Un accident impliquant deux motos ce dimanche vers 16 H 20 sur une route départementale du Cher a fait deux morts, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers et du Cricr Ouest.
Les deux conducteurs des motos, seules personnes impliquées dans l’accident, sont décédés, ont informé les sapeurs-pompiers.
L’accident a eu lieu à hauteur de la commune de Jouet-sur-l’Aubois sur la D920, a indiqué dans un communiqué le Centre régional d’information et de coordination routière (Cricr) de l’Ouest. La route a été coupée et déviée localement, précise-t-on de même source
http://www.ledauphine.com/societe
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
lundi 31 mars 2014
Vague de malaises au collège d'Artix (64) : climat très tendu entre les parents et le principal
Alors qu'une centaine de parents d'élèves ont participé à la manifestation à laquelle ils avaient été appelés ce lundi matin, le climat s'est subitement tendu quand peu après 8h30, des élèves en retard sont rentrés en cours sous le contrôle du principal du collège, Vincent Dufau. Ce dernier a fait enlever aux collégiens les masques hygiéniques dont ils s'étaient munis.
Une mère de famille expliquait les raisons de sa présence à la manifestation : "On est inquiets car il y a eu de nouveaux malaises jeudi. Ça s'est passé dans la classe de mon fils. Il a eu très mal au ventre. Et c'est dans une des salles les moins polluées !"
Franck Cazabielle, un entraîneur de l'AS Artix football, père de deux élèves, témoignait une "grande baisse physique avérée depuis deux mois dans l'équipe des U13 (joueurs de 13 ans). Et même chez certains U15". Il poursuit : "Il y a une baisse de régime de gosses qui pourtant devraient connaitre un regain de forme en cette période de l'année".
Des parents devaient être reçus par le principal à l'intérieur du collège. A 9h20, un attroupement de parents et d'élèves était toujours constitué devant l'entrée de l'établissement.
http://www.sudouest.fr/2014/03/31/college-d-artix-climat-tres-tendu-entre-les-parents-d-eleves-et-le-principal-1510574-4344.php
Une mère de famille expliquait les raisons de sa présence à la manifestation : "On est inquiets car il y a eu de nouveaux malaises jeudi. Ça s'est passé dans la classe de mon fils. Il a eu très mal au ventre. Et c'est dans une des salles les moins polluées !"
Franck Cazabielle, un entraîneur de l'AS Artix football, père de deux élèves, témoignait une "grande baisse physique avérée depuis deux mois dans l'équipe des U13 (joueurs de 13 ans). Et même chez certains U15". Il poursuit : "Il y a une baisse de régime de gosses qui pourtant devraient connaitre un regain de forme en cette période de l'année".
Des parents devaient être reçus par le principal à l'intérieur du collège. A 9h20, un attroupement de parents et d'élèves était toujours constitué devant l'entrée de l'établissement.
http://www.sudouest.fr/2014/03/31/college-d-artix-climat-tres-tendu-entre-les-parents-d-eleves-et-le-principal-1510574-4344.php
Charente : un retraité en passe de devenir maire de Vibrac se suicide
La commune de Vibrac est en deuil ce dimanche. Son futur maire Philippe Sauty, qui devait prendre ses nouvelles fonctions d'édile a mis fin à ses jours dans la nuit de samedi à dimanche, selon La Charente Libre. Le quinquagénaire se serait suicidé à l'aide d'un fusil de chasse.
C'est son épouse qui a découvert le corps à leur domicile au réveil. La gendarmerie locale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes du drame.
Au premier tour des élections municipales, ce jeune retraité de la SNCF, 51 ans, avait été le mieux élu de sa commune, avec 75,14% des suffrages, soit 130 voix. L'élection du conseil municipal, prévue ce dimanche matin, a été immédiatement reportée sine die.
Toujours selon le journal charentais, la pression de son futur mandat semblait perturber Philippe Sauty ces jours derniers, sans que l'on puisse encore faire de lien entre le drame et son élection.
http://www.leparisien.fr/municipales-2014/en-regions/charente-un-retraite-en-passe-de-devenir-maire-de-vibrac-se-suicide-30-03-2014-3723257.php
C'est son épouse qui a découvert le corps à leur domicile au réveil. La gendarmerie locale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes du drame.
Au premier tour des élections municipales, ce jeune retraité de la SNCF, 51 ans, avait été le mieux élu de sa commune, avec 75,14% des suffrages, soit 130 voix. L'élection du conseil municipal, prévue ce dimanche matin, a été immédiatement reportée sine die.
Toujours selon le journal charentais, la pression de son futur mandat semblait perturber Philippe Sauty ces jours derniers, sans que l'on puisse encore faire de lien entre le drame et son élection.
http://www.leparisien.fr/municipales-2014/en-regions/charente-un-retraite-en-passe-de-devenir-maire-de-vibrac-se-suicide-30-03-2014-3723257.php
dimanche 30 mars 2014
Coups de feu à Orthez : quatre personnes écrouées
Deux garçons majeurs, leur mère, ainsi qu'un de leurs copains, tous les quatre sédentarisés à Orthez, ont été mis en examen pour violences aggravées samedi soir et écroués à la maison d'arrêt de Pau.
Ils sont soupçonnés d'avoir participé à des coups de feu échangés dans la nuit du 20 au 21 mars, d'abord à Ozenx-Montestrucq puis à Orthez, sur le terrain des gens du voyage derrière la caserne des pompiers, rue Bergereau.
Vendredi matin, d'abord sept, puis huit personnes avaient été interpellés.
28 armes et des munitions avaient été saisies. Les suspects avaient été déférés samedi après-midi. Le parquet avait requis le mandat de dépôt.
Une information judiciaire a été ouverte.
http://www.sudouest.fr/2014/03/30/coups-de-feu-a-orthez-quatre-personnes-ecrouees-1508820-4329.php
Ils sont soupçonnés d'avoir participé à des coups de feu échangés dans la nuit du 20 au 21 mars, d'abord à Ozenx-Montestrucq puis à Orthez, sur le terrain des gens du voyage derrière la caserne des pompiers, rue Bergereau.
Vendredi matin, d'abord sept, puis huit personnes avaient été interpellés.
28 armes et des munitions avaient été saisies. Les suspects avaient été déférés samedi après-midi. Le parquet avait requis le mandat de dépôt.
Une information judiciaire a été ouverte.
http://www.sudouest.fr/2014/03/30/coups-de-feu-a-orthez-quatre-personnes-ecrouees-1508820-4329.php
Saint-Géry: une maison ravagée par le feu
Une maison d'habitation de 80 m2, comprenant un rez-de-chaussée, un étage et un comble a été entièrement ravagée par un incendie hier à 15 heures, sur la commune de Saint-Géry. Fort heureusement, la propriétaire Éliane Van Caneghem, 84 ans, est sortie à temps. Il semblerait qu'un court-circuit soit à l'origine de l'incendie. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. Les sapeurs-pompiers des centres de secours de Cabrerets, Cahors, Cajarc, Lalbenque sont intervenus durant près de 5 heures compte tenu du vent qui rendait les conditions difficiles. «Nous allons trouver une solution de relogement pour cette dame. Ce soir (hier soir) elle va être logée chez une amie» indique le maire Bernard Austruy. Une chaîne de solidarité s'est déjà engagée. «Lorsqu'elle est sortie, elle n'avait pas de chaussures, juste des chaussons. J'ai eu mal au cœur pour elle, je lui ai donné des chaussures. Nous allons réfléchir à tout ce que nous pouvons faire pour l'aider» confie Marie-Agnès Ourcival- Vallet, présidente du club des aînés. «Dès demain matin, nous allons distribuer des courriers dans toutes les boîtes aux lettres du village. Toutes les personnes qui veulent donner des meubles, du linge, des habits, du petit électroménager pourront le déposer à la mairie. Nous allons également faire une collecte» confie Christiane Perrin, présidente de «Tous en forme».
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/30/1851721-saint-gery-une-maison-ravagee-par-le-feu.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/30/1851721-saint-gery-une-maison-ravagee-par-le-feu.html
samedi 29 mars 2014
Annonay : gravement brûlée dans le feu de son appartement
Un incendie s’est déclaré cette nuit dans l’immeuble situé au 24, rue de Tournon.
http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/03/29/annonay-gravement-brulee-dans-le-feu-de-son-appartement-rue-de-tournon
Un marin pêcheur blessé évacué par hélico au large de La Rochelle
Ce vendredi, vers 14h45, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage d'Etel était alerté par le navire de pêche "Oceanos", immatriculé aux Sables-d'Olonne (Vendée), que l'un de ses marins est grièvement blessé à une main. Le bateau se situait alors à 45 nautiques (environ 70 km) à l'ouest de La Rochelle.
La liaison est mauvaise, mais un relai radio par le sémaphore de Saint-Sauveur de l'île d'Yeu et un autre navire de pêche, le "Challenger", immatriculé aussi aux Sables-d'Olonne, permettait d'effectuer la consultation médicale à distance avec le Centre de consultation médicale maritime (CCMM) deToulouse.
Compte tenu de l'importance de la blessure de l'homme âgé de 43 ans, l'évacuation médicale était décidée. Le CROSS Etel a dépêché sur zone l'hélicoptère de la Marine nationale Dauphin basé à La Rochelle. L'appareil a décollé à 15h20.
Le blessé a été hélitreuillé à bord du Dauphin et conduit directement au centre hospitalier Saint-Louis de La Rochelle. Il a été pris en charge vers 16h30.
http://www.sudouest.fr/2014/03/28/un-marin-pecheur-blesse-evacue-par-helico-au-large-de-la-rochelle-1507597-1391.php
La liaison est mauvaise, mais un relai radio par le sémaphore de Saint-Sauveur de l'île d'Yeu et un autre navire de pêche, le "Challenger", immatriculé aussi aux Sables-d'Olonne, permettait d'effectuer la consultation médicale à distance avec le Centre de consultation médicale maritime (CCMM) deToulouse.
Compte tenu de l'importance de la blessure de l'homme âgé de 43 ans, l'évacuation médicale était décidée. Le CROSS Etel a dépêché sur zone l'hélicoptère de la Marine nationale Dauphin basé à La Rochelle. L'appareil a décollé à 15h20.
Le blessé a été hélitreuillé à bord du Dauphin et conduit directement au centre hospitalier Saint-Louis de La Rochelle. Il a été pris en charge vers 16h30.
http://www.sudouest.fr/2014/03/28/un-marin-pecheur-blesse-evacue-par-helico-au-large-de-la-rochelle-1507597-1391.php
Tarbes. Trois voitures brûlées : «un feu d'artifice»
Un premier incendie de voiture s'est propagé à deux autres véhicules sur le parking de Carrefour Market, jeudi soir, peu avant minuit. Une enquête est ouverte. La même nuit, un vol de véhicule dans un dépôt de presse.
Trois voitures ont brûlé peu avant minuit, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur le parking du Carrefour Market devant le boulevard Lacaussade. Un premier véhicule a pris feu et l'incendie s'est propagé aux deux autres qui se trouvaient à côté. «Ça a été un feu d'artifice», raconte Désiré Rey, domicilié juste en face.
Des voitures de son fils et de son beau-fils, il ne reste que de la tôle calcinée. «Ma femme a entendu boum ! boum ! boum ! Un type qui passait avec un camion a appelé les pompiers.»
Encore sous le choc, hier matin, ce riverain raconte qu'en ouvrant la porte de la maison, il a senti une très forte chaleur. «Pour moi c'est volontaire», lâche-t-il, écœuré. «Mon fils venait juste de finir de la payer. Les papiers étaient restés dans la boîte à gants. Heureusement, ils sont intacts.»
Les policiers tarbais ont ouvert une enquête. Pour l'heure, on ne connaît donc pas l'origine du sinistre.
Cependant, ce spectacle désespère quelque peu les passants. «C'est pas joli. J'ai vu ça à 7 h 15», glisse une cliente du supermarché. Pascale Cénac, l'employée de la boulangerie, exprime, elle aussi, sa stupéfaction.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, toujours à Tarbes, Christophe Tressens, dépositaire de presse, installé rue des Forges, sur l'ancien site Hughes Tool, s'est fait voler un Renault Master, véhicule utilitaire qui était garé dans le dépôt. «Ils ont descellé le cadre de la porte, remonté le volet roulant, (qu'ils ont pris soin de fermer avant de repartir) et ils ont volé le véhicule acheté il y a deux mois.» Plainte a, bien entendu, été déposée au commissariat. «On se passerait de choses comme ça», se lamente-t-il, annonçant qu'il va faire appel à un service de gardiennage «le temps de sécuriser l'entreprise».
Trois voitures ont brûlé peu avant minuit, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur le parking du Carrefour Market devant le boulevard Lacaussade. Un premier véhicule a pris feu et l'incendie s'est propagé aux deux autres qui se trouvaient à côté. «Ça a été un feu d'artifice», raconte Désiré Rey, domicilié juste en face.
Des voitures de son fils et de son beau-fils, il ne reste que de la tôle calcinée. «Ma femme a entendu boum ! boum ! boum ! Un type qui passait avec un camion a appelé les pompiers.»
Encore sous le choc, hier matin, ce riverain raconte qu'en ouvrant la porte de la maison, il a senti une très forte chaleur. «Pour moi c'est volontaire», lâche-t-il, écœuré. «Mon fils venait juste de finir de la payer. Les papiers étaient restés dans la boîte à gants. Heureusement, ils sont intacts.»
Les policiers tarbais ont ouvert une enquête. Pour l'heure, on ne connaît donc pas l'origine du sinistre.
Cependant, ce spectacle désespère quelque peu les passants. «C'est pas joli. J'ai vu ça à 7 h 15», glisse une cliente du supermarché. Pascale Cénac, l'employée de la boulangerie, exprime, elle aussi, sa stupéfaction.
Vols de voitures
Venue faire ses courses, une habitante de rue Sainte-Catherine située à environ 500 m de là, raconte qu'on lui a volé sa voiture le jour de Mardi gras. «Ça fait quelque chose quand on ne roule pas sur l'or», dit-elle, avant de raconter sa mésaventure. Un individu âgé d'une trentaine d'années a usé d'un subterfuge pour entrer dans la maison : «Il a sonné, mon mari est allé ouvrir et il lui a raconté qu'il avait besoin de téléphoner à sa grand-mère». C'est ainsi qu'il s'est emparé des clés de la voiture, dans l'entrée, et qu'il est parti avec. Rappelons que c'est dans ce quartier que plusieurs cambriolages (et tentatives) ont été commis mardi après-midi, en plein jour, dans le quartier du Pradeau. Notamment, boulevard Henri-IV et rue du Corps-Franc-Pommiès, les malfaiteurs ont pénétré dans des appartements après en avoir fracturé la porte d'entrée. Là encore, les policiers dirigent l'enquête.Dans la nuit de jeudi à vendredi, toujours à Tarbes, Christophe Tressens, dépositaire de presse, installé rue des Forges, sur l'ancien site Hughes Tool, s'est fait voler un Renault Master, véhicule utilitaire qui était garé dans le dépôt. «Ils ont descellé le cadre de la porte, remonté le volet roulant, (qu'ils ont pris soin de fermer avant de repartir) et ils ont volé le véhicule acheté il y a deux mois.» Plainte a, bien entendu, été déposée au commissariat. «On se passerait de choses comme ça», se lamente-t-il, annonçant qu'il va faire appel à un service de gardiennage «le temps de sécuriser l'entreprise».
vendredi 28 mars 2014
Arcachon : le mystérieux naufrage d'un catamaran
C'est un naufrage étrange. Mardi, en deux heures, "Belle d'Arz II", un catamaran d'une dizaine de mètres construit par les chantiers rochelais Foutaine-Pajot, a complètement sombré. Il était amarré à son mouillage au nord est du port d'Arcachon depuis vendredi, date à laquelle il avait été remis à l'eau.
Lors du renflouement du bateau, jeudi, les propriétaires testerins du catamaran ont appris que la trappe de survie de la coque tribord était ouverte, une trappe à laquelle ils n'ont jamais touché. Ils ont donc déposé plainte à la brigade nautique de la gendarmerie d'Arcachon et une enquête pour dégradation a été ouverte dans la foulée.
"Belle d'Arz II" devrait être remorqué et mis au sec ce vendredi après-midi au port de Larros, à Gujan-Mestras.
http://www.sudouest.fr/2014/03/28/arcachon-le-mysterieux-naufrage-d-un-catamaran-1507389-2733.php
Lors du renflouement du bateau, jeudi, les propriétaires testerins du catamaran ont appris que la trappe de survie de la coque tribord était ouverte, une trappe à laquelle ils n'ont jamais touché. Ils ont donc déposé plainte à la brigade nautique de la gendarmerie d'Arcachon et une enquête pour dégradation a été ouverte dans la foulée.
"Belle d'Arz II" devrait être remorqué et mis au sec ce vendredi après-midi au port de Larros, à Gujan-Mestras.
http://www.sudouest.fr/2014/03/28/arcachon-le-mysterieux-naufrage-d-un-catamaran-1507389-2733.php
Attaqué par des goélands, il chute du toit et se tue à Cannes: l'employeur condamné
Mohamed, peintre de 33 ans, était marié et père d'un bébé de 4 mois lorsque ce 30 mai 2009, alors qu'il travaille sur le toit d'un immeuble à Cannes, il est attaqué par des goélands.
Pour éviter les volatiles, il recule, trébuche et s'effondre sur un dôme en Plexiglas qui cède sous son poids.
Il chute 2,50 mètres plus bas, sur le palier du 3e étage. Souffrant d'un traumatisme crânien et thoracique, il décède deux semaines plus tard à l'hôpital Saint-Roch de Nice des suites de ses blessures.
Mohamed n'était pas attaché, ne portait pas de harnais, n'avait reçu aucune formation propre à la sécurité et le toit n'était muni d'aucun garde-corps.
Son employeur Mohamed Mejri, un Niçois de 50 ans, à l'époque gérant de la SARL PRB aujourd'hui liquidée, était poursuivi, hier, devant le tribunal correctionnel de Grasse pour homicide involontaire.
Deux ans de prison mandat d'arrêt
Mais il n'a pas pris la peine de se rendre au tribunal pour s'expliquer. Il a été condamné en son absence à 2 ans de prison ferme contre les 12 mois requis par la procureure Muriel Fusina. Un mandat d'arrêt a été décerné à son encontre.
En mars 2008, débutent les travaux de ravalement de façade et d'étanchéité de la copropriété Le Parc Croisette, situé boulevard Alexandre-III à Cannes. Un chantier de 4,2 millions d'euros pour cette copropriété de 300 appartements
Des travaux difficiles à organiser, « une partie des copropriétaires était contre» indique le gérant de NGI, syndic de copropriété et donc maître d'ouvrage, renvoyé pour avoir omis de déclarer les travaux aux autorités compétentes.
« Nous ignorions qu'il fallait le faire. Nous avions pris soin de nous adjoindre les services d'un maître d'œuvre. Il ne nous a rien dit ».
«Je suis indigné », s'exclame Me Gautier Lec, avocat des parties civiles, la veuve, le fils le frère et l'oncle du défunt.
L'architecte, maître d'œuvre et également poursuivi. Son avocate Me Julie De Valkenaere plaide et obtient sa relaxe : « Il y a eu amalgame entre maître d'œuvre et maître d'ouvrage ».
« Mon client est syndic depuis 25 ans et il n'a jamais eu aucun problème. Il veille à ce que tout soit fait dans les règles. Ce qu'on lui reproche aujourd'hui n'est en rien lié à la mort du salarié », insiste Me Stéphane Choukroun pour le syndic, condamné à une peine de principe : 1 000 e d'amende, mais avec sursis.
« Vous n'avez jamais songé à faire exterminer les goélands ? », demande, enfin, au syndic, le président Alexandre Julien.
« Nous avons signalé les faits à la mairie. On nous a répondu que c'était une espèce protégée».
« Entre la vie d'un employé et un goéland, il n'y a pas photo pourtant», rétorque le magistrat.
http://www.nicematin.com/cannes/attaque-par-des-goelands-il-chute-du-toit-et-se-tue-a-cannes-lemployeur-condamne.1672931.html
Pour éviter les volatiles, il recule, trébuche et s'effondre sur un dôme en Plexiglas qui cède sous son poids.
Il chute 2,50 mètres plus bas, sur le palier du 3e étage. Souffrant d'un traumatisme crânien et thoracique, il décède deux semaines plus tard à l'hôpital Saint-Roch de Nice des suites de ses blessures.
Mohamed n'était pas attaché, ne portait pas de harnais, n'avait reçu aucune formation propre à la sécurité et le toit n'était muni d'aucun garde-corps.
Son employeur Mohamed Mejri, un Niçois de 50 ans, à l'époque gérant de la SARL PRB aujourd'hui liquidée, était poursuivi, hier, devant le tribunal correctionnel de Grasse pour homicide involontaire.
Deux ans de prison mandat d'arrêt
Mais il n'a pas pris la peine de se rendre au tribunal pour s'expliquer. Il a été condamné en son absence à 2 ans de prison ferme contre les 12 mois requis par la procureure Muriel Fusina. Un mandat d'arrêt a été décerné à son encontre.
En mars 2008, débutent les travaux de ravalement de façade et d'étanchéité de la copropriété Le Parc Croisette, situé boulevard Alexandre-III à Cannes. Un chantier de 4,2 millions d'euros pour cette copropriété de 300 appartements
Des travaux difficiles à organiser, « une partie des copropriétaires était contre» indique le gérant de NGI, syndic de copropriété et donc maître d'ouvrage, renvoyé pour avoir omis de déclarer les travaux aux autorités compétentes.
« Nous ignorions qu'il fallait le faire. Nous avions pris soin de nous adjoindre les services d'un maître d'œuvre. Il ne nous a rien dit ».
«Je suis indigné », s'exclame Me Gautier Lec, avocat des parties civiles, la veuve, le fils le frère et l'oncle du défunt.
L'architecte, maître d'œuvre et également poursuivi. Son avocate Me Julie De Valkenaere plaide et obtient sa relaxe : « Il y a eu amalgame entre maître d'œuvre et maître d'ouvrage ».
« Mon client est syndic depuis 25 ans et il n'a jamais eu aucun problème. Il veille à ce que tout soit fait dans les règles. Ce qu'on lui reproche aujourd'hui n'est en rien lié à la mort du salarié », insiste Me Stéphane Choukroun pour le syndic, condamné à une peine de principe : 1 000 e d'amende, mais avec sursis.
« Vous n'avez jamais songé à faire exterminer les goélands ? », demande, enfin, au syndic, le président Alexandre Julien.
« Nous avons signalé les faits à la mairie. On nous a répondu que c'était une espèce protégée».
« Entre la vie d'un employé et un goéland, il n'y a pas photo pourtant», rétorque le magistrat.
http://www.nicematin.com/cannes/attaque-par-des-goelands-il-chute-du-toit-et-se-tue-a-cannes-lemployeur-condamne.1672931.html
Montauban. Le cheval Far West meurt percuté par une voiture aux Allègres
C'est un accident insolite, mais dramatique qui s'est produit,hier matin, au carrefour des chemins de Saint-Pierre, de Garrisson et de Bas-Pays.
Vers 7 heures, il fait déjà jour dans tout ce secteur des Allègres. Soudain, un cheval en cavale déboule sur la route. L'automobiliste tente une manœuvre d'évitement, en vain. La collision est violente, l'animal s'effondre. Le choc est fatal à l'équidé qui ne survit pas à une hémorragie. Le conducteur s'en sort, lui, indemne. La police et les pompiers se sont rendus sur les lieux de l'accident.
Que s'est-il alors passé la nuit ? Comment Far West est-il parvenu à sortir de son box, puis de l'écurie qui est fermée par un portail coulissant ? Autant de questions qui demeurent pour l'instant sans réponse.
Dans les allées du centre équestre, certains parlent d'un possible geste de malveillance ou de la négligence d'un visiteur qui se serait introduit durant la nuit. «Personnellement, je ne peux rien dire là-dessus. Je ne sais pas ce qui a pu se produire. Jusqu'à présent, on n'avait pu eu de problème sur le site. Cela va sans doute nous conduire à mieux sécuriser les installations. Mais en attendant, Far West n'est plus là et il faut gérer la tristesse de nombreux cavaliers du centre», explique la monitrice.
L'association a déjà prévu de rendre hommage au cheval disparu.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/28/1849863-montauban-far-west-meurt-percute-par-une-voiture-aux-allegres.html
Vers 7 heures, il fait déjà jour dans tout ce secteur des Allègres. Soudain, un cheval en cavale déboule sur la route. L'automobiliste tente une manœuvre d'évitement, en vain. La collision est violente, l'animal s'effondre. Le choc est fatal à l'équidé qui ne survit pas à une hémorragie. Le conducteur s'en sort, lui, indemne. La police et les pompiers se sont rendus sur les lieux de l'accident.
Un hommage sera rendu
Le centre équestre des Allègres a été envahi par une forte émotion après la disparition brutale de son cheval. Prénommé Far West, cet anglo-arabe avait 20 ans. «Cela faisait 15 ans qu'il était chez nous. Tout le monde l'adorait», explique Stéphanie Lassalle. Mercredi soir, la monitrice avait été, comme souvent, la dernière à quitter le centre équestre, vers 21 heures. Tout était normal.Que s'est-il alors passé la nuit ? Comment Far West est-il parvenu à sortir de son box, puis de l'écurie qui est fermée par un portail coulissant ? Autant de questions qui demeurent pour l'instant sans réponse.
Dans les allées du centre équestre, certains parlent d'un possible geste de malveillance ou de la négligence d'un visiteur qui se serait introduit durant la nuit. «Personnellement, je ne peux rien dire là-dessus. Je ne sais pas ce qui a pu se produire. Jusqu'à présent, on n'avait pu eu de problème sur le site. Cela va sans doute nous conduire à mieux sécuriser les installations. Mais en attendant, Far West n'est plus là et il faut gérer la tristesse de nombreux cavaliers du centre», explique la monitrice.
L'association a déjà prévu de rendre hommage au cheval disparu.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/28/1849863-montauban-far-west-meurt-percute-par-une-voiture-aux-allegres.html
jeudi 27 mars 2014
Bayonne : 30kg de cannabis dans le coffre, mais il est libre
Coup de théâtre, mardi, au tribunal correctionnel de Bayonne. Interpellé puis placé en garde à vue pour détention de stupéfiants, le prévenu à la barre dans le cadre d'une comparution immédiate, est reparti libre. Pourtant, 30 kg de résine de cannabis, en olives et en plaquettes, ont été retrouvés, la semaine dernière,dans le coffre de son véhicule. Aucune condamnation n'a pu être prononcée contre lui : le tribunal a retenu un vice de procédure dans le contrôle à la frontière, qui a entraîné la nullité des poursuites, plaidée par la défense.
Mardi 18 mars, à Hendaye, il est 23 heures passées lorsque la police aux frontières repère un véhicule. L'automobiliste attire l'attention par sa conduite hésitante et se fait contrôler. Il présente l'ensemble des pièces demandées par les forces de l'ordre (permis de conduire, carte grise, attestation d'assurance, carte d'identité), y compris l'éthylotest, désormais obligatoire.
Poursuivi pour trafic et détention de stupéfiants, l'homme âgé de 29 ans comparaissait mardi, devant le tribunal correctionnel de Bayonne, dans le cadre de la procédure pénale de comparution immédiate. L'avocat du prévenu, Me Sébastien Binet, a démontré dans sa plaidoirie une nullité de procédure. Selon lui, les forces de l'ordre ont agi en dehors du cadre légal.
Pour la défense, le fondement du contrôle des forces de l'ordre ne leur permettait pas de réclamer la présentation du triangle de présignalisation, dont la présence dans le véhicule n'est pas obligatoire. Cette exigence, qui a permis l'ouverture du coffre, dépassait le cadre de leurs prérogatives, d'autant que le conducteur avait consenti à l'ensemble des demandes de la police aux frontières en présentant toutes les pièces obligatoires.
Le tribunal a suivi la défense. Les poursuites ont été abandonnées. Le présumé innocent a donc été libéré à l'issue de l'audience, la procédure annulée et les scellés restitués. Si l'homme peut tourner la page sur cette affaire, il n'en a pour autant pas terminé avec la justice, puisqu'il est mis en cause par ailleurs. Dans le cadre d'une procédure en cours, il est placé sous contrôle judiciaire pour des faits de vol à main armée qui auraient été commis à Nantes.
http://www.sudouest.fr/2014/03/27/du-cannabis-plein-le-coffre-mais-libere-1505748-4018.php
Mardi 18 mars, à Hendaye, il est 23 heures passées lorsque la police aux frontières repère un véhicule. L'automobiliste attire l'attention par sa conduite hésitante et se fait contrôler. Il présente l'ensemble des pièces demandées par les forces de l'ordre (permis de conduire, carte grise, attestation d'assurance, carte d'identité), y compris l'éthylotest, désormais obligatoire.
Le présumé innocent a donc été libéré à l'issue de l'audience, la procédure annulée et les scellés restituésSoupçonnant certainement la présence de produits suspects, la police demande également la pré- sentation du triangle de présignalisation pour amener l'individu à ouvrir le coffre de son véhicule. Une forte odeur de stupéfiants s'en dégage. Effectivement, 30 kg de résine de cannabis y sont découverts. Le conducteur, un Nantais de nationalité marocaine, est auditionné par la police aux frontières. Mercredi 19 mars, la garde à vue est prolongée par la police judiciaire de Bayonne.
Poursuivi pour trafic et détention de stupéfiants, l'homme âgé de 29 ans comparaissait mardi, devant le tribunal correctionnel de Bayonne, dans le cadre de la procédure pénale de comparution immédiate. L'avocat du prévenu, Me Sébastien Binet, a démontré dans sa plaidoirie une nullité de procédure. Selon lui, les forces de l'ordre ont agi en dehors du cadre légal.
Pour la défense, le fondement du contrôle des forces de l'ordre ne leur permettait pas de réclamer la présentation du triangle de présignalisation, dont la présence dans le véhicule n'est pas obligatoire. Cette exigence, qui a permis l'ouverture du coffre, dépassait le cadre de leurs prérogatives, d'autant que le conducteur avait consenti à l'ensemble des demandes de la police aux frontières en présentant toutes les pièces obligatoires.
Le tribunal a suivi la défense. Les poursuites ont été abandonnées. Le présumé innocent a donc été libéré à l'issue de l'audience, la procédure annulée et les scellés restitués. Si l'homme peut tourner la page sur cette affaire, il n'en a pour autant pas terminé avec la justice, puisqu'il est mis en cause par ailleurs. Dans le cadre d'une procédure en cours, il est placé sous contrôle judiciaire pour des faits de vol à main armée qui auraient été commis à Nantes.
http://www.sudouest.fr/2014/03/27/du-cannabis-plein-le-coffre-mais-libere-1505748-4018.php
Villefranche-de-Rouergue. La vague de cambriolages inquiète
Plusieurs témoignages attestent d'une vague de vols dans les maisons commis ces dernières semaines sur Villefranche. Des règles élémentaires de prudence sont à rappeler.
«En un mois, j'ai eu quatre dossiers de cambriolages à traiter, alors qu'en temps normal j'en enregistre en moyenne un par mois». Le témoignage de cet assureur installé sur la ville confirme une recrudescence des vols dans les maisons ces derniers jours sur Villefranche. Plusieurs de ces faits nous ont été directement rapportés.
Une vague de cambriolages dans les locaux d'habitation. Rue de la Douve, c'est une maison qui a été vidée. Début de semaine, des individus se sont introduits par effraction dans une demeure de l'avenue Vincent Cibiel alors que son occupant s'était absenté pour une semaine. Non loin de là, c'est chemin de Treize Pierres qu'a été perpétré récemment un autre vol.
Par-delà le montant du butin emporté (parfois, il n'est pas très important), reste le traumatisme vécu par les victimes lorsqu'elles retrouvent leur maison sens dessus dessous. Un choc qui a bien du mal à s'effacer.
Du côté de la gendarmerie, on ne souhaite pas, pour le moment, communiquer sur ces cambriolages. Bien entendu, toutes les plaintes enregistrées font l'objet, par les militaires, d'enquêtes minutieuses.
Il n'est pas inutile de rappeler quelques règles de prudence. Des précautions simples qui peuvent éviter des désagréments. Ainsi, fermer systématiquement à clef toutes les portes d'accès extérieures des habitations est élémentaire. Comme de doter les fenêtres situées en rez-de-chaussée de volets ou de barreaux, de changer les serrures à l'occasion de toute perte de clefs ou de ne pas cacher de clefs sous le paillasson ou dans une boîte aux lettres. En cas d'absence prolongée, il est conseillé de faire ouvrir et fermer régulièrement les volets par un voisin et de faire relever régulièrement la boîte aux lettres.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/27/1849204-villefranche-rouergue-cambriolages-maisons-sont-recrudescence.html
«En un mois, j'ai eu quatre dossiers de cambriolages à traiter, alors qu'en temps normal j'en enregistre en moyenne un par mois». Le témoignage de cet assureur installé sur la ville confirme une recrudescence des vols dans les maisons ces derniers jours sur Villefranche. Plusieurs de ces faits nous ont été directement rapportés.
Une vague de cambriolages dans les locaux d'habitation. Rue de la Douve, c'est une maison qui a été vidée. Début de semaine, des individus se sont introduits par effraction dans une demeure de l'avenue Vincent Cibiel alors que son occupant s'était absenté pour une semaine. Non loin de là, c'est chemin de Treize Pierres qu'a été perpétré récemment un autre vol.
Par-delà le montant du butin emporté (parfois, il n'est pas très important), reste le traumatisme vécu par les victimes lorsqu'elles retrouvent leur maison sens dessus dessous. Un choc qui a bien du mal à s'effacer.
Du côté de la gendarmerie, on ne souhaite pas, pour le moment, communiquer sur ces cambriolages. Bien entendu, toutes les plaintes enregistrées font l'objet, par les militaires, d'enquêtes minutieuses.
Il n'est pas inutile de rappeler quelques règles de prudence. Des précautions simples qui peuvent éviter des désagréments. Ainsi, fermer systématiquement à clef toutes les portes d'accès extérieures des habitations est élémentaire. Comme de doter les fenêtres situées en rez-de-chaussée de volets ou de barreaux, de changer les serrures à l'occasion de toute perte de clefs ou de ne pas cacher de clefs sous le paillasson ou dans une boîte aux lettres. En cas d'absence prolongée, il est conseillé de faire ouvrir et fermer régulièrement les volets par un voisin et de faire relever régulièrement la boîte aux lettres.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/27/1849204-villefranche-rouergue-cambriolages-maisons-sont-recrudescence.html
Limousin: du gaz radioactif dans une maison
Une famille de Haute-Vienne vivant dans une maison où une vingtaine d'enfants ont été gardés depuis l'an 2000, a été relogée après que d'importantes doses de radon, gaz naturel radioactif, y ont été décelées, a annoncé hier la préfecture.
Cette famille résidait dans une maison édifiée dans les années 1960 à Bessines-sur-Gartempe, au nord de Limoges, dont les sols, riches en minerai d'uranium, ont fait pendant des décennies l'objet d'une exploitation minière, selon un communiqué de la préfecture et de l'Agence régionale de santé (ARS), diffusé dans la soirée, précisant que les services de l'Etat en ont été informés le 10 mars. Les occupants ont exercé dans cette maison, entre 2000 et 2014, une activité de garde à domicile qui concernerait une vingtaine d'enfants, issus de seize familles qui ont été identifiées et seront contactées. Une enquête administrative est en cours, a-t-on ajouté.
La présence "en quantité anormale" de radon, un gaz "qui se dilue facilement dans l'air extérieur" mais qui "peut présenter des risques pour la santé" en cas d'exposition prolongée, a été décelée "dans la cave et les pièces" du logement, selon la même source. Les quantités de gaz n'ont pas été précisées mais des niveaux "significativement supérieurs aux valeurs maximales observées" dans la région ont été mesurés, conduisant au relogement des habitants.
Outre des stériles miniers, des résidus de traitement de minerai d'uranium ont été utilisés "en remblais sous cette habitation et sont à l'origine des concentrations de radon mesurées", précise le communiqué, selon lequel "la présence de tels résidus en dehors des sites miniers et des lieux de stockage autorisés est tout à fait anormale et contraire à la réglementation".
L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire a été saisi de l'affaire afin d'évaluer le degré d'exposition des occupants et les éventuel risques sanitaires encourus.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/27/97001-20140327FILWWW00026-limousin-du-gaz-radioactif-dans-une-maison.php
Cette famille résidait dans une maison édifiée dans les années 1960 à Bessines-sur-Gartempe, au nord de Limoges, dont les sols, riches en minerai d'uranium, ont fait pendant des décennies l'objet d'une exploitation minière, selon un communiqué de la préfecture et de l'Agence régionale de santé (ARS), diffusé dans la soirée, précisant que les services de l'Etat en ont été informés le 10 mars. Les occupants ont exercé dans cette maison, entre 2000 et 2014, une activité de garde à domicile qui concernerait une vingtaine d'enfants, issus de seize familles qui ont été identifiées et seront contactées. Une enquête administrative est en cours, a-t-on ajouté.
La présence "en quantité anormale" de radon, un gaz "qui se dilue facilement dans l'air extérieur" mais qui "peut présenter des risques pour la santé" en cas d'exposition prolongée, a été décelée "dans la cave et les pièces" du logement, selon la même source. Les quantités de gaz n'ont pas été précisées mais des niveaux "significativement supérieurs aux valeurs maximales observées" dans la région ont été mesurés, conduisant au relogement des habitants.
Outre des stériles miniers, des résidus de traitement de minerai d'uranium ont été utilisés "en remblais sous cette habitation et sont à l'origine des concentrations de radon mesurées", précise le communiqué, selon lequel "la présence de tels résidus en dehors des sites miniers et des lieux de stockage autorisés est tout à fait anormale et contraire à la réglementation".
L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire a été saisi de l'affaire afin d'évaluer le degré d'exposition des occupants et les éventuel risques sanitaires encourus.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/27/97001-20140327FILWWW00026-limousin-du-gaz-radioactif-dans-une-maison.php
mercredi 26 mars 2014
Trafic d'animaux : des centaines de peaux de chiens découvertes
Des centaines de peaux de chiens ont été découvertes dans une forêt du nord-est de la Thaïlande, connue pour son trafic de viande canine vers le Vietnam ou la Chine, la peau servant de cuir, notamment pour fabriquer des gants de golf.
La police thaïlandaise a annoncé mercredi cette macabre découverte, faite la veille dans une forêt de Sakon Nakhon, à la frontière avec le Laos.
Les peaux de chiens se trouvaient dans des sacs, à côté d'un gros tas d'os de canidés.
"Les peaux sont généralement blanchies. Certaines sont exportées vers d'autres pays pour en faire des gants de golf", a déclaré à Lamai Sakolpitak, d'une unité de la police spécialisée dans la lutte contre les trafiquants d'animaux.
"Selon les experts, les peaux de chiens sont également utilisées pour fabriquer des instruments de musique, comme des tambours", a ajouté le policier, rappelant que la vente et l'exportation de viande de chien était illégale en Thaïlande.
La découverte de ces peaux coïncide avec la récente découverte d'ateliers clandestins non loin, où les chiens étaient dépecés.
"Certains ont eu peur que l'on découvre les peaux chez eux. Alors ils les ont jetées ici", a estimé le responsable policier.
Des groupes comme l'ONG Watchdog dénoncent le trafic de chiens. Le prix d'un chien se négocierait 10 dollars pièce, versés par les trafiquants en Thaïlande. La plupart sont exportés en Chine ou au Vietnam voisin, où la viande canine est considérée comme un mets de choix.
"Les peaux sont utilisées pour faire des gants de golf, des chapeaux, des petits sacs et des portefeuilles", a confirmé un responsable de Watchdog Thaïlande interrogé par l'AFP.
Les produits en peau de vache sont plus chers, selon l'ONG.
En mai 2013, quelque 2.000 chiens, vraisemblablement destinés à finir sur les tables de gourmets vietnamiens ou chinois, avaient été libérés de leurs cages dans la même province.
http://www.sudouest.fr/2014/03/26/trafic-d-animaux-des-centaines-de-peaux-de-chiens-decouvertes-1505157-7.php
La police thaïlandaise a annoncé mercredi cette macabre découverte, faite la veille dans une forêt de Sakon Nakhon, à la frontière avec le Laos.
Les peaux de chiens se trouvaient dans des sacs, à côté d'un gros tas d'os de canidés.
"Les peaux sont généralement blanchies. Certaines sont exportées vers d'autres pays pour en faire des gants de golf", a déclaré à Lamai Sakolpitak, d'une unité de la police spécialisée dans la lutte contre les trafiquants d'animaux.
"Les peaux sont utilisées pour faire des gants de golf, des chapeaux, des petits sacs."
"Selon les experts, les peaux de chiens sont également utilisées pour fabriquer des instruments de musique, comme des tambours", a ajouté le policier, rappelant que la vente et l'exportation de viande de chien était illégale en Thaïlande.
La découverte de ces peaux coïncide avec la récente découverte d'ateliers clandestins non loin, où les chiens étaient dépecés.
"Certains ont eu peur que l'on découvre les peaux chez eux. Alors ils les ont jetées ici", a estimé le responsable policier.
Des groupes comme l'ONG Watchdog dénoncent le trafic de chiens. Le prix d'un chien se négocierait 10 dollars pièce, versés par les trafiquants en Thaïlande. La plupart sont exportés en Chine ou au Vietnam voisin, où la viande canine est considérée comme un mets de choix.
"Les produits en peau de vache sont plus chers."
"Les peaux sont utilisées pour faire des gants de golf, des chapeaux, des petits sacs et des portefeuilles", a confirmé un responsable de Watchdog Thaïlande interrogé par l'AFP.
Les produits en peau de vache sont plus chers, selon l'ONG.
En mai 2013, quelque 2.000 chiens, vraisemblablement destinés à finir sur les tables de gourmets vietnamiens ou chinois, avaient été libérés de leurs cages dans la même province.
http://www.sudouest.fr/2014/03/26/trafic-d-animaux-des-centaines-de-peaux-de-chiens-decouvertes-1505157-7.php
Maubourguet. Le rugbyman sera jugé pour avoir mis un coup de tête à l'arbitre
Un joueur de 26 ans a été placé en garde à vue, hier, pour des faits commis dimanche, à l'issue de la rencontre entre Maubourguet et Masseube. Pour la première fois, la convention signée entre le parquet et le comité a été mise en œuvre.
«Les faits se sont produits dimanche. Le lendemain, le comité en informait le parquet qui saisissait les enquêteurs. Et dès hier matin, l'individu était placé en garde à vue.» Le récit de la procureure est concis, comme la procédure. Pour la première fois depuis sa signature, en début d'année, la convention qui lie le parquet de Tarbes et le comité Armagnac-Bigorre de rugby a été mise en application, à la suite de l'agression d'un arbitre à l'issue du match des équipes réserves de Maubourguet et Masseube.
Dimanche, l'après-midi avait parfaitement débuté au Bouscarret, le stade de Maubourguet, malgré la défaite de l'équipe réserve locale, au terme d'un match très correct. «Il n'y a pas eu le moindre souci ni le moindre accrochage durant la rencontre, précise Chantal Firmigier-Michel. Même après le coup de sifflet final, l'arbitre a pu vérifier les licences, se doucher, sans rien de particulier.» Mais c'est lorsque ce dernier se rapproche de la buvette pour y prendre un rafraîchissement que la situation dérape. Alors que l'arbitre aperçoit un de ses anciens coéquipiers sous le maillot de Rabastens, aujourd'hui à Maubourguet (mais qui ne prenait pas part à la rencontre), il s'approche de lui pour le saluer. «L'individu, né en 1987, a commencé à l'insulter puis lui a asséné un violent coup de tête au visage», précise la procureure. «Un acte gratuit», selon Chantal Firmigier-Michel qui vaudra à l'arbitre une fracture du nez.
Alerté par le comité dès le lendemain, le parquet diligente une enquête rapide, avec la coopération totale des clubs. «Il ne s'agit en aucun cas de fait de jeu mais d'une violence envers un officiel dans l'enceinte d'un stade, précise Antoine Marin, le président du comité. Sur le terrain, tout s'était bien passé. D'ailleurs, le club de Maubourguet a joué le jeu de l'enquête et s'est désolidarisé de cet acte isolé.» Différents témoins sont entendus et confirment ce scénario. Hier matin, l'agresseur est interpellé et placé en garde à vue. Il reconnaît les faits mais indique «ne pas en garder un grand souvenir car il avait consommé de l'alcool», précise le parquet. L'individu, qui ne possédait aucun antécédent judiciaire, devra répondre de ses faits devant le tribunal de grande instance, le 15 mai prochain, où il sera jugé pour violence sur personne chargée d'une mission de service public à l'occasion d'une manifestation sportive. «La convention, qui fixe un canevas de travail pour chacun des protagonistes, a parfaitement fonctionné pour accélérer l'enquête et apporter une réponse pénale rapide.» Afin de mettre définitivement la violence hors-jeu.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/26/1848100-sera-juge-avoir-mis-coup-tete-arbitre.html
«Les faits se sont produits dimanche. Le lendemain, le comité en informait le parquet qui saisissait les enquêteurs. Et dès hier matin, l'individu était placé en garde à vue.» Le récit de la procureure est concis, comme la procédure. Pour la première fois depuis sa signature, en début d'année, la convention qui lie le parquet de Tarbes et le comité Armagnac-Bigorre de rugby a été mise en application, à la suite de l'agression d'un arbitre à l'issue du match des équipes réserves de Maubourguet et Masseube.
Dimanche, l'après-midi avait parfaitement débuté au Bouscarret, le stade de Maubourguet, malgré la défaite de l'équipe réserve locale, au terme d'un match très correct. «Il n'y a pas eu le moindre souci ni le moindre accrochage durant la rencontre, précise Chantal Firmigier-Michel. Même après le coup de sifflet final, l'arbitre a pu vérifier les licences, se doucher, sans rien de particulier.» Mais c'est lorsque ce dernier se rapproche de la buvette pour y prendre un rafraîchissement que la situation dérape. Alors que l'arbitre aperçoit un de ses anciens coéquipiers sous le maillot de Rabastens, aujourd'hui à Maubourguet (mais qui ne prenait pas part à la rencontre), il s'approche de lui pour le saluer. «L'individu, né en 1987, a commencé à l'insulter puis lui a asséné un violent coup de tête au visage», précise la procureure. «Un acte gratuit», selon Chantal Firmigier-Michel qui vaudra à l'arbitre une fracture du nez.
Alerté par le comité dès le lendemain, le parquet diligente une enquête rapide, avec la coopération totale des clubs. «Il ne s'agit en aucun cas de fait de jeu mais d'une violence envers un officiel dans l'enceinte d'un stade, précise Antoine Marin, le président du comité. Sur le terrain, tout s'était bien passé. D'ailleurs, le club de Maubourguet a joué le jeu de l'enquête et s'est désolidarisé de cet acte isolé.» Différents témoins sont entendus et confirment ce scénario. Hier matin, l'agresseur est interpellé et placé en garde à vue. Il reconnaît les faits mais indique «ne pas en garder un grand souvenir car il avait consommé de l'alcool», précise le parquet. L'individu, qui ne possédait aucun antécédent judiciaire, devra répondre de ses faits devant le tribunal de grande instance, le 15 mai prochain, où il sera jugé pour violence sur personne chargée d'une mission de service public à l'occasion d'une manifestation sportive. «La convention, qui fixe un canevas de travail pour chacun des protagonistes, a parfaitement fonctionné pour accélérer l'enquête et apporter une réponse pénale rapide.» Afin de mettre définitivement la violence hors-jeu.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/26/1848100-sera-juge-avoir-mis-coup-tete-arbitre.html
L’homme tué sur l’A7 rattrapé par son passé ?
Au lendemain de l’extraordinaire règlement de comptes qui a coûté la vie à Yassine Aunay sur l’A7, ce lundi à hauteur de Lançon-de-Provence, les gendarmes de la section de recherches de Marseille poursuivent leurs investigations dans le cadre d’une enquête dite de “flagrance”. Ils devraient pouvoir le faire encore quelques jours jusqu’à ce que Dominique Moyal, procureur de la République à Aix-en-Provence, décide d’ouvrir une information judiciaire. Et qu’un juge d’instruction soit nommé. En attendant, les gendarmes continuent de travailler sur l’environnement de la victime. Et creusent notamment dans son passé à la recherche d’une piste.
Le jour de sa mort, l’homme venait tout juste de sortir de la prison du Pontet. Il y était incarcéré depuis quatre ans dans le cadre d’une affaire de stupéfiants. Affaire qui lui a valu d’être condamné à huit années de prison pour son implication dans un business d’envergure internationale. Il a aidé à l’importation de près de 300 kilos de shit répartis sur deux “go fast”.
Cette autorisation exceptionnelle de sortie lui permettait de pouvoir rentrer chez lui une soirée avant de regagner le bureau du service pénitentiaire d’insertion et de probation à Marseille le lendemain. Il devait se faire poser un bracelet électronique. « C’était un garçon très fin et très intelligent », témoigne son avocat, Me Luc Febbraro. Et de confirmer : « C’est vrai qu’il a eu des incidents en détention. C’est ce qui a d’ailleurs motivé son transfert des Beaumettes au Pontet. Il y a d’ailleurs traversé des moments difficiles. Mais il ne se sentait pas en danger. Personne n’a jamais été condamné sur la base de ses déclarations ».
L’opération commando menée sur l’autoroute est la marque de personnes bien informées. Et animées d’une haine telle qu’ils n’ont pas hésité à faire barrage à la Citroën C3 sur la voie de gauche de l’autoroute avant d’ouvrir le feu. « Il pourrait y avoir deux tireurs avec des armes de type Kalachnikov », précise Dominique Moyal. Dans l’attaque, la compagne de l’homme abattu, assise côté passager, a été touchée à une main. Elle était hier après-midi au bloc opératoire.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/03/25/l-homme-tue-sur-l-a7-rattrape-par-son-passe
« Personne n’a jamais été condamné sur la base de ses déclarations »
Yacine Aunay, 35 ans, est né au Maroc. Il quitte le Royaume adolescent, à la mort de son père, et vient vivre à Marseille quelques années. Puis il fait ses valises pour rejoindre sa compagne en Andalousie (Espagne). En peu de temps, il devient une “connexion” entre des dealers des quartiers nord de la cité phocéenne et des producteurs de shit dans son pays d’origine.Le jour de sa mort, l’homme venait tout juste de sortir de la prison du Pontet. Il y était incarcéré depuis quatre ans dans le cadre d’une affaire de stupéfiants. Affaire qui lui a valu d’être condamné à huit années de prison pour son implication dans un business d’envergure internationale. Il a aidé à l’importation de près de 300 kilos de shit répartis sur deux “go fast”.
Cette autorisation exceptionnelle de sortie lui permettait de pouvoir rentrer chez lui une soirée avant de regagner le bureau du service pénitentiaire d’insertion et de probation à Marseille le lendemain. Il devait se faire poser un bracelet électronique. « C’était un garçon très fin et très intelligent », témoigne son avocat, Me Luc Febbraro. Et de confirmer : « C’est vrai qu’il a eu des incidents en détention. C’est ce qui a d’ailleurs motivé son transfert des Beaumettes au Pontet. Il y a d’ailleurs traversé des moments difficiles. Mais il ne se sentait pas en danger. Personne n’a jamais été condamné sur la base de ses déclarations ».
L’opération commando menée sur l’autoroute est la marque de personnes bien informées. Et animées d’une haine telle qu’ils n’ont pas hésité à faire barrage à la Citroën C3 sur la voie de gauche de l’autoroute avant d’ouvrir le feu. « Il pourrait y avoir deux tireurs avec des armes de type Kalachnikov », précise Dominique Moyal. Dans l’attaque, la compagne de l’homme abattu, assise côté passager, a été touchée à une main. Elle était hier après-midi au bloc opératoire.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/03/25/l-homme-tue-sur-l-a7-rattrape-par-son-passe
mardi 25 mars 2014
Dordogne : la fausse rumeur de la mort d'un ancien basketteur du BBD
Ce lundi vers 20 heures, la rumeur de la mort de Quinton Ross, ancien joueur du Boulazac Basket Dordogne (BBD), s'est répandue comme une traînée de poudre. Mais elle a vite été démentie par la police de New York.
Le "New York Post" annonçait en effet sur Internet que l'homme de 33 ans, venu remplacer Amadi McKenzie la saison dernière à Boulazac, avait été retrouvé mort dans le New Jersey dans un sac poubelle.
Ce lundi, de nombreuses personnes en Dordogne se sont émues de cette nouvelle. Mais c'est en réalité un homonyme qui a connu ce triste sort.
"Mon téléphone est devenu fou. J'ai regardé mon Facebook, puis je suis allé sur internet. Il était écrit que j'étais mort. Je n'arrivais pas à y croire", a expliqué le basketteur.
Avant de venir à Boulazac, Ross a longtemps écumé le championnat professionnel américain, la fameuse NBA.
http://www.sudouest.fr/2014/03/25/dordogne-la-fausse-rumeur-de-la-mort-d-un-ancien-du-bbd-1504014-1980.php
Le "New York Post" annonçait en effet sur Internet que l'homme de 33 ans, venu remplacer Amadi McKenzie la saison dernière à Boulazac, avait été retrouvé mort dans le New Jersey dans un sac poubelle.
Ce lundi, de nombreuses personnes en Dordogne se sont émues de cette nouvelle. Mais c'est en réalité un homonyme qui a connu ce triste sort.
"Mon téléphone est devenu fou. J'ai regardé mon Facebook, puis je suis allé sur internet. Il était écrit que j'étais mort. Je n'arrivais pas à y croire", a expliqué le basketteur.
Avant de venir à Boulazac, Ross a longtemps écumé le championnat professionnel américain, la fameuse NBA.
http://www.sudouest.fr/2014/03/25/dordogne-la-fausse-rumeur-de-la-mort-d-un-ancien-du-bbd-1504014-1980.php
Saint-Avé. Le chauffard force le barrage : les gendarmes tirent
Les gendarmes ont tiré ce dimanche, à Saint-Avé (Morbihan) pour arrêter un chauffard qui forçait un contrôle routier. Le véhicule a poursuivi sa route et n'a pas été retrouvé.
Les gendarmes ont tiré ce dimanche, à Saint-Avé (Morbihan) pour arrêter un chauffard qui forçait un contrôle routier. Les faits se sont produits à 11 h 30, rue Bossuet.
Deux des trois gendarmes ont fait usage de leur pistolet automatique de service, en tirant dans le moteur du véhicule, pour tenter de le stopper. Sans succès : le chauffard a poursuivi sa route. L’accès au secteur a été interdit jusqu’à 14 h.
Dimanche soir, à 19 h, le conducteur, un jeune âgé de 20 à 30 ans, n’avait pas été retrouvé
http://www.ouest-france.fr/jeune-chauffard-saint-ave-il-force-le-barrage-les-gendarmes-tirent-2034590
Deux des trois gendarmes ont fait usage de leur pistolet automatique de service, en tirant dans le moteur du véhicule, pour tenter de le stopper. Sans succès : le chauffard a poursuivi sa route. L’accès au secteur a été interdit jusqu’à 14 h.
Dimanche soir, à 19 h, le conducteur, un jeune âgé de 20 à 30 ans, n’avait pas été retrouvé
http://www.ouest-france.fr/jeune-chauffard-saint-ave-il-force-le-barrage-les-gendarmes-tirent-2034590
Un pompier sauve sa propre fille, victime d’un accident de la route
Samedi dernier, un pompier a dû intervenir en urgence alors qu’un accident s’était produit à Voomezle, en Belgique. Une intervention tout à fait ordinaire pour ce soldat du feu. Arrivé sur les lieux, il a découvert une voiture emboutie contre un arbre. Et, coincé à l’intérieur de l’Audi, un jeune couple. Mais quelle ne fut pas sa surprise quand il s’est aperçue que la jeune fille blessée n’était autre que sa propre fille !
Pris de panique, le papa pompier a aussitôt demandé de l’aide à ses collègues, relate le journal 7sur7. La jeune fille a finalement été libérée de la carcasse, saine et sauve. Son petit ami a été extrait avec plus de difficulté de l’habitacle. Il se trouve aujourd’hui dans un état grave.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/25/1847818-pompier-sauve-propre-fille-victime-accident-route.html
Pris de panique, le papa pompier a aussitôt demandé de l’aide à ses collègues, relate le journal 7sur7. La jeune fille a finalement été libérée de la carcasse, saine et sauve. Son petit ami a été extrait avec plus de difficulté de l’habitacle. Il se trouve aujourd’hui dans un état grave.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/25/1847818-pompier-sauve-propre-fille-victime-accident-route.html
lundi 24 mars 2014
OISE Un homme tué dans sa maison
Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte, après la découverte d’un corps dans une maison de Golancourt, près de Noyon (nord-est de l’Oise), ce lundi 24 mars.
Ça fait bizarre de voir ces hommes en blancs. » Cette habitante de Golancourt, village de l’Oise traversé par la départementale Noyon - Ham (Somme), a le regard tourné vers la maison de son voisin. À 200 m de chez elle, les techniciens de la cellule d’identification criminelle de la gendarmerie de Beauvais procèdent aux relevés d’indices, « depuis 8h45 - 9 heures », ce lundi 24 mars.
Un homme qui vivait
Dans ce village d’à peine 400 âmes, les habitants ne quittent plus les trottoirs devant chez eux. Ils observent les gendarmes qui s’activent autour de cette maison, située à l’entrée du village, rue de Paris. Le corps de son occupant, Jean-Pierre Dufresne, y a été retrouvé, après avoir été mortellement blessé. Ce sexagénaire est bien connu dans la commune, il y vit depuis plus de 20 ans et travaillait comme salarié agricole dans une ferme des environs.
Ces voisins de Golancourt le décrivent comme un « solitaire », « vivant loin de tout le monde », ne se mêlant pas à la vie du village. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte par la gendarmerie.
http://www.courrier-picard.fr/region/oise-un-homme-tue-dans-sa-maison-ia201b0n338089
Ça fait bizarre de voir ces hommes en blancs. » Cette habitante de Golancourt, village de l’Oise traversé par la départementale Noyon - Ham (Somme), a le regard tourné vers la maison de son voisin. À 200 m de chez elle, les techniciens de la cellule d’identification criminelle de la gendarmerie de Beauvais procèdent aux relevés d’indices, « depuis 8h45 - 9 heures », ce lundi 24 mars.
Un homme qui vivait
en reclus
Dans ce village d’à peine 400 âmes, les habitants ne quittent plus les trottoirs devant chez eux. Ils observent les gendarmes qui s’activent autour de cette maison, située à l’entrée du village, rue de Paris. Le corps de son occupant, Jean-Pierre Dufresne, y a été retrouvé, après avoir été mortellement blessé. Ce sexagénaire est bien connu dans la commune, il y vit depuis plus de 20 ans et travaillait comme salarié agricole dans une ferme des environs.Ces voisins de Golancourt le décrivent comme un « solitaire », « vivant loin de tout le monde », ne se mêlant pas à la vie du village. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte par la gendarmerie.
http://www.courrier-picard.fr/region/oise-un-homme-tue-dans-sa-maison-ia201b0n338089
Un cadavre retrouvé dans un véhicule incendié
En bordure de la rivière « le Gardon », un véhicule Renault Kangoo a été découvert incendié le samedi 15 mars 2014 à Fournes (30), près de Remoulins. l'information n'a été révélée par les gendarmes que ce lundi 25 mars. A l'intérieur, les secouristes ont découvert le corps d'une personne. L'autopsie pratiquée a démontré qu'il s'agissait d'un homme et qu'il avait été tué à l'aide d'une arme de chasse.
Afin de recueillir le maximum de renseignements, les gendarmes de la section de recherches de Nîmes (Gard) lancent un appel à témoin pour recueillir les témoignages suivants :
- 1/ Les automobilistes circulant sur l'autoroute A9 entre le jeudi 13 mars dans la soirée et le samedi 15 mars dans la matinée susceptibles d'avoir observé un incendie à hauteur du pont enjambant le Gardon à Remoulins (30) doivent appeler le 04 66 38 50 00
- 2/ Les automobilistes ou témoins ayant croisé un VHL de type Kangoo utilitaire, ou ayant entendu des coups de feu (fusil de chasse), dans le même créneau de temps, et dans un quadrilatère Bezouce / Montfrin / Estézargues / Remoulins : doivent appeler le 04 66 38 50 00.
http://www.ledauphine.com/gard/2014/03/24/un-cadavre-retrouve-dans-un-vehicule-incendie
Afin de recueillir le maximum de renseignements, les gendarmes de la section de recherches de Nîmes (Gard) lancent un appel à témoin pour recueillir les témoignages suivants :
- 1/ Les automobilistes circulant sur l'autoroute A9 entre le jeudi 13 mars dans la soirée et le samedi 15 mars dans la matinée susceptibles d'avoir observé un incendie à hauteur du pont enjambant le Gardon à Remoulins (30) doivent appeler le 04 66 38 50 00
- 2/ Les automobilistes ou témoins ayant croisé un VHL de type Kangoo utilitaire, ou ayant entendu des coups de feu (fusil de chasse), dans le même créneau de temps, et dans un quadrilatère Bezouce / Montfrin / Estézargues / Remoulins : doivent appeler le 04 66 38 50 00.
http://www.ledauphine.com/gard/2014/03/24/un-cadavre-retrouve-dans-un-vehicule-incendie
SAINT-QUENTIN Retranché, il menace de tuer des policiers
Dimanche 23 mars, en pleine soirée électorale, un homme de 46 ans, visiblement désespéré, s’est retranché chez lui lorsque les fonctionnaires de police se sont déplacés pour mettre un terme à un différend familial. Le quadragénaire menaçait de les tuer avec une carabine. Il était 20 h 30 et de nombreux policiers (nationaux et municipaux) ont été dépêchés rue Mulot, à Saint-Quentin (Aisne), à quelques pas du centre-ville.
Après quelques minutes de négociations, l’homme a été maîtrisé chez lui, sans qu’il ne mette ses menaces à exécution. Une carabine à plombs a été saisie dans son domicile. Pris en charge par les secours, il a été hospitalisé d’office.
http://www.courrier-picard.fr/region/picardie-express
Après quelques minutes de négociations, l’homme a été maîtrisé chez lui, sans qu’il ne mette ses menaces à exécution. Une carabine à plombs a été saisie dans son domicile. Pris en charge par les secours, il a été hospitalisé d’office.
http://www.courrier-picard.fr/region/picardie-express
dimanche 23 mars 2014
La Rochelle : triple collision sur la rocade
Un accident sur la rocade a provoqué un embouteillage ce samedi en fin d'après-midi. Vers 17 h 30, trois voitures circulant en direction de l'île de Ré sont entrées en collision au niveau de la sortie de Mireuil. L'accident n'a fait qu'un blessé léger qui a refusé son transport à l'hôpital par les pompiers. La circulation est actuellement en cours de rétablissement.
http://www.sudouest.fr/2014/03/22/la-rochelle-triple-collision-sur-la-rocade-1500544-7.php
http://www.sudouest.fr/2014/03/22/la-rochelle-triple-collision-sur-la-rocade-1500544-7.php
Draguignan: leur bébé décédé, ils décident de venir en aide aux enfants malades
Les Dracénois Sébastien Lesuisse et Joyce Rogge ont dit adieu à leur bébé, Jade, le 2 mars dernier, après quatorze mois de lutte contre l’épilepsie. Ils ont décidé de poursuivre le combat pour soutenir les familles en souffrance.
Atteinte, dès l'âge de deux mois, d’une épilepsie partielle migrante avec une mutation du gène KCNT1, Jade a lutté de toutes ses forces.
Pour ses jeunes parents, un long combat a alors débuté. Aujourd'hui seuls, à devoir faire le deuil de leur premier enfant, ils ont décidé de venir en aide, par le biais de l'association "Ensemble avec Jade" aux enfants malades, et à leurs familles, souvent isolés.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/draguignan-leur-bebe-decede-ils-decident-de-venir-en-aide-aux-enfants-malades.1664934.html
Atteinte, dès l'âge de deux mois, d’une épilepsie partielle migrante avec une mutation du gène KCNT1, Jade a lutté de toutes ses forces.
Pour ses jeunes parents, un long combat a alors débuté. Aujourd'hui seuls, à devoir faire le deuil de leur premier enfant, ils ont décidé de venir en aide, par le biais de l'association "Ensemble avec Jade" aux enfants malades, et à leurs familles, souvent isolés.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/draguignan-leur-bebe-decede-ils-decident-de-venir-en-aide-aux-enfants-malades.1664934.html
Empalot. Trois arrestations après l'incendie d'une voiture
Une voiture signalée volée a brûlé la nuit dernière dans le quartier d'Empalot, à Toulouse. La police a rapidement pris en chasse trois suspects qui ont pu être interpellés. L'un d'eux, qui s'est brûlé en mettant le feu au véhicule, a dû être hospitalisé pour soigner ses blessures. Les deux autres ont été entendues hier par les enquêteurs de permanence à la sûreté départementale. Les trois suspects, deux mineurs et un jeune majeur auraient mis le feu au véhicule pour s'en débarrasser. Les policiers les soupçonnent de l'avoir volé mais eux affirment qu'ils l'ont trouvé et se sont contentés de s'en servir. Originalité de cette enquête, les trois copains sont venus à Empalot faire leur bêtise mais ils sont tous les trois domiciliés à Portet-sur-Garonne. Par ailleurs, six autres véhicules ont brûlé pendant la nuit dans différents quartiers de Toulouse. Des incendies, «par forcément dans les quartiers sensibles», souligne le commissaire de permanence, n'ont pas entraîné de violence urbaine supplémentaire.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/23/1846366-empalot-trois-arrestations-apres-l-incendie-d-une-voiture.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/23/1846366-empalot-trois-arrestations-apres-l-incendie-d-une-voiture.html
samedi 22 mars 2014
Une sexagénaire ligotée par deux cambrioleurs vendredi soir à son domicile de Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, est parvenue à faire fuir ses agresseurs et à se libérer, avant de prévenir la police, a-t-on appris samedi de source policière.
Les deux hommes se sont introduits vers 20H30 par une porte-fenêtre dans le pavillon cossu de Saint-Maur-des-Fossés. Ils ont attaché la sexagénaire, qui était alors seule à son domicile, mais effrayés par les cris de leur victime, ils ont pris la fuite, emportant avec eux 5.000 euros en espèces et des bijoux d'une valeur de plusieurs milliers d'euros. La victime, indemne, n'a pas pu identifier ses agresseurs qui lui avaient masqué les yeux avec des vêtements.
Tournefeuille. Psychologue, elle vole 60 000 € à ses patients et employés
Une psychologue de Tournefeuille a été placée en garde à vue pour avoir volé, par utilisation frauduleuse de chéquiers ou de données bancaires, des milliers d'euros à ses patients et employés.
Plus d'un an d'enquête et une vaste escroquerie mise au jour. Les policiers de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Tournefeuille viennent de mettre fin à une escroquerie dont se serait rendue coupable une femme de 39 ans, psychologue à Tournefeuille. De mai 2011 à janvier dernier, elle serait parvenue à détourner plus de 60 000 €.
Cette femme, mère de trois enfants, qui avait pignon sur rue, profitait à la fois de sa qualité de psychologue et de son statut de notable pour escroquer ses victimes.
Certains de ses patients mais aussi ses employés en tant qu'auxiliaires de vie, coiffeuses à domicile ou femmes de ménages, ont été la proie de son attrait pour l'argent. Celle-ci s'arrangeait pour détourner leur attention. Elle faisait alors main basse sur les données des cartes bancaires ou des chèques ainsi que sur les pièces d'identité.
Forte de ces renseignements, la mère de famille réalisait des achats en tout genre. Bijoux, mobilier, décoration et même denrées alimentaires, elle menait grand train sur le dos de ses victimes. Les données de cartes bancaires comme les chéquiers, détournés aussi bien à son cabinet qu'à domicile, ont servi à acquérir des biens tant dans des magasins que sur internet.
La psychologue a été interpellée mercredi matin et placée en garde à vue. Elle aurait reconnu l'intégralité des faits. Elle n'exerçait plus en tant que psychologue depuis quelque temps. Elle sera jugée fin 2014 par le tribunal correctionnel de Toulouse.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=22112&WS=291720_2501986&WA=4170
Plus d'un an d'enquête et une vaste escroquerie mise au jour. Les policiers de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Tournefeuille viennent de mettre fin à une escroquerie dont se serait rendue coupable une femme de 39 ans, psychologue à Tournefeuille. De mai 2011 à janvier dernier, elle serait parvenue à détourner plus de 60 000 €.
Cette femme, mère de trois enfants, qui avait pignon sur rue, profitait à la fois de sa qualité de psychologue et de son statut de notable pour escroquer ses victimes.
Certains de ses patients mais aussi ses employés en tant qu'auxiliaires de vie, coiffeuses à domicile ou femmes de ménages, ont été la proie de son attrait pour l'argent. Celle-ci s'arrangeait pour détourner leur attention. Elle faisait alors main basse sur les données des cartes bancaires ou des chèques ainsi que sur les pièces d'identité.
Forte de ces renseignements, la mère de famille réalisait des achats en tout genre. Bijoux, mobilier, décoration et même denrées alimentaires, elle menait grand train sur le dos de ses victimes. Les données de cartes bancaires comme les chéquiers, détournés aussi bien à son cabinet qu'à domicile, ont servi à acquérir des biens tant dans des magasins que sur internet.
Nombreuses victimes
Au fil du temps, plusieurs plaintes ont été recueillies par le commissariat de Tournefeuille et une enquête diligentée. Après plus d'un an d'investigations, les policiers de la BSU ont opéré des recoupements et identifié une douzaine de victimes directes, sans compter les commerçants floués par l'escroc.La psychologue a été interpellée mercredi matin et placée en garde à vue. Elle aurait reconnu l'intégralité des faits. Elle n'exerçait plus en tant que psychologue depuis quelque temps. Elle sera jugée fin 2014 par le tribunal correctionnel de Toulouse.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=22112&WS=291720_2501986&WA=4170
Grenoble : Manuel Valls n'accepte pas qu'un pompier refuse de lui serrer la main
Selon une information du Dauphiné Libéré, Manuel Valls en visite, le jeudi 20 mars, chez les sapeurs pompiers de Grenoble n'a pas du tout apprécié que l'un d'entre eux refuse de lui serrer la main.
Un geste, selon lui, qui symbolise un refus de la hiérarchie et plus globalement d'une perte de valeurs. Dans la vidéo diffusée sur le site internet du Dauphiné, on voit le Ministre de l'intérieur en discussion avec des pompiers qui manifestaient devant la préfecture. Il explique qu'il n'accepte pas ce refus.
L'un d'entre eux aurait refusé de lui serrer la main alors qu'il est venu à Grenoble pour écouter leurs revendications. Selon le Dauphiné, des pompiers sont "en conflit avec leur direction depuis trois mois."
"Quand on refuse de serrer la main à une quelconque personne, c'est qu'on a perdu ses valeurs. (...) Il y a une hiérarchie dans les sapeurs-pompiers. Et vous devez la respecter. Et si je viens ici, dialoguer avec des sapeurs-pompiers, c'est pas pour qu'on refuse de me serrer la main."
http://www.midilibre.fr/2014/03/21/grenoble-manuel-valls-n-accepte-pas-qu-un-pompier-refuse-de-lui-serrer-la-main,837666.php
Un geste, selon lui, qui symbolise un refus de la hiérarchie et plus globalement d'une perte de valeurs. Dans la vidéo diffusée sur le site internet du Dauphiné, on voit le Ministre de l'intérieur en discussion avec des pompiers qui manifestaient devant la préfecture. Il explique qu'il n'accepte pas ce refus.
L'un d'entre eux aurait refusé de lui serrer la main alors qu'il est venu à Grenoble pour écouter leurs revendications. Selon le Dauphiné, des pompiers sont "en conflit avec leur direction depuis trois mois."
"Quand on refuse de serrer la main à une quelconque personne, c'est qu'on a perdu ses valeurs. (...) Il y a une hiérarchie dans les sapeurs-pompiers. Et vous devez la respecter. Et si je viens ici, dialoguer avec des sapeurs-pompiers, c'est pas pour qu'on refuse de me serrer la main."
http://www.midilibre.fr/2014/03/21/grenoble-manuel-valls-n-accepte-pas-qu-un-pompier-refuse-de-lui-serrer-la-main,837666.php
vendredi 21 mars 2014
Bordeaux : le médecin avait falsifié 1 250 actes médicaux afin d’obtenir les remboursements
Ce sont des patients qui ont donné l'alerte. Ils avaient changé de médecin traitant ou vivaient à l'étranger depuis plusieurs années. Pourtant, en consultant leurs remboursements maladie, ils se sont rendu compte que la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) remboursait des consultations ou des actes issus d'un médecin bordelais qu'ils n'avaient pas rencontré !
La martingale trouvée par ce médecin bordelais âgé de près de 70 ans tournait à plein régime et n'avait rien de très originale. Entre 2010 et 2013, il avait transmis à la CPAM pas moins de 1 250 fausses feuilles de soins ou actes médicaux non effectués sous forme de dispenses d'avances de frais ou de facturations sur papier libre. Ce dispositif lui permettait d'encaisser les remboursements. En trois ans, 23 735 euros sont ainsi tombés indûment dans les poches du docteur indélicat.
Certes, au regard du volume traité quotidiennement par la Caisse, la somme peut paraître dérisoire. Cela n'a pas empêché la CPAM de diligenter une enquête dans les règles. Celle-ci conclut que le médecin avait jeté son dévolu sur une cinquantaine de patients qui se voyaient affublés de prestations fictives.
Devant la quatrième chambre du tribunal correctionnel de Bordeaux présidée par la juge Caroline Baret, le médecin (qui n'exerce plus en libéral) n'a pas cherché à contester le détournement.
« Pendant plus de deux ans, j'ai eu de gros soucis de santé. Je donnais peu de consultations, ce qui engendrait des pertes financières. J'ai voulu compenser en procédant à des surfacturations », explique d'une voix à peine audible le prévenu dont le cabinet a d'ores et déjà fait l'objet d'une procédure de liquidation. « Il s'est engagé à rembourser. Nous avons signé un protocole d'accord. Cette démarche est positive. Notre position est d'encourager ceux qui assument leur responsabilité et font leur mea culpa et de ne pas les priver d'une seconde chance. Aussi, nous vous demandons de regarder avec bienveillance sa demande de dispense de peine », a lancé Me Bardet pour la CPAM qui s'est constituée partie civile.
« C'est quelqu'un qui, un jour, s'est effondré. Le voilà à 67 ans qui continue à travailler là où beaucoup d'autres se sont arrêtés. Il porte cette affaire comme un boulet mais ne fuira pas ses responsabilités. Dès que les interdictions bancaires qui le frappent seront levées, il remboursera en une fois l'intégralité de la somme comme il s'y est engagé. »
Conformément aux réquisitions du parquet, le tribunal l'a néanmoins condamné non seulement à rembourser les sommes indûment perçues mais également à quatre mois de prison avec sursis. La peine ne sera néanmoins pas inscrite à son casier judiciaire.
http://www.sudouest.fr/2014/03/21/1-250-faux-actes-medicaux-1499047-2780.php
La martingale trouvée par ce médecin bordelais âgé de près de 70 ans tournait à plein régime et n'avait rien de très originale. Entre 2010 et 2013, il avait transmis à la CPAM pas moins de 1 250 fausses feuilles de soins ou actes médicaux non effectués sous forme de dispenses d'avances de frais ou de facturations sur papier libre. Ce dispositif lui permettait d'encaisser les remboursements. En trois ans, 23 735 euros sont ainsi tombés indûment dans les poches du docteur indélicat.
Certes, au regard du volume traité quotidiennement par la Caisse, la somme peut paraître dérisoire. Cela n'a pas empêché la CPAM de diligenter une enquête dans les règles. Celle-ci conclut que le médecin avait jeté son dévolu sur une cinquantaine de patients qui se voyaient affublés de prestations fictives.
Devant la quatrième chambre du tribunal correctionnel de Bordeaux présidée par la juge Caroline Baret, le médecin (qui n'exerce plus en libéral) n'a pas cherché à contester le détournement.
« Pendant plus de deux ans, j'ai eu de gros soucis de santé. Je donnais peu de consultations, ce qui engendrait des pertes financières. J'ai voulu compenser en procédant à des surfacturations », explique d'une voix à peine audible le prévenu dont le cabinet a d'ores et déjà fait l'objet d'une procédure de liquidation. « Il s'est engagé à rembourser. Nous avons signé un protocole d'accord. Cette démarche est positive. Notre position est d'encourager ceux qui assument leur responsabilité et font leur mea culpa et de ne pas les priver d'une seconde chance. Aussi, nous vous demandons de regarder avec bienveillance sa demande de dispense de peine », a lancé Me Bardet pour la CPAM qui s'est constituée partie civile.
« C'est quelqu'un qui, un jour, s'est effondré. Le voilà à 67 ans qui continue à travailler là où beaucoup d'autres se sont arrêtés. Il porte cette affaire comme un boulet mais ne fuira pas ses responsabilités. Dès que les interdictions bancaires qui le frappent seront levées, il remboursera en une fois l'intégralité de la somme comme il s'y est engagé. »
Conformément aux réquisitions du parquet, le tribunal l'a néanmoins condamné non seulement à rembourser les sommes indûment perçues mais également à quatre mois de prison avec sursis. La peine ne sera néanmoins pas inscrite à son casier judiciaire.
http://www.sudouest.fr/2014/03/21/1-250-faux-actes-medicaux-1499047-2780.php
Rodez. Handicapée à 83% après un accident, elle est "prête à s'enchaîner pour que justice soit faite»
La vie de Mylène Canalés, aujourd'hui âgée de 33 ans, a basculé le 16 avril 2010, vers 21 h 45. Ce soir-là, un terrible accident de la route l'a rendue handicapée à 83 %. Depuis, elle se bat pour que «justice soit faite» mais l'affaire a été classée sans suite.
Retour sur une sombre soirée d'avril 2010. Après un apéritif arrosé, Mylène Canalès et son compagnon de l'époque décident de rentrer à leur domicile. «Je n'avais pas bu mais il n'a pas voulu que je prenne le volant, alors qu'il était alcoolisé et n'avait plus son permis». À Viviez, dans la côte des Albres, l'homme perd le contrôle du véhicule dans un virage. Après une chute de 20 mètres, lui est indemne et Mylène Canalés se réveille à l'hôpital. «J'ai été éjectée de la voiture. Aujourd'hui, handicapée à 83 %, j'ai perdu l'usage de mon bras gauche et je marche avec une canne. Je porterai bientôt une prothèse de hanche. Je suis désormais assistée».
Depuis cet accident, sa vie est un parcours semé d'embûches. Après plusieurs semaines passées dans le coma, il est l'heure pour la jeune femme de raconter les faits aux gendarmes. «Sous la menace de mon ancien compagnon et de sa famille, j'ai dit que je conduisais. Je suis revenue sur ma déposition seulement quelques mois après». En 2011, les services sociaux lui retirent la garde de ses deux enfants. «J'ai dû prouver que j'étais capable de m'en occuper. Ce fut une grosse bataille mais j'ai pu les récupérer l'an dernier».
Accompagnée dans son combat par un avocat, spécialisé en droit du dommage corporel, ne change pas la donne pour Mylène Canalès. En effet, l'affaire a été classée sans suite, comme l'atteste un courrier daté du 20 novembre 2013. «Pour moi, l'enquête a été bâclée. Des photos confirment que je n'étais pas au volant au moment des faits. En outre, un membre de la famille de mon ex-compagnon a témoigné en ma faveur. Pour autant, celui qui a détruit ma vie n'a jamais été jugé, c'est injuste», relate la jeune femme, devant son imposant classeur dans lequel, elle conserve toutes les étapes de cette terrible affaire.
«Je veux que justice soit faite, pour moi mais aussi pour mes enfants. Ils souffrent d'avoir une maman handicapée et subissent parfois des moqueries. Si les choses n'avancent pas, j'entamerai une grève de la faim et je m'enchaînerai au tribunal», conclut Mylène Canalès désemparée, depuis bientôt quatre ans
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/21/1844850-suis-prete-enchainer-justice-soit-faite.html
Retour sur une sombre soirée d'avril 2010. Après un apéritif arrosé, Mylène Canalès et son compagnon de l'époque décident de rentrer à leur domicile. «Je n'avais pas bu mais il n'a pas voulu que je prenne le volant, alors qu'il était alcoolisé et n'avait plus son permis». À Viviez, dans la côte des Albres, l'homme perd le contrôle du véhicule dans un virage. Après une chute de 20 mètres, lui est indemne et Mylène Canalés se réveille à l'hôpital. «J'ai été éjectée de la voiture. Aujourd'hui, handicapée à 83 %, j'ai perdu l'usage de mon bras gauche et je marche avec une canne. Je porterai bientôt une prothèse de hanche. Je suis désormais assistée».
Depuis cet accident, sa vie est un parcours semé d'embûches. Après plusieurs semaines passées dans le coma, il est l'heure pour la jeune femme de raconter les faits aux gendarmes. «Sous la menace de mon ancien compagnon et de sa famille, j'ai dit que je conduisais. Je suis revenue sur ma déposition seulement quelques mois après». En 2011, les services sociaux lui retirent la garde de ses deux enfants. «J'ai dû prouver que j'étais capable de m'en occuper. Ce fut une grosse bataille mais j'ai pu les récupérer l'an dernier».
Accompagnée dans son combat par un avocat, spécialisé en droit du dommage corporel, ne change pas la donne pour Mylène Canalès. En effet, l'affaire a été classée sans suite, comme l'atteste un courrier daté du 20 novembre 2013. «Pour moi, l'enquête a été bâclée. Des photos confirment que je n'étais pas au volant au moment des faits. En outre, un membre de la famille de mon ex-compagnon a témoigné en ma faveur. Pour autant, celui qui a détruit ma vie n'a jamais été jugé, c'est injuste», relate la jeune femme, devant son imposant classeur dans lequel, elle conserve toutes les étapes de cette terrible affaire.
«Je veux que justice soit faite, pour moi mais aussi pour mes enfants. Ils souffrent d'avoir une maman handicapée et subissent parfois des moqueries. Si les choses n'avancent pas, j'entamerai une grève de la faim et je m'enchaînerai au tribunal», conclut Mylène Canalès désemparée, depuis bientôt quatre ans
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/21/1844850-suis-prete-enchainer-justice-soit-faite.html
Bar-le-Duc : l’aide à domicile arrondissait ses fins de mois
700 euros de salaire mensuel c’est peu. C’est certainement ce qu’a dû se dire cette jeune aide à domicile qui, depuis mercredi après-midi, est en garde à vue au commissariat de Bar-le-Duc. Lui sont reprochés des faits d’utilisation frauduleuse d’une carte bleue. Un abus de faiblesse commis au préjudice d’un septuagénaire dont elle s’occupait.
C’est d’ailleurs ce monsieur qui a découvert le pot aux roses début mars quand il s’est vu refuser un prélèvement automatique d’EDF, au motif que son compte bancaire n’était pas assez approvisionné. Epluchant ses relevés bancaires, il a découvert un retrait de 500 euros ainsi que des achats dans des magasins de vêtements pour femmes réglés avec sa carte bancaire. Il déposait aussitôt plainte contre X en indiquant avoir des soupçons sur son aide à domicile.
L’enquête menée par la police a en effet permis de montrer que ces soupçons étaient bien fondés, puisque sur un enregistrement vidéo d’un distributeur de billets on voyait la jeune aide à domicile de 24 ans en train de retirer les 500 euros et que les achats effectués en magasin apparaissaient sur ses cartes de fidélité. Au total, en février, elle débité le compte du septuagénaire de 1.200 euros
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/03/20/bar-le-duc-l-aide-a-domicile-arrondissait-ses-fins-de-mois
C’est d’ailleurs ce monsieur qui a découvert le pot aux roses début mars quand il s’est vu refuser un prélèvement automatique d’EDF, au motif que son compte bancaire n’était pas assez approvisionné. Epluchant ses relevés bancaires, il a découvert un retrait de 500 euros ainsi que des achats dans des magasins de vêtements pour femmes réglés avec sa carte bancaire. Il déposait aussitôt plainte contre X en indiquant avoir des soupçons sur son aide à domicile.
L’enquête menée par la police a en effet permis de montrer que ces soupçons étaient bien fondés, puisque sur un enregistrement vidéo d’un distributeur de billets on voyait la jeune aide à domicile de 24 ans en train de retirer les 500 euros et que les achats effectués en magasin apparaissaient sur ses cartes de fidélité. Au total, en février, elle débité le compte du septuagénaire de 1.200 euros
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/03/20/bar-le-duc-l-aide-a-domicile-arrondissait-ses-fins-de-mois
jeudi 20 mars 2014
Un homme de 30 ans tué par balles dans une cité de Vitrolles
Un homme de 30 ans a été tué par balles dans une cité de Vitrolles (Bouches-du-Rhône) jeudi après-midi par des tireurs qui ont pris la fuite, a-t-on appris de source policière.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime, connue des services de police, a été prise pour cible par trois hommes. A priori armés d'une Kalachnikov, ils se trouvaient à bord d'une voiture qui été retrouvée incendiée, selon une source proche de l'enquête.
http://www.lepoint.fr/societe/un-homme-de-30-ans-tue-par-balles-dans-une-cite-de-vitrolles-20-03-2014-1803578_23.php
Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime, connue des services de police, a été prise pour cible par trois hommes. A priori armés d'une Kalachnikov, ils se trouvaient à bord d'une voiture qui été retrouvée incendiée, selon une source proche de l'enquête.
http://www.lepoint.fr/societe/un-homme-de-30-ans-tue-par-balles-dans-une-cite-de-vitrolles-20-03-2014-1803578_23.php
Champs-Elysées : une voiture s'engouffre dans une bouche de métro
C'est une scène insolite à laquelle ont assisté les badauds qui se promenaient mercredi soir sur les Champs-Elysées, à Paris. Croyant avoir affaire à une entrée de parking, une voiture s'est introduite dans une bouche de métro. Le conducteur s'est rapidement rendu compte de son erreur puisqu'il a interrompu sa descente au bout de quelques marches.
Trop tard : la voiture était déjà bloquée, au plus grand plaisir des spectateurs incrédules qui ont envoyé les photos de la scène sur Twitter.
Pas une première
En avril dernier, un véhicule 4X4 avait déjà plongé à vitesse lente dans une bouche de métro, confondue avec l'entrée d'un parking. Par chance, il n'y avait eu ni blessé, ni dégât, et un immense attroupement de curieux s'était aussi affairé à photographier la voiture bloquée dans les escaliers.
«Il y a un panneau "Parking Haussmann, grands magasins" qui est placé juste avant et comme il n'y a pas de plot devant l'entrée de l'escalier, je me suis trompé.Par chance, il n'y avait personne dans les escaliers», s'était justifié le conducteur distrait, Johan, 26 ans.
La police avait immédiatement procédé à un contrôle d'alcoolémie du conducteur, qui s'était révélé négatif. Selon une employée du restaurant Select, proche de la bouche de métro, un incident similaire s'était produit au même endroit il y a 4 ou 5 ans.
http://www.leparisien.fr/paris-75/champs-elysees-une-voiture-s-engouffre-dans-une-bouche-de-metro-20-03-2014-3690691.php
Pas une première
En avril dernier, un véhicule 4X4 avait déjà plongé à vitesse lente dans une bouche de métro, confondue avec l'entrée d'un parking. Par chance, il n'y avait eu ni blessé, ni dégât, et un immense attroupement de curieux s'était aussi affairé à photographier la voiture bloquée dans les escaliers.
«Il y a un panneau "Parking Haussmann, grands magasins" qui est placé juste avant et comme il n'y a pas de plot devant l'entrée de l'escalier, je me suis trompé.Par chance, il n'y avait personne dans les escaliers», s'était justifié le conducteur distrait, Johan, 26 ans.
La police avait immédiatement procédé à un contrôle d'alcoolémie du conducteur, qui s'était révélé négatif. Selon une employée du restaurant Select, proche de la bouche de métro, un incident similaire s'était produit au même endroit il y a 4 ou 5 ans.
http://www.leparisien.fr/paris-75/champs-elysees-une-voiture-s-engouffre-dans-une-bouche-de-metro-20-03-2014-3690691.php
Deux réseaux démantelés à Albi : ils avaient acheté 82 000 euros de drogue
Les policiers d’Albi viennent de démanteler deux énormes réseaux de drogue dans le Tarn. Après quatre mois de surveillance et d’écoutes téléphoniques, le 27 février dernier, un couple de trentenaires albigeois est interpellé en voiture. Dans le véhicule, les policiers retrouvent 520 grammes de cannabis et grammes de cocaïne dissimulés dans des ballots. Lors de la perquisition à leur domicile du centre-ville d’Albi, ils découvrent 700 grammes d’herbe, 70 doses d’amphétamines et 8 000 euros en liquide. Le couple reconnaît vendre de la drogue depuis une dizaine d’années pourtant leur casier judiciaire est vierge. Ils fournissaient une cinquantaine de clients (majeurs et mineurs) sur Albi à proximité des lycées du centre-ville. Leur trafic est tellement lucratif qu’ils se ravitaillent une fois par semaine en Espagne. En cinq mois, ils auraient acheté pour 82 000 euros de drogue (20 kg d’herbe et 200 grammes de cocaïne), une somme doublée à la revente. Le couple a été incarcéré.
Lundi dernier, le groupe des stups avec l’aide du chien renifleur de Toulouse démantèle un deuxième réseau de trafiquants. Trois jeunes hommes d’une vingtaine d’années sont interpellés. À leur domicile, 70 doses d’amphétamines sont retrouvées, Lors des auditions, ils reconnaissent avoir revendu la drogue sur les parkings des principales boîtes de nuit toulousaines. Une combine là aussi très rentable puisque les Albigeois touchaient entre 250 et 600 euros par soirée et par personne, soit entre 25 et 60 doses vendues à chaque fois.
Lors de la perquisition dans le camion, les enquêteurs ont retrouvé 61 grammes d’héroïne, 160 doses d’amphétamines et 1 000 euros en liquide. Ils ont reconnu avoir importé la drogue depuis l’Espagne avant de la revendre notamment dans des raves party. Le couple a été placé en garde à vue. Les quatre autres personnes ont été remises en liberté sous contrôle judiciaire.
Les enquêteurs vont désormais auditionner l’ensemble des clients présumés repérés lors des écoutes téléphoniques.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=21935&WS=291720_2501986&WA=4133
Lundi dernier, le groupe des stups avec l’aide du chien renifleur de Toulouse démantèle un deuxième réseau de trafiquants. Trois jeunes hommes d’une vingtaine d’années sont interpellés. À leur domicile, 70 doses d’amphétamines sont retrouvées, Lors des auditions, ils reconnaissent avoir revendu la drogue sur les parkings des principales boîtes de nuit toulousaines. Une combine là aussi très rentable puisque les Albigeois touchaient entre 250 et 600 euros par soirée et par personne, soit entre 25 et 60 doses vendues à chaque fois.
Ils achetaient les amphétamines en Espagne
Sur Albi, les trafiquants avaient également une trentaine de clients réguliers. Une quatrième personne, une jeune fille également partie prenante du réseau a été interpellée. Les policiers sont remontés jusqu’à leurs fournisseurs en amphétamines, un couple de trentenaires qui vivaient dans un camion à Graulhet.Lors de la perquisition dans le camion, les enquêteurs ont retrouvé 61 grammes d’héroïne, 160 doses d’amphétamines et 1 000 euros en liquide. Ils ont reconnu avoir importé la drogue depuis l’Espagne avant de la revendre notamment dans des raves party. Le couple a été placé en garde à vue. Les quatre autres personnes ont été remises en liberté sous contrôle judiciaire.
Les enquêteurs vont désormais auditionner l’ensemble des clients présumés repérés lors des écoutes téléphoniques.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=21935&WS=291720_2501986&WA=4133
Laurent Ruquier quitte Europe 1
L'animateur devrait prendre la succession de Philippe Bouvard aux «Grosses Têtes» sur RTL. La radio n'a pas encore confirmé l'information...
Quinze ans après la première d'«On va s’gêner», Laurent Ruquier va quitter Europe 1, annonce Puremedias.com ce mercredi soir. Une information que le groupe Lagardère a confirmée. L’animateur quittera l’antenne à la fin de la saison.
Diffusée depuis 1999, l’émission affichait encore, selon les derniers chiffres datant de fin 2013, de bonnes audiences, avec en moyenne 820.000 auditeurs chaque après-midi.
Il y a quelques jours à peine, Laurent Ruquier annonçait la fin de «L’émission pour tous» sur France 2, en raison d’audiences en berne.
http://www.20minutes.fr/medias/1328210-laurent-ruquier-quitte-europe-1
Quinze ans après la première d'«On va s’gêner», Laurent Ruquier va quitter Europe 1, annonce Puremedias.com ce mercredi soir. Une information que le groupe Lagardère a confirmée. L’animateur quittera l’antenne à la fin de la saison.
Diffusée depuis 1999, l’émission affichait encore, selon les derniers chiffres datant de fin 2013, de bonnes audiences, avec en moyenne 820.000 auditeurs chaque après-midi.
Bientôt aux «Grosses Têtes»?
Les rumeurs de départ allaient bon train ces dernières semaines, alors que Laurent Ruquier a été reçu chez RTL et RMC. Pour Les Echos, l'animateur devrait prendre la succession de Philippe Bouvard aux «Grosses Têtes». Ni RTL ni Laurent Ruquier n’ont encore confirmé l’information.Il y a quelques jours à peine, Laurent Ruquier annonçait la fin de «L’émission pour tous» sur France 2, en raison d’audiences en berne.
http://www.20minutes.fr/medias/1328210-laurent-ruquier-quitte-europe-1
mercredi 19 mars 2014
Appel à témoins : une BMW prend la fuite après avoir renversé un piéton
L'accident a eu lieu hier vers midi rue Francisco Ferrer, en zone industrielle nord de Limoges, à proximité du magasin Babou. Le véhicule était occupé par deux individus qui ont pris la fuite.
Le piéton, un homme de 24 ans, traversait la chaussée quand il a été percuté par la voiture.
Blessé à la cheville, il a été conduit à l'hôpital.
Toute personne pouvant fournir des informations concernant les circonstances de cet accident peut appeler la Brigade des Accidents au 05 55 14 31 50 ou 05 55 14 31 38
http://limousin.france3.fr/2014/03/19/appel-temoins-une-bmw-prend-la-fuite-apres-avoir-renverse-un-pieton-436423.html
Le piéton, un homme de 24 ans, traversait la chaussée quand il a été percuté par la voiture.
Blessé à la cheville, il a été conduit à l'hôpital.
Toute personne pouvant fournir des informations concernant les circonstances de cet accident peut appeler la Brigade des Accidents au 05 55 14 31 50 ou 05 55 14 31 38
http://limousin.france3.fr/2014/03/19/appel-temoins-une-bmw-prend-la-fuite-apres-avoir-renverse-un-pieton-436423.html
Un Rembrandt volé il y a 15 ans dans le Var retrouvé à Nice
C'est une découverte qui pourrait valoir plus de 3 million d'euros. Les policiers ont retrouvé à Nice un Rembrandt qui avait été dérobé au musée municipal de Draguignan en juillet 1999.
Les enquêteurs de l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels en coordination avec la police judiciaire de Nice, ont interpellé mardi deux personnes en possession de l'oeuvre du peintre hollandais, après avoir mis en place une surveillance à la suite d'un renseignement.
Placés en garde à vue, ces hommes, nés en 1961 et 1968, sont "connus des services de police pour des faits de petite délinquance".
Cette petite toile de 60 centimètres sur 49, intitulée "L'enfant à la bulle de savon" et appartenant à l'Etat, était estimée à l'époque du vol à environ 20 millions de francs.
Non datée, elle représente, à une fenêtre, un adolescent aux cheveux longs portant un collier en or avec une médaille autour du cou. Il tient dans sa main une bulle telle une boule de cristal et dans l'autre, une paille.
Les auteurs du vol étaient entrés par effraction dans la bibliothèque municipale, contiguë au musée, alors que se déroulait non loin la parade militaire des chars et véhicules blindés pour la fête nationale.
L'alarme avait retenti mais les policiers, arrivés trop tard, n'avaient pu arrêter les malfaiteurs, partis avec le tableau au cadre en bois doré du 18e siècle.
Aucune précision n'a été apportée dans l'immédiat sur le sort du tableau au cours de ces 15 dernières années.
http://www.sudouest.fr/2014/03/19/un-rembrandt-vole-il-y-a-15-ans-dans-le-var-retrouve-a-nice-1496712-7.php
Les enquêteurs de l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels en coordination avec la police judiciaire de Nice, ont interpellé mardi deux personnes en possession de l'oeuvre du peintre hollandais, après avoir mis en place une surveillance à la suite d'un renseignement.
Placés en garde à vue, ces hommes, nés en 1961 et 1968, sont "connus des services de police pour des faits de petite délinquance".
Cette petite toile de 60 centimètres sur 49, intitulée "L'enfant à la bulle de savon" et appartenant à l'Etat, était estimée à l'époque du vol à environ 20 millions de francs.
Non datée, elle représente, à une fenêtre, un adolescent aux cheveux longs portant un collier en or avec une médaille autour du cou. Il tient dans sa main une bulle telle une boule de cristal et dans l'autre, une paille.
Les auteurs du vol étaient entrés par effraction dans la bibliothèque municipale, contiguë au musée, alors que se déroulait non loin la parade militaire des chars et véhicules blindés pour la fête nationale.
L'alarme avait retenti mais les policiers, arrivés trop tard, n'avaient pu arrêter les malfaiteurs, partis avec le tableau au cadre en bois doré du 18e siècle.
Aucune précision n'a été apportée dans l'immédiat sur le sort du tableau au cours de ces 15 dernières années.
http://www.sudouest.fr/2014/03/19/un-rembrandt-vole-il-y-a-15-ans-dans-le-var-retrouve-a-nice-1496712-7.php
Mort de Sarah : prison avec sursis pour les violences de son compagnon
Mickaël, le compagnon de Sarah Giraud a été condamné à deux ans de prison avec sursis en correctionnelle. Colère de la famille de la victime et appel du parquet.
Longtemps, dans la salle des pas perdus du palais de justice de Toulouse, les proches de Sarah Giraud sont restés sans voix. Incrédules, ils interrogeaient et cherchaient à comprendre la décision qui venait d’être rendue. «Deux ans, trois ans ? Cela veut dire quoi ? Il va en prison…»
Non. Mickaël, le compagnon de Sarah Giraud, 19 ans, retrouvée morte le 28 décembre 2011 dans un appartement de la rue de Cugnaux, à Toulouse, n’ira pas en prison. Hier la 5e chambre correctionnelle l’a relaxé pour le délit de non-assistance à personne en danger, «pas suffisamment caractérisée», a souligné la présidente Anne Rivière. Il a en revanche été reconnu coupable de violences volontaires par concubin et en état d’ivresse, deux circonstances aggravantes. Le tribunal l’a condamné à deux ans de prison avec sursis et mise à l’épreuve avec l’obligation de soigner son appétence à l’alcool et d’indemniser les victimes.
Le temps de comprendre, Carole Elicha-Giraud, la mère de la victime, n’a pu retenir ses larmes et sa colère. «Mais il faut faire quoi ? À quoi ça rime tout ça», s’est indignée cette mère qui se débat depuis plus de 5 ans pour obtenir justice. «Quand on connaît le dossier, comment peut-on se contenter d’une peine avec sursis ? Il doit aller en prison.»
Colère et excès. Douleur surtout d’une mère et d’une famille à bout, qui peinent devant une justice qui, quoi qu’elle décide, ne rendra jamais Sarah, morte d’une intoxication médicamenteuse. Un suicide inacceptable chez une jeune fille qui incarnait la joie de vivre. Même son compagnon de l’époque l’a souligné lors de l’audience, le 4 mars. Hier il ne s’est pas déplacé. Le parquet, dès la décision connue, a immédiatement interjeté appel. Il y aura donc un nouveau procès.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/19/1843030-mort-sarah-prison-sursis-violences-compagnon.html
Longtemps, dans la salle des pas perdus du palais de justice de Toulouse, les proches de Sarah Giraud sont restés sans voix. Incrédules, ils interrogeaient et cherchaient à comprendre la décision qui venait d’être rendue. «Deux ans, trois ans ? Cela veut dire quoi ? Il va en prison…»
Non. Mickaël, le compagnon de Sarah Giraud, 19 ans, retrouvée morte le 28 décembre 2011 dans un appartement de la rue de Cugnaux, à Toulouse, n’ira pas en prison. Hier la 5e chambre correctionnelle l’a relaxé pour le délit de non-assistance à personne en danger, «pas suffisamment caractérisée», a souligné la présidente Anne Rivière. Il a en revanche été reconnu coupable de violences volontaires par concubin et en état d’ivresse, deux circonstances aggravantes. Le tribunal l’a condamné à deux ans de prison avec sursis et mise à l’épreuve avec l’obligation de soigner son appétence à l’alcool et d’indemniser les victimes.
Le temps de comprendre, Carole Elicha-Giraud, la mère de la victime, n’a pu retenir ses larmes et sa colère. «Mais il faut faire quoi ? À quoi ça rime tout ça», s’est indignée cette mère qui se débat depuis plus de 5 ans pour obtenir justice. «Quand on connaît le dossier, comment peut-on se contenter d’une peine avec sursis ? Il doit aller en prison.»
Colère et excès. Douleur surtout d’une mère et d’une famille à bout, qui peinent devant une justice qui, quoi qu’elle décide, ne rendra jamais Sarah, morte d’une intoxication médicamenteuse. Un suicide inacceptable chez une jeune fille qui incarnait la joie de vivre. Même son compagnon de l’époque l’a souligné lors de l’audience, le 4 mars. Hier il ne s’est pas déplacé. Le parquet, dès la décision connue, a immédiatement interjeté appel. Il y aura donc un nouveau procès.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/19/1843030-mort-sarah-prison-sursis-violences-compagnon.html
Une banque cambriolée en passant par un tunnel et les égoûts près de Toulouse
Des cambrioleurs ont tranquillement dévalisé une agence bancaire de Bessières (Haute-Garonne), durant le week-end, en passant par un tunnel creusé à partir d'une canalisation de la ville et arrivant jusqu'à la salle des coffres, a-t-on appris mardi auprès des gendarmes et du parquet.
"Les malfaiteurs ont pénétré dans la salle des coffres, en sous-sol, par un tunnel qu'ils avaient creusé sous terre dans le prolongement d'une canalisation d'évacuation des eaux", a précisé à l'AFP le procureur à Toulouse Michel Valet. Un cambriolage commis donc à la manière du "casse du siècle" mené à Nice en 1976 : le malfaiteur Albert Spaggiari et ses complices avaient alors dévalisé la Société générale après avoir creusé un tunnel d'accès depuis les égouts, jusqu'à la salle des coffres.
Un central téléphonique détruit dans le même week-end
A Bessières (3 000 habitants), l'alerte n'a été donnée que mardi en fin de matinée à la réouverture de l'agence Crédit agricole, fermée depuis samedi après-midi. Les responsables ont alors constaté que la salle des coffres avait été visitée. Mais les forces de l'ordre étaient de toute façon bien occupées ces deux derniers jours à cet endroit car la commune avait été le théâtre, dans la nuit de samedi à dimanche, d'un incendie volontaire ayant détruit un central téléphonique Orange et privé des milliers d'abonnés de communications téléphoniques et internet.
Un autre "attentat" dans un village voisin
Un autre central téléphonique avait été incendié presque simultanément à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne) et des inscriptions au nom du Comité régional d'action viticole (CRAV) avaient été trouvées sur les lieux de ces attentats. "On ne sait pas si un lien peut être fait entre les deux affaires", a simplement dit un officier de la gendarmerie, au tout début de l'enquête. "On est en droit de se poser très sérieusement la question", a déclaré de son côté le procureur, du fait de la concomitance des trois faits.
http://www.midilibre.fr/2014/03/18/une-banque-cambriolee-en-passant-par-un-tunnel-et-les-egouts-pres-de-toulouse,836141.php
"Les malfaiteurs ont pénétré dans la salle des coffres, en sous-sol, par un tunnel qu'ils avaient creusé sous terre dans le prolongement d'une canalisation d'évacuation des eaux", a précisé à l'AFP le procureur à Toulouse Michel Valet. Un cambriolage commis donc à la manière du "casse du siècle" mené à Nice en 1976 : le malfaiteur Albert Spaggiari et ses complices avaient alors dévalisé la Société générale après avoir creusé un tunnel d'accès depuis les égouts, jusqu'à la salle des coffres.
Un central téléphonique détruit dans le même week-end
A Bessières (3 000 habitants), l'alerte n'a été donnée que mardi en fin de matinée à la réouverture de l'agence Crédit agricole, fermée depuis samedi après-midi. Les responsables ont alors constaté que la salle des coffres avait été visitée. Mais les forces de l'ordre étaient de toute façon bien occupées ces deux derniers jours à cet endroit car la commune avait été le théâtre, dans la nuit de samedi à dimanche, d'un incendie volontaire ayant détruit un central téléphonique Orange et privé des milliers d'abonnés de communications téléphoniques et internet.
Un autre "attentat" dans un village voisin
Un autre central téléphonique avait été incendié presque simultanément à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne) et des inscriptions au nom du Comité régional d'action viticole (CRAV) avaient été trouvées sur les lieux de ces attentats. "On ne sait pas si un lien peut être fait entre les deux affaires", a simplement dit un officier de la gendarmerie, au tout début de l'enquête. "On est en droit de se poser très sérieusement la question", a déclaré de son côté le procureur, du fait de la concomitance des trois faits.
http://www.midilibre.fr/2014/03/18/une-banque-cambriolee-en-passant-par-un-tunnel-et-les-egouts-pres-de-toulouse,836141.php
mardi 18 mars 2014
Meurtre de Talence : l'étudiant tué pour un portable
Lundi, en début de soirée, Christophe et Mickaël Houwer, 22 ans, ont été mis en examen pour vol précédé, accompagné ou suivi de violences ayant entraîné la mort. Les frères jumeaux ont été placés sous mandat de dépôt et incarcérés. Leur complice, une adolescente de 17 ans, a également été mise en examen et conduite à l'établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Lavaur, dans le Tarn. Tous, à ce stade de la procédure bénéficient de la présomption d'innocence. Passibles de la cour d'assises, ils encourent une peine de réclusion criminelle à perpétuité.
Lors de leur garde à vue au commissariat central de Bordeaux, ils ont reconnu avoir agressé Alexis Moulinier pour lui voler son téléphone portable, précise le procureur de la République adjoint, Gérard Aldigé, dans un communiqué de presse.
Un témoin a permis de savoir que les auteurs présumés de l'homicide étaient montés dans une rame du tramway de la ligne B avant d'en ressortir rapidement en raison d'un arrêt momentané lié au malaise d'un voyageur.
Les enquêteurs ont saisi les bandes de vidéosurveillance, mais n'ont pas pu exploiter les images. Ils ont alors ratissé le terrain, fait du porte à porte, entendu le voisinage pour tenter d'établir un portrait-robot des agresseurs. Un véritable travail de fourmi d'autant que la scène de crime n'avait pu être exactement localisée.
Désormais, les policiers ont pu établir avec une certaine précision le déroulé des faits. Le trio d'agresseurs avait semble-t-il pour habitude de se rendre dans le secteur du campus universitaire. Ils auraient repéré Alexis Moulinier alors que celui-ci venait de quitter le tramway. Ils avaient vu son iPhone et ont décidé de le suivre. L'étudiant en économie ne les a vraisemblablement pas aperçus et il ne s'est pas méfié. Après avoir ouvert la porte de la résidence, il a été agressé. A-t-il tenté de résister ? Pour l'instant, l'enquête n'aurait pas permis de le déterminer. Pas plus que l'on ne sait semble-t-il lequel des deux frères a porté le coup mortel en plein cœur.
Les agresseurs s'en étaient débarrassés en le jetant sur un toit. Le portable volé a été revendu dans la soirée du 5 mars à un inconnu pour quelques dizaines d'euros. La transaction aurait eu lieu près de la place de la Victoire. Les deux frères en complète rupture sociale depuis plusieurs années et l'adolescente qui les accompagnait auraient acheté du cannabis et vivoté pendant plusieurs jours sur la communauté urbaine avant de prendre le train, jeudi dernier pour Saintes, en Charente-Maritime où ils ont passé la nuit à la belle étoile sous une toile de tente.
Le lendemain, ils sont partis pour Cognac où ils ont retrouvé l'ancien petit ami de l'adolescente. Ce dernier a été informé du drame de Talence et a aussitôt relayé son inquiétude pour la jeune fille sur les réseaux sociaux.
Les enquêteurs de la PJ qui avaient formellement identifié le trio vendredi soir étaient à la gare de Cognac samedi matin pour procéder à son arrestation.
Les trois agresseurs s'apprêtaient à fuir en Espagne pour échapper aux recherches.
http://www.sudouest.fr/2014/03/18/mort-pour-un-portable-1494565-1896.php
Lors de leur garde à vue au commissariat central de Bordeaux, ils ont reconnu avoir agressé Alexis Moulinier pour lui voler son téléphone portable, précise le procureur de la République adjoint, Gérard Aldigé, dans un communiqué de presse.
- La vidéo inexploitable
Un témoin a permis de savoir que les auteurs présumés de l'homicide étaient montés dans une rame du tramway de la ligne B avant d'en ressortir rapidement en raison d'un arrêt momentané lié au malaise d'un voyageur.
Les enquêteurs ont saisi les bandes de vidéosurveillance, mais n'ont pas pu exploiter les images. Ils ont alors ratissé le terrain, fait du porte à porte, entendu le voisinage pour tenter d'établir un portrait-robot des agresseurs. Un véritable travail de fourmi d'autant que la scène de crime n'avait pu être exactement localisée.
Désormais, les policiers ont pu établir avec une certaine précision le déroulé des faits. Le trio d'agresseurs avait semble-t-il pour habitude de se rendre dans le secteur du campus universitaire. Ils auraient repéré Alexis Moulinier alors que celui-ci venait de quitter le tramway. Ils avaient vu son iPhone et ont décidé de le suivre. L'étudiant en économie ne les a vraisemblablement pas aperçus et il ne s'est pas méfié. Après avoir ouvert la porte de la résidence, il a été agressé. A-t-il tenté de résister ? Pour l'instant, l'enquête n'aurait pas permis de le déterminer. Pas plus que l'on ne sait semble-t-il lequel des deux frères a porté le coup mortel en plein cœur.
- L'arme retrouvée sur un toit
Les agresseurs s'en étaient débarrassés en le jetant sur un toit. Le portable volé a été revendu dans la soirée du 5 mars à un inconnu pour quelques dizaines d'euros. La transaction aurait eu lieu près de la place de la Victoire. Les deux frères en complète rupture sociale depuis plusieurs années et l'adolescente qui les accompagnait auraient acheté du cannabis et vivoté pendant plusieurs jours sur la communauté urbaine avant de prendre le train, jeudi dernier pour Saintes, en Charente-Maritime où ils ont passé la nuit à la belle étoile sous une toile de tente.
Le lendemain, ils sont partis pour Cognac où ils ont retrouvé l'ancien petit ami de l'adolescente. Ce dernier a été informé du drame de Talence et a aussitôt relayé son inquiétude pour la jeune fille sur les réseaux sociaux.
Les enquêteurs de la PJ qui avaient formellement identifié le trio vendredi soir étaient à la gare de Cognac samedi matin pour procéder à son arrestation.
Les trois agresseurs s'apprêtaient à fuir en Espagne pour échapper aux recherches.
http://www.sudouest.fr/2014/03/18/mort-pour-un-portable-1494565-1896.php
Justice. Famille découverte recluse: le procès mardi
Le père et la mère qui ont vécu enfermés avec leurs quatre enfants pendant plusieurs années à Saint-Nazaire comparaissent devant le tribunal correctionnel.
Dans la nuit du 5 au 6 janvier 2013, les pompiers de Saint-Nazaire intervenaient au domicile d’une famille à la demande de la mère. Ils avaient découvert le couple et quatre enfants dans un appartement aux murs remplis de moisissures, signe d’absence d’aération. Deux des enfants souffraient de retards de développement. Seul le père sortait faire les courses et vider les poubelles, depuis deux à trois ans. Ce n’est pas le fait de vivre enfermé qui est reproché au couple « mais de n’avoir pas donné aux enfants l’éducation et les soins obligatoires », selon le parquet. Le père est aussi poursuivi pour agression sexuelle sur deux enfants mineurs.
http://www.ouest-france.fr/justice-famille-decouverte-recluse-le-proces-mardi-2010907
http://www.ouest-france.fr/justice-famille-decouverte-recluse-le-proces-mardi-2010907
Narbonne. Meurtre dans le monde des SDF
Ils sont deux, une femme et un homme SDF, accusés d’avoir volontairement donné la mort, en mars 2009 à un Narbonnais qui fréquentait ce monde où drogue, alcool détruisent toutes les barrières et tous ceux qui osent les fanchir.
Affaire sordide. Affaire de la marginalité, de la solitude, de l’indifférence aussi. Affaire sur fond d’alcool, de drogue dans le monde si proche et si lointain ; celui des SDF. La cour d’Assises aura à juger pendant trois jours, une femme, Manuella Pallussière, 46 ans et Mickaël Grangette, 33 ans, pour le meurtre le 9 mars 2011, sur les bords du Canal de la Robine à Narbonne, d’Abdelkader Aissani, 39 ans. Les deux accusés sont SDF, la victime domiciliée à Narbonne fréquentait ce monde si particulier en marge de la société. Manuella Pallussière, a un parcours chaotique. Un parcours ponctué dès sa petite enfance d’agressions sexuelles, de violences au quotidien de la part de son beau-père et de sa mère «qui étaient alcoolisés tous les jours à un degré de folie», affirmera l’accusée. Lui, Mickaël Grangettte aura une enfance aux antipodes de la co-accusée «j’ai une enfance correcte», dira-t-il. Mais très vite peu après sa majorité, sa vie balance entre la rue et la prison entre la prison et la rue avec l’alcool et la drogue comme béquilles. Les faits. Le 9 mars 2011, un SDF arrive aux urgences à l’hôpital de Narbonne en état d’ébriété et affirme qu’un couple de SDF vient de tuer un homme proche du Canal de la Robine. Ses déclarations, en raison de son état, ne seront pas prises au sérieux. Ce n’est que le lendemain qu’un policier du commissariat, s’intéressera à l’affaire. Très vite, le couple décrit par le SDF est identifié, il s’agit des deux accusés. Sur les lieux supposés du crime, les policiers découvrent des taches de sang puis les plongeurs remontent un corps celui d’Abdelkader Aissani. Ce dernier, ce soir-là boit avec le couple et un autre SDF. Plus que de mesure comme d’habitude, huit litres de bière par jour pour elle, deux litres de whisky pour Mickaël Grangette. Aissani aurait été pris à partie, par Manuella Pallussière au sujet d’une agression sexuelle sur une amie. Avec un cendrier, elle lui a porté plusieurs coups au visage. Titubant, ensanglanté, la victime est alors au bord du Canal, Mickaël Grangette le saisit par le manteau et le jette à l’eau. Il lui aurait même maintenu la tête sous l’eau avec son pied avant qu’Abdelkader coule à pic. Manuella Pallussière reconnaît les faits, Mickaël Grangette se veut plus mesurer. La Cour se penchera, aujourd’hui, sur cette soirée dramatique où l’alcool et les drogues ont fait basculer le destin d’un homme.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/18/1841863-meurtre-dans-le-monde-des-sdf.html
Affaire sordide. Affaire de la marginalité, de la solitude, de l’indifférence aussi. Affaire sur fond d’alcool, de drogue dans le monde si proche et si lointain ; celui des SDF. La cour d’Assises aura à juger pendant trois jours, une femme, Manuella Pallussière, 46 ans et Mickaël Grangette, 33 ans, pour le meurtre le 9 mars 2011, sur les bords du Canal de la Robine à Narbonne, d’Abdelkader Aissani, 39 ans. Les deux accusés sont SDF, la victime domiciliée à Narbonne fréquentait ce monde si particulier en marge de la société. Manuella Pallussière, a un parcours chaotique. Un parcours ponctué dès sa petite enfance d’agressions sexuelles, de violences au quotidien de la part de son beau-père et de sa mère «qui étaient alcoolisés tous les jours à un degré de folie», affirmera l’accusée. Lui, Mickaël Grangettte aura une enfance aux antipodes de la co-accusée «j’ai une enfance correcte», dira-t-il. Mais très vite peu après sa majorité, sa vie balance entre la rue et la prison entre la prison et la rue avec l’alcool et la drogue comme béquilles. Les faits. Le 9 mars 2011, un SDF arrive aux urgences à l’hôpital de Narbonne en état d’ébriété et affirme qu’un couple de SDF vient de tuer un homme proche du Canal de la Robine. Ses déclarations, en raison de son état, ne seront pas prises au sérieux. Ce n’est que le lendemain qu’un policier du commissariat, s’intéressera à l’affaire. Très vite, le couple décrit par le SDF est identifié, il s’agit des deux accusés. Sur les lieux supposés du crime, les policiers découvrent des taches de sang puis les plongeurs remontent un corps celui d’Abdelkader Aissani. Ce dernier, ce soir-là boit avec le couple et un autre SDF. Plus que de mesure comme d’habitude, huit litres de bière par jour pour elle, deux litres de whisky pour Mickaël Grangette. Aissani aurait été pris à partie, par Manuella Pallussière au sujet d’une agression sexuelle sur une amie. Avec un cendrier, elle lui a porté plusieurs coups au visage. Titubant, ensanglanté, la victime est alors au bord du Canal, Mickaël Grangette le saisit par le manteau et le jette à l’eau. Il lui aurait même maintenu la tête sous l’eau avec son pied avant qu’Abdelkader coule à pic. Manuella Pallussière reconnaît les faits, Mickaël Grangette se veut plus mesurer. La Cour se penchera, aujourd’hui, sur cette soirée dramatique où l’alcool et les drogues ont fait basculer le destin d’un homme.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/18/1841863-meurtre-dans-le-monde-des-sdf.html
Toulouse : 3 ans de prison pour le couple qui a brutalisé un mineur voleur
Un couple, qui s'est fait justice en séquestrant et en brutalisant pendant plusieurs heures un voleur présumé de 14 ans à coups de poings et de cutter, a été condamné lundi à Toulouse (Haute-Garonne) à trois ans de prison.
Zinab, 34 ans, a été condamnée à trois ans de prison ferme avec mandat de dépôt à l'audience.
La peine de trois ans prononcée contre son compagnon Mohamed, 26 ans, a été assortie d'un an de sursis. Ils étaient poursuivis pour avoir frappé Arnaud à coups de poing, de cutter, de bouteilles de bière, de sabre d'ornement et de cric, parce qu'ils le soupçonnaient d'avoir commis un vol dans leur voiture avec un complice.
Jugés en comparution immédiate pour séquestration et violences, les deux prévenus ont démenti s'être acharnés et avoir fait usage d'une quelconque arme contre l'adolescent, un voisin qu'ils accusent de leur avoir déjà volé une moto par le passé et de les narguer dans leur quartier.
De nombreuses «lésions traumatiques»
Tout au plus Zinab a-t-elle reconnu lui en avoir «collé une» et avoir fait saigner la victime. Mohamed a expliqué, lui, l'avoir frappé à trois ou quatre reprises. «Ce n'est pas la première fois que je l'attrape en train de voler», a-t-il dit. L'expertise médicale a relevé de nombreuses «lésions traumatiques», des traces de coups et des hématomes «non incompatibles avec les faits» relatés par la victime.
Les faits remontent à mercredi dans le quartier de Rangueil, selon «la Dépêche du Midi». Arnaud a raconté aux enquêteurs qu'alors qu'il avait commis un vol à la roulotte dans la voiture, avec un ami qui avait réussi à s'enfuir, le couple l'avait retrouvé et forcé à monter dans le coffre. Ils l'ont ensuite conduit à leur domicile où ils ont continué à le frapper avant de le relâcher six heures plus tard en caleçon, sans ses vêtements ni son portable.
Une enquête devra dire le rôle exact joué par les deux adolescents qui ont emporté une façade d'autoradio, un chargeur de smartphone et un briquet
http://www.leparisien.fr/toulouse-31000/toulouse-3-ans-de-prison-pour-le-couple-qui-a-brutalise-un-mineur-voleur-17-03-2014-3681587.php
Zinab, 34 ans, a été condamnée à trois ans de prison ferme avec mandat de dépôt à l'audience.
Jugés en comparution immédiate pour séquestration et violences, les deux prévenus ont démenti s'être acharnés et avoir fait usage d'une quelconque arme contre l'adolescent, un voisin qu'ils accusent de leur avoir déjà volé une moto par le passé et de les narguer dans leur quartier.
De nombreuses «lésions traumatiques»
Tout au plus Zinab a-t-elle reconnu lui en avoir «collé une» et avoir fait saigner la victime. Mohamed a expliqué, lui, l'avoir frappé à trois ou quatre reprises. «Ce n'est pas la première fois que je l'attrape en train de voler», a-t-il dit. L'expertise médicale a relevé de nombreuses «lésions traumatiques», des traces de coups et des hématomes «non incompatibles avec les faits» relatés par la victime.
Les faits remontent à mercredi dans le quartier de Rangueil, selon «la Dépêche du Midi». Arnaud a raconté aux enquêteurs qu'alors qu'il avait commis un vol à la roulotte dans la voiture, avec un ami qui avait réussi à s'enfuir, le couple l'avait retrouvé et forcé à monter dans le coffre. Ils l'ont ensuite conduit à leur domicile où ils ont continué à le frapper avant de le relâcher six heures plus tard en caleçon, sans ses vêtements ni son portable.
Une enquête devra dire le rôle exact joué par les deux adolescents qui ont emporté une façade d'autoradio, un chargeur de smartphone et un briquet
http://www.leparisien.fr/toulouse-31000/toulouse-3-ans-de-prison-pour-le-couple-qui-a-brutalise-un-mineur-voleur-17-03-2014-3681587.php
lundi 17 mars 2014
Beaurepaire: une joggeuse agressée à l’arme blanche
La jeune femme de 33 ans, présentant une profonde plaie à la gorge, a réussi à rejoindre son domicile de Beaurepaire afin de donner l’alerte ce lundi peu avant 18 heures. Très choquée, la jeune femme a expliqué qu’elle avait été agressée par un homme à vélo alors qu’elle effectuait son jogging sur les chemins des communes de Beaurepaire et Lapeyrouse-Mornay. Un important dispositif de gendarmerie est actuellement déployé sur le terrain afin de retrouver l’auteur qui a pris la fuite à vélo. La victime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2014/03/17/beaurepaire-une-joggeuse-agressee-a-l-arme-blanche
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2014/03/17/beaurepaire-une-joggeuse-agressee-a-l-arme-blanche
Ribérac (24) : encore deux banques attaquées
Les Ribéracois qui sont passés en ville ce lundi matin ont été interpellés par la présence des techniciens de l'identification criminelle de la gendarmerie. Ceux-ci effectuaient des relevés suite à deux tentatives de vols qui se sont produites dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 heures du matin.
Deux agences bancaires ont été visées. Le ou les malfaiteurs ont tenté, sans succès, d'arracher une boîte de dépôt de chèques au Crédit agricole. A la banque Tarneaud, une boite aux lettres a aussi été endommagée. Selon les gendarmes, les voleurs n'ont pas réussi à repartir avec le contenu des boîtes.
Cela fait plusieurs semaines que des agences du Crédit agricole sont attaquées en Dordogne. Dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 mars, une boîte de dépôts de l'agence de Villefranche-du-Périgord avait été la cible de malfaiteurs. Les mêmes faits se sont déroulés les semaines précédentes à Périgueux et Thenon. Depuis le début de l'année, deux attaques au gaz de distributeurs automatiques de billets ont eu lieu à Monpazier et Daglan.
http://www.sudouest.fr/2014/03/17/riberac-encore-deux-banques-attaquees-1494180-2007.php
Deux agences bancaires ont été visées. Le ou les malfaiteurs ont tenté, sans succès, d'arracher une boîte de dépôt de chèques au Crédit agricole. A la banque Tarneaud, une boite aux lettres a aussi été endommagée. Selon les gendarmes, les voleurs n'ont pas réussi à repartir avec le contenu des boîtes.
Cela fait plusieurs semaines que des agences du Crédit agricole sont attaquées en Dordogne. Dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 mars, une boîte de dépôts de l'agence de Villefranche-du-Périgord avait été la cible de malfaiteurs. Les mêmes faits se sont déroulés les semaines précédentes à Périgueux et Thenon. Depuis le début de l'année, deux attaques au gaz de distributeurs automatiques de billets ont eu lieu à Monpazier et Daglan.
http://www.sudouest.fr/2014/03/17/riberac-encore-deux-banques-attaquees-1494180-2007.php
ETINEHEM (80) Accident mortel
Un jeune homme d'une vingtaine d'années, originaire de Ribemont-sur-Ancre, est mort en percutant un arbre sur l'axe Corbie-Bray-sur-Somme entre 18 et 19 heures dimanche 16 mars.
http://www.courrier-picard.fr/region/etinehem-80-accident-mortel-ia201b0n333836
http://www.courrier-picard.fr/region/etinehem-80-accident-mortel-ia201b0n333836
Arrêté dans la banque en train de voler des chéquiers
Un homme qui n’aurait pas toutes ses facultés mentales a été arrêté dans la nuit de samedi à dimanche dans les locaux de l’agence bancaire de la Caisse d’Épargne, place Antonioz-de-Gaulle, quartier Bagatelle, à Toulouse. Les policiers alertés par l’alarme de l’agence ont appréhendé l’intrus qui faisait le plein de chéquiers et de cartes bancaires. Cet homme de 29 ans était en possession d’une lime à ongles. Ce n’est pas la première fois que cet homme s’en prend à cet établissement. Courant février, par deux fois, il avait pris pour habitude de donner des coups de pied dans les portes de la banque sans raison apparente. Il s’était d’ailleurs signalé auprès des policiers une fois son geste accompli. Une autre fois, les fonctionnaires ont dû intervenir pour le maîtriser. Mais la nuit dernière, il ne s’est pas contenté de cogner contre les portes vitrées. Il s’est introduit par effraction en déclenchant le système de sécurité. Les policiers l’ont retrouvé dans les locaux. Il a été placé en garde à vue au commissariat central. Le parquet devait décider des suites à donner à cette affaire.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/17/1841206-arrete-dans-la-banque-en-train-de-voler-des-chequiers.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/17/1841206-arrete-dans-la-banque-en-train-de-voler-des-chequiers.html
Collision entre un TER et une voiture, un blessé
Une personne a été légèrement blessée hier soir en Gironde lors d'une collision entre un TER et une voiture dont les occupants ont pu s'extraire juste avant le passage du train, a-t-on appris lundi auprès des secours et de la SNCF. A la suite d'un accident de la circulation, le véhicule, avec à bord deux jeunes de 21 et 22 ans, s'est retrouvé immobilisé sur les rails, à hauteur d'un passage à niveau près de Saint-Emilion, vers 20H40.
Les occupants ont eu juste le temps de s'extraire de la voiture, avant l'arrivée du TER Bordeaux-Bergerac, avec une trentaine de personnes à bord, selon la SNCF. Sous l'impact du choc, le véhicule a été traîné sur 600 mètres, et s'est retrouvé coincé sous le train. Un passager du train, qui se trouvait aux toilettes au moment de l'impact, a été légèrement blessé et conduit à l'hôpital de Libourne. Les occupants de la voiture ont été choqués. Entre dimanche soir et lundi matin, trois TER au total ont été annulés, avant reprise du trafic vers 6h15.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/17/97001-20140317FILWWW00084-collision-entre-un-ter-et-une-voiture-un-blesse.php
Les occupants ont eu juste le temps de s'extraire de la voiture, avant l'arrivée du TER Bordeaux-Bergerac, avec une trentaine de personnes à bord, selon la SNCF. Sous l'impact du choc, le véhicule a été traîné sur 600 mètres, et s'est retrouvé coincé sous le train. Un passager du train, qui se trouvait aux toilettes au moment de l'impact, a été légèrement blessé et conduit à l'hôpital de Libourne. Les occupants de la voiture ont été choqués. Entre dimanche soir et lundi matin, trois TER au total ont été annulés, avant reprise du trafic vers 6h15.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/17/97001-20140317FILWWW00084-collision-entre-un-ter-et-une-voiture-un-blesse.php
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