jeudi 28 juillet 2011

Témoignages accablants contre la voisine de Josette Choisy

Les ex beaux-parents de Michelle Lefort, sont bouleversés que leur nom, qu'elle continue à porter, soit associé quotidiennement à cette sordide affaire.

ON ne sait pas encore si la meurtrière présumée de Josette Choisy endossera un jour le « droguet » pénitentiaire, puisque sa garde à vue a été prolongée (voir ci-contre) et qu'on ignore encore ce que le juge d'instruction retiendra comme charges à son encontre.
Mais, ce qui est sûr c'est qu'elle est, d'ores et déjà, « habillée pour l'hiver », tellement tous ceux qui l'ont connue, de Maubert-Fontaine à Signy-le-Petit, en passant par Eteignières, Auge ou Auvillers-les-Forges, lui ont déjà « taillé de costards », depuis qu'on la sait soupçonnée d'être, au minimum, « pour quelque chose », dans l'horrible drame survenu, le 18 juillet dernier, au n° 1 rue Chêtre, en plein cœur de Maubert-Fontaine.


En effet, après le témoignage accablant de Lilian Decq (voir notre édition du 22 juillet), qui fut l'un des trois hommes « officiels » de sa vie de gourgandine, l'ayant décrite, anecdotes de ses dires à l'appui, comme une véritable mante religieuse, voleuse, menteuse, dissimulatrice, etc. ce sont les parents de son dernier mari, Patrick Druon, décédé le 16 octobre 2008, un an après l'avoir épousée le 29 septembre 2007 qui ont souhaité, à leur tour, monter au créneau. Etouffant de honte, en voyant le nom de leur famille honorable de vieux cultivateurs de l'Aisne, associé dans la presse, depuis une semaine, à cet épouvantable faits divers.
« Ne l'appelez plus Druon, quand vous parlez d'elle, on vous en supplie, car c'est une saloperie finie, on ne peut pas trouver pire », nous ont imploré, hier matin, dans leur maison de Hannappes, Thérèse et Roger Druon, le regard embué de larmes, face au buffet sur lequel, dans leur cadre, continuent à « vivre » avec eux, non seulement Patrick, mais aussi sa petite sœur Magali, disparue à l'âge de 15 ans, victime d'une leucémie.


« Comme s'il ne nous suffisait pas, déjà, d'avoir perdu deux enfants, notre nom est désormais sali, uniquement parce qu'elle a fait exprès de garder le nom de notre fils, dans l'espoir de gratter un jour quelque chose à notre mort. C'est Michelle Lefort, son nom de jeune fille, que vous devez utiliser, quand vous parlez de cette femme ! »
Nous avons eu beau expliquer à ces parents mortifiés, qu'ils risquent malheureusement de souffrir encore longtemps de cette situation, Thérèse Druon, surtout, n'a pas voulu en démordre. Justifiant sa rancœur, envers celle qui fut brièvement sa belle-fille, par le fait que « tout ce qu'on connaît d'elle, depuis toujours, avant même le drame de Maubert-Fontaine, c'est que c'est une très mauvaise personne. Je ne sais pas dans quelles conditions elle avait réussi à embobiner notre fils, alors que depuis plus de vingt ans, il vivait avec Isabelle, une gentille jeune femme d'Auvillers, qu'elle lui a fait plaquer. Mais ce que je sais, c'est que je lui avais défendu dix fois, vingt fois, de l'épouser. Toujours, je lui disais, tu n'auras que des embêtements avec elle. Mais elle le tenait sous sa coupe. Elle savait l'entortiller. Elle savait s'y prendre. Et il ne m'a pas écoutée… »


« Elle savait l'entortiller »

Toujours est-il que durant la courte période du mariage, « dès juillet 2008, Patrick qui s'était enfin rendu compte à qui il avait affaire, nous parlait déjà de divorcer ! », les relations furent donc plus que tendues, entre Michelle Lefort et ses beaux-parents. « Nous ne la recevions que quand on ne pouvait pas faire autrement » évoque Thérèse Druon. « Quant à notre fils, de son côté, il refusait de recevoir chez lui, les trois enfants de « l'autre », qu'elle avait eus de ses deux précédentes liaisons »…
Et puis, malheureusement, l'état de santé de Patrick, qui travaillait alors comme grutier chez Urano, s'aggrava. « Il était déjà bien malade quand Michelle Lefort lui a mis le grappin dessus, sans doute parce qu'elle devait se dire qu'elle ne tarderait pas à être veuve ; d'ailleurs sans cesse elle le harcelait, pour qu'il lui fasse un testament, qu'heureusement il n'a pas eu le temps de rédiger. Évidemment, elle savait que nous lui avions donné la maison d'Auge, où ils s'étaient installés et que nous possédons 90 hectares de terres dans l'Aisne », suppute Thérèse Druon. Et, de fait, le malheureux garçon allait effectivement succomber, quelques mois plus tard, à l'hôpital, après d'épuisantes dialyses, probablement victime d'une leptospirose (dite maladie du rat), aggravée de complications diabétiques et cardiaques. Or, ce décès allait encore confirmer, les bien mauvaises manières de Michelle Lefort…
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/temoignages-accablants-contre-la-voisine-de-josette-choisy

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