Plusieurs témoins ont vu chuter le petit appareil avec son occupant, en plein champ, au lieu-dit Jarlac, déjà théâtre d’un accident de la route mortel, il y a deux semaines. Le crash s’est produit vers 15 heures, dans un champ, entre les villages de Montils et Saint-Sever, le long de la route départementale 134.
« À l’arrivée des secours, le corps de la victime était carbonisé, ce qui rend très compliqué son identification », a indiqué le commandant de la compagnie de gendarmerie de Saintes, Christophe Rolland. Un témoin a néanmoins confié aux enquêteurs avoir vu un homme d’environ 70 ans, originaire de Royan, décoller avec un ULM depuis l’aérodrome de Pons, peu de temps avant le crash. Une autopsie devrait confirmer cette hypothèse dans les jours qui viennent.
Les gendarmes se sont rendus sur les lieux accompagnés d’enquêteurs spécialistes de l’air venus de Mérignac, l’analyse de l’accident réclamant des compétences techniques poussées. L’incendie a-t-il commencé en vol ? Le pilote a-t-il fait une mauvaise manœuvre ? A-t-il connu un problème technique ? Vendredi soir, il était impossible de le déterminer.
http://www.sudouest.fr/2013/08/31/un-mort-dans-le-crash-d-un-ulm-1154975-1457.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
samedi 31 août 2013
Brest. Un buraliste blessé par arme à feu
Ce samedi matin, vers 7 h, un buraliste du centre de Brest a été braqué. Il aurait refusé de céder sa caisse à un individu seul, le visage encagoulé.
Le braqueur aurait alors tiré avec un pistolet à plomb en direction du buraliste, le blessant. Il aurait alors pris la fuite sans rien emporter.
La victime a été transportée à l'hôpital par les pompiers. L'antenne brestoise de la police judiciaire a été saisie de l'enquête.
Trafic présumé de viande: 3.000 chevaux concernés
Le parquet de Marseille a indiqué que 3.000 chevaux auraient été abattus...
Le trafic présumé de viande de cheval récemment mis au jour porte sur quelque 3.000 chevaux abattus sur une période maximum des trois dernières années, a indiqué vendredi à l'AFP le parquet de Marseille, pour la zone qui le concerne. «On estime à 3.000 le nombre de chevaux exportés par la filière mise en cause», a déclaré le procureur Brice Robin, qui a précisé que le pôle santé de Marseille, qui couvre les régions Paca, Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes, a ouvert fin juin une information judiciaire.
Dans la région, les abattoirs de Pézenas (Hérault) et d'Alès» (Gard) seraient concernés, a-t-il poursuivi. Selon une source proche de l'enquête, il s'agit de chevaux de toutes catégories (de trait, de sport, de courses...), jugés impropres à la consommation.
http://www.20minutes.fr/societe/1216145-20130830-trafic-presume-viande-3000-chevaux-concernes
Le trafic présumé de viande de cheval récemment mis au jour porte sur quelque 3.000 chevaux abattus sur une période maximum des trois dernières années, a indiqué vendredi à l'AFP le parquet de Marseille, pour la zone qui le concerne. «On estime à 3.000 le nombre de chevaux exportés par la filière mise en cause», a déclaré le procureur Brice Robin, qui a précisé que le pôle santé de Marseille, qui couvre les régions Paca, Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes, a ouvert fin juin une information judiciaire.
Une filière avec la Belgique
«On estime à 3.000 le nombre de chevaux exportés par la filière mise en cause», a déclaré le procureur Brice Robin, qui a précisé que le pôle santé de Marseille, qui couvre les régions Paca, Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes, a ouvert fin juin une information judiciaire. «C'est une filière avec la Belgique», a-t-il précisé, ajoutant que «les chevaux proviennent apparemment de Hollande, de Belgique, de France, d'Espagne». «Il y a des irrégularités qui ont été constatées», notamment «sur les documents d'identification des chevaux qui étaient présentés à l'abattoir», a ajouté le procureur. «La traçabilité a été volontairement occultée, puisque souvent les chevaux possèdent deux identités différentes», a-t-il indiqué.Dans la région, les abattoirs de Pézenas (Hérault) et d'Alès» (Gard) seraient concernés, a-t-il poursuivi. Selon une source proche de l'enquête, il s'agit de chevaux de toutes catégories (de trait, de sport, de courses...), jugés impropres à la consommation.
http://www.20minutes.fr/societe/1216145-20130830-trafic-presume-viande-3000-chevaux-concernes
vendredi 30 août 2013
Un chien jeté d'une voiture sur l'autoroute
Une bénévole de l'Association de Défense Animale Pyrénéenne a vu, jeudi, un chien être littéralement balancé d'une voiture qui roulait sur l'A63 dans le sens Bordeaux-Dax peu avant Cestas, rapporte le site du quotidien Sud-Ouest. Le malheureux animal, un épagneul breton, a été jeté d'une Renault 25 grise en mauvais état.
La plaque minéralogique n'ayant pas pu être relevé, l'association lance un appel à témoins pour retrouver les auteurs de cet acte de cruauté sur un animal, qui "peut aussi tuer des hommes", rappelle l'association sur le site chien-perdu.org.
Des témoins aurait indiqué avoir vu le chien mort sur le bas-coté, selon Sud-Ouest.
Wambrechies : ils sauvent de la noyade un SDF tombé dans la Deûle
Le brouillard est épais alors sitôt au bord du fleuve, sous le saule pleureur où elle pique-nique parfois avec François, son compagnon, elle ne repère pas tout de suite l’homme en train de se noyer.
http://www.lavoixdunord.fr/region/bergues-violent-braquage-a-la-bijouterie-bollengier-ia17b47573n1503139
Au bord de l’hypothermie
Âgé d’une trentaine d’années, il maintient à grand-peine sa tête à l’air libre, sur la pointe des pieds ; et surtout, il a peur. L’eau s’arrête un mètre vingt en contrebas du muret : impossible de le remonter. « Il répétait je ne sais pas nager, je ne sais pas nager, alors pendant que François est allé chercher une échelle, je suis restée à essayer de le rassurer. » Un autre voisin arrive, ainsi que le veilleur du château de Robersart, situé sur l’autre rive. Le compagnon d’Émilie Marquette appelle les pompiers. « On l’a aidé à remonter et on l’a assis : il grelottait. » Le couple frictionne le miraculé avec des serviettes-éponges, lui sert un café brûlant. « Les pompiers nous ont dit qu’il était temps qu’on intervienne, qu’il était proche de l’hypothermie. » Les secours conduisent à l’hôpital le malheureux promeneur, en réalité un sans domicile fixe. « Heureusement qu’il est jeune, il a pu crier suffisamment fort pour que je l’entende. » Et Claire Marquette de regarder différemment le beau paysage qui borde sa maison. « L’échelle la plus proche est à cinquante mètres, il était impossible de la voir avec le brouillard ; une telle chute, en plein hiver, aurait pu bien plus mal se terminer. »http://www.lavoixdunord.fr/region/bergues-violent-braquage-a-la-bijouterie-bollengier-ia17b47573n1503139
Saint-Paul-de-Jarrat. Une vieille dame agressée chez elle
Les agresseurs ont été mis en fuite par l’infirmière de la vieille dame, venue pour les premiers soins de la journée, et qui les a pris sur le fait. Maigre butin : ils n’ont emporté qu’une bague enlevée du doigt de la victime.
De coquettes maisons sont sagement alignées le long d’une avenue tranquille, dans ce quartier tout proche de Saint-Paul-du-Jarrat. Il est 6 h 45, hier matin. L’infirmière à domicile qui s’occupe d’une nonagénaire arrive pour les soins du début de journée. Elle ouvre le portail, traverse dans le jardin et pousse la porte d’entrée pour se rendre dans la cuisine, où l’attend habituellement sa patiente. Mais la vieille dame est étendue sur le sol, une bande de tissu enroulée autour du bras. Deux hommes vêtus de noir, avec une cagoule sur la tête, se tiennent à ses côtés. L’un d’eux a posé un couteau sur sa gorge. Affolée, l’infirmière rebrousse chemin, traverse le jardin en courant, se précipite derrière elle, claquant le portail dans sa fuite. Les deux hommes tentent de la rattraper, mais sans succès.
Sur la base des premières constatations, et de différents témoignages, deux jeunes hommes ont été interpellés hier après-midi, à leur domicile, dans les environs de Foix. Selon nos informations, les enquêteurs auraient retrouvé, à leur domicile, des vêtements qui auraient pu servir à l’agression. Et notamment des vêtements humides. Pour s’enfuir, et rejoindre le chantier, avant de se dissimuler dans les bois tout proches, les agresseurs avaient dû traverser le Sios, ce petit ruisseau qui coule à Saint-Paul-de-Jarrat.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/30/1698399-saint-paul-de-jarrat-une-vieille-dame-agressee-chez-elle.html
De coquettes maisons sont sagement alignées le long d’une avenue tranquille, dans ce quartier tout proche de Saint-Paul-du-Jarrat. Il est 6 h 45, hier matin. L’infirmière à domicile qui s’occupe d’une nonagénaire arrive pour les soins du début de journée. Elle ouvre le portail, traverse dans le jardin et pousse la porte d’entrée pour se rendre dans la cuisine, où l’attend habituellement sa patiente. Mais la vieille dame est étendue sur le sol, une bande de tissu enroulée autour du bras. Deux hommes vêtus de noir, avec une cagoule sur la tête, se tiennent à ses côtés. L’un d’eux a posé un couteau sur sa gorge. Affolée, l’infirmière rebrousse chemin, traverse le jardin en courant, se précipite derrière elle, claquant le portail dans sa fuite. Les deux hommes tentent de la rattraper, mais sans succès.
Indemnes, mais choquées
Un peu plus tard, des témoins voient passer deux jeunes hommes. L’un d’eux prend même la peine de les saluer. Et, un peu plus tard dans la matinée, les ouvriers d’un chantier délogent, à leur arrivée au travail, des individus qui semblaient se dissimuler et s’enfuient vers les bois tout proches. L’étau semble alors se resserrer autour des deux agresseurs qui n’ont emporté, dans leur fuite, qu’une bague qu’ils ont réussi à retirer du doigt de leur victime, extrêmement choquée par l’agression, comme l’infirmière qui l’a interrompue.Sur la base des premières constatations, et de différents témoignages, deux jeunes hommes ont été interpellés hier après-midi, à leur domicile, dans les environs de Foix. Selon nos informations, les enquêteurs auraient retrouvé, à leur domicile, des vêtements qui auraient pu servir à l’agression. Et notamment des vêtements humides. Pour s’enfuir, et rejoindre le chantier, avant de se dissimuler dans les bois tout proches, les agresseurs avaient dû traverser le Sios, ce petit ruisseau qui coule à Saint-Paul-de-Jarrat.
En garde à vue
Hier soir, les deux hommes se trouvaient en garde à vue, répondant aux questions des enquêteurs de la brigade des recherches de Pamiers. Ils nient être les auteurs de l’agression de la nonagénaire dans ce quartier paisible de Saint-Paul-de-Jarrat. De leur côté, les résidents de l’avenue témoignent d’un très grand nombre de cambriolages commis dans le secteur, au cours des dernières semaines. Des maisons «visitées» alors que leurs propriétaires n’étaient partis que pour faire quelques courses. En fin d’après-midi, les enquêteurs sont revenus à proximité du chantier, à la recherche des cagoules qui ont servi à l’agression. Mais sans succès.http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/30/1698399-saint-paul-de-jarrat-une-vieille-dame-agressee-chez-elle.html
Un employé de la CPAM à Marseille se suicide en sautant du 8e étage
Un employé de 40 ans à la Caisse Primaire d'Assurance Maladie s'est suicidé ce jeudi en sautant par la fenêtre d'un centre de l'organisme au 8e étage.
Un employé de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, âgé de 40 ans, s'est suicidé jeudi en sautant du 8e étage d'un centre de l'organisme à Marseille, a-t-on indiqué de sources concordantes.
Défenestration
"Il a sauté d'un coup à travers une fenêtre" du centre Kléber (3e arrdt), sous les yeux de plusieurs employés, a-t-on précisé à la CPAM. L'homme travaillait dans la logistique dans un autre centre, celui de Valmante (9e arrdt), a précisé la CPAM, qui exclut que son suicide puisse être lié aux conditions de travail.
"Je suis venue dire toute ma solidarité au personnel"
Selon la ministre déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l'exclusion, Marie-Arlette Carlotti, qui s'est rendue sur place jeudi en fin d'après-midi, il s'agissait d'un peintre en bâtiment qui travaillait depuis 12 ans à la CPAM. L'homme était en arrêt-maladie depuis mai pour dépression, a ajouté la ministre. "Je suis venue dire toute ma solidarité au personnel", a-t-elle déclaré, excluant également que ce suicide soit lié à la situation professionnelle de la victime. Après ce suicide, la direction a mis en place une cellule de soutien psychologique pour le personnel.
http://www.midilibre.fr/2013/08/29/un-employe-de-la-cpam-a-marseille-se-suicide-en-sautant-du-8e-etage,750653.php
Un employé de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, âgé de 40 ans, s'est suicidé jeudi en sautant du 8e étage d'un centre de l'organisme à Marseille, a-t-on indiqué de sources concordantes.
Défenestration
"Il a sauté d'un coup à travers une fenêtre" du centre Kléber (3e arrdt), sous les yeux de plusieurs employés, a-t-on précisé à la CPAM. L'homme travaillait dans la logistique dans un autre centre, celui de Valmante (9e arrdt), a précisé la CPAM, qui exclut que son suicide puisse être lié aux conditions de travail.
"Je suis venue dire toute ma solidarité au personnel"
Selon la ministre déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l'exclusion, Marie-Arlette Carlotti, qui s'est rendue sur place jeudi en fin d'après-midi, il s'agissait d'un peintre en bâtiment qui travaillait depuis 12 ans à la CPAM. L'homme était en arrêt-maladie depuis mai pour dépression, a ajouté la ministre. "Je suis venue dire toute ma solidarité au personnel", a-t-elle déclaré, excluant également que ce suicide soit lié à la situation professionnelle de la victime. Après ce suicide, la direction a mis en place une cellule de soutien psychologique pour le personnel.
http://www.midilibre.fr/2013/08/29/un-employe-de-la-cpam-a-marseille-se-suicide-en-sautant-du-8e-etage,750653.php
jeudi 29 août 2013
Un Wattrelosien accuse trois policiers roubaisiens de l’avoir tabassé
« Je prends encore de la morphine trois fois par jour. Et aussi des médicaments pour dormir depuis les faits », explique péniblement Didier Nollet, encore sous le choc de son interpellation, à Roubaix, par trois fonctionnaires de police, le 13 août dernier.
Une journée qui avait bien mal démarré. « Ce mardi-là, une dispute conjugale a éclaté, le matin, au sein du couple », relate Me Gabriel Denecker, le conseil du Wattrelosien de 50 ans. « Et c’est parce qu’on a eu ce différend que mon mari a bu de l’alcool, s’empresse d’ajouter sa compagne. Sinon , il n’en prend jamais. Il n’a pas touché à une goutte depuis trois ans. »
En fin de journée, les tensions ne sont pas retombées. Le Wattrelosien quitte son domicile, avant de se rendre plus tard au commissariat de Roubaix. « J’ai pris ma voiture pour aller déposer une main courante, indique l’intéressé. Au cas où ma femme se serait inquiétée de mon absence. » Vers 23 h, la main courante est enregistrée. Mais au moment de quitter les locaux de la police, « l’agent m’a demandé si j’avais bu et si j’étais venu en voiture. J’ai répondu que oui. J’ai même proposé qu’il garde mes clefs de voiture, affirme l’automobiliste, dont le taux d’alcool sera évalué à 0,56 g/l plusieurs heures plus tard. Il m’a répondu que je pouvais rentrer chez moi en faisant attention, car je n’habite qu’à quelques minutes de là. »
Les fonctionnaires n’ont-ils usé que de la force légitime et nécessaire face à un individu alcoolisé qui refusait d’obtempérer ? « Ils m’ont sorti de force de ma voiture. Puis ils m’ont plaqué au sol. C’est là que j’ai entendu mon épaule claquer. J’ai perdu tous mes moyens, ils étaient à trois sur moi. » L’automobiliste est ensuite ramené au poste, puis en cellule de dégrisement. « Mais avant cela, il fallait que j’enlève mes chaussures. Comme j’avais les mains menottées, je n’y arrivais pas. J’ai alors reçu un coup de pied dans le thorax. Sans raison », accuse le conducteur. Selon nos sources, la version des policiers serait très différente. Mais une enquête étant en cours, le commissariat de Roubaix se refuse à tout commentaire. Quoi qu’il en soit, Didier Nollet est examiné par un médecin dans la nuit. Et celui-ci demande son hospitalisation. Il restera une semaine à l’hôpital. Fracturée, son épaule droite nécessitera une intervention chirurgicale. « Mon avant-bras droit a aussi été cassé, ainsi que deux doigts. » Au total, seize plaies ou hématomes seront relevées par un légiste, qui a fixé l’ITT (incapacité totale de travail) à deux mois.
Pour l’avocat de l’automobiliste, « même s’il a fait preuve de rébellion, même s’il a pu s’opposer verbalement aux policiers, cela ne justifie pas ces hématomes et une épaule cassée, estime Me Denecker. Même alcoolisé, mon client ne pouvait pas représenter une menace face à trois agents . » Une plainte contre X a été déposée mardi auprès du procureur de Lille. Le bureau des affaires judiciaires, de discipline et de contrôle (BAJDC) de Lille a été saisi de l’enquête. « On ouvre toujours une enquête lorsqu’on a une telle plainte déposée pour violence de la part d’agents de la force publique, indique le procureur-adjoint, Pascal Marconville. Là, nous sommes en train de vérifier le contexte qui a amené M. Nollet jusqu’au commissariat. »
http://www.lavoixdunord.fr/region/un-wattrelosien-accuse-trois-policiers-roubaisiens-de-ia19b0n1502674
Une journée qui avait bien mal démarré. « Ce mardi-là, une dispute conjugale a éclaté, le matin, au sein du couple », relate Me Gabriel Denecker, le conseil du Wattrelosien de 50 ans. « Et c’est parce qu’on a eu ce différend que mon mari a bu de l’alcool, s’empresse d’ajouter sa compagne. Sinon , il n’en prend jamais. Il n’a pas touché à une goutte depuis trois ans. »
En fin de journée, les tensions ne sont pas retombées. Le Wattrelosien quitte son domicile, avant de se rendre plus tard au commissariat de Roubaix. « J’ai pris ma voiture pour aller déposer une main courante, indique l’intéressé. Au cas où ma femme se serait inquiétée de mon absence. » Vers 23 h, la main courante est enregistrée. Mais au moment de quitter les locaux de la police, « l’agent m’a demandé si j’avais bu et si j’étais venu en voiture. J’ai répondu que oui. J’ai même proposé qu’il garde mes clefs de voiture, affirme l’automobiliste, dont le taux d’alcool sera évalué à 0,56 g/l plusieurs heures plus tard. Il m’a répondu que je pouvais rentrer chez moi en faisant attention, car je n’habite qu’à quelques minutes de là. »
« J’ai entendu mon épaule claquer »
C’est lors de ce court trajet que les événements auraient ensuite dégénéré. Alors qu’il circulait non loin de la Grand’Rue, une patrouille de police l’arrête, pour un défaut de clignotant. Les trois fonctionnaires veulent ensuite contrôler son taux d’alcoolémie. Le ton monte. « J’ai refusé de souffler, reprend l’ancien métallurgiste, reconnu invalide depuis des problèmes de dos. Je leur ai expliqué que je ressortais du commissariat, et que la police venait de me laisser repartir. »Les fonctionnaires n’ont-ils usé que de la force légitime et nécessaire face à un individu alcoolisé qui refusait d’obtempérer ? « Ils m’ont sorti de force de ma voiture. Puis ils m’ont plaqué au sol. C’est là que j’ai entendu mon épaule claquer. J’ai perdu tous mes moyens, ils étaient à trois sur moi. » L’automobiliste est ensuite ramené au poste, puis en cellule de dégrisement. « Mais avant cela, il fallait que j’enlève mes chaussures. Comme j’avais les mains menottées, je n’y arrivais pas. J’ai alors reçu un coup de pied dans le thorax. Sans raison », accuse le conducteur. Selon nos sources, la version des policiers serait très différente. Mais une enquête étant en cours, le commissariat de Roubaix se refuse à tout commentaire. Quoi qu’il en soit, Didier Nollet est examiné par un médecin dans la nuit. Et celui-ci demande son hospitalisation. Il restera une semaine à l’hôpital. Fracturée, son épaule droite nécessitera une intervention chirurgicale. « Mon avant-bras droit a aussi été cassé, ainsi que deux doigts. » Au total, seize plaies ou hématomes seront relevées par un légiste, qui a fixé l’ITT (incapacité totale de travail) à deux mois.
Pour l’avocat de l’automobiliste, « même s’il a fait preuve de rébellion, même s’il a pu s’opposer verbalement aux policiers, cela ne justifie pas ces hématomes et une épaule cassée, estime Me Denecker. Même alcoolisé, mon client ne pouvait pas représenter une menace face à trois agents . » Une plainte contre X a été déposée mardi auprès du procureur de Lille. Le bureau des affaires judiciaires, de discipline et de contrôle (BAJDC) de Lille a été saisi de l’enquête. « On ouvre toujours une enquête lorsqu’on a une telle plainte déposée pour violence de la part d’agents de la force publique, indique le procureur-adjoint, Pascal Marconville. Là, nous sommes en train de vérifier le contexte qui a amené M. Nollet jusqu’au commissariat. »
http://www.lavoixdunord.fr/region/un-wattrelosien-accuse-trois-policiers-roubaisiens-de-ia19b0n1502674
Circulation des bus perturbée après l'agression d'une conductrice à Marseille
Une conductrice de bus a été agressée par une automobiliste mercredi à Marseille. S'en est suivi un arrêt de travail qui a fortement perturbé la circulation des autobus dans une partie de la ville.
C'est après un incident de trafic que des automobilistes s'en sont pris à une conductrice de bus, d'abord verbalement, puis physiquement. Les occupants de la voiture "qui était en infraction" ont d'abord invectivé la conductrice du bus par la fenêtre. Puis la voiture a bloqué la route au bus une centaine de mètres plus loin. Une femme est alors descendue de la voiture et s'en est pris à la conductrice, a indiqué la Régie des transports de Marseille (RTM).
"Ça a très rapidement dégénéré en début d'altercation physique (...) La conductrice a été blessée, semble-t-il pas trop gravement, mais elle avait quand même le visage un peu en sang et est partie à l'hôpital", a ajouté cette source. La voiture est repartie. Une enquête de police a été ouverte pour "essayer de retrouver les auteurs de l'agression", a-t-on ajouté.
Après un arrêt de travail sur la ligne concernée, la 53, le mouvement s'est étendu dans l'après-midi à l'ensemble des lignes du dépôt de la Rose (13e arrondissement). Le trafic était ainsi fortement perturbé en fin d'après-midi sur les 20 lignes du secteur (sur un total de 77), selon la RTM.
mercredi 28 août 2013
Le corps d’un homme retrouvé dans la Sambre, à Jeumont, ce mercredi matin
Ce matin, vers 10 heures, des passants auraient signalé un corps flottant dans la Sambre, à Jeumont. Les sapeurs-pompiers et le Samu ont essayé de réanimer l’homme, en vain.
Son décès a été prononcé peu après. Son identité n’était alors pas connue, mais il pourrait être âgé d’une soixantaine d’années. Le corps n’aurait pas séjourné longtemps dans l’eau. La police est actuellement sur place, elle étudie toutes les pistes ayant pu entraîner la mort de l’individu.
http://www.lavoixdunord.fr/region/le-corps-d-un-homme-retrouve-dans-la-sambre-a-jeumont-ia23b44374n1500897
Son décès a été prononcé peu après. Son identité n’était alors pas connue, mais il pourrait être âgé d’une soixantaine d’années. Le corps n’aurait pas séjourné longtemps dans l’eau. La police est actuellement sur place, elle étudie toutes les pistes ayant pu entraîner la mort de l’individu.
http://www.lavoixdunord.fr/region/le-corps-d-un-homme-retrouve-dans-la-sambre-a-jeumont-ia23b44374n1500897
Perpignan : Benitez aurait changé de voiture après la disparition de sa femme et sa fille
Francisco Benitez aurait changé de voiture après la disparition de sa fille Allison et de sa femme Marie-Josée, à Perpignan, le 14 juillet dernier, rapporte France 3 Pays Catalan.
Francisco Benitez aurait changé de voiture après la disparition de sa fille, Allison, 19 ans, et de sa femme, Marie-Josée, 53 ans, à Perpignan, le 14 juillet dernier, rapporte France 3 Pays Catalan.
Parti au volant d'une voiture blanche, revenu avec une voiture noire
Selon plusieurs voisins de la famille Benitez, Francisco, le père, serait revenu au domicile familial avec une voiture différente de celle qu'il utilisait d'ordinaire. Celui que les résidents de la rue Jean Richepin, à Perpignan avaient l'habitude de voir circuler dans une petite automobile de couleur blanche serait revenu au volant d'une Renault Laguna Noire après la disparition de sa femme et de sa fille.
La berline noire, a été saisie par les enquêteurs de la police judiciaire sur le parking de la Légion Etrangère, à Perpignan, où Benitez était en garnison.
http://www.midilibre.fr/2013/08/28/perpignan-benitez-aurait-change-de-voiture-apres-la-disparition-de-sa-femme-et-sa-fille,750038.php
Francisco Benitez aurait changé de voiture après la disparition de sa fille, Allison, 19 ans, et de sa femme, Marie-Josée, 53 ans, à Perpignan, le 14 juillet dernier, rapporte France 3 Pays Catalan.
Parti au volant d'une voiture blanche, revenu avec une voiture noire
Selon plusieurs voisins de la famille Benitez, Francisco, le père, serait revenu au domicile familial avec une voiture différente de celle qu'il utilisait d'ordinaire. Celui que les résidents de la rue Jean Richepin, à Perpignan avaient l'habitude de voir circuler dans une petite automobile de couleur blanche serait revenu au volant d'une Renault Laguna Noire après la disparition de sa femme et de sa fille.
La berline noire, a été saisie par les enquêteurs de la police judiciaire sur le parking de la Légion Etrangère, à Perpignan, où Benitez était en garnison.
http://www.midilibre.fr/2013/08/28/perpignan-benitez-aurait-change-de-voiture-apres-la-disparition-de-sa-femme-et-sa-fille,750038.php
Lagrave. Quatre hommes interpellés dans la nuit après un vol avec effraction
Quatre hommes, auteurs présumés d’un vol avec effraction dans les locaux du caviste Le Terroir à Lagrave, le long de l’autoroute hier vers 2 h du matin, ont été interpellés vers 3h près de la commune du Verdier. Alertée sur le cambriolage, la patrouille de gendarmerie de Gaillac est rapidement intervenue, constatant l’effraction et le vol du fond de caisse de l’établissement lagravois. Une quinzaine d’hommes des brigades de Gaillac, Vaour, Lisle-sur-Tarn et Saint-Sulpice, ainsi que le PSIG du Tarn, se déployaient aussitôt sur le terrain pour couvrir les différents axes de replis possibles. C’était visiblement la bonne tactique puisqu’une heure après les faits, les quatre hommes de nationalité bulgare ont été interceptés et interpellés. Les centres opérationnels des gendarmeries du Tarn-et-Garonne et de Haute-Garonne, départements limitrophes, étaient également en alerte.
âgés de 27 à 36 ans, déjà suspectés de faits similaires, les auteurs présumés ont été placés en garde à vue à la gendarmerie de Gaillac. Les audiences se sont déroulées en présence d’un avocat et d’un interprète.
Les quatre gardés à vue sont ressortis hier en fin de soirée, avec une convocation, le 12 décembre au tribunal d’Albi, pour vol en réunion avec effraction. L’enquête sur le cambriolage de Lagrave a été confiée à la gendarmerie de Gaillac.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/28/1696922-quatre-hommes-interpelles-nuit-apres-vol-effraction.html
âgés de 27 à 36 ans, déjà suspectés de faits similaires, les auteurs présumés ont été placés en garde à vue à la gendarmerie de Gaillac. Les audiences se sont déroulées en présence d’un avocat et d’un interprète.
Les quatre gardés à vue sont ressortis hier en fin de soirée, avec une convocation, le 12 décembre au tribunal d’Albi, pour vol en réunion avec effraction. L’enquête sur le cambriolage de Lagrave a été confiée à la gendarmerie de Gaillac.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/28/1696922-quatre-hommes-interpelles-nuit-apres-vol-effraction.html
Vendres : six touristes sauvées en mer en pleine nuit
Six personnes parties de Vendres mardi après-midi étaient perdues en mer. Elles ont été retrouvées à 22 h mardi.
La vedette de la SNSM de Valras à récupérer en mer six touristes qui dérivaient au large. Ils étaient partis du port du Chichoulet à Vendres dans le milieu de l'après-midi mardi.
Poussé par le vent
Pour une raison que les enquêteurs vont devoir déterminer, les passagers de cette petite embarcation ont dérivé une longue partie de l'après-midi. Une panne moteur pourrait être à l'origine de la dérive. Le bateau aurait alors été poussé par le vent vers le large. En début de soirée, ne les voyant pas rentrer, le loueur de bateaux a finalement donné l'alerte.
L'hélicoptère les repère
De gros moyens ont alors été lancés à la mer, ainsi que l'hélicoptère de la sécurité civile. Les six passagers ont été repérés sains et saufs à 22 h à environ 5 miles de la côte. La vedette de Valras, qui participait aux recherches, a alors été guidée sur place pour récupérer les victimes. Une enquête va être ouverte pour comprendre ce qui est arrivé.
http://www.midilibre.fr/2013/08/27/vendres-six-personnes-sauvees-en-mer-en-pleine-nuit,749900.php
La vedette de la SNSM de Valras à récupérer en mer six touristes qui dérivaient au large. Ils étaient partis du port du Chichoulet à Vendres dans le milieu de l'après-midi mardi.
Poussé par le vent
Pour une raison que les enquêteurs vont devoir déterminer, les passagers de cette petite embarcation ont dérivé une longue partie de l'après-midi. Une panne moteur pourrait être à l'origine de la dérive. Le bateau aurait alors été poussé par le vent vers le large. En début de soirée, ne les voyant pas rentrer, le loueur de bateaux a finalement donné l'alerte.
L'hélicoptère les repère
De gros moyens ont alors été lancés à la mer, ainsi que l'hélicoptère de la sécurité civile. Les six passagers ont été repérés sains et saufs à 22 h à environ 5 miles de la côte. La vedette de Valras, qui participait aux recherches, a alors été guidée sur place pour récupérer les victimes. Une enquête va être ouverte pour comprendre ce qui est arrivé.
http://www.midilibre.fr/2013/08/27/vendres-six-personnes-sauvees-en-mer-en-pleine-nuit,749900.php
mardi 27 août 2013
Quatre ans ferme pour un gendarme qui a détourné 20.000 euros de PV
Le tribunal correctionnel de Briey, en Meurthe-et-Moselle, a condamné, mardi, un ancien gendarme à cinq de prison, dont un avec sursis, pour avoir détourné plus de 20.000 euos en falsifiant des quittances de PV de chauffeurs routiers.
Les magistrats sont allés au-delà des réquisitions du parquet, qui avait demandé trois ans d'emprisonnement. Un ancien gendarme a été condamné, mardi par le tribunal correctionnel de Briey, en Meurthe-et-Moselle, à 5 ans ferme, dont un avec sursis, pour avoir détourné plus de 20.000 euros en falsifiant des quittances de PV de chauffeurs routiers. Les détournements étaient en réalité bien plus importants, mais pour la plupart prescrits, selon le parquet.
Un mandat d'arrêt a également été délivré contre l'ancien militaire, qui n'était pas présent lors du prononcé du jugement. Il a aussi écopé d'une interdiction d'exercer ses droits civiques et civils de cinq ans. Le gendarme, jusqu'alors à la réputation irréprochable, réclamait aux chauffeurs routiers en infraction de verser une consignation en liquide, conformément à la loi lorsqu'il s'agit de ressortissants étrangers ne pouvant justifier d'un domicile ou d'un travail en France.
Il va faire appel
Mais il falsifiait la copie carbone du procès-verbal destinée à l'administration fiscale, et transformait la consignation, par exemple de 1.000 euros, en une amende de 22 euros. Lors de l'audience, début juillet, le procureur avait indiqué que seuls 22 procès-verbaux litigieux avaient été retenus dans la procédure, représentant 20.000 euros, en raison des délais de prescription, mais que plus de 90.000 euros s'étaient indûment trouvés sur le compte bancaire du gendarme.
"Les investigations ont permis de retrouver 570 quittances établies par ce gendarme. Parmi elles, 110 présentaient des traces de foulage suspectes", avait rappelé le parquet, en déplorant qu'il soit impossible de retrouver les conducteurs, afin de procéder aux vérifications. Le faussaire avait été confondu après qu'un cabinet d'avocats eut contesté l'une de ses infractions. Lors de l'instruction, il avait fini par reconnaître les faits, arguant de difficultés financières.
Son avocat, Me Gérard Kremser, a indiqué qu'il allait interjeter appel de la décision
Son avocat, Me Gérard Kremser, a indiqué qu'il allait interjeter appel de la décision
Agressions barbares de Colombes : une mère dépose plainte contre X
Me Gilles-Jean Portejoie, l’avocat de la mère de Priscillia, une des deux jeunes femmes victime d’une agression particulièrement barbare, le 7 août à Colombes (Hauts-de-Seine), vient de déposer plainte contre X pour «mise en danger de la vie d’autrui».
L’objectif, pour la famille, est de déterminer les responsabilités qui ont rendu possible un tel drame.
Le 7 août, Sofiane, un détenu de 26 ans bénéficiant du régime de semi-liberté, n’avait pas regagné sa cellule de la Santé. Alors qu’il aurait dû s’y trouver depuis trois heures, à 21 heures, il avait agressé Priscillia en bas de chez elle. Celle-ci est toujours dans le coma. Moins d’une heure plus tard, il est soupçonné d’avoir violé et tabassé une autre jeune femme à quelques centaines de mètre de là.
Il n’était rentré à la prison, ivre et couvert de sang , que vers minuit. Sofiane avait notamment été poursuivi pour des agressions sexuelles en 2004 et 2009. La famille de Priscillia s’est indignée que cet homme avec de tels antécédents se soit retrouvé en semi-liberté.
http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/agressions-barbares-de-colombes-une-mere-depose-plainte-contre-x-27-08-2013-3084447.php
L’objectif, pour la famille, est de déterminer les responsabilités qui ont rendu possible un tel drame.
Le 7 août, Sofiane, un détenu de 26 ans bénéficiant du régime de semi-liberté, n’avait pas regagné sa cellule de la Santé. Alors qu’il aurait dû s’y trouver depuis trois heures, à 21 heures, il avait agressé Priscillia en bas de chez elle. Celle-ci est toujours dans le coma. Moins d’une heure plus tard, il est soupçonné d’avoir violé et tabassé une autre jeune femme à quelques centaines de mètre de là.
Il n’était rentré à la prison, ivre et couvert de sang , que vers minuit. Sofiane avait notamment été poursuivi pour des agressions sexuelles en 2004 et 2009. La famille de Priscillia s’est indignée que cet homme avec de tels antécédents se soit retrouvé en semi-liberté.
http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/agressions-barbares-de-colombes-une-mere-depose-plainte-contre-x-27-08-2013-3084447.php
Vialer (64) : un chasseur blessé par balle lors d’une battue au sanglier
Il était environ 15 h 45, lundi, lorsque les secours ont été avertis : un accident de chasse venait de se produire à Vialer. La victime participait à une battue au sanglier organisée sur une ligne de crête, dans le chemin de Gerp, à proximité de la route de Lalongue, lorsqu’elle a été touchée par une balle de gros calibre. La munition lui a transpercé une cuisse avant de toucher la seconde jambe.
Dès l’alerte donnée, une dizaine de pompiers de Lembeye et Arzacq se sont rendus sur les lieux. Ils ont été très vite rejoints par une équipe du Smur de Pau qui, au vu des blessures de la victime, a sollicité le déploiement d’un hélicoptère pour son évacuation.
L’appareil du détachement de la gendarmerie de Tarbes, Choucas 65, est rapidement arrivé sur place. Le chasseur, un homme de 43 ans originaire de Garlin, a été transporté à l’hôpital de Pau dans un état grave. Son pronostic vital ne serait toutefois pas engagé. « C’est une chance extraordinaire qu’il n’ait pas été atteint plus haut sur le corps », confie le maire de Vialer, Jean-Baptiste Lafargue, qui s’est rendu sur les lieux. « Il semblerait que l’accident se soit produit alors qu’un sanglier venait d’être signalé », précise encore l’élu.
La balle a-t-elle ricoché ?
La thèse d’un geste involontaire, c’est-à-dire d’un accident, est privilégiée. Le tireur, un homme d’une quarantaine d’années, également originaire de Garlin, aurait fait feu tandis qu’un animal venait de sortir du bois. La balle de gros calibre a-t-elle ricoché, comme a entendu dire le maire ? L’hypothèse n’est pas exclue mais reste encore à être confirmée par les investigations en cours. Le tireur est le premier à s’être porté au secours de la victime et lui a prodigué les premiers soins en attendant l’arrivée des secours.
Dès hier, les gendarmes ont vérifié la régularité de cette battue organisée par la société de chasse de Vialer et à laquelle participaient seize chasseurs. Aucun problème n’a été constaté du côté du registre de battue, correctement renseigné. Les chasseurs portaient également les équipements de sécurité obligatoires, à savoir des gilets fluorescents. Les taux d’alcoolémie des participants ont également été vérifiés et n’ont montré aucune anomalie.
Lundi soir, les enquêteurs auditionnaient l’ensemble des personnes présentes pour tenter d’éclaircir les causes de ce drame. Aucune garde à vue n’avait été prise.
http://www.sudouest.fr/2013/08/27/un-chasseur-blesse-par-balle-lors-d-une-battue-au-sanglier-1151202-4234.php
Dès l’alerte donnée, une dizaine de pompiers de Lembeye et Arzacq se sont rendus sur les lieux. Ils ont été très vite rejoints par une équipe du Smur de Pau qui, au vu des blessures de la victime, a sollicité le déploiement d’un hélicoptère pour son évacuation.
L’appareil du détachement de la gendarmerie de Tarbes, Choucas 65, est rapidement arrivé sur place. Le chasseur, un homme de 43 ans originaire de Garlin, a été transporté à l’hôpital de Pau dans un état grave. Son pronostic vital ne serait toutefois pas engagé. « C’est une chance extraordinaire qu’il n’ait pas été atteint plus haut sur le corps », confie le maire de Vialer, Jean-Baptiste Lafargue, qui s’est rendu sur les lieux. « Il semblerait que l’accident se soit produit alors qu’un sanglier venait d’être signalé », précise encore l’élu.
La balle a-t-elle ricoché ?
La thèse d’un geste involontaire, c’est-à-dire d’un accident, est privilégiée. Le tireur, un homme d’une quarantaine d’années, également originaire de Garlin, aurait fait feu tandis qu’un animal venait de sortir du bois. La balle de gros calibre a-t-elle ricoché, comme a entendu dire le maire ? L’hypothèse n’est pas exclue mais reste encore à être confirmée par les investigations en cours. Le tireur est le premier à s’être porté au secours de la victime et lui a prodigué les premiers soins en attendant l’arrivée des secours.
Dès hier, les gendarmes ont vérifié la régularité de cette battue organisée par la société de chasse de Vialer et à laquelle participaient seize chasseurs. Aucun problème n’a été constaté du côté du registre de battue, correctement renseigné. Les chasseurs portaient également les équipements de sécurité obligatoires, à savoir des gilets fluorescents. Les taux d’alcoolémie des participants ont également été vérifiés et n’ont montré aucune anomalie.
Lundi soir, les enquêteurs auditionnaient l’ensemble des personnes présentes pour tenter d’éclaircir les causes de ce drame. Aucune garde à vue n’avait été prise.
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Le mystère des poupées clouées aux arbres au col de Vence
Blague de potache ou rite vaudou ? Plusieurs poupées, déshabillées, ont été retrouvées clouées sur des arbres du col de Vence. Elles se trouvent le long de la route menant au hameau de Saint-Barnabé, sur la commune de Coursegoules.
Elles sont clouées ou vissées au coeur d'un petit sous-bois...
Les habitués du lieu ont découvert les premières poupées il y a deux ou trois ans. Mais ces derniers mois de nouvelles ont réapparu. Il y a deux Barbies, un bras de poupée, une petite figurine...
Qui a bien pu faire ça ? Un habitant nous confie avoir " entendu des incantations un soir, il y a quelques semaines ". " C'est bizarre, ça fait froid dans le dos " ajoute un habitué des lieux.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/le-mystere-des-poupees-clouees-aux-arbres-au-col-de-vence.1411047.html
Elles sont clouées ou vissées au coeur d'un petit sous-bois...
Les habitués du lieu ont découvert les premières poupées il y a deux ou trois ans. Mais ces derniers mois de nouvelles ont réapparu. Il y a deux Barbies, un bras de poupée, une petite figurine...
Qui a bien pu faire ça ? Un habitant nous confie avoir " entendu des incantations un soir, il y a quelques semaines ". " C'est bizarre, ça fait froid dans le dos " ajoute un habitué des lieux.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/le-mystere-des-poupees-clouees-aux-arbres-au-col-de-vence.1411047.html
Thierry de "L'Amour est dans le pré" menace de faire une grève de la faim
L'agriculteur star de la saison 7 de l'émission « L'Amour est dans le pré » se serait dit prêt à débuter une grève de la faim et à s'enchaîner à la tour Eiffel alors qu'il doit comparaître devant le tribunal correctionnel de Coutances ce mercredi.
En effet, ce dernier est accusé d'avoir vendu un veau trop cher en trompant son acheteur sur sa qualité. D'après les déclarations de Thierry Olive dans Le Parisien ce mardi matin, "cette histoire est due à la jalousie de mon succès".
" Je suis convoqué demain à 9 heures devant le tribunal correctionnel de Coutances. C'est la suite d'une plainte, auprès du service de la répression des fraudes, d'un agriculteur à qui j'ai vendu un veau pour l'élevage en 2010" a expliqué l'agriculteur au quotidien.
"Si je suis condamné, je viendrai à Paris pour m’enchaîner à la Dame de fer, je ferai une grève de la faim, et les gens qui m’apprécient m’apporteront de l’eau" a même menacé l'agriculteur vedette de M6.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/27/1696453-thierry-amour-est-pre-menace-faire-greve-faim.html
En effet, ce dernier est accusé d'avoir vendu un veau trop cher en trompant son acheteur sur sa qualité. D'après les déclarations de Thierry Olive dans Le Parisien ce mardi matin, "cette histoire est due à la jalousie de mon succès".
" Je suis convoqué demain à 9 heures devant le tribunal correctionnel de Coutances. C'est la suite d'une plainte, auprès du service de la répression des fraudes, d'un agriculteur à qui j'ai vendu un veau pour l'élevage en 2010" a expliqué l'agriculteur au quotidien.
"Si je suis condamné, je viendrai à Paris pour m’enchaîner à la Dame de fer, je ferai une grève de la faim, et les gens qui m’apprécient m’apporteront de l’eau" a même menacé l'agriculteur vedette de M6.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/27/1696453-thierry-amour-est-pre-menace-faire-greve-faim.html
L'Amour est dans le pré. Thierry au tribunal pour tromperie
Le candidat phare de la saison 7 de L’amour est dans le pré est convoqué au tribunal de Coutances ce mercredi pour tromperie. Ce dernier aurait trompé des agriculteurs sur l'origine de ses veaux. En effet, il est convoqué pour répondre de faits de "tromperie sur la nature, la qualité substancielle, l'origine ou la quantité d'une marchandise".
Cette histoire a débuté par une plainte d’un éleveur de Montaigu-les-Bois : En mai 2010, Thierry Olive m’a vendu un veau présenté comme un veau valorisé en viande alors qu’il s’agissait d’un animal laitier. » Une grande différence pour les agriculteurs puisque la valeur de l'animal à viande est bien plus grande. « Je me suis aperçu qu’il m’avait eu, mais bon, je n’ai pas cherché plus loin », a cependant expliqué cet agriculteur.
L'affaire aurait pu s'étouffer mais en 2012 on a demandé à ce dernier de mettre à jour le passeport de l’animal » : « J’ai alors évoqué mon problème et on m’a orienté vers la répression des fraudes » a-t-il ajouté.
Une enquête ouverte par la suite aurait montré que Thierry Olive, la « star » de l'émission aurait agi de la sorte pour seize veaux.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/26/1695785-amour-est-pre-thierry-tribunal-tromperie.html
Cette histoire a débuté par une plainte d’un éleveur de Montaigu-les-Bois : En mai 2010, Thierry Olive m’a vendu un veau présenté comme un veau valorisé en viande alors qu’il s’agissait d’un animal laitier. » Une grande différence pour les agriculteurs puisque la valeur de l'animal à viande est bien plus grande. « Je me suis aperçu qu’il m’avait eu, mais bon, je n’ai pas cherché plus loin », a cependant expliqué cet agriculteur.
L'affaire aurait pu s'étouffer mais en 2012 on a demandé à ce dernier de mettre à jour le passeport de l’animal » : « J’ai alors évoqué mon problème et on m’a orienté vers la répression des fraudes » a-t-il ajouté.
Une enquête ouverte par la suite aurait montré que Thierry Olive, la « star » de l'émission aurait agi de la sorte pour seize veaux.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/26/1695785-amour-est-pre-thierry-tribunal-tromperie.html
lundi 26 août 2013
Meurtre/Angoulême: le suspect mis en examen
L'individu suspecté d'avoir tué à bout portant samedi dans les rues d'un quartier sensible d'Angoulême un homme de 23 ans a été mis en examen pour assassinat lundi, a-t-on appris auprès du parquet. Déféré en début d'après-midi, le suspect, âgé de 24 ans, s'était rendu au commissariat après avoir tiré à deux reprises sur sa victime. Il devait être incarcéré après son passage dans la soirée devant le juge des libertés et de la détention.
Aucun mobile du crime n'a pour l'heure pu être avancé par le procureur de la République. "Comme durant sa garde à vue il n'a rien dit devant le juge. Il conteste les faits mais des éléments très concordants existent contre lui", a indiqué Patrice Camberou à un correspondant de l'AFP.
Le suspect, qui avait été admis le 4 août dans un hôpital psychiatrique avant de recevoir un avis favorable de sortie du médecin le 22 août, "bénéficiait d'une sortie probatoire" et "la procédure psychiatrique ne souffre d'aucune erreur", a souligné le procureur qui a indiqué que le suspect "suivait un traitement". "Il convient d'attendre une expertise psychiatrique pour éventuellement tirer des conséquences sur sa responsabilité ou sur son irresponsabilité pénale", a dit Patrice Camberou.
Les amis de la victime, Joachim Touvenot, ont annoncé organiser une marche blanche à son souvenir, vendredi. La victime avait été condamnée à neuf reprises dans des affaires de stupéfiants et de vols et son agresseur présumé à deux reprises pour outrages et rébellions.
Les faits se sont déroulés vers 13h30 quand des témoins ont vu la victime poursuivie dans la rue par son agresseur. Atteint au bras par un premier tir, la victime a tenté de trouver refuge dans une voiture mais le conducteur, effrayé, n'est pas resté sur place. Son agresseur l'a rattrapé et abattu d'un tir dans la tête.
Eysines (33) : un motard tué dans un accident
Le drame s’est déroulé dimanche vers 6 heures du matin, avenue du Médoc à Eysines, à proximité de la sortie 7 de la rocade bordelaise. La collision a coûté la vie à un jeune homme de 27 ans. Sa moto de grosse cylindrée, une Kawasaki 900 cm³, est entrée en collision avec une voiture Scenic qui arrivait en sens inverse.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le choc a été particulièrement violent. Le motard aurait été projeté à près de deux mètres de hauteur et se serait enroulé sur le mât d’un haut panneau de signalisation.
À quelques centaines de mètres, des amis qui suivaient la victime en voiture n’ont pas assisté au drame et ont seulement pu prévenir les secours. Premiers sur les lieux, les pompiers n’ont pas pu ranimer Rosuel Louemba, résidant à Mérignac, qui s’est éteint au bout de quelques minutes.
Délit de fuite
Selon des témoins, le chauffeur de la Scenic aurait effectué un bref arrêt, avant de revenir en arrière, puis de prendre la fuite. Activement recherché, il a finalement été interpellé par les policiers en début d’après-midi. Se sachant recherché, il aurait lui-même appelé le commissariat pour signifier son intention de se rendre. L’homme, résidant à Saint-Médard-en-Jalles et âgé de 27 ans, a été placé en garde à vue par les policiers pour homicide involontaire, délit de fuite et conduite malgré une invalidation de permis. Défavorablement connu pour de nombreuses infractions routières, il n’était, semble-t-il, plus autorisé à prendre le volant.
Toujours selon les premiers éléments de l’enquête, le choc frontal pourrait être dû à une vitesse excessive. Le conducteur de la voiture venait de doubler un autre véhicule et se serait à nouveau déporté de l’autre côté de la voie, peut-être pour tourner. Les examens toxicologiques et l’expertise des deux véhicules sont en cours.
http://www.sudouest.fr/2013/08/26/un-motard-tue-dans-un-accident-1150592-2868.php
Selon les premiers éléments de l’enquête, le choc a été particulièrement violent. Le motard aurait été projeté à près de deux mètres de hauteur et se serait enroulé sur le mât d’un haut panneau de signalisation.
À quelques centaines de mètres, des amis qui suivaient la victime en voiture n’ont pas assisté au drame et ont seulement pu prévenir les secours. Premiers sur les lieux, les pompiers n’ont pas pu ranimer Rosuel Louemba, résidant à Mérignac, qui s’est éteint au bout de quelques minutes.
Délit de fuite
Selon des témoins, le chauffeur de la Scenic aurait effectué un bref arrêt, avant de revenir en arrière, puis de prendre la fuite. Activement recherché, il a finalement été interpellé par les policiers en début d’après-midi. Se sachant recherché, il aurait lui-même appelé le commissariat pour signifier son intention de se rendre. L’homme, résidant à Saint-Médard-en-Jalles et âgé de 27 ans, a été placé en garde à vue par les policiers pour homicide involontaire, délit de fuite et conduite malgré une invalidation de permis. Défavorablement connu pour de nombreuses infractions routières, il n’était, semble-t-il, plus autorisé à prendre le volant.
Toujours selon les premiers éléments de l’enquête, le choc frontal pourrait être dû à une vitesse excessive. Le conducteur de la voiture venait de doubler un autre véhicule et se serait à nouveau déporté de l’autre côté de la voie, peut-être pour tourner. Les examens toxicologiques et l’expertise des deux véhicules sont en cours.
http://www.sudouest.fr/2013/08/26/un-motard-tue-dans-un-accident-1150592-2868.php
Blagnac. Vol à l'arraché : un couple de nonagénaires agressé
Un individu s’en est violemment pris à un couple de personnes âgées, hier après-midi, dans les rues de Blagnac. Alors que l’homme et la femme regagnaient à pied leur domicile après une sortie dominicale, une voiture s’est approchée d’eux.
Un homme s’en est alors pris à la dame et lui a arraché son sac à main avec force. Le mari qui se trouvait à ses côtés a été violemment poussé. Il a perdu l’équilibre et est tombé à terre. L’agresseur a ensuite pris la fuite et s’est évaporé dans la nature.
Dans sa chute, le nonagénaire a été blessé. Les secours sont intervenus sur place et il a été conduit à l’hôpital afin d’être soigné. Les services de police de la sûreté départementale ont ouvert une enquête afin de mettre la main sur le malfaiteur.
Cette agression vient allonger la liste des vols à l’arraché commis à l’encontre des personnes âgées et des femmes la semaine passée dans l’agglomération toulousaine (notre édition de samedi). Mercredi, une femme de 72 ans s’était fait arracher les deux colliers en or qu’elle portait autour du cou, du côté de la station de métro Mermoz. Le lendemain, deux autres femmes, cette fois âgées de 54 ans et 75 ans, avaient été victimes d’un arrachage de collier près du métro Argoulets.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/26/1695678-blagnac-vol-a-l-arrache-un-couple-de-nonagenaires-agresse.html
Un homme s’en est alors pris à la dame et lui a arraché son sac à main avec force. Le mari qui se trouvait à ses côtés a été violemment poussé. Il a perdu l’équilibre et est tombé à terre. L’agresseur a ensuite pris la fuite et s’est évaporé dans la nature.
Dans sa chute, le nonagénaire a été blessé. Les secours sont intervenus sur place et il a été conduit à l’hôpital afin d’être soigné. Les services de police de la sûreté départementale ont ouvert une enquête afin de mettre la main sur le malfaiteur.
Cette agression vient allonger la liste des vols à l’arraché commis à l’encontre des personnes âgées et des femmes la semaine passée dans l’agglomération toulousaine (notre édition de samedi). Mercredi, une femme de 72 ans s’était fait arracher les deux colliers en or qu’elle portait autour du cou, du côté de la station de métro Mermoz. Le lendemain, deux autres femmes, cette fois âgées de 54 ans et 75 ans, avaient été victimes d’un arrachage de collier près du métro Argoulets.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/26/1695678-blagnac-vol-a-l-arrache-un-couple-de-nonagenaires-agresse.html
Choc frontal à Pont-Trambouze: une personne décédée, deux blessés graves
Ce samedi soir, vers 22h50, le voisinage a été réveillé par un accident de la route sur la RD308, en sortie de bourg en direction de Cours la Ville. Deux véhicules se sont violemment percutés dans un choc frontal. Violent à tel point que les pompiers ont dû désincarcérer les occupants.
D’importants moyens ont été déployés pour venir au secours des trois victimes. L’intervention des pompiers et gendarmes a duré près de cinq heures. Dans l’une des voitures, deux septuagénaires habitant Le Cergne (Loire). La passagère est décédée, le conducteur a été gravement blessé.
Dans l’autre véhicule, un jeune homme de Montchal ( Loire) âgé de 20 ans. Gravement blessé lui aussi. Ils ont été transportés dans les centre hospitaliers de Lyon et Roanne. Les résultats des tests de dépistage de substances des deux conducteurs ne sont pas encore connus. Une vitesse excessive pourrait être en cause mais pour l’heure l’enquête est toujours en cours et devra déterminer les circonstances exactes de l’accident.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/08/25/pont-trambouze-choc-frontal-entre-deux-voitures-trois-blesses-dont-un-grave
D’importants moyens ont été déployés pour venir au secours des trois victimes. L’intervention des pompiers et gendarmes a duré près de cinq heures. Dans l’une des voitures, deux septuagénaires habitant Le Cergne (Loire). La passagère est décédée, le conducteur a été gravement blessé.
Dans l’autre véhicule, un jeune homme de Montchal ( Loire) âgé de 20 ans. Gravement blessé lui aussi. Ils ont été transportés dans les centre hospitaliers de Lyon et Roanne. Les résultats des tests de dépistage de substances des deux conducteurs ne sont pas encore connus. Une vitesse excessive pourrait être en cause mais pour l’heure l’enquête est toujours en cours et devra déterminer les circonstances exactes de l’accident.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/08/25/pont-trambouze-choc-frontal-entre-deux-voitures-trois-blesses-dont-un-grave
dimanche 25 août 2013
Meurtre d'un couple de retraités près d'Aubagne: le fils mis en examen
Un homme de 39 ans a été mis en examen dimanche pour "meurtre sur ascendants" dans le cadre de l'enquête sur la mort de ses parents retrouvés vendredi matin dans leur maison dans les Bouches-du-Rhône, tués par une arme de chasse.
Il s'agit d'une affaire pour "meurtre sur ascendants". Un homme, agé de 39 ans, a été mis en examen dimanche dans le cadre de l'enquête sur la mort de ses parents, tués par une arme de chasse. Le couple avait été retrouvé vendredi matin dans leur maison de Roquevaire, dans les Bouches-du-Rhône, selon le parquet de Marseille.
Le parquet, qui a requis le placement en détention provisoire, précise que l'homme nie avoir tué ses parents mais que ses déclarations sont "en contradiction" avec les éléments relevés sur la scène de crime.
Le couple de retraités, dont la femme était âgée de 60 ans et le mari de 78 ans, vivait avec son fils dans une maison à l'extérieur de Roquevaire, une petite ville de 8.500 habitants près d'Aubagne au pied des massifs de l'Etoile et de la Sainte-Baume. L'enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Marseille.
Pont Saint-Nicolas : disparition inquiétante d'un Nîmois de 19 ans
Une cinquantaine de gendarmes de la compagnie d'Alès, soutenus par la brigade cynophile de Bagnols-sur-Cèze, poursuivent leurs recherches ce dimanche pour retrouver un Nîmois de 19 ans disparu sur les bords du Gardon, près du Pont Saint-Nicolas, commune de Saint-Anastasie, depuis samedi soir.
Des gendarmes en patrouille dans le secteur sont tombés sur une voiture en panne occupée par un passager qui a signalé la disparition du Nîmois. Le disparu se serait rendu sur les berges du Gardon afin d'aller chercher de l'eau pour la voiture en panne, mais il n'est jamais remonté jusqu'à la route. Des plongeurs vont sonder le cours d'eau du Gardon ce dimanche après-midi.
http://www.midilibre.fr/2013/08/25/disparition-dun-nimois-de-19-ans,749025.php
Solignac-sur-Loire : un automobiliste percute un adolescent et prend la fuite
Vers 3h20 dans la nuit de samedi à dimanche, les sapeurs-pompiers sont intervenus dans le centre bourg de Solignac-sur-Loire. A la sortie du bal communal, un adolescent âgé de seize ans a été renversé par une voiture.
Le mineur, qui se plaignait de douleurs aux cervicales, a été évacué aux urgences du centre hospitalier Émile-Roux, au Puy-en-Velay. Le conducteur fautif ne s’est pas arrêté et a pris la fuite. Les gendarmes de la communauté de brigades de Costaros ont ouvert une enquête et vont tenter de retrouver l’automobiliste en cause.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/08/25/solignac-sur-loire-un-automobiliste-percute-un-adolescent-et-prend-la-fuite
Le mineur, qui se plaignait de douleurs aux cervicales, a été évacué aux urgences du centre hospitalier Émile-Roux, au Puy-en-Velay. Le conducteur fautif ne s’est pas arrêté et a pris la fuite. Les gendarmes de la communauté de brigades de Costaros ont ouvert une enquête et vont tenter de retrouver l’automobiliste en cause.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/08/25/solignac-sur-loire-un-automobiliste-percute-un-adolescent-et-prend-la-fuite
Alès : une femme blesse gravement un homme à l'arme blanche
L’altercation aurait pu tourner au drame, vendredi soir, sans l’intervention rapide des secours.
Il était aux environs de 22 heures vendredi soir lorsqu’une querelle de voisinage a éclaté entre des voisins du quartier de La Royale, pour une question de nuisances sonores, semble-t-il.
Un homme touché à l'abdomen
Le ton est rapidement monté entre les protagonistes. C’est alors que l’un d’eux, une femme de 42 ans, éméchée, a brandi un couteau, visant un homme d’une quarantaine d’années en face d’elle.
Ce dernier, a reçu plusieurs coups dans le haut de l’abdomen, avant de s’effondrer. Devant la gravité de ses blessures, et la victime ayant perdu beaucoup de sang, les secours l’ont transférée sur Montpellier.
21 jours d’interruption temporaire de travail ont été requis par le médecin intervenu sur place.
La femme en garde à vue
La femme auteur des coups de couteaux, déjà connue des services de la Justice, a été immédiatement placée en garde à vue. Cette garde à vue a été prolongée samedi après-midi par le procureur de la République d’Alès, Thierry Lescouarc’h.
Une enquête a été ouverte pour “violence avec arme en état d’ivresse” et confiée à la communauté de brigades de Salindres / Saint-Martin-de-Valgalgues.
http://www.midilibre.fr/2013/08/24/une-femme-blesse-gravement-un-homme-a-coups-de-couteaux,748850.php
Il était aux environs de 22 heures vendredi soir lorsqu’une querelle de voisinage a éclaté entre des voisins du quartier de La Royale, pour une question de nuisances sonores, semble-t-il.
Un homme touché à l'abdomen
Le ton est rapidement monté entre les protagonistes. C’est alors que l’un d’eux, une femme de 42 ans, éméchée, a brandi un couteau, visant un homme d’une quarantaine d’années en face d’elle.
Ce dernier, a reçu plusieurs coups dans le haut de l’abdomen, avant de s’effondrer. Devant la gravité de ses blessures, et la victime ayant perdu beaucoup de sang, les secours l’ont transférée sur Montpellier.
21 jours d’interruption temporaire de travail ont été requis par le médecin intervenu sur place.
La femme en garde à vue
La femme auteur des coups de couteaux, déjà connue des services de la Justice, a été immédiatement placée en garde à vue. Cette garde à vue a été prolongée samedi après-midi par le procureur de la République d’Alès, Thierry Lescouarc’h.
Une enquête a été ouverte pour “violence avec arme en état d’ivresse” et confiée à la communauté de brigades de Salindres / Saint-Martin-de-Valgalgues.
http://www.midilibre.fr/2013/08/24/une-femme-blesse-gravement-un-homme-a-coups-de-couteaux,748850.php
samedi 24 août 2013
Feu de forêt dans les Pyrénées-Orientales
Une centaine de pompiers étaient mobilisés ce soir avec l'appui de sept avions bombardiers d'eau pour lutter contre un feu de forêt parti en fin d'après-midi dans une zone isolée proche de Tautavel dans les Pyrénées-Orientales, a-t-on appris auprès des pompiers du département.
Peu avant 19h, l'incendie, qui touche une zone boisée et difficile d'accès, ne s'étendait encore que sur deux hectares, mais "le feu est virulent et stimulé par un fort vent", a indiqué un responsable du Centre opérationnel département incendie et secours (Codis). "C'est pourquoi nous avons décidé de frapper fort", a expliqué le responsable des pompiers.
Les pompiers du département ont reçu le renfort d'un groupe de leurs confrères de l'Aude tout proche et une vingtaine de véhicules luttent contre le feu. Deux avions trackers, quatre canadairs et avion Dash ont été engagés contre l'incendie
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/24/97001-20130824FILWWW00311-feu-de-foret-dans-les-pyrenees-orientales.php
Peu avant 19h, l'incendie, qui touche une zone boisée et difficile d'accès, ne s'étendait encore que sur deux hectares, mais "le feu est virulent et stimulé par un fort vent", a indiqué un responsable du Centre opérationnel département incendie et secours (Codis). "C'est pourquoi nous avons décidé de frapper fort", a expliqué le responsable des pompiers.
Les pompiers du département ont reçu le renfort d'un groupe de leurs confrères de l'Aude tout proche et une vingtaine de véhicules luttent contre le feu. Deux avions trackers, quatre canadairs et avion Dash ont été engagés contre l'incendie
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/24/97001-20130824FILWWW00311-feu-de-foret-dans-les-pyrenees-orientales.php
Incendie d'une maison de retraite : un appareil électrique serait en cause
L'incendie qui a causé la mort de trois résidents d'une maison de retraite vendredi soir en Isère est d'origine "accidentelle" et "très certainement" lié à un "appareil électrique", a indiqué samedi le parquet de Grenoble.
Alors qu'un incendie a fait trois morts vendredi soir dans une maison de retraite de la région de Grenoble, les causes du drame se précisent. "Un appareil électrique est très certainement en cause", a indiqué le parquet alors que le Dauphiné Libéré avançait "qu'un court-circuit sur un ventilateur est probablement à l'origine" du sinistre. "Ce peut être un ventilateur ou tout autre appareil électrique", a nuancé le parquet qui a ouvert une enquête. Vendredi vers 21H00, un incendie s'est déclaré dans la chambre d'une résidente d'une maison de retraite située en plein centre du village de La Terrasse à une trentaine de kilomètres de Grenoble.
Deux femmes de 96 et 100 ans sont décédées ainsi qu'un homme de 90 ans. Un homme de 76 ans, grièvement blessé, se trouvait également samedi entre la vie et la mort, avec un pronostic vital toujours engagé. Un important dispositif a été mobilisé pour porter secours aux 82 pensionnaires qui pour la plupart sont très âgés.
La ministre déléguée en charge des personnes âgées, Michèle Delaunay, a salué samedi à La Terrasse (Isère) la mobilisation du personnel, des secours et des habitants, lors de l'incendie.
Un militaire soissonnais tué, son sergent sous contrôle judiciaire
Un terrible accident a coûté la vie à un jeune soldat soissonnais de 26 ans, le caporal-chef Nicolas Sutter, mardi 20 août en fin de journée à sur le site militaire de Brienne-le-Château. Membre du 1er régiment d'infanterie de Sarrebourg, lui et le sergent Sébastien Almenara assuraient une mission de sécurisation au sein du service interarmées des munitions du site aubois depuis plusieurs jours. Des frères d'armes et des amis. Des militaires investis et estimés. Comme tant d'autres avant eux, Nicolas Sutter et Sébastien Almenara, assistés de leurs collègues, procèdent aux opérations de contrôle autour de la zone sensible du dépôt de munitions.
Le sergent Almenara conduit le véhicule léger tout terrain P4, le caporal-chef Sutter se trouve à ses côtés. Il est près de 18 heures lorsque l'alerte est donnée. Quelques minutes plus tôt, alors que le conducteur redémarre, Nicolas Sutter perd l'équilibre et chute lourdement sur la tête. À l'arrivée des secours, il gît, inconscient. Les sapeurs pompiers, relayés par une équipe du SAMU, prennent vite la mesure de la gravité de ses blessures. Ils tentent l'impossible pour le maintenir en vie. Mais alors qu'il est héliporté vers l'hôpital Robert-Debré de Reims, son état est jugé désespéré. Il décédera quelques heures plus tard. Il avait 26 ans. Les honneurs militaires lui seront rendus le 27 août à Sarrebourg, les obsèques auront lieu le lendemain à la cathédrale de Soissons.
Usage de stupéfiants pour le sergent
Sur place, le sergent Almenara se livre spontanément à sa hiérarchie. Soucieux d'assumer ses erreurs et ses responsabilités, il explique avoir consommé des produits stupéfiants moins de vingt-quatre heures avant l'accident. Depuis la fin de l'année 2012 et son retour d'Afghanistan, il avoue user régulièrement d'herbe de cannabis. Il n'ignore rien de l'infraction militaire mais il ne sait pas encore que son caporal-chef est mort. Sébastien Almenara est placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Bar-sur-Aube, sous l'autorité du procureur adjoint de Reims. Laurent De Caigny est particulièrement chargé des affaires militaires pour le ressort de la cour d'appel. Mercredi, une information judiciaire est ouverte. Face à un juge d'instruction compétent en matière militaire, le sergent Almenara est mis en examen des chefs « d'homicide involontaire par conducteur ayant fait usage de produits stupéfiants et violation de consigne donnée à la troupe ». Une infraction qui pourrait lui valoir jusqu'à deux années d'emprisonnement. Jusqu'au terme de son procès, il reste sous la surveillance de l'autorité militaire.
http://www.lunion.presse.fr/region/un-militaire-soissonnais-tue-son-sergent-sous-controle-jna3b26n183821
Le sergent Almenara conduit le véhicule léger tout terrain P4, le caporal-chef Sutter se trouve à ses côtés. Il est près de 18 heures lorsque l'alerte est donnée. Quelques minutes plus tôt, alors que le conducteur redémarre, Nicolas Sutter perd l'équilibre et chute lourdement sur la tête. À l'arrivée des secours, il gît, inconscient. Les sapeurs pompiers, relayés par une équipe du SAMU, prennent vite la mesure de la gravité de ses blessures. Ils tentent l'impossible pour le maintenir en vie. Mais alors qu'il est héliporté vers l'hôpital Robert-Debré de Reims, son état est jugé désespéré. Il décédera quelques heures plus tard. Il avait 26 ans. Les honneurs militaires lui seront rendus le 27 août à Sarrebourg, les obsèques auront lieu le lendemain à la cathédrale de Soissons.
Usage de stupéfiants pour le sergent
Sur place, le sergent Almenara se livre spontanément à sa hiérarchie. Soucieux d'assumer ses erreurs et ses responsabilités, il explique avoir consommé des produits stupéfiants moins de vingt-quatre heures avant l'accident. Depuis la fin de l'année 2012 et son retour d'Afghanistan, il avoue user régulièrement d'herbe de cannabis. Il n'ignore rien de l'infraction militaire mais il ne sait pas encore que son caporal-chef est mort. Sébastien Almenara est placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Bar-sur-Aube, sous l'autorité du procureur adjoint de Reims. Laurent De Caigny est particulièrement chargé des affaires militaires pour le ressort de la cour d'appel. Mercredi, une information judiciaire est ouverte. Face à un juge d'instruction compétent en matière militaire, le sergent Almenara est mis en examen des chefs « d'homicide involontaire par conducteur ayant fait usage de produits stupéfiants et violation de consigne donnée à la troupe ». Une infraction qui pourrait lui valoir jusqu'à deux années d'emprisonnement. Jusqu'au terme de son procès, il reste sous la surveillance de l'autorité militaire.
http://www.lunion.presse.fr/region/un-militaire-soissonnais-tue-son-sergent-sous-controle-jna3b26n183821
Foix. Six mois de prison pour des feux de poubelles
Nous évoquions des incendies de cartons d’emballage laissés par les commerçants fuxéens pour le ramassage habituel. Deux personnes avaient été interpellées et sont passées hier en comparution immédiate au tribunal de Foix. Il s’agit de deux jeunes gens : Rémi, un Fuxéen de 30 ans, 16 condamnations sur son casier, et Yohann, un Angevin de 36 ans, 15 condamnations. Au cours de la nuit de mercredi à jeudi se sont donc succédé des alertes à l’incendie pour les pompiers comme pour les policiers. Cinq au total. Finalement les deux hommes seront appréhendés dans le centre-ville. Ils sont dans un état d’ébriété très avancé. Rémi a un taux qui dépasse les deux grammes, et son compagnon ne vaut guère mieux. Devant le tribunal il dit ne pas avoir allumé le feu, mais il ne se souvient pas non plus d’avoir vu son camarade le faire. Trop soul sans doute. Yohann reconnaît avoir allumé deux feux. Le procureur Cozar s’énerve : «Ce sont deux imbéciles. Ce type d’incendie peut paraître banal mais ça pouvait déclencher une catastrophe. Ces petites têtes sont trop abîmées pour comprendre ça ! Les fêtes de Foix approchent, on ne peut pas les laisser dehors.» À l’adresse de Yohann : «Vous dites être un compagnon d’Emmaüs. Non, monsieur ! Les compagnons d’Emmaüs sont des gens respectables qui s’investissent !» Pour les deux il demande de la prison ferme. Me Fabbri le défenseur des deux hommes plaide le manque de preuves pour Rémi. Yohann revendique deux feux mais quid des trois autres ? Il montre des hommes qui n’ont pas la volonté de faire le mal. Rémi sera relaxé au bénéfice du doute, Mais Yohann écope de six mois de prison ferme.Il partira directement en prison à l’issue de l’audience .
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/24/1694855-six-mois-de-prison-pour-des-feux-de-poubelles.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/24/1694855-six-mois-de-prison-pour-des-feux-de-poubelles.html
L’escroc fait miroiter le Bayern Munich au beau-frère de sa victime
Le club est le plus titré du football européen, ses joueurs-stars y sont payés des millions d’euros par an… et il a pourtant réussi à faire croire à sa victime, un crédule habitant de Vienne passionné de ballon rond, qu’il avait assez de contacts pour y faire entrer son beau-frère.
Pour parvenir à berner tout ce beau monde, le Tunisien de 41 ans vivant en Allemagne, a fait valoir son soi-disant passé de joueur professionnel et promis une place de footballeur professionnel au Bayern Munich… Moyennant finances.
À plusieurs reprises, la victime viennoise a donné de l’argent, un peu, puis plus, pour préparer un « dossier d’entrée »… Quand il a eu dépensé la somme de 5 000 € et ne voyant rien venir, la victime a tenté de joindre son nouvel ami qui avait quitté le secteur de Vienne. Flairant enfin l’escroquerie, il déposait plainte en début d’année.
Selon les premiers éléments, l’escroc menait grand train. Si le quadragénaire a nié être l’auteur de cette escroquerie footballistique, de nombreux éléments ont en effet mis les enquêteurs sur d’autres affaires qui pourraient rapidement lui être reprochées.
À commencer par des filouteries d’hôtel, au préjudice d’une belle adresse lyonnaise pour 6 000 € d’ardoise, d’une chaîne hôtelière moins luxueuse à Givors pour 800 €. Au moyen de plusieurs cartes bancaires déclarées volées, trouvées en sa possession, l’homme se serait également offert des billets d’avion entre l’Allemagne et la France. Présenté devant la justice lyonnaise jeudi, l’homme a été écroué.
Une information judiciaire est ouverte. Outre les passionnés de football viennois
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/08/24/l-escroc-fait-miroiter-le-bayern-munich-au-beau-frere-de-sa-victime
Pour parvenir à berner tout ce beau monde, le Tunisien de 41 ans vivant en Allemagne, a fait valoir son soi-disant passé de joueur professionnel et promis une place de footballeur professionnel au Bayern Munich… Moyennant finances.
À plusieurs reprises, la victime viennoise a donné de l’argent, un peu, puis plus, pour préparer un « dossier d’entrée »… Quand il a eu dépensé la somme de 5 000 € et ne voyant rien venir, la victime a tenté de joindre son nouvel ami qui avait quitté le secteur de Vienne. Flairant enfin l’escroquerie, il déposait plainte en début d’année.
Présenté devant la justice, il a été écroué
Depuis lors, le beau parleur était recherché et c’est presque par hasard qu’il a été repéré à Givors, ce mardi 20 août. Immédiatement alertés, les policiers du commissariat local l’ont interpellé près de sa voiture, une grosse cylindrée obtenue, le soupçonne-t-on, par abus de faiblesse.Selon les premiers éléments, l’escroc menait grand train. Si le quadragénaire a nié être l’auteur de cette escroquerie footballistique, de nombreux éléments ont en effet mis les enquêteurs sur d’autres affaires qui pourraient rapidement lui être reprochées.
À commencer par des filouteries d’hôtel, au préjudice d’une belle adresse lyonnaise pour 6 000 € d’ardoise, d’une chaîne hôtelière moins luxueuse à Givors pour 800 €. Au moyen de plusieurs cartes bancaires déclarées volées, trouvées en sa possession, l’homme se serait également offert des billets d’avion entre l’Allemagne et la France. Présenté devant la justice lyonnaise jeudi, l’homme a été écroué.
Une information judiciaire est ouverte. Outre les passionnés de football viennois
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/08/24/l-escroc-fait-miroiter-le-bayern-munich-au-beau-frere-de-sa-victime
vendredi 23 août 2013
Nouvel accident de quad dans le Roannais : le conducteur dans un état critique
Un terrible accident s’est produit peu après midi, ce vendredi, à Saint-Marcel de Félines sur la RD 5 qui relie le village à Saint-Just-la-Pendue.
A hauteur du lieu-dit « Le Grand Pardon », un quad, qui débouchait sur la départementale, a été heurté par une Renault Modus qui se dirigeait vers Saint-Marcel-de-Félines.
Le quadiste et son véhicule ont été traînés sur une vingtaine de mètres. Grièvement blessé à la jambe droite, l’homme de 69 ans, habitant de la commune, a été héliporté vers le centre hospitalier de Saint-Etienne. Son pronostic vital est engagé.
Lui-aussi Félinois, le conducteur de la Renault Modus, un octogénaire, a été conduit à l’hôpital de Feurs, en état de choc. C’est le deuxième accident de quad dans le Roannais en quelques jours après le décès d’un quadiste la semaine passée au Crozet.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/08/23/nouvel-accident-de-quad-dans-le-roannais-le-conducteur-dans-un-etat-critique
A hauteur du lieu-dit « Le Grand Pardon », un quad, qui débouchait sur la départementale, a été heurté par une Renault Modus qui se dirigeait vers Saint-Marcel-de-Félines.
Le quadiste et son véhicule ont été traînés sur une vingtaine de mètres. Grièvement blessé à la jambe droite, l’homme de 69 ans, habitant de la commune, a été héliporté vers le centre hospitalier de Saint-Etienne. Son pronostic vital est engagé.
Lui-aussi Félinois, le conducteur de la Renault Modus, un octogénaire, a été conduit à l’hôpital de Feurs, en état de choc. C’est le deuxième accident de quad dans le Roannais en quelques jours après le décès d’un quadiste la semaine passée au Crozet.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/08/23/nouvel-accident-de-quad-dans-le-roannais-le-conducteur-dans-un-etat-critique
Trafic de drogue : l’enquête bordelaise se prolonge en Espagne
À la fin du mois de juillet, une quarantaine de personnes ont été interpellées, à Cadix et Malaga, dans le sud de l’Espagne par la Guardia Civil. Une tonne et demie de résine de cannabis, 30 000 euros en liquide, des armes, des véhicules, dont des motos et des bateaux, ont également été saisis.
Cette vaste opération s’inscrit dans la continuité d’une enquête qui avait été initiée à Bordeaux. Après une année d’enquête dans le cadre d’une commission rogatoire délivrée par le juge d’instruction bordelais Marie-Noëlle Billaud, la division criminelle de la direction interrégionale de la police judiciaire avait interpellé trois personnes et saisi 340 kilos de résine de cannabis le 24 mai dernier à Bordeaux. Le travail du juge d’instruction et des enquêteurs de la DIPJ avait mis en lumière l’existence d’un trafic à partir du Maroc et passant par l’Espagne, avec une distribution vers le Portugal et la France, Bordeaux, Nantes et Paris notamment.
Eurojust et Europol
La magistrate bordelaise avait alors sollicité les offices intergouvernementaux Eurojust (justice) et Europol (police) afin de favoriser le travail en collaboration et les échanges d’informations. Des réunions entre magistrats et policiers français et espagnols ont été organisées.
La Guardia Civil s’est ensuite saisie de la part du dossier concernant le territoire espagnol. Ce qui a amené à la série d’interpellations de ces dernières semaines. Les responsables marocains et espagnols de ce réseau interpellés par les policiers espagnols, dirigeaient une organisation qui acheminait la drogue depuis le Maroc jusqu’en Espagne.
De là, elle était stockée puis dirigées vers les différents points de diffusion mis en place, tant au Portugal qu’en France.
Un grand coup vient donc d’être porté à ce réseau de grande envergure à partir du travail accompli pendant de longs mois par les enquêteurs de la division criminelle de la DIPJ et qui les avaient conduits à procéder aux interpellations des représentants bordelais de cette organisation.
Le dossier ne semble cependant pas encore clos et des investigations se poursuivent, d’un côté comme de l’autre des Pyrénées
http://www.sudouest.fr/2013/08/23/l-enquete-bordelaise-se-prolonge-en-espagne-1148322-2780.php
Cette vaste opération s’inscrit dans la continuité d’une enquête qui avait été initiée à Bordeaux. Après une année d’enquête dans le cadre d’une commission rogatoire délivrée par le juge d’instruction bordelais Marie-Noëlle Billaud, la division criminelle de la direction interrégionale de la police judiciaire avait interpellé trois personnes et saisi 340 kilos de résine de cannabis le 24 mai dernier à Bordeaux. Le travail du juge d’instruction et des enquêteurs de la DIPJ avait mis en lumière l’existence d’un trafic à partir du Maroc et passant par l’Espagne, avec une distribution vers le Portugal et la France, Bordeaux, Nantes et Paris notamment.
Eurojust et Europol
La magistrate bordelaise avait alors sollicité les offices intergouvernementaux Eurojust (justice) et Europol (police) afin de favoriser le travail en collaboration et les échanges d’informations. Des réunions entre magistrats et policiers français et espagnols ont été organisées.
La Guardia Civil s’est ensuite saisie de la part du dossier concernant le territoire espagnol. Ce qui a amené à la série d’interpellations de ces dernières semaines. Les responsables marocains et espagnols de ce réseau interpellés par les policiers espagnols, dirigeaient une organisation qui acheminait la drogue depuis le Maroc jusqu’en Espagne.
De là, elle était stockée puis dirigées vers les différents points de diffusion mis en place, tant au Portugal qu’en France.
Un grand coup vient donc d’être porté à ce réseau de grande envergure à partir du travail accompli pendant de longs mois par les enquêteurs de la division criminelle de la DIPJ et qui les avaient conduits à procéder aux interpellations des représentants bordelais de cette organisation.
Le dossier ne semble cependant pas encore clos et des investigations se poursuivent, d’un côté comme de l’autre des Pyrénées
http://www.sudouest.fr/2013/08/23/l-enquete-bordelaise-se-prolonge-en-espagne-1148322-2780.php
Un immeuble de six étages s'effondre au centre-ville de Pontarlier
Ce jeudi, vers 16 h 15, une façade d’un immeuble de quatre étages s’est effondrée, au 24 rue de Besançon à Pontarlier, ne causant heureusement aucune victime.
La scène était impressionnante, quelques minutes après l’effondrement. Le nuage de poussière, engendré par la chute de cette façade et d’une partie des appartements, a entièrement recouvert les voitures garées dans les environs sur des dizaines de mètres.
« Quand j’ai entendu le bruit, j’ai tout de suite su que c’était le bâtiment d’en face », explique Hervé, témoin de la scène. « J’ai entendu un bruit sourd, ça a bien duré une bonne dizaine de secondes. » « J’ai d’abord vu du crépit s’effriter et puis toute la façade », ajoute Jeanne, également voisine.
Couverts de poussière, deux d’entre eux étaient encore sous le choc plusieurs heures après cet accident spectaculaire. « On était en train de travailler, et on a commencé à entendre la maison craquer », lâche José Da Costa.
À l’intérieur se trouvaient une femme seule, mais aussi une dame en fauteuil roulant, habitant au premier étage, sans ascenseur, du côté de l’effondrement. Elle était avec son fils à ce moment-là mais tous deux n’avaient rien remarqué. Tout s’est joué en quelques minutes puisque la façade s’est effondrée au moment même où ces derniers sortaient de l’immeuble, aidés par les ouvriers.
Le bâtiment comporte cinq logements, dont trois seulement sont actuellement occupés. Il s’agit d’une bâtisse ancienne, probablement du XIXe siècle, classée monument historique, qui abritait autrefois la distillerie Junod.
« Le président du tribunal administratif doit nommer un expert dans les 24 heures, lequel décidera ce qu’il adviendra de l’immeuble », explique la sous-préfète Laura Reynaud, présente sur place.
Les moyens techniques mis en œuvre ont été nombreux. La sécurisation de l’électricité et du gaz de l’immeuble a été rapide. La section sauvetage-déblaiement des pompiers de Besançon a également été mobilisée. Un maître-chien est arrivé de Montbéliard pour constater que personne n’était pris dans les gravats.
Pour l’heure, la rue reste bloquée et un système de gardiennage a été mis en place pour éloigner les plus curieux.
Beaucoup d’interrogations demeuraient hier soir. La question de la responsabilité des ouvriers présents sur place, qui opéraient à côté de la bâtisse, se pose forcément. Celle de la fragilité d’un immeuble encore chancelant hier soir, aussi.
http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/08/22/un-immeuble-de-six-etages-s-effondre-au
La scène était impressionnante, quelques minutes après l’effondrement. Le nuage de poussière, engendré par la chute de cette façade et d’une partie des appartements, a entièrement recouvert les voitures garées dans les environs sur des dizaines de mètres.
« Quand j’ai entendu le bruit, j’ai tout de suite su que c’était le bâtiment d’en face », explique Hervé, témoin de la scène. « J’ai entendu un bruit sourd, ça a bien duré une bonne dizaine de secondes. » « J’ai d’abord vu du crépit s’effriter et puis toute la façade », ajoute Jeanne, également voisine.
Évacués par les ouvriers
Trois personnes se trouvaient dans le bâtiment et ont été évacuées juste avant les faits. Ce sont trois ouvriers qui ont constaté les premiers signes de l’effondrement alors qu’ils effectuaient des travaux de terrassement à côté de l’immeuble. Ils ont alors quitté le chantier, sécurisé la route puis sont allés évacuer l’immeuble.Couverts de poussière, deux d’entre eux étaient encore sous le choc plusieurs heures après cet accident spectaculaire. « On était en train de travailler, et on a commencé à entendre la maison craquer », lâche José Da Costa.
À l’intérieur se trouvaient une femme seule, mais aussi une dame en fauteuil roulant, habitant au premier étage, sans ascenseur, du côté de l’effondrement. Elle était avec son fils à ce moment-là mais tous deux n’avaient rien remarqué. Tout s’est joué en quelques minutes puisque la façade s’est effondrée au moment même où ces derniers sortaient de l’immeuble, aidés par les ouvriers.
Le bâtiment comporte cinq logements, dont trois seulement sont actuellement occupés. Il s’agit d’une bâtisse ancienne, probablement du XIXe siècle, classée monument historique, qui abritait autrefois la distillerie Junod.
« Le président du tribunal administratif doit nommer un expert dans les 24 heures, lequel décidera ce qu’il adviendra de l’immeuble », explique la sous-préfète Laura Reynaud, présente sur place.
Les moyens techniques mis en œuvre ont été nombreux. La sécurisation de l’électricité et du gaz de l’immeuble a été rapide. La section sauvetage-déblaiement des pompiers de Besançon a également été mobilisée. Un maître-chien est arrivé de Montbéliard pour constater que personne n’était pris dans les gravats.
Pour l’heure, la rue reste bloquée et un système de gardiennage a été mis en place pour éloigner les plus curieux.
Beaucoup d’interrogations demeuraient hier soir. La question de la responsabilité des ouvriers présents sur place, qui opéraient à côté de la bâtisse, se pose forcément. Celle de la fragilité d’un immeuble encore chancelant hier soir, aussi.
http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/08/22/un-immeuble-de-six-etages-s-effondre-au
Colliers en or arrachés en pleine rue
L’or attise toujours autant la convoitise des voleurs. Une septuagénaire en a fait les frais, mercredi soir, dans le quartier du grand Mirail à Toulouse. Il était aux environs de 18 heures et elle venait de stationner son véhicule à proximité du métro Mermoz. Lorsqu’elle a ouvert sa portière et a commencé à sortir, un individu a fondu sur elle. Très rapidement, il lui a arraché les deux colliers en or qu’elle portait autour du cou. Il a pris la fuite en courant accompagné d’un deuxième homme.
La victime, une femme âgée de 72 ans n’a pas été blessée mais a été très choquée par cette agression en plein jour. Elle a porté plainte. Une enquête a été ouverte par les services de police.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/23/1694386-colliers-en-or-arraches-en-pleine-rue.html
La victime, une femme âgée de 72 ans n’a pas été blessée mais a été très choquée par cette agression en plein jour. Elle a porté plainte. Une enquête a été ouverte par les services de police.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/23/1694386-colliers-en-or-arraches-en-pleine-rue.html
Mort suspecte d'un enfant à Béziers : le rapport qui accable les parents
Les résultats du pré-rapport du médecin légiste ont été communiqués aux enquêteurs jeudi après-midi. Elle indiquent que l'enfant décédé mercredi portait des traces multiples de brûlures, morsures et fractures.
Mercredi matin, un enfant âgé de 2 ans et demi a été transporté dans un état critique à l'hôpital de Béziers. Il n'a pas survécu. Une autopsie doit être pratiquée vendredi matin. Les enquêteurs ont demandé qu'un premier rapport médical soit communiqué le plus rapidement possible.
Des traces de coups sur tout le corps
Ce rapport fait état de traces de morsures, de fractures et probablement de brûlures. L'enfant avait une plaie profonde à la tempe gauche et souffrait d'une fracture au tibia. L'ensemble de son corps portait des traces de coups.
Mercredi matin, la maman du garçon était partie travailler en grande surface vers 5 h. Une heure plus tard, son compagnon l'a appelée lui indiquant que l'enfant n'allait pas bien. Les pompiers ont décidé de prévenir les policiers à leur arrivée dans l'appartement familiale de l'avenue Gambetta.
http://www.midilibre.fr/2013/08/22/beziers-de-multiples-traces-de-violences-sur-l-enfant-decede-mercredi,748185.php
Mercredi matin, un enfant âgé de 2 ans et demi a été transporté dans un état critique à l'hôpital de Béziers. Il n'a pas survécu. Une autopsie doit être pratiquée vendredi matin. Les enquêteurs ont demandé qu'un premier rapport médical soit communiqué le plus rapidement possible.
Des traces de coups sur tout le corps
Ce rapport fait état de traces de morsures, de fractures et probablement de brûlures. L'enfant avait une plaie profonde à la tempe gauche et souffrait d'une fracture au tibia. L'ensemble de son corps portait des traces de coups.
Mercredi matin, la maman du garçon était partie travailler en grande surface vers 5 h. Une heure plus tard, son compagnon l'a appelée lui indiquant que l'enfant n'allait pas bien. Les pompiers ont décidé de prévenir les policiers à leur arrivée dans l'appartement familiale de l'avenue Gambetta.
http://www.midilibre.fr/2013/08/22/beziers-de-multiples-traces-de-violences-sur-l-enfant-decede-mercredi,748185.php
jeudi 22 août 2013
A 13 ans, il tente de braquer une pharmacie et une voiture
Un garçon de 13 ans a été placé sous contrôle judiciaire jeudi pour vol avec violence après avoir tenté, muni d'un pistolet factice, de braquer une pharmacie et une voiture.
Il était muni d'un pistolet factice. Un garçon de 13 ans a été placé sous contrôle judiciaire jeudi pour vol avec violence après avoir tenté de braquer une pharmacie et une voiture, a indiqué le parquet de Strasbourg. Il "va être poursuivi pour vol avec violence. Sans antécédent, il a été placé sous contrôle judiciaire", selon le parquet des mineurs.
Lundi, cet habitant du Blanc-Ménil en Seine-Saint-Denis, en vacances en Alsace, avait fait irruption dans une pharmacie à Ostwald, dans la banlieue de Strasbourg, armé d'un faux pistolet, pour réclamer la caisse. La pharmacienne lui ayant signalé que la caisse était vide, il avait alors pris la fuite.
Une première tentative d'agression sur une automobiliste
Mercredi, à quelques mètres de là, le jeune garçon avait fait une autre tentative en menaçant cette fois, toujours avec la même arme, une automobiliste à travers la vitre de sa voiture, à qui il avait intimé l'ordre de quitter son véhicule. Repéré par la pharmacienne qu'il avait attaquée deux jours plus tôt, il avait une nouvelle fois pris la fuite à l'arrivée du mari de la pharmacienne.
La police l'a interpellé mercredi et placé en garde à vue. Lors de son audition, il a reconnu les faits, précisant qu'il n'avait pas voulu voler la voiture, mais seulement le sac de la conductrice. Originaire de la banlieue parisienne, il sera pris en charge par le juge pour enfants de Bobigny.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/a-13-ans-il-tente-de-braquer-une-pharmacie-et-une-voiture-8251397.html
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/a-13-ans-il-tente-de-braquer-une-pharmacie-et-une-voiture-8251397.html
Nîmes : il avait incendié la maison de son ex,10 ans de prison
Jeudi 22 août, peu après 13 h 30, l'incendiaire a été condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes à 10 ans de prison pour une affaire d'incendie volontaire commis en mars 2012.
Le jeune homme avait agi sur fond de séparation avec sa compagne. Il a écopé du maximum encouru pour avoir mis le feu à la maison de son ex alors qu'elle se trouvait à l'intérieur de la bâtisse avec ses deux enfants.
Tous ont échappé au pire car la mère avait eu une insomnie et s'était rendue compte que le domicile était en feu. Durant tous les débats, Andrew Sanchez, 27 ans, est resté totalement silencieux comme lors du prononcé du jugement et lors de son transfert vers la maison d'arrêt.
http://www.midilibre.fr/2013/08/22/nimes-il-avait-incendie-la-maison-de-son-ex-10-ans-de-prison,748080.php
Le jeune homme avait agi sur fond de séparation avec sa compagne. Il a écopé du maximum encouru pour avoir mis le feu à la maison de son ex alors qu'elle se trouvait à l'intérieur de la bâtisse avec ses deux enfants.
Tous ont échappé au pire car la mère avait eu une insomnie et s'était rendue compte que le domicile était en feu. Durant tous les débats, Andrew Sanchez, 27 ans, est resté totalement silencieux comme lors du prononcé du jugement et lors de son transfert vers la maison d'arrêt.
http://www.midilibre.fr/2013/08/22/nimes-il-avait-incendie-la-maison-de-son-ex-10-ans-de-prison,748080.php
FERTE-MILON (02). Un important incendie ravage l'Endiverie du Valois
Un important incendie s'est déclaré Vers 22 h 30 ce mercredi à l'endiverie du Valois, à la Ferté-Milon, dans le sud de l'Aisne. Vers 23 h 30, quatre bâtiments étaient entièrement embrasés et le toit menacé de s'écrouler.
Les 54 sapeurs-pompiers présents sur place au plus fort de l'incendie ont réussi a contenir le feu et éviter sa propagation aux autres bâtiments. 2000 m2 seraient sinistrés sur un total de 8200 m2.
D'importants moyens ont été dépêchés sur place : "tous les centres de secours du Sud de l'Aisne sont mobilisés sur ce feu", indique le service d'incendie et de secours de l'Aisne. Ce matin 30 sapeurs-pompiers sont encore sur place pour s'assurer qu'il n'y ait aucune reprise de feu
Les dégâts sont considérables, mais il n'y aurait pas de blessé.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour tenter de déterminer les circonstances de cet incendie.
http://www.lunion.presse.fr/region/region-en-direct
Les 54 sapeurs-pompiers présents sur place au plus fort de l'incendie ont réussi a contenir le feu et éviter sa propagation aux autres bâtiments. 2000 m2 seraient sinistrés sur un total de 8200 m2.
D'importants moyens ont été dépêchés sur place : "tous les centres de secours du Sud de l'Aisne sont mobilisés sur ce feu", indique le service d'incendie et de secours de l'Aisne. Ce matin 30 sapeurs-pompiers sont encore sur place pour s'assurer qu'il n'y ait aucune reprise de feu
Les dégâts sont considérables, mais il n'y aurait pas de blessé.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour tenter de déterminer les circonstances de cet incendie.
http://www.lunion.presse.fr/region/region-en-direct
Plusieurs hectares brûlés sur le site protégé de la Pointe du Raz
Un incendie a détruit plusieurs hectares de végétation du site protégé de la Pointe du Raz, dans le Finistère, dans la nuit de mercredi à jeudi. Le feu de lande a été causé par un feu d'artifice.
C'est un feu d'artifice qui est à l'origine de l'incendie. Plusieurs hectares de la Pointe du Raz, dans le Finistère, sont partis en fumée dans la nuit de mercredi à jeudi. "La dernière fusée a dévié de sa trajectoire à cause du vent et a enflammé la lande", a expliqué Maurice Lemaitre, le maire de la commune de Plogoff, où est situé la pointe.
"Le site protégé étant dense et difficile d'accès, l'incendie s'était déjà étendu avant que les pompiers arrivent", a-t-il précisé, ajoutant que des fonctionnaires se trouvaient toujours sur place jeudi matin. La soixantaine de pompiers mobilisés dès 23h45 n'ont pu maîtriser les flammes qu'aux environs de 2h45 du matin.
Deux à cinq hectares brûlés
"Treize véhicules de sapeurs-pompiers étaient sur place pour éteindre le feu, qui a détruit entre quatre et cinq hectares de végétation du site", a évalué le capitaine de gendarmerie du Finistère, précisant qu'aucun blessé ni autre dégât matériel n'était à déplorer.
Les pompiers ont confirmé le chiffre de quatre hectares brûlés sur le site protégé, qui constitue l'extrémité ouest de la France continentale. Le maire de Plogoff, lui, a déclaré que seulement "deux à trois hectares" avaient été "noircis" par les flammes.
Le feu d'artifice, supervisé seulement par des artificiers, clôturait un concert du chanteur breton Gérard Jaffrès, organisé sur le site naturel par l'Association des commerçants de la Pointe du Raz.
"Le site protégé étant dense et difficile d'accès, l'incendie s'était déjà étendu avant que les pompiers arrivent", a-t-il précisé, ajoutant que des fonctionnaires se trouvaient toujours sur place jeudi matin. La soixantaine de pompiers mobilisés dès 23h45 n'ont pu maîtriser les flammes qu'aux environs de 2h45 du matin.
Deux à cinq hectares brûlés
"Treize véhicules de sapeurs-pompiers étaient sur place pour éteindre le feu, qui a détruit entre quatre et cinq hectares de végétation du site", a évalué le capitaine de gendarmerie du Finistère, précisant qu'aucun blessé ni autre dégât matériel n'était à déplorer.
Les pompiers ont confirmé le chiffre de quatre hectares brûlés sur le site protégé, qui constitue l'extrémité ouest de la France continentale. Le maire de Plogoff, lui, a déclaré que seulement "deux à trois hectares" avaient été "noircis" par les flammes.
Le feu d'artifice, supervisé seulement par des artificiers, clôturait un concert du chanteur breton Gérard Jaffrès, organisé sur le site naturel par l'Association des commerçants de la Pointe du Raz.
La Tour du Pin : un tragique accident de bûcheronnage
C’est en ne voyant pas revenir pour le déjeuner ce sexagénaire, parti couper du bois en milieu de matinée, que ses proches se sont inquiétés et ont fait la terrible découverte. Mardi, peu avant 13 heures, les services de secours ont été alertés de la découverte d’un corps sur le secteur du lieu-dit Le Mont, situé sur la commune de Bizonnes.
Selon nos informations, la victime a été retrouvée étendue, présentant une plaie très profonde au mollet gauche. Malheureusement, il était trop tard pour le ramener à la vie. Les circonstances exactes de l’accident restent à déterminer, mais il est fort probable qu’en plein bûcheronnage, la tronçonneuse ait échappé à ce Bizonnois âgé de 72 ans, lui infligeant la blessure mortelle.
La gendarmerie et les pompiers se sont déplacés, ainsi que le maire de la commune. Les militaires du Grand-Lemps, avec l’aide de ceux de la brigade de recherches de La Tour-du-Pin, sont chargés de préciser les faits ayant conduit à cet accident. Le procureur de la République de Bourgoin-Jallieu n’a pas demandé d’autopsie.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2013/08/21/un-tragique-accident-de-bucheronnage
Selon nos informations, la victime a été retrouvée étendue, présentant une plaie très profonde au mollet gauche. Malheureusement, il était trop tard pour le ramener à la vie. Les circonstances exactes de l’accident restent à déterminer, mais il est fort probable qu’en plein bûcheronnage, la tronçonneuse ait échappé à ce Bizonnois âgé de 72 ans, lui infligeant la blessure mortelle.
La gendarmerie et les pompiers se sont déplacés, ainsi que le maire de la commune. Les militaires du Grand-Lemps, avec l’aide de ceux de la brigade de recherches de La Tour-du-Pin, sont chargés de préciser les faits ayant conduit à cet accident. Le procureur de la République de Bourgoin-Jallieu n’a pas demandé d’autopsie.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2013/08/21/un-tragique-accident-de-bucheronnage
mercredi 21 août 2013
Meurtre d'Alexandre Junca : "Nous avons besoin de connaître la vérité
Pour la deuxième fois depuis son incarcération en avril, Claude Ducos, l’un des quatre principaux mis en examen dans l’enquête sur le meurtre d’Alexandre Junca, a saisi la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Pau, demandant sa remise en liberté. La requête du chasseur de 74 ans, suspecté d’avoir aidé son amant, Mickaël Baehrel, à faire disparaître le corps de l’adolescent, retrouvé dans le gave, découpé en morceaux, quatre mois après sa disparition en juin 2011, était examinée hier. Philippe Junca, le père du défunt, ainsi que des oncles et tantes du collégien, également parties civiles, ont fait le déplacement.
Claude Ducos, lui, n’a pas été extrait de sa cellule, ni entendu par visioconférence, mais représenté par l’un de ses avocats, Me Bousquet. Lequel a insisté sur l’âge avancé de son client, la virginité de son casier judiciaire et les dénégations du septuagénaire, qui assure n’avoir participé ni au meurtre, ni à la découpe du corps. Si les différentes investigations menées à son domicile n’ont rien donné, l’analyse de l’activité de son téléphone portable laisse toutefois apparaître de nombreux éléments troublants, rappelés par l’avocat général Dominique Jéol. Comme ces 21 échanges avec Mickaël Baehrel entre les soirs du 4 et 5 juin, moment de la disparition du collégien, ou encore le 17 juin, jour désigné par Baehrel comme étant celui de la dépose du corps dans la rivière, et le 26 juin, celui de la découverte d’un fémur dans le gave.
« En garde à vue, Ducos reconnaît que Baehrel ne l’appelait jamais le soir ou la nuit car il savait qu’il ne répond pas à ces moments-là. Quand on lui demande s’il n’a pas trouvé cela bizarre, il répond qu’il pense que Baehrel a tué quelqu’un et a besoin d’une voiture pour transporter le corps. Il précise même : « Je pense au pire des services : découper un gosse et le mettre dans des sacs. » Étrange supposition ! », s’étrangle Dominique Jéol, qui requiert le maintien en détention.
Comme le magistrat, les parties civiles sont convaincues que le chasseur ne dit pas tout ce qu’il sait. « Il a eu 22 mois pour tout dissimuler avant d’être arrêté », souligne Me Chauvelier, avocate d’oncles et tantes du défunt. « Si Claude Ducos n’est intervenu qu’après, comme il le laisse sous-entendre, qu’il parle et se défende », insiste Me Mazza, le conseil de la mère et du beau-père du collégien. « Pourquoi se tait-il et ne donne-t-il pas la vérité aux parents d’Alexandre ? », enchaîne Me Leverbe, qui défend Philippe Junca.
À l’issue de l’audience, le père du collégien confie sa souffrance. « C’est très difficile. Nous sommes toujours dans l’attente de réponses, dans l’attente de la vérité. Nous savons que cela sera très douloureux, mais nous avons besoin de savoir ce qu’ils ont fait à notre enfant. »
La chambre de l’instruction dira jeudi si elle suit ou non la demande de libération avec placement sous contrôle judiciaire de Claude Ducos. Le retraité a d’ores et déjà à nouveau rendez-vous avec cette juridiction, le 17 septembre : ce jour-là, elle examinera l’appel qu’il a formulé contre sa mise en examen pour « assassinat de mineur accompagné ou suivi d’actes de torture et de barbarie ».
Claude Ducos demande une requalification en non-dénonciation de crime, un délit. Fatima Ennajah est sur la même ligne : sa requête sera étudiée le même jour.
http://www.sudouest.fr/2013/08/21/nous-avons-besoin-de-connaitre-la-verite-1146563-4344.php
Claude Ducos, lui, n’a pas été extrait de sa cellule, ni entendu par visioconférence, mais représenté par l’un de ses avocats, Me Bousquet. Lequel a insisté sur l’âge avancé de son client, la virginité de son casier judiciaire et les dénégations du septuagénaire, qui assure n’avoir participé ni au meurtre, ni à la découpe du corps. Si les différentes investigations menées à son domicile n’ont rien donné, l’analyse de l’activité de son téléphone portable laisse toutefois apparaître de nombreux éléments troublants, rappelés par l’avocat général Dominique Jéol. Comme ces 21 échanges avec Mickaël Baehrel entre les soirs du 4 et 5 juin, moment de la disparition du collégien, ou encore le 17 juin, jour désigné par Baehrel comme étant celui de la dépose du corps dans la rivière, et le 26 juin, celui de la découverte d’un fémur dans le gave.
« En garde à vue, Ducos reconnaît que Baehrel ne l’appelait jamais le soir ou la nuit car il savait qu’il ne répond pas à ces moments-là. Quand on lui demande s’il n’a pas trouvé cela bizarre, il répond qu’il pense que Baehrel a tué quelqu’un et a besoin d’une voiture pour transporter le corps. Il précise même : « Je pense au pire des services : découper un gosse et le mettre dans des sacs. » Étrange supposition ! », s’étrangle Dominique Jéol, qui requiert le maintien en détention.
Comme le magistrat, les parties civiles sont convaincues que le chasseur ne dit pas tout ce qu’il sait. « Il a eu 22 mois pour tout dissimuler avant d’être arrêté », souligne Me Chauvelier, avocate d’oncles et tantes du défunt. « Si Claude Ducos n’est intervenu qu’après, comme il le laisse sous-entendre, qu’il parle et se défende », insiste Me Mazza, le conseil de la mère et du beau-père du collégien. « Pourquoi se tait-il et ne donne-t-il pas la vérité aux parents d’Alexandre ? », enchaîne Me Leverbe, qui défend Philippe Junca.
À l’issue de l’audience, le père du collégien confie sa souffrance. « C’est très difficile. Nous sommes toujours dans l’attente de réponses, dans l’attente de la vérité. Nous savons que cela sera très douloureux, mais nous avons besoin de savoir ce qu’ils ont fait à notre enfant. »
La chambre de l’instruction dira jeudi si elle suit ou non la demande de libération avec placement sous contrôle judiciaire de Claude Ducos. Le retraité a d’ores et déjà à nouveau rendez-vous avec cette juridiction, le 17 septembre : ce jour-là, elle examinera l’appel qu’il a formulé contre sa mise en examen pour « assassinat de mineur accompagné ou suivi d’actes de torture et de barbarie ».
Claude Ducos demande une requalification en non-dénonciation de crime, un délit. Fatima Ennajah est sur la même ligne : sa requête sera étudiée le même jour.
http://www.sudouest.fr/2013/08/21/nous-avons-besoin-de-connaitre-la-verite-1146563-4344.php
Haute-Savoie : un homme sauve six personnes des flammes
Un homme a sauvé six personnes d'un incendie dans la nuit de lundi à mardi, selon une information de RTL. Il n'a pas hésité à entrer dans l'immeuble pour tenter de réveiller les habitants et les évacuer.
En Haute-Savoie, Sylvain Pech, un jeune chef d'entreprise, a sauvé la vie de six personnes prises au piège dans un incendie, rapporte la radio RTL. Dans la nuit de lundi à mardi un feu s'est déclaré dans un immeuble de quatre étages. Son entreprise de pompes funèbres étant à côté de l'immeuble, Sylvain Pech s'est immédiatement rendu sur les lieux vers 1h du matin.
En arrivant sur place, le jeune homme a tenté de prévenir les habitants de l'immeuble de l'incendie. "Il fallait intervenir très, très vite, parce que les gens à 1h du matin sont dans leur premier sommeil, et donc très durs à réveiller", a-t-il confié à RTL.
Deux personnes seulement ont entendu le jeune homme et sont sorties immédiatement. Il n'a ensuite pas hésité à rentrer dans l'immeuble en feu pour faire sortir les personnes restantes. "Je suis monté au plus haut pour casser des portes, pour faire sortir des gens" explique-t-il à la radio.
Au total, Sylvain Pech a évacué six personnes des flammes, dont des personnes âgées qu'il a dû porter dans la rue. Et lorsqu'on parle de lui comme un "héros" il préfère relativiser en affirmant que "des héros, il y en a tous les jours. On ne regarde pas la dangerosité, on n'y pense pas" ajoute-t-il.
Thézac. Une montgolfière tombe sur une ligne moyenne tension
Ce mardi matin, une montgolfière a atterri en catastrophe dans un champ de Thézac vers 9 heures.
En effet; la montgolfière, qui perdait de l'altitude,a percuté une ligne moyenne tension de 20 000 volts. Ce câble a alors été coupé et la montgolfière a dû atterrir en urgence.
La commune voisine de Masquières, alimentée par cette ligne, est donc privée de courant depuis l'accident.
Par chance, les trois occupants de l'engin sont indemnes.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/20/1692555-thezac-une-montgolfiere-tombe-sur-une-ligne-moyenne-tension.html
En effet; la montgolfière, qui perdait de l'altitude,a percuté une ligne moyenne tension de 20 000 volts. Ce câble a alors été coupé et la montgolfière a dû atterrir en urgence.
La commune voisine de Masquières, alimentée par cette ligne, est donc privée de courant depuis l'accident.
Par chance, les trois occupants de l'engin sont indemnes.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/20/1692555-thezac-une-montgolfiere-tombe-sur-une-ligne-moyenne-tension.html
mardi 20 août 2013
Mutinerie à Blois: la famille du détenu décédé veut des explications
La famille du détenu de 24 ans dont le décès a été à l'origine d'une mutinerie à la prison de Blois lundi exige que toute la lumière soit faite sur les circonstances de sa mort, a annoncé mardi son avocate.
La famille du jeune détenu dont le décès a provoqué lundi une mutinerie à la prison de Blois exige des explications. "La famille souhaite que toute la lumière soit faite sur les circonstances obscures et suspectes de ce décès, d'autant que le jeune Mounir n'avait que 24 ans, qu'il était sportif et ne présentait aucun problème de santé", a déclaré à
l'AFP Me Samia Maktouf, avocate de la famille de Mounir Belhoussine.
l'AFP Me Samia Maktouf, avocate de la famille de Mounir Belhoussine.
Lundi matin, une soixantaine de détenus de la maison d'arrêt de Blois a refusé de réintégrer les cellules après avoir appris la mort du jeune homme. "Ce détenu est décédé de mort naturelle, mais ils contestent le diagnostic", expliquait à MYTF1News David Daems, secrétaire national FO-Pénitentiaire. Selon les médecins, Mounir serait décédé à la suite d'une rupture d'anévrisme.
Plainte pour homicide volontaire ?
Pour la famille du détenu, seule l'enquête peut réellement expliquer ce qu'il s'est produit. "Nous attendons de recevoir les résultats de l'autopsie ainsi que ceux des enquêtes en cours. Dès que nous en aurons pris connaissance, la famille de la victime se réserve le droit de déposer plainte pour homicide involontaire", a averti l'avocate.
La préfecture du Loir-et-Cher a souligné que ces violences se déroulaient alors que le taux d'occupation de l'établissement atteint 140%. Rappelant que le jeune Mounir devait être libéré dans quelques mois après avoir été condamné pour conduite sans permis, Me Maktouf a estimé que son décès "relance le débat sur l'incarcération pour ce genre de motifs".
Une voiture plonge dans l’Audeux : un blessé grave
Lundi, à 19 h 02, un automobiliste venant du centre d’Orsans et se dirigeant vers la Grâce-Dieu, après avoir mordu l’accotement à proximité de l’église, a tenté de redresser les roues de sa voiture. Cette dernière a défoncé le parapet du pont qui surplombe l’Audeux et plongé d’une hauteur de plusieurs mètres dans l’eau de la rivière qui traverse le village.
Un témoin a aussitôt prévenu les secours et des jeunes ont porté secours au conducteur qui était immergé la tête dans l’eau. Le Dr Thura, puis les médecins du SAMU ont ensuite pris en charge le blessé, un octogénaire, André Vittot, domicilié à Chaux-lès-Passavant. Les sapeurs-pompiers des centres de Vercel et Valdahon ont procédé à la désincarcération du blessé qui a été transporté à l’hôpital de Besançon à l’aide de l’hélicoptère Dragon 25. Les gendarmes de la brigade de gendarmerie de Valdahon étaient sur place pour les constatations d’usage et régler la circulation au centre du village.
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/08/20/une-voiture-plonge-dans-l-audeux-un-blesse-grave
Un témoin a aussitôt prévenu les secours et des jeunes ont porté secours au conducteur qui était immergé la tête dans l’eau. Le Dr Thura, puis les médecins du SAMU ont ensuite pris en charge le blessé, un octogénaire, André Vittot, domicilié à Chaux-lès-Passavant. Les sapeurs-pompiers des centres de Vercel et Valdahon ont procédé à la désincarcération du blessé qui a été transporté à l’hôpital de Besançon à l’aide de l’hélicoptère Dragon 25. Les gendarmes de la brigade de gendarmerie de Valdahon étaient sur place pour les constatations d’usage et régler la circulation au centre du village.
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/08/20/une-voiture-plonge-dans-l-audeux-un-blesse-grave
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