lundi 29 avril 2013

Je reviens...

Je reviens dès que j'aurais ma nouvelle connection
Merci de bien vouloir m'attendre
A bientôt après mon déménagement !!!

Mediator : une ex-sénatrice mise en examen

L’ex-sénatrice UMP Marie-Thérèse Hermange et le numéro deux de Servier, Jean-Philippe Seta, ont été mis en examen dans une enquête visant le laboratoire pharmaceutique, soupçonné d’être intervenu dans la rédaction d’un rapport sénatorial sur le Mediator.
Ces mises en examen interviennent dans le cadre d’une enquête pour trafic d’influence ouverte fin 2011. Elle vise les Laboratoires Servier, soupçonnés d’être intervenus pour qu’un rapport sénatorial minimise leur responsabilité dans l’affaire du Mediator et insiste sur celle de l’Agence du médicament (ex-Afssaps, devenue ANSM).

Écoutes téléphoniques
Les soupçons sont nés d’écoutes d’une conversation téléphonique entre le directeur opérationnel du groupe Servier, Jean-Philippe Seta, et Claude Griscelli, professeur de pédiatrie et de génétique qui fut directeur général de l’Inserm. M. Griscelli indiquait au dirigeant de Servier que Mme Hermange, responsable de la rédaction d’un rapport du Sénat sur la réforme du médicament publié en juin 2011, lui avait « demandé d’aller travailler avec elle pour le Sénat » sur ce document. Il précisait avoir « fait changer pas mal de choses ».
Mme Hermange, qui n’est plus sénatrice depuis septembre 2011, avait catégoriquement démenti, reconnaissant avoir rencontré M. Griscelli « pour avoir une discussion avec lui » alors que « le rapport était bouclé ». Le groupe Servier avait lui aussi démenti.

http://www.sudouest.fr/2013/04/28/mediator-une-ex-senatrice-mise-en-examen-1038366-7.php

dimanche 28 avril 2013

Fusillade à Istres: Le tireur va être présenté à un juge, le deuxième homme devrait être relâché

L'auteur présumé des faits affirme avoir agi seul...
L'auteur présumé de la fusillade qui a fait trois morts jeudi à Istres (Bouches-du-Rhône) devait être déféré ce samedi en début d'après-midi au tribunal d'Aix-en-Provence et présenté à un juge en vue de sa mise en examen, a indiqué samedi le procureur-adjoint d'Aix.
Le parquet a requis contre ce jeune homme de 19 ans une mise en examen pour «assassinats» et «tentative d'assassinat» sur une 4e personne qui jeudi avait été légèrement blessée, a indiqué lors d'une conférence de presse le procureur-adjoint Denis Vanbremeersch.
Aucune infraction relevée contre le deuxième homme
Selon lui, l'auteur de la fusillade commence à prendre «la mesure de la gravité» de son acte.
Un Parisien de 24 ans, dont le tireur avait donné le nom au moment de son interpellation, était toujours en garde à vue samedi matin à Paris, mais il devrait être relâché, aucune infraction n'étant relevée à son encontre.
Depuis quelques mois, le jeune Istréen «se serait ouvert à cet ami parisien de son projet criminel. Celui-ci n'aurait pas pris ses déclarations au sérieux et assure l'avoir mis en garde», a expliqué M. Vanbremeersch. «En l'état, aucune infraction ne semble pouvoir être retenue à son encontre».
Une marche blanche
Selon le représentant du parquet, l'un et l'autre, adeptes de jeux vidéo en-ligne, communiquaient régulièrement, au téléphone ou par Skype, et ce depuis cinq ans.
Samedi matin, plusieurs centaines de personnes, dont des proches des victimes, se sont rassemblées à Istres sur les lieux du drame pour une marche blanche.

Retrouvez cet article sur 20minutes.fr

Reims : un troisième mort et 14 blessés dans l'effondrement d'un immeuble

L'effondrement partiel d'un immeuble d'habitation dimanche matin à Reims a fait au moins 3 morts et 14 blessés. Ce pourrait être une explosion liée au gaz.
L'émotion est vive à Reims. Une femme de 60 ans a été retrouvée morte dans les décombres de l'immeuble qui s'est effondré dimanche à Reims, portant à 3 le nombre de personnes tuées dans l'accident, qui a également fait 14 blessés, a indiqué la préfecture de la Marne. Des enfants, dont l'âge n'a pas été donné, feraient partis des victimes, a indiqué le préfet de la Marne, Pierre Dartout.
En fin de journée, les pompiers aidés de chiens et d'engins de chantier fouillaient toujours les gravats au pied de la façade éventrée, à la recherche d'éventuelles victimes, se frayant un chemin au milieu de débris de meubles, de lambeaux de vêtements et de divers objets parfois tâchés de sang. Fils électriques et ustensiles de cuisine pendaient le long des murs mis à nu par l'explosion. Les deux personnes décédées sont "un homme et une femme dont l'identification est en cours", et le bilan provisoire fait toujours état de 14 blessés hospitalisés à Reims, dont un grave et plusieurs enfants, a expliqué le préfet de la Marne, Pierre Dartout, lors d'un point presse.
Entre 2 et 4 personnes toujours recherchées
Par ailleurs, "entre 2 et 4 personnes sont toujours recherchées", mais ce chiffre pourrait évoluer "puisque certaines familles ont pu s'absenter au moment des faits, et peut-être aussi des invités étaient-ils présent dans les familles", a ajouté le préfet. La manière dont l'immeuble s'est écroulé ne laisse toutefois que "peu de poches de survie pour d'éventuelles victimes encore ensevelies", a confié à l'AFP une source au sein des secours.
La cause "probable" de l'accident est une explosion provoquée par le gaz de ville, dont le foyer se situe sans doute au-dessus du rez-de-chaussée, selon la préfecture. Le 3 avril, quatre personnes d'une même famille avaient été tuées, et une cinquième très grièvement blessée, dans une explosion de gaz qui avait ravagé leur immeuble HLM de Witry-les-Reims, à une dizaine de kilomètres de Reims.
Le président François Hollande a adressé "toutes ses condoléances" aux familles des personnes tuées dans l'explosion d'un immeuble à Reims, déplorant "un terrible drame". "Tous les moyens sont mobilisés pour porter secours et sécuriser les lieux", a indiqué l'Elysée dans un communiqué.
"J'ai entendu une énorme explosion"
Dimanche, dans le quartier populaire de Wilson, dans le sud de Reims, c'est l'extrémité d'une barre HLM d'environ 50 mètres de long qui a été soufflée. Un pan de l'immeuble comportant une dizaine d'appartements s'est totalement écroulé sur lui-même, a constaté un correspondant de l'AFP. "J'ai entendu une énorme explosion qui a fait trembler les murs et brisé les vitres", a raconté à l'AFP Rafik, un habitant de l'immeuble qui se trouvait dans la partie restée intacte. "Quand j'ai regardé par la fenêtre, j'ai vu l'immeuble écroulé comme un château de cartes, avec beaucoup de fumée. J'entendais des gens hurler. Tout le monde est sorti", a-t-il ajouté.
Des immeubles datant des années 1960
"Les immeubles étaient correctement entretenus. Ils avaient été rénovés en 2005 et faisaient l'objet d'une visite annuelle", notamment pour les chaudières à gaz, a affirmé la maire PS de Reims, Adeline Hazan, lors d'un point presse. Selon Mme Hazan, "rien de particulier" n'avait été mentionné lors de la dernière visite, en janvier. Une grande partie des chaudières et des chauffe-eau avaient été changés en 2007, a précisé l'élue.
Le bâtiment est géré par le même organisme logeur que celui de l'immeuble de Witry-les-Reims, le Foyer Rémois. Il n'était pas prévu que ces barres d'immeubles soient démolies, a affirmé un porte-parole du Foyer Rémois lors du point presse. "Ils n'ont fait que repeindre à l'extérieur, l'intérieur n'a pas changé depuis les années 60. Ca devait arriver, c'est trop vieux ici", a dénoncé Abdelkader. "Vu l'état des bâtiments, ça ne m'étonne pas. Ici quand on plante un clou dans le mur, ça s'effrite", a renchéri Raïssa, 28 ans, qui habite juste en face de l'immeuble effondré.
Ce type d'accident est loin d'être une première en France. En 2004 par exemple, 19 personnes avaient été tuées à cause d'une explosion de gaz dans leur HLM à Mulhouse (Haut-Rhin).
 

Montbéliard : retrouvé mort, chez lui, trois mois après son frère

Pas de traces suspectes. Voilà ce qui a conduit, dans un premier temps, le médecin dépêché sur les lieux à délivrer le certificat de décès, sans soulever plus d’interrogations que cela. Mais, le profil familial demeure particulier. Et les enquêteurs s’interrogent.
Hier, en début d’après-midi, les secours sont appelés rue des Rochers à Hérimoncourt. Un homme de 46 ans a été retrouvé inerte sur son canapé. Trois mois après le décès de son frère... dans le même appartement.
En effet, décès naturel, consécutif à la consommation chronique d’alcool de cet homme sans emploi ? Voilà exactement la question que se posèrent à l’époque les gendarmes en ce qui concerne le frère de la victime, de cinq ans son cadet, retrouvé sans vie dans l’habitation qu’ils partageaient jusque-là.
À la différence près que fin janvier, le décédé, retrouvé sur son lit, portait de graves traces de mutilations. Une soirée imbibée ayant mal tourné ? L’autopsie avait alors révélé que le chien, un boxer, avait en partie dévoré son maître. Refermant, de fait, la piste criminelle.
Hier soir, les techniciens en investigation ont à nouveau investi cet appartement du 1er étage d’un petit immeuble du bout de la rue des Rochers. La soirée de vendredi fut manifestement, à entendre les voisins, plutôt agitée dans le logement. Mais rien de plus, hormis le contexte.
L’autopsie du quadragénaire, envisagée lundi, permettra d’orienter l’enquête.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/28/retrouve-mort-chez-lui-trois-mois-apres-son-frere

Vitry : 130 pompiers mobilisés sur l'incendie d'un atelier de menuiserie

Un important incendie s'est déclaré ce samedi peu après 20h30, détruisant trois bâtiments, dont un atelier de menuiserie et un pavillon attenant, à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). Le sinistre n'a pas fait de victime. Il a mobilisé quelque 130 pompiers.

Selon les pompiers, le feu s'est déclaré dans un squat situé voie Elie Gras, à Vitry-sur-Seine, avant de rapidement se propager à un atelier de menuiserie de 1000m2 tout proche et à un pavillon contigu.  A 23h30, les pompiers étaient parvenus à circonscrire le sinistre et à préserver les autres pavillons alentour.

L'origine du sinistre reste à déterminer


http://www.leparisien.fr/vitry-sur-seine-94400/vitry-120-pompiers-mobilises-sur-l-incendie-d-un-atelier-de-menuiserie-27-04-2013-2764065.php

La Rochelle : disparition inquiétante d'un octogénaire

Albert Roland, 80 ans, réside normalement au sein de l'Ehpad de l'avenue du Champ de Mars de La Rochelle. Il n'a pas été vu sur place depuis ce samedi midi d'où l'inquiétude de l'encadrement qui a prévenu la police.
Les pompiers aidés de chiens pisteurs sont à sa recherche. Toute personne ayant des informations peut contacter le commissariat de La Rochelle au 05 46 51 36 36

http://www.sudouest.fr/2013/04/27/la-rochelle-disparition-inquietante-d-un-octogenaire-1038192-1391.php

samedi 27 avril 2013

Marseille : un homme blessé par balle à la kalachnikov dans les quartiers sud

Un homme a été légèrement blessé par un tir de kalachnikov samedi après-midi dans les quartiers sud de Marseille.
Un homme a été légèrement blessé par un tir de kalachnikov samedi après-midi dans les quartiers sud de Marseille, a indiqué une source proche de l'enquête. Selon les premières constatations, la victime se trouvait dans un véhicule à la Valentine, dans le 11e arrondissement, quand elle a été touchée à la tête par un tir de kalachnikov.
D'après un porte-parole des marins-pompiers qui l'ont pris en charge, l'homme a été légèrement blessé et n'a pas été hospitalisé. Le parquet a saisi les policiers de la brigade criminelle de la police judiciaire. Le blessé, connu des services de police, est la seconde personne touchée par une balle de kalachnikov dans les quartiers sud en 48 heures, a précisé la même source.
Jeudi soir, le gérant d'un snack de la Capelette (11e arrondissement), âgé d'une trentaine d'années a reçu une balle dans le genou. Le tireur avait fait irruption dans son établissement avec un fusil-mitrailleur.
 

Quatre seniors volés par une récidiviste

Visiblement, pour cette Jarnysienne de 29 ans, le message n’est pas passé. Auteur présumée de plusieurs vols par ruse chez des personnes âgées, entre septembre 2012 et le 7 avril dernier, elle devait répondre de ses actes le 17 septembre prochain devant le tribunal de Briey. Mardi, la jeune femme a été interpellée par les policiers de Conflans-Jarny, pour de nouveaux faits similaires. Son mode opératoire l’a trahie.
Le 21 avril, les forces de l’ordre ont en effet été saisies par une Jarnysienne de 76 ans. La victime expliquait alors aux enquêteurs avoir accueilli une jeune femme soi-disant en détresse. Prétextant une panne de voiture, la visiteuse aurait demandé à la septuagénaire l’autorisation d’entrer pour utiliser le téléphone de la demeure. Charitable, la maîtresse des lieux a accepté. Mais après le départ de son « invitée », la victime a constaté la disparition de trois portefeuilles qui se trouvaient dans un sac à main, près du téléphone. Le tout pour un préjudice de 60 €.
Le lendemain, alors que les policiers s’apprêtaient à interpeller la jeune femme, une autre personne âgée s’est présentée à eux, pour déplorer les mêmes déboires. Finalement placée en garde à vue, la Jarnysienne a reconnu les faits. Elle aurait d’ailleurs évoqué un troisième vol commis chez une autre aînée de la commune. Ses forfaits ne s’arrêtent pas là. Le 24 avril, une quatrième personne âgée a déposé plainte pour un vol datant du 22. Cette fois, la voleuse présumée n’a eu aucun mal à se faire ouvrir la porte d’une cellule, dans le cadre d’un jugement préalable

http://www.republicain-lorrain.fr/meurthe-et-moselle/2013/04/27/quatre-seniors-voles-par-une-recidiviste

Mise en examen à 18 ans pour infanticide

Une femme de 18 ans, suspectée d'infanticide dans la région de Guingamp (Côtes d'Armor), a été mise en examen vendredi à Saint-Brieuc pour "homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans" et placée en détention, confirmant une information du quotidien Ouest France.

C'est un homme, dont le lien avec la jeune femme n'a pas été précisé, qui a amené le bébé mort à la gendarmerie de Guingamp, mardi. Le bébé avait été découvert, décédé, dans une poubelle. Une autopsie pratiquée mercredi a prouvé que l'enfant était né vivant et viable.

L'enquête a conduit à entendre une jeune femme, tout juste âgée de 18 ans, qui a été placée en garde à vue à la gendarmerie de Guingamp.

Selon les premiers éléments, cette dernière, qui a assuré qu'elle n'avait pas conscience d'être enceinte, aurait passé les deux nuits précédant l'accouchement en discothèque puis à son domicile en compagnie d'amis, souligne Ouest France. Elle aurait accouché dimanche, dans sa salle de bains, d'un enfant prématuré, après avoir perdu beaucoup de sang.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/27/97001-20130427FILWWW00298-mise-en-examen-a-18-ans-pour-infanticide.php

Périgueux : le "braquage fantôme" était une arrestation

La scène aperçue par plusieurs personnes dans une rue du quartier de Vésonne à Périgueux mercredi était en fait une arrestation des gendarmes. Des témoins étaient allés au commissariat pour dire qu’ils avaient vu mercredi, entre 15 et 16 heures, un vol à main armée d’une voiture.
En fait, il s’agissait de l’intervention de gendarmes en civil qui filaient un homme. Celui-ci est soupçonné d’être l’auteur d’une agression qui s’est déroulée mardi soir à Chalagnac. L’homme, âgé de 30 ans, serait rentré chez un Chalagnacois de 50 ans vers 22 heures et lui aurait donné des coups. Il aurait ensuite volé sa carte bancaire, du matériel hi-fi et son téléphone.

L’agresseur serait ensuite reparti au volant de la voiture de la victime et aurait eu un accident de la route quelques dizaines de minutes après alors qu’il roulait sur la commune de Coursac. Les secours, à leur arrivée, avaient trouvé une voiture vide. C’est à partir de ces faits que les gendarmes ont démarré leur filature qui a abouti à l’arrestation de mercredi. Une femme proche de l’agresseur et qui connaissait la victime a aussi été interpellée. Habitant l’agglomération, elle est soupçonnée d’être complice du malfaiteur qui est domicilié à Périgueux. Ils ont été placés en garde à vue. Déjà connus de la justice, ils seront jugés aujourd’hui par le tribunal correctionnel de Périgueux dans le cadre d’une comparution immédiate.

http://www.sudouest.fr/2013/04/26/le-braquage-etait-une-arrestation-1036481-1980.php

vendredi 26 avril 2013

Lautrec. Elle raconte sa vie "d'esclave" chez un notable du Tarn

L'affaire dite «d'esclavagisme moderne» qui a secoué le landerneau lautrecois puisqu'elle vise l'un de ses notables, ne sera finalement jugée qu'en octobre après un énième renvoi. La victime présumée et son avocat nous parlent de sa vie. Du Zola…
Victime présumée de «traite d'être humain commise à l'égard de personne vulnérable», faits commis de 2007 à 2009, Jeanine Lecourieux, coule aujourd'hui des jours tranquilles au sein d'une famille amie de Lautrec. Placée sous curatelle renforcée en raison de sa grande vulnérabilité… dont justement un notable lautrecois est soupçonné d'avoir abusée. Nous l'avons rencontrée en présence de son avocat Me Hervé Rénier.

Un roman de Zola

«Aujourd'hui, je suis au paradis, nous confie Jeanine. Je vais très bien. On est très gentil avec moi… Mais, j'ai très envie que tout cela arrive au bout.»
Il faut dire que la vie de Jeanine Lecourieux ressemble à un véritable roman à la Zola.
Me Renier l'évoque : «Ma cliente a été placée en famille d'accueil à l'âge de 4 ans. Compte tenu de graves difficultés de compréhension, on a alors pensé qu'elle présentait un handicap de surdité. Elle a fréquenté l'Institut national des sourds-muets jusqu'à l'âge de 18 ans. En fait, elle affichait tout simplement un QI de 53. Elle a finalement été réorientée vers l'école qu'elle a fréquentée jusqu'à l'âge de 13 ans, avec le niveau d'une élève de 7 à 8 ans.»
Et l'avocat de préciser : «Aujourd'hui, elle ne sait toujours pas lire, pas écrire, pas compter.»
À 13 ans, Jeannine a été placée en foyer spécialisé. «J'ai une sœur… mais, je ne l'ai revue que tout récemment», signale l'infortunée. «Adulte, elle a rejoint un autre établissement à Machilly en Haute-Savoie, continue l'avocat. Et c'est là qu'elle fait la rencontre de la personne principalement poursuivie dans cette affaire.»

130 000 € captés

«Il était le directeur du foyer, signale Jeanine. Et j'ai travaillé dans le foyer…» «Effectivement, elle a eu un contrat de travail, comme femme de ménage, à compter de 1972, précise Me Rénier. Lorsque le directeur quitte l'établissement en 1990, il propose à ma cliente de le suivre, en lui promettant un emploi et une vie dorée à Castres. En fait, elle y sera boniche gratuite, tout en payant un loyer représentant la moitié de sa maigre pension !»
Et l'avocat d'affirmer : «Elle va percevoir une somme importante - près de 130 000 € - fruit de la vente d'un terrain lui appartenant. Et il est présumé donc que son «hébergeur» s'accaparera cette somme pour effectuer d'importants travaux dans une maison castraise, qu'il revend ensuite avec une forte plus-value pour aller s'installer à Lautrec… où Jeanine suit. Cette captation ne représente qu'une partie de ce dossier. L'autre partie, la plus particulière, étant bien entendu que Mme Lecourieux a travaillé gratuitement pour son compte, dans des conditions indignes, à Castres puis dans les chambres d'hôtes créées à Lautrec. Lorsqu'elle a été trop diminuée physiquement, on lui a demandé de partir…»
«Ce n'est pas normal», lâche dans un regard songeur Jeanine.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/26/1614342-lautrec-esclavagisme-la-vie-de-zola-de-la-victime.html

Bordeaux : un manifestant contre le mariage pour tous a frappé un policier

L'individu a frappé un policier ce jeudi matin lors d 'une manifestation non déclarée. Une vingtaine de personnes se déclarant opposées au mariage pour tous ont manifesté au parc des expositions de Bordeaux Lac, où se tient actuellement le congrès des maires de la région Aquitaine, en présence du président du Sénat Jean-Pierre Bel.
Cette manifestation n'avait pas été déclarée. Les policiers en charge de la sécurité du salon ont éloigné ces manifestants. C'est alors que l'un d'eux a donné un coup de pied à un commandant de police. L'homme a immédiatement été interpellé et conduit au commissariat central de Bordeaux où il a été placé en garde à vue.

 http://www.sudouest.fr/2013/04/25/bordeaux-un-manifestant-contre-le-mariage-pour-tous-a-frappe-un-policier-1035977-2780.php

Reclus de Monflanquin : peine maximale requise en appel contre Tilly

Le ministère public a requis jeudi devant la Cour d'appel de Bordeaux la peine maximale de dix ans de prison contre Thierry Tilly, qui aurait totalement ruiné une famille de notables du Sud-Ouest.
Le ministère public a requis jeudi devant la Cour d'appel de Bordeaux la peine maximale de dix ans de prison contre Thierry Tilly, qui serait coupable "d'une entreprise de vampirisation financière et morale" à l'encontre d'une famille de notables du Sud-Ouest, totalement ruinés. La Cour a mis son arrêt en délibéré au 4 juin à 14 h. "Ma conviction est intacte quant à la culpabilité de Thierry Tilly et au châtiment" qui doit lui être infligé, a dit l'avocat général Pierre Bellet qui avait déjà requis la même peine lors du premier procès.
Le magistrat, qui a réclamé la plus haute peine de prison encourue par M. Tilly, a également demandé à la Cour qu'elle prononce une peine de cinq ans de privation de droits civiques et civils ainsi que l'interdiction définitive de diriger une entreprise commerciale ou artisanale. Il a revanche requis une relaxe partielle pour les faits concernant les deux premières années d'emprise, période qui s'est étalée entre 1999 et 2009, la loi qualifiant la notion de sujétion psychologique étant entrée en vigueur en juin 2001. "Ce sont des faits exceptionnels" de "vampirisation financière et morale", a-t-il jugé.

"Un mythomane stratégique"
Tilly, qui a écopé de huit ans de prison en prison en première instance, est un "mythomane stratégique (...) un menteur, un vantard, un hâbleur, un imposteur". Un "grand escroc", aussi, qui "exploite les failles psychologiques" de ses victimes, a martelé M. Bellet. Il use d'une vaste palette de techniques manipulatoires pour mettre "en état d'embrigadement" psychique ses victimes, a poursuivi le magistrat, convoquant les expertises psychiatriques et psychologiques versées au dossier. Il a d'abord "séduit ses interlocuteurs", les de Védrines, une riche famille du Sud-Ouest, avant de leur distiller le poison d'un "discours récurrent sur un complot franc-maçon, rose-croix, homosexuel, juif", conduisant "onze personnes à croire" en cette machination, a martelé M. Bellet.
Dénonçant le "machiavélisme" du prévenu, M. Bellet a encore jugé l'état de sujétion psychologique et l'abus de faiblesse caractérisés : Tilly a placé ses victimes en état de "séquestration psychique" pour mieux les séparer de leurs proches et du monde avant de les pousser à se cloîtrer, dans leur demeure de Monflanquin (Lot-et-Garonne) puis en Angleterre, et de les dépouiller progressivement de leurs biens qu'ils ont fini par vendre pour environ 4,5 millions d'euros. Le tout, principalement à son profit. Car pour M. Bellet, Tilly est bien "l'instigateur principal" de cette escroquerie : Jacques Gonzalez, condamné avec lui en première instance à quatre ans de prison mais qui s'est désisté de son appel, n'est que son "faire-valoir".
"Un procès en sorcellerie"
Un peu plus tôt, les avocats des parties civiles avaient réclamé la confirmation des sommes allouées en première instance par le tribunal correctionnel de Bordeaux (environ 4,5 millions de préjudice matériel, 505 000 euros de préjudice moral), Me Daniel Picotin, spécialiste des questions d'emprise mentale, épinglant "le désir d'emprise" qui habite Thierry Tilly et sa "capacité à faire du 'cousu main' avec ses victimes". "Ce procès me fait l'effet d'un procès en sorcellerie", a répliqué le conseil de Tilly, Me Alexandre Novion. Il "est convaincu qu'il va sauver cette famille".
Reprenant la thèse avancée en première instance, il a soutenu que "l'instigateur", c'est au contraire Gonzalez. Tilly "ne mérite pas dix ans", il n'est qu'un "exécutant", a-t-il encore dit. "Ce procès ne doit pas être celui du triomphe de la psychologie sur le droit", a encore lancé Me Novion à l'adresse de la Cour. Invité à s'exprimer à la fin du procès, Thierry Tilly, plus que prolixe à l'ouverture des débats lundi, a sobrement signifié qu'il s'en tenait "aux propos de (son) avocat et à la confiance que j'ai placée en lui".

http://www.midilibre.fr/2013/04/25/reclus-de-monflanquin-peine-maximale-requise-en-appel-contre-tilly,685919.php

jeudi 25 avril 2013

Val-de-Marne : un piéton écrasé par un camion à Choisy-le-Roi

Un homme d’une cinquantaine d’années est décédé, ce matin, au d’un accident avec un camion, survenu avenue du Maréchal de Lattre-de-Tassigny, à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Le poids-lourd de 19 tonnes quittait un supermarché et tournait à gauche quand le piéton a été accroché par l’avant-gauche du camion.                                       
Le chauffeur ne s’est malheureusement pas rendu compte qu’il avait heurté un passant. Ce dernier a été traîné sur quelques mètres avant que le conducteur ne prenne conscience du drame. Il a alors immédiatement avisé les secours, qui n’ont pas pu ramener le malheureux à la vie.

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/un-pieton-ecrase-par-un-camion-a-choisy-25-04-2013-2758181.php

Yvelines/jumeaux : 6 mois de prison

Deux frères jumeaux de 18 ans, reconnus coupables d'une importante série de vols aggravés en février et mars 2013 à Poissy (Yvelines), ont été condamnés aujourd'hui à douze mois de prison dont six avec sursis.

Le tribunal correctionnel de
Versailles (Yvelines) reprochait aux deux jeunes hommes, à peine majeurs, d'avoir commis une série d'agressions aux abords de la gare de Poissy pour s'emparer de sacs à main ou de téléphones portables.

Ils sont également suspectés de dégradations sur une quinzaine de véhicules mais ce volet de l'enquête a été versé à une autre procédure. Une troisième personne avait été arrêtée pour les mêmes faits et présentée à un juge des enfants à Nanterre (Hauts-de-Seine), étant encore mineur.

De nombreuses victimes avaient été recensées par les enquêteurs, l'une d'elles ayant subi un vol de téléphone portable qui avait occasionné 21 jours d'incapacité totale de travail.
Lors des perquisitions à leur domicile, les policiers avaient retrouvé plusieurs objets dérobés aux victimes, dont des pièces d'identité. L'affaire, initialement jugée le 2 avril, avait été renvoyée pour des questions de procédure.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/25/97001-20130425FILWWW00717-yvelinesjumeaux-6-mois-de-prison.php

100 000 euros de téléphones mobiles dérobés à Digne

En moins de six mois, c'est la seconde fois que l'agence Orange de Saint-Christophe est la cible de cambrioleurs venant faire main basse sur tout le stock de téléphones portables. Et à chaque fois selon un mode opératoire identique et un butin estimé à près de 100 000 euros !
Après le cambriolage éclair du 11 novembre dernier vers 22 heures, c'est dans la nuit de lundi à mardi, peu après minuit, qu'une équipe de malfrats est à nouveau entrée dans la boutique après avoir découpé une large ouverture à la disqueuses thermique dans la vitrine principale. Une fois à l'intérieur, et malgré le déclenchement de l'alarme, les individus ont défoncé la porte donnant accès au stock et sont repartis avec les téléphones rangés sur les étagères et encore dans leur emballage.
"Il n'en restait pas un seul !", assure Paul Noto, directeur adjoint de l'agence Orange de Saint-Christophe où la vitrine venait d'être enfin remplacée, un peu plus de cinq mois après le dernier cambriolage.
Un témoin voit deux voitures s'enfuir
Alerté par un bruit inhabituel, vraisemblablement celui de la disqueuse, un gardien de nuit du magasin But, qui se trouvait alors de l'autre côté de cette grande surface, distante d'une centaine de mètres de l'agence Orange, a eu juste le temps d'apercevoir deux puissantes berlines allemandes prenant la fuite en direction de Marseille à grande vitesse...Peu avant l'arrivée de l'une des deux patrouilles de police qui se trouvaient au centre-ville lorsque le commissariat, averti par la société de surveillance des boutiques Orange, les a déroutées vers Saint-Christophe.
Sur place les policiers n'ont pu que constater le cambriolage avant l'arrivée de l'équipe de police scientifique. "Nous ne disposons d'aucun indice particulier", indiquait hier matin l'un des enquêteurs dans l'attente des enregistrements vidéo des caméras de la boutique et de la station-service voisine qui permettront peut-être, à défaut de les identifier, de savoir si les cambrioleurs étaient aussi ceux de novembre qui avaient opéré en moins de 5 minutes.
Cinq autres agences de téléphonie braquées
Après le déclenchement de l'alarme dans ce type de vol, les cambrioleurs savent en effet qu'ils n'ont pas plus de quatre à six minutes avant de voir arriver la police prévenue par la société de surveillance à distance, une fois que cette dernière a la confirmation qu'il s'agit bien d'une intrusion en vue d'un cambriolage.
Au cours de la même nuit, cinq autres agences de téléphonie mobile, de divers opérateurs, à Arles, St-Martin-de-Crau, Fos, Gardanne et Tarascon, ont également été la cible de cambrioleurs. Et si tous semblent avoir utilisé des disqueuses pour pénétrer dans les boutiques, il paraît peu probable que la même équipe ait pu opérer en une seule nuit dans toutes ces villes.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2326415/100-000-euros-de-telephones-mobiles-derobes-a-digne.html

Un jeune Condomois trouve la mort dans le Lot-et-Garonne

Mardi, en fin de journée, Paul-Louis Canzian, 28 ans, originaire de Condom, a été tué sur le coup lors d'une sortie de route violente dans le Lot-et-Garonne.
La route s'est révélée une nouvelle fois cruelle. Mardi, peu après 18h30, un jeune Condomois âgé de 28 ans a perdu la vie lors d'une terrible sortie de route à Sembas, dans le Lot-et-Garonne, à hauteur du lieu-dit «Prat-Neou».
A la sortie d'un virage, Paul-Louis Canzian a perdu le contrôle de son véhicule, qui aurait mordu le bas-côté avant de percuter, tour à tour, un pylône téléphonique, une maison et le muret de celle-ci contre lequel elle s'est immobilisée. Sous la violence extrême du choc, le conducteur a été éjecté de l'habitacle. Il a été retrouvé à quelques mètres de là par les pompiers de Sainte-Livrade-sur-Lot, sur le bitume. Sans vie.
Malgré la rapidité de l'intervention du SMUR de Villeneuve-sur-Lot, le Gersois était vraisemblablement décédé sur le coup.
Alertés, Les gendarmes de la compagnie de Villeneuve-sur-Lot ont mené les premières constatations pour comprendre les raisons de ce nouveau drame de la route.
Selon les premiers éléments de l'enquête, une vitesse peu appropriée à la physionomie des lieux pourrait être la cause de cette sortie de route violente.
Né à Condom en février 1985, Paul-Louis Canzian travaillait aux Haras de Thouars, distants d'à peine un kilomètre du lieu du drame. Il rentrait, semble-t-il, à son domicile basé à Laugnac lorsque s'est déroulé ce tragique accident.
Joint hier par téléphone, le responsable du centre équestre se déclarait «abattu par cette disparition tragique».
Le jeune Gersois travaillait depuis huit mois en Lot-et-Garonne comme responsable d'écurie en charge d'étalons, un passage en Dordogne.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/25/1613925-un-jeune-condomois-trouve-la-mort.html

Montpellier : le Boeing de la compagnie Ryanair atterrit presque à sec

Ne pouvant pas atterrir à Marseille, l'avion, dérouté à Fréjorgues, s'est posé de justesse...
1 400 kilos. Quand un plein fait 26 tonnes. Voilà ce qu’il restait dans les réservoirs de ce Boeing 737-800 de la compagnie à bas coûts irlandaise Ryanair lorsqu’il s’est présenté, lundi matin, à l’aéroport de Montpellier-Méditerranée. L’appareil (vol FR 7709/7783) assurait la liaison entre Malaga (Andalousie) et Marseille. Mais, à proximité de l’aéroport phocéen, il aurait tenté un premier atterrissage avant de remettre les gaz. Avant d'être mis en attente, sur un hippodrome (un ovale virtuel horizontal) car des agents du péril aviaire tentaient d’effaroucher des oiseaux ayant eu la bonne idée de venir se poser à proximité des deux pistes de la plateforme, dixit une source de la délégation régionale de l'Aviation civile.
A raison de 491 kg de carburant toutes les 10 mn...

L’attente se prolongeant, l’équipage a finalement décidé de se dérouter sur Montpellier (un ou plusieurs aéroports de dégagement sont prévus lors de chaque plan de vol). Où le monocouloir s’est finalement posé sans problème. Bref, rien que de très banal.
Sauf que si le biréacteur avait, pour une raison X, raté son approche montpelliéraine, il lui aurait fallu remettre les gaz. Sachant que ce type d’appareil consomme (en croisière et par moteur) 491 kilos et quelques grammes de carburant toutes les dix minutes et que les phases de décollage et de montée augmentent notablement ladite consommation, cela serait devenu un tantinet délicat.
Pas de consigne
Chose certaine : il ne s’agit pas d’une erreur de l’équipage ou d’une obscure consigne que celui-ci aurait aveuglément suivi. L’été dernier, en effet, l’Irish Aviation Authority (l’équivalent de l’Aviation civile en Irlande) avait dédouané la compagnie accusée, à tort donc, d’avoir demandé à certains équipages d’embarquer le carburant minimum pour assurer certaines rotations, notamment à destination de l’Espagne.

http://www.midilibre.fr/2013/04/24/le-boeing-atterrit-presque-a-sec,684950.php

Bordeaux : un corps repêché dans la Garonne

Le corps d'un homme d'une cinquantaine d'années à été repêché dans la Garonne vers 12 h 30 par les secours.
Il pourrait s'agir du corps d'un Bordelais de 56 ans, dépressif, dont les proches avaient signalé la disparition hier soir mardi.

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/bordeaux-un-corps-repeche-dans-la-garonne-1034832-2780.php

mercredi 24 avril 2013

Loire. Saint-Bonnet-le-Château: deux enfants de 11 et 13 ans blessés dont un grièvement

Le dramatique accident s'est produit ce mercredi vers 14 heures à une intersection. Les deux frères âgés de 11 et 13 ans, qui circulaient sur le même vélo, ont été blessés dans une collision avec une auto. Le plus jeune, grièvement touché, a dû être héliporté en urgence vers l'hôpital Nord.
Les deux frères âgés de 11 et 13 ans, domicilié sur la commune de Saint-Bonnet-le-Château, descendaient du hameau des Fauchers par la rue des Monaires. C'est à ce moment précis, qu'une Peugeot 106 qui roulait en direction de Saint-Nizier-de-Fornas, a percuté les deux enfants. Au volant du véhicule, la conductrice âgée d’une vingtaine d’années n’a, pour des raisons encore indéterminées, pas réussi à les éviter.
Le choc a été d’une extrême violence. Le vélo, où se trouvaient les deux adolescents, a été coupé en deux. Le plus jeune a été grièvement blessé. Polytraumatisé, il a été pris en charge par les secours et conditionné sur place avant l'arrivée d'une équipe du SAMU 42. Il a ensuite été héliporté en direction de l'hôpital Nord. Son grand frère, moins touché, a également été évacué vers l'hôpital Nord. La conductrice, en état de choc, a été prise en charge par les pompiers


http://www.leprogres.fr/loire/2013/04/24/saint-bonnet-le-chateau-deux-enfants-blesses-dont-un-grievement-dans-une-terrible-collision-auto-contre-velo

Sud-Ouest : huit personnes interpellées après 130 cambriolages

Huit personnes ont été interpellées depuis vendredi à Bordeaux et dans sa région, dans une enquête ayant permis le démantèlement d'un réseau soupçonné d'environ 130 cambriolages en Aquitaine et Poitou-Charentes.
Huit personnes, sept Roumains et un Bulgare, ont été interpellées depuis vendredi à Bordeaux et dans sa région. Cette enquête a permis le démantèlement d'un réseau soupçonné d'environ 130 cambriolages en Aquitaine et Poitou-Charentes, a indiqué mercredi la gendarmerie. L'enquête a été lancée après une série de cambriolages remontant à l'été 2011 touchant des communes de la rive droite de la Garonne, dans lesquels des modes opératoires similaires ont été relevés, a précisé la même source, confirmant une information du site sudouest.fr.
Dans le cadre d'une information judiciaire ouverte par la Juridiction inter-régionale spécialisée (JIRS) de Bordeaux, une cellule spécialisée d'enquêteurs a mené des investigations en Gironde, dans les Landes, en Dordogne, dans le Lot-et-Garonne, la Charente-Maritime et en Charente, mais aussi dans la Vienne, la Haute-Vienne, et récemment jusque dans la Sarthe.
Ciblage des habitations vides
Les cambrioleurs ciblaient, de nuit ou de jour, des habitations vides, pas forcément cossues. Ils opéraient en quelques minutes, forçaient une porte ou une fenêtre, et repartaient avec de l'argent, des bijoux ou du matériel informatique: un butin souvent modeste, mais amplifié au gré de la multiplication des cambriolages, jusqu'à 130 sur un peu plus de six mois. Le matériel était écoulé, directement ou indirectement, vers des pays de l'Est, Roumanie et Bulgarie surtout, par des personnes s'y rendant régulièrement. D'autres en arrivaient aussi pour relayer les équipes opérant en France, une constance de déplacements rendant l'enquête difficile.
Sur les huit suspects interpellés entre vendredi et lundi, trois ont été mis en examen mardi pour vol et recel en bande organisée et écroués. Les cinq autres devaient en principe être déférés au parquet dans la semaine.
 

SNCF : trafic très perturbé en Paca

Le trafic des TER était fortement perturbé dans la région Paca cet après-midi, après l'agression d'un contrôleur dans un TER à Marseille, a indiqué la SNCF.

Le contrôleur a été agressé par un couple qu'il avait déjà verbalisé dans un autre TER, a indiqué un syndicaliste SUD-Rail de la région Paca.

Selon la même source, "le couple s'en est pris au contrôleur avec un tesson de bouteille. Le contrôleur a quelques contusions à la main".

"Le couple a également asséné des coups de poing", a-t-il ajouté.
L'agression a eu lieu à la gare de la Blancarde (Marseille) et les contrôleurs ont fait valoir leur droit de retrait, a de son côté indiqué la SNCF.

Les syndicats ont été reçus en fin d'après-midi par la direction et une cellule de crise a été mise en place pour gérer le trafic, a précisé la SNCF.

"Le trafic TER sera très fortement perturbé toute la matinée (de mercredi) avec en moyenne 1 train sur 5 sur l'ensemble du réseau régional", a précisé la SNCF dans un communiqué.

La SNCF conseille à ses clients d'opter pour d'autres moyens de transport ou de différer leur voyage.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/23/97001-20130423FILWWW00666-sncf-trafic-tres-perturbe-en-paca.php

24 heures d'angoisse à cause d'un compte-rendu médical

L’histoire commence le 25 mars : Pascal Majka, qui travaille au service peinture d’une entreprise de Saint-Vallier a rendez-vous à l’hôpital Jean-Bouveri de Montceau pour passer un scanner des poumons dans le cadre de la médecine du travail. « Comme je travaille dans un secteur à risque, on est régulièrement suivi. Avant, je passais une radio des poumons tous les trois ans, là, c’était un scanner. On ne m’a jamais rien trouvé, en 2003, 2006, 2009. » À 54 ans, l’homme est robuste et va à ce rendez-vous sans appréhension.
Jeudi dernier, nouveau rendez-vous. Cette fois au centre de la médecine du travail, dans le quartier Salengro. Cette fois, ce 18 avril va rester marqué dans sa mémoire. « Le médecin me demande si j’ai travaillé au contact de l’amiante, si je fume beaucoup. Je n’ai jamais touché à l’amiante, ça fait quinze ans que j’ai arrêté de fumer… »
« J’ai tout de suite pensé à une erreur »
« Il est rentré blême à la maison », se rappelle sa femme. On le serait à moins quand le compte rendu médical stipule emphysème et plaques pleurales aux poumons… « Je ne sais pas pourquoi mais j’ai tout de suite pensé à une erreur », insiste Maryvonne.
Le lendemain, de retour à son usine non loin de son domicile, Pascal rencontre l’infirmière de l’entreprise. « Elle me dit qu’il y a un problème et contacte les services du scanner. Là, ils ont fait des recherches et ont constaté qu’il y avait une erreur, que le compte rendu n’était pas le mien. »
Depuis, Pascal Majka oscille entre deux sentiments : « Soulagé mais en colère. » Ce n’est pas un coup de fil du service concerné de l’hôpital montcellien qui va le calmer : « Ils se sont excusés de l’erreur mais ils veulent que je leur redonne les comptes rendus envoyés aux médecins. » Sa femme poursuit : « Si on ne se renseigne pas, ça veut dire que derrière, il va enchaîner les rendez-vous avec des spécialistes, des examens : bravo les économies pour la Sécu ! Ça ne donne pas confiance en l’hôpital, c’est lamentable… Qu’ils fassent attention, que ça ne se reproduise plus. »
Pour conclure, Pascal Majka est aussi pragmatique : « En attendant, je ne sais pas quand je vais avoir mes résultats. Car j’en ai besoin pour mon poste au travail. Et s’ils sont perdus, je vais devoir repasser un scanner… »

mardi 23 avril 2013

Arrêté peu après avoir tué son ex-femme et son amant

Il portait encore ses vêtements ensanglantés. Un homme suspecté d'avoir poignardé à son ex-femme et son nouveau compagnon a été arrêté mardi à la gare d'Yvetot, en Seine-Maritime par les gendarmes. Il venait de commettre son quelques instants auparavant.

Les corps de la femme, âgée de 31 ans, et de son nouveau compagnon, âgé de 43 ans, ont été découverts peu après 13 heures à Sainte-Marie-des-Champs, près d'Yvetot, où ils habitaient dans une zone pavillonnaire. Trois enfants étaient là au moment de l'agression. Ils se sont barricadés dans une pièce de la maison et n'ont pas été blessés, ont précisé des sources proches de l'
. Frappés de plusieurs coups de couteau, les deux adultes n'ont pu être réanimés par les secours.

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'ex-mari, qui ne supportait pas la séparation, était arrivé de Paris en train dans la matinée. Il s'apprêtait à repartir de la même façon quand il a été interpellé en début d'après-midi, en gare d'Yvetot, les vêtements encore tachés de sang. Le parquet de Rouen a ouvert une enquête et devrait donner plus de précisions sur ce drame mercredi.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/

Yvelines: 5 personnes gardées à vue

Cinq personnes ont été arrêtées et placées en garde à vue aujourd'hui, au terme d'une opération de police de grande envergure menée à Vernouillet (Yvelines), a annoncé une source policière.

"Ils étaient recherchés pour vols aggravés, violences volontaires, dégradation de véhicules ou encore refus d'obtempérer", des faits datant de quelques mois, a indiqué cette même source.

Les cinq suspects, des hommes issus de la communauté des gens du voyage, étaient mardi matin entendus au commissariat de Poissy. L'opération a eu lieu aux alentours de 6H00 et a mobilisé quelque 120 personnes du Raid, de l'unité d'enquête de Poissy et des CRS.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/23/97001-20130423FILWWW00383-yvelines-5-personnes-gardees-a-vue.php

Cahors. Nouvelle arnaque sur le web : 3 victimes en 1 mois

En un mois, les policiers ont enregistré trois plaintes de victimes d'arnaques sur internet. Ces vendeurs ont expédié leurs objets et perdu en plus plusieurs centaines d'euros.
Attention aux trop belles offres. Ce pourrait être le conseil en forme d'avertissement adressé par la police cadurcienne aux utilisateurs de sites de ventes d'objets en ligne. Le nombre de plaintes qui avaient connu un reflux ces derniers mois, recommence à progresser, les arnaqueurs du net ayant détourné à leur profit l'utilisation des cartes prépayées. «Une nouvelle escroquerie se développe, c'est la troisième affaire en un mois sur laquelle nous enquêtons. La dernière plainte date du 16 avril» indique le capitaine Xavier Bitaud du commissariat de Cahors.
Les victimes ont toutes passé une petite annonce sur le site spécialisé du «Bon coin». Deux vendaient des poussettes, le troisième un téléphone portable. À peine affichée, l'annonce trouve preneur. L'interlocuteur ne discute pas les prix, bien au contraire, au moins pour le téléphone, alors son propriétaire en voulait 500 €, le mystérieux acheteur ira jusqu'en proposer 550€. L'arnaque se met en place, Xavier Bitaud en décortique le mécanisme : «Les vendeurs reçoivent un mail soi-disant de PayPal qui sécurise les transactions. Ce faux mail les informe que pour pouvoir bénéficier d'un paiement à l'international, il leur faut acheter une carte bancaire prépayée et la recharger de 350 € et même 500 € afin d'ouvrir les droits de PayPal». Le piège se referme. Les victimes ont expédié les objets à des destinataires semble-t-il pris au hasard en région parisienne et dans les Charentes. Et l'argent sur la carte s'est évaporé entre le Lot et l'Afrique (l'indicatif téléphonique d'un acheteur était le 22, celui du Ghana) les arnaqueurs s'en seraient servis comme d'un mandat cash. Pour les victimes, c'est la double peine, l'une a réussi à récupérer une poussette, l'autre poussette est toujours bloquée à la poste, quant au détenteur du portable, il a perdu son Samsung et plus de 500 €.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/23/1612394-cahors-nouvelle-arnaque-web-3-victimes-1-mois.html

Coup double pour les douaniers qui saisissent un kilo d’héro et de la cocaïne

C’est en fouillant les effets d’un jeune homme qui prétendait se rendre à Avignon, que l’équipe des douaniers a découvert un objet dissimulé dans la doublure de sa parka considérablement alourdie. Les tests stupéfiants pratiqués sur la substance brunâtre contenue dans le paquet rectangulaire confirmaient qu’il s’agissait d’héroïne. Pas moins d’un kilo pour une valeur à la revente estimée à 27 250 €.
Mais les douaniers aguerris ne se sont pas arrêtés à cette prise poursuivant leur contrôle jusqu’à tomber sur un deuxième paquet caché, celui-ci, dans le pantalon du suspect ou plus exactement dans son caleçon. Un emballage de forme arrondie dans lequel, nouveau rebondissement, les douaniers, trouveront de la poudre blanche : en fait quelque 500 grammes de cocaïne pour une valeur de 21 960 €.
Interrogé sur la provenance de ces stupéfiants, le jeune homme a déclaré les avoir trouvés par hasard dans le train.
Un autre passager repéré par la brigade a également été interpellé. Les douaniers n’ont rien trouvé sur lui - hormis le fait que le jeune homme avait lui aussi pris le train à Bruxelles et qu’il affirmait devoir s’arrêter à Nimes - mais sont parvenus à établir le lien entre les deux hommes en confrontant leurs billets de train dont tous deux portaient la même destination, Avignon, et avaient été achetés ensemble avec le même moyen de paiement.
Les deux hommes ont été remis aux services de police judiciaire.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/04/23/coup-double-pour-les-douaniers-qui-saisissent-un-kilo-d-hero-et-de-la-cocaine

Reclus de Monflanquin (47) : procès en appel du gourou présumé, à Bordeaux

En septembre dernier, tandis que le tribunal correctionnel de Bordeaux venait de le condamner à huit ans de prison pour abus de faiblesse, séquestration et violences volontaires, Thierry Tilly avait lancé aux magistrats : « Ça ne fait que commencer. » Intarissable et procédurier, présenté comme le « gourou » des reclus de Monflanquin, l’homme n’a pas trahi sa promesse.
À partir d’aujourd’hui et jusqu’à vendredi, la cour d’appel de Bordeaux se penchera à son tour sur la retentissante affaire dans laquelle cet homme, en apparence inoffensif et sans charisme, est poursuivi pour avoir maintenu sous son emprise, et dépouillé de sa fortune, une famille de riches notables girondins et lot-et-garonnais.
Entre 1999 et 2009, onze membres de la famille de Védrine ont vécu coupés du monde, d’abord dans leur propriété de Monflanquin, dans l’arrière-pays villeneuvois, puis à Oxford, sous la conduite de Thierry Tilly, qui les avait convaincus de se protéger des francs-maçons, des pédophiles ou des rose-croix.
Doté d’indéniables talents de psychologue, n’hésitant pas à se présenter tour à tour comme un agent secret ou un informaticien, il avait pris sur cette famille d’aristocrates un ascendant tel qu’il avait pu l’inciter à se dépouiller de son patrimoine estimé à 4,5 millions d’euros. Une partie des fonds bénéficiera à une obscure fondation dirigée par Jacques Gonzalez, un homme que Thierry Tilly ne cessera de présenter comme son patron.
Condamné en première instance à quatre ans de prison ferme, Jacques Gonzalez a renoncé à faire appel. Thierry Tilly, assisté de son avocat Me Alexandre Novion, tentera de faire table rase des attendus du jugement prononcé il y a huit mois par le tribunal présidé par Marie-Élisabeth Bencal. Jugement qui le désigne comme principal responsable de la tragédie des Védrine.
Le tribunal avait conclu à un mécanisme « machiavélique » de sujétion psychologique mis en place par Thierry Tilly, assorti de pressions financières et parfois physiques sur une de ses membres. Pour les juges, Thierry Tilly s’était appuyé « sur la situation, l’histoire et le fonctionnement de la famille, dont il a su exploiter les failles, les rivalités et mesquineries ».
L’homme n’avait pas hésité à « placer les gens dans des conditions difficiles pour les conditionner », à « créer la zizanie chez eux », ou à « recourir à un vocabulaire spécifique tel les élus ou à la notion d’appartenance, tout en les conditionnant par la mise en place d’un système de surveillance ».
Thierry Tilly, qui bénéficie de nouveau de la présomption d’innocence, devrait expliquer qu’il ne pouvait à lui seul assujettir 11 personnes éduquées et insérées dans la bonne société bordelaise, et qu’il ne leur a rien fait faire qui soit contraire à leur volonté.
Cette fois encore, le prévenu, assisté de son avocat Me Novion, devrait pointer du doigt Jacques Gonzalez, mais aussi les rivalités qu’entretenaient les membres de la famille entre eux pour tenter de redistribuer les responsabilités.
« Aujourd’hui, mes clients ont commencé à se reconstruire. Ils sont plus forts et plus sereins que lors du premier procès », assure de son côté Me Daniel Picotin, qui assure la défense d’une partie de la famille.
Incontrôlable moulin à parole, Thierry Tilly n’avait pas hésité à faire le « show » en première instance, égrainant infatigablement un CV et un arbre généalogique difficilement vérifiables. La posture qu’adoptera cette fois le gourou présumé devant la cour d’appel constitue la première interrogation du second procès des reclus de Monflanquin.

http://www.sudouest.fr/2013/04/22/le-gourou-presume-en-appel-1031824-7.php

lundi 22 avril 2013

Conductrice de bus braquée à Behren-lès-Forbach

Samedi soir, peu après 18h, une conductrice de car, du réseau Forbus, a été braquée par deux hommes au visage dissimulé. Ces derniers ont profité que la femme ouvre les portes du bus, à l’arrêt, situé près du Centre commercial à Behren-cité, pour s’y engouffrer. Menaçants, ils lui ont demandé la caisse. La conductrice s’est exécutée. Le tout n’a pris que quelques secondes. Particulièrement choquée, l’employée a été remplacée par un collègue pour la suite de la tournée. Une plainte a été déposée auprès des gendarmes de Behren-lès-Forbach, chargés de mener l’enquête.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/04/22/conductrice-de-bus-braquee

Piratages et fausses factures EDF : les escrocs sont de retour

La crise est-elle propice à toutes les imaginations, à toutes les impostures ? Voici donc une nouvelle escroquerie en ligne : le mail à en-tête d'EDF, qui vous relance pour le non-paiement de votre dernière facture. Oui, vous savez, vous payez avec un brin de retard et EDF, qui est particulièrement bien organisée, vous envoie une première, puis une deuxième lettre de relance, en attendant le blocage de votre compteur si vous ne réglez pas. Quelques âmes futées ont-elles vu là un filon à exploiter avec rouerie ? Sur quelques lignes, on vous endort en vous promettant la "confidentialité", puis on vous rappelle que votre prélèvement s'est soldé par un échec.
"Cher client, chère cliente, nous vous faisons part de ce courrier pour vous informer que nous n'avons malheureusement pas pu effectuer le prélèvement mensuel. Afin de résoudre ce problème, veuillez cliquer ici." "Dès réception de votre fiche, nous vous contacterons sur le numéro que vous allez fournir", insiste votre correspondant, avant de préciser : "Notre service décline toute responsabilité juridique". Heureusement, le texte est truffé de fautes d'orthographe ou de modes d'expression que n'utilise jamais EDF, à l'exception de la signature "Votre conseiller EDF" qui peut faire illusion.
Le faux mail d'EDF vous met en confiance pour mieux vous piéger
Nous avons comparé avec l'un de ces envois types, sur lesquels votre nom apparaît en bonne place et il n'y a pas de doute, les lettres de relance officielles d'EDF sont bien plus circonstanciées. Elles portent vos coordonnées, vos références et même l'étage où vous résidez. Comme quoi et comme dirait Douglas Kennedy, "l'improvisation conduit toujours au plantage" ! La vraie facture EDF vous rappelle surtout que vous pouvez payer par chèque, par télépaiement, par TIP ou par carte bancaire, et non par retour de mail. D'autant que les courriels frauduleux sont expédiés depuis un très hypothétique "automate@edf.fr". Le montant du capital d'EDF et son siège social parisien, ainsi que le "copyright EDF 2013" ne sont là encore que pour vous endormir.
On appelle aussi cela "l'hameçonnage" ou "phishing", ou bien encore "l'escroquerie à la nigériane". Comme son nom ne l'indique pas, elle est plutôt localisée ces temps-ci du côté du Bénin. Les auteurs de ces mails piégés vous écriront aussi pour vous dire qu'ils sont très malades, qu'ils n'ont plus de famille et que vous allez forcément bénéficier de leur héritage. Les autres approches, toutes rédigées sur le mode de l'apitoiement, évoquent parfois un crash d'avion. Tous ces mails sont surnommés "scams" par les spécialistes. Les enquêteurs versés dans la "cybercriminalité" appellent cela "l'infraction 419", qui correspond à l'article 4-1-9 du Code pénal nigérian qui sanctionne la fraude.
Attention, danger !

http://www.laprovence.com/article/actualites/2320468/piratages-fausses-factures-edf-les-escrocs-de-retour.html

Braqueur d'un Carrefour City à 8h30, arrêté à 17 heures

Les enquêteurs de permanence à la sûreté départementale n'ont pas traîné hier alors qu'ils avaient été saisis d'une agression, hier matin vers 8 h 30. À l'ouverture du magasin Carrefour City avenue de Fronton à Toulouse, un individu a débarqué avec une cagoule sur la tête, des gants sur les mains et un marteau. Ses exigences étaient très claires : la caisse ! Il est reparti avec pas mal d'argent liquide, laissant les victimes choquées. Les policiers ont réalisé les auditions des employés mais également des témoins. Un travail de fourmi, classique, qui a permis de dégager une piste. La bonne semble-t-il. À 17 heures, un suspect âgé de 26 ans a été interpellé. Il serait l'agresseur du matin. Il a été placé en garde à vue au commissariat central.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/22/1611526-braqueur-carrefour-city-8h30-arrete-17-heures.html

A Nîmes, la rue Nationale n’en peut plus des trafics en tout genre

Pour les commerçants et les riverains, cette artère est "devenue une zone de non-droit". Ils aspirent au calme.

Annexée par des dealers, une bande de jeunes dont les affaires perturbent celles du commerce local, la rue Nationale est au bord de la crise de nerfs. Les commerçants qui voient leur clientèle partir sous d’autres cieux pour fuir les intimidations et les riverains qui, à partir de 19 heures, assistent à des trafics en tout genre, commencent à trouver le temps long. Tous attendent avec une impatience non dissimulée que la Ville les entende et ramène le calme dans ce secteur très urbain, puisque situé à deux pas des halles.
"Dès 19 heures (...), des bandes qui transforment l’espace public en enfer"

La rue Nationale, entre La Coupole et place du Château, a connu des jours meilleurs : cette parallèle à la rue Général-Perrier qui fut très commerçante et donc très animée sombre peu à peu dans une paupérisation générale. Nombre de commerces ont tiré le rideau et ceux qui restent, multiculturels, doivent multiplier les efforts pour survivre en cette période de crise. "Nous, on vit une crise dans la crise" alerte le patron d’un magasin dont l’activité marchande est quotidiennement contrariée par celle des dealers. Lui ne voit son salut et celui de son entreprise que dans les caméras de vidéosurveillance promises par l’adjoint à la sécurité, Richard Tibérino.
Les riverains sont également exaspérés par cette situation. Le même adjoint à la sécurité a été saisi par l’un de ces habitants qui n’est pas convaincu par les mesures annoncées par la Ville. "Malgré vos engagements, tous les soirs, dès 19 heures, la rue Nationale est livrée à des bandes qui transforment l’espace public en enfer. Le maire dispose d’un pouvoir de police qu’il se doit d’exercer par votre intermédiaire. Les caméras sont toujours absentes. Et elles ne sont qu’une réponse très partielle au problème. Seule une présence policière pourrait régler cette question."
" Un jeu de ping-pong entre les services de l’État et ceux de la Ville"
Sur ce dernier point, Richard Tibérino est bien d’accord. "Cette présence policière, le maire et moi la réclamons régulièrement au préfet et au commissaire divisionnaire." Et de rappeler que la sécurité des personnes et des biens ainsi que le trafic de produits stupéfiants relèvent de la seule compétence de l’État avant d’inviter, en substance, ce riverain à "saisir M. Valls sur l’absolue nécessité d’obtenir des renforts au commissariat de Nîmes". Pas suffisant pour calmer la colère de cet habitant qui, pour sa part, qualifie de "tout simplement affligeant ce jeu de ping-pong entre les services de l’État et ceux de la Ville".

http://www.midilibre.fr/2013/04/21/la-rue-nationale-n-en-peut-plus-des-trafics-en-tout-genre,683281.php

Dordogne : un mineur blessé après avoir emprunté la voiture de sa mère

Un jeune de 17 ans, résidant à la cité Pagot, à Coulounieix-Chamiers devra s’expliquer prochainement devant les policiers de la brigade routière de Périgueux. Samedi, vers 8 heures, les policiers ont été appelés par des riverains de la cité qui venaient de découvrir une voiture accidentée où l’on distingait un peu de sang.
Dans le même temps, les sapeurs pompiers étaient requis pour secourir un homme qui disait avoir été percuté par un véhicule. Les policiers n’ont pas tardé à faire le rapprochement entre les deux événements. Blessé aux jambes, le jeune qui a perdu le contrôle du véhicule qu’il avait emprunté à sa mère a été conduit à l’hôpital

http://www.sudouest.fr/2013/04/21/faits-divers-1031161-4584.php

dimanche 21 avril 2013

Dijon : il tente de sauver de la noyade une victime… introuvable

Que s’est-il réellement passé vendredi soir aux abords du quai Nicolas-Rolin, à Dijon ? Peu après 22 heures, les sapeurs-pompiers dijonnais ont été appelés pour une noyade. Sur place, ils sont tombés sur un homme unijambiste et un passant qui venait de le hisser hors du canal.

Une jeune femme d’environ 18 ans

Selon nos renseignements, l’individu sorti de l’eau, un homme âgé de 51 ans, domicilié à Dijon et amputé d’une jambe, a indiqué aux pompiers du centre de secours du Transvaal avoir sauté à l’eau pour sauver quelqu’un en train de se noyer. Il a déclaré avoir entendu puis vu une jeune personne, âgée d’environ 18 ans, tomber dans le canal. Quelques minutes plus tard, faute de pouvoir sortir seul, sa prothèse de la jambe s’étant détachée pendant l’action, il a reçu l’aide d’une tierce personne pour le remonter sur la berge du canal.

Quatre heures de recherches, en vain

À la lumière de ces renseignements, et une fois cet homme pris en charge par les secours pour être transporté au centre hospitalier de Dijon – il était en état d’hypothermie –, les sapeurs-pompiers ont dès lors engagé d’importantes recherches sous-marines pour retrouver cette personne qui se serait noyée ou qui était en train de se noyer. Après presque quatre heures d’intervention dans l’eau et en aval du canal, les secours n’ont rien trouvé, rien pour étayer les dires de cet homme unijambiste qui, au final, est le seul à avoir vu quelque chose puisque le passant a déclaré pour sa part n’avoir rien vu ou entendu lorsqu’il a aidé le quinquagénaire.
Du côté de la police, présente sur les lieux, la prudence est de mise sur le témoignage de cet homme de 51 ans. Aucune enquête n’a été ouverte et, à l’heure où nous écrivons ces lignes, aucun corps n’a été retrouvé. Tout comme la prothèse de jambe que l’homme affirme avoir perdu dans l’eau.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/21/dijon-il-tente-de-sauver-de-la-noyade-une-victime-introuvable

Tarbes : deux personnes grièvement blessées

L'état de l'un des deux véhicules qui se sont percutés , peu avant 2heures dans la nuit de vendredi à samedi , Place de la Courte Boule, témoigne de l'extrême violence du choc. La voiture s'est retrouvée sur le toit . Deux personnes ont été grièvement blessées dans cet accident et l'une d'elles a dû être désincarcérée par les pompiers. Elles sont été transportées au centre hospitalier de Tarbes . La police était sur les lieux et l'enquête permettra sans doute de déterminer si le feu rouge a bien été respecté. Quant à l'intervention des soldats du feu, elle a été particulièrement longue et s'est terminée à 3h 56.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/21/1610962-tarbes-deux-personnes-grievement-blessees.html

Bordeaux : ivre, il propose de la drogue aux policiers

Cet étudiant bordelais de 20 ans était loin de se douter qu’il frappait à la portière d’un véhicule de police, jeudi, à 5 heures du matin, alors qu’il cherchait une voiture pour le conduire des Chartrons à la porte de Bourgogne.
Pour effectuer ce trajet, il a proposé 11 cachets de MDMA, une amphétamine connue sous le nom d’ecstasy. Les policiers de la brigade anti-criminalité, en civil, l’ont fait monter à bord de leur véhicule banalisé et l’on emmené au… commissariat central. L’étudiant, en état d’ébriété, a réalisé quand il a vu les véhicules sérigraphiés stationnés dans la cour.

Placé en cellule de dégrisement puis entendu par les enquêteurs de la Sûreté départementale, il a reconnu être un consommateur occasionnel de drogue. À son domicile, les policiers ont découvert des bocaux ayant contenu de l’herbe de cannabis. L’étudiant a été convoqué pour comparaître devant le tribunal en mai.

http://www.sudouest.fr/2013/04/20/faits-divers-1030486-4584.php

samedi 20 avril 2013

Beaune : agressée à son domicile par deux hommes encagoulés

Jeudi soir, peu avant minuit, une Côte-d’Orienne âgée d’une soixantaine d’années et domiciliée dans le quartier de la gare, à Beaune, a été agressée à son domicile par deux individus.
Alors qu’elle était en train de fermer les volets, de sa maison la propriétaire des lieux s’est retrouvée face à deux hommes, encagoulés, qui se sont imposés par la force. La victime, seule à son domicile au moment des faits, a été frappée et immobilisée par les deux malfaiteurs. Ces derniers en ont ensuite profité pour faire rapidement le tour de la maison, dérobant au passage des effets personnels et de la nourriture dans le réfrigérateur.
Les agresseurs, qui ont pris la fuite, n’ont pas été retrouvés. Une enquête de police a été ouverte hier par les services de la direction départementale de la sécurité publique.

http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2013/04/20/agressee-a-son-domicile-par-deux-hommes-encagoules

Une femme de 66 ans tuée par des proches à Montélimar: 3 mises en examen

Une femme de 41 ans et deux mineurs de 16 et 17 ans ont été mis en examen samedi pour le meurtre d'une proche, une ancienne infirmière de 66 ans demeurant à Montélimar (Drôme) et dont le corps aurait été jeté dans le Rhône, a-t-on appris auprès du Parquet de Valence.
Deux des mis en examen appartiennent à la famille de la victime, a-t-on précisé, confirmant une information de France Bleu Drôme Ardèche.
Jeudi, la soeur de la victime s'était présentée au commissariat de Montélimar pour signaler qu'elle était sans nouvelle de la sexagénaire depuis plusieurs jours, a indiqué à l'AFP le procureur de la République de Valence Antoine Paganelli.
Les policiers se sont alors rendus au domicile de la retraitée. Trouvant porte close, ils ont sollicité l'aide des pompiers pour pénétrer dans les lieux.
Dans l'appartement, ils ont trouvé la fille de la victime, âgée de 41 ans, mais également constaté la présence de nombreuses traces de sang, notamment sur des cartons de déménagement préparés par la victime.
Conduite au commissariat, la quadragénaire a expliqué aux policiers que quelques jours plus tôt elle s'était battue avec sa mère, d'où les traces de sang dans l'appartement.
Après une accalmie, la querelle aurait repris et la quadragénaire aurait alors appelé à sa rescousse un parent mineur, âgé de 16 ans, venu, selon elle, accompagné de deux amis.
Ces derniers, selon ses déclarations aux policiers, auraient frappé la sexagénaire avant de l'emporter inconsciente hors de l'appartement.
Le jeune homme de seize ans a été interpellé à son tour vendredi - il se trouvait depuis plusieurs jours en prison pour d'autres faits - de même qu'un autre mineur.
Au terme de leur garde à vue, les trois suspects ont été mis en examen pour homicide volontaire sur ascendant et homicide volontaire sur personne vulnérable.
Le corps de la sexagénaire n'avait pas été retrouvé samedi.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1141751/20130420-femme-66-ans-tuee-proches-a-montelimar-3-mises-examen

Haute-Saône : une voiture défonce une station

L’accident, qui n’a pas fait de blessé, s’est produit vendredi soir au cœur du village de Dampierre-sur-Linotte (Haute-Saône). Peu avant 23 h, et pour une raison que les gendarmes de la communauté de brigades de Rioz auront à déterminer, une BMW, conduite par une jeune femme de 26 ans originaire de Lure, est sortie de sa trajectoire avant de terminer dans le garage Dampierre, tenu par Laurent et Sophie Rathouis, alors en vacances. L’une des trois pompes à essence situées en bord de route a été arrachée, une autre endommagée tout comme deux voitures (une Peugeot 106 et une Renault Clio) du garage, stationnées sur le trottoir. La porte d’entrée du commerce a également subie des dommages dans l’accident.
Les pompiers de Montbozon, ainsi qu’un camion incendie de Vesoul ont été engagés à 22 h 49. Mais fort heureusement les secours n’ont relevé ni fuite d’essence des pompes, ni feu.
La conductrice et son passager assis à l’arrière ont été pris en charge et transportés à l’hôpital de Vesoul pour des examens de contrôle.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/20/haute-saone-une-voiture-defonce-une-station-service

Montélimar : un mineur soupçonné d’avoir tué sa grand-mère avec l’aide de sa mère

L’affaire est sordide. À Montélimar, un mineur âgé de 16 ans est soupçonné d’avoir tué sa grand-mère de 66 ans avec l’aide de sa mère, entre le 9 et 10 avril. L’adolescent et sa mère sont aujourd’hui samedi en garde à vue et devraient être déférés au parquet dans la journée. Selon nos informations, le corps de la sexagénaire aurait été enveloppé dans une couette avant d’être jeté dans le Rhône.

http://www.ledauphine.com/drome/2013/04/20/montelimar-un-mineur-soupconne-d-avoir-tue-sa-grand-mere-avec-l-aide-de-sa-mere

Albi. Le parachutiste fait un saut à l'hôpital

Pas de chance ! Ce parachutiste était en fin de formation. Cet élève a été victime d'un concours de circonstance. À cause d'un parachute qui était au dessous de lui, le sien a déventé et s'est dégonflé. Du fait de ce phénomène physique, il a chuté de 5 à 6 mètres d'un coup», compatit Guy Tourreilles, instructeur cadre d'Airborne center. Un stagiaire de cette association de Perpignan pour la semaine à l'aéroport d'Albi-le-Séquestre a fait un mauvais atterrissage, jeudi vers 19 h 20. Les sapeurs-pompiers ont transporté ce maçon d'Agen à l'hôpital d'Albi. En cours d'examen hier, il souffrirait d'une fracture à la cheville droite. «C'était lors de l'avant-dernier saut de la journée. J'ai sauté après lui et j'avais les pompiers sous moi», témoigne Guy Tourreilles. «C'est un aléa dont on se serait bien passé, mais cela fait partie des risques. Il y a toujours quelques petits bobos.» Risques, il le reconnaît, accrus avec le parachute rond inusité depuis 1980, que cette association de passionnés remet au goût du jour. «Avec une aile, vous faites deux pas et vous vous arrêtez. Le parachute hémisphérique est beaucoup plus viril. On arrive comme des pierres au sol. On se reçoit beaucoup plus lourdement. C'est l'équivalent d'une chute de 3 ou 4 mètres, comme si vous sautiez de votre balcon. En plus, les parachutistes n'ont aucun moyen de direction, juste réduire un peu l'angle de chute. C'est pourquoi on apprend à faire des rouler-bouler pour amortir.» Pourquoi alors préférer au rectangulaire confort ce parachute ancien qui n'arrondit pas vraiment les angles ? «Pour plusieurs décharges d'adrénaline, quand on monte dans l'avion, quand on saute, en attendant que le parachute s'ouvre et à la réception au sol. C'est le plus dangereux», répond ce cadre d'Airborne center. Pour récompense, les 60 adhérents peuvent sauter lors de reconstitutions historiques avec leurs gracieuses coupoles depuis «des avions de légende» tel cette semaine l'Antonov 2.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/20/1610138-le-parachutiste-fait-un-saut-a-l-hopital.html

Montpellier : il drague l’étudiante, la vole et l’attache

Le suspect, âgé de 18 ans, rodait dans la résidence estudiantine Proby, rue Lapeyronie. Après avoir dragué une étudiante il l'a volé puis, pour protéger sa fuite, lui a attaché les jambes avant de détaler.
Un jeune individu âgé de 18 ans a été interpellé après avoir dépouillé et traumatisé une étudiante. Jeudi après-midi, le suspect rodait dans la résidence estudiantine Proby, rue Lapeyronie, en tapant au hasard des portes, jusqu’à ce qu’il tombe sur la victime.
"Si tu cries, je te balance un coup de Tazer"

Il a commencé à lui parler, pour la draguer, tout en repérant son ordinateur portable. Il l’a soudain bousculée, il est rentré dans le studio et a menacé la jeune femme de 20 ans : "Si tu cries, je te balance un coup de Tazer", une arme qu’il n’avait pas. Il a ensuite fait main basse sur l’ordinateur mais aussi le téléphone portable et 50 € en liquide que possédait la victime. Puis, pour protéger sa fuite, il lui a attaché les jambes avec des chaussettes avant de détaler.
L’étudiante a reconnu son agresseur sur le registre du commissariat où il était fiché déjà pour des vols avec violence. Arrêté, il sera jugé en comparution immédiate lundi.

http://www.midilibre.fr/2013/04/19/il-drague-l-etudiante-la-vole-et-l-attache,682084.php

Lot-et-Garonne : deux octogénaires agressées en centre-ville de Tonneins

La première victime, âgée de 79 ans, a été abordée jeudi entre 10h20 et 10h30 sur la place de l'Eglise à Tonneins, par deux femmes d'une vingtaine d'années qui voulaient lui faire signer une pétition. En la suppliant de signer, elles lui caressaient le bras, lui tapotaient dans le dos pour la mettre en confiance. Et pour ne pas que la dame sente qu'une d'entre elles dégrafait son collier, d'une valeur de 3000 euros.
La seconde victime, tout juste octogénaire, a, elle, été abordée peu de temps après, entre 10h40 et 11h30, rue du Maréchal Foch. Cette fois, les deux mêmes jeunes femmes, l'ont sollicitée pour un don au profit d'une oeuvre caritative. Toujours aussi tactiles (bises de remerciement et accolades) , elles ont réussi à lui subtiliser un collier estimé lui aussi à environ 3000 euros.

Ce n'est que quelques minutes plus tard que les deux dames se sont rendues compte du vol du bijou.
La gendarmerie invite les Tonneinquais à la plus grande vigilance

http://www.sudouest.fr/2013/04/19/tonneins-deux-octogenaires-agressees-en-centre-ville-1029739-3887.php

vendredi 19 avril 2013

Un adolescent vole son propre père

Tout part d'un dépôt de plainte. Un Laonnois se rend ainsi au commissariat en novembre dernier parce qu'il s'est aperçu qu'on lui a volé son chéquier mais il ne sait pas comment précisément.
Les policiers effectuent des réquisitions. Ils reçoivent un retour de plusieurs banques.
Au total, quinze chèques ont rapidement été émis, essentiellement pour acheter des vêtements dans diverses boutiques laonnoises.
Les policiers mènent plusieurs investigations et finissent par arrêter l'un des fils de la victime ! Celui-ci lors de son audition clame son innocence et soupçonne son frère de lui avoir dérobé sa carte d'identité qui a été présentée à plusieurs commerçants.

L'adolescent mis en cause est entendu et finit par reconnaître les faits. Son père en apprenant qu'il était le voleur a retiré sa plainte mais le parquet a décidé de poursuivre tout de même ce mineur de 15 ans.
Il est convoqué devant le juge pour enfants, en mai prochain, en vue de sa mise en examen pour falsification et usage de chèques contrefaits.
Il connaît déjà bien les arcanes de la justice puisqu'il a notamment participé au braquage du tabac presse La Champagne en mars dernier.


http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/un-adolescent-vole-son-propre-pere

Arche de Zoé: Breteau et Lelouch libérés

Le fondateur de l'association française l'Arche de Zoé et sa compagne, qui avaient tenté en 2007 d'exfiltrer 103 enfants du Tchad, sont sortis hier soir de la prison de Fresnes (région parisienne), selon leur avocate.

La cour d'appel avait décidé hier matin
de remettre en liberté sous contrôle judiciaire Eric Breteau et Emilie Lelouch en attendant leur procès en appel, prévu du 20 au 29 novembre. Eric Breteau, 42 ans, et Emilie Lelouch, 37 ans, ont été condamnés le 12 février à trois ans de prison, dont un avec sursis, notamment pour escroquerie.

L'opération de l'Arche de Zoé avait été stoppée net le 25 octobre 2007, alors que l'association s'apprêtait à embarquer à Abéché dans l'est du Tchad avec 103 enfants présentés comme des orphelins du Darfour affublés de faux pansements dans un avion spécialement affrété à destination de la France.

Eric Breteau et Emilie Lelouch comparaîtront devant la cour d'appel aux côtés du logisticien de l'opération, Alain Péligat, qui avait été condamné à six mois de prison avec sursis. Le président tchadien Idriss Déby a déclaré dimanche qu'il souhaitait toujours un dédommagement de la France, après l'affaire de l'Arche de Zoé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/19/97001-20130419FILWWW00391-arche-de-zoe-breteau-et-lelouch-liberes.php

La Croix-Blanche. Plaintes après la mort d'un chien

Suite et pas fin de l'affaire des deux bergers allemands placés en fourrière en 2008. Leur propriétaire a appris la mort de l'un des deux animaux, alors qu'elle estime avoir le droit de les récupérer.
Janvier 2008 - avril 2013, rien n'est réglé. Pire, un des deux chiens est décédé «de façon suspecte» explique Nathalie, sa propriétaire. Nathalie est cette mère de famille qui, depuis cinq ans, se bat pour récupérer Volcan, désormais décédé et «dans un congélateur depuis une semaine» et Vérone, toujours vivante mais en cage au chenil départemental de Caubeyres (lire notre édition du 4 octobre dernier).

Bataille juridique

C'était le 11 janvier 2008. Un couple de retraités est mordu par deux bergers allemands à La Croix-Blanche. Emotion dans le village. Le maire de l'époque prend un arrêté de placement en fourrière et le préfet décide de l'euthanasie.
Mais la justice contredit en deux temps la décision de la préfecture. Les deux chiens ne peuvent pas être envoyés au paradis des canidés. Suit alors une bataille juridique sans fin avec, au centre de la polémique, Vérone et Volcan, enfermés. Pour Jean-Jacques Banel, le président du SIVU chargé de la fourrière départementale : «Je ne fais qu'appliquer la décision de justice qui prévoyait la mise en fourrière. Et cet arrêté n'est à ce jour pas contredit même s'il n'est pas possible de les euthanasier.» Point final.
Mais la propriétaire ne lâche pas prise. Via son avocate, elle a porté plainte le 12 avril contre la mort «suspecte» de Volcan, «non dispense de soins vétérinaires», non-exécution d'une décision de justice et «abus de pouvoir»… Au total, 18 procédures distinctes visant la fourrière et ses responsables, le préfet, et le maire de La Croix Blanche Jean-Claude Maxant. Précision utile, il n'était pas aux commandes en 2008, quelques mois avant les élections municipales. Mais l'élu répète qu'il ne veut pas lever l'arrêté de mise en fourrière de son prédécesseur «dans la mesure où la propriétaire n'est pas en mesure de tenir en confinement ces animaux, même si elle n'habite plus sur la commune.»

Pas d'autopsie

Fermement décidée à en savoir plus sur les conditions du décès de Volcan, Nathalie dit avoir demandé une autopsie «qui m'a été refusée.» De son côté, Jean-Jacques Banel affirme ne pas être au courant de cette demande «et d'ailleurs, ces chiens ne sont pas vraiment les siens
[…] Les conditions du décès ne sont pas suspectes à mes yeux.»Le 11 février dernier, Nathalie s'est déplacée à Caubeyres, avec un huissier qui a constaté que la fourrière ne voulait pas lui remettre les deux chiens «en dépit d'une décision de justice qui m'était favorable[…] Morts ou vifs, je veux récupérer mes chiens. Je n'ai d'ailleurs pas été informée officiellement du décès de l'un d'eux.» En ayant peur de récupérer deux cadavres.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/19/1609403-plaintes-apres-la-mort-d-un-chien.html