La Lyonnaise des eaux fait savoir que de faux agents, disant venir de la part de la société, démarchent des usagers dans le département de la Dordogne, notamment à Périgueux.
Ils prétextent « un contrôle de la qualité de l'eau ou des coupures d'eau et la nécessité d'avoir accès aux installations, pour s'introduire dans le domicile des particuliers », explique le service communication de l'entreprise.
Celle-ci rappelle que les vrais agents sont munis d'une carte professionnelle avec une photo, d'un uniforme spécifique et de véhicules signés du logo de la Lyonnaise. « Il ne faut pas hésiter à leur demander de présenter leur carte de service au moindre doute », conseille-t-on à la Lyonnaise des eaux.
http://www.sudouest.fr/2014/02/28/de-faux-agents-de-la-lyonnaise-des-eaux-sevissent-en-dordogne-1476229-1980.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
vendredi 28 février 2014
Narbonne. Un octogénaire placé sous tutelle sans le savoir
Un octogénaire narbonnais, a appris qu’il était placé sous tutelle à la demande de l’un de ses enfants. Un placement qu’il conteste aidés par des amis du quartier.
R. T. S., qui vient de fêter ses 82 ans vendredi 22 février, vit depuis quelques mois un véritable drame. Encore sous le choc, il ne comprend pas pourquoi un de ses sept enfants a demandé son placement sous tutelle, lui qui ne demandait rien à personne et qui est un locataire sans problème à la résidence du Moulin-du-Gua à Narbonne. Du jour au lendemain, plus de courrier, de sa modeste pension de retraite, on ne lui laisse désormais plus que 100 € par mois. Nous sommes allés à sa rencontre, au café Maure à l’entrée de la cité des Oliviers ; là, entouré de ses amis, membres de la communauté harki, qui le soutiennent dans sa démarche, il s’est confié, non sans émotion et une grande inquiétude quant à l’avenir : «Je suis un ancien combattant d’Indochine, puis d’Algérie, aujourd’hui je suis retraité, je viens souvent ici au café Maure avec mes amis passer un moment, je prends le bus, même s’il faut changer de ligne, ce n’est pas un problème pour moi, je me débrouille très bien. Aujourd’hui je suis sous le choc, mes enfants ils n’habitent pas loin, mais je les vois très rarement ; du jour au lendemain, j’apprends que je suis placé sous tutelle, de ma retraite on ne me laisse que 100 euros, je ne reçois plus de courrier et on m’a enlevé le droit de vote, comment je peux me défendre tout seul ?»
Pas de doute l’homme est sain d’esprit et l’Association patriotique et culturelle des anciens combattants a décidé de se battre à ses côtés pour faire valoir ses droits et ne pas laisser au bord de la route un des siens, en s’attachant les services d’un avocat. En effet, selon eux, le jugement de tutelle a été un peu hâtif et plusieurs points soulèvent interrogation, à commencer par le fait que les autres enfants de M. R.T. S. n’ont pas été consultés, il n’existe pas non plus d’expertise psychiatrique de l’intéressé sur la base duquel le jugement de mise sous tutelle aurait dû s’appuyer, comme le relève un courrier rédigé par le docteur Bousquet qui suit R. T. S. pour des pathologies cardiaques.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/28/1828693-narbonne-apprend-jour-lendemain-placement-sous-tutelle.html
R. T. S., qui vient de fêter ses 82 ans vendredi 22 février, vit depuis quelques mois un véritable drame. Encore sous le choc, il ne comprend pas pourquoi un de ses sept enfants a demandé son placement sous tutelle, lui qui ne demandait rien à personne et qui est un locataire sans problème à la résidence du Moulin-du-Gua à Narbonne. Du jour au lendemain, plus de courrier, de sa modeste pension de retraite, on ne lui laisse désormais plus que 100 € par mois. Nous sommes allés à sa rencontre, au café Maure à l’entrée de la cité des Oliviers ; là, entouré de ses amis, membres de la communauté harki, qui le soutiennent dans sa démarche, il s’est confié, non sans émotion et une grande inquiétude quant à l’avenir : «Je suis un ancien combattant d’Indochine, puis d’Algérie, aujourd’hui je suis retraité, je viens souvent ici au café Maure avec mes amis passer un moment, je prends le bus, même s’il faut changer de ligne, ce n’est pas un problème pour moi, je me débrouille très bien. Aujourd’hui je suis sous le choc, mes enfants ils n’habitent pas loin, mais je les vois très rarement ; du jour au lendemain, j’apprends que je suis placé sous tutelle, de ma retraite on ne me laisse que 100 euros, je ne reçois plus de courrier et on m’a enlevé le droit de vote, comment je peux me défendre tout seul ?»
Pas de doute l’homme est sain d’esprit et l’Association patriotique et culturelle des anciens combattants a décidé de se battre à ses côtés pour faire valoir ses droits et ne pas laisser au bord de la route un des siens, en s’attachant les services d’un avocat. En effet, selon eux, le jugement de tutelle a été un peu hâtif et plusieurs points soulèvent interrogation, à commencer par le fait que les autres enfants de M. R.T. S. n’ont pas été consultés, il n’existe pas non plus d’expertise psychiatrique de l’intéressé sur la base duquel le jugement de mise sous tutelle aurait dû s’appuyer, comme le relève un courrier rédigé par le docteur Bousquet qui suit R. T. S. pour des pathologies cardiaques.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/28/1828693-narbonne-apprend-jour-lendemain-placement-sous-tutelle.html
Montpellier : les policiers veulent verbaliser un quad, ils sont caillassés
En deux temps cette semaine, les policiers du bureau de police de la Mosson ont interpellé cinq individus suspectés de violences et de rébellion contre des agents.
L’affaire a démarré lundi, vers 15 h 30, rue de Bologne. Un individu passe à toute allure en quad, ce qui est interdit. Des fonctionnaires veulent le contrôler mais il refuse de s’arrêter et s’enfuit. Puis, vers 17 h, les policiers retrouvent le quad, rue du Biterrois, avec un homme dessus. L’engin n’est ni homologué ni assuré, la fourrière est appelée.
Le propriétaire et un de ses amis ameutent alors les copains. Et une dizaine de jeunes arrivent, s'opposent à la saisie. L’un en frappant un policier d’un coup de poing au visage et d’autres en carrément caillassant la voiture sérigraphiée...
Deux suspects ont été arrêtés dans la foulée, puis trois autres, hier, mercredi et mardi. Âgés d’une vingtaine d’années, ils doivent être jugés en comparution immédiate vendredi après-midi pour violences et incitation à l’émeute.
http://www.midilibre.fr/2014/02/27/les-policiers-veulent-verbaliser-un-quad-ils-sont-caillasses,828024.php
L’affaire a démarré lundi, vers 15 h 30, rue de Bologne. Un individu passe à toute allure en quad, ce qui est interdit. Des fonctionnaires veulent le contrôler mais il refuse de s’arrêter et s’enfuit. Puis, vers 17 h, les policiers retrouvent le quad, rue du Biterrois, avec un homme dessus. L’engin n’est ni homologué ni assuré, la fourrière est appelée.
Le propriétaire et un de ses amis ameutent alors les copains. Et une dizaine de jeunes arrivent, s'opposent à la saisie. L’un en frappant un policier d’un coup de poing au visage et d’autres en carrément caillassant la voiture sérigraphiée...
Deux suspects ont été arrêtés dans la foulée, puis trois autres, hier, mercredi et mardi. Âgés d’une vingtaine d’années, ils doivent être jugés en comparution immédiate vendredi après-midi pour violences et incitation à l’émeute.
http://www.midilibre.fr/2014/02/27/les-policiers-veulent-verbaliser-un-quad-ils-sont-caillasses,828024.php
jeudi 27 février 2014
Une maison ravagée par les flammes à Araux (64)
Mercredi soir vers 20h30, les pompiers de Navarrenx ont été appelé à Araux par des voisins : le feu s'était déclaré dans une maison située en face de l'école et dont les propriétaires, un couple de retraités, étaient momentanément absents.
L'incendie a ravagé tout l'étage ainsi que les combles, et la toiture était entièrement embrasée à l'arrivée des pompiers, lesquels ont été renforcés par des équipes de Sauveterre, Orthez et Oloron. Une trentaine de pompiers au total était sur place.
Ils ont lutté une bonne partie de la nuit contre le feu qui menaçait de se propager au toit d'une grange attenante. Celle-ci a pu être épargnée, mais la maison d'habitation est totalement détruite. L'origine de l'incendie reste à déterminer et les pompiers étaient encore sur place jeudi matin pour prévenir tout nouveau départ de feu.
Le couple de retraités a été relogé dans leur famille.
http://www.sudouest.fr/2014/02/27/une-maison-ravagee-par-les-flammes-a-araux-64-1475023-3953.php
L'incendie a ravagé tout l'étage ainsi que les combles, et la toiture était entièrement embrasée à l'arrivée des pompiers, lesquels ont été renforcés par des équipes de Sauveterre, Orthez et Oloron. Une trentaine de pompiers au total était sur place.
Ils ont lutté une bonne partie de la nuit contre le feu qui menaçait de se propager au toit d'une grange attenante. Celle-ci a pu être épargnée, mais la maison d'habitation est totalement détruite. L'origine de l'incendie reste à déterminer et les pompiers étaient encore sur place jeudi matin pour prévenir tout nouveau départ de feu.
Le couple de retraités a été relogé dans leur famille.
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Agen. 6 mois de prison requis pour avoir falsifié un chèque de la prison
Quelle idée est passée par la tête de cet homme de 44 ans qui ne trouva pas mieux que d’exercer son talent de falsificateur sur un titre de paiement émanant de l’établissement pénitentiaire où il venait de purger sa peine.
Lors de sa sortie, le 24 mai 2012, l’administration lui rédigeait un chèque du reliquat qu’il lui restait à percevoir. 18 euros. Pas d’accord sur la somme, l’ex-détenu affirme que sur son bulletin de sortie c’était 118 euros qui auraient été mentionnés. Qu’à cela ne tienne, il répare lui-même l’erreur en rajoutant la centaine manquante, devant le 18. Et cela donne la somme désirée. «C’était pas un vol, se défend-il. Mon but était simplement que mon bien me soit restitué.»
Parti au Maroc retrouver femme et enfants, il n’avait pu être entendu et le procureur s’étonnait qu’il ne reste pas dans son pays s’il ne revient en France que pour commettre des délits. Il requérait six mois de prison ferme. Me De Baehr, pour la défense, espérait une peine plus indulgente pour le prévenu qui avait connu quelques difficultés psychiatriques. Incarcéré depuis novembre 2013 pour d’autres affaires, il semble avoir adopté un comportement plus calme.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/27/1828303-agen-6-mois-prison-requis-avoir-falsifie-cheque-prison.html
Lors de sa sortie, le 24 mai 2012, l’administration lui rédigeait un chèque du reliquat qu’il lui restait à percevoir. 18 euros. Pas d’accord sur la somme, l’ex-détenu affirme que sur son bulletin de sortie c’était 118 euros qui auraient été mentionnés. Qu’à cela ne tienne, il répare lui-même l’erreur en rajoutant la centaine manquante, devant le 18. Et cela donne la somme désirée. «C’était pas un vol, se défend-il. Mon but était simplement que mon bien me soit restitué.»
Parti au Maroc retrouver femme et enfants, il n’avait pu être entendu et le procureur s’étonnait qu’il ne reste pas dans son pays s’il ne revient en France que pour commettre des délits. Il requérait six mois de prison ferme. Me De Baehr, pour la défense, espérait une peine plus indulgente pour le prévenu qui avait connu quelques difficultés psychiatriques. Incarcéré depuis novembre 2013 pour d’autres affaires, il semble avoir adopté un comportement plus calme.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/27/1828303-agen-6-mois-prison-requis-avoir-falsifie-cheque-prison.html
Vol à main armée dans une pharmacie de Commercy
QUI EST ce jeune homme qui s’est dit désespéré et est sorti de la pharmacie Flesch de Commercy en s’excusant auprès du pharmacien de l’avoir braqué ? C’est ce que cherchent à savoir les gendarmes de Commercy, depuis que, mardi soir, Philippe Flesch les a contactés pour leur signaler qu’il venait d’être victime d’un vol à main armée.
Il était entre 18 h 30 et 18 h 45, mardi soir, quand un jeune homme âgé entre 20 et 25 ans fait irruption dans l’officine de la rue de Gaulle un couteau à la main, genre couteau à pain. Vêtu d’une veste noire dont il a rabattu la capuche sur sa tête et d’un pantalon sombre, l’individu portait aussi un gros sac à dos noir et une écharpe lui masquait le bas du visage. À peine entré dans la pharmacie, se disant désespéré, il a ordonné au professionnel de santé de lui remettre la caisse. Sans perdre son sang-froid, le pharmacien a demandé au jeune homme de poser son couteau, en échange de quoi il a lui a remis 40 euros. L’homme est aussitôt sorti de la pharmacie en s’excusant. Après avoir repris son couteau, il est parti à pied en direction de la place de Gaulle.
Sitôt avertis, les gendarmes de la brigade locale, de la brigade de recherche et du PSIG de Commercy se sont mis à sa recherche à pied et en véhicule. Dans le même temps ont débuté les investigations en police scientifique et techniques, les analyses étaient hier encore en cours.
L’enquête de voisinage n’ayant pas permis de privilégier une piste, les gendarmes lancent aujourd’hui un appel à témoin. Les personnes qui auraient pu voir le jeune homme recherché sont priées de prendre contact avec la gendarmerie de Commercy au 03.29.91.43.33 ou en appelant le 17.
http://www.estrepublicain.fr/meuse/2014/02/27/vol-a-main-armee-dans-une-pharmacie-de-commercy
Il était entre 18 h 30 et 18 h 45, mardi soir, quand un jeune homme âgé entre 20 et 25 ans fait irruption dans l’officine de la rue de Gaulle un couteau à la main, genre couteau à pain. Vêtu d’une veste noire dont il a rabattu la capuche sur sa tête et d’un pantalon sombre, l’individu portait aussi un gros sac à dos noir et une écharpe lui masquait le bas du visage. À peine entré dans la pharmacie, se disant désespéré, il a ordonné au professionnel de santé de lui remettre la caisse. Sans perdre son sang-froid, le pharmacien a demandé au jeune homme de poser son couteau, en échange de quoi il a lui a remis 40 euros. L’homme est aussitôt sorti de la pharmacie en s’excusant. Après avoir repris son couteau, il est parti à pied en direction de la place de Gaulle.
Sitôt avertis, les gendarmes de la brigade locale, de la brigade de recherche et du PSIG de Commercy se sont mis à sa recherche à pied et en véhicule. Dans le même temps ont débuté les investigations en police scientifique et techniques, les analyses étaient hier encore en cours.
L’enquête de voisinage n’ayant pas permis de privilégier une piste, les gendarmes lancent aujourd’hui un appel à témoin. Les personnes qui auraient pu voir le jeune homme recherché sont priées de prendre contact avec la gendarmerie de Commercy au 03.29.91.43.33 ou en appelant le 17.
http://www.estrepublicain.fr/meuse/2014/02/27/vol-a-main-armee-dans-une-pharmacie-de-commercy
mercredi 26 février 2014
Bayonne : vingt-quatre mois de prison pour vingt-deux kilos d'herbe de cannabis
Hier, le tribunal correctionnel a condamné un Belge à vingt-quatre mois de prison, dont six mois avec sursis.
Le jeune homme de 24 ans avait été arrêté par la douane samedi 22 février, au péage de Biriatou, alors qu'il transportait 22,98 kilos d'herbe de cannabis et 480 grammes de résine de cannabis.
Le Belge, fils d'un diplomate et d'une architecte, père de famille et patron d'un restaurant de Marbella en voie de faillite, n'a pas donné l'identité de ses complices lors de sa garde à vue, mais il a reconnu les faits. Il a par ailleurs été condamné à une amende douanière de 41 000 euros.
http://www.sudouest.fr/2014/02/26/faits-divers-1473675-4584.php
Le jeune homme de 24 ans avait été arrêté par la douane samedi 22 février, au péage de Biriatou, alors qu'il transportait 22,98 kilos d'herbe de cannabis et 480 grammes de résine de cannabis.
Le Belge, fils d'un diplomate et d'une architecte, père de famille et patron d'un restaurant de Marbella en voie de faillite, n'a pas donné l'identité de ses complices lors de sa garde à vue, mais il a reconnu les faits. Il a par ailleurs été condamné à une amende douanière de 41 000 euros.
http://www.sudouest.fr/2014/02/26/faits-divers-1473675-4584.php
Accident de l'A9 à Saint-Aunès : le routier hongrois était ivre
La circulation avait été bloquée lundi 24 février sur l'autoroute A9, dans l'Hérault. Selon nos informations, le routier hongrois avait 1,94 gramme d'alcool dans le sang.
Tout s'éclaircit dans l'accident entre deux poids-lourds et une fourgonnette survenu lundi 24 février, vers 3 heures, sur l'A9, à hauteur de Saint-Aunès, et qui a causé des bouchons monstres entre le Gard et l'Hérault.
1,94 gramme d'alcool dans le sang
Les automobilistes qui sont restés coincés des heures seront contents d'apprendre que l'alcool est à l'origine de la collision qui a fait deux blessés légers et coupé l'autoroute.
Selon nos informations, le routier hongrois avait 1,94 gramme d'alcool dans le sang. Et lorsque son homologue roumain l'a doublé, il a fait une embardée à gauche au même moment... Les deux camions se sont heurtés, puis couchés avant d'être percutés par une camionnette
http://www.midilibre.fr/2014/02/26/accident-de-l-a9-a-saint-aunes-le-routier-hongrois-etait-ivre,827400.php
Tout s'éclaircit dans l'accident entre deux poids-lourds et une fourgonnette survenu lundi 24 février, vers 3 heures, sur l'A9, à hauteur de Saint-Aunès, et qui a causé des bouchons monstres entre le Gard et l'Hérault.
1,94 gramme d'alcool dans le sang
Les automobilistes qui sont restés coincés des heures seront contents d'apprendre que l'alcool est à l'origine de la collision qui a fait deux blessés légers et coupé l'autoroute.
Selon nos informations, le routier hongrois avait 1,94 gramme d'alcool dans le sang. Et lorsque son homologue roumain l'a doublé, il a fait une embardée à gauche au même moment... Les deux camions se sont heurtés, puis couchés avant d'être percutés par une camionnette
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Foix. Il retourne en prison... le jour de sa libération de la maison d'arrêt
L’homme n’aura passé que quelques heures en liberté, au terme de treize mois de détention : un très bref moment, entre sa sortie de prison, le matin du 21 février dernier, vers 9 heures, et son retour derrière les barreaux, en début d’après-midi. Entre ces deux moments de la même journée, Yohan L.. 37 ans, a d’abord connu les joies des retrouvailles avec sa compagne, une jeune femme d’une vingtaine d’années, venue le chercher à la porte de la maison d’arrêt. Pour arroser cette libération, du vin doux et du whisky attendaient son retour au bercail. Mais la fête a mal tourné. Vers 13 heures, la jeune femme appelle les gendarmes de Tarascon, depuis un café situé non loin de l’appartement du couple. Elle affirme avoir été frappée, que son compagnon s’est acharné sur le mobilier de leur appartement et qu’il lui a même jeté «des tuiles et des parpaings à la figure».
Lorsque les gendarmes arrivent, l’homme dort profondément. A son réveil, il insulte les militaires, les menace et tente d’échapper à son interpellation. Dans l’appartement règne un profond désordre.
«Je ne voulais pas boire, mais c’était plus fort que moi», souffle à la barre le trentenaire déconfit de se retrouver aussi vite devant le tribunal. Il cache mal son inquiétude : son casier ne plaide pas en sa faveur. Il porte seize condamnations, dont la dernière a entraîné la révocation de sursis antérieurs. Mais il désespère un peu «J’ai des projets plein la tête, mais ça n’avance pas. Ce n’est pas en me remettant en prison à chaque fois que ça va avancer» ! Et l’homme nie avoir porté des coups à sa compagne. Son avocat, Me Hugues Casellas-Ferry, plaidera d’ailleurs la relaxe pour les coups et blessures : «Il n’y a pas de traces de ces coups. La procédure ne repose que sur les déclarations de la victime», une jeune femme déjà condamnée, elle aussi, pour des… violences et des dégradations.
Yohan L... a été condamné à trois mois de prison pour les dégradations, l’outrage et la rébellion, mais relaxé pour les violences. Et il a été reconduit à la maison d’arrêt.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/26/1827442-foix-retourne-prison-jour-liberation-maison-arret.html
Lorsque les gendarmes arrivent, l’homme dort profondément. A son réveil, il insulte les militaires, les menace et tente d’échapper à son interpellation. Dans l’appartement règne un profond désordre.
«Je ne voulais pas boire, mais c’était plus fort que moi», souffle à la barre le trentenaire déconfit de se retrouver aussi vite devant le tribunal. Il cache mal son inquiétude : son casier ne plaide pas en sa faveur. Il porte seize condamnations, dont la dernière a entraîné la révocation de sursis antérieurs. Mais il désespère un peu «J’ai des projets plein la tête, mais ça n’avance pas. Ce n’est pas en me remettant en prison à chaque fois que ça va avancer» ! Et l’homme nie avoir porté des coups à sa compagne. Son avocat, Me Hugues Casellas-Ferry, plaidera d’ailleurs la relaxe pour les coups et blessures : «Il n’y a pas de traces de ces coups. La procédure ne repose que sur les déclarations de la victime», une jeune femme déjà condamnée, elle aussi, pour des… violences et des dégradations.
Yohan L... a été condamné à trois mois de prison pour les dégradations, l’outrage et la rébellion, mais relaxé pour les violences. Et il a été reconduit à la maison d’arrêt.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/26/1827442-foix-retourne-prison-jour-liberation-maison-arret.html
Mirande. Accusé de la mort d'un pêcheur, il est disculpé
Les faits remontent au 21 juin 2012 à Mirande. Pendant que les habitants fêtent la musique, un drame est en train de se nouer au camping. A 20 h 23, les sapeurs-pompiers sont appelés pour assister une personne prise d’un malaise. Peu avant l’intervention des secouristes, l’homme qui pêchait dans la Baïse aurait eu une altercation avec un promeneur. A 21 h 12, les sapeurs-pompiers constatent le décès du pêcheur, alors âgé de 75 ans. Mis en examen pour violences ayant entraîné la mort, le promeneur clame son innocence. Après un an et demi d’instruction, le juge vient de délivrer une ordonnance de non-lieu. Document qui disculpe l’homme des faits qui lui sont reprochés. «La mort de cette personne continue à me hanter. Mais c’est un soulagement pour mon entourage et pour moi d’être reconnu innocent», explique, des sanglots dans la voix, ce Mirandais. Selon son avocat, Me Langlois, «le décès du pêcheur serait dû à un arrêt cardiaque». Quelques jours après les faits, une pétition pour soutenir le promeneur, âgé aujourd’hui de 62 ans, avait recueilli plus de 600 signatures.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/26/1826729-mirande-accuse-mort-pecheur-est-disculpe.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/26/1826729-mirande-accuse-mort-pecheur-est-disculpe.html
mardi 25 février 2014
Béarn : deux fillettes blessées dans un accident de luge à Urdos
Deux fillettes de 7 et 8 ans, originaires de la région d'Oloron, ont été blessées, dont une sérieusement, lundi après-midi, dans un accident de luge artisanale. Les secours ont été alertés vers 16 h 30. Les faits se sont produits à proximité de la station de ski de fond du Somport, mais en dehors de son domaine, sur la commune d'Urdos.
« Les parents sont venus chercher de l'aide auprès de nous », raconte le directeur Bruno Guitton qui a immédiatement appelé les secours. « Les deux fillettes faisaient de la luge sur un matelas pneumatique de plage, poursuit-il. Visiblement, leurs parents les attendaient en bas de la pente. Mais les enfants ont heurté un arbre dans leur glissade. »
Moins gravement touchée, mais victime toutefois d'un traumatisme à l'épaule, l'autre petite fille a été prise en charge par une équipe des pompiers d'Urdos dépêchée sur les lieux. Elle aussi a été emmenée au centre hospitalier de Pau.
http://www.sudouest.fr/2014/02/25/montagne-deux-enfants-blessees-1472143-4321.php
« Les parents sont venus chercher de l'aide auprès de nous », raconte le directeur Bruno Guitton qui a immédiatement appelé les secours. « Les deux fillettes faisaient de la luge sur un matelas pneumatique de plage, poursuit-il. Visiblement, leurs parents les attendaient en bas de la pente. Mais les enfants ont heurté un arbre dans leur glissade. »
- Traumatisme crânien
Moins gravement touchée, mais victime toutefois d'un traumatisme à l'épaule, l'autre petite fille a été prise en charge par une équipe des pompiers d'Urdos dépêchée sur les lieux. Elle aussi a été emmenée au centre hospitalier de Pau.
http://www.sudouest.fr/2014/02/25/montagne-deux-enfants-blessees-1472143-4321.php
Le forcené tire 90 coups de fusil
Un homme très alcoolisé a tiré 90 coups de fusil depuis son jardin et sa maison située dans un hameau de Glomel.
Samedi soir, dans un petit hameau de quatre maisons dans la campagne de Glomel, un homme connu comme chasseur se met à tirer au fusil en direction du muret qui entoure sa maison et vers l’entrée de sa propriété.
La patrouille de gendarmerie de Maël-Carhaix appelle le peloton d’intervention de Guingamp en renfort.L’homme est interpellé vers minuit. Il était très alcoolisé. Il a été placé en garde à vue.
Les gendarmes ont dénombré 90 cartouches autour de la maison
http://www.ouest-france.fr/fait-divers-le-forcene-tire-90-coups-de-fusil-1957005
La patrouille de gendarmerie de Maël-Carhaix appelle le peloton d’intervention de Guingamp en renfort.L’homme est interpellé vers minuit. Il était très alcoolisé. Il a été placé en garde à vue.
Les gendarmes ont dénombré 90 cartouches autour de la maison
http://www.ouest-france.fr/fait-divers-le-forcene-tire-90-coups-de-fusil-1957005
Nice. Trois jeunes meurent d'une méningite foudroyante
Une épidémie de méningite à Nice ? C'est la rumeur qui inquiète après que trois jeunes hommes soient décédés en l'espace de deux jours et qu'un quatrième soit actuellement en réanimation. D'après Nice-Matin, c'est une méningite à méningoque qui serait à l'origine de ces morts foudroyantes.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/25/1826632-nice-trois-jeunes-meurent-d-une-meningite-foudroyante.html
La souche B, la plus dangereuse
Deux Niçois, âgés de 20 à 30 ans, ont perdu la vie à cause d'une méningite au cours du week-end dernier. Une troisième personne, apparemment le beau-frère d'une des victimes, a succombé également. Peu de temps après, un adolescent a été accepté en réanimation à l'hôpital Lenval dans un état faisant fortement suspecter cette même maladie. Il serait atteint de la souche B de la méningite, la plus virulente et dangereuse.Une "situation préoccupante"
Cette série de quatre cas en deux jours a fortement inquiété, alors que les statistiques font normalement état de seulement un ou deux cas par saison. Une source proche du dossier a reconnu lundi : "Nous ne sommes pas au début d’une épidémie mais la situation est préoccupante". L'Agence régionale de santé a imposé un traitement préventif pour tous ceux ayant été en contact avec les victimes.http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/25/1826632-nice-trois-jeunes-meurent-d-une-meningite-foudroyante.html
Au chevet de la petite Eva
«Je suis dans l’impasse. Je me retrouve sans solution ». D’autres hurleraient au scandale ou menaceraient la Terre entière de représailles. Pas le brigadier-chef Christophe Grosjean. Calme et posé, ce policier de la brigade de nuit de Nancy, âgé de 45 ans, expose son problème sans haine, ni rancœur. Presque en s’excusant.
« Je ne mène pas une bataille contre mon administration mais pour ma fille », nuance-t-il, tout de suite. Sa fille, Eva, 8 ans, est atteinte d’une maladie génétique rare, le syndrome de Shwachman-Diamond. Une centaine de cas en France. « Ma fille a le malheur d’avoir tous les symptômes », souligne Christophe Grosjean. Son enfant a une croissance ralentie. Elle a aussi une déficience immunitaire. « Elle attrape tous les microbes et virus qui passent. Cela va de la grippe au rhume en passant par des otites et tout ce qu’on peut imaginer », indique son père.
Depuis que sa maladie a été détectée, peu après sa naissance, ses parents se battent pour qu’elle ait une vie normale. Ou en tout cas la moins anormale possible. « Ma femme, qui était couturière de formation, a laissé tomber le projet qu’elle avait de créer son entreprise pour être le plus souvent possible auprès de notre fille », raconte le brigadier-chef qui, de son côté, n’a quasiment pas pris de vacances durant 8 ans. Il a mis de côté des jours pour pouvoir être disponible si la santé de sa fille l’exigeait. « J’ai dû cumuler à peu près 7 mois », affirme-t-il. Mais cela ne sera pas suffisant pour l’épreuve qui s’annonce. La petite Eva doit en effet subir une chimiothérapie suivie d’une greffe de moelle osseuse fin mars ou début avril, à l’hôpital Necker à Paris.
« Si on ne fait rien, elle risque de développer une leucémie. La greffe est la seule solution. Mais c’est un pari. Si cela ne marche pas, le pronostic vital de ma fille sera engagé », précise le papa. Outre les angoisses que l’on imagine, il doit affronter des problèmes matériels que l’on n’imagine pas.
L’hospitalisation de sa fille à Paris doit durer minimum 6 mois dans une chambre stérile. Il faut ensuite compter entre 6 mois et un an de convalescence à domicile. En apprenant cela, une centaine de ses collègues policiers ont proposé spontanément au brigadier-chef de lui faire cadeau de jours de congés ou de RTT. « C’était un élan de solidarité très touchant ».
Ce qui a été moins touchant, c’est la réaction de l’administration. « J’ai écrit à ma hiérarchie en juillet dernier pour savoir ce qu’elle pouvait faire pour m’aider. Je n’ai eu aucune réponse durant 7 mois », témoigne Christophe Grosjean.
« Le SGAP m’a proposé soit de prendre l’intégralité de mes congés, soit d’avoir recours à une allocation de la Caisse d’allocation familiale de 940 € par mois. Je ne peux pas accepter cela. Je ne sais pas pourquoi mais je n’ai pas réussi à toucher l’humanité de mes interlocuteurs », soupire le policier nancéien.
Il ne sait plus trop quoi faire. Avec son épouse, il a ouvert un page facebook et fait circuler une pétition sur internet : « La seule certitude, c’est que je serais au chevet de ma fille. Sous quel statut, je ne sais pas. Mais je ne l’abandonnerais pas ».
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/25/au-chevet-de-la-petite-eva
« Je ne mène pas une bataille contre mon administration mais pour ma fille », nuance-t-il, tout de suite. Sa fille, Eva, 8 ans, est atteinte d’une maladie génétique rare, le syndrome de Shwachman-Diamond. Une centaine de cas en France. « Ma fille a le malheur d’avoir tous les symptômes », souligne Christophe Grosjean. Son enfant a une croissance ralentie. Elle a aussi une déficience immunitaire. « Elle attrape tous les microbes et virus qui passent. Cela va de la grippe au rhume en passant par des otites et tout ce qu’on peut imaginer », indique son père.
Pronostic vital engagé
Ce qui implique une vigilance de tous les instants, notamment à l’école, pour éviter autant que possible les contacts avec des personnes malades. La petite Eva souffre également d’une malformation thoracique et d’un problème osseux au niveau des jambes.Depuis que sa maladie a été détectée, peu après sa naissance, ses parents se battent pour qu’elle ait une vie normale. Ou en tout cas la moins anormale possible. « Ma femme, qui était couturière de formation, a laissé tomber le projet qu’elle avait de créer son entreprise pour être le plus souvent possible auprès de notre fille », raconte le brigadier-chef qui, de son côté, n’a quasiment pas pris de vacances durant 8 ans. Il a mis de côté des jours pour pouvoir être disponible si la santé de sa fille l’exigeait. « J’ai dû cumuler à peu près 7 mois », affirme-t-il. Mais cela ne sera pas suffisant pour l’épreuve qui s’annonce. La petite Eva doit en effet subir une chimiothérapie suivie d’une greffe de moelle osseuse fin mars ou début avril, à l’hôpital Necker à Paris.
« Si on ne fait rien, elle risque de développer une leucémie. La greffe est la seule solution. Mais c’est un pari. Si cela ne marche pas, le pronostic vital de ma fille sera engagé », précise le papa. Outre les angoisses que l’on imagine, il doit affronter des problèmes matériels que l’on n’imagine pas.
L’hospitalisation de sa fille à Paris doit durer minimum 6 mois dans une chambre stérile. Il faut ensuite compter entre 6 mois et un an de convalescence à domicile. En apprenant cela, une centaine de ses collègues policiers ont proposé spontanément au brigadier-chef de lui faire cadeau de jours de congés ou de RTT. « C’était un élan de solidarité très touchant ».
Ce qui a été moins touchant, c’est la réaction de l’administration. « J’ai écrit à ma hiérarchie en juillet dernier pour savoir ce qu’elle pouvait faire pour m’aider. Je n’ai eu aucune réponse durant 7 mois », témoigne Christophe Grosjean.
Humanité
La réponse est tombée il y a quelques jours seulement. Elle émane de la responsable des ressources humaines au SGAP (Secrétariat général pour l’administration de la police) de Metz. Elle a dit « niet » aux dons de jour de la part d’autres policiers. Aucun texte en effet ne l’autorise. Cela se fait dans le privé. Pas dans le public.« Le SGAP m’a proposé soit de prendre l’intégralité de mes congés, soit d’avoir recours à une allocation de la Caisse d’allocation familiale de 940 € par mois. Je ne peux pas accepter cela. Je ne sais pas pourquoi mais je n’ai pas réussi à toucher l’humanité de mes interlocuteurs », soupire le policier nancéien.
Il ne sait plus trop quoi faire. Avec son épouse, il a ouvert un page facebook et fait circuler une pétition sur internet : « La seule certitude, c’est que je serais au chevet de ma fille. Sous quel statut, je ne sais pas. Mais je ne l’abandonnerais pas ».
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/25/au-chevet-de-la-petite-eva
lundi 24 février 2014
La Rochelle : un corps découvert au port de Chef-de-Baie
Dimanche, à 18h22, un corps a été découvert au niveau de la digue sud du port de Chef-de-Baie, dans les rochers au bord de l'eau. On ignore encore son identité.
Les pompiers de La Rochelle sont intervenus sur les lieux, dimanche.
http://www.sudouest.fr/2014/02/24/la-rochelle-un-corps-decouvert-au-port-de-chef-de-baie-1471607-1391.php
Les pompiers de La Rochelle sont intervenus sur les lieux, dimanche.
http://www.sudouest.fr/2014/02/24/la-rochelle-un-corps-decouvert-au-port-de-chef-de-baie-1471607-1391.php
Enfant blessé par un tracteur lors d’une partie de cache-cache
La partie de cache-cache dans une ferme d’un petit village du canton de Vézelise, aurait pu virer au drame. Hier vers 16 h, quatre enfants âgés de 10 à 14 ans jouaient dans les bottes de foin stockées dans la grange d’un agriculteur local. Sans savoir que le paysan allait venir charger du foin. En entendant le moteur du tracteur qui entrait dans la grange pour charger des meules, les gamins se dissimulaient derrière celles-ci avant que le paysan n’ait pu remarquer leur présence. Au moment d’enfourcher les bottes de foin avec l’engin, un gamin sera légèrement blessé durant la manœuvre. Atteint au niveau du visage, il souffre également d’une compression thoracique. Les trois autres sont parvenus à s’extraire à temps.
Légèrement blessée, la victime a été transportée par les pompiers vers les urgences pédiatriques du CHU de Brabois pour examens de contrôle. La gendarmerie était sur place. Une grosse frayeur pour les enfants, l’agriculteur et les parents.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/02/24/enfant-blesse-par-un-tracteur-lors-d-une-partie-de-cache-cache
Légèrement blessée, la victime a été transportée par les pompiers vers les urgences pédiatriques du CHU de Brabois pour examens de contrôle. La gendarmerie était sur place. Une grosse frayeur pour les enfants, l’agriculteur et les parents.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/02/24/enfant-blesse-par-un-tracteur-lors-d-une-partie-de-cache-cache
Conilhac-Corbières. Un enfant de 2 ans et demi passe la nuit à la belle étoile
Véritablement, c’est une nuit de cauchemar qu’a vécu un couple de Conilhac-Corbières qui, pourtant, devait passer une soirée agréable samedi chez des amis à Ribaute. De 20 h 30 à 8 h 30 hier matin, leur bout de chou, un garçonnet de 2 ans et demi (il aura trois ans en avril) a totalement disparu des écrans radars… Fort heureusement, il a été retrouvé sain et sauf. Mais 12 heures plus tard !
C’est le «truc tout bête», comme nous indiquait hier une source. Le papa croyait qu’il était avec la maman. Et la maman était persuadée qu’il était avec son papa. Sauf qu’à peine descendu de la voiture, le petit s’était carapaté. Le fugueur a pris le large en un temps record et les parents, affolés, n’ont pas pu le retrouver. Vers 21 heures, la gendarmerie a été avisée. Et très vite, des moyens importants ont été mobilisés : trois Psig (Carcassonne, Limoux, Castelnaudary), les brigades locales, deux pompiers du Sdis, un chien Saint-Hubert spécialisé dans la recherche des personnes, ainsi que des habitants du village ont été mis à contribution.
En vain. Hier matin, au lever du jour, l’enfant n’avait pas été retrouvé et les plongeurs gendarmes de la brigade nautique s’apprêtaient à explorer la rivière tandis qu’un hélicoptère était prêt à décoller… On imagine le stress et l’anxiété qui étaient ceux des parents et des gendarmes tout au long de la nuit et hier matin. Ils étaient même concrètement pessimistes jusqu’à ce que, bonne nouvelle, une patrouille du Psig retrouve le petit garçon dans la cour d’une résidence située dans un lotissement en haut du village, où il avait manifestement passé la nuit. L’enfant a été examiné par un médecin du Smur qui a pu constater qu’il était sain et sauf. Il a été remis à ses parents qui ont, forcément, savouré hier la soirée passée dans leur maison avec leurs trois enfants au complet. Ouf !
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/24/1825321-carcassonne-garconnet-passe-nuit-belle-etoile.html
C’est le «truc tout bête», comme nous indiquait hier une source. Le papa croyait qu’il était avec la maman. Et la maman était persuadée qu’il était avec son papa. Sauf qu’à peine descendu de la voiture, le petit s’était carapaté. Le fugueur a pris le large en un temps record et les parents, affolés, n’ont pas pu le retrouver. Vers 21 heures, la gendarmerie a été avisée. Et très vite, des moyens importants ont été mobilisés : trois Psig (Carcassonne, Limoux, Castelnaudary), les brigades locales, deux pompiers du Sdis, un chien Saint-Hubert spécialisé dans la recherche des personnes, ainsi que des habitants du village ont été mis à contribution.
En vain. Hier matin, au lever du jour, l’enfant n’avait pas été retrouvé et les plongeurs gendarmes de la brigade nautique s’apprêtaient à explorer la rivière tandis qu’un hélicoptère était prêt à décoller… On imagine le stress et l’anxiété qui étaient ceux des parents et des gendarmes tout au long de la nuit et hier matin. Ils étaient même concrètement pessimistes jusqu’à ce que, bonne nouvelle, une patrouille du Psig retrouve le petit garçon dans la cour d’une résidence située dans un lotissement en haut du village, où il avait manifestement passé la nuit. L’enfant a été examiné par un médecin du Smur qui a pu constater qu’il était sain et sauf. Il a été remis à ses parents qui ont, forcément, savouré hier la soirée passée dans leur maison avec leurs trois enfants au complet. Ouf !
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/24/1825321-carcassonne-garconnet-passe-nuit-belle-etoile.html
Une randonneuse hélitreuillée après une chute en raquettes
Plus de peur que de mal pour cette jeune femme, victime d’une chute alors qu’elle effectuait, hier, une randonnée en raquettes à neige, près de Bouvante.
En compagnie d’amis au col du Grand Echaillon, la jeune femme a fait une chute de plusieurs mètres. Ne voyant plus leur amie et cette dernière ne répondant pas à leurs appels, les randonneurs ont décidé de donner l’alerte. L’hélicoptère Dragon 38, avec à son bord plusieurs gendarmes du PGHM, décollait alors de l’Alpe-d’Huez pour secourir la malheureuse. Arrivés sur place, les militaires n’ont pas mis longtemps à retrouver la victime, qui ne souffrait que de simples contusions.
Hélitreuillée, cette dernière, dont les blessures ne nécessitaient aucun soin, a été déposée à sa voiture par les gendarmes, sonnant ainsi la fin d’une randonnée pour le moins éprouvante.
http://www.ledauphine.com/drome/2014/02/23/une-randonneuse-helitreuillee
En compagnie d’amis au col du Grand Echaillon, la jeune femme a fait une chute de plusieurs mètres. Ne voyant plus leur amie et cette dernière ne répondant pas à leurs appels, les randonneurs ont décidé de donner l’alerte. L’hélicoptère Dragon 38, avec à son bord plusieurs gendarmes du PGHM, décollait alors de l’Alpe-d’Huez pour secourir la malheureuse. Arrivés sur place, les militaires n’ont pas mis longtemps à retrouver la victime, qui ne souffrait que de simples contusions.
Hélitreuillée, cette dernière, dont les blessures ne nécessitaient aucun soin, a été déposée à sa voiture par les gendarmes, sonnant ainsi la fin d’une randonnée pour le moins éprouvante.
http://www.ledauphine.com/drome/2014/02/23/une-randonneuse-helitreuillee
dimanche 23 février 2014
Alpes-Maritimes : deux enfants décédent suite à un éboulement sur un chalet
Deux enfants de sept et dix ans ont trouvé la mort ce dimanche matin dans un chalet touché par un éboulement de rocher à Isola-Village (Alpes-Maritimes), selon BFM TV
Les deux enfants et leurs familles, originaires des Alpes-Maritimes, étaient arrivés samedi dans le village où ils occupaient une ancienne bergerie située à flanc de falaise. C'est vers 4 heure, qu'un "énorme" rocher a emporté la maison.
Une soixantaine de pompiers, accompagnés de maitre-chiens se sont rendus sur place.
Selon les pompiers, trois personnes ont réussi à se dégager des décombres et deux autres ont été sorties par les pompiers. Les corps des deux enfants, portés aussitôt disparus ont été retrouvés, vers 7H.
Selon une géologue, qui s'est s'est rendue sur place, ce sont 100m3 de rochers qui se sont détachés dont une roche de 50m3. Les roches se sont fissurées "en raison de gels et dégels successifs", a expliqué la géologue, Alexia Faure.
Selon le commandant Gaël Marchand, du groupement de gendarmerie des Alpes-Maritimes, le bloc de rocher a une hauteur de 10 m et 5 m de profondeur. Ce dimanche, le rocher bloquait toujours la route d'accès à Isola.
"Il faudra une semaine pour déblayer et sécuriser la route", a déclaré Alexia Faure.précisant qu'il faudrait de "nouvelles expertises
http://www.sudouest.fr/2014/02/23/alpes-maritimes-deux-enfants-decedes-suite-a-un-eboulement-sur-un-chalet-1470694-7.php
Les deux enfants et leurs familles, originaires des Alpes-Maritimes, étaient arrivés samedi dans le village où ils occupaient une ancienne bergerie située à flanc de falaise. C'est vers 4 heure, qu'un "énorme" rocher a emporté la maison.
Une soixantaine de pompiers, accompagnés de maitre-chiens se sont rendus sur place.
Selon les pompiers, trois personnes ont réussi à se dégager des décombres et deux autres ont été sorties par les pompiers. Les corps des deux enfants, portés aussitôt disparus ont été retrouvés, vers 7H.
Selon une géologue, qui s'est s'est rendue sur place, ce sont 100m3 de rochers qui se sont détachés dont une roche de 50m3. Les roches se sont fissurées "en raison de gels et dégels successifs", a expliqué la géologue, Alexia Faure.
Selon le commandant Gaël Marchand, du groupement de gendarmerie des Alpes-Maritimes, le bloc de rocher a une hauteur de 10 m et 5 m de profondeur. Ce dimanche, le rocher bloquait toujours la route d'accès à Isola.
"Il faudra une semaine pour déblayer et sécuriser la route", a déclaré Alexia Faure.précisant qu'il faudrait de "nouvelles expertises
http://www.sudouest.fr/2014/02/23/alpes-maritimes-deux-enfants-decedes-suite-a-un-eboulement-sur-un-chalet-1470694-7.php
Purpan. Un piéton renversé par le Tramway
Les spectacles au Zénith s’accompagnent d’encombrements et embouteillages récurents. Hier, l’accès à la grande salle de spectacle toulousaine, où 6000 spectateurs étaient attendus pour Dieudonné, a, en outre, été compliquée par un accident qui a immobilisé le tramway T1 sur toute la ligne. Un piéton a en effet été heurté par le tram, entre Casselardit et Purpan. Grièvement blessé, il a été hospitalisé à l’hôpital Purpan. De nombreux spectateurs qui avaient choisi de se rendre au spectacle avec ce moyen de transport très pratique ont dû se résoudre à y aller à pied, les accès automobiles étant particulièrement difficiles. Le tramway a été immobilisé jusque tard dans la soirée.
Nancy : un bébé abandonné à l’arrêt de bus
Un bébé âgé de 10 mois a été abandonné, hier, sous un arrêt de bus du centre-ville de Nancy, place des Vosges, sens Nancy-Jarville, à hauteur d’une agence bancaire. La découverte a été faite par un passant, peu avant 13 h, intrigué par la présence de cette poussette et du bébé qui hurlait, seul.
« J’ai remarqué la présence de la police, des secours et d’un landau mais j’étais loin d’imaginer qu’une mère puisse abandonner son bébé comme cela, dans le froid, sur le trottoir ! », confie un commerçant, glacé par ce constat.
Sur la base d’un précieux témoignage, la police parvient rapidement à identifier la mère de l’enfant, une personne psychologiquement fragile et en position sociale difficile. Elle sera interpellée en état d’ivresse au niveau de la maternité régionale, à quelque 800 m des lieux de la découverte. Son enfant est a priori indemne mais a tout de même subi des examens de contrôle.
Les investigations policières couplées à une enquête sociale se poursuivaient hier soir afin de décider à la fois de l’avenir du bébé et de celui de sa mère. On imagine mal que, dans l’immédiat, le malheureux nourrisson (une petite fille) puisse retrouver les bras de sa maman.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/23/bebe-abandonne-a-l-arret-de-bus
« J’ai remarqué la présence de la police, des secours et d’un landau mais j’étais loin d’imaginer qu’une mère puisse abandonner son bébé comme cela, dans le froid, sur le trottoir ! », confie un commerçant, glacé par ce constat.
Sur la base d’un précieux témoignage, la police parvient rapidement à identifier la mère de l’enfant, une personne psychologiquement fragile et en position sociale difficile. Elle sera interpellée en état d’ivresse au niveau de la maternité régionale, à quelque 800 m des lieux de la découverte. Son enfant est a priori indemne mais a tout de même subi des examens de contrôle.
Les investigations policières couplées à une enquête sociale se poursuivaient hier soir afin de décider à la fois de l’avenir du bébé et de celui de sa mère. On imagine mal que, dans l’immédiat, le malheureux nourrisson (une petite fille) puisse retrouver les bras de sa maman.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/23/bebe-abandonne-a-l-arret-de-bus
Des skieurs coincés sur un télésiège
Une quarantaine de skieurs sont restés coincés plusieurs heures samedi sur un télésiège en panne à Métabief (Doubs), a-t-on appris auprès des pompiers, qui ont dû utiliser un hélicoptère pour évacuer certains vacanciers. Le télésiège s'est arrêté vers 11H30, laissant 39 skieurs bloqués dans les nacelles. Ils n'ont pu être libérés par une équipe spécialisée des pompiers qu'après plusieurs heures d'effort. Quatre d'entre eux ont par ailleurs dû être hélitreuillés, selon le Codis.
Au total, 32 pompiers ont été mobilisés. L'opération s'est achevée un peu après 17H00. Personne n'a été blessé. Métabief, station de moyenne montagne située dans le massif jurassien, à la frontière franco-suisse, est située entre 1.000 et 1.450 m d'altitude
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/22/97001-20140222FILWWW00170-des-skieurs-coinces-sur-un-telesiege.php
Au total, 32 pompiers ont été mobilisés. L'opération s'est achevée un peu après 17H00. Personne n'a été blessé. Métabief, station de moyenne montagne située dans le massif jurassien, à la frontière franco-suisse, est située entre 1.000 et 1.450 m d'altitude
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/22/97001-20140222FILWWW00170-des-skieurs-coinces-sur-un-telesiege.php
samedi 22 février 2014
Doubs : 39 personnes bloquées sur un télésiège
Ce samedi en fin de matinée, le télésiège du Chamois, assurant la liaison entre Piquemiette et Métabief, s'est bloqué. 39 personnes étaient présentes. La panne a été totale puisque même le moteur de dépannage n'a pas fonctionné. Les responsables de la station ont fait appel aux pompiers et aux hommes du Grimp (le groupement de recherche et d'intervention en milieu périlleux) pour évacuer les personnes bloquées. Le Grimp a procédé à une évacuation verticale et l'hélicoptère Dragon 25 de la sécurité civile a aussi été appelé en renfort afin de procéder à plusieurs hélitreuillages.
Fort heureusement les conditions météorologiques étaient clémentes. Cela a permis d'éviter des cas d'hypothermie sévères. Les victimes de cette panne ont néanmoins fait l'objet d'examens médicaux systématiques. Aucun blessé n'est à déplorer.
Cette panne est un coup dur pour la station. Ce week-end est le premier gros week-end des vacances scolaires d'hiver, l'un des plus gros pour la station de Métabief dans le Doubs.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/22/metabief-39-personnes-bloquees-sur-un-telesiege
Fort heureusement les conditions météorologiques étaient clémentes. Cela a permis d'éviter des cas d'hypothermie sévères. Les victimes de cette panne ont néanmoins fait l'objet d'examens médicaux systématiques. Aucun blessé n'est à déplorer.
Cette panne est un coup dur pour la station. Ce week-end est le premier gros week-end des vacances scolaires d'hiver, l'un des plus gros pour la station de Métabief dans le Doubs.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/22/metabief-39-personnes-bloquees-sur-un-telesiege
Charente : carambolage spectaculaire sur la RN10
Les usagers de la RN 10 qui roulaient en direction d'Angoulême, ont été particulièrement surpris, vendredi matin vers 8 h 45, sur la partie à deux fois deux voies au niveau de Jurignac. En raison sans doute de la présence d'hydrocarbures sur la chaussée, plusieurs conducteurs ont perdu la maîtrise de leur véhicule, et ont fini dans le fossé ou se sont télescopés.
Ce fut le cas de la conductrice d'une Peugeot 206. Le véhicule est allé percuter la rambarde centrale de la route nationale, provoquant un carambolage. Des voitures se sont retrouvées dans tous les sens et plus ou moins endommagées.
Les sapeurs-pompiers de Barbezieux et La Couronne, et le Smur de Barbezieux ont pris en charge les occupants de ces voitures, dont deux conductrices blessées. L'une d'elles, âgée de 35 ans, de Montpellier, était plus grièvement touchée. Toutes les deux ont été conduites au centre hospitalier de Girac.
« Soudain, j'ai senti que ma voiture se mettait à zigzaguer. Comme l'effet se prolongeait, je cherchais à m'arrêter pour voir si je n'avais pas un problème de roues. D'autres conducteurs me faisaient des signes. »
Au même moment, l'automobiliste a vu les voitures qui le précédaient, partir dans tous les sens. La sienne, une Opel Corsa, s'est mise alors en travers de la voie et a effectué un tête à queue. « Je me suis retrouvé dans l'autre sens, le long du talus. » Heureusement indemne.
Isabelle Georgeon, 37 ans, de Barbezieux, a elle aussi subi le même sort. Elle se rendait à son travail à bord d'une Audi. Elle venait de saluer sa collègue qui l'avait dépassée. Les deux jeunes femmes se sont percutées : « Je n'ai pas pu éviter mon amie. Même si j'en tremble encore, j'ai eu plus de peur que de mal. Nous ne sommes pas blessées », se consolait la jeune femme.
Ainsi, six véhicules ont été impliqués dans le carambolage qui s'est étendu sur quelques centaines de mètres. Les gendarmes de Blanzac, ceux de la communauté de brigades de Barbezieux, Baignes et Brossac, ainsi que de la brigade motorisée de Barbezieux étaient sur les lieux. Ils ont réussi à maintenir la circulation fluide sur la seconde voie. L'accident n'a donc entraîné aucun bouchon, tout juste un ralentissement. Et il valait mieux être prudent. Des hydrocarbures étaient peut-être présents plus loin.
Un responsable de la Dira (Direction interdépartementale des routes Atlantique) indiquait que les services avaient dû déjà intervenir dans la nuit pour le même problème, quelques kilomètres en aval. Une autre voiture s'est aussi retrouvée dans le talus, peu après Pontabrac. « Nous avons aspergé un dispersant, miscible à l'eau et biodégradable à 95 % », précisait encore le représentant de la Dira.
Les enquêteurs tenteront de déterminer la provenance de ce gazole.
http://www.sudouest.fr/2014/02/22/carambolage-spectaculaire-1469895-813.php
Ce fut le cas de la conductrice d'une Peugeot 206. Le véhicule est allé percuter la rambarde centrale de la route nationale, provoquant un carambolage. Des voitures se sont retrouvées dans tous les sens et plus ou moins endommagées.
Les sapeurs-pompiers de Barbezieux et La Couronne, et le Smur de Barbezieux ont pris en charge les occupants de ces voitures, dont deux conductrices blessées. L'une d'elles, âgée de 35 ans, de Montpellier, était plus grièvement touchée. Toutes les deux ont été conduites au centre hospitalier de Girac.
- « J'en tremble encore »
« Soudain, j'ai senti que ma voiture se mettait à zigzaguer. Comme l'effet se prolongeait, je cherchais à m'arrêter pour voir si je n'avais pas un problème de roues. D'autres conducteurs me faisaient des signes. »
Au même moment, l'automobiliste a vu les voitures qui le précédaient, partir dans tous les sens. La sienne, une Opel Corsa, s'est mise alors en travers de la voie et a effectué un tête à queue. « Je me suis retrouvé dans l'autre sens, le long du talus. » Heureusement indemne.
Isabelle Georgeon, 37 ans, de Barbezieux, a elle aussi subi le même sort. Elle se rendait à son travail à bord d'une Audi. Elle venait de saluer sa collègue qui l'avait dépassée. Les deux jeunes femmes se sont percutées : « Je n'ai pas pu éviter mon amie. Même si j'en tremble encore, j'ai eu plus de peur que de mal. Nous ne sommes pas blessées », se consolait la jeune femme.
Ainsi, six véhicules ont été impliqués dans le carambolage qui s'est étendu sur quelques centaines de mètres. Les gendarmes de Blanzac, ceux de la communauté de brigades de Barbezieux, Baignes et Brossac, ainsi que de la brigade motorisée de Barbezieux étaient sur les lieux. Ils ont réussi à maintenir la circulation fluide sur la seconde voie. L'accident n'a donc entraîné aucun bouchon, tout juste un ralentissement. Et il valait mieux être prudent. Des hydrocarbures étaient peut-être présents plus loin.
Un responsable de la Dira (Direction interdépartementale des routes Atlantique) indiquait que les services avaient dû déjà intervenir dans la nuit pour le même problème, quelques kilomètres en aval. Une autre voiture s'est aussi retrouvée dans le talus, peu après Pontabrac. « Nous avons aspergé un dispersant, miscible à l'eau et biodégradable à 95 % », précisait encore le représentant de la Dira.
Les enquêteurs tenteront de déterminer la provenance de ce gazole.
http://www.sudouest.fr/2014/02/22/carambolage-spectaculaire-1469895-813.php
Agen. Après le déchaînement de violence à Jasmin, 3 ans de prison ferme requis contre l'agresseur
Quand les policiers sont appelés vers 17h30 dans un appartement agenais, ils ne s’attendent pas à trouver un tel déchaînement de violence. Les murs et le sol sont maculés de sang et l’homme qu’ils découvrent est dans un état lamentable.
C’est un voisin qui a donné l’alerte. Depuis le début de l’après-midi, après une soirée et une matinée alcoolisée, les coups n’ont cessé de pleuvoir sur la victime qui s’expliquait avec les enquêteurs sur son lit d’hôpital. Les photos que le président Ludovic Pilling présentait à ses assesseurs semblaient démontrer l’acharnement du prévenu qui se tenait à la barre hier dans le cadre de la procédure de comparution immédiate. Le passé judiciaire de cet individu de 28 ans retrace un parcours où la violence est un dénominateur commun. Mais le 19 février dernier, il a encore franchi un cap. Tout est parti d’un téléviseur fracassé par l’un de ses copains, un homme de 52 ans, qui participait à cette alcoolisation non stop. Pourquoi ? Personne ne saurait le dire. Mais ce qui est certain, c’est que le prévenu, fou de rage, commence à tabasser l’auteur de la destruction et avoue lui-même qu’entre les interludes où les deux hommes tentent de se parler, la correction reprend de plus belle. Quinze jours d’ITT, une hospitalisation avec la figure en bouillie, ne vont pourtant pas convaincre la victime de porter plainte contre celui qu’il considère toujours comme son ami. «On s’entend bien quand on a pas bu».
Il apparaît que celui qui avait donné l’alerte était présent tout au long de l’agression et le prévenu se plaindra au président : «il nous regardait, je lui ai demandé d’intervenir mais il n’a rien fait. On dirait qu’il y prenait plaisir et s’il a téléphoné c’est parce qu’il a eu peur d’être accusé de non assistance à personne en danger». Sorte de cynisme qui désarçonne et offusque le président.
Le procureur s’indigne et s’emporte devant cette attitude de l’agresseur qui tente toujours de se défausser sur les autres. «Chez les délinquants, il y a toujours plus lâche que soi !» «Les violences sont en vous» scande t-il après avoir appris que les différents suivis judiciaires auxquels l’homme avait été condamné restaient dans le domaine des projets. «Si on ne les traite pas, elles vous suivront». Il requérait trois ans de prison ferme. Me Gillet s’efforçait de comprendre et de faire comprendre au tribunal ce qui avait pu motiver une telle perte de contrôle de soi. Elle revenait sur la précarité sociale du prévenu qui depuis peu s’était stabilisé dans un appartement avec sa compagne. Le téléviseur aurait-il symbolisé un début d’équilibre pour cet homme sans repères ?
Le tribunal a mis sa décision en délibéré.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/22/1823967-agen-apres-dechainement-violence-jasmin-3-ans-prison-ferme-requis.html
C’est un voisin qui a donné l’alerte. Depuis le début de l’après-midi, après une soirée et une matinée alcoolisée, les coups n’ont cessé de pleuvoir sur la victime qui s’expliquait avec les enquêteurs sur son lit d’hôpital. Les photos que le président Ludovic Pilling présentait à ses assesseurs semblaient démontrer l’acharnement du prévenu qui se tenait à la barre hier dans le cadre de la procédure de comparution immédiate. Le passé judiciaire de cet individu de 28 ans retrace un parcours où la violence est un dénominateur commun. Mais le 19 février dernier, il a encore franchi un cap. Tout est parti d’un téléviseur fracassé par l’un de ses copains, un homme de 52 ans, qui participait à cette alcoolisation non stop. Pourquoi ? Personne ne saurait le dire. Mais ce qui est certain, c’est que le prévenu, fou de rage, commence à tabasser l’auteur de la destruction et avoue lui-même qu’entre les interludes où les deux hommes tentent de se parler, la correction reprend de plus belle. Quinze jours d’ITT, une hospitalisation avec la figure en bouillie, ne vont pourtant pas convaincre la victime de porter plainte contre celui qu’il considère toujours comme son ami. «On s’entend bien quand on a pas bu».
Il apparaît que celui qui avait donné l’alerte était présent tout au long de l’agression et le prévenu se plaindra au président : «il nous regardait, je lui ai demandé d’intervenir mais il n’a rien fait. On dirait qu’il y prenait plaisir et s’il a téléphoné c’est parce qu’il a eu peur d’être accusé de non assistance à personne en danger». Sorte de cynisme qui désarçonne et offusque le président.
Le procureur s’indigne et s’emporte devant cette attitude de l’agresseur qui tente toujours de se défausser sur les autres. «Chez les délinquants, il y a toujours plus lâche que soi !» «Les violences sont en vous» scande t-il après avoir appris que les différents suivis judiciaires auxquels l’homme avait été condamné restaient dans le domaine des projets. «Si on ne les traite pas, elles vous suivront». Il requérait trois ans de prison ferme. Me Gillet s’efforçait de comprendre et de faire comprendre au tribunal ce qui avait pu motiver une telle perte de contrôle de soi. Elle revenait sur la précarité sociale du prévenu qui depuis peu s’était stabilisé dans un appartement avec sa compagne. Le téléviseur aurait-il symbolisé un début d’équilibre pour cet homme sans repères ?
Le tribunal a mis sa décision en délibéré.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/22/1823967-agen-apres-dechainement-violence-jasmin-3-ans-prison-ferme-requis.html
L’instituteur à la recherche de son honneur perdu
C’est une affaire peu commune qui était jugée hier par le tribunal correctionnel de Valence. Un instituteur de l’école privée Jeanne-d’Arc de Saint-Jean-en-Royans, Jean-Marie Robert, y était jugé pour des faits de violences et humiliations supposées sur sept enfants de sa classe. Affaire peu commune par le profil du prévenu : un instituteur de 58 ans, dont 35 ans d’expérience professionnelle passés dans l’établissement, qui n’a jamais fait l’objet de plaintes ni de sanctions disciplinaires. Peu commune aussi parce qu’elle pose la question des méthodes pédagogiques, de l’autorité et de la parole des enfants.
Toute l’affaire était partie d’un courrier rédigé en 2011 par une auxiliaire de vie scolaire ayant travaillé avec l’enseignant et qui dénonçait, au bout de deux ans, des faits de violences (“baffettes”, “tapettes", oreilles tirées, propos insultants). Alertée par le directeur de l’école, l’inspection académique avait suspendu l’enseignant à titre conservatoire. À Saint-Jean-en-Royans, un comité de soutien, fort de 150 membres, s’était constitué autour de l’enseignant.
Les deux autres parties civiles s’attacheront à faire le travail du Parquet et à dresser l’accusation. Ils décrivent des « vexations » et des méthodes éducatives à l’ancienne. « Il avait du mal à se contrôler avec certains élèves » estime Me Poizat qui regrette que l’enseignant n’admette aucun dérapage. Me Vitale invoque un homme « fatigué », aux méthodes « non linéaires ». Tous deux réclament 1 500 € de dommages et intérêts pour les enfants et l’euro symbolique pour les familles.
Dès lors, Me Flaud pour la défense, déroulera avec force la thèse du « complot », fomenté par les deux autres collègues de l’école. Stigmatisant la « démesure », « l’instrumentalisation des enfants et de leur parole », l’absence de preuves et les mensonges, il dénonce une « machine à détruire » un homme déjà broyé.
Décision le 22 mars prochain.
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/02/21/l-instituteur-a-la-recherche-de-son-honneur-perdu
Toute l’affaire était partie d’un courrier rédigé en 2011 par une auxiliaire de vie scolaire ayant travaillé avec l’enseignant et qui dénonçait, au bout de deux ans, des faits de violences (“baffettes”, “tapettes", oreilles tirées, propos insultants). Alertée par le directeur de l’école, l’inspection académique avait suspendu l’enseignant à titre conservatoire. À Saint-Jean-en-Royans, un comité de soutien, fort de 150 membres, s’était constitué autour de l’enseignant.
5 des 7 parties civiles prennent la défense de l’enseignant
Et hier tout a commencé par un “coup de théâtre” d’une des parties civiles. Me Tourrette annonce d’emblée : « Je suis une fausse partie civile mais une vraie porte-parole de cinq des sept familles dont les enfants ont été cités. Trois des enfants représentés n’ont en effet jamais fait aucune déclaration contre le prévenu. Quant aux deux autres, leurs parents ont, après explication avec l’enseignant, admis les faits de sanction. Les enfants de ces cinq familles aimaient cet instituteur ». Des propos qui rejoignent ceux des témoins, cités par la défense qui, tous, décrivent un homme calme, discret, soucieux de ses élèves.Les deux autres parties civiles s’attacheront à faire le travail du Parquet et à dresser l’accusation. Ils décrivent des « vexations » et des méthodes éducatives à l’ancienne. « Il avait du mal à se contrôler avec certains élèves » estime Me Poizat qui regrette que l’enseignant n’admette aucun dérapage. Me Vitale invoque un homme « fatigué », aux méthodes « non linéaires ». Tous deux réclament 1 500 € de dommages et intérêts pour les enfants et l’euro symbolique pour les familles.
“Complot” contre “méthodes dépassées”
Aux parties civiles l’accusation, et au ministère public... la défense. Pour le procureur, « il n’y a pas eu maltraitance généralisée ». Et de décrire une « ambiance exécrable dans cette école et un règlement de comptes manifeste ». La lettre envoyée pendant l’absence de l’enseignant parti en classe de mer ? « C’est pas joli, joli » insiste-t-il. La loi dit qu’on n’a pas le droit de toucher un enfant, et le ministère public, en évoquant des méthodes dépassées, estime que celle-ci a été enfreinte pour quatre des sept enfants. Mais il ne réclame pas de peine pour l’enseignant, estimant que « les choses doivent à présent s’apaiser ».Dès lors, Me Flaud pour la défense, déroulera avec force la thèse du « complot », fomenté par les deux autres collègues de l’école. Stigmatisant la « démesure », « l’instrumentalisation des enfants et de leur parole », l’absence de preuves et les mensonges, il dénonce une « machine à détruire » un homme déjà broyé.
Décision le 22 mars prochain.
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/02/21/l-instituteur-a-la-recherche-de-son-honneur-perdu
vendredi 21 février 2014
Mise en examen après l'agression d'un retraité
Un homme a été mis en examen hier pour avoir agressé un septuagénaire, frappé à coups de poing et de barre de fer à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) la semaine dernière, selon des sources concordantes.
L'agresseur présumé, interpellé en début de semaine par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, a été déféré jeudi au parquet de Bobigny et mis en examen pour tentative d'homicide volontaire, a indiqué une source proche de l'enquête. Le suspect, qui a reconnu les faits face au juge d'instruction, a demandé un débat différé devant le juge des libertés et de la détention (JLD). Il a été incarcéré en attendant son éventuel placement sous mandat de dépôt, a précisé une source judiciaire.
Le retraité âgé de 71 ans a été découvert gisant dans son sang, le 13 février au soir, dans un hall d'immeuble de la cité d'Orgemont. Le visage couvert de contusions, la mâchoire et les dents cassées, il a été transporté à l'hôpital où il est tombé dans le coma.
D'après une source policière, l'agresseur, âgé de 53 ans, l'aurait frappé à coups de poing mais aussi avec une barre en fer. Le septuagénaire présentait une plaie de plusieurs centimètres à l'arrière du crâne lorsqu'il a été hospitalisé. Selon les premiers éléments de l'enquête un différend financier serait à l'origine de l'agression. "Le suspect devait une forte somme d'argent à la victime", a expliqué la source proche de l'enquête. D'après la source judiciaire, le contentieux portait sur des "arriérés locatifs".
L'état de santé du septuagénaire, sorti du coma depuis quelques jours, s'est amélioré, et son pronostic vital n'est pas engagé, a-t-on précisé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/21/97001-20140221FILWWW00185-mise-en-examen-apres-l-agression-d-un-retraite.php
L'agresseur présumé, interpellé en début de semaine par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, a été déféré jeudi au parquet de Bobigny et mis en examen pour tentative d'homicide volontaire, a indiqué une source proche de l'enquête. Le suspect, qui a reconnu les faits face au juge d'instruction, a demandé un débat différé devant le juge des libertés et de la détention (JLD). Il a été incarcéré en attendant son éventuel placement sous mandat de dépôt, a précisé une source judiciaire.
Le retraité âgé de 71 ans a été découvert gisant dans son sang, le 13 février au soir, dans un hall d'immeuble de la cité d'Orgemont. Le visage couvert de contusions, la mâchoire et les dents cassées, il a été transporté à l'hôpital où il est tombé dans le coma.
D'après une source policière, l'agresseur, âgé de 53 ans, l'aurait frappé à coups de poing mais aussi avec une barre en fer. Le septuagénaire présentait une plaie de plusieurs centimètres à l'arrière du crâne lorsqu'il a été hospitalisé. Selon les premiers éléments de l'enquête un différend financier serait à l'origine de l'agression. "Le suspect devait une forte somme d'argent à la victime", a expliqué la source proche de l'enquête. D'après la source judiciaire, le contentieux portait sur des "arriérés locatifs".
L'état de santé du septuagénaire, sorti du coma depuis quelques jours, s'est amélioré, et son pronostic vital n'est pas engagé, a-t-on précisé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/21/97001-20140221FILWWW00185-mise-en-examen-apres-l-agression-d-un-retraite.php
Charente : carambolage sur la RN10, sept véhicules impliqués
Sur la RN10, dans le sens Bordeaux-Paris, à hauteur de Jurignac, situé au nord de Barbezieux, un accident impliquant sept véhicules s'est produit vendredi matin vers 8h45.
A l'origine, une 206 Peugeot immatriculée dans le 78 (Yvelines) qui circulait dans le sens Angoulême -Paris, aurait glissé sur la chaussée, puis aurait percuté la rambarde métallique du garde-corps central. Vraisemblablement en raison de la présence d'hydrocarbure sur la chaussée.
Le bilan des blessés s'est allégé, passant de trois à deux personnes. Les deux conductrices dont l'une plus sérieusement touchée ont été conduites au Centre hôspitalier d'Angoulême, indique-t-on au Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis). Trois ambulances, une douzaine de pompiers, Gendarmes de la communauté de brigades de Blanzac et la Brigade motorisée de Barbezieux ainsi que le Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie étaient sur place.
Pour évacuer le gazole de la chaussée, les agents de la DIRA sont intervenus pour asperger un produit dispersant , miscible à l'eau et biodégradable à 95%.
http://www.sudouest.fr/2014/02/21/charente-au-moins-six-voitures-impliquees-dans-un-accident-sur-la-rn10-1469047-4620.php
A l'origine, une 206 Peugeot immatriculée dans le 78 (Yvelines) qui circulait dans le sens Angoulême -Paris, aurait glissé sur la chaussée, puis aurait percuté la rambarde métallique du garde-corps central. Vraisemblablement en raison de la présence d'hydrocarbure sur la chaussée.
Le bilan des blessés s'est allégé, passant de trois à deux personnes. Les deux conductrices dont l'une plus sérieusement touchée ont été conduites au Centre hôspitalier d'Angoulême, indique-t-on au Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis). Trois ambulances, une douzaine de pompiers, Gendarmes de la communauté de brigades de Blanzac et la Brigade motorisée de Barbezieux ainsi que le Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie étaient sur place.
Pour évacuer le gazole de la chaussée, les agents de la DIRA sont intervenus pour asperger un produit dispersant , miscible à l'eau et biodégradable à 95%.
http://www.sudouest.fr/2014/02/21/charente-au-moins-six-voitures-impliquees-dans-un-accident-sur-la-rn10-1469047-4620.php
Albi. Il prend le rond-point à contresens avec 4,46 g d'alcool et percute une voiture
Il était mal dans sa peau et il a forcé sur la dose d’alcool. Si bien, que le 4 novembre 2013, cet attaché commercial emprunte le rond-point du McDo à contresens au volant de sa voiture et percute un autre véhicule qui n’a pu l’éviter. Fort heureusement, la jeune étudiante de 20 ans ne souffre que de contusions aux cervicales. Jérôme P, 49 ans, père de deux filles, est inanimé au volant. Les sapeurs-pompiers doivent casser le pare-brise pour lui porter secours. Ils relèvent une forte odeur d’alcool dans l’habitacle. Le conducteur, qui revient un peu à lui, a le regard vitreux et a du mal à s’exprimer. Et pour cause, il présente une alcoolémie de 4,46 g. Il a expliqué, hier après-midi, à la barre du tribunal correctionnel, sa dérive.
«Je n’allais pas très bien depuis quelque temps, je suis un hypersensible avec des crises d’anxiété. Je pensais que l’alcool m’aiderait, mais ça n’a fait qu’aggraver la situation. Un divorce qui n’est pas résolu dans ma tête, la mort de mon père, j’ai eu une mauvaise période», confie le prévenu. Il suit des cures de désintoxication à la clinique de Saint-Salvadou et est abstinant depuis un mois. Après l’accident, il a fait l’objet d’une suspension administrative de six mois de son permis de conduire. Il a aussi vendu sa voiture.
«4,46 g d’alcool dans le sang ! Vous étiez à la limite du coma éthylique. Vous avez percuté une jeune conductrice qui a l’âge d’une de vos filles . Alcoolisez-vous si ça vous chante mais ne prenez pas le volant, vous êtes un danger public», lance Me Michel Albarède, en partie civile. Il demande une expertise pour sa jeune cliente choquée et 2 000 € de dommages et intérêts. Claude Dérens, le procureur, tient à rappeler au prévenu qu’il n’est pas encore guéri après un mois d’abstinence. «Vous aviez un taux proche de 5 g, il vous faut prendre conscience qu’en voiture, vous avez une arme entre les mains». Il demande 4 mois de sursis avec mise à l’épreuve (SME), l’annulation du permis de conduire du prévenu et 150 € d’amende.
Me Emmanuelle Weill, en défense, rejoint partie civile et ministère public sur un point. «On est tous d’accord, c’est un alcoolique et cette maladie ne se soigne pas du jour au lendemain. Il est fragile et il est suivi. Il n’a plus de voiture. Ce n’est pas en annulant son permis de conduire qu’on lui permettra de reprendre son travail. Il a besoin d’un électrochoc. Pourquoi pas un stage de sensibilisation aux dangers de l’alcool ?»
Le tribunal l’a condamné à 2 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, obligation de soins, suspension de son permis pendant 1an, 150 € d’amende et 1 000 € de dommages et intérêts. La demande d’expertise a été rejetée.
«Je n’allais pas très bien depuis quelque temps, je suis un hypersensible avec des crises d’anxiété. Je pensais que l’alcool m’aiderait, mais ça n’a fait qu’aggraver la situation. Un divorce qui n’est pas résolu dans ma tête, la mort de mon père, j’ai eu une mauvaise période», confie le prévenu. Il suit des cures de désintoxication à la clinique de Saint-Salvadou et est abstinant depuis un mois. Après l’accident, il a fait l’objet d’une suspension administrative de six mois de son permis de conduire. Il a aussi vendu sa voiture.
«4,46 g d’alcool dans le sang ! Vous étiez à la limite du coma éthylique. Vous avez percuté une jeune conductrice qui a l’âge d’une de vos filles . Alcoolisez-vous si ça vous chante mais ne prenez pas le volant, vous êtes un danger public», lance Me Michel Albarède, en partie civile. Il demande une expertise pour sa jeune cliente choquée et 2 000 € de dommages et intérêts. Claude Dérens, le procureur, tient à rappeler au prévenu qu’il n’est pas encore guéri après un mois d’abstinence. «Vous aviez un taux proche de 5 g, il vous faut prendre conscience qu’en voiture, vous avez une arme entre les mains». Il demande 4 mois de sursis avec mise à l’épreuve (SME), l’annulation du permis de conduire du prévenu et 150 € d’amende.
Me Emmanuelle Weill, en défense, rejoint partie civile et ministère public sur un point. «On est tous d’accord, c’est un alcoolique et cette maladie ne se soigne pas du jour au lendemain. Il est fragile et il est suivi. Il n’a plus de voiture. Ce n’est pas en annulant son permis de conduire qu’on lui permettra de reprendre son travail. Il a besoin d’un électrochoc. Pourquoi pas un stage de sensibilisation aux dangers de l’alcool ?»
Le tribunal l’a condamné à 2 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, obligation de soins, suspension de son permis pendant 1an, 150 € d’amende et 1 000 € de dommages et intérêts. La demande d’expertise a été rejetée.
Fillette renversée près de Montpellier : la conductrice mise en examen
La victime, 10 ans, est décédée dimanche 16 février, à Lattes près de Montpellier. La conductrice du véhicule qui l'a percutée a été mise en examen pour "homicide involontaire".
Le parquet de Montpellier a ouvert une information judiciaire dans la soirée du mercredi 19 février, après la mort d'une fillette, dimanche 16 février, à Lattes, en périphérie de Montpellier, alors qu'elle circulait à vélo.
L'enquête devra dire s'il y a eu ou non défaut de maîtrise
La conductrice du véhicule qui l'a percutée a été mise en examen pour "homicide involontaire". Il n'y avait pas d'éclairage public, la jeune victime n'avait pas de gilet fluorescent et de lumière sur son VTT et, du coup, cette dame de 53 ans n'a pas vu le deux-roues. L'enquête devra dire s'il y a eu ou non défaut de maîtrise.
"Elle roulait normalement, elle ne s'est rendue compte de rien, elle est effondrée, c'est une tragédie ce dossier", réagit son avocat Me Abratkiewicz.
http://www.midilibre.fr/2014/02/20/fillette-renversee-et-tuee-pres-de-montpellier-la-conductrice-mise-en-examen,824899.php
Le parquet de Montpellier a ouvert une information judiciaire dans la soirée du mercredi 19 février, après la mort d'une fillette, dimanche 16 février, à Lattes, en périphérie de Montpellier, alors qu'elle circulait à vélo.
L'enquête devra dire s'il y a eu ou non défaut de maîtrise
La conductrice du véhicule qui l'a percutée a été mise en examen pour "homicide involontaire". Il n'y avait pas d'éclairage public, la jeune victime n'avait pas de gilet fluorescent et de lumière sur son VTT et, du coup, cette dame de 53 ans n'a pas vu le deux-roues. L'enquête devra dire s'il y a eu ou non défaut de maîtrise.
"Elle roulait normalement, elle ne s'est rendue compte de rien, elle est effondrée, c'est une tragédie ce dossier", réagit son avocat Me Abratkiewicz.
http://www.midilibre.fr/2014/02/20/fillette-renversee-et-tuee-pres-de-montpellier-la-conductrice-mise-en-examen,824899.php
jeudi 20 février 2014
Accident mortel en 2006. La cour de cassation rouvre l'enquête
Maëlys, 2 ans, est décédée dans un accident, en 2006 à Saint-André-des-Eaux, lors de la collision entre une voiture et un tracteur communal.
Sept ans plus tard, la justice recherche toujours les responsabilités et la Cour de cassation vient de relancer l'affaire le 18 février en annulant le non-lieu dont avait bénéficié la commune. Rentrant chez elle en provenance de Saint-Nazaire, une conductrice avait été surprise, au sortir d'un virage, sur le CD 47, par un tracteur qui nettoyait les fossés à la vitesse de 300 mètres à l'heure. Le côté droit de sa voiture avait heurté le tracteur et la fillette, assise à l'arrière droit, avait été mortellement blessée à la tête. Pour la Cour de cassation, l'enquête aurait dû « rechercher si, compte tenu des conditions de visibilité, l'insuffisance de signalisation » n'était pas « une faute » qui aurait nécessairement contribué au dommage. Ils auraient dû rechercher également « si le maire avait donné les instructions et exercé une surveillance suffisante pour l'éviter ». Un juge d'Angers dirigera de nouvelles investigations.
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/saint-andre-des-eaux-44117#from-breadcrumb
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Périgueux : six mois de prison pour avoir tiré sur un convive
C'est un homme sans grande envergure qui comparaissait ce mercredi, devant le tribunal correctionnel de Périgueux. Un Corrézien de 47 ans dont le casier judiciaire porte 7 mentions en 10 ans : délit de fuite, conduite sous l'emprise de l'alcool, recel, violences aggravées... Des petits délits qui donnent une idée du milieu dans lequel évolue cet homme sans emploi, vivant d'expédients sans être véritablement en marge de la société.
Il s'appelle Roland. Le 17 octobre dernier, au beau milieu de la nuit, il frappe à la porte de son voisin Yann, qui reçoit quelques amis, rue du Terme-Saint-Sicaire, à Périgueux. Avant de s'inviter, il prend son pistolet automatique sur lui, un calibre 7,65 mm. "Je sais pas pourquoi je l'ai pris, sans doute pour leur faire voir", haussait-il les épaules lors de l'audience.
Autour de la table, les joints tournent, et la vodka coule. Arrive un moment où Roland décide de manipuler son automatique. Mais, sans que personne ne s'y attende, le coup part. La balle traverse le plateau de la table et percute un invité, Alain, à la jambe. La blessure n'est pas trop grave mais, effrayé, Roland rentre chez lui.
"Capacité de réinsertion"
Quand les policiers perquisitionnent chez lui, il retrouvent l'arme, mais aussi 1,5 kg de cannabis caché dans un double plafond. Aux enquêteurs, il a expliqué la provenance du revolver et de la drogue : "Cela vient de chez Nordine, à Bordeaux." "Nordine, Momo, on ne sait jamais qui c'est", remarquait le président du tribunal, comme pour signifier au prévenu qu'il ne croyait pas un traître mot à son explication.
Comme pour montrer sa bonne foi, mercredi, Roland expliquait qu'il était sevré du cannabis comme de l'alcool. Que, certes, il avait revendu du haschich, mais que "c'est fini". Le vice-procureur a insisté sur la "bêtise humaine". "Les conséquences auraient pu être dramatiques". Il a remarqué que le casier du prévenu "ne parlait pas en sa faveur", et a requis 8 mois de prison ferme à son encontre.
Pour défendre son client, le conseil du prévenu a mis en avant sa reconnaissance des faits : "Il vient ici pour prendre une condamnation." Son décrochage de la drogue et de l'alcool montrant de sa part "une capacité de réinsertion sociologique et professionnelle."
Le tribunal a rendu sa sentence l'après-midi même : six mois de prison ferme, pour pour la détention, le transport non autorisé de son pistolet, blessure involontaire, mais aussi détention, acquisition, usage et cession de cannabis.
http://www.sudouest.fr/2014/02/20/perigueux-six-mois-de-prison-pour-avoir-tire-sur-un-convive-1468007-4697.php
Il s'appelle Roland. Le 17 octobre dernier, au beau milieu de la nuit, il frappe à la porte de son voisin Yann, qui reçoit quelques amis, rue du Terme-Saint-Sicaire, à Périgueux. Avant de s'inviter, il prend son pistolet automatique sur lui, un calibre 7,65 mm. "Je sais pas pourquoi je l'ai pris, sans doute pour leur faire voir", haussait-il les épaules lors de l'audience.
Autour de la table, les joints tournent, et la vodka coule. Arrive un moment où Roland décide de manipuler son automatique. Mais, sans que personne ne s'y attende, le coup part. La balle traverse le plateau de la table et percute un invité, Alain, à la jambe. La blessure n'est pas trop grave mais, effrayé, Roland rentre chez lui.
"Capacité de réinsertion"
Quand les policiers perquisitionnent chez lui, il retrouvent l'arme, mais aussi 1,5 kg de cannabis caché dans un double plafond. Aux enquêteurs, il a expliqué la provenance du revolver et de la drogue : "Cela vient de chez Nordine, à Bordeaux." "Nordine, Momo, on ne sait jamais qui c'est", remarquait le président du tribunal, comme pour signifier au prévenu qu'il ne croyait pas un traître mot à son explication.
Comme pour montrer sa bonne foi, mercredi, Roland expliquait qu'il était sevré du cannabis comme de l'alcool. Que, certes, il avait revendu du haschich, mais que "c'est fini". Le vice-procureur a insisté sur la "bêtise humaine". "Les conséquences auraient pu être dramatiques". Il a remarqué que le casier du prévenu "ne parlait pas en sa faveur", et a requis 8 mois de prison ferme à son encontre.
Pour défendre son client, le conseil du prévenu a mis en avant sa reconnaissance des faits : "Il vient ici pour prendre une condamnation." Son décrochage de la drogue et de l'alcool montrant de sa part "une capacité de réinsertion sociologique et professionnelle."
Le tribunal a rendu sa sentence l'après-midi même : six mois de prison ferme, pour pour la détention, le transport non autorisé de son pistolet, blessure involontaire, mais aussi détention, acquisition, usage et cession de cannabis.
http://www.sudouest.fr/2014/02/20/perigueux-six-mois-de-prison-pour-avoir-tire-sur-un-convive-1468007-4697.php
Mort après un coup de taser. Le procureur classe l'affaire
La plainte de la veuve et de la fille de l'homme, décédé après avoir été maîtrisé par les gendarmes par un taser a été classée sans suite.
En avril 2013, les gendarmes, accompagnés de pompiers, étaient intervenus au domicile d’un homme âgé de 45 ans. Il s’était retranché, chez lui à Crozon avec sa femme et ses enfants et menaçait de mettre fin à ses jours. Il avait un couteau à la main. Les gendarmes, appelés, avaient maîtrisé l’homme à l’aide d’un pistolet à impulsion électrique, un taser. Hospitalisé à Brest, il est décédé dans la nuit du 4 au 5 avril.
Sa femme et sa fille avaient déposé plainte à la gendarmerie. Hier soir, Eric Tufféry, procureur de la République de Quimper nous a confirmé que l’affaire a été classée « sans suite car la mort de l’homme n’est pas liée au pistolet à impulsion électrique. »
http://www.ouest-france.fr/mort-apres-un-coup-de-taser-le-procureur-classe-laffaire-1945575
Sa femme et sa fille avaient déposé plainte à la gendarmerie. Hier soir, Eric Tufféry, procureur de la République de Quimper nous a confirmé que l’affaire a été classée « sans suite car la mort de l’homme n’est pas liée au pistolet à impulsion électrique. »
http://www.ouest-france.fr/mort-apres-un-coup-de-taser-le-procureur-classe-laffaire-1945575
Albi. Harcelés au travail, ils se battent pour leurs droits
Patrick, 51 ans est cadre, Marie, 46 ans assistante dans une entreprise dans le secteur d’Albi. Tous les deux souffrent de harcèlement au travail. Ils ont choisi de témoigner et veulent aujourd’hui faire valoir leurs droits.
«On ne m’a jamais insulté ou dit que j’étais stupide, le harcèlement se fait de manière beaucoup plus subtile». Ces mots ce sont ceux de Patrick*, 51 ans et cadre dans une entreprise de l’agglomération albigeoise. Depuis 15 ans, il travaille dans la même société. Son travail est apprécié par ses collègues et sa hiérarchie jusqu’au jour où un nouveau chef arrive il y a deux ans. Très vite, il se sent dévalorisé. Les humiliations deviennent quotidiennes : «Dans les réunions, on ne me parle jamais directement, on fait comme si je n’existais pas. Mon chef me dit bonjour mais on communique presque uniquement par mail. Quand une réunion est annulée, on ne me prévient pas…» Des petits riens qui le mettent progressivement à l’écart. Et puis, s’ajoute la pression sur les résultats : «On me demande de finir tout seul en un mois un projet qui demande habituellement 6 mois en équipe !». Les excellents résultats de Patrick deviennent d’un coup mauvais. Sa hiérarchie lui enlève la responsabilité de plusieurs services, il n’a plus d’entretien annuel pour évaluer ses compétences et alors que ses collègues reçoivent des primes son évolution dans l’entreprise est brutalement stoppée. En huit mois, il perd pied. «J’ai longtemps lutté mais un soir, je suis rentré chez moi et j’ai appelé mon médecin.» Pendant six mois, il est en arrêt de travail. La déprime passée, il reprend son poste. Et décide de saisir l’inspection du travail.
Cinq mois plus tard, elle reprend le travail à un autre poste. Aujourd’hui, elle est devenue déléguée syndicale et alerte régulièrement les instances sur des cas de harcèlement. De son côté, Patrick attend d’une semaine à l’autre la décision de l’inspection du travail du Tarn. Pendant plusieurs jours, cette dernière a mené une enquête dans l’entreprise. La société veut le pousser vers la sortie et lui propose à plusieurs reprises un départ négocié, le cadre refuse. Aujourd’hui, il fait l’objet d’une procédure de licenciement. Démissionner ? Patrick n’y pense pas. «J’ai 51 ans et des filles en études supérieures. Ce n’est pas un secret, il y a un fort chômage chez les plus de 50 ans».
*Prénoms d’emprunt
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/20/1822384-harceles-au-travail-ils-se-battent-pour-leurs-droits.html
«On ne m’a jamais insulté ou dit que j’étais stupide, le harcèlement se fait de manière beaucoup plus subtile». Ces mots ce sont ceux de Patrick*, 51 ans et cadre dans une entreprise de l’agglomération albigeoise. Depuis 15 ans, il travaille dans la même société. Son travail est apprécié par ses collègues et sa hiérarchie jusqu’au jour où un nouveau chef arrive il y a deux ans. Très vite, il se sent dévalorisé. Les humiliations deviennent quotidiennes : «Dans les réunions, on ne me parle jamais directement, on fait comme si je n’existais pas. Mon chef me dit bonjour mais on communique presque uniquement par mail. Quand une réunion est annulée, on ne me prévient pas…» Des petits riens qui le mettent progressivement à l’écart. Et puis, s’ajoute la pression sur les résultats : «On me demande de finir tout seul en un mois un projet qui demande habituellement 6 mois en équipe !». Les excellents résultats de Patrick deviennent d’un coup mauvais. Sa hiérarchie lui enlève la responsabilité de plusieurs services, il n’a plus d’entretien annuel pour évaluer ses compétences et alors que ses collègues reçoivent des primes son évolution dans l’entreprise est brutalement stoppée. En huit mois, il perd pied. «J’ai longtemps lutté mais un soir, je suis rentré chez moi et j’ai appelé mon médecin.» Pendant six mois, il est en arrêt de travail. La déprime passée, il reprend son poste. Et décide de saisir l’inspection du travail.
21 % des salariés français seraient touchés
En France, le harcèlement moral est théoriquement passible de 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. Mais encore faut-il le prouver. C’est au salarié de montrer qu’il a subi des «agissements répétés qui portent atteinte à ses droits et sa dignité, altèrent sa santé physique ou mentale et compromettent son avenir professionnel». Selon la dernière étude des médecins du travail en 2010, 21 % des salariés seraient concernés mais pour un cabinet d’avocat spécialisé seules 10 % des entreprises seraient condamnées après une plainte pour harcèlement moral. Marie*, 46 ans et assistante dans une société dans le secteur d’Albi, n’a, elle, pas eu la force de porter plainte. Fin 2007, après 10 années passées dans l’entreprise, une nouvelle chef de service est nommée. Marie perd toute estime de soi: «Même pour un simple courrier, elle revoyait tout trois fois alors que je n’ai pas de problème d’orthographe ou de syntaxe». Marie perd tous ses moyens et un an plus tard elle est en arrêt maladie. «Le médecin m’a relevé une tension de 18 ! raconte l’employée. En deux ans, j’ai pris 40 kg. J’étais un peu contre les médicaments mais j’ai demandé des antidépresseurs J’étais en dessous de tout».Cinq mois plus tard, elle reprend le travail à un autre poste. Aujourd’hui, elle est devenue déléguée syndicale et alerte régulièrement les instances sur des cas de harcèlement. De son côté, Patrick attend d’une semaine à l’autre la décision de l’inspection du travail du Tarn. Pendant plusieurs jours, cette dernière a mené une enquête dans l’entreprise. La société veut le pousser vers la sortie et lui propose à plusieurs reprises un départ négocié, le cadre refuse. Aujourd’hui, il fait l’objet d’une procédure de licenciement. Démissionner ? Patrick n’y pense pas. «J’ai 51 ans et des filles en études supérieures. Ce n’est pas un secret, il y a un fort chômage chez les plus de 50 ans».
*Prénoms d’emprunt
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/20/1822384-harceles-au-travail-ils-se-battent-pour-leurs-droits.html
Il faisait voler un drone sous la Tour Eiffel : un légionnaire interpellé
Un légionnaire de 22 ans a été interpellé mardi soir à Paris, alors qu’il faisait voler un petit drone autour de la Tour Eiffel, selon les informations recueillies par Europe 1.
Le militaire, en permission, a été surpris par les policiers, vers 23 heures, alors qu’il téléguidait cet avion miniature de 50 centimètres de long et 50 centimètres d’envergure au niveau du premier étage du monument. Le légionnaire, d’origine équatorienne, placé en garde à vue chez les gendarmes, devait être déferré au parquet et présenté à un magistrat jeudi pour une audience de plaider coupable où il pourrait avoir à répondre de "mise en danger de la vie d'autrui".
mercredi 19 février 2014
Grenoble: Deux hommes interpellés dans l’affaire du meurtre d’un octogénaire à La Mure
Ils sont soupçonnés d’avoir ligoté et frappé à mort le vieil homme à son domicile…
Deux hommes de 44 et 46 ans, suspectés d’être les auteurs du meurtre d’un octogénaire en décembre dernier à La Mure, dans la banlieue de Grenoble, sont entendus ce mercredi par un juge d’instruction à Grenoble. Les deux quadragénaires, respectivement domiciliés à Fontaine et La Mure, en Isère, ont été interpellés chez eux samedi et dimanche par la section de recherches de la gendarmerie de Grenoble. D’après Le Dauphiné Libéré, ils seraient déjà connus par les services de police, l’un pour violence et l’autre pour braquage de banque, des faits commis à la fin des années 80 et 90.
http://www.20minutes.fr/societe/1303794-20140219-grenoble-deux-hommes-interpelles-laffaire-meurtre-dun-octogenaire-a-mure
Deux hommes de 44 et 46 ans, suspectés d’être les auteurs du meurtre d’un octogénaire en décembre dernier à La Mure, dans la banlieue de Grenoble, sont entendus ce mercredi par un juge d’instruction à Grenoble. Les deux quadragénaires, respectivement domiciliés à Fontaine et La Mure, en Isère, ont été interpellés chez eux samedi et dimanche par la section de recherches de la gendarmerie de Grenoble. D’après Le Dauphiné Libéré, ils seraient déjà connus par les services de police, l’un pour violence et l’autre pour braquage de banque, des faits commis à la fin des années 80 et 90.
La piste du crime crapuleux privilégiée
Durant leur garde à vue de 96 heures, les deux hommes ont nié les faits qui leur étaient reprochés, mais d’après une source proche de l’enquête, «Des éléments matériels laissent penser qu'ils sont impliqués dans la mort de cet homme.». Le 14 décembre 2013, les gendarmes de La Mure avaient découvert chez lui le corps de Maurice Blanc, 89 ans, un négociant en vins « assez fortuné » à la retraite. L’homme portait des traces de liens et de coups sur le visage, dont la violence avait entraîné la mort.
Pour le moment, on ne connaît pas les liens qui pourraient unir la victime à ses agresseurs présumés. Les enquêteurs privilégient l’hypothèse d’un crime crapuleux, dont le vol était le mobile. Si le coffre « extrêmement sophistiqué » de Maurice Blanc n'a pas été ouvert, de l'argent ou des objets auraient pu être dérobés. On en saura certainement plus jeudi. Une information judiciaire a été ouverte pour homicide en bande organisée et les deux hommes devraient être mis en examen mercredi soir.http://www.20minutes.fr/societe/1303794-20140219-grenoble-deux-hommes-interpelles-laffaire-meurtre-dun-octogenaire-a-mure
Charente-Maritime : impressionnante collision à Marans
Deux Marandais se sont percutés à la sortie sud Marans, en direction de la Rochelle,ce mardi à 6 h 50. L'accident n'a pas fait de blessés.
Une quinquagénaire, conductrice de la Dacia Sandero sur la RD 137, avait entamé la manœuvre pour tourner à gauche vers le lieu-dit Petite Brune. C'est à ce moment qu'a eu lieu la collision sur le flanc avec une Peugeot 3008 conduit par un quadragénaire en train d'effectuer une manoeuvre de dépassement.
Les deux véhicules auraient ensuite glissé sur le côté opposé de la route, stoppés par une haie d'arbres, empêchant tout basculement dans le ruisseau pleinn d'eau, bordant la RD 137.
Les deux occupants de chaque voiture, très choqués, sont sortis indemnes de l'accident. La Direction des infrastructures de Marans a sécurisé les lieux de l'accident.
http://www.sudouest.fr/2014/02/18/marans-17-impressionnante-collision-1465902-1435.php
Une quinquagénaire, conductrice de la Dacia Sandero sur la RD 137, avait entamé la manœuvre pour tourner à gauche vers le lieu-dit Petite Brune. C'est à ce moment qu'a eu lieu la collision sur le flanc avec une Peugeot 3008 conduit par un quadragénaire en train d'effectuer une manoeuvre de dépassement.
Les deux véhicules auraient ensuite glissé sur le côté opposé de la route, stoppés par une haie d'arbres, empêchant tout basculement dans le ruisseau pleinn d'eau, bordant la RD 137.
Les deux occupants de chaque voiture, très choqués, sont sortis indemnes de l'accident. La Direction des infrastructures de Marans a sécurisé les lieux de l'accident.
http://www.sudouest.fr/2014/02/18/marans-17-impressionnante-collision-1465902-1435.php
Bordeaux : impressionnant incendie d'un entrepôt de 2 500 m² à Paludate
Pour une raison que l'enquête de police permettra de déterminer avec précision, un incendie s'est déclaré dans la nuit de mardi à mercredi, à 23h30, rue Seiglière, dans le quartier de Paludate, à Bordeaux
D'épaisses fumées noires étaient visibles de très loin au moment du sinistre et une forte odeur de brûlé a envahi l'air ambiant, bien au-delà des rues alentours. Mercredi matin, on pouvait encore sentir une odeur âcre qui se répandait jusqu'aux quais de la rive droite.
Le feu a ravagé les entrepôts des charcuteries industrielles Mainjole. Une quarantaine de pompiers ont été dépêchés sur place pour maîtriser le feu et éviter sa propagation.
Albi. Il monte son expédition punitive pour du cannabis
Cet éducateur spécialisé a vu rouge à la suite du cambriolage de sa maison. Il s’est attaqué à celui qu’il pensait être le commanditaire en le séquestrant chez lui.
Dominique B, 48 ans, a senti le vent du boulet de l’incarcération, hier soir au tribunal correctionnel d’Albi. Il a été condamné à 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve (SME). Une peine qui couvre les 3 mois de détention provisoire qu’il a effectués. Cet éducateur était poursuivi pour séquestration, violences avec préméditation, menaces de mort réitérées et détention de stupéfiants, à Albi le 12 novembre 2011. Après le cambriolage de sa maison, la disparition d’herbe et de plants de cannabis (4 à 5 kg une fois sec), le prévenu a porté ses soupçons sur Ali, une connaissance. Persuadé qu’il était le commanditaire du vol, il en a fait une obsession jusqu’à monter un traquenard pour le faire venir chez lui, l’enfermer dans un cabanon et l’attacher avec du ruban adhésif. Mais Ali a sorti son couteau et blessé Dominique au bras. Passé à tabac, Ali finira par le convaincre de l’emmener à Lapanouse pour lui indiquer l’auteur du cambriolage. Une ruse qui s’avère payante puisque la police, prévenue par ses soins, le retrouve prostré dans une impasse. Son kidnappeur sera également interpellé.
«Je voulais lui faire peur, j’ai mal vécu ce cambriolage, j’ai perdu pied et je n’étais plus conscient de ce que je faisais», explique-t-il calmement à la barre. Me de Angelis, qui représente la victime, l’est moins. «Ce qui l’a traumatisé, c’est de se faire voler sa drogue, lui, le petit parrain du coin. Cet homme est dangereux». Le procureur, tout en tempérant les ardeurs de la partie civile, met l’accent sur la séquestration de la victime et demande 4 ans de prison dont 2 ans SME.
«On a voulu faire de ce dossier, une affaire extraordinaire. Moi je n’y vois que des violences avec quelques artifices. Mais pas de séquestration. Pourquoi pas une peine qui couvre sa détention et le reste en sursis afin qu’il poursuive son métier et qu’il aide les autres ?» Le tribunal l’a entendu
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1821528-albi-il-monte-son-expedition-punitive-pour-du-cannabis.html
Dominique B, 48 ans, a senti le vent du boulet de l’incarcération, hier soir au tribunal correctionnel d’Albi. Il a été condamné à 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve (SME). Une peine qui couvre les 3 mois de détention provisoire qu’il a effectués. Cet éducateur était poursuivi pour séquestration, violences avec préméditation, menaces de mort réitérées et détention de stupéfiants, à Albi le 12 novembre 2011. Après le cambriolage de sa maison, la disparition d’herbe et de plants de cannabis (4 à 5 kg une fois sec), le prévenu a porté ses soupçons sur Ali, une connaissance. Persuadé qu’il était le commanditaire du vol, il en a fait une obsession jusqu’à monter un traquenard pour le faire venir chez lui, l’enfermer dans un cabanon et l’attacher avec du ruban adhésif. Mais Ali a sorti son couteau et blessé Dominique au bras. Passé à tabac, Ali finira par le convaincre de l’emmener à Lapanouse pour lui indiquer l’auteur du cambriolage. Une ruse qui s’avère payante puisque la police, prévenue par ses soins, le retrouve prostré dans une impasse. Son kidnappeur sera également interpellé.
«Je voulais lui faire peur, j’ai mal vécu ce cambriolage, j’ai perdu pied et je n’étais plus conscient de ce que je faisais», explique-t-il calmement à la barre. Me de Angelis, qui représente la victime, l’est moins. «Ce qui l’a traumatisé, c’est de se faire voler sa drogue, lui, le petit parrain du coin. Cet homme est dangereux». Le procureur, tout en tempérant les ardeurs de la partie civile, met l’accent sur la séquestration de la victime et demande 4 ans de prison dont 2 ans SME.
«On a voulu faire de ce dossier, une affaire extraordinaire. Moi je n’y vois que des violences avec quelques artifices. Mais pas de séquestration. Pourquoi pas une peine qui couvre sa détention et le reste en sursis afin qu’il poursuive son métier et qu’il aide les autres ?» Le tribunal l’a entendu
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1821528-albi-il-monte-son-expedition-punitive-pour-du-cannabis.html
Une automobiliste menacée sur l'autoroute
Un quarantenaire a été interpellé hier par les gendarmes de Pierrefeu-du-Var (Var). Lundi, l'homme avait menacé avec une arme de poing une automobiliste qui voulait le doubler sur l'A57, selon Var-Matin.
La jeune automobiliste a eu le réflexe de relever la plaque minéralogique du véhicule, et s'est rendue à la gendarmerie.
Pendant l'interpellation de l'homme, un pistolet à grenaille a été saisi. Les faits ont été reconnus mais l'homme a refusé d'expliquer son geste
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/19/97001-20140219FILWWW00051-une-automobiliste-menacee-sur-l-autoroute.php
La jeune automobiliste a eu le réflexe de relever la plaque minéralogique du véhicule, et s'est rendue à la gendarmerie.
Pendant l'interpellation de l'homme, un pistolet à grenaille a été saisi. Les faits ont été reconnus mais l'homme a refusé d'expliquer son geste
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/19/97001-20140219FILWWW00051-une-automobiliste-menacee-sur-l-autoroute.php
mardi 18 février 2014
Un homme interpellé après la mort de son père
Un homme de 23 ans a été placé en garde à vue à Chartres après la découverte de son père mort à leur domicile, selon la police.
Le fils avait appelé les secours hier, expliquant que son père, invalide, était décédé après s'être blessé la veille. Le jeune homme a été placé en garde a vue en raison notamment de la découverte d'une profonde entaille au cou de la victime. Selon le quotidien L'Echo républicain, il avait signalé le suicide de sa mère dans la même maison il y a dix ans.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/18/97001-20140218FILWWW00298-un-homme-interpelle-apres-la-mort-de-son-pere.php
Le fils avait appelé les secours hier, expliquant que son père, invalide, était décédé après s'être blessé la veille. Le jeune homme a été placé en garde a vue en raison notamment de la découverte d'une profonde entaille au cou de la victime. Selon le quotidien L'Echo républicain, il avait signalé le suicide de sa mère dans la même maison il y a dix ans.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/18/97001-20140218FILWWW00298-un-homme-interpelle-apres-la-mort-de-son-pere.php
Un distributeur vandalisé, d'une manière encore inédite en Dordogne
Dans la nuit de ce dimanche à lundi, le distributeur automatique de billets du Crédit agricole de Monpazier a été l'objet d'une tentative de destruction.
Celle-ci a été opérée avec une méthode encore inédite en Dordogne, mais qui serait pratiquée, en Gironde notamment, depuis un peu moins de deux ans. Il s'agit d'introduire du gaz dans le distributeur afin de provoquer une explosion et de dégager la caisse contenant les billets.
Cette technique demande un certain doigté dans le dosage du gaz. Ce que ne maîtrisaient visiblement pas les auteurs, encagoulés, qui ont agi dans la bastide du Bergeracois. Ils seraient au nombre de trois et ont pris la fuite.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.
http://www.sudouest.fr/2014/02/18/un-distributeur-vandalise-d-une-maniere-encore-inedite-en-dordogne-1465650-1944.php
Celle-ci a été opérée avec une méthode encore inédite en Dordogne, mais qui serait pratiquée, en Gironde notamment, depuis un peu moins de deux ans. Il s'agit d'introduire du gaz dans le distributeur afin de provoquer une explosion et de dégager la caisse contenant les billets.
Cette technique demande un certain doigté dans le dosage du gaz. Ce que ne maîtrisaient visiblement pas les auteurs, encagoulés, qui ont agi dans la bastide du Bergeracois. Ils seraient au nombre de trois et ont pris la fuite.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.
http://www.sudouest.fr/2014/02/18/un-distributeur-vandalise-d-une-maniere-encore-inedite-en-dordogne-1465650-1944.php
Le décès est d’origine criminelle
Le cadavre qui avait été retrouvé dans un état de décomposition avancée, le 8 février dernier dans un ruisseau à Ehnwihr, hameau de Muttersholtz en Centre-Alsace, à la confluence de la Blind et de l’Ill a fait l’objet d’une autopsie
Malgré l’état du corps, les enquêteurs avaient d’abord pu déterminer qu’il était de sexe masculin. Ils viennent également de déduire que cet homme, âgé d’environ 50 ans, n’est pas décédé de mort naturelle. Il semblerait qu’un coup qu’il a reçu à la tête soit à l’origine de son décès. Pour l’instant, les enquêteurs n’ont pas encore réussi à identifier la victime
http://www.dna.fr/edition-de-selestat-centre-alsace/2014/02/18/le-deces-est-d-origine-criminelle
Malgré l’état du corps, les enquêteurs avaient d’abord pu déterminer qu’il était de sexe masculin. Ils viennent également de déduire que cet homme, âgé d’environ 50 ans, n’est pas décédé de mort naturelle. Il semblerait qu’un coup qu’il a reçu à la tête soit à l’origine de son décès. Pour l’instant, les enquêteurs n’ont pas encore réussi à identifier la victime
http://www.dna.fr/edition-de-selestat-centre-alsace/2014/02/18/le-deces-est-d-origine-criminelle
Tarbes. Jennifer en grève de la faim pour aider son frère atteint de troubles du comportement
Une Tarbaise, Jennifer Minier, a entamé, une grève de la faim afin d’alerter l’opinion sur la situation de sa mère, domiciliée dans le Loir-et-Cher, qui ne trouve pas de structure pour son fils épileptique, souffrant aussi de troubles du comportement.
«Je me suis maquillée avant votre arrivée, sinon, je ressemblais à une épave.» C’est une jeune femme visiblement éprouvée qui tient ces propos. Nous l’avons rencontrée hier, dans son petit appartement situé près de la route de Pau. Jennifer Minier, 22 ans, a entamé, depuis samedi, une grève de la faim pour alerter l’opinion sur une situation familiale douloureuse. Sur Facebook, elle écrit : «Je suis la grande sœur de Morgan, 19 ans, souffrant de troubles du comportement, ainsi que d’épilepsie. J’ai créé cette page pour venir en aide à ma mère». Précisons que cette dernière, Delphine Minier, factrice dans le cadre d’un mi-temps thérapeutique, vit à Nouan-le-Fuzelier, dans le Loir-et-Cher, avec ce fils. Elle a fait un infarctus au mois de février.
Au fil de ces épreuves, Jennifer avoue avoir «perdu son adolescence». Elle se dit carencée en vitamines et en fer. Pour autant, elle est déterminée à poursuivre sa grève de la faim. «On est au pied du mur, résume-t-elle. Nous ne pouvons plus nous permettre d’attendre qu’un drame se produise pour que la société se remette enfin en question ! Nous avons besoin de votre soutien.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/18/1820658-jennifer-en-greve-de-la-faim-pour-aider-sa-mere.html
«Je me suis maquillée avant votre arrivée, sinon, je ressemblais à une épave.» C’est une jeune femme visiblement éprouvée qui tient ces propos. Nous l’avons rencontrée hier, dans son petit appartement situé près de la route de Pau. Jennifer Minier, 22 ans, a entamé, depuis samedi, une grève de la faim pour alerter l’opinion sur une situation familiale douloureuse. Sur Facebook, elle écrit : «Je suis la grande sœur de Morgan, 19 ans, souffrant de troubles du comportement, ainsi que d’épilepsie. J’ai créé cette page pour venir en aide à ma mère». Précisons que cette dernière, Delphine Minier, factrice dans le cadre d’un mi-temps thérapeutique, vit à Nouan-le-Fuzelier, dans le Loir-et-Cher, avec ce fils. Elle a fait un infarctus au mois de février.
«Ne pas attendre qu'un drame se produise»
Désespérément, elle recherche une solution adaptée à son cas. «Ma mère doit se débrouiller, entre son travail et la garde de Morgan», poursuit Jennifer, expliquant que les crises d’épilepsie sont subites, qu’il a besoin d’une présence constante. Deux jours par semaine il est dans un IME (Institut médico-éducatif). Le reste du temps, c’est sa mère qui le prend en charge. «Depuis ses 16 ans, il est devenu violent. Nous avons consulté neurologues et psychiatres. Selon eux, vu qu’il n’y a pas de place en institut, sa place est en hôpital psychiatrique.» Mère et fille rejettent cette solution, «ce serait s’en débarrasser», et demandent son admission dans un foyer occupationnel. Dans le Loir-et-Cher, ou même dans les Hautes-Pyrénées.Au fil de ces épreuves, Jennifer avoue avoir «perdu son adolescence». Elle se dit carencée en vitamines et en fer. Pour autant, elle est déterminée à poursuivre sa grève de la faim. «On est au pied du mur, résume-t-elle. Nous ne pouvons plus nous permettre d’attendre qu’un drame se produise pour que la société se remette enfin en question ! Nous avons besoin de votre soutien.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/18/1820658-jennifer-en-greve-de-la-faim-pour-aider-sa-mere.html
Valence : refusant le divorce, il fait feu en direction de son épouse
Il est tout juste 9 heures lundi lorsque cette jeune femme attend le bus en haut de l’avenue de Chabeuil à Valence.
C’est là que la surprend son conjoint. Une mauvaise rencontre - volontaire ou hasardeuse - qui va être à l’origine d’un véritable accès de violence.
L’homme, dont elle est séparée depuis peu, sait qu’elle se rend chez son avocat dans le cadre d’une procédure de divorce. Ce que l’homme, âgé de 25 ans, ne supporte pas.
Il veut empêcher son épouse de se rendre à son rendez-vous et tente de la faire monter de force dans sa voiture.
Il prend ensuite la fuite. Alertés par la victime, fort heureusement indemne, et des témoins, les policiers ne retrouveront sur place ni douille, ni impact. Mais les caméras de vidéo-protection municipales attesteront des faits.
Convoqué hier au commissariat de Valence, dans le cadre d’une autre affaire, le mari a été interpellé par les policiers et placé immédiatement en garde à vue. Il a reconnu les faits et dit avoir tiré sur son épouse avec un pistolet d’alarme qu’il serait ensuite allé jeter dans le Rhône.
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/02/17/refusant-le-divorce-il-fait-feu-en-direction-de-son-epouse
C’est là que la surprend son conjoint. Une mauvaise rencontre - volontaire ou hasardeuse - qui va être à l’origine d’un véritable accès de violence.
L’homme, dont elle est séparée depuis peu, sait qu’elle se rend chez son avocat dans le cadre d’une procédure de divorce. Ce que l’homme, âgé de 25 ans, ne supporte pas.
Il veut empêcher son épouse de se rendre à son rendez-vous et tente de la faire monter de force dans sa voiture.
Il aurait jeté le pistolet d’alarme dans le Rhône
Elle lui résiste. C’est alors qu’il sort une arme et fait feu, à une seule reprise.Il prend ensuite la fuite. Alertés par la victime, fort heureusement indemne, et des témoins, les policiers ne retrouveront sur place ni douille, ni impact. Mais les caméras de vidéo-protection municipales attesteront des faits.
Convoqué hier au commissariat de Valence, dans le cadre d’une autre affaire, le mari a été interpellé par les policiers et placé immédiatement en garde à vue. Il a reconnu les faits et dit avoir tiré sur son épouse avec un pistolet d’alarme qu’il serait ensuite allé jeter dans le Rhône.
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/02/17/refusant-le-divorce-il-fait-feu-en-direction-de-son-epouse
lundi 17 février 2014
De faux policiers volent une octogénaire
Accordant sa confiance à deux hommes munis de brassards et de fausses cartes de policiers, une octogénaire de Saint-Leu-la-Forêt dans le Val-d'Oise s'est fait voler aujourd'hui des bijoux d'une valeur totale de 10.000 euros, selon une source policière.
La femme, âgée de 83 ans, a ouvert sa porte à deux hommes qui se faisaient passer pour des policiers et présentaient une "fausse lettre d'un laboratoire d'analyse certifiant qu'elle avait été victime d'un vol", a raconté cette source. "Ils lui ont alors demandé de rassembler tous ses bijoux pour vérifier et, une fois qu'elle s'est exécutée, ils sont partis avec", a-t-elle poursuivi, mettant en garde contre des vols par fausse qualité "de plus en plus élaborés".
Selon la victime, le préjudice est estimé à plus de 10.000 euros. Les deux malfaiteurs sont en fuite
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/17/97001-20140217FILWWW00292-de-faux-policiers-volent-une-octogenaire.php
La femme, âgée de 83 ans, a ouvert sa porte à deux hommes qui se faisaient passer pour des policiers et présentaient une "fausse lettre d'un laboratoire d'analyse certifiant qu'elle avait été victime d'un vol", a raconté cette source. "Ils lui ont alors demandé de rassembler tous ses bijoux pour vérifier et, une fois qu'elle s'est exécutée, ils sont partis avec", a-t-elle poursuivi, mettant en garde contre des vols par fausse qualité "de plus en plus élaborés".
Selon la victime, le préjudice est estimé à plus de 10.000 euros. Les deux malfaiteurs sont en fuite
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/17/97001-20140217FILWWW00292-de-faux-policiers-volent-une-octogenaire.php
Boulazac (24) : la concession de camions Mercedes cambriolée
Ce lundi matin vers 7 heures, les ouvriers qui embauchaient à la concession de camions Mercedes, à Boulazac, ont découvert que des vols avaient été commis sans doute dans la nuit.
Une vingtaine d'utilitaires Sprinter ont été fracturés. Seuls leurs filtres à particules, entre le bloc moteur et la ligne d'échappement, ont été dérobés. Le montant du préjudice, en court d'estimation, se situerait entre 30.000 et 50.000 euros.
Le type de vol, son organisation et son exécution millimétrée, laisse à penser qu'il s'agit d'un travail de professionnels.
Difficile de ne pas faire le rapprochement avec les vols commis dans la nuit de samedi à dimanche 9 février, dans les entreprises DAF Poids Lourds à Saint-Laurent-sur-Manoire et le relais poids lourds Volvo à Notre-Dame-de-Sanilhac. Chez le premier, du petit matériel de bord avait été dérobé, contrairement au second où plusieurs camions avaient été désossé.
La police n'excluait pas un lien directe entre ces deux vols datant d'une semaine. Le cambriolage commis ce lundi fait désormais craindre qu'une équipe de voleurs professionnels opère dans le secteur.
http://www.sudouest.fr/2014/02/17/boulazac-24-la-concession-de-camions-mercedes-cambriolee-1464760-1971.php
Une vingtaine d'utilitaires Sprinter ont été fracturés. Seuls leurs filtres à particules, entre le bloc moteur et la ligne d'échappement, ont été dérobés. Le montant du préjudice, en court d'estimation, se situerait entre 30.000 et 50.000 euros.
Le type de vol, son organisation et son exécution millimétrée, laisse à penser qu'il s'agit d'un travail de professionnels.
Difficile de ne pas faire le rapprochement avec les vols commis dans la nuit de samedi à dimanche 9 février, dans les entreprises DAF Poids Lourds à Saint-Laurent-sur-Manoire et le relais poids lourds Volvo à Notre-Dame-de-Sanilhac. Chez le premier, du petit matériel de bord avait été dérobé, contrairement au second où plusieurs camions avaient été désossé.
La police n'excluait pas un lien directe entre ces deux vols datant d'une semaine. Le cambriolage commis ce lundi fait désormais craindre qu'une équipe de voleurs professionnels opère dans le secteur.
http://www.sudouest.fr/2014/02/17/boulazac-24-la-concession-de-camions-mercedes-cambriolee-1464760-1971.php
Faits divers à Vire. Trente personnes évacuées pour un feu de cave
Un important incendie s'est déclaré ce dimanche midi dans une cave d'un immeuble de La Planche à Vire. Trente personnes ont été évacuées.
Vingt-cinq pompiers de Vire, Vassy, Condé-sur-Noireau et Caen ont été dépêchés sur les lieux du sinistre qui a entièrement détruit une cave de cet immeuble de quatre étages qui a été totalement enfumé. Six familles seront relogées par Calvados habitat.
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-vire-trente-personnes-evacues-pour-un-feu-de-cave-1936259
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-vire-trente-personnes-evacues-pour-un-feu-de-cave-1936259
Un ancien étudiant accuse une banque d'avoir volé son idée
Un ancien étudiant de l’école de commerce de Toulouse a obtenu la condamnation de la Société générale accusée de s’être appropriée un projet financier, repris aujourd’hui par de nombreuses banques en France. Dans cette affaire, la Société générale vient d’être condamnée en appel, par la juridiction civile, à verser 80 000 € à l’ancien étudiant lésé. Il avait mis sur pied, en 2004, au sein l’école de commerce toulousaine, le projet «Transcompte».
Un projet novateur pour faciliter les transferts d’argent et permettant aux étrangers résidants en France d’ouvrir, simultanément, deux comptes, l’un dans l’Hexagone et l’autre dans leur pays d’origine. «Mon dossier avait été primé à la Chambre de commerce et de l’industrie et récompensé comme meilleur mémoire de l’ESC pour son originalité. Lorsque j’ai appris que la Société générale l’avait repris à mon insu, alors que je leur avais présenté le concept, j’ai décidé de poursuivre la banque», explique l’ancien étudiant d’origine sénégalaise, Keba Diop, 40 ans, ingénieur financier.
En 2007, un cadre de la banque, qui aurait nié avoir eu tout contact avec l’étudiant, rebaptise le projet qui devient «Votre banque ici et là-bas», qui ne serait que le copier-coller partiel de «Transcompte». Ce dirigeant reçoit le prix de l’innovation pour avoir lancé sur le marché le produit révolutionnaire.
«La banque s’est enrichie sur mon dos», dénonce le plaignant qui avait évalué son préjudice à 150 millions d’euros pour «concurrence déloyale». Assignée devant le tribunal de grande instance de Toulouse par l’ex-étudiant qui s’estime victime «d’un vol de propriété intellectuelle», la Société générale gagne une première manche en 2012. Mais Keba Diop fait appel et obtient gain de cause deux ans plus tard. Aujourd’hui, la banque a toujours la possibilité de se pourvoir en cassation.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/17/1820210-ancien-etudiant-accuse-banque-avoir-vole-idee.html
Un projet novateur pour faciliter les transferts d’argent et permettant aux étrangers résidants en France d’ouvrir, simultanément, deux comptes, l’un dans l’Hexagone et l’autre dans leur pays d’origine. «Mon dossier avait été primé à la Chambre de commerce et de l’industrie et récompensé comme meilleur mémoire de l’ESC pour son originalité. Lorsque j’ai appris que la Société générale l’avait repris à mon insu, alors que je leur avais présenté le concept, j’ai décidé de poursuivre la banque», explique l’ancien étudiant d’origine sénégalaise, Keba Diop, 40 ans, ingénieur financier.
Concurrence déloyale ?
«La justice a reconnu dans sa décision que mon client était un agent économique et qu’il a subi un préjudice important», déclare l’avocat de l’ex-étudiant, Me Djammen-Nzepa. Primé en 2004, «Transcompte» devait faciliter le transfert et l’épargne grâce à la bi-bancarisation. «Pour les étudiants qui font leurs études en France, cela leur permet de transférer et d’épargner de l’argent sur un autre compte dans leur pays d’origine», poursuit Keba Diop.En 2007, un cadre de la banque, qui aurait nié avoir eu tout contact avec l’étudiant, rebaptise le projet qui devient «Votre banque ici et là-bas», qui ne serait que le copier-coller partiel de «Transcompte». Ce dirigeant reçoit le prix de l’innovation pour avoir lancé sur le marché le produit révolutionnaire.
«La banque s’est enrichie sur mon dos», dénonce le plaignant qui avait évalué son préjudice à 150 millions d’euros pour «concurrence déloyale». Assignée devant le tribunal de grande instance de Toulouse par l’ex-étudiant qui s’estime victime «d’un vol de propriété intellectuelle», la Société générale gagne une première manche en 2012. Mais Keba Diop fait appel et obtient gain de cause deux ans plus tard. Aujourd’hui, la banque a toujours la possibilité de se pourvoir en cassation.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/17/1820210-ancien-etudiant-accuse-banque-avoir-vole-idee.html
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