mardi 31 juillet 2012

Péage: 2 blessés lors d'une interpellation

Deux hommes, dont un policier, ont été blessés cet après-midi lors d'une interpellation dans le cadre d'un go-fast, au péage de la Gravelle sur l'autoroute A81, entre Laval et Rennes, a-t-on appris de source policière.

Un policier de la DIPJ de Rennes, qui voulait interpeller un suspect au volant d'une Audi S3 arrêtée au péage de La Gravelle (Mayenne), a été fauché par le conducteur, qui a fait marche arrière pour tenter de s'enfuir. Un autre policier a alors ouvert le feu sur le suspect, qui a été sérieusement blessé au ventre et transporté au centre hospitalier de Laval. Le policier, dont le pronostic vital n'est pas engagé, a été blessé au cou et à la mâchoire. Deux autres hommes qui participaient au go-fast ont également été interpellés un peu plus tard dans l'après-midi en Ille-et-Vilaine.

Selon les premières constatations, au moins une centaine de kilos de résine de cannabis étaient dissimulés dans le véhicule, a précisé Jean-Paul Le Tensorer, directeur interrégional de la police judiciaire du Grand ouest, basé à Rennes.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/31/97001-20120731FILWWW00590-peage-2-blesses-lors-d-une-interpellation.php

Beaune : une femme retrouvée morte chez elle

C’est une scène bien triste et difficile à supporter que les secours ont découvert vendredi dans un appartement de la résidence des Burgondes située 4 avenue Charles-de-Gaulle à Beaune. Le corps d’une femme a été retrouvé dans la cuisine. Il gisait là, depuis plusieurs jours déjà.
La voisine de cette dame âgée d’environ 70 ans a donné l’alerte dans la matinée après avoir senti une odeur nauséabonde sur son palier. Policiers et médecins sont intervenus afin de retirer le corps et une enquête a été ouverte. D’après les premiers éléments, elle serait décédée de manière accidentelle ou naturelle. Par contre, il est impossible de déterminer exactement la date du décès.

« Une femme très renfermée »

Les voisins de la défunte, encore très choqués par cette découverte, essaient de rassembler leurs souvenirs pour décrire une femme qui vivait seule, recluse et qui sortait très peu. « Elle allait faire ses courses le soir quand il n’y avait personne et fuyait les gens. Elle était sans conteste victime d’un très fort isolement », raconte une voisine. Elle habitait ici depuis plusieurs années et semblait ne pas avoir beaucoup de famille. « Ce n’est pourtant pas une raison pour décéder toute seule comme ça, c’est vraiment triste », continue-t-elle.

Une triste série

Aujourd’hui encore, une étrange odeur subsiste toujours dans l’immeuble et les souvenirs restent prenants. « Je les ai vus transporter le corps, c’était horrible, j’ai beaucoup de mal à m’en remettre », raconte, bouleversée une autre voisine. Durant le mois de juillet, trois corps ont déjà été découverts en Côte-d’Or : à Pouilly-en-Auxois, le 10 juillet, un homme a été retrouvé dans sa salle de bain. Il était décédé depuis au moins 10 jours. Le 17 juillet, deux personnes ont à leur tour été découvertes dans leur habitation à Dijon après que leur voisin se soit étonné que les volets soient restés fermés. L’épisode de ce vendredi vient s’ajouter à cette terrible série.

http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2012/07/31/beaune-une-femme-retrouvee-morte-chez-elle

Ivre et drogué, il tue un motard et prend la fuite

Un jeune conducteur de Thiers (Puy-De-Dôme) a été présenté hier au parquet de (Hérault) et mis en examen pour homicide involontaire. Dans la nuit de samedi à dimanche, au volant de la Clio Sport d'un de ses amis il avait percuté, à très vive allure sur l'autoroute A75 à hauteur de Servian (Hérault), un motard de cinquante et un an qui se rendait à son travail de chauffeur livreur. L'extrême violence du choc a entraîné la projection de la moto à 150 mètres du point d'impact et l'éjection du motard sur la chaussée où il a été percuté par d'autres véhicules et tué sur le coup.

Interpellé, il a été écroué

Le jeune conducteur de 20 ans, prénommé Sony, conduisait avec un taux d'alcoolémie de 1,56 gramme/litre. Il était positif aux stupéfiants au moment des faits. Il se rendait avec trois copains du même âge, de Thiers et de Clermont-Ferrand à La Jonquera pour faire la fête. Avant de partir, les quatre jeunes, âgés de vingt à vingt-trois ans, s'étaient approvisionnés en pastis et en vodka. Juste après l'accident, ils avaient pris la fuite sans s'arrêter sur place. Ils avaient emprunté la première sortie de l'A75 mais ils étaient ensuite tombés en panne, à cause d'une rupture de radiateur sur la route nationale où ils ont été repérés par une patrouille de gendarmerie. Le conducteur a été écroué à la maison d'arrêt de Béziers. Ses compagnons de virée espagnole ont été remis en liberté. Mais les enquêteurs cherchent à vérifier s'ils ont tenté de donner l'alerte après l'accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/31/1410476-herault-ivre-et-drogue-il-tue-un-motard-et-prend-la-fuite.html

Asnières : l’agent immobilier se fait voler sa voiture et 50 000 €

Un homme qui venait de stationner sa voiture, ce dimanche 29 juillet, vers 6 heures, dans une rue d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) a été victime d’un à main armée. Deux hommes, le visage dissimulé sous des cagoules, ont menacé la victime avec une arme de poing avant de la contraindre à descendre de sa Bentley .                                 
Les deux voleurs ont ensuite pris la direction des quais de Seine. Très rapidement informé, la police a lancé une alerte générale. Le véhicule dérobé, estimé à plus de 150 000 €, a été retrouvé, quelques minutes plus tard, à Pierrelaye (Val d’Oise). Selon le propriétaire de ce véhicule de luxe, agent immobilier de profession, 50 000 € en argent liquide se trouvait également dans l’habitacle. Selon nos informations, cette importante somme n’a pas été retrouvée.

http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/asnieres-l-agent-immobilier-se-fait-voler-sa-voiture-et-50-000-eur-31-07-2012-2108570.php

Pris d'un malaise, il fonce dans une habitation

Deuxième accident en moins de quatre heures. Hier peu avant 11 h 30, un second accident a eu lieu dans la commune de Lesquielles-Saint-Germain. Drôle de surprise pour cet habitant du 16, rue de l'Eglise, qui a retrouvé dans sa cuisine, un conducteur pris d'une crise d'épilepsie, à bord de sa voiture.
Areski Benhammouda n'en revient toujours pas. « J'ai entendu du bruit, j'ai regardé par ma fenêtre et là, j'ai vu une voiture se diriger vers ma maison. Un choc terrible s'est produit et il s'est retrouvé dans ma cuisine. » Les secours sont demandés sur les lieux, ils viendront de la caserne des sapeurs-pompiers de Guise, placés sous les ordres du commandant Talon, renforcés par l'équipe du Samu.
Le chauffeur, seul à bord, un jeune homme de 20 ans domicilié à Guise, sera désincarcéré et après avoir reçu les premiers soins sur place, il sera transporté au centre hospitalier de Saint-Quentin. Il souffre de multiples contusions.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Guise étaient de nouveau sur place, une circulation alternée a été mise en place afin de faciliter les secours. Le premier adjoint de la commune, Didier Carette, s'est rendu sur les lieux, il a constaté les dommages causés par cet accident qui serait à l'origine dû à un malaise.
Outre la porte-fenêtre qui a été défoncée, les dégâts sont très importants, le mur a lui aussi bougé, obligeant les pompiers à étayer afin d'éviter tous risques d'effondrement. De nombreux ustensiles, qui se trouvaient à proximité du mur de façade, ont été projetés à l'intérieur de la cuisine


http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/pris-dun-malaise-il-fonce-dans-une-habitation

Un chauffard percute une voiture et prend la fuite

Hier vers 7 h 30, rue de Guise, une voiture venait de percuter un autre véhicule en stationnement. Le chauffard s'est enfui à l'arrivée des gendarmes.

IL est 7 h 30, hier, au village de Lesquielles-Saint-Germain, tout est calme jusqu'au moment où un bruit inhabituel réveille les habitants de la rue de Guise. Des témoins de l'accident préviennent aussitôt les secours. Le conducteur d'une Seat Leon vient de perdre le contrôle de sa voiture. Après avoir englouti les plots de signalisation dans le virage, à l'entrée de la commune sur la départementale 946 reliant les villes de Guise à Étreux, il a percuté un véhicule en stationnement, une C4 Picasso et l'a traîné sur environ 20 mètres. Un des passagers a été blessé, les autres occupants de la voiture tamponneuse sont sortis indemnes mais très excités.
Les sapeurs-pompiers de Guise sont arrivés sur les lieux. Le passager, domicilié à Guise, blessé au bras et à la main, a été pris en charge par les secours et transporté aucentre hospitalier de Saint-Quentin.
Tandis que les secouristes étaient occupés à prodiguer des soins, le conducteur et un passager ont pris place dans une Renault Clio et une Renault Berlingot.

Le fuyard identifié
À l'arrivée des gendarmes de la communauté de brigades de Guise, seul le passager blessé était encore sur les lieux, les autres ayant pris la fuite. Coïncidence, une autre patrouille de gendarmes qui se trouvait, rue Sadi-Carnot, à Guise, a contrôlé la Clio. Le dépistage d'alcoolémie pratiqué auprès du conducteur (par ailleurs non impliqué dans l'accident) s'est révélé positif, il sera verbalisé. Quelques minutes après, les militaires ont appris que l'un des passagers de l'accident était en fait à bord.
Quant au chauffard toujours en fuite à bord de la Renault Berlingot, il a été rapidement identifié grâce à la plaque d'immatriculation de sa voiture, il serait domicilié à Malzy.

Matériel de secours dégradé
Pendant ce temps à Lesquielles-Saint-Germain, les forces de l'ordre ont constaté les dégâts sur les véhicules, mais aussi sur le matériel des pompiers. Le commandant Talon, qui portera plainte pour dégradations volontaires de matériel, a expliqué que plusieurs jeunes, impliqués ou non dans l'accident, les ont agressés verbalement, puis menacés. Ils s'en sont ensuite pris à deux extincteurs, puis ont dégradé le volet roulant de leur véhicule de secours, à coups de poing.
Selon nos informations, les trois passagers de la Seat Léon, revenaient d'une soirée bien arrosée, passée dans la discothèque Bbox, située près du Cateau.
Les auteurs devraient, après enquête de gendarmerie, être poursuivis pour défaut de maîtrise, injures et menaces sur secouristes, ainsi que dégradations volontaires de matériel de secours.


http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/un-chauffard-percute-une-voiture-et-prend-la-fuite

Il dénonce son voisin parti en déplacement pour que la fourrière embarque sa voiture

Située à l'arrière du Parc bordelais, la rue Frantz-Malvezin ne se laisse pas facilement découvrir. On ne l'emprunte qu'après avoir rebondi de sens interdit en sens unique et s'être joué de quelques bifurcations. Les résidents de ce quartier cossu ne s'en plaignent pas vraiment. Il est toujours facile de garer son véhicule le long de ce paisible ruban de bitume réfractaire à la lèpre galopante des horodateurs qui sévit dans le centre-ville de Bordeaux.
Ciel, ma voiture !

Début juillet, à la veille d'un déplacement professionnel, Paul de Saint-Exupéry avait laissé sa voiture, une Clio verte, sous les fenêtres de son appartement. Elle ne gênait absolument personne. Quelle n'a pas été la surprise de ce consultant automobile à son retour, le 15 juillet au soir. Sa Renault avait disparu. « Le lendemain matin, j'ai interpellé les ouvriers de la Communauté urbaine de Bordeaux qui travaillaient dans la rue. "Soit on vous l'a volée. Soit vous n'avez pas que des amis et quelqu'un vous a dénoncé", m'a lancé l'un d'entre eux. »
La seconde hypothèse était la bonne. Le vendredi 13 en fin de journée, la Clio avait été enlevée sous le regard attentif du mystérieux agent 381 avant de migrer vers la fourrière. Muni de son permis, de sa carte grise et de son certificat d'assurance, Paul de Saint-Exupéry a dû se présenter au commissariat pour obtenir une autorisation de mainlevée. Puis il a réglé les frais de fourrière (166 €) et acquitté une amende de 35 € pour stationnement abusif.
« C'est là que j'ai découvert l'existence du fameux article 417-12 du Code la route. » « Dura lex sed lex ! » La loi est dure, mais c'est la loi. Beaucoup l'ignorent, mais il est interdit de laisser un véhicule pendant plus de sept jours au même endroit sur la voie publique. Même si les horodateurs bordelais prévoient une durée maximale de 15 jours de stationnement pour les résidents. Les agents auraient pu l'avertir en posant un papillon sur son pare-brise ou en lui adressant un courrier. « Nous avons tous énormé- ment d'argent à jeter par la fenêtre. Cela dit, à l'époque où l'on parle de juste effort, le mien a déjà commencé », lâche Paul de Saint-Exupéry, dont l'ironie cache mal l'agacement.
« J'ai été balancé par quelqu'un de la résidence. » Obligation de réserve oblige, la police n'a pas voulu lui en dire davantage. L'identité du corbeau reste aussi bien protégée que le code de la bombe nucléaire. Tout au plus a-t-il pu en apprendre un peu plus sur les méthodes des agents. « Quand ils sont prévenus, ils se déplacent et relèvent le positionnement des valves des roues. Sept jours plus tard, ils reviennent pour vérifier si elles ont bougé ou non. » Autant dire que le consultant automobile était dans le collimateur de l'un de ses voisins qui le surveillait sans doute depuis plusieurs mois.
Un charmant voisin
Comment aurait-il pu éventer le coup fourré ? La police municipale n'a guère l'occasion de patrouiller rue Frantz-Malvezin. Il n'est pas rare qu'un véhicule y fasse parfois du surplace pendant plus d'une semaine. Sans qu'aucun riverain crie au scandale. Alors, pourquoi lui ? « Le délateur savait parfaitement qu'il serait couvert par l'impunité et cela est une preuve supplémentaire de son courage », écrit-il d'une plume à l'encre amère dans une lettre glissée dans toutes les boîtes aux lettres de l'immeuble.
Que ce charmant voisin sorte du bois est aussi peu probable que de voir le pape faire du surf ! De cette mésaventure subsistera seulement une impression désagréable rappelant les années noires de l'Occupation, lorsque la milice et les kommandanturs croulaient sous les lettres de dénonciation. Paul de Saint-Exupéry peut convoquer ce passé à bon droit. N'est-il pas le fils d'un officier qui avait rallié le général de Gaulle ?

http://www.sudouest.fr/2012/07/30/la-clio-et-le-corbeau-782306-7.php

lundi 30 juillet 2012

Alerte à la pollution : des milliers de poissons morts

Sur deux kilomètres, dans le canal du Gard, à Étreux, des centaines de poissons morts sont visibles depuis les berges, un désastre pour l'environnement. C'est un pêcheur, habitué des lieux, qui a fait, hier matin, vers 8 heures, cette horrible découverte. Des gardons, des perches, sandres (etc.), toutes les espèces de poissons ont été touchées, qu'ils soient de fond ou de surface.
Gaston Donay, le vice-président de la société de pêche « La Passience », a été informé et s'est rendu sur les lieux pour constater l'étendue des dégâts.
Informés, les gendarmes se sont rendus sur les lieux, un constat a été dressé, une plainte déposée par la société de pêche locale recueillie.
Actuellement, l'origine de cette pollution n'est pas connue, une enquête est en cours. Plusieurs sites industriels se trouvent à proximité de ce canal, mais la pollution pourrait venir d'une autre source, voire même d'un acte volontaire. Toutes les hypothèses sont étudiées, des analyses de l'eau polluée seront effectuées


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/alerte-a-la-pollution-des-milliers-de-poissons-morts

Le gang des « papys » trafiquants démantelé

A l’âge où certains cultivent leur jardin, eux s’adonnaient à un tout autre type de passe-temps. Cinq trafiquants de drogue présumés ont été interpellés, à la fin du mois de juin, par les enquêteurs de l’antenne de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) à Marseille (Bouches-du-Rhône). Les cinq suspects, parmi lesquels figurent plusieurs « pontes » du grand banditisme marseillais, ont été arrêtés au retour d’un voyage en Espagne, dans la commune de LLoret del Mar. Lors de perquisitions à leurs domiciles, les policiers ont saisi 2 kg de cocaïne dissimulés dans une cache située sous les sièges avant d’une modeste Colt. « On est loin des Audi et des Mercedes que les trafiquants privilégient, note un proche de l’affaire. Ces trafiquants avaient tout mis en œuvre pour être le plus discrets possible. Ce gang était constitué de voyous à l’ancienne. Leur trafic alimentait les cités marseillaises et la région niçoise. »

Les policiers ont également découvert un laboratoire « artisanal », doté d’une presse hydraulique pour compacter la cocaïne, d’une balance de précision et de près d’un kilo de produit de coupe dans une villa à l’abandon à Mimet, dans l’arrière-pays marseillais. Au moment de son interpellation, un des principaux protagonistes de cette affaire — Gérard Clar, 59 ans, surnommé le Géant ou le Big Boss — a été trouvé avec un revolver 38 Spécial.

Des
et 70 000 € trouvés

Les enquêteurs ont aussi mis la main sur un pistolet automatique de calibre 9 mm. Cet homme, condamné à des peines de seize ans pour coups mortels en 2004, puis dix-sept ans de réclusion criminelle pour trafic de stupéfiants en 2008, est présenté comme un des derniers caïds du milieu marseillais. Son « lieutenant », Patrick Mazella, 60 ans, a été arrêté en sa compagnie.

Djamel Merabet, 52 ans — beau-frère de Farid Berrahma, figure du grand banditisme marseillais, abattu en avril 2006 —, est également tombé dans les filets des policiers Ce quinquagénaire avait déjà été impliqué dans un important trafic de drogue en 2007. « Il est soupçonné d’avoir servi de voiture ouvreuse au véhicule qui transportait la cocaïne lors de la remontée d’Espagne vers Marseille, poursuit la même source. Dans la roue de secours de sa
, 250 g de cocaïne ont été récupérés et près de 70 000 € ont été saisis chez lui. Certains prétendent qu’il a autorité sur plusieurs cités marseillaises. » Un quatrième complice, Christian Bonelli, 61 ans, domicilié à Marseille, connu pour des braquages a, lui, été trouvé en possession de plus de 13 000 €, d’un pistolet automatique 9 mm et d’un fusil 222 Remington. Enfin, Farid Krimou, 42 ans, originaire de Cannes (Alpes-Maritimes), impliqué dans une affaire de recel de bijoux volés, en 2005, à l’émir du Bahreïn, est soupçonné d’avoir écoulé une partie de la drogue. Les cinq caïds ont été mis en examen avant d’être écroués.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-gang-des-papys-trafiquants-demantele-30-07-2012-2107300.php

A 2,6 g d’alcool vendredi, il est pris à 1,4 g samedi

Moins de 24 heures après l’avoir conduit au commissariat dans un état d’ébriété avancé, les policiers carcassonnais ont retrouvé le quadragénaire en cause dans le même état d’ivresse.
Vendredi soir, à 19 h 40, c’est pour venir en aide à un homme victime d’un malaise que les pompiers avaient fait le déplacement avenue Franklin-Roosevelt. Ils appelleront finalement les policiers, après avoir constaté l’état d’alcoolémie très avancé de l’homme, un Alairacois de 43 ans, au volant avec un taux de 2,6 g d’alcool par litre de sang.

Nuit “riche” en conduite sous l’empire d’un état alcoolique
Conduit au commissariat, puis libéré avec une convocation pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), le quadragénaire n’a guère attendu pour à nouveau fauter. Samedi, à 20 h, dans le centre-ville carcassonnais, au début d’une nuit “riche” en conduite sous l’empire d’un état alcoolique les policiers l’ont à nouveau retrouvé au volant. Mêmes causes, mêmes effets : c’est cette fois avec 1,40 g d’alcool par litre de sang que l’Alairacois circulait. Constatant que l’homme avait enfreint l’obligation d’immobilisation de son véhicule, il a donc été procédé au placement de sa voiture en fourrière.
Une mesure opérée alors que l’homme était de nouveau conduit au commissariat, et placé une fois de plus en cellule de dégrisement. Informé de cette nouvelle dérive, le parquet a fait évidemment preuve d’une moindre mansuétude. Si le quadragénaire a hier pu retrouver son domicile, c’est cette fois avec une convocation d’officier de police judiciaire pour le tribunal correctionnel en poche qu’il a quitté le commissariat.
 

Fausse alerte à Bar-le-Duc

Hier, peu après 11 h, les sapeurs-pompiers de Bar-le-Duc (Meuse) sont intervenus au début de la rue Martelot, côté des numéros pairs à proximité de la place Reggio, pour porter secours à une personne ne répondant plus aux appels. N’ayant pas de nouvelles de la dame qui l’emploie, une femme de ménage a aussitôt composé le 18, craignant que le pire ne soit arrivé.
Épaulés par une patrouille de la police nationale qui a barré la route, le temps de l’intervention, à hauteur de la rue Rousseau, les soldats du feu ont déployé une échelle pour accéder à l’étage du bâtiment ciblé. Une vitre a même dû être brisée pour accéder à l’appartement de la propriétaire.
Fort heureusement, aucune victime ne se trouvait à l’intérieur. Après renseignements, il s’avère que l’occupante des lieux avait dû quitter son domicile la veille pour être hospitalisée. Ce que la femme de ménage, très attentive et d’une attitude fort louable, ne pouvait savoir.
Les sapeurs-pompiers ont donc rangé leur échelle sur le toit de leur véhicule avant de regagner leur caserne. Plus de peur que de mal.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/faits-divers

dimanche 29 juillet 2012

Selongey : deux blessés et un gros bouchon sur l’A31

Ce dimanche, en fin de matinée sur l’A31, à hauteur de la commune de Selongey, un accident de la circulation a fait deux blessés et a occasionné la fermeture de l’autoroute dans le sens Beaune/Nancy.
Il était 11 h 25, quand un conducteur a perdu le contrôle de son véhicule tractant une caravane. Celle-ci s’est retrouvée sur le toit au milieu des voies. Sur les quatre personnes présentes dans la voiture, qui n’a heureusement pas été percutée, deux ont été blessées. Un jeune homme de 14 ans a été transporté en hélicoptère jusqu’au CHU de Dijon, tandis qu’un homme de 43 ans, a été emmené par les sapeurs-pompiers de Selongey dans le même établissement.
L’autoroute a été coupée pendant 1 h 30. Vers 12 heures, on comptait près de 4 kilomètres d’embouteillage sur l’autoroute.

http://www.bienpublic.com/region-dijonnaise/2012/07/29/deux-blesses-et-un-gros-bouchon-sur-l-a31

Nord: une septuagénaire morte et ligotée

Une femme de 72 ans a été retrouvée morte aujourd'hui à son domicile, baillonnée et ligotée, à Cambrai dans le Nord.

Le corps de la septuagénaire, qui vivait seule dans un quartier tranquille et pavillonnaire, a été découvert par les policiers. Selon les premiers éléments de l'enquête, la voiture de la vieille dame semble avoir été volée. Une enquête a été ouverte par le parquet de Cambrai pour tenter de déterminer les circonstances du crime.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/29/97001-20120729FILWWW00094-nord-une-septuagenaire-retrouvee-morte-et-ligotee.php

Outreau : coup de folie dans la nuit, un homme blesse grièvement sa femme

Cette nuit, vers 2 h du matin, un habitant de la rue Alfred Letailleur à Outreau a grièvement blessé sa femmme à coups de couteau et de fourche.
Retranché chez lui, il a mis le feu à son habitation avant d'être maîtrisé.
La victime, âgée de 33 ans, a été transportée à l'hôpital Duchenne. Son pronostic vital serait engagé.

http://www.lavoixdunord.fr/region/outreau-coup-de-folie-dans-la-nuit-un-homme-blesse-ia37b0n605893

Braquage au petit matin à Roulandou

Un cambriolage à main armée a été perpétré hier au petit matin au préjudice du magasin Utile de l'espace commercial de Roulandou. Il n'était pas tout à fait 7 heures, soit moins de demi-heure après l'ouverture de l'établissement, lorsqu'un individu encapuchonné et le visage dissimulé s'est présenté dans la supérette. Muni d'une arme de poing, le malfrat a intimé l'ordre à la gérante du commerce de lui remettre la caisse. Germaine Péduran, qui est à la tête du commerce depuis une dizaine d'années, s'est promptement exécutée. L'homme s'est saisi du fond de caisse (environ 400 €) puis s'est enfui, apparemment à pied. Selon des témoins, un complice, également encapuchonné, l'attendait à l'extérieur. Sans doute pour faire le guet.
L'auteur du braquage n'a apparemment fait usage d'aucunes violences à l'égard de Germaine Péduran. Après avoir été entendue par les services de police, celle-ci a tout de même consulté un médecin en raison du choc psychologique. Elle a ensuite pu regagner son domicile labruguiérois.
«Voilà 13 ans que je suis là, il n'y a jamais eu aucun souci», signale la buraliste voisine qui n'a rien vu des faits. «J'étais au fond de ma boutique», indique le boulanger qui ouvre le premier sur le secteur, à 6 heures. «Moi, cela fera bientôt 30 ans que je travaille ici, indique Régine, l'employée de l'Utile venue immédiatement soutenir Germaine. C'est une première. Ici, c'est un quartier tranquille. Nos clients sont nos amis… D'ailleurs, tous ceux qui ont trouvé portes closes entre 7 heures et 8 h 15, sont revenus prendre des nouvelles.» «Et dire qu'elle craignait pour sa sécurité en fin de journée… ça arrive aux aurores !», lâche l'un de ces clients.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/29/1409432-castres-braquage-au-petit-matin-a-roulandou.html
Deux personnes sont décédées cet après-midi dans une sortie de route survenue sur la RD 6113, peu avant 15 h, sur la commune de Villepinte.
Contre un platane

Le conducteur, âgé de 79 ans, a pour une raison encore inconnue perdu le contrôle de son véhicule et a fini sa course contre un platane. Un choc fatal pour le septuagénaire ainsi que pour sa passagère, âgée de 57 ans.
Les pompiers de Carcassonne, Castelnaudary, Alzonne et Bram, intervenus pour porter secours, n’ont pu que constater le décès des deux occupants du véhicule, seul en cause dans cet accident.

http://www.midilibre.fr/2012/07/28/dma-le-conducteur-et-sa-passagere-decedent-dans-une-sortie-de-route,540612.php

Une adolescente seule à vélo agressée dans le Doubs

Il était 8 h 30 environ, hier matin, lorsque les faits ont été commis, le long de la véloroute à hauteur de la commune de Saint-Vit, dans le Doubs.
Une adolescente de 16 ans se rendait à vélo à une activité estivale lorsqu’elle a été victime d’une agression sexuelle.
Alors qu’elle arrivait à proximité du Moulin du Pré, un homme a surgi et l’a arrêté avant de la violenter en se livrant sur elle à des attouchements poussés sous la menace d’une arme blanche, avant de s’enfuir.
La jeune victime a été secourue par un animateur de centre de loisirs à proximité des lieux qu’elle a alerté par téléphone.
Accourue sur place, la personne en question a secouru l’adolescente, traumatisée et les mains en sang pour s’être défendue et avoir tenté de dissuader son agresseur en saisissant la lame du couteau de cuisine dont il la menaçait.
Prise en charge par les secours, elle a été conduite d’urgence à l’institut médico-légal où les techniciens en investigations criminelles devaient effectuer sur elle les traces laissées par son agresseur.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Vit, chargés de l’enquête, vont être épaulés dans leurs recherches par la section des recherches de Besançon. Très choquée, la victime a, pour l’heure, seulement réussi à donner un signalement de son agresseur ainsi que du type de voiture à bord duquel il s’est enfui.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/07/28/une-adolescente-seule-a-velo-agressee-dans-le-doubs

samedi 28 juillet 2012

Le restaurant encaisse le repas payé d'avance mais refuse de le servir

Au-delà de cette limite, votre ticket n'est plus valide. La formule qui a fait flores dans les halls de gare a repris du service, jeudi soir, dans un restaurant toulousain. Vers 20 h 30, un couple, à qui un proche avait offert deux menus dégustation, payés d'avance en janvier 2102, s'est présenté dans l'établissement. Quelques jours plus tôt, la cliente avait pris soin de téléphoner pour réserver, puis de rappeler le soir même pour confirmer la réservation qu'elle avait été contrainte d'ajourner à deux reprises. D'abord parce qu'elle était enceinte et qu'elle souhaitait profiter pleinement du repas en buvant le vin prévu dans la formule. Ensuite, après la naissance du bébé, parce que l'établissement manquait de place le soir convenu pour accueillir le jeune couple avec sa poussette. Mais une fois dans la salle, surprise ! Les deux clients apprennent qu'ils ne peuvent pas dîner car ils ont dépassé le délai de validité de la réservation. «Une fois que j'ai vu cette invitation sur le programme, j'ai constaté qu'elle était périmée», confirme le maître d'hôtel. «Mais ce sont mes patrons qui ont pris la décision.» Contactés à leur tour, les patrons du restaurant, contestent avoir refusé l'accès de leur établissement au couple en raison de la poussette, mais affirment être totalement dans leur droit. Car «l'invitation était valable jusqu'au 23 mars, nous avons fait l'effort de la prolonger jusqu'en juin, après, on ne pouvait pas faire mieux». Explications de la restauratrice : «C'est comme un coffret cadeau, type Smartbox, il y a une date limite, au-delà de cette date il n'est plus valide.» Reste que le montant du repas, élevé, a lui bel et bien été encaissé, sans que ce dîner ne soit jamais livré. Un peu difficile à digérer.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/28/1408615-le-restaurant-encaisse-le-repas-paye-d-avance-mais-refuse-de-le-servir.html

La voiture part en tonneaux : trois blessés dont deux graves

Trois personnes de nationalité belge, un couple d'une quarantaine d'années et sa fille d'une dizaine d'années, ont été blessées lors d'un accident de la route hier vers midi sur la RD 951, au niveau du carrefour de Lachy.
Alors qu'ils circulaient en direction de Montmort-Lucy, leur véhicule aurait fait un écart pour éviter une voiture qui lui refusait la priorité, faisant ensuite plusieurs tonneaux. La jeune fille n'a été que légèrement blessée, tandis que ses parents, plus sérieusement atteints, ont été transportés par les pompiers au centre hospitalier d'Epernay. Aucun pronostic vital n'a été engagé.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Sézanne lancent un appel à témoin afin de retrouver le conducteur du véhicule impliqué, qui avait quitté les lieux à l'arrivée des secours.
Contact : 03.26.80.58.02.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/la-voiture-part-en-tonneaux-trois-blesses-dont-deux-graves

Ariège : une femme incarcérée pour meurtre

Une femme de 20 ans a été mise en examen pour assassinat et placée en détention pour le meurtre d'un jeune homme de Pamiers (Ariège), retrouvé mort près d'un petit village dans les Pyrénées, a-t-on appris samedi auprès du procureur de Toulouse.
La juge chargée de cette affaire a également mis en examen un jeune homme de 20 ans pour avoir tenté de faire disparaître le cadavre de la victime, dans une forêt située entre les villages de montagne de Vicdessos et de Goulier. Il a été laissé en liberté, sous contrôle judiciaire, a ajouté le procureur de Toulouse, Michel Valet.
Connu des services de police comme un petit délinquant de Pamiers, l'homme a été poignardé à mort, selon une source proche de l'enquête. Sa disparition avait été signalée le 23 mars par un membre de sa famille, chez qui il résidait. Le corps décharné et brûlé a été découvert le 11 mai par un promeneur, dans un sous-bois, dissimulé sous des branchages.

L'impatience d'une victime après une agression

«Je ne comprends pas pourquoi les enquêteurs ne vont pas plus vite. J'ai déjà déposé plainte deux fois. Ils attendent quoi pour réagir ?» Mounia, 23 ans, est en colère. Lundi dernier, dans la soirée, cinq individus ont débarqué chez elle, rue de la Colombette, à Toulouse. «Ils ont défoncé la porte de mon appartement et ils ont tout cassé à l'intérieur», raconte la jeune femme. Elle prend des coups, son compagnon également. Tous les deux finissent aux urgences de l'hôpital Purpan puis passent par le commissariat central déposer plainte.
«En juin, déjà, nous avons eu un problème avec un des agresseurs. Il nous a attirés dans un traquenard à Arnaud-Bernard. J'avais déposé plainte. Je croyais que c'était fini. Visiblement pas pour lui !» Selon la victime, au départ une histoire «entre filles», des mots «déplacés» expliquent ces incidents à répétition. «Là, c'est allé trop loin. Je ne peux pas accepter que mon appartement soit dévasté. Ils ont tout cassé, même le lavabo ! En fait, il ne supporte pas que je dépose plainte, que j'aille trouver la police.»
Depuis, Mounia ne le cache pas, elle «n'est pas tranquille». Elle a reçu des appels anonymes. «Je suis sûr que ce sont eux !» Au commissariat, on confirme la plainte. «Une enquête est en cours», précise la police toulousaine. Une enquête parmi d'autres, beaucoup d'autres.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/28/1408817-l-impatience-d-une-victime-apres-une-agression.html

Arbitres agressés : l’entraîneur condamné

Ce comportement de voyou ne fait que ternir l’image du Petit-Bard ! assène Carole Daux, la présidente du tribunal correctionnel, hier après-midi. Vous êtes l’élément déclencheur, à cause de vous ce match de foot a dégénéré".
Les trois arbitres ont été insultés et violentés

En face d’elle, Omar, 21 ans, encaisse comme il peut. Cet étudiant sans souci, est au cœur d’une navrante bagarre générale qui a éclaté le 2 juin dernier, à Frontignan-la-Peyrade, lors de la finale de la coupe de l’Hérault des moins de 17 ans, entre le Petit-Bard et l’AS Béziers III. Les trois arbitres ont été insultés et violentés par les joueurs et supporters Montpelliérains tout comme des joueurs Biterrois dont un a même eu la mâchoire fracturée.
Omar, seul majeur a être jugé, reconnaît en partie les faits. Jeune entraîneur du Petit-Bard, il a vu “rouge “lorsque son équipe, déjà menée 1-0, a encaissé un second but qu’il a estimé litigieux. Il a foncé vers l’arbitre qu’il a couvert d’insultes. Et tout a dégénéré.
"Ce jour-là, j’ai craqué"
Omar, l’entraîneur du Petit-Bard

"Une soixantaine de personnes ont envahi le terrain et les joueurs, les dirigeants, les supporters, tout le monde s’en est donné à cœur joie pour casser la figure à tout le monde" rappelle la présidente.
"Je me suis retrouvé sur le terrain pour contester le but, j’étais vraiment énervé, je me rappelle que c’était vif de ma part concède l’étudiant. Mais lorsque l’arbitre m’a expulsé, je suis sorti du terrain, je ne pouvais pas arrêter les voyous".
L’entraîneur du Petit-Bard conteste le plus grave : les coups portés sur deux des trois arbitres, qui l’ont formellement identifié.
"Je n'ai jamais porté de coups"
"Je n’ai jamais porté de coups, je ne suis pas un voyou répète le jeune homme. Ce jour-là j’ai craqué, j’ai manqué de recul, d’expérience, à la base je ne devais pas être entraîneur, juste l’adjoint, mais je n’ai frappé personne".
Ses explications n’ont pas convaincu le tribunal qui a suivi l’intégralité des réquisitions du parquet : 6 mois de prison avec sursis et interdiction pendant trois ans d’exercer comme entraîneur auprès des mineurs.
Car pour le vice-procureur Nicolas Brignol, "celui qui était là pour encadrer, pour donner l’exemple a failli, les règles de vie du foot ont été bafouées, il faut une peine d’avertissement sévère".
En défense, le bâtonnier Martin rappelle le sérieux de son client qui veut devenir professeur des écoles : "un dérapage d’un jour ne doit hypothéquer son avenir". Tout en défendant le quartier du Petit-Bard, dont il est le conseiller général : "je ne peux accepter cette opprobre jetée contre l’équipe et contre le quartier ! L’équipe senior a aussi perdu la finale de la coupe de l’Hérault et il n’y a eu aucun problème".

http://www.midilibre.fr/2012/07/27/arbitres-agresses-l-entraineur-condamne,540208.php

Bassillac (24) : L'engin explosif était un mortier d'exercice

Ce n'était finalement qu'un projectile de mortier d'exercice vide. Mais les démineurs, qui sont intervenus hier dans l'Isle, près du château de Rognac à Bassillac, prennent toujours ce genre d'interventions très au sérieux.
Mercredi après-midi, alors qu'ils faisaient du canoë, des enfants ont découvert cet engin explosif près des berges, juste après l'ancien moulin. La mairie avait alors interdit la baignade sur le site et défini un périmètre de sécurité en attendant la venue des démineurs bordelais.

Des habitués assez surpris
« D'après les photos que nous avaient envoyées les gendarmes, l'engin ne risquait pas d'être très dangereux », explique l'un des deux spécialistes. Raison pour laquelle ils ne sont pas venus le jour même.
Les habitués de Rognac, eux, sont un peu plus surpris de cette trouvaille. À l'image de Renaud, qui venait profiter de la chaleur d'hier pour se baigner dans l'Isle, avec un ami. « Je viens ici depuis que je suis gamin et j'ai passé des heures à gratter et à retourner les cailloux », raconte l'homme de 28 ans. Ses rares trouvailles se sont limitées à des pièces anciennes et à de vieilles balles de fusil. « Je suis assez surpris qu'on retrouve ça ici… »
Comment le projectile est-il arrivé à cet endroit ? Impossible de savoir. Mais les spécialistes sont régulièrement appelés pour récupérer ce genre d'objets qui servent lors des entraînements de tir. « Beaucoup de gens qui font l'armée gardent quelques spécimens en souvenir. Après un temps, ils s'en débarrassent. » Une attitude à prohiber. Si des particuliers retrouvent des engins de la sorte sur leur propriété, ils doivent prévenir la gendarmerie ou la police. Les démineurs interviennent alors gratuitement, sur demande de la préfecture.

http://www.sudouest.fr/2012/07/27/l-engin-explosif-etait-un-mortier-d-exercice-780282-2208.php

vendredi 27 juillet 2012

Disparition lors d'une baignade

Un homme de 25 ans a disparu cet après-midi alors qu'il se baignait avec des amis dans une retenue d'eau sur la Baïse, dans la commune de Moncrabeau (Lot-et-Garonne), a-t-on appris auprès des gendarmes et des pompiers qui privilégient la thèse de la noyade.

"Un groupe de jeunes a décidé de se baigner dans la Baïse, à proximité d'un petit barrage. Lorsqu'ils sont ressortis de l'eau, ils se sont aperçus qu'il en manquait un", ont indiqué les gendarmes.

Le jeune homme serait épileptique selon la même source.

Des plongeurs des services de pompiers et des gendarmes étaient sur place pour engager les recherches.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/27/97001-20120727FILWWW00667-disparition-lors-d-une-baignade.php

Victime d'un malaise, le jeune homme est retrouvé sans vie sur la plage

C’est aux alentours de 16 heures, hier, que des promeneurs de la plage des Coussoules à La Franqui sont intrigués en voyant un chien tourner autour d’une masse. En se rapprochant, ils découvrent le corps inanimé d’un jeune homme.
Immédiatement alertés les pompiers, situés à quelques mètres dans leur poste de secours, tentent sur place un massage cardiaque pour lui faire retrouver connaissance. Durant une heure. En vain. Malgré les efforts des secouristes, le jeune homme n’est pas revenu à la vie.

Le malheureux aurait été victime d’un malaise en courant et en jouant avec son chien sur le sable. Allongé sur la plage, il n’a pas éveillé les soupçons des autres personnes présentes sur cette zone du littoral.

http://www.midilibre.fr/2012/07/27/un-corps-sans-vie-decouvert-sur-la-plage,540094.php

Agression d’un restaurateur à Lyon Saint-Jean : deux hommes mis en examen

Deux des six individus qui étaient impliqués dans l’agression d’un restaurateur de la place du Change, à Saint-Jean, - et de ses serveurs - ont été présentés au parquet mercredi et mis en examen pour coups et blessures en réunion. Ils ont été laissés libres. Une information judiciaire a été ouverte.
Les faits remontent à la nuit du 8 au 9 juin dernier. Le ton était monté entre le terrassier de « Chez Louise » et « La Grange », deux bouchons lyonnais, et un groupe de jeunes dont l’un venait d’uriner sur des plantes. Des insultes racistes avaient même fusé avant que les jeunes ne reviennent en nombre, certains armés de barres de fer, pour casser le mobilier. Le restaurateur et deux de ses salariés qui avaient tenté de s’interposer avaient été frappés et blessés au point d’écoper respectivement de 10, 5 et 15 jours d’ITT.
Au terme de six semaines d’enquête, les policiers sont parvenus à identifier deux des agresseurs âgés de 23 ans, qui évoluaient en marge du milieu identitaire.
L’enquête se poursuit sur commission rogatoire.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/07/27/agression-d-un-restaurateur-a-lyon-saint-jean-deux-hommes-mis-en-examen

Deux cyclistes blessés au même endroit sur la route

Christian Loubeau, 66 ans, circulait mercredi, en fin de matinée, route de Teillet à Albi lorsqu'il a chuté. Avec de terribles conséquences puisqu'hier soir, l'état de santé du sexagénaire, hospitalisé à la clinique des Cèdres de Cornebarrieu, près de Toulouse, était considéré comme désespéré. Rebondissement hier, dans l'enquête ouverte par le commissariat d'Albi : les fonctionnaires de la brigade accidents ont eu connaissance d'un deuxième cycliste blessé qui serait tombé exactement au même endroit que M. Loubeau et au même moment. Si la police n'avait pas fait mention d'emblée de cette seconde victime, c'est que cet Albigeois, examiné sur place par les pompiers, ne semblait souffrir de rien de sérieux. Il avait d'ailleurs regagné son domicile. Mais, dans la soirée, se plaignant des cervicales, il s'est rendu de lui-même à l'hôpital d'Albi. Une suspicion de fracture étant décelée, on l'a envoyé à la clinique de l'Union. Le diagnostic est tombé : crête de vertèbre cassée.
Il semble que les deux cyclistes, qui se connaissaient, se suivaient dans cette descente de la route de Teillet. L'accident s'est produit dans une portion en travaux de la RD 81. Un chantier réglementé par des feux alternés, avec un revêtement provisoire (mais en bon état semble-t-il). Seul problème, mais qui pourrait être le cœur de l'affaire : la présence d'une bouche d'égout en surélévation de la chaussée. C'est contre cette bouche que les roues des deux vélos auraient buté, selon des témoins. Y a-t-il eu un défaut de signalisation ? Les cyclistes roulaient-ils trop vite sur cette route en travaux ? C'est à ces questions, notamment, que l'enquête devra répondre.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/27/1408034-albi-deux-cyclistes-blesses-au-meme-endroit-sur-la-route.html

Orchies: des salariés menacent d'incendie

Les salariés d'un site de stockage de produits chimiques d'Orchies (Nord), placé lundi en liquidation judiciaire et dont les 53 salariés vont être licenciés, menaçaient aujourd'hui de mettre le feu à des produits dangereux, a constaté un journaliste de l'AFP.

Ces salariés de MGF Logistique, dont le siège est à Clichy, Hauts-de-Seine, du groupe G7, exigent des négociations sur des indemnités supra-légales ou leur reclassement. Ils occupent le site depuis le début de la semaine.

Des négociations avec la direction, par l'intermédiaire de la direction départementale du travail, ont débuté dans l'après-midi et se poursuivaient dans la soirée. Elles concernent l'octroi de primes extra-légales et la reprise de certains salariés par un prestataire, selon Sébastien Béhague, délégué CGT.

Le site, qui stocke notamment des produits d'entretien et des peintures pour automobile, est classé "Seveso bas".

A titre d'avertissement, les salariés ont fait brûler plusieurs palettes de produits d'entretien pour automobile face aux quais de déchargement du site où ils ont également disposé une palette de quatre fûts de 200 litres de produit inflammable. Selon les salariés, il y aurait 7000 palettes de produits dangereux sur le site.

Sur le toit de l'entreprise, une poignée de salariés menaçaient de faire brûler des bidons de produits chimiques. "(Nicolas) Rousselet (PDG du groupe G7), viens négocier où on fait tout brûler", a clamé l'un d'eux.

MGF comprend sept sites en France, mais celui d'Orchies a été filialisé le 1er avril, placé en redressement judiciaire le 4 juillet puis liquidé sans attendre la date du 13 août fixée pour le dépôt d'offres de reprise car les salaires ne pouvaient plus être versés, selon M. Béhague.

"On demande à partir la tête haute", a-t-il souligné. Selon ce syndicaliste, la direction a quitté les lieux et le liquidateur judiciaire a demandé aux salariés de faire de même. Un autre site nordiste de la société, à Anzin, serait également en redressement judiciaire

"Des salariés sont pratiquement au bord du suicide. Certains ont des crédits à la consommation, certains ont acheté une maison avec un crédit sur 30 ans qu'est-ce qu'ils vont faire?" s'interrogeait un des salariés, Kadda Boukhari.

"C'est en train de dégénérer", a affirmé un autre salarié, évoquant le "ras-le-bol" des employés, qui veulent "prendre des décisions radicales". "S'il faut en arriver là et tout faire péter, ils vont le faire", a-t-il averti.

L'avocate du comité d'entreprise, Me Anne Duriez, a affirmé "comprendre la colère et le désespoir des salariés car on s'est moqué d'eux". Elle a invoqué une "filialisation frauduleuse qui a permis à MGF Logistique de se désintéresser des salariés (..) après avoir promis qu'il n'y aurait pas d'incidence sur l'emploi. Cet abandon des salariés est doublement choquant car le groupe le fait payer par la collectivité", a-t-elle poursuivi, demandant que le groupe "dédommage les salariés pour ce qu'il leur a fait".

Le directeur général adjoint de MGF Logistique Allan Underwood a rappelé que le CE d'Orchies avait été débouté par la justice de toutes ses démarches contre la filialisation, intervenue tardivement sur ce site du fait de troubles sociaux.

Selon lui, le groupe a investi à Orchies 15 millions d'euros ces cinq dernières années mais le site perdait 100.000 euros par mois du fait du retrait de certains clients. Selon lui, les troubles sociaux découragent les repreneurs potentiels.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/07/26/97002-20120726FILWWW00694-orchies-des-salaries-menacent-d-incendie.php

Pessac (33) : un mari trompé met le feu à son rival, athlète de haut niveau

Il a fallu plus de cinq heures dans la nuit de lundi à mardi au juge d'instruction en charge de l'affaire pour reconstituer, dans le moindre détail, ce qui s'est passé le soir du 17 septembre 2011, rue Guittard, à Pessac. El Hassan El Ouakkali, 37 ans, en détention provisoire depuis les faits au centre pénitentiaire de Gradignan, a dû refaire les terribles gestes qui auraient pu conduire à la mort de Bertrand Valcin, un athlète de haut niveau, figure du décathlon français, soupçonné d'avoir eu une liaison avec son épouse Loubna, ancienne championne de marche.
El Hassan El Ouakkali avait reçu les confidences de son épouse et voulait absolument rencontrer son rival pour avoir une explication. Alors, il a profité de la présence de Bertrand Valcin au Décastar de Talence, ce week-end de septembre, pour lui téléphoner. Le champion a d'abord refusé de se rendre à Pessac. Puis il a reçu un SMS le samedi soir et a finalement accepté « l'invitation ». Ses amis, Jean-Yves Cochand, entraîneur national, et le décathlonien Romain Barras ont tenté de l'en dissuader. En vain. Ils l'ont néanmoins accompagné et ont attendu dans la voiture, à l'extérieur.

Il est un peu plus de 21 heures, le 17 septembre 2011, quand Bertrand Valcin franchit le portail, à l'arrière du domicile de la famille El Ouakkali. Les enfants, très jeunes, sont à l'étage. El Hassan El Ouakkali est dans le jardin. Il fait asseoir son rival et appelle son épouse.
Le mari veut comprendre pourquoi il a été trompé. Quelques mots sont échangés mais, très vite, El Hassan El Ouakkali s'énerve et, se sentant humilié, se lève et frappe Loubna avant d'asséner un coup de poing à Bertrand Valcin qui tombe au sol. C'est alors que le mari, furieux, saisit un bidon qui se trouve à proximité et asperge de l'essence en direction de sa femme et de l'athlète. Il craque une allumette. Le feu prend sur des objets au sol et se propage sur Loubna et sur Bertrand Valcin. El Hassan tente d'étouffer les flammes sur les vêtements de son épouse, grièvement brûlée en plusieurs endroits. Bertrand Valcin est une torche vivante, brûlé au 3e degré sur près de la moitié du corps, il sort dans la rue sous les yeux de Jean-Yves Cochand et de Romain Barras qui ont entendu des cris.
L'agresseur, toujours menaçant, est à ses trousses et brandit deux couteaux. Il sera interpellé par la police quelques minutes plus tard.
Le courage des victimes
Lundi soir, les victimes ont eu le courage de tenir leur rôle lors de la reconstitution judiciaire qui s'est déroulée sous la direction de la juge d'instruction, en présence de la vice-procureur Sophie L'Angevin. Bertrand Valcin, assisté de ses avocats Mes Benoît Ducos-Ader et Audrey Teani et Loubna El Ouakkali, défendue par Mes Daoud et Boutron-Marmion, du barreau de Paris, ont fait preuve d'une grande force de caractère. Témoins, médecin légiste, expert en incendie étaient également présents aux côtés des policiers de la brigade des violences de la Sûreté départementale ayant mené les investigations sur cette enquête.
El Hassan El Ouakkali aurait tendu un guet-apens simplement pour « faire peur » à son rival. Il l'aurait aspergé au cours de la bousculade. Ses avocats, Mes Maud Secheresse, Janaïna Leymarie, Alain Garray et Jean-Marc Florand vont devoir démontrer qu'il n'y a pas eu préméditation.
Le suspect, qui bénéficie toujours de la présomption d'innocence, est mis en examen pour tentative d'assassinat. Il est passible de la cour d'assises.

http://www.sudouest.fr/2012/07/26/il-met-le-feu-a-son-rival-779502-3034.php

jeudi 26 juillet 2012

Une bijouterie braquée à Créteil

Peu après 10 h 30, ce jeudi matin, deux hommes ont fait irruption dans une bijouterie de l’avenue du Maréchal- à Créteil. Sous la menace d’une arme de poing, ils ont tenu en respect les personnes présentes tout en assénant un coup au gérant avant d’éventrer une première vitrine puis une seconde. Ils se sont emparés des bijoux qu’elles contenaient, pour un préjudice avoisinant les 10 000 € avant de prendre la fuite en scooter. L’enquête a été confiée au service départemental de la police judiciaire.

http://www.leparisien.fr/creteil-94000/une-bijouterie-braquee-a-creteil-26-07-2012-2103174.php

Fêtes de Bayonne : dix personnes interpellées et un décès

Deux personnes ont été interpellées pour des violences avec arme (bouteille et arme blanche). On note aussi une affaire de stupéfiants, et des dégradations sur les biens publics ou privés. 624 contrôles alcoolémie ont été effectués en périphérie des Fêtes par la gendarmerie nationale, et 23 personnes contrôlées positives.
266 personnes ont été accueillies dans les centres de secours situés en différents sites (postes temporaires en ville, urgences de l'hôpital, cliniques).

L'ébriété (96 cas), et les incidents de traumatologie (122 patients) constituent l'essentiel des causes de secours administrés.
Un décès est à déplorer : un homme de 43 ans, origine de Lesperon (Landes) victime d'un malaise cardiaque à 6h30 alors qu'il regagnait son véhicule en compagnie de ses deux enfants.
L'enquête est en cours. Mais le décès serait d'origine purement médicale. Les pompiers ont effectué 41 interventions dans le périmètre des Fêtes, dont six interventions nautique pour des personnes tombées à l'eau (Nive).

 http://www.sudouest.fr/2012/07/26/fetes-de-bayonne-dix-personnes-interpellees-et-un-deces-779961-4018.php

Ain : un jeune homme meurt dans son pavillon en flammes

L' d'un pavillon dans l'Ain dans la nuit de mercredi à jeudi a fait un , un jeune homme de 20 ans qui était sorti de l'habitation en feu avant d'y retourner. Il aurait eu l'intention vraisemblablement d'y rechercher des affaires, a-t-on appris auprès des pompiers et de la gendarmerie.
0h30, son père, réveillé par le bruit provoqué par l'incendie qui gagnait son
à Sergy, a mis à l'abri à l'extérieur sa femme et son fils. Lui-même est rentré dans le pavillon afin d'en extraire du mobilier. Peu après, il s'est aperçu que son fils, qui souffrirait de problèmes mentaux, avait disparu. Il était lui aussi retourné dans l'habitation, où il a péri dans les flammes.

Une enquête de gendarmerie a été ouverte sur cet incendie dont l'origine est indéterminée. Le pavillon a été ravagé.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/ain-un-jeune-homme-meurt-dans-son-pavillon-en-flammes-26-07-2012-2102855.php

Nantes. Des policiers violemment agressés par un enfant de 8 ans

Deux policiers nantais ont été agressés lors d’une simple intervention dans le cadre d’un conflit de voisinage, ce mercredi après-midi. Le plus surprenant dans cette affaire reste l’âge de l’agresseur en question : un enfant de seulement 8 ans !
Tout commence alors que les policiers viennent de frapper à la porte d’un appartement après avoir été alertés par des voisins. La mère de famille sort sur le palier de son domicile pour s’entretenir avec les forces de l’ordre et c’est à ce moment-là que son fils de 8 ans surgit et asperge l’un des policiers de gaz lacrymogène. Il ne va pas s’arrêter là puisqu’il frappe ensuite le fonctionnaire à coups de marteau. Résultat : un doigt cassé et 10 jours d’interruption de travail pour le policier.
La mère ne serait pas intervenue lors de cette attaque. Emmenée au poste pour y être entendue avec son fils, la petite famille a regagné son domicile dans la soirée. Vu son âge précoce, l’enfant ne pourra pas être reconnu pénalement responsable de ses actes. Après vérifications, les policiers ont constaté que le père était connu pour des faits de violence.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/26/1407765-nantes-des-policiers-violemment-agresses-par-un-enfant-de-8-ans.html

Un accident mortel près de Villeneuve-lès-Maguelone perturbe le trafic SNCF

D’importants retards ont eu lieu en fin d'après-midi sur le trafic SNCF, à cause d’un accident survenu sur les voies vers 19 h 30 entre Sète et Montpellier.
Une femme percutée par un TGV

Une femme a trouvé la mort vers 19 h 20 en étant percutée par un TGV entre Villeneuve-lès-Maguelone et Mireval, dans des circonstances que les gendarmes, qui viennent d’arriver sur place, vont s’efforcer de déterminer. Il pourrait s'agir d'un suicide.
Les voies SNCF ont été coupées dans les deux sens occasionnant des retards d’environ deux heures.
Deux trains immobilisés
Deux trains ont été immobilisés en pleine voie : un TER dont les voyageurs sont pris en charge afin d’être ramenés vers Montpellier, et le TGV 5314, parti de Toulouse et à destination de Lyon. Selon la SNCF, la climatisation y fonctionnait correctement, et le bar est resté ouvert.
Quatre autres trains ont été retenus dans différentes gares de cette ligne.
Le trafic a repris normalement vers 21 h.

http://www.midilibre.fr/2012/07/25/dma-importants-retards-pour-les-tgv-apres-un-accident-mortel-a-mireval,539238.php

Expédition punitive / Deux majeurs condamnés à un an de prison

Les faits se sont déroulés le 19 juillet à Rethel. Quatre individus, deux mineurs et deux majeurs, se sont rendus au domicile d'un homme pour « lui demander des explications sur une affaire de stupéfiants ». C'est ce qu'ont déclaré hier après-midi, les majeurs à la barre du tribunal correctionnel de Charleville-Mézières.
Arrivés devant la maison, trouvant porte close, les quatre individus ont entrepris de la défoncer la porte à coups de pied. « Dès qu'ils sont rentrés, ils se sont mis à me frapper » a déclaré la victime qui a été blessée au visage et à la jambe gauche. Le médecin lui a délivré trois jours d'ITT.
La victime, également connue des services de police pour trafic de drogue, a porté plainte. Comme il avait reconnu ses agresseurs, ils ont été rapidement interpellés et placés en garde à vue.
Hier, les deux mineurs ont été présentés devant le juge des enfants qui les a mis en examen.
Les majeurs Kévin H., et Maxime P., tous les deux âgés de 20 ans, ont été présentés devant le tribunal correctionnel en procédure de comparution immédiate pour violence commise en réunion, violation de domicile à l'aide de menaces en réunion.
Le passé judiciaire des deux prévenus n'a pas joué en leur faveur. Déjà condamné plusieurs fois par le tribunal pour enfants pour des faits de stupéfiants, l'un d'eux avait même été jugé, il y a quelques mois, après avoir été interpellé en possession de 770 grammes d'héroïne.

Mandat de dépôt à l'audience
Les prévenus ont confié aux magistrats qu'ils voulaient avoir des explications car la victime avait proposé aux deux mineurs de leur vendre de la drogue. « Les choses ont mal tourné. On n'avait pas envie d'arriver jusque-là. On n'a rien contrôlé » a lancé l'un des jeunes hommes en réponse à la question de la présidente Jennyfer Picoury. « Quand on est grand on assume comme un grand. C'est inadmissible ce qui s'est passé. Vous n'êtes ni policier ni gendarme, vous ne devez pas faire justice vous-mêmes » a rétorqué la juge.
La substitut du procureur a enfoncé le clou dans son réquisitoire : « Ce sont des faits qui ont été réalisés en réunion. Ils ont mené une expédition punitive. C'est un guet-apens. En plus, ils ont été avertis plusieurs fois ! »
Me Patrick Manil qui assurait la défense a été choqué par le réquisitoire au cours duquel le parquet a réclamé un mandat de dépôt pour l'un de ses clients. « On n'est pas dans le monde des bisounours. Ils n'ont pas eu la chance d'avoir une bonne scolarité, des parents exemplaires. Ces garçons sont livrés à eux-mêmes et ils n'ont pas toutes les cartes en main. C'est une histoire d'une médiocrité incroyable. Ce sont des jeunes majeurs immatures. En plus, celui pour qui le parquet réclame le mandat de dépôt travaille depuis un certain temps… On n'a pas le droit de l'empêcher de saisir sa chance. »
Les juges ont condamné Kévin H. a 1 an de prison dont 6 mois de sursis mis à l'épreuve. Son comparse, Maxime P. est condamné à 1 an de prison dont 5 mois de sursis mis à l'épreuve.
Le mandat de dépôt à l'audience a été ordonné et il dort donc depuis hier soir à la prison de Charleville-Mézières.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/expedition-punitive-deux-majeurs-condamnes-a-un-an-de-prison

mercredi 25 juillet 2012

LUCHY (60) Quatre personnes tuées sur la route

Un accident de la circulation impliquant un véhicule léger et un utilitaire s'est produit ce mercredi vers 14h30 sur la RD149, au niveau de la commune de Luchy, entre Beauvais et Crèvecoeur-le-Grand. Quatre personnes ont perdu la vie.

Une Clio, venant de Crèvecoeur-le-Grand, s'est déportée et est venue percuter de plein fouet une camionnette. Trois personnes, originaires du canton de Crèvecoeur-le-Grand, étaient à bord de la Clio. Le conducteur de la camionnette, originaire d'Allone, circulait seul à bord.

Le choc frontal a engendré un très violent incendie. Les quatre passagers ont été tués.

Aucun témoin

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour tenter d'éclaircir les circonstances de l'accident qui sont pour l'heure inconnues. Aucun témoin n'a assisté au choc.

Le Préfet de l'Oise, Nicolas Desforges, s'est immédiatement rendu sur les lieux. Il exprime son émotion devant ce nouveau drame de la route et sa compassion à l'égard des familles, indique la préfecture.

La circulation a été coupée sur la départementale dans les deux sens et une déviation a été mise en place.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Quatre-personnes-tuees-sur-la-route

Le couple de voleurs arrêté après une course-poursuite

Mardi au petit matin, un homme et une femme ont été interpellés après un vol. Le conducteur était recherché.

EN matière de vol dans les véhicules, la tendance est plutôt à la hausse. Les deux arrestations réalisées par les gendarmes sud-axonais tombent donc à point nommé. Hier matin, un homme d'une trentaine d'années et une quadragénaire ont été rattrapés quelques heures après leur forfait.
Leurs méfaits ont eu lieu entre 2 heures du matin et 2 h 30, dans la nuit de lundi à mardi. Le couple s'en prend à une voiture stationnée route de Mont-Saint-Père à Beuvardes. Le véhicule se trouve à proximité du domicile de ses propriétaires. C'est apparemment un GPS, et d'autres objets divers que les voleurs convoitent lorsqu'il force la berline.
Le fracas provoqué par le tandem alerte les habitations proches. Les forces de l'ordre sont averties des faits. Une petite voiture rouge est signalée en fuite. Les gendarmes, notamment ceux du peloton de surveillance et d'intervention, patrouillent dans le canton de Fère-en-Tardenois à la recherche des fuyards.

Évadé de la prison de Laon
Entre trois et quatre heures du matin, les recherches paient. Mais les voleurs ne se rendent pas comme ça. À la vue des uniformes bleus, le chauffeur appuie sur le champignon. Une poursuite s'engage. Les malfaiteurs devancent les forces de l'ordre de Beuvardes à Château-Thierry. Dans la Cité des Fables, ils font demi-tour, pour repartir en direction de Beuvardes. Cependant lors de l'arrivée dans le village, le conducteur perd le contrôle, et le véhicule s'immobilise.
Les militaires ne tardent pas à interpeller le couple. Les biens dérobés deux heures auparavant sont retrouvés dans leur véhicule. L'homme, qui a habité à Beuvardes mais n'y réside plus, et la femme, domiciliée à Nogent-l'Artaud, sont placés en garde à vue. « Cerise » sur le gâteau : le trentenaire est en « cavale ». Après une liberté conditionnelle accordée en début d'année, il n'a pas regagné la maison d'arrêt de Laon, pour terminer de purger une peine de prison.
Le couple fera l'objet de poursuites pénales. L'homme et la femme devraient être présentés à un magistrat du Parquet de Soissons aujourd'hui pour en connaître la nature.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-couple-de-voleurs-arrete-apres-une-course-poursuite

Motard meusien tué dans un accident : une conductrice condamnée

Deux mois de prison avec sursis. En rendant son délibéré ce mardi, le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc a ainsi reconnu la culpabilité d’une conductrice, âgée de 38 ans au moment des faits, impliquée dans un dramatique accident de la circulation qui a coûté la vie, le 7 février 2011 dans l’agglomération de Velaines, à un motard expérimenté de la brigade motorisée (BMO) de Bar-le-Duc, le gendarme Laurent, 46 ans.
La terrible collision s’était produite sur la RN135, à la sortie de la localité de Velaines, à hauteur de l’enseigne Lidl. Le gendarme Laurent se trouvait en poste au rond-point de Ligny-en-Barrois, en contrebas de la RN4, lorsqu’il a décidé de s’élancer à la poursuite d’un automobiliste qui a fait mine de se garer dans le cadre d’un contrôle routier, avant de prendre la tangente en direction de Tronville. Le motard a alors mis les gaz sur une portion de route pourtant limitée à 70 km/h. Sans prendre le soin, selon plusieurs témoignages, de mettre son gyrophare ou son avertisseur sonore en action.
En sens inverse arrivait la conductrice qui avait mis son clignotant pour tourner sur sa gauche et ainsi rejoindre le supermarché. À la barre, elle a martelé n’avoir pas vu la moto sur sa droite. Ordonnée par le procureur, une expertise automobile a révélé que le motard roulait « à une vitesse excessive, comprise entre 97 km/h et 107 km/h ». N’excluant toutefois pas une « possible sous-évaluation des risques de la manœuvre de la conductrice », une mère de famille de cinq enfants, vendeuse de matériel médical.
Poursuivie pour « homicide involontaire », cette dernière a toujours estimé « avoir respecté le code de la route ».

http://www.estrepublicain.fr/justice/2012/07/24/la-conductrice-jugee-coupable

Contresens sur l'A7 à Vitrolles : deux morts

Deux hommes d'une trentaine d'années sont décédés mercredi matin vers 3h30 dans une collision entre leur voiture, une et un camion, sur l'autoroute A7 à hauteur de Vitrolles (Bouches-du-Rhône), alors qu'ils circulaient à contresens. Selon le quotidien La Provence, le chauffeur du camion, «blessé et choqué, a été transporté vers le centre hospitalier d'Aix-en-Provence». Selon La Provence, l'A7 a été fermée une bonne partie de la nuit, l'opération de désincarcération, des deux victimes quiseraient originaires de la Somme, ayant été particulièrement délicate.

Il y a un an,
quatre personnes avaient trouvé la mort à une quinzaine de kilomètres de là, également sur l'autoroute A7. Une conductrice de 25 ans, sous l'emprise de l'alcool après une soirée arrosée en discothèque, avait emprunté l'autoroute à contresens tuant trois personnes d'une même famille, qui rentraient de vacances, et perdant elle-même la vie dans l'accident

http://www.leparisien.fr/marseille-13000/contresens-sur-l-a7-a-vitrolles-deux-morts-25-07-2012-2101632.php

Prison pour le dealer, mais polémique avec la police

Dans le cadre de la procédure de comparution immédiate, Nicolas Arnaud était présenté au tribunal pour répondre de trafic de stupéfiants, ce lundi. Le 21 juillet, à 22 h 30, les policiers de la BAC remarquent le manège suspect de deux individus, rue Brauhauban. Ils voient l'un (Nicolas Arnaud) remettre quelque chose à l'autre (Benoît Cisneros) et le second tendre au premier 50€. Les deux sont interpellés : Nicolas a encore en main les 50 € et Benoît a juste rangé dans sa poche une barrette de 9 g de cannabis. «Je sais, j'ai pris une mauvaise décision, plaide Nicolas Arnaud. Je travaille comme un fou pour ma famille, je suis exténué et j'ai dû m'arrêter. Alors, comme il n'avait plus d'argent, j'ai pensé revendre un peu, pour renflouer, mais c'est tout. Et après, c'était fini, j'arrête tout.» Le problème, c'est qu'Arnaud est en état de récidive légale et son casier ne plaide pas en sa faveur, au contraire : pas moins de 17 mentions. Ce soir-là, il avoue spontanément aux policiers qu'il a de la «marchandise» en stock, dans une boîte en plastique. Et c'est là que la polémique va éclater. Les policiers affirment avoir trouvé la boîte dans le hall de l'immeuble, planquée sous des chiffons. Mais Arnaud conteste : «Ils m'ont mis la pression. Ils m'ont dit que si je ne disais pas qu'ils l'avaient trouvée là, je partais direct au trou et ma femme, enceinte de cinq mois, allait accoucher elle aussi en prison. Eux, ils sont assermentés, pas nous. Alors, c'est eux qu'on croit. Mais moi, je dis la vérité». Arnaud, sa compagne et une amie présente ce soir-là affirment tous les trois que les policiers sont entrées au domicile : «Sans aucune autorisation et en dehors des horaires légaux», tonne la jeune avocate de la défense, Me Coarraze, qui pique une véritable colère face à l'insinuation policière qui évoque qu'elle aurait pu être à l'origine de l'idée d'entrée au domicile. Mais entrée ou pas, vice de procédure ou pas, cela ne change pas grand-chose au résultat, Nicolas Arnaud est reconnu coupable de trafic mais échappe à la peine plancher : 1 an ferme, révocation des deux sursis de 3 mois chacun, mandat de dépôt à l'audience. 2 mois de sursis simple pour Cisneros.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/25/1406862-prison-pour-le-dealer-mais-polemique-avec-la-police.html

Carcassonne. Un patient de l'hôpital psychiatrique ivre au volant

Lundi, à 3 h 30, les policiers carcassonnaisse rendent sur les lieux d'un accident de la circulation, chemin de la Madeleine. Au volant de la voiture amochée, appartenant à la Communauté de communes de la Malepère, un homme éméché et sans permis. Aux urgences, on s'aperçoit rapidement que cet homme de 44 ans, de Lasserre-de-Prouille, est un patient de la clinique psychiatrique de Montredon manquant à l'appel après sa journée de permission de sortie. L'homme a été immédiatement admis aux urgences psychiatriques de l'hôpital.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/24/1406296-carcassonne-un-patient-de-l-hopital-psychiatrique-ivre-au-volant.html

Six mois ferme pour avoir mordu le nez de son beau-frère

Lucas ne se souvient plus de tout le déroulement de cette soirée du 9 juin dernier, dans le camp des gens du voyage d'Os-Marsillon. Car en plus des lourds traitements médicamenteux qu'il prend, cet homme de 42 ans avait bu beaucoup de verres de whisky, en compagnie de son père, son frère et son beau-frère, avec lequel une dispute a éclaté.
« Pour une histoire de famille » glisse-t-il à la présidente du tribunal correctionnel.

Mais alors que les témoins présents pensaient que les bagarreurs allaient se réconcilier en s'embrassant, Lucas a soudainement mordu le nez de son beau-frère. « Un passage à l'acte atypique et violent » pour la substitut du procureur de la République que le prévenu, en détention depuis, reconnaît.
En revanche il conteste avoir abîmé deux caravanes du camp de Mourenx dans lequel il s'était rendu au volant d'un camion pour lequel il ne disposait plus du permis de conduire. En voulant foncer sur son beau-frère qui l'avait esquivé, il avait esquinté les deux caravanes.
« Les faits dépassent le cadre du conflit familial » gronde le ministère public qui requiert la peine plancher à l'encontre de cet homme qui compte 18 condamnations sur son casier : un an dont six mois avec sursis et maintien en détention.
« Haine entre deux clans »
« Il y a peu d'affaires de violences dans son casier » rétorque Me Henri Moura, son avocat, qui estime que son client est habituellement « quelqu'un de très gentil ». Il met cette montée de violence sur le compte d'« une vieille haine tenace entre deux clans » avant d'assurer que sa femme vient de « déménager dans le Tarn pour le sortir de ce contexte ».
Le tribunal a finalement suivi à la lettre les réquisitions du substitut du procureur.

http://www.sudouest.fr/2012/07/24/six-mois-de-prison-ferme-777299-4310.php

mardi 24 juillet 2012

Lyon : le casse à la voiture-bélier se termine en fuite de gaz

Il était 12h50, ce mardi, dans une artère proche de l’avenue Jean-Mermoz lorsque le conducteur d’une Peugeot 406 est victime d’un car-jacking. Quelques instants plus tard, le malfaiteur se retrouve au volant du véhicule devant l’agence de la Caisse d’Epargne à l’angle des rues Desparmet et du Professeur Murat.
Il enclenche la marche arrière pour tenter de fracturer le distributeur automatique de l’agence bancaire. Il emboutit le mur sans pour autant le faire céder mais endommage au passage un boitier d’arrivée de gaz, provoquant une fuite dans le quartier.
L’homme a alors abandonné la voiture et pris la fuite sur une moto pilotée par un complice.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/07/24/lyon-le-casse-a-la-voiture-belier-se-termine-en-fuite-de-gaz

Après la mort du trentenaire le suspect remis en liberté

Fabrice Dufeu, 28 ans, a été tué après qu'on a tenté de voler son quad en 2010 à Villers-sur-Coudun. Johann Gillot, 26 ans, clame son innocence.

Après un an et demi de détention provisoire, Johann Gillot, 26 ans, est sorti de la maison d'arrêt de Liancourt vendredi. La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Amiens a décidé de le placer sous contrôle judiciaire, avec assignation à résidence. Depuis son interpellation après la mort violente de Fabrice Dufeu, 28 ans, dans la nuit du 24 décembre2010 à Villers-sous-Coudun, Gillot clame son innocence. Et plus l'enquête avance, plus les éléments qui l'innocentent s'accumulent.

Ce soir-là, Johann Gillot a voulu voler le quad de la victime. Mais Fabrice Dufeu, qui était en train de jouer au poker sur internet, a entendu le moteur de son engin. Il poursuit son voleur dans la rue enneigée, il le rattrape. Fabrice Dufeu est un grand gaillard d'1m97 pour 115kg, Johann Gillot ne peut pas lutter. Il se fait rouer de coups. S'il n'y a pas de témoins de la scène, les proches de la victime l'ont entendu hurler : «C'est très grave, appelle les gendarmes, je l'ai ce fils de p... !». À cet instant, on devine que le voleur est maîtrisé. Que se passe-t-il dans les instants d'après ? Mystère. La concubine de Fabrice Dufeu le retrouve allongé en pleine rue, inconscient. Il a été étranglé.

A-t-il pu l'étrangler malgré son bras cassé ?


Johann Gillot avait pris la fuite à pieds, laissant sa Peugeot 106 sur place, ce qui permettra aux enquêteurs de l'identifier. Il sera interpellé le lendemain. Lors de la violente scène, le suspect a eu le bras cassé. Pour Me Jérôme Crépin, cet élément « démontre qu'il ne peut pas être celui qui a tué la victime». De même, les expertises scientifiques ont déterminé que les fibres retrouvées sur le corps et les vêtements de la victime sont différentes de celles des vêtements de Gillot, de la couverture qui lui a été posée dessus après l'agression, et de celles des vêtements des gendarmes. D'où proviennent-elles ? Encore un mystère.

Gillot a avoué la tentative de vol du quad. Selon lui, il était tombé inconscient après que la victime l'a frappé et il a pu prendre la fuite quand il est revenu à lui.

Est-ce un complice qui est responsable de la mort de Fabrice Dufeu ? Gillot affirme avoir été seul cette nuit-là. «S'il y avait eu un complice, il aurait tout intérêt à le dénoncer », insiste Me Crépin. Gillot indique avoir vu deux individus entrer dans la propriété de la victime avant qu'il ne tente de voler le quad. L'instruction du dossier se poursuit.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Apres-la-mort-du-trentenaire-le-suspect-remis-en-liberte

Sallaumines : Une dame de 92 ans décède après avoir été percutée par une voiture

Ce mardi matin, les sapeurs-pompiers lensois, liévinois et le Smur de Lens ont tenté de réamnimer une dame de 92 ans qui venait d'être percutée par une voiture, rue Edouard-Vaillant à Sallaumines.
Malgré leurs soins, la dame est décédée sur les lieux de l'accident. La police avait mis en place une déviation dans l'axe principal de Sallaumines. On ignore pour l'heure les circonstances de ce drame.

http://www.lavoixdunord.fr/region/sallaumines-une-dame-de-92-ans-decede-apres-avoir-ia653b0n597493

A 12 ans, il tente d'écouler des chèques-restaurant volés

À 12 ans, ce jeune Albigeois emprunte un parcours délinquant inquiétant. La semaine dernière, avec deux copains à peine plus âgés que lui, il avait, sous la menace d'un couteau, obligé deux adolescents à le suivre jusqu'au Skate park. Là, le trio avait obligé ses victimes à vider le contenu de leur sac, leur dérobant un appareil photo numérique et un peu d'argent. Pour ces faits, le garçon de 12 ans est convoqué devant le juge des enfants. Au lieu de se tenir tranquille, il a à nouveau fait parler de lui hier après-midi. Ayant passé commande d'un plat à emporter au «Kangoo», il se présente dans cette pizzeria kebab située en face du Jardin national. Pour régler, il présente un chèque-restaurant, mais le patron se rend vite compte que ce ticket a déjà servi. Il prévient la police. L'adolescent est donc prié de venir s'expliquer au commissariat. Après vérifications, il apparaît que ces tickets-restaurants avaient été dérobés la semaine dernière au «Saint-Salvy». L'ado, bien sûr, nie le vol, affirmant qu'il a «trouvé» ces tickets. Reste à savoir si le parquet d'Albi sera convaincu par ses explications.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/24/1406193-albi-a-12-ans-il-tente-d-ecouler-des-cheques-restaurant-voles.html

Quand les jeunes touristes terminent leur vacances en garde à vue...

C’est imparable, parmi les estivants, il y a toujours des vacanciers plus remuants que les autres. Un doux euphémisme si l’on considère le coup de colère qui s’est emparé d’un jeune homme de 20 ans, originaire de Vichy et en vacances à Agde.
Complètement ivre, il va se venger sur une voiture

Samedi, vers 3 heures du matin, il se fait éconduire d’une boîte de nuit sur l’île des Loisirs parce qu’il a bu plus que de raison. Le garçon, complètement ivre, va se venger sur une voiture qui avait le tort d’être garée sur le parking Richelieu.
Après avoir cassé un rétroviseur et bourré la portière de coups de pied, il est interpellé par les policiers et reconnaît les faits. Il fait l’objet d’une comparution par reconnaissance préalable de culpabilité le 17 septembre prochain.
Deux autres touristes volent de l'alcool dans un supermarché
Le même jour, vers 11 heures du matin, les policiers d’Agde sont appelés par les responsables du magasin Intermarché, à Agde. L’agent de sécurité avait été intrigué par le manège de deux jeunes hommes, portant péniblement deux sacs plastique venant du magasin.
Alors que les deux garçons font une pause sur le parking, le vigile contrôle le contenu des sacs. Il y découvre une vingtaine de bouteilles d’alcool, whisky, champagne et aucun ticket de caisse. Le préjudice est évalué à 620 € environ.
Les deux garçons, âgés de 23 et 24 ans, tous deux originaires de Villeurbanne et en week-end à Agde, ont réussi à sortir en douce les bouteilles du magasin.
Renseignements pris, les deux garçons sont connus des services d’ordre de la région lyonnaise. Placés en garde à vue, ils ont été relâchés avec convocation par reconnaissance préalable de culpabilité, pour le 17 septembre également.

http://www.midilibre.fr/2012/07/23/les-jeunes-touristes-terminent-le-week-end-en-garde-a-vue,538177.php

Faits divers

Elle vole dans la caisse
Une jeune femme a été arrêtée, place Myron-Herrick à Reims, vendredi 20 juillet à 17 h 45, suite au signalement de bijoutiers. Elle venait en effet de dérober 740 euros dans la caisse du magasin. Elle était venue pour acheter une montre, mais la carte d'identité qu'elle présentait n'était pas à elle. Le temps que la vendeuse aille faire une vérification, elle a pris l'argent dans le tiroir-caisse et s'est enfuie. Pas assez loin pour échapper aux policiers. Elle a reconnu les faits et est convoquée au tribunal le 22 octobre.
n Rattrapé pour purger sa peine
Un homme de 45 ans, Eric Latouche, a été interpellé vendredi 20 juillet à 20 h 25, sur la voie publique à Reims : il avait été condamné par la cour d'appel, le 4 novembre 2010, à purger une peine de 7 mois de prison pour conduite en état d'alcoolémie, défaut de permis de conduire et défaut d'assurance, le tout en état de récidive ! Il était recherché suite à un extrait d'arrêt de la cour d'appel de Reims.
n Un SDF « filou »
Un sans-domicile fixe a été interpellé vendredi 20 juillet à 21 heures, dans un hôtel de la place d'Erlon à Reims. Le propriétaire avait désigné cet homme de 48 ans pour « filouterie », entre le 13 et le 16 juillet. Il devait en effet 347 euros. Le SDF a reconnu les faits et sera convoqué pour une médiation pénale, à savoir rembourser cette somme, s'il le peut.
n Feux
Nuit assez calme à Reims : à 19 h 15, il y a eu un feu de chariot de supermarché rempli de détritus, rue Sidi Bel Abbes ; à 4 h 45, une Clio a brûlé, rue Dumont-Durville, et le feu s'est propagé à une Fiesta et un Picasso ; enfin, à 4 h 50, une poubelle a pris feu, rue Camille-Lenoir.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/faits-divers-12

lundi 23 juillet 2012

Un Norvégien meurt à Chamonix

Un Norvégien d'une quarantaine d'années est mort lundi à Chamonix, en Haute-Savoie, lors d'un vol en wingsuit (combinaison en forme d'ailes, ndlr). L'homme n'est pas parvenu à ouvrir son parachute, après avoir sauté du Brévent, un sommet du massif des Aiguilles Rouges haut de 2.525 mètres et très convoité par les amateurs de wingsuit depuis un mois car accessible en téléphérique.
Un autre homme, originaire d'Afrique du Sud, qui avait lui aussi sauté du Brévent en wingsuit, a par ailleurs été gravement blessée à la même heure et transporté à l'hôpital de Sallanches. "Son pronostic vital n'est pas engagé", a précisé le peloton de gendarmerie de haute montagne.