L’intervention d’un témoin, alerté par les cris de la victime qui se débattait, a mis en fuite les deux hommes
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
jeudi 31 janvier 2013
Deuil-la-Barre : une femme victime d’une tentative d’enlèvement
Une femme âgée de 50 ans a fait l’objet ce jeudi d’une tentative d’enlèvement à Deuil-la-Barre. La victime, qui réside dans la commune, se trouvait dans un parking souterrain de la rue de l’Abbé-Dupont lorsque deux hommes ont surgi. Ils l’ont molestée avant de tenter de la forcer à entrer dans le coffre de son propre véhicule.
A1: un poids lourd chargé de 30 tonnes de vin se couche après Fresnes, des kilomètres de bouchons
Un accident impliquant un poids lourd s’est produit sur l’A1, ce matin vers 10 h, dans le sens Paris-Lille, peu après le péage de Fresnes-les-Montauban. Le camion, chargé de près de trente tonnes de bouteilles de vin, s’est retrouvé en travers de la route, ce qui a nécessité la coupure totale de l’autoroute. D’où un goût de bouchons sur l’A1...
Déviation conseillé :
Selon le chauffeur, âgé de 31 ans et légèrement blessé à la main, l’accident serait dû à l’éclatement d’un pneu à l’avant du poids lourd. Son état de santé n’a pas nécessité de transport à l’hôpital.
Un début d’incendie s’est également déclaré dans la cabine du conducteur, mais le sinistre a été rapidement maîtrisé par les pompiers, venus en nombre des casernes d’Hénin-Beaumont, Vitry-en-Artois et Arras.
On signale plusieurs kilomètres de bouchons avant le péage de Fresnes.
La sortie par la nationale 950 (sortie 16) est possible. Cependant soyez prudent une nationale n’absorbe pas le même flux de véhicules. Il est également possible d’emprunter l’A26 vers Calais , et sortir à Aix-Noulettes sortie 6.1 , pour reprendre l’A21 , vers Lens , puis récupérer l’A1 vers Lille.
Villeneuve d'Ascq : déploiement policier
Un fort déploiement policier est observé depuis ce matin sur le campus de Lille 1, à la Cité Scientifique, rapporte La Voix du Nord. Les forces de l'odre veulent rassembler sur un seul parking les caravanes des Roms installés sur place.
Deux campements de roms étaient concernés. Cette évacuation, qui fait suite à une ordonnance du Tribunal administratif de Lille, après une demande du président de l’Université de Lille 1, concerne 70 personnes réparties dans 18 caravanes.
"Le préfet du Nord a accordé, ce jeudi 31 janvier, le concours de la force publique à l’huissier afin de regrouper deux campements illicites occupés par des personnes d’origine rom sur un autre terrain sur le campus de la cité universitaire et scientifique de Villeneuve d’Ascq", a indiqué la préfecture. L'opération s'est déroulée dans le calme.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/31/97001-20130131FILWWW00498-villeneuve-d-ascq-deploiement-policier.php
Deux campements de roms étaient concernés. Cette évacuation, qui fait suite à une ordonnance du Tribunal administratif de Lille, après une demande du président de l’Université de Lille 1, concerne 70 personnes réparties dans 18 caravanes.
"Le préfet du Nord a accordé, ce jeudi 31 janvier, le concours de la force publique à l’huissier afin de regrouper deux campements illicites occupés par des personnes d’origine rom sur un autre terrain sur le campus de la cité universitaire et scientifique de Villeneuve d’Ascq", a indiqué la préfecture. L'opération s'est déroulée dans le calme.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/31/97001-20130131FILWWW00498-villeneuve-d-ascq-deploiement-policier.php
Un enfant de 18 mois survit à une chute du premier étage
Un enfant âgé de tout juste dix-huit mois a fait une chute spectaculaire mais heureusement sans gravité, hier, peu avant midi, 14 impasse du Cimetière Croix-Daurade au Nord de Toulouse. Il était aux environs de 11 h 45 lorsque l'enfant est parvenu à échapper un instant à la vigilance des adultes présents dans le logement. Il s'est aventuré vers l'extérieur et s'est retrouvé sur le balcon de leur appartement.
Malgré la rambarde et les canisses censées éviter ce type d'accident, il est parvenu à se faufiler au-dessus du vide. Inconscient du danger, il a basculé et a chuté d'environ trois mètres en contrebas. Par chance, le logement de sa famille se situe au premier étage. Mais la chute aurait tout de même pu avoir des conséquences dramatiques si le bébé avait atterri sur la tête ou sur la grille en fer qui jouxte l'entrée de l'immeuble. Cette grille se situe en effet juste au-dessous du balcon. Les sapeurs-pompiers, très vite prévenus, sont arrivés rapidement sur place. Ils ont pris en charge l'enfant afin d'évaluer son état de santé qui n'inspirait pas d'inquiétude particulière.
Par mesure de précaution, les secours l'ont transporté à l'hôpital des enfants de Purpan où il devait subir des examens de contrôle. Sa mère, choquée, l'a accompagné.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/31/1549237-un-enfant-de-18-mois-survit-a-une-chute-du-premier-etage.html
Malgré la rambarde et les canisses censées éviter ce type d'accident, il est parvenu à se faufiler au-dessus du vide. Inconscient du danger, il a basculé et a chuté d'environ trois mètres en contrebas. Par chance, le logement de sa famille se situe au premier étage. Mais la chute aurait tout de même pu avoir des conséquences dramatiques si le bébé avait atterri sur la tête ou sur la grille en fer qui jouxte l'entrée de l'immeuble. Cette grille se situe en effet juste au-dessous du balcon. Les sapeurs-pompiers, très vite prévenus, sont arrivés rapidement sur place. Ils ont pris en charge l'enfant afin d'évaluer son état de santé qui n'inspirait pas d'inquiétude particulière.
Par mesure de précaution, les secours l'ont transporté à l'hôpital des enfants de Purpan où il devait subir des examens de contrôle. Sa mère, choquée, l'a accompagné.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/31/1549237-un-enfant-de-18-mois-survit-a-une-chute-du-premier-etage.html
Aude : elle se vante de ses fraudes à la télévision et se fait pincer
Une femme de 25 ans qui avait décrit dans un numéro d'"Envoyé Spécial" (France 2) comment elle fraudait les péages autoroutiers, dans le sud de la France, a été interpellée vendredi sur l'A9 vers Sigean.
"Nous avons été gênés que cette jeune femme fasse l'apologie de la fraude", a déclaré Fara Ndoye, commandant de l'escadron de sécurité routière de l'Aude. "En visionnant cette émission, nous avons identifié les barrières de péages de notre secteur. Cette fraude aux ASF (Autoroutes du Sud de la France) semblait massive: le reportage mettait en évidence de nombreux tickets d'entrée autoroutiers dans la voiture", a-t-il détaillé.
Interpellés sur l'A9 à hauteur de Sigean
Grâce aux éléments contenus dans le reportage, notamment la marque et la couleur du véhicule, et à une collaboration avec ASF (données informatiques, vidéosurveillance), le véhicule a pu être identifié. La jeune femme et son compagnon, installés près de Narbonne (Aude), ont été interpellés sur l'autoroute A9, à hauteur de Sigean. Placé en garde à vue, le couple, sans emploi, a reconnu les faits.
Amende, prison avec sursis, confiscation du véhicule
"Il y a 73 infractions constatées entre juillet 2012 et janvier 2013. Ce couple, allocataire du RSA, a expliqué la fraude par le manque de ressources dont il disposait", a précisé Fara Ndoye. Remis en liberté, ils comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Narbonne le 13 juin. Ils encourent une amende de 400 euros, une peine de prison avec sursis et une confiscation de leur véhicule.
http://www.midilibre.fr/2013/01/30/aude-elle-se-vante-de-ses-fraudes-a-la-television-et-se-fait-pincer,635731.php
Dans le magazine, diffusé le 5 juillet 2012, elle expliquait sa technique du "petit train": au péage, elle passait la barrière sans payer en collant son véhicule à celui de devant.
Une fraude massive"Nous avons été gênés que cette jeune femme fasse l'apologie de la fraude", a déclaré Fara Ndoye, commandant de l'escadron de sécurité routière de l'Aude. "En visionnant cette émission, nous avons identifié les barrières de péages de notre secteur. Cette fraude aux ASF (Autoroutes du Sud de la France) semblait massive: le reportage mettait en évidence de nombreux tickets d'entrée autoroutiers dans la voiture", a-t-il détaillé.
Interpellés sur l'A9 à hauteur de Sigean
Grâce aux éléments contenus dans le reportage, notamment la marque et la couleur du véhicule, et à une collaboration avec ASF (données informatiques, vidéosurveillance), le véhicule a pu être identifié. La jeune femme et son compagnon, installés près de Narbonne (Aude), ont été interpellés sur l'autoroute A9, à hauteur de Sigean. Placé en garde à vue, le couple, sans emploi, a reconnu les faits.
Amende, prison avec sursis, confiscation du véhicule
"Il y a 73 infractions constatées entre juillet 2012 et janvier 2013. Ce couple, allocataire du RSA, a expliqué la fraude par le manque de ressources dont il disposait", a précisé Fara Ndoye. Remis en liberté, ils comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Narbonne le 13 juin. Ils encourent une amende de 400 euros, une peine de prison avec sursis et une confiscation de leur véhicule.
http://www.midilibre.fr/2013/01/30/aude-elle-se-vante-de-ses-fraudes-a-la-television-et-se-fait-pincer,635731.php
Mont-de-Marsan : violences gratuites sur la place Saint-Roch
Les faits se sont déroulés à minuit passé, samedi soir dernier, devant le pub 1900 de la place Saint-Roch de Mont-de-Marsan. Pour des motifs semble-t-il futiles, une altercation a éclaté à la sortie du bar. Un homme a commencé à en frapper un autre avant d'être freiné par un ami. Le duo âgé d'une vingtaine d'années s'est éloigné de la victime.
Que se sont-ils dits ? Eux seuls le savent. Mais ce qui est sûr c'est que les deux hommes se sont entendus pour revenir tabasser sans ménagement l'homme encore sonné. Manque de pot, tout ça se passait sous les yeux électroniques de la Police nationale qui a donc pu intervenir très rapidement.
Jugés mardi matin en comparution immédiate, les deux hommes déjà très défavorablement connus de la justice (l'un d'eux était même en récidive légale) ont respectivement écopé de deux ans de prison dont un an de sursis avec mise à l'épreuve, et d'un an de prison dont six mois de sursis avec une mise à l'épreuve.
Le soir des faits, ils affichaient 2,36 et 2,58 grammes d'alcool par litre de sang. La victime saint-pierroise de 32 ans avait été sévèrement blessée à la tête et conduite à l'hôpital par les pompiers.
http://www.sudouest.fr/2013/01/30/mont-de-marsan-violences-gratuites-sur-la-place-saint-roch-951289-3536.php
Que se sont-ils dits ? Eux seuls le savent. Mais ce qui est sûr c'est que les deux hommes se sont entendus pour revenir tabasser sans ménagement l'homme encore sonné. Manque de pot, tout ça se passait sous les yeux électroniques de la Police nationale qui a donc pu intervenir très rapidement.
Jugés mardi matin en comparution immédiate, les deux hommes déjà très défavorablement connus de la justice (l'un d'eux était même en récidive légale) ont respectivement écopé de deux ans de prison dont un an de sursis avec mise à l'épreuve, et d'un an de prison dont six mois de sursis avec une mise à l'épreuve.
Le soir des faits, ils affichaient 2,36 et 2,58 grammes d'alcool par litre de sang. La victime saint-pierroise de 32 ans avait été sévèrement blessée à la tête et conduite à l'hôpital par les pompiers.
http://www.sudouest.fr/2013/01/30/mont-de-marsan-violences-gratuites-sur-la-place-saint-roch-951289-3536.php
mercredi 30 janvier 2013
Un lycéen condamné à 10 ans de prison
Un lycéen de 18 ans a été condamné mercredi à dix ans de réclusion par la cour d'assises des mineurs de Chaumont pour avoir tenté d'assassiner un camarade dans l'internat du lycée Diderot de Langres (Haute-Marne) le 3 février 2011.
Les jurés, qui jugeaient à huis clos depuis lundi l'accusé, mineur au moment des faits, ont assorti sa peine d'un suivi socio-judiciaire de 8 ans et d'une obligation de soins.
Le jeune homme, "au profil psychologique très fragile" selon les experts, était poursuivi pour avoir blessé d'un coup de couteau à la gorge un élève de sa classe, interne comme lui. "Le mobile répond à des critères psychiatriques, l'agresseur était semble-t-il totalement obsédé par sa victime", a expliqué Renaud Tribolet, l'avocat des parties civiles.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/30/97001-20130130FILWWW00691-un-lyceen-condamne-a-10-ans-de-prison.php
Les jurés, qui jugeaient à huis clos depuis lundi l'accusé, mineur au moment des faits, ont assorti sa peine d'un suivi socio-judiciaire de 8 ans et d'une obligation de soins.
Le jeune homme, "au profil psychologique très fragile" selon les experts, était poursuivi pour avoir blessé d'un coup de couteau à la gorge un élève de sa classe, interne comme lui. "Le mobile répond à des critères psychiatriques, l'agresseur était semble-t-il totalement obsédé par sa victime", a expliqué Renaud Tribolet, l'avocat des parties civiles.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/30/97001-20130130FILWWW00691-un-lyceen-condamne-a-10-ans-de-prison.php
Bordeaux : "l'empoisonneuse" est libre
« Je suis aussi peu sûr de sa culpabilité que de son innocence mais il y a un gros doute dans ce dossier », déclare Me Pierre-Luc Receveur, avocat de celle que l'on a (trop ?) rapidement surnommée « L'empoisonneuse de Cézac ». Certes connue de la justice pour des faits d'escroqueries, cette femme de 67 ans était en détention provisoire depuis le 7 octobre 2011, soupçonnée d'avoir tenté d'empoisonner une quadragénaire bordelaise en lui faisant absorber un pesticide, de l'aldicarbe. Ce produit est interdit à la vente depuis 2004 et à la commercialisation depuis 2007, à l'exception du traitement de la vigne et des cultures de betteraves à sucre.
Le 3 septembre 2011, un repas est organisé dans l'appartement occupé par la victime, cours de la Somme à Bordeaux. Celle-ci est en compagnie de la sexagénaire, qu'elle connaît et appelle affectueusement sa « tante ». La fille de « l'empoisonneuse » présumée est également présente. Tout se passe très bien lorsque, soudain, la quadragénaire s'effondre, prise de violents maux de tête, de nausées et de troubles respiratoires. Plongée dans le coma pendant quatre jours, elle est autorisée à regagner son domicile. Le 15 septembre, une seconde fois, toujours lors d'un repas en présence des mêmes personnes, la quadragénaire bordelaise est prise d'étourdissements après avoir mangé un plat et un dessert achetés chez un traiteur. Quinze jours plus tard, elle se confie aux policiers de la brigade criminelle de la Sûreté départementale et déclare que sa « tante » a fait des achats avec sa carte bancaire et son chéquier, ouvert un compte et souscrit des contrats d'assurance-vie avec son argent.
« Pas d'élément objectif »
Cette version ne tient pas, selon Me Receveur, car « la victime a émis plusieurs contre-vérités devant le juge d'instruction, qui remettent en cause sa bonne foi et donc la culpabilité de ma cliente ».
Reste que l'enquête de la police a permis d'apprendre que le mari de la sexagénaire est décédé dans des conditions très troublantes en septembre 2009. Il aurait présenté des symptômes similaires et notamment une faiblesse respiratoire. Il serait tombé, frappé par un malaise, après avoir bu un café préparé par son épouse. « Tout cela me heurte », lâche le conseil de la sexagénaire, qui vient d'obtenir sa mise en liberté devant la chambre de l'instruction. « Parce qu'il n'y a pas d'élément objectif ou matériel permettant de conclure à sa culpabilité », insiste Me Receveur.
Les magistrats de la cour d'appel ont confirmé l'ordonnance du magistrat instructeur, considérant « qu'en l'état de la procédure et des investigations accomplies, la détention provisoire n'apparaît plus nécessaire à la manifestation de la vérité […], un contrôle judiciaire contraignant étant suffisant ». Le parquet avait estimé que des pressions étaient susceptibles d'être exercées sur des témoins ou victimes et avait demandé son maintien en détention.
http://www.sudouest.fr/2013/01/30/l-empoisonneuse-est-libre-950669-2780.php
Le 3 septembre 2011, un repas est organisé dans l'appartement occupé par la victime, cours de la Somme à Bordeaux. Celle-ci est en compagnie de la sexagénaire, qu'elle connaît et appelle affectueusement sa « tante ». La fille de « l'empoisonneuse » présumée est également présente. Tout se passe très bien lorsque, soudain, la quadragénaire s'effondre, prise de violents maux de tête, de nausées et de troubles respiratoires. Plongée dans le coma pendant quatre jours, elle est autorisée à regagner son domicile. Le 15 septembre, une seconde fois, toujours lors d'un repas en présence des mêmes personnes, la quadragénaire bordelaise est prise d'étourdissements après avoir mangé un plat et un dessert achetés chez un traiteur. Quinze jours plus tard, elle se confie aux policiers de la brigade criminelle de la Sûreté départementale et déclare que sa « tante » a fait des achats avec sa carte bancaire et son chéquier, ouvert un compte et souscrit des contrats d'assurance-vie avec son argent.
« Pas d'élément objectif »
Cette version ne tient pas, selon Me Receveur, car « la victime a émis plusieurs contre-vérités devant le juge d'instruction, qui remettent en cause sa bonne foi et donc la culpabilité de ma cliente ».
Reste que l'enquête de la police a permis d'apprendre que le mari de la sexagénaire est décédé dans des conditions très troublantes en septembre 2009. Il aurait présenté des symptômes similaires et notamment une faiblesse respiratoire. Il serait tombé, frappé par un malaise, après avoir bu un café préparé par son épouse. « Tout cela me heurte », lâche le conseil de la sexagénaire, qui vient d'obtenir sa mise en liberté devant la chambre de l'instruction. « Parce qu'il n'y a pas d'élément objectif ou matériel permettant de conclure à sa culpabilité », insiste Me Receveur.
Les magistrats de la cour d'appel ont confirmé l'ordonnance du magistrat instructeur, considérant « qu'en l'état de la procédure et des investigations accomplies, la détention provisoire n'apparaît plus nécessaire à la manifestation de la vérité […], un contrôle judiciaire contraignant étant suffisant ». Le parquet avait estimé que des pressions étaient susceptibles d'être exercées sur des témoins ou victimes et avait demandé son maintien en détention.
http://www.sudouest.fr/2013/01/30/l-empoisonneuse-est-libre-950669-2780.php
Pavillons en feu à Héricourt : 2 blessés, un brûlé grave
Un violent incendie s'est déclaré ce matin à Héricourt où trois pavillons étaient en feu dans le quartier Saint-Valbert. Les autorités ont mobilisés sur place plusieurs centres de secours de Haute-Saône et du Doubs.
Le feu s'est déclaré vers 8 h 15. C'est une voisine qui a donné l'alerte. Elle a senti une forte odeur de brûlé et a immédiatement songé à ses voisins dont un est paraplégique. Ce dernier a pu être évacué à temps. Les flammes ravageaient en fait trois logements mitoyens aménagés dans ce qui était une ancienne ferme. Deux personnes ont été blessées dont une sérieusement brûlée. La première a été transporté à l'hôpital de Montbéliard. La seconde, un homme de 64 ans, brûlé au cuir chevelu, au visage et aux avant-bras, a été héliporté.
Sept personnes occupaient les logements au moment de l'incendie dont l'orinie précise n'est pas encore établie.
http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/01/30/pazvillons-en-feu-ce-matin-a-hericourt
Le feu s'est déclaré vers 8 h 15. C'est une voisine qui a donné l'alerte. Elle a senti une forte odeur de brûlé et a immédiatement songé à ses voisins dont un est paraplégique. Ce dernier a pu être évacué à temps. Les flammes ravageaient en fait trois logements mitoyens aménagés dans ce qui était une ancienne ferme. Deux personnes ont été blessées dont une sérieusement brûlée. La première a été transporté à l'hôpital de Montbéliard. La seconde, un homme de 64 ans, brûlé au cuir chevelu, au visage et aux avant-bras, a été héliporté.
Sept personnes occupaient les logements au moment de l'incendie dont l'orinie précise n'est pas encore établie.
http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/01/30/pazvillons-en-feu-ce-matin-a-hericourt
26 personnes évacuées dans un incendie quartier Cimiez à Nice
Un incendie spectaculaire s'est déclaré dans une immeuble du quartier Cimiez à Nice dans la nuit de mardi à mercredi aux alentours de minuit.
Le sinistre a totalement ravagé un appartement de type F4 situé au premier étage.
Le feu s'est propagé par l'extérieur à un autre appartement de type F2 d'une résidence de cinq étages située au 72 de l'avenue Emile Bieckert.
Quatre personnes dont un enfant hospitalisées
Aucun blessé grave n'est cependant à déplorer.
60 sapeurs-pompiers sur place
L'alerte a été donnée à 00h02. Les sapeurs-pompiers sont arrivés six minutes plus tard sur site. Quelque 60 hommes issues de trois casernes différentes dont un médecin et un infirmier ont oeuvré sur le sinistre sous le commandement du capitaine Weill.
Trois lances de 500 litres minutes et une petite lance ont été mobilisées sur cet incendie.
Quatre sauvetages à l'aide de l'échelle accrochée
"Nous avons été maîtres du feu vers 1h15", rapporte le colonel Riquier. "L'incendie était vraiment important, la cage d'escalier a été très endommagée. Le zone était inacessible à la grande échelle, nous avons réalisé quatre sauvetages au moyen de l'échelle accrochée dont trois par le même adjudant", détaille le chef des sapeurs-pompiers de Nice.
Fin des opérations à 3h56
Les interventions se sont terminées à 3h56. Le colonel Riquier s'est "félicité du délai record de l'intervention" qui a permis d'éviter un plus grand nombre de blessés. Une efficacité due selon lui au "maillage de la ville par les casernes des sapeurs-pompiers".
http://www.nicematin.com/nice/26-personnes-evacuees-dans-un-incendie-quartier-cimiez-a-nice.1128655.html
Le sinistre a totalement ravagé un appartement de type F4 situé au premier étage.
Le feu s'est propagé par l'extérieur à un autre appartement de type F2 d'une résidence de cinq étages située au 72 de l'avenue Emile Bieckert.
Quatre personnes dont un enfant hospitalisées
Vingt-six personnes ont été évacuées, neuf ont été relogées par les services de la ville de Nice.
Quatre personnes intoxiquées par les fumées dont un enfant ont été hospitalisées. Trois personnes ont été placées en caisson hyperbare à l'hôpital Pasteur. Aucun blessé grave n'est cependant à déplorer.
60 sapeurs-pompiers sur place
L'alerte a été donnée à 00h02. Les sapeurs-pompiers sont arrivés six minutes plus tard sur site. Quelque 60 hommes issues de trois casernes différentes dont un médecin et un infirmier ont oeuvré sur le sinistre sous le commandement du capitaine Weill.
Trois lances de 500 litres minutes et une petite lance ont été mobilisées sur cet incendie.
Quatre sauvetages à l'aide de l'échelle accrochée
"Nous avons été maîtres du feu vers 1h15", rapporte le colonel Riquier. "L'incendie était vraiment important, la cage d'escalier a été très endommagée. Le zone était inacessible à la grande échelle, nous avons réalisé quatre sauvetages au moyen de l'échelle accrochée dont trois par le même adjudant", détaille le chef des sapeurs-pompiers de Nice.
Fin des opérations à 3h56
Les interventions se sont terminées à 3h56. Le colonel Riquier s'est "félicité du délai record de l'intervention" qui a permis d'éviter un plus grand nombre de blessés. Une efficacité due selon lui au "maillage de la ville par les casernes des sapeurs-pompiers".
http://www.nicematin.com/nice/26-personnes-evacuees-dans-un-incendie-quartier-cimiez-a-nice.1128655.html
Cinq membres d’une même famille intoxiqués au monoxyde de carbone
Deux enfants de 13 mois et 7 ans, leurs parents et leur grand-mère ont été intoxiqués au monoxyde de carbone, hier en milieu d’après-midi, dans la résidence familiale située au lieu-dit « Le Rousson », sur la commune de Beauzac.
Les cinq victimes ont toutes été hospitalisées mais, selon les informations en notre possession hier soir, leurs jours ne seraient pas en danger.
Les faits se sont produits aux alentours de 15 h 45, dans ce village blotti à la sortie du bourg, un peu à l’écart de la route de Retournac. À cette heure-là, seule la mère de famille, âgée de 36 ans, se trouvait au domicile avec ses deux garçons quand tous les trois ont été pris de nausées, de maux de tête et de vertiges. La jeune femme décidait alors d’appeler à l’aide en prévenant les pompiers.
Dans un premier temps, le centre opérationnel départemental d’incendie et de secours engageait les sapeurs-pompiers de Beauzac. Devant la situation, ils ont rapidement été renforcés par des moyens supplémentaires en provenance des casernes de Bas-en-Basset, Monistrol-sur-Loire et Retournac. Soit plus d’une vingtaine d’hommes.
Car, entre l’alerte et l’arrivée des premiers moyens, deux nouvelles personnes avaient pénétré dans la maison : la grand-mère des deux enfants (âgée d’une soixantaine d’années), ainsi que leur père (âgé de 34 ans) qui sortait de son travail. Tous ont donc été exposés à l’air ambiant de l’habitation, lequel semble avoir été saturé par des émanations de monoxyde de carbone.
C’est en tout cas la piste retenue pour expliquer l’intoxication de cette famille. La chaudière de l’habitation pourrait être à l’origine de ces émanations. Une mauvaise combustion serait en cause. Les détections effectuées par les secours se sont avérées positives concernant ce gaz, incolore, inodore et particulièrement dangereux.
Pendant plusieurs dizaines de minutes, les cinq membres de la famille allaient recevoir les premiers soins sur place. Tous conscients, ils étaient ensuite évacués aux urgences de l’hôpital de Firminy pour de simples examens de contrôle.
De son côté, le policier municipal de Beauzac était également sur place pour apporter son soutien et informer les autorités municipales de la situation.
Les cinq victimes ont toutes été hospitalisées mais, selon les informations en notre possession hier soir, leurs jours ne seraient pas en danger.
Les faits se sont produits aux alentours de 15 h 45, dans ce village blotti à la sortie du bourg, un peu à l’écart de la route de Retournac. À cette heure-là, seule la mère de famille, âgée de 36 ans, se trouvait au domicile avec ses deux garçons quand tous les trois ont été pris de nausées, de maux de tête et de vertiges. La jeune femme décidait alors d’appeler à l’aide en prévenant les pompiers.
Dans un premier temps, le centre opérationnel départemental d’incendie et de secours engageait les sapeurs-pompiers de Beauzac. Devant la situation, ils ont rapidement été renforcés par des moyens supplémentaires en provenance des casernes de Bas-en-Basset, Monistrol-sur-Loire et Retournac. Soit plus d’une vingtaine d’hommes.
Car, entre l’alerte et l’arrivée des premiers moyens, deux nouvelles personnes avaient pénétré dans la maison : la grand-mère des deux enfants (âgée d’une soixantaine d’années), ainsi que leur père (âgé de 34 ans) qui sortait de son travail. Tous ont donc été exposés à l’air ambiant de l’habitation, lequel semble avoir été saturé par des émanations de monoxyde de carbone.
C’est en tout cas la piste retenue pour expliquer l’intoxication de cette famille. La chaudière de l’habitation pourrait être à l’origine de ces émanations. Une mauvaise combustion serait en cause. Les détections effectuées par les secours se sont avérées positives concernant ce gaz, incolore, inodore et particulièrement dangereux.
Pendant plusieurs dizaines de minutes, les cinq membres de la famille allaient recevoir les premiers soins sur place. Tous conscients, ils étaient ensuite évacués aux urgences de l’hôpital de Firminy pour de simples examens de contrôle.
De son côté, le policier municipal de Beauzac était également sur place pour apporter son soutien et informer les autorités municipales de la situation.
Une défaillance sur la chaudière Les faits se sont produits dans cette maison, au lieu-dit « Le Rousson », sur la commune de Beauzac. Les émanations de monoxyde pourraient provenir de la chaudière chauffant le logement, laquelle aurait été victime d’une défaillance lors de la combustion
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/01/30/cinq-membres-d-une-meme-famille-intoxiques-au-monoxyde-de-carbone
Saint-Lary. Une voiture et ses deux occupants emportés par une avalanche
Suite aux importantes chutes de neige de ces derniers jours et à un passage pluvieux, une avalanche de 20 m de large et de 3 m de haut s'est produite sur la montée du Pla-d'Adet, au lieu dit de «L'Abreuvoir», lundi matin, et a emporté un véhicule de la commune avec à son bord deux employés, Gilbert Tajan et Jacques Héran.
C'est de la neige lourde, gorgée d'eau, qui a dévalé la pente pour traverser la route et terminer sa course en contrebas du talus, emportant au passage le véhicule qui se rendait à la station. C'est après avoir effectué trois tonneaux dans la pente que le véhicule s'est immobilisé sur le toit.
Les deux occupants se sont extraits du véhicule, sans blessure, mais choqués. On peut dire qu'ils ont eu beaucoup de chance !
Déneigée des deux côtés par les services du conseil général et d'Altiservice, la route a été rapidement rouverte à la circulation.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/30/1547907-saint-lary-une-voiture-emportee-par-une-coulee.html
C'est de la neige lourde, gorgée d'eau, qui a dévalé la pente pour traverser la route et terminer sa course en contrebas du talus, emportant au passage le véhicule qui se rendait à la station. C'est après avoir effectué trois tonneaux dans la pente que le véhicule s'est immobilisé sur le toit.
Les deux occupants se sont extraits du véhicule, sans blessure, mais choqués. On peut dire qu'ils ont eu beaucoup de chance !
Déneigée des deux côtés par les services du conseil général et d'Altiservice, la route a été rapidement rouverte à la circulation.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/30/1547907-saint-lary-une-voiture-emportee-par-une-coulee.html
La plainte d’Aravane Rezaï contre son père classée sans suite
L’enquête diligentée à la suite de la plainte, déposée en juin 2011 lors de l’Open d’Australie, par la joueuse franco-iranienne, «va être classée sans suite», a déclaré le procureur de la République de Saint-Etienne, Jean-Daniel Regnauld.
«Ce classement résulte d’un désistement de fait de la plaignante qui n’a pas répondu aux convocations des services de police chargés de l’enquête et du fait que le contenu de la plainte ne lui permettait pas de prospérer en l’état», a indiqué le représentant du parquet.
Il semble que les relations avec son père ont évolué et qu’elle ne veut plus le poursuivre dans le cadre de sa plainte initiale déposée à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a précisé le procureur, qui a hérité du dossier eu égard à la domiciliation d’Aravane Rezaï.
Depuis deux ans, la joueuse, dont les résultats sportifs sont irréguliers, s’est affranchie de la tutelle de son père, qui était aussi son entraîneur, coupant aussi les ponts avec les autres membres de sa famille installés à Saint-Etienne.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/01/29/la-plainte-d-aravane-rezai-contre-son-pere-classee-sans-suite
«Ce classement résulte d’un désistement de fait de la plaignante qui n’a pas répondu aux convocations des services de police chargés de l’enquête et du fait que le contenu de la plainte ne lui permettait pas de prospérer en l’état», a indiqué le représentant du parquet.
Il semble que les relations avec son père ont évolué et qu’elle ne veut plus le poursuivre dans le cadre de sa plainte initiale déposée à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a précisé le procureur, qui a hérité du dossier eu égard à la domiciliation d’Aravane Rezaï.
Depuis deux ans, la joueuse, dont les résultats sportifs sont irréguliers, s’est affranchie de la tutelle de son père, qui était aussi son entraîneur, coupant aussi les ponts avec les autres membres de sa famille installés à Saint-Etienne.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/01/29/la-plainte-d-aravane-rezai-contre-son-pere-classee-sans-suite
Vitrac (24) : excédé de recevoir les tirs des chasseurs à son domicile
Il en a ras-le-bol des chasseurs. Hervé Fauliau, Parisien installé depuis treize ans dans la campagne de Vitrac, près de Sarlat, a reçu jeudi dernier un nouvel arrosage de plomb venant de son coteau boisé, prisé par le gros gibier, situé derrière sa maison. « Je me dirigeais vers ma voiture et là, j’ai entendu une détonation très forte, un coup de fusil tiré de là-haut. J’ai reçu du plomb sur les épaules, la tête, sur ma voiture. Là, on a franchi une étape. Avant, c’était la toiture de la maison, mais là, j’en ai assez, cela ne peut plus durer. Je ne dis pas qu’ils ont voulu me faire peur, mais c’est la saison des palombes, et je n’ai entendu aucun battement d’ailes. »
Cette fois, Hervé a écrit à la sous-préfète de Sarlat, Dominique Christian, pour se plaindre de ces chasseurs « qui ne respectent rien » et a déposé une main courante à la gendarmerie. Il a aussi frappé à la porte du bureau du maire de la commune, Gérard Soulhié, en espérant être entendu.
S’il pense que sa volonté de se faire respecter chez lui déplaît aux chasseurs locaux, il se croit aussi victime de « racisme anti-parisien ». « Pour eux, en achetant leur terre, c’était comme si on était venu piller leur culture. Ils chassent depuis plusieurs générations, ils se sentent chez eux partout, même quand ils n’y sont pas. »
http://www.sudouest.fr/2013/01/29/vitrac-quand-les-chasseurs-derangent-950253-1980.php
Cette fois, Hervé a écrit à la sous-préfète de Sarlat, Dominique Christian, pour se plaindre de ces chasseurs « qui ne respectent rien » et a déposé une main courante à la gendarmerie. Il a aussi frappé à la porte du bureau du maire de la commune, Gérard Soulhié, en espérant être entendu.
S’il pense que sa volonté de se faire respecter chez lui déplaît aux chasseurs locaux, il se croit aussi victime de « racisme anti-parisien ». « Pour eux, en achetant leur terre, c’était comme si on était venu piller leur culture. Ils chassent depuis plusieurs générations, ils se sentent chez eux partout, même quand ils n’y sont pas. »
http://www.sudouest.fr/2013/01/29/vitrac-quand-les-chasseurs-derangent-950253-1980.php
mardi 29 janvier 2013
40 armes de guerre saisies en Moselle
Une quarantaine d'armes, notamment de guerre, et des munitions ont été saisies hier au domicile d'un collectionneur de 51 ans à Saint-Avold (Moselle), a-t-on appris aujourd'hui auprès des douanes. Les autorités ont saisi 28 armes de poing, 17 fusils, trois grenades à main, deux mines anti-personnel, un obus, cinq grenades et plus de 2.200 munitions.
L'arsenal était disséminé dans toutes les pièces du domicile. Le quinquagénaire, qui se dit collectionneur depuis une vingtaine d'années, n'a pas opposé de résistance lors de la saisie, ont précisé les douanes. Membre d'un club sportif de tir, il a l'autorisation de détenir trois ou quatre armes, les autres étant illégales, a dit la police.
L'homme a dit se fournir principalement dans des bourses aux armes en Belgique. C'est un colis intercepté par la douane qui a mené à la saisie. Laissé libre, il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Sarreguemines (Moselle) le 13 mai. D'après la police, il encourt dix ans de prison pour délit douanier de première classe, et trois ans dans le cadre de la détention d'armes
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/29/97001-20130129FILWWW00653-40-armes-de-guerre-saisies-en-moselle.php
L'arsenal était disséminé dans toutes les pièces du domicile. Le quinquagénaire, qui se dit collectionneur depuis une vingtaine d'années, n'a pas opposé de résistance lors de la saisie, ont précisé les douanes. Membre d'un club sportif de tir, il a l'autorisation de détenir trois ou quatre armes, les autres étant illégales, a dit la police.
L'homme a dit se fournir principalement dans des bourses aux armes en Belgique. C'est un colis intercepté par la douane qui a mené à la saisie. Laissé libre, il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Sarreguemines (Moselle) le 13 mai. D'après la police, il encourt dix ans de prison pour délit douanier de première classe, et trois ans dans le cadre de la détention d'armes
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/29/97001-20130129FILWWW00653-40-armes-de-guerre-saisies-en-moselle.php
Ils dépouillaient les dames âgées
Leurs victimes étaient âgées de 61 à 80 ans, uniquement des femmes choisies pour leurs cheveux blancs ou leurs pas hésitants, des personnes en tout cas considérées comme vulnérables par la justice pour deux d'entre elles.
À Château-Thierry, elles ont toutes croisé le chemin de quatre jeunes Castels, deux majeurs et deux mineurs. L'octogénaire a même été dépouillée deux fois, à dix jours d'intervalle, pas la même équipe de voleurs à l'arraché.
C'est dans la foulée du quatrième fait commis près de l'hôtel de ville de Château-Thierry que les deux majeurs ont été interpellés par les services de police. L'un des mineurs l'a été peu après, le second était en garde à vue hier.
Aucun remords
Les deux majeurs, âgés de 19 et 20 ans, ont été jugés hier devant le tribunal correctionnel selon la procédure de comparution immédiate. Ils y ont ainsi fait face à l'une de leurs victimes, la moins âgée. Face aux magistrats, cette dame de 61 ans qui continue de travailler pour gagner un peu plus de 800 euros a exprimé sa « peur que cela se reproduise ». Elle, pourtant, qui avouait « ne pas être une personne qui se sent en insécurité » mais faire toujours preuve de « compréhension » vis-à-vis de tels agissements. À la barre, cependant, elle jugeait hier qu'« il y avait quand même une limite à tout ».
De la part de l'auteur principal, elle aura en vain attendu l'amorce d'excuses. Pour la partie civile, Me Laurent Landry, c'est qu'un « monde » sépare cette victime et les prévenus : une vie de labeur depuis l'âge de 16 ans pour elle, l'argent facile pour ses voleurs.
Le procureur de la République, Jean-Baptiste Bladier, s'inquiétait d'ailleurs que les deux auteurs « ne soient pas très perturbés par ce qui leur arrive » et aient agi à partir de ce « mythe » qui veut que les personnes âgées soient forcément argentées.
Pointant leur « lâcheté », le ministère public estimait nécessaire de leur mettre « un peu de plomb dans la tête » en prononçant une peine mixte avec une part de prison ferme : 12 mois, dont 8 à 9 mois avec sursis.
Trois mois ferme
Eu égard à leur jeune âge et l'absence de condamnation en correctionnelle, leur avocat, Me Étienne Delpierre, invitait, lui, les juges à leur « accorder la chance de ne pas passer par la case prison » : « Ils ont besoin d'un accompagnement, d'une aide. Si on les envoie en prison alors que c'est la première fois qu'ils comparaissent, c'est à désespérer. »
Le tribunal les a néanmoins condamnés à 12 mois d'emprisonnement, dont 9 mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant 18 mois, avec obligation de travail, d'indemniser les victimes et interdiction de rentrer en contact entre eux. Il n'a en revanche pas délivré de mandat de dépôt comme requis par le procureur.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/ils-depouillaient-les-dames-agees
À Château-Thierry, elles ont toutes croisé le chemin de quatre jeunes Castels, deux majeurs et deux mineurs. L'octogénaire a même été dépouillée deux fois, à dix jours d'intervalle, pas la même équipe de voleurs à l'arraché.
C'est dans la foulée du quatrième fait commis près de l'hôtel de ville de Château-Thierry que les deux majeurs ont été interpellés par les services de police. L'un des mineurs l'a été peu après, le second était en garde à vue hier.
Aucun remords
Les deux majeurs, âgés de 19 et 20 ans, ont été jugés hier devant le tribunal correctionnel selon la procédure de comparution immédiate. Ils y ont ainsi fait face à l'une de leurs victimes, la moins âgée. Face aux magistrats, cette dame de 61 ans qui continue de travailler pour gagner un peu plus de 800 euros a exprimé sa « peur que cela se reproduise ». Elle, pourtant, qui avouait « ne pas être une personne qui se sent en insécurité » mais faire toujours preuve de « compréhension » vis-à-vis de tels agissements. À la barre, cependant, elle jugeait hier qu'« il y avait quand même une limite à tout ».
De la part de l'auteur principal, elle aura en vain attendu l'amorce d'excuses. Pour la partie civile, Me Laurent Landry, c'est qu'un « monde » sépare cette victime et les prévenus : une vie de labeur depuis l'âge de 16 ans pour elle, l'argent facile pour ses voleurs.
Le procureur de la République, Jean-Baptiste Bladier, s'inquiétait d'ailleurs que les deux auteurs « ne soient pas très perturbés par ce qui leur arrive » et aient agi à partir de ce « mythe » qui veut que les personnes âgées soient forcément argentées.
Pointant leur « lâcheté », le ministère public estimait nécessaire de leur mettre « un peu de plomb dans la tête » en prononçant une peine mixte avec une part de prison ferme : 12 mois, dont 8 à 9 mois avec sursis.
Trois mois ferme
Eu égard à leur jeune âge et l'absence de condamnation en correctionnelle, leur avocat, Me Étienne Delpierre, invitait, lui, les juges à leur « accorder la chance de ne pas passer par la case prison » : « Ils ont besoin d'un accompagnement, d'une aide. Si on les envoie en prison alors que c'est la première fois qu'ils comparaissent, c'est à désespérer. »
Le tribunal les a néanmoins condamnés à 12 mois d'emprisonnement, dont 9 mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant 18 mois, avec obligation de travail, d'indemniser les victimes et interdiction de rentrer en contact entre eux. Il n'a en revanche pas délivré de mandat de dépôt comme requis par le procureur.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/ils-depouillaient-les-dames-agees
Le corps d'une femme repêché ce matin à Béthune
Les secours ont été alertés vers 8 h 30, ce mercredi matin. Un corps flottait à la surface de l'eau, dans un bras du canal, rue du Quai-de-Marles.
Les pompiers ont mis à l'eau une embarcation au port fluvial et ont sorti de l'eau le corps d'une femme, coincé dans les branchages. A priori âgée de 70 ans, cette personnes pourrait être une femme que les policiers ont recherché durant la nuit, avec notamment le concours d'une brigade cynophile des pompiers. Présents sur place, les policiers mènent actuellement des investigations.
http://www.lavoixdunord.fr/region/le-corps-d-une-femme-repeche-ce-matin-a-bethune-ia30b0n992322
Les pompiers ont mis à l'eau une embarcation au port fluvial et ont sorti de l'eau le corps d'une femme, coincé dans les branchages. A priori âgée de 70 ans, cette personnes pourrait être une femme que les policiers ont recherché durant la nuit, avec notamment le concours d'une brigade cynophile des pompiers. Présents sur place, les policiers mènent actuellement des investigations.
http://www.lavoixdunord.fr/region/le-corps-d-une-femme-repeche-ce-matin-a-bethune-ia30b0n992322
Castelnaudary. La balle du chasseur finit dans le salon de la ferme
Il était 10 h 20, ce dimanche matin, quand les de Kérimel ont entendu un fruit épouvantable venant de leur salon. Le couple était dans la cuisine, à côté. Ils se précipitent. «Une balle avait traversé la vitre. Il y avait, dans la baie, un trou de la taille d'une assiette à dessert», explique Thierry de Kerimel, le maire de Mayreville, qui demeure au lieu dit «Bellevue». Quant à la balle, aplatie par l'impact, c'est au pied du radiateur, sous la fenêtre que les gendarmes de Salles-sur-l'Hers, alertés, la retrouveront. «Hier, c'était le dernier jour de chasse avant la fermeture. Il y avait des chasseurs partout. C'est normal, tout le monde voulait en profiter», explique M. de Kérimel. Il a pour habitude d'accepter sur ses terres, pour chasser, les gens de la commune qui en font la demande. «Du moment que je suis averti, pas de souci», explique-t-il. «Justement, samedi, un voisin m'avait prévenu», relate M. de Kérimel. «Rétrospectivement, j'en ai froid dans le dos», confie sa belle-mère, Françoise Moncorgé, remontée. «Je viens de Lorraine, une région où la chasse est très réglementée. Ici, on tire sur tout ce qui bouge. Là, rien ne bougeait pourtant… La balle a, en effet, traversé la vitre à 1,65 m du sol. «Si quelqu'un avait été là, il l'aurait pris en pleine tête. Je ne sais pas si c'était de nature à le foudroyer mais ce qui est sûr, c'est que cela aurait pu être très grave. J'ai des enfants, des petits-enfants, des animaux… Un chasseur devrait toujours penser à ce qui risque d'arriver quand il tire», relève son gendre.
Les gendarmes de Salles-sur-l'Hers ont procédé aux prélèvements, «embarqué» la pièce à conviction et ouvert une enquête. Trouveront-ils le propriétaire de la balle perdue ?
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/29/1547145-castelnaudary-la-balle-finit-dans-le-salon-de-la-ferme.html
Les gendarmes de Salles-sur-l'Hers ont procédé aux prélèvements, «embarqué» la pièce à conviction et ouvert une enquête. Trouveront-ils le propriétaire de la balle perdue ?
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/29/1547145-castelnaudary-la-balle-finit-dans-le-salon-de-la-ferme.html
Affaire du crâne. Trois Morbihannais devant les assises
Un dealer de la région parisienne avait disparu en 2008. Son crâne puis son corps avaient été retrouvés des mois plus tard. Poursuivis pour meurtre ou complicité, trois hommes sont renvoyés devant la cour d’assises.
Trois balles dans le crâne
Un Guidélois de 29 ans avait contracté une dette envers un dealer de la région parisienne. Ce dernier était venu récupérer son dû au printemps 2008. Mais n’a jamais réapparu vivant.
C’est tout d’abord son crâne, perforé en trois endroits, qui a été découvert dans les marais de Locmiquélic puis son corps, sur une friche industrielle de Lanester. Entre-temps, trois hommes avaient été interpellés, mis en examen et écroués.
Meurtre ou complicité
Tous trois nient leur implication dans la mort du dealer. Parallèlement, la recherche d’éventuels complices mais aussi de l’arme se sont avérées vaines à ce jour.
Pour autant, la juge d’instruction lorientaise vient de rendre son ordonnance de mise en accusation devant la cour d’assises. Elle poursuit le Guidélois de 29 ans pour meurtre, un Quimperlois de 32 ans et un Lorientais du même âge pour complicité de meurtre.
Procès fin 2013 ?
Le premier a fait appel de l’ordonnance de la juge d’instruction. Cela pourrait repousser la date du procès devant la cour d’assises du Morbihan, vraisemblablement au second semestre 2013.
Piratage de distributeurs de billets : la police de Nancy tire la sonnette d'alarme
Les piratages de
distributeurs de billets sont de plus en plus fréquents et les méthodes
utilisées toujours plus sophistiquées. La PJ de Nancy appelle à la vigilance.
Source sur TF1 News : Piratage de distributeurs de billets : la police de Nancy tire la sonnette d'alarme
La police judiciaire de Nancy a mis en garde ce lundi les
utilisateurs de cartes bancaires après la mise en examen de quatre personnes,
suspectées d'avoir piraté des distributeurs automatiques de billets (DAB) la
semaine dernière. Deux des quatre suspects, âgés de 20 à 30 ans, ont été
interpellés en flagrant délit jeudi, alors qu'ils s'apprêtaient à poser un
"skimmer" sur un DAB du centre-ville de Nancy.
Ce dispositif, apposé à la fente dans laquelle les cartes
bancaires sont introduites dans l'appareil, permet de copier la bande magnétique
de la carte, puis de fabriquer un double de cette carte. Une mini-caméra,
installée près du clavier, permet par ailleurs de relever le code secret de
l'utilisateur.
Un dispositif presque impossible à détecter
Dans "le grand Est, nous avons procédé à une quarantaine
d'interpellations depuis un an. C'est en pleine expansion, et nous sommes face à
des réseaux structurés, avec un haut niveau de technologie", a affirmé le
directeur du SRPJ de Nancy, Alain Couic. "C'est quasiment impossible pour un
client de repérer un skimmer, c'est presque invisible", a-t-il indiqué.
Selon les policiers, les deux individus interpellés avaient
déjà posé un dispositif de piratage la veille dans la banlieue de Nancy, mais
leur comportement suspect avait alerté un agent de sécurité. Les deux autres mis
en examen ont été appréhendés dans les environs de Metz, où du matériel
informatique et "un kit de pose de skimmer" ont été saisis, a précisé le
commissaire de police.
Les quatre pirates présumés, de nationalité bulgare, n'ont pas
reconnu les faits pendant leur garde à vue. Ils ont été placés en détention
provisoire, après leur mise en examen pour tentative d'escroquerie en bande
organisée et détention de matériel permettant le piratage. "Ils opéraient au
moins depuis le début de la semaine. Pour l'instant, on n'a pas encore de retour
sur le nombre de victimes", a expliqué le directeur du SRPJ. Selon lui, les
suspects appartiennent à "une organisation mafieuse, internationale, avec une
véritable division du travail structurée".
Source sur TF1 News : Piratage de distributeurs de billets : la police de Nancy tire la sonnette d'alarme
Automobiliste tué par une balle perdue : l'accident de chasse privilégié
Des circonstances "invraisemblables", selon les chasseurs : un automobiliste qui roulait sur une départementale de l'Oise est mort dimanche après avoir reçu une balle en pleine tête et les gendarmes privilégient l'hypothèse de l'accident de chasse.
L'enquête "d'assez grande ampleur" s'annonce compliquée puisque la balle n'a pas été retrouvée et que de nombreux chasseurs étaient sur le terrain au moment des faits. De nombreuses vérifications restent d'ailleurs à effectuer, en attendant les résultats de l'autopsie.
La balle qui a atteint l'automobiliste en pleine tête sur la D932 à hauteur de Chamant aurait suivi une trajectoire "invraisemblable", si l'accident de chasse était confirmée, selon Pierre de Boisguilbert, porte-parole de la Fédération nationale des chasseurs. "L'homme qui a tiré est un chasseur confirmé. Il a touché un sanglier à la tête du haut d'un mirador le dos à la route, à plus de 150 mètres de distance et la balle aurait ricoché... ça parait invraisemblable", dit-il. Des spécialistes de la balistique devaient se rendre sur place pour étudier les trajectoires.
"Si cela était avéré que cela vienne de ce tir, la balle aurait fait un angle de 90 degrés pour revenir sur la route. Cet angle, en terme de probabilité, c'est quasiment impossible que ça se produise", a observé Guy Harlé d'Ophove, président de la fédération des chasseurs de l'Oise.
"On attend les résultats de l'autopsie et la gendarmerie étudie s'il n'y avait pas un autre tireur présent qui ne faisait pas partie du groupe de chasseurs", a encore indiqué M. de Boisguilbert.
L'Association de protection des animaux sauvages (Aspas) a déjà annoncé à l'AFP son intention de porter plainte au tribunal de grande instance de Paris contre trois ministres de l'Ecologie, l'actuelle Delphine Batho, et ses prédécesseurs Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Louis Borloo. L'association dénonce le fait qu'aucun texte réglementaire en France n'encadre la sécurité liée à la chasse.
Trois personnes qui ne sont pas des chasseurs ont été tuées depuis l'ouverture de la saison : un enfant de 9 ans, un vigneron et l'automobiliste.
http://www.sudouest.fr/2013/01/28/automobiliste-tue-par-une-balle-perdue-l-accident-de-chasse-privilegie-949144-4739.php
L'enquête "d'assez grande ampleur" s'annonce compliquée puisque la balle n'a pas été retrouvée et que de nombreux chasseurs étaient sur le terrain au moment des faits. De nombreuses vérifications restent d'ailleurs à effectuer, en attendant les résultats de l'autopsie.
La balle qui a atteint l'automobiliste en pleine tête sur la D932 à hauteur de Chamant aurait suivi une trajectoire "invraisemblable", si l'accident de chasse était confirmée, selon Pierre de Boisguilbert, porte-parole de la Fédération nationale des chasseurs. "L'homme qui a tiré est un chasseur confirmé. Il a touché un sanglier à la tête du haut d'un mirador le dos à la route, à plus de 150 mètres de distance et la balle aurait ricoché... ça parait invraisemblable", dit-il. Des spécialistes de la balistique devaient se rendre sur place pour étudier les trajectoires.
"Si cela était avéré que cela vienne de ce tir, la balle aurait fait un angle de 90 degrés pour revenir sur la route. Cet angle, en terme de probabilité, c'est quasiment impossible que ça se produise", a observé Guy Harlé d'Ophove, président de la fédération des chasseurs de l'Oise.
"On attend les résultats de l'autopsie et la gendarmerie étudie s'il n'y avait pas un autre tireur présent qui ne faisait pas partie du groupe de chasseurs", a encore indiqué M. de Boisguilbert.
L'Association de protection des animaux sauvages (Aspas) a déjà annoncé à l'AFP son intention de porter plainte au tribunal de grande instance de Paris contre trois ministres de l'Ecologie, l'actuelle Delphine Batho, et ses prédécesseurs Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Louis Borloo. L'association dénonce le fait qu'aucun texte réglementaire en France n'encadre la sécurité liée à la chasse.
Trois personnes qui ne sont pas des chasseurs ont été tuées depuis l'ouverture de la saison : un enfant de 9 ans, un vigneron et l'automobiliste.
http://www.sudouest.fr/2013/01/28/automobiliste-tue-par-une-balle-perdue-l-accident-de-chasse-privilegie-949144-4739.php
lundi 28 janvier 2013
Nord : un employé de mairie, soupçonné de trafic de drogue
Un employé de la mairie de Leers (Nord), situé non loin de Roubaix, vient d’être mis en examen avant d’être placé en détention provisoire. L’homme, âgé de 34 ans est soupçonné de s’être livré à un important trafic de drogue pendant plusieurs années. A son domicile, les policiers ont saisi 100 g d’herbe de cannabis ainsi qu’une liste de clients et 8 000 € en argent liquide. Au cours de leurs investigations, les enquêteurs ont également découvert que l’employé de mairie était propriétaire de deux maisons à Leers et Mons-en-Baroeul, d’une valeur totale de 290 000 €. Près de 100 000 € ont également étaient bloqués sur ses comptes.En garde à vue, le principal suspect a reconnu se livrer au trafic de cocaïne et de cannabis, depuis 2008, à Villeneuve d’Ascq et dans des discothèques de Lille selon une source proche de l’affaire. Il a également indiqué founir en stupéfiants une soixantaine de clients réguliers.
http://www.leparisien.fr/lille-59000/nord-un-employe-de-mairie-soupconne-de-trafic-de-drogue-28-01-2013-2519765.php
http://www.leparisien.fr/lille-59000/nord-un-employe-de-mairie-soupconne-de-trafic-de-drogue-28-01-2013-2519765.php
L'incendiaire de la casse automobile n'avait que 14 ans
Un soir de mars 2012, une bouteille incendiaire jetée par dessus le mur d'une casse auto avait détruit soixante voitures. La police vient d'identifier l'auteur.
SOIXANTE véhicules détruits, 57 000 € de dégâts, une ligne à haute tension menacée par les flammes… Dans la soirée du 22 mars 2012, un incendie particulièrement violent a touché la casse automobile Auto Pièces, route de Witry à Reims.
Le feu s'est déclaré vers 20 h 15, alors que l'entreprise avait fermé ses portes deux heures plus tôt. Parti du fond de la cour, contre le bardage donnant allée Paul-Halary, il a eu le temps de parcourir 200 m2, détruisant les 60 voitures entassées les unes contre les autres.
Une centaine de véhicules supplémentaires se trouvaient sous la menace de l'incendie, mais les pompiers ont réussi à le contenir au prix de cinq lances mises en manœuvre. Il y avait double urgence à l'éteindre car les flammes montaient dangereusement vers les câbles d'une ligne à haute tension.
Un doigt en l'air
« Toutes les voitures qui ont brûlé sont des épaves en attente de démontage », expliquait le gérant la nuit des faits. « Nous vendons les pièces récupérables, le reste est envoyé à la destruction. Vu l'endroit où ça a pris, je pense à un acte criminel. C'est juste derrière le bardage, à portée d'un cocktail Molotov qu'on balance par-dessus. En plus, il faut savoir que dès la réception d'une voiture, nous démontons la batterie ou en retirons les cosses pour éviter tout départ de feu accidentel. »
Les constatations policières ont confirmé les soupçons du gérant. C'est bien une bouteille incendiaire, lancée par-dessus le mur haut de quatre mètres, qui avait déclenché le sinistre.
A la recherche des auteurs, le « groupe spécialisé en investigations sur les bandes » de la sûreté départementale de Reims a recueilli un témoignage plutôt intéressant. Le matin des faits, quelqu'un avait vu deux gamins discuter derrière la casse auto, à l'endroit d'où fut jetée la bouteille incendiaire. Et l'un d'eux montrait du doigt le haut du bardage…
Aucune explication
Les deux jeunes ont pu être identifiés. Deux frères du voisinage alors âgés de 12 et 14 ans. A plusieurs reprises, les policiers ont demandé à leurs parents de se présenter avec eux au commissariat. Toutes les convocations sont restées sans suite.
Jeudi matin, lassés de ne rien voir venir, les enquêteurs ont fini par débarquer au domicile familial pour interpeller les deux frères. L'aîné est alors passé aux aveux en dédouanant le cadet qui n'aurait fait que l'accompagner lors du repérage.
Pourquoi a-t-il balancé par-dessus le mur une canette en verre remplie d'essence et munie d'une mèche ? La réponse se fait toujours attendre : il n'a fourni aucune explication.
Malgré son jeune âge, l'incendiaire est déjà bien connu des services de police pour de multiples affaires en tout genre. Il a été présenté au juge des enfants, mis en examen, placé sous contrôle judiciaire et envoyé loin de Reims, dans un centre éducatif fermé.
Deux mois avant l'incendie du 22 mars, le 6 janvier à 3 heures du matin, une trentaine d'épaves avaient brûlé de façon identique, dans le même coin de la cour. Sur ce coup-là, l'ado a déclaré n'y être pour rien. Les policiers n'ont pu démontrer le contraire.
Cet incendie, qui était le premier subi par la casse auto depuis son installation route de Witry il y a 25 ans, reste à élucider.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/lincendiaire-de-la-casse-automobile-navait-que-14-ans
SOIXANTE véhicules détruits, 57 000 € de dégâts, une ligne à haute tension menacée par les flammes… Dans la soirée du 22 mars 2012, un incendie particulièrement violent a touché la casse automobile Auto Pièces, route de Witry à Reims.
Le feu s'est déclaré vers 20 h 15, alors que l'entreprise avait fermé ses portes deux heures plus tôt. Parti du fond de la cour, contre le bardage donnant allée Paul-Halary, il a eu le temps de parcourir 200 m2, détruisant les 60 voitures entassées les unes contre les autres.
Une centaine de véhicules supplémentaires se trouvaient sous la menace de l'incendie, mais les pompiers ont réussi à le contenir au prix de cinq lances mises en manœuvre. Il y avait double urgence à l'éteindre car les flammes montaient dangereusement vers les câbles d'une ligne à haute tension.
Un doigt en l'air
« Toutes les voitures qui ont brûlé sont des épaves en attente de démontage », expliquait le gérant la nuit des faits. « Nous vendons les pièces récupérables, le reste est envoyé à la destruction. Vu l'endroit où ça a pris, je pense à un acte criminel. C'est juste derrière le bardage, à portée d'un cocktail Molotov qu'on balance par-dessus. En plus, il faut savoir que dès la réception d'une voiture, nous démontons la batterie ou en retirons les cosses pour éviter tout départ de feu accidentel. »
Les constatations policières ont confirmé les soupçons du gérant. C'est bien une bouteille incendiaire, lancée par-dessus le mur haut de quatre mètres, qui avait déclenché le sinistre.
A la recherche des auteurs, le « groupe spécialisé en investigations sur les bandes » de la sûreté départementale de Reims a recueilli un témoignage plutôt intéressant. Le matin des faits, quelqu'un avait vu deux gamins discuter derrière la casse auto, à l'endroit d'où fut jetée la bouteille incendiaire. Et l'un d'eux montrait du doigt le haut du bardage…
Aucune explication
Les deux jeunes ont pu être identifiés. Deux frères du voisinage alors âgés de 12 et 14 ans. A plusieurs reprises, les policiers ont demandé à leurs parents de se présenter avec eux au commissariat. Toutes les convocations sont restées sans suite.
Jeudi matin, lassés de ne rien voir venir, les enquêteurs ont fini par débarquer au domicile familial pour interpeller les deux frères. L'aîné est alors passé aux aveux en dédouanant le cadet qui n'aurait fait que l'accompagner lors du repérage.
Pourquoi a-t-il balancé par-dessus le mur une canette en verre remplie d'essence et munie d'une mèche ? La réponse se fait toujours attendre : il n'a fourni aucune explication.
Malgré son jeune âge, l'incendiaire est déjà bien connu des services de police pour de multiples affaires en tout genre. Il a été présenté au juge des enfants, mis en examen, placé sous contrôle judiciaire et envoyé loin de Reims, dans un centre éducatif fermé.
Deux mois avant l'incendie du 22 mars, le 6 janvier à 3 heures du matin, une trentaine d'épaves avaient brûlé de façon identique, dans le même coin de la cour. Sur ce coup-là, l'ado a déclaré n'y être pour rien. Les policiers n'ont pu démontrer le contraire.
Cet incendie, qui était le premier subi par la casse auto depuis son installation route de Witry il y a 25 ans, reste à élucider.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/lincendiaire-de-la-casse-automobile-navait-que-14-ans
«Paulette», le magazine féminin 100% féminin, bientôt en kiosque
Dans la cour des grands. Le magazine féminin 100% participatif Paulette sortira en kiosque ce vendredi 1er février, grâce à une levée de fonds réussie sur MyMajorCompany.
Jusqu’à présent, le magazine féminin n’était disponible qu’en vente par correspondance et distribué dans une cinquantaine de concept-stores en France. Pour être présent en kiosque, Paulette a fait appel à la générosité de sa communauté (28.000 fans Facebook, 12.500 followers sur Twitter et 180.000 visiteurs uniques par mois) et lancé une levée de fonds sur MyMajorCompany. La communauté du magazine est également associée à la création du contenu du féminin (écriture, dessin, photo, etc.). Le magazine a ainsi récolté 25.000 euros, qui ont permis le tirage de 25.000 numéros. Rendez-vous donc vendredi dans la plupart des kiosque en France.
http://www.20minutes.fr/ledirect/1088827/paulette-magazine-feminin-100-feminin-bientot-kiosque
Jusqu’à présent, le magazine féminin n’était disponible qu’en vente par correspondance et distribué dans une cinquantaine de concept-stores en France. Pour être présent en kiosque, Paulette a fait appel à la générosité de sa communauté (28.000 fans Facebook, 12.500 followers sur Twitter et 180.000 visiteurs uniques par mois) et lancé une levée de fonds sur MyMajorCompany. La communauté du magazine est également associée à la création du contenu du féminin (écriture, dessin, photo, etc.). Le magazine a ainsi récolté 25.000 euros, qui ont permis le tirage de 25.000 numéros. Rendez-vous donc vendredi dans la plupart des kiosque en France.
http://www.20minutes.fr/ledirect/1088827/paulette-magazine-feminin-100-feminin-bientot-kiosque
Plaisance-du-Touch. L'explosion d'un appartement liée à une expérience chimique
L'explosion d'un appartement à Plaisance-du-Touch, le 9 janvier, est le résultat d'une malheureuse expérience chimique menée par l'occupant des lieux, toujours grièvement blessé.
La manipulation de produits chimiques peut avoir de graves conséquences. Lionel, ce jeune homme de 19 ans, grièvement blessé au visage et aux bras, vient malheureusement de l'apprendre à ses dépens.
Deux semaines après l'explosion de son appartement, avenue des Vitarelles, dans un quartier résidentiel, à Plaisance-du-Touch, on en sait un peu plus sur les raisons de la violente déflagration survenue dans la nuit du 8 au 9 janvier. Passionné de chimie, le jeune homme manipulait des produits, dont un vraisemblablement, à base d'acétone, lorsqu'un grand boom a retenti. Selon certaines circonstances, ce solvant peut être à l'origine de formation de gaz combustible.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/28/1546418-plaisance-du-touch-l-explosion-liee-a-une-experience-chimique.html
La manipulation de produits chimiques peut avoir de graves conséquences. Lionel, ce jeune homme de 19 ans, grièvement blessé au visage et aux bras, vient malheureusement de l'apprendre à ses dépens.
Deux semaines après l'explosion de son appartement, avenue des Vitarelles, dans un quartier résidentiel, à Plaisance-du-Touch, on en sait un peu plus sur les raisons de la violente déflagration survenue dans la nuit du 8 au 9 janvier. Passionné de chimie, le jeune homme manipulait des produits, dont un vraisemblablement, à base d'acétone, lorsqu'un grand boom a retenti. Selon certaines circonstances, ce solvant peut être à l'origine de formation de gaz combustible.
Humidité et friction
Manipulé avec d'autres produits, le cocktail peut s'avérer extrêmement dangereux. Grièvement blessé au visage et aux mains, le jeune homme est toujours hospitalisé. L'enquête des gendarmes de la section de recherches et de la brigade de recherches de Toulouse-Mirail a écarté toute entreprise à visée terroriste. Le jeune homme, apprenti chimiste, n'a sans doute pas mesuré la dangerosité des produits qu'il avait entre les mains. «Il y a toute sorte de précautions à prendre dès lors que l'on manipule de tels produits, prévient un expert toulousain en incendie et pyrotechnie. L'humidité ou la friction entre certains produits incompatibles peuvent jouer les détonateurs.» Une mise en garde d'autant plus précieuse que bon nombre de solvants ou d'oxydants sont parfois en vente libre en rayon ou sur internet. Gare aux achats en ligne car les sites regorgent d'une littérature trop approximative. La pyrotechnie, où l'art de maîtriser le feu, ne s'improvise pas. L'expert ajoute : «C'est très facile de faire brûler ou exploser des produits mais le but est de le faire au bon moment. Et cela nécessite une parfaite maîtrise des mélanges.»http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/28/1546418-plaisance-du-touch-l-explosion-liee-a-une-experience-chimique.html
Assises de l'Hérault : trahis par une puce après un "cyber guet-apens"
Un acheteur de voiture avait été tabassé et dépouillé à Vias (Hérault). Il avait répondu, sur le net, à une petite annonce pour acheter une BMW, négociée 14 500 € mais en liquide. Il est agressé par trois individus encagoulés qui le frappent et le dépouillent de l’enveloppe contenant l’argent.
Il raconte alors son calvaire aux gendarmes. Sur leboncoin.fr, il a répondu à une petite annonce pour acheter une BMW, négociée 14 500 € mais en liquide. Il a pris le train jusqu’à Agde, où le vendeur, absent, a fini par lui envoyer son beau-fils, qui le prend en charge dans une Alfa Roméo, jusqu’à un chemin de terre où il lui affirme s’être trompé de route...
Un numéro de téléphone désactivé
Aussitôt, il est aspergé de lacrymogène et trois individus encagoulés l’extirpent de la voiture et lui mettent des coups de batte de base-ball et de matraque électrique avant de le dépouiller de l’enveloppe contenant l’argent et de sa paire de chaussures. "Au départ, on a une Alfa Roméo, un téléphone et une annonce sur le boncoin.fr", résume le directeur d’enquête à la barre. Et pendant de longs mois, la BR va exploiter ces maigres pistes : "On n’a pas d’ADN, pas d’empreintes, pas de témoin, pas de vidéosurveillance".
"S’il ne parle pas, on n’a rien contre eux"
Le directeur d’enquête
La piste de l’Alfa Roméo ne donne rien : il n’y en a qu’une dans l’Hérault correspondant à la description et elle appartient à un septuagénaire. Le numéro de téléphone a été désactivé et la petite annonce a été passée d’une téléboutique à Narbonne... À cela s’ajoute un micmac avec des Lyonnais qui oriente les gendarmes vers une mauvaise piste.
Ces derniers étaient intéressés par l’achat d’une Mercedes proposée par les accusés à 18 000 € en liquide. Mais ils sont venus à Béziers à deux, ce qui a découragé les malfaiteurs. Furieux de s’être déplacés pour rien, Les Lyonnais se sont vengés en passant une autre annonce, bidon, avec le numéro utilisé par les mis en cause !
La piste est mince
"On a désespérément cherché et puis on a demandé aux opérateurs combien de puces avaient été intégrées dans un des boîtiers de téléphone", poursuit l’adjudant Christophe Merlevede. Ils vont alors tomber sur une femme, l’épouse de Rahdi Mouhamoussi, un des accusés, qui demeure à Béziers et qui a été inquiétée dans un trafic de voitures et plus particulièrement d’Alfa Roméo... Elle a inséré sa puce dans le téléphone en avril 2009. La piste est mince, ils l’exploitent à fond. "On a travaillé sur cette famille, mais il n’y avait pas grand-chose".
La paire de sept
En novembre 2010, deux ans après l’agression, en concertation avec le juge d’instruction, les gendarmes lancent un vaste coup de filet : les Lyonnais sont interpellés tout comme la famille biterroise. Un coup de poker payant : les Rhodaniens sont mis hors de cause mais Mouhamoussi, inquiet de voir son épouse en garde à vue, passe à table en fin d’interrogatoire. Les trois autres comparses sont interpellés dans la foulée. "Grâce à un numéro de série de téléphone, on tombe sur la puce insérée par l’épouse de l’un d’eux, mais si son mari ne parle pas, on n’a rien contre eux", reconnaît le limier de la BR. Dont la paire de sept a remporté la partie.
http://www.midilibre.fr/2013/01/27/guet-apens-sur-le-net-trahis-par-une-puce,633947.php
"Avec une paire de sept." La formule de l’adjudant Merlevede en dit long sur la difficile enquête qui a permis à la brigade de recherches de Pézenas de confondre les quatre auteurs d’un vol avec violence, condamnés par la cour d’assises vendredi soir . Au départ pourtant, elle ne disposait que de peu d’éléments. Le 22 novembre 2008, un jeune homme, originaire du Calvados, arrive hagard et pieds nus à la station Total de Vias. "Il était en sang, il sentait le gaz lacrymogène et il était dépourvu de chaussures".
Pris en charge dans une Alfa RoméoIl raconte alors son calvaire aux gendarmes. Sur leboncoin.fr, il a répondu à une petite annonce pour acheter une BMW, négociée 14 500 € mais en liquide. Il a pris le train jusqu’à Agde, où le vendeur, absent, a fini par lui envoyer son beau-fils, qui le prend en charge dans une Alfa Roméo, jusqu’à un chemin de terre où il lui affirme s’être trompé de route...
Un numéro de téléphone désactivé
Aussitôt, il est aspergé de lacrymogène et trois individus encagoulés l’extirpent de la voiture et lui mettent des coups de batte de base-ball et de matraque électrique avant de le dépouiller de l’enveloppe contenant l’argent et de sa paire de chaussures. "Au départ, on a une Alfa Roméo, un téléphone et une annonce sur le boncoin.fr", résume le directeur d’enquête à la barre. Et pendant de longs mois, la BR va exploiter ces maigres pistes : "On n’a pas d’ADN, pas d’empreintes, pas de témoin, pas de vidéosurveillance".
"S’il ne parle pas, on n’a rien contre eux"
Le directeur d’enquête
La piste de l’Alfa Roméo ne donne rien : il n’y en a qu’une dans l’Hérault correspondant à la description et elle appartient à un septuagénaire. Le numéro de téléphone a été désactivé et la petite annonce a été passée d’une téléboutique à Narbonne... À cela s’ajoute un micmac avec des Lyonnais qui oriente les gendarmes vers une mauvaise piste.
Ces derniers étaient intéressés par l’achat d’une Mercedes proposée par les accusés à 18 000 € en liquide. Mais ils sont venus à Béziers à deux, ce qui a découragé les malfaiteurs. Furieux de s’être déplacés pour rien, Les Lyonnais se sont vengés en passant une autre annonce, bidon, avec le numéro utilisé par les mis en cause !
La piste est mince
"On a désespérément cherché et puis on a demandé aux opérateurs combien de puces avaient été intégrées dans un des boîtiers de téléphone", poursuit l’adjudant Christophe Merlevede. Ils vont alors tomber sur une femme, l’épouse de Rahdi Mouhamoussi, un des accusés, qui demeure à Béziers et qui a été inquiétée dans un trafic de voitures et plus particulièrement d’Alfa Roméo... Elle a inséré sa puce dans le téléphone en avril 2009. La piste est mince, ils l’exploitent à fond. "On a travaillé sur cette famille, mais il n’y avait pas grand-chose".
La paire de sept
En novembre 2010, deux ans après l’agression, en concertation avec le juge d’instruction, les gendarmes lancent un vaste coup de filet : les Lyonnais sont interpellés tout comme la famille biterroise. Un coup de poker payant : les Rhodaniens sont mis hors de cause mais Mouhamoussi, inquiet de voir son épouse en garde à vue, passe à table en fin d’interrogatoire. Les trois autres comparses sont interpellés dans la foulée. "Grâce à un numéro de série de téléphone, on tombe sur la puce insérée par l’épouse de l’un d’eux, mais si son mari ne parle pas, on n’a rien contre eux", reconnaît le limier de la BR. Dont la paire de sept a remporté la partie.
http://www.midilibre.fr/2013/01/27/guet-apens-sur-le-net-trahis-par-une-puce,633947.php
Quatre mois supplémentaires pour le forcené des Mesneux
Un téléphone portable est interdit en prison. A l'oreille, ou ailleurs. Vincent Holin aura quatre mois supplémentaires de prison ferme pour avoir oublié cette interdiction.
LES MESNEUX (Marne). INCARCÉRÉ depuis son coup de sang aux Mesneux, le 5 avril 2012, Vincent Holin, 22 ans, n'en finit pas de faire parler de lui.
Après avoir joué au forcené et s'être retranché sur le toit de la maison familiale… pour échapper à son interpellation dans le cadre de plusieurs refus d'obtempérer et défauts de permis de conduire, après s'être évadé de la clinique psychiatrique dans laquelle il avait été interné, le jeune Marnais devait répondre mardi dernier d'un recel de portable… en récidive.
Le 19 décembre, lors d'une fouille de sa cellule, les gardiens avaient découvert le téléphone dissimulé dans sa raie des fesses. Un appareil destiné à un co-détenu dont il avait préféré taire le nom par peur des représailles.
Déféré alors devant le tribunal correctionnel de Reims sous le régime de la comparution immédiate, son avocate, Me Quentin, avait demandé un délai pour obtenir une nouvelle expertise psychiatrique. Mardi, elle a dénoncé une expertise « expédiée. Elle ne sert à rien, elle ne fait même aucune allusion à son internement ! L'expert n'a pas rempli sa mission. Il ne connaît même pas la pathologie pour laquelle il a été interné ! On va donc se passer d'expert, mais on ne peut édulcorer les difficultés. Il a des troubles de la personnalité ».
L'avocate a surtout mis en exergue les représailles et les pressions dont était victime Vincent Holin en prison.
A la barre, ce dernier a d'ailleurs insisté. « On m'a forcé à garder le portable pendant la fouille. Je ne voulais pas de problème. J'ai accepté par peur des représailles ».
Il n'en dira pas plus. Et taira une nouvelle fois le nom du destinataire de l'appareil.
Libérable le 21 octobre 2013, Vincent Holin a été condamné à 4 mois de prison ferme avec maintien en détention. En état de récidive, il encourait une peine plancher de deux ans ferme.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/quatre-mois-supplementaires-pour-le-forcene-des-mesneux
LES MESNEUX (Marne). INCARCÉRÉ depuis son coup de sang aux Mesneux, le 5 avril 2012, Vincent Holin, 22 ans, n'en finit pas de faire parler de lui.
Après avoir joué au forcené et s'être retranché sur le toit de la maison familiale… pour échapper à son interpellation dans le cadre de plusieurs refus d'obtempérer et défauts de permis de conduire, après s'être évadé de la clinique psychiatrique dans laquelle il avait été interné, le jeune Marnais devait répondre mardi dernier d'un recel de portable… en récidive.
Le 19 décembre, lors d'une fouille de sa cellule, les gardiens avaient découvert le téléphone dissimulé dans sa raie des fesses. Un appareil destiné à un co-détenu dont il avait préféré taire le nom par peur des représailles.
Déféré alors devant le tribunal correctionnel de Reims sous le régime de la comparution immédiate, son avocate, Me Quentin, avait demandé un délai pour obtenir une nouvelle expertise psychiatrique. Mardi, elle a dénoncé une expertise « expédiée. Elle ne sert à rien, elle ne fait même aucune allusion à son internement ! L'expert n'a pas rempli sa mission. Il ne connaît même pas la pathologie pour laquelle il a été interné ! On va donc se passer d'expert, mais on ne peut édulcorer les difficultés. Il a des troubles de la personnalité ».
L'avocate a surtout mis en exergue les représailles et les pressions dont était victime Vincent Holin en prison.
A la barre, ce dernier a d'ailleurs insisté. « On m'a forcé à garder le portable pendant la fouille. Je ne voulais pas de problème. J'ai accepté par peur des représailles ».
Il n'en dira pas plus. Et taira une nouvelle fois le nom du destinataire de l'appareil.
Libérable le 21 octobre 2013, Vincent Holin a été condamné à 4 mois de prison ferme avec maintien en détention. En état de récidive, il encourait une peine plancher de deux ans ferme.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/quatre-mois-supplementaires-pour-le-forcene-des-mesneux
dimanche 27 janvier 2013
Pas toujours facile de ramasser les poubelles !
Mercredi, vers 9 heures du matin, un camion du SMICTOM d'Auvillers-les-Forges a quitté la route enneigée sur une petite route de la commune des Mazures.
Il a fallu l'intervention d'un engin spécialisé venant de Charleville-Mézières, un tracteur ne suffisant pas, et plusieurs heures, pour le sortir du fossé. Aucun agent n'a été blessé mais quelques dommages sur le véhicule sont à déplorer. Depuis deux semaines, la collecte des ordures ménagères et des sacs de tri est perturbée et il est également difficile d'assurer la sécurité des agents.
Malgré cela et même si certaines tournées ont dû être annulées, tous les efforts sont faits pour assurer le meilleur service possible. Cette situation vient compliquer les premières semaines de changement de système de collecte où les habitants doivent présenter de nouveaux bacs à puce électronique afin de tester la redevance incitative.
« Avec le retour de jours meilleurs, tout devrait rapidement rentrer dans l'ordre. Je remercie les habitants des communes collectées par le Syndicat pour leur patience et leur compréhension » déclare Bernard Gosset, président du SMICTOM.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/pas-toujours-facile-de-ramasser-les-poubelles
Il a fallu l'intervention d'un engin spécialisé venant de Charleville-Mézières, un tracteur ne suffisant pas, et plusieurs heures, pour le sortir du fossé. Aucun agent n'a été blessé mais quelques dommages sur le véhicule sont à déplorer. Depuis deux semaines, la collecte des ordures ménagères et des sacs de tri est perturbée et il est également difficile d'assurer la sécurité des agents.
Malgré cela et même si certaines tournées ont dû être annulées, tous les efforts sont faits pour assurer le meilleur service possible. Cette situation vient compliquer les premières semaines de changement de système de collecte où les habitants doivent présenter de nouveaux bacs à puce électronique afin de tester la redevance incitative.
« Avec le retour de jours meilleurs, tout devrait rapidement rentrer dans l'ordre. Je remercie les habitants des communes collectées par le Syndicat pour leur patience et leur compréhension » déclare Bernard Gosset, président du SMICTOM.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/pas-toujours-facile-de-ramasser-les-poubelles
Deux fillettes s'enfuient d'une maternelle à Grasse, la mère porte plainte
Ce jeudi, deux petites se sont enfuies d’une école maternelle à Grasse. Si elles ont été retrouvées une heure plus tard par une automobiliste, une maman porte plainte contre l’établissement
Elles n’ont pas eu besoin de creuser un tunnel et d’évacuer la terre discrètement dans la cour de récré… Ni même de cisailler une partie du grillage. Jeudi, deux petites filles de 5 ans scolarisées à l’école maternelle Henri-Wallon à Grasse, ont pris la poudre d’escampette. Une école buissonnière précoce qui aurait pu trouver une issue bien plus dramatique. Inès et Manon, hautes comme trois pommes, ont réussi à escalader le portail alors que les autres enfants rentraient en classe vers 13 h 30, trompant ainsi la vigilance des adultes. « Un peu plus tôt, elles ont fait des bêtises à la cantine, rien de dramatique. Je ne remets pas en cause la punition… si elles ont été punies, c’est qu’elles devaient le mériter. C’est pour cela que ma fille n’a pas souhaité rentrer en classe. Mais ce n’est pas normal que des petites filles de 5 ans arrivent à s’enfuir de l’établissement sans que personne ne remarque quoi que ce soit ! », s’insurge la maman d’Inès.
En prenant appui sur un muret, puis sur le grillage, les deux petites grassoises ont réussi à basculer par-dessus le portail. Ce n’est qu’après une heure d’errance, qu’une automobiliste bienveillante recueille les deux fillettes. Elles sont alors à plusieurs centaines de mètres de l’école, au bord d’une route très fréquentée.
La police est aussitôt alertée et une patrouille prend en charge les enfants. Au commissariat de Grasse, la brigade de protection des mineurs (BPM) écoute le témoignage des enfants. Les parents ne tardent pas à être auditionnés. Tout comme la directrice de l’école maternelle Henri-Wallon, la maîtresse et une Atsem (assistante maternelle).
« J’ai dit ce que j’avais à dire à la police »
« Vous savez, si l’histoire se termine bien, on ne peut s’empêcher de penser à ce qu’il aurait pu arriver : un enlèvement, un accident de la route. Horrible. Je ne remercierai jamais assez la personne qui s’est arrêtée pour se soucier de ma fille », confie Alexandra qui a déposé plainte contre l’école. « Si je fais cela, c’est pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus, que ce soit pour ma fille ou pour un autre enfant », insiste-t-elle. Contactée par téléphone, la direction de l’école ne s’est pas attardée sur le sujet : « J’ai dit ce que j’avais à dire à la police », lâchait la directrice très préoccupée par cette histoire.
« Que les enfants tentent de s’échapper, c’est une chose… Ce qui est grave, c’est quand il y a un manque de vigilance flagrant. Nous allons attendre de voir ce qu’il s’est réellement passé. J’ai demandé aux enseignants concernés de me rédiger un rapport. Nous prendrons alors les mesures qui s’imposent », précise de son côté Jean-Pierre Rouby, inspecteur académique de la circonscription de Grasse. « Toujours est-il que deux petites filles ont réussi à escalader un portail fermé. Cela pose la question de la sécurité aux abords des écoles, il appartient donc à la ville d’en assumer aussi la responsabilité », rappelle-t-il.
Hier, la petite Inès n’est pas allée à l’école. « Je n’étais pas très tranquille à l’idée de la laisser à la maternelle », avoue la maman. « L’école ne m’a même pas prévenue de la disparition de ma fille hier (jeudi). Même la police n’était pas au courant. C’est grave ». Lundi, la direction de l’école Henri-Wallon recevra la famille.
http://www.nicematin.com/faits-divers/deux-fillettes-senfuient-dune-maternelle-a-grasse-la-mere-porte-plainte.1125164.html
Elles n’ont pas eu besoin de creuser un tunnel et d’évacuer la terre discrètement dans la cour de récré… Ni même de cisailler une partie du grillage. Jeudi, deux petites filles de 5 ans scolarisées à l’école maternelle Henri-Wallon à Grasse, ont pris la poudre d’escampette. Une école buissonnière précoce qui aurait pu trouver une issue bien plus dramatique. Inès et Manon, hautes comme trois pommes, ont réussi à escalader le portail alors que les autres enfants rentraient en classe vers 13 h 30, trompant ainsi la vigilance des adultes. « Un peu plus tôt, elles ont fait des bêtises à la cantine, rien de dramatique. Je ne remets pas en cause la punition… si elles ont été punies, c’est qu’elles devaient le mériter. C’est pour cela que ma fille n’a pas souhaité rentrer en classe. Mais ce n’est pas normal que des petites filles de 5 ans arrivent à s’enfuir de l’établissement sans que personne ne remarque quoi que ce soit ! », s’insurge la maman d’Inès.
En prenant appui sur un muret, puis sur le grillage, les deux petites grassoises ont réussi à basculer par-dessus le portail. Ce n’est qu’après une heure d’errance, qu’une automobiliste bienveillante recueille les deux fillettes. Elles sont alors à plusieurs centaines de mètres de l’école, au bord d’une route très fréquentée.
La police est aussitôt alertée et une patrouille prend en charge les enfants. Au commissariat de Grasse, la brigade de protection des mineurs (BPM) écoute le témoignage des enfants. Les parents ne tardent pas à être auditionnés. Tout comme la directrice de l’école maternelle Henri-Wallon, la maîtresse et une Atsem (assistante maternelle).
« J’ai dit ce que j’avais à dire à la police »
« Vous savez, si l’histoire se termine bien, on ne peut s’empêcher de penser à ce qu’il aurait pu arriver : un enlèvement, un accident de la route. Horrible. Je ne remercierai jamais assez la personne qui s’est arrêtée pour se soucier de ma fille », confie Alexandra qui a déposé plainte contre l’école. « Si je fais cela, c’est pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus, que ce soit pour ma fille ou pour un autre enfant », insiste-t-elle. Contactée par téléphone, la direction de l’école ne s’est pas attardée sur le sujet : « J’ai dit ce que j’avais à dire à la police », lâchait la directrice très préoccupée par cette histoire.
« Que les enfants tentent de s’échapper, c’est une chose… Ce qui est grave, c’est quand il y a un manque de vigilance flagrant. Nous allons attendre de voir ce qu’il s’est réellement passé. J’ai demandé aux enseignants concernés de me rédiger un rapport. Nous prendrons alors les mesures qui s’imposent », précise de son côté Jean-Pierre Rouby, inspecteur académique de la circonscription de Grasse. « Toujours est-il que deux petites filles ont réussi à escalader un portail fermé. Cela pose la question de la sécurité aux abords des écoles, il appartient donc à la ville d’en assumer aussi la responsabilité », rappelle-t-il.
Hier, la petite Inès n’est pas allée à l’école. « Je n’étais pas très tranquille à l’idée de la laisser à la maternelle », avoue la maman. « L’école ne m’a même pas prévenue de la disparition de ma fille hier (jeudi). Même la police n’était pas au courant. C’est grave ». Lundi, la direction de l’école Henri-Wallon recevra la famille.
http://www.nicematin.com/faits-divers/deux-fillettes-senfuient-dune-maternelle-a-grasse-la-mere-porte-plainte.1125164.html
Béziers : repéré avec une fausse carte de handicapé, il tente d'embrouiller les gendarmes
Stationné sur une place destinée aux handicapés. Le quinquagénaire a apposé sur le pare-brise de son véhicule, une carte de stationnement pour personnes handicapées. Mais la carte intrigue. Le conducteur est alors convoqué à la gendarmerie pour quelques vérifications.
Les faits se passent sur le parking de l’Hyper U, à Sérignan, le jeudi 24 janvier en début d’après-midi. Un homme âgé de 57 ans, Lyonnais d’origine mais domicilié à Béziers, est stationné sur une place destinée aux handicapés. À l’intérieur de sa 406 blanche, apposée sur le pare-brise du véhicule, une carte de stationnement pour personnes handicapées. Mais la carte ne semble pas très nette. Grossièrement imitée, elle intrigue. Le conducteur est alors convoqué à la gendarmerie pour quelques vérifications.
Une fois arrivé devant les forces de l’ordre, tout se complique. Et les personnages de la scène vont révéler... leurs incompétences en matière théâtrale. Le Lyonnais n’arrive pas seul à la gendarmerie, mais accompagné... d’un véritable handicapé, puisque lui, ne l’était pas.
Supercherie et substitution
Comble de l’histoire, il se présente avec une nouvelle carte de handicapé, bien réelle cette fois. Et tente de faire croire aux gendarmes que c’est cette vraie carte qui était apposée sur son pare-brise à Sérignan. Une tentative de supercherie et de substitution à laquelle personne n’a mordu.
Sans perdre trop de temps, les gendarmes arrivent rapidement à lui faire avouer son erreur et l’illégalité de son action. Confondu, il reconnaît alors le faux et l’usage de faux, ainsi que son grossier subterfuge. L’homme remet sans plus attendre la fausse carte de stationnement pour handicapés.
Poursuivi pour faux et usage de faux
Le protagoniste ne devrait pas échapper à sa filouterie mal placée. Il est en effet convoqué dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité devant le procureur, le 1er mars prochain. Il sera poursuivi pour faux et usage de faux sur un document administratif constatant un droit, une identité ou une qualité, accordant une autorisation. Il pourrait être condamné à des travaux d’intérêt général
http://www.midilibre.fr/2013/01/26/bien-valide-il-copie-une-carte-de-handicape,633447.php
Certains individus ont quand même peur de rien. Couplé à cela, qu’ils n’ont aussi aucune honte. Car c’est une scène pour le moins cocasse qu’a vécu la gendarmerie de Béziers, mais qui ne restera pas dans les annales de la décence.
Une carte grossièrement imitéeLes faits se passent sur le parking de l’Hyper U, à Sérignan, le jeudi 24 janvier en début d’après-midi. Un homme âgé de 57 ans, Lyonnais d’origine mais domicilié à Béziers, est stationné sur une place destinée aux handicapés. À l’intérieur de sa 406 blanche, apposée sur le pare-brise du véhicule, une carte de stationnement pour personnes handicapées. Mais la carte ne semble pas très nette. Grossièrement imitée, elle intrigue. Le conducteur est alors convoqué à la gendarmerie pour quelques vérifications.
Une fois arrivé devant les forces de l’ordre, tout se complique. Et les personnages de la scène vont révéler... leurs incompétences en matière théâtrale. Le Lyonnais n’arrive pas seul à la gendarmerie, mais accompagné... d’un véritable handicapé, puisque lui, ne l’était pas.
Supercherie et substitution
Comble de l’histoire, il se présente avec une nouvelle carte de handicapé, bien réelle cette fois. Et tente de faire croire aux gendarmes que c’est cette vraie carte qui était apposée sur son pare-brise à Sérignan. Une tentative de supercherie et de substitution à laquelle personne n’a mordu.
Sans perdre trop de temps, les gendarmes arrivent rapidement à lui faire avouer son erreur et l’illégalité de son action. Confondu, il reconnaît alors le faux et l’usage de faux, ainsi que son grossier subterfuge. L’homme remet sans plus attendre la fausse carte de stationnement pour handicapés.
Poursuivi pour faux et usage de faux
Le protagoniste ne devrait pas échapper à sa filouterie mal placée. Il est en effet convoqué dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité devant le procureur, le 1er mars prochain. Il sera poursuivi pour faux et usage de faux sur un document administratif constatant un droit, une identité ou une qualité, accordant une autorisation. Il pourrait être condamné à des travaux d’intérêt général
http://www.midilibre.fr/2013/01/26/bien-valide-il-copie-une-carte-de-handicape,633447.php
Mérignac (33) : il essaie une moto de cross et part avec
Il ne pensait pas se séparer aussi rapidement de son deux roues. Début janvier, un Mérignacais de 21 ans a mis en vente une moto de cross 80 cm3 non immatriculé.
Un homme s’est montré intéressé. Après prise de rendez-vous téléphonique, acheteur potentiel et veneur se sont retrouvés sur un parking. Mais, profitant d’un essai gratuit, l’« acheteur » en a profité pour prendre la fuite, laissant le propriétaire, pantois, sur le parking.
Après dépôt de plainte, une enquête a été confiée à la brigade de sûreté urbaine de Mérignac. Les enquêteurs ont travaillé sur le numéro de téléphone utilisé pour appeler le propriétaire de la moto.
Le titulaire de la ligne, un Pessacais de 19 ans a donc été identifié. Il est connu des services de police qui disposaient dans leurs fichiers d’une photo qu’ils ont pu présenter à la victime. Celle-ci s’est montrée formelle : il s’agit bien de l’homme rencontré ce jour-là sur le parking et qui est parti au guidon de sa moto.
Interpellé vendredi et placé en garde à vue, le Pessacais n’a pas cessé de nier les faits. La moto n’a pas été retrouvée chez lui. Il est ressorti de garde à vue avec une convocation devant le tribunal correctionnel.
http://www.sudouest.fr/2013/01/26/merignac-33-il-essaie-une-moto-de-cross-et-part-avec-947335-3034.php
Un homme s’est montré intéressé. Après prise de rendez-vous téléphonique, acheteur potentiel et veneur se sont retrouvés sur un parking. Mais, profitant d’un essai gratuit, l’« acheteur » en a profité pour prendre la fuite, laissant le propriétaire, pantois, sur le parking.
Après dépôt de plainte, une enquête a été confiée à la brigade de sûreté urbaine de Mérignac. Les enquêteurs ont travaillé sur le numéro de téléphone utilisé pour appeler le propriétaire de la moto.
Le titulaire de la ligne, un Pessacais de 19 ans a donc été identifié. Il est connu des services de police qui disposaient dans leurs fichiers d’une photo qu’ils ont pu présenter à la victime. Celle-ci s’est montrée formelle : il s’agit bien de l’homme rencontré ce jour-là sur le parking et qui est parti au guidon de sa moto.
Interpellé vendredi et placé en garde à vue, le Pessacais n’a pas cessé de nier les faits. La moto n’a pas été retrouvée chez lui. Il est ressorti de garde à vue avec une convocation devant le tribunal correctionnel.
http://www.sudouest.fr/2013/01/26/merignac-33-il-essaie-une-moto-de-cross-et-part-avec-947335-3034.php
samedi 26 janvier 2013
INFO LE FIGARO - Sept décès en France liés à la pilule Diane 35
Le Figaro s’est procuré un document confidentiel interne de l’Agence du médicament daté du 25 janvier, émanant de la direction de la surveillance. Cette étude concerne Diane 35 (laboratoire Bayer), un traitement contre l’acné en réalité très largement prescrit comme contraceptif. Il en ressort qu’au 21 janvier 2013, 7 cas de décès (toutes causes confondues) ont été enregistrés en France avec Diane 35 dans la base nationale de pharmacovigilance depuis 1987. Il s’agit d’une femme de 18 ans, deux de 24 ans, une de 26 ans, une de 28 ans et deux femmes de 42 ans. Sur ces 7 cas, 6 concernent Diane 35 et 1 cas, une spécialité générique (Holgyeme, laboratoire Effik). L’Agence estime que pour 4 cas sur 7, le médicament est clairement en cause.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/01/26/97002-20130126FILWWW00388-info-le-figaro-sept-deces-en-france-lies-a-la-pilule-diane-35.php
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/01/26/97002-20130126FILWWW00388-info-le-figaro-sept-deces-en-france-lies-a-la-pilule-diane-35.php
Etudiante mortellement fauchée à Montpellier : le chauffard avoue
L'homme suspecté d'avoir renversé juste avant Noël, Charlotte Landais, une étudiante montpelliéraine en pharmacie de 18 ans, est finalement passé aux aveux a annoncé le Midi Libre. Après avoir nié les faits pendant plusieurs semaines, et alors que l'étau se resserrait, il a lui-même demandé à être auditionné par le juge pour avouer
L'accident s'était produit le 22 décembre vers 5 h 45 du matin devant la faculté de pharmacie de Montpellier. L'étudiante, qui sortait de discothèque et qui regagnait la cité U, avait été fauchée et tuée à la sortie de son taxi par une Skoda roulant à au moins 100 km/h, en faisant du «rodéo» sur l'avenue, selon des témoins. Admise dans le coma au CHU, la jeune fille était décédée une heure plus tard.
La voiture retrouvée grâce à un système de vidéosurveillance
La voiture, qui n'était pas déclarée volée, avait été retrouvée dans l'après-midi grâce à un système de vidéosurveillance, sur le parking de la cité ouest de La Pergola, à 2 km des lieux de l'accident, le pare-brise «explosé» et l'avant sérieusement endommagé. Interpellé dans la foulée, son propriétaire, âgé de 33 ans, sans permis de conduire, répétait à l'envi qu'il n'était pas au volant de son véhicule, qu'il avait prêté à quelqu'un pour aller acheter des croissants dans une boulangerie. Il avait refusé de le dénoncer. Une version des faits qu'il avait toujours maintenue depuis, y compris lors de son incarcération à la prison de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault).
Depuis, plusieurs éléments nouveaux ont fait avancer l’enquête. Un second individu qui avait été aperçu au volant de la Skoda par des témoins la nuit du drame, a été interpellé puis placé sous le statut de témoin assisté. Selon Midi Libre, il a reconnu avoir passé la nuit en discothèque avec le principal suspect et avoir, à la sortie, conduit la Skoda jusqu'à son propre domicile. Il a ensuite laissé le propriétaire du véhicule repartir, malgré son taux d'alcoolémie élevé.
Une version qui conforte les résultats de l'enquête, et, dorénavant, les aveux du chauffard. «Ça faisait longtemps qu’il était dans une logique de prise de conscience, j’ai fait une demande d’audition au juge et il a changé de version, il assume», a réagi son avocat cité par Midi Libre.
http://www.leparisien.fr/montpellier-34000/etudiante-mortellement-fauchee-a-montpellier-le-chauffard-avoue-26-01-2013-2514573.php
L'accident s'était produit le 22 décembre vers 5 h 45 du matin devant la faculté de pharmacie de Montpellier. L'étudiante, qui sortait de discothèque et qui regagnait la cité U, avait été fauchée et tuée à la sortie de son taxi par une Skoda roulant à au moins 100 km/h, en faisant du «rodéo» sur l'avenue, selon des témoins. Admise dans le coma au CHU, la jeune fille était décédée une heure plus tard.
La voiture retrouvée grâce à un système de vidéosurveillance
La voiture, qui n'était pas déclarée volée, avait été retrouvée dans l'après-midi grâce à un système de vidéosurveillance, sur le parking de la cité ouest de La Pergola, à 2 km des lieux de l'accident, le pare-brise «explosé» et l'avant sérieusement endommagé. Interpellé dans la foulée, son propriétaire, âgé de 33 ans, sans permis de conduire, répétait à l'envi qu'il n'était pas au volant de son véhicule, qu'il avait prêté à quelqu'un pour aller acheter des croissants dans une boulangerie. Il avait refusé de le dénoncer. Une version des faits qu'il avait toujours maintenue depuis, y compris lors de son incarcération à la prison de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault).
Depuis, plusieurs éléments nouveaux ont fait avancer l’enquête. Un second individu qui avait été aperçu au volant de la Skoda par des témoins la nuit du drame, a été interpellé puis placé sous le statut de témoin assisté. Selon Midi Libre, il a reconnu avoir passé la nuit en discothèque avec le principal suspect et avoir, à la sortie, conduit la Skoda jusqu'à son propre domicile. Il a ensuite laissé le propriétaire du véhicule repartir, malgré son taux d'alcoolémie élevé.
Une version qui conforte les résultats de l'enquête, et, dorénavant, les aveux du chauffard. «Ça faisait longtemps qu’il était dans une logique de prise de conscience, j’ai fait une demande d’audition au juge et il a changé de version, il assume», a réagi son avocat cité par Midi Libre.
http://www.leparisien.fr/montpellier-34000/etudiante-mortellement-fauchee-a-montpellier-le-chauffard-avoue-26-01-2013-2514573.php
Albi. Ils se trouvaient, par hasard, sur le lieu du cambriolage
Leurs avocats respectifs ont bien tenté de montrer que ce dossier, monté pour la procédure de comparution immédiate, hier après-midi devant le tribunal correctionnel, ne comportait pas suffisamment de preuves pour faire condamner les deux cousins. Ils étaient prévenus d'une tentative de cambriolage, dans une villa de la rue de Jarlard lundi soir.
«Il n'y a rien de tangible qui prouve qu'il a tenté de commettre un cambriolage, lance Me Virginie Meyer-Soullié pour Ramuntcho J., âgé de 29 ans. Ce n'est pas parce qu'on l'a trouvé énervé, en train de téléphoner sur son portable que ça en fait un coupable idéal. Il était à la recherche de son cousin parce qu'on lui avait dit, dans le quartier, qu'il s'était fait agresser.»
«Il s'est effectivement fait agresser par un individu, renchérit Me Fabienne Bex, qui défend Jonathan Miraille, 25 ans,un bras dans le plâtre. Il a fui parce qu'il ne savait pas que c'était les policiers dans la voiture. Il a pris peur. Il n'y a pas de témoins du cambriolage, pas de bijoux sur lui, rien !»
La silhouette s'est alors enfuie dans les jardins des villas jusqu'à ce qu'une autre patrouille n'interpelle Jonathan, un peu plus tard, dans une autre rue, proche de la rue de Jarlard. L'enquête menée entre les jardins et les haies a permis de retrouver plusieurs boîtes à bijoux dont une, à terre, cachée dans la capuche de Jonathan. Il ne s'explique d'ailleurs pas comment ils ont pu y arriver !
Ce qui fait sourire le procureur, Claude Dérens, qui met en avant la procédure rigoureuse établie par les policiers. «On ne juge pas deux innocents», rassure-t-il en demandant 4 ans dont un an avec sursis et mise à l'épreuve pour Jonathan, au casier chargé et en récidive, et 3 ans, dont 2 avec sursis et mise à l'épreuve, pour Ramuntcho. Avec un mandat de dépôt pour les deux. Le tribunal n'a pas souhaité appliquer la peine plancher et a condamné Jonathan à un an ferme et Ramuntcho à 6 mois fermes. Les deux compères ont été maintenus en détention.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/26/1545560-albi-ils-se-trouvaient-par-hasard-sur-le-lieu-du-cambriolage.html
«Il n'y a rien de tangible qui prouve qu'il a tenté de commettre un cambriolage, lance Me Virginie Meyer-Soullié pour Ramuntcho J., âgé de 29 ans. Ce n'est pas parce qu'on l'a trouvé énervé, en train de téléphoner sur son portable que ça en fait un coupable idéal. Il était à la recherche de son cousin parce qu'on lui avait dit, dans le quartier, qu'il s'était fait agresser.»
«Il s'est effectivement fait agresser par un individu, renchérit Me Fabienne Bex, qui défend Jonathan Miraille, 25 ans,un bras dans le plâtre. Il a fui parce qu'il ne savait pas que c'était les policiers dans la voiture. Il a pris peur. Il n'y a pas de témoins du cambriolage, pas de bijoux sur lui, rien !»
Des bijoux partout
Les policiers de la BAC, qui tournaient dans le quartier de Lapanouse, ont repéré Ramuntcho à un coin de rue et une silhouette, à travers une haie, qui lui tendait un ordinateur portable. Les mêmes policiers l'ont même entendu crier : «Y'a la BAC».La silhouette s'est alors enfuie dans les jardins des villas jusqu'à ce qu'une autre patrouille n'interpelle Jonathan, un peu plus tard, dans une autre rue, proche de la rue de Jarlard. L'enquête menée entre les jardins et les haies a permis de retrouver plusieurs boîtes à bijoux dont une, à terre, cachée dans la capuche de Jonathan. Il ne s'explique d'ailleurs pas comment ils ont pu y arriver !
Ce qui fait sourire le procureur, Claude Dérens, qui met en avant la procédure rigoureuse établie par les policiers. «On ne juge pas deux innocents», rassure-t-il en demandant 4 ans dont un an avec sursis et mise à l'épreuve pour Jonathan, au casier chargé et en récidive, et 3 ans, dont 2 avec sursis et mise à l'épreuve, pour Ramuntcho. Avec un mandat de dépôt pour les deux. Le tribunal n'a pas souhaité appliquer la peine plancher et a condamné Jonathan à un an ferme et Ramuntcho à 6 mois fermes. Les deux compères ont été maintenus en détention.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/26/1545560-albi-ils-se-trouvaient-par-hasard-sur-le-lieu-du-cambriolage.html
Saint-Fons : il prétend avoir tué son ex-amie... qui est en parfaite santé
Un homme de 26 ans a été interpellé à Saint-Fons jeudi matin pour dénonciation de crime imaginaire ayant entraîné des recherches inutiles.
Il est soupçonné d’avoir appelé à deux reprises les sapeurs-pompiers pour signaler avoir tué son ex-amie. Les appels téléphoniques ont été passés mardi soir, vers 21 h 45. Son ex-amie, qui est en bonne santé, est quant à elle, domiciliée dans le 8e arrondissement de Lyon.
L’auteur présumé des appels a été présenté jeudi au parquet, mais son affaire a été renvoyée au 18 février. Il a été laissé libre.
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/01/26/il-pretend-avoir-tue-son-ex-amie-qui-est-en-parfaite-sante
Il est soupçonné d’avoir appelé à deux reprises les sapeurs-pompiers pour signaler avoir tué son ex-amie. Les appels téléphoniques ont été passés mardi soir, vers 21 h 45. Son ex-amie, qui est en bonne santé, est quant à elle, domiciliée dans le 8e arrondissement de Lyon.
L’auteur présumé des appels a été présenté jeudi au parquet, mais son affaire a été renvoyée au 18 février. Il a été laissé libre.
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/01/26/il-pretend-avoir-tue-son-ex-amie-qui-est-en-parfaite-sante
Gironde : le meurtrier présumé de Juliette est toujours recherché
Un hélicoptère de la gendarmerie a tourné toute la journée dans le ciel de Margueron, petite commune de l'est de la Gironde. C'est dans ce village, mardi en milieu de journée, que Juliette Léal, 18 ans, a été tuée d'un coup de fusil par son compagnon, un homme de 39 ans, qui a pris la fuite.
La compagnie de gendarmerie de Libourne fait des recherches sur le terrain depuis maintenant deux jours, mais en vain. Le meurtrier présumé reste introuvable.
Chasseur, l'homme connait parfaitement les environs. Mais il a très bien pu partir plus loin, au volant de sa voiture. Laquelle n'a pas été retrouvée non plus. Selon le maire de la commune, Jean Allégret, les recherches se poursuivent
http://www.sudouest.fr/2013/01/24/gironde-le-meurtrier-presume-de-juliette-est-toujours-recherche-945242-2989.php
La compagnie de gendarmerie de Libourne fait des recherches sur le terrain depuis maintenant deux jours, mais en vain. Le meurtrier présumé reste introuvable.
Chasseur, l'homme connait parfaitement les environs. Mais il a très bien pu partir plus loin, au volant de sa voiture. Laquelle n'a pas été retrouvée non plus. Selon le maire de la commune, Jean Allégret, les recherches se poursuivent
http://www.sudouest.fr/2013/01/24/gironde-le-meurtrier-presume-de-juliette-est-toujours-recherche-945242-2989.php
vendredi 25 janvier 2013
Sept mois de prison ferme pour avoir menacé un contrôleur SNCF
L'usager de 26 ans n'en
n'était pas à son coup d'essai. Il avait déjà été condamné l'été dernier par le
tribunal correctionnel de Meaux pour violence et rébellion contre un agent de la
RATP.
La victime choquée
Un homme qui avait menacé de façon insistante un contrôleur de
la SNCF dans
un train Paris-Maubeuge a été condamné vendredi à sept mois de prison ferme et
écroué. Le lundi 21 janvier, vers 22 heures, il avait été contrôlé sans billet
par un contrôleur. Alcoolisé, il a commencé à s'en prendre à ce dernier qui,
seul à bord, a préféré ne pas le verbaliser.
L'usager de 26 ans n'en n'était pas à son coup d'essai. Il avait déjà été condamné à l'été dernier par le tribunal correctionnel de Meaux pour violence et rébellion contre un agent de la RATP. Le 21 janvier, il a ensuite poursuivi l'agent pendant presque une heure en vociférant des menaces, notamment qu'il le retrouverait et lui mettrait un couteau sous la gorge.
L'usager de 26 ans n'en n'était pas à son coup d'essai. Il avait déjà été condamné à l'été dernier par le tribunal correctionnel de Meaux pour violence et rébellion contre un agent de la RATP. Le 21 janvier, il a ensuite poursuivi l'agent pendant presque une heure en vociférant des menaces, notamment qu'il le retrouverait et lui mettrait un couteau sous la gorge.
La victime choquée
Il a été cueilli par des agents de sécurité à la gare
d'Aulnoye-Aymerie (Nord). La victime, choquée, avait immédiatement exercé un
droit de retrait. Elle a ensuite été placée en arrêt de travail. L'homme a été
condamné par le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe pour menace de crime
contre une personne exploitant un transport public et fourniture d'identité
imaginaire
Clermont-Ferrand: Une femme abattue, le suspect se rend à la police
Une femme a été tuée par arme à feu dans la zone industrielle du Brezet à Clermont-Ferrand ce vendredi, en fin de matinée, rapporte le journal La Montagne. La femme aurait tenté d'échapper à un homme avec lequel elle aurait eu un différend, il l'aurait poursuivi avant de lui tirer dessus avec un fusil, précise le quotidien régional.
Le suspect s'est finalement rendu aux gendarmes vers 13h30. Ce serait le compagnon de la victime.
http://www.20minutes.fr/ledirect/1087555/clermont-ferrand-femme-abattue-suspect-rend-a-police
Le suspect s'est finalement rendu aux gendarmes vers 13h30. Ce serait le compagnon de la victime.
http://www.20minutes.fr/ledirect/1087555/clermont-ferrand-femme-abattue-suspect-rend-a-police
Castelsarrasin. Violente collision entre une voiture et un semi-remorque
C'est une violente collision qui s'est produite, hier vers 8 h 45, au giratoire du Coeur-du-Maire, actuellement en travaux. En effet, le chauffeur d'un semi-remorque, originaire de Lot-et-Garonne et âgé de 52 ans, a percuté de plein fouet une automobiliste lafittoise de 74 ans.
Elle n'a pas vu le camion?
Cette dernière, qui achevait la montée de l'avenue du Général-de-Gaulle, n'a vraisemblablement pas vu sur sa gauche le poids lourd roulant sur l'axe prioritaire (RD 813). L'impact est si violent que la septuagénaire est sonnée et coincée dans l'amas de tôle de sa Citroën. Arrivés sur place, le capitaine Bernard Chauderon et une dizaine de ses sapeurs-pompiers lui prodiguaient les premiers soins dans un contexte difficile. Hier matin, en effet, en plus des travaux sur le secteur, les secouristes devaient également faire face à un intense trafic routier en raison notamment de la fermeture de la RD 813 et du marché hebdomadaire.
Une patrouille de police, ainsi que les agents du service départemental de la voirie, tentaient de gérer l'afflux de véhicules. Également sur les lieux, le médecin commandant Philippe Miralès, dont le cabinet est à trois pas, perfusait la veille dame. Dans l'impossibilité de bouger, la victime devait être désincarcérée par les pompiers. Peu après, c'est l'équipe médicale du Samu qui se portait sur l'accident.
Le médecin urgentiste, qui diagnostiquait une probable fracture au niveau du bassin, décidait de transporter la septuagénaire sur le centre hospitalier de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/25/1544586-castelsarrasin-violente-collision-entre-une-voiture-et-un-semi-remorque.html
Elle n'a pas vu le camion?
Cette dernière, qui achevait la montée de l'avenue du Général-de-Gaulle, n'a vraisemblablement pas vu sur sa gauche le poids lourd roulant sur l'axe prioritaire (RD 813). L'impact est si violent que la septuagénaire est sonnée et coincée dans l'amas de tôle de sa Citroën. Arrivés sur place, le capitaine Bernard Chauderon et une dizaine de ses sapeurs-pompiers lui prodiguaient les premiers soins dans un contexte difficile. Hier matin, en effet, en plus des travaux sur le secteur, les secouristes devaient également faire face à un intense trafic routier en raison notamment de la fermeture de la RD 813 et du marché hebdomadaire.
Une patrouille de police, ainsi que les agents du service départemental de la voirie, tentaient de gérer l'afflux de véhicules. Également sur les lieux, le médecin commandant Philippe Miralès, dont le cabinet est à trois pas, perfusait la veille dame. Dans l'impossibilité de bouger, la victime devait être désincarcérée par les pompiers. Peu après, c'est l'équipe médicale du Samu qui se portait sur l'accident.
Le médecin urgentiste, qui diagnostiquait une probable fracture au niveau du bassin, décidait de transporter la septuagénaire sur le centre hospitalier de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/25/1544586-castelsarrasin-violente-collision-entre-une-voiture-et-un-semi-remorque.html
Le Puy-en-Velay: quatre feux nocturnes, dix-huit personnes évacuées
Un premier feu de poubelles a été allumé dans la cage d'escalier d'un immeuble à étages au 44 rue Maréchal Fayolle. La cage d'escalier a été remplie de fumée. Les pompiers ont évacué les gens des étages aux fenêtres à l'aide de la grande échelle. Dix_huit personnes ont été évacuées et relogées en attendant à l'hôtel. Cinq ont été incommodées par les fumées et évacuées vers l'hopital Emile-Roux.
Puis, l'individu a sévi dans un secteur proche au faubourg Saint-Jean, avec un feu de poubelles devant un garage, et rue Droite, un peu plus loin, dans un abri à bois, avec beaucoup de fumée là encore mais pas de blessés.
L'incendiaire s'en est enfin prit à la rue sainte claire, avec un incendie maitrisé à temps par les pompiers.
Une cinquantaine de pompiers étaient sur tous les fronts, alors que les services de Police recherchaient activement l'individu qui a fait courir un grand danger aux riverains.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/01/25/le-puy-en-velay-quatre-feux-nocturnes-dix-huit-personnes-evacuees
Puis, l'individu a sévi dans un secteur proche au faubourg Saint-Jean, avec un feu de poubelles devant un garage, et rue Droite, un peu plus loin, dans un abri à bois, avec beaucoup de fumée là encore mais pas de blessés.
L'incendiaire s'en est enfin prit à la rue sainte claire, avec un incendie maitrisé à temps par les pompiers.
Une cinquantaine de pompiers étaient sur tous les fronts, alors que les services de Police recherchaient activement l'individu qui a fait courir un grand danger aux riverains.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/01/25/le-puy-en-velay-quatre-feux-nocturnes-dix-huit-personnes-evacuees
Gironde : une fausse prof enseignait le droit et l'économie
Après le faux gendarme interpellé par la police il y a quelques jours, voici la fausse enseignante. L'histoire est tout aussi invraisemblable. Cette femme de 41 ans, résidant à Mérignac, est parvenue à détourner à son profit le parcours universitaire et les diplômes d'une avocate bordelaise pour obtenir un emploi de professeur de droit et d'économie.
Depuis la rentrée scolaire 2011, elle enseignait comme vacataire en économie et gestion au centre de formation d'apprentis de l'industrie (CFAI) de Reignac, a dispensé des cours de droit aux bac pro et aux étudiants en BTS de l'école privée d'esthétique Aliénor à Bordeaux et assurait une dizaine d'heures de cours auprès des élèves de second cycle du lycée de la Côte-d'Argent à Biganos. Une vraie supercherie. Car l'enseignante n'a jamais été diplômée et ne possède qu'un baccalauréat professionnel, obtenu en 1990.
Inscrite à la faculté
Le pot aux roses a été découvert de manière tout à fait fortuite par la responsable des affaires juridiques de l'université Bordeaux 4. Celle-ci s'est rendu compte d'un problème informatique en consultant le cursus d'une ancienne étudiante, inscrite aujourd'hui au barreau de l'Ordre des avocats de Bordeaux. La responsable s'est tout simplement aperçue qu'un (ou une) inconnu avait utilisé l'identifiant de l'étudiante pour se faire délivrer des attestations d'obtention de diplômes : maîtrise en droit pénal, certificat en criminologie, Deug d'économie. L'avocate, médusée, a immédiatement déposé une plainte entre les mains des services de police. Une enquête a été ouverte, et les investigations ont été difficiles à mener. Les policiers ont appris que l'usurpateur était une femme susceptible d'avoir grugé le Pôle emploi et le rectorat.
Grâce à son inscription à la faculté comme auditrice libre, la Mérignacaise disposait d'une carte d'étudiante, et c'est ainsi qu'elle a pu, par hasard selon elle, se connecter au profil universitaire de l'avocate pour établir un CV, présenter de faux diplômes et se faire embaucher comme professeur.
Elle s'est plongée dans les bouquins et est parvenue à faire illusion auprès de ses élèves, qui, semble-t-il, ne se sont jamais plaints de lacunes de leur « prof ».
Une « erreur »
Identifiée par les policiers, elle a été convoquée en début de semaine au commissariat de Mérignac. Placée en garde à vue, elle a été interrogée par les officiers de police judiciaire de la brigade de sûreté urbaine (BSU). Lors de son audition, elle aurait reconnu les faits mais prétexte une « erreur » plutôt qu'un acte intentionnel de sa part lorsqu'elle a eu accès aux données informatiques. La fausse enseignante n'aurait pas corrigé d'épreuves à un examen, selon ses déclarations.
Désormais, son horizon s'est obscurci. Elle n'a plus de travail, et la justice devrait prochainement lui demander de s'expliquer pour les délits de faux et usage de faux en écriture publique et privée, notification frauduleuse de données, usurpation d'identité et escroquerie. Le rectorat et les établissements trompés pourraient se constituer parties civiles aux côtés de l'avocate.
http://www.sudouest.fr/2013/01/24/c-etait-une-fausse-prof-944476-2770.php
Depuis la rentrée scolaire 2011, elle enseignait comme vacataire en économie et gestion au centre de formation d'apprentis de l'industrie (CFAI) de Reignac, a dispensé des cours de droit aux bac pro et aux étudiants en BTS de l'école privée d'esthétique Aliénor à Bordeaux et assurait une dizaine d'heures de cours auprès des élèves de second cycle du lycée de la Côte-d'Argent à Biganos. Une vraie supercherie. Car l'enseignante n'a jamais été diplômée et ne possède qu'un baccalauréat professionnel, obtenu en 1990.
Inscrite à la faculté
Le pot aux roses a été découvert de manière tout à fait fortuite par la responsable des affaires juridiques de l'université Bordeaux 4. Celle-ci s'est rendu compte d'un problème informatique en consultant le cursus d'une ancienne étudiante, inscrite aujourd'hui au barreau de l'Ordre des avocats de Bordeaux. La responsable s'est tout simplement aperçue qu'un (ou une) inconnu avait utilisé l'identifiant de l'étudiante pour se faire délivrer des attestations d'obtention de diplômes : maîtrise en droit pénal, certificat en criminologie, Deug d'économie. L'avocate, médusée, a immédiatement déposé une plainte entre les mains des services de police. Une enquête a été ouverte, et les investigations ont été difficiles à mener. Les policiers ont appris que l'usurpateur était une femme susceptible d'avoir grugé le Pôle emploi et le rectorat.
Grâce à son inscription à la faculté comme auditrice libre, la Mérignacaise disposait d'une carte d'étudiante, et c'est ainsi qu'elle a pu, par hasard selon elle, se connecter au profil universitaire de l'avocate pour établir un CV, présenter de faux diplômes et se faire embaucher comme professeur.
Elle s'est plongée dans les bouquins et est parvenue à faire illusion auprès de ses élèves, qui, semble-t-il, ne se sont jamais plaints de lacunes de leur « prof ».
Une « erreur »
Identifiée par les policiers, elle a été convoquée en début de semaine au commissariat de Mérignac. Placée en garde à vue, elle a été interrogée par les officiers de police judiciaire de la brigade de sûreté urbaine (BSU). Lors de son audition, elle aurait reconnu les faits mais prétexte une « erreur » plutôt qu'un acte intentionnel de sa part lorsqu'elle a eu accès aux données informatiques. La fausse enseignante n'aurait pas corrigé d'épreuves à un examen, selon ses déclarations.
Désormais, son horizon s'est obscurci. Elle n'a plus de travail, et la justice devrait prochainement lui demander de s'expliquer pour les délits de faux et usage de faux en écriture publique et privée, notification frauduleuse de données, usurpation d'identité et escroquerie. Le rectorat et les établissements trompés pourraient se constituer parties civiles aux côtés de l'avocate.
http://www.sudouest.fr/2013/01/24/c-etait-une-fausse-prof-944476-2770.php
jeudi 24 janvier 2013
Pau: il tire sur un cortège funéraire
Un homme a tiré avec une arme à plomb sur des personnes participant à un enterrement d'un bébé dans un cimetière de Pau, sans faire de blessés, avant d'être interpellé sans résistance.
L'homme, dont l'appartement situé au 1er étage donne sur le cimetière, "a vu passer le cortège et alors que le cercueil allait être mis en terre, il a tiré sur les personnes présentes", a indiqué cette même source qui a prévenu l'AFP.
L'homme, dont l'appartement situé au 1er étage donne sur le cimetière, "a vu passer le cortège et alors que le cercueil allait être mis en terre, il a tiré sur les personnes présentes", a indiqué cette même source qui a prévenu l'AFP.
Selon la police, une dizaine de coups de feu de petits calibres de plombs ont été tirés. "Heureusement il faisait froid et les personnes étaient bien couvertes. Par chance personne n'a été touché au visage", a-t-on ajouté. Une trentaine de personnes ont déposé plainte au commissariat tandis que l'homme, placé en garde à vue, n'avait pas été encore entendu par les enquêteurs.
Selon cette source, il n'y aurait pas de relation entre cet homme et l'enterrement. "L'enquête dira si cette personne jouit de toutes ses facultés mentales", a ajouté cette source.
Miracle à Pézenas : un nouveau-né abandonné sauvé par une infirmière
Elle attendait les pompiers quand, dans une semi-obscurité, elle a aperçu une personne se jeter à terre... La suite fait froid dans le dos.
Très inquiets sur le sort du nouveau-né, les membres de l’équipe médicale et soignante questionnent la maman et réussissent à localiser le bébé. Il venait d’être abandonné dans une ruelle toute proche de la clinique. L’enfant, emmailloté dans un linge et baignant encore dans son placenta, était en hypothermie. Il a été très vite récupéré par l’équipe, qui a procédé aux premiers soins, avant de le transférer au service néonatalité du CHU de Montpellier. D’un poids de 1,200 kg seulement, le bébé, visiblement à terme en raison de ses réflexes de succion, n’a trouvé son salut que dans la réactivité de l’équipe soignante de Pézenas, et dans sa bonne étoile…
La maman sauvée elle aussi
La maman, prise en charge durant toute la nuit, a évité le pire. Elle était en effet susceptible de succomber à une hémorragie de la délivrance, sans soin adéquat. Elle a été transférée, de son côté, dans le service de maternité de l’hôpital de Béziers.
http://www.midilibre.fr/2013/01/24/dans-l-herault-un-nouveau-ne-abandonne-sauve-par-une-infirmiere,632071.php
Un petit miracle ! Un nouveau-né a été sauvé in extremis par le service des urgences de la clinique Pasteur de Pézenas, dans la nuit de lundi à mardi. Les faits se sont déroulés alors que l’infirmière de nuit attendait à l’extérieur. Les sapeurs-pompiers devaient déposer un patient au service des urgences. C’est durant son attente que, dans la semi-obscurité, l’infirmière aperçoit une personne se jeter à terre. Elle a alors le réflexe d’appeler des collègues en renfort. Les soignants prennent en charge une femme dans un état de fragilité extrême. Cette dernière leur révèle avoir accouché un peu plus tôt. Mais il n’y a pas de trace de l’enfant.
Abandonné dans une ruelle proche de la cliniqueTrès inquiets sur le sort du nouveau-né, les membres de l’équipe médicale et soignante questionnent la maman et réussissent à localiser le bébé. Il venait d’être abandonné dans une ruelle toute proche de la clinique. L’enfant, emmailloté dans un linge et baignant encore dans son placenta, était en hypothermie. Il a été très vite récupéré par l’équipe, qui a procédé aux premiers soins, avant de le transférer au service néonatalité du CHU de Montpellier. D’un poids de 1,200 kg seulement, le bébé, visiblement à terme en raison de ses réflexes de succion, n’a trouvé son salut que dans la réactivité de l’équipe soignante de Pézenas, et dans sa bonne étoile…
La maman sauvée elle aussi
La maman, prise en charge durant toute la nuit, a évité le pire. Elle était en effet susceptible de succomber à une hémorragie de la délivrance, sans soin adéquat. Elle a été transférée, de son côté, dans le service de maternité de l’hôpital de Béziers.
http://www.midilibre.fr/2013/01/24/dans-l-herault-un-nouveau-ne-abandonne-sauve-par-une-infirmiere,632071.php
Le tracteur de Marminiac verbalisé en région parisienne
Samedi, Jean-Luc Martel, agriculteur résidant à Benauge, commune de Marminiac, a eu droit à une sacrée surprise. En effet, il a reçu ce jour-là une contravention pour un véhicule verbalisé à Courbevoie (Hauts-de-Seine) pour stationnement gênant, le 8 janvier dernier.
Sur le coup, Jean-Luc Martel pense qu'il y a erreur, l'immatriculation ne correspondant pas à celle de sa voiture personnelle. Puis, il réalise que cette immatriculation correspond à celle de son tracteur. Un engin imposant qui ne passerait pas inaperçu dans les rues de la région parisienne. Mais sur le procès-verbal, la contravention est attribuée à une automobile de marque Peugeot. Il y a bien eu usurpation de plaque minéralogique. Jean-Luc Martel a rendez-vous avec la brigade de gendarmerie de Cazals pour porter plainte et élucider ce problème. Il y a quelques mois, au cours d'un banal contrôle routier, les gendarmes s'étaient aperçus qu'il avait perdu ses 12 points du permis. Encore une erreur mais celle-ci purement informatique.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/24/1543157-marminiac-un-tracteur-verbalise-en-region-parisienne.html
Sur le coup, Jean-Luc Martel pense qu'il y a erreur, l'immatriculation ne correspondant pas à celle de sa voiture personnelle. Puis, il réalise que cette immatriculation correspond à celle de son tracteur. Un engin imposant qui ne passerait pas inaperçu dans les rues de la région parisienne. Mais sur le procès-verbal, la contravention est attribuée à une automobile de marque Peugeot. Il y a bien eu usurpation de plaque minéralogique. Jean-Luc Martel a rendez-vous avec la brigade de gendarmerie de Cazals pour porter plainte et élucider ce problème. Il y a quelques mois, au cours d'un banal contrôle routier, les gendarmes s'étaient aperçus qu'il avait perdu ses 12 points du permis. Encore une erreur mais celle-ci purement informatique.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/24/1543157-marminiac-un-tracteur-verbalise-en-region-parisienne.html
Drame familial à Garons : Jean-Charles avait menacé de tuer toute sa famille
La dernière fois que Viviane a été vue par un riverain à Garons, lundi, elle était sur le pas de la porte de sa maison, rue des Grives. Il était 14 heures et Morgan, son petit garçon de 4 ans, regardait la télé.
Quelle est la chronologie de ce déchaînement de violences ?
Ce lundi, Jean-Charles, chauffeur routier dans une entreprise beaucairoise, ne travaillait pas. Dans l’après-midi, il a passé plusieurs coups de fil de chez lui. Son fils aîné, Maxence, est rentré de son collège vers 17 heures. Que s’est-il passé ensuite et les heures précédant le drame ? Pour quelles raisons, la mère de famille ou ses enfants n’ont pu s’échapper ? Quelle est la chronologie de ce déchaînement de violences ?
Un homme violent selon un témoin
Selon les enquêteurs, le couple était en difficultés. Viviane avait annoncé son intention de se séparer de son compagnon. Le soir du drame, alors que les pompiers bataillaient contre les flammes et les gendarmes en étaient aux premières constatations, des proches de la famille avaient déjà témoigné en ce sens. Un témoin avait déclaré que Jean-Charles était un homme violent. Les jours précédents, Viviane se serait confiée à des amis, expliquant que son compagnon aurait vivement réagi à l’annonce de cette séparation et menacé de "tuer tout le monde", reprend la procureure. Bien sûr, les investigations se poursuivent.
Les auditions des proches se poursuivent
Les premières constatations "confirment l’absence d’indices en faveur de l’intervention d’un tiers", rappelle la magistrate. Les gendarmes et le parquet attendent les résultats des analyses toxicologiques, poursuivent les auditions des proches, cherchent à savoir quand et comment l’incendie a démarré... Mais Laure Beccuau a annoncé, mercredi, que "si aucune décision définitive n’est, à ce stade, prise par le parquet, il est vraisemblable que cette procédure sera amenée à être classée sans suite à l’issue de l’ensemble des investigations".
Cette tragédie laisse les proches de cette famille installée depuis dix ans à Garons et toute une commune anéantis et abasourdis
http://www.midilibre.fr/2013/01/23/jean-charles-avait-menace-de-tuer-toute-sa-famille,631684.php
Plus de cinq heures plus tard, les pompiers retrouvaient dans une seule pièce de cette maison, au rez-de-chaussée, le corps sans vie de cette mère de famille, celui de Jean-Charles, son compagnon, et ceux de leurs trois enfants Maxence, 13 ans, Mélissa, 11 ans, Morgan, 4 ans.
Mercredi, après les autopsies, Laure Beccuau, procureure de Nîmes, a confirmé la thèse du drame familial et du suicide du père. "Le père de famille a inhalé de la fumée, déclare la procureure. Il n’était donc pas mort au moment de l’incendie. Son décès est lié à un suicide et aux plaies auto-infligées par une arme blanche (un couteau retrouvé par les gendarmes, NDLR)." La mère et deux des trois enfants ont été tués par une arme blanche. Le petit dernier a été étranglé.Quelle est la chronologie de ce déchaînement de violences ?
Ce lundi, Jean-Charles, chauffeur routier dans une entreprise beaucairoise, ne travaillait pas. Dans l’après-midi, il a passé plusieurs coups de fil de chez lui. Son fils aîné, Maxence, est rentré de son collège vers 17 heures. Que s’est-il passé ensuite et les heures précédant le drame ? Pour quelles raisons, la mère de famille ou ses enfants n’ont pu s’échapper ? Quelle est la chronologie de ce déchaînement de violences ?
Un homme violent selon un témoin
Selon les enquêteurs, le couple était en difficultés. Viviane avait annoncé son intention de se séparer de son compagnon. Le soir du drame, alors que les pompiers bataillaient contre les flammes et les gendarmes en étaient aux premières constatations, des proches de la famille avaient déjà témoigné en ce sens. Un témoin avait déclaré que Jean-Charles était un homme violent. Les jours précédents, Viviane se serait confiée à des amis, expliquant que son compagnon aurait vivement réagi à l’annonce de cette séparation et menacé de "tuer tout le monde", reprend la procureure. Bien sûr, les investigations se poursuivent.
Les auditions des proches se poursuivent
Les premières constatations "confirment l’absence d’indices en faveur de l’intervention d’un tiers", rappelle la magistrate. Les gendarmes et le parquet attendent les résultats des analyses toxicologiques, poursuivent les auditions des proches, cherchent à savoir quand et comment l’incendie a démarré... Mais Laure Beccuau a annoncé, mercredi, que "si aucune décision définitive n’est, à ce stade, prise par le parquet, il est vraisemblable que cette procédure sera amenée à être classée sans suite à l’issue de l’ensemble des investigations".
Cette tragédie laisse les proches de cette famille installée depuis dix ans à Garons et toute une commune anéantis et abasourdis
http://www.midilibre.fr/2013/01/23/jean-charles-avait-menace-de-tuer-toute-sa-famille,631684.php
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