lundi 31 décembre 2012

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2013 ( Les Enfantastiques chorale d'enfants


BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2013 ( Les... par MEGAONDE

Jeune tué: 4 personnes en garde à vue

Quatre personnes étaient aujourd'hui en garde à vue après la mort hier d'un jeune homme de 19 ans, tué par balle à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) lors d'une querelle entre gens du voyage, a priori liée à une histoire de coeur, a-t-on appris de sources concordantes.

Peu après le ou les coups de feu, deux membres de la famille de la victime, son père et son oncle, tous deux membres de la communauté des gens du voyage, sédentarisés, ont été interpellés en possession d'un fusil de chasse et d'un pistolet automatique. Ils ne seraient pas a priori liés à l'attaque contre la victime, mais auraient pris les armes après l'attaque, selon une source policière.

Deux fils de cette famille ont également été interpellés hier en possession d'une arme et placés en garde à vue, a-t-on précisé de source proche du dossier. Selon cette source, il s'agirait d'une querelle entre gens du voyage, a priori liée à une histoire de coeur. Ces quatre hommes étaient toujours en garde à vue cet après-midi, selon une autre source proche du dossier.

Le corps du défunt devait être rapatrié cet après-midi à Clichy-sous-Bois, après une autopsie à l'Institut médico-légal (IML) à Paris. L'agression a eu lieu dans un pavillon situé allée de la Chapelle, dans la zone pavillonnaire de Clichy-sous-Bois, une commune pauvre d'environ 30.000 habitants, située à 20 kilomètres à l'est de Paris. La police s'était rendue sur place "suite à l'appel d'un témoin qui a fait le 17", selon une source policière.

"Il y a eu deux détonations entendues au domicile de la famille vers 17h (dimanche). Deux véhicules de police se sont rendus sur place mais la victime avait déjà été emmenée à l'hôpital", avait expliqué dimanche une autre source policière. Le service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargé de l'enquête.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/31/97001-20121231FILWWW00369-jeune-tue-4-personnes-en-garde-a-vue.php

Le gendarme radié en 2010, promu

Le commandant Jean-Hugues Matelly, radié des cadres de la gendarmerie en 2010 et réintégré l'année suivante sur décision de justice, est promu lieutenant-colonel au 1er janvier 2013, selon un décret publié au Journal Officiel.
Le commandant Matelly, 47 ans, avait été radié des cadres en mars 2010 par décret du président de la République pour manquement à son obligation de réserve.
Il lui était reproché de s'être exprimé dans les médias fin 2008 en tant que chercheur du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et d'avoir critiqué le rapprochement police/gendarmerie au sein du ministère de l'Intérieur, effectif depuis 2009, qui suscitait des inquiétudes parmi les gendarmes.
Selon leur direction, les gendarmes sont "soumis à l'obligation de réserve" et "au devoir de loyauté vis-à-vis des institutions", ce que M. Matelly n'avait pas respecté.
Jean-Hugues Matelly, qui a écrit un livre sur son affaire fin 2010, disait avoir agi pour que les gendarmes, qui n'ont pas le droit de se syndiquer, aient un espace de "liberté d'expression".
La radiation du gendarme avait été annulée en janvier 2011 par le Conseil d'Etat, qui avait jugé cette sanction "manifestement excessive" et enjoint qu'il soit réintégré.
Son nom figure parmi ceux des chefs d'escadron de gendarmerie promus au grade de lieutenant-colonel par un décret du président de la République en date du 28 décembre publié dimanche au JO.
 

Mazamet : un buraliste agressé

Attila Csiki, a été agressé par quatre individus alors qu'il rentrait chez lui, samedi en début de soirée. Hospitalisé à Castres, il souffre de fractures à la face et devrait être opéré.
C'est dans un véritable guet-apens qu'est tombé samedi vers 19 h 30, Attila Csiki, propriétaire du bureau de tabac «Le Jean-Bart», situé dans la rue Assémat-Rives, au centre-ville de Mazamet. Peu après 19 heures, alors qu'il venait de fermer son commerce, il enfourche son vélo pour se rendre à son domicile dans le quartier de Négrin. En remontant lentement la rue Saint-Jacques, très pentue, il sent une présence derrière lui. Il n'aura pas le temps de s'interroger bien longtemps. Quatre individus armés d'une barre de fer lui assènent un violent coup sur la tête. Il chute de son vélo. Les quatre personnes tentent alors de lui dérober la sacoche qu'il porte, ils y parviendront difficilement en s'aidant d'un couteau.
À l'intérieur outre des effets personnels, un peu d'argent liquide et les clefs du bureau de tabac. Leur forfait accompli, les quatre individus s'éclipsent dans la nuit mazamétaine, laissant Attila Csiki ensanglanté sur la chaussée mais conscient, car il a pu lui-même prévenir son épouse et les secours. Rapidement sur place, les sapeurs-pompiers évacuent le buraliste sur le centre hospitalier de l'Autan à Castres, où il était toujours hier en observation, en attente d'une probable opération. Il souffre de fractures à l'os orbital.
Hier après-midi son épouse Lydie témoignait : «Ces quatre personnes l'attendaient c'est sûr, elles devaient penser qu'il avait de l'argent sur lui, or il n'avait presque rien, uniquement la recette de fin de journée».

«Il n'a jamais reçu de menace»

Elle ajoute : «On ne comprend pas cette agression, il n'a jamais reçu de menaces et n'avait aucune raison de se méfier de qui que ce soit. J'arrive juste de l'hôpital et mon mari n'est pas en bon état. Il est contusionné de partout car il a reçu des coups de pieds et de poings et l'os orbital est fracturé à deux endroits, son œil a tendance à tomber dans l'orbite, mais fort heureusement il devrait pouvoir en conserver l'usage. Demain (aujourd'hui) les médecins vont décider s'il doit être transféré sur un hôpital de Toulouse pour y être opéré. Je n'en sais pas plus pour l'instant, j'apprends les choses au fur et à mesure». Quant au bureau de tabac, il devrait rester fermé quelques jours encore. Depuis hier, un petit écriteau justifie cette fermeture exceptionnelle : «Fermé pour cause d'agression». «Je vais m'organiser en fonction de l'évolution de la santé de mon mari», conclut Lydie Csiki.

Achats par cartes bancaires

L'agression dont a été victime Attila Csiki s'est vite répandue hier auprès des buralistes tarnais. Jean-Michel Quintin, leur représentant départemental fut l'un des premiers à réagir : «Encore un buraliste agressé, aujourd'hui c'est à Mazamet, au début du mois c'était à Lescure-d'Albigeois, que faut-il faire pour travailler en sécurité» ?
Son collègue de Soual, par ailleurs apparenté à la victime commentait à son tour : «Il faut que ces agressions cessent, le métier de buraliste n'est plus comme avant, on ne brasse plus d'argent liquide, la plupart des achats s'effectuent via des cartes bancaires. Pour quelques dizaines d'euros mon collègue de Mazamet se retrouve à l'hôpital et va peut-être perdre un œil. Ce n'est plus possible».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/31/1525969-mazamet-un-buraliste-agresse.html

Trèbes (Aude) : une femme retrouvée noyée dans le canal du Midi

Sur le chemin de halage qui longe le canal du Midi un passant a découvert, hier peu après 15 h, un corps flottant à la surface. Immédiatement alertés, les sapeurs-pompiers ne pourront que ramener sur les berges le corps inanimé d’une femme.Il s'agirait d'une Trébéenne âgée d’une soixantaine d’années.
Tragique découverte que celle faite par un promeneur adepte des berges du canal du Midi, hier, en début d’après-midi, sur la commune de Trèbes, à proximité du Pont Vauban.
Sur le chemin de halage qui longe l’ouvrage, le passant a eu le malheur de distinguer, peu après 15 h, un corps flottant à la surface. Un choc qui l’amènera à alerter les secours dans la seconde. Sur place, les sapeurs-pompiers ne pourront que ramener sur les berges le corps inanimé d’une femme.

A proximité d’un platane un blouson abandonné
Egalement sur les lieux, les gendarmes de la brigade de Trèbes, rejoints par le commandant de la compagnie de Carcassonne, Marie-France Sauvagnac, découvriront à proximité d’un platane un blouson abandonné. A l’intérieur, des papiers permettant de supposer l’identité de la personne décédée, une Trébéenne âgée d’une soixantaine d’années.
La théorie du suicide confirmée
De quoi mener les premières investigations et s’engager vers l’hypothèse d’un geste de désespoir, selon des indications livrées par un des voisins de la femme découverte. Les premières constatations laissaient penser que la Trébéenne avait plongé dans les eaux du canal quelques heures plus tôt. Le renfort d’un technicien en identification criminelle et d’un médecin, arrivés sur les lieux peu avant 16 h, permettront finalement de confirmer la théorie du suicide.

http://www.midilibre.fr/2012/12/30/une-femme-retrouvee-noyee-dans-le-canal-du-midi,619721.php

Mauléon (64) : un appel à témoins lancé après l'accident mortel

Hier, le parquet de Pau a décidé de lancer un appel à témoins pour contribuer à déterminer les circonstances et les responsabilités dans l'accident mortel survenu vendredi, à 19 h 30, à Mauléon.
Les deux victimes, un couple d'octogénaires, ont été renversées par une camionnette alors qu'elles traversaient l'avenue de Belzunce, en face du centre médical Batasuna, semble-t-il en dehors du passage protégé. L'homme, âgé de 84 ans, et son épouse, 82 ans, ont été transportés au cours de la soirée par l'hélicoptère de la Sécurité civile au centre hospitalier de Pau. La dame, grièvement blessée à la tête, est décédée en arrivant à l'hôpital de Pau, malgré l'intervention du Service mobile d'urgence et de réanimation (Smur).

L'auteur des faits entendu
La victime, Concepción Morais-Rodriguez (dite Conchita), habitait à Mauléon avec son époux, où ils avaient fait construire une maison de plain-pied il y a quelques années, impasse du Barétous. Le couple avait travaillé pendant plusieurs années à Paris, lui dans un cabinet d'avocat, elle dans un café. Hier, M. Morais était toujours en réanimation à l'hôpital de Pau. Vendredi, son état avait été jugé plus critique que celui de son épouse.
L'auteur des faits a été entendu une première fois par la brigade de Mauléon, chargée de l'enquête. Âgé de 26 ans, cet homme, exerçant le métier d'éducateur et domicilié à Mauléon, expliquerait le drame par une faute d'attention de sa part. Le conducteur n'a pas eu le temps d'éviter les piétons, alors qu'il n'était pas sous l'emprise de stupéfiants, ni alcoolisé au moment des faits. Par ailleurs, une vitesse excessive ne serait pas à l'origine du drame. L'homme a été laissé libre après son audition.
Le parquet de Pau invite toute personne témoin de l'accident à se mettre en contact avec la brigade de Mauléon (05 59 19 22 00).

http://www.sudouest.fr/2012/12/30/un-appel-a-temoins-lance-apres-l-accident-mortel-921510-4344.php

dimanche 30 décembre 2012

Bagneux: 2 jeunes séquestrés et tabassés

Deux jeunes ont été séquestrés hier soir à Bagneux (Hauts-de-Seine) par trois personnes qui les ont violentés à bord d'une camionnette et dans une cave, sur fond d'affaire de drogue, avant de les libérer, a-t-on appris dimanche de sources concordantes. "Deux individus de 19 ans ont été séquestrés et molestés avant d'être délivrés dans la soirée", a indiqué une source policière.

Un des trois auteurs présumés de l'agression, âgé d'une vingtaine d'années, a été interpellé samedi soir "à proximité" des lieux où se sont déroulés les faits, dans la cité des Tertres, au volant de la camionnette, et placé en garde à vue, a ajouté cette source.
La police judiciaire est chargée de l'enquête. Hier, "trois personnes ont fait monter deux jeunes de force dans une camionnette, vers 18H00, où ils les ont violentés avant de les conduire dans la cave d'un immeuble, pour finir le travail", a confirmé une source préfectorale, précisant que les victimes avaient été "amochées".

Les deux jeunes se sont alors rendus dans la soirée au commissariat de Bagneux pour raconter leur agression. Ils ont expliqué aux agents qu'ils avaient été visés "parce qu'ils avaient trouvé des produits stupéfiants, du shit semble-t-il, qui devaient appartenir aux trois agresseurs présumés", a-t-on expliqué de même source. Ils ont également donné un signalement de leurs agresseurs et de la camionnette.

"Les agresseurs présumés sont connus de la police pour trafic de drogue", a ajouté la source préfectorale, tandis que l'une des victimes est connue pour "usage de stupéfiants". Les deux jeunes, souffrant de multiples blessures sur le corps et le visage, ont été transportés à l'hôpital Antoine-Béclère à Clamart (Hauts-de-Seine).

Ce matin, des inscriptions tracées à la bombe de peinture sont apparues sur des murs de la cité des Tertres, avec des insultes visant la commissaire et la maire de Bagneux, et d'autres graffitis ciblant nommément un fonctionnaire de police, a précisé la source préfectorale.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/30/97001-20121230FILWWW00161-bagneux-2-jeunes-sequestres-et-tabasses.php

Accident à Saint-Etienne : l'automobiliste est décédé

Le conducteur d’une Renault Twingo a vraisemblablement perdu le contrôle de sa voiture, dimanche matin, vers 11h30, boulevard Pasteur à Saint-Etienne. Le véhicule aurait fait une embardée, percutant un poteau électrique puis une borne incendie.
Après le choc, un geyser d’eau s’est formé en bordure de chaussée. L’automobiliste, âgé de 65 ans, est décédé. C'est un malaise cardiaque antérieur à la collision qui pourrait être à l’origine de l’accident.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/12/30/accident-a-saint-etienne-un-automobiliste-en-arret-cardio-ventilatoire

Un emménagement qui finit chez les gendarmes

Pris à partie par un riverain, hier à Sézanne, un homme a tiré une balle en caoutchouc. L'autre a répliqué à coups de club de golf.
Sézanne, ses mails, son église, son marché couvert pittoresque… ses disputes qui émaillent régulièrement la vie tranquille de cette petite ville du Sud-Ouest marnais. Comme celle qui a secoué hier le quartier Saint-Pierre situé à l'entrée de la commune lorsqu'on arrive de Châlons-en-Champagne par la RN 4.
Vers 14 h 30, les gendarmes de la cité des mails sont alertés par un homme qui explique qu'on vient de lui tirer dessus à l'aide d'une carabine. Le Sézannais, âgé d'une trentaine d'années, n'a pas été touché mais il est visiblement sous le coup de la colère.
Rapidement, les hommes du capitaine Romain se rendent sur place. Face à la situation, les militaires reçoivent le soutien de leurs homologues du PSIG, de la BMO et de la brigade de recherches d'Epernay. Ce sont, au total, une vingtaine d'hommes qui investissent le quartier Saint-Pierre.
Sur place, ils se rendent compte que si la situation doit être rapidement maîtrisée, le tireur ne présente visiblement pas de réel danger pour les riverains.
Le fusil utilisé s'avère être une arme de défense de type gomme cogne tirant des balles en caoutchouc. Hier, si le tireur a heureusement raté sa cible, cela n'a fait qu'attiser la colère de la victime qui est allée chercher l'un de ses clubs de golf pour répliquer.
L'arme et le club de golf confisqués
De son côté, le détenteur du gomme cogne s'est retranché chez lui mais sans faire preuve d'aucune agressivité. Il n'a d'ailleurs fait aucune difficulté pour ouvrir aux gendarmes qui frappaient à la porte de son appartement.
Emmenés dans les locaux de la gendarmerie, les deux hommes ont été entendus par les militaires. Il s'avère que la version de la victime différait quelque peu de la réalité.
En début d'après-midi, ce dernier aurait aperçu un homme en train d'emménager dans le quartier Saint-Pierre alors qu'il fumait une cigarette sur son balcon. Les deux hommes qui se connaissaient, auraient un contentieux qui remonterait à leur passé commun.
La « victime » n'aurait visiblement pas accepté son arrivée à Sézanne et le lui aurait fait savoir. Se sentant agressé, l'autre homme aurait alors sorti le gomme cogne avant de tirer.
Le propriétaire de l'arme a fait l'objet d'un rappel à la loi. Le procureur a également ordonné la confiscation et la destruction de l'arme… et du club de golf.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-emmenagement-qui-finit-chez-les-gendarmes

Agression à la sortie d'une discothèque dans le Val-d'Oise

Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été blessé au thorax en quittant, dimanche vers 6h30, une discothèque située près du lac d'Enghien-les-Bains.
Un jeune homme a été agressé samedi à l'arme blanche à la sortie d'une discothèque d'Enghien-les-Bains, dans le Val-d'Oise.
L'homme, âgé de 20 ans, a été touché au thorax alors qu'il quittait, samedi vers 6h30, la discothèque L'Aristote, située rue du général de Gaulle, près du lac d'Enghien, selon les pompiers. Blessé légèrement, il a été transporté à l'hôpital d'Eaubonne.
L'enquête est confiée au commissariat local.

Fuveau : famille séquestrée, quatre homme arrêtés

C'était une soirée ordinaire, au sein de cette famille, dans leur villa à Fuveau. Mais ce 25 février 2012, peu après 21h, la vie ordinaire s'arrête net quand un commando armé fait irruption dans la maison. Le père, chef d'entreprise, la cinquantaine, se retrouve nez-à-nez avec un homme armé d'un fusil de chasse et encagoulé, dans son salon. Sa femme est près de lui.
Le couple se retrouve plaqué au sol. Leur fille, une adolescente âgée d'une quinzaine d'années, ainsi que sa copine qui passait la soirée chez eux, sont baillonnées par deux hommes armés, l'un d'un couteau, l'autre d'un fusil. Les malfaiteurs vont s'emparer de bijoux, de deux fusils de chasse et de liquidités. Mais cela ne leur suffit pas. Ils décident de partir avec le père de famille jusqu'aux locaux de sa société, située à Rousset.
Pendant ce temps, un complice se chargera de surveiller l'épouse et les jeunes filles, à la maison. A Rousset, les agresseurs s'emparent de chèques et d'argent. Mais ils ne s'en contentent pas. Alors l'homme qu'ils ont séquestré, et qui ne perd pas son calme, est sommé d'aller retirer avec sa carte bancaire la somme de 2 000 euros à un distributeur. Il devra leur remettre la somme avant de rentrer à Fuveau et retrouver sa famille. Tous sont sains et saufs.
Les agresseurs repartent avec l'Audi des victimes. La voiture sera retrouvée deux jours plus tard, à Coudoux.
Déploiement de gendarmes en décembre
Le procureur de la République d'Aix charge les enquêteurs de la brigade des recherches d'Aix, de mener les investigations. Qui vont d'ailleurs, au fil des jours, s'étoffer et porter sur des faits supplémentaires. En effet, peu après la séquestration de la famille et le vol avec arme, le père doit encore remettre une forte somme d'argent lors d'un rendez-vous fixé à Rognac. Laquelle somme devrait servir à épargner sa famille, sinon les malfaiteurs s'en prendraient à ses proches.
L'échange d'argent ne se fera pourtant pas, et les contacts s'arrêtent là, entre les malfaiteurs et le gérant d'entreprise. Ceux qui ne vont pas s'arrêter là, en revanche, ce sont les enquêteurs. Les gendarmes de la brigade des recherches d'Aix ne cessent de travailler pour exploiter la moindre piste. S'appuyant, entre autres, sur des éléments de téléphonie, ils vont faire émerger deux lignes qui les conduiront jusqu'à deux suspects, originaires de Rognac.
Le 20 novembre dernier, les gendarmes lancent une vaste opération judiciaire. Ils interpellent et placent en garde à vue les deux premiers suspects. L'enquête continue quelques jours, jusqu'au 11 décembre dernier. Un gros déploiement de gendarmes, de diverses unités dont le PI2G, intervient dans le secteur de Rognac et Velaux. Les quatre suspects, âgés de 20 à 22 ans, sont ensuite déférés devant le Parquet d'Aix puis présentés à un juge d'instruction.
A l'issue de cette confrontation, ils sont tous mis en examen pour les faits de vol avec arme, arrestation, séquestration et libération avant le 7e jour, et enfin, tentative d'extorsion, précise Dominique Moyal procureur de la République. Ils ont été placés sous mandat de dépôt, en attendant leur jugement.

http://www.laprovence.com/article/actualites/fuveau-famille-sequestree-quatre-homme-arretes

Lassy (35). 25 gendarmes pour des jeunes qui jouaient à la guerre

Le coup de fil reçu hier, aux alentours de 15 h, laissait craindre le pire. Une femme qui se promène dans la campagne de Lassy voit une BMW sur le bord de la route. À son bord, cinq jeunes hommes aux visages masqués et « armés jusqu’aux dents ».
Ni une ni deux, elle note la plaque d’immatriculation et alerte la gendarmerie. Celle-ci mobilise d’importants moyens. Vingt-cinq hommes au total : dix pour encercler le quartier, quinze autres partant à la recherche de la fameuse BMW.
Fusils-mitrailleurs et Kalachnikov
Ils finissent par la trouver, garée en bordure d’un chemin. Ils pénètrent à l’intérieur du bois et tombent nez à nez avec les individus. Cinq au total, armés de fusils-mitrailleurs HK et de Kalachnikov… en plastique, avec des cartouches à billes. De dangereux criminels ? Il s’agit en réalité de jeunes hommes âgés d’une vingtaine d’années et souhaitant jouer à la guerre.
Les gendarmes leur ont conseillé de les prévenir la prochaine fois qu’ils se promèneraient en voiture avec des lunettes protectrices et des armes en plastique…
 

Les pompiers cambriolés : 2 700 euros de la vente des calendriers envolés

Les pompiers d’Anizy-le-Château se sont fait dérober la recette de la vente de leurs calendriers. Les voleurs sont entrés par effraction dans la caserne.
Les pompiers d'Anizy-le-Château se souviendront du Noël 2 012 comme étant celui du cambriolage des locaux de leur Amicale.
Le 24 décembre, un groupe de sapeurs pompiers volontaires qui se rend au centre de secours remarque qu'une fenêtre de la caserne a été forcée.
Les soldats du feu font alors le tour du bâtiment, pour découvrir que la porte du local dédié à l'Amicale a été littéralement défoncée.
Sous les coups le bois qui la compose a cédé au niveau de la serrure, laissant ainsi libre l'entrée aux malfaiteurs.

2 700 euros envolés
Ces derniers se sont alors dirigés vers l'armoire de fer fermée à clé dans laquelle les pompiers avaient rangé la caisse contenant une partie de la recette de la vente de leurs calendriers. Soit, d'après nos informations, environ 2 700 euros.
Après avoir forcé l'armoire de fer les malfaiteurs ont fait main basse sur cette caisse, avant de prendre la fuite.
Sollicités à plusieurs reprises les gendarmes de la brigade d'Anizy-le-Château se sont refusés à tout commentaire, se retranchant derrière un laconique : « L'enquête est en cours. »
Du côté des pompiers d'Anizy-le-Château c'est le choc. « Nous avons tous été très affectés, explique Jean-Michel Bouvier, président de l'Amicale des sapeurs-pompiers. Cet argent était le témoignage de la reconnaissance et des remerciements de la population. »

Pour les orphelins des pompiers
La somme issue de la vente des calendriers permet de régler les cotisations d'assurance et de mutuelle des sapeurs-pompiers. Une partie est également versée aux fonds pour les œuvres des orphelins des pompiers.
« Une partie de cette somme aurait également permis de financer la stèle à tous nos camarades décédés en service commandé inaugurée lors de la dernière Sainte-Barbe », précise Jean-Michel Bouvier. Mercredi le responsable du centre de secours a été entendu par les gendarmes. Les sapeurs volontaires qui ont découvert le cambriolage seront également entendus dans le cadre de l'enquête.
Le ou les malfaiteurs ont agi très rapidement en faisant preuve d'un certain culot.
« Il aurait suffi que les pompiers aient dû partir en intervention pour qu'ils se fassent prendre la main dans le sac », commente un proche du dossier.


http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/les-pompiers-cambrioles-2-700-euros-de-la-vente-des-calendriers-envol

Détenu mort en prison à Pau : la famille attaque l'Etat

L'administration pénitentiaire aurait-elle pu éviter le décès de Fabrice Latapie, un jeune homme de 21 ans retrouvé mort dans sa cellule de la maison d'arrêt de Pau, le 5 août 2008, victime d'une overdose de Subutex ? Laetitia Da Silva et Chantal Favre, sa sœur et sa mère, en sont « convaincues ». La justice, pour l'instant, ne partage pas cette analyse et a conclu à un suicide. En juillet 2011, elle classait sans suite leur première plainte, estimant qu'aucun manquement à la sécurité du détenu n'avait été commis. Mais les deux femmes et leur avocate, Me Denise Pombielh, n'en démordent pas et ont déposé l'été dernier une nouvelle plainte avec constitution de partie civile devant les doyens des juges d'instruction pour « homicide involontaire, non-assistance à personne en péril et mise en danger délibérée de la vie d'autrui ». Une procédure pour laquelle le parquet a récemment requis un « non-lieu à informer » et qui est actuellement entre les mains de la juge paloise Lucile Pichenot. La magistrate doit se prononcer sur les suites qu'elle compte y donner.
Défaut de surveillance ?

À cette plainte, la famille de Fabrice Latapie ajoutera dans les prochains jours une requête en responsabilité de l'État devant le tribunal administratif pour « faute par manquement à l'obligation de surveillance et faute dans l'organisation et le fonctionnement du service » de l'administration pénitentiaire. « La direction de la prison de l'époque connaissait la fragilité psychologique de Fabrice Latapie et le risque qu'il se suicide. Mais n'a rien fait pour empêcher le drame », accuse Me Pombielh.
Fabrice Latapie purgeait un an de prison, correspondant à l'addition de plusieurs condamnations pour des délits. Il était libérable en octobre 2008. « Je l'ai vu quelques jours avant sa mort. Il allait bien, parlait de projets de bébé avec sa compagne qui l'attendait dehors. Il avait envie de vivre », assure sa sœur Laetitia. Mais le 4 août, la veille de son décès, le jeune homme, qui est à l'isolement depuis quelque temps pour le protéger de détenus qui ont très mal pris sa collaboration avec la justice pour démanteler un trafic au sein de la prison, apprend qu'il va être transféré à Tarbes. À l'endroit même où se trouvent deux personnes qui lui veulent la peau. Des retrouvailles qui le terrorisent.
La direction alertée
« Si je suis transféré, je me fous en l'air », confie-t-il en pleurs, dans l'après-midi, à un gardien de la maison d'arrêt de Pau, dont « Sud Ouest » a consulté la déposition devant les enquêteurs chargés des premières investigations. Le surveillant déclare avoir aussitôt alerté une supérieure. Qui explique à son tour aux policiers avoir immédiatement averti le directeur de la maison d'arrêt en poste à l'époque et un référent à la direction interrégionale de l'administration pénitentiaire, à Bordeaux, des intentions suicidaires du jeune homme. Lors de son audition, que nous avons lue, la surveillante raconte avoir reçu pour ordre de rassurer Fabrice Latapie, que le transfert a été maintenu par sa hiérarchie et que décision a été prise de laisser le garçon en cellule individuelle.
Il sera retrouvé mort le lendemain matin, à 8 h 30. L'autopsie, qui n'a pas fixé l'heure du décès, conclut à une overdose de Subutex.
« Comment pouvait-il avoir une dose de médicaments suffisante pour se tuer ? La cellule a-t-elle été fouillée ? Et pourquoi le transfert n'a-t-il pas été annulé face au risque connu de passage à l'acte ? Cette affaire est truffée de zones d'ombre qui doivent être enfin éclaircies par la justice. Pour nous, une série de fautes ont été commises », pense Me Denise Pombielh.
Sollicitée, la direction interrégionale de l'administration pénitentiaire n'a pas souhaité s'exprimer sur cette affaire, au motif qu'une procédure judiciaire est en cours. Quelque temps après ce drame, le directeur de la maison d'arrêt de Pau était remplacé par la directrice actuellement en poste. Laquelle diffusait au personnel de la prison des consignes strictes sur la prévention des suicides de détenus, peu après son arrivée.

http://www.sudouest.fr/2012/12/29/detenu-mort-en-prison-la-famille-attaque-l-etat-921035-4344.php

samedi 29 décembre 2012

Montholier : un piéton renversé par des cambrioleurs

Un homme d’une soixantaine d’années a été blessé après avoir été renversé par une voiture samedi matin à Montholier. Prévenu par une voisine, il voulait intervenir dans une maison inhabitée du village mais dont il est propriétaire et qui était en train d’être cambriolée.
Arrivé sur place, l’homme a surpris les cambrioleurs. Ceux-ci se sont enfuis à bord de leur véhicule en percutant au passage la victime. L’homme a été secouru par les pompiers. Ses jours ne sont pas en danger.

http://www.leprogres.fr/actualite/2012/12/29/montholier-un-pieton-renverse-par-des-cambrioleurs

Vols, cambriolage... Les malfaiteurs courent toujours

Des malfaiteurs ont frappé dans plusieurs communes sud-axonaises, dans la nuit de jeudi à vendredi. Les faits pourraient bien être l'œuvre d'une même équipe.
Entre minuit et 7 heures du matin, il y a eu de l'agitation dans plusieurs secteurs de l'arrondissement de Château-Thierry. Des malfaiteurs ont sévi dans plusieurs communes. Les infractions sont diverses : home-jacking, tentative de cambriolage et incendie de véhicule. La chronologie des événements et la proximité des lieux poussent à relier les faits entre eux. Cependant, il n'est pas établi de façon indiscutable qu'il s'agisse de la même équipe.
C'est apparemment à Charly-sur-Marne que les faits ont débuté. Vers 1 h 30 du matin, quatre individus vêtus de noir s'en prennent au bar tabac de la rue Emile-Morlot. Ils sont visiblement en train de forcer la porte avec un objet de type barre à mine.
Une voisine les aperçoit et donne l'alerte. Les forces de l'ordre sont prévenues, mais également le gérant. Ce dernier, en arrivant sur place, met les cambrioleurs en fuite. Ils quittent les lieux à bord de deux véhicules, très probablement volés. L'ensemble des militaires de la compagnie de Château-Thierry est alors mobilisé dans les délais les plus brefs. Ils se déploient aux abords des principaux axes du secteur, durant les heures qui suivent. Les voleurs ne sont pas retrouvés.
Entre l'Aisne et la Seine-et-Marne
Si les malfrats leur glissent entre les doigts, c'est peut-être bien parce qu'ils se trouvaient occupés, ailleurs. Ce n'est plus dans le département de l'Aisne que les choses se passent, mais à l'autre bout du département de la Seine-et-Marne, à une soixantaine de kilomètres des premiers faits. Une heure après la tentative de Charly, soit le temps de faire la route, une nouvelle attaque de débitant de tabac a lieu à l'Ouest de Meaux. Deux voitures, une nouvelle fois, sont aperçues lors de ce cambriolage.
Il semblerait que les voleurs aient joué au chat et à la souris avec les gendarmes. Car, au petit matin, ils seraient revenus dans le Sud de l'Aisne ! Vers 7 heures, une voiture en feu a été signalée dans un chemin en bordure de la D11, à la sortie de Marigny-en-Orxois, en direction de Chézy-en-Orxois. Soit quelque temps seulement après la levée du dispositif de recherches ! S'il s'agit des mêmes voleurs, ils auraient commis leur méfait dans le département voisin, avant de se débarrasser de leur deuxième véhicule… Puis, de repartir ailleurs.
Un ultime vol est peut-être à relier avec cette série de faits. Deux véhicules ont été dérobés devant une habitation à Essômes-sur-Marne, dans le créneau horaire où les voleurs se trouvaient dans le Sud de l'Aisne. Les malfrats ont utilisé pour ce faire la méthode du « home-jacking ». Ils ont forcé la porte d'entrée de la maison, se sont emparés des clés, puis sont repartis avec la Mercedes et le monospace Volkswagen de la famille.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin d'établir les liens précis entre ces différents faits et de retrouver les auteurs. Les militaires de la brigade de Charly-sur-Marne et de la brigade de recherche procèdent, entre autre, aux investigations.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/vols-cambriolage-les-malfaiteurs-courent-toujours

Carmaux. Un client sauve la recette du cordonnier

Désormais, Patrick Vigroux, qui tient la cordonnerie multi-services «Se Mêle de Tout», située 18 place Jean-Jaurès à Carmaux, fêtera peut-être Noël et son anniversaire le 26 décembre, lui qui est né un...25 décembre!
Car ce mercredi 26 décembre, c'est un beau cadeau de Noël et d'anniversaire que lui a offert «Monsieur Ludovic», un Lozérois de 75 ans qui a des attaches dans le Carmausin, en lui «sauvant» sa recette de la semaine d'une très probable disparition.
«Mercredi midi, j'ai quitté la boutique avec la recette de la semaine, dans une pochette, pour l'amener à la banque. Je suis allé déjeuner, et je me suis rendu compte ensuite que je n'avais pas la pochette. J'ai alors pensé que je l'avais laissée dans le magasin».
Rejoignant sa boutique vers 14h20, le commerçant découvrait alors sa pochette sur le pas de sa porte «J'ai eu alors une grosse frayeur».
Une frayeur vite dissipée lorsqu'il constata que le précieux contenu (chèques et espèces) était toujours bien au chaud dans la sacoche: «En fait, en partant à midi, j'ai dû laisser tomber la pochette entre la boutique et ma voiture, stationnée sur le parking Jean-Jaurès».
De son côté, «Monsieur Ludovic» arrivait à 14h00 au magasin, afin de récupérer un ouvrage. «Le magasin était fermé, et j'ai vu cette pochette posée par terre devant la porte. Je n'ai pas osé y toucher, mais j'ai décidé d'attendre le commerçant, en surveillant cette pochette. Un copain est alors passé, et m'a dit que ce genre de sacoche servait à transporter de l'argent, j'ai alors redoublé de vigilance».Un bel acte de civisme pour Patrick Vigroux, qui remerciait vivement son sauveur: «Pour son honnêteté et son humilité, mercredi, ce monsieur était le Père Noël».
Avant de conclure: «C'est un très beau geste, cela donne de l'espoir, et montre que le monde n'est pas si pourri que ça».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/29/1524917-carmaux-un-client-sauve-la-recette-du-cordonnier.html

Il roule à contresens sur 50 Km : 5 blessés dont un grave

Une voiture roulant à contre-sens sur près 50 kilomètres a provoqué deux accidents à Feillens dans l'Ain et Sennecey-le-Grand en Saône-et-Loire, faisant 5 blessés dont un grave vendredi soir.
Le conducteur de la voiture ayant parcouru près de 50 kilomètres à contresens sur l'A40 puis l'A6, un retraité, est indemne. Il était entendu par les gendarmes vendredi soir. L'homme roulait en direction de Paris alors qu'il se trouvait sur la voie Paris-Lyon.
Il a d'abord percuté un véhicule sans faire de victimes vers Feillens, puis a violemment heurté deux voitures à hauteur de Sennecey-le-Grand, dont une s'est retrouvée sur le toit. Les pompiers ont indiqué avoir reçu des dizaines d'appels de personnes paniquées après avoir vu la voiture en contresens

Agen : 568 grammes de cannabis saisis

Non, elle n'était pas empaquetée au pied du sapin. Mais bien cachée chez deux Agenais qui n'ont pas encore atteint leur vingtième année. Les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine d'Agen viennent de saisir, au terme d'une enquête de trois jours, 568 grammes de cannabis.
L'affaire a débuté au soir du 23 décembre, place Jasmin à Agen, quand une fille et un garçon nés en 1995 étaient interpellés en possession respectivement de 4 grammes d'herbe et 1,8 gramme de résine de cannabis. L'adolescent, lors de son audition, désignait une connaissance comme son fournisseur. Placé en garde à vue à son tour, celui-ci renvoyait le rôle de dealer à celui qui venait de le dénoncer.

Des suspects entendus
Pour mettre tout le monde d'accord, une perquisition était organisée chez le garçon interpellé place Jasmin. Une initiative fructueuse pour les policiers qui mettaient ainsi la main sur une plaquette et demie de résine, soit 300 grammes, et la somme de 600 euros. Face au poids des charges, le mis en cause, décidément du genre prolixe, a alors indiqué chez qui il avait fait l'acquisition des stupéfiants.
Une désignation qui a poussé les enquêteurs à procéder à un nouveau placement en garde à vue dans ce dossier qui leur a réservé encore une surprise. Lors de son audition, le dernier arrivé dans l'affaire les a à son tour aiguillés sur une nouvelle piste, celle de sa « nourrice », comme on dit dans le jargon, c'est-à-dire celui chez qui il cache sa drogue pour la préserver de la curiosité parentale.
Et un autre attendu
Hier, les policiers se sont présentés au domicile agenais de cet ultime mis en cause. Sans réponse à leurs demandes d'ouverture, ils ont forcé la porte. Le suspect était absent. 268 grammes de résine de cannabis ont quand même été saisis.
Actuellement, dans le Nord de la France, ce dernier a été contacté par téléphone. Il est attendu dans les prochaines heures pour être entendu par les enquêteurs. En attendant, la justice a choisi de remettre tout le monde en liberté le temps de la poursuite de l'enquête.

http://www.sudouest.fr/2012/12/28/568-grammes-de-cannabis-saisis-920409-3603.php

vendredi 28 décembre 2012

Hérault : attention aux faux agents de la CPAM qui réclament de l'argent

Des escrocs se faisant passer pour des agents de la caisse primaire d'assurance-maladie sont à l’œuvre dans l'Hérault. La CPAM de l'Hérault met en garde les assurés en précisant qu'en aucun cas, ses agents ne sollicitent directement les particuliers.
Depuis quelques jours, des personnes se faisant passer pour des agents de la caisse primaire d’assurance-maladie de l’Hérault (CPAM) se présentent chez des particuliers. Sur place, ces faux agents réclament de l’argent sous différents prétextes.
"En aucun cas nos agents sollicitent directement les particuliers par téléphone pour obtenir des informations personnelles telles que le numéro de sécurité sociale ou les coordonnées bancaires", indique la Caisse.

http://www.midilibre.fr/2012/12/28/attention-aux-faux-agents-de-la-cpam,618918.php

Seine-et-Marne : un policier et un cambrioleur blessés

Un dispositif policier était déployé ce vendredi après-midi à Pomponne (Seine-et-Marne), où un cambriolage a dégénéré. En début d'après-midi, deux Roumains âgés d'une trentaine d'années pénètrent dans le pavillon d'une personne âgée pour la cambrioler. Celle-ci s'aperçoit de leur présence et appelle aussitôt la police.
 
La brigade anticriminalité (BAC) est envoyée sur place et, à leur arrivée, les réussissent à interpeller l'un des deux voleurs. Son comparse prend la fuite vers le bois, poursuivi par un policier seul. Le Roumain qui n'arrive pas à semer son poursuivant s'empare d'un bâton, frappe le policier pour le faire chuter à terre et le roue de coup. Le fonctionnaire réussit tout de même à sortir son arme et à tirer dans la jambe de son agresseur. Tous deux ont été transportés à l'hôpital. Blessé à l'arcade sourcilière, le policier serait aussi victime d'un traumatisme crânien.
 

Suspicion de suicide : une disparition inquiétante

Dans la nuit de mercredi à jeudi, une femme, domiciliée à Vouziers, a été signalée disparue par sa famille. Quelques heures plus tard, la voiture de cette ardennaise de 56 ans était retrouvée par les gendarmes au bord du canal de Vouziers, assez loin de son domicile.
Hier, des plongeurs venus de Dienville et Strasbourg sont venus effectuer des recherches aquatiques. Celles-ci n'ont pas permis de retrouver la disparue. À son domicile ou dans sa voiture, aucun mot manuscrit annonçant l'intention de mettre fin à ses jours n'a été retrouvé.
En quête d'éléments, la gendarmerie a tenu à diffuser le signalement de cette Vouzinoise : cheveux courts gris-blonds, lunettes, jean et pull de couleur foncé. Si vous avez des renseignements, contacter le 17 ou la brigade de Vouziers.

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/suspicion-de-suicide-une-disparition-inquietante

Châtellerault : un homme se servait de vêtements pour son trafic d'opium

Un homme de 72 ans, originaire de Châtellerault, dans la Vienne, a été condamné pour trafic de drogue jeudi à 18 mois de prison avec sursis et 102.000 euros d'amende par le tribunal de Poitiers.
Son trafic a duré trois ans. Un homme de 72 ans, originaire de Châtellerault, dans la Vienne, a été condamné jeudi à 18 mois de prison avec sursis et 102.000 euros d'amende par le tribunal de Poitiers, pour trafic de drogue, indique France Bleue.
Ce retraité, originaire du Laos, a importé de l'opium en France jusqu'en 2009. Le procédé est inattendu et original : la drogue était imprégnée dans des vêtements et des tissus, envoyés par colis via La Poste. Il pouvait ensuite en extraire l'opium en faisant tremper les tissus. Il gardait une partie de l'opium pour sa consommation personnelle et envoyait le reste aux Etats-Unis. Ses bénéfices lui permettaient de faire de nombreux voyages et de jouer au casino.

Lavaur. Il apporte une grenade aux gendarmes

Un homme est entré à la gendarmerie de Lavaur une grenade à la main. Il a découvert l'engin dans la cave de sa maison mais n'a pas pris de mesures de précaution.
Mardi, en début d'après midi, un homme d'une cinquantaine d'années se présente à la gendarmerie de Lavaur. Dans sa main, une grenade. Le genre d'engin qui occasionne toujours un certain émoi. Après les vérifications d'usage, cet homme explique qu'il vient de se porter acquéreur d'une maison dans la campagne du Vaurais. Il était entrain de faire le tour du propriétaire et de faire un inventaire des objets qui se trouvaient encore dans l'habitation. C'est dans la cave qu'il découvre la grenade. Une grenade quadrillée datant très certainement de la Seconde Guerre mondiale. Ni une, ni deux, il décide d'amener l'arme à la brigade de gendarmerie la plus proche. Il monte dans sa voiture et traverse le centre ville de Lavaur avec son encombrant colis. Les gendarmes mettront la grenade en lieu sûr. Fort heureusement, l'engin ne présentait pas de danger, ce que personne n'était en mesure de déterminer avant que les spécialistes ne l'examinent hier, vers 14 heures. «Nous sommes dans une région où l'on retrouve rarement des explosifs ou des grenades», explique le capitaine Philippe Hernandez, commandant de la communauté de brigades de Lavaur. Il poursuit et met en garde: «En aucun cas on ne doit toucher à un objet de ce type qui peut s'avérer extrèmement dangereux. Face à pareille découverte, il faut appeler les services de gendarmerie qui mettront en application une procédure stricte et les mesures nécessaires pour éviter tout accident».
La préfecture du Tarn est dotée d'un service de déminage spécialisé pour faire face à ce type de situation. Une patrouille de gendarmerie s'est bien entendu rendue sur place pour fouiller les lieux où cet homme est domicilié. Les forces de l'ordre n'ont pas trouvé d'autre engin de mort. Donc pour Noël, respectons la tradition : offrons des oranges, pas des grenades.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/28/1524246-lavaur-il-apporte-une-grenade-aux-gendarmes.html

AMIENS Un camion se renverse: gros bouchon en zone industrielle Nord

Un accident de la circulation s'est produit ce vendredi matin à Amiens dans la zone industrielle Nord vers 5 heures.

Un poids lourd transportant des produits alimentaires s'est couché au niveau du rond point dit de l'Oncle Sam, à l'entrée de la zone coté Amiens. Le chauffeur a perdu le contrôle de son engin et percuté le terre pleine central.

Le conducteur a été blessé notamment au visage et à la main. Il a été sorti de sa cabine par des automobilistes avant l'arrivée des secours.

La circulation a été très perturbée jusque 8h15.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-camion-se-renverse-gros-bouchon-en-zone-industrielle-Nord

Le Carcassonnais rackettait et frappait sa mère : deux ans de prison ferme

Samir Cheboun, un Carcassonnais de 19 ans, a été condamné à deux ans de prison ferme, hier, pour avoir frappé sa mère, s’être rebellé contre les policiers lors de son interpellation, et s’être évadé lors de sa garde à vue.
Une belle liste de préventions pour un jeune homme déjà condamné à plusieurs reprises pour des faits similaires, alors qu’il était mineur. Cette fois-ci, après des plaintes faisant suite à des violences commises sur sa mère, le 6 juillet et le 28 septembre dernier, c’est la veille de Noël, le lundi 24 décembre, que Samir a été interpellé, non sans mal, à la cité Albignac, où il réside chez celle qui lui a donné la vie. Là encore, c’est parce que sa mère n’a pas voulu lui donner d’argent, que Samir l’a violentée.
"Je n’ai rien à dire. J’ai fait une erreur, une connerie"

Face aux policiers venus l’interpeller, le jeune homme a alors joué les rebelles. Les fonctionnaires devront se mettre à neuf pour finalement le maîtriser. Ses explications : "Je n’ai rien à dire. J’ai fait une erreur, une connerie. Je vais arrêter tout ça ! Je regrette..."
Des réquisitions suivies à la lettre par le tribunal
Au cours de son réquisitoire, Philippe Romanello a évoqué "l’exemple paternel qu’il ne faut pas suivre. Une violence qui s’est imprégnée comme un modèle éducatif..." Et de requérir un an de prison pour les violences, et deux fois six mois pour l’évasion et la tentative d’évasion lors de la garde à vue. Des réquisitions suivies à la lettre par le tribunal, qui a également délivré un mandat de dépôt.

http://www.midilibre.fr/2012/12/27/deux-ans-de-prison-ferme-pour-le-fils-qui-rackettait-sa-mere-et-la-frappait,618508.php

Lycéennes en fugue : que sait-on ?

La fugue
Vingt-trois jours après la disparition de leurs filles, les parents de Geneviève et Camille sont toujours sans nouvelles. Ils ne veulent écarter aucune piste. Le 4 décembre dernier, les deux adolescentes prétextent une visite à l’infirmerie de leur lycée, et s’enfuient, en prenant soin d'éteindre leurs téléphones portables. Elles ne les rallumeront plus. Aux alentours de 10 heures, elles ont rejoint une automobiliste suisse, avec qui elles avaient prévu de faire un covoiturage, direction Toulouse. Elles se seraient faites déposées devant une bouche de métro. Alerté par leurs parents, le commissariat du du Puy-en-Velay a ouvert une procédure de disparition de mineurs. De leur côté, les familles ont déposé plainte pour soustraction de mineures.
  • Que faisaient-elles à Toulouse?
Leur dernier signe de vie remonte au 10 décembre dernier, à Toulouse, où Geneviève a posté une lettre à ses parents. La jeune fugueuse y explique qu’elle "vagabonde au fil de sa liberté retrouvée", qu'elle se trouve "en sécurité et au chaud tous les soirs". Mais la mère de Geneviève n'y croit pas : "C'est bien son écriture, mais elle a pu écrire cette lettre sous la contrainte".

  • La piste de Notre-Dame-des-Landes
Quelques jours avant sa fugue, Geneviève aurait parlé à sa mère de se rendre à Notre-Dame-des-Landes, pour rejoindre les opposants au projet d'aéroport, mais "pendant les vacances de Pâques". "Je n'ai pas pris ça au sérieux car elle n'est pas du tout politisée". Mais pour elle,"cette piste n'est plus d'actualité". Les gendarmes ont mené l'enquête sur place et les parents des fugueuses eux-mêmes s'y sont rendus pour distribuer des photos. "Nous avons parlé avec les manifestants de Notre-Dame-des-Landes et ils ont bien compris notre détresse, s’ils les avaient vues ils nous auraient prévenus, c’est certain".
  • La diffusion des photos des adolescentes dans la presse nationale
Le 20 décembre, les parents avaient écrit un courrier au procureur de la République en lui demandant de diffuser leur signalement sur tout le territoire. "Nous avions demandé à vos services de bien vouloir faire paraître leurs photos dans la presse nationale (...). Vous avez refusé par deux fois de faire cette démarche.", écrivent les parents. "Faudrait-il que leurs noms apparaissent dans la rubrique nécrologique pour que vous accédiez à cette demande ? Hélas, ce serait trop tard."

http://www.sudouest.fr/2012/12/27/lyceennes-en-fugue-que-sait-on-919745-7.php

jeudi 27 décembre 2012

Incarcéré pour avoir fauché un gendarme

Un conducteur sans permis de 24 ans vient d'être placé en détention provisoire par le tribunal d'Evry pour avoir fauché un gendarme, révèle Le Parisien. Le jeune homme avait roulé sur le représentant des forces de l'ordre le 23 décembre pour échapper à un contrôle routier. Cela faisait six mois que ce chauffeur-livreur circulait sans permis.

Le gendarme s'est vu prescrire dix jours d'incapacité totale de travail. Le conducteur sera jugé le 25 janvier.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/27/97001-20121227FILWWW00487-incarcere-pour-avoir-fauche-un-gendarme.php

Carambolage sur l'A6: 10 blessés légers

Un carambolage entre une quinzaine de véhicules sur l'autoroute A6 a fait 10 blessés légers aujourd'hui en Saône-et-Loire et provoqué un embouteillage de plusieurs kilomètres, a-t-on appris auprès des pompiers et de Bison Futé. Seize voitures et un camion ont été impliqués dans cette collision en chaîne dans le sens Paris-Lyon, à hauteur de la commune d'Uchizy (Saône-et-Loire), d'après un recensement des pompiers aujourd'hui en milieu d'après-midi.

Quelque 40 personnes se trouvaient à bord des véhicules accidentés, selon les pompiers, dont 10 ont été légèrement blessées. La circulation a été ramenée sur une seule voie, provoquant un bouchon de 6 km, a indiqué Bison Futé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/27/97001-20121227FILWWW00378-carambolage-sur-l-a6-10-blesses-legers.php

Loiret: Une femme accouche aux obsèques de sa belle-mère

Quand la mort laisse place à la vie, presque au même moment. Une femme a accouché mercredi lors des obsèques de sa belle-mère, dans l'église de Saint-Jean-le-Blanc (Loiret), rapporte ce jeudi le Journal du Centre.
C'est vers 16h30 et devant près de 200 personnes que la mère de famille a ressenti des contractions alors que la naissance de son troisième enfant était prévue pour le début du mois prochain. Elle a été ensuite transportée dans la sachristie où elle a accouché avant que les pompiers n'arrivent.
Divin présage? L'histoire ne le dit pas encore, mais le quotidien précise que tout s'est passé pour le mieux.
 

Plus de 6 tonnes de tabac de contrebande saisies à Dieppe et Aubervilliers

Près de 6,3 tonnes de tabac de contrebande ont été saisies le 18 décembre à Dieppe en Seine-Maritime et à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis, a annoncé jeudi la Direction générale des douanes.
17.000 cartouches de cigarettes d'une valeur d'environ 1,13 million d'euros. C'est ce qu'ont découvert le 18 décembre les douaniers à la gare maritime de Dieppe dans un poids lourd immatriculé en Bulgarie. Le véhicule, conduit par un chauffeur bulgare et censé contenir diverses marchandises venant d'Espagne, dont des pièces automobiles, devait embarquer sur le ferry à destination de Newhaven (Royaume-Uni).

Le 18 décembre également, les douaniers ont trouvé à
Aubervilliers 167 cartons detabac à narguilé pour un poids total de trois tonnes, à bord d'un camion immatriculé au Portugal. Le chargement devait être composé de différents produits textiles, selon les documents de transports fournis aux agents. Letabac qu'ils y ont découvert était "probablement destiné à alimenter de manière clandestine certains bars à chicha de la région parisienne", a estimé la Direction générale des douanes.

Barèges. Un surfeur espagnol se tue en tentant un saut périlleux

Hier, à 13heures, un surfeur espagnol de 26 ans, domicilié à Irun, est tombé sur la tête lors d'un saut périlleux, se brisant les cervicales. Cet accident a endeuillé les Pyrénées après le décès, lundi, d'un jeune homme de 18 ans à Gourette.
Il faisait beau, hier, en montagne. Et même très beau. Manteau neigeux compact, recouvert de 4 cm de poudreuse et grand soleil. En ce début de vacances, sur le domaine du Grand Tourmalet, toutes les conditions semblaient réunies pour s'adonner aux joies de la glisse. Mais l'audace d'un snowboarder espagnol, âgé de 26 ans, lui a coûté la vie.
En essayant de faire une figure, en l'occurrence un saut périlleux, ce jeune homme, domicilié à Irun, est tombé sur la tête, se brisant les cervicales. Surfant avec ses trois cousins, il se trouvait à moins de 100 m du départ du télésiège du Tourmalet, côté Barèges, à la fin d'une piste bleue qui ne présentait aucune difficulté particulière.
Il a été secouru par les pisteurs qui ont tenté de le ranimer, mais en vain. Les gendarmes du PGHM de Pierrefitte-Nestalas ont transporté à Tarbes, par hélicoptère, le corps de l'infortuné snowboarder. Et le consulat d'Espagne a été averti.
Ce jeune Espagnol était un habitué de la station, apprend-on. C'était un surfeur de bon niveau. Directeur général du Grand Tourmalet, Henri Mauhourat déclare : «C'est toujours terrible qu'un jeune se tue en s'amusant». Hier, la nouvelle a semé une vive émotion dans la station.
Un autre accident est survenu samedi, à Gourette, dans les Pyrénées-Atlantiques. Le jeune homme de 18 ans qui a chuté du télésiège a succombé, lundi, à ses blessures. Ces deux drames devraient inciter à toujours plus de prudence.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/27/1523969-un-surfeur-espagnol-se-tue-apres-un-saut-perilleux-a-bareges.html

Aude : tout un arsenal découvert au domicile du tireur à Berriac

Pas moins de quarante armes à feu, de 1ere, 5e et 6e catégories ont été saisies, hier, au domicile d’un homme qui avait tiré des coups de feu sur la façade d’une maison d’habitation de Berriac, située chemin de Canteloup, dans la nuit du 24 au 25 décembre.
Le soir des faits, les parents de la famille se trouvaient à proximité de leur habitation, pour le réveillon de Noël. Deux de leurs trois enfants (deux filles et un garçon âgés de quatre, treize et seize ans) étaient présents dans la maison lors de la fusillade. C’est à 1 h 35, le matin de Noël, que le tireur à fait feu (4 à 5 fois selon les gendarmes) sur la façade. Deux impacts seront constatés. Rapidement, un appel est passé au Centre opérationnel de gendarmerie de Carcassonne qui dépêche les gendarmes de Trèbes sur les lieux, afin de procéder aux premières constatations.

Un arsenal dans sa chambre à coucher
Des témoins affirmeront avoir vu un véhicule s’en aller peu après les faits... Autant d’indications qui mèneront à l’interpellation d’un suspect d’une cinquantaine d’années, ancien mineur de Salsigne et résidant à Barbaira, non connu des forces de l’ordre.
Au total, c’est un véritable arsenal qui sera saisi au domicile du tireur, plus exactement dans sa chambre à coucher : 17 fusils d’épaule - dont l’arme ayant été utilisée pour la fusillade, un Mauser de calibre 8-34 -, un fusil à pompe modifié, un pistolet automatique et une centaine de munitions, quatre baïonnettes...
Un contentieux d’ordre financier à l’origine de la fusillade
Le tireur, placé en garde à vue, reconnaît les faits et explique cette concentration massive d’armes à feu en se présentant comme un passionné, un collectionneur et un chasseur, permis de chasse en règle à l’appui.
La personne visée est un homme âgé d’une soixante d’années, père de famille. Un contentieux d’ordre financier serait à l’origine de la fusillade, même si les motivations du tireur restent à l’heure actuelle assez vagues, selon les gendarmes, pour lesquels "il est encore trop tôt pour qualifier la nature exacte de ce différend".
L’homme sera présenté devant la justice aujourd’hui
Mais l’histoire ne s’arrête pas là... Deux affaires, de 2010 et 2011 ont refait surface. Deux affaires visant la même personne, avec un même mode opératoire, et selon les gendarmes... un même tireur. Mi-décembre, la personne visée avait également reçu un courrier de menaces, sur lequel un cercueil était dessiné, joint à plusieurs cartouches.
L’homme interpellé sera présenté devant la justice aujourd’hui, selon la procédure dite de comparution immédiate, pour violence avec arme sans ITT. Le reste des armes saisies fait actuellement l’objet de vérifications

http://www.midilibre.fr/2012/12/26/tout-un-arsenal-decouvert-au-domicile-du-tireur,618002.php

Mort d'une prostituée à Bordeaux : l'autopsie confirme qu'elle a été renversée par une voiture.

Samedi dernier, peu avant 2 heures, les secours sont intervenus pour une jeune femme étendue au milieu de la chaussée rue Plantevigne. À leur arrivée, elle respirait encore mais devait décéder peu après. La jeune femme, âgée de 33 ans, avait visiblement été heurtée par une voiture.
Face aux incertitudes sur les conditions dans lesquelles cela a pu survenir, le parquet a demandé une enquête sur les causes de la mort. Elle a été confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale de Gironde. L’autopsie réalisée lundi a confirmé qu’un véhicule avait roulé sur son corps. La jeune femme n’était pas référencée comme prostituée mais avaient été vue à plusieurs reprises en situation de racolage dans ce secteur.

http://www.sudouest.fr/2012/12/25/mort-d-une-prostituee-a-bordeaux-l-autopsie-confirme-qu-elle-avait-ete-renversee-par-une-voiture-918262-3.php

mercredi 26 décembre 2012

Le Puy-en-Velay : un enfant reste coincé dans un tourniquet

Il était environ 16 heures, lorsque les sapeurs-pompiers du centre de secours principal du Puy-en-Velay ont été appelés pour une intervention sur l’aire de jeux du jardin Henri-Vinay, en centre-ville. Là, un enfant âgé d’une dizaine d’années s’était coincé la jambe dans un tourniquet en jouant. Il était bloqué au niveau du genou droit et ne pouvait s’extraire seul de l’engin.
Des moyens de désincarcération ont alors acheminé sur place avec notamment du matériel hydraulique. Quand les secours sont arrivés, l’enfant, qui était accompagné, était bloqué semble-t-il depuis une dizaine de minutes déjà.
En quelques minutes seulement, ce fut le soulagement. L’enfant a pu être extirpé du tourniquet qui le retenait par une opération de dégagement. Légèrement blessé, il a été pris en chargeet évacué sur le centre hospitalier Emile-Roux.
Les services de Police étaient également sur les lieux de l’accident pour établir toutes les circonstances qui entourent cette mésaventure pénible pour cette petite victime qui en est quitte pour une belle frayeur.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/12/26/le-puy-en-velay-un-enfant-reste-coince-dans-un-tourniquet

Pas-de-Calais : disparition inquiétante d'une femme de 58 ans

Christiane Denis a disparu lundi 24 décembre à 23h30, le soir du réveillon de Noël, à Brimeux. Un appel à témoins a été lancé par la gendarmerie de Montreuil.
Elle avait passé la soirée du réveillon de Noël avec son mari. Depuis deux jours, elle est introuvable. Christiane Denis a en effet disparu lundi 24 décembre, d'après les informations recueillies par TF1 News auprès de la gendarmerie de Montreuil. Son époux est parti se coucher et, sans le prévenir, cette femme âgée de 58 ans aurait quitté à pied son domicile de Brimeux dans le Pas-de-Calais vers 23h30. Les balades nocturnes ne faisaient pourtant pas partie de ses habitudes, d'après les gendarmes.
"Des recherches ont été effectuées aux alentours du domicile de la disparue mais les enquêteurs n'ont aucune piste à l'heure actuelle" a ainsi déclaré le chef de la Brigade de Montreuil à TF1 News.
La gendarmerie lance un appel à témoins à la suite de cette disparition jugée inquiétante. Christiane Denis mesure 1m65. Ses cheveux sont courts, couleur acajou. Sa corpulence est moyenne. Elle a les yeux bleus et serait vêtue d'un pantalon noir, d'un pull rouge et d'un blouson beige.
Toute personne ayant des informations concernant la disparue est priée de contacter la gendarmerie de Campagne-lès-Hesdin au 03 21 90 33 17 ou la gendarmerie la plus proche.

Laure-Minervois. L'épicier met en fuite les deux hommes qui tentaient de le braquer

Ni les cravates des années 70 qui pendouillent à l'entrée, ni les cigarettes, pas plus que les conserves, la charcuterie ou les bouteilles d'alcool… Non, ce duo voulait la caisse de la supérette-tabac-presse de Laure-Minervois. En fait de père Noël, Dominique Maurel a reçu la visite de deux braqueurs, mardi soir à 18 h 30. L'un était encapuchonné, l'autre encagoulé. Quand le patron de l'unique épicerie du village les a vus débouler, il leur a lancé : «Ben, c'est pas carnaval les gars, c'est Noël !». «Ta caisse, file-nous ta caisse !», lui rétorque l'un des visiteurs. «J'ai cru que c'était une blague», raconte l'épicier à son poste depuis 37 ans. Et de répondre du tac au tac : «Tu vas voir la caisse que je vais te mettre !». Il n'a pas rigolé longtemps de son bon mot. Son interlocuteur sort un pistolet, le vise et le manque. L'autre tente de prendre la caisse. Maurel s'agrippe à son bien. Le premier tire à nouveau. L'arme s'enraye. S'ensuit une échauffourée et les deux gars finissent par s'enfuir, rejoindre leur voiture et détaler. Dans la caisse, il y avait 150 à 200 € à tout casser. Risquer de pendre une balle en résistant ? «J'ai cru que c'était une blague. J'ai même cru que l'arme était factice. Et puis, ils ne me font pas peur ! C'était deux jeunes mecs de 20 ans tout au plus», dit-il bravache. En mai dernier, itou, des cambrioleurs ont essayé de partir avec la recette. C'était la nuit. Le commerçant vit au-dessus du magasin. Les malfaiteurs l'ont tabassé : «Ils m'ont laissé presque mort». Courant 2012, trois autres fois, il a été cambriolé. «J'aimerais bien être en sécurité à la hauteur des impôts que je paie», soupire-t-il.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/26/1522793-laure-minervois-l-epicier-met-en-fuite-les-deux-hommes-qui-tentaient-de-le-braquer.html

Un motard saint-gironais grièvement blessé

Un motard de Saint-Girons a été très grièvement blessé, hier soir, sur la RD 3 dans un choc avec une voiture.
Il est aux alentours de 18 heures,hier, sur la route départementale 3, le long du Salat, à hauteur de l'ancienne usine de Mandette quand une très violente collision s'est produit entre une voiture et une moto.
Dans le choc, le pilote du deux-roues, de Saint-Girons, a été grièvement blessé. Aussitôt l'alerte donnée, les sapeurs-pompiers et une équipe médicale se rendent sur place. Pendant ce temps, les gendarmes contrôlent la circulation pour leur permettre de porter les premiers soins à la victime.
Son état de santé a été jugé suffisament sérieux pour nécessiter son évacuation par hélicoptère.
Un appareil du SAMU de Haute-Garonne l'a pris en charge depuis le terrain d'Antichan pour le transporter vers un centre hospitalier toulousain.
La circulation a été interrompue sur la RD 3 pendant tout le temps de l'intervention des sapeurs-pompiers et de l'équipe médicale.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/26/1523091-saint-girons-un-motard-saint-gironais-grievement-blesse.html

Aucune nouvelle de l'adolescent trisomique disparu dans l'Oise

Les recherches se poursuivaient dans l'Oise mardi, jour de Noël, à Ribécourt-Dreslincourt et dans les environs pour retrouver un adolescent trisomique disparu depuis une semaine.
Un adolescent trisomique a disparu depuis une semaine. Les recherches se poursuivaient dans l'Oise mardi à Ribécourt-Dreslincourt et dans les environs pour la retrouver. "Etant donné que c'est le 25 décembre, on a un peu plus de mal à contacter les gens. Les interlocuteurs sont moins disponibles", avait indiqué le commandant Michaël Fumery, de la compagnie départementale de gendarmerie de Compiègne.
Les équipes de recherche continuaient de quadriller différents secteurs, mais aussi de vérifier les renseignements obtenus grâce à l'appel lancé au niveau national. L'adolescent, qui a eu 17 ans lundi, veille de Noël, aurait pu prendre un bus ou un train. "C'est techniquement possible, si c'était le cas on aurait peut-être eu plus de renseignements. En revanche, il a pu monter dans la voiture de quelqu'un", a avancé l'officier de gendarmerie.
Un bas de survêtement foncé et un T-shirt noir
"Nous sommes passés dans une phase où on fait beaucoup d'exploitation de renseignements, soit des gens qui nous appellent, soit des recherches systématiques comme contacter des chauffeurs de bus", a-t-il ajouté.
Bruno, surnommé Kody, un garçon mesurant 1,70 m et de corpulence forte, a disparu du lycée horticole de Ribécourt-Dreslincourt mardi dernier vers 15 heures, selon l'avis de recherche publié par la gendarmerie. Il portait ce jour-là un bas de survêtement foncé et un T-shirt noir. Selon le parquet de Compiègne, le jeune garçon est décrit comme "un enfant peureux, mais qui paradoxalement va facilement vers les personnes".
En cas de renseignements, la gendarmerie de Ribécourt-Dreslincourt prie de l'aviser au 03.44.75.82.17 ou via le numéro d'urgence 17.

Roanne : en volant des cadeaux de Noël dans une voiture, il oublie son portable

Lundi soir, vers 18 heures, un Roannais d’une vingtaine d’années sort de la gare et se dirige vers sa voiture. Sur le chemin, il tombe sur un véhicule ouvert dans lequel il aperçoit, quoi de plus normal en cette soirée de réveillon, des cadeaux emballés.
L’occasion faisant le larron, il décide de faire main basse sur le chargement. Dans sa précipitation, le voleur quitte les lieux de son méfait en oubliant son téléphone sur le tableau de bord. Une demi-heure plus tard, il débarque au commissariat afin de porter plainte pour le vol… de son portable.
Mais les victimes de son larcin, un jeune couple domicilié dans la Sarthe, en vacances dans la famille, venait également de déposer plainte pour le vol de leurs cadeaux. Les services de police font immédiatement le rapprochement entre les deux affaires. Le jeune Roannais est alors placé en garde à vue. Interrogé, il finira par admettre qu’il a bel et bien volé les cadeaux dans le véhicule du couple et qu’ils se trouvent dans sa propre voiture stationnée à proximité du commissariat.
Le couple a pu repartir avec ses cadeaux alors que le voleur présumé a vu sa garde à vue levée à 22h30.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/12/25/roanne-en-volant-des-cadeaux-de-noel-dans-une-voiture-il-oublie-son-portable

Cognac : appel à témoins après la disparition d'une sexagénaire

Aucune trace de la sexagénaire cognaçaise portée disparue depuis quatre jours. Sa voiture a été retrouvée abandonnée près du monument aux morts, à quelques centaines de mètres de la Charente.

Agée de 69 ans, elle a été aperçue pour la dernière fois à son domicile, tard vendredi soir. Engagées lundi en milieu d’après-midi, les recherches des pompiers plongeurs dans la Charente sont restées vaines.

La disparue a notamment laissé derrière elle son téléphone portable, son sac à main et une paire de lunettes. De corpulence moyenne, elle a les cheveux gris et courts.

Toute personne ayant croisé une dame correspondant à ce signalement est invitée à contacter le commissariat de police de Cognac, au 0545363850.

http://www.sudouest.fr/2012/12/25/cognac-appel-a-temoins-apres-la-disparition-d-une-sexagenaire-918224-882.php

mardi 25 décembre 2012

Nice : un policier roué de coups

Un policier de 24 ans, qui venait de terminer son service aujourd'hui à 5h du matin et s'était arrêté dans une station-service à Nice, a été violemment agressé par cinq hommes ivres qui l'ont roué de coups et projeté à travers la vitrine d'un salon de coiffure, a indiqué la police.

Les cinq agresseurs présumés, d'origine cap-verdienne et âgés d'une vingtaine d'années, ont été interpellés et placés en cellule de dégrisement avant de pouvoir être interrogés, a précisé Fabienne Lewandowski, directrice départementale adjointe de la Sécurité publique des Alpes-Maritimes. L'adjoint de sécurité agressé souffre de multiples contusions et d'une fracture du nez.

Projeté à travers la vitrine d'un salon de coiffure

Vêtu d'un blouson de cuir, il n'était pas immédiatement identifiable comme policier, malgré son pantalon de service. Il s'était arrêté dans une station-service sur une artère passante de l'ouest de Nice pour mettre de l'essence dans son scooter lorsque les cinq hommes ont surgi et l'ont roué de coups de pieds et de coups de poings. Le policier aurait alors décliné sa fonction et ses agresseurs auraient redoublé de violence. Le policier, frappé à terre, a réussi à s'extirper, mais ses agresseurs l'ont rattrapé et projeté à travers la vitrine d'un salon de coiffure avant de prendre la fuite.

Pendant ce temps, cinq autres malfaiteurs, qui n'avaient aucun lien avec les premiers agresseurs du policier, en ont profité pour dérober son scooter.

"Cette agression gratuite sur fond d'alcool contre un fonctionnaire de police est choquante. Malheureusement, c'est assez fréquent. Le département des Alpes-Maritimes a été durement touché ces derniers mois", a commenté Lewandowski. "Malgré une réponse pénale forte, elle n'a pas d'effet dissuasif et les faits se reproduisent trop fréquemment", a-t-elle déploré.

En octobre, un Cap-Verdien de 25 ans, qui avait agressé un policier à coups de casque et de menottes à Nice à la suite d'un contrôle d'identité, avait été condamné à 2 ans et demi de prison ferme. Toujours en octobre, un gendarme en service de 52 ans avait été mortellement fauché par un voleur de voiture soupçonné d'avoir délibérément foncé sur lui.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/25/97001-20121225FILWWW00093-nice-un-policier-roue-de-coups.php

Bordeaux : l'étudiant toujours dans le coma

L'étudiant de 20 ans retrouvé samedi matin sous le pont de chemin de fer, quai de Paludate était toujours hier en état de mort cérébrale.
L'enquête de police, confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale, a établi qu'il avait passé la soirée avec des amis. Soirée qui s'est achevée dans une boîte de nuit du quartier de Paludate, le Lusi Klub, rue du commerce.

Le jeune homme en est sorti, seul, à 6 heures. À 6 h 50, des témoins découvraient son corps inanimé et appelaient les secours. Les enquêteurs cherchent à établir ce qui s'est passé durant ces cinquante minutes

http://www.sudouest.fr/2012/12/25/bordeaux-l-etudiant-toujours-dans-le-coma-918133-2780.php

Nouvelle fusillade aux 4 As

Il était 5h15, ce matin, lorsqu’une fusillade a éclaté sur le parking de la discothèque les 4 As Essey-lès-Nancy. Un échange de plusieurs coups de feu qui a fait deux blessés qui ont été hospitalisés. Leurs pronostics vitaux ne sont pas engagés.
Le premier a été touché au niveau du fémur ; le second, qui a été rattrapé par les forces de l’ordre alors qu’il tentait de prendre la fuite, a deux balles dans le genou.
Les deux hommes, âgés d’une vingtaine d’années, en seraient venus aux mains après une altercation qui aurait débuté à l’intérieur de la boîte de nuit qui organisait là, à l’occasion du réveillon de Noël, sa dernière grand soirée raï de l’année sur le thème « Joyeux Noël mais pas pour tous ».
Sur place, les enquêteurs ont effectué les relevés balistiques qui devrait contribuer à faire la lumière sur cette fusillade qui touche une nouvelle fois les 4 As. Un établissement qui avait déjà fait les unes des médias à l’automne 2011 avec ce qui allait devenir l’affaire des frères Vairelles. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.
 

Panne d'électricité à l'hôpital de Grenoble

L'hôpital nord de Grenoble a été privé d'électricité tôt mardi matin pendant une heure et demie, une panne d'électricité d'origine indéterminée, a-t-on appris auprès des pompiers.

La coupure d'électricité, entre 6h40 et 8h10 ce matin, a nécessité l'intervention de 71 pompiers. Les secours ont notamment actionné un centre de traitement d'alerte de dépannage à Voiron, une commune voisine de Grenoble. Ils ont également évacué sur d'autres hôpitaux les patients nécessitant une radio, les dispositifs d'imagerie médicale étant hors-service.

Aucune victime n'a été signalée suite à cette panne, d'origine encore inconnue.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/25/97001-20121225FILWWW00019-panne-d-electricite-a-l-hopital-de-grenoble.php

Luchon. La télécabine a repris du service

Lundi matin, 8 h 30 : la télécabine a repris son va-et-vient entre Luchon et la station de Superbagnères. Le chaînon cassé, qui avait entraîné l'immobilisation de l'engin, a pu être remplacé. «Nous avons reçu la pièce dimanche vers 20 heures et les équipes se sont mises immédiatement au travail afin de tout remettre en route, confirme Louis Ferré, le président de la régie Luchon Superbagnères Pyrénez-vous. Ils ont remplacé le maillon défaillant, ont graissé l'ensemble de la chaîne et tout était prêt lundi matin. Cependant, nous avons prévu de procéder au changement complet de la chaîne, les équipes ont travaillé encore lundi soir.»
Au pied de la télécabine, l'incident de dimanche est déjà presque oublié. «Lundi matin, j'ai retrouvé des vacanciers qui avaient été bloqués la veille, ils ont repris la télécabine sans appréhension», constate un employé de la station. «Moi, j'ai même rencontré une dame qui m'a dit qu'elle avait été ravie de faire une descente de 18 mètres en rappel, renchérit l'un de ses collègues. C'était la première fois qu'elle se livrait à ce type d'exercice et elle m'a dit qu'elle en conservait un bon souvenir !»

Skieurs en confiance

Pas d'appréhension non plus pour les nouveaux arrivants. «J'arrive des Charentes avec mes deux enfants et mon mari, explique une maman. J'ai entendu parler de l'incident mais je suppose que si le matériel a été remis en route, c'est qu'il a bien été vérifié, nous sommes donc montés en toute confiance».
«Nous arrivons de l'Aveyron, de Séverac le Château, renchérit un père de famille. Hier, nous avons eu de la chance, nous avons pris la voiture pour skier ! Ce matin, nous sommes venus tout naturellement vers la télécabine». «Je ne pense pas qu'il y ait un impact négatif sur l'image de la station, conclut Louis Ferré. La biathlète Marie-Laure Brunet a été informée de l'incident par la presse depuis son circuit coupe du monde et nous a envoyé un texto de soutien ! Je pense surtout que cela a permis de montrer l'efficacité et la réactivité des équipes. Tout ce qu'il faut retenir c'est que tout s'est passé de la meilleure des façons et que l'on aura parlé de Luchon partout dans l'Hexagone».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/25/1522166-luchon-la-telecabine-a-repris-du-service.html

Meximieux : une fausse coiffeuse escroque trois personnes âgées et Pôle emploi

La gendarmerie de Meximieux a mis fin aux agissements d’une personne coupable d’escroqueries au détriment de personnes vulnérables.
Trois dames du canton, âgées respectivement de 82, 87 et 90 ans, avaient recours au service d’une coiffeuse à domicile. Tout aurait été pour le mieux si cette personne indélicate n’avait pas profité de la vulnérabilité de ses clientes. Une première plainte pour falsification de chèque avait été déposée en mars 2012, avant que deux autres ne suivent. L’investigation des gendarmes a permis de révéler que la dite coiffeuse avait contrefait et falsifié ou dérobé des chèques.
Il s’est avéré qu’elle n’avait aucune compétence requise pour exercer son art et qu’elle avait été congédiée par un employeur de société de services pour ces motifs. Pire, elle percevait des prestations sociales et avait causé un préjudice de 10 000 euros à Pôle emploi.
Les charges retenues sont lourdes : escroquerie sur personne vulnérable, usages de chèques falsifiés, travail dissimulé, tromperie afin d’obtenir un avantage et prise du nom d’un tiers pouvant déterminer des poursuites contre lui, escroquerie au préjudice de Pôle emploi. Elle sera convoquée au tribunal correctionnel en avril 2013.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/12/25/meximieux-une-fausse-coiffeuse-escroque-trois-personnes-agees-et-pole-emploi

Gourette : un jeune grièvement blessé en tombant du télésiège

Un jeune homme de 18 ans domicilié à Lons s'est sérieusement blessé, samedi, en tombant du télésiège des Fontaines, dans la station de ski de Gourette.
D'une hauteur de 12 mètres, il a atterri sur un rocher en bordure de piste et s'est fracturé le bras gauche, une vertèbre lombaire, le fémur, le tibia et le péroné.
Ses jours ne sont pas en danger; l'homme était conscient à l'arrivée des pisteurs-secouristes et du médecin de la station, qui l'ont pris en charge en attendant l'arrivée de l'hélicoptère de la sécurité civile et des gendarmes du PGHM.
La victime a été évacuée vers l'hôpital de Pau où elle a été opérée. Une enquête a été ouverte, menée conjointement par la brigade territoriale de gendarmerie de Laruns et le PGHM d'Oloron.

http://www.sudouest.fr/2012/12/24/il-tombe-du-telesiege-917125-4158.php