Les sapeurs-pompiers ont été appelés vers 18h40 sur les lieux d'un accident mardi, sur départementale 810 à Saint-Jean-de-Luz, à proximité de l'Autoroute A63.
Une collision s'est produite entre un véhicule et deux scooters, selon les éléments recueillis auprès du chef de centre du Codis de Pau. Le bilan fait état d'un blessé grave, un garçon de 15 ans, qui a été transporté par le SAMU sur le centre hospitalier de Bayonne.
http://www.sudouest.fr/2014/12/31/saint-jean-de-luz-un-adolescent-de-15-ans-gravement-blesse-dans-un-accident-1783338-5425.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
mercredi 31 décembre 2014
Une tentative de vol digne des Pieds Nickelés
La période des fêtes ne connaît pas de trêve pour les malfaiteurs. Liliane et Paul Vernazobres de la Galerie de Cocagne (1) viennent de connaître les méfaits de ce que Paul appelle «une aventure de Pieds Nickelés». Il nous raconte sa mésaventure «Ce dimanche midi, nous avons eu la désagréable surprise de voir une porte de notre nouvelle maison, 4 place du Monument, fracturée la nuit précédente. Notre déménagement n'arrivant que le lendemain, il n'y avait pas grand chose à voler. Apparemment, les «visiteurs» ne se sont pas intéressés aux quelques bricoles que nous avions déjà apportées mais étaient vraisemblablement venus pour le coffre-fort de Monsieur Auriol (l'ancien propriétaire) laissé sur place et parfaitement vide. Ne pouvant l'ouvrir, faute de clef, nos visiteurs ont essayé en vain de l'emporter pour discuter tranquillement plus loin mais c'est le poids de l'engin qui a eu raison.»
Puis ne manquant pas d'humour le couple Vernazobres ajoute un message à l'attention de ces auteurs : «ce coffre fort est vide de toute valeur, l'antiquaire qui a débarrassé la maison pouvait l'emporter car cela faisait partie de son lot, mais, vu le peu de valeur marchande de ce coffre en regard des frais de manutention (marches d'escalier à franchir), il l'a laissé sur place, si vous le voulez quand même, demandez le …»
(1) Liliane et Paul Vernazobres installe leur galerie d'art dans le local qui a vu successivement plusieurs café-bars et l'ADMR.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/31/2021130-une-tentative-de-vol-digne-des-pieds-nickeles.html
Puis ne manquant pas d'humour le couple Vernazobres ajoute un message à l'attention de ces auteurs : «ce coffre fort est vide de toute valeur, l'antiquaire qui a débarrassé la maison pouvait l'emporter car cela faisait partie de son lot, mais, vu le peu de valeur marchande de ce coffre en regard des frais de manutention (marches d'escalier à franchir), il l'a laissé sur place, si vous le voulez quand même, demandez le …»
(1) Liliane et Paul Vernazobres installe leur galerie d'art dans le local qui a vu successivement plusieurs café-bars et l'ADMR.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/31/2021130-une-tentative-de-vol-digne-des-pieds-nickeles.html
mardi 30 décembre 2014
Douai : un policier interpellé avec 3,2 g d'alcool après un accident
Les faits ont eu lieu la veille de Noël et commencent par un banal accident de la circulation vers 18 heures, sur le boulevard Albert-1er à Douai. Un carambolage impliquant 3 véhicules.
Arrivés sur les lieux, les policiers se rendent vite compte que le conducteur d'une des voitures impliquées, sans doute responsable de l'accident, est ivre. Il est contrôlé avec 3,20 g d'alcool dans le sang, selon La Voix du Nord qui a révélé l'information.
Placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue, cet automobiliste de 49 ans, officier de police dans la métropole lilloise, s'est vu retirer immédiatement son permis. Il sera jugé mais risque également des sanctions administratives pour son comportement même s'il n'était pas en service ce soir-là.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/12/30/douai-un-policier-interpelle-avec-32-g-d-alcool-apres-un-accident-621534.html
Arrivés sur les lieux, les policiers se rendent vite compte que le conducteur d'une des voitures impliquées, sans doute responsable de l'accident, est ivre. Il est contrôlé avec 3,20 g d'alcool dans le sang, selon La Voix du Nord qui a révélé l'information.
Placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue, cet automobiliste de 49 ans, officier de police dans la métropole lilloise, s'est vu retirer immédiatement son permis. Il sera jugé mais risque également des sanctions administratives pour son comportement même s'il n'était pas en service ce soir-là.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/12/30/douai-un-policier-interpelle-avec-32-g-d-alcool-apres-un-accident-621534.html
Savoie : le corps d'un vacancier retrouvé dans une rivière à Méribel
Un vacancier de 22 ans a été retrouvé mort lundi dans une rivière de la station de Méribel (Savoie). Selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie, le jeune homme, originaire de la région de Strasbourg, avait passé la soirée de dimanche dans un bar avec des amis en vacances dans la région, qui ne l'avaient plus vu depuis.
Après plusieurs heures de recherches, son corps a été retrouvé dans une petite rivière en contrebas de la station de Méribel, ont fait savoir les gendarmes confirmant une information de France 3 Alpes.
«Une autopsie doit être pratiquée ce mardi. Pour l'heure, aucune piste n'est écartée», ont précisé les gendarmes d'Albertville, en charge de l'enquête ouverte par le parquet. Des examens toxicologiques complémentaires doivent également être pratiqués sur le corps de la victime pour dépister toute trace de stupéfiants ou d'alcool.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/savoie-le-corps-d-un-vacancier-retrouve-dans-une-riviere-a-meribel-30-12-2014-4408877.php
Après plusieurs heures de recherches, son corps a été retrouvé dans une petite rivière en contrebas de la station de Méribel, ont fait savoir les gendarmes confirmant une information de France 3 Alpes.
«Une autopsie doit être pratiquée ce mardi. Pour l'heure, aucune piste n'est écartée», ont précisé les gendarmes d'Albertville, en charge de l'enquête ouverte par le parquet. Des examens toxicologiques complémentaires doivent également être pratiqués sur le corps de la victime pour dépister toute trace de stupéfiants ou d'alcool.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/savoie-le-corps-d-un-vacancier-retrouve-dans-une-riviere-a-meribel-30-12-2014-4408877.php
Un conducteur hospitalisé dans un état sérieux après avoir percuté un arbre
Hier, vers 8 h 30, le conducteur d'un fourgon, seul à bord du véhicule, qui circulait sur la départementale 631 en direction de Réalmont, a été grièvement blessé lorsqu'il a percuté un arbre situé sur le côté gauche de la chaussée. Les faits se sont produits à hauteur de la Venténayé, lorsque le conducteur du fourgon était en train de dépasser un autre véhicule. L'enquête conduite par les gendarmes de Graulhet devrait déterminer les causes exactes de cet accident qui hier soir ne l'étaient pas encore.
Grièvement touché à une jambe, le conducteur, âgé de 35 ans, a dans un premier temps, été secouru par les sapeurs-pompiers de la ville, avant d'être pris en charge par les médecins du Samu de Toulouse qui l'ont évacué en hélicoptère sur le centre hospitalier du Purpan
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/30/2020642-un-conducteur-grievement-blesse-apres-avoir-percute-un-arbre.html
Grièvement touché à une jambe, le conducteur, âgé de 35 ans, a dans un premier temps, été secouru par les sapeurs-pompiers de la ville, avant d'être pris en charge par les médecins du Samu de Toulouse qui l'ont évacué en hélicoptère sur le centre hospitalier du Purpan
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/30/2020642-un-conducteur-grievement-blesse-apres-avoir-percute-un-arbre.html
Essert (90) : une voiture glisse et fauche un piéton
Une septuagénaire a été fauchée par une voiture vers 15 h alors qu’elle marchait sur le trottoir au niveau du 60 avenue du général de Gaulle. Sur un ralentissement, l’automobiliste âgé de 22 ans a brutalement perdu le contrôle de son véhicule sur une chaussée rendue glissante par la neige et le verglas. Il s’est déporté sur la gauche avant de monter sur le trottoir où il a heurté le piéton. Le véhicule s’est ensuite retrouvé en contrebas contre un grillage. La victime a aussi dévalé dans le fossé. C’est là qu’elle a été secourue par les pompiers et les médecins du Samu. Souffrant d’une fracture à la jambe, elle a été orientée sur le centre hospitalier. La voiture immatriculée dans le Bas-Rhin a été récupérée par un dépanneur.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/12/29/essert-une-voiture-glisse-et-fauche-un-pieton
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/12/29/essert-une-voiture-glisse-et-fauche-un-pieton
lundi 29 décembre 2014
En Savoie, trois blessés dans un accident impliquant un bus et deux voitures à Bellentre
Hier après-midi, un accident impliquant un bus et deux voitures s'est produit sur la route nationale 90 à hauteur de Bellentre.
Deux hommes, âgés de 50 et 60 ans, ont été légèrement blessés. Un homme de 43 ans, incarcéré, a été grièvement blessé. Ils ont été transportés vers le centre hospitalier de Bourg Saint-Maurice.
Une déviation a été mise en place par les forces de l'ordre le temps de déblayer la route.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/12/28/en-savoie-trois-blesses-dans-un-accident-impliquant-un-bus-et-deux-voitures-bellentre-620976.html
Deux hommes, âgés de 50 et 60 ans, ont été légèrement blessés. Un homme de 43 ans, incarcéré, a été grièvement blessé. Ils ont été transportés vers le centre hospitalier de Bourg Saint-Maurice.
Une déviation a été mise en place par les forces de l'ordre le temps de déblayer la route.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/12/28/en-savoie-trois-blesses-dans-un-accident-impliquant-un-bus-et-deux-voitures-bellentre-620976.html
Renversé par une voiture, un enfant grièvement blessé à Font-Romeu
Dimanche après-midi, aux alentours de 17 h, un accident s’est produit dans la rue des cabris à Font-Romeu. Un enfant de 7 ans a été renversé par un véhicule et a été grièvement blessé dans le choc.
Polytraumatisé, il a été pris en charge d’abord par les pompiers puis transporté par hélicoptère vers l’hôpital de Perpignan par le Samu. Les gendarmes se sont également rendus sur place afin de procéder aux premières constatations
http://www.lindependant.fr/2014/12/28/renverse-par-une-voiture-un-enfant-grievement-blesse-a-font-romeu,1973233.php
Polytraumatisé, il a été pris en charge d’abord par les pompiers puis transporté par hélicoptère vers l’hôpital de Perpignan par le Samu. Les gendarmes se sont également rendus sur place afin de procéder aux premières constatations
http://www.lindependant.fr/2014/12/28/renverse-par-une-voiture-un-enfant-grievement-blesse-a-font-romeu,1973233.php
TGV arrêté : 71 personnes évacuées
Suite à la rupture d'alimentation de câbles sur la caténaire, probablement due à la chute d'arbres ou de branches, un TGV parti de Tarbes en direction de Paris-Montparnasse a été immobilisé, hier matin, entre Tarbes et Lourdes, au niveau du passage à niveau 175, sur la commune d'Adé. Les 69 passagers ainsi que le conducteur et le contrôleur ont dû être évacués et conduit par des bus affrétés par la SNCF en gare de Lourdes, pour poursuivre leur voyage. L'évacuation s'est passée dans le calme, avec l'appui des agents SNCF et des pompiers. Le transbordement s'est déroulé en moins de 45 minutes. À partir de 14 heures, la circulation a été rétablie, d'abord sur une voix, puis sur les deux en milieu d'après-midi. Auparavant, des navettes assuraient les liaisons entre Tarbes et Lourdes.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/29/2020044-tgv-arrete-71-personnes-evacuees.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/29/2020044-tgv-arrete-71-personnes-evacuees.html
dimanche 28 décembre 2014
Gironde : ivre, il braque un bureau de tabac pour faire "une blague" et se fait arrêter
Il était environ 19 heures, samedi, quand un homme a fait irruption dans un bureau de tabac à Saint-André-de-Cubzac et a demandé à se faire remettre la caisse sous la menace d'une arme de poing.
Le braqueur, le visage dissimulé sous une cagoule, a été très vite identifié et a dit à la commerçante qu'il s'agissait "d'une blague". Il a retiré sa cagoule et quitté les lieux.
Les gendarmes, alertés, ont rapidement interpellé cet homme d'une trentaine d'années qui avait regagné son domicile. Il était en état d'ivresse. Les gendarmes ont découvert chez lui l'arme, un pistolet factice.
Placé en cellule de dégrisement, il devrait être auditionné au cours des prochaines heures.
http://www.sudouest.fr/2014/12/28/gironde-ivre-il-braque-un-bureau-de-tabac-avec-une-arme-factice-et-se-fait-arreter-1781009-2780.php
Le braqueur, le visage dissimulé sous une cagoule, a été très vite identifié et a dit à la commerçante qu'il s'agissait "d'une blague". Il a retiré sa cagoule et quitté les lieux.
Les gendarmes, alertés, ont rapidement interpellé cet homme d'une trentaine d'années qui avait regagné son domicile. Il était en état d'ivresse. Les gendarmes ont découvert chez lui l'arme, un pistolet factice.
Placé en cellule de dégrisement, il devrait être auditionné au cours des prochaines heures.
http://www.sudouest.fr/2014/12/28/gironde-ivre-il-braque-un-bureau-de-tabac-avec-une-arme-factice-et-se-fait-arreter-1781009-2780.php
JURA. Jeurre : une voiture chute de 30 mètres
Samedi, vers 21h45, les pompiers ont été appelés pour intervenir sur la RD 27, dans le bas de la Côte de Jeurre. Sur une route particulièrement enneigée et glissante, un automobiliste aurait loupé son virage, avant de faire plusieurs tonneaux et de terminer 30 mètres en contrebas dans le ravin.
D'importants moyens de secours ont été déclenchés, sous le commandement du lieutenant Laurent Lacroix, chef de centre sur Moirans-en-Montagne. Si le blessé ne présentait pas d'importantes blessures, en revanche, le Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (GRIMP) est intervenu pour la désincarcération de la victime, ainsi que les centres de secours de Moirans, La Bienne et de Saint-Claude.
Le chef d'escadron, Jean-François Barette, commandant de la compagnie de gendarmerie de Saint-Claude, était également sur les lieux.
http://www.leprogres.fr/jura/2014/12/27/jeurre-une-voiture-chute-de-30-metres
D'importants moyens de secours ont été déclenchés, sous le commandement du lieutenant Laurent Lacroix, chef de centre sur Moirans-en-Montagne. Si le blessé ne présentait pas d'importantes blessures, en revanche, le Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (GRIMP) est intervenu pour la désincarcération de la victime, ainsi que les centres de secours de Moirans, La Bienne et de Saint-Claude.
Le chef d'escadron, Jean-François Barette, commandant de la compagnie de gendarmerie de Saint-Claude, était également sur les lieux.
http://www.leprogres.fr/jura/2014/12/27/jeurre-une-voiture-chute-de-30-metres
samedi 27 décembre 2014
Alerte à la bombe à la gare de Lyon
La gare de la Part-Dieu à Lyon était en cours d'évacuation ce soir vers 18h45 après une alerte à la bombe. Un colis suspect a entraîné la mise en place d'un périmètre de sécurité au sein de la gare, rapporte lyonmag.com.
Les milliers de voyageurs sur place ont été contraints de sortir sous les ordres des policiers, en attendant l'intervention des démineurs.
Des retards sont à prévoir pour les TGV et les TER.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/27/97001-20141227FILWWW00114-alerte-a-la-bombe-a-la-gare-de-lyon.php
Les milliers de voyageurs sur place ont été contraints de sortir sous les ordres des policiers, en attendant l'intervention des démineurs.
Des retards sont à prévoir pour les TGV et les TER.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/27/97001-20141227FILWWW00114-alerte-a-la-bombe-a-la-gare-de-lyon.php
Narbonne : elle est sans nouvelle de sa fille de 15 ans http://www.lindependant.fr/2014/12/27/elle-attend-sa-fille-disparue-depuis-le-24,1972787.phpdepuis Noël
Sa fille de 15 ans serait à Alès. Une main courante a été déposée.
Une maman très angoissée par la disparition de sa fille frappe à toutes les portes pour être entendue. "Je devais retrouver ma fille, le 24 décembre dernier, pour les fêtes. Elle n'était pas au rendez-vous. Depuis, son portable ne répond plus", raconte Isabelle Laharie, cadre de santé.
Hier, en désespoir de cause, elle a déposé une main courante auprès du commissariat de Narbonne. Elle a expliqué que sa fille se trouvait dans une situation particulière. A la suite d'une fugue d'un foyer de Carcassonne, elle est partie avec une autre adolescente dimanche 14 décembre rejoindre "un majeur d'une vingtaine d'années". L'autre jeune fille est rentrée, "mais ma fille est encore avec cet homme, et je ne sais vraiment pas où. Elle n'a que 15 ans et demi".
Par le biais de son opérateur téléphonique, elle a pu faire géolocaliser sa fille qui serait dans le Gard, à Alès. Mais aujourd'hui, "ma fille est inscrite sur le fichier des fugues, mais, moi, je considère qu'il s'agit d'une disparition inquiétante". Les craintes de cette maman sont de plus en plus grandes puisqu'elle a expliqué "avoir déjà été agressée par ce majeur". Si sa fille a été placée par ordonnance du juge des enfants, "c'est pour être protégée de cet homme". "Ma fille a déjà fugué trois fois par le passé mais jamais je ne me suis retrouvée sans nouvelle".
En cas d'information complémentaire, vous pouvez contacter Isabelle Laharie au 06 01 98 47 59. Marion Lopez a été inscrite sur le fichier des fugues et figure sur le site Centre Français de Protection de l'Enfance - Enfants Disparus (Missing Children Europe).
http://www.lindependant.fr/2014/12/27/elle-attend-sa-fille-disparue-depuis-le-24,1972787.php
Une maman très angoissée par la disparition de sa fille frappe à toutes les portes pour être entendue. "Je devais retrouver ma fille, le 24 décembre dernier, pour les fêtes. Elle n'était pas au rendez-vous. Depuis, son portable ne répond plus", raconte Isabelle Laharie, cadre de santé.
Hier, en désespoir de cause, elle a déposé une main courante auprès du commissariat de Narbonne. Elle a expliqué que sa fille se trouvait dans une situation particulière. A la suite d'une fugue d'un foyer de Carcassonne, elle est partie avec une autre adolescente dimanche 14 décembre rejoindre "un majeur d'une vingtaine d'années". L'autre jeune fille est rentrée, "mais ma fille est encore avec cet homme, et je ne sais vraiment pas où. Elle n'a que 15 ans et demi".
Par le biais de son opérateur téléphonique, elle a pu faire géolocaliser sa fille qui serait dans le Gard, à Alès. Mais aujourd'hui, "ma fille est inscrite sur le fichier des fugues, mais, moi, je considère qu'il s'agit d'une disparition inquiétante". Les craintes de cette maman sont de plus en plus grandes puisqu'elle a expliqué "avoir déjà été agressée par ce majeur". Si sa fille a été placée par ordonnance du juge des enfants, "c'est pour être protégée de cet homme". "Ma fille a déjà fugué trois fois par le passé mais jamais je ne me suis retrouvée sans nouvelle".
En cas d'information complémentaire, vous pouvez contacter Isabelle Laharie au 06 01 98 47 59. Marion Lopez a été inscrite sur le fichier des fugues et figure sur le site Centre Français de Protection de l'Enfance - Enfants Disparus (Missing Children Europe).
http://www.lindependant.fr/2014/12/27/elle-attend-sa-fille-disparue-depuis-le-24,1972787.php
Il menace de mort sa femme avant d'emboutir la voiture des gendarmes
Jeudi, vers 21 h 30, une habitante de Castelnaudary qui venait d'être menacé de mort par son ancien compagnon, un homme de 31 ans, a fait appel aux services de la gendarmerie. Quelques minutes plus tard, une patrouille composée de deux militaires arrive sur les lieux. Le trentenaire qui apparaît agité et sous l'emprise de l'alcool est alors au volant de sa voiture. L'un des deux gendarmes s'approche du véhicule afin de procéder à un contrôle. Mais l'homme est bien décidé à ne pas se laisser faire. Anticipant probablement ce qu'il risquait d'arriver, le militaire s'est alors penché dans l'habitacle du véhicule avec l'intention d'enlever les clés du contacteur. Vaine tentative. L'homme a alors brutalement démarré avant d'emboutir volontairement la voiture de gendarmerie qui a été poussée jusque dans un fossé. Là, l'automobiliste a enclenché la marche arrière avant de foncer sur le second gendarme, sans heureusement le toucher. Le premier militaire, lui, en revanche a été légèrement blessé à l'épaule, lorsque la voiture a démarré. Le trentenaire s'est ensuite volatilisé au nez et à la barbe des gendarmes. La nuit portant conseil, l'automobiliste s'est présenté de lui-même à la gendarmerie, hier matin. Placé en garde à vue, l'homme devra répondre de menaces de mort mais aussi de violences et de dégradations volontaires devant le tribunal correctionnel de Carcassonne, le 10 avril.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/27/2019005-castelnaudary-menace-mort-femme-avant-emboutir-voiture-gendarmes.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/27/2019005-castelnaudary-menace-mort-femme-avant-emboutir-voiture-gendarmes.html
Castelnaudary : un gendarme blessé, une voiture de gendarmerie emboutie
C'est parce que son ancien compagnon l'importunait, dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 2 h 30, qu'une femme, résidant rue René Clair à Castelnaudary, a alerté le centre opérationnel de régulation d'appel de la gendarmerie.
Un contrôle qui part en "sucette"
Rapidement sur place, les gendarmes ont alors aperçu le suspect qui s'apprêtait à partir au volant de sa voiture. Les militaires ont alors tenté de contrôler le suspect, mais le contrôle en question est parti en "sucette", à partir du moment où l'un des gendarmes a voulu récupérer les clés du véhicule. C'est dans ce contexte que le suspect a démarré en trombe, avec un des gendarmes à moitié coincé dans l'habitacle de sa voiture... Finalement éjecté, le militaire s'en sortira avec un traumatisme à une épaule et trois jours d'interruption totale de travail (ITT).
(SOURCE : L'INDEPENDANT)
http://www.midilibre.fr//2014/12/26/castelnaudary-un-gendarme-blesse-une-voiture-de-gendarmerie-emboutie,1103494.php
Un contrôle qui part en "sucette"
Rapidement sur place, les gendarmes ont alors aperçu le suspect qui s'apprêtait à partir au volant de sa voiture. Les militaires ont alors tenté de contrôler le suspect, mais le contrôle en question est parti en "sucette", à partir du moment où l'un des gendarmes a voulu récupérer les clés du véhicule. C'est dans ce contexte que le suspect a démarré en trombe, avec un des gendarmes à moitié coincé dans l'habitacle de sa voiture... Finalement éjecté, le militaire s'en sortira avec un traumatisme à une épaule et trois jours d'interruption totale de travail (ITT).
Un gendarme évité de peu lors d'une marche arrière
Ceci dit, non content d'avoir blessé un gendarme dans l'exercice de ses fonctions, le fuyard n'a reculé devant rien et poursuivi sa route en fonçant délibérement sur un véhicule de gendarmerie qui s'est retrouvé projeté dans un fossé. Le suspect a ensuite exécuté une marche arrière des plus téméraires en évitant un autre militaire, et a pris la fuite...Déjà connu pour des faits de violence
Ce n'est que ce vendredi matin que le suspect, un maçon chaurien de 30 ans, s'est présenté dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Castelnaudary, où il a été placé en garde à vue. L'homme est déjà connu des services de police et de la justice pour des faits de violence.(SOURCE : L'INDEPENDANT)
http://www.midilibre.fr//2014/12/26/castelnaudary-un-gendarme-blesse-une-voiture-de-gendarmerie-emboutie,1103494.php
vendredi 26 décembre 2014
Un automobiliste de 23 ans perd la vie le matin de Noël
La fête de Noël a tourné au drame pour une famille rémoise. Ce jeudi matin, un automobiliste de 23 ans, Marc Laurent, a perdu la vie en percutant un arbre rue Patrick-Dongois, dans le quartier Wilson. Survenu peu avant 9 heures, l’accident s’est produit à quelques mètres seulement de son domicile.
Seul à bord d’une Ford Focus, le jeune homme en a perdu le contrôle pour une raison qui reste à déterminer. La voiture a quitté la chaussée et percuté un arbre autour duquel elle s’est enroulée.
Accouru sur les lieux, le petit frère de la victime s’est coupé à la main droite en cassant un carreau pour tenter de lui porter secours. Les pompiers l’ont évacué à l’hôpital tandis que d’autres sauveteurs rejoints par une équipe du Samu s’efforçaient de désincarcérer l’automobiliste.
Ils y sont parvenus au bout d’une heure mais malgré les soins prodigués, Marc Laurent est décédé sur place, dans l’ambulance des pompiers. Célibataire, il venait de trouver un emploi et s’apprêtait à travailler comme préparateur de commandes à l’aéroport de Vatry.
Ce dramatique accident alourdit le bilan déjà catastrophique de l’insécurité routière dans la Marne en 2014 : quarante-quatre tués, contre trente-deux en 2013, ce qui porte un coup d’arrêt brutal à la baisse des accidents mortels que connaissait le département depuis 2009. La dégradation est générale, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain. Sept des quarante-quatre personnes décédées ont péri dans les circonscriptions de police de Reims, Épernay et Châlons-en-Champagne. Il y en avait eu trois l’année précédente
http://www.lunion.com/region/un-automobiliste-de-23-ans-perd-la-vie-le-matin-de-noel-ia3b24n462633
Seul à bord d’une Ford Focus, le jeune homme en a perdu le contrôle pour une raison qui reste à déterminer. La voiture a quitté la chaussée et percuté un arbre autour duquel elle s’est enroulée.
Accouru sur les lieux, le petit frère de la victime s’est coupé à la main droite en cassant un carreau pour tenter de lui porter secours. Les pompiers l’ont évacué à l’hôpital tandis que d’autres sauveteurs rejoints par une équipe du Samu s’efforçaient de désincarcérer l’automobiliste.
Ils y sont parvenus au bout d’une heure mais malgré les soins prodigués, Marc Laurent est décédé sur place, dans l’ambulance des pompiers. Célibataire, il venait de trouver un emploi et s’apprêtait à travailler comme préparateur de commandes à l’aéroport de Vatry.
Ce dramatique accident alourdit le bilan déjà catastrophique de l’insécurité routière dans la Marne en 2014 : quarante-quatre tués, contre trente-deux en 2013, ce qui porte un coup d’arrêt brutal à la baisse des accidents mortels que connaissait le département depuis 2009. La dégradation est générale, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain. Sept des quarante-quatre personnes décédées ont péri dans les circonscriptions de police de Reims, Épernay et Châlons-en-Champagne. Il y en avait eu trois l’année précédente
http://www.lunion.com/region/un-automobiliste-de-23-ans-perd-la-vie-le-matin-de-noel-ia3b24n462633
Béarn : le livreur de pain se fait tabasser
Un Salisien de 33 ans qui livre les boulangeries a été agressé par cinq individus, hier vers 5h15, avenue de l'Ousse à Lescar, devant l'un des commerces qu'il dessert.
Ayant remarqué un homme qui venait d'essayer d'ouvrir son camion, alors qu'il était en cours de déchargement, le livreur l'a apostrophé. Il s'est ensuivi un échange qui est resté verbal. Mais quelques instants plus tard l'individu est revenu sur les lieux avec quatre connaissances en « renfort ».
La victime s'est ensuite rendue d'elle-même aux urgences, avant de venir déposer plainte au commissariat de Pau. Elle n'a pas reconnu ses agresseurs qui, en l'occurrence, ont fait montre d'une lâcheté rare. Une enquête est ouverte.
http://www.sudouest.fr/2014/12/26/faits-divers-1779713-4584.php
Ayant remarqué un homme qui venait d'essayer d'ouvrir son camion, alors qu'il était en cours de déchargement, le livreur l'a apostrophé. Il s'est ensuivi un échange qui est resté verbal. Mais quelques instants plus tard l'individu est revenu sur les lieux avec quatre connaissances en « renfort ».
Perte de connaissance
Le livreur a alors essuyé un coup-de-poing en plein visage qui lui a fait perdre connaissance. Puis d'autres coups de poing et de pied, alors qu'il était au sol.La victime s'est ensuite rendue d'elle-même aux urgences, avant de venir déposer plainte au commissariat de Pau. Elle n'a pas reconnu ses agresseurs qui, en l'occurrence, ont fait montre d'une lâcheté rare. Une enquête est ouverte.
http://www.sudouest.fr/2014/12/26/faits-divers-1779713-4584.php
Sortie de route
Une voiture qui circulait sur la RD 911, dans le sens montant de Villefranche vers Rieupeyroux, a effectué hier matin à 10 h 10 une sortie de route au niveau de la tournée du Breil, commune de Villefranche-de-Rouergue (notre photo). Après avoir emporté des panneaux de signalisation, le véhicule a terminé sa course contre un arbre. Sa conductrice, âgée d'une quarantaine d'années, seule à bord, a été légèrement blessée et transportée au centre hospitalier de Villefranche par les sapeurs pompiers.
AVEYRON > Chaussée glissante. Depuis hier matin, de nombreuses sorties de route ont été relevées en raison de la chaussée glissante. La gendarmerie souhaite rappeler aux usagers de la route de prendre toutes les précautions nécessaires : rouler à une vitesse adaptée, utiliser les feux adéquats et respecter les distances de sécurité.
rodez > Vol à l'étalage au magasin Intersport. Mardi après-midi, un individu a été interpellé alors qu'il était en train de voler de la marchandise dans le magasin Intersport, à Rodez. L'homme a été placé en garde à vue.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/25/2018372-sortie-de-route.html
AVEYRON > Chaussée glissante. Depuis hier matin, de nombreuses sorties de route ont été relevées en raison de la chaussée glissante. La gendarmerie souhaite rappeler aux usagers de la route de prendre toutes les précautions nécessaires : rouler à une vitesse adaptée, utiliser les feux adéquats et respecter les distances de sécurité.
rodez > Vol à l'étalage au magasin Intersport. Mardi après-midi, un individu a été interpellé alors qu'il était en train de voler de la marchandise dans le magasin Intersport, à Rodez. L'homme a été placé en garde à vue.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/25/2018372-sortie-de-route.html
jeudi 25 décembre 2014
Un homme tue sa femme malade et se suicide
Un septuagénaire a tué jeudi avec une arme à feu sa femme, hosiptalisée en phase terminale dans une clinique à Castelnau-le-Lez (Hérault), puis s'est donné la mort, selon une source proche du dossier.
L'homme s'est rendu le jour de Noël à la clinique du parc, dans cette commune de la périphérie de Montpellier avec une carabine, qu'il avait pris soin de dissimuler, a précisé la même source.
"Le mari a voulu abréger les souffrances de sa femme, hospitalisée avec un traitement lourd", a confirmé la gendarmerie, qui est en charge de l'enquête, expliquant qu'à la mi-journée "il est arrivé dans la clinique avec la carabine 22 long rifle dissimulée dans une couverture".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/25/97001-20141225FILWWW00045-un-homme-tue-sa-femme-malade-et-se-suicide.php
L'homme s'est rendu le jour de Noël à la clinique du parc, dans cette commune de la périphérie de Montpellier avec une carabine, qu'il avait pris soin de dissimuler, a précisé la même source.
"Le mari a voulu abréger les souffrances de sa femme, hospitalisée avec un traitement lourd", a confirmé la gendarmerie, qui est en charge de l'enquête, expliquant qu'à la mi-journée "il est arrivé dans la clinique avec la carabine 22 long rifle dissimulée dans une couverture".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/25/97001-20141225FILWWW00045-un-homme-tue-sa-femme-malade-et-se-suicide.php
Deux blessés graves dans des accidents de la circulation dans l’Eure
Le conducteur dans un état grave
Ce mercredi 24 décembre vers 16h00 sur la route départementale 819 à hauteur de Notre-Dame-du-Hamel (Eure), une collision entre deux véhicules a fait trois blessés, dont un grave. Les pompiers de l’Eure sont venus en renfort auprès de leurs collègues de l’Orne. Le conducteur de l’une des deux voitures impliquées aurait perdu le contrôle de son véhicule. Il a été transporté au CHU de L’aigle.
Une fille de 13 ans dans un état grave
Vers 19h15, ce mercredi (24 décembre) une famille, originaire des Pays-Bas, est victime d’un accident de la route sur l’A13 à hauteur d’Incarville, dans l’Eure, dans le sens Paris-Rouen. Le conducteur avait manqué la sortie et se serait arrêté sur le bas côté avant de se faire percuter par un autre véhicule.
Dans la voiture, un homme de 49 ans, sa femme, âgée de 48 ans et leurs deux enfants : deux filles âgées de 11 et 13 ans. Cinq personnes sont impliquées au total dans l’accident. Les parents et leur fille de 11 ans, légèrement blessés, ont été transportés au centre hospitalier d’Elbeuf. Leur autre fille de 13 ans à été conduite dans un état grave au CHU Charles Nicolle, de Rouen.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l’accident.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/12/25/deux-blesses-graves-dans-des-accidents-de-la-circulation-dans-l-eure-619522.html
Ce mercredi 24 décembre vers 16h00 sur la route départementale 819 à hauteur de Notre-Dame-du-Hamel (Eure), une collision entre deux véhicules a fait trois blessés, dont un grave. Les pompiers de l’Eure sont venus en renfort auprès de leurs collègues de l’Orne. Le conducteur de l’une des deux voitures impliquées aurait perdu le contrôle de son véhicule. Il a été transporté au CHU de L’aigle.
Une fille de 13 ans dans un état grave
Vers 19h15, ce mercredi (24 décembre) une famille, originaire des Pays-Bas, est victime d’un accident de la route sur l’A13 à hauteur d’Incarville, dans l’Eure, dans le sens Paris-Rouen. Le conducteur avait manqué la sortie et se serait arrêté sur le bas côté avant de se faire percuter par un autre véhicule.
Dans la voiture, un homme de 49 ans, sa femme, âgée de 48 ans et leurs deux enfants : deux filles âgées de 11 et 13 ans. Cinq personnes sont impliquées au total dans l’accident. Les parents et leur fille de 11 ans, légèrement blessés, ont été transportés au centre hospitalier d’Elbeuf. Leur autre fille de 13 ans à été conduite dans un état grave au CHU Charles Nicolle, de Rouen.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l’accident.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/12/25/deux-blesses-graves-dans-des-accidents-de-la-circulation-dans-l-eure-619522.html
Dispute au réveillon: deux blessés graves
Un couple a été grièvement blessé par arme blanche dans la nuit de mercredi à jeudi à Hautmont (Nord) lors d'une dispute familiale, semble-t-il, au cours du réveillon de Noël, indiquent les secours.
Les pompiers sont intervenus vers 1H00 du matin jeudi. Les deux victimes, âgées d'une cinquantaine d'années, avaient été invitées à passer le réveillon dans cette commune, explique La Voix du Nord qui révèle l'incident. Selon le quotidien, la femme a été touchée à la carotide et l'homme au thorax, mais leur pronostic vital n'est pas engagé.
Ils ont été transportés aux centres hospitaliers de Lille et Maubeuge.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/25/97001-20141225FILWWW00029-dispute-au-reveillon-deux-blesses-graves.php
Les pompiers sont intervenus vers 1H00 du matin jeudi. Les deux victimes, âgées d'une cinquantaine d'années, avaient été invitées à passer le réveillon dans cette commune, explique La Voix du Nord qui révèle l'incident. Selon le quotidien, la femme a été touchée à la carotide et l'homme au thorax, mais leur pronostic vital n'est pas engagé.
Ils ont été transportés aux centres hospitaliers de Lille et Maubeuge.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/25/97001-20141225FILWWW00029-dispute-au-reveillon-deux-blesses-graves.php
Le dentiste escroqué de 34 000 euros avec un faux email à sa banque
C'est une bien mauvaise surprise de fin d'année que vient de découvrir un Castelsarrasinois en consultant son compte bancaire professionnel. Ce dentiste qui a pignon sur rue dans la ville sous-préfecture a, en effet, constaté deux importants débits de 14 000 et 20 000 euros entre le 9 et le 11 décembre.
Surpris, le dentiste se rend immédiatement auprès de son agence bancaire pour réclamer des explications. Reçu par le responsable, ce dernier lui garantissait que c'était bien le bénéficiaire du compte qui avait fait ces demandes de virements bancaires par un courriel adressé à sa banque. Du grand art en escroquerie !Il faut dire que l'escroc à l'origine de ce transfert bancaire frauduleux serait parvenu à récupérer et à falsifier la signature ainsi que l'écriture du dentiste. Le hacker serait vraisemblablement parvenu à pirater son compte électronique et à récupérer la copie d'une précédente transaction conservée par ce dernier.
Le travail des enquêteurs de la gendarmerie, saisis de cette nouvelle affaire d'escroquerie via internet, s'avère d'ores et déjà extrêmement difficile.
Les escroqueries se multipliant compte-tenu du flux croissant d'opérations sur Internet, les organismes bancaires conseillent à leurs clients une vigilance renforcée. De leurs côtés, les établissements financiers s'équipent en moyens de contrôles supplémentaires. Mais la malhonnêteté n'a pas de limites…
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/25/2018095-dentiste-escroque-34-000-e-faux-email-banque.html
L'escroc a piraté la signature du professionnel
Un retrait, ou plus précisément un transfert d'argent vers l'étranger d'un total de 34 000 euros que le trentenaire n'a jamais effectué.Surpris, le dentiste se rend immédiatement auprès de son agence bancaire pour réclamer des explications. Reçu par le responsable, ce dernier lui garantissait que c'était bien le bénéficiaire du compte qui avait fait ces demandes de virements bancaires par un courriel adressé à sa banque. Du grand art en escroquerie !Il faut dire que l'escroc à l'origine de ce transfert bancaire frauduleux serait parvenu à récupérer et à falsifier la signature ainsi que l'écriture du dentiste. Le hacker serait vraisemblablement parvenu à pirater son compte électronique et à récupérer la copie d'une précédente transaction conservée par ce dernier.
Le travail des enquêteurs de la gendarmerie, saisis de cette nouvelle affaire d'escroquerie via internet, s'avère d'ores et déjà extrêmement difficile.
Ni vu, ni connu, le hacker a fait un retrait en liquide
Le délinquant financier qui a vraisemblablement ouvert un compte à Londres sous un faux nom ayant déjà retiré en liquide les 34 000 euros du dentiste castelsarrasinois. «Les victimes de ces arnaques financières via internet qui se multiplient, doivent aussi être vigilantes sur les usurpations d'identité des escrocs qui n'hésitent pas à se faire passer pour de faux gendarmes ou policiers menant une enquête pour commettre des délits financiers dans les entreprises (notre encadré)» nous confirme un enquêteur œuvrant pour la section intelligence économique.Les escroqueries se multipliant compte-tenu du flux croissant d'opérations sur Internet, les organismes bancaires conseillent à leurs clients une vigilance renforcée. De leurs côtés, les établissements financiers s'équipent en moyens de contrôles supplémentaires. Mais la malhonnêteté n'a pas de limites…
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/25/2018095-dentiste-escroque-34-000-e-faux-email-banque.html
Choc frontal à Bar-le-Duc
Un peu après 19 h 30, un homme circulant au volant d’une voiture sur la voie de contournement de Bar-le-Duc, la N1135, dans le sens Longeville – Bar-le-Duc a perdu le contrôle de son véhicule à hauteur du cimetière. Il est venu percuter une autre automobile qui circulait dans le sens inverse. La chaussée était rendue glissante par la pluie. Un accident matériel s’était déjà produit au même endroit la semaine dernière.
À bord de chaque véhicule se trouvaient deux personnes. Les conducteurs et les passagères. Si les premiers sont sortis indemne de l’impact, les deux passagères, légèrement blessées, ont été conduites à l’hôpital de Bar-le-Duc par les sapeurs pompiers de la localité, sous la direction du capitaine Dufour.
La police, également dépêchée sur place, a réalisé les constatations d’usage et pratiqué des tests d’alcoolémie sur les deux conducteurs, qui se sont révélés négatifs. Des tests toxicologiques seront également effectués, une obligation en cas d’accident.
La route a été coupée à la circulation pendant un peu plus d’une heure, le temps que la dépanneuse arrive sur les lieux et que les services techniques enlèvent les débris de la chaussée.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/12/24/choc-frontal-a-bar-le-duc
À bord de chaque véhicule se trouvaient deux personnes. Les conducteurs et les passagères. Si les premiers sont sortis indemne de l’impact, les deux passagères, légèrement blessées, ont été conduites à l’hôpital de Bar-le-Duc par les sapeurs pompiers de la localité, sous la direction du capitaine Dufour.
La police, également dépêchée sur place, a réalisé les constatations d’usage et pratiqué des tests d’alcoolémie sur les deux conducteurs, qui se sont révélés négatifs. Des tests toxicologiques seront également effectués, une obligation en cas d’accident.
La route a été coupée à la circulation pendant un peu plus d’une heure, le temps que la dépanneuse arrive sur les lieux et que les services techniques enlèvent les débris de la chaussée.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/12/24/choc-frontal-a-bar-le-duc
mercredi 24 décembre 2014
Une jeune fille renversée par un bus à Bruges (33)
Une jeune fille de 22 ans, a été renversée par un bus de Keolis ce mercredi 24 décembre vers 6 heures.
L'accident est survenu au niveau du 2 avenue Périé.
Les sapeurs pompiers se sont rapidement transportés sur les lieux de l'accident.
La jeune fille a été prise en charge par le Smur et conduite dans un état grave aux urgences du centre hospitalier universitaire de Bordeaux à l'hôpital Pellegrin.
http://www.sudouest.fr/2014/12/24/une-jeune-fille-renversee-par-un-bus-a-bruges-33-1778365-2790.php
L'accident est survenu au niveau du 2 avenue Périé.
Les sapeurs pompiers se sont rapidement transportés sur les lieux de l'accident.
La jeune fille a été prise en charge par le Smur et conduite dans un état grave aux urgences du centre hospitalier universitaire de Bordeaux à l'hôpital Pellegrin.
http://www.sudouest.fr/2014/12/24/une-jeune-fille-renversee-par-un-bus-a-bruges-33-1778365-2790.php
mardi 23 décembre 2014
Pyrénées-Atlantiques : condamnés pour 37 vols commis en... deux nuits
Les deux jeunes hommes ont expliqué à leurs avocats qu'il s'agissait d'une « plaisanterie », d'un « délire ». Jawad S., 19 ans, et Amine M., 24 ans, étaient jugés lundi en comparution immédiate au tribunal de Pau pour une série de 37 vols commis dans les nuits du 10 au 11 et du 11 au 12 décembre derniers à Mourenx et dans les alentours. Un troisième jeune homme, mineur, comparaîtra lui plus tard devant un juge des enfants.
Tout est parti de l'interpellation d'Amine M., le cadet du trio, dans la nuit de vendredi à samedi derniers. Le jeune Mourenxois était éméché dans sa voiture, où les gendarmes ont retrouvé plusieurs objets déclarés volés la semaine précédente : un chéquier, un permis, une carte bleue, un porte-monnaie Chanel, une paire de Ray Ban, un couteau pliable, un aspirateur compact, une caisse à outils… et trois brise-vitres rouges qu'on retrouve dans des bus.
Neuf victimes sont venues se constituer partie civile lors de l'audience. Elles se sont levées tour à tour pour faire la somme de ce qu'elles estimaient avoir perdu. « Moi, on m'a fracturé deux voitures, explique une habitante de Pardies. Le mécanisme des vitres est cassé, on m'a volé mes papiers, ma carte grise, mon GPS… »
« Non, ce n'est pas facile de s'excuser en audience publique a défendu, l'avocate de Jawad S., Me Spiteri. Il a reconnu les faits. Non sans mal, mais il l'a fait. » Le conseil a réclamé de la clémence et surtout la possibilité que son client puisse continuer ses études à Toulouse, loin du tumulte mourenxois. Le tribunal l'a toutefois condamné à 4 mois de prison ferme avec mandat de dépôt.
Amine M. a lui été condamné à 10 mois de prison dont 4 avec sursis mis à l'épreuve. « C'est bien de les punir, avait plaidé son avocat, Me Seck. Mais la prison, c'est la dernière des choses à faire. »
http://www.sudouest.fr/2014/12/23/prison-pour-37-vols-commis-en-deux-nuits-1777076-4310.php
Tout est parti de l'interpellation d'Amine M., le cadet du trio, dans la nuit de vendredi à samedi derniers. Le jeune Mourenxois était éméché dans sa voiture, où les gendarmes ont retrouvé plusieurs objets déclarés volés la semaine précédente : un chéquier, un permis, une carte bleue, un porte-monnaie Chanel, une paire de Ray Ban, un couteau pliable, un aspirateur compact, une caisse à outils… et trois brise-vitres rouges qu'on retrouve dans des bus.
Brise-vitres, papiers, GPS
Au tribunal, il explique son attitude par un excès d'alcool très marquéCe sont ces derniers objets rares qui ont alerté les militaires. Les trois brise-vitres avaient été dérobés dans un bus lors de la première virée. « Si vous avez pris ces marteaux brise-vitres, c'était bien pour briser les glaces des voitures », interroge le président. « Au départ, je ne pensais pas que cela servirait à ça », a répondu Amine, qui a expliqué son attitude par un débordement éthylique sévère. Les trente-six autres vols ont été commis de la même manière. Le trio (ou quatuor selon les déclarations) cassait l'une ou plusieurs des vitres de voitures qu'il repérait puis dérobait ce qui se trouvait à l'intérieur.
Neuf victimes sont venues se constituer partie civile lors de l'audience. Elles se sont levées tour à tour pour faire la somme de ce qu'elles estimaient avoir perdu. « Moi, on m'a fracturé deux voitures, explique une habitante de Pardies. Le mécanisme des vitres est cassé, on m'a volé mes papiers, ma carte grise, mon GPS… »
Des visages et des excuses
La majorité de leurs effets personnels ramenés par les gendarmes, la plupart de ces victimes se sont présentées hier au tribunal pour exiger le remboursement de bris de glace. Le duo s'est excusé et engagé hier à rembourser tout le mal qu'il avait causé. « Je voudrais m'excuser, a ajouté Jawad S., j'ai reconnu certaines personnes que je connais dans la salle. »« Non, ce n'est pas facile de s'excuser en audience publique a défendu, l'avocate de Jawad S., Me Spiteri. Il a reconnu les faits. Non sans mal, mais il l'a fait. » Le conseil a réclamé de la clémence et surtout la possibilité que son client puisse continuer ses études à Toulouse, loin du tumulte mourenxois. Le tribunal l'a toutefois condamné à 4 mois de prison ferme avec mandat de dépôt.
Amine M. a lui été condamné à 10 mois de prison dont 4 avec sursis mis à l'épreuve. « C'est bien de les punir, avait plaidé son avocat, Me Seck. Mais la prison, c'est la dernière des choses à faire. »
http://www.sudouest.fr/2014/12/23/prison-pour-37-vols-commis-en-deux-nuits-1777076-4310.php
Usurpation : qui est le corbeau du bar "Le Cochon Tigre" ?
Le Cochon Tigre sort ses griffes. Ce café culturel de Cahorsvest au cœur d'uneaffaire qui débute par une lettre envoyée à d'autres bars. Une lettre, des maux et un corbeau…
Le Cochon Tigre ne veut pas être le chat noir des autres bars de Cahors, mais un ami. Cet établissement, installé rue Pélegry, fonctionne sous un statut totalement légal lui permettant, en toute logique, de bénéficier d'avantages fiscaux.
Peut-on alors parler de concurrence déloyale ? Les responsables du Cochon Tigre s'en défendent auprès des autres cafés de la ville. Une lettre au bas de laquelle figure le nom de la présidente du Cochon Tigre, Julie Capelle, envoyée à plusieurs bars, incite les patrons de ceux-ci à pousser la porte de ce café culturel pour y découvrir les avantages de son régime fiscal associatif.
Vexant et ironique. Même provocateur pourrait-on ajouter si Julie Capelle était réellement la signataire de ce courrier.
Mais la jeune femme réfute totalement cet acte qu'elle condamne d'ailleurs vivement.
Elle s'est même empressée de déposer plainte au commissariat de Cahors pour cette usurpation d'identité afin de démasquer le mystérieux corbeau auteur du courrier.
La présidente n'est pas déstabilisée. Elle se penche sur la programmation 2015 de son café culturel. Julie Capelle et son équipe ont l'œil du tigre. Le corbeau, lui, risque gros.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/23/2017194-usurpation-qui-est-le-corbeau-du-bar-le-cochon-tigre.html
Le Cochon Tigre ne veut pas être le chat noir des autres bars de Cahors, mais un ami. Cet établissement, installé rue Pélegry, fonctionne sous un statut totalement légal lui permettant, en toute logique, de bénéficier d'avantages fiscaux.
Peut-on alors parler de concurrence déloyale ? Les responsables du Cochon Tigre s'en défendent auprès des autres cafés de la ville. Une lettre au bas de laquelle figure le nom de la présidente du Cochon Tigre, Julie Capelle, envoyée à plusieurs bars, incite les patrons de ceux-ci à pousser la porte de ce café culturel pour y découvrir les avantages de son régime fiscal associatif.
Vexant et ironique. Même provocateur pourrait-on ajouter si Julie Capelle était réellement la signataire de ce courrier.
Mais la jeune femme réfute totalement cet acte qu'elle condamne d'ailleurs vivement.
Elle s'est même empressée de déposer plainte au commissariat de Cahors pour cette usurpation d'identité afin de démasquer le mystérieux corbeau auteur du courrier.
La clarté face à la lâcheté
Une enquête a été ouverte et la police scientifique pourrait très vite se pencher sur cette affaire. «C'est Didier, le patron du Dousil, qui nous a alertés en ouvrant cette lettre reçue également par le Velvet et l'Interlude. Il a tout de suite compris que quelqu'un voulait du mal au Cochon Tigre», explique Julie. «L'auteur de cette lettre cherche à nous décrédibiliser aux yeux des autres bars de Cahors et à nous faire passer pour des fraudeurs de premier ordre», indique-t-elle à l'intention du plus grand nombre : les clients et les bars. Julie Capelle a décidé de répondre à la lâcheté par la clarté pour prouver la légalité de son café culturel. «L'association est inscrite au centre des impôts. Nous payons les droits Sacem pour organiser des événements. Nos comptes de l'association sont gérés par un expert-comptable», détaille-t-elle.La présidente n'est pas déstabilisée. Elle se penche sur la programmation 2015 de son café culturel. Julie Capelle et son équipe ont l'œil du tigre. Le corbeau, lui, risque gros.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/23/2017194-usurpation-qui-est-le-corbeau-du-bar-le-cochon-tigre.html
lundi 22 décembre 2014
Samazan (47) : une octogénéraire blessée dans un accident de la route
Il était près de 10 heures, ce lundi matin, quand gendarmes et pompiers ont été appelés.
Une dame de 80 ans, originaire de Casteljaloux, circulait sur la D933, dans le sens Casteljaloux-Marmande, quand elle a quitté la chaussée à hauteur de Samazan. Le véhicule a glissé dans le fossé, avant de percuter une tête de pont. Les circonstances de l'accident sont encore à éclaircir.
La conductrice, blessée et choquée, a été conduite à l'hôpital de Marmande.
http://www.sudouest.fr/2014/12/22/samazan-47-elle-quitte-la-chaussee-et-percute-une-tete-de-pont-1776390-3866.php
Une dame de 80 ans, originaire de Casteljaloux, circulait sur la D933, dans le sens Casteljaloux-Marmande, quand elle a quitté la chaussée à hauteur de Samazan. Le véhicule a glissé dans le fossé, avant de percuter une tête de pont. Les circonstances de l'accident sont encore à éclaircir.
La conductrice, blessée et choquée, a été conduite à l'hôpital de Marmande.
http://www.sudouest.fr/2014/12/22/samazan-47-elle-quitte-la-chaussee-et-percute-une-tete-de-pont-1776390-3866.php
La voiture volée fonce sur les policiers : quatre blessés route de Saint-Simon
Quatre policiers ont été blessés hier soir vers 21 heures route de Saint-Simon, à Toulouse. Le conducteur d'une Mini Cooper qui avait été volée en début de soirée lors d'un car-jacking à Lardenne a, selon les premiers témoignages, foncé délibérément dans le véhicule sérigraphié. Le choc, à l'arrière, a été violent. Les policiers souffrent notamment de douleurs aux vertèbres cervicales. Tous les quatre ont été transportés par les pompiers vers les urgences. Hier soir, les nouvelles de l'état de santé de ces fonctionnaires se voulaient rassurantes.
Cette affaire a donc commencé par un car-jacking violent perpétré par au moins deux individus qui portaient des cagoules et étaient armés. Vers 20 heures, cette voiture a été repérée dans le trafic de la circulation dans le quartier d'Empalot. Les policiers n'ont pu stopper le véhicule mais la poursuite a commencé.
Après l‘accident, malgré la violence du choc, deux policiers de la compagnie de sécurisation qui se trouvaient dans la voiture accidentée ont réussi à rattraper le passager de la Mini. Le conducteur s'est échappé du côté de l'hippodrome de la Cépière. L'hélicoptère de la gendarmerie qui était en alerte dans le cadre du plan anti hold-up a été envoyé sur zone et a aidé les policiers. Le phare de recherche et la caméra thermique ont été très utiles pour repérer le fuyard qui a finalement été interpellé par une patrouille de police.
Selon les premiers éléments, des cagoules et une arme auraient été retrouvés dans le Mini. Le matériel utilisé lors du car-jacking ? Les policiers le supposaient hier soir mais il était trop pour dire si conducteur et passager arrêtés avaient dérobé la voiture dans l'après-midi. L'enquête, et les investigations techniques, devront le confirmer. Les deux suspects ont bien sûr été placés en garde à vue.
Impossible de ne pas s'interroger sur un lien entre cet accident volontaire et les attaques «jihadistes», notamment celle de Joué-les-Tours samedi. Hier soir Luc Escoda, secrétaire régional d'Alliance police national écartait «a priori» cette hypothèse. «Ce n'est malheureusement pas une première à Toulouse. Cela démontre que pour les délinquants, la vie d'un policier ne vaut rien ! Nous le réclamons une nouvelle fois : la justice doit se montrer plus sévère et sanctionner systématiquement de peines de prison ferme les auteurs de telles agressions contre des policiers.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016265-la-voiture-volee-fonce-sur-les-policiers-quatre-blesses.html
Cette affaire a donc commencé par un car-jacking violent perpétré par au moins deux individus qui portaient des cagoules et étaient armés. Vers 20 heures, cette voiture a été repérée dans le trafic de la circulation dans le quartier d'Empalot. Les policiers n'ont pu stopper le véhicule mais la poursuite a commencé.
Après l‘accident, malgré la violence du choc, deux policiers de la compagnie de sécurisation qui se trouvaient dans la voiture accidentée ont réussi à rattraper le passager de la Mini. Le conducteur s'est échappé du côté de l'hippodrome de la Cépière. L'hélicoptère de la gendarmerie qui était en alerte dans le cadre du plan anti hold-up a été envoyé sur zone et a aidé les policiers. Le phare de recherche et la caméra thermique ont été très utiles pour repérer le fuyard qui a finalement été interpellé par une patrouille de police.
Selon les premiers éléments, des cagoules et une arme auraient été retrouvés dans le Mini. Le matériel utilisé lors du car-jacking ? Les policiers le supposaient hier soir mais il était trop pour dire si conducteur et passager arrêtés avaient dérobé la voiture dans l'après-midi. L'enquête, et les investigations techniques, devront le confirmer. Les deux suspects ont bien sûr été placés en garde à vue.
Impossible de ne pas s'interroger sur un lien entre cet accident volontaire et les attaques «jihadistes», notamment celle de Joué-les-Tours samedi. Hier soir Luc Escoda, secrétaire régional d'Alliance police national écartait «a priori» cette hypothèse. «Ce n'est malheureusement pas une première à Toulouse. Cela démontre que pour les délinquants, la vie d'un policier ne vaut rien ! Nous le réclamons une nouvelle fois : la justice doit se montrer plus sévère et sanctionner systématiquement de peines de prison ferme les auteurs de telles agressions contre des policiers.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016265-la-voiture-volee-fonce-sur-les-policiers-quatre-blesses.html
Un cycliste grièvement blessé
Un homme âgé de 58 ans, et qui réside à Muret, a été grièvement blessé hier en milieu de matinée sur la commune de Miremont. Il effectuait une sortie en vélo avec des amis quand il a lourdement chuté au sol dans une descente. Malgré son casque de protection, l'homme a perdu connaissance. Les pompiers, alertés à 10 h 20, sont intervenus, rejoints par une équipe du Smur 31 venue sur place en hélicoptère. L'homme a été longuement médicalisé sur place avant d'être évacué.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016541-un-cycliste-grievement-blesse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016541-un-cycliste-grievement-blesse.html
JURA. Un jeune désincarcéré après plusieurs tonneaux
À un peu plus de 3 heures du matin, dans la nuit de samedi à dimanche, une voiture a fait plusieurs tonneaux à Montrond avant de finir sa course sur le toit, au milieu du carrefour de la RN5 et de la RD469. À bord, un jeune homme de 24 ans est resté incarcéré dans l’habitacle. Dégagé par les pompiers, il a été transporté en urgence à l’hôpital de Lons-le-Saunier. Son pronostic vital n’était pas engagé.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/12/22/un-jeune-desincarcere-apres-plusieurs-tonneaux
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/12/22/un-jeune-desincarcere-apres-plusieurs-tonneaux
dimanche 21 décembre 2014
Nantes : un jeune homme grièvement blessé à l'arme blanche à la sortie d'une discothèque
L'agression a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche dans une discothèque situé au hangar à bananes à Nantes. Ce matin, la victime est toujours dans un état très grave. L'agresseur est toujours recherché.
Les faits se seraient déroulés la nuit dernière aux abords de la discothèque "le LC club". Vers 4h30 ce dimanche matin, une bagarre aurait éclaté à la sortie de la boite de nuit. La victime âgée de 19 ans, a reçu un coup en plein cœur.
Les pompiers longs transportés au CHU dans un état très grave. Ce matin, la procureur de permanence à Nantes nous a déclaré que le pronostic vital de la victime était engagé. A cette heure, la police procède à l'audition des amis de la victime et des autres témoins de la scène. Il s'agit d'identifier l'auteur de ce coup de couteau. Celui-ci n'a toujours pas été interpellé. La procureur de permanence à Nantes nous a également déclaré que la victime n'avait pas d'antécédents judiciaires.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/2014/12/21/nantes-un-jeune-homme-grievement-blesse-larme-blanche-la-sortie-dune-discoteque-617522.html
Les faits se seraient déroulés la nuit dernière aux abords de la discothèque "le LC club". Vers 4h30 ce dimanche matin, une bagarre aurait éclaté à la sortie de la boite de nuit. La victime âgée de 19 ans, a reçu un coup en plein cœur.
Les pompiers longs transportés au CHU dans un état très grave. Ce matin, la procureur de permanence à Nantes nous a déclaré que le pronostic vital de la victime était engagé. A cette heure, la police procède à l'audition des amis de la victime et des autres témoins de la scène. Il s'agit d'identifier l'auteur de ce coup de couteau. Celui-ci n'a toujours pas été interpellé. La procureur de permanence à Nantes nous a également déclaré que la victime n'avait pas d'antécédents judiciaires.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/2014/12/21/nantes-un-jeune-homme-grievement-blesse-larme-blanche-la-sortie-dune-discoteque-617522.html
Feu d’appartement à Saverne : un blessé grave
Une quinzaine de personnes ont dû quitter leurs logements lorsque le feu a pris dans cet appartement d’un immeuble d’habitation de quatre étages à Saverne. Une personne handicapée a été évacuée à l’aide de la grande échelle des pompiers de Saverne, par l’arrière du bâtiment.
Les autres occupants ont pu sortir par leurs propres moyens. Des voisins de l’appartement sinistré, un homme de 32 ans ainsi qu’un couple de 68 et 65 ans, ont été légèrement intoxiqués. Ils ont été tous les trois transportés à l’hôpital de Saverne. Une trentaine de pompiers sont intervenus avec du matériel conséquent pour circonscrire l’incendie, en 30 minutes environ, et mener à bien les opérations de déblaiement. Les soldats du feu ont pris en charge les personnes de l’immeuble qui, à part les blessés, ont pu regagner leurs logements vers 18h. Un jeune couple avec un enfant en bas âge a demandé à être relogé par la mairie. Le maire de Saverne, Stéphane Leyenberger, était sur place et les a relogés pour cette nuit dans un hôtel.
http://www.dna.fr/edition-de-saverne/2014/12/20/feu-d-appartement-a-saverne-un-blesse-grave
Les autres occupants ont pu sortir par leurs propres moyens. Des voisins de l’appartement sinistré, un homme de 32 ans ainsi qu’un couple de 68 et 65 ans, ont été légèrement intoxiqués. Ils ont été tous les trois transportés à l’hôpital de Saverne. Une trentaine de pompiers sont intervenus avec du matériel conséquent pour circonscrire l’incendie, en 30 minutes environ, et mener à bien les opérations de déblaiement. Les soldats du feu ont pris en charge les personnes de l’immeuble qui, à part les blessés, ont pu regagner leurs logements vers 18h. Un jeune couple avec un enfant en bas âge a demandé à être relogé par la mairie. Le maire de Saverne, Stéphane Leyenberger, était sur place et les a relogés pour cette nuit dans un hôtel.
http://www.dna.fr/edition-de-saverne/2014/12/20/feu-d-appartement-a-saverne-un-blesse-grave
Montpellier : deux motards tués dans une collision
L 'accident impliquant aussi deux voitures s'est déroulé près du pont du Lez, ce vendredi, à 14h30.
Ce vendredi 19 décembre, vers 15h, un accident est survenu sur l'avenue Pierre-Mendès-France, à hauteur du pont surplombant le Lez. Dans des circonstances encore inconnues, une collision a impliqué deux voitures et une moto. Selon le dernier bilan des pompiers, les deux motards sont décédés. Il s'agit d'un homme de 40 ans et d'une femme âgée de 37 ans.
Les pompiers ont déployé cinq ambulances sur les lieux. La circulation a été coupée dans les deux sens pendant près de trois heures, ce qui a de fait entraîné de nombreux problèmes de circulation. La brigade des accidents du commissariat central, chargée de l'enquête, a procédé à de nombreux relevés sur les lieux du drame
http://www.midilibre.fr//2014/12/19/montpellier-un-motard-grievement-blesse-sur-l-avenue-mendes-france,1100714.php
Les pompiers ont déployé cinq ambulances sur les lieux. La circulation a été coupée dans les deux sens pendant près de trois heures, ce qui a de fait entraîné de nombreux problèmes de circulation. La brigade des accidents du commissariat central, chargée de l'enquête, a procédé à de nombreux relevés sur les lieux du drame
http://www.midilibre.fr//2014/12/19/montpellier-un-motard-grievement-blesse-sur-l-avenue-mendes-france,1100714.php
samedi 20 décembre 2014
Un avion de tourisme disparait entre la Guadeloupe et la Martinique
Des recherches sont en cours pour retrouver un petit avion de tourisme, avec deux personnes à bord, porté disparu depuis vendredi après-midi entre la Guadeloupe et la Martinique, a-t-on appris du CROSS (centre de surveillance et de sauvetage) Antilles-Guyane
Dans un communiqué diffusé samedi, l'aéroclub «Les Ailes Guadeloupéennes» annonce «la disparition» de l'un de ses avions de tourisme, vendredi, «lors d'un vol privé», avec à son bord un homme de 41 ans, membre de l'association, et son épouse.
Partis «l'après-midi afin de rejoindre sa destination après 1h15 de vol», l'avion, un PA-28-181 «en parfait état de vol et régulièrement entretenu», selon le communiqué, n'a ensuite plus donné de nouvelle.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie des transports aériens
http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-avion-de-tourisme-disparait-entre-la-guadeloupe-et-la-martinique-20-12-2014-4389815.php
Dordogne : le père, qui a agressé un enseignant, risque 5 ans de prison
Mercredi matin, en plein cours, un professeur du lycée agricole de La Brie, à Monbazillac, a été agressé physiquement par le père d'un élève (lire « Sud Ouest » d'hier et avant-hier). De l'aveu même du procureur de la République de Bergerac, Frédérique Dubost, le parquet aurait aimé « pouvoir donner des suites rapides à cette affaire », mais un élément important l'en empêche. Celui qui s'en est pris à l'enseignant, un homme de 45 ans originaire de Mouleydier, séjourne à l'hôpital depuis le malaise dont il a été victime après les faits. Entendu par les gendarmes par téléphone, « il sera néanmoins auditionné dès que le corps médical donnera son feu vert à la justice », promet le procureur.
Ce père de famille, qui n'avait encore jamais eu affaire à la justice, devrait être poursuivi pour intrusion dans un établissement scolaire et, plus grave, pour des violences ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) inférieure à huit jours avec la double circonstance aggravante d'avoir été commises dans l'enceinte d'un lycée, sur une personne chargée d'une mission de service public. Pour ces faits, « qu'il a reconnus sans difficulté au téléphone », précise Frédérique Dubost, il encourt cinq ans de prison.
Le professeur, auquel la médecine hospitalière a notifié un jour d'ITT, a repris son travail, hier matin. Il a accompagné les élèves à l'extérieur de l'établissement dans le cadre d'un projet pédagogique. Une décision dont se félicitent ses collègues, solidaires, et les parents d'élèves qui lui ont apporté officiellement leur soutien lors d'une réunion organisée la veille par la direction de l'établissement.
De son côté, le syndicat Snetap-FSU a réagi hier soir et tenu à « apporter son soutien entier au collègue brutalisé ». Il demande également à « l'autorité académique d'accorder la protection juridique et un soutien total aux personnels victimes de cette agression ».
http://www.sudouest.fr/2014/12/20/agression-d-un-enseignant-le-pere-encourt-cinq-ans-de-prison-1774964-1938.php
Ce père de famille, qui n'avait encore jamais eu affaire à la justice, devrait être poursuivi pour intrusion dans un établissement scolaire et, plus grave, pour des violences ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) inférieure à huit jours avec la double circonstance aggravante d'avoir été commises dans l'enceinte d'un lycée, sur une personne chargée d'une mission de service public. Pour ces faits, « qu'il a reconnus sans difficulté au téléphone », précise Frédérique Dubost, il encourt cinq ans de prison.
Deux procédures différentes
Depuis son lit d'hôpital, le père de famille a également fait savoir aux militaires qu'il avait l'intention de porter plainte contre le professeur qu'il accuse d'avoir malmené physiquement son fils en classe. Si tel est le cas, et si les faits l'exigent, « une deuxième procédure sera engagée, différente de la première », prévient la magistrate. « Copie pourra être faite des dossiers dans les deux cas, mais le cas échéant, il y aura deux audiences séparées. » Pour l'heure, Frédérique Dubost se veut prudente : « L'adolescent a été examiné par un médecin et les conclusions médicales ne corroborent pas tout à fait les dires du jeune homme, qui se plaignait d'avoir des traces dans le cou. »Le professeur, auquel la médecine hospitalière a notifié un jour d'ITT, a repris son travail, hier matin. Il a accompagné les élèves à l'extérieur de l'établissement dans le cadre d'un projet pédagogique. Une décision dont se félicitent ses collègues, solidaires, et les parents d'élèves qui lui ont apporté officiellement leur soutien lors d'une réunion organisée la veille par la direction de l'établissement.
De son côté, le syndicat Snetap-FSU a réagi hier soir et tenu à « apporter son soutien entier au collègue brutalisé ». Il demande également à « l'autorité académique d'accorder la protection juridique et un soutien total aux personnels victimes de cette agression ».
http://www.sudouest.fr/2014/12/20/agression-d-un-enseignant-le-pere-encourt-cinq-ans-de-prison-1774964-1938.php
Un meurtre dans un foyer Adoma à Nice
Un homme a été tué dans le foyer Adoma de la rue Joseph-Passeron à Nice samedi matin.
La victime est un ressortissant tunisien âgé d'une soixantaine d'années. Il aurait été agressé et frappé dans le hall d'entrée du foyer, devant la cage d'ascenseur. Le tueur présumé est un jeune homme âgé de 23 ans. Les deux hommes seraient originaires de la même région.
"Une scène d'horreur"
Les témoins évoquent une sanglante scène d'horreur, le sexagénaire handicapé a été massacré à coups de pied.
L'alerte a été donnée à 6h30. Selon plusieurs témoins, les forces de police, des sapeurs-pompiers ainsi que le procureur de la République étaient sur place samedi matin.
Un cordon de sécurité a été mis en place autour du foyer.
http://www.nicematin.com/nice/un-meurtre-dans-un-foyer-adoma-a-nice.2032412.html
La victime est un ressortissant tunisien âgé d'une soixantaine d'années. Il aurait été agressé et frappé dans le hall d'entrée du foyer, devant la cage d'ascenseur. Le tueur présumé est un jeune homme âgé de 23 ans. Les deux hommes seraient originaires de la même région.
"Une scène d'horreur"
Les témoins évoquent une sanglante scène d'horreur, le sexagénaire handicapé a été massacré à coups de pied.
L'alerte a été donnée à 6h30. Selon plusieurs témoins, les forces de police, des sapeurs-pompiers ainsi que le procureur de la République étaient sur place samedi matin.
Un cordon de sécurité a été mis en place autour du foyer.
http://www.nicematin.com/nice/un-meurtre-dans-un-foyer-adoma-a-nice.2032412.html
Un trafic de faux billets démantelé à Marseille et Avignon
Un butin de 900 000 euros. Cette somme, en coupure de faux billets de 50 euros d'une «qualité exceptionnelle», a été trouvée par les gendarmes à Avignon (Vaucluse) et Marseille (Bouches-du-Rhône), le 16 décembre dernier. Onze personnes ont été interpellées, ont annoncé vendredi le parquet de Marseille et la gendarmerie.
Le parquet a demandé la mise en examen de cinq personnes, âgées de 32 à 47 ans, pour contrefaçon de monnaie et association de malfaiteurs, un chef d'accusation qui leur fait encourir 30 années de prison. Il a également demandé leur placement en détention provisoire. Les six autres personnes ont été remises en liberté. Huit avaient été interpellées à Marseille, une à Avignon et deux en Corse.
Les billets sont d'une «qualité exceptionnelle», fabriqués par une «organisation internationale très structurée», a déclaré Brice Robin, le procureur de la République. Les gendarmes de la section de recherche d'Avignon et de la section de recherche de Marseille ont saisi des ordinateurs et des imprimantes, ainsi que 10 cartons de papier pouvant servir à la fabrication de 8 millions d'euros en faux billets.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-trafic-de-faux-billets-demantele-a-marseille-et-avignon-19-12-2014-4387941.php
Le parquet a demandé la mise en examen de cinq personnes, âgées de 32 à 47 ans, pour contrefaçon de monnaie et association de malfaiteurs, un chef d'accusation qui leur fait encourir 30 années de prison. Il a également demandé leur placement en détention provisoire. Les six autres personnes ont été remises en liberté. Huit avaient été interpellées à Marseille, une à Avignon et deux en Corse.
Les billets sont d'une «qualité exceptionnelle», fabriqués par une «organisation internationale très structurée», a déclaré Brice Robin, le procureur de la République. Les gendarmes de la section de recherche d'Avignon et de la section de recherche de Marseille ont saisi des ordinateurs et des imprimantes, ainsi que 10 cartons de papier pouvant servir à la fabrication de 8 millions d'euros en faux billets.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-trafic-de-faux-billets-demantele-a-marseille-et-avignon-19-12-2014-4387941.php
Un policier blessé en intervention
Un policier de la brigade anticriminalité du commissariat d'Albi (BAC) a été victime d'une agression, ce jeudi vers 17 h 30, de la part d'un individu d'une vingtaine d'années déjà connu des forces de l'ordre pour des affaires de stupéfiants.
Jeudi après-midi, quatre policiers de la BAC ont repéré avenue François Verdier à Albi un individu de 23 ans avec visiblement quelque chose dans la main s'apparentant à du cannabis.
Les policiers ont alors tenté de l'interpeller mais l'homme a pris la fuite. Ils ont finalement réussi à l'intercepter dans un immeuble situé avenue Maréchal-Juin. Mais l'homme s'était déjà débarrassé des 16 grammes de cannabis en sa possession. Refusant d'obtempérer, il s'en est pris à un des policiers et lui a asséné un coup de coude dans la figure. Le policier a eu une dent cassée. Ce type de violence volontaire sur les forces de l'ordre est de plus en plus fréquent, notamment par des personnes en état de récidive. L'homme a finalement pu être interpellé et transféré au commissariat où il a été placé en garde à vue avant d'être emprisonné à la maison d'arrêt d'Albi pour détention de stupéfiants et rébellion à agent de la force publique
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/20/2015655-un-policier-blesse-en-intervention.html
Jeudi après-midi, quatre policiers de la BAC ont repéré avenue François Verdier à Albi un individu de 23 ans avec visiblement quelque chose dans la main s'apparentant à du cannabis.
Les policiers ont alors tenté de l'interpeller mais l'homme a pris la fuite. Ils ont finalement réussi à l'intercepter dans un immeuble situé avenue Maréchal-Juin. Mais l'homme s'était déjà débarrassé des 16 grammes de cannabis en sa possession. Refusant d'obtempérer, il s'en est pris à un des policiers et lui a asséné un coup de coude dans la figure. Le policier a eu une dent cassée. Ce type de violence volontaire sur les forces de l'ordre est de plus en plus fréquent, notamment par des personnes en état de récidive. L'homme a finalement pu être interpellé et transféré au commissariat où il a été placé en garde à vue avant d'être emprisonné à la maison d'arrêt d'Albi pour détention de stupéfiants et rébellion à agent de la force publique
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/20/2015655-un-policier-blesse-en-intervention.html
vendredi 19 décembre 2014
Meurtre de Chamalières : un individu mis en examen pour assassinat
Ce jeudi 18 décembre, un homme suspecté d'être impliqué dans le meurtre de Mokrane, à Chamalières le 14 novembre dernier, a été mis en examen pour assassinat. Selon la presse régionale, le suspect a déjà été condamné en 2005 pour association de malfaiteurs, à Lyon.
Qui a tué Mokrane, ce francilien originaire d'Argenteuil dans le Val d'Oise, le 14 novembre dernier, chemin des Montagnards à Chamalières ? Un mois après les faits, l'enquête de la police judiciaire semble avoir porté ses premiers fruits. Un homme a en effet été interpellé le 16 décembre dans l'agglomération clermontoise avant d'être placé durant plusieurs heures dans les locaux de la police judiciaire de Clermont-Ferrand.
Selon des sources proches de l'enquête, le suspect est un homme âgé de 49 ans. Il aurait reconnu devant les policiers qu'il connaissait la victime et qu'il se trouvait également à proximité de la scène du crime le soir du meurtre. Il aurait cependant nié être le meurtrier de Mokrane.
Après sa garde à vue et sa rencontre avec le juge d'instruction de Clermont-Ferrand, l'homme a été mis en examen le 18 décembre pour "assassinat".
L'homme aurait déjà été condamné pour association de malfaiteurs, à Lyon, en 2005
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2014/12/18/meurtre-de-chamalieres-un-individu-mis-en-examen-pour-assassinat-616220.html
Qui a tué Mokrane, ce francilien originaire d'Argenteuil dans le Val d'Oise, le 14 novembre dernier, chemin des Montagnards à Chamalières ? Un mois après les faits, l'enquête de la police judiciaire semble avoir porté ses premiers fruits. Un homme a en effet été interpellé le 16 décembre dans l'agglomération clermontoise avant d'être placé durant plusieurs heures dans les locaux de la police judiciaire de Clermont-Ferrand.
Selon des sources proches de l'enquête, le suspect est un homme âgé de 49 ans. Il aurait reconnu devant les policiers qu'il connaissait la victime et qu'il se trouvait également à proximité de la scène du crime le soir du meurtre. Il aurait cependant nié être le meurtrier de Mokrane.
Après sa garde à vue et sa rencontre avec le juge d'instruction de Clermont-Ferrand, l'homme a été mis en examen le 18 décembre pour "assassinat".
L'homme aurait déjà été condamné pour association de malfaiteurs, à Lyon, en 2005
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2014/12/18/meurtre-de-chamalieres-un-individu-mis-en-examen-pour-assassinat-616220.html
Saint-Sylvestre-sur-Lot (47) : elle surprend trois cambrioleurs devant sa porte
Il n'était pas encore 16 h 30 ce jeudi, quand elle a composé le 17, numéro d'appel d'urgence des gendarmes. En rentrant chez elle, cette habitante de Saint-Sylvestre-sur-Lot venait de contrarier les plans de ses cambrioleurs : deux hommes et une femme. Surpris par l'habitante de la maison qu'ils étaient en train de visiter, le trio est parti à la hâte, abandonnant sur le pas-de-porte le téléviseur.
Mais leur fuite n'a pas été assez rapide. La victime a eu le temps de relever le numéro d'immatriculation du véhicule de ses voleurs. Et l'a communiqué aux gendarmes de la compagnie de Villeneuve-sur-Lot, qui ont mis en place un plan Épervier. Ce dispositif n'aura, toutefois, pas été nécessaire. L'immatriculation de la voiture a permis aux militaires d'identifier le propriétaire et sa domiciliation, à Penne-d'Agenais. Ce n'était pas lui qui était au volant, mais un membre de sa famille qui a été placé en garde à vue. Ses deux complices n'avaient pas été encore identifiés, jeudi soir. En revanche, les enquêteurs ont retrouvé, dans la voiture, des télécommandes appartenant à l'habitante de Saint-Sylvestre-sur-Lot.
http://www.sudouest.fr/2014/12/19/faits-divers-1773126-4584.php
Mais leur fuite n'a pas été assez rapide. La victime a eu le temps de relever le numéro d'immatriculation du véhicule de ses voleurs. Et l'a communiqué aux gendarmes de la compagnie de Villeneuve-sur-Lot, qui ont mis en place un plan Épervier. Ce dispositif n'aura, toutefois, pas été nécessaire. L'immatriculation de la voiture a permis aux militaires d'identifier le propriétaire et sa domiciliation, à Penne-d'Agenais. Ce n'était pas lui qui était au volant, mais un membre de sa famille qui a été placé en garde à vue. Ses deux complices n'avaient pas été encore identifiés, jeudi soir. En revanche, les enquêteurs ont retrouvé, dans la voiture, des télécommandes appartenant à l'habitante de Saint-Sylvestre-sur-Lot.
http://www.sudouest.fr/2014/12/19/faits-divers-1773126-4584.php
Un an de prison pour le père alcoolique et violent
Le 24 novembre, il a fait l'objet d'une procédure de comparution immédiate devant le tribunal pour des violences sur conjoint et violation de domicile. Mais Bilal Ounacer, 34 ans, 10 condamnations pour des vols, violences conjugales en récidive et dégradations, a préféré demander un délai pour préparer sa défense. Détenu depuis 24 jours, il a comparu hier pour tenter d'apporter un semblant d'explications à ses sautes d'humeur, à son alcoolisme et à ses violences contre son ex-compagne et mère de leur enfant de 8 ans. À peine sorti de prison, il s'est rendu à son domicile à Albi, à 2 heures du matin et ce sont les policiers qui l'ont délogé car il venait de la frapper une nouvelle fois. Elle avait le visage en sang, expliquant, qu'après avoir pénétré dans sa maison par la fenêtre des toilettes, ils se sont disputés et il lui a lancé un verre à la tête. Bilal reconnaît qu'ils avaient bu tous les deux, qu'il est entré par la porte et qu'il n'a fait que la pousser. «Elle s'est cognée, on a bu ensemble et on s'est disputé. C'est vrai, reconnaît-il, que je suis jaloux et que lorsque je bois j'ai des problèmes». Les policiers n'ont trouvé aucune trace de verre brisé dans l'appartement.
La maison d'arrêt, ce n'est pas la solution pour Me Fabienne Bex qui assure sa défense. «Il lui faut une prise en charge pour des soins. L'alcool, c'est ce qui le conduit une nouvelle fois devant vous. Ce couple a une relation particulière : parfois elle lui demande de venir garder leur enfant et parfois, elle le rejette». Le tribunal l'a relaxé pour la violation de domicile mais l'a condamné à un an de prison ferme avec maintien en détention.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/19/2014802-un-an-de-prison-pour-le-pere-alcoolique-et-violent.html
Alcool et violence
Le problème, c'est que le prévenu avait interdiction d'entrer en contact avec son ex et qu'il se trouve en état de récidive légale pour avoir été condamné le 11 avril pour des faits similaires. Toujours contre son ex-compagne. «Il va avoir une quatrième condamnation pour les mêmes faits. Vous n'aviez pas le droit d'aller à son domicile, lui rappelle le procureur, Pascal Suhard. Il y avait du sang partout et vous avez le culot de dire que vous n'avez rien fait !» Il réclame 2 ans de prison et un mandat de dépôt.La maison d'arrêt, ce n'est pas la solution pour Me Fabienne Bex qui assure sa défense. «Il lui faut une prise en charge pour des soins. L'alcool, c'est ce qui le conduit une nouvelle fois devant vous. Ce couple a une relation particulière : parfois elle lui demande de venir garder leur enfant et parfois, elle le rejette». Le tribunal l'a relaxé pour la violation de domicile mais l'a condamné à un an de prison ferme avec maintien en détention.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/19/2014802-un-an-de-prison-pour-le-pere-alcoolique-et-violent.html
Nancy : tabassé sur le trottoir alors qu'il pensait aider une victime
Nancy. Un cuisinier nancéien âgé de 27 ans, a été roué de coups, dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 4 h 15, alors qu’il sortait de son travail. La victime a été agressée dans le centre-ville de Nancy, rue Saint-Dizier, par trois individus. Le trio s’amusait à effeuiller un portefeuille sur le trottoir quand la victime est intervenue, pensant qu’un des trois individus était en train de se faire agresser. Il n’en était rien. Le cuisinier va être roué de coups alors qu’il est au sol et sera également frappé avec une bouteille. La police, en patrouille, parvient alors à interpeller deux suspects, le 3e prendra la fuite. Placés en garde à vue, les deux hommes – un habitant de Tomblaine de 27 ans et un autre de 21 ans domicilié à Sexey-les-Bois – présentaient une alcoolémie proche des 2 g/l.
Remis en liberté hier à l’issue de l’enquête menée par le Groupe d’appui judiciaire (GAJ) de l’Hôtel de police du boulevard Lobau, ils seront convoqués en correctionnelle au mois d’avril prochain pour répondre de « violences avec arme en réunion et en état d’ivresse ». La victime s’est vue prescrire 2 jours d’ITT par un médecin légiste.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/12/19/tabasse-sur-le-trottoir
Remis en liberté hier à l’issue de l’enquête menée par le Groupe d’appui judiciaire (GAJ) de l’Hôtel de police du boulevard Lobau, ils seront convoqués en correctionnelle au mois d’avril prochain pour répondre de « violences avec arme en réunion et en état d’ivresse ». La victime s’est vue prescrire 2 jours d’ITT par un médecin légiste.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/12/19/tabasse-sur-le-trottoir
jeudi 18 décembre 2014
Nabilla est sortie de prison
La vedette de téléréalité Nabilla, mise en examen pour tentative de meurtre sur son compagnon, est sortie jeudi après-midi de la maison d’arrêt pour femmes de Versailles, a-t-on appris auprès du parquet de Nanterre, confirmant une information de BFMTV.
La starlette a été placée sous contrôle judiciaire dans l’attente d’un éventuel procès, qui «ne devrait pas avoir lieu avant mi-2015, voire fin 2015», a précisé le parquet. «Il lui est interdit de rentrer en contact avec Thomas Vergara, même à travers les réseaux sociaux, et d’évoquer l’affaire dans les médias».
Soupçonnée d’avoir porté un coup de couteau au thorax de son petit ami, Thomas Vergara, dans une chambre d’hôtel de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), dans la nuit du 6 au 7 novembre, Nabilla Benattia, 22 ans, était écrouée depuis le 9 novembre.
«Cinq semaines de détention, c’est toujours éprouvant. Elle est fatiguée, mais a encore du ressort et de l’énergie», a confié son avocat, Me Christian Saint-Palais. «Elle désire garder le silence sur cette affaire, qu’elle n’évoquera jamais en public ni dans les médias jusqu’à son terme», a-t-il ajouté, espérant qu’"on lui laisse retrouver un peu de sérénité après lui avoir volé son image en garde à vue et en prison».
Cette libération intervient deux jours après une confrontation de plus de quatre heures entre Nabilla Benattia et son petit ami. Ce rendez-vous judiciaire n’avait pas beaucoup fait avancer l’enquête. La jeune femme de 22 ans campe sur ses positions: elle maintient qu’au cours d’une violente dispute, Thomas Vergara s’est blessé seul avec le couteau. Son petit ami assure que c’est elle qui tenait l’arme et lui a porté un coup «dans la confusion», alors qu’il essayait de la maîtriser. Ces deux versions ne collent pas, selon le parquet de Nanterre.
http://www.leprogres.fr/france-monde/2014/12/18/nabilla-est-sortie-de-prison
La starlette a été placée sous contrôle judiciaire dans l’attente d’un éventuel procès, qui «ne devrait pas avoir lieu avant mi-2015, voire fin 2015», a précisé le parquet. «Il lui est interdit de rentrer en contact avec Thomas Vergara, même à travers les réseaux sociaux, et d’évoquer l’affaire dans les médias».
Soupçonnée d’avoir porté un coup de couteau au thorax de son petit ami, Thomas Vergara, dans une chambre d’hôtel de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), dans la nuit du 6 au 7 novembre, Nabilla Benattia, 22 ans, était écrouée depuis le 9 novembre.
«Cinq semaines de détention, c’est toujours éprouvant. Elle est fatiguée, mais a encore du ressort et de l’énergie», a confié son avocat, Me Christian Saint-Palais. «Elle désire garder le silence sur cette affaire, qu’elle n’évoquera jamais en public ni dans les médias jusqu’à son terme», a-t-il ajouté, espérant qu’"on lui laisse retrouver un peu de sérénité après lui avoir volé son image en garde à vue et en prison».
Cette libération intervient deux jours après une confrontation de plus de quatre heures entre Nabilla Benattia et son petit ami. Ce rendez-vous judiciaire n’avait pas beaucoup fait avancer l’enquête. La jeune femme de 22 ans campe sur ses positions: elle maintient qu’au cours d’une violente dispute, Thomas Vergara s’est blessé seul avec le couteau. Son petit ami assure que c’est elle qui tenait l’arme et lui a porté un coup «dans la confusion», alors qu’il essayait de la maîtriser. Ces deux versions ne collent pas, selon le parquet de Nanterre.
http://www.leprogres.fr/france-monde/2014/12/18/nabilla-est-sortie-de-prison
Dordogne : un professeur agressé par un parent d'élève à Monbazillac
Hier matin, un enseignant du lycée agricole de la Brie, à Monbazillac (24), en Bergeracois, a été victime d'une agression en pleine classe.
Selon les premiers éléments, le professeur aurait d'abord eu une altercation avec un élève, qu'il a exclu de son cours. Le jeune aurait ensuite appelé son père au téléphone en lui demandant de le rejoindre. Le parent s'est exécuté, puisqu'il a fait irruption, quelques minutes plus tard, dans l'établissement. Il aurait rejoint la salle de cours grâce aux indications de son fils.
Et il aurait asséné un violent coup de poing à l'enseignant, devant les autres jeunes, avant d'être lui-même victime d'un malaise. L'agresseur présumé a donc été évacué vers l'hôpital de Bergerac et n'a pu être entendu par les gendarmes.
Selon nos informations, la victime a quant à elle été choquée, mais pas grièvement blessée.
Les faits ont profondément ému la communauté éducative de La Brie, où une montée des incivilités a été observée ces derniers temps.
Les professeurs se réuniront en assemblée générale dès ce matin. Ils devraient exercer leur droit de retrait et ne pas assurer les cours aujourd'hui
http://www.sudouest.fr/2014/12/18/un-professeur-agresse-1771739-1938.php
Selon les premiers éléments, le professeur aurait d'abord eu une altercation avec un élève, qu'il a exclu de son cours. Le jeune aurait ensuite appelé son père au téléphone en lui demandant de le rejoindre. Le parent s'est exécuté, puisqu'il a fait irruption, quelques minutes plus tard, dans l'établissement. Il aurait rejoint la salle de cours grâce aux indications de son fils.
Et il aurait asséné un violent coup de poing à l'enseignant, devant les autres jeunes, avant d'être lui-même victime d'un malaise. L'agresseur présumé a donc été évacué vers l'hôpital de Bergerac et n'a pu être entendu par les gendarmes.
Selon nos informations, la victime a quant à elle été choquée, mais pas grièvement blessée.
Les faits ont profondément ému la communauté éducative de La Brie, où une montée des incivilités a été observée ces derniers temps.
Les professeurs se réuniront en assemblée générale dès ce matin. Ils devraient exercer leur droit de retrait et ne pas assurer les cours aujourd'hui
http://www.sudouest.fr/2014/12/18/un-professeur-agresse-1771739-1938.php
Il défend le chemin et «sa» zone à coups de carabine
C'est un drôle de personnage qui s'est pointé mardi à la barre du tribunal correctionnel d'Albi pour des menaces de mort avec arme. Richard M, 41 ans, 4 condamnations pour des violences avec arme, des menaces de mort et conduite sans permis, a un problème avec la propriété des autres et une attirance certaine pour les armes à feu. Le 29 juillet, sur la commune du Verdier, il s'en est pris à un consultant qui rendait visite à un vigneron puis à un ouvrier agricole. Chargé de garder un œil sur la maison isolée de son beau-père, il s'est autoproclamé défenseur de la zone et du chemin qui la traverse. Si bien que lorsque le consultant a eu l'outrecuidance de passer sur «son» chemin avec son véhicule, il a sorti sa carabine 22 long rifle pour le menacer. «Je lui demandais simplement de rouler doucement sur ce chemin, il l'a pris de haut ! Du qui t'es toi pour me parler comme ça, il s'est vite excusé quand j'ai sorti le fusil ! Il n'avait pas à être là, on a une ribambelle de gens qui passent sur ce chemin, on ne sait plus qui est qui, j'étais apeuré !».
La présidente sursaute. «C'est vous qui menacez avec une arme et c'est vous qui avez peur ?»
«Il a tiré et j'ai sauté dans les vignes avec mes chiens. D'abord, c'est pas des Rottweiller, j'ai senti l'odeur de la poudre !», confie sa cible mouvante à la barre.
Son avocate, Me Françoise de Angelis, en rajoute une couche. «C'est quelqu'un de dangereux. Il n'est ni propriétaire du chemin, ni de la maison, il n'a aucun droit et il terrorise tout le monde sur la commune». Elle demande 1 000 € pour son client. Le consultant, lui, demande 32 400 € pour son préjudice professionnel. Effrayé, il n'a plus remis les pieds chez le vigneron qui habite à proximité. Il aurait perdu son contrat.
«Si vraiment, on avait le sentiment qu'il a des problèmes psy, le ministère public aurait pu ordonner une expertise, explique son défenseur. C'est un garçon fragile qui a déjà été agressé sur un chantier mais il n'a jamais eu l'intention de tirer sur qui que ce soit. Statuez avec compréhension sur la réalité des faits et des préjudices». C'est ce qu'à fait le tribunal pour lui éviter, à l'avenir, de faire joujou avec ses fusils et d'effrayer les gens
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/18/2013743-defend-chemin-zone-coups-carabine.html
La présidente sursaute. «C'est vous qui menacez avec une arme et c'est vous qui avez peur ?»
Des chiens gros comme des sangliers
Frisant la paranoïa, le prévenu remet ça un peu plus tard lorsqu'il aperçoit, au loin, un ouvrier agricole, planté avec ses deux chiens. Il tire deux coups de feu à terre. «Il était avec deux Rottweiller, aussi gros que des sangliers. Je n'ai pas voulu qu'il s'approche pour me provoquer».«Il a tiré et j'ai sauté dans les vignes avec mes chiens. D'abord, c'est pas des Rottweiller, j'ai senti l'odeur de la poudre !», confie sa cible mouvante à la barre.
Son avocate, Me Françoise de Angelis, en rajoute une couche. «C'est quelqu'un de dangereux. Il n'est ni propriétaire du chemin, ni de la maison, il n'a aucun droit et il terrorise tout le monde sur la commune». Elle demande 1 000 € pour son client. Le consultant, lui, demande 32 400 € pour son préjudice professionnel. Effrayé, il n'a plus remis les pieds chez le vigneron qui habite à proximité. Il aurait perdu son contrat.
«Gâchette un peu facile»
La procureur le qualifie de seigneur «qui s'est arrogé tous les droits sur des terres qui ne lui appartiennent pas. Il a la gâchette un peu trop facile. Maintenant que vous habitez Albi, vous allez tirer sur les cyclos qui font du bruit ou les jeunes qui parlent trop fort ? «Elle requiert 6 mois de prison dont 3 avec sursis et mise à l'épreuve, assortis d d‘une obligation de soins, de la confiscation des armes et d'une interdiction de 5 ans d'en posséder une. Le tribunal l'a suivie à la lettre. Il devra aussi verser 1 000 € à chacune de ses victimes.«Si vraiment, on avait le sentiment qu'il a des problèmes psy, le ministère public aurait pu ordonner une expertise, explique son défenseur. C'est un garçon fragile qui a déjà été agressé sur un chantier mais il n'a jamais eu l'intention de tirer sur qui que ce soit. Statuez avec compréhension sur la réalité des faits et des préjudices». C'est ce qu'à fait le tribunal pour lui éviter, à l'avenir, de faire joujou avec ses fusils et d'effrayer les gens
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/18/2013743-defend-chemin-zone-coups-carabine.html
Une maman hors-la-loi pour garder son fils
Elle le concède : « je ne suis pas un modèle de femme ! » C’est peu dire d’une vie émaillée de condamnations, balisée par les violences, l’alcool et les stupéfiants. Pas un modèle certes, « mais ceux qui me connaissent vous diront que je suis une mère extraordinaire. Je n’ai jamais laissé un de mes enfants dans l’embarras », assène Sylvie Ayachi, qui vient de se mettre définitivement hors la loi, pour avoir enlevé son dernier fils, âgé de 15 ans, des mains de l’aide sociale à l’enfance (ASE).
Lancelot, dont la garde lui est retirée par la même occasion, est alors âgé de 11 ans. Il entame un parcours chaotique, fait d’hébergements chez des « parents » plus ou moins éloignés, des copains, des foyers et plus souvent qu’à son tour à la rue, pour se faire régulièrement éjecter par les uns et les autres, à force d’embrouilles, de bagarres et de drogues…
À 15 ans, le garçon a déjà tout expérimenté, du shit à l’héroïne, ce qui lui a valu quelques mémorables « pétages de câbles » et deux séjours en hôpital psychiatrique, assortis de traitements du genre costaud, généralement accordés aux psychotiques…
C’est cela qui a fait sortir Sylvie de ses gonds. « Là, Lancelot fait des crises de manque et ils ne veulent pas me donner son numéro de sécurité sociale pour que je puisse l’emmener chez le médecin. » Ça et le fait « qu’il ne soit plus scolarisé depuis un an et demi. Il faut que les services sociaux arrêtent de penser qu’ils sont les seuls à savoir comment élever des enfants. On voit le résultat ! »
Malgré une initiative pétaradante, « elle veut faire les choses bien », dit son avocate Me Faivre-Monneuse, « elle a vécu des choses. Ce n’est pas un garçon facile, mais j’ai la sensation que Lancelot ne sera bien qu’avec sa mère. C’est la solution pour lui. Son parcours montre qu’il n’est pas bien dans la situation actuelle. »
Ce mercredi, en arrivant au commissariat, Lancelot était attendu par des représentants de l’ASE. Il s’est sauvé.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/12/18/pas-un-modele-mais-une-maman
Un parcours chaotique
Une sérieuse incartade qu’elle assume pleinement : « j’ai prévenu la police. Ils savent non seulement qui je suis mais où je suis. » Pendant l’entretien d’ailleurs, le téléphone sonne pour convoquer mère et fils au commissariat. Mais auparavant, tous deux veulent raconter leur histoire. Une histoire, qui débute en 2011, « quand j’ai été condamnée à 14 mois d’emprisonnement pour avoir cogné un flic de trop… »Lancelot, dont la garde lui est retirée par la même occasion, est alors âgé de 11 ans. Il entame un parcours chaotique, fait d’hébergements chez des « parents » plus ou moins éloignés, des copains, des foyers et plus souvent qu’à son tour à la rue, pour se faire régulièrement éjecter par les uns et les autres, à force d’embrouilles, de bagarres et de drogues…
À 15 ans, le garçon a déjà tout expérimenté, du shit à l’héroïne, ce qui lui a valu quelques mémorables « pétages de câbles » et deux séjours en hôpital psychiatrique, assortis de traitements du genre costaud, généralement accordés aux psychotiques…
C’est cela qui a fait sortir Sylvie de ses gonds. « Là, Lancelot fait des crises de manque et ils ne veulent pas me donner son numéro de sécurité sociale pour que je puisse l’emmener chez le médecin. » Ça et le fait « qu’il ne soit plus scolarisé depuis un an et demi. Il faut que les services sociaux arrêtent de penser qu’ils sont les seuls à savoir comment élever des enfants. On voit le résultat ! »
Classée marginale
Le garçon avait été confié à une famille d’accueil de Goussainville, dans le Val-d’Oise. « Des gens vraiment très bien. Je n’avais pas été aussi bien depuis longtemps », assure-t-il. « Mais j’ai besoin de revivre avec ma mère. Alors je l’ai appelée au secours… » Une maman, qui l’assure : « Ce n’est pas parce que je suis classée marginale par la justice que je suis une mère permissive. Je n’ai jamais laissé mes enfants traîner dehors toute la journée. Je sais dire “non”. Avant d’être en invalidité, après ma sortie de prison, car ça m’a cassé physiquement, j’ai toujours travaillé. Je suis styliste modiste à l’origine, mais je n’ai jamais hésité à plonger les mains dans l’eau sale s’il le fallait… », plaide Sylvie Ayachi, qui souhaite pouvoir « garder mon fils. »Malgré une initiative pétaradante, « elle veut faire les choses bien », dit son avocate Me Faivre-Monneuse, « elle a vécu des choses. Ce n’est pas un garçon facile, mais j’ai la sensation que Lancelot ne sera bien qu’avec sa mère. C’est la solution pour lui. Son parcours montre qu’il n’est pas bien dans la situation actuelle. »
Ce mercredi, en arrivant au commissariat, Lancelot était attendu par des représentants de l’ASE. Il s’est sauvé.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/12/18/pas-un-modele-mais-une-maman
mercredi 17 décembre 2014
Plouasne : un mort dans un incendie
Un homme de 80 ans est décédé mardi soir, lors d'un incendie à Plouasne. Les voisins ont alerté les pompiers à minuit mais les secours n'ont pu que constater la mort de cet homme dont la maison était déjà totalement embrasée.
Selon les enquêteurs, l'octogénaire vivait seul. Une autopsie doit être pratiquée ce mercredi après-midi afin de déterminer les causes exactes de son décès. Selon les premières conclusions, le poêle à bois pourrait être à l'origine de l'incendie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/12/17/plouasne-un-mort-dans-un-incendie-614778.html
Selon les enquêteurs, l'octogénaire vivait seul. Une autopsie doit être pratiquée ce mercredi après-midi afin de déterminer les causes exactes de son décès. Selon les premières conclusions, le poêle à bois pourrait être à l'origine de l'incendie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/12/17/plouasne-un-mort-dans-un-incendie-614778.html
Meurtre de l'étudiant béarnais à Toulouse : de nouveaux témoignages accablants
Le procès autour de la mort de Jérémy Roze continue ce mercredi à la cour d'assises de Haute-Garonne à Toulouse. Après les témoignages des proches des deux accusés ce mercredi matin, la personnalité de la victime sera abordée dans l'après midi.
La sœur d'Hicham Ouakki a témoigné la première et confirmé la description de son petit frère "délinquant notoire" qu'elle avait faite aux policiers. "Il est gentil et trop naïf", a ajouté la jeune femme qui assure que son frère s'est dit "désolé" de la mort de Jérémy Roze lors d'une rencontre en prison.
Enfin, d'autres témoignages des amis communs des deux accusés ont eux aussi confirmé la thèse d'un coup de couteau d'Hicham Ouakki." Driss voulait seulement le dépouiller", avait déclaré un ami à la police.
http://www.sudouest.fr/2014/12/17/meurtre-de-l-etudiant-bearnais-tue-a-toulouse-nouveaux-temoignages-accablants-1771466-4344.php
La sœur d'Hicham Ouakki a témoigné la première et confirmé la description de son petit frère "délinquant notoire" qu'elle avait faite aux policiers. "Il est gentil et trop naïf", a ajouté la jeune femme qui assure que son frère s'est dit "désolé" de la mort de Jérémy Roze lors d'une rencontre en prison.
Une intrigante conversation
C'est ensuite la jeune femme qui a permis d'accélérer l'enquête qui a témoigné. Cette professeur avait entendu une conversation entre deux hommes à la gare Matabiau au lendemain du drame. L'un des deux, petit, "très nerveux", avait raconté à son interlocuteur que lui et un ami avaient "crevé" quelqu'un. Le témoin n'a toutefois pu identifier ces deux hommes car elle avait pris soin de ne pas lever la tête pour ne pas éveiller les soupçons.Enfin, d'autres témoignages des amis communs des deux accusés ont eux aussi confirmé la thèse d'un coup de couteau d'Hicham Ouakki." Driss voulait seulement le dépouiller", avait déclaré un ami à la police.
Hicham Ouakki campe sur ses positionsMalgré ces nouveaux témoignages "d'apparence accablante" selon les mots du président, Hicham Ouakki continue à réfuter le coup de couteau. Cela même après la demande expresse de Maître De Caunes : "Au nom des victimes, voulez-vous admettre leur besoin de vérité?" "C'est tout à fait normal", a répondu Hicham sans apporter de précision supplémentaire concernant les faits.
http://www.sudouest.fr/2014/12/17/meurtre-de-l-etudiant-bearnais-tue-a-toulouse-nouveaux-temoignages-accablants-1771466-4344.php
Un corps sans vie découvert mardi soir à Grasse
Le corps d'un homme sans vie a été retrouvé, mardi en milieu de soirée, dans une vasque d'eau sous une barre rocheuse au-dessus de Grasse.
Accompagnés de maîtres chiens et des spécialistes de l'unité de secours en milieu périlleux, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour récupérer le corps de la victime, un homme âgé d'une soixantaine d'années dont la disparition avait été signalée il y a quelques jours.
http://www.nicematin.com/grasse/un-corps-sans-vie-decouvert-mardi-soir-a-grasse.2028447.html
Accompagnés de maîtres chiens et des spécialistes de l'unité de secours en milieu périlleux, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour récupérer le corps de la victime, un homme âgé d'une soixantaine d'années dont la disparition avait été signalée il y a quelques jours.
http://www.nicematin.com/grasse/un-corps-sans-vie-decouvert-mardi-soir-a-grasse.2028447.html
Mal garés, ils sont arrêtés pour cambriolages
Comme quoi, ça peut vraiment partir de pas grand-chose. La police d'Auch a été appelée lundi après-midi pour un stationnement gênant avenue des Pyrénées. A l'arrivée de la patrouille, plus de voiture mais des témoins livrent une description détaillée de la voiture. «Et on a vu un homme sortir avec quelque chose d'orange sous le bras», ont-ils précisé. Quelques minutes plus tard, le véhicule est repéré rue Victor-Hugo. A bord, une jeune femme de 19 ans explique «attendre un copain». En montant dans l'appartement du «copain» qui était en réalité le sien, la police découvre un ordinateur et des bijoux qui avaient été volés la veille du côté de Pujaudran. La forme orange était un dessus-de-lit qui dissimulait un fusil volé dans un domicile d'un chasseur de l'avenue des Pyrénées. L'individu, âgé de 26 ans, est bien connu des services. Comme ses complices d'ailleurs. Il aurait agi avec sa petite copine, une Auscitaine de 27 ans, également sur les lieux, et cette fameuse amie qui les attendait dans la voiture. Tous les trois ont été placés en garde à vue jusqu'à hier soir. Le couple de malfrats sera poursuivi pour vols par effraction et la jeune femme chez qui se trouvaient les objets volés pour recel
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/17/2013156-mal-gares-ils-sont-arretes-pour-cambriolages.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/17/2013156-mal-gares-ils-sont-arretes-pour-cambriolages.html
mardi 16 décembre 2014
Huit agriculteurs arrêtés à Toulouse pour dégradation de bâtiment public
Huit agriculteurs, faisant partie d'un groupe d'une trentaine de personnes qui venaient de dégrader deux bureaux du Syndicat mixte d'études et d'aménagement de la Garonne (SMEAG), ont été interpellé ce mardi en fin de matinée à Toulouse.
Le groupe avait auparavant envahi les locaux de la Chambre d'agriculture de Haute-Garonne, où ils avaient endommagé un bureau. Les agriculteurs, venus de Tarn-et-Garonne et de Lot-et-Garonne, protestaient contre une redevance liée à leurs prélèvements d'eau pour contribuer au soutien d'étiage de la Garonne pendant les périodes de sécheresse, a expliqué Sylvie Rocq, la directrice du SMEAG.
Les agriculteurs arrêtés étaient toujours en garde à vue à 16 heures, a indiqué la police toulousaine. Les manifestants n'arboraient aucun signe d'appartenance à un syndicat, mais de source proche de l'enquête, on estime que cette action émane de la FDSEA de Tarn-et-Garonne et de sa branche jeune : les JA.
Selon Sylvie Rocq, les agriculteurs s'insurgent contre « le nouveau mode de financement du soutien d'étiage » décidé en mars 2014, « qui se traduit par le paiement d'une redevance ». « La colère est montée quand ils ont vu arriver dans les exploitations des agents vérifiant les compteurs de prélèvement d'eau », a-t-elle ajouté.
Les agriculteurs de la FNSEA avaient déjà fait une incursion au SMEAG le 5 novembre, ainsi qu’à l’agence de l’eau et à l’office national de l’eau lors d’une manifestation à Toulouse qui avait réuni plusieurs milliers de personnes contre le durcissement des normes de pollution aux nitrates.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=39147&WS=291720_2501986&WA=8021
Le groupe avait auparavant envahi les locaux de la Chambre d'agriculture de Haute-Garonne, où ils avaient endommagé un bureau. Les agriculteurs, venus de Tarn-et-Garonne et de Lot-et-Garonne, protestaient contre une redevance liée à leurs prélèvements d'eau pour contribuer au soutien d'étiage de la Garonne pendant les périodes de sécheresse, a expliqué Sylvie Rocq, la directrice du SMEAG.
Les agriculteurs arrêtés étaient toujours en garde à vue à 16 heures, a indiqué la police toulousaine. Les manifestants n'arboraient aucun signe d'appartenance à un syndicat, mais de source proche de l'enquête, on estime que cette action émane de la FDSEA de Tarn-et-Garonne et de sa branche jeune : les JA.
Selon Sylvie Rocq, les agriculteurs s'insurgent contre « le nouveau mode de financement du soutien d'étiage » décidé en mars 2014, « qui se traduit par le paiement d'une redevance ». « La colère est montée quand ils ont vu arriver dans les exploitations des agents vérifiant les compteurs de prélèvement d'eau », a-t-elle ajouté.
Les agriculteurs de la FNSEA avaient déjà fait une incursion au SMEAG le 5 novembre, ainsi qu’à l’agence de l’eau et à l’office national de l’eau lors d’une manifestation à Toulouse qui avait réuni plusieurs milliers de personnes contre le durcissement des normes de pollution aux nitrates.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=39147&WS=291720_2501986&WA=8021
Assises des P.-O. : "C'est sans les autres que je suis heureuse
Nathalie Derycke, 33 ans, et Dany Defosse, 68 ans, sont jugés depuis hier pour une tentative de meurtre commise en 2012 à Perpignan. Ils sont fille et père de cœur au hasard de la vie.
Depuis hier, dans le box, tout les oppose. Nathalie Derycke, jolie femme de 33 ans à la longue chevelure blonde. Et Dany Defosse, 68 ans, cheveux poivre et sel attachés en catogan et barbe inspirée d'un tableau de Velasquez fripé par le temps. Pourtant leur enfance résonne des mêmes fêlures et du même vide. Flottant entre deux solitudes sans jamais pouvoir amarrer leur existence. Leur unique point d'ancrage : l'un pour l'autre.
Il la considère comme sa fille depuis que sa mère a été sa maîtresse il y a 30 ou 40 ans. Elle le reconnaît comme un père de cœur. Une famille de substitution pour deux êtres qui ont, un jour, délaissé leurs propres enfants, sans jamais chercher à les revoir. Préférant qu'ils continuent à rêver des parents qu'ils pourraient être plutôt que de leur infliger la triste réalité. Dany Defosse a laissé partir sa progéniture avec ses ex-compagnes pour le Canada, croit-il. A 15 ans, Nathalie Derycke a eu une fille qu'elle a subitement quittée sans jamais fournir d'explication. Lorsque, des années plus tard, son enfant a sonné à sa porte à Perpignan, elle a "cru à une mauvaise blague". Même scénario pour son fils, issu d'une relation "en dents de scie". Il n'avait que 4 ans, quand elle s'est volatilisée. Il vit aujourd'hui chez un oncle, personne ne sait où.
Elle n'a jamais connu son père, d'origine écossaise. Sa mère "schizophrène", "gentille, fragile mais forte", a été internée en psychiatrie.
Elle a donc été placée très tôt en pouponnière puis confiée à une famille d'accueil. Au sein de laquelle elle affirme avoir été victime d'abus sexuels de la part du père et d'un des fils. Les procédures seront classées sans suite. "Intelligente" mais "peu motivée par l'école", elle arrête en 6e et s'en va de chez ses grands-parents qui l'ont recueillie. Tout comme l'a été Dany Defosse. "Mon père était pasteur, journaliste, écrivain et politicien ou plutôt adjoint d'un homme politique. Il est mort en 1963. Assassiné. Il a organisé le passage clandestin des Harkis à Marseille. Nous avons été enlevés par le FLN. Ma mère et moi avons été relâchés. Deux jours plus tard, mon père a été retrouvé mort d'un coup de fusil. J'avais 16 ans. Je m'y attendais un petit peu. J'étais habitué à le voir se faire casser la figure. Ma mère voulait que je devienne comme elle, agriculteur ou éleveur d'animaux. Mon père me voyait plutôt militaire".
http://www.lindependant.fr/2014/12/16/assises-c-est-sans-les-autres-que-je-suis-heureuse,1968661.php
Depuis hier, dans le box, tout les oppose. Nathalie Derycke, jolie femme de 33 ans à la longue chevelure blonde. Et Dany Defosse, 68 ans, cheveux poivre et sel attachés en catogan et barbe inspirée d'un tableau de Velasquez fripé par le temps. Pourtant leur enfance résonne des mêmes fêlures et du même vide. Flottant entre deux solitudes sans jamais pouvoir amarrer leur existence. Leur unique point d'ancrage : l'un pour l'autre.
Il la considère comme sa fille depuis que sa mère a été sa maîtresse il y a 30 ou 40 ans. Elle le reconnaît comme un père de cœur. Une famille de substitution pour deux êtres qui ont, un jour, délaissé leurs propres enfants, sans jamais chercher à les revoir. Préférant qu'ils continuent à rêver des parents qu'ils pourraient être plutôt que de leur infliger la triste réalité. Dany Defosse a laissé partir sa progéniture avec ses ex-compagnes pour le Canada, croit-il. A 15 ans, Nathalie Derycke a eu une fille qu'elle a subitement quittée sans jamais fournir d'explication. Lorsque, des années plus tard, son enfant a sonné à sa porte à Perpignan, elle a "cru à une mauvaise blague". Même scénario pour son fils, issu d'une relation "en dents de scie". Il n'avait que 4 ans, quand elle s'est volatilisée. Il vit aujourd'hui chez un oncle, personne ne sait où.
- "Née sous une étoile de poisse"
Elle n'a jamais connu son père, d'origine écossaise. Sa mère "schizophrène", "gentille, fragile mais forte", a été internée en psychiatrie.
Elle a donc été placée très tôt en pouponnière puis confiée à une famille d'accueil. Au sein de laquelle elle affirme avoir été victime d'abus sexuels de la part du père et d'un des fils. Les procédures seront classées sans suite. "Intelligente" mais "peu motivée par l'école", elle arrête en 6e et s'en va de chez ses grands-parents qui l'ont recueillie. Tout comme l'a été Dany Defosse. "Mon père était pasteur, journaliste, écrivain et politicien ou plutôt adjoint d'un homme politique. Il est mort en 1963. Assassiné. Il a organisé le passage clandestin des Harkis à Marseille. Nous avons été enlevés par le FLN. Ma mère et moi avons été relâchés. Deux jours plus tard, mon père a été retrouvé mort d'un coup de fusil. J'avais 16 ans. Je m'y attendais un petit peu. J'étais habitué à le voir se faire casser la figure. Ma mère voulait que je devienne comme elle, agriculteur ou éleveur d'animaux. Mon père me voyait plutôt militaire".
- "Contre-culture"
http://www.lindependant.fr/2014/12/16/assises-c-est-sans-les-autres-que-je-suis-heureuse,1968661.php
Le policier municipal a sauté dans le Tarn au péril de sa vie pour sauver un désespéré
Samedi, en début de soirée, un jeune homme de 24 ans a voulu mettre fin à ses jours en sautant du pont Vieux dans le Tarn. Ce jeune homme en mal d'amour, devait avoir un ange gardien, qui veillait sur lui, car ce qui aurait pu être un véritable drame s'est soldé par une formidable opération de sauvetage de toute une équipe mais surtout d'un homme, qui, n'écoutant que son courage, n'a pas hésité à se jeter dans les eaux noires et glacées du Tarn pour sauver une vie. Le héros du jour, Jérôme Bousquières, 39 ans, policier municipal depuis 14 ans, encore sous le coup de l'émotion, raconte cette soirée mémorable, dont il se souvient de chaque seconde et qui restera longtemps gravée dans sa mémoire.
Où étiez-vous quand vous avez reçu l'appel de l'opérateur vidéo ?
Samedi soir, j'étais en patrouille en voiture sur le quai Montmurat avec mon collègue Philippe Magat. Alors que nous passions devant le restaurant Santa Maria, nous avons reçu un appel de l'opérateur vidéo à 18 h 57, nous informant qu'un véhicule était arrêté sur le Pont Vieux et qu'il venait de voir une personne sauter du haut du pont.
Qu'avez-vous fait à ce moment-là ?
Quand nous sommes arrivés à proximité du pont, il y avait déjà un bouchon et des badauds étaient massés sur le pont. Alors on est descendu sur les berges par la rampe, à contresens et on est rentré sur le parking, côté Mandoune. Les gens criaient que l'homme était dans l'eau, juste en dessous, mais il faisait déjà nuit, et de là où on était, je ne pouvais pas le voir. Alors je n'ai pas réfléchi, j'ai enlevé mon ceinturon et ma veste et je me suis glissé dans l'eau.
Mais l'eau devait être très froide et vous n'aviez aucun équipement ?
L'eau était glacée, mais sur le moment je n'ai pensé à rien d'autre qu'à essayer de sauver cet homme. Au moment où je commençais à nager, mon collègue a eu la présence d'esprit d'aller chercher une bouée de sauvetage dont toutes les voitures sont équipées. Heureusement que je suis bon nageur, car j'étais à contresens, il y avait du courant, il faisait sombre et je n'arrivais pas à le voir.
Et puis vous l'avez vu et vous avez eu peur ?
Il était accroché au pilier du pont et il criait qu'il ne voulait pas mourir. Et quand je l'ai vu, j'ai eu peur, car c'était un sacré gabarit et j'ai réalisé que ça allait être difficile de le ramener sur la berge.
Le retour a été difficile pour vous ?
Il avait peur, alors je lui ai parlé, je l'ai rassuré et j'ai réussi à le calmer. Je lui ai mis la bouée autour du torse et j'ai commencé à le tirer, mais plus je m'approchais des berges, plus je me décalais car il y avait du courant. Je commençais à être fatigué et j'étais en plein milieu de l'île. Heureusement, mon collègue Philippe, un pompier et un gendarme ont fait une haie avec leur tonfa, pour pouvoir me tirer hors de l'eau. Mais les derniers mètres ont été durs, car je commençais à ressentir le froid et la fatigue. Quand je suis enfin sorti de l'eau, le rescapé a été pris en charge par les pompiers et je n'ai même pas eu le temps de bien le voir. Mais il n'avait que quelques hématomes et des égratignures et il était en hypothermie. Il aurait pu mourir, mais son instinct de survie a été le plus fort, même si son geste était désespéré. Il n'a pas paniqué, mais il n'arrêtait pas de me dire qu'il l'aimait.
Dans quel état étiez-vous ?
J'étais frigorifié et les pompiers ont voulu me prendre en charge, mais sur le moment, je n'avais qu'une seule envie, prendre une douche et boire un café bien chaud. Mais j'étais en hypothermie et je n'arrivais pas à me réchauffer. Alors, il a fallu que je parte à l'hôpital en urgence. J'étais à 35 ° et j'ai dû attendre que ma température remonte. C'est une chance qu'il soit tombé sur moi, car je fais beaucoup de natation et j'ai mon brevet de surveillant de baignade. Je veux participer au triathlon de Montauban, mais je ne pensais pas faire mon entraînement de nuit et dans des eaux aussi froides. Mais là j'ai fait mon baptême.
Vous n'avez jamais eu peur ?
Je n'ai pas vraiment réfléchi et je crois que mon collègue a eu plus peur que moi. Quand on est pris dans le feu de l'action, on agit et c'est ce que les gens attendent de nous.
Vous êtes content d'avoir sauvé une vie ?
Je suis content et je suis fier d'avoir réussi. Il est sorti hier matin de l'hôpital et j'espère que ça va bien se passer pour lui. Je l'ai contacté sur les réseaux sociaux et j'aimerais juste avoir de ses nouvelles.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/16/2012517-jerome-bousquieres-saute-tarn-peril-vie.html
Où étiez-vous quand vous avez reçu l'appel de l'opérateur vidéo ?
Samedi soir, j'étais en patrouille en voiture sur le quai Montmurat avec mon collègue Philippe Magat. Alors que nous passions devant le restaurant Santa Maria, nous avons reçu un appel de l'opérateur vidéo à 18 h 57, nous informant qu'un véhicule était arrêté sur le Pont Vieux et qu'il venait de voir une personne sauter du haut du pont.
Qu'avez-vous fait à ce moment-là ?
Quand nous sommes arrivés à proximité du pont, il y avait déjà un bouchon et des badauds étaient massés sur le pont. Alors on est descendu sur les berges par la rampe, à contresens et on est rentré sur le parking, côté Mandoune. Les gens criaient que l'homme était dans l'eau, juste en dessous, mais il faisait déjà nuit, et de là où on était, je ne pouvais pas le voir. Alors je n'ai pas réfléchi, j'ai enlevé mon ceinturon et ma veste et je me suis glissé dans l'eau.
Mais l'eau devait être très froide et vous n'aviez aucun équipement ?
L'eau était glacée, mais sur le moment je n'ai pensé à rien d'autre qu'à essayer de sauver cet homme. Au moment où je commençais à nager, mon collègue a eu la présence d'esprit d'aller chercher une bouée de sauvetage dont toutes les voitures sont équipées. Heureusement que je suis bon nageur, car j'étais à contresens, il y avait du courant, il faisait sombre et je n'arrivais pas à le voir.
Et puis vous l'avez vu et vous avez eu peur ?
Il était accroché au pilier du pont et il criait qu'il ne voulait pas mourir. Et quand je l'ai vu, j'ai eu peur, car c'était un sacré gabarit et j'ai réalisé que ça allait être difficile de le ramener sur la berge.
Le retour a été difficile pour vous ?
Il avait peur, alors je lui ai parlé, je l'ai rassuré et j'ai réussi à le calmer. Je lui ai mis la bouée autour du torse et j'ai commencé à le tirer, mais plus je m'approchais des berges, plus je me décalais car il y avait du courant. Je commençais à être fatigué et j'étais en plein milieu de l'île. Heureusement, mon collègue Philippe, un pompier et un gendarme ont fait une haie avec leur tonfa, pour pouvoir me tirer hors de l'eau. Mais les derniers mètres ont été durs, car je commençais à ressentir le froid et la fatigue. Quand je suis enfin sorti de l'eau, le rescapé a été pris en charge par les pompiers et je n'ai même pas eu le temps de bien le voir. Mais il n'avait que quelques hématomes et des égratignures et il était en hypothermie. Il aurait pu mourir, mais son instinct de survie a été le plus fort, même si son geste était désespéré. Il n'a pas paniqué, mais il n'arrêtait pas de me dire qu'il l'aimait.
Dans quel état étiez-vous ?
J'étais frigorifié et les pompiers ont voulu me prendre en charge, mais sur le moment, je n'avais qu'une seule envie, prendre une douche et boire un café bien chaud. Mais j'étais en hypothermie et je n'arrivais pas à me réchauffer. Alors, il a fallu que je parte à l'hôpital en urgence. J'étais à 35 ° et j'ai dû attendre que ma température remonte. C'est une chance qu'il soit tombé sur moi, car je fais beaucoup de natation et j'ai mon brevet de surveillant de baignade. Je veux participer au triathlon de Montauban, mais je ne pensais pas faire mon entraînement de nuit et dans des eaux aussi froides. Mais là j'ai fait mon baptême.
Vous n'avez jamais eu peur ?
Je n'ai pas vraiment réfléchi et je crois que mon collègue a eu plus peur que moi. Quand on est pris dans le feu de l'action, on agit et c'est ce que les gens attendent de nous.
Vous êtes content d'avoir sauvé une vie ?
Je suis content et je suis fier d'avoir réussi. Il est sorti hier matin de l'hôpital et j'espère que ça va bien se passer pour lui. Je l'ai contacté sur les réseaux sociaux et j'aimerais juste avoir de ses nouvelles.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/16/2012517-jerome-bousquieres-saute-tarn-peril-vie.html
Ain - Rhône. Une femme agressée lundi au parc de Miribel-Jonage
Une femme dont l’âge n’a pas été communiqué a été victime d’une agression, lundi peu après 16h30, au Grand Parc de Miribel-Jonage.
Elle a été prise en charge par les pompiers pour une blessure à la main sans doute causée par une arme blanche. L’agression se serait produite dans la partie du parc située sur la commune de Miribel.
D’après des témoins, de nombreux gendarmes sont intervenus rapidement pour filtrer les sorties du parc et repérer l’agresseur dont le signalement avait été donné par la victime.
Un individu aurait été interpellé mais aucun élément ne permettait d’affirmer, lundi soir, s’il était l’auteur de l’agression dont les motifs restaient également à éclaircir.
http://www.leprogres.fr/ain/2014/12/15/une-femme-agressee-lundi-au-parc-de-miribel-jonage
Elle a été prise en charge par les pompiers pour une blessure à la main sans doute causée par une arme blanche. L’agression se serait produite dans la partie du parc située sur la commune de Miribel.
D’après des témoins, de nombreux gendarmes sont intervenus rapidement pour filtrer les sorties du parc et repérer l’agresseur dont le signalement avait été donné par la victime.
Un individu aurait été interpellé mais aucun élément ne permettait d’affirmer, lundi soir, s’il était l’auteur de l’agression dont les motifs restaient également à éclaircir.
http://www.leprogres.fr/ain/2014/12/15/une-femme-agressee-lundi-au-parc-de-miribel-jonage
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