C'est le 30 juin dernier que Anthony R. s'est fait prendre. En flagrant délit de deal. Depuis plusieurs mois, après avoir reçu des informations anonymes, la brigade des stups de la police lilloise planquait, suivait le jeune homme et écoutait ses conversations téléphoniques. Les forces de l'ordre savaient ainsi qu'il se déplaçait à bord d'une Peugeot 307, qu'il avait « une soixantaine de clients réguliers et une ligne de téléphone portable commerciale », résume la présidente du tribunal Nourith Reliquet. Tout se déroulait dans le quartier du Faubourg des Postes, à Lille, comme l'avait indiqué la source.
Quand il est interpellé, Anthony R. ne nie pas. Il ne cherche pas non plus : « On retrouve les 50 euros de la vente sur lui, ainsi que 12 gr de cocaïne et 1 gr d'héroïne au domicile de sa soeur, chez qui il habite », continue la juge, qui rajoute qu'il y avait beaucoup d'argent sur son compte d'épargne. Ce que le jeune homme refuse cependant d'admettre, c'est qu'il mène son trafic depuis un an, comme le présentent les forces de l'ordre. Il leur dit que cela ne fait qu'un mois mais, témoignage des toxicomanes clients à l'appui, il change d'avis. À la barre hier, il dit qu'il a commencé à vendre de la drogue depuis décembre seulement, et ne veut pas donner le nom de son fournisseur. « Comment en arrive-t-on à vendre de la drogue alors qu'on n'est pas soi-même consommateur ? », s'interroge Nourith Reliquet. « Pour l'argent », répond Anthony R. Son conseil, Julien Delarue, qui reconnaît « avoir bien peu de contre-arguments », appuie sur sa personnalité : « Il vient d'une fratrie de huit enfants, sans père. Il a quitté les bancs de l'école à 16 ans... » À noter que l'enquête n'a pas réussi à déterminer la quantité écoulée par Anthony R., ni le bénéfice qu'il a pu tirer de sa vente. Lui n'arrive pas à « mesurer » non plus.
Pas un familier des tribunaux
Pour le procureur, Douglas Berthe, cela ne suffit pas : il réclame un emprisonnement ferme, pendant deux ans, assorti d'un mandat de dépôt. Anthony R., déjà présent dans les fichiers de la police, mais « qui n'est pas un familier des tribunaux », souligne la juge, écopera de deux ans, peine assortie d'une année de sursis. Nourith Reliquet le dispense de mandat de dépôt mais lui impose par contre une obligation de travail. « Vous avez de la chance », lui signale-t-elle. « Et pas de bêtises pendant dix ans, sinon, la prochaine fois, c'est la peine plancher et quatre ans.
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2011/08/31/cocaine-et-heroine-un-an-ferme.shtml
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
mercredi 31 août 2011
Maltraitance animale : 6 mois de prison
Un éleveur de chiens a été condamné le 17 août à six mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Chartres pour mauvais traitements sur des animaux, a indiqué aujourd'hui la SPA, qui s'était constituée partie civile.
Suite à une plainte de la cellule anti-trafic de la SPA, une saisie de 224 chiens, dont 12 chiennes avec leurs chiots, avait été diligentée par la justice sur la commune de Tremblay-les-Villages, près de Dreux, le 21 février 2011. La femme de l'éleveur a été condamnée, pour sa part, à six mois de prison dont trois assortis d'un sursis.
"Parfois âgés d'une semaine, les animaux étaient entassés dans les boxes d'une ancienne porcherie délabrée, sans chauffage, ni lumière", a rappelé la SPA qui "s'est félicitée des sévères condamnations prononcées".
"Le couple a été condamné à des peines de prison ferme car ils étaient récidivistes", a estimé Isabelle Faujour, directrice juridique de la SPA. Une amende de 2.000 euros et une interdiction d'exercer l'activité d'éleveur a été également prononcée à l'encontre des deux prévenus qui étaient connus de la SPA et de la justice pour avoir déjà été condamnés en mai 2005 pour mauvais traitements sur animaux.
Ils ont aussi été condamnés à verser près de 50.000 euros de dommages et intérêts à la SPA qui a engagé des frais d'hébergement et de soins aux 224 chiens de petites races, dont de nombreux bichons, pendant le déroulement de la procédure.
"Le juge a bien pris en compte les frais de la SPA pour héberger et soigner les chiens saisis par la justice. Grâce à une partie de cet argent, nous allons pouvoir engager de nouvelles affaires de maltraitance sur des bêtes", a poursuivi Isabelle Faujour. Aujourd'hui, tous les chiens ont été proposés à l'adoption et ont trouvé un maître.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/31/97001-20110831FILWWW00389-maltraitance-animale-6-mois-de-prison.php
Suite à une plainte de la cellule anti-trafic de la SPA, une saisie de 224 chiens, dont 12 chiennes avec leurs chiots, avait été diligentée par la justice sur la commune de Tremblay-les-Villages, près de Dreux, le 21 février 2011. La femme de l'éleveur a été condamnée, pour sa part, à six mois de prison dont trois assortis d'un sursis.
"Parfois âgés d'une semaine, les animaux étaient entassés dans les boxes d'une ancienne porcherie délabrée, sans chauffage, ni lumière", a rappelé la SPA qui "s'est félicitée des sévères condamnations prononcées".
"Le couple a été condamné à des peines de prison ferme car ils étaient récidivistes", a estimé Isabelle Faujour, directrice juridique de la SPA. Une amende de 2.000 euros et une interdiction d'exercer l'activité d'éleveur a été également prononcée à l'encontre des deux prévenus qui étaient connus de la SPA et de la justice pour avoir déjà été condamnés en mai 2005 pour mauvais traitements sur animaux.
Ils ont aussi été condamnés à verser près de 50.000 euros de dommages et intérêts à la SPA qui a engagé des frais d'hébergement et de soins aux 224 chiens de petites races, dont de nombreux bichons, pendant le déroulement de la procédure.
"Le juge a bien pris en compte les frais de la SPA pour héberger et soigner les chiens saisis par la justice. Grâce à une partie de cet argent, nous allons pouvoir engager de nouvelles affaires de maltraitance sur des bêtes", a poursuivi Isabelle Faujour. Aujourd'hui, tous les chiens ont été proposés à l'adoption et ont trouvé un maître.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/31/97001-20110831FILWWW00389-maltraitance-animale-6-mois-de-prison.php
Il conteste son PV pour absence de marquage au sol
Philippe C. l'a un peu en travers de la gorge. Lundi après-midi, il a eu la désagréable surprise de trouver un papillon sur le pare-brise de son fourgon garé rue des Carmes à Cahors, à l'intersection avec la place des Carmes. Et il entend bien contester auprès de la mairie de Cahors ce procès verbal dressé par la police municipale : «Je ne rechigne pas à payer un PV lorsque je suis en faute. Mais là, il n'y a aucune signalisation : pas de panneau ni de marquage au sol, sur toute la partie allant de la rue Victor-Hugo au Quai Cavaignac», s'indigne Philippe qui s'interroge par ailleurs sur la légalité de ce PV à 17€ pris sur un ancien carnet à souche de PV à 11€. Contacté, Serge Munte, adjoint au maire en charge du stationnement souligne: «Nous allons examiner cette contestation. Il y a un programme de réfection des marquages au sol, aussi bientôt dans cette zone».
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/31/1156736-il-conteste-son-pv.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/31/1156736-il-conteste-son-pv.html
Sur la piste d’un incendiaire après les feux de Trèbes, Montirat et Rustiques
"Ce qui nous a mis la puce à l’oreille, c’est que tous ces départs de feu se situent autour de Trèbes, dans un secteur assez rapproché..." Depuis le début du mois d’août, et notamment depuis les trois derniers incendies qui se sont succédés dimanche et lundi, à Trèbes, Montirat et Rustiques, les militaires de la compagnie de gendarmerie de Carcassonne sont sur le qui-vive.
Même si la piste criminelle n’est pas encore formellement établie, le caractère volontaire de ces départs de feu ne fait guère de doute aux yeux des enquêteurs. Il faut dire que pour les incendies les plus récents, il est difficile de comprendre comment un départ de feu a pu se produire, lundi, à 6 h du matin, au beau milieu du massif qui se situe entre les communes de Montirat et de Monze... Et encore moins comment le feu a pu se déclarer dans une botte de paille, toujours lundi, mais cette fois-ci vers 19 h, en bordure de la route qui relie Rustiques à Marseillette.
Pour l’heure, si les gendarmes de la communauté de brigades de Trèbes-Capendu pilotent les investigations, - la brigade de recherche n’est pas encore saisie -, c’est une bonne partie des effectifs de la compagnie de Carcassonne qui reste mobilisée sur le terrain, avec des patrouilles régulières de surveillance sur l’ensemble du secteur.
En parallèle de ces mesures de prévention, les gendarmes mènent une enquête d’environnement auprès des habitants des villages qui se situent autour de Trèbes. "A ce stade des investigations, a simplement indiqué le procureur de la République de Carcassonne, Antoine Leroy, rien n’est exclu".
http://www.midilibre.fr/2011/08/30/sur-la-piste-d-un-incendiaire-apres-les-feux-successifs-de-trebes-montirat-et-rustiques,379387.php
Même si la piste criminelle n’est pas encore formellement établie, le caractère volontaire de ces départs de feu ne fait guère de doute aux yeux des enquêteurs. Il faut dire que pour les incendies les plus récents, il est difficile de comprendre comment un départ de feu a pu se produire, lundi, à 6 h du matin, au beau milieu du massif qui se situe entre les communes de Montirat et de Monze... Et encore moins comment le feu a pu se déclarer dans une botte de paille, toujours lundi, mais cette fois-ci vers 19 h, en bordure de la route qui relie Rustiques à Marseillette.
Pour l’heure, si les gendarmes de la communauté de brigades de Trèbes-Capendu pilotent les investigations, - la brigade de recherche n’est pas encore saisie -, c’est une bonne partie des effectifs de la compagnie de Carcassonne qui reste mobilisée sur le terrain, avec des patrouilles régulières de surveillance sur l’ensemble du secteur.
En parallèle de ces mesures de prévention, les gendarmes mènent une enquête d’environnement auprès des habitants des villages qui se situent autour de Trèbes. "A ce stade des investigations, a simplement indiqué le procureur de la République de Carcassonne, Antoine Leroy, rien n’est exclu".
http://www.midilibre.fr/2011/08/30/sur-la-piste-d-un-incendiaire-apres-les-feux-successifs-de-trebes-montirat-et-rustiques,379387.php
2 douaniers renversés lors d'un contrôle
Deux douaniers ont été blessés aux jambes par un conducteur qui a foncé dans leur direction hier soir lors d'un contrôle à un péage près de Vierzon, dans le Cher, avant d'être arrêté dans l'Allier.
L'un des douaniers de la brigade de Bourges souffre d'une double fracture à une jambe. Sa collègue souffre d'une simple fracture à la jambe. Leur vie n'est pas en danger.
Le conducteur de la voiture, a bord de laquelle se trouvait également une femme et un enfant, a défoncé la barrière et foncé sur les douaniers qui effectuaient un contrôle après le péage situé à la jonction de l'A20 et de l'A71 au niveau de Vierzon. Le véhicule a été arrêté peu après dans l'Allier et son conducteur a été placé en garde à vue.
On ignore les raisons pour lesquelles le conducteur a foncé sur les douaniers alors que ces derniers ne lui avaient pas demandé de s'arrêter pour un contrôle.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/30/97001-20110830FILWWW00412-2-douaniers-renverses-lors-d-un-controle.php
L'un des douaniers de la brigade de Bourges souffre d'une double fracture à une jambe. Sa collègue souffre d'une simple fracture à la jambe. Leur vie n'est pas en danger.
Le conducteur de la voiture, a bord de laquelle se trouvait également une femme et un enfant, a défoncé la barrière et foncé sur les douaniers qui effectuaient un contrôle après le péage situé à la jonction de l'A20 et de l'A71 au niveau de Vierzon. Le véhicule a été arrêté peu après dans l'Allier et son conducteur a été placé en garde à vue.
On ignore les raisons pour lesquelles le conducteur a foncé sur les douaniers alors que ces derniers ne lui avaient pas demandé de s'arrêter pour un contrôle.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/30/97001-20110830FILWWW00412-2-douaniers-renverses-lors-d-un-controle.php
mardi 30 août 2011
Collision frontale : un homme de 40 ans entre la vie et la mort
Hier matin à 8 h 15, une collision frontale entre deux automobiles a fait un blessé grave sur la route départementale 28, juste avant d’arriver à Bessan.
Selon les premières investigations, diligentées par les gendarmes de la communauté de brigades d’Agde, ce dramatique accident aurait eu lieu à la suite d’un éblouissement. La conductrice d’une Citroën Berlingo, une Agathoise de 42 ans, qui circulait dans le sens Béziers - Bessan, aveuglée par le soleil, aurait mordu le bas-côté de la chaussée avant de faire un écart sur sa gauche. Malheureusement, le véhicule s’est jeté sur une Renault Clio, au volant de laquelle se trouvait un Bessanais de 40 ans qui arrivait en sens inverse.
Le choc, d’une rare violence, a projeté à une centaine de mètres le moteur du Berlingo, tandis que la Clio a fait un demi-tour sur elle-même pour venir s’immobiliser dans le fossé.
Souffrant des côtes et des cervicales, la quadragénaire a été prise en charge et évacuée par les sapeurs-pompiers biterrois au centre hospitalier de Béziers. L’homme, lui, plus grièvement blessé, a dû être désincarcéré par les secours, venus en nombre et chapeautés par le commandant Jérôme Bonnafoux, à la tête de la caserne de Béziers.
Inconscient et présentant une fracture du fémur ouverte, un genou broyé, une compression au ventre et un important traumatisme crânien, la victime a été héliportée par le Dragon 34, vers 10 h 30, direction l’hôpital Lapeyronie à Montpellier, où il a été plongé dans un coma artificiel afin d’atténuer ses souffrances.
Une enquête est en cours.
http://www.midilibre.fr/2011/08/29/collision-frontale-un-homme-de-40-ans-entre-la-vie-et-la-mort,378842.php
Selon les premières investigations, diligentées par les gendarmes de la communauté de brigades d’Agde, ce dramatique accident aurait eu lieu à la suite d’un éblouissement. La conductrice d’une Citroën Berlingo, une Agathoise de 42 ans, qui circulait dans le sens Béziers - Bessan, aveuglée par le soleil, aurait mordu le bas-côté de la chaussée avant de faire un écart sur sa gauche. Malheureusement, le véhicule s’est jeté sur une Renault Clio, au volant de laquelle se trouvait un Bessanais de 40 ans qui arrivait en sens inverse.
Le choc, d’une rare violence, a projeté à une centaine de mètres le moteur du Berlingo, tandis que la Clio a fait un demi-tour sur elle-même pour venir s’immobiliser dans le fossé.
Souffrant des côtes et des cervicales, la quadragénaire a été prise en charge et évacuée par les sapeurs-pompiers biterrois au centre hospitalier de Béziers. L’homme, lui, plus grièvement blessé, a dû être désincarcéré par les secours, venus en nombre et chapeautés par le commandant Jérôme Bonnafoux, à la tête de la caserne de Béziers.
Inconscient et présentant une fracture du fémur ouverte, un genou broyé, une compression au ventre et un important traumatisme crânien, la victime a été héliportée par le Dragon 34, vers 10 h 30, direction l’hôpital Lapeyronie à Montpellier, où il a été plongé dans un coma artificiel afin d’atténuer ses souffrances.
Une enquête est en cours.
http://www.midilibre.fr/2011/08/29/collision-frontale-un-homme-de-40-ans-entre-la-vie-et-la-mort,378842.php
Marseille : l'évadé de la brigade des stups a été repris
L'évasion, mardi, d'un jeune gardé à vue des locaux de la brigade des stupéfiants, boulevard des Dames (2e arr.) à Marseille, ne pouvait pas plus mal tomber. Ce jour-là, le ministère de l'Intérieur bruissait de tous les commentaires sur la nomination, le lendemain en conseil des ministres, d'un nouveau préfet délégué à la sécurité. À l'heure où le ministre de l'Intérieur fait aujourd'hui un déplacement à Marseille, les enquêteurs de Division stupéfiants et proxénétisme de la Direction interrégionale de la police judiciaire semblent avoir eu à coeur de faire rentrer les choses dans l'ordre.
Le jeune fuyard, un Toulonnais âgé de 25 ans, a été interpellé samedi matin, cité La Beaucaire, à Toulon. Il se trouvait chez des amis. Un travail sur la téléphonie de ses proches et des surveillances avaient convaincu les policiers des stups que celui qui leur avait faussé compagnie en sautant du premier étage de leur service était tout simplement rentré chez lui. Pas au domicile qu'il occupe habituellement mais pas bien loin. C'est les menottes aux poignets qu'il avait pris le large. Une évasion sans préméditation; l'occasion s'étant présentée, le gardé à vue l'avait saisie.
Le jeune homme avait été interpellé gare Saint-Charles, lundi à 18h30, à l'arrivée d'un TGV en provenance de Bruxelles. Un contrôle inopiné qui débouchait sur la découverte de trois cents grammes de cocaïne, représentant une valeur marchande d'une dizaine à une vingtaine de milliers d'euros. Déféré hier devant le parquet de Marseille au terme d'une garde à vue qu'on présume très encadrée cette fois, le jeune homme a été mis en examen pour trafic de stupéfiants et évasion, puis placé en détention provisoire aux Baumettes. Un avis de recherche avait été diffusé sur le plan national. Le juge d'instruction devrait chercher désormais à en savoir plus sur l'origine et la destination de la cocaïne saisie. La quantité laisse supposer l'alimentation d'un réseau local.
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/marseille-levade-de-la-brigade-des-stups-a-ete-repris
Le jeune fuyard, un Toulonnais âgé de 25 ans, a été interpellé samedi matin, cité La Beaucaire, à Toulon. Il se trouvait chez des amis. Un travail sur la téléphonie de ses proches et des surveillances avaient convaincu les policiers des stups que celui qui leur avait faussé compagnie en sautant du premier étage de leur service était tout simplement rentré chez lui. Pas au domicile qu'il occupe habituellement mais pas bien loin. C'est les menottes aux poignets qu'il avait pris le large. Une évasion sans préméditation; l'occasion s'étant présentée, le gardé à vue l'avait saisie.
Le jeune homme avait été interpellé gare Saint-Charles, lundi à 18h30, à l'arrivée d'un TGV en provenance de Bruxelles. Un contrôle inopiné qui débouchait sur la découverte de trois cents grammes de cocaïne, représentant une valeur marchande d'une dizaine à une vingtaine de milliers d'euros. Déféré hier devant le parquet de Marseille au terme d'une garde à vue qu'on présume très encadrée cette fois, le jeune homme a été mis en examen pour trafic de stupéfiants et évasion, puis placé en détention provisoire aux Baumettes. Un avis de recherche avait été diffusé sur le plan national. Le juge d'instruction devrait chercher désormais à en savoir plus sur l'origine et la destination de la cocaïne saisie. La quantité laisse supposer l'alimentation d'un réseau local.
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/marseille-levade-de-la-brigade-des-stups-a-ete-repris
Il volait des angelots dans les cimetières
Un homme de 37 ans a été placé en garde à vue aujourd'hui, après avoir été surpris en train de voler des statuettes d'angelots et de vierges dans un cimetière de Saint-Max (Meurthe-et-Moselle), a-t-on appris de source policière.
Devant les enquêteurs, le suspect a reconnu détenir une collection d'une centaine de ces objets, qu'il dérobe régulièrement dans les cimetières de l'agglomération de Nancy. Lors de son interpellation, six statuettes ont été découvertes dans son sac. Une perquisition à son domicile a été ordonnée, alors que sa garde à vue se prolongeait, ce soir, au commissariat de Nancy.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/29/97001-20110829FILWWW00587-il-volait-des-angelots-dans-les-cimetieres.php
Devant les enquêteurs, le suspect a reconnu détenir une collection d'une centaine de ces objets, qu'il dérobe régulièrement dans les cimetières de l'agglomération de Nancy. Lors de son interpellation, six statuettes ont été découvertes dans son sac. Une perquisition à son domicile a été ordonnée, alors que sa garde à vue se prolongeait, ce soir, au commissariat de Nancy.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/29/97001-20110829FILWWW00587-il-volait-des-angelots-dans-les-cimetieres.php
Il filmait sous les jupes des dames
Un quinquagénaire utilisait son portable pour se livrer à des indiscrétions sur les dessous des clientes.
C'EST fou ce qu'on peut faire de nos jours avec un téléphone portable. Enregistrer des petites vidéos notamment. Et si on le planque astucieusement, ça permet de s'offrir quelques plans fort indiscrets, sur les dessous des dames par exemple.
C'est ce à quoi s'est essayé un homme de 52 ans cette fin de semaine au magasin Cora-Cormontreuil dans l'agglomération rémoise, apparemment à la suite de problèmes dans son propre couple.
C'est en tout cas ce qu'il a expliqué aux policiers. Car son manège, dont on ne sait pas trop combien de temps il a pu durer ce jour-là, a été repéré par les caméras de surveillance, et l'intéressé a donc dû s'en expliquer avec les représentants de l'ordre. Ce manège était tout simple : l'homme avait placé son portable, en mode caméra, dans une sacoche, et s'arrangeait ensuite pour promener celle-ci à proximité des clientes portant des jupes pour prendre des contre-plongées très intimes.
L'interpellation a eu lieu samedi soir vers 19 h 30. L'homme, placé en garde à vue, n'a fait aucune difficulté pour reconnaître les faits.
Dans la mémoire de son téléphone, les policiers ont d'ailleurs trouvé quatre vidéos correspondant à son activité de voyeurisme. Mais le terme exact qui a été invoqué pour son arrestation est celui de « violence avec préméditation ou guet-apens sans incapacité », une violence n'étant bien entendu pas forcément physique, mais pouvant aussi être d'ordre verbal ou psychologique. Un tel délit est passible quand même de trois ans de prison maximum !
Rappel à la loi
En l'occurrence, la sanction pour le vidéaste indiscret a été bien plus légère : le délégué du procureur, devant qui il a été présenté, s'est contenté d'un simple rappel à la loi.
Il faut dire que l'intéressé n'était pas connu des services et n'avait jamais eu l'occasion de faire parler de lui. On peut supposer que ce moment passé au poste lui servira de leçon ; et si jamais il tentait de recommencer, mais dans un lieu privé cette fois, qu'il sache que le cas est aussi prévu par la loi, sous les termes alors « d'atteinte à l'intimité de la vie privée par fixation d'image ».
Il est vrai que cet homme n'est pas le premier - et ne sera sans doute pas le dernier - à se laisser vaincre par l'obsession chantée par Alain Souchon de « regarder sous les jupes des filles » : en mai dernier par exemple, nous avions ainsi déjà eu l'occasion de rapporter le cas d'un voyeur relaxé après avoir abondamment photographié sous ces mêmes jupes, mais qui avait fini par se faire repérer… dans le même hypermarché.
En 2007, un quadragénaire avait lui aussi été pincé dans un manège comparable, chez une autre enseigne locale de la grande distritubion ; lui utilisait un miroir placé dans un panier.
On constate que la technologie offre à présent d'autres moyens plus performants…http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-filmait-sous-les-jupes-des-dames
C'EST fou ce qu'on peut faire de nos jours avec un téléphone portable. Enregistrer des petites vidéos notamment. Et si on le planque astucieusement, ça permet de s'offrir quelques plans fort indiscrets, sur les dessous des dames par exemple.
C'est ce à quoi s'est essayé un homme de 52 ans cette fin de semaine au magasin Cora-Cormontreuil dans l'agglomération rémoise, apparemment à la suite de problèmes dans son propre couple.
C'est en tout cas ce qu'il a expliqué aux policiers. Car son manège, dont on ne sait pas trop combien de temps il a pu durer ce jour-là, a été repéré par les caméras de surveillance, et l'intéressé a donc dû s'en expliquer avec les représentants de l'ordre. Ce manège était tout simple : l'homme avait placé son portable, en mode caméra, dans une sacoche, et s'arrangeait ensuite pour promener celle-ci à proximité des clientes portant des jupes pour prendre des contre-plongées très intimes.
L'interpellation a eu lieu samedi soir vers 19 h 30. L'homme, placé en garde à vue, n'a fait aucune difficulté pour reconnaître les faits.
Dans la mémoire de son téléphone, les policiers ont d'ailleurs trouvé quatre vidéos correspondant à son activité de voyeurisme. Mais le terme exact qui a été invoqué pour son arrestation est celui de « violence avec préméditation ou guet-apens sans incapacité », une violence n'étant bien entendu pas forcément physique, mais pouvant aussi être d'ordre verbal ou psychologique. Un tel délit est passible quand même de trois ans de prison maximum !
Rappel à la loi
En l'occurrence, la sanction pour le vidéaste indiscret a été bien plus légère : le délégué du procureur, devant qui il a été présenté, s'est contenté d'un simple rappel à la loi.
Il faut dire que l'intéressé n'était pas connu des services et n'avait jamais eu l'occasion de faire parler de lui. On peut supposer que ce moment passé au poste lui servira de leçon ; et si jamais il tentait de recommencer, mais dans un lieu privé cette fois, qu'il sache que le cas est aussi prévu par la loi, sous les termes alors « d'atteinte à l'intimité de la vie privée par fixation d'image ».
Il est vrai que cet homme n'est pas le premier - et ne sera sans doute pas le dernier - à se laisser vaincre par l'obsession chantée par Alain Souchon de « regarder sous les jupes des filles » : en mai dernier par exemple, nous avions ainsi déjà eu l'occasion de rapporter le cas d'un voyeur relaxé après avoir abondamment photographié sous ces mêmes jupes, mais qui avait fini par se faire repérer… dans le même hypermarché.
En 2007, un quadragénaire avait lui aussi été pincé dans un manège comparable, chez une autre enseigne locale de la grande distritubion ; lui utilisait un miroir placé dans un panier.
On constate que la technologie offre à présent d'autres moyens plus performants…http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-filmait-sous-les-jupes-des-dames
Un Héraultais perd la vie dans un accident en Ariège la veille de son anniversaire
Il devait fêter ses 26 ans, hier, mais la vie en a décidé autrement. Originaire de Poilhes, Yoann Ité, âgé de 25 ans, a perdu la vie au volant de sa Peugeot 206, dans la nuit de vendredi à samedi, aux alentours de 3 h 30 du matin, à proximité du village de Mijanès, en Ariège.
Immédiatement pris en charge par les pompiers et les gendarmes, l’homme est décédé des suites de ses blessures.
Il passait ses vacances dans la montagne ariégeoise, où il avait beaucoup d’amis. C’est au retour d’une soirée arrosée que l’homme a eu son accident.
http://www.midilibre.fr/2011/08/28/un-heraultais-perd-la-vie-dans-un-accident-dans-l-ariege-la-veille-de-son-anniversaire,378310.php
Immédiatement pris en charge par les pompiers et les gendarmes, l’homme est décédé des suites de ses blessures.
Il passait ses vacances dans la montagne ariégeoise, où il avait beaucoup d’amis. C’est au retour d’une soirée arrosée que l’homme a eu son accident.
http://www.midilibre.fr/2011/08/28/un-heraultais-perd-la-vie-dans-un-accident-dans-l-ariege-la-veille-de-son-anniversaire,378310.php
lundi 29 août 2011
Une femme de 88 ans retrouvée noyée dans un étang
C'est un promeneur qui a donné l'alerte dimanche vers 8h30. En marchant autour du plan d'eau de Pont-Ar-Len, à Gourin, il a remarqué un corps sans vie qui flottait à la surface de l'eau. Les secours sont intervenus sur place et ont constaté le décès par noyade d'une femme âgée de 88 ans.
Cette dernière, originaire de Gourin, résidait dans la maison de retraite située à proximité de l'étang. D'après les premières constatations effectuées par la gendarmerie du Faouët, la victime, qui donnait à manger aux canards, aurait glissé sur la berge humide. Elle a chuté dans l'eau et n'a pas réussi à rejoindre la berge. Cette personne âgée se déplaçait à l'aide d'une canne. «Il s'agit d'un malheureux accident. Des morceaux de pains ont été retrouvés au bord du plan d'eau. Nous n'avons récolté aucun élément suspect», a confirmé le capitaine Mahec, commandant la compagnie de gendarmerie de Pontivy.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/gourin-une-femme-de-88-ans-retrouvee-noyee-dans-un-etang-29-08-2011-1412354.php
Cette dernière, originaire de Gourin, résidait dans la maison de retraite située à proximité de l'étang. D'après les premières constatations effectuées par la gendarmerie du Faouët, la victime, qui donnait à manger aux canards, aurait glissé sur la berge humide. Elle a chuté dans l'eau et n'a pas réussi à rejoindre la berge. Cette personne âgée se déplaçait à l'aide d'une canne. «Il s'agit d'un malheureux accident. Des morceaux de pains ont été retrouvés au bord du plan d'eau. Nous n'avons récolté aucun élément suspect», a confirmé le capitaine Mahec, commandant la compagnie de gendarmerie de Pontivy.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/gourin-une-femme-de-88-ans-retrouvee-noyee-dans-un-etang-29-08-2011-1412354.php
Un bouc et quatre chèvres égorgés par un Rottweiler
Cinq chèvres ont été retrouvées égorgées, probablement par un chien de race Rottweiler laissé en liberté hier matin sur une propriété de Calvisson. Dans la nuit de samedi à dimanche, après avoir rongé la corde qui le retenait captif, le molosse a réussi à pénétrer dans un enclos attenant au camping du Calvissonnais Georges Bienvenu où paissaient un cheval Camargue, trois poneys et cinq chèvres qu’il élevait pour le plaisir de son fils, Thomas.
Actuellement en vacances en Corse, il avait laissé ses propriétés sous la surveillance d’Alain Munoz, qui vit sur place. "Dans la nuit, j’ai entendu des aboiements, expliquait hier matin le gardien. Mais en cette saison, des chiens qui aboient, ce n’est pas rare. Ce matin (hier), pris d’un drôle de pressentiment, j’ai ouvert l’enclos et j’ai découvert le désastre : un bouc, quatre chèvres, dont une d’à peine quatre semaines, égorgées !"
Alertés, les gendarmes de Calvisson ont réussi à capturer le chien tueur et ont commencé à chercher l’identité de son propriétaire. "Les investigations se poursuivent. Il convient d’analyser les données de la puce puisque la plupart des chiens n’ont pas de tatouage aujourd’hui", indiquait-on hier du côté de la gendarmerie. Après plusieurs appels téléphoniques, les enquêteurs ont pu mettre le molosse à la fourrière de la Sacpa à Caissargues.
Pour mémoire, le Rottweiler fait partie des chiens dangereux "de garde et de défense" de catégorie 2 que tout propriétaire doit garder en laisse sur la voie publique et lui poser sur la gueule une muselière. Vu le préjudice subi, une enquête de gendarmerie a été ouverte.
http://www.midilibre.fr/2011/08/28/un-bouc-et-quatre-chevres-egorges-par-un-rottweiler,378387.php
Actuellement en vacances en Corse, il avait laissé ses propriétés sous la surveillance d’Alain Munoz, qui vit sur place. "Dans la nuit, j’ai entendu des aboiements, expliquait hier matin le gardien. Mais en cette saison, des chiens qui aboient, ce n’est pas rare. Ce matin (hier), pris d’un drôle de pressentiment, j’ai ouvert l’enclos et j’ai découvert le désastre : un bouc, quatre chèvres, dont une d’à peine quatre semaines, égorgées !"
Alertés, les gendarmes de Calvisson ont réussi à capturer le chien tueur et ont commencé à chercher l’identité de son propriétaire. "Les investigations se poursuivent. Il convient d’analyser les données de la puce puisque la plupart des chiens n’ont pas de tatouage aujourd’hui", indiquait-on hier du côté de la gendarmerie. Après plusieurs appels téléphoniques, les enquêteurs ont pu mettre le molosse à la fourrière de la Sacpa à Caissargues.
Pour mémoire, le Rottweiler fait partie des chiens dangereux "de garde et de défense" de catégorie 2 que tout propriétaire doit garder en laisse sur la voie publique et lui poser sur la gueule une muselière. Vu le préjudice subi, une enquête de gendarmerie a été ouverte.
http://www.midilibre.fr/2011/08/28/un-bouc-et-quatre-chevres-egorges-par-un-rottweiler,378387.php
Opération douanière à l'aide d'un camion scanner
Une vaste opération douanière a eu lieu durant 4 jours dans l'Aisne, mobilisant une quinzaine de douaniers et un camion scanner mobile. Difficile de passer au travers des mailles avec un tel dispositif.
DEPUIS mercredi sur l'autoroute comme sur les grands axes routiers, des centaines de véhicules ont été contrôlées. Un des quatre camions scanners mobiles qui existent en France (seul pays à posséder un tel équipement) était dans le département de l'Aisne. La première opération a eu lieu sur l'autoroute A 26, aire de la Haute-Bruyère, en compagnie du préfet Pierre Bayle et de l'inspecteur principal, fondateur de ce service, le lieutenant-colonel Eric Chasson.
A ses côtés, le directeur des services douaniers Joël Mansuy qui dirigeait les opérations. Des véhicules stationnés quelques kilomètres avant l'aire étaient en place pour intercepter les camions repérés par les douaniers venus d'Hirson et de Laon.
Ces opérations mobiles de contrôle par les brigades des douanes avec l'aide des camions scanners mobiles sont organisées sur des aires sécurisées pour faire gagner du temps et donc de l'argent aux professionnels de la route, sociétés de transport (cinq minutes environ par camion ou conteneur) avec une amélioration de la productivité des contrôles aléatoires mais conformes au code des douanes.
Dix à quinze camions par heure sont contrôlés avec cet équipement dont l'investissement dépasse largement, le million d'euros.
Les méthodes
Des moyens techniques qui permettent de réaliser des radioscopies de camions et de conteneurs ou d'autres véhicules, dans le but de renforcer son efficacité en matière de lutte contre la fraude. Une fois radiographiée, l'image est analysée par un technicien avant d'être enregistrée puis archivée.
Si rien d'anormal n'est détecté, le chauffeur n'en est pas quitte pour autant. Au chien labrador danish de rentrer en scène pour une éventuelle prise de produits stupéfiants. En cas de doute, les camions sont ouverts et partiellement déchargés et fouillés.
Dans la cabine technique, où toute prise de photo est interdite pour préserver les secrets, quelques images de trophées sont affichées, montrant les plus belles prises. Parmi elles, se trouvent des saisies importantes de stupéfiants, des cigarettes, produits de contrefaçon etc.
Des découvertes qui n'auraient pas pu avoir lieu sans cet équipement. Les passeurs faisant preuve d'une imagination sans limite pour tromper la vigilance des douaniers et trouver des caches quasi indécelables avec des moyens classiques.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/operation-douaniere-a-laide-dun-camion-scanner
DEPUIS mercredi sur l'autoroute comme sur les grands axes routiers, des centaines de véhicules ont été contrôlées. Un des quatre camions scanners mobiles qui existent en France (seul pays à posséder un tel équipement) était dans le département de l'Aisne. La première opération a eu lieu sur l'autoroute A 26, aire de la Haute-Bruyère, en compagnie du préfet Pierre Bayle et de l'inspecteur principal, fondateur de ce service, le lieutenant-colonel Eric Chasson.
A ses côtés, le directeur des services douaniers Joël Mansuy qui dirigeait les opérations. Des véhicules stationnés quelques kilomètres avant l'aire étaient en place pour intercepter les camions repérés par les douaniers venus d'Hirson et de Laon.
Ces opérations mobiles de contrôle par les brigades des douanes avec l'aide des camions scanners mobiles sont organisées sur des aires sécurisées pour faire gagner du temps et donc de l'argent aux professionnels de la route, sociétés de transport (cinq minutes environ par camion ou conteneur) avec une amélioration de la productivité des contrôles aléatoires mais conformes au code des douanes.
Dix à quinze camions par heure sont contrôlés avec cet équipement dont l'investissement dépasse largement, le million d'euros.
Les méthodes
Des moyens techniques qui permettent de réaliser des radioscopies de camions et de conteneurs ou d'autres véhicules, dans le but de renforcer son efficacité en matière de lutte contre la fraude. Une fois radiographiée, l'image est analysée par un technicien avant d'être enregistrée puis archivée.
Si rien d'anormal n'est détecté, le chauffeur n'en est pas quitte pour autant. Au chien labrador danish de rentrer en scène pour une éventuelle prise de produits stupéfiants. En cas de doute, les camions sont ouverts et partiellement déchargés et fouillés.
Dans la cabine technique, où toute prise de photo est interdite pour préserver les secrets, quelques images de trophées sont affichées, montrant les plus belles prises. Parmi elles, se trouvent des saisies importantes de stupéfiants, des cigarettes, produits de contrefaçon etc.
Des découvertes qui n'auraient pas pu avoir lieu sans cet équipement. Les passeurs faisant preuve d'une imagination sans limite pour tromper la vigilance des douaniers et trouver des caches quasi indécelables avec des moyens classiques.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/operation-douaniere-a-laide-dun-camion-scanner
dimanche 28 août 2011
Il se jette sous un train… et s’en sort avec quelques blessures
Dans une petite commune comme Crest, le passage des trains TER est marqué par un bruit régulier lorsque le convoi traverse la Drôme sur le pont métallique. Mais lorsque ce convoi est immobilisé sur le pont, c’est qu’il se passe quelque chose d’anormal. Surtout si les trois passages à niveau du quai Reynier, de la rue Maurice-Barral et de l’avenue Agirond sont au rouge.
Hier, vers 11h35, le TER quittant la gare de Crest en direction des Alpes (ligne Valence-Briançon) s’élançait à peine lorsqu’un homme, âgé de 52 ans, a tenté de mettre fin à ses jours en se jetant sous le train au niveau du passage à niveau du quai Reynier. Le train circulait encore à petite vitesse, lorsque l’homme a percuté la machine qui l’a rejeté sur le ballast. Le quinquagénaire s’en sort finalement avec quelques blessures. Les pompiers de Crest, avec Jean-Marc Seguin, chef de colonne, et Pierre-Jean Chavarot, chef de groupe, ainsi que le Samu, sont intervenus pour secourir le malheureux transporté sur Valence avec un pronostic vital non engagé au moment de son transfert.
68 personnes mobilisées pendant une heure
Manifestement cette personne avait passé la nuit dans un établissement hôtelier de la ville et faisait les cent pas depuis quelques heures devant les établissements Vinay tout proches.
Le train avec 68 personnes à bord a été immobilisé sur le site durant une heure puis, étant encore proche de la gare de Crest, a été autorisé exceptionnellement à faire marche arrière afin que les passagers puissent être débarqués. Quelques-uns ont pu prendre le car mis à disposition, direction Gap et Briançon. Les autres devant attendre le prochain train…
Vers 15 heures, les deux rames ayant été mises sur une voie de garage, la gare de Crest avait retrouvé son calme habituel.
On aura noté également sur les lieux la présence de gendarmes de la communauté de brigade de gendarmerie de Crest, des membres de la police municipale, du député-maire Hervé Mariton et de son adjoint en charge de la sécurité Yvan Lombard
http://www.ledauphine.com/drome/2011/08/27/il-se-jette-sous-un-train-et-s-en-sort-avec-quelques-blessures?image=B6EDA77A-C293-4ECD-B0B1-55DAED9CA954#galery
Hier, vers 11h35, le TER quittant la gare de Crest en direction des Alpes (ligne Valence-Briançon) s’élançait à peine lorsqu’un homme, âgé de 52 ans, a tenté de mettre fin à ses jours en se jetant sous le train au niveau du passage à niveau du quai Reynier. Le train circulait encore à petite vitesse, lorsque l’homme a percuté la machine qui l’a rejeté sur le ballast. Le quinquagénaire s’en sort finalement avec quelques blessures. Les pompiers de Crest, avec Jean-Marc Seguin, chef de colonne, et Pierre-Jean Chavarot, chef de groupe, ainsi que le Samu, sont intervenus pour secourir le malheureux transporté sur Valence avec un pronostic vital non engagé au moment de son transfert.
68 personnes mobilisées pendant une heure
Manifestement cette personne avait passé la nuit dans un établissement hôtelier de la ville et faisait les cent pas depuis quelques heures devant les établissements Vinay tout proches.
Le train avec 68 personnes à bord a été immobilisé sur le site durant une heure puis, étant encore proche de la gare de Crest, a été autorisé exceptionnellement à faire marche arrière afin que les passagers puissent être débarqués. Quelques-uns ont pu prendre le car mis à disposition, direction Gap et Briançon. Les autres devant attendre le prochain train…
Vers 15 heures, les deux rames ayant été mises sur une voie de garage, la gare de Crest avait retrouvé son calme habituel.
On aura noté également sur les lieux la présence de gendarmes de la communauté de brigade de gendarmerie de Crest, des membres de la police municipale, du député-maire Hervé Mariton et de son adjoint en charge de la sécurité Yvan Lombard
http://www.ledauphine.com/drome/2011/08/27/il-se-jette-sous-un-train-et-s-en-sort-avec-quelques-blessures?image=B6EDA77A-C293-4ECD-B0B1-55DAED9CA954#galery
Un adolescent éjecté de la voiture et tué sur le coup
Hier matin à Saint-Martin-Lalande, près de Castelnaudary, il est 5 h 15 lorsque le conducteur d’une Peugeot 306 perd le contrôle de son véhicule, à la sortie d’une courbe située dans le lotissement qui précède le village. Après avoir percuté un parapet en béton qui borde le fossé droit, le véhicule décolle à plus de deux mètres du sol, fauchant plusieurs arbres d’un jardin, avant de s’immobiliser au milieu de la chaussée.
Sous le choc, deux passagers ont vraisemblablement été éjectés. L’un d’entre eux, Kevin Husson, 17 ans et demi, est mort sur le coup. Le second est grièvement blessé, ainsi qu’un troisième occupant de la voiture, sans que leur pronostic vital soit engagé. Selon les témoignages des habitants qui ont été réveillés par le bruit de l’impact (lire ci-dessous), le conducteur, légèrement blessé, est sorti, seul, de son véhicule.
Ce dernier était, hier, en observation à l’hôpital de Castelnaudary et ne pouvait, de ce fait, être interrogé par les gendarmes sur les circonstances de ce nouveau drame de la route. Ce qui est certain, c’est qu’à l’entrée de la courbe, la voiture roulait à très vive allure, au moins 120 km/h, selon un expert accidentologue qui s’est rendu sur les lieux.
"Il y aurait vraiment pu y avoir quatre morts", relevait un officier de la gendarmerie. L’essieu arrière de la 306, avec ses deux roues, a été retrouvé dans un jardin voisin, finissant sa trajectoire dans un véhicule en stationnement.
Les quatre occupants de la voiture, tous très jeunes, habitent Saint-Martin-Lalande. Le chauffeur résidait à quelques centaines de mètres du lieu de l’accident et connaissait donc bien la route. Lorsque l’accident s’est produit, la Peugeot circulait dans le sens Castelnaudary Saint-Martin-Lalande et la Fête du cassoulet était terminée depuis plusieurs heures déjà.
Reste alors une question, comme une évidence : l’alcool est-il à l’origine du drame ? L’enquête de gendarmerie, sous le commandement du chef d’escadron Marie-France Sauvagnac, devrait rapidement apporter des réponses à cette hypothèse.
Dès l’annonce de ce drame, le directeur de cabinet du préfet, s’est rendu à Saint-Martin-Lalande. Visiblement marqué par cette vision d’horreur, Frédéric Bovet témoigne : "Cet accident ne doit rien à la fatalité. Il constitue une dramatique illustration du relâchement du comportement des automobilistes depuis le début de l’année. Dans la plupart des cas, on retrouve l’un des éléments du cocktail vitesse-alcool- stupéfiants". Alors que 37 personnes ont trouvé la mort sur les routes de l’Aude depuis le début de l’année - contre 36 sur la totalité de l’année 2010… -, Frédéric Bovet en appelle à "l’union sacrée" : "Il faut qu’il y ait un engagement de tous et une prise de conscience collective".
Durant ce week-end, marqué par trois importantes manifestations festives à Castelnaudary, Carcassonne et Narbonne, une centaine de gendarmes et policiers sont mobilisés dans un dispositif conjoint de prévention et de répression. "On ne baissera pas la garde", assure le directeur de cabinet du préfet.
http://www.midilibre.fr/2011/08/27/un-adolescent-ejecte-et-tue-sur-le-coup,378009.php
Sous le choc, deux passagers ont vraisemblablement été éjectés. L’un d’entre eux, Kevin Husson, 17 ans et demi, est mort sur le coup. Le second est grièvement blessé, ainsi qu’un troisième occupant de la voiture, sans que leur pronostic vital soit engagé. Selon les témoignages des habitants qui ont été réveillés par le bruit de l’impact (lire ci-dessous), le conducteur, légèrement blessé, est sorti, seul, de son véhicule.
Ce dernier était, hier, en observation à l’hôpital de Castelnaudary et ne pouvait, de ce fait, être interrogé par les gendarmes sur les circonstances de ce nouveau drame de la route. Ce qui est certain, c’est qu’à l’entrée de la courbe, la voiture roulait à très vive allure, au moins 120 km/h, selon un expert accidentologue qui s’est rendu sur les lieux.
"Il y aurait vraiment pu y avoir quatre morts", relevait un officier de la gendarmerie. L’essieu arrière de la 306, avec ses deux roues, a été retrouvé dans un jardin voisin, finissant sa trajectoire dans un véhicule en stationnement.
Les quatre occupants de la voiture, tous très jeunes, habitent Saint-Martin-Lalande. Le chauffeur résidait à quelques centaines de mètres du lieu de l’accident et connaissait donc bien la route. Lorsque l’accident s’est produit, la Peugeot circulait dans le sens Castelnaudary Saint-Martin-Lalande et la Fête du cassoulet était terminée depuis plusieurs heures déjà.
Reste alors une question, comme une évidence : l’alcool est-il à l’origine du drame ? L’enquête de gendarmerie, sous le commandement du chef d’escadron Marie-France Sauvagnac, devrait rapidement apporter des réponses à cette hypothèse.
"Prise de conscience"
Dès l’annonce de ce drame, le directeur de cabinet du préfet, s’est rendu à Saint-Martin-Lalande. Visiblement marqué par cette vision d’horreur, Frédéric Bovet témoigne : "Cet accident ne doit rien à la fatalité. Il constitue une dramatique illustration du relâchement du comportement des automobilistes depuis le début de l’année. Dans la plupart des cas, on retrouve l’un des éléments du cocktail vitesse-alcool- stupéfiants". Alors que 37 personnes ont trouvé la mort sur les routes de l’Aude depuis le début de l’année - contre 36 sur la totalité de l’année 2010… -, Frédéric Bovet en appelle à "l’union sacrée" : "Il faut qu’il y ait un engagement de tous et une prise de conscience collective".
Durant ce week-end, marqué par trois importantes manifestations festives à Castelnaudary, Carcassonne et Narbonne, une centaine de gendarmes et policiers sont mobilisés dans un dispositif conjoint de prévention et de répression. "On ne baissera pas la garde", assure le directeur de cabinet du préfet.
http://www.midilibre.fr/2011/08/27/un-adolescent-ejecte-et-tue-sur-le-coup,378009.php
Dijon : fusil à pompe, stupéfiants et paquet de billets…
Mardi 23 août, vers 19 heures, un automobiliste appelait la police. Circulant avenue de Stalingrad, il venait d’apercevoir deux individus sur un scooter, dont l’un portait une « arme longue ».
Les policiers de la brigade anticriminalité repéraient sur les lieux le scooter recherché, avec un homme armé d’un fusil à pompe ; mais celui-ci parvenait à prendre la fuite dans le quartier.
Quatre appartements de l’avenue de Stalingrad étaient perquisitionnés, ainsi que des communs d’immeubles. Le principal suspect, un homme d’une vingtaine d’années, déjà connu des services de police, était interpellé et placé en garde à vue. L’arme, semblant réelle, en fait une réplique à billes, était découverte lors des recherches, ainsi que 60 grammes de cocaïne, 20 grammes d’héroïne, environ 400 grammes de résine de cannabis, et un paquet de billets de banque pour un montant s’élevant à plusieurs milliers d’euros.
Après sa présentation hier devant un magistrat du tribunal de grande instance de Dijon, l’homme a été incarcéré, afin qu’il purge immédiatement une peine de prison qu’il devait exécuter. D’autres personnes, placées en garde à vue, n’ont pas été poursuivies.
L’enquête, portant sur le trafic de stupéfiants, se poursuit.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/08/27/dijon-fusil-a-pompe-stupefiants-et-paquet-de-billets
Les policiers de la brigade anticriminalité repéraient sur les lieux le scooter recherché, avec un homme armé d’un fusil à pompe ; mais celui-ci parvenait à prendre la fuite dans le quartier.
Une vaste opération
Après une surveillance du secteur mercredi, une vaste opération a été engagée jeudi matin, avec les effectifs de la sûreté départementale (groupe de voie publique, brigade criminelle, et brigade des stupéfiants), avec le concours des unités de la Section d’intervention et du Service de sécurité et de proximité.Quatre appartements de l’avenue de Stalingrad étaient perquisitionnés, ainsi que des communs d’immeubles. Le principal suspect, un homme d’une vingtaine d’années, déjà connu des services de police, était interpellé et placé en garde à vue. L’arme, semblant réelle, en fait une réplique à billes, était découverte lors des recherches, ainsi que 60 grammes de cocaïne, 20 grammes d’héroïne, environ 400 grammes de résine de cannabis, et un paquet de billets de banque pour un montant s’élevant à plusieurs milliers d’euros.
Après sa présentation hier devant un magistrat du tribunal de grande instance de Dijon, l’homme a été incarcéré, afin qu’il purge immédiatement une peine de prison qu’il devait exécuter. D’autres personnes, placées en garde à vue, n’ont pas été poursuivies.
L’enquête, portant sur le trafic de stupéfiants, se poursuit.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/08/27/dijon-fusil-a-pompe-stupefiants-et-paquet-de-billets
samedi 27 août 2011
Le fils de la victime placé en détention provisoire
Abdelhaziz D., 22 ans et fils de la femme retrouvée gisant dans une mare de sang, rue de Tourcoing à Wasquehal, a été déféré hier après-midi devant un juge d'instruction.
Le jeune homme est mis en examen pour « violence volontaire sur un ascendant avec ITT supérieure à 8 jours ». Devant le juge des libertés et de la détention, il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été placé en détention provisoire jusqu'à mercredi, date d'une nouvelle audience.
L'enquête ouverte par la sûreté urbaine de Roubaix s'est donc orientée vers la piste du drame familial. La nature des blessures de la victime toujours entre la vie et la mort ainsi que les contradictions dans les déclarations du suspect ont fait pencher la balance. L'homme avait appelé les pompiers en prétendant que sa mère venait d'être victime d'une lourde chute dans les escaliers
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/08/27/le-fils-de-la-victime-place-en-detention.shtml
Le jeune homme est mis en examen pour « violence volontaire sur un ascendant avec ITT supérieure à 8 jours ». Devant le juge des libertés et de la détention, il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été placé en détention provisoire jusqu'à mercredi, date d'une nouvelle audience.
L'enquête ouverte par la sûreté urbaine de Roubaix s'est donc orientée vers la piste du drame familial. La nature des blessures de la victime toujours entre la vie et la mort ainsi que les contradictions dans les déclarations du suspect ont fait pencher la balance. L'homme avait appelé les pompiers en prétendant que sa mère venait d'être victime d'une lourde chute dans les escaliers
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/08/27/le-fils-de-la-victime-place-en-detention.shtml
Ils braquent le "Proxi" à la bombe lacrymogène
Il était 13 h 45 hier. En ce début d'après-midi pluvieux, le long de la RD 813, il n'y avait à l'intérieur du magasin Proxi qui tient lieu aussi de bureau de tabac et de dépôt de presse qu'une employée et l'épouse du gérant. À ce moment-là, deux individus d'allure jeune, cagoulés font irruption dans le commerce et en criant exigent le tiroir-caisse. Pour démontrer que leurs intentions sont tout sauf une mauvaise plaisanterie ils brandissent une bombe lacrymogène et appuient copieusement dessus en direction des visages des deux femmes. Jusqu'à en pleurer… Qui sous cette menace lacrymale remettent le contenu du tiroir-caisse et voit le duo s'échapper à pied vers l'intérieur du village.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/27/1154403-saint-porquier-ils-braquent-le-proxi-a-la-lacrymogene.html
Un plan Épervier rapidement levé
Dans les minutes qui suivent ce braquage l'alerte est donnée en direction des gendarmes de la COB de Montech. De par la situation géographique de Saint-Porquier c'est d'ailleurs l'ensemble du groupement de gendarmerie de Tarn-et-Garonne qui se mobilise. Sous la direction du commandant Jean-Paul Bareigts qui commande la compagnie de Montauban avec son adjoint le capitaine Didier Romieu le dispositif est mis en place. Sur les lieux on trouve aussi le commandant de la compagnie de Castelsarrasin, le capitaine Cédric Lambert venu soutenir le dispositif avec les militaires de la communauté de brigades de Moissac ainsi que les pelotons de surveillance et d'intervention (PSIG) de Montauban et Castelsarrasin. En milieu d'après-midi, le plan Épervier est levé sans avoir pu retrouver la trace des braqueurs. Qui auraient pu avoir planqué plus loin un scooter ou une Renault-Clio noire selon des témoins. Le butin dérobé par cet acte crapuleux tourne autour de 300 € et un peu de monnaie. C'est maintenant aux gendarmes de la BR de Montauban et à ceux de l'identité criminelle de poursuivre une enquête qui semble a priori assez délicate.Déjà en octobre 2008 deux individus ...
Pour l'actuel gérant du magasin « Proxi » c'est le quatrième braquage ou acte delictueux dont son enseigne est victime depuis qu'il l'a reprise. Ainsi ,le premier octobre 2008, deux individus cagoulés avaient emporté le tiroir-caisse après des menaces verbales mais sans arme brandie . Ils s'étaient enfuis à bord d'une Ford Fiesta volée la veille à Castelsarrasin et retrouvée brûlée.sur les berges du lac de Fourrière à Castelsarrasin.http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/27/1154403-saint-porquier-ils-braquent-le-proxi-a-la-lacrymogene.html
Un homme décède happé par le train
Un Castonétois âgé d’une trentaine d’années a perdu la vie, hier à midi à hauteur du passage à niveau situé boulevard des Balquières, au pied des Costes-Rouges à Onet-le-Château . L’homme se serait mis en travers de la voie à l’instant où circulait le Rodez-Brive, qui venait de quitter la gare. La motrice a pu stopper une vingtaine de mètres plus loin mais le malheureux est probablement mort au moment de l’impact.
Les 70 passagers du Rodez-Brive ont tous été évacués et transférés dans des autobus affrétés par la SNCF, le train étant immobilisé deux bonnes heures pour les besoins de l’enquête. Cette dernière, diligentée par les policiers ruthénois devra faire la lumière sur les causes de ce drame, un acte désespéré de la victime n’étant pas à exclure.
http://www.midilibre.fr/2011/08/26/un-homme-decede-happe-par-le-train,377659.php
Les 70 passagers du Rodez-Brive ont tous été évacués et transférés dans des autobus affrétés par la SNCF, le train étant immobilisé deux bonnes heures pour les besoins de l’enquête. Cette dernière, diligentée par les policiers ruthénois devra faire la lumière sur les causes de ce drame, un acte désespéré de la victime n’étant pas à exclure.
http://www.midilibre.fr/2011/08/26/un-homme-decede-happe-par-le-train,377659.php
La brigade canine interpelle un voleur la main dans le sac
Les faits ainsi que la spectaculaire interpellation par les fonctionnaires de police de la brigade canine du commissariat de Charleville-Mézières se sont déroulés mercredi soir aux alentours de minuit dans le quartier Saint-Julien.
Il était 23 h 50, lorsque les policiers de la brigade canine qui patrouillaient dans le secteur de Manchester en direction du quartier Saint-Julien ont aperçu un adolescent de 17 ans sortir d'un véhicule et prendre la fuite en voyant la voiture de police.
Un autre individu qui se trouvait aussi dans la voiture a également pris ses jambes à son cou pour échapper à la police.
Les fonctionnaires ont pris en chasse le premier individu qui avait pris la fuite en lâchant le chien à ses trousses. Interpellé, il a été placé en garde à vue.
Son complice, âgé de 19 ans qui n'a pas pu être interpellé le soir même, a été localisé lors de l'enquête. Hier vers 6 heures du matin, les policiers l'ont cueilli au domicile de ses parents. Il a été placé en garde à vue.
Les deux individus qui sont des primo délinquants ont reconnu avoir visité sept voitures dans la nuit, s'arrêtant uniquement sur les véhicules que les propriétaires avaient oublié de verrouiller. Tout ça pour un butin pas très important, composé de quelques euros récupérés dans les cendriers, ou encore d'appareils GPS. Ils ont fait l'objet d'une composition pénale.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/la-brigade-canine-interpelle-un-voleur-la-main-dans-le-sac
Il était 23 h 50, lorsque les policiers de la brigade canine qui patrouillaient dans le secteur de Manchester en direction du quartier Saint-Julien ont aperçu un adolescent de 17 ans sortir d'un véhicule et prendre la fuite en voyant la voiture de police.
Un autre individu qui se trouvait aussi dans la voiture a également pris ses jambes à son cou pour échapper à la police.
Les fonctionnaires ont pris en chasse le premier individu qui avait pris la fuite en lâchant le chien à ses trousses. Interpellé, il a été placé en garde à vue.
Son complice, âgé de 19 ans qui n'a pas pu être interpellé le soir même, a été localisé lors de l'enquête. Hier vers 6 heures du matin, les policiers l'ont cueilli au domicile de ses parents. Il a été placé en garde à vue.
Les deux individus qui sont des primo délinquants ont reconnu avoir visité sept voitures dans la nuit, s'arrêtant uniquement sur les véhicules que les propriétaires avaient oublié de verrouiller. Tout ça pour un butin pas très important, composé de quelques euros récupérés dans les cendriers, ou encore d'appareils GPS. Ils ont fait l'objet d'une composition pénale.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/la-brigade-canine-interpelle-un-voleur-la-main-dans-le-sac
vendredi 26 août 2011
Un homme enlevé puis séquestré avec son épouse
Tandis qu'il promenait son chien le long du port de Morlaix, un jeune retraité saint-martinois a été enlevé par trois ou quatre individus qui circulaient à bord d'une voiture. Les faits remontent au 28juillet dernier, alors qu'il était environ 21h. Une fois dans la voiture, le retraité a été contraint de donner sa carte bancaire. Tandis que l'un des malfaiteurs restait dans la voiture avec le Saint-Martinois, les autres se sont rendus au distributeur, mais la victime leur avait donné un mauvais numéro.
Les agresseurs n'ont donc pu retirer de l'argent. Le retraité a alors reçu des coups avant de, finalement, donner le bon numéro. Mais la carte a été «avalée» par le distributeur sans que des billets n'aient pu être retirés. Les individus se sont ensuite rendus au domicile du Saint-Martinois où ils l'ont enfermé dans une pièce avec sa femme. Ils sont repartis au volant des deux voitures de leurs victimes, emportant des bijoux et un peu d'argent. Quelques jours plus tard, l'un des agresseurs présumés a été interpellé au volant de l'une des deux voitures volées. Ce Brestois, âgé d'une trentaine d'années aurait reconnu les faits sans toutefois donner le nom de ses complices. Il a été placé en détention provisoire. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Brest. Quant au couple saint-martinois, il a été profondément traumatisé par cette agression.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/morlaix-un-homme-enleve-puis-sequestre-avec-son-epouse-26-08-2011-1410058.php
Les agresseurs n'ont donc pu retirer de l'argent. Le retraité a alors reçu des coups avant de, finalement, donner le bon numéro. Mais la carte a été «avalée» par le distributeur sans que des billets n'aient pu être retirés. Les individus se sont ensuite rendus au domicile du Saint-Martinois où ils l'ont enfermé dans une pièce avec sa femme. Ils sont repartis au volant des deux voitures de leurs victimes, emportant des bijoux et un peu d'argent. Quelques jours plus tard, l'un des agresseurs présumés a été interpellé au volant de l'une des deux voitures volées. Ce Brestois, âgé d'une trentaine d'années aurait reconnu les faits sans toutefois donner le nom de ses complices. Il a été placé en détention provisoire. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Brest. Quant au couple saint-martinois, il a été profondément traumatisé par cette agression.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/morlaix-un-homme-enleve-puis-sequestre-avec-son-epouse-26-08-2011-1410058.php
La tueuse à la clé à molette avoue deux ans après
Écrouée depuis février 2010, une femme de 42 ans, soupçonnée du meurtre d'Isabelle Estève, retrouvée morte le 3 octobre 2009, à Toulouse, a reconnu avoir frappé la jeune femme avec une clé à molette.
Près de deux ans après le meurtre d'Isabelle Estève, femme de ménage de 38 ans, tuée sauvagement à son domicile toulousain, rue du Féretra, le 3 octobre 2009, cette affaire criminelle vient de s'enrichir d'un élément de poids.
Mercredi, devant la juge d'instruction, la principale mise en cause, Sandrine M., 42 ans, ancienne magasinière dans un supermarché, est passée aux aveux. Elle a reconnu avoir fracassé, au matin du 3 octobre 2009, le crâne de la jeune femme avec une clé à molette. « Cela a été très difficile pour elle de l'admettre, précise son avocat Me Laurent Boguet. Sa santé psychique est aujourd'hui très fragile. Le mobile de ce crime lui échappe complètement. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/26/1153747-la-tueuse-a-la-cle-a-molette-avoue-deux-ans-apres.html
Près de deux ans après le meurtre d'Isabelle Estève, femme de ménage de 38 ans, tuée sauvagement à son domicile toulousain, rue du Féretra, le 3 octobre 2009, cette affaire criminelle vient de s'enrichir d'un élément de poids.
Mercredi, devant la juge d'instruction, la principale mise en cause, Sandrine M., 42 ans, ancienne magasinière dans un supermarché, est passée aux aveux. Elle a reconnu avoir fracassé, au matin du 3 octobre 2009, le crâne de la jeune femme avec une clé à molette. « Cela a été très difficile pour elle de l'admettre, précise son avocat Me Laurent Boguet. Sa santé psychique est aujourd'hui très fragile. Le mobile de ce crime lui échappe complètement. »
Rebondissement
Le 3 octobre 2009, vers 21 h 30, Isabelle Estève est découverte morte par son compagnon dans leur domicile, une petite maison située dans le quartier d'Empalot. Très vite, les policiers de la brigade criminelle placent en garde à vue deux proches : le compagnon de la victime et une femme, hébergée chez eux, acculée par les dettes. Les deux suspects ressortent libres du commissariat. Mais quatre mois plus tard, l'ADN prélevé sur les lieux du crime livre son verdict : du sang appartenant à la victime mêlé à celui de Sandrine M. est retrouvé sur un porte chéquier d'Isabelle Estève et sur un mur de la maison. Des chèques au nom de la victime sont encaissés sur le compte bancaire de la principale suspecte. Malgré les charges accablantes, Sandrine M. nie les accusations de meurtre. Le 11 février 2010, elle est mise en examen et écrouée. Seuls les aveux manquent au dossier. Mercredi, le travail de l'instruction a permis d'y voir plus clair. Au matin du 3 octobre 2009, la jeune femme fait un crochet par la rue du Féretra avant de se rendre à son travail, avenue de Lombez, à Toulouse. Elle veut récupérer un sweat. Elle ouvre la porte d'entrée avec les clés et tombe sur Isabelle Estève qu'elle croyait partie. Sandrine M. aurait indiqué avoir été menacée avec un couteau. Elle se saisit alors d'une clé à molette posée dans le salon et frappe Isabelle Estève au visage. À 27 reprises. Elle s'en va et rejoint son lieu de travail. Pourquoi un tel déchaînement de violence ? « Elle a eu un moment de panique, de peur à la vue du sang… », ajoute Me Boguet. Isabelle Estève, originaire de Marambat, dans le Gers, avait un petit garçon de 2 ans.http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/26/1153747-la-tueuse-a-la-cle-a-molette-avoue-deux-ans-apres.html
Les voleurs foncent sur des policiers : des peines exemplaires
Trois prévenus qui tournent autour du pot et prétendent ne se souvenir de rien : l’audience d’hier n’aura pas permis d’obtenir des aveux circonstanciés des cambrioleurs violents de “Planet Cash” (*). Qui, après avoir volé des portables, matériel hi-fi et informatique, consoles de jeux vidéo et la caisse au passage (Midi Libre de mercredi), ont foncé sur des policiers qui ont ouvert le feu. À toute vitesse, ils ont remonté la route de Perpignan en sens inverse tous feux éteints, avant de se “planter” dans le giratoire de Rochegrise. Par miracle, ni les policiers, ni les quatre ou cinq automobilistes qui ont dû faire des écarts pour les éviter et ni eux-mêmes n’ont été gravement blessés.
Nordine, Jawad et Issam, tous âgés d’une vingtaine d’années et légèrement blessés dans l’accident, ont des souvenirs sélectifs. Ils se rappellent, éventuellement, du cambriolage. Mais pas de ce qui est plus gênant : le vol avec violence et en réunion de la C4 Citroën au cours de la Feria de Béziers. Prétendant qu’ils ont découvert la voiture qui a servi au casse, les vitres ouvertes et la clef sur le contact, abandonnée à Narbonne ! Et que le cambriolage n’était pas préparé alors que gants, cagoules et pieds de biche ont été retrouvés. Ils prétendent aussi, malgré les évidences, qu’ils n’ont pas foncé sur les policiers…
Des explications qui n’ont, évidemment, pas convaincu les juges. Nordine, avec plusieurs condamnations à son casier, est en récidive légale. Il a écopé de quatre ans de prison ferme. Jawad qui a déjà été condamné une fois pour violence en réunion, a été condamné à trois ans de prison ferme. Enfin, Issam, dont le casier était vierge, devra effectuer 30 mois de prison, dont six avec sursis, soit deux ans ferme. Pour tous, le maintien en détention a été décidé. Les policiers ont eu droit à quelques centaines d’euros de dommages et intérêts.
La défense (Mes Fornairon, Masson et Causse) qui assurait que "des zones d’ombre subsistaient dans l’enquête", n’a pas été suivie.
(*) Un quatrième, ]mineur, devait comparaître, hier, devant le juge des enfants de Béziers.
http://www.midilibre.fr/2011/08/25/les-voleurs-foncent-sur-des-policiers-peines-exemplaires,377193.php
Nordine, Jawad et Issam, tous âgés d’une vingtaine d’années et légèrement blessés dans l’accident, ont des souvenirs sélectifs. Ils se rappellent, éventuellement, du cambriolage. Mais pas de ce qui est plus gênant : le vol avec violence et en réunion de la C4 Citroën au cours de la Feria de Béziers. Prétendant qu’ils ont découvert la voiture qui a servi au casse, les vitres ouvertes et la clef sur le contact, abandonnée à Narbonne ! Et que le cambriolage n’était pas préparé alors que gants, cagoules et pieds de biche ont été retrouvés. Ils prétendent aussi, malgré les évidences, qu’ils n’ont pas foncé sur les policiers…
Des explications qui n’ont, évidemment, pas convaincu les juges. Nordine, avec plusieurs condamnations à son casier, est en récidive légale. Il a écopé de quatre ans de prison ferme. Jawad qui a déjà été condamné une fois pour violence en réunion, a été condamné à trois ans de prison ferme. Enfin, Issam, dont le casier était vierge, devra effectuer 30 mois de prison, dont six avec sursis, soit deux ans ferme. Pour tous, le maintien en détention a été décidé. Les policiers ont eu droit à quelques centaines d’euros de dommages et intérêts.
La défense (Mes Fornairon, Masson et Causse) qui assurait que "des zones d’ombre subsistaient dans l’enquête", n’a pas été suivie.
(*) Un quatrième, ]mineur, devait comparaître, hier, devant le juge des enfants de Béziers.
http://www.midilibre.fr/2011/08/25/les-voleurs-foncent-sur-des-policiers-peines-exemplaires,377193.php
Travail clandestin Elle s'improvise tatoueuse : dénoncée par un concurrent
Des tarifs attractifs. Un peu trop… Au point de faire venir de nombreux clients, trop nombreux au goût de la concurrence, dans son atelier de tatouage improvisé à Songy.
Des produits périmés
Une concurrence déloyale qui a sans doute énervé plus d'un tatoueur sur la place. Au point d'être dénoncée par un courrier anonyme…
En quelques mois, Audrey, une jeune femme passionnée par son métier de tatoueur, est passée d'un chiffre d'affaires mensuel de 800 à 1 500 euros. Mais voilà, Audrey n'est pas en règle. Loin de là.
Outre le fait qu'elle exerce son métier de façon clandestine, sans être déclarée, les gendarmes découvriront, lors d'une perquisition effectuée à son domicile, qu'elle utilise du matériel non conforme et non stérile, notamment des encres venues de Chine, en infraction totale avec la législation sur l'hygiène.
La tatoueuse n'a d'ailleurs pas fait la formation de base sur l'hygiène imposée par la profession.
Elle utilise des mouchoirs pour nettoyer la peau, son antiseptique est périmé…
Depuis janvier dernier, elle n'exerce plus. Elle a néanmoins pris conscience des risques qu'elle a fait courir à ses clients.
Elle s'est mise en règle. Sur tous les points. Audrey, dont le rêve est d'avoir son propre magasin, a été condamnée à 4 mois de prison avec sursis.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/chalons-en-champagne-travail-clandestin-elle-simprovise-tatoueuse-denoncee-par-un-conc
Des produits périmés
Une concurrence déloyale qui a sans doute énervé plus d'un tatoueur sur la place. Au point d'être dénoncée par un courrier anonyme…
En quelques mois, Audrey, une jeune femme passionnée par son métier de tatoueur, est passée d'un chiffre d'affaires mensuel de 800 à 1 500 euros. Mais voilà, Audrey n'est pas en règle. Loin de là.
Outre le fait qu'elle exerce son métier de façon clandestine, sans être déclarée, les gendarmes découvriront, lors d'une perquisition effectuée à son domicile, qu'elle utilise du matériel non conforme et non stérile, notamment des encres venues de Chine, en infraction totale avec la législation sur l'hygiène.
La tatoueuse n'a d'ailleurs pas fait la formation de base sur l'hygiène imposée par la profession.
Elle utilise des mouchoirs pour nettoyer la peau, son antiseptique est périmé…
Depuis janvier dernier, elle n'exerce plus. Elle a néanmoins pris conscience des risques qu'elle a fait courir à ses clients.
Elle s'est mise en règle. Sur tous les points. Audrey, dont le rêve est d'avoir son propre magasin, a été condamnée à 4 mois de prison avec sursis.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/chalons-en-champagne-travail-clandestin-elle-simprovise-tatoueuse-denoncee-par-un-conc
jeudi 25 août 2011
Une nuit rocambolesque à l’hôtel Formule 1
La cinquantaine de clients du Formule 1 d’Ecuisses a pris l’initiative d’évacuer l’établissement. La propriétaire, très agitée, avait allumé des bougies dans sa chambre. Récit.
Suite au déclenchement d'une alarme incendie, mardi vers 23 h 30, les sapeurs-pompiers d'Ecuisses et du Creusot sont intervenus à l'hôtel Formule 1, situé sur la commune d'Ecuisses. A leur arrivée, ils ont constaté que les clients de l’hôtel, près d'une cinquantaine, étaient sortis d’eux-mêmes et se trouvaient à l'extérieur de l'établissement.
Après reconnaissance des lieux, les soldats du feu n'ont détecté aucun départ de feu. En revanche, ils ont trouvé que la responsable de l'établissement était très agitée. Elle s'était enfermée dans son appartement avec des bougies allumées placées sous les détecteurs de fumée.
Cet incident a mobilisé 17 sapeurs-pompiers et cinq véhicules dont la grande échelle. La responsable de l'établissement après avoir été examinée et réconfortée a été prise en charge par les sapeurs-pompiers d'Ecuisses qui l'ont transportée à l'hôpital du Creusot. Vers 0 h 45, tous les clients de l'hôtel ont pu regagner leurs chambres. Sur place on notait la présence des militaires de la communauté de brigades de gendarmerie de Montchanin
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/08/25/une-nuit-rocambolesque-a-l-hotel-formule-1
Suite au déclenchement d'une alarme incendie, mardi vers 23 h 30, les sapeurs-pompiers d'Ecuisses et du Creusot sont intervenus à l'hôtel Formule 1, situé sur la commune d'Ecuisses. A leur arrivée, ils ont constaté que les clients de l’hôtel, près d'une cinquantaine, étaient sortis d’eux-mêmes et se trouvaient à l'extérieur de l'établissement.
Après reconnaissance des lieux, les soldats du feu n'ont détecté aucun départ de feu. En revanche, ils ont trouvé que la responsable de l'établissement était très agitée. Elle s'était enfermée dans son appartement avec des bougies allumées placées sous les détecteurs de fumée.
Un réveil en sursaut
Christophe Rousseau, de la région de Strasbourg qui a fait halte au Formule 1 pour se reposer, raconte qu'il a été réveillé en sursaut par cette alarme. Aussitôt il s'est habillé et c'est alors qu'il a entendu des cris qui provenaient de l'appartement de la responsable. Il raconte que « ne voyant ni flammes, ni fumée, je me suis approché de l'appartement où se trouvait enfermée la dame et lui demandait si elle avait besoin d'aide, c'est alors qu'elle s'est mise à hurler des insanités, ses cris étaient stridents, alors aussitôt j'ai appelé les pompiers qui sont arrivés très rapidement… » Une famille allemande qui partait en vacances avait choisi de faire halte dans cet hôtel pour se reposer avant de continuer la route en direction des Landes, une nuit écourtée précise le père de famille.Cet incident a mobilisé 17 sapeurs-pompiers et cinq véhicules dont la grande échelle. La responsable de l'établissement après avoir été examinée et réconfortée a été prise en charge par les sapeurs-pompiers d'Ecuisses qui l'ont transportée à l'hôpital du Creusot. Vers 0 h 45, tous les clients de l'hôtel ont pu regagner leurs chambres. Sur place on notait la présence des militaires de la communauté de brigades de gendarmerie de Montchanin
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/08/25/une-nuit-rocambolesque-a-l-hotel-formule-1
Des cyclotouristes attaqués à Trappes
Lors de la 17ème randonnée cyclotouristique Paris-Brest-Paris, plusieurs participants se sont plaints d'avoir reçu des pierres ou des plombs au niveau de l'avenue Salvador-Allende à Trappes. Les concurrents qui se sont élancés dimanche de Guyancourt sont sur le chemin du retour depuis mardi.
L'antenne médicale, basée au gymnase des Droits de l'homme à Guyancourt, a pris en charge ce jeudi vers 2 h 45 du matin, un concurrent taïwanais blessé très légèrement au mollet gauche par une pierre. Soigné par l'équipe de la Croix-Rouge, il ne désire pas déposer plainte.
Les policiers ont bien relevé la présence de pierres sur la chaussée mais n'ont pas trouvé trace des auteurs.
Après l'arrivée des derniers concurrents, une cérémonie de clôture est prévue dans l'après-midi de jeudi à Guyancourt.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/des-cyclotouristes-attaques-a-trappes-25-08-2011-1578507.php
L'antenne médicale, basée au gymnase des Droits de l'homme à Guyancourt, a pris en charge ce jeudi vers 2 h 45 du matin, un concurrent taïwanais blessé très légèrement au mollet gauche par une pierre. Soigné par l'équipe de la Croix-Rouge, il ne désire pas déposer plainte.
Les policiers ont bien relevé la présence de pierres sur la chaussée mais n'ont pas trouvé trace des auteurs.
Après l'arrivée des derniers concurrents, une cérémonie de clôture est prévue dans l'après-midi de jeudi à Guyancourt.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/des-cyclotouristes-attaques-a-trappes-25-08-2011-1578507.php
Un homme tué par un frelon asiatique
Les frelons asiatiques sont de plus en plus nombreux et agressifs dans notre région. Samedi soir un homme de 38 ans, demeurant à Lherm, dans la banlieue de Muret a été piqué. Il a succombé quelques minutes plus tard.
Pour la première fois dans notre région, le frelon asiatique a tué. Un homme de 38 ans, domicilié à Lherm dans la banlieue de Muret a été piqué à la main, samedi vers 23 heures. Il a succombé quelques minutes plus tard. Arrivé sur les lieux, le médecin du Samu de Purpan n'a pu malheureusement que constater le décès. Le permis d'inhumer a été signé immédiatement, la cause de la mort ne faisant aucun doute. Patrice Verry né en 1973, dans la région parisienne, père de trois enfants, était bien mort des suites de la piqûre d'un frelon asiatique. Commercial dans la société Thiriet de Lherm, le défunt était arrivé à Lherm voici trois mois. En attendant de trouver un appartement, il logeait dans un mobil home, installé dans la propriété privée du château de Jottes, 137 route de Rieumes.
Patrice avait déjà été piqué, sans conséquence, voici une quinzaine de jours, révèlent son père Jean-Pierre et sa tante Michèle qui aujourd'hui pleurent un être cher, profondément attachant. « C'était un grand cœur, passionné de rugby, généreux » nous disent-ils. Séparé de son épouse, le défunt laisse dans la douleur trois enfants de 7,9 et 11 ans. Ses obsèques se dérouleront vendredi à Muret. Son corps sera ensuite incinéré et ses cendres reposeront à Lesches (Seine-et-Marne) aux côtés de sa maman.
Hier Jean Aycaguer, maire de Lherm nous confiait son inquiétude face à « l'explosion » du nombre de nids de frelons asiatiques de plus en plus agressifs dans sa commune. « Je suis intervenu » tout récemment encore auprès d'une personne âgée. « Nos communes sont impuissantes, il faut faire appel à une entreprise privée de destruction de frelons Et le coût moyen est de 100 euros » dit-il.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/25/1153066-lherm-un-homme-tue-par-un-frelon-asiatique.html
Pour la première fois dans notre région, le frelon asiatique a tué. Un homme de 38 ans, domicilié à Lherm dans la banlieue de Muret a été piqué à la main, samedi vers 23 heures. Il a succombé quelques minutes plus tard. Arrivé sur les lieux, le médecin du Samu de Purpan n'a pu malheureusement que constater le décès. Le permis d'inhumer a été signé immédiatement, la cause de la mort ne faisant aucun doute. Patrice Verry né en 1973, dans la région parisienne, père de trois enfants, était bien mort des suites de la piqûre d'un frelon asiatique. Commercial dans la société Thiriet de Lherm, le défunt était arrivé à Lherm voici trois mois. En attendant de trouver un appartement, il logeait dans un mobil home, installé dans la propriété privée du château de Jottes, 137 route de Rieumes.
Foudroyée en quelques minutes
Samedi avec plusieurs de ses nombreux amis, il avait organisé une soirée barbecue dans le parc du château. Vers 23 heures alors que plusieurs frelons asiatiques vibrionnaient autour de la grillade, Patrice à l'aide d'un torchon a voulu les éloigner témoigne un des convives. Et c'est alors qu'une de ces « bestioles » a fondu sur son bras, le piquant à la main. La victime s'est sentie mal et quelques minutes plus tard comme foudroyée, s'écroulait au sol perdant connaissance. Il n'y avait malheureusement plus rien à faire. A leur arrivée les secouristes constataient le décès, de même que Jean Aycaguer, maire de Lherm alerté lui aussi par les gendarmes de Muret.Patrice avait déjà été piqué, sans conséquence, voici une quinzaine de jours, révèlent son père Jean-Pierre et sa tante Michèle qui aujourd'hui pleurent un être cher, profondément attachant. « C'était un grand cœur, passionné de rugby, généreux » nous disent-ils. Séparé de son épouse, le défunt laisse dans la douleur trois enfants de 7,9 et 11 ans. Ses obsèques se dérouleront vendredi à Muret. Son corps sera ensuite incinéré et ses cendres reposeront à Lesches (Seine-et-Marne) aux côtés de sa maman.
Hier Jean Aycaguer, maire de Lherm nous confiait son inquiétude face à « l'explosion » du nombre de nids de frelons asiatiques de plus en plus agressifs dans sa commune. « Je suis intervenu » tout récemment encore auprès d'une personne âgée. « Nos communes sont impuissantes, il faut faire appel à une entreprise privée de destruction de frelons Et le coût moyen est de 100 euros » dit-il.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/25/1153066-lherm-un-homme-tue-par-un-frelon-asiatique.html
La série noire sur la Seine continue
Elle a glissé lentement, selon les témoins. Puis elle a basculé. Hier matin, à 9 heures, une Ford Fiesta a plongé dans la Seine au niveau du pont d’Iéna, côté XVIe. Elle a surnagé quelques instants avant de s’enfoncer dans le fleuve. L’alerte a aussitôt été donnée. Les hommes de la brigade fluviale sont arrivés dans les minutes qui suivent. « Les hommes ont plongé tout de suite. Leur priorité était de sauver le conducteur », indique un policier. Les pompiers et le Samu, arrivés également sur place, ont pu donner les premiers secours à la victime qui avait subi un grave arrêt respiratoire. Par la suite, l’homme, âgé de 60 ans et domicilié dans le XVIe, est décédé. Selon les premiers éléments de l’enquête, il était considéré comme « fragile ».
Le travail des hommes de la fluviale n’était pas terminé. Il a fallu ensuite remonter la voiture. « Des ballons de relevage ont été fixés au véhicule », commente un responsable. Et par facilité technique, c’est côté VIIe, sur le quai Branly, juste à côté de la tour Eiffel, que la Ford a été remontée. Feux allumés, les clés étaient toujours sur le contact.
Un nombre élevé d’interventions ces derniers jours
Pour les 90 hommes de la brigade fluviale de Paris, les missions s’enchaînent jour après jour. En 2010, ils avaient sauvé 132 personnes de la noyade et ont dû déplorer le décès de 47 victimes sur sa zone d’intervention (des Hauts-de-Seine au Val-de-Marne) durant la même période.
Le drame d’hier arrive après un nombre élevé d’interventions ces derniers jours. Ainsi, le week-end dernier, avec les sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), ils ont enchaîné les sauvetages. Dans la nuit de vendredi à samedi, ils ont sauvé de la noyade « un imprudent » qui a fait une chute au niveau du pont Alexandre-III (VIIe). Il a heureusement pu être confié à ses proches... totalement trempé. Samedi, en début d’après-midi, un quadragénaire a été retrouvé en train de nager dans le port des Tuileries (Ier). L’homme repêché venait de s’échapper d’un hôpital psychiatrique du XVIIIe. Il faisait l’objet de recherches depuis le 16 août à Paris. Presque au même moment, un trentenaire enjambe le parapet du pont du RER C, quai Saint-Bernard (Ve), à proximité des locaux de la brigade fluviale. Un acte désespéré. Mais sa tentative de suicide a pu être arrêtée de justesse grâce à la force de persuasion des plongeurs...
En outre, les hommes de la brigade fluviale doivent aussi lutter contre les défis nocturnes que se lancent des jeunes. Dans la nuit de samedi à dimanche, trois hommes de 25 ans ont en effet tenté de traverser la Seine à la nage. « Dès qu’il fait chaud, les gens veulent mettre un pied à l’eau. Mais c’est interdit de traverser la Seine à la nage », confirme un policier. Ils ont aussitôt été verbalisés. Au même moment, deux autres jeunes ont été surpris en train d’escalader un bateau à passagers. Ils ont été arrêtés juste avant de plonger...
http://www.leparisien.fr/paris-75/la-serie-noire-sur-la-seine-continue-25-08-2011-1577706.php
Le travail des hommes de la fluviale n’était pas terminé. Il a fallu ensuite remonter la voiture. « Des ballons de relevage ont été fixés au véhicule », commente un responsable. Et par facilité technique, c’est côté VIIe, sur le quai Branly, juste à côté de la tour Eiffel, que la Ford a été remontée. Feux allumés, les clés étaient toujours sur le contact.
Un nombre élevé d’interventions ces derniers jours
Pour les 90 hommes de la brigade fluviale de Paris, les missions s’enchaînent jour après jour. En 2010, ils avaient sauvé 132 personnes de la noyade et ont dû déplorer le décès de 47 victimes sur sa zone d’intervention (des Hauts-de-Seine au Val-de-Marne) durant la même période.
Le drame d’hier arrive après un nombre élevé d’interventions ces derniers jours. Ainsi, le week-end dernier, avec les sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), ils ont enchaîné les sauvetages. Dans la nuit de vendredi à samedi, ils ont sauvé de la noyade « un imprudent » qui a fait une chute au niveau du pont Alexandre-III (VIIe). Il a heureusement pu être confié à ses proches... totalement trempé. Samedi, en début d’après-midi, un quadragénaire a été retrouvé en train de nager dans le port des Tuileries (Ier). L’homme repêché venait de s’échapper d’un hôpital psychiatrique du XVIIIe. Il faisait l’objet de recherches depuis le 16 août à Paris. Presque au même moment, un trentenaire enjambe le parapet du pont du RER C, quai Saint-Bernard (Ve), à proximité des locaux de la brigade fluviale. Un acte désespéré. Mais sa tentative de suicide a pu être arrêtée de justesse grâce à la force de persuasion des plongeurs...
En outre, les hommes de la brigade fluviale doivent aussi lutter contre les défis nocturnes que se lancent des jeunes. Dans la nuit de samedi à dimanche, trois hommes de 25 ans ont en effet tenté de traverser la Seine à la nage. « Dès qu’il fait chaud, les gens veulent mettre un pied à l’eau. Mais c’est interdit de traverser la Seine à la nage », confirme un policier. Ils ont aussitôt été verbalisés. Au même moment, deux autres jeunes ont été surpris en train d’escalader un bateau à passagers. Ils ont été arrêtés juste avant de plonger...
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Il agresse à l'arme blanche le «voisin du dessus»
De l'alcool, de la chaleur, de la moiteur et de l'énervement…
Lundi vers 21 h 50, le ton est vite monté dans un immeuble de la rue de Normandie, dans le quartier du Mont-Saint-Michel de Châlons-en-Champagne.
Beaucoup de bruit et des bouteilles jetées par la fenêtre, le sang d'un jeune Châlonnais de 16 ans et demi qui craignait que la voiture de sa mère ne soit touchée par un projectile, n'a fait qu'un tour.
Aussi en ce début de soirée, il s'est saisi d'un couteau dans l'appartement familial avant de monter à l'étage supérieur chez les « locataires du dessus » visiblement bruyants. Conflit de voisinage, il a alors frappé à la porte avant d'asséner un coup de couteau à l'un des jeunes du groupe, un Châlonnais de 21 ans qui a priori « avait lui aussi saisi une arme blanche », précise le procureur de la République de Châlons-en-Champagne, Christian de Rocquigny du Fayel.
Toujours en garde à vue
Touchée par le Laguiole dans le flanc gauche, la victime a aussitôt été prise en charge par les sapeurs-pompiers de la ville-préfecture qui l'ont conduite au centre hospitalier.
Hospitalisée en chirurgie, cette victime s'est vu notifier douze jours d'ITT (interruption temporaire de travail) au regard des blessures constatées.
« Le coup de couteau asséné aurait pu avoir des conséquences beaucoup plus graves », poursuit le représentant du parquet de Châlons-en-Champagne qui signale au passage que l'auteur de l'infraction n'était pas alcoolisé au moment des faits.
Toujours placé en garde à vue à l'heure de ces lignes, le jeune homme de 16 ans et demi devrait être déféré ce jour devant un juge pour enfants afin d'être mis en examen.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-donne-un-coup-de-couteau-au-voisin-du-dessus
Lundi vers 21 h 50, le ton est vite monté dans un immeuble de la rue de Normandie, dans le quartier du Mont-Saint-Michel de Châlons-en-Champagne.
Beaucoup de bruit et des bouteilles jetées par la fenêtre, le sang d'un jeune Châlonnais de 16 ans et demi qui craignait que la voiture de sa mère ne soit touchée par un projectile, n'a fait qu'un tour.
Aussi en ce début de soirée, il s'est saisi d'un couteau dans l'appartement familial avant de monter à l'étage supérieur chez les « locataires du dessus » visiblement bruyants. Conflit de voisinage, il a alors frappé à la porte avant d'asséner un coup de couteau à l'un des jeunes du groupe, un Châlonnais de 21 ans qui a priori « avait lui aussi saisi une arme blanche », précise le procureur de la République de Châlons-en-Champagne, Christian de Rocquigny du Fayel.
Toujours en garde à vue
Touchée par le Laguiole dans le flanc gauche, la victime a aussitôt été prise en charge par les sapeurs-pompiers de la ville-préfecture qui l'ont conduite au centre hospitalier.
Hospitalisée en chirurgie, cette victime s'est vu notifier douze jours d'ITT (interruption temporaire de travail) au regard des blessures constatées.
« Le coup de couteau asséné aurait pu avoir des conséquences beaucoup plus graves », poursuit le représentant du parquet de Châlons-en-Champagne qui signale au passage que l'auteur de l'infraction n'était pas alcoolisé au moment des faits.
Toujours placé en garde à vue à l'heure de ces lignes, le jeune homme de 16 ans et demi devrait être déféré ce jour devant un juge pour enfants afin d'être mis en examen.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-donne-un-coup-de-couteau-au-voisin-du-dessus
mercredi 24 août 2011
Le centre de Paris privé de courant
Depuis 16 heures, plusieurs arrondissements du centre de Paris sont privés d'électricité. Selon ERDF, quelque 85 000 clients font face à une coupure de courant dont 40 000 pour le seul IIe arrondissement. Sur le réseau social Twitter, plusieurs Parisiens rapportent des pannes à la gare du Nord ou encore dans le centre commercial du Forum des Halles dans le quartier du Châtelet.
C'est une radiale, une énorme ligne souterraine de 125.000 volts du transport RTE qui a un souci, ils sont en train de faire des manoeuvres de reprise et cela devrait être rétabli prochainement», a déclaré à l'AFP une porte-parole d'ERDF.
http://www.leparisien.fr/paris-75/le-centre-de-paris-prive-de-courant-24-08-2011-1577403.php
C'est une radiale, une énorme ligne souterraine de 125.000 volts du transport RTE qui a un souci, ils sont en train de faire des manoeuvres de reprise et cela devrait être rétabli prochainement», a déclaré à l'AFP une porte-parole d'ERDF.
http://www.leparisien.fr/paris-75/le-centre-de-paris-prive-de-courant-24-08-2011-1577403.php
Drame de Vaise : pour la famille de la victime, l’accident ne fait aucun doute
Mehdi Ben Messaoud avait eu 20 ans le 8 mai. Son ami d’enfance, Billele, va en avoir 19 dans quelques jours. Les circonstances avec lesquelles ils manipulaient une arme de gros calibre, dimanche soir dans la cave d’un immeuble de la rue Louis-Loucheur, restent encore à déterminer. Ils étaient persuadés que le 357 Magnum n’était pas approvisionné. Il y avait hélas une balle qui a atteint mortellement Mehdi à la tête. Le jeu a tourné au drame.
Hier, dans l’immeuble de la rue Jean-Zay où la famille Ben Messaoud vit depuis vingt-trois ans, les proches, les amis et les voisins se sont succédé pour apporter leur soutien. Dans la matinée, la mère de Billele a fait courageusement le déplacement. Le père de Mehdi l’a accueillie les bras ouverts. « On a accueilli sa famille parce qu’on ne veut pas de vengeance, de représailles. On veut que tout se passe dans le calme. Billele, c’était un ami d’enfance de mon fils. Quand il venait à la maison, il ouvrait le frigo comme si c’était chez lui. Si demain, il revient dans le quartier, il faudra que tout le monde l’aide car pour lui, c’est aussi difficile à vivre que pour nous. Mon fils est parti, mais il ne faut pas qu’il y ait une deuxième victime. Tout le monde sait ici que c’est un accident ». Cet homme de 54 ans, que ses amis décrivent comme profondément bon et généreux, va même plus loin : « Qu’est ce que la prison va résoudre ? Il a déjà pris au moins vingt ans dans sa tête. Par contre, il faut que la mort de mon fils serve de leçon. On ne s’amuse pas avec des armes ».
Mehdi Ben Messsaoud avait 20 ans et la vie devant lui. Dans le quartier, c’était le copain que tout le monde voulait avoir : « Il était toujours prêt à donner sa chemise. C’était quelqu’un de gentil et de sensible. Quand il partait au Maroc pour les vacances, il pleurait au moment de quitter ses amis. Puis pleurait à nouveau quand il fallait dire au revoir à la famille. L’amitié et la famille, c’était très important pour lui », se souvient un ami proche. Marqué par le décès de sa grand-mère il y a quelques années, Mehdi avait laissé tomber l’école mais aspirait à effectuer une formation, à la rentrée, pour occuper un poste de médiateur dans les TCL. Il laisse ses parents, son frère et sa sœur aînés, et toute une famille meurtrie. Ahmed veut pour sa part faire passer un dernier message : « Je veux rendre hommage aux policiers, aux médecins. Ils nous ont écoutés, apporté du soulagement et ont été très respectueux dans la mort ».
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/08/24/drame-de-vaise-pour-la-famille-de-la-victime-l-accident-ne-fait-aucun-doute
Hier, dans l’immeuble de la rue Jean-Zay où la famille Ben Messaoud vit depuis vingt-trois ans, les proches, les amis et les voisins se sont succédé pour apporter leur soutien. Dans la matinée, la mère de Billele a fait courageusement le déplacement. Le père de Mehdi l’a accueillie les bras ouverts. « On a accueilli sa famille parce qu’on ne veut pas de vengeance, de représailles. On veut que tout se passe dans le calme. Billele, c’était un ami d’enfance de mon fils. Quand il venait à la maison, il ouvrait le frigo comme si c’était chez lui. Si demain, il revient dans le quartier, il faudra que tout le monde l’aide car pour lui, c’est aussi difficile à vivre que pour nous. Mon fils est parti, mais il ne faut pas qu’il y ait une deuxième victime. Tout le monde sait ici que c’est un accident ». Cet homme de 54 ans, que ses amis décrivent comme profondément bon et généreux, va même plus loin : « Qu’est ce que la prison va résoudre ? Il a déjà pris au moins vingt ans dans sa tête. Par contre, il faut que la mort de mon fils serve de leçon. On ne s’amuse pas avec des armes ».
Mehdi Ben Messsaoud avait 20 ans et la vie devant lui. Dans le quartier, c’était le copain que tout le monde voulait avoir : « Il était toujours prêt à donner sa chemise. C’était quelqu’un de gentil et de sensible. Quand il partait au Maroc pour les vacances, il pleurait au moment de quitter ses amis. Puis pleurait à nouveau quand il fallait dire au revoir à la famille. L’amitié et la famille, c’était très important pour lui », se souvient un ami proche. Marqué par le décès de sa grand-mère il y a quelques années, Mehdi avait laissé tomber l’école mais aspirait à effectuer une formation, à la rentrée, pour occuper un poste de médiateur dans les TCL. Il laisse ses parents, son frère et sa sœur aînés, et toute une famille meurtrie. Ahmed veut pour sa part faire passer un dernier message : « Je veux rendre hommage aux policiers, aux médecins. Ils nous ont écoutés, apporté du soulagement et ont été très respectueux dans la mort ».
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/08/24/drame-de-vaise-pour-la-famille-de-la-victime-l-accident-ne-fait-aucun-doute
Meurtre de Villeneuve-Lécussan : le mobile crapuleux mis en avant
Philippe Geneste l'ouvrier agricole de Cantaous soupçonné d'avoir étranglé son patron Jean Ibos et demandé une rançon de 500.000 € a été mis en examen, hier soir. Une information judiciaire pour assassinat et tentative d'extorsion de fonds a été ouverte.
Philippe Geneste, ouvrier agricole de 42 ans a été présenté hier soir au tribunal de Toulouse où une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et tentative d'extorsion. Il est soupçonné d'avoir tué son patron, Jean Ibos, 75 ans, paisible retraité d'une exploitation agricole à Villeneuve Lecussan, dans le Comminges, au Sud de la Haute-Garonne. Ce suspect domicilié dans les Hautes-Pyrénées, marié et père de deux enfants devait être mis en examen et écroué à l'issue d'auditions qui se prolongeaient hier soir à l'heure où nous mettions sous presse.
Dimanche soir, les policiers du SRPJ de Toulouse ont interpellé cet employé agricole entre Pinas et Villeneuve-Lecussan. Cet homme arrivé depuis un an et demi dans cette propriété familiale pour y travailler est soupçonné d'avoir étranglé son patron et d'avoir tenté de demander une rançon de 500 000€ à sa famille, au terme d'un scénario machiavélique. Il communiquait avec la famille via des SMS envoyés depuis son téléphone portable. Pour ne pas éveiller les soupçons des policiers du SRPJ de Toulouse, il a fait croire que son téléphone était entre les mains d'un groupe terroriste qui l'avait également kidnappé. Mais le scénario a été très vite démonté par les enquêteurs après 3 jours de surveillances entre Villeneuve Lecussan et son domicile. « Pour nous, il avait tout prémédité », témoigne, Michel Ibos, le fils de Jean Ibos qui gère l'exploitation familiale. « Il n'y a jamais eu de conflits ou de mauvaises relations entre lui et nous. Il a fait tout ça pour l'argent. Mais aujourd'hui, c'est un immense gâchis. Dans cette affaire il y a deux familles brisées », poursuit-il. La famille de Jean Ibos entretenait des relations amicales avec le mis en cause et sa famille. « On tombe des nues ! On ne comprend toujours pas pourquoi il a fait tout ça. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/24/1152299-meurtre-le-mobile-crapuleux-mis-en-avant.html
Philippe Geneste, ouvrier agricole de 42 ans a été présenté hier soir au tribunal de Toulouse où une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et tentative d'extorsion. Il est soupçonné d'avoir tué son patron, Jean Ibos, 75 ans, paisible retraité d'une exploitation agricole à Villeneuve Lecussan, dans le Comminges, au Sud de la Haute-Garonne. Ce suspect domicilié dans les Hautes-Pyrénées, marié et père de deux enfants devait être mis en examen et écroué à l'issue d'auditions qui se prolongeaient hier soir à l'heure où nous mettions sous presse.
Dimanche soir, les policiers du SRPJ de Toulouse ont interpellé cet employé agricole entre Pinas et Villeneuve-Lecussan. Cet homme arrivé depuis un an et demi dans cette propriété familiale pour y travailler est soupçonné d'avoir étranglé son patron et d'avoir tenté de demander une rançon de 500 000€ à sa famille, au terme d'un scénario machiavélique. Il communiquait avec la famille via des SMS envoyés depuis son téléphone portable. Pour ne pas éveiller les soupçons des policiers du SRPJ de Toulouse, il a fait croire que son téléphone était entre les mains d'un groupe terroriste qui l'avait également kidnappé. Mais le scénario a été très vite démonté par les enquêteurs après 3 jours de surveillances entre Villeneuve Lecussan et son domicile. « Pour nous, il avait tout prémédité », témoigne, Michel Ibos, le fils de Jean Ibos qui gère l'exploitation familiale. « Il n'y a jamais eu de conflits ou de mauvaises relations entre lui et nous. Il a fait tout ça pour l'argent. Mais aujourd'hui, c'est un immense gâchis. Dans cette affaire il y a deux familles brisées », poursuit-il. La famille de Jean Ibos entretenait des relations amicales avec le mis en cause et sa famille. « On tombe des nues ! On ne comprend toujours pas pourquoi il a fait tout ça. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/24/1152299-meurtre-le-mobile-crapuleux-mis-en-avant.html
Hygiène et travail dissimulé dans le viseur des gendarmes
Comme au début du mois de juillet, huit gendarmes de la compagnie de Castelnau (dont un militaire spécialisé) et trois agents de l’Inspection du travail ont mené une nouvelle opération de contrôle, hier, à Palavas-les-Flots. Cette fois, ce ne sont pas les bars et paillotes de plage qui étaient visés mais des établissements plus classiques, ayant pignon sur les artères de la station balnéaire.
De 11 h à 13 h 30, maréchaussée et fonctionnaires se sont invités dans quatre d’entre eux. Passant au crible toute la palette habituelle des vérifications. Et les premières infractions aux règles de l’hygiène et au Code du travail n’ont pas tardé à s’accumuler.
Comme dans ce restaurant où des produits périmés ont été mis au jour. Ou encore ces morceaux de denrées découpés et reconstitués mais vierges de toute date limite de consommation.
Autres types d’écarts relevés : la mauvaise tenue du registre du personnel, des heures travaillées mais pas correctement répertoriées ainsi que des visites médicales qui n’étaient pas annotées. Ou, enfin, cette non-mutation de licence constatée dans un débit de boissons.
Bref, autant d’“oublis” vis-à-vis desquels les gendarmes avaient annoncé la couleur en début de saison. Ces derniers avaient en effet commencé leurs opérations estivales avec force prévention. Mais au vu du contrôle d’hier, il semble que les esgourdes de certains commerçants soient bigrement ensablées.
http://www.midilibre.fr/2011/08/23/hygiene-et-travail-dissimule-dans-le-viseur-des-gendarmes,376093.php
De 11 h à 13 h 30, maréchaussée et fonctionnaires se sont invités dans quatre d’entre eux. Passant au crible toute la palette habituelle des vérifications. Et les premières infractions aux règles de l’hygiène et au Code du travail n’ont pas tardé à s’accumuler.
Comme dans ce restaurant où des produits périmés ont été mis au jour. Ou encore ces morceaux de denrées découpés et reconstitués mais vierges de toute date limite de consommation.
Autres types d’écarts relevés : la mauvaise tenue du registre du personnel, des heures travaillées mais pas correctement répertoriées ainsi que des visites médicales qui n’étaient pas annotées. Ou, enfin, cette non-mutation de licence constatée dans un débit de boissons.
Bref, autant d’“oublis” vis-à-vis desquels les gendarmes avaient annoncé la couleur en début de saison. Ces derniers avaient en effet commencé leurs opérations estivales avec force prévention. Mais au vu du contrôle d’hier, il semble que les esgourdes de certains commerçants soient bigrement ensablées.
http://www.midilibre.fr/2011/08/23/hygiene-et-travail-dissimule-dans-le-viseur-des-gendarmes,376093.php
Reims : Un morceau de cheminée tombe sur la place d'Erlon
Hier en fin d'après-midi, vers 18 h 45, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus sur la place d'Erlon : les salariés du pub « The James Joyce » les ont alertés de la chute d'un morceau de cheminée du bâtiment voisin le « Bristol », un café faisant également hôtel.
Une jeune fille a d'ailleurs été légèrement blessée par un morceau de pierre au bras mais elle a refusé de se faire transporter au CHU de Reims préférant aller consulter son médecin traitant. « Elle a reçu un bout de béton sur le bras. Ça n'avait pas l'air d'être trop grave, elle était juste un petit peu égratignée » expliquait un salarié du pub à un passant.
Les pompiers ont ensuite dû, à l'aide de la grande échelle, sécuriser la structure effritée par l'usure retirant de grandes plaques de béton sur plus de trois mètres. Un morceau est d'ailleurs tombé violemment à ce moment-là, ne faisant heureusement aucun autre blessé.
Sous les yeux de nombreux passants, les secours sont remontés une seconde fois afin cette fois-ci de vérifier si aucun autre endroit de la bâtisse n'était susceptible de tomber sur les nombreux promeneurs de la place d'Erlon.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/un-morceau-de-cheminee-tombe-sur-la-place-derlon
Une jeune fille a d'ailleurs été légèrement blessée par un morceau de pierre au bras mais elle a refusé de se faire transporter au CHU de Reims préférant aller consulter son médecin traitant. « Elle a reçu un bout de béton sur le bras. Ça n'avait pas l'air d'être trop grave, elle était juste un petit peu égratignée » expliquait un salarié du pub à un passant.
Les pompiers ont ensuite dû, à l'aide de la grande échelle, sécuriser la structure effritée par l'usure retirant de grandes plaques de béton sur plus de trois mètres. Un morceau est d'ailleurs tombé violemment à ce moment-là, ne faisant heureusement aucun autre blessé.
Sous les yeux de nombreux passants, les secours sont remontés une seconde fois afin cette fois-ci de vérifier si aucun autre endroit de la bâtisse n'était susceptible de tomber sur les nombreux promeneurs de la place d'Erlon.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/un-morceau-de-cheminee-tombe-sur-la-place-derlon
mardi 23 août 2011
Accident mortel : le conducteur n'avait pas de permis
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme qui a causé la mort de deux de ses passagers, dans un accident samedi dernier, n'avait pas le permis.
Le propriétaire de la BMW 740 qui s'est enfui après avoir effectué une sortie de route en quittant une discothèque à Allonne, près de Beauvais, samedi matin très tôt était toujours recherché activement par les gendarmes, hier soir. Il avait causé la mort de deux des cinq passagers occupant le véhicule.
Mais les premiers éléments de l'enquête laissent apparaître que l'homme, originaire de Seine-saint-Denis, connu des services de gendarmerie pour de nombreux délits routiers, n'est plus titulaire du permis de conduire. Il est également «difficile à trouver parce qu'il a plusieurs domiciles connus», précise une source proche de l'enquête.
D'après des témoins, l'homme roulait à vive allure, zigzagant de file en file, jusqu'à ce que son véhicule traverse le rond point d'Allonne et fasse un tonneau. Les deux passagères, originaires de Beauvais et du Val-d'Oise, sont mortes écrasées par le pavillon du véhicule.
Les analyses toxicologiques pratiquées sur les passagers de la voiture attestent par ailleurs que certains avaient consommé de l'alcool.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Accident-mortel-le-conducteur-n-avait-pas-de-permis
Un homme blessé par balle lundi soir au centre de Nice
J'habite à côté, mais j'ai rien entendu. Je l'ai juste vu là, étendu par terre... »
Derrière le rubalise, une flaque de sang sur le trottoir et une douille dans le caniveau. Tels sont les stigmates encore tout chauds de l'agression à l'arme à feu survenue hier soir à Nice. Les policiers procèdent aux premières constatations, interrogent les témoins de la scène, pour comprendre dans quelles circonstances un homme a été blessé par balle. Ses jours n'étaient pas en danger hier soir.
La victime, âgée de 30 ans, était attablée sur le trottoir, à la terrasse du petit snack-bar Le Maghreb rue Reine-Jeanne, artère qui longe le chemin de fer, derrière la gare Nice-ville. C'est là que débouche la sortie « centre-ville » de la voie rapide. Et là qu'a surgi le scooter, à 20 h 50. Avec deux hommes juchés dessus, portant casques et écharpes.
Selon les premiers témoignages, l'un d'eux en serait descendu arme au poing. Il aurait mis en joue la victime, échangé quelques mots avec elle, avant de faire feu avec une arme automatique. Une seule balle aurait été tirée. Mais elle a traversé les deux jambes de la cible : l'une près du mollet, l'autre en haut de la cuisse.
Les deux hommes repartent aussitôt, bifurquent, puis reprennent la direction de la voie rapide. Dans la foulée, les sapeurs-pompiers interviennent pour secourir le blessé. Mais ses blessures seraient sans gravité. Il sera d'ailleurs transporté aux urgences de l'hôpital Saint-Roch sans avoir été médicalisé sur place.
Les policiers du groupe de sécurité de proximité y sont rejoints par le service du Quart, épaulé par les « experts » de l'identification judiciaire. Hier soir, certains témoins évoquaient la piste d'un différend qui se serait envenimé entre deux jeunes gens, autour d'une dette, puis d'une gifle.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/un-homme-blesse-par-balle-lundi-soir-au-centre-de-nice
Derrière le rubalise, une flaque de sang sur le trottoir et une douille dans le caniveau. Tels sont les stigmates encore tout chauds de l'agression à l'arme à feu survenue hier soir à Nice. Les policiers procèdent aux premières constatations, interrogent les témoins de la scène, pour comprendre dans quelles circonstances un homme a été blessé par balle. Ses jours n'étaient pas en danger hier soir.
La victime, âgée de 30 ans, était attablée sur le trottoir, à la terrasse du petit snack-bar Le Maghreb rue Reine-Jeanne, artère qui longe le chemin de fer, derrière la gare Nice-ville. C'est là que débouche la sortie « centre-ville » de la voie rapide. Et là qu'a surgi le scooter, à 20 h 50. Avec deux hommes juchés dessus, portant casques et écharpes.
Un tir, deux jambes touchées
Selon les premiers témoignages, l'un d'eux en serait descendu arme au poing. Il aurait mis en joue la victime, échangé quelques mots avec elle, avant de faire feu avec une arme automatique. Une seule balle aurait été tirée. Mais elle a traversé les deux jambes de la cible : l'une près du mollet, l'autre en haut de la cuisse.
Les deux hommes repartent aussitôt, bifurquent, puis reprennent la direction de la voie rapide. Dans la foulée, les sapeurs-pompiers interviennent pour secourir le blessé. Mais ses blessures seraient sans gravité. Il sera d'ailleurs transporté aux urgences de l'hôpital Saint-Roch sans avoir été médicalisé sur place.
Les policiers du groupe de sécurité de proximité y sont rejoints par le service du Quart, épaulé par les « experts » de l'identification judiciaire. Hier soir, certains témoins évoquaient la piste d'un différend qui se serait envenimé entre deux jeunes gens, autour d'une dette, puis d'une gifle.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/un-homme-blesse-par-balle-lundi-soir-au-centre-de-nice
Ils kidnappent des automobilistes et les dévalisent
Un gang de jeunes malfrats, attirés par les cartes bancaires de riches victimes, sévit depuis plusieurs semaines à Paris. Les membres de cette équipe repèrent leurs cibles à leur puissante voiture, avant de les enlever dans des parkings souterrains. Ils n’hésitent pas à les séquestrer pendant plusieurs heures pour leur soutirer leur code confidentiel avant de vider leurs comptes.
Les victimes sont ensuite relâchées, traumatisées, en proche banlieue. Plusieurs services d’enquête parisiens tentent de remonter la piste de ces ravisseurs particulièrement déterminés.
Car ce mode opératoire, jusqu’alors peu répandu, inquiète policiers et magistrats. « C’est une technique quasi imparable, à moins de se trouver à proximité des lieux des faits pour pouvoir intervenir aussitôt ou d’être alerté très vite par des témoins de la scène, confie un haut fonctionnaire. Par ailleurs, recourir à un enlèvement suivi d’une séquestration pour une carte bancaire dénote d’une réelle montée en puissance dans les atteintes contre les particuliers. Ce sont des faits très graves. »
Les ravisseurs se sont emparés de près de 5 000 €
La dernière agression en date remonte au 20 août. Ce jour-là, au volant de sa berline BMW, un automobiliste se dirige vers un parking souterrain rue d’Auteuil, dans le XVIe arrondissement de la capitale. A sa descente de voiture, le conducteur, âgé d’une quarantaine d’années, est surpris par deux inconnus, le visage cagoulé et munis d’une arme de poing. Ces derniers lui intiment l’ordre de remettre ses clefs, sa carte bancaire et son code confidentiel et l’enferment dans le coffre de sa BMW.
Les deux malfaiteurs ressortent du garage en conduisant le véhicule de leur victime et opèrent des retraits avec la carte volée dans des distributeurs d’argent à Paris et en banlieue.
« Il est resté dans le coffre tout le long du périple de ses ravisseurs, qui se sont finalement emparés de près de 5000 €, relate une source proche de l’affaire. La victime a ensuite été abandonnée dans une rue de Châtillon, dans les Hauts-de-Seine. Ce gang n’en était pas à son coup d’essai. »
Le 12 août, le même scénario s’était déjà produit dans le XVIe arrondissement, ainsi que le 11 juillet. Au cours de ce premier fait, perpétré avenue de Saint-Mandé dans le XIIe arrondissement à Paris, la victime avait été enlevée par trois hommes, armés d’une bombe lacrymogène. Ces derniers s’étaient ensuite rendus à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), puis à Enghien-les-Bains (Val-d’Oise) pour y effectuer plusieurs retraits d’argent avant de relâcher leur otage, également délesté de sa montre et de son téléphone portable, du côté d’Argenteuil
http://www.leparisien.fr/paris-75/ils-kidnappent-des-automobilistes-et-les-devalisent-23-08-2011-1575402.php
Car ce mode opératoire, jusqu’alors peu répandu, inquiète policiers et magistrats. « C’est une technique quasi imparable, à moins de se trouver à proximité des lieux des faits pour pouvoir intervenir aussitôt ou d’être alerté très vite par des témoins de la scène, confie un haut fonctionnaire. Par ailleurs, recourir à un enlèvement suivi d’une séquestration pour une carte bancaire dénote d’une réelle montée en puissance dans les atteintes contre les particuliers. Ce sont des faits très graves. »
Les ravisseurs se sont emparés de près de 5 000 €
La dernière agression en date remonte au 20 août. Ce jour-là, au volant de sa berline BMW, un automobiliste se dirige vers un parking souterrain rue d’Auteuil, dans le XVIe arrondissement de la capitale. A sa descente de voiture, le conducteur, âgé d’une quarantaine d’années, est surpris par deux inconnus, le visage cagoulé et munis d’une arme de poing. Ces derniers lui intiment l’ordre de remettre ses clefs, sa carte bancaire et son code confidentiel et l’enferment dans le coffre de sa BMW.
Les deux malfaiteurs ressortent du garage en conduisant le véhicule de leur victime et opèrent des retraits avec la carte volée dans des distributeurs d’argent à Paris et en banlieue.
« Il est resté dans le coffre tout le long du périple de ses ravisseurs, qui se sont finalement emparés de près de 5000 €, relate une source proche de l’affaire. La victime a ensuite été abandonnée dans une rue de Châtillon, dans les Hauts-de-Seine. Ce gang n’en était pas à son coup d’essai. »
Le 12 août, le même scénario s’était déjà produit dans le XVIe arrondissement, ainsi que le 11 juillet. Au cours de ce premier fait, perpétré avenue de Saint-Mandé dans le XIIe arrondissement à Paris, la victime avait été enlevée par trois hommes, armés d’une bombe lacrymogène. Ces derniers s’étaient ensuite rendus à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), puis à Enghien-les-Bains (Val-d’Oise) pour y effectuer plusieurs retraits d’argent avant de relâcher leur otage, également délesté de sa montre et de son téléphone portable, du côté d’Argenteuil
http://www.leparisien.fr/paris-75/ils-kidnappent-des-automobilistes-et-les-devalisent-23-08-2011-1575402.php
Soupçonnée d’avoir dépensé 45 000 € qu’elle n’avait pas
Cela faisait quelque temps déjà que les policiers de la brigade des affaires financières de la sûreté départementale tentaient de lui mettre le grappin dessus. Il est vrai que cette jeune femme (mise en cause dans des escroqueries et âgée de 22 ans) a donné du fil à retordre aux enquêteurs car changeant très souvent d’adresse. Et ce petit jeu du chat et de la souris aurait pu encore durer.
Mais mercredi, les policiers ont été appelés par le centre sécurité du complexe ludico-commercial Odysseum après que ses agents ont stoppé une femme soupçonnée de vols. Une fois dans les locaux de la brigade, les fonctionnaires ont, on s’en doute, été ravis de constater que celle qui leur échappait depuis plusieurs semaines avait fini par atterrir dans leurs services.
Car la jeune femme est en effet suspectée d’avoir souscrit l’ouverture d’un compte auprès d’une banque en ligne. Là et sans aucun justificatif, elle a réussi à obtenir deux chéquiers. Dont les formules lui auraient ensuite permis de dépenser pour quelque 45 000 € !
Des achats portant principalement sur des parfums et des bijoux. Mais pas seulement. Car lors d’une perquisition effectuée au domicile montpelliérain de l’intéressée, les policiers ont mis au jour... trois voitures récemment achetées : une Renault Clio et deux Peugeot (une 207 et une 308).
Poursuivant leurs investigations, les enquêteurs ont également fini par mettre le compagnon de la jeune femme en garde à vue. Âgé de 21 ans, celui-ci a nié avoir été au courant des agissements de sa compagne. Une version fragilisée puisque la 308 était immatriculée à son nom.
Hier, on a appris que le couple avait été déféré au parquet et qu’une information judiciaire avait été ouverte. Un acte permettant aux policiers de pousser plus avant leurs recherches. Car la jeune femme pourrait avoir commis des faits identiques à Orléans, au cours de l’année 2009.
http://www.midilibre.fr/2011/08/22/soupconnee-d-avoir-depense-45-000-eur-qu-elle-n-avait-pas,375527.php
Mais mercredi, les policiers ont été appelés par le centre sécurité du complexe ludico-commercial Odysseum après que ses agents ont stoppé une femme soupçonnée de vols. Une fois dans les locaux de la brigade, les fonctionnaires ont, on s’en doute, été ravis de constater que celle qui leur échappait depuis plusieurs semaines avait fini par atterrir dans leurs services.
Car la jeune femme est en effet suspectée d’avoir souscrit l’ouverture d’un compte auprès d’une banque en ligne. Là et sans aucun justificatif, elle a réussi à obtenir deux chéquiers. Dont les formules lui auraient ensuite permis de dépenser pour quelque 45 000 € !
Des achats portant principalement sur des parfums et des bijoux. Mais pas seulement. Car lors d’une perquisition effectuée au domicile montpelliérain de l’intéressée, les policiers ont mis au jour... trois voitures récemment achetées : une Renault Clio et deux Peugeot (une 207 et une 308).
Poursuivant leurs investigations, les enquêteurs ont également fini par mettre le compagnon de la jeune femme en garde à vue. Âgé de 21 ans, celui-ci a nié avoir été au courant des agissements de sa compagne. Une version fragilisée puisque la 308 était immatriculée à son nom.
Hier, on a appris que le couple avait été déféré au parquet et qu’une information judiciaire avait été ouverte. Un acte permettant aux policiers de pousser plus avant leurs recherches. Car la jeune femme pourrait avoir commis des faits identiques à Orléans, au cours de l’année 2009.
http://www.midilibre.fr/2011/08/22/soupconnee-d-avoir-depense-45-000-eur-qu-elle-n-avait-pas,375527.php
Feu à Many : il se jette par la fenêtre
Dans la nuit de samedi à dimanche, à Many près de Faulquemont, un homme d’une quarantaine d’années s’est défenestré en voulant échapper au feu qui s’était déclaré dans l’immeuble où il loge. Pris en charge par le Samu, il a été admis à l’hôpital Bon-Secours, à Metz. Il souffre notamment de brûlures aux membres.
Le feu a pris vers minuit dans la bâtisse, des anciennes écuries réhabilitées en cinq logements et située entre la rue Principale et celle de L’église. Les autres locataires de l’immeuble et les voisins mitoyens ont pu quitter les lieux à temps.
L’intervention des pompiers de Faulquemont terminée, ils ont pu rejoindre leur foyer. La victime, propriétaire du bâtiment, n’a pas eu la même chance.
Il n’a pu sortir par la porte principale en PVC qui se consumait. Il est alors monté à l’étage et a sauté par la fenêtre. L’homme a fait une chute de trois mètres.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Le feu a pris vers minuit dans la bâtisse, des anciennes écuries réhabilitées en cinq logements et située entre la rue Principale et celle de L’église. Les autres locataires de l’immeuble et les voisins mitoyens ont pu quitter les lieux à temps.
L’intervention des pompiers de Faulquemont terminée, ils ont pu rejoindre leur foyer. La victime, propriétaire du bâtiment, n’a pas eu la même chance.
Il n’a pu sortir par la porte principale en PVC qui se consumait. Il est alors monté à l’étage et a sauté par la fenêtre. L’homme a fait une chute de trois mètres.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
lundi 22 août 2011
Un vieux paysan aurait été étranglé par un employé qui voulait une rançon
Un employé de ferme a été interpellé par la police qui le soupçonne d'avoir étranglé l'ancien patron d'une exploitation agricole près de Saint-Gaudens (Haute-Garonne) et d'avoir tenté d'extorquer une rançon de 500.000 euros à sa famille, a indiqué le parquet lundi.
C'est cet employé de 42 ans lui-même qui, dimanche, a conduit les enquêteurs auprès du corps, non loin de la ferme. La victime, un homme de 75 ans, a été retrouvée dans un champ de maïs, dans un sac d'engrais, les mains et le cou liés, a rapporté le procureur de Toulouse Michel Valet.
Le meurtrier présumé est salarié du fils de la victime, qui avait repris la ferme familiale.
L'ancien exploitant avait disparu vendredi. Quand sa femme est rentrée de chez le coiffeur ce jour-là, elle a trouvé un mot anonyme exigeant 500.000 euros contre la libération de son mari
http://www.leparisien.fr/toulouse-31000/un-vieux-paysan-aurait-ete-etrangle-par-un-employe-qui-voulait-une-rancon-22-08-2011-1574969.php
C'est cet employé de 42 ans lui-même qui, dimanche, a conduit les enquêteurs auprès du corps, non loin de la ferme. La victime, un homme de 75 ans, a été retrouvée dans un champ de maïs, dans un sac d'engrais, les mains et le cou liés, a rapporté le procureur de Toulouse Michel Valet.
Le meurtrier présumé est salarié du fils de la victime, qui avait repris la ferme familiale.
L'ancien exploitant avait disparu vendredi. Quand sa femme est rentrée de chez le coiffeur ce jour-là, elle a trouvé un mot anonyme exigeant 500.000 euros contre la libération de son mari
http://www.leparisien.fr/toulouse-31000/un-vieux-paysan-aurait-ete-etrangle-par-un-employe-qui-voulait-une-rancon-22-08-2011-1574969.php
Digne-les-Bains : trois frères et soeurs meurent dans un accident
Ils avaient 1, 3 et 5 ans. Ces trois frères et soeurs sont décédés tôt lundi matin près de Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence), lors d'un accident de la route qui pourrait avoir été causé par un assoupissement du conducteur.
L'accident s'est produit aux alentours de 6h30 à Mallemoisson, à quelques kilomètres de Digne, sur la départementale 17.
Une voiture de location, qui transportait six personnes originaires de la région parisienne, s'est encastrée dans le pilier d'un pont. Trente-cinq pompiers et une vingtaine de gendarmes sont intervenus. Ils ont essayé en vain de réanimer les enfants de 1, 3 et 5 ans, deux filles et un garçon, pendant une heure.
Blessés, les parents, âgés d'une trentaine et d'une quarantaine d'années, et une amie de la famille ont été pris en charge par les secours puis « évacués sur les hôpitaux du secteur », a déclaré le porte-parole de la préfecture. «D'après les premières constatations, il semblerait que le conducteur se soit assoupi», a-t-elle ajouté, sans pouvoir dire à ce stade qui était au volant. Les victimes, qui se rendaient en vacances à Nice, auraient voyagé toute la nuit.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte et confiée à la brigade de recherches de Digne-les-Bains. Un témoin était en cours d'audition en milieu de matinée.
L'accident s'est produit aux alentours de 6h30 à Mallemoisson, à quelques kilomètres de Digne, sur la départementale 17.
Blessés, les parents, âgés d'une trentaine et d'une quarantaine d'années, et une amie de la famille ont été pris en charge par les secours puis « évacués sur les hôpitaux du secteur », a déclaré le porte-parole de la préfecture. «D'après les premières constatations, il semblerait que le conducteur se soit assoupi», a-t-elle ajouté, sans pouvoir dire à ce stade qui était au volant. Les victimes, qui se rendaient en vacances à Nice, auraient voyagé toute la nuit.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte et confiée à la brigade de recherches de Digne-les-Bains. Un témoin était en cours d'audition en milieu de matinée.
Marseille: nouveau règlement de compte
Un homme de 33 ans, connu des services de police et blessé par plusieurs balles de gros calibre à la tête et à la poitrine, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi au centre hospitalier d'Aix-en-Provence, a-t-on appris lundi de source proche de l'enquête. La victime avait été amenée dans un état désespéré par des inconnus vers 1h15 au centre hospitalier.
Déjà connue des services de police notamment pour vols à main armée, elle est décédée dans l'heure sans avoir repris connaissance, a précisé la source proche de l'enquête. Le frère de la victime, qui s'est présenté dans la nuit à l'hôpital, a été interpellé par les policiers du commissariat d'Aix-en-Provence après avoir prétendu que deux hommes à scooter avaient ouvert le feu et que c'était lui qui, avec un ami, avait transporté le blessé en espérant lui sauver la vie.
"Une version qui ne correspond pas du tout avec les premières constatations médicales", d'après la même source. Ce témoin a été placé en garde à vue à la brigade criminelle de la police judiciaire (PJ) de Marseille, chargée des investigations par le parquet d'Aix-en-Provence.
Ce même service enquête sur la tentative d'assassinat d'un homme de 43 ans, jeudi dernier à Aubagne. La victime a été blessée de cinq balles à la tête et au thorax. Deux personnes qui tentaient de prendre de ses nouvelles à l'hôpital marseillais où il a été transporté ont été arrêtées au cours du week-end.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/22/97001-20110822FILWWW00227-marseille-nouveau-reglement-de-compte.php
Déjà connue des services de police notamment pour vols à main armée, elle est décédée dans l'heure sans avoir repris connaissance, a précisé la source proche de l'enquête. Le frère de la victime, qui s'est présenté dans la nuit à l'hôpital, a été interpellé par les policiers du commissariat d'Aix-en-Provence après avoir prétendu que deux hommes à scooter avaient ouvert le feu et que c'était lui qui, avec un ami, avait transporté le blessé en espérant lui sauver la vie.
"Une version qui ne correspond pas du tout avec les premières constatations médicales", d'après la même source. Ce témoin a été placé en garde à vue à la brigade criminelle de la police judiciaire (PJ) de Marseille, chargée des investigations par le parquet d'Aix-en-Provence.
Ce même service enquête sur la tentative d'assassinat d'un homme de 43 ans, jeudi dernier à Aubagne. La victime a été blessée de cinq balles à la tête et au thorax. Deux personnes qui tentaient de prendre de ses nouvelles à l'hôpital marseillais où il a été transporté ont été arrêtées au cours du week-end.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/22/97001-20110822FILWWW00227-marseille-nouveau-reglement-de-compte.php
Deux blessés graves sur l’A6
Un accident de la circulation est survenu dans la nuit de samedi à dimanche, vers 4 heures, sur l’autoroute A6 dans le sens Lyon-Paris. Une voiture et un poids-lourd, qui se trouvaient sur la bretelle d’accès menant à l’aire de la Côme, à hauteur de la commune de Courcelles-lès-Semur, sont entrés en collision pour une raison indéterminée.
Deux des trois occupants de la voiture, un homme de 20 ans et une adolescente de 15 ans, ont été gravement blessés. Le troisième occupant, âgé de 20 ans, a été plus légèrement atteint. Les trois jeunes, originaires de la région parisienne, rentraient de vacances.
D’après les premières constatations des gendarmes, le conducteur se serait assoupi au volant. Il se serait alors engagé sans le savoir sur la bretelle d’accès avant de percuter un muret en béton qui l’aurait projeté contre le poids-lourd avant que la voiture ne parte en tonneaux. La jeune fille a été évacuée vers le CHU de Dijon. Les dépistages habituels se sont révélés négatifs.
http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2011/08/21/deux-blesses-graves-sur-l-a6
Deux des trois occupants de la voiture, un homme de 20 ans et une adolescente de 15 ans, ont été gravement blessés. Le troisième occupant, âgé de 20 ans, a été plus légèrement atteint. Les trois jeunes, originaires de la région parisienne, rentraient de vacances.
D’après les premières constatations des gendarmes, le conducteur se serait assoupi au volant. Il se serait alors engagé sans le savoir sur la bretelle d’accès avant de percuter un muret en béton qui l’aurait projeté contre le poids-lourd avant que la voiture ne parte en tonneaux. La jeune fille a été évacuée vers le CHU de Dijon. Les dépistages habituels se sont révélés négatifs.
http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2011/08/21/deux-blesses-graves-sur-l-a6
dimanche 21 août 2011
Une famille rom en rétention libérée pour "traitement inhumain et dégradant"
"Conditions d'interpellations opaques, traitement inhumain et dégradant" : ces observations ont conduit à la libération d'une famille de roms du kosovo, dimanche, sur décision d'un juge des libertés et de la détention de Lille. Arrêtés le 17 août à Clermont-Ferrand, la mère de famille, enceinte de plus de quatre mois après avoir perdu un enfant mort-né en février, son mari et leurs trois enfants - âgés de quatre, sept et dix ans - ont été transférés au centre de rétention de Lesquin (Nord) près de Lille, après un trajet de 10 heures, selon leur avocat, Me Norbert Clément.
Dans sa décision, dont l'AFP a eu copie, le JLD souligne au sujet de la mère que "le risque d'atteinte à sa santé et à la santé du bébé consécutif au stress induit par la situation de rétention qui lui a été notifiée au petit matin immédiatement suivie d'un déplacement géographique d'une durée de 10 heures, est totalement disproportionné, au regard de l'objectif d'éloignement poursuivi par les autorités". De plus, souligne le magistrat, "rien dans la procédure ne justifie que cette famille ait été transportée à Lesquin plutôt qu'à Lyon, et que leurs conditions d'interpellations apparaissent opaques". "Il ressort de l'ensemble de ces éléments que le traitement subi par cette famille est inhumain et dégradant", conclut le JLD.
L'avocat écrit à Carla Bruni
Cette famille, qui devait être expulsée la semaine prochaine, est toujours sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français, selon l'avocat. Celui-ci devait adresser dimanche une lettre ouverte à l'épouse du chef de l'Etat Carla Bruni-Sarkozy pour dénoncer "l'acharnement" subi par sa cliente, estimant "qu'il n'y qu'une femme enceinte qui puisse comprendre la douleur qu'éprouve une femme enceinte" dans une telle situation.
Fuyant le Kosovo, cette famille était arrivée en France fin 2010 à Clermont-Ferrand, où deux des leurs trois enfants sont scolarisés depuis six mois, selon Me Clément. Le couple, de nationalité serbe pour les autorités française alors qu'ils se disent kosovars, a fait une demande d'asile, qui a été rejetée, mais ils ont fait appel devant la Commission nationale d'appel du droit d'asile.
Dans sa décision, dont l'AFP a eu copie, le JLD souligne au sujet de la mère que "le risque d'atteinte à sa santé et à la santé du bébé consécutif au stress induit par la situation de rétention qui lui a été notifiée au petit matin immédiatement suivie d'un déplacement géographique d'une durée de 10 heures, est totalement disproportionné, au regard de l'objectif d'éloignement poursuivi par les autorités". De plus, souligne le magistrat, "rien dans la procédure ne justifie que cette famille ait été transportée à Lesquin plutôt qu'à Lyon, et que leurs conditions d'interpellations apparaissent opaques". "Il ressort de l'ensemble de ces éléments que le traitement subi par cette famille est inhumain et dégradant", conclut le JLD.
L'avocat écrit à Carla Bruni
Cette famille, qui devait être expulsée la semaine prochaine, est toujours sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français, selon l'avocat. Celui-ci devait adresser dimanche une lettre ouverte à l'épouse du chef de l'Etat Carla Bruni-Sarkozy pour dénoncer "l'acharnement" subi par sa cliente, estimant "qu'il n'y qu'une femme enceinte qui puisse comprendre la douleur qu'éprouve une femme enceinte" dans une telle situation.
Fuyant le Kosovo, cette famille était arrivée en France fin 2010 à Clermont-Ferrand, où deux des leurs trois enfants sont scolarisés depuis six mois, selon Me Clément. Le couple, de nationalité serbe pour les autorités française alors qu'ils se disent kosovars, a fait une demande d'asile, qui a été rejetée, mais ils ont fait appel devant la Commission nationale d'appel du droit d'asile.
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