Vendredi soir un retraité de 65 ans a été mis en examen pour homicide volontaire. Sous l'emprise de l'alcool il aurait poignardé une femme à 61 reprises.
L'homme était placé en garde-à-vue depuis jeudi. Il a été mis en examen vendredi soir et écroué. Ce retraité de 65 ans est soupçonné d'avoir tué à l'arme blanche une Lorientaise de 64 ans. Il lui aurait asséné 61 coups de couteau.
Selon le parquet de Lorient, l'homme n'a pas de souvenir de ce qu'il s'est passé. La nuit du meurtre, il s'est présenté lui-même à l'hôtel de police en expliquant qu'il avait tué un homme.
Un couteau de cuisine a été découvert au domicile du sexagénaire. Il s'agit de l'arme du crime. Avant son placement en garde-à-vue l'homme avait 2.68 g d'alcool par litre de sang.
http://bretagne.france3.fr/2014/05/31/lorient-un-homme-mis-en-examen-pour-le-meurtre-d-une-femme-poignardee-61-fois-488287.html
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
samedi 31 mai 2014
Bagarre générale à la fête de Labastide-Saint-Pierre : cinq suspects interpellés
nuit du 3 août 2013 à Labastide-Saint-Pierre avait pris des allures (toutes proportions gardées) de nuit du 4 août… 1 789. L'été dernier dans le chef-lieu de canton de la rive gauche du Tarn, la fête locale avait viré à l'aigre sur le coup de minuit, une bagarre générale semant la terreur sur la place du village alors qu'une foule encore dense déroulait une soirée agréable. Des coups, des dégradations, des insultes dont le maire avait d'ailleurs été le cible… bref une zizanie violente et inextricable que les gendarmes venus de Grisolles, Montech, Nègrepelisse mais aussi du Psig et de l'EDSR 82 placés sous le commandement du capitaine Vergne, avaient eu le plus grand mal à juguler. Ce n'est que vers 3 heures du matin que le calme revenait au village. Quatre personnes légèrement blessées avaient été prises en charge par les secours. Dans la foulée, le maire, dépité, avait mis un terme définitif aux festivités de l'été.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/31/1891534-nuit-du-3-aout-2013-cinq-suspects-interpelles.html
Interpellés à Labastide, Fronton, Garganvillar et Castelnau-d'Estrétefonds, ils seront convoqués au tribunal en octobre prochain
Dans le sillage de cette nuit de violence, les militaires de la compagnie de Montauban et notamment ceux de la COB de Grisolles ne sont pas restés inactifs. Les principaux suspects impliqués appartenant à la communauté des gens du voyage ont cependant donné du fil à retordre aux gendarmes avant d'être identifiés et localisés. L'enquête a finalement abouti mercredi dernier, les militaires grisollais et leurs collègues du Psig interpellant de bon matin cinq personnes dont quatre membres d'une même fratrie dont le père semble être le point de départ de la rixe après avoir reçu un coup lors de cette soirée du 3 août 2013. C'est donc à Labastide, Castelnau-d'Estrétefonds, Fronton et Garganvillar que les auteurs présumés de cette bagarre furent simultanément interpellés il y a trois jours, tous âgés d'une vingtaine d'années à l'exception d'un mineur âgé de moins de 18 ans au moment des faits. Tous ont été entendus par les enquêteurs, dont trois sous le régime de la garde à vue. Sur ordre du parquet, les suspects (à l'exception du mineur qui sera convoqué chez le juge des enfants le 10 juillet) seront donc convoqués le 10 octobre prochain devant le tribunal correctionnel de Montauban où ils devront répondre d'outrages sur personne dépositaire de l'autorité publique (en l'espèce le maire), violences en réunion et dégradationshttp://www.ladepeche.fr/article/2014/05/31/1891534-nuit-du-3-aout-2013-cinq-suspects-interpelles.html
vendredi 30 mai 2014
Les octogénaires mettent leurs braqueurs en fuite, à Lucé (28)
Un couple d'octogénaires a été attaqué en pleine nuit à son domicile de Lucé (28). Deux individus cagoulés, entrés par effraction dans le pavillon, les ont menacé pour obtenir leurs économies. Le retraité a pu actionner son bracelet d'alarme pour personnes âgées, mettant les braqueurs en fuite.
La nuit de jeudi à vendredi, un couple d'octogénaires de Lucé (28) a été braqué dans sa chambre à coucher par deux individus cagoulés, relatent nos confrères de Radio Intensité. Entrés par effraction dans le pavillon, les deux malfaiteurs voulaient se faire remettre les économies des retraités. L'octogénaire a pu utiliser son alarme bracelet. Les braqueurs ont alors pris la fuite, après avoir aspergé le couple de gaz lacrimogène. Choqués, les deux retraités n'ont toutefois pas été blessés
http://centre.france3.fr/2014/05/30/les-octogenaires-mettent-leurs-braqueurs-en-fuite-luce-487785.html
La nuit de jeudi à vendredi, un couple d'octogénaires de Lucé (28) a été braqué dans sa chambre à coucher par deux individus cagoulés, relatent nos confrères de Radio Intensité. Entrés par effraction dans le pavillon, les deux malfaiteurs voulaient se faire remettre les économies des retraités. L'octogénaire a pu utiliser son alarme bracelet. Les braqueurs ont alors pris la fuite, après avoir aspergé le couple de gaz lacrimogène. Choqués, les deux retraités n'ont toutefois pas été blessés
http://centre.france3.fr/2014/05/30/les-octogenaires-mettent-leurs-braqueurs-en-fuite-luce-487785.html
Bercloux (17) : le corps d'un homme retrouvé au fond d'un puits
Jeudi, vers 18h30, le corps d'un homme a été découvert au fond d'un puits à eau, sur sa propriété de Bercloux, commune située à proximité de Saint-Hilaire-de-Villefranche.
Les secours spécialisés, des plongeurs du Grimp (Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux), sont intervenus pour remonter le corps aux côtés d'une vingtaine de sapeurs-pompiers de Charente-Maritime.
L'affaire a été confiée à la gendarmerie de Saint-Jean-d'Angély, présente sur les lieux.
Une autopsie doit être pratiquée ce vendredi après-midi afin d'en savoir plus sur les circonstances du décès. L'homme, âgé de 44 ans, était dépressif. La thèse du suicide est donc étudiée.
http://www.sudouest.fr/2014/05/30/bercloux-17-un-corps-retrouve-au-fond-d-un-puits-1570925-1391.php
Les secours spécialisés, des plongeurs du Grimp (Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux), sont intervenus pour remonter le corps aux côtés d'une vingtaine de sapeurs-pompiers de Charente-Maritime.
L'affaire a été confiée à la gendarmerie de Saint-Jean-d'Angély, présente sur les lieux.
Une autopsie doit être pratiquée ce vendredi après-midi afin d'en savoir plus sur les circonstances du décès. L'homme, âgé de 44 ans, était dépressif. La thèse du suicide est donc étudiée.
http://www.sudouest.fr/2014/05/30/bercloux-17-un-corps-retrouve-au-fond-d-un-puits-1570925-1391.php
Castres. Il avait transformé la maison en champ de cannabis
Interpellé le 1er octobre 2012, un Mazamétain de 28 ans vient d'être condamné à six mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pour s'être rendu coupable de détention, transport et usage illicites de stupéfiants. Le jeune homme avait en effet transformé la maison d'un complice en véritable champ de culture de cannabis. La façon dont les policiers ont découvert le pot aux roses est pour le moins rocambolesque.
Dans la soirée du 1er octobre 2012, un jeune homme appelle au secours un de ses amis. Il est en effet l'objet d'une visite peu amicale de la part de trois individus désirant entrer chez lui afin de s'emparer des plants de cannabis qu'il cultive à son domicile. Mais son potentiel sauveur n'est pas le seul à être informé de la scène qui se déroule. Les policiers mazamétains sont ainsi rapidement sur les lieux afin, pensent-ils, de mettre un terme à une querelle.
Leur surprise sera de taille lorsqu'ils pénétreront dans la maison transformée en partie en serre. Parvenant à identifier un homme qui prend la fuite par les toits après s'être emparé de plusieurs sacs, dont un contenant du cannabis, ils l'interpelleront le lendemain. Il s'agit du fameux ami appelé à la rescousse. Ce dernier s'avérera finalement être le «cocultivateur» du propriétaire des lieux où seront retrouvés une douzaine de pieds de cannabis s'inscrivant dans un petit commerce ayant visiblement déjà permis de dégager un bénéfice de 3 000 €. Si son complice, plus impliqué que lui dans la revente, a écopé de douze mois de prison, le fuyard a quant à lui été condamné, lors d'une autre audience, à six mois avec sursis et mise à l'épreuve. Le tribunal a tenu compte de son total changement de mode de vie et des efforts qu'il a consentis pour s'intégrer dans la société depuis les faits.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/30/1890566-castres-il-avait-transforme-la-maison-en-champ.html
Dans la soirée du 1er octobre 2012, un jeune homme appelle au secours un de ses amis. Il est en effet l'objet d'une visite peu amicale de la part de trois individus désirant entrer chez lui afin de s'emparer des plants de cannabis qu'il cultive à son domicile. Mais son potentiel sauveur n'est pas le seul à être informé de la scène qui se déroule. Les policiers mazamétains sont ainsi rapidement sur les lieux afin, pensent-ils, de mettre un terme à une querelle.
Leur surprise sera de taille lorsqu'ils pénétreront dans la maison transformée en partie en serre. Parvenant à identifier un homme qui prend la fuite par les toits après s'être emparé de plusieurs sacs, dont un contenant du cannabis, ils l'interpelleront le lendemain. Il s'agit du fameux ami appelé à la rescousse. Ce dernier s'avérera finalement être le «cocultivateur» du propriétaire des lieux où seront retrouvés une douzaine de pieds de cannabis s'inscrivant dans un petit commerce ayant visiblement déjà permis de dégager un bénéfice de 3 000 €. Si son complice, plus impliqué que lui dans la revente, a écopé de douze mois de prison, le fuyard a quant à lui été condamné, lors d'une autre audience, à six mois avec sursis et mise à l'épreuve. Le tribunal a tenu compte de son total changement de mode de vie et des efforts qu'il a consentis pour s'intégrer dans la société depuis les faits.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/30/1890566-castres-il-avait-transforme-la-maison-en-champ.html
Le conducteur s’endort sur la RN4 : trois blessés
Hier, un accident s’est produit sur la RN4, à13h45 vers Ancerville.
Une voiture avec à son bord trois personnes et circulant en direction de Saint-Dizier a percuté la glissière de sécurité et effectué plusieurs tonneaux avant de terminer sa course sur le toit, entre la voie de droite et la bande d’arrêt d’urgence. Le conducteur, originaire de Colmar se serait assoupi au volant.
Les trois personnes, un couple d’une quarantaine d’années et un enfant, étaient légèrement blessées. Ils ont été transportés à l’hôpital de Bar-le-Duc par les pompiers d’Ancerville, de Cousance et de Ligny-en-Barrois. Les gendarmes étaient également présents.
http://www.estrepublicain.fr/meuse/2014/05/30/le-conducteur-s-endort-sur-la-rn4-trois-blesses
Une voiture avec à son bord trois personnes et circulant en direction de Saint-Dizier a percuté la glissière de sécurité et effectué plusieurs tonneaux avant de terminer sa course sur le toit, entre la voie de droite et la bande d’arrêt d’urgence. Le conducteur, originaire de Colmar se serait assoupi au volant.
Les trois personnes, un couple d’une quarantaine d’années et un enfant, étaient légèrement blessées. Ils ont été transportés à l’hôpital de Bar-le-Duc par les pompiers d’Ancerville, de Cousance et de Ligny-en-Barrois. Les gendarmes étaient également présents.
http://www.estrepublicain.fr/meuse/2014/05/30/le-conducteur-s-endort-sur-la-rn4-trois-blesses
jeudi 29 mai 2014
Accident à Leuhan : trois blessés graves, un blessé léger
Vers 3h ce jeudi matin, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule à Leuhan dans le Finistère. Bilan : trois blessés graves, un blessé léger.
La voiture a effectué plusieurs tonneaux. Ce jeudi matin à Leuhan dans le Finistère, au lieu-dit Kergreiz, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore inconnue.
L’accident a été particulièrement violent. Une personne a été éjectée, les autres sont restés prisonniers de la voiture. Les victimes sont âgées de 25, 27, 28 et 35 ans.
Trois passagers sont grièvement blessés. Deux d’entre eux ont été transportés par Hélicoptère à Brest, un autre a été emmené en ambulance à Quimper. Le quatrième homme, légèrement blessé, a été conduit à Carhaix.
http://bretagne.france3.fr/2014/05/29/accident-leuhan-trois-blesses-graves-un-blesse-leger-487247.html
La voiture a effectué plusieurs tonneaux. Ce jeudi matin à Leuhan dans le Finistère, au lieu-dit Kergreiz, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore inconnue.
L’accident a été particulièrement violent. Une personne a été éjectée, les autres sont restés prisonniers de la voiture. Les victimes sont âgées de 25, 27, 28 et 35 ans.
Trois passagers sont grièvement blessés. Deux d’entre eux ont été transportés par Hélicoptère à Brest, un autre a été emmené en ambulance à Quimper. Le quatrième homme, légèrement blessé, a été conduit à Carhaix.
http://bretagne.france3.fr/2014/05/29/accident-leuhan-trois-blesses-graves-un-blesse-leger-487247.html
Faits divers à Angers. Un bébé de 22 jours frappé par sa mère
Une femme âgée de 21 ans, habitant Angers, va être déférée cet après-midi pour violence sur un mineur de moins de 15 ans. En l'occurrence son fils né voilà vingt-deux jours.
Quand les policiers angevins se sont rendus, sur réquisition du parquet, au domicile de cette femme pour placer cet enfant, ils ont constaté qu'il portait des traces de coup.
Il a de suite été transporté au CHU d'Angers.
Le fils va subir des examens pour voir s'il a des séquelles.
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-angers-un-bebe-de-22-mois-frappe-par-sa-mere-2576859
Il a de suite été transporté au CHU d'Angers.
Des claques quand il pleurait
Selon nos informations, la mère aurait reconnu au médecin et ensuite aux policiers qu'elle lui donnait des claques dès lors où il pleurait.Le fils va subir des examens pour voir s'il a des séquelles.
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-angers-un-bebe-de-22-mois-frappe-par-sa-mere-2576859
mercredi 28 mai 2014
77:la jeune fugueuse est rentrée chez elle
Fiona, la collégienne de 13 ans disparue depuis le 15 mai a été retrouvée saine et sauve selon une information du Pays Briard. Elle a rejoint sa mère hier dans l'après-midi.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/28/97001-20140528FILWWW00088-77la-jeune-fugueuse-est-rentree-chez-elle.php
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/28/97001-20140528FILWWW00088-77la-jeune-fugueuse-est-rentree-chez-elle.php
mardi 27 mai 2014
La Rochelle : Patrick Mallet retrouvé mort
Le corps du Rochelais disparu depuis le vendredi 16 mai a été découvert ce lundi au cours d'une battue organisée par des proches
Le corps de Patrick Mallet a été retrouvé ce lundi après-midi à La Rochelle, dans un fossé au bord de la voie ferrée, tout près du boulevard Joffre et de l'entrée des urgences de l'hôpital de La Rochelle, où ce Rochelais de 60 ans, handicapé, avait été conduit le vendredi 16 mai, à 20 heures, un peu plus de deux heures avant qu'il n'en sorte seul.
Les recherches des policiers n'ayant pas donné de résultats, les proches de l'ancien médecin du sport installé près du canal de Rompsay avaient décidé d'organiser ce lundi une battue aux alentours de l'hôpital de La Rochelle. Elle a mobilisé une quarantaine de personnes.
C'est ainsi que le corps sans vie a été découvert. Il ne portait pas de traces de blessure apparentes. Son corps a été transporté à l'institut médico-légal de Poitiers pour subir une autopsie.
http://www.sudouest.fr/2014/05/26/la-rochelle-patrick-mallet-retrouve-mort-1566929-1391.php
Le corps de Patrick Mallet a été retrouvé ce lundi après-midi à La Rochelle, dans un fossé au bord de la voie ferrée, tout près du boulevard Joffre et de l'entrée des urgences de l'hôpital de La Rochelle, où ce Rochelais de 60 ans, handicapé, avait été conduit le vendredi 16 mai, à 20 heures, un peu plus de deux heures avant qu'il n'en sorte seul.
Les recherches des policiers n'ayant pas donné de résultats, les proches de l'ancien médecin du sport installé près du canal de Rompsay avaient décidé d'organiser ce lundi une battue aux alentours de l'hôpital de La Rochelle. Elle a mobilisé une quarantaine de personnes.
C'est ainsi que le corps sans vie a été découvert. Il ne portait pas de traces de blessure apparentes. Son corps a été transporté à l'institut médico-légal de Poitiers pour subir une autopsie.
http://www.sudouest.fr/2014/05/26/la-rochelle-patrick-mallet-retrouve-mort-1566929-1391.php
Muret. Un bar PMU et une pizzeria détruits par un incendie
Un incendie a ravagé un bar PMU et une pizzeria la nuit dernière dans le centre-ville de Muret. Une personne a été hospitalisée et six autres sont au chômage technique.
Pour une raison encore inconnue, le sinistre s'est déclaré vers 3 heures ce mardi matin au bar PMU Le Disque bleu, situé place de la République. Les flammes se sont ensuite propagées à la pizzeria attenante et aux logements situés au-dessus. Les pompiers sont intervenus et ont évacué plusieurs habitants, dont une personne qui a dû être hospitalisée, afin de continuer à bénéficier d'une assistance respiratoire. Ils sont toujours sur place avec une équipe spécialisée, les bâtiments menaçant de s'effondrer. Les deux salariés du bar et les quatre de la pizzeria sont au chômage technique.
Pour une raison encore inconnue, le sinistre s'est déclaré vers 3 heures ce mardi matin au bar PMU Le Disque bleu, situé place de la République. Les flammes se sont ensuite propagées à la pizzeria attenante et aux logements situés au-dessus. Les pompiers sont intervenus et ont évacué plusieurs habitants, dont une personne qui a dû être hospitalisée, afin de continuer à bénéficier d'une assistance respiratoire. Ils sont toujours sur place avec une équipe spécialisée, les bâtiments menaçant de s'effondrer. Les deux salariés du bar et les quatre de la pizzeria sont au chômage technique.
L’épouse détruit une voiture avec une hache
La jalousie peut parfois faire perdre tout entendement. À la barre du tribunal, cette habitante du plateau de Maîche (Doubs), 58 ans, n’en mène pas large.
Le 8 avril dernier, la prévenue, sans emploi, supporte mal la séparation récente d’avec son époux. Elle pense que « son homme » a rencontré une autre femme. Son impression se fonde sur un PV reçu par son mari au début de l’année alors qu’il circulait dans l’Yonne.. La femme le surveille, le traque, imagine le pire : son mari refait sa vie avec cette Bourguignonne. Et quand elle aperçoit une Mini Cooper en face du nouvel appartement de son époux au centre de Maîche, immatriculée dans l’Yonne, son sang ne fait qu’un tour. Elle est persuadée qu’il s’agit du véhicule de sa rivale. Sous l’effet de l’alcool, l’épouse abandonnée sort un couteau et une hache et s’acharne sur la voiture de la «maîtresse». Sauf que la voiture n'a rien à voir dans l'histoire...
http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/05/26/l-epouse-detruit-une-voiture-avec-une-hache
Le 8 avril dernier, la prévenue, sans emploi, supporte mal la séparation récente d’avec son époux. Elle pense que « son homme » a rencontré une autre femme. Son impression se fonde sur un PV reçu par son mari au début de l’année alors qu’il circulait dans l’Yonne.. La femme le surveille, le traque, imagine le pire : son mari refait sa vie avec cette Bourguignonne. Et quand elle aperçoit une Mini Cooper en face du nouvel appartement de son époux au centre de Maîche, immatriculée dans l’Yonne, son sang ne fait qu’un tour. Elle est persuadée qu’il s’agit du véhicule de sa rivale. Sous l’effet de l’alcool, l’épouse abandonnée sort un couteau et une hache et s’acharne sur la voiture de la «maîtresse». Sauf que la voiture n'a rien à voir dans l'histoire...
http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/05/26/l-epouse-detruit-une-voiture-avec-une-hache
lundi 26 mai 2014
Haute-Loire. Saut en parachute depuis le viaduc de Pont-Salomon : un blessé grave
Un jeune homme de 24 ans a été grièvement blessé, dimanche soir, après un saut en base-jump du viaduc de Pont-Salomon au cours duquel son parachute s’est mis en torche.
L’avarie est survenue à une dizaine de mètres du sol, dimanche vers 19h55. Sérieusement blessé (notamment au bassin), le jeune homme a été médicalisé par le Samu 42 et évacué sur l’hôpital Nord de Saint-Etienne.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/05/26/saut-en-parachute-depuis-le-viaduc-de-pont-salomon-un-blesse-grave
L’avarie est survenue à une dizaine de mètres du sol, dimanche vers 19h55. Sérieusement blessé (notamment au bassin), le jeune homme a été médicalisé par le Samu 42 et évacué sur l’hôpital Nord de Saint-Etienne.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/05/26/saut-en-parachute-depuis-le-viaduc-de-pont-salomon-un-blesse-grave
Montbéliard : spectaculaire collision sur le pont Ludwigsbourg
Ce matin, vers 9 h 30, un drame a été évité de peu à Montbéliard. Un automobiliste, à bord d'une Peugeot, circulait sur le pont du Ludwigsbourg quand il s'est déporté sur la gauche. Il a tapé de plein fouet un véhicule utilitaire qui arrivait en sens inverse. " La camionnette (ndlr : plomberie, chauffage) transportait de l'oxygène et de l'acétylène, des gaz inflammables. Une explosion aurait pu se produire", explique un pompier. Les deux véhicules sont détruits. Par miracle, l'occupant de la 206 qui serait âgé d'une cinquantaine d'années et le conducteur du fourgon,32 ans, ne sont que légèrement blessés. Ils ont été conduits à l'hôpital. La circulation est toujours percuté sur cette portion de 2 fois deux voies réduites à deux
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/26/montbeliard-spectaculaire-collision-sur-le-pont-ludwigsbourg
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/26/montbeliard-spectaculaire-collision-sur-le-pont-ludwigsbourg
Haute-Loire. Un motard de 75 ans se blesse dans le Brivadois
Dimanche après-midi aux environs de 16 h 35, les sapeurs-pompiers sont intervenus sur une portion de route de la D4, commune de Saint-Privat-du-Dragon, où un motard âgé de 75 ans, et seul sur sa machine, venait de chuter dans des circonstances indéterminées. Légèrement blessé, il a été pris en charge et évacué sur l’hôpital de Brioude.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/05/26/un-motard-septuagenaire-se-blesse-dans-le-brivadois
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/05/26/un-motard-septuagenaire-se-blesse-dans-le-brivadois
Un homme blessé par balle près de Marseille
Un jeune homme de 21 ans a été blessé par balles dimanche soir à Septèmes-les-Vallons (Bouches-du-Rhône), commune limitrophe du nord de Marseille, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Présenté comme un délinquant "multicartes" connu des services de police pour différents délits, il a été atteint par une arme de petit calibre à la gorge et au menton. Son pronostic vital n'est pas engagé, selon la même source. Entendu à l'hôpital par les policiers, il est resté flou sur les circonstances et le mobile de cette agression.
Il explique avoir été pris pour cible par deux tireurs en moto alors qu'il rentrait d'un repas chez sa famille d'accueil, dans un endroit isolé de la commune.
La police judiciaire a été chargée de l'enquête. Depuis le début de l'année, dix règlements de comptes ont été enregistrés dans le département des Bouches-du-Rhône, dont six à Marseille. Le dernier en date s'était précisément déroulé à Septèmes-les-Vallons. Le 1er mai, un homme de 22 ans, Jérôme Fuentes, avait été retrouvé mort, tué de deux projectiles de calibre 9 dans la tête, dans une voiture sur un parking en contrebas d'une cité.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/26/97001-20140526FILWWW00036-un-homme-blesse-par-balle-pres-de-marseille.php
Présenté comme un délinquant "multicartes" connu des services de police pour différents délits, il a été atteint par une arme de petit calibre à la gorge et au menton. Son pronostic vital n'est pas engagé, selon la même source. Entendu à l'hôpital par les policiers, il est resté flou sur les circonstances et le mobile de cette agression.
Il explique avoir été pris pour cible par deux tireurs en moto alors qu'il rentrait d'un repas chez sa famille d'accueil, dans un endroit isolé de la commune.
La police judiciaire a été chargée de l'enquête. Depuis le début de l'année, dix règlements de comptes ont été enregistrés dans le département des Bouches-du-Rhône, dont six à Marseille. Le dernier en date s'était précisément déroulé à Septèmes-les-Vallons. Le 1er mai, un homme de 22 ans, Jérôme Fuentes, avait été retrouvé mort, tué de deux projectiles de calibre 9 dans la tête, dans une voiture sur un parking en contrebas d'une cité.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/26/97001-20140526FILWWW00036-un-homme-blesse-par-balle-pres-de-marseille.php
dimanche 25 mai 2014
Charente-Maritime : deux personnes grièvement blessées dans une collision
Trois personnes ont été blessées dont deux grièvement, dans une collision impliquant trois voitures, dimanche matin à 8h20. l'accident s'est produit sur la RN 150 entre Médis au Saujon. Deux personnes en sont sorties indemnes
On ignore encore les circonstances de l'accident qui a entraîné la fermeture de la route dans les deux sens (sans toutefois qu'une déviation ait été mise en place, du moins dans le sens Royan-Saintes).
Les pompiers de Royan ont dû découper les tôles de deux des véhicules pour en extraire les deux personnes les plus sérieusement atteintes.
L'hélicoptère Dragon 17 a transporté l'un des blessés vers l'hôpital de Poitiers. On ne connaît pas la nature des blessures, il semblerait toutefois que son pronostic vital ne soit pas engagé. Les deux autres victimes ont été dirigées vers le centre hospitalier de Royan.
http://www.sudouest.fr/2014/05/25/charente-maritime-deux-personnes-grievement-blessees-dans-une-collision-1565685-1444.php
On ignore encore les circonstances de l'accident qui a entraîné la fermeture de la route dans les deux sens (sans toutefois qu'une déviation ait été mise en place, du moins dans le sens Royan-Saintes).
Les pompiers de Royan ont dû découper les tôles de deux des véhicules pour en extraire les deux personnes les plus sérieusement atteintes.
L'hélicoptère Dragon 17 a transporté l'un des blessés vers l'hôpital de Poitiers. On ne connaît pas la nature des blessures, il semblerait toutefois que son pronostic vital ne soit pas engagé. Les deux autres victimes ont été dirigées vers le centre hospitalier de Royan.
http://www.sudouest.fr/2014/05/25/charente-maritime-deux-personnes-grievement-blessees-dans-une-collision-1565685-1444.php
Ivre et sans permis, il vient chercher son copain au...commissariat !
Des policiers en patrouille rue de Cugnaux, dans le secteur Saint-Cyprien à Toulouse, ont repéré un véhicule qui a brusquement tourné à leur vue. Ils ont contrôlé le conducteur qui était en état d'ivresse. Ils ont donc immobilisé la voiture et conduit cet homme de 32 ans au commissariat. Un peu plus tard, une amie de ce dernier et un garçon de 31 ans sont venus le chercher afin de le ramener chez lui. Mais les policiers se sont vite aperçus que le conducteur était ivre lui aussi. Cerise sur le gâteau, il ne possède pas le permis de conduire.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/25/1888032-ivre-permis-vient-chercher-copain-commissariat.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/25/1888032-ivre-permis-vient-chercher-copain-commissariat.html
Drame à Brest : état toujours critique pour la mère
La mère qui, mercredi après-midi, avait blessé son fils avec un couteau puis retourné l'arme contre elle dans un appartement du centre-ville de Brest (O.-F. d'hier) est « toujours dans un état critique », indiquait le parquet, hier soir. « Elle avait depuis peu des problèmes psychologiques qui n'étaient pas pris en charge. On est dans un contexte de grande fragilité », selon la vice-procureure Isabelle Johanny. « Cette femme de 36 ans ne travaillait pas mais n'était pas isolée. » Elle était séparée du père de l'enfant mais avait un compagnon. Le garçon, âgé de 14 ans, blessé à l'épaule, est toujours hospitalisé. Il a subi une courte intervention, mais « son état n'inspire pas d'inquiétude ». Il sera entendu très rapidement par la police. Les enquêteurs vont aussi auditionner son père et son beau-père
http://www.ouest-france.fr/bretagne#from-breadcrumb
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samedi 24 mai 2014
A Grenoble, un agresseur en série qui vise les dames âgées
Le premier a eu lieu il y a un mois. Depuis, la police a relevé 17 vols d'une rare violence sur des dames très âgées, dans leur hall d'immeuble. Mercredi 21 et jeudi 22 mai, trois nouvelles personnes ont été victimes de ce qui semble être un même agresseur. Un homme plutôt jeune, et mince.
Tout aurait débuté le 1er avril, une triste farce. De mémoire d'enquêteur de la Sûreté départementale, on rencontre rarement des agressions avec une telle force physique envers des personnes âgées. D'après les policiers, d'ordinaire les voleurs feraient preuve "d'un minimum de respect". Une violence démesurée au regard des faibles larcins, de petites sommes en liquide dans les porte-monnaies.
C'est cette brutalité quasi gratuite qui a d'abord retenu l'attention des policiers. Et puis au fil des semaines, les agressions se sont succédées, avec un mode opératoire inchangé. Toujours le même scénario, une dame âgée sort faire ses courses. Au moment où elle rentre chez elle, elle est attaquée dans le hall de son immeuble. Soit l'individu entre derrière elle et la pousse fortement dans le dos, la jetant au sol... Soit l'individu frappe à la porte (souvent vitrée) et la vieille dame lui ouvre, le prenant pour un voisin. Dans ce cas, c'est encore pire, car il frappe violemment sa victime à la tête.
Quoi qu'il en soit, le système est bien rodé. Car la police ne dispose à ce jour d'aucun réel signalement du voleur. Les vieilles dames se réveillent à l'hôpital, après un grand trou noir. Certaines ne se souviennent même pas avoir été agressées. On sait qu'il s'agit d'un homme visiblement âgé d'une trentaine d'années, de corpulence plutôt mince, d'à peu près 1,80 mètres.
En tout, 17 personnes auraient pu être les victimes de ce même homme en seulement un mois. Des personnes très âgées, très choquées et parfois gravement blessées. Des dents cassées souvent, mais aussi des vertèbres fracturées pour l'une d'elles.
Les trois dernières agressions ont eu lieu en seulement deux jours, l'une à Grenoble mercredi, les deux autres à Echirolles jeudi. La première victime, une dame de 86 ans, a été attaquée dans le quartier des Eaux-Claires. La seconde, âgée de 80 ans, a été agrippée au cou par derrière, puis jetée au sol. Elle s'en tire avec une grosse bosse à la tête. La troisième, 80 ans elle-aussi, n'a pas été frappée. On leur a volé leur sac à main dans les trois cas.
Les enquêteurs ne disposent pas d'assez d'éléments pour dresser un portrait-robot, mais ils incitent à la plus grande vigilance. Ils conseillent aux personnes âgées de regarder autour d'elles avant de rentrer dans leur immeuble, et surtout, de n'ouvrir à aucun inconnu. L'enquête de voisinage se poursuit, ainsi que l'examen des caméras de vidéo-surveillance.
Si vous disposez d'informations, ou si vous avez été témoin d'une agression similaire, vous pouvez contacter la Sûreté Départementale de l'Isère au 04 76 60 40 13.
http://alpes.france3.fr/2014/05/23/grenoble-un-agresseur-en-serie-qui-vise-les-dames-agees-483429.html
Tout aurait débuté le 1er avril, une triste farce. De mémoire d'enquêteur de la Sûreté départementale, on rencontre rarement des agressions avec une telle force physique envers des personnes âgées. D'après les policiers, d'ordinaire les voleurs feraient preuve "d'un minimum de respect". Une violence démesurée au regard des faibles larcins, de petites sommes en liquide dans les porte-monnaies.
C'est cette brutalité quasi gratuite qui a d'abord retenu l'attention des policiers. Et puis au fil des semaines, les agressions se sont succédées, avec un mode opératoire inchangé. Toujours le même scénario, une dame âgée sort faire ses courses. Au moment où elle rentre chez elle, elle est attaquée dans le hall de son immeuble. Soit l'individu entre derrière elle et la pousse fortement dans le dos, la jetant au sol... Soit l'individu frappe à la porte (souvent vitrée) et la vieille dame lui ouvre, le prenant pour un voisin. Dans ce cas, c'est encore pire, car il frappe violemment sa victime à la tête.
Quoi qu'il en soit, le système est bien rodé. Car la police ne dispose à ce jour d'aucun réel signalement du voleur. Les vieilles dames se réveillent à l'hôpital, après un grand trou noir. Certaines ne se souviennent même pas avoir été agressées. On sait qu'il s'agit d'un homme visiblement âgé d'une trentaine d'années, de corpulence plutôt mince, d'à peu près 1,80 mètres.
En tout, 17 personnes auraient pu être les victimes de ce même homme en seulement un mois. Des personnes très âgées, très choquées et parfois gravement blessées. Des dents cassées souvent, mais aussi des vertèbres fracturées pour l'une d'elles.
Trois nouvelles agressions en deux jours
Les trois dernières agressions ont eu lieu en seulement deux jours, l'une à Grenoble mercredi, les deux autres à Echirolles jeudi. La première victime, une dame de 86 ans, a été attaquée dans le quartier des Eaux-Claires. La seconde, âgée de 80 ans, a été agrippée au cou par derrière, puis jetée au sol. Elle s'en tire avec une grosse bosse à la tête. La troisième, 80 ans elle-aussi, n'a pas été frappée. On leur a volé leur sac à main dans les trois cas.
Les enquêteurs ne disposent pas d'assez d'éléments pour dresser un portrait-robot, mais ils incitent à la plus grande vigilance. Ils conseillent aux personnes âgées de regarder autour d'elles avant de rentrer dans leur immeuble, et surtout, de n'ouvrir à aucun inconnu. L'enquête de voisinage se poursuit, ainsi que l'examen des caméras de vidéo-surveillance.
Si vous disposez d'informations, ou si vous avez été témoin d'une agression similaire, vous pouvez contacter la Sûreté Départementale de l'Isère au 04 76 60 40 13.
http://alpes.france3.fr/2014/05/23/grenoble-un-agresseur-en-serie-qui-vise-les-dames-agees-483429.html
Haute-Marne : vitesse excessive et alcool en cause dans l'accident de Fresnes-sur-Apance
Le 13 avril dernier, trois jeunes originaires de Haute-Saône s'étaient tués en voiture en sortant de discothèque. Le véhicule n'avait été retrouvé que 30 heures plus tard.
François Prélot le procureur de la justice de Chaumont a tenu fait un point presse ce vendredi sur le drame.
Il ressort des conclusions des enquêteurs que la puissante Mercedes roulait trop vite. Le compteur est resté bloqué à 110 km/h au moment du choc, sur une portion de route limitée à 90 km/h. Le conducteur âgé de 18 ans présentait une alcoolémie positive. Les trois jeunes âgés de 18, 19 et 20 ans avaient bouclé leurs ceintures de sécurité, mais ça n'a pas suffit à les sauver. Vu la violence du choc, ils sont morts sur le coup ou dans les minutes qui ont suivi l'accident, selon les conclusions des autopsies.
Le relevé des téléphones portables des jeunes franc-comtois a permis de situer l'heure du drame aux environs de 4h 49 le dimanche 13 avril. Cachée par les arbres, la voiture n'avait été retrouvée que le lundi matin, 30 heures plus tard, par des proches des victimes.
http://champagne-ardenne.france3.fr/2014/05/23/haute-marne-vitesse-excessive-et-alcool-en-cause-dans-l-accident-de-fresnes-sur-apance-483565.html
François Prélot le procureur de la justice de Chaumont a tenu fait un point presse ce vendredi sur le drame.
Il ressort des conclusions des enquêteurs que la puissante Mercedes roulait trop vite. Le compteur est resté bloqué à 110 km/h au moment du choc, sur une portion de route limitée à 90 km/h. Le conducteur âgé de 18 ans présentait une alcoolémie positive. Les trois jeunes âgés de 18, 19 et 20 ans avaient bouclé leurs ceintures de sécurité, mais ça n'a pas suffit à les sauver. Vu la violence du choc, ils sont morts sur le coup ou dans les minutes qui ont suivi l'accident, selon les conclusions des autopsies.
Le relevé des téléphones portables des jeunes franc-comtois a permis de situer l'heure du drame aux environs de 4h 49 le dimanche 13 avril. Cachée par les arbres, la voiture n'avait été retrouvée que le lundi matin, 30 heures plus tard, par des proches des victimes.
http://champagne-ardenne.france3.fr/2014/05/23/haute-marne-vitesse-excessive-et-alcool-en-cause-dans-l-accident-de-fresnes-sur-apance-483565.html
Plaisance-du-Touch. Une marche blanche en l'honneur de Quentin et contre la violence
De nombreuses personnes sont attendues cet après-midi, dès 14 heures, devant le pigeonnier de Plaisance-du-Touch pour rendre hommage à la mémoire de Quentin Fisset-Bonfanti, tué lors d'une rixe à Toulouse. Une marche pour dire non à la violence.
P lus de dix jours après le meurtre de Quentin Fisset-Bonfanti, 21 ans, tué à coups de couteau dans la nuit du 10 au 11 mai devant le Puerto-Habana, à Toulouse, l'onde de choc est toujours aussi vive. Ses proches, sa famille, ses copains et des dizaines d'anonymes se retrouvent cet après-midi dès 14 heures, devant le pigeonnier de Plaisance-du-Touch, la commune où résidait Quentin, pour une marche silencieuse en sa mémoire. «On attend plusieurs centaines de personnes. Ce sera un moment fort dédié à Quentin mais aussi un rassemblement pour dire stop à la violence à travers des messages inscrits sur des banderoles», témoigne Johan, un ami très proche de la victime avec laquelle ils partageaient leur passion commune pour la pêche. Le cortège devrait rejoindre le stade de rugby à La Salvetat-Saint-Gilles. «Il était très attaché à ce club et malgré les sollicitations nombreuses venant d'autres écoles de rugby, il a toujours voulu rester ici, avec ses copains», poursuit Johan qui avec de nombreux copains concentrent l'essentiel de leurs efforts à aider la maman de Quentin, plongée dans une immense détresse. Cette marche organisée aujourd'hui doit être suivie d'un autre hommage devant le bar le Puerto-Habana, probablement le 29 mai. Une semaine après les obsèques, les hommages continuent d'affluer en masse via Facebook et les réseaux sociaux. Des messages de colère et d'indignation largement relayés après l'horrible drame. Après une soirée passée au Puerto-Habana, quartier du Pont-Guilhemery, à Toulouse, Quentin est victime d'au moins trois coups de couteau, dont l'un mortel, après un accrochage avec des individus pour une histoire de scooter renversée sur la chaussée. Transporté à l'hôpital dans un état grave, Quentin décède durant son transport au CHU. Trois suspects de 21 et 23 ans ont été interpellés par les enquêteurs de la police judiciaire et écroués à la suite de la rixe mortelle.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/24/1887596-plaisance-touch-marche-blanche-quentin-contre-violence.html
P lus de dix jours après le meurtre de Quentin Fisset-Bonfanti, 21 ans, tué à coups de couteau dans la nuit du 10 au 11 mai devant le Puerto-Habana, à Toulouse, l'onde de choc est toujours aussi vive. Ses proches, sa famille, ses copains et des dizaines d'anonymes se retrouvent cet après-midi dès 14 heures, devant le pigeonnier de Plaisance-du-Touch, la commune où résidait Quentin, pour une marche silencieuse en sa mémoire. «On attend plusieurs centaines de personnes. Ce sera un moment fort dédié à Quentin mais aussi un rassemblement pour dire stop à la violence à travers des messages inscrits sur des banderoles», témoigne Johan, un ami très proche de la victime avec laquelle ils partageaient leur passion commune pour la pêche. Le cortège devrait rejoindre le stade de rugby à La Salvetat-Saint-Gilles. «Il était très attaché à ce club et malgré les sollicitations nombreuses venant d'autres écoles de rugby, il a toujours voulu rester ici, avec ses copains», poursuit Johan qui avec de nombreux copains concentrent l'essentiel de leurs efforts à aider la maman de Quentin, plongée dans une immense détresse. Cette marche organisée aujourd'hui doit être suivie d'un autre hommage devant le bar le Puerto-Habana, probablement le 29 mai. Une semaine après les obsèques, les hommages continuent d'affluer en masse via Facebook et les réseaux sociaux. Des messages de colère et d'indignation largement relayés après l'horrible drame. Après une soirée passée au Puerto-Habana, quartier du Pont-Guilhemery, à Toulouse, Quentin est victime d'au moins trois coups de couteau, dont l'un mortel, après un accrochage avec des individus pour une histoire de scooter renversée sur la chaussée. Transporté à l'hôpital dans un état grave, Quentin décède durant son transport au CHU. Trois suspects de 21 et 23 ans ont été interpellés par les enquêteurs de la police judiciaire et écroués à la suite de la rixe mortelle.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/24/1887596-plaisance-touch-marche-blanche-quentin-contre-violence.html
Ancône : un corps découvert dans un lac
Hier aux environs de midi, un cadavre a été découvert dans le lac d’Ancône. Les enquêteurs rapprocheraient ce fait de la disparition, depuis le mois de mars dernier, d’un homme, dépressif, de 55 ans.
Son véhicule a en effet été retrouvé à proximité des lieux.
L’homme était recherché depuis plusieurs mois après avoir commis des faits de violence aggravée sur sa compagne.
Une autopsie devrait être pratiquée la semaine prochaine pour déterminer les circonstances exactes du décès.
http://www.ledauphine.com/drome/2014/05/23/un-corps-decouvert-dans-un-lac
Son véhicule a en effet été retrouvé à proximité des lieux.
L’homme était recherché depuis plusieurs mois après avoir commis des faits de violence aggravée sur sa compagne.
Une autopsie devrait être pratiquée la semaine prochaine pour déterminer les circonstances exactes du décès.
http://www.ledauphine.com/drome/2014/05/23/un-corps-decouvert-dans-un-lac
vendredi 23 mai 2014
Impliqué dans trois accidents mortels, le village veut lui retirer son permis
Les habitants de Saint-Jean-le-Vieux, une commune de l'Ain, veulent faire retirer son permis de conduire à un homme de 77 ans résidant dans la commune voisine d'Hauterive. Ils lui reprochent d'avoir provoqué de nombreux accidents, dont trois mortels,
Dans un village de l'Ain, les habitants font circuler une pétition pour retirer le permis d'un automobiliste de 77 ans, accusé d'avoir provoqué la mort de trois personnes et de nombreux accrochages
Nous voulons alerter les pouvoirs publics pour que cette personne ne puisse plus reconduire !",s'indigne dans le quotidien national Marcel Devant, dépositaire d'une pétition signée par 80% des habitants.
L'automobiliste en question, un retraité qui souffrirait de narcolepsie (pathologie provoquant des micro-sommeils), a déjà été condamné en 1998 à de la prison ferme pour avoir causé la mort d'une jeune femme. Il serait également responsable du décès d'une personne âgée en 1989. En avril dernier, l'épouse du lieutenant des pompiers, qui circulait en moto, a perdu la vie dans un accident impliquant toujours ce même automobiliste, explique Le Progrès (article payant).
Le préfet de l'Ain a pris la décision de retirer au septuagénaire le permis pour une période de six mois. Le 8 juillet prochain, le tribunal soit se prononcer sur l'annulation ou non du fameux permis de conduire.
"Si ce n'est pas le cas, je saisirai le préfet pour qu'il retire une nouvelle fois son permis", prévient Christian Batailly, maire de Saint-Jean-le-Vieux. "On ne traite pas cette personne d'assassin, mais c'est un danger sans le savoir, il faut admettre qu'il a un problème et le législateur doit le prendre en main", explique-t-il encore au Parisien.
Une affaire qui pose encore une fois le problème d'un permis conditionné par une visite médicale, selon les deux quotidiens.
http://www.sudouest.fr/2014/05/23/implique-dans-trois-accidents-mortels-le-village-veut-lui-retirer-son-permis-1564307-7.php
Dans un village de l'Ain, les habitants font circuler une pétition pour retirer le permis d'un automobiliste de 77 ans, accusé d'avoir provoqué la mort de trois personnes et de nombreux accrochages
Nous voulons alerter les pouvoirs publics pour que cette personne ne puisse plus reconduire !",s'indigne dans le quotidien national Marcel Devant, dépositaire d'une pétition signée par 80% des habitants.
L'automobiliste en question, un retraité qui souffrirait de narcolepsie (pathologie provoquant des micro-sommeils), a déjà été condamné en 1998 à de la prison ferme pour avoir causé la mort d'une jeune femme. Il serait également responsable du décès d'une personne âgée en 1989. En avril dernier, l'épouse du lieutenant des pompiers, qui circulait en moto, a perdu la vie dans un accident impliquant toujours ce même automobiliste, explique Le Progrès (article payant).
Le préfet de l'Ain a pris la décision de retirer au septuagénaire le permis pour une période de six mois. Le 8 juillet prochain, le tribunal soit se prononcer sur l'annulation ou non du fameux permis de conduire.
"Si ce n'est pas le cas, je saisirai le préfet pour qu'il retire une nouvelle fois son permis", prévient Christian Batailly, maire de Saint-Jean-le-Vieux. "On ne traite pas cette personne d'assassin, mais c'est un danger sans le savoir, il faut admettre qu'il a un problème et le législateur doit le prendre en main", explique-t-il encore au Parisien.
Une affaire qui pose encore une fois le problème d'un permis conditionné par une visite médicale, selon les deux quotidiens.
http://www.sudouest.fr/2014/05/23/implique-dans-trois-accidents-mortels-le-village-veut-lui-retirer-son-permis-1564307-7.php
Train contre piéton
Ce matin vers 6 h, une personne a été percutée par un train à la sortie de la gare de Mulhouse, en direction de Kruth. L’homme de 26 ans a été transporté par les secours médicalisés à l’hôpital, dans un état critique.
Environ dix trains ont été supprimés, la voie entre Mulhouse et Lutterbach ayant été coupée jusqu’à 7 h 45. Beaucoup de trains ont pu dévier leur trajectoire par Mulhouse nord, ce qui a permis de limiter les retards et les suppressions de rames.
Les circonstances de l’accident ne sont pas encore déterminées.
http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/2014/05/23/train-contre-pieton
Environ dix trains ont été supprimés, la voie entre Mulhouse et Lutterbach ayant été coupée jusqu’à 7 h 45. Beaucoup de trains ont pu dévier leur trajectoire par Mulhouse nord, ce qui a permis de limiter les retards et les suppressions de rames.
Les circonstances de l’accident ne sont pas encore déterminées.
http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/2014/05/23/train-contre-pieton
Var. Un sexagénaire écroué pour avoir vendu des faux tableaux sur internet
Un homme de 69 ans, habitant dans le Var, a été mis en examen pour escroquerie et contrefaçon en bande organisée et écroué jeudi. Il est soupçonné d'avoir vendu des milliers de faux tableaux sur eBay, a indiqué ce vendredi le parquet de Toulon.
"Le retraité achetait avec différents membres de sa famille des tableaux ou des lithographies dans les vide-greniers ou brocantes de la région, qu'il faisait retoucher dans un atelier de peinture avec l'apposition d'une signature d'artistes locaux, parfois nationaux (Dufy, Daumier..)", ont expliqué des sources proches du dossier. "L'oeuvre une fois retouchée était revendue sur un site marchand (eBay) sous différents pseudonymes à des prix très intéressants de manière à éviter les contentieux".
Selon le parquet, l'escroquerie aurait rapporté plus de 200 000 euros ces deux dernières années. Par ailleurs, plusieurs dizaines d'oeuvres ont été saises lors des perquisitions. L'enquête a abouti à l'interpellation de sept personnes "en début de semaine", a précisé le parquet. Le sexagénaire, considéré comme l'instigateur de l'escroquerie, a été arrêté lundi à Ollioules avec trois fils, une belle-fille et deux autres membres de sa famille par l'antenne de police judiciaire de Toulon. Trois d'entre eux ont été placés sous contrôle judiciaire.
Les investigations de l'Office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC) ont démarré en 2013 après la détection de tractations suspectes sur Internet. Une information judiciaire a été ouverte dans la foulée, en mars 2014, auprès d'un juge d'instruction du TGI de Toulon, qui a désigné conjointement la PJ et l'OCBC.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/23/1886946-var-sexagenaire-ecroue-avoir-vendu-faux-tableaux-internet.html
"Le retraité achetait avec différents membres de sa famille des tableaux ou des lithographies dans les vide-greniers ou brocantes de la région, qu'il faisait retoucher dans un atelier de peinture avec l'apposition d'une signature d'artistes locaux, parfois nationaux (Dufy, Daumier..)", ont expliqué des sources proches du dossier. "L'oeuvre une fois retouchée était revendue sur un site marchand (eBay) sous différents pseudonymes à des prix très intéressants de manière à éviter les contentieux".
Selon le parquet, l'escroquerie aurait rapporté plus de 200 000 euros ces deux dernières années. Par ailleurs, plusieurs dizaines d'oeuvres ont été saises lors des perquisitions. L'enquête a abouti à l'interpellation de sept personnes "en début de semaine", a précisé le parquet. Le sexagénaire, considéré comme l'instigateur de l'escroquerie, a été arrêté lundi à Ollioules avec trois fils, une belle-fille et deux autres membres de sa famille par l'antenne de police judiciaire de Toulon. Trois d'entre eux ont été placés sous contrôle judiciaire.
Les investigations de l'Office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC) ont démarré en 2013 après la détection de tractations suspectes sur Internet. Une information judiciaire a été ouverte dans la foulée, en mars 2014, auprès d'un juge d'instruction du TGI de Toulon, qui a désigné conjointement la PJ et l'OCBC.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/23/1886946-var-sexagenaire-ecroue-avoir-vendu-faux-tableaux-internet.html
LOIRE. Saint-Etienne : sauvé d’un malaise mortel par un heureux hasard
Mercredi soir, les policiers de la Bac (Brigade anticriminalité) de Saint-Etienne ont, par le plus grand des hasards, sauvé un homme d’une cinquantaine d’années en danger de mort.
Ils n’étaient pourtant pas partis pour un appel au secours d’un homme pris d’un malaise. Mais pour la présence d’un individu suspect, rues Desgouttes à Saint-Etienne.
Vers 21 heures, alors qu’ils passaient devant une porte, les policiers entendent des râles et des gémissements. Ni une ni deux, la porte est enfoncée et apparaît un homme sur le ventre, à terre, le visage violacé.
Les pompiers ont été alertés comme premier secours. Ils ont d’abord dégagé la langue de la victime qui s’étouffait, ils l’ont mis en position latérale. Ce qui a permis de le maintenir en vie. Le quinquagénaire, inconscient, très faible, a été transporté au centre hospitalier dans un état des plus préoccupants.
On saura dans les heures à venir s’il a été définitivement sauvé.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/05/23/saint-etienne-sauve-d-un-malaise-mortel-par-un-heureux-hasard
Ils n’étaient pourtant pas partis pour un appel au secours d’un homme pris d’un malaise. Mais pour la présence d’un individu suspect, rues Desgouttes à Saint-Etienne.
Vers 21 heures, alors qu’ils passaient devant une porte, les policiers entendent des râles et des gémissements. Ni une ni deux, la porte est enfoncée et apparaît un homme sur le ventre, à terre, le visage violacé.
Les pompiers ont été alertés comme premier secours. Ils ont d’abord dégagé la langue de la victime qui s’étouffait, ils l’ont mis en position latérale. Ce qui a permis de le maintenir en vie. Le quinquagénaire, inconscient, très faible, a été transporté au centre hospitalier dans un état des plus préoccupants.
On saura dans les heures à venir s’il a été définitivement sauvé.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/05/23/saint-etienne-sauve-d-un-malaise-mortel-par-un-heureux-hasard
jeudi 22 mai 2014
Charente-Maritime : un gendarme grièvement blessé dans un accident de la circulation
Aux alentours de 16 heures ce mercredi, à Saint-Georges-de-Didonne, près de Royan, un accident s'est produit entre un véhicule léger et un deux-roues. Cet accident a eu lieu avenue du 107e Régiment-d'infanterie.
L'homme qui conduisait le deux-roues a été grièvement blessé et transporté via le Smur au centre hospitalier de Royan. Cet homme est un gendarme du Psig (Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) de Lourdes, dans le département des Hautes-Pyrénées. Mercredi, il était en repos.
http://www.sudouest.fr/2014/05/22/charente-maritime-un-gendarme-gravement-blesse-dans-un-accident-de-la-circulation-1562844-1510.php
L'homme qui conduisait le deux-roues a été grièvement blessé et transporté via le Smur au centre hospitalier de Royan. Cet homme est un gendarme du Psig (Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) de Lourdes, dans le département des Hautes-Pyrénées. Mercredi, il était en repos.
http://www.sudouest.fr/2014/05/22/charente-maritime-un-gendarme-gravement-blesse-dans-un-accident-de-la-circulation-1562844-1510.php
Le gang des pilleurs de magasins démantelé
Un homme et une femme ont été condamnés hier à 18 mois de prison ferme. Ils volaient des vêtements dans les magasins pour les revendre en Algérie.
Agglomération toulousaine, mais aussi Albi, Gaillac ou encore Montauban… un trio de «pilleurs de centres commerciaux» a été interpellé, en flagrant délit, fin avril, par les policiers de la brigade de voie publique de la sûreté départementale.
Équipés de cabas rembourrés de feuilles d'aluminium, ils écumaient les boutiques de vêtements, de chaussures, de linge de maison ou encore de maroquinerie. Ils avaient dérobé pour des milliers d'euros de marchandises destinées à être revendues en Algérie.
Le jour de leur arrestation, ils avaient quitté Toulouse le matin à bord d'un Scenic. Trois véhicules banalisés de la police les avaient pris en filature sur l'A68. Méfiant, le conducteur faisait plusieurs fois le tour des ronds-points sur le trajet. Les policiers ont finalement décidé de les lâcher pour mieux les contrôler au péage de l'A62 de retour de Montauban. À l'intérieur de la voiture, ils ont retrouvé des sacs garnis de vêtements encore étiquetés ou sous antivols pour un montant estimé à 2 500 €.
Lors de la perquisition, chez le conducteur, des articles de Kiabi, Promod ou encore Zara ont été découverts pour environ 20 000 €. Ce dernier, souffrant de problèmes mentaux, a été hospitalisé d'office.
«Vous vous rendez compte que vous racontez n'importe quoi ?» a interrogé la présidente Rivière. Pour le procureur Patrice Michel, «l'excellente enquête» de police a mis au jour «une équipe organisée et bien rodée». Et de décrire «une journée de pillage dans les centres commerciaux. La voiture regorge de vêtements.» Il a requis deux ans de prison ferme à l'égard des prévenus. Pour la défense, Mes Doumenc et Langlois ont décrit tout au plus «de petites mains» sans lien avec «un réseau». Ils ont été condamnés à 18 mois de prison ferme.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=25987&WS=291720_2501986&WA=5010
Agglomération toulousaine, mais aussi Albi, Gaillac ou encore Montauban… un trio de «pilleurs de centres commerciaux» a été interpellé, en flagrant délit, fin avril, par les policiers de la brigade de voie publique de la sûreté départementale.
Équipés de cabas rembourrés de feuilles d'aluminium, ils écumaient les boutiques de vêtements, de chaussures, de linge de maison ou encore de maroquinerie. Ils avaient dérobé pour des milliers d'euros de marchandises destinées à être revendues en Algérie.
Le jour de leur arrestation, ils avaient quitté Toulouse le matin à bord d'un Scenic. Trois véhicules banalisés de la police les avaient pris en filature sur l'A68. Méfiant, le conducteur faisait plusieurs fois le tour des ronds-points sur le trajet. Les policiers ont finalement décidé de les lâcher pour mieux les contrôler au péage de l'A62 de retour de Montauban. À l'intérieur de la voiture, ils ont retrouvé des sacs garnis de vêtements encore étiquetés ou sous antivols pour un montant estimé à 2 500 €.
Lors de la perquisition, chez le conducteur, des articles de Kiabi, Promod ou encore Zara ont été découverts pour environ 20 000 €. Ce dernier, souffrant de problèmes mentaux, a été hospitalisé d'office.
Une équipe bien rodée
Ses deux complices, Djilali Dergam, 32 ans, et Kheira Djabour, 43 ans, ont été jugés hier, en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Ils ont chargé le conducteur et affirmé qu'ils ignoraient ses desseins lors de cette virée «pour acheter une voiture à Albi.»«Vous vous rendez compte que vous racontez n'importe quoi ?» a interrogé la présidente Rivière. Pour le procureur Patrice Michel, «l'excellente enquête» de police a mis au jour «une équipe organisée et bien rodée». Et de décrire «une journée de pillage dans les centres commerciaux. La voiture regorge de vêtements.» Il a requis deux ans de prison ferme à l'égard des prévenus. Pour la défense, Mes Doumenc et Langlois ont décrit tout au plus «de petites mains» sans lien avec «un réseau». Ils ont été condamnés à 18 mois de prison ferme.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=25987&WS=291720_2501986&WA=5010
Arnaque : le site docteurdiscount.com condamné
Ils ont commandé un four et un lave-vaisselle à 1474 €, un canapé d’angle à 291 €, une plaque de cuisson à 777 €... et n’ont jamais été livrés. Et encore moins remboursés. Quelque 1600 victimes se sont plaint des pratiques du site de e-commerce docteurdiscount.com, géré par une entreprise de Courbevoie (Hauts-de-Seine), dont le patron vient d’être condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre.
Il écope de 18 mois de prison avec sursis, avec mise à l’épreuve pendant trois ans, assortis d’une interdiction d’exercer sur internet ou dans la vente par correspondance. Il doit en outre verser 137 500 € d’amende, 20 000 € de dommages et intérêts à une association de consommateurs, et indemniser les victimes. Mais comme le gérant a fait appel de cette décision de justice, et que cet appel est suspensif, le site continue de fonctionner.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/arnaque-le-site-docteurdiscount-com-condamne-21-05-2014-3859941.php
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/arnaque-le-site-docteurdiscount-com-condamne-21-05-2014-3859941.php
mercredi 21 mai 2014
Pays basque : fillette étranglée, tentative d'assassinat retenue contre la mère
La mère de famille de 35 ans qui a tenté dimanche de donner la mort à sa fille de 7 ans en l'étranglant avec une corde a été mise en examen hier soir pour tentative d'assassinat et placé en détention.
Le procureur de la République, Anne Kayanakis a confirmé qu'elle avait retenu la préméditation au vu des premières auditions recueillies durant la garde à vue de 48 heures qui s'est achevée à 18 heures hier. Le parquet avait également requis le placement en détention de l'auteur présumé.
Une information judiciaire a été ouverte au cabinet de la juge d'instruction Anne Francavilla qui a procédé à l'interrogatoire de première comparution en présence de Maître Bernard-Franck Macéra, l'avocat de la mère de famille.
Le procureur a précisé que l'état psychique de la mère de famille n'était pas incompatible avec l'incarcération.
Les constations du médecin légiste sur la fillette confirment pourtant que les traces qu'elle porte au cou sont bien celles d'une strangulation.
Le lieu où s'est déroulé le drame est situé dans une zone isolée de la commune de Saint-Pée-sur-Nivelle. Ils ne sont pas significatifs d'une volonté particulière et ressemblent plutôt à une errance de la mère, venue de Tarbes où elle réside depuis sa séparation avec le père de la fillette qui, lui , vit à Bayonne.
Le procureur n'a pas donné plus de détail sur l'affaire : « Des auditions ont eu lieu mais beaucoup de témoins restent à entendre dans le cadre de l'instruction » expliquait hier soir Anne Kayanakis en reconnaissant que cette affaire est évidemment délicate et demande d'être abordée avec précaution.
Avant sa sortie du bureau du juge d'instruction, très tard hier soir, la mère de famille a été présentée, comme le veut la procédure, au juge des libertés et de la détention qui devait statuer sur son placement en détention.
Les habitants de Saint-Pée-sur-Nivelle ont appris hier matin par la presse et la radio la tentative d'infanticide survenue dimanche dans leur commune.
À la sortie de l'école, les mamans sont consternées : « On n'imaginait pas ça ici ». Elles se rassurent un peu en comprenant que la maman « n'est pas du coin ». Un peu seulement car, comme le souligne Cathy, 30 ans et mère d'un enfant de 5 ans « on peut disjoncter avec les gosses. Une gifle, ça peut partir tout seul mais passer une corde autour du cou ! »
L'avenir de la fillette attriste les mères de famille : « Comment va vivre cette petite, avec la peur de sa mère puis, en grandissant, la conscience qu'elle a voulu la tuer. Elle ne pourra jamais lui pardonner ! »
http://www.sudouest.fr/2014/05/21/l-assassinat-retenu-1561232-4018.php
Le procureur de la République, Anne Kayanakis a confirmé qu'elle avait retenu la préméditation au vu des premières auditions recueillies durant la garde à vue de 48 heures qui s'est achevée à 18 heures hier. Le parquet avait également requis le placement en détention de l'auteur présumé.
Une information judiciaire a été ouverte au cabinet de la juge d'instruction Anne Francavilla qui a procédé à l'interrogatoire de première comparution en présence de Maître Bernard-Franck Macéra, l'avocat de la mère de famille.
Le procureur a précisé que l'état psychique de la mère de famille n'était pas incompatible avec l'incarcération.
- Versions contradictoires
Les constations du médecin légiste sur la fillette confirment pourtant que les traces qu'elle porte au cou sont bien celles d'une strangulation.
Le lieu où s'est déroulé le drame est situé dans une zone isolée de la commune de Saint-Pée-sur-Nivelle. Ils ne sont pas significatifs d'une volonté particulière et ressemblent plutôt à une errance de la mère, venue de Tarbes où elle réside depuis sa séparation avec le père de la fillette qui, lui , vit à Bayonne.
Le procureur n'a pas donné plus de détail sur l'affaire : « Des auditions ont eu lieu mais beaucoup de témoins restent à entendre dans le cadre de l'instruction » expliquait hier soir Anne Kayanakis en reconnaissant que cette affaire est évidemment délicate et demande d'être abordée avec précaution.
Avant sa sortie du bureau du juge d'instruction, très tard hier soir, la mère de famille a été présentée, comme le veut la procédure, au juge des libertés et de la détention qui devait statuer sur son placement en détention.
Les habitants de Saint-Pée-sur-Nivelle ont appris hier matin par la presse et la radio la tentative d'infanticide survenue dimanche dans leur commune.
- Stupeur et consternation
À la sortie de l'école, les mamans sont consternées : « On n'imaginait pas ça ici ». Elles se rassurent un peu en comprenant que la maman « n'est pas du coin ». Un peu seulement car, comme le souligne Cathy, 30 ans et mère d'un enfant de 5 ans « on peut disjoncter avec les gosses. Une gifle, ça peut partir tout seul mais passer une corde autour du cou ! »
L'avenir de la fillette attriste les mères de famille : « Comment va vivre cette petite, avec la peur de sa mère puis, en grandissant, la conscience qu'elle a voulu la tuer. Elle ne pourra jamais lui pardonner ! »
http://www.sudouest.fr/2014/05/21/l-assassinat-retenu-1561232-4018.php
La jambe happée par un motoculteur non conforme : la société Kiloutou en justice
Renvoyée en correctionnelle pour blessures involontaires après un accident du travail impliquant l'un de ses motoculteurs et dans lequel un agent d'entretien toulousain a perdu une jambe, la société Kiloutou encourt 30 000 euros d'amende.
Un survêtement noir recouvre sa prothèse. Aux côtés de sa compagne et de ses deux enfants, sa canne toujours à portée de main, Jacques Broussal écoute le président du tribunal évoquer le jour où sa vie a basculé. Ce 7 octobre 2010, cet agent d'entretien employé par l'association BTP CFA Midi-Pyrénées, manœuvre le motoculteur de la marque Agria-Werke que le centre de formation a loué au magasin Kiloutou de Portet-sur-Garonne. Pour éviter d'être coincé entre la clôture qui borde le terrain et la machine, alors en marche arrière, Jacques Broussal enclenche la marche avant mais les commandes ne répondent pas. Le motoculteur continue de reculer et sa jambe droite finit par être happée par les fraises en rotation. Les blessures sont telles qu'une première amputation ne peut être évitée, suivie d'une seconde à la suite d'une infection. Après deux mois d'hospitalisation et deux mois de rééducation, Jacques Broussal tente de retrouver une vie normale, une jambe en moins. Il ne réintégrera son poste, à mi-temps, qu'en juin 2013.
Renvoyée en qualité de personne morale devant le tribunal correctionnel pour blessures involontaires et location d'équipement non-conforme aux règles techniques ou de certification, la société Kiloutou a assuré mardi lors de son procès avoir remis à Jacques Broussal «un engin vérifié et conforme». «Nous n'arrivons pas à comprendre comment cet accident a pu se produire autrement que par l'intervention d'un tiers sur la machine», explique Me Frank Beckelynck. L'avocat du numéro un de la location de matériel remet en cause les rapports d'expertise et a demandé un supplément d'information pour «entendre les explications du fabricant et du distributeur».
«Depuis plus de 42 mois, le corps et la vie de mon client sont coupés en deux. Après la douleur physique de l'accident, la douleur d'une double amputation, la douleur du membre fantôme et la douleur morale, Jacques Brossal et sa compagne ont dû engager des frais lourds en payant de leur poche la prothèse ou encore l'aménagement du véhicule», a souligné l'avocat en demandant pour ses clients 750.000 euros de provision.
Estimant aussi que, «la responsabilité de la société Kiloutou est entière» et que «la patate chaude ne peut pas fonctionner en matière pénale», le parquet a requis 30.000 euros d'amende au titre des blessures involontaires et 3.000 euros pour la location d'équipement non-forme. Il a en revanche demandé l'abandon des poursuites contre le centre de formation. La décision du tribunal a été mise en délibéré au 16 septembre.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/21/1885119-motoculteur-non-conforme-la-societe-kiloutou-en-justice.html
Un survêtement noir recouvre sa prothèse. Aux côtés de sa compagne et de ses deux enfants, sa canne toujours à portée de main, Jacques Broussal écoute le président du tribunal évoquer le jour où sa vie a basculé. Ce 7 octobre 2010, cet agent d'entretien employé par l'association BTP CFA Midi-Pyrénées, manœuvre le motoculteur de la marque Agria-Werke que le centre de formation a loué au magasin Kiloutou de Portet-sur-Garonne. Pour éviter d'être coincé entre la clôture qui borde le terrain et la machine, alors en marche arrière, Jacques Broussal enclenche la marche avant mais les commandes ne répondent pas. Le motoculteur continue de reculer et sa jambe droite finit par être happée par les fraises en rotation. Les blessures sont telles qu'une première amputation ne peut être évitée, suivie d'une seconde à la suite d'une infection. Après deux mois d'hospitalisation et deux mois de rééducation, Jacques Broussal tente de retrouver une vie normale, une jambe en moins. Il ne réintégrera son poste, à mi-temps, qu'en juin 2013.
Deux non-conformités
Après cet accident du travail aux conséquences dramatiques, l'enquête diligentée par l'Inspection du travail et l'expertise judiciaire ont conclu une non-conformité de conception de la machine. Et ont mis en évidence deux défauts qui pourraient être la cause de l'accident : l'absence de l'axe de liaison entre le levier de commandes et la boîte de vitesse et la longueur disproportionnée de la vis de réglage du câble d'embrayage qui aurait empêché le système d'arrêt d'urgence de se mettre en marche.Renvoyée en qualité de personne morale devant le tribunal correctionnel pour blessures involontaires et location d'équipement non-conforme aux règles techniques ou de certification, la société Kiloutou a assuré mardi lors de son procès avoir remis à Jacques Broussal «un engin vérifié et conforme». «Nous n'arrivons pas à comprendre comment cet accident a pu se produire autrement que par l'intervention d'un tiers sur la machine», explique Me Frank Beckelynck. L'avocat du numéro un de la location de matériel remet en cause les rapports d'expertise et a demandé un supplément d'information pour «entendre les explications du fabricant et du distributeur».
«Cette machine était une arme»
De son côté, Me Pascal Nakache, conseil de la victime et de sa famille, a dénoncé «le rideau de fumée» mis en place par le loueur pour «éviter que la justice ne se penche sur le fond du dossier» et sur sa responsabilité quant au réglage et à la maintenance d'une machine qui est devenue «une arme».«Depuis plus de 42 mois, le corps et la vie de mon client sont coupés en deux. Après la douleur physique de l'accident, la douleur d'une double amputation, la douleur du membre fantôme et la douleur morale, Jacques Brossal et sa compagne ont dû engager des frais lourds en payant de leur poche la prothèse ou encore l'aménagement du véhicule», a souligné l'avocat en demandant pour ses clients 750.000 euros de provision.
Estimant aussi que, «la responsabilité de la société Kiloutou est entière» et que «la patate chaude ne peut pas fonctionner en matière pénale», le parquet a requis 30.000 euros d'amende au titre des blessures involontaires et 3.000 euros pour la location d'équipement non-forme. Il a en revanche demandé l'abandon des poursuites contre le centre de formation. La décision du tribunal a été mise en délibéré au 16 septembre.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/21/1885119-motoculteur-non-conforme-la-societe-kiloutou-en-justice.html
Lorraine : pris avec 1,6 kg d’ecstasy au péage de Gye
Sous le siège d'une voiture, le chien des douanes a trouvé un sac dans la doublure duquel étaient dissimulés 150 grammes de cocaïne ainsi que des comprimés d’ecstasy. Il y en avait pour 1,6 kg.
Deux « belles » saisies coup sur coup pour les douaniers au péage de Gye à proximité de Nancy. Le 12 mai, ils ont découvert 2 kg d’un produit entrant dans la composition de l’ecstasy, caché dans le pare-chocs d’une voiture à bord de laquelle se trouvaient deux Italiens de retour des Pays-Bas. Le duo a été condamné dans les jours suivants par le tribunal de Nancy à 3 ans de prison ferme (nos précédentes éditions).
Le lendemain de la saisie des 2 kg, le mardi 13 mai, vers 1 h du matin, les douaniers ont fait une autre découverte stupéfiante dans un véhicule qui revenait de Hollande. Une seule personne à bord. Un homme de 37 ans domicilié en Haute-Savoie. Sous son siège, le chien des douanes a permis de trouver un sac dans la doublure duquel étaient dissimulés 150 grammes de cocaïne ainsi que des comprimés d’ecstasy. Il y en avait pour 1,6 kg.
Le trentenaire a été remis aux policiers du SRPJ de Nancy. Ces derniers l’ont placé en garde à vue et interrogé. Des investigations ont également eu lieu sur les paquets de drogue. Des empreintes digitales ont été retrouvées. Pas celles du conducteur de Haute-Savoie. Elles ont été comparées avec celles stockées dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED). Bingo. Elles se sont avérées correspondre avec celles d’un Guinéen de 29 ans domicilié en Haute-Savoie et déjà condamné pour du trafic de stup.
L’intégralité de l’affaire a été confiée à un juge d’instruction de Thonon-les-Bains (74) qui a mis en examen les deux hommes à l’issue de leur garde à vue. Le duo est également passé devant un juge des libertés qui a prononcé un placement en détention provisoire.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/21/pris-avec-1-6-kg-d-ecstasy-fjfp
Deux « belles » saisies coup sur coup pour les douaniers au péage de Gye à proximité de Nancy. Le 12 mai, ils ont découvert 2 kg d’un produit entrant dans la composition de l’ecstasy, caché dans le pare-chocs d’une voiture à bord de laquelle se trouvaient deux Italiens de retour des Pays-Bas. Le duo a été condamné dans les jours suivants par le tribunal de Nancy à 3 ans de prison ferme (nos précédentes éditions).
Le lendemain de la saisie des 2 kg, le mardi 13 mai, vers 1 h du matin, les douaniers ont fait une autre découverte stupéfiante dans un véhicule qui revenait de Hollande. Une seule personne à bord. Un homme de 37 ans domicilié en Haute-Savoie. Sous son siège, le chien des douanes a permis de trouver un sac dans la doublure duquel étaient dissimulés 150 grammes de cocaïne ainsi que des comprimés d’ecstasy. Il y en avait pour 1,6 kg.
Le trentenaire a été remis aux policiers du SRPJ de Nancy. Ces derniers l’ont placé en garde à vue et interrogé. Des investigations ont également eu lieu sur les paquets de drogue. Des empreintes digitales ont été retrouvées. Pas celles du conducteur de Haute-Savoie. Elles ont été comparées avec celles stockées dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED). Bingo. Elles se sont avérées correspondre avec celles d’un Guinéen de 29 ans domicilié en Haute-Savoie et déjà condamné pour du trafic de stup.
Cocaïne et ecstasy achetées à Rotterdam
L’info a été transmise aux policiers de l’antenne PJ d’Annecy qui a arrêté le suspect dans les heures qui ont suivi. De son interrogatoire et de celui de son complice pris à Gye, il résulte qu’ils sont montés ensemble à Rotterdam où ils ont acheté cocaïne et ecstasy. Le plus âgé est redescendu en voiture avec la drogue. Le plus jeune qui est aussi le plus connu des forces de police, est, lui, rentré en train en Haute-Savoie.L’intégralité de l’affaire a été confiée à un juge d’instruction de Thonon-les-Bains (74) qui a mis en examen les deux hommes à l’issue de leur garde à vue. Le duo est également passé devant un juge des libertés qui a prononcé un placement en détention provisoire.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/21/pris-avec-1-6-kg-d-ecstasy-fjfp
mardi 20 mai 2014
Explosion suivie d'un incendie dans une boucherie halal de Châlette-sur-Loing (45) : deux blessés dont 1 grave
Une explosion s'est produite peu avant 4 heures ce matin dans une boucherie halal de Châlette -sur-Loing, dans le quartier des Vésines. Selon un témoin de la scène, la boucherie a été soufflée au moment où le boucher a allumé la lumière, en entrant dans son local
L'explosion s'est produite vers 3H45 dans la boucherie halal du quartier de Vésines, à Châlette-sur-Loing (45). D'après un témoin de la scène, c'est le boucher, en arrivant de Rungis, qui aurait provoqué l'explosion en allumant la lumière de son local. L'homme a été très sérieusement blessé. il a été transporté par hélicoptère à l'hôpital d'Orléans la Source.
73 pompiers, 29 engins et une brigade cynophile de recherche de victimes ont été dépêchés sur les lieux. Une trentaine de personnes, habitant l'immeuble adjacent, ont été évacuées, à cause de l'incendie qui a suivi, et prises en charge dans un foyer municipal d'accueil. Elles ont pu rejoindre leurs domiciles à 8h15.
Les différents témoins qualifient l'explosion d'extrêmement violente, "comme un tremblement de terre".
La police a ouvert une enquête. Pour l'heure, l'hypothèse d'une fuite de gaz est examinée
http://centre.france3.fr/2014/05/20/explosion-dans-un-immeuble-chalette-sur-loing-45-480733.html
L'explosion s'est produite vers 3H45 dans la boucherie halal du quartier de Vésines, à Châlette-sur-Loing (45). D'après un témoin de la scène, c'est le boucher, en arrivant de Rungis, qui aurait provoqué l'explosion en allumant la lumière de son local. L'homme a été très sérieusement blessé. il a été transporté par hélicoptère à l'hôpital d'Orléans la Source.
73 pompiers, 29 engins et une brigade cynophile de recherche de victimes ont été dépêchés sur les lieux. Une trentaine de personnes, habitant l'immeuble adjacent, ont été évacuées, à cause de l'incendie qui a suivi, et prises en charge dans un foyer municipal d'accueil. Elles ont pu rejoindre leurs domiciles à 8h15.
Les différents témoins qualifient l'explosion d'extrêmement violente, "comme un tremblement de terre".
La police a ouvert une enquête. Pour l'heure, l'hypothèse d'une fuite de gaz est examinée
http://centre.france3.fr/2014/05/20/explosion-dans-un-immeuble-chalette-sur-loing-45-480733.html
Tarnos (40) : des surfeurs piégés par les filets des pêcheurs
Des pêcheurs les mettraient en danger, en posant leurs filets trop près du rivage
Les surfeurs des « spots » (coins à vagues) tarnosiens se sont réunis pour exprimer leur colère, samedi, sur la plage du Métro. Depuis le mois d'avril, ils dénoncent ces maudits « filets dans les vagues », menaçants pour leur intégrité physique. Après avoir cherché la provenance de ces pièges à surfeurs, ils ont identifié un bateau de Capbreton, qui vient « poser des filets, perpendiculairement au rivage ».
Le pêcheur opérerait à proximité immédiate de la plage, dans la bande des 300 mètres - à partir du rivage - réservée aux activités nautiques. Ces incursions territoriales seraient apparues voilà deux ans. Et reviendraient de façon sporadique.
« C'est très dangereux »
Or depuis deux mois, les surfeurs boivent la tasse, jurant être les victimes de poses de filets à répétition, depuis la digue Nord de Tarnos, jusqu'à Ondres. Et voilà ce qu'ils subiraient : « Lorsque vous partez sur une vague, des flotteurs blancs sortent de l'eau en chapelet, d'un seul coup. Ils vous coupent la trajectoire. » L'obstacle plongerait et ressurgirait en continu, avec les mouvements de l'eau. D'où le risque de se faire prendre dans les filets.
« C'est très dangereux, surtout lorsque cela coïncide avec un courant de baïne », reprennent les surfeurs. Le risque existerait aussi pour les plongeurs, lorsque le pêcheur professionnel jette ses filets au pied de la digue de Tarnos.
Voilà pourquoi une vingtaine de surfeurs, soutenus par l'association du site du Métro, se sont rassemblés sur le sable tarnosien. Ils souhaitent une rapide prise de conscience des autorités, avant qu'un drame ne se produise. Leur objectif : sensibiliser le grand public, après avoir contacté les Affaires maritimes et la mairie de Tarnos.
Réponse attendue
Alain Perret, adjoint au maire, les a rencontrés. Bien que l'affaire sorte du champ de compétence communal, le premier édile a interpellé la préfecture maritime de Brest (géographiquement compétente) par courrier.
« Le problème se pose aussi pour les deux écoles de surf de la commune », ajoute Alain Perret, qui rappelle l'interdiction d'opérer dans la bande réservée aux activités nautiques.
Du côté de la mairie, une réponse rapide de la préfecture est attendue. Les surfeurs n'en espèrent pas moins, eux qui connurent quelques accrochages verbaux avec les pêcheurs.
http://www.sudouest.fr/2014/05/20/des-surfeurs-pieges-1560068-4018.php
Les surfeurs des « spots » (coins à vagues) tarnosiens se sont réunis pour exprimer leur colère, samedi, sur la plage du Métro. Depuis le mois d'avril, ils dénoncent ces maudits « filets dans les vagues », menaçants pour leur intégrité physique. Après avoir cherché la provenance de ces pièges à surfeurs, ils ont identifié un bateau de Capbreton, qui vient « poser des filets, perpendiculairement au rivage ».
Le pêcheur opérerait à proximité immédiate de la plage, dans la bande des 300 mètres - à partir du rivage - réservée aux activités nautiques. Ces incursions territoriales seraient apparues voilà deux ans. Et reviendraient de façon sporadique.
« C'est très dangereux »
Or depuis deux mois, les surfeurs boivent la tasse, jurant être les victimes de poses de filets à répétition, depuis la digue Nord de Tarnos, jusqu'à Ondres. Et voilà ce qu'ils subiraient : « Lorsque vous partez sur une vague, des flotteurs blancs sortent de l'eau en chapelet, d'un seul coup. Ils vous coupent la trajectoire. » L'obstacle plongerait et ressurgirait en continu, avec les mouvements de l'eau. D'où le risque de se faire prendre dans les filets.
« C'est très dangereux, surtout lorsque cela coïncide avec un courant de baïne », reprennent les surfeurs. Le risque existerait aussi pour les plongeurs, lorsque le pêcheur professionnel jette ses filets au pied de la digue de Tarnos.
Voilà pourquoi une vingtaine de surfeurs, soutenus par l'association du site du Métro, se sont rassemblés sur le sable tarnosien. Ils souhaitent une rapide prise de conscience des autorités, avant qu'un drame ne se produise. Leur objectif : sensibiliser le grand public, après avoir contacté les Affaires maritimes et la mairie de Tarnos.
Réponse attendue
Alain Perret, adjoint au maire, les a rencontrés. Bien que l'affaire sorte du champ de compétence communal, le premier édile a interpellé la préfecture maritime de Brest (géographiquement compétente) par courrier.
« Le problème se pose aussi pour les deux écoles de surf de la commune », ajoute Alain Perret, qui rappelle l'interdiction d'opérer dans la bande réservée aux activités nautiques.
Du côté de la mairie, une réponse rapide de la préfecture est attendue. Les surfeurs n'en espèrent pas moins, eux qui connurent quelques accrochages verbaux avec les pêcheurs.
http://www.sudouest.fr/2014/05/20/des-surfeurs-pieges-1560068-4018.php
Paris XVIIIe : 3 policiers mis en examen
Le parquet de Paris aurait mis, samedi, trois policiers, un agent de sécurité, un policier stagiaire et un brigadier en examen pour "violences aggravées et insultes raciales", rapporte i>Télé.
Le brigradier; le plus haut gradé, serait soupçonné d'avoir agressé physiquement et verbalement plusieurs vendeurs à la sauvette lors d'interpellations mais aussi au sein du commissariat. Les autres seraient des témoins des faits qu'ils n'auraient pas dénoncés.
Tandis que le brigadier s'est vu signifier une interdiction d'exercer, ses deux autres collègues ont quant à eux eu l'autorisation de continuer, sous certaines conditions. L'IGPN, la police des polices, a été saisie de l'enquête.
C'est un quatrième policier qui aurait dénoncé les faits, et aurait depuis été muté dans un autre commissariat.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/20/97001-20140520FILWWW00132-paris-xviiie-3-policiers-mis-en-examen.php
Le brigradier; le plus haut gradé, serait soupçonné d'avoir agressé physiquement et verbalement plusieurs vendeurs à la sauvette lors d'interpellations mais aussi au sein du commissariat. Les autres seraient des témoins des faits qu'ils n'auraient pas dénoncés.
Tandis que le brigadier s'est vu signifier une interdiction d'exercer, ses deux autres collègues ont quant à eux eu l'autorisation de continuer, sous certaines conditions. L'IGPN, la police des polices, a été saisie de l'enquête.
C'est un quatrième policier qui aurait dénoncé les faits, et aurait depuis été muté dans un autre commissariat.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/20/97001-20140520FILWWW00132-paris-xviiie-3-policiers-mis-en-examen.php
Un témoin du meurtre de Saint-Lys raconte : «Il est revenu armé et a frappé»
L'autopsie a confirmé que Christophe Cappellari avait été touché par trois coups de couteau dont un mortel samedi à Saint-Lys. Retour sur le drame avec un témoin direct.
Choquée samedi après la mort d'un de ses enfants, la ville de Saint-Lys n'arrive pas à se réveiller après l'agression qui a coûté la vie à Christophe Cappellari, 28 ans. Cet électricien, joueur de rugby de Sainte-Foy de Peyrolières devait se marier le 28 juin avec Marina, qui tenait «le Millénium».
«Christophe donnait souvent un coup de main le week-end, raconte un habitué. Vendredi, c'était la dernière…» Le couple rendait les clefs samedi. L'occasion de réunir les amis, notamment du rugby. «Ce n'était pas une beuverie, insiste Kevin. C'était bon enfant avec les habitués. Tout le monde se connaissait. Tous sauf deux gars…»
Ce témoin, entendu comme trente autres personnes par les gendarmes ce week-end, est arrivé vers minuit. «L'homme et son ami étaient déjà là. Plus tard, il a voulu prendre une bouteille et s'est fait virer. Il devait être 3 heures, 3 h 15…»
L'individu a disparu. Les investigations des gendarmes, notamment les auditions de deux jeunes femmes mises en examen dimanche par le juge (notre édition de lundi) ont reconstitué son emploi du temps. Revenu dans l'appartement de la rue Olive, où il avait passé le début de la soirée, il s'est posé quelques minutes avant de ressortir avec un couteau de cuisine de 20 cm. «Quand il est revenu, il est entré dans le bar. Le père de Marina a voulu le bloquer. Il l'a frappé avec le couteau dans l'épaule. Christophe l'a alors sorti et c'est là que ce type l'a frappé, plusieurs fois. Après il est parti en courant. J'ai entendu : Il l'a planté. Je lui ai couru après et je l'ai plaqué.»
Là, le suspect, Grégory Le M., a pris des coups. «Nous n'étions pas une dizaine, c'est faux. Puis il a réussi à s'extirper et je l'ai rattrapé avec un copain rue Olive. Là, à deux, on lui a mis une raclée. Il venait de planter Christophe sans raison. C'est lui le criminel, pas nous !»
Une soirée d'autant plus difficile pour ce témoin qu'il venait d'assister aux obsèques de Quentin, mort à Toulouse de plusieurs coups de couteau. «Lui aussi était mon ami. Ces comportements, ces couteaux qui sortent, c'est inacceptable. Surtout qu'au départ, quand ils l'ont viré du Millénium, il n'y a pas eu de violence !»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/20/1884556-temoin-meurtre-saint-lys-raconte-est-revenu-arme-frappe.html
Choquée samedi après la mort d'un de ses enfants, la ville de Saint-Lys n'arrive pas à se réveiller après l'agression qui a coûté la vie à Christophe Cappellari, 28 ans. Cet électricien, joueur de rugby de Sainte-Foy de Peyrolières devait se marier le 28 juin avec Marina, qui tenait «le Millénium».
«Christophe donnait souvent un coup de main le week-end, raconte un habitué. Vendredi, c'était la dernière…» Le couple rendait les clefs samedi. L'occasion de réunir les amis, notamment du rugby. «Ce n'était pas une beuverie, insiste Kevin. C'était bon enfant avec les habitués. Tout le monde se connaissait. Tous sauf deux gars…»
Ce témoin, entendu comme trente autres personnes par les gendarmes ce week-end, est arrivé vers minuit. «L'homme et son ami étaient déjà là. Plus tard, il a voulu prendre une bouteille et s'est fait virer. Il devait être 3 heures, 3 h 15…»
L'individu a disparu. Les investigations des gendarmes, notamment les auditions de deux jeunes femmes mises en examen dimanche par le juge (notre édition de lundi) ont reconstitué son emploi du temps. Revenu dans l'appartement de la rue Olive, où il avait passé le début de la soirée, il s'est posé quelques minutes avant de ressortir avec un couteau de cuisine de 20 cm. «Quand il est revenu, il est entré dans le bar. Le père de Marina a voulu le bloquer. Il l'a frappé avec le couteau dans l'épaule. Christophe l'a alors sorti et c'est là que ce type l'a frappé, plusieurs fois. Après il est parti en courant. J'ai entendu : Il l'a planté. Je lui ai couru après et je l'ai plaqué.»
Là, le suspect, Grégory Le M., a pris des coups. «Nous n'étions pas une dizaine, c'est faux. Puis il a réussi à s'extirper et je l'ai rattrapé avec un copain rue Olive. Là, à deux, on lui a mis une raclée. Il venait de planter Christophe sans raison. C'est lui le criminel, pas nous !»
Une soirée d'autant plus difficile pour ce témoin qu'il venait d'assister aux obsèques de Quentin, mort à Toulouse de plusieurs coups de couteau. «Lui aussi était mon ami. Ces comportements, ces couteaux qui sortent, c'est inacceptable. Surtout qu'au départ, quand ils l'ont viré du Millénium, il n'y a pas eu de violence !»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/20/1884556-temoin-meurtre-saint-lys-raconte-est-revenu-arme-frappe.html
Loto : gain de 23 millions d’euros, 2e gain le plus important
Un joueur a gagné ce lundi soir au Loto 23 millions d’euros, soit le deuxième gain le plus important dans l’histoire de ce jeu, selon les résultats publiés sur le site de la Française des Jeux (FDJ).
Ce gagnant - pour le moment inconnu - a été le seul a cocher les six bons numéros nécessaires. La FDJ devrait révéler dans les tout prochains jours le département où le bulletin gagnant a été validé.
Au Loto, chaque joueur dispose d’une chance sur 19 068 840 de cocher les six bons numéros pour une mise de base de deux euros.
Voici la liste des plus gros gains au Loto, jeu né en 1976:
- 24.000.000 euros, le 6 juin 2011 à Sarcelles (Val-d’Oise)
- 23.000.000 euros, le 19 mai 2014
- 22.000.000 euros, le 13 juillet 2013 à Paris
- 19.000.017 euros, le 2 mai 2009 à Rumilly (Haute-Savoie)
- 17.000.000 euros, le 21 mars 2013 à Etampes (Essonne)
- 17.000.000 euros, le 13 novembre 2009 à Canteleu (Seine-Maritime)
- 17.000.000 euros, le 14 février 2009 à Volx (Alpes-de-Haute-Provence)
- 16.000.000 euros, le 5 avril 2013 en Polynésie
- 15.350.074 euros, le 26 mai 2006 à Calvi (Corse)
- 15.004.838 euros, le 26 mai 2006 à Nevers (Nièvre)
- 15.002.004 euros, le 13 octobre 2006 à l’Union (Haute-Garonne)
- 15.000.000 euros, le 6 juillet 2011 à Saint-Mandrier (Var)
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/19/loto-gain-de-23-millions-d-euros-2e-gain-le-plus-important
Ce gagnant - pour le moment inconnu - a été le seul a cocher les six bons numéros nécessaires. La FDJ devrait révéler dans les tout prochains jours le département où le bulletin gagnant a été validé.
Au Loto, chaque joueur dispose d’une chance sur 19 068 840 de cocher les six bons numéros pour une mise de base de deux euros.
Voici la liste des plus gros gains au Loto, jeu né en 1976:
- 24.000.000 euros, le 6 juin 2011 à Sarcelles (Val-d’Oise)
- 23.000.000 euros, le 19 mai 2014
- 22.000.000 euros, le 13 juillet 2013 à Paris
- 19.000.017 euros, le 2 mai 2009 à Rumilly (Haute-Savoie)
- 17.000.000 euros, le 21 mars 2013 à Etampes (Essonne)
- 17.000.000 euros, le 13 novembre 2009 à Canteleu (Seine-Maritime)
- 17.000.000 euros, le 14 février 2009 à Volx (Alpes-de-Haute-Provence)
- 16.000.000 euros, le 5 avril 2013 en Polynésie
- 15.350.074 euros, le 26 mai 2006 à Calvi (Corse)
- 15.004.838 euros, le 26 mai 2006 à Nevers (Nièvre)
- 15.002.004 euros, le 13 octobre 2006 à l’Union (Haute-Garonne)
- 15.000.000 euros, le 6 juillet 2011 à Saint-Mandrier (Var)
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/19/loto-gain-de-23-millions-d-euros-2e-gain-le-plus-important
lundi 19 mai 2014
Marmande (47) : une bagarre éclate lors d'un entraînement de rugby
La bagarre a éclaté vendredi, près du terrain situé derrière la résidence Château d'eau où s’entraînaient les Cadets de l’USM
On en est venu aux poings, vendredi soir, du côté du terrain municipal de rugby, situé derrière la résidence Château d'eau. Une bagarre loin d'être anodine puisque les tensions entre les jeunes de la résidence et ceux qui s'entraînent existent depuis un moment. La gendarmerie a dû intervenir vers 19 h 30, vendredi, pour mettre fin à ces échauffourées, en usant de gaz lacrymogènes. Au vu de la gravité de la situation, le maire Daniel Benquet s'est également rendu sur place.
Que s'est-il passé exactement lors de l'entraînement des cadets de l'USM ? Les versions divergeaient encore ce week-end.
Excédé par des dérapages à répétition en voiture, devant le terrain, un entraîneur, par ailleurs policier municipal, serait intervenu en interpellant un jeune, sur place. Voyant son fils se faire invectiver, le père de celui-ci se serait interposé de façon musclée. La bagarre, les insultes, les jets de bouteilles d'eau (notamment contre un gendarme arrivé sur place) ont rapidement pris de l'ampleur.
Le fils nie avoir été l'auteur des provocations en voiture. Il venait d'arriver, selon lui, et a été violemment sorti de sa voiture et pris à parti par le policier municipal. D'autres témoignages attestent que c'est le père qui a provoqué la bagarre en donnant les premiers coups, sans discuter préalablement. Toujours est-il que côté rugbymen, comme des habitants de la résidence, il y a des blessés.
Trois plaintes ont été déposées samedi, de la part du club et du policier municipal. Et deux plaintes (au moins) devaient être déposées, dimanche, pour l'autre partie. Une enquête judiciaire est actuellement en cours. Elle s'orienterait vers des violences en réunion.
« Je ne peux pas laisser s'installer un climat de la sorte à Marmande. Ma position dans cette affaire sera très ferme », affirmait ce week-end le maire, Daniel Benquet. Il rencontrera la famille vivant au Château d'eau, ce lundi soir, pour l'entendre sur l'incident de vendredi. « J'éclaircirai également les choses côté club. Une enquête interne sera faite et des décisions seront prises pour calmer les choses. Des sanctions s'il le faut. »
Cette bagarre intervient alors que le climat au sein de la résidence du Château d'eau est loin d'être paisible. Des locataires de cette résidence HLM se plaignent du comportement de jeunes. Ces jeunes et certains de leurs parents, d'origine maghrébine, dénoncent de la stigmatisation et réclament qu'on les laisse « vivre en paix, on est Marmandais ! »
Le président d'honneur de l'Amicale des locataires, Michel Céruti, revient à sa proposition d'un éducateur de rue. « Depuis un an, on travaille pour instaurer des échanges. Il faut aller plus loin. Je sais également qu'avait été actée l'installation d'une caméra de vidéoprotection mais qu'il fallait l'inscrire au budget. Ce serait peut-être le moment d'y repenser. »
http://www.sudouest.fr/2014/05/19/l-entrainement-a-mal-tourne-au-chateau-d-eau-1559154-3755.php
On en est venu aux poings, vendredi soir, du côté du terrain municipal de rugby, situé derrière la résidence Château d'eau. Une bagarre loin d'être anodine puisque les tensions entre les jeunes de la résidence et ceux qui s'entraînent existent depuis un moment. La gendarmerie a dû intervenir vers 19 h 30, vendredi, pour mettre fin à ces échauffourées, en usant de gaz lacrymogènes. Au vu de la gravité de la situation, le maire Daniel Benquet s'est également rendu sur place.
Que s'est-il passé exactement lors de l'entraînement des cadets de l'USM ? Les versions divergeaient encore ce week-end.
Excédé par des dérapages à répétition en voiture, devant le terrain, un entraîneur, par ailleurs policier municipal, serait intervenu en interpellant un jeune, sur place. Voyant son fils se faire invectiver, le père de celui-ci se serait interposé de façon musclée. La bagarre, les insultes, les jets de bouteilles d'eau (notamment contre un gendarme arrivé sur place) ont rapidement pris de l'ampleur.
Le fils nie avoir été l'auteur des provocations en voiture. Il venait d'arriver, selon lui, et a été violemment sorti de sa voiture et pris à parti par le policier municipal. D'autres témoignages attestent que c'est le père qui a provoqué la bagarre en donnant les premiers coups, sans discuter préalablement. Toujours est-il que côté rugbymen, comme des habitants de la résidence, il y a des blessés.
Trois plaintes ont été déposées samedi, de la part du club et du policier municipal. Et deux plaintes (au moins) devaient être déposées, dimanche, pour l'autre partie. Une enquête judiciaire est actuellement en cours. Elle s'orienterait vers des violences en réunion.
« Je ne peux pas laisser s'installer un climat de la sorte à Marmande. Ma position dans cette affaire sera très ferme », affirmait ce week-end le maire, Daniel Benquet. Il rencontrera la famille vivant au Château d'eau, ce lundi soir, pour l'entendre sur l'incident de vendredi. « J'éclaircirai également les choses côté club. Une enquête interne sera faite et des décisions seront prises pour calmer les choses. Des sanctions s'il le faut. »
Cette bagarre intervient alors que le climat au sein de la résidence du Château d'eau est loin d'être paisible. Des locataires de cette résidence HLM se plaignent du comportement de jeunes. Ces jeunes et certains de leurs parents, d'origine maghrébine, dénoncent de la stigmatisation et réclament qu'on les laisse « vivre en paix, on est Marmandais ! »
Le président d'honneur de l'Amicale des locataires, Michel Céruti, revient à sa proposition d'un éducateur de rue. « Depuis un an, on travaille pour instaurer des échanges. Il faut aller plus loin. Je sais également qu'avait été actée l'installation d'une caméra de vidéoprotection mais qu'il fallait l'inscrire au budget. Ce serait peut-être le moment d'y repenser. »
http://www.sudouest.fr/2014/05/19/l-entrainement-a-mal-tourne-au-chateau-d-eau-1559154-3755.php
5 parents en haut de la cathédrale de Strasbourg
Trois hommes et deux femmes sont montés sur la plateforme de la cathédrale de Strasbourg pour défendre leur autorité parentale rapporte Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Les manifestants ont accroché des banderoles avec leurs revendications et quatre d'entre eux se sont enchaînés les uns aux autres.
Les autorités ont décidé de fermer la plateforme de la cathédrale aux touristes.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/19/97001-20140519FILWWW00092-5-parents-en-haut-de-la-cathedrale-de-strasbourg.php
Les autorités ont décidé de fermer la plateforme de la cathédrale aux touristes.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/19/97001-20140519FILWWW00092-5-parents-en-haut-de-la-cathedrale-de-strasbourg.php
HAUTE-LOIRE. Enfermé dans un appartement, le mineur ivre décide de sauter du troisième étage
Un adolescent de 17 ans s’est blessé à une cheville, dimanche aux environs de 10 heures, dans la cité HLM des « Acacias » à Pont-Salomon. Des blessures qui restent relativement modérées au regard de sa chute puisque l’adolescent aurait sauté depuis une fenêtre située au troisième étage.
Les circonstances de son geste restent floues. Selon les éléments recueillis par les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Didier-en-Velay, le garçon aurait voulu s’extraire de l’appartement d’une amie qui l’hébergeait. La porte étant fermée à clé, le jeune homme aurait alors essayé de sauter par la fenêtre.
En état d’ébriété, le garçon a été pris en charge par les sapeurs-pompiers de Monistrol-sur-Loire, rejoints par un infirmier sapeur-pompier de Saint-Didier-en-Velay puis par une équipe médicale du SAMU de la Loire venue de Saint-Etienne.
Ses blessures, finalement moins graves que ce que la chute de plusieurs mètres aurait pu laisser craindre, ont seulement nécessité un transport sur les urgences de l’hôpital de Firminy afin d’y recevoir des soins.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/05/18/enferme-dans-un-appartement-le-mineur-ivre-decide-de-sauter-du-troisieme-etage
Les circonstances de son geste restent floues. Selon les éléments recueillis par les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Didier-en-Velay, le garçon aurait voulu s’extraire de l’appartement d’une amie qui l’hébergeait. La porte étant fermée à clé, le jeune homme aurait alors essayé de sauter par la fenêtre.
En état d’ébriété, le garçon a été pris en charge par les sapeurs-pompiers de Monistrol-sur-Loire, rejoints par un infirmier sapeur-pompier de Saint-Didier-en-Velay puis par une équipe médicale du SAMU de la Loire venue de Saint-Etienne.
Ses blessures, finalement moins graves que ce que la chute de plusieurs mètres aurait pu laisser craindre, ont seulement nécessité un transport sur les urgences de l’hôpital de Firminy afin d’y recevoir des soins.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/05/18/enferme-dans-un-appartement-le-mineur-ivre-decide-de-sauter-du-troisieme-etage
dimanche 18 mai 2014
Saint-Nazaire : le corps d'une femme retrouvé sur le chemin côtier
Le corps de cette femme de 55 ans a pu être identifié rapidement par la police, elle réside dans la presqu'île, des promeneurs avaient donné l'alerte en début d'après-midi
Le corps gisait en contre bas du chemin entre la plage Hulot à Saint-Marc et celle de la Courance. Un corps féminin avec un sac à main. Intact selon la police qui a pu ainsi pu identifier la personne sans difficulté. Les secours spécialisés en milieu périlleux ont pu remonter le corps de cette femme de 55 ans résidant dans la presqu'île guérandaise. La police n'exclut aucune hypothèse. Les vêtements et la présence de ce sac à main ainsi que les premières constatations faites sur place ne laissent pas penser à une affaire criminelle
http://pays-de-la-loire.france3.fr/2014/05/18/saint-nazaire-le-corps-dune-femme-retrouve-sur-le-chemin-cotier-479683.html
Le corps gisait en contre bas du chemin entre la plage Hulot à Saint-Marc et celle de la Courance. Un corps féminin avec un sac à main. Intact selon la police qui a pu ainsi pu identifier la personne sans difficulté. Les secours spécialisés en milieu périlleux ont pu remonter le corps de cette femme de 55 ans résidant dans la presqu'île guérandaise. La police n'exclut aucune hypothèse. Les vêtements et la présence de ce sac à main ainsi que les premières constatations faites sur place ne laissent pas penser à une affaire criminelle
http://pays-de-la-loire.france3.fr/2014/05/18/saint-nazaire-le-corps-dune-femme-retrouve-sur-le-chemin-cotier-479683.html
Saint Léger (47) : une voiture volée retrouvée dans le canal
Vide, ce véhicule avait été volé il y a deux mois
Un véhicule a été retrouvé samedi vers 21 heures dans le canal latéral à la Garonne, immergée au niveau de l'écluse de Saint-Léger, en Lot-et-Garonne. Les plongeurs des pompiers ont vérifié qu'il était vide d'occupant. Cette Scenic avait été volée le 14 mars dernier à Clairac (47).
http://www.sudouest.fr/2014/05/18/saint-leger-47-une-voiture-volee-retrouvee-dans-le-canal-1558479-3887.php
Un véhicule a été retrouvé samedi vers 21 heures dans le canal latéral à la Garonne, immergée au niveau de l'écluse de Saint-Léger, en Lot-et-Garonne. Les plongeurs des pompiers ont vérifié qu'il était vide d'occupant. Cette Scenic avait été volée le 14 mars dernier à Clairac (47).
http://www.sudouest.fr/2014/05/18/saint-leger-47-une-voiture-volee-retrouvee-dans-le-canal-1558479-3887.php
La Grand-Combe : coincé dans sa nacelle, à 18 mètres de hauteur, à l’intérieur de l’église
Alors que le chef d'entreprise faisait des travaux dans l'édifice religieux, l'engin s'est coincé. Il a donc fallu appeler les secours...
Coincé dans la nacelle thermique en bout de flèche, à 18 m de hauteur, Bernard Mélinas, le chef d’entreprise qui réalise les travaux de rénovation de la voûte, n’a jamais douté, mais il a surtout trouvé le temps long.
Vendredi, pour la reprise du chantier en début d’après-midi, il s’est retrouvé au travail sous la voûte, avant que le moteur de la nacelle ne s’arrête, sans pouvoir le redémarrer.
Dans cette position pour le moins inconfortable, l'homme n’avait pas moyen de redescendre. Les pompiers alertés, il a fallu se résoudre à faire appel à l’équipe du Grimp des pompiers (Groupement d'intervention en milieu périlleux).
Descente en rappel
Deux pompiers se sont hissés sur un échafaudage, se retrouvaient ainsi 5 m plus bas, quasiment à portée de Bernard.
Une fois la nacelle amarrée, les spécialistes se chargeaient de préparer, avec le concours du “prisonnier”, les cordages qui allaient lui permettre de descendre en rappel, solidement harnaché, sur l’échafaudage.
A 17 h 15, soit quatre heures après, il y mettait les pieds, avant de toucher le plancher des vaches. Le sauvetage a été spectaculaire et il a mis en avant le professionnalisme des hommes du Grimp. "Merci les gars" n’a pas manqué de leur dire Bernard Mélinas.
http://www.midilibre.fr/2014/05/17/coince-dans-sa-nacelle-a-18-metres-de-hauteur-a-l-interieur-de-l-eglise,862165.php
Coincé dans la nacelle thermique en bout de flèche, à 18 m de hauteur, Bernard Mélinas, le chef d’entreprise qui réalise les travaux de rénovation de la voûte, n’a jamais douté, mais il a surtout trouvé le temps long.
Vendredi, pour la reprise du chantier en début d’après-midi, il s’est retrouvé au travail sous la voûte, avant que le moteur de la nacelle ne s’arrête, sans pouvoir le redémarrer.
Dans cette position pour le moins inconfortable, l'homme n’avait pas moyen de redescendre. Les pompiers alertés, il a fallu se résoudre à faire appel à l’équipe du Grimp des pompiers (Groupement d'intervention en milieu périlleux).
Descente en rappel
Deux pompiers se sont hissés sur un échafaudage, se retrouvaient ainsi 5 m plus bas, quasiment à portée de Bernard.
Une fois la nacelle amarrée, les spécialistes se chargeaient de préparer, avec le concours du “prisonnier”, les cordages qui allaient lui permettre de descendre en rappel, solidement harnaché, sur l’échafaudage.
A 17 h 15, soit quatre heures après, il y mettait les pieds, avant de toucher le plancher des vaches. Le sauvetage a été spectaculaire et il a mis en avant le professionnalisme des hommes du Grimp. "Merci les gars" n’a pas manqué de leur dire Bernard Mélinas.
http://www.midilibre.fr/2014/05/17/coince-dans-sa-nacelle-a-18-metres-de-hauteur-a-l-interieur-de-l-eglise,862165.php
Vaucresson : un fourgon de CRS disparaît mystérieusement
Une camionnette sérigraphiée d'une compagnie de CRS basée à Vaucresson (Hauts-de-Seine) s'est volatilisée depuis le 5 mai, a révélé samedi Europe1.fr
Véhicule égaré, vol ou simple oubli d'un policier qui l'aurait déposé dans un autre endroit : les policiers ignoraient samedi en fin d'après-midi comment le véhicule qui ne passe pourtant pas inaperçu a pu disparaître.
Le véhicule s'est mystérieusement volatilisé alors qu'il était garé dans l'enceinte sécurisée de l'unité. C'est au cours d'une tournée de vérification du matériel de cette compagnie officiant sur l'autoroute que les policiers ont constaté la disparition.
Les policiers ont dû inscrire le fourgon au fichier national des véhicules volés et une enquête interne a été ouverte.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/vaucresson-mysterieuse-disparition-d-un-fourgon-de-crs-18-05-2014-3849613.php
Véhicule égaré, vol ou simple oubli d'un policier qui l'aurait déposé dans un autre endroit : les policiers ignoraient samedi en fin d'après-midi comment le véhicule qui ne passe pourtant pas inaperçu a pu disparaître.
Les policiers ont dû inscrire le fourgon au fichier national des véhicules volés et une enquête interne a été ouverte.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/vaucresson-mysterieuse-disparition-d-un-fourgon-de-crs-18-05-2014-3849613.php
samedi 17 mai 2014
Châtillon : un chauffeur de bus contrôlé positif aux stupéfiants après un accident
Ce samedi matin à Châtillon (Hauts-de-Seine), le chauffeur d’un bus RATP de la ligne 323 a percuté une voiture, provocant des accrochages en cascade entre quatre autres véhicules. L’accident s’est produit peu avant 11 h 30, à la limite de Malakoff. L’une des passagères du bus, souffrant de douleur aux cervicales, a dû être prise en charge par les secours.
Quant au conducteur de la RATP, il a été placé en garde à vue car son test de dépistage de produits stupéfiants s’est révélé positif.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/chatillon-un-chauffeur-de-bus-controle-positif-aux-stupefiants-apres-un-accident-17-05-2014-3849355.php
Quant au conducteur de la RATP, il a été placé en garde à vue car son test de dépistage de produits stupéfiants s’est révélé positif.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/chatillon-un-chauffeur-de-bus-controle-positif-aux-stupefiants-apres-un-accident-17-05-2014-3849355.php
Bordeaux : frappée pour une PlayStation
Le couple était séparé mais madame voulait absolument récupérer sa PlayStation. Alors elle s'est rendue au domicile de son ex-compagnon, rue du Docteur-Yersin, pour la récupérer. Lorsque le jeune homme de 19 ans a ouvert la porte à son ex, le ton est monté.
Des paroles, le jeune homme est ensuite passé aux gestes et a frappé son ex-amie au ventre. Interpellé par la police, il a reconnu les faits devant les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat central.
http://www.sudouest.fr/2014/05/17/bordeaux-frappee-pour-une-playstation-1558107-7.php
Des paroles, le jeune homme est ensuite passé aux gestes et a frappé son ex-amie au ventre. Interpellé par la police, il a reconnu les faits devant les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat central.
http://www.sudouest.fr/2014/05/17/bordeaux-frappee-pour-une-playstation-1558107-7.php
Fusillade de Gensac : vingt ans pour le tireur, dix et cinq pour ses complices
Il s'agit d'une attaque à main armée, ce qui est un niveau très élevé de délinquance. Qui plus est dans une commune de 123 habitants habituée au calme. Une action aux conséquences désastreuses avec deux blessés à vie» indiqua en début de réquisitoire l'avocat général Bernard Lambert.
Cela restait bien dans le contexte, relaté la veille au soir par le bâtonnier Jean Stremoouhoff avocat de la partie civile et de la victime Pierre Salvadori.
Pour Bernard Lambert, l'agression nocturne a été préméditée en répartissant les rôles des trois intervenants. «Il y a eu la volonté de le faire coûte que coûte» poursuit l'avocat général, en disant que ni l'aboiement des chiens, le coup de pied dans un seau, l'éclairage automatique qui s'allume, ni la présence d'une voiture devant l'entrée ne les avaient fait battre en retraite et même la fuite sauve- qui -peut avec rendez-vous à la voiture. Sur le fait de savoir qui a effectué le premier tir, Bernard Lambert indique «peu importe. L'attaque de nuit créée de fait la légitime défense».
Il allait requérir 5 ans de prison dont 3 ferme contre Jérémy Bouillet au rôle de «suiveur» parce qu'on peut être optimiste sur sa réinsertion dans la société. 8 à 10 ans de prison contre Nicolas Vion parce qu'il a été «acteur et qu'il doit assumer ses actes».
Enfin pour Philippe Fouquet l'avocat général allait demander de 15 à 17 ans de réclusion criminelle considéré comme étant «l'acteur principal en état de récidive légale et ayant l'autorité sur les deux autres».
Enfin, la tâche de Jean-Louis Pujol en défense de Philippe Fouquet s'annonçait compliquée «c'est un homme balayé par son parcours de vie. Dans cette affaire, il n'y a pas eu de préméditation et l'ordre des tirs me paraît important. Je ne pense pas que le scénario de la violence faisait partie du projet. Il voulait simplement voler». Comme le veut la loi, les accusés eurent la parole en dernier. Jérémy Bouillet présenta des excuses à Salvadori «je demande pardon». Nicolas Vion dit «peu importe qui a tiré le premier. Beaucoup de monde aurait fait comme vous» en s'adressant à Pierre Salvador.
Enfin Philippe Fouquet lâcha «je m'excuse Pierrot. Si je devais recommencer, je ferai différemment». Après moins de trois heures de délibéré, la cour et les jurés condamnaient Philippe Fouquet à 20 ans de réclusion criminelle plus que les réquisitions, Nicolas Vion à 10 ans de réclusion criminelle et enfin Jérémy Bouillet à 5 ans de prison dont deux avec sursis accompagné d'un sursis mise à l'épreuve de 3 ans.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/17/1882927-fusillade-gensac-vingt-ans-tireur-dix-cinq-complices.html
Cela restait bien dans le contexte, relaté la veille au soir par le bâtonnier Jean Stremoouhoff avocat de la partie civile et de la victime Pierre Salvadori.
Pour Bernard Lambert, l'agression nocturne a été préméditée en répartissant les rôles des trois intervenants. «Il y a eu la volonté de le faire coûte que coûte» poursuit l'avocat général, en disant que ni l'aboiement des chiens, le coup de pied dans un seau, l'éclairage automatique qui s'allume, ni la présence d'une voiture devant l'entrée ne les avaient fait battre en retraite et même la fuite sauve- qui -peut avec rendez-vous à la voiture. Sur le fait de savoir qui a effectué le premier tir, Bernard Lambert indique «peu importe. L'attaque de nuit créée de fait la légitime défense».
Il allait requérir 5 ans de prison dont 3 ferme contre Jérémy Bouillet au rôle de «suiveur» parce qu'on peut être optimiste sur sa réinsertion dans la société. 8 à 10 ans de prison contre Nicolas Vion parce qu'il a été «acteur et qu'il doit assumer ses actes».
Enfin pour Philippe Fouquet l'avocat général allait demander de 15 à 17 ans de réclusion criminelle considéré comme étant «l'acteur principal en état de récidive légale et ayant l'autorité sur les deux autres».
Des plaidoiries axées sur le rôle de chacun
Laurent Mascaras débutait la série des plaidoiries dans l'intérêt de Jérémy Bouillet «on ne doit le juger que pour ce qu'il a fait». L'avocat s'efforça à démontrer le rôle secondaire de son client dans la fusillade. Un homme qui allait «détaler comme un lapin» lorsqu'il entendit le premier coup de feu. Pour l'avocat, Jérémy Bouillet n' est ni l'acteur, ni le metteur en scène, mais un simple spectateur les yeux fermés. Pour la première fois de sa carrière devant une cour d'assises Imane Krimi-Chabab se levait en défense de Nicolas Vion. Elle allait retracer avec brio et en captivant l'attention des jurés la personnalité de l'accusé avant que Charlotte Levi ne prenne le relais et poursuive «Nicolas Vion n'est pas un braqueur, un simple voleur, qui ce soir-là a fui ses responsabilités. Il n'a été en rien dans la préparation. Il n'était pas pour attenter aux jours de la victime. Comme au théâtre, il y a un distinguo à faire sur les rôles des différents acteurs». Elle supplia les jurés de ne pas renvoyer en prison cet homme qui gardera une trace indélébile de ce qu'il a fait avec sa main blessée.Enfin, la tâche de Jean-Louis Pujol en défense de Philippe Fouquet s'annonçait compliquée «c'est un homme balayé par son parcours de vie. Dans cette affaire, il n'y a pas eu de préméditation et l'ordre des tirs me paraît important. Je ne pense pas que le scénario de la violence faisait partie du projet. Il voulait simplement voler». Comme le veut la loi, les accusés eurent la parole en dernier. Jérémy Bouillet présenta des excuses à Salvadori «je demande pardon». Nicolas Vion dit «peu importe qui a tiré le premier. Beaucoup de monde aurait fait comme vous» en s'adressant à Pierre Salvador.
Enfin Philippe Fouquet lâcha «je m'excuse Pierrot. Si je devais recommencer, je ferai différemment». Après moins de trois heures de délibéré, la cour et les jurés condamnaient Philippe Fouquet à 20 ans de réclusion criminelle plus que les réquisitions, Nicolas Vion à 10 ans de réclusion criminelle et enfin Jérémy Bouillet à 5 ans de prison dont deux avec sursis accompagné d'un sursis mise à l'épreuve de 3 ans.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/17/1882927-fusillade-gensac-vingt-ans-tireur-dix-cinq-complices.html
Paris: 15 ans de prison pour meurtre
La cour d'assises de Paris condamné aujourd'hui à 15 ans de réclusion criminelle un Roumain pour le meurtre d'un expert en livres anciens, notamment pour Drouot, en retraite, auquel il vendait ses charmes. La condamnation a suivi les réquisitions de l'accusation. La défense, soulignant le doute né de l'absence d'éléments matériels, avait demandé l'acquittement. Ses avocats ont indiqué n'avoir pas encore décidé s'ils feraient appel. Mais la cour a notamment estimé que les mensonges et revirements de l'accusé pendant l'instruction, ainsi que ses antécédents judiciaires en Roumanie, où il a deux fois fait de la prison, pour tentative de meurtre puis vols, ôtaient toute crédibilité à ses dénégations.
Daniel Ghintu, aujourd'hui âgé de 35 ans, a toujours nié avoir tué Jimmy Drulhon, 65 ans, retrouvé par un ancien compagnon, qui avait les clés de son domicile du chic VIe arrondissement, égorgé nu dans son lit un dimanche soir de mars 2011. Pas de traces d'effraction ni de lutte. L'arme du crime n'a jamais été retrouvée. Mais à partir de l'agenda de la victime, de la téléphonie et de sa carte bancaire, les enquêteurs ont rapidement été sur la piste de "Daniel (Rom)", dont l'expert avait noté la rencontre en février dans un square parisien connu pour être un lieu de rencontres homosexuelles, souvent tarifées.
Identifié notamment grâce à des images de caméra de surveillance alors qu'il tentait d'utiliser la carte bancaire de la victime, Daniel Ghintu, ciblé par un mandat d'arrêt international, se présentera de lui-même à la police, à Nice, le 19 juillet. Il a reconnu être allé chez Jimmy Drulhon le jour du crime, avoir eu avec lui une relation sexuelle tarifée, volé ses affaires, mais a toujours assuré l'avoir ensuite quitté bien vivant au jardin du Luxembourg tout proche. Rappelant que les déclarations de l'accusé, notamment sur ses horaires le jour du meurtre, ont varié au cours de l'instruction, l'avocate générale Maryvonne Caillibotte avait fustigé son "jeu avec des alibis à géométrie variable".
Et si aucune trace - empreintes, ADN - de Daniel Ghintu n'a été retrouvée dans l'appartement, alors que du sperme à l'ADN inconnu a été retrouvé sur les draps et le corps de la victime, elle a jugé que "toutes ces impossibilités, tous ces mensonges", constituaient "un faisceau (...) qui vous conduit vers Daniel Ghintu". "Il n'y a aucune preuve matérielle. C'est une construction malveillante sur le principe quand on aura le voleur, on aura le coupable", avait lancé pour la défense Me Elise Arfi, fustigeant une enquête "bâclée, insuffisante, paresseuse". Elle a notamment regretté que "la double vie" de Jimmy Drulhon n'ait pas été une piste des enquêteurs. "Ne me faites pas croire que M. Ghintu est la seule personne qu'il ait rencontrée dans un square et ramenée chez lui."
"Il y a un crime, il faut un coupable. Ce n'est pas à nous de déconstruire l'accusation, c'est à l'accusation d'apporter la preuve implacable", avait renchéri Me Fabrice Epstein. "Si on ne sait pas, il ne faut pas en faire le reproche à l'accusé."
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/16/97001-20140516FILWWW00427-paris-15-ans-de-prison-pour-meurtre.php
Daniel Ghintu, aujourd'hui âgé de 35 ans, a toujours nié avoir tué Jimmy Drulhon, 65 ans, retrouvé par un ancien compagnon, qui avait les clés de son domicile du chic VIe arrondissement, égorgé nu dans son lit un dimanche soir de mars 2011. Pas de traces d'effraction ni de lutte. L'arme du crime n'a jamais été retrouvée. Mais à partir de l'agenda de la victime, de la téléphonie et de sa carte bancaire, les enquêteurs ont rapidement été sur la piste de "Daniel (Rom)", dont l'expert avait noté la rencontre en février dans un square parisien connu pour être un lieu de rencontres homosexuelles, souvent tarifées.
Identifié notamment grâce à des images de caméra de surveillance alors qu'il tentait d'utiliser la carte bancaire de la victime, Daniel Ghintu, ciblé par un mandat d'arrêt international, se présentera de lui-même à la police, à Nice, le 19 juillet. Il a reconnu être allé chez Jimmy Drulhon le jour du crime, avoir eu avec lui une relation sexuelle tarifée, volé ses affaires, mais a toujours assuré l'avoir ensuite quitté bien vivant au jardin du Luxembourg tout proche. Rappelant que les déclarations de l'accusé, notamment sur ses horaires le jour du meurtre, ont varié au cours de l'instruction, l'avocate générale Maryvonne Caillibotte avait fustigé son "jeu avec des alibis à géométrie variable".
Et si aucune trace - empreintes, ADN - de Daniel Ghintu n'a été retrouvée dans l'appartement, alors que du sperme à l'ADN inconnu a été retrouvé sur les draps et le corps de la victime, elle a jugé que "toutes ces impossibilités, tous ces mensonges", constituaient "un faisceau (...) qui vous conduit vers Daniel Ghintu". "Il n'y a aucune preuve matérielle. C'est une construction malveillante sur le principe quand on aura le voleur, on aura le coupable", avait lancé pour la défense Me Elise Arfi, fustigeant une enquête "bâclée, insuffisante, paresseuse". Elle a notamment regretté que "la double vie" de Jimmy Drulhon n'ait pas été une piste des enquêteurs. "Ne me faites pas croire que M. Ghintu est la seule personne qu'il ait rencontrée dans un square et ramenée chez lui."
"Il y a un crime, il faut un coupable. Ce n'est pas à nous de déconstruire l'accusation, c'est à l'accusation d'apporter la preuve implacable", avait renchéri Me Fabrice Epstein. "Si on ne sait pas, il ne faut pas en faire le reproche à l'accusé."
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/16/97001-20140516FILWWW00427-paris-15-ans-de-prison-pour-meurtre.php
vendredi 16 mai 2014
Pau : le pharmacien a détourné au moins 1,2 million entre 2012 et 2014
C'est selon un procédé assez simple que la caisse de la pharmacie Ahallal s'est gonflée frauduleusement, entre mai 2012 et mai 2014 d'au moins 1,2 million d'euros. Par le système du tiers payant, le pharmacien incriminé présumé, un homme de 49 ans placé en détention provisoire jeudi soir, renouvelait "fictivement et massivement" des ordonnances concernant des médicaments onéreux, pour des assurés sociaux pris en charge à 100% et/ou souffrant d'affections de longue durée. 83 dossiers de patients ont été mis au jour par les enquêteurs de la police judiciaire.
Le praticien, qui dirigeait la pharmacie sise au quartier Saragosse, avenue du Loup, depuis septembre 2010, avait tenu précédemment des officines à Toulouse, et précédemment à Soissons. Son casier judiciaire est vierge.
Il a été arrêté, mardi dernier, alors qu'il s'apprêtait à faire un virement de 300 000 euros entre le compte de la pharmacie et l'un de ses comptes personnels. La Caisse primaire d'assurance maladie de Béarn et Soule avait saisi le procureur, Jean-Christophe Muller, le 2 avril dernier.
A ce stade de l'enquête, il semble que l'escroc présumé, qui n'a pas reconnu les faits, affirmant que ceux-ci se seraient produits dans son dos, ait agi sans aucune complicité ou complaisance de patients ou de médecins.
Le pharmacien a été placé en détention provisoire. Il est mis en examen pour escroquerie et blanchiment. Les investigations se poursuivent, pour établir le patrimoine que le personnage indélicat a amassé sur le dos de la Sécurité Sociale.
Un patrimoine constitué notamment de biens immobiliers au Maroc - pays dont il a la nationalité -, en Espagne et en France, et de véhicules de luxe - une Mercedes et une Jepp - achetés tout dernièrement rubis sur l'ongle. Il a notamment acquis une luxueuse habitation à Serres-Morlaàs.
http://www.sudouest.fr/2014/05/16/pau-le-pharmacien-a-detourne-au-moins-1-2-million-entre-2012-et-2014-1557143-4344.php
Le praticien, qui dirigeait la pharmacie sise au quartier Saragosse, avenue du Loup, depuis septembre 2010, avait tenu précédemment des officines à Toulouse, et précédemment à Soissons. Son casier judiciaire est vierge.
Il a été arrêté, mardi dernier, alors qu'il s'apprêtait à faire un virement de 300 000 euros entre le compte de la pharmacie et l'un de ses comptes personnels. La Caisse primaire d'assurance maladie de Béarn et Soule avait saisi le procureur, Jean-Christophe Muller, le 2 avril dernier.
A ce stade de l'enquête, il semble que l'escroc présumé, qui n'a pas reconnu les faits, affirmant que ceux-ci se seraient produits dans son dos, ait agi sans aucune complicité ou complaisance de patients ou de médecins.
Le pharmacien a été placé en détention provisoire. Il est mis en examen pour escroquerie et blanchiment. Les investigations se poursuivent, pour établir le patrimoine que le personnage indélicat a amassé sur le dos de la Sécurité Sociale.
Un patrimoine constitué notamment de biens immobiliers au Maroc - pays dont il a la nationalité -, en Espagne et en France, et de véhicules de luxe - une Mercedes et une Jepp - achetés tout dernièrement rubis sur l'ongle. Il a notamment acquis une luxueuse habitation à Serres-Morlaàs.
http://www.sudouest.fr/2014/05/16/pau-le-pharmacien-a-detourne-au-moins-1-2-million-entre-2012-et-2014-1557143-4344.php
Incendie dans une tour à L'Ile-Saint-Denis
Un feu s'est déclaré ce vendredi matin vers 9 h 30 au 7e étage d'une tour HLM de 15 étages à l'Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Quarante pompiers à bord de sept camions sont intervenus très rapidement et ont réussi à maîtriser l'incendie avant qu'il n'atteigne d'autres appartements.
Un couple de sexagénaires a été légèrement intoxiqués par les fumées.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/incendie-dans-une-tour-a-l-ile-saint-denis-16-05-2014-3845811.php
Un couple de sexagénaires a été légèrement intoxiqués par les fumées.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/incendie-dans-une-tour-a-l-ile-saint-denis-16-05-2014-3845811.php
Mazamet. Deux incendiaires sous les verrous
Deux des auteurs présumés des nombreux incendies volontaires commis à répétition à Mazamet et Aussillon ces dernières semaines ont été mis en examen et placés en détention hier. Une cinquantaine de délits auraient été ainsi élucidés.
Placés en garde à vue depuis mercredi au commissariat de Mazamet, deux des auteurs présumés des nombreux incendies volontaires, notamment de voitures, commis depuis plusieurs semaines sur l'agglomération Mazamet-Aussillon, ont été placés en détention hier. Du côté de la police, on préfère rester discret sur une affaire qui ne fait que débuter car les deux garçons incriminés, jeunes majeurs âgés de 18 et 19 ans, ont été mis en examen et placés en détention provisoire à Seysses et Albi.
L'enquête est donc maintenant entre les mains du juge d'instruction du tribunal de Castres. En revanche, côté commissariat mazamétain, on confirme que le dispositif de vigilance renforcé reste maintenu, notamment la nuit et le week-end, sur l'agglomération mazamétaine, et que les enquêteurs restent à l'écoute de la population 24 h/24 en cas de problème nouveau.
Selon nos informations, les deux auteurs présumés, domiciliés à Mazamet, auraient agi par désœuvrement, sans raison particulière, si ce n'est purement du vandalisme.
Mais le premier bilan avoué par ce tandem serait énorme : 14 voitures brûlées, 17 containers d'ordures ménagères détruits et 17 dégradations volontaires de voitures. L'essentiel de ces délits remonte à ces dernières semaines mais d'autres faits avoués seraient un peu plus anciens, datant du début de l'année.
Ces arrestations enlèvent donc une épine du pied des enquêteurs mais aussi des élus qui s'inquiétaient de cette série noire venue empoisonner le climat nocturne du bassin. Les maires d'Aussillon et Mazamet avaient notamment saisi la Préfecture dernièrement pour obtenir des moyens de surveillance et d'enquête supplémentaires compte tenu de ces incendies volontaires à répétition. Pour Olivier Fabre, maire de Mazamet : «Je me félicite bien sûr que cette enquête soit en bonne voie et aboutisse à des interpellations. C'est une bonne nouvelle qui démontre que le renfort des effectifs a été utile. Mais bien entendu, nous devons rester très vigilants.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/16/1881715-mazamet-deux-incendiaires-sous-les-verrous.html
Placés en garde à vue depuis mercredi au commissariat de Mazamet, deux des auteurs présumés des nombreux incendies volontaires, notamment de voitures, commis depuis plusieurs semaines sur l'agglomération Mazamet-Aussillon, ont été placés en détention hier. Du côté de la police, on préfère rester discret sur une affaire qui ne fait que débuter car les deux garçons incriminés, jeunes majeurs âgés de 18 et 19 ans, ont été mis en examen et placés en détention provisoire à Seysses et Albi.
L'enquête est donc maintenant entre les mains du juge d'instruction du tribunal de Castres. En revanche, côté commissariat mazamétain, on confirme que le dispositif de vigilance renforcé reste maintenu, notamment la nuit et le week-end, sur l'agglomération mazamétaine, et que les enquêteurs restent à l'écoute de la population 24 h/24 en cas de problème nouveau.
Selon nos informations, les deux auteurs présumés, domiciliés à Mazamet, auraient agi par désœuvrement, sans raison particulière, si ce n'est purement du vandalisme.
Mais le premier bilan avoué par ce tandem serait énorme : 14 voitures brûlées, 17 containers d'ordures ménagères détruits et 17 dégradations volontaires de voitures. L'essentiel de ces délits remonte à ces dernières semaines mais d'autres faits avoués seraient un peu plus anciens, datant du début de l'année.
Ces arrestations enlèvent donc une épine du pied des enquêteurs mais aussi des élus qui s'inquiétaient de cette série noire venue empoisonner le climat nocturne du bassin. Les maires d'Aussillon et Mazamet avaient notamment saisi la Préfecture dernièrement pour obtenir des moyens de surveillance et d'enquête supplémentaires compte tenu de ces incendies volontaires à répétition. Pour Olivier Fabre, maire de Mazamet : «Je me félicite bien sûr que cette enquête soit en bonne voie et aboutisse à des interpellations. C'est une bonne nouvelle qui démontre que le renfort des effectifs a été utile. Mais bien entendu, nous devons rester très vigilants.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/16/1881715-mazamet-deux-incendiaires-sous-les-verrous.html
Coup de feu lors d’une querelle entre voisins à Evry
Son geste aurait pu avoir de graves conséquences. Un habitant d’Evry (Essonne) a ouvert le feu ce jeudi après-midi lors d’une querelle avec un de ses voisins.
La scène s’est déroulée allée Boissy-d’Anglas. Le ou les coups de feu n’ont pas fait de blessé. En fin d’après-midi, le tireur et la personne avec laquelle il aurait eu un différend étaient entendus au commissariat d’Evry.
« L’enquête débute à peine, explique un policier. Il faudra d’abord déterminer si ce coup de feu a raté sa cible ou s’il s’agit d’une décharge tirée en l’air. »
http://www.leparisien.fr/essonne-91/coup-de-feu-lors-d-une-querelle-entre-voisins-a-evry-15-05-2014-3843419.php
La scène s’est déroulée allée Boissy-d’Anglas. Le ou les coups de feu n’ont pas fait de blessé. En fin d’après-midi, le tireur et la personne avec laquelle il aurait eu un différend étaient entendus au commissariat d’Evry.
« L’enquête débute à peine, explique un policier. Il faudra d’abord déterminer si ce coup de feu a raté sa cible ou s’il s’agit d’une décharge tirée en l’air. »
http://www.leparisien.fr/essonne-91/coup-de-feu-lors-d-une-querelle-entre-voisins-a-evry-15-05-2014-3843419.php
jeudi 15 mai 2014
Suspension du chef du service des urgences à l'hôpital de Guéret : les détails de l'affaire
Nous apprenions hier que l'ordre des médecins avait décidé de suspendre pour six mois dont trois ferme le chef du services des urgences de l'hôpital de Guéret. Les explications.
Le chef du service des urgences de l'hôpital de Guéret a été mis à pied pour six mois dont trois ferme depuis le 1er mai par le Conseil National de l'Ordre des Médecins.
En cause : le non diagnostic d'une embolie pulmonaire sur une jeune-femme de 23 ans. Elle est décédée 24 heures après avoir quitté les urgences. C'était en mai 2010. La famille de la victime avait alors porté plainte et alerté l'Ordre des Médecins.
Le conseil de l'ordre des médecins sanctionne ainsi un diagnostic inapproprié
.
http://limousin.france3.fr/2014/05/14/suspension-du-chef-du-service-des-urgences-l-hopital-de-gueret-les-details-de-l-affaire-477255.html
Le chef du service des urgences de l'hôpital de Guéret a été mis à pied pour six mois dont trois ferme depuis le 1er mai par le Conseil National de l'Ordre des Médecins.
En cause : le non diagnostic d'une embolie pulmonaire sur une jeune-femme de 23 ans. Elle est décédée 24 heures après avoir quitté les urgences. C'était en mai 2010. La famille de la victime avait alors porté plainte et alerté l'Ordre des Médecins.
Le conseil de l'ordre des médecins sanctionne ainsi un diagnostic inapproprié
.
En laissant Elodie Bagnard quitter l’hôpital quelques heures après son admission avec le diagnostic bénin de « malaise » et l’assurance que les résultats des examens étaient normaux, le chef de service a gravement manqué aux obligations résultant des dispositions du code de déontologie médicale.
http://limousin.france3.fr/2014/05/14/suspension-du-chef-du-service-des-urgences-l-hopital-de-gueret-les-details-de-l-affaire-477255.html
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