Un incendie, dont l'origine est encore inconnue, a débuté samedi un peu avant 10 heures dans un appartement au troisième étage d'un immeuble situé rue Molina à Saint-Etienne. Les deux hommes et un jeune garçon qui étaient à l'intérieur ont commencé à évacuer l'appartement mais ils se sont retrouvés coincés dans les parties communes à cause de l'importance des flammes et de la fumée. Deux passants sont alors leur prêter main forte et sont parvenus à les aider à évacuer l'immeuble.
Si le jeune garçon et un des adultes ont seulement été incommodés par la fumée, le locataire, âgé d'une trentaine d'années a été très grièvement brulé. Il a été évacué sur Lyon et son pronostic vital est engagé.
A noter également que quatre autres personnes habitant l'immeuble ont été évacuées sans être blessées.
http://www.leprogres.fr/loire/2011/07/30/un-homme-gravement-brule-dans-un-incendie-d-appartement-a-saint-etienne
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
dimanche 31 juillet 2011
Un pompier grand-mottois pris à 180 km/h dans une voiture volée
Quatre mois de suspension : voilà ce dont vient d’écoper un sapeur-pompier professionnel du centre de secours de La Grande-Motte. Une décision prise par sa hiérarchie à la suite de faits qui se sont déroulés dans la nuit du 19 juillet dernier. cette nuit-là, ce sous-officier (il est sergent) circulait sur l’A 9 dans le Gard lorsqu’il a été contrôlé, roulant à un confortable 180 km/h. Les gendarmes de la Brigade rapide d’intervention (BRI) l’ont donc pris en chasse avec leur Subaru.
Mais malgré ce, le sapeur a refusé d’obtempérer et poursuivi sa route. Jusqu’à ce que les militaires finissent par arriver à le faire stopper. Lors du contrôle, il a d’abord donné une fausse identité à ces derniers. Des militaires qui se sont également rendu compte que sa voiture (acheté il y a un an environ) avait été déclarée volée et qu’elle circulait munie de fausses plaques.
Ce que le conducteur - qui fait également partie de la réserve au sein de la Gendarmerie nationale - semblait ignorer. Reste que, pour ces faits, il a été entendu et devra s’expliquer, au mois de janvier prochain, devant la justice. Le lendemain des faits, le Service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault a donc décidé de le suspendre via un arrêté de suspension conservatoire, "dans l’attente de la décision judiciaire", précise le colonel Christophe Risdorfer, le directeur du Sdis.
Et l’officier d’ajouter : "Il n’est pas question que nous cautionnions de tels comportements, même s’ils sont privés. Il y a une certaine éthique à respecter, même quand on est sapeur-pompier". Sachant que ledit sapeur avait déjà reçu un avertissement, puis un blâme, à la suite d’incidents en interne.
http://www.midilibre.fr/2011/07/30/un-pompier-grand-mottois-pris-a-180-km-h-avec-une-auto-volee,364074.php
Mais malgré ce, le sapeur a refusé d’obtempérer et poursuivi sa route. Jusqu’à ce que les militaires finissent par arriver à le faire stopper. Lors du contrôle, il a d’abord donné une fausse identité à ces derniers. Des militaires qui se sont également rendu compte que sa voiture (acheté il y a un an environ) avait été déclarée volée et qu’elle circulait munie de fausses plaques.
Ce que le conducteur - qui fait également partie de la réserve au sein de la Gendarmerie nationale - semblait ignorer. Reste que, pour ces faits, il a été entendu et devra s’expliquer, au mois de janvier prochain, devant la justice. Le lendemain des faits, le Service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault a donc décidé de le suspendre via un arrêté de suspension conservatoire, "dans l’attente de la décision judiciaire", précise le colonel Christophe Risdorfer, le directeur du Sdis.
Et l’officier d’ajouter : "Il n’est pas question que nous cautionnions de tels comportements, même s’ils sont privés. Il y a une certaine éthique à respecter, même quand on est sapeur-pompier". Sachant que ledit sapeur avait déjà reçu un avertissement, puis un blâme, à la suite d’incidents en interne.
http://www.midilibre.fr/2011/07/30/un-pompier-grand-mottois-pris-a-180-km-h-avec-une-auto-volee,364074.php
Repas de fin d'année Deux personnes blessées dans un accident de quad
Il est aux alentours de 17 h 30, hier soir, lorsque Erika Pechon alerte les sapeurs-pompiers de Château-Thierry : deux hommes viennent d'avoir un accident de quad à proximité de la ferme de Brochot, située à la sortie de la commune de Chézy-sur-Marne en direction de La Chapelle-sur-Chézy.
La virée tourne mal
La femme, dirigeante de la société ASP 02 - installée à Crézancy - a été alertée par leurs cris. Elle conviait, ce jour-là, les employés du groupe ASP distribution à un repas d'entreprise de fin d'année dans cette ferme. Ils étaient une trentaine à s'être réunis pour l'après-midi. L'un des salariés, habitant à proximité des lieux, avait fait le trajet en quad. Il aurait prêté son engin à deux de ses collègues qui sont partis faire un petit tour aux alentours.
Seulement voilà, le quad s'est renversé. Résultat : l'une des deux victimes souffre de contusions et la seconde d'une sérieuse blessure à la jambe. Tant et si bien que le SAMU s'est rendu sur place afin de médicaliser cette personne. Les deux victimes, domiciliées en région parisienne et salariées de la société ASP d'Argenteuil, ont été transportées par les secours à l'hôpital de Château-Thierry.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/chezy-sur-marne-repas-de-fin-dannee-deux-personnes-blessees-dans-un-accident-de-quad
La virée tourne mal
La femme, dirigeante de la société ASP 02 - installée à Crézancy - a été alertée par leurs cris. Elle conviait, ce jour-là, les employés du groupe ASP distribution à un repas d'entreprise de fin d'année dans cette ferme. Ils étaient une trentaine à s'être réunis pour l'après-midi. L'un des salariés, habitant à proximité des lieux, avait fait le trajet en quad. Il aurait prêté son engin à deux de ses collègues qui sont partis faire un petit tour aux alentours.
Seulement voilà, le quad s'est renversé. Résultat : l'une des deux victimes souffre de contusions et la seconde d'une sérieuse blessure à la jambe. Tant et si bien que le SAMU s'est rendu sur place afin de médicaliser cette personne. Les deux victimes, domiciliées en région parisienne et salariées de la société ASP d'Argenteuil, ont été transportées par les secours à l'hôpital de Château-Thierry.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/chezy-sur-marne-repas-de-fin-dannee-deux-personnes-blessees-dans-un-accident-de-quad
samedi 30 juillet 2011
Feu à 5 h : croyant à un vol la mère alerte
Un habitant d’Hambach, commune proche de Sarreguemines, et son fils de 23 ans, doivent sans doute la vie à leur épouse et mère. En effet, hier à 5 h, c’est elle qui a constaté que le feu ravageait la cave de leur maison et que la fumée envahissait progressivement toutes les pièces. Elle a aussitôt réveillé son mari et son fils. Toute la famille a pu sortir. Entre-temps, un voisin ayant entendu les appels aux secours de la mère, a alertéles pompiers. Si la maman était éveillée, c’est qu’elle avait le sommeil difficile. Entendant du bruit, elle a d’abord cru qu’un ou des individus étaient en train de cambrioler la maison. Le logement étant temporairement inhabitable et devant être longuement ventilée, le couple et son fils a été accueilli par des membres de leur famille à Roth, l’annexe de la commune d’Hambach
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Harcèlement sexuel : 24 mois avec sursis pour le patron cannois
«Tu es à moi, j'ai le droit… »comme l'ont rapporté les plaignantes, c'est ce que pensait ce commerçant cannois de 44 ans, en se livrant à des attouchements sur ses vendeuses. Patron de trois boutiques de prêt-à-porter dans le centre-ville (1). Il comparaissait, hier matin, devant le tribunal correctionnel de Grasse, poursuivi pour agressions sexuelles, suite aux plaintes déposées par deux de ses employées. Dans la salle, seule l'une d'elles était présente. « Une femme détruite », selon son avocat, le bâtonnier Bernard Rossanino, et qui est venue témoigner tremblante à la barre.
Un état alcoolique confirmé dans les dépositions de la seconde plaignante et par une autre vendeuse, ainsi qu'un voisin et une cliente. Qui attestent également d'une conduite déplacée. Celle d'un patron qui « colle sa vendeuse, l'embrasse dans le cou, la prend par la taille, et la rattrape quand elle tente de lui échapper ».
La jeune femme racontera encore les blocages derrière la caisse, les attouchements sur les seins, les fesses et des parties plus intimes, jusqu'au point culminant pour elle : « Un jour, il m'a basculée sur le lit au fond de la boutique, il m'a embrassée, j'ai eu peur… »
Face au président Franck Robail, qui mentionne ironiquement que« le droit de cuissage n'est plus en vigueur depuis un certain temps », le prévenu fait profil bas. Il reconnaît son addiction à l'alcool, et aussi avoir été « dur en paroles… Sûrement ! »
Face au « syndrome traumatique fréquent en cas d'abus sexuel », diagnostiqué chez la plaignante, les « troubles du comportement liés à la consommation alcoolique », expertisés chez le prévenu, n'ont pas fait pas ............ LA SUITE DE L'ARRTICLE SUR ............ http://www.nicematin.com/article/bernard-rossanino/harcelement-sexuel-24-mois-avec-sursis-pour-le-patron-cannois
En état d'ébriété permanente
Le récit d'un harcèlement quotidien, perpétré par un patron en état d'ébriété permanente, traitant ses salariées de « grosse naze »,mais aussi, parfois, ses clientes de « pauvre conne » au gré de son état d'ivresse.Un état alcoolique confirmé dans les dépositions de la seconde plaignante et par une autre vendeuse, ainsi qu'un voisin et une cliente. Qui attestent également d'une conduite déplacée. Celle d'un patron qui « colle sa vendeuse, l'embrasse dans le cou, la prend par la taille, et la rattrape quand elle tente de lui échapper ».
La jeune femme racontera encore les blocages derrière la caisse, les attouchements sur les seins, les fesses et des parties plus intimes, jusqu'au point culminant pour elle : « Un jour, il m'a basculée sur le lit au fond de la boutique, il m'a embrassée, j'ai eu peur… »
Face au président Franck Robail, qui mentionne ironiquement que« le droit de cuissage n'est plus en vigueur depuis un certain temps », le prévenu fait profil bas. Il reconnaît son addiction à l'alcool, et aussi avoir été « dur en paroles… Sûrement ! »
« Je n'en pouvais plus »
Mais il nie en bloc tout attouchement. Et quand le président lui rappelle que lors de son audition par les gendarmes, il a déclaré : « il est possible que j'ai commis ces actes sous l'influence de l'alcool, je ne peux pas dire que je ne suis pas l'auteur », le commerçant argue des conditions de garde à vue et se défend : « Je n'en pouvais plus ».Face au « syndrome traumatique fréquent en cas d'abus sexuel », diagnostiqué chez la plaignante, les « troubles du comportement liés à la consommation alcoolique », expertisés chez le prévenu, n'ont pas fait pas ............ LA SUITE DE L'ARRTICLE SUR ............ http://www.nicematin.com/article/bernard-rossanino/harcelement-sexuel-24-mois-avec-sursis-pour-le-patron-cannois
Razzia sur le cuivre à la distillerie
Des voleurs de métaux précieux ont sévi jeudi soir à la Société anonyme des alcools du Tarn. 32 vannes en alliage de bronze et cuivre ont été dérobées.
Ils savaient ce qu'ils cherchaient. Des voleurs de métaux sont passés à l'action jeudi soir, à la distillerie de Gaillac. Il est 19 h 30 environ. Un salarié saisonnier de la Société anonyme des alcools du Tarn remonte des berges du Tarn après une après-midi de pêche. Passant devant l'entreprise, située avenue Guynemer tout près du centre E. Leclerc, il constate que des tuyaux ont été cassés. Il alerte aussitôt son patron, Jean-Marc Laclau. Le gérant de la distillerie, qui dirige aussi une entreprise de travaux publics à Brens, arrive très vite sur les lieux. « C'était un spectacle de désolation. J'ai vu qu'il manquait une trentaine de vannes, mais aussi des raccords. Pour les emporter, les voleurs avaient utilisé des chalumeaux et cassé les tuyaux en plastique à coups de masse. »
Jean-Marc Laclau n'avait pas encore fini de faire le tour qu'un fourgon blanc, de type Trafic, surgit de derrière le bâtiment. « Il y avait 6 hommes à bord. Et ils étaient équipés de chalumeaux. Je pense que ça ne peut pas être une coïncidence. Pour moi, il s'agissait des voleurs. Je pense qu'ils revenaient charger des tuyaux cassés. Si vous les vendez, ça peut m'intéresser, m'a lancé l'un d'eux. Mais je les ai fait déguerpir et j'ai appelé la gendarmerie, sans oublier de relever le numéro de ce fourgon, immatriculé 31. »
Le chef d'entreprise tient d'ailleurs à remercier les gendarmes de Gaillac pour leur réactivité, même si pour l'heure les voleurs n'ont pas été arrêtés.Hier, l'heure était à l'évaluation du préjudice pour la Société anonyme des alcools du Tarn. « J'en suis déjà à plus de 20 000 euros de devis. Ils ne se sont pas amusés à couper propre. Toutes les lignes sont à refaire. Surtout, ce qui me préoccupe, ce sont ces vannes à remplacer. C'est du matériel spécifique fabriqué dans un alliage de bronze et de cuivre. J'ai fait le tour des fournisseurs et pour le moment ces vannes sont indisponibles à la fabrication. » Embêtant quand on sait que la distillerie de Gaillac devait démarrer les préparatifs de la saison ce lundi 1er août « pour commencer à distiller fin août-début septembre, car on sait que les vendanges seront en avance. J'espère qu'on aura trouvé une solution d'ici là », souffle Jean-Marc Laclau. Comme si ça ne suffisait pas, le chef d'entreprise a constaté un autre vol, jeudi soir, sur le site de la SGTP Laclau, qui jouxte la distillerie : là, ce sont des batteries qui ont été démontées sur une pelle mécanique.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/30/1137612-razzia-sur-le-cuivre-a-la-distillerie.html
Ils savaient ce qu'ils cherchaient. Des voleurs de métaux sont passés à l'action jeudi soir, à la distillerie de Gaillac. Il est 19 h 30 environ. Un salarié saisonnier de la Société anonyme des alcools du Tarn remonte des berges du Tarn après une après-midi de pêche. Passant devant l'entreprise, située avenue Guynemer tout près du centre E. Leclerc, il constate que des tuyaux ont été cassés. Il alerte aussitôt son patron, Jean-Marc Laclau. Le gérant de la distillerie, qui dirige aussi une entreprise de travaux publics à Brens, arrive très vite sur les lieux. « C'était un spectacle de désolation. J'ai vu qu'il manquait une trentaine de vannes, mais aussi des raccords. Pour les emporter, les voleurs avaient utilisé des chalumeaux et cassé les tuyaux en plastique à coups de masse. »
Jean-Marc Laclau n'avait pas encore fini de faire le tour qu'un fourgon blanc, de type Trafic, surgit de derrière le bâtiment. « Il y avait 6 hommes à bord. Et ils étaient équipés de chalumeaux. Je pense que ça ne peut pas être une coïncidence. Pour moi, il s'agissait des voleurs. Je pense qu'ils revenaient charger des tuyaux cassés. Si vous les vendez, ça peut m'intéresser, m'a lancé l'un d'eux. Mais je les ai fait déguerpir et j'ai appelé la gendarmerie, sans oublier de relever le numéro de ce fourgon, immatriculé 31. »
Le chef d'entreprise tient d'ailleurs à remercier les gendarmes de Gaillac pour leur réactivité, même si pour l'heure les voleurs n'ont pas été arrêtés.Hier, l'heure était à l'évaluation du préjudice pour la Société anonyme des alcools du Tarn. « J'en suis déjà à plus de 20 000 euros de devis. Ils ne se sont pas amusés à couper propre. Toutes les lignes sont à refaire. Surtout, ce qui me préoccupe, ce sont ces vannes à remplacer. C'est du matériel spécifique fabriqué dans un alliage de bronze et de cuivre. J'ai fait le tour des fournisseurs et pour le moment ces vannes sont indisponibles à la fabrication. » Embêtant quand on sait que la distillerie de Gaillac devait démarrer les préparatifs de la saison ce lundi 1er août « pour commencer à distiller fin août-début septembre, car on sait que les vendanges seront en avance. J'espère qu'on aura trouvé une solution d'ici là », souffle Jean-Marc Laclau. Comme si ça ne suffisait pas, le chef d'entreprise a constaté un autre vol, jeudi soir, sur le site de la SGTP Laclau, qui jouxte la distillerie : là, ce sont des batteries qui ont été démontées sur une pelle mécanique.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/30/1137612-razzia-sur-le-cuivre-a-la-distillerie.html
Toulouse/P-O : trafic de coke démantelé
Le SRPJ de Toulouse a démantelé un réseau de trafic de cocaïne entre l’Espagne et la région toulousaine et dix malfaiteurs âgés de 30 à 61 ans ont été incarcérés.
Lors de la première interpellation, les policiers ont découvert 355 000 € en espèces dans une voiture, près de Perpignan. Huit véhicules haut de gamme, utilisés pour des go fast, une maison et des comptes bancaires contenant des centaines de milliers d’euros ont été saisis. "C’était une équipe de trafiquants expérimentés et bien organisés qui approvisionnait l’agglomération toulousaine, nous avons interpellé le noyau dur", selon un enquêteur.
Sur les quinze suspects interpellés depuis le début du mois de juillet, dix ont été emprisonnés et un a été placé sous contrôle judiciaire.
L’enquête continue et d’autres personnes devaient encore être entendues, mais cette fois pour des rôles secondaires.
L’un des trafiquants a dû être interpellé à la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, où il avait été emprisonné pour un autre délit.
Les membres du groupe, interpellés en Haute-Garonne, dans les Landes et dans les P-O, avaient "un lourd passif", selon un policier. Plusieurs des suspects emprisonnés avaient déjà purgé des peines de prison pour trafic international de stupéfiants, le meurtre d’un policier, agression, vol à main armée ou séquestration.
http://www.midilibre.fr/2011/07/29/toulouse-p-o-trafic-de-coke-demantele,363675.php
Lors de la première interpellation, les policiers ont découvert 355 000 € en espèces dans une voiture, près de Perpignan. Huit véhicules haut de gamme, utilisés pour des go fast, une maison et des comptes bancaires contenant des centaines de milliers d’euros ont été saisis. "C’était une équipe de trafiquants expérimentés et bien organisés qui approvisionnait l’agglomération toulousaine, nous avons interpellé le noyau dur", selon un enquêteur.
Sur les quinze suspects interpellés depuis le début du mois de juillet, dix ont été emprisonnés et un a été placé sous contrôle judiciaire.
L’enquête continue et d’autres personnes devaient encore être entendues, mais cette fois pour des rôles secondaires.
L’un des trafiquants a dû être interpellé à la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, où il avait été emprisonné pour un autre délit.
Les membres du groupe, interpellés en Haute-Garonne, dans les Landes et dans les P-O, avaient "un lourd passif", selon un policier. Plusieurs des suspects emprisonnés avaient déjà purgé des peines de prison pour trafic international de stupéfiants, le meurtre d’un policier, agression, vol à main armée ou séquestration.
http://www.midilibre.fr/2011/07/29/toulouse-p-o-trafic-de-coke-demantele,363675.php
Sévices corporels / Le fils condamné à de la prison ferme
Denis Caille, la personne soupçonnée de maltraitances envers son locataire, a été disculpée ; il est sorti libre de sa garde à vue mardi dernier vers 23 heures.
Son fils âgé de 19 ans lui aussi arrêté et remis en garde à vue a été placé sous contrôle judiciaire. Relâché, il comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Saint-Quentin.
Il est accusé de violences répétées sur personne vulnérable, le locataire de sa grand-mère, Simon Lobry, âgé de 77 ans. La mère de Denis, Jeannine Caille, domiciliée à Ribemont, est âgée de 74 ans, l'enquête est toujours en cours.
Elle est soupçonnée d'avoir mis main basse sur sa retraite ainsi qu'une pension d'invalidité. Elle est accusée d'abus de biens sociaux.
Elle aurait fait signer une procuration sur les comptes bancaires de Simon, un homme analphabète qui se contente de faire une croix lors de la signature des procès-verbaux.
Par la voix du ministère public, à l'énoncé des faits, il est demandé trois ans de prison avec mandat de dépôt dont deux avec sursis, obligation de travail, de soins et d'indemnisation de la victime.
« Un dossier choquant de part la cruauté des actes et la volonté d'infliger une souffrance », déclare l'accusation.
A ces peines demandées, il faudra ajouter sur demande de l'avocat de la CPAM, 4 621,44 euros de frais d'hospitalisation et 3 000 euros à titre de provisions. Il est reproché à Kevin Caille des actes de violences habituelles et répétées sur personne vulnérable suivis d'une incapacité de travail, supérieure à huit jours. Il comparaissait libre hier après-midi à la barre.
Il aurait arraché un ongle lors de son sommeil à Simon Lobry puis une autre fois lui aurait déversé de l'eau chaude sur ses parties génitales, mis le feu à l'aide d'un briquet à son pantalon ou encore pincé fortement les joues au point de lui laisser des marques. Niant tout au début de sa garde à vue, il aurait reconnu quelques faits.
Au tribunal, il avoue avoir arraché un ongle à Simon à l'aide d'un couteau. L'eau chaude c'est un accident, le feu au pantalon, « pour rigoler », dira-t-il. Kevin âgé de 19 ans dont le casier judiciaire est vierge exprimera des regrets en précisant : « Simon, j'ai été élevé avec lui, je l'aime ».
Son avocat Me Jean-Marc Prudhomme défendra corps et âme son client en précisant que si cette situation dure depuis 40 ans, son client ne peut être coupable de tout.
« Il n'était pas encore né. » Peine perdue la sanction tombe, Kevin Caille est condamné à un an de prison ferme avec mandat de dépôt, deux ans de prison avec sursis assortis d'une obligation de travail, de soins et d'indemnisation de la victime.
Quant à son père Denis Caille, aucune charge n'a été retenue, ce qui n'est pas le cas pour sa mère, la grand-mère de Kevin, Jeannine, qui est soupçonnée d'abus de biens sociaux mais l'enquête est toujours en cours. Quant à la victime, Simon Lobry, un dossier de tutelle est en cours.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sevices-corporels-le-fils-condamne-a-de-la-prison-ferme
Son fils âgé de 19 ans lui aussi arrêté et remis en garde à vue a été placé sous contrôle judiciaire. Relâché, il comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Saint-Quentin.
Il est accusé de violences répétées sur personne vulnérable, le locataire de sa grand-mère, Simon Lobry, âgé de 77 ans. La mère de Denis, Jeannine Caille, domiciliée à Ribemont, est âgée de 74 ans, l'enquête est toujours en cours.
Elle est soupçonnée d'avoir mis main basse sur sa retraite ainsi qu'une pension d'invalidité. Elle est accusée d'abus de biens sociaux.
Elle aurait fait signer une procuration sur les comptes bancaires de Simon, un homme analphabète qui se contente de faire une croix lors de la signature des procès-verbaux.
Par la voix du ministère public, à l'énoncé des faits, il est demandé trois ans de prison avec mandat de dépôt dont deux avec sursis, obligation de travail, de soins et d'indemnisation de la victime.
« Un dossier choquant de part la cruauté des actes et la volonté d'infliger une souffrance », déclare l'accusation.
A ces peines demandées, il faudra ajouter sur demande de l'avocat de la CPAM, 4 621,44 euros de frais d'hospitalisation et 3 000 euros à titre de provisions. Il est reproché à Kevin Caille des actes de violences habituelles et répétées sur personne vulnérable suivis d'une incapacité de travail, supérieure à huit jours. Il comparaissait libre hier après-midi à la barre.
Il aurait arraché un ongle lors de son sommeil à Simon Lobry puis une autre fois lui aurait déversé de l'eau chaude sur ses parties génitales, mis le feu à l'aide d'un briquet à son pantalon ou encore pincé fortement les joues au point de lui laisser des marques. Niant tout au début de sa garde à vue, il aurait reconnu quelques faits.
Au tribunal, il avoue avoir arraché un ongle à Simon à l'aide d'un couteau. L'eau chaude c'est un accident, le feu au pantalon, « pour rigoler », dira-t-il. Kevin âgé de 19 ans dont le casier judiciaire est vierge exprimera des regrets en précisant : « Simon, j'ai été élevé avec lui, je l'aime ».
Son avocat Me Jean-Marc Prudhomme défendra corps et âme son client en précisant que si cette situation dure depuis 40 ans, son client ne peut être coupable de tout.
« Il n'était pas encore né. » Peine perdue la sanction tombe, Kevin Caille est condamné à un an de prison ferme avec mandat de dépôt, deux ans de prison avec sursis assortis d'une obligation de travail, de soins et d'indemnisation de la victime.
Quant à son père Denis Caille, aucune charge n'a été retenue, ce qui n'est pas le cas pour sa mère, la grand-mère de Kevin, Jeannine, qui est soupçonnée d'abus de biens sociaux mais l'enquête est toujours en cours. Quant à la victime, Simon Lobry, un dossier de tutelle est en cours.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sevices-corporels-le-fils-condamne-a-de-la-prison-ferme
vendredi 29 juillet 2011
Anne Caudal: l'amant conteste (avocat)
L'avocate de Christophe Piedoux a affirmé aujourd'hui que son client, mis en examen jeudi à Rennes pour "assassinat" après la découverte du corps calciné de sa compagne Anne Caudal, "conteste fermement avoir prémédité son geste".
"Lors de sa garde à vue, Christophe Piedoux a avoué les faits ce qui a permis, sur ses indications ainsi que sur celles de son épouse, de retrouver le corps d'Anne Caudal", écrit Me Elodie Praud, dans un communiqué. "En revanche, M. Piedoux conteste fermement avoir prémédité son geste", poursuit-elle.
"Au sein de ce triangle amoureux, nul n'ignorait la relation existant entre Christophe Piedoux et Anne Caudal ainsi que les démarches entreprises par ce dernier pour engager une procédure de divorce", ajoute l'avocate.
Le corps d'Anne Caudal, une jeune femme de 28 ans, enceinte de 3 mois, a été découvert dans la nuit de mardi à mercredi près d'une carrière désaffectée à Nouvoitou (Ille-et-Vilaine). Sa disparition avait été signalée le 10 juillet aux gendarmes par Christophe Piedoux, avec lequel elle partageait un appartement à Bruz, dans la banlieue de Rennes, depuis le mois de mai.
Christophe Piedoux a été mis en examen jeudi pour "assassinat" et son épouse pour "dissimulation et destructions de preuves".http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/29/97001-20110729FILWWW00443-anne-caudal-l-amant-conteste-avocat.php
"Lors de sa garde à vue, Christophe Piedoux a avoué les faits ce qui a permis, sur ses indications ainsi que sur celles de son épouse, de retrouver le corps d'Anne Caudal", écrit Me Elodie Praud, dans un communiqué. "En revanche, M. Piedoux conteste fermement avoir prémédité son geste", poursuit-elle.
"Au sein de ce triangle amoureux, nul n'ignorait la relation existant entre Christophe Piedoux et Anne Caudal ainsi que les démarches entreprises par ce dernier pour engager une procédure de divorce", ajoute l'avocate.
Le corps d'Anne Caudal, une jeune femme de 28 ans, enceinte de 3 mois, a été découvert dans la nuit de mardi à mercredi près d'une carrière désaffectée à Nouvoitou (Ille-et-Vilaine). Sa disparition avait été signalée le 10 juillet aux gendarmes par Christophe Piedoux, avec lequel elle partageait un appartement à Bruz, dans la banlieue de Rennes, depuis le mois de mai.
Christophe Piedoux a été mis en examen jeudi pour "assassinat" et son épouse pour "dissimulation et destructions de preuves".http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/29/97001-20110729FILWWW00443-anne-caudal-l-amant-conteste-avocat.php
Un morceau de crâne humain découvert dans les bois
Un morceau de crâne humain vieux d'au moins cinq à dix ans a été découvert dans les bois de Pouyastruc. Son mauvais état ne permet pas d'affirmer qu'il pourra être identifié. On ignore aussi les circonstances dans lesquelles il s'est retrouvé là.
C'est en cherchant des champignons, qui poussent en abondance dans les bois de Pouyastruc depuis quelques jours, qu'un habitant du secteur a fait une découverte pour le moins inattendue : sous une épaisse couche de mousse, la partie supérieure d'un crâne humain sans la mâchoire et les dents.
« C'est un crâne humain très ancien. Il a au minimum cinq à dix ans, voire au-delà. Cela veut dire qu'il s'agit d'une personne décédée il y a longtemps », souligne le substitut du procureur, Baptiste Porcher.
S'agit-il d'une personne disparue il y a longtemps, décédée de mort naturelle, qui a mis fin à ses jours ou qui a peut-être été assassinée ? Le morceau de crâne a-t-il été transporté là ?
« Pour l'instant, nous ne savons pas à qui il appartient ni les circonstances dans lesquelles il s'est retrouvé là. Nous allons procéder à son analyse. Mais vu l'état du crâne, ce n'est même pas sûr qu'on réussisse à l'identifier », explique le substitut du procureur.
« A priori, il n'y a aucune preuve de l'intervention d'une tierce personne, nous ne savons pas si c'est un homme ou une femme, un enfant ou un adulte », précise le lieutenant Thomas, commandant de la brigade de gendarmerie de Tournay. Le crâne va être envoyé dans un premier temps à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) à Rosny-sous-Bois pour déterminer le sexe et l'âge de son propriétaire, ce qui permettra aux enquêteurs de mieux orienter leurs recherches. L'analyse pourrait prendre environ deux mois. Puis, il sera envoyé dans un autre laboratoire pour retrouver d'éventuelles traces d'ADN.
C'était un peu la stupeur, mercredi, à Pouyastruc, au bar du village comme dans les rues de la commune, quand les habitants ont appris la nouvelle.
Le maire, Serge Debat, « ne se rappelle pas d'une disparition ou d'une mort inexpliquée » sur le secteur, mais il trouve « curieux que ce morceau de crâne n'ait pas été découvert avant ».
Bref, le mystère reste entier.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/29/1136871-un-morceau-de-crane-humain-decouvert-dans-les-bois.html
C'est en cherchant des champignons, qui poussent en abondance dans les bois de Pouyastruc depuis quelques jours, qu'un habitant du secteur a fait une découverte pour le moins inattendue : sous une épaisse couche de mousse, la partie supérieure d'un crâne humain sans la mâchoire et les dents.
« C'est un crâne humain très ancien. Il a au minimum cinq à dix ans, voire au-delà. Cela veut dire qu'il s'agit d'une personne décédée il y a longtemps », souligne le substitut du procureur, Baptiste Porcher.
Un vrai mystère
Les questions brûlent cependant les lèvres sur l'identité de son propriétaire et sur les raisons de sa présence en plein milieu des bois de Pouyastruc.S'agit-il d'une personne disparue il y a longtemps, décédée de mort naturelle, qui a mis fin à ses jours ou qui a peut-être été assassinée ? Le morceau de crâne a-t-il été transporté là ?
« Pour l'instant, nous ne savons pas à qui il appartient ni les circonstances dans lesquelles il s'est retrouvé là. Nous allons procéder à son analyse. Mais vu l'état du crâne, ce n'est même pas sûr qu'on réussisse à l'identifier », explique le substitut du procureur.
« A priori, il n'y a aucune preuve de l'intervention d'une tierce personne, nous ne savons pas si c'est un homme ou une femme, un enfant ou un adulte », précise le lieutenant Thomas, commandant de la brigade de gendarmerie de Tournay. Le crâne va être envoyé dans un premier temps à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) à Rosny-sous-Bois pour déterminer le sexe et l'âge de son propriétaire, ce qui permettra aux enquêteurs de mieux orienter leurs recherches. L'analyse pourrait prendre environ deux mois. Puis, il sera envoyé dans un autre laboratoire pour retrouver d'éventuelles traces d'ADN.
C'était un peu la stupeur, mercredi, à Pouyastruc, au bar du village comme dans les rues de la commune, quand les habitants ont appris la nouvelle.
Le maire, Serge Debat, « ne se rappelle pas d'une disparition ou d'une mort inexpliquée » sur le secteur, mais il trouve « curieux que ce morceau de crâne n'ait pas été découvert avant ».
Bref, le mystère reste entier.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/29/1136871-un-morceau-de-crane-humain-decouvert-dans-les-bois.html
Début de noyade pour une baigneuse
Une femme âgée de 45 ans a été victime d’un début de noyade, hier, vers 15 h, sur la plage du Zénith (une zone non surveillée) à Palavas-les-Flots.
Des sauveteurs de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) qui étaient en poste à environ quatre cents mètres de là, non loin de l’Institut Saint-Pierre, ont, soudain, aperçu un attroupement de baigneurs dans l’eau. Comprenant ce qui arrivait, ils se sont immédiatement portés au secours de la dame. Laquelle a été ramenée sur le rivage.
Dans un second temps, celle-ci a été prise en charge par le médecin et l’équipage du Dragon 34, l’hélicoptère de la Sécurité civile, alertés entre-temps, puis évacuée vers le CHU de Montpellier.
Selon certains éléments recueillis par les sauveteurs, la quadragénaire pourrait avoir fait un malaise après avoir ingurgité de l’alcool. Une information pourtant impossible à vérifier auprès de la brigade de gendarmerie locale
http://www.midilibre.fr/2011/07/28/debut-de-noyade-pour-une-baigneuse,363138.php
Des sauveteurs de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) qui étaient en poste à environ quatre cents mètres de là, non loin de l’Institut Saint-Pierre, ont, soudain, aperçu un attroupement de baigneurs dans l’eau. Comprenant ce qui arrivait, ils se sont immédiatement portés au secours de la dame. Laquelle a été ramenée sur le rivage.
Dans un second temps, celle-ci a été prise en charge par le médecin et l’équipage du Dragon 34, l’hélicoptère de la Sécurité civile, alertés entre-temps, puis évacuée vers le CHU de Montpellier.
Selon certains éléments recueillis par les sauveteurs, la quadragénaire pourrait avoir fait un malaise après avoir ingurgité de l’alcool. Une information pourtant impossible à vérifier auprès de la brigade de gendarmerie locale
http://www.midilibre.fr/2011/07/28/debut-de-noyade-pour-une-baigneuse,363138.php
Main basse sur l'or à la bijouterie
La bijouterie Robert située en plein centre-ville de Guise, rue Camille-Desmoulins a été la proie d'un spectaculaire casse, dans la nuit de mardi à mercredi. Les malfaiteurs après avoir arraché le rideau métallique ont pénétré à l'intérieur du magasin et ont fait main basse sur un important stock de bijoux en or.
Bijoutiers de père en fils, la bijouterie Robert, connue de toute la Thiérache a été la victime d'un cambriolage. Un coup dur pour cet artisan, à l'aube de la retraite. Il était 2 h 50 lorsque des malfrats ont arraché sans ménagement le rideau métallique qui protège son magasin.
Probablement en l'attachant et en se servant de la voiture afin de l'extraire de ses rails, un mode opératoire devenu classique. Un rideau à lames pleines, il ne fait aucun doute que la discrétion n'était pas de mise pour ces malfaiteurs.
Une BMW noire
Réveillé par le bruit, un proche voisin a assisté à toute la scène : « J'ai vu quatre individus sur le trottoir, le rideau était déjà arraché, ils ont pénétré à l'intérieur de la surface de vente en forçant la porte du magasin. Ils ont ensuite pris les bijoux qui se trouvaient en vitrine. Avant de repartir, ils ont vidé un extincteur sur la façade et l'entrée du magasin, sans doute pour effacer les éventuels indices qu'ils auraient pu laisser. Je pense que ce casse n'a pas duré plus de 5 à 6 minutes ». Aussitôt le témoin compose le 17.
Quelques minutes après, les gendarmes de la communauté de brigades de Guise renforcés par leurs collègues du Psig de Saint-Quentin sont sur place. Trop tard, les malfaiteurs ont déjà pris la fuite. Ils seraient partis à bord d'une BMW noire en direction d'un rond-point, ce qui rend impossible de connaître précisément la direction de leur fuite.
De cet endroit, ils pouvaient se diriger sur Saint-Quentin, La-Capelle ou rejoindre le département limitrophe du Nord. Entre-temps, l'alarme s'était déclenchée chez le propriétaire qui demeure quelques centaines de mètres plus loin, dans le quartier « Des Coutures ». « Il était précisément 2 h 52 lorsque l'alerte a été donnée. Je me suis rendu à mon magasin et à mon arrivée, le méfait était commis, les auteurs disparus et les gendarmes arrivaient ».
Christian Robert avait déjà été cambriolé, c'était là aussi en juillet, il y a 7 ans. Le préjudice est en cours dévaluation mais il semble très important. Une chance pour Christian et son épouse Francine, les malfaiteurs se sont contenté certes d'une importante quantité de bijoux en or et plaqué or mais ont délaissé la caisse et le coffre-fort.
Les militaires de la brigade de recherche aidés d'un technicien d'identification criminelle à la recherche du moindre indice, sont venus renforcer les gendarmes de la brigade de Guise qui ont déjà commencé à recueillir quelques témoignages de personnes demeurant dans le quartier où a été commis cet important cambriolage. Un plan « épervier » sur les compagnies de Saint-Quentin, Vervins et Laon, sous les ordres du commandant Houdain a été mis en place, sans résultat. Quant à la voiture qui aurait servi au casse, le numéro de la plaque numérologique avait été relevé par un témoin, il s'agirait d'un véhicule volé dans la Marne.
Le problème est que d'autres témoins auraient vu cette BMW, série 5 avec un autre numéro de plaque voir sans plaque d'immatriculation. Les enquêteurs poursuivent leurs investigations d'autant plus que dans la journée d'hier, un véhicule identique a été retrouvé brûlé près de Soissons.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/main-basse-sur-lor-a-la-bijouterie-robert
Bijoutiers de père en fils, la bijouterie Robert, connue de toute la Thiérache a été la victime d'un cambriolage. Un coup dur pour cet artisan, à l'aube de la retraite. Il était 2 h 50 lorsque des malfrats ont arraché sans ménagement le rideau métallique qui protège son magasin.
Probablement en l'attachant et en se servant de la voiture afin de l'extraire de ses rails, un mode opératoire devenu classique. Un rideau à lames pleines, il ne fait aucun doute que la discrétion n'était pas de mise pour ces malfaiteurs.
Une BMW noire
Réveillé par le bruit, un proche voisin a assisté à toute la scène : « J'ai vu quatre individus sur le trottoir, le rideau était déjà arraché, ils ont pénétré à l'intérieur de la surface de vente en forçant la porte du magasin. Ils ont ensuite pris les bijoux qui se trouvaient en vitrine. Avant de repartir, ils ont vidé un extincteur sur la façade et l'entrée du magasin, sans doute pour effacer les éventuels indices qu'ils auraient pu laisser. Je pense que ce casse n'a pas duré plus de 5 à 6 minutes ». Aussitôt le témoin compose le 17.
Quelques minutes après, les gendarmes de la communauté de brigades de Guise renforcés par leurs collègues du Psig de Saint-Quentin sont sur place. Trop tard, les malfaiteurs ont déjà pris la fuite. Ils seraient partis à bord d'une BMW noire en direction d'un rond-point, ce qui rend impossible de connaître précisément la direction de leur fuite.
De cet endroit, ils pouvaient se diriger sur Saint-Quentin, La-Capelle ou rejoindre le département limitrophe du Nord. Entre-temps, l'alarme s'était déclenchée chez le propriétaire qui demeure quelques centaines de mètres plus loin, dans le quartier « Des Coutures ». « Il était précisément 2 h 52 lorsque l'alerte a été donnée. Je me suis rendu à mon magasin et à mon arrivée, le méfait était commis, les auteurs disparus et les gendarmes arrivaient ».
Christian Robert avait déjà été cambriolé, c'était là aussi en juillet, il y a 7 ans. Le préjudice est en cours dévaluation mais il semble très important. Une chance pour Christian et son épouse Francine, les malfaiteurs se sont contenté certes d'une importante quantité de bijoux en or et plaqué or mais ont délaissé la caisse et le coffre-fort.
Les militaires de la brigade de recherche aidés d'un technicien d'identification criminelle à la recherche du moindre indice, sont venus renforcer les gendarmes de la brigade de Guise qui ont déjà commencé à recueillir quelques témoignages de personnes demeurant dans le quartier où a été commis cet important cambriolage. Un plan « épervier » sur les compagnies de Saint-Quentin, Vervins et Laon, sous les ordres du commandant Houdain a été mis en place, sans résultat. Quant à la voiture qui aurait servi au casse, le numéro de la plaque numérologique avait été relevé par un témoin, il s'agirait d'un véhicule volé dans la Marne.
Le problème est que d'autres témoins auraient vu cette BMW, série 5 avec un autre numéro de plaque voir sans plaque d'immatriculation. Les enquêteurs poursuivent leurs investigations d'autant plus que dans la journée d'hier, un véhicule identique a été retrouvé brûlé près de Soissons.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/main-basse-sur-lor-a-la-bijouterie-robert
jeudi 28 juillet 2011
Aubagne : un vigile de 43 ans abat sa mère
Un vigile de 43 ans a tué par balles sa mère âgée de 66 ans au domicile familial d'Aubagne (Bouche-du-Rhône), jeudi vers 14H00 dans le quartier populaire du Charrel, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Le drame a eu lieu dans la villa où le fils résidait au rez-de-chaussée tandis que ses parents occupaient l'étage, a précisé la même source. L'agent de sécurité a tiré sur sa mère au moins 6 balles de revolver de calibre 38 devant son père et ses deux soeurs avant de descendre dans son logement où il a été arrêté par les policiers du commissariat d'Aubagne, alertés par la famille qui n'a pu réanimer la victime décédée sur place.
Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs de la brigade criminelle de la Sûreté départementale, après plusieurs disputes précédentes, l'homme aurait agi parce que la villa n'avait pas été mise à son nom, a précisé la source proche de l'enquête.
Une jeune diabétique en danger après sa fugue d'un hôpital
L'adolescente a besoin de soins quotidiens et reste introuvable depuis le 7 juillet...
Amine Dia, 15 ans, s’est enfuie de l'hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt, le 7 juillet. Depuis, la jeune fille n’a donné aucune nouvelle. Une disparition jugée inquiétante par la police judiciaire des Hauts-de-Seine, notamment en raison des risques encourus par l’adolescente, diabétique, qui nécessite une surveillance et un traitement quotidiens. Un appel à témoins a été lancé.
Amine Dia mesure 1,60m et est de corpulence moyenne. Les yeux marron foncé, de type nord-africain, la jeune fille a un grain de beauté au niveau du front, du sourcil droit et de la lèvre supérieure et porte un piercing sur le nez et la langue. Sa maladie impose une surveillance régulière de son taux de sucre, ainsi que des injections d’insuline, faute de quoi elle risque d’être victime de malaises «pouvant engager son pronostic vital», a rappelé la PJ.
http://www.20minutes.fr/article/763466/jeune-diabetique-danger-apres-fugue-hopital
Amine Dia, 15 ans, s’est enfuie de l'hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt, le 7 juillet. Depuis, la jeune fille n’a donné aucune nouvelle. Une disparition jugée inquiétante par la police judiciaire des Hauts-de-Seine, notamment en raison des risques encourus par l’adolescente, diabétique, qui nécessite une surveillance et un traitement quotidiens. Un appel à témoins a été lancé.
Amine Dia mesure 1,60m et est de corpulence moyenne. Les yeux marron foncé, de type nord-africain, la jeune fille a un grain de beauté au niveau du front, du sourcil droit et de la lèvre supérieure et porte un piercing sur le nez et la langue. Sa maladie impose une surveillance régulière de son taux de sucre, ainsi que des injections d’insuline, faute de quoi elle risque d’être victime de malaises «pouvant engager son pronostic vital», a rappelé la PJ.
http://www.20minutes.fr/article/763466/jeune-diabetique-danger-apres-fugue-hopital
Un homme de 75 ans tué en traversant la N 113
Maurice Artaud, un Ariégeois de 75 ans, a été mortellement blessé, hier, peu après 12h30. Le septuagénaire, immédiatement secouru par l'un des témoins du drame, est décédé deux heures après son admission au centre hospitalier de Carcassonne. Selon les premiers éléments recueillis par les services de police, le septuagénaire qui longeait la chaussée dans le sens Trèbes-Carcassonne, a soudainement entrepris de traverser la 2x2 voies avant de franchir le parapet central séparant les deux chaussées. Alors qu'il s'engageait de l'autre côté du muret, Maurice Artaud a été heurté par un automobiliste roulant sur la voie de gauche. Le conducteur, un ressortissant britannique installé à Montlaur, n'a rien pu faire pour éviter la collision. Entendu par les hommes de la brigade accident, sa version des faits a été corroborée par plusieurs automobilistes. Sur place, les pompiers de Carcassonne, épaulés par une équipe du Samu, ont pu médicaliser la victime. Souffrant de plusieurs traumatismes, le septuagénaire est décédé vers 15 heures, sans avoir repris connaissance. Cet accident porte à vingt-neuf le nombre de personnes ayant trouvé la mort sur les routes du département depuis le 1er janvier. C'est la sixième victime en zone police.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/28/1136430-un-homme-de-75-ans-tue-en-traversant-la-113.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/28/1136430-un-homme-de-75-ans-tue-en-traversant-la-113.html
en intervenant sur une fuite de gaz, les pompiers de Sète découvrent quatre enfants abandonnés
On a frôlé le drame, mardi dernier, à Sète. Au cours d'une intervention sur une fuite de gaz, les pompiers ont découvert quatre enfants laissés seuls, sales et apeurés, à l’intérieur d’un appartement envahi par les vapeurs. Ils ont été placés en foyer par la justice.
« Ils étaient souvent dans le couloir, comme des petits chats : dès qu’ils voient qu’on les regarde, ils se cachent. Quand on leur parle, ils ont peur et s’en vont » témoigne une voisine.
http://www.midilibre.fr/2011/07/27/exclusif-en-intervenant-sur-une-fuite-de-gaz-les-pompiers-decouvrent-quatre-enfants-abandonnes,362477.php
« Ils étaient souvent dans le couloir, comme des petits chats : dès qu’ils voient qu’on les regarde, ils se cachent. Quand on leur parle, ils ont peur et s’en vont » témoigne une voisine.
http://www.midilibre.fr/2011/07/27/exclusif-en-intervenant-sur-une-fuite-de-gaz-les-pompiers-decouvrent-quatre-enfants-abandonnes,362477.php
Témoignages accablants contre la voisine de Josette Choisy
Les ex beaux-parents de Michelle Lefort, sont bouleversés que leur nom, qu'elle continue à porter, soit associé quotidiennement à cette sordide affaire.
ON ne sait pas encore si la meurtrière présumée de Josette Choisy endossera un jour le « droguet » pénitentiaire, puisque sa garde à vue a été prolongée (voir ci-contre) et qu'on ignore encore ce que le juge d'instruction retiendra comme charges à son encontre.
Mais, ce qui est sûr c'est qu'elle est, d'ores et déjà, « habillée pour l'hiver », tellement tous ceux qui l'ont connue, de Maubert-Fontaine à Signy-le-Petit, en passant par Eteignières, Auge ou Auvillers-les-Forges, lui ont déjà « taillé de costards », depuis qu'on la sait soupçonnée d'être, au minimum, « pour quelque chose », dans l'horrible drame survenu, le 18 juillet dernier, au n° 1 rue Chêtre, en plein cœur de Maubert-Fontaine.
En effet, après le témoignage accablant de Lilian Decq (voir notre édition du 22 juillet), qui fut l'un des trois hommes « officiels » de sa vie de gourgandine, l'ayant décrite, anecdotes de ses dires à l'appui, comme une véritable mante religieuse, voleuse, menteuse, dissimulatrice, etc. ce sont les parents de son dernier mari, Patrick Druon, décédé le 16 octobre 2008, un an après l'avoir épousée le 29 septembre 2007 qui ont souhaité, à leur tour, monter au créneau. Etouffant de honte, en voyant le nom de leur famille honorable de vieux cultivateurs de l'Aisne, associé dans la presse, depuis une semaine, à cet épouvantable faits divers.
« Ne l'appelez plus Druon, quand vous parlez d'elle, on vous en supplie, car c'est une saloperie finie, on ne peut pas trouver pire », nous ont imploré, hier matin, dans leur maison de Hannappes, Thérèse et Roger Druon, le regard embué de larmes, face au buffet sur lequel, dans leur cadre, continuent à « vivre » avec eux, non seulement Patrick, mais aussi sa petite sœur Magali, disparue à l'âge de 15 ans, victime d'une leucémie.
« Comme s'il ne nous suffisait pas, déjà, d'avoir perdu deux enfants, notre nom est désormais sali, uniquement parce qu'elle a fait exprès de garder le nom de notre fils, dans l'espoir de gratter un jour quelque chose à notre mort. C'est Michelle Lefort, son nom de jeune fille, que vous devez utiliser, quand vous parlez de cette femme ! »
Nous avons eu beau expliquer à ces parents mortifiés, qu'ils risquent malheureusement de souffrir encore longtemps de cette situation, Thérèse Druon, surtout, n'a pas voulu en démordre. Justifiant sa rancœur, envers celle qui fut brièvement sa belle-fille, par le fait que « tout ce qu'on connaît d'elle, depuis toujours, avant même le drame de Maubert-Fontaine, c'est que c'est une très mauvaise personne. Je ne sais pas dans quelles conditions elle avait réussi à embobiner notre fils, alors que depuis plus de vingt ans, il vivait avec Isabelle, une gentille jeune femme d'Auvillers, qu'elle lui a fait plaquer. Mais ce que je sais, c'est que je lui avais défendu dix fois, vingt fois, de l'épouser. Toujours, je lui disais, tu n'auras que des embêtements avec elle. Mais elle le tenait sous sa coupe. Elle savait l'entortiller. Elle savait s'y prendre. Et il ne m'a pas écoutée… »
« Elle savait l'entortiller »
Toujours est-il que durant la courte période du mariage, « dès juillet 2008, Patrick qui s'était enfin rendu compte à qui il avait affaire, nous parlait déjà de divorcer ! », les relations furent donc plus que tendues, entre Michelle Lefort et ses beaux-parents. « Nous ne la recevions que quand on ne pouvait pas faire autrement » évoque Thérèse Druon. « Quant à notre fils, de son côté, il refusait de recevoir chez lui, les trois enfants de « l'autre », qu'elle avait eus de ses deux précédentes liaisons »…
Et puis, malheureusement, l'état de santé de Patrick, qui travaillait alors comme grutier chez Urano, s'aggrava. « Il était déjà bien malade quand Michelle Lefort lui a mis le grappin dessus, sans doute parce qu'elle devait se dire qu'elle ne tarderait pas à être veuve ; d'ailleurs sans cesse elle le harcelait, pour qu'il lui fasse un testament, qu'heureusement il n'a pas eu le temps de rédiger. Évidemment, elle savait que nous lui avions donné la maison d'Auge, où ils s'étaient installés et que nous possédons 90 hectares de terres dans l'Aisne », suppute Thérèse Druon. Et, de fait, le malheureux garçon allait effectivement succomber, quelques mois plus tard, à l'hôpital, après d'épuisantes dialyses, probablement victime d'une leptospirose (dite maladie du rat), aggravée de complications diabétiques et cardiaques. Or, ce décès allait encore confirmer, les bien mauvaises manières de Michelle Lefort…http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/temoignages-accablants-contre-la-voisine-de-josette-choisy
ON ne sait pas encore si la meurtrière présumée de Josette Choisy endossera un jour le « droguet » pénitentiaire, puisque sa garde à vue a été prolongée (voir ci-contre) et qu'on ignore encore ce que le juge d'instruction retiendra comme charges à son encontre.
Mais, ce qui est sûr c'est qu'elle est, d'ores et déjà, « habillée pour l'hiver », tellement tous ceux qui l'ont connue, de Maubert-Fontaine à Signy-le-Petit, en passant par Eteignières, Auge ou Auvillers-les-Forges, lui ont déjà « taillé de costards », depuis qu'on la sait soupçonnée d'être, au minimum, « pour quelque chose », dans l'horrible drame survenu, le 18 juillet dernier, au n° 1 rue Chêtre, en plein cœur de Maubert-Fontaine.
En effet, après le témoignage accablant de Lilian Decq (voir notre édition du 22 juillet), qui fut l'un des trois hommes « officiels » de sa vie de gourgandine, l'ayant décrite, anecdotes de ses dires à l'appui, comme une véritable mante religieuse, voleuse, menteuse, dissimulatrice, etc. ce sont les parents de son dernier mari, Patrick Druon, décédé le 16 octobre 2008, un an après l'avoir épousée le 29 septembre 2007 qui ont souhaité, à leur tour, monter au créneau. Etouffant de honte, en voyant le nom de leur famille honorable de vieux cultivateurs de l'Aisne, associé dans la presse, depuis une semaine, à cet épouvantable faits divers.
« Ne l'appelez plus Druon, quand vous parlez d'elle, on vous en supplie, car c'est une saloperie finie, on ne peut pas trouver pire », nous ont imploré, hier matin, dans leur maison de Hannappes, Thérèse et Roger Druon, le regard embué de larmes, face au buffet sur lequel, dans leur cadre, continuent à « vivre » avec eux, non seulement Patrick, mais aussi sa petite sœur Magali, disparue à l'âge de 15 ans, victime d'une leucémie.
« Comme s'il ne nous suffisait pas, déjà, d'avoir perdu deux enfants, notre nom est désormais sali, uniquement parce qu'elle a fait exprès de garder le nom de notre fils, dans l'espoir de gratter un jour quelque chose à notre mort. C'est Michelle Lefort, son nom de jeune fille, que vous devez utiliser, quand vous parlez de cette femme ! »
Nous avons eu beau expliquer à ces parents mortifiés, qu'ils risquent malheureusement de souffrir encore longtemps de cette situation, Thérèse Druon, surtout, n'a pas voulu en démordre. Justifiant sa rancœur, envers celle qui fut brièvement sa belle-fille, par le fait que « tout ce qu'on connaît d'elle, depuis toujours, avant même le drame de Maubert-Fontaine, c'est que c'est une très mauvaise personne. Je ne sais pas dans quelles conditions elle avait réussi à embobiner notre fils, alors que depuis plus de vingt ans, il vivait avec Isabelle, une gentille jeune femme d'Auvillers, qu'elle lui a fait plaquer. Mais ce que je sais, c'est que je lui avais défendu dix fois, vingt fois, de l'épouser. Toujours, je lui disais, tu n'auras que des embêtements avec elle. Mais elle le tenait sous sa coupe. Elle savait l'entortiller. Elle savait s'y prendre. Et il ne m'a pas écoutée… »
« Elle savait l'entortiller »
Toujours est-il que durant la courte période du mariage, « dès juillet 2008, Patrick qui s'était enfin rendu compte à qui il avait affaire, nous parlait déjà de divorcer ! », les relations furent donc plus que tendues, entre Michelle Lefort et ses beaux-parents. « Nous ne la recevions que quand on ne pouvait pas faire autrement » évoque Thérèse Druon. « Quant à notre fils, de son côté, il refusait de recevoir chez lui, les trois enfants de « l'autre », qu'elle avait eus de ses deux précédentes liaisons »…
Et puis, malheureusement, l'état de santé de Patrick, qui travaillait alors comme grutier chez Urano, s'aggrava. « Il était déjà bien malade quand Michelle Lefort lui a mis le grappin dessus, sans doute parce qu'elle devait se dire qu'elle ne tarderait pas à être veuve ; d'ailleurs sans cesse elle le harcelait, pour qu'il lui fasse un testament, qu'heureusement il n'a pas eu le temps de rédiger. Évidemment, elle savait que nous lui avions donné la maison d'Auge, où ils s'étaient installés et que nous possédons 90 hectares de terres dans l'Aisne », suppute Thérèse Druon. Et, de fait, le malheureux garçon allait effectivement succomber, quelques mois plus tard, à l'hôpital, après d'épuisantes dialyses, probablement victime d'une leptospirose (dite maladie du rat), aggravée de complications diabétiques et cardiaques. Or, ce décès allait encore confirmer, les bien mauvaises manières de Michelle Lefort…http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/temoignages-accablants-contre-la-voisine-de-josette-choisy
mercredi 27 juillet 2011
Nancy : la petite entreprise de l’artisan dealer
L’argent de la drogue va servir… à la lutte contre la drogue. C’est en quelque sorte la morale de l’affaire résolue par la PJ de Nancy, qui a mis la main sur environ 100 000 €, produits d’avoirs criminels. Elle plaît bien au patron du service, le commissaire Couic.
L’affaire commence le 19 juillet dans les rues de la ville. Une patrouille de la brigade anticriminalité de Nancy contrôle en ville un couple qui roule dans une Citroën C2. La passagère n’a pas l’air très clair, mais c’est surtout le conducteur qui est intéressant. Il est recherché pour l’exécution d’un jugement et est porteur d’une dose d’héroïne. Sur lui, 1 000 € en liquide, et dans un de ses sacs, 20 000 € sous cellophane.
Une information judiciaire est ouverte pour déterminer l’origine de la marchandise. L’homme a été écroué, sa passagère laissée libre et l’ex-petite amie placée sous contrôle judiciaire. L’argent provenant du trafic ira abonder le fonds de concours drogue, qui mène des opérations de prévention, finance des actions de soin et est alloué aussi à la répression.
Une façon morale de boucler la boucle.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
L’affaire commence le 19 juillet dans les rues de la ville. Une patrouille de la brigade anticriminalité de Nancy contrôle en ville un couple qui roule dans une Citroën C2. La passagère n’a pas l’air très clair, mais c’est surtout le conducteur qui est intéressant. Il est recherché pour l’exécution d’un jugement et est porteur d’une dose d’héroïne. Sur lui, 1 000 € en liquide, et dans un de ses sacs, 20 000 € sous cellophane.
Camping-car et moto de 650 cm³
L’affaire intéresse bigrement la PJ qui travaille sur le trafic international de stupéfiants et prend le relais. On apprend que le couple partait au Luxembourg ou en Belgique pour « placer » cet argent dans la drogue. L’homme comptait acheter 2 kg d’héroïne et quelques centaines de grammes de cocaïne. La femme y allait pour acheter des cigarettes. La police pousse plus avant ses investigations, car la voiture est au nom d’une ex-petite amie du trafiquant. Chez elle, les policiers trouvent un peu d’héroïne, un peu de cannabis et, soigneusement dissimulés, à l’insu de ses parents, 25 000 € en liquide, en prévision des mauvais jours. Dans le jardin est garé un camping-car acheté 25 000 € il y a quelques semaines, et une moto de 650 cm³. Tout cela avait été acquis avec le produit de la revente de la drogue. L’homme a reconnu de nombreux voyages.Une information judiciaire est ouverte pour déterminer l’origine de la marchandise. L’homme a été écroué, sa passagère laissée libre et l’ex-petite amie placée sous contrôle judiciaire. L’argent provenant du trafic ira abonder le fonds de concours drogue, qui mène des opérations de prévention, finance des actions de soin et est alloué aussi à la répression.
Une façon morale de boucler la boucle.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
La Trinité: il va à la gendarmerie avec un couteau dans le ventre!
Les gendarmes de la brigade de La Trinité ont reçu une visite très inhabituelle, hier matin, vers 1 heure.
C’est un homme avec un couteau planté dans l’abdomen qui a, en effet, sonné afin de solliciter de l’aide… Comme c’est le cas le soir, c’est le centre opérationnel de Nice qui a répondu à l’appel de ce ressortissant russe de 38 ans, s’exprimant d’autant plus difficilement en français qu’il était ivre.
Au militaire de permanence de La Trinité, qui lui a ouvert la porte, l’homme qui est un voisin de la brigade, a confié s’être planté lui-même le poignard lors d’un geste désespéré ! Il a été transporté à Nice, aux urgences de Saint-Roch. Bien qu’ivre, il a eu le bon réflexe de ne pas enlever lui-même le couteau, un geste qui aurait pu entraîner de graves complications.
http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/la-trinite-il-va-a-la-gendarmerie-avec-un-couteau-dans-le-ventre
C’est un homme avec un couteau planté dans l’abdomen qui a, en effet, sonné afin de solliciter de l’aide… Comme c’est le cas le soir, c’est le centre opérationnel de Nice qui a répondu à l’appel de ce ressortissant russe de 38 ans, s’exprimant d’autant plus difficilement en français qu’il était ivre.
Au militaire de permanence de La Trinité, qui lui a ouvert la porte, l’homme qui est un voisin de la brigade, a confié s’être planté lui-même le poignard lors d’un geste désespéré ! Il a été transporté à Nice, aux urgences de Saint-Roch. Bien qu’ivre, il a eu le bon réflexe de ne pas enlever lui-même le couteau, un geste qui aurait pu entraîner de graves complications.
http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/la-trinite-il-va-a-la-gendarmerie-avec-un-couteau-dans-le-ventre
Braquée à la fermeture de sa pizzeria
En face, trois maisons à vendre et vendues, inoccupées pour l'instant. À deux pas, une pharmacie fermée à l'heure où Hélène, 35 ans en août, tire le rideau tous les jours. La pharmacienne dort à l'étage mais n'a rien entendu. Pas de témoins possibles donc aux alentours immédiats d'Illy'Co Pizza lundi vers 21 h 30. La vieille dame qui habite derrière n'a rien entendu du braquage.
La jeune femme, qui a pris le commerce en location-gérance avant l'été, tournait le dos à l'entrée. Elle a bien senti la présence de clients potentiels. Mais les deux individus qui viennent de franchir le seuil de sa pizzeria n'en sont pas, des clients.
L'enquête est menée avec leurs collègues de la compagnie d'Agen. Le préjudice du braquage est presque anecdotique vu la gravité des faits, entre 100 et 150 €.
Illy'Co Pizza était fermé hier midi, mais Hélène, avec une force de caractère notable, envisageait d'ouvrir pour les commandes du soir. « Je ne veux pas rester là-dessus », expliquait-elle hier à l'heure du déjeuner. « Il me tarde de zapper tout ça, de reprendre le cours normal des choses ». Mais, consent-elle à avouer, « je risque d'être troublée pendant quelque temps ». Illy'Co Pizza est ouvert sept jours sur sept, Hélène se relaie à la fabrication et à la vente avec une collègue. Les horaires de fermeture sont réguliers
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/27/1135545-braquee-a-la-fermeture-de-sa-pizzeria.html
La jeune femme, qui a pris le commerce en location-gérance avant l'été, tournait le dos à l'entrée. Elle a bien senti la présence de clients potentiels. Mais les deux individus qui viennent de franchir le seuil de sa pizzeria n'en sont pas, des clients.
Capuches
Ils portent des capuches, ou des cagoules, le visage est masqué. « Je n'ai vu que les yeux », raconte la victime de ce braquage express, à la tombée de la nuit, à Pont-du-Casse. Ce qu'elle voit en revanche, c'est une arme de poing « chromée », et ce qui ressemble à une bombe lacrymogène. C'est étonnant, « j'ai cru à une mauvaise blague. Sur le coup, malgré ce que l'on peut lire ou entendre, on ne pense jamais que cela peut nous arriver ». Ce n'était pas une blague, « je l'ai compris quand ils sont entrés dans mon espace ».Environ 150 €
Les deux braqueurs franchissent la porte battante qui sépare le sas d'accueil de la cuisine. Aucune violence, la gérante n'a pas été bousculée, ni insultée. On lui demande simplement de s'allonger. « J'ai l'impression après coup qu'ils avaient peur. J'ai senti une panique ». Le vol est rapide, les deux individus quittent la pizzeria. Comme elle le raconte, Hélène se redresse, se barricade aussitôt avant de composer le « 17 », les gendarmes arrivent. Parce qu'il s'agit d'un braquage à main armée, passible d'ailleurs des assises, la section recherches de la gendarmerie nationale est saisie.L'enquête est menée avec leurs collègues de la compagnie d'Agen. Le préjudice du braquage est presque anecdotique vu la gravité des faits, entre 100 et 150 €.
Illy'Co Pizza était fermé hier midi, mais Hélène, avec une force de caractère notable, envisageait d'ouvrir pour les commandes du soir. « Je ne veux pas rester là-dessus », expliquait-elle hier à l'heure du déjeuner. « Il me tarde de zapper tout ça, de reprendre le cours normal des choses ». Mais, consent-elle à avouer, « je risque d'être troublée pendant quelque temps ». Illy'Co Pizza est ouvert sept jours sur sept, Hélène se relaie à la fabrication et à la vente avec une collègue. Les horaires de fermeture sont réguliers
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/27/1135545-braquee-a-la-fermeture-de-sa-pizzeria.html
Dans sa valise bétonnée, le voyageur cachait 5,5 kg de coke
Ca fait un an que je suis incarcéré. J’ai fait une erreur. Ça s’est décidé le dernier jour de mon voyage", lance, tout à sa confession, l’un des prévenus, originaire de Béziers. C’était en juillet 2010, quand, après un séjour de deux semaines sur l’île de Saint-Martin (Antilles) avec son cousin, il regagne la France. Passe sans problème les contrôles à l’aéroport Princess-Juliana, se pose à Charles-de-Gaulle puis prend sa correspondance vers Montpellier. Se croyant, à tort, désormais à l’abri. Car à sa descente d’avion, il est intercepté par les douaniers. Lesquels mettent au jour 5,5 kg de cocaïne, dissimulés dans une caisse de bois, recouverte de bois et de béton et placée dans sa lourde valise de 35 kg mais vide du moindre vêtement.
- "J’ai été abordé par un homme...", poursuit le prévenu. - "Et le marché, c’était quoi ?", demande la présidente. - "De transporter la caisse. Arrivé au fast-food, il me donnait 5 000 €." - "Et il connaissait Béziers ? C’est fou ça. Et cela tombait bien, vous aviez une valise adaptée", ironise la magistrate. Un mystérieux contact donc, rencontré au bar d’un établissement bordant une plage de la baie orientale de l’île.
En revanche, le garçon réfute toute préméditation. L’absence d’habits dans ladite valise ? "C’était pour acheter pas mal d’affaires là-bas." Ses deux précédents voyages sur ce confetti posé sur l’arc caribéen ? "Et cet engouement pour Saint-Martin ?", relève la présidente "C’était pour une femme..." Dans le prétoire, à son tour, son cousin, accusé de complicité, soutient mordicus "n’avoir été au courant de rien".
"La seule réalité de ce dossier, c’est l’importation de cette cocaïne", relève la représentante du parquet. Jugeant "très peu crédibles" les explications avancées par le duo.
Pour la douane, cette poudre blanche a une valeur de 40 000 € par kilo. Mais bien plus une fois conditionnée et vendue en doses, jusqu’à 150 € le gramme.
Mais pas question de parler de trafic pour Me Benyoucef, le conseil des garçons. "Des investigations bancaires et patrimoniales n’ont rien donné." L’avocat fustigeant dans la foulée certains oublis au cours de l’enquête, puis de l’instruction : "On est parti de l’idée qu’il était trafiquant sans se poser la question de savoir si ce qu’il racontait était vrai !"
Le mystérieux contact "faisait aussi partie des passagers, en classe affaires. Rien n’a été fait pour l’identifier"
Me Benyoucef, avocat Le mystérieux contact, "John Dixon, faisait lui aussi partie des passagers du vol retour mais était en classe affaires. Rien n’a été fait pour, simplement, l’identifier." Sachant que celui-ci voyageait avec deux bagages de 35 kg, qu’il a ensuite gagné les Pays-Bas en train.
Le frère du prévenu écroué, lui aussi dans l’avion, avait ensuite regagné Béziers en train. Lui aussi avec deux bagages de 35 kilos. Et n’a été entendu que quelques heures par les enquêteurs, plusieurs mois après, tance l’avocat. "Il a fait une bêtise. Est-ce que le prix de celle-ci, c’est quatre ans ferme ? Moi, je ne crois pas !"
C’est pourtant cette peine qui a été infligée au prévenu. Quand son cousin a, lui, écopé de douze mois de geôle, dont six assortis d’un sursis. Les deux étant aussi condamnés solidairement à verser 50 000 € d’amende douanière.
http://www.midilibre.fr/2011/07/26/dans-sa-valise-betonnee-le-voyageur-cachait-5-5-kg-de-coke,361997.php
- "J’ai été abordé par un homme...", poursuit le prévenu. - "Et le marché, c’était quoi ?", demande la présidente. - "De transporter la caisse. Arrivé au fast-food, il me donnait 5 000 €." - "Et il connaissait Béziers ? C’est fou ça. Et cela tombait bien, vous aviez une valise adaptée", ironise la magistrate. Un mystérieux contact donc, rencontré au bar d’un établissement bordant une plage de la baie orientale de l’île.
En revanche, le garçon réfute toute préméditation. L’absence d’habits dans ladite valise ? "C’était pour acheter pas mal d’affaires là-bas." Ses deux précédents voyages sur ce confetti posé sur l’arc caribéen ? "Et cet engouement pour Saint-Martin ?", relève la présidente "C’était pour une femme..." Dans le prétoire, à son tour, son cousin, accusé de complicité, soutient mordicus "n’avoir été au courant de rien".
"La seule réalité de ce dossier, c’est l’importation de cette cocaïne", relève la représentante du parquet. Jugeant "très peu crédibles" les explications avancées par le duo.
Pour la douane, cette poudre blanche a une valeur de 40 000 € par kilo. Mais bien plus une fois conditionnée et vendue en doses, jusqu’à 150 € le gramme.
Mais pas question de parler de trafic pour Me Benyoucef, le conseil des garçons. "Des investigations bancaires et patrimoniales n’ont rien donné." L’avocat fustigeant dans la foulée certains oublis au cours de l’enquête, puis de l’instruction : "On est parti de l’idée qu’il était trafiquant sans se poser la question de savoir si ce qu’il racontait était vrai !"
Le mystérieux contact "faisait aussi partie des passagers, en classe affaires. Rien n’a été fait pour l’identifier"
Me Benyoucef, avocat Le mystérieux contact, "John Dixon, faisait lui aussi partie des passagers du vol retour mais était en classe affaires. Rien n’a été fait pour, simplement, l’identifier." Sachant que celui-ci voyageait avec deux bagages de 35 kg, qu’il a ensuite gagné les Pays-Bas en train.
Le frère du prévenu écroué, lui aussi dans l’avion, avait ensuite regagné Béziers en train. Lui aussi avec deux bagages de 35 kilos. Et n’a été entendu que quelques heures par les enquêteurs, plusieurs mois après, tance l’avocat. "Il a fait une bêtise. Est-ce que le prix de celle-ci, c’est quatre ans ferme ? Moi, je ne crois pas !"
C’est pourtant cette peine qui a été infligée au prévenu. Quand son cousin a, lui, écopé de douze mois de geôle, dont six assortis d’un sursis. Les deux étant aussi condamnés solidairement à verser 50 000 € d’amende douanière.
http://www.midilibre.fr/2011/07/26/dans-sa-valise-betonnee-le-voyageur-cachait-5-5-kg-de-coke,361997.php
Un retraité victime de sévices
Le parquet de Saint-Quentin mène, depuis une semaine, une enquête sur des actes de séquestration et de torture portant sur une longue période.
TOUT part d'une disparition. Celle de Simon Lobry, 77 ans, qui habite une propriété isolée située entre la commune d'Origny-Sainte-Benoîte et Neuvillette. Il est vu pour la dernière fois le vendredi 15 juillet, en fin d'après-midi.
Ouvrier à la retraite, sans famille, originaire de Fontaine-Notre-Dame, il vit depuis des années dans la commune, d'abord chez son patron, puis à son décès, chez le fils de celui-ci, dans un ancien bureau de l'entreprise transformé en petit studio. Un homme à la santé fragile qui disparaît soudainement. C'est son bailleur qui donne l'alerte.
Après deux jours sans nouvelles du retraité, les gendarmes inspectent longuement les environs et notamment les berges du canal de la Sambre à l'Oise, à une centaine de mètres de là, où le septuagénaire aime se promener. L'équipe cynophile avait participé aux recherches. Le bailleur de Simon Lobry semblant réellement inquiet avait longuement fait part de ses pistes de recherches aux gendarmes.
Une fuite plus qu'une fugue
Il ne faudra pas longtemps aux enquêteurs pour mettre la main sur le disparu. Simon Lobry fréquente surtout deux personnes. L'une ne l'a pas vu depuis plusieurs jours et l'autre explique que le disparu s'est réfugié chez lui. Dans un piteux état, apeuré, son ami a alors appelé les sapeurs-pompiers pour qu'il soit hospitalisé. Les gendarmes appellent l'hôpital de Saint-Quentin et obtiennent une confirmation de la présence du disparu.
Entre-temps, l'équipe médicale qui prend en charge le septuagénaire se rend compte qu'il présente de nombreuses traces anciennes et récentes d'hématomes. L'homme est fuyant, il semble cacher quelque chose, mais ne desserre pas les dents. L'hôpital fait alors un signalement et les policiers ouvrent une enquête. Le centre hospitalier leur fait notamment parvenir un bilan de santé détaillé du pauvre homme. Les enquêteurs découvrent ainsi qu'on lui aurait même arraché un ongle. Pour quelles raisons ? Qu'essayait-on de lui soutirer ? De l'argent visiblement.
Placé en garde à vue
L'enquête vient d'avancer à grands pas avec l'interpellation de l'auteur présumé des sévices, hier matin. Les enquêteurs sont venus le cueillir à son domicile, toutes sirènes hurlentes, sans nul doute après avoir amassé assez d'éléments à charge. L'homme qui est reparti menotté et qui a été placé, dans la foulée, en garde à vue pour violences aggravées n'est autre que celui chez qui Simon Lobry loge depuis des années. Selon nos informations, il se trouvait toujours en garde à vue hier soir.
Est-ce lui qui maltraitait régulièrement le retraité ? Dans ce cas pourquoi la victime n'a-t-elle rien dit, n'a-t-elle pas pris la fuite plus tôt ? Dans la commune d'Origny-Sainte-Benoîte, la victime est décrite comme un homme « travailleur, solitaire, qui parle peu. Il habitait avant dans cette propriétaire tout au fond dans une vieille caravane délabrée, avant que les locaux soient aménagés. »
Le parquet de Saint-Quentin devrait se prononcer aujourd'hui, au vu de l'état des investigations menées par les policiers et les auditions de garde à vue, sur les suites qu'il souhaite donner à l'enquête. La victime, quant à elle, est toujours hospitalisée.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-retraite-victime-de-sevices
TOUT part d'une disparition. Celle de Simon Lobry, 77 ans, qui habite une propriété isolée située entre la commune d'Origny-Sainte-Benoîte et Neuvillette. Il est vu pour la dernière fois le vendredi 15 juillet, en fin d'après-midi.
Ouvrier à la retraite, sans famille, originaire de Fontaine-Notre-Dame, il vit depuis des années dans la commune, d'abord chez son patron, puis à son décès, chez le fils de celui-ci, dans un ancien bureau de l'entreprise transformé en petit studio. Un homme à la santé fragile qui disparaît soudainement. C'est son bailleur qui donne l'alerte.
Après deux jours sans nouvelles du retraité, les gendarmes inspectent longuement les environs et notamment les berges du canal de la Sambre à l'Oise, à une centaine de mètres de là, où le septuagénaire aime se promener. L'équipe cynophile avait participé aux recherches. Le bailleur de Simon Lobry semblant réellement inquiet avait longuement fait part de ses pistes de recherches aux gendarmes.
Une fuite plus qu'une fugue
Il ne faudra pas longtemps aux enquêteurs pour mettre la main sur le disparu. Simon Lobry fréquente surtout deux personnes. L'une ne l'a pas vu depuis plusieurs jours et l'autre explique que le disparu s'est réfugié chez lui. Dans un piteux état, apeuré, son ami a alors appelé les sapeurs-pompiers pour qu'il soit hospitalisé. Les gendarmes appellent l'hôpital de Saint-Quentin et obtiennent une confirmation de la présence du disparu.
Entre-temps, l'équipe médicale qui prend en charge le septuagénaire se rend compte qu'il présente de nombreuses traces anciennes et récentes d'hématomes. L'homme est fuyant, il semble cacher quelque chose, mais ne desserre pas les dents. L'hôpital fait alors un signalement et les policiers ouvrent une enquête. Le centre hospitalier leur fait notamment parvenir un bilan de santé détaillé du pauvre homme. Les enquêteurs découvrent ainsi qu'on lui aurait même arraché un ongle. Pour quelles raisons ? Qu'essayait-on de lui soutirer ? De l'argent visiblement.
Placé en garde à vue
L'enquête vient d'avancer à grands pas avec l'interpellation de l'auteur présumé des sévices, hier matin. Les enquêteurs sont venus le cueillir à son domicile, toutes sirènes hurlentes, sans nul doute après avoir amassé assez d'éléments à charge. L'homme qui est reparti menotté et qui a été placé, dans la foulée, en garde à vue pour violences aggravées n'est autre que celui chez qui Simon Lobry loge depuis des années. Selon nos informations, il se trouvait toujours en garde à vue hier soir.
Est-ce lui qui maltraitait régulièrement le retraité ? Dans ce cas pourquoi la victime n'a-t-elle rien dit, n'a-t-elle pas pris la fuite plus tôt ? Dans la commune d'Origny-Sainte-Benoîte, la victime est décrite comme un homme « travailleur, solitaire, qui parle peu. Il habitait avant dans cette propriétaire tout au fond dans une vieille caravane délabrée, avant que les locaux soient aménagés. »
Le parquet de Saint-Quentin devrait se prononcer aujourd'hui, au vu de l'état des investigations menées par les policiers et les auditions de garde à vue, sur les suites qu'il souhaite donner à l'enquête. La victime, quant à elle, est toujours hospitalisée.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-retraite-victime-de-sevices
mardi 26 juillet 2011
Aix-en-Provence : un homme et son fils arrêtés après une altercation mortelle
Un homme de 47 ans et son fils mineur de 17 ans, soupçonnés d'avoir passé à tabac un homme dans la nuit de samedi à dimanche à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), ont été interpellés. Ils sont en cours de présentation devant un juge en vue d'être mis en examen pour "homicide volontaire", a affirmé à l'AFP la procureur de la République du tribunal d'Aix-en-Provence, Dominique Moyal.
La parquet a requis un mandat de dépôt à l'encontre des deux auteurs présumés, des marginaux sans emploi habitant le Jas de Bouffan, le même quartier que la victime, a précisé Mme Moyal.
Connus des services de police pour des affaires de violences, le père et le fils ont affirmé aux enquêteurs «avoir des litiges datant de plus de dix ans» avec la victime pour expliquer leur geste.
Ils ont pu être rapidement interpellés par la Sûreté urbaine d'Aix-en-Provence, en charge de l'enquête, grâce à des recoupements et des témoignages, a précisé la procureur.
Violemment frappé à la tête, l'homme de 47 ans avait été découvert entièrement nu, errant sur la voie publique samedi peu avant 23H00. Rapidement tombé dans le coma après avoir été secouru, il était décédé dans la nuit aux urgences de l'hôpital sans avoir repris connaissance
http://www.leparisien.fr/faits-divers/aix-en-provence-un-homme-et-son-fils-arretes-apres-une-altercation-mortelle-26-07-2011-1546015.php
La parquet a requis un mandat de dépôt à l'encontre des deux auteurs présumés, des marginaux sans emploi habitant le Jas de Bouffan, le même quartier que la victime, a précisé Mme Moyal.
Connus des services de police pour des affaires de violences, le père et le fils ont affirmé aux enquêteurs «avoir des litiges datant de plus de dix ans» avec la victime pour expliquer leur geste.
Ils ont pu être rapidement interpellés par la Sûreté urbaine d'Aix-en-Provence, en charge de l'enquête, grâce à des recoupements et des témoignages, a précisé la procureur.
Violemment frappé à la tête, l'homme de 47 ans avait été découvert entièrement nu, errant sur la voie publique samedi peu avant 23H00. Rapidement tombé dans le coma après avoir été secouru, il était décédé dans la nuit aux urgences de l'hôpital sans avoir repris connaissance
http://www.leparisien.fr/faits-divers/aix-en-provence-un-homme-et-son-fils-arretes-apres-une-altercation-mortelle-26-07-2011-1546015.php
Viols et attouchements : une mère rompt le silence
I ls ont tous peur, c’est pour ça qu’ils ne disent rien. » La mère de la petite fille victime d’agression sexuelle alors qu’elles étaient en visite au Centre d’accueil des demandeurs d’asile (Cada) de Florange est en colère. Russo-arménienne, elle a décidé de rompre le silence. Placée dans un hôtel de Thionville avec ses deux enfants, elle attend beaucoup de l’enquête. Les familles n’ont jamais osé se plaindre. Proies faciles en raison de leur statut très précaire, les familles de réfugiés préfèrent rester discrètes et se taire. « Ces gens-là n’ont surtout pas envie d’avoir à faire à la police, de peur qu’on les expulse », témoigne un responsable hôtelier. « Mais ça faisait au moins trois ans que j’en entendais parler ! Après, il y a souvent des rumeurs… »
Trois fillettes auraient déjà été identifiées sur les vidéos saisies au domicile du suspect. Mais les enquêteurs doivent encore en visionner une centaine. Interpellé le 12 juillet, l’agent d’entretien, âgé d’une quarantaine d’années, a été mis en examen pour viols et attouchements sexuels et écroué (lire RL de samedi),
Initialement installé à Fameck, le Cada a été transféré à Florange en septembre 2010 par l’Amli, L’arrestation de l’agent qui travaillait là depuis une vingtaine d’années, a provoqué une onde de choc. Le directeur, Olivier Rigault, évoque une affaire « terrifiante ». Le suspect œuvrait au sein d’une équipe de trois personnes chargées de la maintenance sur le site de Florange. À ce titre, il profitait de la confiance accordée d’ordinaire aux gens de la maison.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Trois fillettes auraient déjà été identifiées sur les vidéos saisies au domicile du suspect. Mais les enquêteurs doivent encore en visionner une centaine. Interpellé le 12 juillet, l’agent d’entretien, âgé d’une quarantaine d’années, a été mis en examen pour viols et attouchements sexuels et écroué (lire RL de samedi),
Crainte d’être disputée
« J’étais allée en visite chez une amie au Cada, se souvient la mère. Ma fille était descendue jouer dehors avec les autres enfants. Je ne sais pas comment il a fait pour l’attirer, elle n’a rien voulu me dire. C’est à mon amie qu’elle s’est confiée, plus tard, puis aux policiers qui l’ont interrogée. » La gamine, une brunette de 7 ans, craignait tout simplement d’être réprimandée. Elle n’aime pas se rappeler l’épisode de mars dernier. Son agresseur l’a appelée en lui promettant des bonbons. Ce que décrit la petite s’apparente à des attouchements sexuels. Avec elle aussi, il fera photos et film, dans sa chambre.Initialement installé à Fameck, le Cada a été transféré à Florange en septembre 2010 par l’Amli, L’arrestation de l’agent qui travaillait là depuis une vingtaine d’années, a provoqué une onde de choc. Le directeur, Olivier Rigault, évoque une affaire « terrifiante ». Le suspect œuvrait au sein d’une équipe de trois personnes chargées de la maintenance sur le site de Florange. À ce titre, il profitait de la confiance accordée d’ordinaire aux gens de la maison.
Onde de choc
Parmi le personnel, certains l’ont côtoyé durant près de dix ans et ont toujours du mal à accepter que l’on ait fait du mal à ces mômes. « Il [le suspect] est un peu bizarre, mais il a une mentalité de 12 ans et cela semblait normal qu’il aime jouer avec les enfants ». Sauf que le voir s’intéresser exclusivement à des fillettes a intrigué la direction jusqu’à la conduire à interdire à l’agent l’accès aux locaux du centre en dehors de toute mission professionnelle. « Nous avons constaté en juin que durant un week-end, il avait été présent dans l’établissement et pris en charge des enfants », indique Olivier Rigault. « Le problème est qu’il ne s’agit pas de mineurs isolés. Ils sont sous la responsabilité de leur famille. C’est une question de droit privé. Nous ne pouvons que fortement recommander aux résidents de ne pas confier leurs enfants à d’autres personnes que celles du Cada. » Le cas, qui avait déjà fait l’objet d’un signalement auprès des services de la Ddass, a finalement motivé le dépôt d’une plainte le 8 juillet pour violation de domicile.http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Menneville : un enfant de 5 ans, dans le coma, héliporté à Lille après un accident de la route
Lundi, vers 23 heures, une voiture qui circulait entre Desvres et Selles est tombée dans un fossé après une perte de contrôle, à la hauteur de Menneville (près de Boulogne-sur-Mer). Ce véhicule transportait cinq personnes, dont trois enfants.
L'un d'eux, âgé de 5 ans, était dans le coma à l'arrivée des secours. Ce jeune garçon résidant à Selles a été transporté au centre hospitalier de Lille par l'hélicoptère Dragon 62 de la Sécurité civile. A bord de la voiture, deux jeunes filles de 12 et 15 ans habitant à Longfossé ont également été légèrement blessées.
http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Region/2011/07/26/article_menneville-un-enfant-de-5-ans-dans-le-co.shtml
http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Region/2011/07/26/article_menneville-un-enfant-de-5-ans-dans-le-co.shtml
L'A4 coupée dans la Marne
L'autoroute A4 a été fermée dans les deux sens entre Châlons-en-Champagne et Sainte-Ménehould (Marne), ce matin, après un accident qui a provoqué l'incendie d'un camion-citerne chargé d'alcool éthylique, a indiqué le CRICR.
Le camion-citerne qui circulait dans le sens Paris-Strasbourg s'est couché sur la voie avant de s'enflammer mardi vers 8h30 à hauteur de la commune de Tilloy-et-Bellay (Marne), a précisé le Centre régional d'information et de coordination routières.
L'incendie a été maîtrisé mais il y a encore une fuite sur la citerne et la coupure de l'A4 devrait durer jusqu'en début d'après-midi. Le conducteur du camion n'a été que légèrement blessé dans l'accident. Un périmètre de sécurité a été établi et des déviations ont été mises en place pour résorber les bouchons formés après l'accident.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/26/97001-20110726FILWWW00312-l-a4-coupee-dans-la-marne.php
Le camion-citerne qui circulait dans le sens Paris-Strasbourg s'est couché sur la voie avant de s'enflammer mardi vers 8h30 à hauteur de la commune de Tilloy-et-Bellay (Marne), a précisé le Centre régional d'information et de coordination routières.
L'incendie a été maîtrisé mais il y a encore une fuite sur la citerne et la coupure de l'A4 devrait durer jusqu'en début d'après-midi. Le conducteur du camion n'a été que légèrement blessé dans l'accident. Un périmètre de sécurité a été établi et des déviations ont été mises en place pour résorber les bouchons formés après l'accident.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/26/97001-20110726FILWWW00312-l-a4-coupee-dans-la-marne.php
Handicapé, Tam lui refuse l’accès aux bus
Son habituel trajet de quinze minutes a duré trois heures. "Ce n’est pas normal qu’en 2011, il se passe encore des choses comme ça."
Michel Heywang, 46 ans, qui souffre d’une sclérose en plaques qui lui a fait perdre l’usage de tout le côté gauche de son corps, a connu une aventure éprouvante. En cause : la ligne de bus n° 28 de Tam. Celle-ci, qu’il emprunte régulièrement, lui permet de rallier la place de l’Europe au Fenouillet, à Lattes. Sauf que vendredi, le chauffeur refuse de déplier la palette lui permettant d’accéder dans le bus. Ce dernier prétexte qu’"elle ne fonctionne pas". Invalide à 80 %, Michel ne se démonte pas et bloque la porte du bus avec son pied. "Il n’y a qu’un bus par heure pour ce trajet", se justifie-t-il. Après une vingtaine de minutes de discussion, il décide de "laisse tomber" car il "ne pouvait pas se permettre de pénaliser les autres usagers". Pourtant, le scénario va se reproduire avec le bus suivant, puis le troisième.
Un responsable de la Tam est ensuite dépêché sur place et Michel parvient à son lieu d’arrivée... Trois heures plus tard ! Contactée par nos soins, la Tam "refuse de s’excuser" car "la ligne n’est pas ouverte aux personnes à mobilité réduite." "Je l’ai déjà emprunté pourtant", s’agace Michel. Une galère récurrente pour cet usager : hier encore, sur la ligne 16, un "problème technique" l’a longuement mis en retard avant de pouvoir nous rencontrer.http://www.midilibre.fr/2011/07/25/handicape-tam-lui-refuse-l-acces-aux-bus,361438.php
Michel Heywang, 46 ans, qui souffre d’une sclérose en plaques qui lui a fait perdre l’usage de tout le côté gauche de son corps, a connu une aventure éprouvante. En cause : la ligne de bus n° 28 de Tam. Celle-ci, qu’il emprunte régulièrement, lui permet de rallier la place de l’Europe au Fenouillet, à Lattes. Sauf que vendredi, le chauffeur refuse de déplier la palette lui permettant d’accéder dans le bus. Ce dernier prétexte qu’"elle ne fonctionne pas". Invalide à 80 %, Michel ne se démonte pas et bloque la porte du bus avec son pied. "Il n’y a qu’un bus par heure pour ce trajet", se justifie-t-il. Après une vingtaine de minutes de discussion, il décide de "laisse tomber" car il "ne pouvait pas se permettre de pénaliser les autres usagers". Pourtant, le scénario va se reproduire avec le bus suivant, puis le troisième.
Un responsable de la Tam est ensuite dépêché sur place et Michel parvient à son lieu d’arrivée... Trois heures plus tard ! Contactée par nos soins, la Tam "refuse de s’excuser" car "la ligne n’est pas ouverte aux personnes à mobilité réduite." "Je l’ai déjà emprunté pourtant", s’agace Michel. Une galère récurrente pour cet usager : hier encore, sur la ligne 16, un "problème technique" l’a longuement mis en retard avant de pouvoir nous rencontrer.http://www.midilibre.fr/2011/07/25/handicape-tam-lui-refuse-l-acces-aux-bus,361438.php
Une bande tabasse deux gendarmes
Le maire, Erik Pilardeau, est outré que les auteurs des faits, aient été laissés en liberté à l'issue de leur audition. Il va demander audience au procureur de la République.
LE quartier de Château-Regnault, au bord de la Meuse, est assurément le plus agréable des trois quartiers de Bogny-sur-Meuse, à l'ombre des Quatre fils Aymon. Ce n'est pas donc pas par hasard si on y trouve une halte fluviale, pour les touristes de passage, avec un coquet petit restaurant gastronomique pour les accueillir. Et si la municipalité a aménagé, à cet endroit, une aire pour les camping-cars, tandis qu'un Bognysien a même créé une petite entreprise de location de « rosalies », pour remonter, en pédalant gentiment, la désormais incontournable Voie verte.
Ce serait donc une sorte de petit paradis au bord de l'eau si, depuis quelques mois, une dizaine d'individus « pleins de tisane », ne le transformaient, quasiment chaque soir, en enfer. Aussi bien pour les riverains de plus en plus exaspérés de leurs tapages et de leurs exactions en tous genres, que pour quiconque ose s'aventurer - fut-ce simplement pour le traverser - sur « leur » territoire, dans un pourtant tout petit périmètre, compris entre la rue du Sugnon, qui longe le fleuve, la rue du Faubourg et la rue de l'Ecaillère.
Jets de cannettes, insultes, vociférations en tous genres, qui se répercutent en écho sur les deux rives du fleuve, volets fracturés, voitures en stationnement dont on crève les pneus et pulvérise les rétros, poubelles renversées et jetées au milieu des rues, massifs floraux de la commune ou plantations privées qu'on saccage, panneaux de signalisation qu'on balance à l'eau, plaisanciers qu'on insulte lorsqu'ils font escale, au point de les faire fuir… Pas une nuit, ou presque, sans que ce secteur de Bogny, ne voit ainsi sa tranquillité gravement perturbée, par cette petite « meute en quête de défoulement », ainsi que la décrit un autochtone, composée de jeunes désœuvrés, n'ayant d'autre occupation que de se soûler à la bière et autres produits toxiques.
Massacrés
Habitués, du coup, à être régulièrement sollicités pour intervenir sur ce secteur, peut-être les militaires ne se sont-ils pas particulièrement méfiés, lorsque dans la nuit de vendredi à samedi, vers une heure du matin, ils ont été appelés, via leur centre opérationnel (le 17), qui avait reçu plusieurs appels de voisins tirés du sommeil par des cris dans la rue, pour venir régler un violent différend entre la bande de jeunes en question et les habitants d'un immeuble de la rue du Faubourg, dont ils avaient, au sortir d'un anniversaire très arrosé, brisé une fois de plus les jardinières et tambouriné les volets.
Les deux gendarmes de la patrouille, dépêchés sur les lieux, sont alors tombés dans un véritable guet-apens. Car, brusquement tous les antagonistes, qu'ils étaient venus aimablement raisonner et séparer, retournèrent alors leur « rabia » contre eux, les massacrant littéralement à coups de poings et de pieds, tout en s'en prenant également à leur véhicule sérigraphié. Les deux malheureux ne parvenant à se soustraire à la furie générale, que le temps de lancer un SOS à leur central, avant de crouler à nouveau sous le nombre, inondés d'insultes en tous genres et même de menaces de mort.
Devant la tournure prise par les événements, tout le quartier ne tarda pas à être illuminé par les gyrophares : ceux des pompiers appelés par des témoins, puis par ceux de renforts de la gendarmerie arrivés de toutes parts, de Charleville, de Flize ou de Renwez, pour porter assistance à leurs camarades en détresse. Mais aussi pour identifier et appréhender les auteurs de toutes ces violences et outrages caractérisés à personnes dépositaires de l'autorité. Une interpellation qui n'allait d'ailleurs pas se passer en douceur, malgré la présence, dès lors sur les lieux, d'une bonne quinzaine de gendarmes, ainsi que nous l'ont raconté, hier, des consommateurs du bar-restaurant Bayard, toujours sous couvert d'anonymat. Puisque, selon leurs dires, il n'aurait pas fallu moins de quatre militaires pour maîtriser le plus excité du groupe !
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/une-bande-tabasse-deux-gendarmes
LE quartier de Château-Regnault, au bord de la Meuse, est assurément le plus agréable des trois quartiers de Bogny-sur-Meuse, à l'ombre des Quatre fils Aymon. Ce n'est pas donc pas par hasard si on y trouve une halte fluviale, pour les touristes de passage, avec un coquet petit restaurant gastronomique pour les accueillir. Et si la municipalité a aménagé, à cet endroit, une aire pour les camping-cars, tandis qu'un Bognysien a même créé une petite entreprise de location de « rosalies », pour remonter, en pédalant gentiment, la désormais incontournable Voie verte.
Ce serait donc une sorte de petit paradis au bord de l'eau si, depuis quelques mois, une dizaine d'individus « pleins de tisane », ne le transformaient, quasiment chaque soir, en enfer. Aussi bien pour les riverains de plus en plus exaspérés de leurs tapages et de leurs exactions en tous genres, que pour quiconque ose s'aventurer - fut-ce simplement pour le traverser - sur « leur » territoire, dans un pourtant tout petit périmètre, compris entre la rue du Sugnon, qui longe le fleuve, la rue du Faubourg et la rue de l'Ecaillère.
Jets de cannettes, insultes, vociférations en tous genres, qui se répercutent en écho sur les deux rives du fleuve, volets fracturés, voitures en stationnement dont on crève les pneus et pulvérise les rétros, poubelles renversées et jetées au milieu des rues, massifs floraux de la commune ou plantations privées qu'on saccage, panneaux de signalisation qu'on balance à l'eau, plaisanciers qu'on insulte lorsqu'ils font escale, au point de les faire fuir… Pas une nuit, ou presque, sans que ce secteur de Bogny, ne voit ainsi sa tranquillité gravement perturbée, par cette petite « meute en quête de défoulement », ainsi que la décrit un autochtone, composée de jeunes désœuvrés, n'ayant d'autre occupation que de se soûler à la bière et autres produits toxiques.
Massacrés
Habitués, du coup, à être régulièrement sollicités pour intervenir sur ce secteur, peut-être les militaires ne se sont-ils pas particulièrement méfiés, lorsque dans la nuit de vendredi à samedi, vers une heure du matin, ils ont été appelés, via leur centre opérationnel (le 17), qui avait reçu plusieurs appels de voisins tirés du sommeil par des cris dans la rue, pour venir régler un violent différend entre la bande de jeunes en question et les habitants d'un immeuble de la rue du Faubourg, dont ils avaient, au sortir d'un anniversaire très arrosé, brisé une fois de plus les jardinières et tambouriné les volets.
Les deux gendarmes de la patrouille, dépêchés sur les lieux, sont alors tombés dans un véritable guet-apens. Car, brusquement tous les antagonistes, qu'ils étaient venus aimablement raisonner et séparer, retournèrent alors leur « rabia » contre eux, les massacrant littéralement à coups de poings et de pieds, tout en s'en prenant également à leur véhicule sérigraphié. Les deux malheureux ne parvenant à se soustraire à la furie générale, que le temps de lancer un SOS à leur central, avant de crouler à nouveau sous le nombre, inondés d'insultes en tous genres et même de menaces de mort.
Devant la tournure prise par les événements, tout le quartier ne tarda pas à être illuminé par les gyrophares : ceux des pompiers appelés par des témoins, puis par ceux de renforts de la gendarmerie arrivés de toutes parts, de Charleville, de Flize ou de Renwez, pour porter assistance à leurs camarades en détresse. Mais aussi pour identifier et appréhender les auteurs de toutes ces violences et outrages caractérisés à personnes dépositaires de l'autorité. Une interpellation qui n'allait d'ailleurs pas se passer en douceur, malgré la présence, dès lors sur les lieux, d'une bonne quinzaine de gendarmes, ainsi que nous l'ont raconté, hier, des consommateurs du bar-restaurant Bayard, toujours sous couvert d'anonymat. Puisque, selon leurs dires, il n'aurait pas fallu moins de quatre militaires pour maîtriser le plus excité du groupe !
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/une-bande-tabasse-deux-gendarmes
lundi 25 juillet 2011
Doubs: découvert trop tard, il meurt dans sa voiture
Un jeune homme de 27 ans est décédé cette nuit après une sortie de route à Montenois. Son Opel Corsa a traversé la voie de circulation opposée et a dévalé un talus avant de s'immobiliser 6 m sous le niveau de la chaussée. Invisible de la route, le véhicule n'a été découvert qu'en fin de matinée par un automobiliste de passage. Aucune tentative de réanimation n'a été entamée, le malheureux étant décédé depuis plusieurs heures. La victime habitait à Montenois.
C’est un employé du parc « Accrobranches » de Montenois (Doubs) qui a découvert la voiture en arrivant au travail. Invisible de la route, celle-ci a sans doute quitté la RD 298 entre Lougres et Montenois plusieurs heures avant d’être repérée.
L’automobiliste de passage a immédiatement téléphoné aux secours. Le standard des pompiers a reçu l’appel hier à 10 h 44. A l’arrivée des soldats du feu et du Smur de Montbéliard, le véhicule gisait 6 m en contrebas de la chaussée. Aucune tentative de réanimation du conducteur n’a été entamée. Il est à supposer qu’il est mort dans la nuit.
Reste à savoir si cet homme de 27 ans originaire de Montenois a été tué sur le coup ou s’il est décédé faute d’avoir été secouru à temps. Les pompiers ont été contraints de désincarcérer l’Opel Corsa avant de pouvoir extraire la dépouille du conducteur.
Jérémie Truvelo travaillait dans une structure pour les personnes handicapées à Mathay. Les gendarmes de L’Isle-sur-le-Doubs vont maintenant s’attacher à reconstituer son emploi du temps pour, peut-être, expliquer cette sortie de route.
http://www.estrepublicain.fr/fr/fil-info/info/5463692-Doubs-decouvert-trop-tard-il-meurt-dans-sa-voiture
C’est un employé du parc « Accrobranches » de Montenois (Doubs) qui a découvert la voiture en arrivant au travail. Invisible de la route, celle-ci a sans doute quitté la RD 298 entre Lougres et Montenois plusieurs heures avant d’être repérée.
L’automobiliste de passage a immédiatement téléphoné aux secours. Le standard des pompiers a reçu l’appel hier à 10 h 44. A l’arrivée des soldats du feu et du Smur de Montbéliard, le véhicule gisait 6 m en contrebas de la chaussée. Aucune tentative de réanimation du conducteur n’a été entamée. Il est à supposer qu’il est mort dans la nuit.
Reste à savoir si cet homme de 27 ans originaire de Montenois a été tué sur le coup ou s’il est décédé faute d’avoir été secouru à temps. Les pompiers ont été contraints de désincarcérer l’Opel Corsa avant de pouvoir extraire la dépouille du conducteur.
Jérémie Truvelo travaillait dans une structure pour les personnes handicapées à Mathay. Les gendarmes de L’Isle-sur-le-Doubs vont maintenant s’attacher à reconstituer son emploi du temps pour, peut-être, expliquer cette sortie de route.
http://www.estrepublicain.fr/fr/fil-info/info/5463692-Doubs-decouvert-trop-tard-il-meurt-dans-sa-voiture
Il laisse son ADN sur le croc du pit-bull
En février 2010, des individus ont débarqué en pleine nuit pour dérober un 4x4 à Montrabé. L'un des voleurs vient d'être jugé par le tribunal. Il avait laissé son ADN sur le croc du chien du propriétaire.
Rosco ne s'est pas présenté devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Pourtant, magistrats, avocats, victimes, prévenu, ont beaucoup parlé de ce bull-terrier. « Un pit-bull » préfère son maître. Dans la nuit du 4 février 2010, ce chien a laissé parler son instinct et n'a pas laissé de chance aux deux individus qui venait d'exploser la porte-fenêtre de « son » appartement de Montrabé.
« Pas moi qui ait attaqué le chien, c'est lui », assure Abdelkrim avec un remarquable sens de l'à-propos. Accusé de tentative de vol, ce garçon de 20 ans ne réclame pas des dommages et intérêts mais il n'en est pas loin. Faut dire que Rosco n'est pas le genre de chien qui lâche facilement sa balle. Et les crocs solidement plantés dans le pied d'Abdelkrim, pendant que son maître ferraillait avec l'autre agresseur, il n'a lâché sa prise qu'après avoir reçu un solide coup de pied et perdu un croc.
« Un croc tombé au champ d'honneur », ose le président Vergne.
Seul Abdelkrim ne sourit pas. Et pour cause. Le prélèvement scientifique puis son analyse ont mis en évidence l'ADN d'Abdelkrim.
Cet enfant des cités se serait passé d'être le cobaye de tels progrès scientifiques. Surtout qu'en début d'année, il s'est fait prendre au volant de la Maserati d'un joueur du TFC « arraché » deux jours plus tôt. Maladroit, il affirme avoir débarqué dans l'appartement de Montrabé « persuadé » qu'il était vide. Un scénario « absurde » aux yeux du parquet et des victimes toujours pas rassurées 18 mois après les faits. « On a préféré déménager. Trop d'angoisses. Même maintenant, on dort mal », confie une jeune femme à la barre.
Me Raynaud de Lage pour les victimes n'oublie rien et fait « craquer » le prévenu. Deuxième réquisitoire avec le procureur irrité par « l'incohérence » de la version du voleur. Le magistrat réclame 3 ans de prison et mandat de dépôt. Lourd pour un homme qui en 2010 était uniquement connu pour des infractions au volant. Me Bouchaib a tenté de sauver ce qui était possible. Des efforts pas récompensés. Abdelkrim Koulet a été condamné à 3 ans de prison et mandat de dépôt. Plus 3 000 € de dommages et intérêts. Pas de préjudice esthétique pour Rosco… mais 500 € pour les frais vétérinaires. La défense a déjà fait appel
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/25/1134350-il-laisse-son-adn-sur-le-croc-du-pit-bull.html
Rosco ne s'est pas présenté devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Pourtant, magistrats, avocats, victimes, prévenu, ont beaucoup parlé de ce bull-terrier. « Un pit-bull » préfère son maître. Dans la nuit du 4 février 2010, ce chien a laissé parler son instinct et n'a pas laissé de chance aux deux individus qui venait d'exploser la porte-fenêtre de « son » appartement de Montrabé.
« Pas moi qui ait attaqué le chien, c'est lui », assure Abdelkrim avec un remarquable sens de l'à-propos. Accusé de tentative de vol, ce garçon de 20 ans ne réclame pas des dommages et intérêts mais il n'en est pas loin. Faut dire que Rosco n'est pas le genre de chien qui lâche facilement sa balle. Et les crocs solidement plantés dans le pied d'Abdelkrim, pendant que son maître ferraillait avec l'autre agresseur, il n'a lâché sa prise qu'après avoir reçu un solide coup de pied et perdu un croc.
« Un croc tombé au champ d'honneur », ose le président Vergne.
Seul Abdelkrim ne sourit pas. Et pour cause. Le prélèvement scientifique puis son analyse ont mis en évidence l'ADN d'Abdelkrim.
Cet enfant des cités se serait passé d'être le cobaye de tels progrès scientifiques. Surtout qu'en début d'année, il s'est fait prendre au volant de la Maserati d'un joueur du TFC « arraché » deux jours plus tôt. Maladroit, il affirme avoir débarqué dans l'appartement de Montrabé « persuadé » qu'il était vide. Un scénario « absurde » aux yeux du parquet et des victimes toujours pas rassurées 18 mois après les faits. « On a préféré déménager. Trop d'angoisses. Même maintenant, on dort mal », confie une jeune femme à la barre.
Me Raynaud de Lage pour les victimes n'oublie rien et fait « craquer » le prévenu. Deuxième réquisitoire avec le procureur irrité par « l'incohérence » de la version du voleur. Le magistrat réclame 3 ans de prison et mandat de dépôt. Lourd pour un homme qui en 2010 était uniquement connu pour des infractions au volant. Me Bouchaib a tenté de sauver ce qui était possible. Des efforts pas récompensés. Abdelkrim Koulet a été condamné à 3 ans de prison et mandat de dépôt. Plus 3 000 € de dommages et intérêts. Pas de préjudice esthétique pour Rosco… mais 500 € pour les frais vétérinaires. La défense a déjà fait appel
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/25/1134350-il-laisse-son-adn-sur-le-croc-du-pit-bull.html
Un motard de 52 ans chute et se tue
La longue litanie des accidents mortels dans l’Hérault se poursuit en ce sinistre mois de juillet. Samedi après-midi, c’est un quinquagénaire qui est venu allonger la liste. Ce Gardois, demeurant à Gallargues-le-Montueux, participait à une sortie moto avec des amis. Vers 18 h 45, ces derniers qui roulaient devant lui, sur la D 111, à Montarnaud, une route menant à La Boissière, n’ont plus aperçu leur collègue.
Ils se sont mis à le rechercher en faisant demi-tour. Et ce n’est que deux heures plus tard, vers 20 h 45, qu’ils l’ont retrouvé en contrebas de la route, dans un fossé. Ils ont aussitôt appelé les secours mais, une fois sur place, les pompiers n’ont pu que constater le décès du motard qui exerçait la profession de plombier.
Selon les premières constatations des gendarmes de Saint-Georges-d’Orques, le Gardois, qui roulait sur une Triumph 955 I, a perdu le contrôle de son engin dans un virage avant de chuter lourdement dans le fossé. Il portait pourtant son casque et avait l’équipement complet du motard. "À part une perte de contrôle, pour l’instant, nous sommes bien en peine de savoir ce qui s’est passé", expliquait, hier, un gendarme.L’enquête va se poursuivre pour tenter de comprendre les circonstances exactes de l’accident. Une prise de sang a été effectuée pour déterminer une éventuelle prise d’alcool.
http://www.midilibre.fr/2011/07/24/un-motard-de-52-ans-chute-et-se-tue,361003.php
Ils se sont mis à le rechercher en faisant demi-tour. Et ce n’est que deux heures plus tard, vers 20 h 45, qu’ils l’ont retrouvé en contrebas de la route, dans un fossé. Ils ont aussitôt appelé les secours mais, une fois sur place, les pompiers n’ont pu que constater le décès du motard qui exerçait la profession de plombier.
Selon les premières constatations des gendarmes de Saint-Georges-d’Orques, le Gardois, qui roulait sur une Triumph 955 I, a perdu le contrôle de son engin dans un virage avant de chuter lourdement dans le fossé. Il portait pourtant son casque et avait l’équipement complet du motard. "À part une perte de contrôle, pour l’instant, nous sommes bien en peine de savoir ce qui s’est passé", expliquait, hier, un gendarme.L’enquête va se poursuivre pour tenter de comprendre les circonstances exactes de l’accident. Une prise de sang a été effectuée pour déterminer une éventuelle prise d’alcool.
http://www.midilibre.fr/2011/07/24/un-motard-de-52-ans-chute-et-se-tue,361003.php
Différend familial Il tire au-dessus de son fils avec une carabine
Un différend entre père et fils a mal tourné mercredi soir rue Belin à Reims, dans le quartier Laon/Zola. L'homme a quatre enfants mais l'un d'eux est resté à Reims pendant que les autres membres de la famille partaient en vacances au Tréport.
Le fils n'était pas logé chez ses parents mais ceux-ci ont appris en cours de semaine qu'il s'était introduit dans leur maison pour y faire la fête.
Cela n'a pas plu au père, 75 ans. De retour mercredi, il s'est fâché avec son fils qui se trouvait devant la maison en compagnie de camarades. Ses nerfs ont lâché, il a pris sa carabine et a tiré en l'air au-dessus du fils. La rixe a pris fin avec l'arrivée de la police.
Remis en liberté, le septuagénaire a fait l'objet d'une procédure pour violences volontaires avec arme.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-differend-familial-il-tire-au-dessus-de-son-fils-avec-une-carabine
Le fils n'était pas logé chez ses parents mais ceux-ci ont appris en cours de semaine qu'il s'était introduit dans leur maison pour y faire la fête.
Cela n'a pas plu au père, 75 ans. De retour mercredi, il s'est fâché avec son fils qui se trouvait devant la maison en compagnie de camarades. Ses nerfs ont lâché, il a pris sa carabine et a tiré en l'air au-dessus du fils. La rixe a pris fin avec l'arrivée de la police.
Remis en liberté, le septuagénaire a fait l'objet d'une procédure pour violences volontaires avec arme.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-differend-familial-il-tire-au-dessus-de-son-fils-avec-une-carabine
dimanche 24 juillet 2011
Loudes: un parachutiste s'écrase au milieu d'une départementale
Vers 14h30, ce dimanche, un Nimois de 35 ans a été victime d'un accident lors d'un saut en parachute à Loudes. Il s'en sort miraculeusement
On roulait tranquilement quand j'ai vu arriver le parachutiste à 5 mètres... J'ai juste eu le temps de freiner et il est tombé devant nous..."
Cet automobiliste parisien circulait, ce dimanche vers 14h30, sur la RD906 en direction de Costaros quand, à hauteur de Loudes, un parachutiste a atterri en catastrophe devant son pare-choc.
Le parachutiste, un Nîmois de 35 ans, a été victime d'une avarie sur sa voile lors d'un saut. Celle-ci s'est mal déployée. Au moment de la retirer pour utiliser la voile de secours, la première s'est enroulée et le parachutiste a donc dû atterir en urgence. "Il arrivait vers nous en tourbillonant" explique l'automobiliste qui a dû freiner d'urgence pour ne pas percuter la victime.
Le blessé a lourdement chuté sur le bitume de la RD906 où il a été secouru par les sapeurs-pompiers de Loudes renforcés par une équipe du Samu 43. Blessée sans trop de gravité (ses jours ne sont pas en danger), la victime a été conduite sur le pavillon des Urgences de l'hôpital Emile-Roux.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2011/07/24/loudes-un-parachutiste-s-ecrase-au-milieu-d-une-departementale
On roulait tranquilement quand j'ai vu arriver le parachutiste à 5 mètres... J'ai juste eu le temps de freiner et il est tombé devant nous..."
Cet automobiliste parisien circulait, ce dimanche vers 14h30, sur la RD906 en direction de Costaros quand, à hauteur de Loudes, un parachutiste a atterri en catastrophe devant son pare-choc.
Le parachutiste, un Nîmois de 35 ans, a été victime d'une avarie sur sa voile lors d'un saut. Celle-ci s'est mal déployée. Au moment de la retirer pour utiliser la voile de secours, la première s'est enroulée et le parachutiste a donc dû atterir en urgence. "Il arrivait vers nous en tourbillonant" explique l'automobiliste qui a dû freiner d'urgence pour ne pas percuter la victime.
Le blessé a lourdement chuté sur le bitume de la RD906 où il a été secouru par les sapeurs-pompiers de Loudes renforcés par une équipe du Samu 43. Blessée sans trop de gravité (ses jours ne sont pas en danger), la victime a été conduite sur le pavillon des Urgences de l'hôpital Emile-Roux.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2011/07/24/loudes-un-parachutiste-s-ecrase-au-milieu-d-une-departementale
Essonne : un gendarme sauve deux jeunes de la noyade
Un gendarme essonnien a sauvé samedi soir deux jeunes en train de noyer dans un étang à Vert-le-Petit. Peu avant minuit, trois jeunes âgés de 19 à 25 ans sont partis en barque se promener sur l'eau. Mais à une vingtaine de mètres de la rive, l'embarcation chavire. Un de ses occupants réussit à regagner la terre ferme. Mais ses deux amis peinent à faire de même. Contactés, les gendarmes arrivent sur place. Un militaire la brigade de Bondoufle se jette à l'eau et parvient à ramener le duo sain et sauf. Un des jeunes, âgé de 19 ans, a été hospitalisé à Corbeil pour des examens.
http://www.leparisien.fr/vert-le-petit-91710/essonne-un-gendarme-sauve-deux-jeunes-de-la-noyade-24-07-2011-1543579.php
http://www.leparisien.fr/vert-le-petit-91710/essonne-un-gendarme-sauve-deux-jeunes-de-la-noyade-24-07-2011-1543579.php
Lyon 3e : retrouvé mort dans un hall d'immeuble
Un Polonais de 58 ans, sans domicile fixe, a été découvert mort, sans doute étranglé, vendredi soir dans le hall d’un immeuble situé dans le 3e arrondissement de Lyon. L’auteur présumé du meurtre, un autre marginal, a été interpellé peu après.
C’est un habitant du 1 rue du Lac, dans le 3e arrondissement lyonnais, descendu fumer une cigarette, qui a fait la macabre découverte, vendredi dans la soirée.
Dans le hall de cet immeuble situé tout près de l’entrée Cuirassiers du centre commercial de la Part-Dieu, gisait le corps sans vie d’un homme. La victime, un Polonais de 58 ans, sans domicile fixe, était décédée de mort violente. Selon toute vraisemblance par strangulation.
Un Ukrainien de 43 ans, lui aussi SDF, a été interpellé peu après à proximité des lieux du drame. Suspecté par les enquêteurs d’être l’auteur du meurtre, il a été place en garde à vue.
Pour l’heure, il n’a livré aucune explication sur l’origine du drame dans lequel l’alcool pourrait être un élément. Les deux hommes étaient des habitués du quartier de la Part-Dieu.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/07/23/lyon-3e-retrouve-mort-dans-un-hall-d-immeuble
C’est un habitant du 1 rue du Lac, dans le 3e arrondissement lyonnais, descendu fumer une cigarette, qui a fait la macabre découverte, vendredi dans la soirée.
Dans le hall de cet immeuble situé tout près de l’entrée Cuirassiers du centre commercial de la Part-Dieu, gisait le corps sans vie d’un homme. La victime, un Polonais de 58 ans, sans domicile fixe, était décédée de mort violente. Selon toute vraisemblance par strangulation.
Un Ukrainien de 43 ans, lui aussi SDF, a été interpellé peu après à proximité des lieux du drame. Suspecté par les enquêteurs d’être l’auteur du meurtre, il a été place en garde à vue.
Pour l’heure, il n’a livré aucune explication sur l’origine du drame dans lequel l’alcool pourrait être un élément. Les deux hommes étaient des habitués du quartier de la Part-Dieu.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/07/23/lyon-3e-retrouve-mort-dans-un-hall-d-immeuble
666 € de nuits “gratuites”
Un Côte-d’Orien, chef d’entreprise, âgé de 58 ans, a été interpellé et placé en garde à vue par les services de police, jeudi, parce qu’il n’avait pas été en mesure de régler sa note d’hôtel d’un montant de 113 €. C’est la direction de l’hôtel Ibis, situé rue Marbotte à Dijon, qui a prévenu la police. Un rapprochement a été fait avec une plainte du même ordre, déposée le 20 juillet, par l’hôtel Kyriad de Longvic. Cette fois, l’homme, il s’agit bien du même individu, avait omis de payer son séjour d’une semaine pour un montant de 553 €. Les policiers ont également constaté que l’individu avait volé du carburant dans deux stations services de Fontaine-lès-Dijon. Le chef d’entreprise sera convoqué devant le tribunal correctionnel.
http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2011/07/23/666-de-nuits-gratuites
http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2011/07/23/666-de-nuits-gratuites
samedi 23 juillet 2011
Colo en Savoie. Le directeur évincé, une enquête ouverte
Du 2 au 16 juillet, seize adolescents lannionnais ont participé à une colonie de vacances à Hauteluce, en Savoie. Un séjour qui s'est soldé par l'éviction du directeur du centre, dont le comportement, jugé«troublant», a déclenché une enquête du parquet d'Albertville.
Au pied des Saisies, à 1.200m d'altitude, c'est un programme sympa qui attendait la jeunesse. Quad, piscine, rando... De quoi donner le sourire et des souvenirs aux seize enfants de Lannion qui, avec une centaine d'autres ados venus de toute la France, étaient confiés par la Ville aux bons soins d'une société spécialisée dans les colonies de vacances. En fait de souvenirs, c'est la colère de certains parents qui a marqué le retour des Trégorrois, samedi 16juillet.
Mères en colère
«M.Hunaut (adjoint à l'enfance, la jeunesse et au sport) était présent sur le quai de la gare. J'ai eu l'occasion de lui dire ce que je pensais (*)», raconte Danielle, une maman courroucée par le récit de son garçon, âgé de 12 ans. Corinne, une autre maman, est au diapason. Pour les deux mères de famille qui évoquent, entre autres, des brimades, des comportements à risques, mais aussi le spectre d'attitudes ou de paroles autrement plus déplacées, ce n'est pas pour rien que la gendarmerie est intervenue au chalet de La Chaudane. Alors que s'est-il passé à Hauteluce? Philippe Roussel, gérant de la société nordiste Autrement Loisirs et Voyages, spécialisées dans les colonies de vacances, joue carte sur table. Oui, il y a bien eu un problème en Savoie. «Le 11juillet, j'ai suspendu le directeur du centre, suite à un appel d'un de ses adjoints qui m'avait fait part de son comportement douteux, troublant avec les jeunes. Tout de suite, j'ai appliqué le principe de précaution et, dans les trois heures qui ont suivi, j'ai alerté notre tutelle (Jeunesse et sports). Celle-ci a, dans la foulée, prévenu la gendarmerie de Beaufort.»
«Caractériser les faits pénalement»
Alors que les parents des petits lannionnais évoquent d'éventuelles atteintes dont auraient pu souffrir trois enfants de la colo - mais pas les leurs -, Philippe Roussel tempère: «Deux Rémois et un troisième originaire de Saint-Leu-la-Forêt (Val-d'Oise) ont effectivement été auditionnés par la gendarmerie. Mais, a priori, il ne s'est rien passé. Leurs parents m'ont rassuré». Du côté du parquet d'Albertville, on reste également très mesuré. «On est au début de l'enquête et nous essayons de caractériser les faits pénalement» résume la vice-procureur du tribunal qui s'interroge: «Est-on dans le comportement inadapté ou dans l'infraction pénale?»
5.000 € non restitués
Du côté d'Autrement Loisirs et Voyages (8.000 jeunes pris en charge par an), la position est tranchée: Philippe Roussel dit «s'employer» pour que son ex-directeur, dont c'était la première mission pour sa société, n'ait plus la possibilité de travailler ............lire la suite de l'article sur..... http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/colo-en-savoie-le-directeur-evince-une-enquete-ouverte-23-07-2011-1378945.php
Au pied des Saisies, à 1.200m d'altitude, c'est un programme sympa qui attendait la jeunesse. Quad, piscine, rando... De quoi donner le sourire et des souvenirs aux seize enfants de Lannion qui, avec une centaine d'autres ados venus de toute la France, étaient confiés par la Ville aux bons soins d'une société spécialisée dans les colonies de vacances. En fait de souvenirs, c'est la colère de certains parents qui a marqué le retour des Trégorrois, samedi 16juillet.
Mères en colère
«M.Hunaut (adjoint à l'enfance, la jeunesse et au sport) était présent sur le quai de la gare. J'ai eu l'occasion de lui dire ce que je pensais (*)», raconte Danielle, une maman courroucée par le récit de son garçon, âgé de 12 ans. Corinne, une autre maman, est au diapason. Pour les deux mères de famille qui évoquent, entre autres, des brimades, des comportements à risques, mais aussi le spectre d'attitudes ou de paroles autrement plus déplacées, ce n'est pas pour rien que la gendarmerie est intervenue au chalet de La Chaudane. Alors que s'est-il passé à Hauteluce? Philippe Roussel, gérant de la société nordiste Autrement Loisirs et Voyages, spécialisées dans les colonies de vacances, joue carte sur table. Oui, il y a bien eu un problème en Savoie. «Le 11juillet, j'ai suspendu le directeur du centre, suite à un appel d'un de ses adjoints qui m'avait fait part de son comportement douteux, troublant avec les jeunes. Tout de suite, j'ai appliqué le principe de précaution et, dans les trois heures qui ont suivi, j'ai alerté notre tutelle (Jeunesse et sports). Celle-ci a, dans la foulée, prévenu la gendarmerie de Beaufort.»
«Caractériser les faits pénalement»
Alors que les parents des petits lannionnais évoquent d'éventuelles atteintes dont auraient pu souffrir trois enfants de la colo - mais pas les leurs -, Philippe Roussel tempère: «Deux Rémois et un troisième originaire de Saint-Leu-la-Forêt (Val-d'Oise) ont effectivement été auditionnés par la gendarmerie. Mais, a priori, il ne s'est rien passé. Leurs parents m'ont rassuré». Du côté du parquet d'Albertville, on reste également très mesuré. «On est au début de l'enquête et nous essayons de caractériser les faits pénalement» résume la vice-procureur du tribunal qui s'interroge: «Est-on dans le comportement inadapté ou dans l'infraction pénale?»
5.000 € non restitués
Du côté d'Autrement Loisirs et Voyages (8.000 jeunes pris en charge par an), la position est tranchée: Philippe Roussel dit «s'employer» pour que son ex-directeur, dont c'était la première mission pour sa société, n'ait plus la possibilité de travailler ............lire la suite de l'article sur..... http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/colo-en-savoie-le-directeur-evince-une-enquete-ouverte-23-07-2011-1378945.php
À défaut de verveine, des pots de cannabis
Les gendarmes de Saint-Georges-d’Orques ont eu du nez, mercredi, dans la commune de Pignan. Ils patrouillaient dans le cadre des opérations menées actuellement pour lutter contre la recrudescence des cambriolages, lorsqu’ils ont été intrigués par un jardin potager. Ils y ont en effet remarqué deux plants de cannabis... Aussitôt, une perquisition a été menée dans cette maison habitée par deux retraités. Et quatorze autres pots ont été saisis.
Après audition, il s’est avéré que les plants avaient été mis là par les petits-enfants de ce couple de Pignanais. Et pour mieux tromper leur vigilance, ils avaient affirmé à leur grand-mère qu’il s’agissait de verveine ! Les deux suspects, âgés de 19 et 20 ans, ont été interpellés, placés en garde à vue et remis en liberté avec une convocation en justice.
http://www.midilibre.fr/2011/07/22/a-defaut-de-verveine-des-pots-de-cannabis,359985.php
Après audition, il s’est avéré que les plants avaient été mis là par les petits-enfants de ce couple de Pignanais. Et pour mieux tromper leur vigilance, ils avaient affirmé à leur grand-mère qu’il s’agissait de verveine ! Les deux suspects, âgés de 19 et 20 ans, ont été interpellés, placés en garde à vue et remis en liberté avec une convocation en justice.
http://www.midilibre.fr/2011/07/22/a-defaut-de-verveine-des-pots-de-cannabis,359985.php
Cinq ans ferme à l'agresseur de trois vieilles dames
En trois semaines, un Rémois s'est attaqué à quatre passantes pour voler leur sac à main. Trois des victimes sont des vieilles dames, dont une qui marchait avec un déambulateur. Le tribunal l'a condamné à cinq ans ferme.
JUSQU'ICI abonné aux audiences du tribunal pour enfants, un Rémois de 20 ans, Samir Bouziri, a fait une entrée remarquée dans la cour des grands.
Pour sa première comparution devant le tribunal correctionnel, le jeune homme a pris une peine rarement prononcée en cette enceinte : cinq ans de prison ferme !
Il faut dire que les faits étaient particulièrement désagréables : quatre vols de sac à main, avec violence, dont trois au préjudice de personnes âgées. L'une d'elles a même été attaquée alors qu'elle marchait avec un déambulateur.
Quinze condamnations
Sans domicile connu (il affirme être hébergé chez un ami dont il n'a pas voulu dire le nom), Samir Bouziri traîne un casier lourd de quinze condamnations : vols, violences, extorsions, agression sexuelle, destruction par incendie…
Son territoire de chasse se trouvait dans le quartier Murigny, près du parc Mendès-France. Sa première victime ? Une dame de 87 ans agressée le 24 juin, vers 16 heures.
« Je me trouvais dans le parc. J'allais rentrer chez moi quand un jeune est arrivé dans mon dos et m'a pris le sac que je tenais à la main. Je n'ai pas été blessée mais maintenant, j'ai peur de retourner là-bas. »
Butin : 10 euros en billets et un peu de monnaie.
Le 30 juin, vers midi, une dame de 73 ans emprunte la passerelle de la rue Guillaume-Apollinaire, au-dessus de l'avenue de Champagne. Elle se déplace difficilement avec un déambulateur. Samir Bouziri surgit. « Il est arrivé vers moi et m'a plaquée subitement sur la partie métallique du pont. Il m'a serrée fortement et a arraché ma sacoche qui était dissimulée sous mes vêtements. »
Butin : 20 euros.
« J'avais besoin de sous »
Le 12 juillet à 9 heures, le rôdeur repère une automobiliste de 80 ans rue Jeanne-Jugan. « Un homme a toqué à la vitre pour me demander où se trouvait la résidence pour personnes âgées Utrillo.
Je suis descendue pour lui expliquer. Il m'a bousculée puis a saisi mon sac qui était dans la voiture. J'ai résisté. Il m'a mis un coup de coude dans les côtes. J'ai continué à retenir cet homme par le cou. J'ai reçu un coup de pied au niveau de la jambe. »
Bilan de l'agression : deux côtes fêlées pour la dame, aucun butin pour le voleur (le sac ne contenait que des papiers).
Le 16 juillet, Samir Bouziri s'en prend à une jeune femme de 29 ans, ce qui va causer sa perte grâce à l'intervention de l'ami de la victime (lire par ailleurs).
Repéré le lendemain, il est interpellé par la police au centre commercial des Hauts-de-Murigny. Les aveux suivent en garde à vue, puis lors de son procès en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.
« J'ai agressé des personnes âgées par précarité car j'avais besoin de sous. Quand je les voyais, je me disais : « Tiens, pourquoi pas ? » Je me suis nourri avec l'argent, j'ai acheté des clopes. »
Un père inconnu, une éducation inexistante, « une grande immaturité »…
L'enfance difficile du prévenu n'a pas pesé bien lourd face à la gravité des faits. Le tribunal l'a condamné à cinq ans de prison ferme. Le parquet en avait réclamé six.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/cinq-ans-ferme-a-lagresseur-de-trois-vieilles-dames
JUSQU'ICI abonné aux audiences du tribunal pour enfants, un Rémois de 20 ans, Samir Bouziri, a fait une entrée remarquée dans la cour des grands.
Pour sa première comparution devant le tribunal correctionnel, le jeune homme a pris une peine rarement prononcée en cette enceinte : cinq ans de prison ferme !
Il faut dire que les faits étaient particulièrement désagréables : quatre vols de sac à main, avec violence, dont trois au préjudice de personnes âgées. L'une d'elles a même été attaquée alors qu'elle marchait avec un déambulateur.
Quinze condamnations
Sans domicile connu (il affirme être hébergé chez un ami dont il n'a pas voulu dire le nom), Samir Bouziri traîne un casier lourd de quinze condamnations : vols, violences, extorsions, agression sexuelle, destruction par incendie…
Son territoire de chasse se trouvait dans le quartier Murigny, près du parc Mendès-France. Sa première victime ? Une dame de 87 ans agressée le 24 juin, vers 16 heures.
« Je me trouvais dans le parc. J'allais rentrer chez moi quand un jeune est arrivé dans mon dos et m'a pris le sac que je tenais à la main. Je n'ai pas été blessée mais maintenant, j'ai peur de retourner là-bas. »
Butin : 10 euros en billets et un peu de monnaie.
Le 30 juin, vers midi, une dame de 73 ans emprunte la passerelle de la rue Guillaume-Apollinaire, au-dessus de l'avenue de Champagne. Elle se déplace difficilement avec un déambulateur. Samir Bouziri surgit. « Il est arrivé vers moi et m'a plaquée subitement sur la partie métallique du pont. Il m'a serrée fortement et a arraché ma sacoche qui était dissimulée sous mes vêtements. »
Butin : 20 euros.
« J'avais besoin de sous »
Le 12 juillet à 9 heures, le rôdeur repère une automobiliste de 80 ans rue Jeanne-Jugan. « Un homme a toqué à la vitre pour me demander où se trouvait la résidence pour personnes âgées Utrillo.
Je suis descendue pour lui expliquer. Il m'a bousculée puis a saisi mon sac qui était dans la voiture. J'ai résisté. Il m'a mis un coup de coude dans les côtes. J'ai continué à retenir cet homme par le cou. J'ai reçu un coup de pied au niveau de la jambe. »
Bilan de l'agression : deux côtes fêlées pour la dame, aucun butin pour le voleur (le sac ne contenait que des papiers).
Le 16 juillet, Samir Bouziri s'en prend à une jeune femme de 29 ans, ce qui va causer sa perte grâce à l'intervention de l'ami de la victime (lire par ailleurs).
Repéré le lendemain, il est interpellé par la police au centre commercial des Hauts-de-Murigny. Les aveux suivent en garde à vue, puis lors de son procès en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.
« J'ai agressé des personnes âgées par précarité car j'avais besoin de sous. Quand je les voyais, je me disais : « Tiens, pourquoi pas ? » Je me suis nourri avec l'argent, j'ai acheté des clopes. »
Un père inconnu, une éducation inexistante, « une grande immaturité »…
L'enfance difficile du prévenu n'a pas pesé bien lourd face à la gravité des faits. Le tribunal l'a condamné à cinq ans de prison ferme. Le parquet en avait réclamé six.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/cinq-ans-ferme-a-lagresseur-de-trois-vieilles-dames
vendredi 22 juillet 2011
Var: à Fréjus, un camion en feu paralyse l'A8 pendant six heures
La circulation a été particulièrement difficile hier matin sur l’A8. Coup sur coup, deux accidents se sont produits dans le Var, entre Fréjus et les Adrets, dans le sens Aix-Nice. Sans gravité, fort heureusement, mais provoquant tout de même d’importants embouteillages. A 5 heures du matin, deux kilomètres avant le péage de Capitou, le chauffeur d’un poids lourd perdait le contrôle de son véhicule, dans des circonstances que les gendarmes du peloton autoroutier du Luc devront éclaircir.
Une trentaine de sapeurs-pompiers
Après avoir heurté la barrière de sécurité, il se couchait sur le flanc. Sous la violence du choc, le camion prenait feu.
Un feu nourri par la cargaison transportée : des denrées alimentaires et une quantité importante de papier-toilette. L’intervention des sapeurs-pompiers aura duré plus de 5 heures. Une trentaine d’hommes, venus des casernes de Fréjus, Saint-Raphaël, Le Muy, Les Adrets et Roquebrune, était mobilisée pour venir à bout de l’incendie, et éviter qu’il ne se propage dans la forêt voisine.
Il aura fallu beaucoup de temps pour maîtriser tout à fait le feu. A 11 heures, il ne restait plus qu’une carcasse du camion.
L’opération aura nécessité la fermeture de deux des trois voies (celles de droite et du milieu). Et entre 8 et 9 heures, quand des milliers de Varois se rendaient au travail et que de nombreux vacanciers rejoignaient le littoral, un important embouteillage s’est créé entre Capitou et la sortie de Puget-sur-Argens, puis au-delà jusqu’à Roquebrune-sur-Argens.
Rapidement, Escota conseillait aux seuls automobilistes de sortir à Puget-sur-Argens pour prendre le réseau secondaire, puis au Muy. Cela n’aura pas suffi : jusqu’à la fin de la matinée, on notait entre cinq et sept kilomètres de ralentissements.
Le chauffeur, qui a pu s’extraire de son véhicule ravagé par les flammes, souffrant de différents traumatismes, a été conduit à l’hôpital de Fréjus.
Du kérosène s’échappe
Le deuxième accident s’est produit vers 5 h 30, dans la montée du Reyran, huit kilomètres après le péage du Capitou. Il impliquait deux poids lourds : selon des témoins, un camion transportant du kérosène percutait un véhicule frigorifique pour une raison qui reste à déterminer.
Sous l’impact, un peu de kérosène se serait répandu sur le sol. Mais le personnel d’Escota, le peloton de gendarmerie de Mandelieu et les sapeurs-pompiers parvenaient à limiter les dégâts, sans gêner la circulation outre mesure.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/var-a-frejus-un-camion-en-feu-paralyse-la8-pendant-six-heures
Une trentaine de sapeurs-pompiers
Après avoir heurté la barrière de sécurité, il se couchait sur le flanc. Sous la violence du choc, le camion prenait feu.
Un feu nourri par la cargaison transportée : des denrées alimentaires et une quantité importante de papier-toilette. L’intervention des sapeurs-pompiers aura duré plus de 5 heures. Une trentaine d’hommes, venus des casernes de Fréjus, Saint-Raphaël, Le Muy, Les Adrets et Roquebrune, était mobilisée pour venir à bout de l’incendie, et éviter qu’il ne se propage dans la forêt voisine.
Il aura fallu beaucoup de temps pour maîtriser tout à fait le feu. A 11 heures, il ne restait plus qu’une carcasse du camion.
L’opération aura nécessité la fermeture de deux des trois voies (celles de droite et du milieu). Et entre 8 et 9 heures, quand des milliers de Varois se rendaient au travail et que de nombreux vacanciers rejoignaient le littoral, un important embouteillage s’est créé entre Capitou et la sortie de Puget-sur-Argens, puis au-delà jusqu’à Roquebrune-sur-Argens.
Rapidement, Escota conseillait aux seuls automobilistes de sortir à Puget-sur-Argens pour prendre le réseau secondaire, puis au Muy. Cela n’aura pas suffi : jusqu’à la fin de la matinée, on notait entre cinq et sept kilomètres de ralentissements.
Le chauffeur, qui a pu s’extraire de son véhicule ravagé par les flammes, souffrant de différents traumatismes, a été conduit à l’hôpital de Fréjus.
Du kérosène s’échappe
Le deuxième accident s’est produit vers 5 h 30, dans la montée du Reyran, huit kilomètres après le péage du Capitou. Il impliquait deux poids lourds : selon des témoins, un camion transportant du kérosène percutait un véhicule frigorifique pour une raison qui reste à déterminer.
Sous l’impact, un peu de kérosène se serait répandu sur le sol. Mais le personnel d’Escota, le peloton de gendarmerie de Mandelieu et les sapeurs-pompiers parvenaient à limiter les dégâts, sans gêner la circulation outre mesure.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/var-a-frejus-un-camion-en-feu-paralyse-la8-pendant-six-heures
Mort à 18 ans sur la route
Valentin Pouzenc, jeune lycéen castrais de 18 ans, s'est tué au volant hier matin, sur la RD 112. Sa voiture a fini sa course contre un platane, au hameau de la Verdarié. Il avait le permis depuis 1 mois.
Un jeune Castrais, Valentin Pouzenc, âgé de 18 ans, a trouvé la mort au volant de sa voiture, dans la nuit de mardi à mercredi. Le drame s'est produit sur la départementale 112 qui relie Castres à Albi, en plein cœur du hameau de la Verdarié.
Il était environ 2h20 du matin.
Le jeune homme, seul à bord, circulait dans le sens Castres-Réalmont sur une zone limitée à 50 km/h. Pour une raison inconnue, son véhicule a traversé la route pour finir sa course contre un platane, à quelques mètres du virage particulièrement dangereux de l'ancienne école de la Verdarié.
Les secours rapidement arrivés sur place n'ont pu que constater son décès sous la violence du choc. Âgé de 18 ans depuis janvier dernier, Valentin Pouzenc conduisait une voiture peu puissante depuis l'obtention de son permis de conduire il y a un mois à peine. À ce stade de l'enquête ouverte par les services de police de Castres, il est impossible de dire ce qui s'est passé en l'absence de témoin de l'accident. Le jeune homme rentrait semble t-il d'une soirée anniversaire d'une amie dans la région.
Il pratiquait le badminton au sein du club ASPTT de Castres que fréquente aussi sa sœur Manon. Un club qu'il fréquentait depuis peu mais où sa bonne humeur et ses qualités sportives étaient très appréciées. Le jeune homme vivait chez sa mère Marie-Laure Guibaut, rue de l'Agout à Castres. Sa maman, aujourd'hui à la retraite, travaillait à la régie des bus Libellus de la communauté d'agglomération Castres-Mazamet.
C'est ainsi un véritable drame qui s'est produit sur cette portion de route hier matin.
Les obsèques de Valentin Pouzenc doivent se tenir aujourd'hui à 15 heures à Cambounet-sur-le-Sor.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/21/1132050-mort-a-18-ans-sur-la-route.html
Un jeune Castrais, Valentin Pouzenc, âgé de 18 ans, a trouvé la mort au volant de sa voiture, dans la nuit de mardi à mercredi. Le drame s'est produit sur la départementale 112 qui relie Castres à Albi, en plein cœur du hameau de la Verdarié.
Il était environ 2h20 du matin.
Le jeune homme, seul à bord, circulait dans le sens Castres-Réalmont sur une zone limitée à 50 km/h. Pour une raison inconnue, son véhicule a traversé la route pour finir sa course contre un platane, à quelques mètres du virage particulièrement dangereux de l'ancienne école de la Verdarié.
Les secours rapidement arrivés sur place n'ont pu que constater son décès sous la violence du choc. Âgé de 18 ans depuis janvier dernier, Valentin Pouzenc conduisait une voiture peu puissante depuis l'obtention de son permis de conduire il y a un mois à peine. À ce stade de l'enquête ouverte par les services de police de Castres, il est impossible de dire ce qui s'est passé en l'absence de témoin de l'accident. Le jeune homme rentrait semble t-il d'une soirée anniversaire d'une amie dans la région.
Obsèques à Cambounet
Scolarisé jusqu'au mois de juin en classe de Terminale technologique (STI) au lycée de la Borde-Basse, Valentin Pouzenc était un garçon joyeux et très sociable comptant de nombreux amis dans son établissement et même au-delà.Il pratiquait le badminton au sein du club ASPTT de Castres que fréquente aussi sa sœur Manon. Un club qu'il fréquentait depuis peu mais où sa bonne humeur et ses qualités sportives étaient très appréciées. Le jeune homme vivait chez sa mère Marie-Laure Guibaut, rue de l'Agout à Castres. Sa maman, aujourd'hui à la retraite, travaillait à la régie des bus Libellus de la communauté d'agglomération Castres-Mazamet.
C'est ainsi un véritable drame qui s'est produit sur cette portion de route hier matin.
Les obsèques de Valentin Pouzenc doivent se tenir aujourd'hui à 15 heures à Cambounet-sur-le-Sor.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/21/1132050-mort-a-18-ans-sur-la-route.html
Languedoc-Roussillon Panne chez Orange : des dizaines de milliers d’usagers privés de réseau
On a frôlé le black-out, hier. Le réseau de téléphonie Orange était aux abonnés absents durant une partie de la journée. Des centaines de milliers d’utilisateurs des cinq départements du Languedoc-Roussillon ont parfois dû patienter plusieurs heures pour passer à nouveau un coup de fil. Selon un premier bilan, plusieurs dizaines de milliers d’abonnés ont été touchés. Sans oublier les abonnés aux opérateurs alternatifs liés à Orange comme Virgin Mobile ou M6 Mobile. Ce n’est pas tout.
Les lignes fixes gérées par France Télécom ont aussi été partiellement altérées et, dans certaines communes, le réseau de transmissions de données a été très perturbé, ce qui a occasionné une gêne importante, notamment pour bon nombre d’entreprises. Mais, assure-t-on chez Orange, le dégroupage internet vers d’autres opérateurs n’a, lui, a priori pas été touché.
"C’est un événement exceptionnel", résume Jean-Christophe Arguilière. Le directeur régional d’Orange précise que le réseau de secours a fonctionné. Mais malmené, il n’est pas passé loin du sur-régime, entre autre à cause d’un trafic "considérable" à cette période de l’année, forte présence touristique oblige. "Il a fallu interrompre le trafic pour se raccorder au réseau EDF vers 15 h 30", précise-t-on chez l’opérateur.
Tout commence vers 11 h au central téléphonique de la Croix d’Argent, à l’entrée de Montpellier (34). Un équipement électrique s’échauffe et commence à brûler. Ce centre névralgique va perturber, en cascade, une bonne partie du réseau régional Orange. L’interruption est quasi-totale jusqu’à 13 h, le temps que des dizaines de techniciens et d’experts interviennent. Le réseau redevient actif, par intermittence, entre 16 h et 17 h, en fonction des zones. La situation est revenue à la normale à 18 h.
http://www.midilibre.fr/2011/07/21/panne-chez-orange-des-milliers-d-usagers-aux-abonnes-absents,359402.php
Les lignes fixes gérées par France Télécom ont aussi été partiellement altérées et, dans certaines communes, le réseau de transmissions de données a été très perturbé, ce qui a occasionné une gêne importante, notamment pour bon nombre d’entreprises. Mais, assure-t-on chez Orange, le dégroupage internet vers d’autres opérateurs n’a, lui, a priori pas été touché.
"C’est un événement exceptionnel", résume Jean-Christophe Arguilière. Le directeur régional d’Orange précise que le réseau de secours a fonctionné. Mais malmené, il n’est pas passé loin du sur-régime, entre autre à cause d’un trafic "considérable" à cette période de l’année, forte présence touristique oblige. "Il a fallu interrompre le trafic pour se raccorder au réseau EDF vers 15 h 30", précise-t-on chez l’opérateur.
Tout commence vers 11 h au central téléphonique de la Croix d’Argent, à l’entrée de Montpellier (34). Un équipement électrique s’échauffe et commence à brûler. Ce centre névralgique va perturber, en cascade, une bonne partie du réseau régional Orange. L’interruption est quasi-totale jusqu’à 13 h, le temps que des dizaines de techniciens et d’experts interviennent. Le réseau redevient actif, par intermittence, entre 16 h et 17 h, en fonction des zones. La situation est revenue à la normale à 18 h.
http://www.midilibre.fr/2011/07/21/panne-chez-orange-des-milliers-d-usagers-aux-abonnes-absents,359402.php
REIMS / Violences entre voisins Bagarre à coups de binette et de pied de table
Les coups ont volé bas, lundi matin, dans un immeuble de la rue du Général-Carré à Reims. Plusieurs voisins en sont venus aux mains avec des insultes et menaces de mort prononcées en clôture pour accueillir l'arrivée de la police. Tout commence vers 5 heures. Alors que Reims s'éveille, une patrouille de la brigade anticriminalité repère un jeune homme qui se débarrasse d'un sachet avant d'entrer dans une cave de la rue de la Baltique, au quartier de l'Europe. Le sachet contient trois morceaux de résine de cannabis. Du garçon, plus aucune trace.
Un face-à-face qui tourne au vinaigre…
Se renseignant auprès d'un riverain, les policiers apprennent que le rôdeur est probablement le fils de la locataire de la cave. Ils notent le renseignement aux fins d'exploitation ultérieure, puis s'en vont.
Le voisin décide alors de se rendre chez la mère pour se plaindre de son fils (un ado de 16 ans) qui n'en serait pas à sa première bêtise. Il ne vient pas les mains vides mais avec un pied de vigne.
Sur le palier, le face-à-face tourne vite au vinaigre. Cris et hurlements. Le concubin tente de s'interposer. À cet instant arrive l'ado qui rentre chez lui. Afin de défendre sa mère, il ressort vite fait pour prendre la binette d'un employé de la ville, puis revient frapper le voisin, un homme de 59 ans. Un copain du mineur se mêle à la bagarre. Sous le nombre, le quinquagénaire recule et va chercher un pied de table dans un buisson ! Le copain en prend un coup sur l'épaule.
Une voisine intervient à son tour pour tenter de séparer les belligérants mais ses efforts, à l'instar du concubin, restent vains. Un appel au « 17 », et voilà la police qui revient.
Tout le monde se calme, sauf l'adolescent qui se rebelle en proférant moult insultes et menaces de mort. Il finit par être maîtrisé, direction le commissariat central avec les autres protagonistes.
Résultat des courses : classement sans suite pour le concubin (aucune infraction reprochée), convocation en correctionnelle le 31 octobre pour le quinquagénaire et le copain (coups réciproques), présentation devant le juge des enfants pour le mineur.
Ce dernier a été remis en liberté dans l'attente d'une mise en examen. Interrogé sur la détention du sachet de cannabis, il a prétendu qu'il ne lui appartenait pas.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-violences-entre-voisins-bagarre-a-coups-de-binette-et-de-pied-de-table
Un face-à-face qui tourne au vinaigre…
Se renseignant auprès d'un riverain, les policiers apprennent que le rôdeur est probablement le fils de la locataire de la cave. Ils notent le renseignement aux fins d'exploitation ultérieure, puis s'en vont.
Le voisin décide alors de se rendre chez la mère pour se plaindre de son fils (un ado de 16 ans) qui n'en serait pas à sa première bêtise. Il ne vient pas les mains vides mais avec un pied de vigne.
Sur le palier, le face-à-face tourne vite au vinaigre. Cris et hurlements. Le concubin tente de s'interposer. À cet instant arrive l'ado qui rentre chez lui. Afin de défendre sa mère, il ressort vite fait pour prendre la binette d'un employé de la ville, puis revient frapper le voisin, un homme de 59 ans. Un copain du mineur se mêle à la bagarre. Sous le nombre, le quinquagénaire recule et va chercher un pied de table dans un buisson ! Le copain en prend un coup sur l'épaule.
Une voisine intervient à son tour pour tenter de séparer les belligérants mais ses efforts, à l'instar du concubin, restent vains. Un appel au « 17 », et voilà la police qui revient.
Tout le monde se calme, sauf l'adolescent qui se rebelle en proférant moult insultes et menaces de mort. Il finit par être maîtrisé, direction le commissariat central avec les autres protagonistes.
Résultat des courses : classement sans suite pour le concubin (aucune infraction reprochée), convocation en correctionnelle le 31 octobre pour le quinquagénaire et le copain (coups réciproques), présentation devant le juge des enfants pour le mineur.
Ce dernier a été remis en liberté dans l'attente d'une mise en examen. Interrogé sur la détention du sachet de cannabis, il a prétendu qu'il ne lui appartenait pas.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-violences-entre-voisins-bagarre-a-coups-de-binette-et-de-pied-de-table
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