, Me Bruneau, a plaidé la défaillance du système. « Son propre frère avait déclaré qu'il fallait faire quelque chose avant qu'un drame ne se produise, or ce n'est pas à la famille de décider du placement en cure de désintoxication, a-t-il expliqué. C'est à la justice d'en prendre la décision. Il faut souhaiter pour la société que Rachid soit hospitalisé et non emprisonné. »
Le juge Colette Lajoie a finalement tranché pour une peine de 4 mois de prison ferme, espérant ainsi provoquer une prise de conscience chez Rachid Douiri. En outre, son permis a été annulé, avec interdiction de le repasser durant 8 mois. Elle a également prononcé une peine de 15 jours de prison ferme pour l'usurpation d'identité du frère, déposé un mandat de dépôt à son encontre et prononcé l'obligation de se faire soigner à sa sortie de prison.
http://www.sudouest.fr/2012/08/25/de-la-prison-ferme-pour-une-conduite-en-etat-d-ivresse-803454-3603.php
samedi 25 août 2012
Montbéliard : ils braquent une bijouterie et tiennent en joue des passants
Braquage éclair ce matin entre 9 h 30 et 10 h dans la rue piétonne de Montbéliard (Doubs). Deux individus arrivés sur une moto de cross sans plaque d’immatriculation ont attaqué la bijouterie Chapatte. Des témoins affirment que le passager arrière de la moto en serait descendu pour s’introduire dans la boutique et fracturer les vitrines de bijoux à l’aide d’un marteau qui aurait été laissé sur place. Le personnel d’une pharmacie située en face a également entendu deux coups de feu, sans doute d’un pistolet à grenaille. Une douille était visible sur le sol. Une employée du magasin, voyant l’individu casqué et tout de noir vêtu, pénétrer dans les lieux, a hurlé et s’est réfugiée à l’arrière, à côté de la patronne de l’enseigne, qui est restée accroupie pendant les longues de secondes du hold-up. Pendant ce temps, le conducteur de la moto, resté sur son engin, a dégainé « un pistolet » et a balayé la rue à 360 degrés, menaçant de tirer sur les passants semblant un peu trop téméraires. Les braqueurs, qui pourraient être un homme et une femme, auraient aussi fait usage de gaz lacrymogène.
Les commerçants voisins, paniqués, ont verrouillé leurs portes et attendu l’arrivée de la police. Une zone d’exclusion a été délimitée devant la bijouterie au moyen de rubalise. Choquée, la propriétaire a été secourue par les pompiers, ainsi que l’employée. Toutes les deux ont refusé d’être conduites aux urgences.
Une troisième personne, une commerçante voisine immédiate de la bijouterie, a été transportée à l’hôpital. La valeur des marchandises dérobée n’a pas été communiquée. La moto a pris la fuite en direction de la gare SNCF.
Crash d'avion/Doubs: pas de survivant
Aucun des quatre Suisses à bord de l'avion d'affaires qui s'est écrasé vendredi soir à proximité de Solemont, à une trentaine de kilomètres de Montbéliard (Doubs), n'a survécu au crash, a indiqué aujourd'hui le procureur de la République de Belfort.
"Il n'y a pas de survivant. On a tous les moyens spécialisés sur place pour retrouver les corps des victimes et la carlingue de l'avion, mais les recherches pourraient prendre un certain temps", a indiqué le procureur, Alexandre Chevrier.
Ces recherches, interrompues vendredi vers 22h00, ont repris samedi matin à 7h00. Un responsable des secours sur place, le lieutenant-colonel Dominique Fraysse, a indiqué en milieu de journée que des corps avaient été retrouvés, sans préciser leur nombre. "Au regard de la violence du choc, l'identification pourrait être relativement longue", a-t-il dit. "Sur le plan de vol figuraient quatre personnes de nationalité suisse, mais on ne pourra être sûrs qu'elles étaient bien dans l'avion qu'après avoir retrouvé et identifié les corps", a souligné le procureur.
Mais dès vendredi, le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, par ailleurs conseiller délégué de l'agglomération du Pays de Montbéliard, a exprimé son "émotion" et a adressé "aux familles des quatre victimes sa profonde sympathie", dans un communiqué.
L'avion touché par la foudre ?
Le plan de vol mentionnait la présence d'un pilote de 57 ans et de trois passagers: une jeune femme de 20 ans, un homme de 36 ans et un autre de 51 ans. L'avion, un petit jet d'affaires d'une vingtaine de places de type PC-12, s'est écrasé sur un plateau, au-dessus d'une barrière rocheuse sur le territoire de la commune de Solemont, vendredi à 18 heures.
Les secours ont retrouvé des débris de l'appareil, qui aurait décollé d'Anvers en Belgique et se dirigeait vers Berne en Suisse, environ 40 minutes après qu'il a émis un appel de détresse, ont rapporté la préfecture et la gendarmerie.
"Plusieurs habitants m'ont dit qu'ils avaient vu l'avion être touché par la foudre", a dit vendredi soir le maire de Solemont, Didier Grillot
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/25/97001-20120825FILWWW00273-crash-d-un-aviondoubs-pas-de-survivant.php
"Il n'y a pas de survivant. On a tous les moyens spécialisés sur place pour retrouver les corps des victimes et la carlingue de l'avion, mais les recherches pourraient prendre un certain temps", a indiqué le procureur, Alexandre Chevrier.
Ces recherches, interrompues vendredi vers 22h00, ont repris samedi matin à 7h00. Un responsable des secours sur place, le lieutenant-colonel Dominique Fraysse, a indiqué en milieu de journée que des corps avaient été retrouvés, sans préciser leur nombre. "Au regard de la violence du choc, l'identification pourrait être relativement longue", a-t-il dit. "Sur le plan de vol figuraient quatre personnes de nationalité suisse, mais on ne pourra être sûrs qu'elles étaient bien dans l'avion qu'après avoir retrouvé et identifié les corps", a souligné le procureur.
Mais dès vendredi, le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, par ailleurs conseiller délégué de l'agglomération du Pays de Montbéliard, a exprimé son "émotion" et a adressé "aux familles des quatre victimes sa profonde sympathie", dans un communiqué.
L'avion touché par la foudre ?
Le plan de vol mentionnait la présence d'un pilote de 57 ans et de trois passagers: une jeune femme de 20 ans, un homme de 36 ans et un autre de 51 ans. L'avion, un petit jet d'affaires d'une vingtaine de places de type PC-12, s'est écrasé sur un plateau, au-dessus d'une barrière rocheuse sur le territoire de la commune de Solemont, vendredi à 18 heures.
Les secours ont retrouvé des débris de l'appareil, qui aurait décollé d'Anvers en Belgique et se dirigeait vers Berne en Suisse, environ 40 minutes après qu'il a émis un appel de détresse, ont rapporté la préfecture et la gendarmerie.
"Plusieurs habitants m'ont dit qu'ils avaient vu l'avion être touché par la foudre", a dit vendredi soir le maire de Solemont, Didier Grillot
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/25/97001-20120825FILWWW00273-crash-d-un-aviondoubs-pas-de-survivant.php
Début de week-end meurtrier sur les routes de Paca
Sales nuit et début de matinée sur les routes et autoroutes de Paca. Au total : trois personnes ont trouvé la mort et plusieurs autres ont été blessées dans différents accidents de la route. Les Bouches-du-Rhône ont été particulièrement touchés. En effet, deux accidents mortels se sont produits dans ce département.
Le premier a eu lieu en fin de soirée à hauteur de Martigues, sur la route saint-Julien. Une jeune fille a trouvé la mort après l'embardée de la voiture dans laquelle se trouvaient plusieurs autres membres de sa famille, dont l'un d'entre eux a été gravement blessé.
Ce matin, à 5h30, c'est au niveau d'Arles, qu'un sexagénaire a trouvé la mort sur la route nationale 572 à Arles. Sa voiturette sans permis a été percutée par un poids-lourd. Sa passagère est, quant à elle, blessée.
Le troisième accident a eu lieu à hauteur de Toulon sur l'A57. Cette nuit, vers une heure du matin, un motard a percuté par l'arrière une voiture qui a pris la fuite. Un second véhicule a roulé sur les deux victimes. Résultat de ce tragique concours de circonstances : un mort et un blessé grave.
Pour rappel, hier après-midi, dans un accident sur la RD9, on avait déjà déploré un mort et plusieurs blessés.
Aujourd'hui, la journée est classée rouge par Bison futé. Ces faits divers devraient inciter la plupart des automobilistes à faire preuve de la plus grande prudence...
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/debut-de-week-end-meurtrier-sur-les-routes-de-paca
Le premier a eu lieu en fin de soirée à hauteur de Martigues, sur la route saint-Julien. Une jeune fille a trouvé la mort après l'embardée de la voiture dans laquelle se trouvaient plusieurs autres membres de sa famille, dont l'un d'entre eux a été gravement blessé.
Ce matin, à 5h30, c'est au niveau d'Arles, qu'un sexagénaire a trouvé la mort sur la route nationale 572 à Arles. Sa voiturette sans permis a été percutée par un poids-lourd. Sa passagère est, quant à elle, blessée.
Le troisième accident a eu lieu à hauteur de Toulon sur l'A57. Cette nuit, vers une heure du matin, un motard a percuté par l'arrière une voiture qui a pris la fuite. Un second véhicule a roulé sur les deux victimes. Résultat de ce tragique concours de circonstances : un mort et un blessé grave.
Pour rappel, hier après-midi, dans un accident sur la RD9, on avait déjà déploré un mort et plusieurs blessés.
Aujourd'hui, la journée est classée rouge par Bison futé. Ces faits divers devraient inciter la plupart des automobilistes à faire preuve de la plus grande prudence...
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/debut-de-week-end-meurtrier-sur-les-routes-de-paca
Les voleurs confondus à cause de leur tee-shirt
Soirée faste pour les policiers castrais qui mardi ont résolu plusieurs affaires de vol d'un seul coup. Vers 23h15, le commissariat reçoit un appel sur le 17 d'un riverain qui leur signale avoir aperçu des individus sur le toit de l'école Jacques-Prévert à Lameilhé. Aussitôt, une patrouille se rend sur place. La voiture de police met en fuite les deux individus qui s'étaient introduits dans l'école en fracturant une fenêtre de toit. Ils n'ont pas eu le temps de dérober quoi que ce soit mais ils ont laissé un tee-shirt sur place. Les policiers font quelques tours dans le quartier à la recherche des voleurs et tombent sur une fourgonnette stationnée à proximité avec deux hommes torse nu au volant. Les policiers les contrôlent et leur présentent le vêtement que le conducteur reconnaît comme le sien. Conduits en garde à vue, les deux hommes, deux gitans du camp de la Vivarié, âgés de 18 et 19 ans, connus des services de police, vont nier le cambriolage mais reconnaître plusieurs vols à la roulotte début juillet dans le quartier de Laden. Il s'avérera en effet que le tee-shirt ne leur appartient pas et qu'ils avaient juste voulu profiter de la situation pour le garder. Car dans le même temps, deux jeunes adolescents se sont présentés au commissariat dans la nuit affirmant qu'on leur avait volé un tee-shirt ! Ce dernier, décidemment trés convointé, était celui retrouvé à l'école. Confondus, les deux jeunes Castrais, âgés de 13 et 15 ans, vont finalement reconnaître la tentative de cambriolage ainsi que deux vols dans des voitures commis à Lameilhé dans la nuit du 19 au 20 août. Les quatre individus ont été remis en liberté en attendant les suites de l'enquête. Car les enquêteurs attendent que toutes les victimes des vols à la roulotte viennent déposer plainte pour boucler définitivement l'affaire résolue grâce au bon réflexe d'un riverain qui a composé le numéro de Police secours: le 17.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/25/1424956-castres-les-voleurs-confondus-a-cause-de-leur-tee-shirt.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/25/1424956-castres-les-voleurs-confondus-a-cause-de-leur-tee-shirt.html
Un crâne humain découvert dans le lac de Kruth-Wildenstein
Un crâne humain a été découvert ce vendredi en fin de matinée à proximité du barrage du lac de Kruth-Wildenstein par des plongeurs pompiers de Mulhouse, qui effectaient un entraînement au niveau de l'ouvrage. Vers 11 h 10, un plongeur s'est retrouvé fortuitement nez à nez avec ce qui pouvait ressembler à un crâne humain. Ce morceau d'os reposait par 16 mètres de profondeur sur des sédiments. Immédiatement, les plongeurs ont alerté les gendarmes de Fellering, qui eux-mêmes ont averti les gendarmes plongeurs de la fluviale de Vogelgrun, spécialistes dans ce genre de découverte aquatique. Ces derniers sont intervenus vers 14 h et ont pu remonter à la surface l'objet de la découverte, moins d'une heure après.
Il s'agit bien d'un crâne humain, mais il est incomplet. Il manque la mâchoire et les dents. Pour l'instant, selon les enquêteurs, Il est trop tôt pour dire si il s'agit d'un crâne d'homme ou de femme. Il est probable que ce crâne ait été jeté depuis la digue. Les gendarmes enquêteurs de la brigade de recherches de la compagnie de Thann se sont rendus sur place, de même que le nouveau chef d'escadron, le commandant Pascal Forfert, ainsi que le maire Claude Walgenwitz. Une inspection plus approndie du lac devrait être réalisée la semaine prochaine par les gendarmes plongeurs. Ils devront s'assurer qu'il n'y a pas d'autres ossements à proximité du lieu de la découverte. Le crâne va être passé au crible afin de déterminer combien de temps il a séjourné dans l'eau et peut-être connaître son origine.
http://www.lalsace.fr/actualite/2012/08/24/un-crane-humain-decouvert-dans-le-lac-de-kruth-wildenstein
Il s'agit bien d'un crâne humain, mais il est incomplet. Il manque la mâchoire et les dents. Pour l'instant, selon les enquêteurs, Il est trop tôt pour dire si il s'agit d'un crâne d'homme ou de femme. Il est probable que ce crâne ait été jeté depuis la digue. Les gendarmes enquêteurs de la brigade de recherches de la compagnie de Thann se sont rendus sur place, de même que le nouveau chef d'escadron, le commandant Pascal Forfert, ainsi que le maire Claude Walgenwitz. Une inspection plus approndie du lac devrait être réalisée la semaine prochaine par les gendarmes plongeurs. Ils devront s'assurer qu'il n'y a pas d'autres ossements à proximité du lieu de la découverte. Le crâne va être passé au crible afin de déterminer combien de temps il a séjourné dans l'eau et peut-être connaître son origine.
http://www.lalsace.fr/actualite/2012/08/24/un-crane-humain-decouvert-dans-le-lac-de-kruth-wildenstein
Il incendie la voiture de sa mère devant son domicile
Samir S. a comparu hier devant le tribunal correctionnel de Lille pour avoir mis le feu au véhicule de sa mère. Il nie les faits, mais son oncle et sa grand-mère sont témoins.
Il a été placé en détention provisoire en attendant son jugement.
Le 21 août, Samir S. aurait, sous le coup de la colère, mis le feu à la voiture de sa mère. « Je peux pas avoir fait ça.
Ma mère, c'est la personne que j'ai de plus chère au monde », se défend-il devant le président Lemaire. Pourtant, son oncle et sa grand-mère témoignent l'avoir vu faire.
Sa mère a expliqué qu'il lui demandait tout le temps de l'argent, que s'il était un gentil garçon, il avait changé depuis deux ans, qu'elle n'arrive plus à gérer sa délinquance. Le jeune homme, tout juste majeur, a déjà six condamnations au casier judiciaire, essentiellement pour des vols. Le prévenu s'offusque : « Si elle pense que je suis comme ça, je vais aller vivre chez mon père. Comme ça elle me verra plus. » Mais qui aurait donc incendié le véhicule dans ce cas ? Samir S. a affirmé devant les services de police qu'il connaissait l'auteur des faits mais aurait ajouté : « Je m'en occuperai moi-même, je saurai mieux faire que vous. » Après quoi il aurait tenté de s'évader de sa garde à vue.
Autant d'éléments qui poussent le procureur à requérir le placement en détention provisoire en attendant son jugement le 6 septembre. Il est suivi par le tribunal
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2012/08/24/il-incendie-la-voiture-de-sa-mere-devant.shtml
Il a été placé en détention provisoire en attendant son jugement.
Le 21 août, Samir S. aurait, sous le coup de la colère, mis le feu à la voiture de sa mère. « Je peux pas avoir fait ça.
Ma mère, c'est la personne que j'ai de plus chère au monde », se défend-il devant le président Lemaire. Pourtant, son oncle et sa grand-mère témoignent l'avoir vu faire.
Sa mère a expliqué qu'il lui demandait tout le temps de l'argent, que s'il était un gentil garçon, il avait changé depuis deux ans, qu'elle n'arrive plus à gérer sa délinquance. Le jeune homme, tout juste majeur, a déjà six condamnations au casier judiciaire, essentiellement pour des vols. Le prévenu s'offusque : « Si elle pense que je suis comme ça, je vais aller vivre chez mon père. Comme ça elle me verra plus. » Mais qui aurait donc incendié le véhicule dans ce cas ? Samir S. a affirmé devant les services de police qu'il connaissait l'auteur des faits mais aurait ajouté : « Je m'en occuperai moi-même, je saurai mieux faire que vous. » Après quoi il aurait tenté de s'évader de sa garde à vue.
Autant d'éléments qui poussent le procureur à requérir le placement en détention provisoire en attendant son jugement le 6 septembre. Il est suivi par le tribunal
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2012/08/24/il-incendie-la-voiture-de-sa-mere-devant.shtml
vendredi 24 août 2012
Le corps de la jeune femme disparue retrouvé dans la gravière
Le corps de la jeune femme recherchée depuis la nuit de vendredi à samedi derniers a été retrouvé hier vers 16 heures par les plongeurs de la compagnie fluviale de Strasbourg dans la gravière située au nord-ouest de l’usine Rohm and Haas à Lauterbourg.
C’est dans ce secteur, à proximité duquel elle avait disparu, que les gendarmes concentraient leurs recherches depuis cinq jours. Une vingtaine de militaires de la compagnie de Wissembourg ont ratissé à pied la zone également survolée plusieurs fois par hélicoptère. La gravière, très vaste et dont la froideur de l’eau a empêché le corps de remonter, était également sondée quotidiennement par les plongeurs.
La dépouille d’Audrey Huber, 33 ans, de Scheibenhard, a été transportée à l’institut médico-légal de Strasbourg où une autopsie sera pratiquée pour déterminer les circonstances de son décès.
http://www.dna.fr/edition-de-wissembourg/2012/08/24/le-corps-de-la-jeune-femme-disparue-retrouve-dans-la-graviere
C’est dans ce secteur, à proximité duquel elle avait disparu, que les gendarmes concentraient leurs recherches depuis cinq jours. Une vingtaine de militaires de la compagnie de Wissembourg ont ratissé à pied la zone également survolée plusieurs fois par hélicoptère. La gravière, très vaste et dont la froideur de l’eau a empêché le corps de remonter, était également sondée quotidiennement par les plongeurs.
La dépouille d’Audrey Huber, 33 ans, de Scheibenhard, a été transportée à l’institut médico-légal de Strasbourg où une autopsie sera pratiquée pour déterminer les circonstances de son décès.
http://www.dna.fr/edition-de-wissembourg/2012/08/24/le-corps-de-la-jeune-femme-disparue-retrouve-dans-la-graviere
Saint-Brieuc. Il menace 7 policiers avec une arme à feu
Un homme issu de la communauté des gens du voyage a menacé les forces de l’ordre dans une aire d’accueil à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) dans la nuit de mercredi à jeudi. Il est toujours recherché.
« Nous étions en train de fêter un anniversaire autour d’un barbecue » raconte un des membres de la communauté des gens du voyage installé dans l’aire d’accueil de Chaptal, à Saint-Brieuc.
Aux alentours de minuit, dans la nuit de mercredi à jeudi, la fête bat son plein quand plusieurs policiers du commissariat arrivent. Ils ont été appelés par des riverains dérangés par le bruit. « C’est peut-être quelqu’un du camp qui les a appelés » se demande un homme.
Pas de coup de feu
Les forces de l’ordre leur demandent d’éteindre la musique. Puis le ton monte. L’un des convives se dirige vers sa voiture. Il ouvre le coffre et se saisit d’un fusil. Il aurait alors menacé les sept agents de police. Mais il n’a pas tiré. Il a réussi à prendre la fuite à bord d’une voiture et a laissé l’arme à feu sur place. Elle a été récupérée par les enquêteurs.
Selon l’un des invités à la soirée, l’homme était de passage à Saint-Brieuc pour acheter une voiture. Du côté du commissariat, rien n’a filtré hier sur cette affaire. En revanche, le parquet de Saint-Brieuc a confirmé, hier soir, qu’un homme était toujours recherché pour avoir menacé des policiers avec une arme à feu.
Robert Lund définitivement reconnu coupable de la mort de sa femme
Après avoir été condamné par trois fois par une cour d'Assises et deux cours d'appel à 12 ans de réclusion criminelle pour «violences volontaires ayant entraîné la mort» de sa femme Evelyn le 29 décembre 1999, Robert Lund, ressortissant anglais qui vivait à Rayssac, ne fera pas l'objet d'un examen devant la cour de Cassation. Les deux pourvois qu'il avait déposés avec son avocat Maître Legros-Gimbert après son dernier jugement à Montauban en décembre 2011, viennent tous d'être rejetés. Pour la justice française donc, Robert Lund est considéré comme définitivement coupable de la mort de sa femme même si la notion de meurtre prémédité a été écartée par les jurés.
Une page se tourne donc dans cette affaire hors normes qui avait débuté fin décembre 1999 par la disparition d'Evelyn Lund-Wilkinson alors qu'elle rentrait d'une visite à des amis à Réalmont. Robert Lund avait alors déclaré la disparition de sa femme, expliquant qu'elle n'était jamais revenue à la maison ce jour-là. Deux ans plus tard, c'est au fond du lac de la Bancalié que l'on a retrouvé la dépouille d'Evelyn Lund dans sa voiture.
À partir d'un faisceau d'éléments convergents, Robert Lund, principal suspect, a été incarcéré en novembre 2004. Le scénario retenu par les tribunaux a considéré qu'Evelyn Lund serait bien rentrée chez elle ce soir-là de fin décembre 1999 mais qu'au cours d'une dispute à son arrivée, Robert Lund l'aurait frappée et qu'elle serait morte des suites de ces violences avant qu'il n'aille faire disparaître son corps au fond du lac.
Pour autant, Robert Lund n'a jamais fléchi et a toujours nié être à l'origine de la mort de sa femme.
Le rejet de ses pourvois en cassation vient aujourd'hui «soulager définitivement» la famille d'Evelyn Lund-Wilkinson, comme l'indique son avocat castrais Maître Hervé Renier.
L'avocat de Robert Lund, Maître Legros-Gimbert estime pour sa part : «Certes, la cassation est rejetée. Mais aujourd'hui, Robert Lund doit pouvoir prétendre à une libération conditionnelle. Il a été condamné à 12 ans de réclusion mais voilà 8 ans pratiquement qu'il est incarcéré. Son comportement en prison est exemplaire et il n'a jamais cessé de travailler.»
Robert Lund enfin, aurait toujours la possibilité de se retourner contre l'État français devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Mais même si cette juridiction reconnaissait qu'il n'a pas été jugé de façon équitable, cela n'effacerait pas sa condamnation en France aujourd'hui définitive.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/24/1424399-robert-lund-definitivement-reconnu-coupable-de-la-mort-de-sa-femme.html
Une page se tourne donc dans cette affaire hors normes qui avait débuté fin décembre 1999 par la disparition d'Evelyn Lund-Wilkinson alors qu'elle rentrait d'une visite à des amis à Réalmont. Robert Lund avait alors déclaré la disparition de sa femme, expliquant qu'elle n'était jamais revenue à la maison ce jour-là. Deux ans plus tard, c'est au fond du lac de la Bancalié que l'on a retrouvé la dépouille d'Evelyn Lund dans sa voiture.
À partir d'un faisceau d'éléments convergents, Robert Lund, principal suspect, a été incarcéré en novembre 2004. Le scénario retenu par les tribunaux a considéré qu'Evelyn Lund serait bien rentrée chez elle ce soir-là de fin décembre 1999 mais qu'au cours d'une dispute à son arrivée, Robert Lund l'aurait frappée et qu'elle serait morte des suites de ces violences avant qu'il n'aille faire disparaître son corps au fond du lac.
Pour autant, Robert Lund n'a jamais fléchi et a toujours nié être à l'origine de la mort de sa femme.
Le rejet de ses pourvois en cassation vient aujourd'hui «soulager définitivement» la famille d'Evelyn Lund-Wilkinson, comme l'indique son avocat castrais Maître Hervé Renier.
L'avocat de Robert Lund, Maître Legros-Gimbert estime pour sa part : «Certes, la cassation est rejetée. Mais aujourd'hui, Robert Lund doit pouvoir prétendre à une libération conditionnelle. Il a été condamné à 12 ans de réclusion mais voilà 8 ans pratiquement qu'il est incarcéré. Son comportement en prison est exemplaire et il n'a jamais cessé de travailler.»
Robert Lund enfin, aurait toujours la possibilité de se retourner contre l'État français devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Mais même si cette juridiction reconnaissait qu'il n'a pas été jugé de façon équitable, cela n'effacerait pas sa condamnation en France aujourd'hui définitive.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/24/1424399-robert-lund-definitivement-reconnu-coupable-de-la-mort-de-sa-femme.html
Il escroque ses proches avant de se faire piéger via Facebook
Escroc, oui, mais constant dans l’effort ! Le 21 mars dernier, ce Montpelliérain âgé de 22 ans, ressort du commissariat après avoir été entendu dans le cadre d’une affaire d’escroquerie, de falsifications de faux et d’usage.
Le jour de l'audience, l’intéressé n’y pointe pas le bout de son nez
Avec, en poche, une convocation à se présenter à l’audience correctionnelle du 7 juin. Mais le jour de ladite audience, l’intéressé n’y pointe pas le bout de son nez. Et est condamné, par défaut, à deux ans de geôle, dont un ferme.
Une peine justifiée par le fait qu’il était alors sous le coup de la récidive légale et d’un sursis de six mois. Las. Car six jours après sa sortie de l’hôtel de police et quelques mois avant ses nouveaux ennuis judiciaires, le jeune homme n’a pas tardé à rééditer.
Ainsi le 27 mars, le garçon subtilise le chéquier de son paternel avec lequel il achète téléphones et matériel informatique sur internet, avant de revendre le tout dans des magasins spécialisés dans la vente de produits d’occasion.
Toujours avec ce même chéquier, il commande ensuite des billets de train puis récupère les numéros de la carte bancaire d’une amie pour effectuer de nouveaux achats sur la toile.
Le père se rend compte de la supercherie et dépose plainte
Début juillet, le père de l’aigrefin se rend compte de la supercherie et dépose plainte. D’autres suivent. En épluchant celles-ci, les limiers de la brigade financière de la sûreté départementale vont alors vite porter leurs soupçons sur le jeune homme, "un bon client pour le commissariat central", constate un observateur avisé.
Un habitué des geôles de garde à vue donc mais un peu corniaud sur les bords. Car alors que les policiers tentaient de le débusquer, ils l’ont finalement retrouvé sur Facebook.
Sur ce site, il avait donné rendez-vous à une connaissance dans un magasin de jeux vidéos situé sur la dalle du Triangle. Et s’était épanché plus avant en confiant qu’il allait prendre un train à 12 h 36 pour Mont-de-Marsan, où il comptait se mettre au vert quelque temps.
Les enquêteurs étaient au rendez-vous
Forts de ce précieux renseignement posté sur le net à point nommé, les enquêteurs sont donc, eux aussi, allés rendez-vous en question.
Interpellé puis placé en garde à vue, le jeune homme aurait reconnu les faits. Hier, à l’issue, il a été déféré au parquet puis placé en détention pour purger ces douze mois de sursis révoqués en juin.
À sa sortie de la maison d’arrêt, il devra ensuite se présenter à la barre du tribunal correctionnel dans le cadre de cette affaire. Dossier pour lequel les policiers ont, pour l’instant, identifié six victimes.
http://www.midilibre.fr/2012/08/23/il-escroque-ses-proches-avant-de-se-faire-pieger-via-facebook,551919.php
Le jour de l'audience, l’intéressé n’y pointe pas le bout de son nez
Avec, en poche, une convocation à se présenter à l’audience correctionnelle du 7 juin. Mais le jour de ladite audience, l’intéressé n’y pointe pas le bout de son nez. Et est condamné, par défaut, à deux ans de geôle, dont un ferme.
Une peine justifiée par le fait qu’il était alors sous le coup de la récidive légale et d’un sursis de six mois. Las. Car six jours après sa sortie de l’hôtel de police et quelques mois avant ses nouveaux ennuis judiciaires, le jeune homme n’a pas tardé à rééditer.
Ainsi le 27 mars, le garçon subtilise le chéquier de son paternel avec lequel il achète téléphones et matériel informatique sur internet, avant de revendre le tout dans des magasins spécialisés dans la vente de produits d’occasion.
Toujours avec ce même chéquier, il commande ensuite des billets de train puis récupère les numéros de la carte bancaire d’une amie pour effectuer de nouveaux achats sur la toile.
Le père se rend compte de la supercherie et dépose plainte
Début juillet, le père de l’aigrefin se rend compte de la supercherie et dépose plainte. D’autres suivent. En épluchant celles-ci, les limiers de la brigade financière de la sûreté départementale vont alors vite porter leurs soupçons sur le jeune homme, "un bon client pour le commissariat central", constate un observateur avisé.
Un habitué des geôles de garde à vue donc mais un peu corniaud sur les bords. Car alors que les policiers tentaient de le débusquer, ils l’ont finalement retrouvé sur Facebook.
Sur ce site, il avait donné rendez-vous à une connaissance dans un magasin de jeux vidéos situé sur la dalle du Triangle. Et s’était épanché plus avant en confiant qu’il allait prendre un train à 12 h 36 pour Mont-de-Marsan, où il comptait se mettre au vert quelque temps.
Les enquêteurs étaient au rendez-vous
Forts de ce précieux renseignement posté sur le net à point nommé, les enquêteurs sont donc, eux aussi, allés rendez-vous en question.
Interpellé puis placé en garde à vue, le jeune homme aurait reconnu les faits. Hier, à l’issue, il a été déféré au parquet puis placé en détention pour purger ces douze mois de sursis révoqués en juin.
À sa sortie de la maison d’arrêt, il devra ensuite se présenter à la barre du tribunal correctionnel dans le cadre de cette affaire. Dossier pour lequel les policiers ont, pour l’instant, identifié six victimes.
http://www.midilibre.fr/2012/08/23/il-escroque-ses-proches-avant-de-se-faire-pieger-via-facebook,551919.php
Saint-Pierre-du-Mont (40) : un cycliste tué sur la route, un automobiliste recherché
Un appel à témoins a été lancé ce jeudi matin, suite à la découverte du corps d'un cycliste de 57 ans sur la RD 321, petite route qui relie la rocade de Saint-Pierre-du-Mont à la commune de Benquet.
C'est un automobiliste qui a fait la macabre découverte, vers 6 h 45.
Selon les premières informations, la victime , demeurant à Bretagne-de-Marsan, se rendait sur son lieu de travail à la base aérienne 118 à Mont-de-Marsan quand un véhicule l'a percuté. Ce dernier a pris la fuite.
Les fonctionnaires de police du commissariat de Mont-de-Marsan, sont chargés de l'enquête.
Toute personne qui serait susceptible d'apporter des éléments supplémentaires à l'enquête est priée de se rapprocher du commissariat.
http://www.sudouest.fr/2012/08/23/saint-pierre-du-mont-40-un-cycliste-tue-sur-la-route-un-automobiliste-recherche-802011-3536.php
C'est un automobiliste qui a fait la macabre découverte, vers 6 h 45.
Selon les premières informations, la victime , demeurant à Bretagne-de-Marsan, se rendait sur son lieu de travail à la base aérienne 118 à Mont-de-Marsan quand un véhicule l'a percuté. Ce dernier a pris la fuite.
Les fonctionnaires de police du commissariat de Mont-de-Marsan, sont chargés de l'enquête.
Toute personne qui serait susceptible d'apporter des éléments supplémentaires à l'enquête est priée de se rapprocher du commissariat.
http://www.sudouest.fr/2012/08/23/saint-pierre-du-mont-40-un-cycliste-tue-sur-la-route-un-automobiliste-recherche-802011-3536.php
jeudi 23 août 2012
Lac de Chalain : le corps du quadragénaire noyé mercredi retrouvé
Le corps du quadragénaire, habitant Mathenay dans le Jura, a été localisé hier vers 16 heures lors d’une ultime plongée au fond du lac de Chalain.
La victime avait coulé à pic, mercredi après-midi, sous les yeux de son ami avec qui il faisait du pédalo. L’homme se trouvait dans l’eau, agrippé à l’engin le temps d’une baignade improvisée, lorsqu’il a lâché prise et paniqué, ne sachant pas nager. Malgré ses tentatives, son ami n’a rien pu faire pour le maintenir hors de l’eau. Les pompiers de Dole, Lons-le-Saunier et Beaufort ont mené les recherches avec les gendarmes lédoniens et leurs collègues plongeurs de Strasbourg. Ce sont eux qui ont remonté le corps en fin d’après-midi.
http://www.leprogres.fr/jura/2012/08/23/le-corps-du-quadragenaire-habitant-mathenay-dans-le-jura-a-ete-localise-hier-vers-16-heures-lors-d-une-ultime-plongee-au-fond-du-lac-de-chalain
La victime avait coulé à pic, mercredi après-midi, sous les yeux de son ami avec qui il faisait du pédalo. L’homme se trouvait dans l’eau, agrippé à l’engin le temps d’une baignade improvisée, lorsqu’il a lâché prise et paniqué, ne sachant pas nager. Malgré ses tentatives, son ami n’a rien pu faire pour le maintenir hors de l’eau. Les pompiers de Dole, Lons-le-Saunier et Beaufort ont mené les recherches avec les gendarmes lédoniens et leurs collègues plongeurs de Strasbourg. Ce sont eux qui ont remonté le corps en fin d’après-midi.
http://www.leprogres.fr/jura/2012/08/23/le-corps-du-quadragenaire-habitant-mathenay-dans-le-jura-a-ete-localise-hier-vers-16-heures-lors-d-une-ultime-plongee-au-fond-du-lac-de-chalain
Un Meusien se tue en voiture en Haute-Marne
Bar-le-Duc. Mardi aux environs de 16 h, Aurélien Pierron, un habitant de Brauvilliers (Meuse) âgé de 34 ans circulait sur la nationale 67 dans le sens Chaumont-Saint-Dizier. À hauteur du village de Gourzon sa Skoda Octavia a emprunté la bretelle de sortie où la vitesse est limitée à 70 km/h. Sa voiture n’a pas marqué le tournant mais a continué tout droit, franchi un fossé et les deux voies de circulation avant d’être propulsée sur une butte d’une dizaine de mètres de haut. Celle-ci a fait office de tremplin avant que le véhicule termine sa course dans des ronces.
Le conducteur était en arrêt cardiaque lorsque les secours sont arrivés sur place. Malgré leurs efforts, ils ne pourront pas réanimer ce jeune père de famille. C’est un camionneur qui suivait la Skoda qui a appelé les pompiers.
Un accident mortel s’était produit sur la même commune en juillet. L’enquête sur les circonstances exactes de cet accident a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Dizier.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/08/23/un-meusien-se-tue-en-voiture-en-haute-marne
Le conducteur était en arrêt cardiaque lorsque les secours sont arrivés sur place. Malgré leurs efforts, ils ne pourront pas réanimer ce jeune père de famille. C’est un camionneur qui suivait la Skoda qui a appelé les pompiers.
Un accident mortel s’était produit sur la même commune en juillet. L’enquête sur les circonstances exactes de cet accident a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Dizier.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/08/23/un-meusien-se-tue-en-voiture-en-haute-marne
Haute-Saône: 3 morts dans un accident
Deux hommes de 24 et 27 ans et une femme de 25 ans ont perdu la vie dans un accident de la route à Pomoy (Haute-Saône), dans la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris auprès des pompiers et de la gendarmerie.
Leur voiture, qui circulait dans le sens Lure-Vesoul, s'est déportée sur la gauche de la route nationale et a violemment percuté un poids lourd arrivant en sens inverse, vers 3 heures 30 jeudi matin, ont indiqué les mêmes sources.
Les trois jeunes gens, originaires de la région de Montbéliard (Doubs), sont morts sur le coup. Le conducteur du poids lourd est indemne. La circulation a été coupée et une déviation a été mise en place
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/23/97001-20120823FILWWW00223-haute-saone-3-morts-dans-un-accident.php
Leur voiture, qui circulait dans le sens Lure-Vesoul, s'est déportée sur la gauche de la route nationale et a violemment percuté un poids lourd arrivant en sens inverse, vers 3 heures 30 jeudi matin, ont indiqué les mêmes sources.
Les trois jeunes gens, originaires de la région de Montbéliard (Doubs), sont morts sur le coup. Le conducteur du poids lourd est indemne. La circulation a été coupée et une déviation a été mise en place
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/23/97001-20120823FILWWW00223-haute-saone-3-morts-dans-un-accident.php
Le parrain français de la fausse monnaie arrêté à Toulouse
Un homme de 60 ans considéré comme le «parrain» de la fausse monnaie en France, a été, arrêté mardi à Toulouse, par la police judiciaire. Il ferait partie du premier cercle du grand atelier clandestin démantelé en juin, en région parisienne.
Deux mois après le démantèlement du plus grand atelier en France de fabrication de fausse monnaie, en Seine-et-Marne, l'enquête sur cette filière de trafiquants rebondit à Toulouse.
Mardi, un homme de 60 ans, considéré comme l'une des figures présumées de cette filière européenne de fabricants et de revendeurs de faux billets, en France et dans les zones frontalières, a été arrêté par les hommes de la brigade de recherche et d'intervention (BRI) du service régional de police judiciaire de Toulouse.
Alors qu'il déjeunait dans un restaurant du marché Victor-Hugo, cet homme, originaire de la communauté des gens du voyage, a été interpellé en douceur au milieu du repas. Un juge parisien, en charge de cette affaire, a délivré un mandat de dépôt à son encontre.
Le suspect a été écroué à la maison d'arrêt de Seysses avant son transfèrement vers Paris.
Déjà condamné à de multiples reprises pour détention de faux billets, ce sexagénaire a été arrêté, une première fois, en juin 2012 après la découverte près de Chelles (77) de la plus importante officine clandestine de fausse monnaie jamais mise au jour.
Car l'enquête dirigée par la juridiction interrégionale spécialisée de Paris (Jirs) permet aujourd'hui de préciser son rôle et son implication dans cette vaste filière composée de fabricants et de revendeurs. C'est à Toulouse, ville où il a gardé quelques connaissances, que les enquêteurs finissent par le localiser. Avisée de sa présence, la BRI l'a cueilli sans difficulté, en lien avec les enquêteurs de l'office central pour la répression de la fausse monnaie (OCRFM) en charge de cette affaire.
Décrit comme faisant partie du premier cercle de fabricants de fausse monnaie, le suspect aurait été en cheville avec différents petits revendeurs de «biftons», lesquels écoulaient à d'autres petites mains.
Pêle-mêle, une chaîne graphique composée de quinze ordinateurs et imprimantes ultra-sophistiquées, des dizaines de litres d'encre de différentes couleurs et une machine offset avaient été découvertes dans un local discret de 40 mètres carrés au cœur d'une zone industrielle occupée par les gens du voyage.
Cette cache était considérée comme la deuxième plus importante d'Europe. Environ 90 % du stock imprimé aurait été écoulé en France, le reste aux frontières de l'Hexagone.
Le sexagénaire arrêté à Toulouse aurait joué les premiers rôles.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/23/1424057-le-parrain-francais-de-la-fausse-monnaie-arrete-a-toulouse.html
Deux mois après le démantèlement du plus grand atelier en France de fabrication de fausse monnaie, en Seine-et-Marne, l'enquête sur cette filière de trafiquants rebondit à Toulouse.
Mardi, un homme de 60 ans, considéré comme l'une des figures présumées de cette filière européenne de fabricants et de revendeurs de faux billets, en France et dans les zones frontalières, a été arrêté par les hommes de la brigade de recherche et d'intervention (BRI) du service régional de police judiciaire de Toulouse.
Alors qu'il déjeunait dans un restaurant du marché Victor-Hugo, cet homme, originaire de la communauté des gens du voyage, a été interpellé en douceur au milieu du repas. Un juge parisien, en charge de cette affaire, a délivré un mandat de dépôt à son encontre.
Le suspect a été écroué à la maison d'arrêt de Seysses avant son transfèrement vers Paris.
Déjà condamné à de multiples reprises pour détention de faux billets, ce sexagénaire a été arrêté, une première fois, en juin 2012 après la découverte près de Chelles (77) de la plus importante officine clandestine de fausse monnaie jamais mise au jour.
Membre du premier cercle
Mis en examen pour «association de malfaiteurs et contrefaçon de fausse monnaie», il avait été laissé libre et placé sous contrôle judiciaire. Une parenthèse de courte durée.Car l'enquête dirigée par la juridiction interrégionale spécialisée de Paris (Jirs) permet aujourd'hui de préciser son rôle et son implication dans cette vaste filière composée de fabricants et de revendeurs. C'est à Toulouse, ville où il a gardé quelques connaissances, que les enquêteurs finissent par le localiser. Avisée de sa présence, la BRI l'a cueilli sans difficulté, en lien avec les enquêteurs de l'office central pour la répression de la fausse monnaie (OCRFM) en charge de cette affaire.
Décrit comme faisant partie du premier cercle de fabricants de fausse monnaie, le suspect aurait été en cheville avec différents petits revendeurs de «biftons», lesquels écoulaient à d'autres petites mains.
Chaîne graphique
Une dizaine d'entre eux avait été interpellée en juin dont le faussaire en chef, un imprimeur de 50 ans. Selon l'enquête de l'OCRFM, l'officine démantelée tournait à plein régime. Depuis 2007, 350 000 coupures de 10, 20, 50 et 100 €, pour une valeur de 9 millions d'euros sont sorties de cet atelier clandestin basé non loin de Chelles.Pêle-mêle, une chaîne graphique composée de quinze ordinateurs et imprimantes ultra-sophistiquées, des dizaines de litres d'encre de différentes couleurs et une machine offset avaient été découvertes dans un local discret de 40 mètres carrés au cœur d'une zone industrielle occupée par les gens du voyage.
Cette cache était considérée comme la deuxième plus importante d'Europe. Environ 90 % du stock imprimé aurait été écoulé en France, le reste aux frontières de l'Hexagone.
Le sexagénaire arrêté à Toulouse aurait joué les premiers rôles.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/23/1424057-le-parrain-francais-de-la-fausse-monnaie-arrete-a-toulouse.html
Mort après une chute de cinq étages, le chien a-t-il été jeté ?
Les témoins sont formels. Mardi soir vers 19 h 30, résidence Saint-Vincent, rue Émile-Eudes à Saint-Jean Saint-Pierre, c’est bien un jeune homme qui, d’une fenêtre du 5e étage, a jeté une jeune chienne.
Le pitbull, croisé entre un American staff et un labrador, a poussé un cri. Avant de rebondir sur le petit toit qui protège le hall d’entrée du bâtiment 10, et de s’écraser sur le parking. L’animal âgé de six ou sept mois, grièvement blessé, n’a pas survécu.
"Pourquoi la police a laissé le type repartir !"
La police et la SPA ont été appelées. L’auteur supposé de ce geste fou a dû être protégé de la foule en colère qui voulait lui faire passer un mauvais quart d’heure, et a été escorté jusqu’à la gare afin qu’il prenne un train pour Béziers où il réside.
Un témoin - révolté - raconte : "La propriétaire du chien est descendue, a mis le chien dans un sac-poubelle puis est remontée chez elle tranquillement ! Pourquoi la police - qui est venue deux heures après les faits et après les bénévoles de la SPA - a laissé le type repartir ! Il n’a même pas été interpellé ! Je ne comprends pas ! On ne jette pas un chien par la fenêtre. Ça fait vraiment mal au cœur".
D’après nos informations, le couple a expliqué que c’est l’animal lui-même, ayant entendu du bruit à l’extérieur, qui se serait jeté dans le vide. Et sa maîtresse de dénoncer une kabbale de la part de ses voisins qui n’auraient guère d’estime pour elle.
Une enquête pourrait être ouverte sur des faits qui, s’ils sont confirmés, peuvent faire l’objet de poursuites pénales. Le corps de l’animal a été incinéré, mercredi après-midi.
http://www.midilibre.fr/2012/08/22/mort-apres-une-chute-de-cinq-etages-le-chien-a-t-il-ete-jete,551524.php
Le pitbull, croisé entre un American staff et un labrador, a poussé un cri. Avant de rebondir sur le petit toit qui protège le hall d’entrée du bâtiment 10, et de s’écraser sur le parking. L’animal âgé de six ou sept mois, grièvement blessé, n’a pas survécu.
"Pourquoi la police a laissé le type repartir !"
La police et la SPA ont été appelées. L’auteur supposé de ce geste fou a dû être protégé de la foule en colère qui voulait lui faire passer un mauvais quart d’heure, et a été escorté jusqu’à la gare afin qu’il prenne un train pour Béziers où il réside.
Un témoin - révolté - raconte : "La propriétaire du chien est descendue, a mis le chien dans un sac-poubelle puis est remontée chez elle tranquillement ! Pourquoi la police - qui est venue deux heures après les faits et après les bénévoles de la SPA - a laissé le type repartir ! Il n’a même pas été interpellé ! Je ne comprends pas ! On ne jette pas un chien par la fenêtre. Ça fait vraiment mal au cœur".
D’après nos informations, le couple a expliqué que c’est l’animal lui-même, ayant entendu du bruit à l’extérieur, qui se serait jeté dans le vide. Et sa maîtresse de dénoncer une kabbale de la part de ses voisins qui n’auraient guère d’estime pour elle.
Une enquête pourrait être ouverte sur des faits qui, s’ils sont confirmés, peuvent faire l’objet de poursuites pénales. Le corps de l’animal a été incinéré, mercredi après-midi.
http://www.midilibre.fr/2012/08/22/mort-apres-une-chute-de-cinq-etages-le-chien-a-t-il-ete-jete,551524.php
Bordeaux : il séquestre et bat une sexagénaire pour obtenir des papiers
Une Bordelaise de 63 ans a subi durant deux mois les coups répétés d'un homme qui s'était imposé chez elle et voulait la forcer à l'épouser.
Cet homme de nationalité tunisienne, âgé de 28 ans, a été interpellé lundi en début d'après-midi, à l'issue de plusieurs mois d'enquête menée par la brigade des violences de la Sûreté départementale de Gironde.
Il est arrivé illégalement en France, via l'Italie, début 2011. Au mois de juillet de la même année, à Bordeaux, il a rencontré celle qui allait devenir sa proie : une sexagénaire déficiente mentale qui vit seule dans le quartier du Grand-Parc. À la fin du mois d'août, le jeune homme s'est installé chez elle. À partir de ce moment, il a fait vivre un enfer à celle qu'il voulait épouser de force, dans le but de régulariser sa propre situation, puisqu'il ne possédait pas de titre de séjour.
Le calvaire a duré deux mois. Jusqu'à ce que la séquestrée parvienne, le 31 octobre 2011, à se réfugier chez un voisin, qui a alerté la police. Mais revenu d'une course peu de temps après, le jeune Tunisien a compris ce qui se passait et a aussitôt pris la fuite. Localisé quelques heures plus tard à Nice par les policiers, il est parti en direction de l'Italie, où il s'est fait oublier pendant plusieurs mois.
Des notes et des coups
L'examen médical de la victime est accablant. Elle portait des traces de coups sur tout le corps et avait perdu 25 kilos. Son bourreau avait confectionné une sorte de gourdin. Il contraignait celle dont il voulait faire sa femme à écrire tous les jours dans un cahier son nom, sa date de naissance et son adresse.
Si la sexagénaire, qui maîtrisait l'écriture avec difficulté, s'en sortait bien, il mettait une note, 20/20 ou 18/20. Si elle commettait des fautes, ce qui se produisait régulièrement, il la frappait avec le gourdin. Il a également écrit en grosses lettres ou gravé son nom sur les meubles et les murs du salon et de la chambre.
Il y a quelques jours, les policiers de la brigade des violences sont parvenus à localiser le tortionnaire. Il était revenu à Bordeaux.
Tentative à Cenon
Ils se sont lancés sur sa piste et ont découvert qu'il avait investi le logement d'une jeune fille de Cenon, elle aussi déficiente mentale et actuellement hospitalisée. Il avait fait changer les serrures de l'appartement. Mais à l'arrivée des policiers il s'était une nouvelle fois envolé.
Il a cependant laissé des traces qui ont permis son interpellation lundi en centre-ville de Bordeaux. Il bénéfice de la présomption d'innocence. Sa garde à vue a été prolongée hier et il devrait être déféré aujourd'hui devant le parquet.
http://www.sudouest.fr/2012/08/22/enfermee-et-battue-pour-des-papiers-800789-7.php
Cet homme de nationalité tunisienne, âgé de 28 ans, a été interpellé lundi en début d'après-midi, à l'issue de plusieurs mois d'enquête menée par la brigade des violences de la Sûreté départementale de Gironde.
Il est arrivé illégalement en France, via l'Italie, début 2011. Au mois de juillet de la même année, à Bordeaux, il a rencontré celle qui allait devenir sa proie : une sexagénaire déficiente mentale qui vit seule dans le quartier du Grand-Parc. À la fin du mois d'août, le jeune homme s'est installé chez elle. À partir de ce moment, il a fait vivre un enfer à celle qu'il voulait épouser de force, dans le but de régulariser sa propre situation, puisqu'il ne possédait pas de titre de séjour.
Le calvaire a duré deux mois. Jusqu'à ce que la séquestrée parvienne, le 31 octobre 2011, à se réfugier chez un voisin, qui a alerté la police. Mais revenu d'une course peu de temps après, le jeune Tunisien a compris ce qui se passait et a aussitôt pris la fuite. Localisé quelques heures plus tard à Nice par les policiers, il est parti en direction de l'Italie, où il s'est fait oublier pendant plusieurs mois.
Des notes et des coups
L'examen médical de la victime est accablant. Elle portait des traces de coups sur tout le corps et avait perdu 25 kilos. Son bourreau avait confectionné une sorte de gourdin. Il contraignait celle dont il voulait faire sa femme à écrire tous les jours dans un cahier son nom, sa date de naissance et son adresse.
Si la sexagénaire, qui maîtrisait l'écriture avec difficulté, s'en sortait bien, il mettait une note, 20/20 ou 18/20. Si elle commettait des fautes, ce qui se produisait régulièrement, il la frappait avec le gourdin. Il a également écrit en grosses lettres ou gravé son nom sur les meubles et les murs du salon et de la chambre.
Il y a quelques jours, les policiers de la brigade des violences sont parvenus à localiser le tortionnaire. Il était revenu à Bordeaux.
Tentative à Cenon
Ils se sont lancés sur sa piste et ont découvert qu'il avait investi le logement d'une jeune fille de Cenon, elle aussi déficiente mentale et actuellement hospitalisée. Il avait fait changer les serrures de l'appartement. Mais à l'arrivée des policiers il s'était une nouvelle fois envolé.
Il a cependant laissé des traces qui ont permis son interpellation lundi en centre-ville de Bordeaux. Il bénéfice de la présomption d'innocence. Sa garde à vue a été prolongée hier et il devrait être déféré aujourd'hui devant le parquet.
http://www.sudouest.fr/2012/08/22/enfermee-et-battue-pour-des-papiers-800789-7.php
mercredi 22 août 2012
Eure: une fillette pêche une grenade US
Une fillette a pêché hier après-midi avec son épuisette, dans une rivière du département de l'Eure, une grenade américaine de la Seconde Guerre mondiale en état de fonctionnement qui a été prise en charge par des démineurs, a indiqué aujourd'hui la gendarmerie.
L'engin, une grenade MK2 de l'armée américaine, semblait "toute neuve" et était "en parfait état de fonctionnement, on a l'impression qu'elle sortait de l'emballage". En cas d'explosion elle aurait été dangereuse à 100 mètres, selon les gendarmes.
La gendarmerie d'Ecos a été alertée mardi en début d'après-midi par la tante de la fillette. L'enfant, dont l'âge n'a pas été précisé, a pêché l'engin explosif à Fourges, sur le bord d'un bras de la rivière Epte, à 30 cm de profondeur.
La rivière, qui se jette dans la Seine, est un endroit très prisé des jeunes qui viennent s'y baigner et de nombreuses personnes étaient présentes sur place au moment de la découverte.
"On a évacué tout le monde", a précisé la gendarmerie, qui a aussitôt établi un périmètre de sécurité. Moins d'une heure plus tard, des démineurs de la gendarmerie de Versailles étaient sur place pour prendre en charge la grenade.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/22/97001-20120822FILWWW00412-eure-une-fillette-peche-une-grenade-us.php
L'engin, une grenade MK2 de l'armée américaine, semblait "toute neuve" et était "en parfait état de fonctionnement, on a l'impression qu'elle sortait de l'emballage". En cas d'explosion elle aurait été dangereuse à 100 mètres, selon les gendarmes.
La gendarmerie d'Ecos a été alertée mardi en début d'après-midi par la tante de la fillette. L'enfant, dont l'âge n'a pas été précisé, a pêché l'engin explosif à Fourges, sur le bord d'un bras de la rivière Epte, à 30 cm de profondeur.
La rivière, qui se jette dans la Seine, est un endroit très prisé des jeunes qui viennent s'y baigner et de nombreuses personnes étaient présentes sur place au moment de la découverte.
"On a évacué tout le monde", a précisé la gendarmerie, qui a aussitôt établi un périmètre de sécurité. Moins d'une heure plus tard, des démineurs de la gendarmerie de Versailles étaient sur place pour prendre en charge la grenade.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/22/97001-20120822FILWWW00412-eure-une-fillette-peche-une-grenade-us.php
Tentative d'homicide au service psychiatrique de l'hôpital de Cannes
Un patient interné au service psychiatrique de l'hôpital des Broussailles à Cannes, a été grièvement blessé par arme blanche, tôt ce mardi matin.
Atteint à la carotide, il a été opéré in extremis. Ces jours ne sont plus en danger. Un autre patient du même service a été arrêté à l'hopital et placée ne garde à vue au commissariat de Cannes en début d'après-midi dans le cadre de cette affaire.
D'après une source proche de l'enquête, l'homme aurait déjà avoué être l'auteur des coups de couteaux. Mardi soir, le parquet de Grasse a décidé de qualifier les faits en tentative d'homicide.
http://www.nicematin.com/cannes/tentative-dhomicide-au-service-psychiatrique-de-lhopital-de-cannes.968121.html
Atteint à la carotide, il a été opéré in extremis. Ces jours ne sont plus en danger. Un autre patient du même service a été arrêté à l'hopital et placée ne garde à vue au commissariat de Cannes en début d'après-midi dans le cadre de cette affaire.
D'après une source proche de l'enquête, l'homme aurait déjà avoué être l'auteur des coups de couteaux. Mardi soir, le parquet de Grasse a décidé de qualifier les faits en tentative d'homicide.
http://www.nicematin.com/cannes/tentative-dhomicide-au-service-psychiatrique-de-lhopital-de-cannes.968121.html
Le désespoir de Virginie, institutrice : «1800 km pour aller travailler»
Institutrice depuis plus de dix ans, mère de cinq enfants, dont un bébé de quelques mois, Virginie Paillard ne parvient pas à se faire nommer en Ariège, où son mari vit et travaille.
Virginie, son mari Cédric et leurs enfants vivent une situation inextricable, voire dramatique, depuis des années, au point que la jeune enseignante a décidé d'écrire, tout récemment, au Président de la République et au ministre de l'Éducation nationale. Dans ce courrier, elle explique : «Je me trouve dans une situation désespérée».
En juillet 2010, la petite famille s'installe en Pays d'Olmes. Cédric, jeune retraité de l'armée de l'air, veut ouvrir des gîtes. Son épouse, elle, entend se rapprocher de sa mère, enseignante à Lavelanet, en longue maladie. Mais tout se complique très vite. «Cédric n'a pas pu toucher sa retraite militaire, les règles ont changé, confie Virginie Paillard. Les plans de financement, pour les gîtes, ont été rejetés par les banques». Dans le même temps, la jeune femme voit ses demandes de rapprochement rejetées les unes après les autres. Elle s'organise pour aller travailler en Normandie, où elle reste affectée. «1800 kilomètres chaque semaine. Je n'ai pas tenu longtemps, ni physiquement, ni financièrement», poursuit Virginie Paillard. D'autant qu'entretemps, le petit Elliot est venu au monde.
À quelques jours de la rentrée scolaire, Virginie Paillard a appris au retour d'un courrier adressé au président du Sénat, Jean-Pierre Bel, que sa nouvelle demande de rapprochement a été repoussée. Rien d'officiel encore, mais le coup est dur, très dur. D'autant que le couple se trouve en très grande difficulté financière. «Cédric a retrouvé du travail, puis son contrat a été stoppé, commente Virginie Paillard. Il a une proposition d'embauche, mais doit avant tout réussir le concours d'ambulancier, en septembre». Courageusement, le couple s'accroche, sans moyens financiers pour affronter la reprise du travail de Virginie. Et la jeune femme s'étonne : «Beaucoup d'enfants, dans ce département, ont été privés d'enseignants par manque de remplaçants, alors que je suis privée de travail près de chez moi, en tant que remplaçante». Une situation abracadabrante.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/22/1422778-virginie-1800-km-pour-aller-travailler.html
Virginie, son mari Cédric et leurs enfants vivent une situation inextricable, voire dramatique, depuis des années, au point que la jeune enseignante a décidé d'écrire, tout récemment, au Président de la République et au ministre de l'Éducation nationale. Dans ce courrier, elle explique : «Je me trouve dans une situation désespérée».
En juillet 2010, la petite famille s'installe en Pays d'Olmes. Cédric, jeune retraité de l'armée de l'air, veut ouvrir des gîtes. Son épouse, elle, entend se rapprocher de sa mère, enseignante à Lavelanet, en longue maladie. Mais tout se complique très vite. «Cédric n'a pas pu toucher sa retraite militaire, les règles ont changé, confie Virginie Paillard. Les plans de financement, pour les gîtes, ont été rejetés par les banques». Dans le même temps, la jeune femme voit ses demandes de rapprochement rejetées les unes après les autres. Elle s'organise pour aller travailler en Normandie, où elle reste affectée. «1800 kilomètres chaque semaine. Je n'ai pas tenu longtemps, ni physiquement, ni financièrement», poursuit Virginie Paillard. D'autant qu'entretemps, le petit Elliot est venu au monde.
À quelques jours de la rentrée scolaire, Virginie Paillard a appris au retour d'un courrier adressé au président du Sénat, Jean-Pierre Bel, que sa nouvelle demande de rapprochement a été repoussée. Rien d'officiel encore, mais le coup est dur, très dur. D'autant que le couple se trouve en très grande difficulté financière. «Cédric a retrouvé du travail, puis son contrat a été stoppé, commente Virginie Paillard. Il a une proposition d'embauche, mais doit avant tout réussir le concours d'ambulancier, en septembre». Courageusement, le couple s'accroche, sans moyens financiers pour affronter la reprise du travail de Virginie. Et la jeune femme s'étonne : «Beaucoup d'enfants, dans ce département, ont été privés d'enseignants par manque de remplaçants, alors que je suis privée de travail près de chez moi, en tant que remplaçante». Une situation abracadabrante.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/22/1422778-virginie-1800-km-pour-aller-travailler.html
La Courneuve : le cadavre d’un homme découvert dans la rue
Le cadavre d’un homme a été découvert mardi en fin d’après-midi, à l’angle des rues Anatole-France et Rabelais à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Le corps a été retrouvé en partie couché sous une voiture en stationnement.
Selon les premières constatations, la victime présentait une importante blessure au niveau des vertèbres du cou. Une autopsie devrait avoir lieu dans les jours qui viennent. L’hypothèse d’un accident semble privilégié. Le commissariat local a été chargé des investigations.
Selon les premières constatations, la victime présentait une importante blessure au niveau des vertèbres du cou. Une autopsie devrait avoir lieu dans les jours qui viennent. L’hypothèse d’un accident semble privilégié. Le commissariat local a été chargé des investigations.
À sept policiers pour maîtriser un homme
Alertée par une voisine qui avait entendu des cris dans un appartement situé quelques étages en dessous du sien, la police s'est rendue le 26 juillet dernier vers 15 heures rue de Walbaum à Reims. À leur arrivée, les agents ont en effet entendu quelques cris d'enfants en bas âge et ont frappé à la porte histoire de savoir si tout allait bien à l'intérieur de l'habitation. La locataire des lieux, une jeune femme, laisse entrer les policiers afin qu'ils puissent inspecter les lieux, une simple vérification.
C'est alors qu'ils tombent sur l'ex-petit ami de la locataire, une vieille connaissance, Mamadou Diallo, un Rémois de 29 ans recherché par leurs services pour effectuer une peine d'emprisonnement de six mois. Au lieu de se rendre dans le calme, le jeune homme refuse d'être appréhendé. Commence alors une bagarre entre lui et sept agents de la police nationale. Coups de poing, jets de projectiles, le jeune homme ne veut rien entendre mais est finalement été plaqué au sol et menotté, altercations faisant au passage exploser l'une des bombes à gaz lacrymogène des policiers. Présenté le 27 juillet dernier dans le cadre d'une comparution immédiate, comme la justice le permet, il avait demandé un délai pour préparer sa défense.
Prison ferme
C'est hier après-midi qu'a eu lieu ce renvoi dans lequel le jeune Rémois comparaissait pour diverses violences et rébellion. Après un retour sur cette affaire, les plaidoiries des avocats et le réquisitoire du procureur de la République, Mamadou Diallo a été jugé coupable par le tribunal correctionnel de Reims et a écopé d'une peine de huit mois de prison dont quatre avec sursis qui s'ajoutent aux six mois pour lesquels il était recherché. Il devra également verser des dommages et intérêts aux différents policiers ayant subi sa colère.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/a-sept-policiers-pour-maitriser-un-homme
C'est alors qu'ils tombent sur l'ex-petit ami de la locataire, une vieille connaissance, Mamadou Diallo, un Rémois de 29 ans recherché par leurs services pour effectuer une peine d'emprisonnement de six mois. Au lieu de se rendre dans le calme, le jeune homme refuse d'être appréhendé. Commence alors une bagarre entre lui et sept agents de la police nationale. Coups de poing, jets de projectiles, le jeune homme ne veut rien entendre mais est finalement été plaqué au sol et menotté, altercations faisant au passage exploser l'une des bombes à gaz lacrymogène des policiers. Présenté le 27 juillet dernier dans le cadre d'une comparution immédiate, comme la justice le permet, il avait demandé un délai pour préparer sa défense.
Prison ferme
C'est hier après-midi qu'a eu lieu ce renvoi dans lequel le jeune Rémois comparaissait pour diverses violences et rébellion. Après un retour sur cette affaire, les plaidoiries des avocats et le réquisitoire du procureur de la République, Mamadou Diallo a été jugé coupable par le tribunal correctionnel de Reims et a écopé d'une peine de huit mois de prison dont quatre avec sursis qui s'ajoutent aux six mois pour lesquels il était recherché. Il devra également verser des dommages et intérêts aux différents policiers ayant subi sa colère.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/a-sept-policiers-pour-maitriser-un-homme
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