jeudi 31 octobre 2013

Suicide de l'épouse de Bertrand Cantat : son ancien compagnon, François Saubadu, entendu comme témoin

L'ancien compagnon de la femme de Bertrand Cantat, qui s'est suicidée en janvier 2010, a déclaré mercredi ne pas savoir "si elle s'est vraiment suicidée". Des propos dont se désolidarise son avocate, Me Yaël Mellul.

François Saubadu, l'ex-compagnon de l'épouse de Bertrand Cantat, était entendu comme témoin jeudi à la PJ de Bordeaux sur le suicide de Krisztina Rady, auquel il ne semble pas croire, une position dont s'est désolidarisée l'avocate Yaël Mellul à l'origine des nouvelles investigations.
François Saubadu était dans les locaux vers 15h30, a indiqué une source proche du dossier, quoique les journalistes présents à l'extérieur ne l'aient pas vu y entrer. L'ex-compagnon de Krisztina Rady avait déclaré au quotidien 20 minutes mercredi : "Une femme est morte et je ne sais pas si elle s'est vraiment suicidée". Il  évoquait aussi "des hématomes sur le visage" de Krisztina Rady, dont "on ne sait toujours pas d'où ils proviennent". 
Son avocate se désolidarise
Me Yaël Mellul, spécialiste des violences faites aux femmes, qui avait entamé en août, toute seule, une campagne sur le thème de la réouverture de l'enquête sur la mort de Krisztina Rady - contre l'avis des propres parents de celle-ci - avait été rejointe ensuite par François Saubadu.  Elle s'est publiquement désolidarisée de lui, jeudi. 
Me Mellul soutient dans cette affaire la thèse des violences psychologiques ayant entraîné la mort sans intention de la donner. C'est-à-dire que, pour elle, l'attitude générale de Bertrand Cantat aurait pu pousser sa femme au suicide. Mais elle ne sous-entend pas du tout, pour sa part, que l'artiste a pu effectivement et directement la tuer. C'est avec François Saubadu "une divergence fondamentale quant à nos convictions respectives au sujet des causes réelles de la mort de Krisztina Rady", écrit Me Mellul jeudi dans un communiqué de presse. Cette divergence a abouti "ces derniers jours" à la décision "de mettre fin à la mission de conseil qui nous liait".
Aucune audition de Cantat prévue pour le moment
Parallèlement, France Inter a publié sur son site internet des extraits du rapport d'autopsie de Krisztina. Il en ressort "qu'il n'existe aucune trace traumatique récente pouvant faire évoquer l'intervention directe d'une tierce personne" dans ce suicide. Le rapport relève "en particulier l'absence de stigmate lésionnel de défense ou de lutte".
Le procureur de la République de Bordeaux appréciera, au vu des déclarations de François  Saubadu, s'il y a matière à rouvrir le dossier du suicide de Krisztina Rady. A ce stade, a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête, aucune audition de Bertrand Cantat lui-même n'est prévue.
Celui-ci est, pour la première fois la semaine dernière, sorti du silence public qu'il observait depuis le meurtre de Marie Trintignant en 2003. Dans une interview aux Inrockuptibles, il qualifie "d'inacceptables" les "raccourcis et les accusations délirantes" dont il fait l'objet au sujet du suicide de sa femme.
 

Il braque une jeune femme avec un fusil à pompe

En septembre dernier, un jeune homme est heureux de trouver du travail dans un snack sur le plateau sur les hauteurs de Laon. Il attend avec impatience sa première paie qui malheureusement ne vient pas.
À de multiples reprises, il réclame son dû à son patron qui s’excuse et promet de le payer.


A la mi-octobre, ne voyant toujours pas son salaire arriver, le jeune homme décide d’arrêter de travailler et se rend directement au domicile de son employeur pour s’expliquer avec lui.
Sa petite amie l’accompagne. Une vive explication débute, en particulier entre le patron et la petite amie.
Entendant des éclats de voix, le fils de l’employeur, âgé de 20 ans, décide de se mêler à la discussion et une dispute entre lui et la jeune femme démarre. Celle-ci lui signifie qu’en raison de son jeune âge, il n’a pas à participer à cette discussion et à lui parler sur ce ton.
De rage, celui-ci repart dans sa chambre pour s’emparer d’un fusil à pompe. Ses parents, se doutant de ses intentions, décident alors de l’enfermer dans sa chambre. Pris de fureur, celui-ci donne de grand coup de crosse de fusil dans la porte pour la défoncer.
Finalement, il arrivera à la démonter avec un tournevis. De retour dans le salon, il braque son arme sur la petite amie en la menaçant.
Il s’avérera, après enquête, que le fusil à pompe n’était pas chargé. Les jeunes gens arriveront à quitter le domicile sans encombre. Le jeune homme a été interpellé par les policiers de Laon.
Il a reconnu la détention du fusil mais nie le fait d’avoir visé la jeune femme.
Il est convoqué devant le délégué du procureur en décembre pour répondre de violence avec arme sans interruption de travail.

http://www.lunion.presse.fr/region/il-braque-une-jeune-femme-avec-un-fusil-a-pompe-ia3b26n241743

Soupçonnée de tentative d'homicide sur son fils

Une femme de 45 ans a été placée en garde à vue à Marseille soupçonnée de tentative d'homicide sur son fils de 10 ans, dont les jours sont en danger à la suite d' un coup de couteau, a-t-on appris jeudi de sources proches de l'enquête. Cette mère de cinq enfants est entendue depuis mercredi soir par les enquêteurs de la brigade des mineurs de la Sûreté départementale. Les faits sont survenus dans l'appartement familial, situé dans le centre ville de Marseille.
"L'enfant présente une plaie au niveau du thorax consécutive à un coup de couteau. Cela peut être d'origine accidentelle ou volontaire", de la part de sa mère ou d'un de ses frères et soeurs, a précisé une de ces sources. La victime a été transportée par les marins-pompiers à l'hôpital de la Timone avec un pronostic vital engagé.
"La mère a une attitude surprenante. C'est peut-être le choc, mais cela ne nous aide pas à croire que ça puisse être accidentel", a-t-on ajouté de même source. Celle-ci livre des explications confuses, pointant notamment la responsabilité d'un autre de ses enfants, âgé de seulement quatre ans, selon une autre source.

 http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Soupconnee-de-tentative-d-homicide-sur-son-fils-636464

BELFORT : AGRESSIVITÉ À L’ÉNONCÉ DU VERDICT

Cette nuit du 27 avril 2013, ce jeune homme s’en souviendra toute sa vie. À 2 h du matin, il est réveillé en sursaut par des bruits, au premier étage. Ses parents sont en vacances en Turquie et rentrent le lendemain. Il est seul dans la maison familiale, à Pérouse.
« Je me suis levé. Il y avait deux individus dans l’escalier. Ils sont remontés aussitôt. » Le fils a été immédiatement agressé par « au moins quatre personnes ». Saucissonné, roué de coups sur l’ensemble du corps. Enfermé dans la salle de bains pendant que les voleurs retournaient la maison et faisaient main basse sur les bijoux, entre autres. Des blessures qui lui ont valu trente jours d’arrêt de travail et un traumatisme qui perdure six mois après les faits.
À la barre du tribunal correctionnel, mercredi, l’affaire a été évoquée pendant trois heures, au moment du déjeuner. Les débats ont peu porté sur les faits, sur la violence de l’agression et le rôle de chacun. Ils se sont focalisés sur la présence -ou non- des trois prévenus sur le lieu du cambriolage. Après avoir nié au début, Kévin Lorandi, 22 ans, reconnaît « avoir été entraîné par des copains ». « Ils m’ont dit qu’on allait voir des filles. En route, ils m’ont expliqué ce qu’ils comptaient faire. J’y étais, mais juste pour faire le guet. »......

http://www.estrepublicain.fr/justice/2013/10/30/agressivite-a-l-enonce-du-verdict

mercredi 30 octobre 2013

Somme : leurs corps retrouvés onze ans après leur disparition

Les secours pensaient retrouver le corps d'un homme dont les proches étaient sans nouvelles depuis une semaine. Au lieu de ça, ils ont finalement retrouvé, selon toute vraisemblance, les restes humains d'un père et de son fils, portés disparus depuis plus de 10 ans.

Selon le «Courrier Picard», qui a révélé l'information, les gendarmes, en recherchant un promeneur disparu depuis le 27 octobre près de Pont-Rémy, ont découvert lundi une voiture dans le fleuve Somme dans les environs d'Abbeville (Somme). 

Ce mercredi, le véhicule a été sorti de l'eau, avec non pas un, mais deux corps à bord.

Les enquêteurs n'auraient pas mis longtemps à faire le lien avec la  405 de Pierre Mortier. Ce dernier n'avait plus donné signe de vie depuis juillet 2002, tout comme son fils qui avait lui aussi soudainement disparu de la circulation. Le père avait alors 32 tandis que son fils était âgé de tout juste 4 ans. Malgré une  approfondie, les gendarmes n'étaient jamais parvenus à élucider cette mystérieuse disparition.
«La plaque d'immatriculation correspond au véhicule» d'un homme disparu il y a plus de 11 ans, Pierre Mortier, accompagné de son fils, a confirmé le procureur d'Amiens Bernard Farret.

Des analyses sont en  pour vérifier cette hypothèse mais l'identification des restes humains devrait prendre plusieurs jours, selon le procureur. En marge de cette découverte, les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver la trace du promeneur disparu le week-end dernier


http://www.leparisien.fr/faits-divers/somme-leurs-corps-retrouves-onze-ans-apres-leur-disparition-30-10-2013-3272277.php

Marseille : le bijoutier désarme son braqueur et le met en fuite

Il a pris ses jambes à son cou et, pour tout dire, doit penser qu’il s’en sort bien. Si les Fables de la Fontaine se déclinaient à la mode marseillaise, la morale revisitée de l’histoire serait : "Rien ne sert de braquer, il faut déguerpir à point". Et justement, notre braqueur du jour a tardé. En tout cas, il saura désormais qu’il risque gros. Cela aidera peut-être à faire chuter les chiffres de la récidive. Car Erez, le bijoutier de Saint-Tronc (10e), ne s’en est pas laissé conter.
Lundi après-midi, peu avant 15h, quand un individu surgit dans sa boutique, au numéro 26 du boulevard Paul-Claudel, il agit à visage découvert et non ganté. Le commerçant lui ouvre la porte. L’homme ajuste tout à coup sa capuche, se gante et se fait une tête de braqueur. Le bijoutier n’a pas besoin de longs discours pour comprendre que l’heure n’est pas à la galéjade.
L’individu exhibe une arme de poing, un pistolet automatique 7,65, type Beretta. Il menace les deux hommes, car le commerçant, âgé de 43 ans, est alors accompagné d’un employé. Le malfaiteur se fait menaçant. Il exige l’ouverture du coffre. Prenant son courage à deux mains, le bijoutier ne se démonte pas. Il saute sur son agresseur. Une bagarre commence, à laquelle participent le commerçant mais aussi son employé. L’affrontement est violent. Les coups pleuvent. L’agresseur l’a bien cherché. Il a beau faire usage d’une bombe lacrymogène, il reçoit un violent coup sur le crâne, il saigne.
Les deux victimes tentent de le retenir, le temps que la police arrive, mais le malfaiteur parvient à se dégager de l’étreinte de ses victimes. Il repart bredouille et prend la fuite à pied dans une direction ignorée.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2599586/marseille-le-bijoutier-desarme-son-braqueur-et-le-met-en-fuite.html

Carcassonne. Les voisins vigilants pistent les voleurs

Si la tendance se confirme le nombre de cambriolages sera en baisse pour 2013. Les regroupements entre «voisins vigilants» seraient en partie responsables.
Protégez-vous les uns les autres. Après Villemoustaussou, après Trèbes, Carcassonne est dans le viseur des «Voisins Vigilants». Ces associations communautaires lancées par un habitant de Saint-Paul de Vence, qui croissent et se multiplient sur le territoire national afin de faire échec aux escouades de monte-en-l’air elles aussi en hausse régulière.
Rue Saint-Jean de Brucatel, dans le quartier des Hauts de Grazailles, Florent Bruez a rejoint dernièrement le réseau. «Mon domicile, dit-il, n’a jamais été cambriolé. Mais je n’ai aucun doute. Un jour ou l’autre, ce sera mon tour, car toutes mes connaissances ont subi ce triste sort». Pour dissuader les tentatives de pénétration dans son pavillon, ce Carcassonnais a décidé de s’organiser. «Avant la fin de cette année, j’inviterai les résidents du quartier à une réunion d’information. La vigilance est un comportement civique qui ne doit pas se substituer au travail des policiers nationaux et municipaux, mais qui peut leur venir en aide dans la mesure où les effectifs policiers ne sont plus suffisants dans la cité», dit Florent Bruez.
Sur le site internet «Voisins Vigilants.org», sept adresses de regroupement sont mentionnées pour la ville de Carcassonne. À l’opposé du quartier des Hauts de Grazailles, une voisine vigilante, sous couvert de l’anonymat, insiste sur l’aspect dissuasif et informatif à faire circuler entre les membres de ces réseaux. «Le dernier cambriolage commis à Carcassonne en pleine nuit, ce week-end, alors que les occupants dormaient, montre que la protection des habitations et des biens impose de notre part une vigilance constante». Rue Sain-Jean de Brucatel, Florent Bruez se range à cette opinion tout en posant des garde-fous à l’exercice de la surveillance passive. «Nous ne sommes pas aux États-Unis, déclare-t-il, où le mouvement «Neighborhood Watch» a été créé dans les années 1960. Gardons-nous de laisser dériver notre mouvement civique vers des groupuscules miliciens». C’est aussi le conseil donné au parquet de Carcassonne par le procureur de la République. «Je n’ai pas de réserves envers ces dispositifs dès lors qu’ils ne se transforment pas en patrouilles armées illégales. Je rappelle que le transport d’armes est interdit», précise Antoine Leroy. Si la tendance se confirme d’ici le 31 décembre, le nombre de cambriolages, à Carcassonne, aura baissé de 12,81 % en 2013. «Les voisins vigilants ne sont pas étrangers à ce résultat», note le magistrat du parquet au tribunal de grande instance.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/30/1742576-carcassonne-les-voisins-vigilants-pistent-les-voleurs.html

Hold-up éclair à Nîmes : deux motards dévalisent le bar PMU le Croco

Deux hommes visages masqués ont attaqué ce lundi soir le bar PMU Le Croco, situé près de l'immeuble Le Colisée. L'antenne nîmoise du SRPJ est chargée des investigations.
Apparemment, les deux braqueurs ont agi très vite. Au moins l'un des deux était porteur d'une arme de poing. Ils ont vidé les caisses du bar PMU près du Colisée à Nîmes avant de s'enfuir sur une moto blanche. Le montant du butin est en cours d'évaluation.
Les investigations ont été confiés à l'antenne nîmoise du SRPJ.

http://www.midilibre.fr/2013/10/29/hold-up-eclair-a-nimes-deux-motards-devalisent-le-bar-pmu-le-croco,776054.php

mardi 29 octobre 2013

Gironde : l’agent immobilier aimait trop les armes

Grand, mince, élégant, coiffé avec soin et habillé de vêtement de marque, l’homme de presque soixante ans s’exprime avec un vocabulaire soigné. Son allure détone dans le box des prévenus du tribunal correctionnel de Bordeaux où il comparaît ce vendredi 25 octobre.
On lui reproche d’avoir acquis et détenu des armes de 4e catégorie (armes à feu dites de défense et leurs munitions, dont l’acquisition et la détention sont soumises à autorisation) sans autorisation, ainsi que de nombreuses munitions.
Longtemps, il a été agent immobilier. Mais ses affaires ont tourné court. Aujourd’hui, il fait l’objet de six procédures collectives devant le tribunal de commerce.
Son couple aussi se défait et son épouse a demandé le divorce. Alors quand une amie, intime de cette dernière, a confié ses inquiétudes à la police, les choses ont été prises très au sérieux. Dans son témoignage, elle a indiqué qu’il possédait de nombreuses armes et proférait à demi-mot des menaces. Mi septembre, sur ordre du Parquet, la police est intervenue à son domicile avec l’appui du GIPN.Un revolver Smith et Wesson 44 magnum, un Astra 357 magnun, une carabine Remington semi-automatique ont notamment été découverts disséminés dans la maison.
« Il est mentionné que vous prépariez la venue annoncée d’un huissier et que vous auriez dit que vous ne vous tueriez pas mais que vous le feriez faire par les gendarmes ? », questionne la présidente Cécile Ramonatxo. L’homme ne confirme pas. Il justifie la présence de ces armes par sa passion pour le tir et rappelle qu’il est licencié dans un club depuis trente ans et possède les autorisations.
« Les autres armes étaient à mon beau-père. Lorsqu’il est décédé, comme on connaissait mon goût pour le tir et que personne n’en voulait, elles ont été remises à ma femme. C’est elle qui les a ramenées », explique l’agent immobilier déchu qui confie aussi que son épouse a déposé sa demande de divorce alors qu’il était en détention.
Il avait comparu une première fois en septembre après son interpellation mais une expertise psychologique avait été demandée et l’audience reportée à vendredi. Il a été maintenu en prison pendant ce temps.
« La lecture des témoignages faisait état de choses préoccupantes, a rappelé la vice-procureur Isabelle Gentil. L’inquiétude la plus prégnante a guidé les choix du parquet. Il y avait une légitime inquiétude sur l’état du prévenu et la façon dont il se positionne. » D’où le choix de faire intervenir le GIPN « pour assurer la sécurité de tous, y compris la sienne ».
Pour Isabelle Gentil, le fait que l’homme, « y compris après plusieurs semaines de détention provisoire, n’entend pas cette inquiétude, légitime ces choix ». Elle demandait un an de prison avec sursis et mise à l’épreuve assortie de plusieurs obligations, dont celle de ne plus être autorisé à revenir à La Teste et de détenir des armes.
« À 59 ans, il n’a jamais fait parler de lui », avançait en réponse son défenseur, Me François de Contencin . « Celle qui a fait la révélation des menaces, amie intime de son épouse, est la sœur d’un officier de gendarmerie patron d’une section des recherches. Comme c’est lui qui a appelé la police à Bordeaux, on a envoyé la troupe. Et ça s’est tellement mal passé que lorsque le GIPN a sonné, c’est lui qui a ouvert la porte », ironisait l’avocat, pour qui la réalité du dossier ne justifiait pas l’inquiétude invoquée par le parquet. Puisque plusieurs des armes étaient détenues sans autorisation, il admettait une sanction « Mais qui recouvre le temps qu’il a passé en détention provisoire et assortie d’un sursis avec mise à l’épreuve ».
Le tribunal a prononcé une peine de six mois avec sursis et mise à l’épreuve, avec l’interdiction de revenir à La Teste et de détenir des armes. Et celles qu’il possédait ont été confisquées.

http://www.sudouest.fr/2013/10/29/l-agent-immobilier-aimait-trop-les-armes-1213729-2780.php

Accident mortel à Ons-en-Bray : le conducteur était mineur

L'enquête se poursuit pour établir les circonstances exactes de la mort d'un jeune homme, dimanche matin, à Ons-en-Bray (Oise). Le procureur Jean-Philippe Vicentini, au parquet de Beauvais, a confirmé hier après-midi que la victime était un mineur, âgé de 15 ans, selon nos informations. « Il était seul dans le véhicule. C'est un jeune homme issu de la communauté des gens du voyage. Une consommation d'alcool excessive pourrait expliquer l'accident. L'enquête montre qu'il conduisait un véhicule volé. »

Les faits se sont déroulés sur la RN 31, la route qui traverse le département d'est en ouest. Vers 4 h 50, une Renault Mégane, a très violemment percuté le pilier tenant le portail d'une habitation. Pilier qui a été sectionné lors de l'accident. Dans le choc, la victime a été éjectée de l'habitacle. Arrivés sur place, les secours n'ont malheureusement pu que constater son décès.
 

Un garçon originaire de Saint-Germer-de-Fly
 

« Ça s'est passé peu après le feu tricolore, dans le hameau du Vivier-Danger , explique France Vermeulen, le maire. Ici, on est en agglomération et la vitesse est limitée à 50 km/h. »Les gendarmes de la brigade d'Auneuil avaient lancé un appel à témoin pour comprendre les causes de l'accident et savoir si la victime se trouvait seule dans la voiture.

Le garçon vivait à Saint-Germer-de-Fly. « Lui, je ne le connaissais pas, mais ses parents si, indique le maire, Guy Maillard. Il s'agit d'une famille installée depuis assez longtemps à Saint-Germer et bien intégrée. » Deux autres personnes ont perdu la vie sur les routes de l'Oise ce week-end. L'une à Dieudonné, l'autre à Carlepont.

http://www.courrier-picard.fr/region/accident-mortel-a-ons-en-bray-le-conducteur-etait-mineur-ia0b0n225142

Mazamet. Voulant «tuer tout le monde», il s'est retranché chez lui avec un fusil

Un homme de 48 ans a été maîtrisé dans la nuit de samedi à dimanche à son domicile des Rousses. En effet, en début de nuit, l’homme s’était retranché chez lui armé d’un fusil de chasse, chargé. Il a été menaçant, voulant «tuer tout le monde». Il n’en a été rien après intervention de sa fille vers 23h50, et avec l’appui des policiers mazamétains. Les sapeurs pompiers mazamétains ont été ensuite sollicités pour un brancardage et faire évacuer l’homme vers le centre hospitalier du Pays d’Autan où il a été admis et examiné. L’arme a été saisie par les forces de l’ordre. Hier, le retour du quadragénaire à son domicile était envisagé.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/29/1741856-mazamet-voulant-tuer-tout-monde-est-retranche-chez-fusil.html

Elève de CM2 pendu dans un couloir : l'institutrice relaxée

En mai 2011, une enseignante de CM2 avait exclu et envoyé dans le couloir un de ses élèves de 11 ans, qui refusait de faire son travail. L'enfant a ensuite été retrouvé inconscient, pendu par son T-shirt à une patère du couloir. Elle a finalement été relaxée ce mardi.
Le tribunal correctionnel de Tarascon a rendu son jugement ce mardi matin dans l'affaire de l'institutrice dont l'élève avait été retrouvé pendu accidentellement, alors qu'il était exclu de sa classe. L'enseignante de 42 ans, qui était jugée pour "manquement à une obligation particulière de prudence (mise en danger de la vie d'autrui)" et "homicide involontaire", a finalement été relaxée.
Lors de l'audience en septembre dernier, le procureur n'avait pas requis de peine. "Je laisse à l'appréciation du tribunal de déterminer si la prévention doit être retenue contre (l'enseignante)", avait estimé le représentant du ministère public, affirmant qu'il n'y avait selon lui pas "de violation d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité", mais "une faute simple" ne relevant pas de la justice.
Lors de l'énoncé du jugement, le président du tribunal, Lionel Mathieu, a fait valoir qu'en l'absence de  "faute caractérisée", de la part de l'enseignante, "l'élément légal de  l'infraction était absent". Car, "aucune des lois ou règlements qui posent le  principe de la responsabilité des enseignants, en particulier des professeurs  des écoles maternelles et primaires ne contient une obligation particulière de  surveillance (...) au sens du droit pénal".

"Une faute énorme"
Pour autant, "en excluant le jeune Khoren Grimaldi pendant 45 minutes,  après lui avoir dit d'aller 'dans le couloir avec les manteaux qui ne  travaillent pas' et avoir refusé son retour dans la classe après 1/2 heure de  punition, en lui déclarant péremptoirement ne plus vouloir le voir, Mme Agnès  Lelong a personnellement contribué à la mise en place des circonstances qui ont  conduit au drame", ajoute le jugement. A l'issue de l'annonce de la décision, la mère du petit garçon, Laure  Grimaldi, a relevé que le jugement établissait bien "une faute énorme" de la  part de l'enseignante.

"C'est une décision sage", a estimé Laure Grimaldi, en regrettant que le vide  juridique "ne permette pas de sanctionner". Le père de l'enfant, Nicolas  Grimaldi, a demandé, lui, que le ministre de l'Education nationale, Vincent  Peillon, "légifère sur une procédure précise" en ce qui concerne la  surveillance des enfants en milieu scolaire.
 
"Je ne pense pas que je sois responsable" 
Le 26 mai 2011, à 9h du matin, l'enseignante de CM2 de l'école primaire Anne Frank deArles avait exclu et envoyé dans le couloir un de ses élèves de 11 ans, qui refusait de faire son travail. Trois quarts d'heure plus tard, l'enfant était retrouvé inconscient, pendu par son T-shirt à une patère du couloir. En arrêt cardio-respiratoire, l'élève n'avait pas pu être réanimé malgré un massage cardiaque pratiqué par les enseignants de l'école, etétait décédé quatre jours plus tard à l'hôpital à Marseille.
"Je ne pense pas que je sois responsable de la mort de Khoren", avait déclaré en début d'audience l'enseignante d'une voix à peine audible et tout de noir vêtue. Un peu plus tard, face à une question du procureur qui lui demande si elle se sentait "moralement responsable", elle avait répondu "oui", avant de se tourner vers les parents et de leur dire qu'elle était "désolée".
"C'est une faute simple"
"Il y a eu manquement à un devoir de surveillance, mais c'est une faute simple", avait ainsi expliqué le magistrat, affirmant qu'il n'avait pas trouvé de texte pour asseoir des poursuites pénales pour mise en danger de la vie d'autrui. Dans ses réquisitions, il avait cependant déploré "le manque d'humanité" de l'institution et de l'enseignante qui avait été réintégrée un mois après le drame. "Les parents de Khoren ne peuvent pas comprendre que tout reste comme avant", avait-t-il dit.

http://lci.tf1.fr/france/justice/eleve-pendu-dans-un-couloir-l-institutrice-relaxee-8301400.html

lundi 28 octobre 2013

Bébé retrouvé dans un coffre : le garagiste toujours sous le choc

Le garagiste qui a découvert  un bébé dans un coffre de voiture en Dordogne, s'est dit encore sous le choc  trois jours après le spectacle "horrifiant" de la fillette, et a estimé que  l'enfant pourrait avoir régulièrement séjourné dans la voiture.
"J'ai encore du mal à dormir, c'est un spectacle horrifiant, voir une  petite dans ses excréments, ne pas pouvoir tenir sa tête, blanche comme du  plâtre et avec les yeux qui tournaient à l'envers, c'est impressionnant", a déclaré lundi à l'AFP Guillaume Iguacel, garagiste à Terrasson (Dordogne), qui  a découvert le bébé vendredi.
La mère, originaire de Brignac-la-Plaine (Corrèze), à 10 kilomètres de là,  "était déjà venue faire des travaux au garage auparavant, et il y avait déjà  cette odeur dans le véhicule", a ajouté le garagiste de 32 ans, qui s'est  demandé du coup si l'enfant n'aurait pas pu séjourner régulièrement dans la  voiture.
Le procureur de Brive, Jean-Pierre Laffite, a indiqué dimanche à la presse  qu'il ne pouvait confirmer si l'enfant, dissimulée aux proches et à  l'entourage depuis sa naissance, avait passé l'essentiel de sa vie dans le  coffre.   L'information judiciaire ouverte visera précisément à élucider le comment  de cette dissimulation et a vérifier les dires de la mère sur ce point, a-t-il  souligné, admettant que le cas "défie" l'imagination.
Il ne lui restait que 15 à 30 minutes à vivre
 Selon les déclarations des pompiers au garagiste samedi, la fillette aurait  été "en grand danger, pour une question d'oxygène", si elle était restée dans  le coffre "entre 15 minutes et une demi-heure de plus" au moment de sa découverte, a souligné M. Iguacel lundi. 
"J'ai entendu dans le coffre gratter et gémir, au départ c'était des petits cris donc je lui ai demandé  (NDLR : à la mère): Vous avez des animaux dans le coffre ? un chien des chats ? Non ça doit être le jouet d'un enfant qui s'est allumé", a répondu la mère au garagiste qui a alors alerté son collègue qui a ensuite ouvert le coffre. "J'ai senti que le bébé manquait d'air, qu'il allait s'étouffer", a alors raconté sur TF1 le deuxième garagiste.
La fillette ne portait pas de trace de violences, était consciente mais déshydratée, sale, apparemment fiévreuse, et nécessitait des soins rapides, a-t-on précisé auprès au parquet de Périgueux, confirmant une information de France Bleu Périgord.
Il n'y aurait pas d'intention homicide
Les circonstances qui ont amené la mère à placer l'enfant dans le coffre n'ont pas été précisées, mais selon les premiers éléments, il n'y aurait pas d'intention homicide, et l'affaire relèverait de l'absence de soins, a-t-on précisé de même source.
L'enfant a été hospitalisée à Brive-la-Gaillarde en Corrèze, et son pronostic vital n'est pas engagé. La gendarmerie de Sarlat est chargée de l'enquête. Les parents ont été placés en garde à vue vendredi. Le père d'une quarantaine d'années avait été interpellé, fortement alcoolisé, vendredi soir à son domicile de Brignac-la-Plaine en Corrèze, à la frontière avec la Dordogne, et placé en garde à vue, quelques heures après la mère, a indiqué le parquet de Brive à l'AFP.
Le père et la mère ont été mis en examen dimanche, pour privation de soins,  violence habituelle sur mineur et dissimulation, et laissés en liberté sous  contrôle judiciaire strict. La petite fille nécessitera une prise en charge  "lourde" pour des retards physiques et psychomoteurs "importants". 

 http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/bebe-retrouve-dans-un-coffre-le-garagiste-toujours-sous-le-choc-8299955.html

Meurtre d'Alexandre Junca : Claude Ducos demande une nouvelle fois sa remise en liberté

La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Pau examinera demain matin, mardi, une nouvelle demande de remise en liberté déposée par Claude Ducos.
Le chasseur retraité de Cabidos, mis en examen comme Mickaël Baehrel, Fatima Ennajah et Mike Bonnet pour "assassinat de mineur précédé d'actes de torture" et "enlèvement de mineur en bande organisée", a fait appel de son maintien en détention provisoire ordonné le 8 octobre
Le même jour, la chambre de l'instruction avait rejeté sa demande d'annuler sa mise en examen. 
Pour cette nouvelle requête, Claude Ducos devrait être entendu par visioconférence, mardi, depuis le centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan où il est incarcéré. 

http://www.sudouest.fr/2013/10/28/meurtre-d-alexandre-junca-nouvelle-demande-de-remise-en-liberte-de-claude-ducos-1213190-4344.php

Moissac. Un automobiliste de 35 ans percuté et tué par un train

Un automobiliste moissagais de 35 ans a été mortellement percuté par une locomotive, dimanche vers 2 heures, au passage à niveau près de la discothèque Le Nirvana, à Moissac. Le véhicule a été traîné sur 800 mètres avant que le cheminot ne puisse immobiliser son engin.
«Cela a fait un gros boom vers 2 heures du matin qui a fait trembler la maison», témoignait, hier matin, encore sous le choc Julien Szyyjka, locataire de la maison éclusière 26 sur le bord du canal et collant le passage à niveau SNCF où a lieu le terrible accident : «Je suis sorti pour voir ce que cela pouvait être, je n’ai pas pensé sur le coup à un incident sur la voie ferroviaire.»

Traîné sur 800 mètres

Vingt minutes plus tard, le jeune commercial qui est parti se recoucher, entend les sirènes des pompiers se porter sur les lieux. C’est une scène apocalyptique que découvrent les secours. «Au passage à niveau, il y avait juste un moteur de voiture et un pare-chocs, les pompiers ont dû chercher avec des torches le train et les restes du véhicule» indique Julien Szyyjka. C’est à 800 mètres de là dans le sens Toulouse - Bordeaux que les hommes du lieutenant Gérard Padié découvrent immobiliser sur la voie une locomotive sous laquelle se trouve l’épave d’une «Peugeot 308» grise. Devant l’ampleur des dégâts et le terrible impact, la voiture étant broyée, les pompiers qui font immédiatement appel au Samu, n’ont que peu d’espoir de trouver en vie le conducteur. Contrainte d’acheminer leurs matériels tant bien que mal dans une zone difficile d’accès au beau milieu de la voie SNCF, la quinzaine de pompiers mobilisés parvient après une grosse demi-heure d’effort à désincarcérer la victime.

Le trafic SNCF à l'arrêt jusqu'à 9 h 45

Au même moment, la sous-préfète de Castelsarrasin, Myriam Garcia, qui coordonne l’ensemble du dispositif notamment en demandant l’arrêt du trafic ferroviaire entre Toulouse et Bordeaux, se porte sur les lieux où elle apprend le décès de Jaoud Taourda. Un Moissagais de 35 ans, père de trois enfants. Les prélèvements sanguins effectués, le corps de la victime était transféré à l’institut médico-légal de Rangueil où un examen de corps devait être pratiqué. Sur place, le major Christophe Antoine, commandant par intérim de la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin, supervisait les constatations d’usage avec le renfort de l’équipe de techniciens en identification criminelle de Montauban et les militaires de Moissac. Après avoir œuvré toute la nuit pour sortir le véhicule de la voie et réparer les dégâts, les 7 agents SNCF de l’astreinte relevage, venus de Toulouse, pouvaient donner le signal de la reprise du trafic à 9 h 45. Quant aux circonstances de l’accident, les enquêteurs qui n’ont pas souhaité s’exprimer, n’auraient que le seul témoignage du cheminot conduisant la locomotive. Parti de Toulouse, ce dernier au volant de sa motrice roulant sans wagon pour gagner Bordeaux, aurait vu le véhicule s’engager au passage à niveau au moment où il y parvenait à 100 km/h.

 http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/28/1740600-moissac-automobiliste-35-ans-percute-tue-train.html

Cavaillon : un couple d’octogénaires sauvés d’une fin horrible

Cela faisait déjà près de deux jours qu’ils n’avaient plus donnés de signes de vie. Inquiets, les voisins d’un couple d’octogénaires habitants dans l’appartement situé rue Pierre-Mendès-France à Cavaillon ont donné l’alerte.

Deux jours sans donner de nouvelles

D’autant que les volets de la chambre des retraités restaient ouverts et que la lumière de la chambre n’était jamais éteinte. Même la nuit.
Sapeurs-pompiers et policiers se sont donc rendus, hier, au domicile de cet homme de 86 ans et de son épouse de 84 ans.

Le couple était très faible et dans un état de déshydratation avancée

Sur ordre de l’officier de police judiciaire, les secours ont brisé une fenêtre pour entrer. Ils y ont découvert l’homme et sa femme allongés sur le sol. Ils ont très probablement chuté et n’ont pas pu se relever d’eux-mêmes.
Lorsque les secours leur ont donné les premiers soins, le couple était très faible et dans un état de déshydratation avancée.
Leur état de santé était jugé critique.
Ils ont finalement pu être transportés en urgence à l’hôpital local. Ils y étaient encore hier soir.
Leurs chances de survie augmenteraient au fil des heures. « Sans les voisins, et vu qu’ils n’ont pas famille, confie un proche de l’enquête, il est probable qu’ils seraient morts à l’heure qu’il est ».

 http://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/10/27/un-couple-d-octogenaires-sauves-d-une-fin-horrible

dimanche 27 octobre 2013

Bas-en-Basset : très gravement blessé en chutant d'un toit

Un homme de 58 ans a chuté d’une hauteur de 5 à 6 mètres, alors qu’il était en train de bâcher une toiture, ce dimanche après-midi, au village de Basset, sur la commune de Bas-en-Basset.
Le quinquagénaire a été évacué par hélicoptère et sous assistance médicale sur l’hôpital Nord de Saint-Etienne. Les médecins restent réservés quant au pronostic vital.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/10/27/bas-en-basset-tres-gravement-blesse-en-chutant-d-un-toit

Un incendie ravage un hangar du port de Boulogne-sur-Mer

Un violent incendie s'est déclaré dimanche matin dans un hangar de matières explosives du port de Boulogne-sur-Mer, avant d'être maîtrisé par une soixantaine de pompiers. Il a provoqué de nombreuses explosions mais aucune victime n'est à déplorer.
L'incendie qui a ravagé un hangar du port de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), provoquant de nombreuses explosions en raison des matières stockées à l'intérieur, était totalement éteint dimanche matin, a-t-on appris auprès des pompiers.
"L'incendie est terminé depuis 05H00 du matin", a indiqué un porte-parole des pompiers, précisant que "sur un feu de cette ampleur" ils étaient néanmoins obligés "de faire des rondes" pour surveiller les éventuelles "reprises" de feu.
L'incendie n'a fait "aucun blessé" et "l'opération s'est déroulée convenablement" malgré "l'embrasement total du bâtiment", a-t-il ajouté. Une origine criminelle du sinistre "n'est pas écartée pour l'instant mais n'est pas établie non plus. Il y a des constatations poussées à faire. Cela se fera (dimanche) après-midi", selon une source proche de l'enquête.
40 personnes au chômage technique
Le feu a pris vers 19H30 samedi dans le bâtiment de 2.500 m2, propriété de la Coopérative maritime étaploise (CME). Des explosions ont retenti au cours de la soirée de samedi en raison de la nature des produits stockés dans le hangar: "pas mal de bouteilles de gaz, de l'huile, des bouteilles d'acétylène" mais aussi des "éléments pyrotechniques, sans doute des fusées de détresse pour les bateaux", avaient indiqué les secours dans un premier temps.
Selon les pompiers, 40 personnes se trouvent au chômage technique à la suite du sinistre. Une soixantaine de pompiers au total sont intervenus, dont plusieurs venus du département du Nord en renfort. 

 http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-incendie-ravage-un-hangar-du-port-de-boulogne-sur-mer-8299644.html

Deux policiers blessés en intervenant dans une bagarre familiale

Deux policiers ont été blessés dans la nuit de samedi à dimanche à La Verrière, dans les Yvelines, lors d’une intervention pour faire cesser une rixe dans une famille qui s’est alors retournée contre eux.
Appelés vers 0 h45 pour mettre à un terme à une violente dispute entre un jeune homme, sa soeur et sa mère, les policiers ont vu toute la famille se liguer contre eux.
Arrivés sur place, les forces de l’ordre ont interpellé et mis en garde à vue le jeune homme de 19 ans pour possession de stupéfiants.
«En voyant que le fils était arrêté, la mère et la fille, qui avaient pourtant appelé les policiers, se sont retournés contre eux. Ils se sont battus», a précisé une source policière.
Les deux agents de la BAC souffrent notamment de griffures et d’entorses et se sont vus prescrire 15 jours d’incapacité totale de travail (ITT).
Toute la famille a été placée en garde à vue.

 http://www.leprogres.fr/beaujolais/2013/10/27/de-nombreux-caladois-prives-d-eau-ce-dimanche-matin

samedi 26 octobre 2013

Sain-Bel : violente collision entre un jeune conducteur et un motard

L’accident s’est produit sur la D389, au lieu-dit «Le Martinet». Le conducteur, âgé de 20 ans, venait de Chevinay et s’engageait sur l'axe tout en refusant la priorité à un deux-roues qui circulait sur la départementale en direction de Bessenay et L’Arbresle.
Le motard n’a pas pu éviter la collision. Son état, très sérieux, a nécessité son transport en urgence à l’hôpital de Bron, où le service de neurochirurgie l’a pris en charge. Il devait rester au bloc opératoire près de six heures.
Si les médecins n’ont pas estimé ses jours en danger, ils évoquaient pourtant, en fin d’après-midi, la possibilité de séquelles graves, les jambes et la colonne vertébrale du jeune homme ayant été sévèrement atteintes.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/10/26/sain-bel-violente-collision-entre-un-jeune-conducteur-et-un-motard

Fleurance (32) : il tire sur un groupe d’adolescents

Un Fleurantin de 47 ans a été interpellé par les gendarmes, mercredi, pour avoir tiré sur un groupe d’adolescents. Les quelques jeunes se trouvaient au square du côté du boulodrome lorsque l’une d’entre eux ressent une douleur au mollet qu’elle découvre ensanglanté.
Les lycéens aperçoivent alors face eux un homme sur un balcon muni d’une arme à feu. La blessure causée par un plomb d’une carabine de 4,5 mm est heureusement bénigne. La victime est cependant choquée.
Aussitôt interpellé et placé en garde à vue par les gendarmes, l’homme reconnaît les faits mais prétend avoir visé un arbre du square. Une version aussitôt mise à mal par les militaires au regard de la carabine à lunette dont l’individu est équipé.
Inconnu de la justice, le Fleurantin a été présenté au parquet jeudi et jugé en comparution immédiate. Condamné à douze mois de prison dont six mois avec sursis, le quadragénaire a fait l’objet d’un mandat de dépôt et a aussitôt été conduit à la maison d’arrêt d’Agen.

http://www.sudouest.fr/2013/10/26/faits-divers-1211624-4584.php

Albi. Le chauffard avait menti pour ménager son père

«Qu’est-ce qui vous a pris de vous enfuir ? Et pourquoi avoir menti aux gendarmes le lendemain en disant qu’on vous avait volé la voiture ?», demande le président Fabrice Rives.
À la barre du tribunal correctionnel, Fabien (1), 26 ans, répond très clairement : «Le jour même j’étais pas très bien. Mon père est atteint d’un cancer et j’avais pris connaissance d’examens qui n’étaient pas bons. J’avais pas le moral du tout. J’ai pas su faire face à ce qui est arrivé. Pour le lendemain, c’est exactement la même chose. J’ai préféré faire ça, bêtement.»
Cet échange, entre magistrat et prévenu résume l’affaire, au départ banale, examinée à l’audience, jeudi après-midi. Le 30 mars dernier vers minuit, à Cordes, Fabien circule au volant de sa Renault sur l’avenue de la Grésigne lorsqu’il percute un véhicule en stationnement. En un instant, le Citroën Berlingo appartenant au Fournil Cordais est transformé en épave. Le commerce a été indemnisé par son assurance mais son avocate réclame au tribunal des dommages et intérêts pour le préjudice professionnel. Cette question sera examinée le 9 décembre, lors de l’audience civile. Avant-hier, c’est surtout le comportement de Fabien qui a retenu l’attention. «Il a eu l’art et la manière de se mettre dans une situation scabreuse pour rien du tout», résume son avocat. En effet, non seulement Fabien a commis un délit de fuite, laissant sa voiture emboutie sur place et rentrant chez lui à pied, mais il a eu l’idée saugrenue, le lendemain matin, de signaler le vol de sa voiture à la gendarmerie. Le mensonge était tellement gros que la vérité a été vite établie... d’autant que l’accident s’était produit à 300 mètres du domicile de Fabien et qu’il avait son téléphone dans la voiture. «N’avait-il pas trop bu ?», se demande le procureur Claude Dérens. «C’est plus dû à la fatigue je pense, mon client rentrait d’un déplacement professionnel en Bretagne et là, il apprend ces mauvaises nouvelles. Quand il a eu cet accident, il n’a pas voulu donner plus de tracas à son père malade, mais c’est le contraire qui s’est produit», constate, navré, l’avocat de la défense. Des circonstances particulières largement prises en compte par le tribunal qui a suivi les réquisitions très modérées du parquet : 100 jours-amendes à 5 euros pour la dénonciation mensongère et le délit de fuite et 250 euros d’amende pour la contravention.
(1) Le prénom a été modifié..

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/26/1739391-le-chauffard-avait-menti-pour-menager-son-pere.html

Tricastin : un réacteur arrêté en urgence après les intempéries

L'incident s'est produit jeudi 24 octobre, après l'accumulation d'un amas de boue devant l'une des pompes sur le canal de Donzère-Mondragon. 
A la suite des fortes précipitations de ces derniers jours sur le secteur, le réacteur numéro 2 de la centrale nucléaire du Tricastin dans la Drôme, s'est arrêté en urgence.  "Une mise en sécurité" selon EDF, exploitant du site, à cause d'un amas de boue accumulé devant l'une des pompes qui sert le circuit de refroidissement secondaire du réacteur, dans le canal de Donzère-Mondragon. "Quand une pompe est en défaut, l'alternateur s'arrête et réacteur aussi, c'est automatique", explique EDF, par la voix d'Adeline Bertoncini, chargée de communication. "Nos agents ont brassé la boue pour que l'amas se dissolve dans l'eau", ajoute l'exploitant qui précise que l'unité de production est en cours de redémarrage.
"Un geyser de 100 m de haut" selon le collectif anti-nucléaire du Vaucluse
"Encore  une nouvelle situation de crise  sur le site nucléaire du Tricastin  et une menace  nucléaire sur la Provence", commente pour sa part le collectif anti-nucléaire  de Vaucluse (CAN 84) qui, photo à l'appui, s'alarme de la présence remarquée jeudi dans la nuit, d'un "geyser de vapeur d'eau de près de 100m de haut" qui "s'échappe du bâtiment  de la centrale nucléaire". Le résultat selon le collectif du "surplus d'énergie nucléaire  produite ne pouvant  être évacuée  et la surchauffe  des installations  en cours contraignent  à des lâchers  en toute  urgence  afin de pouvoir relancer éventuellement  le réacteur nucléaire  en situation précaire".
Selon Adeline Bertoncini d'EDF, "quand on redémarre le réacteur, on a besoin de lâcher  de la vapeur restée en pression  dans les tuyaux, mais ce n'est que de la vapeur d'eau. Un phénomène rare mais normal en phase de redémarrage, comme cela se passe d'ailleurs quatre fois par an lorsque nous arrêtons les réacteurs pour maintenance". Toujours selon l'exploitant EDF, "le nuage serait plus ou moins visible selon les conditions météo". 
Tritium
Le collectif anti-nucléaire  du Vaucluse y voit un nouvel incident plus qu'inquiétant sur l'état de la centrale vieillissante du Tricastin: "Alors que la fuite de tritium radioactif entre les réacteurs 2 et 3  se poursuit sans qu'EDF ne soit en capacité d'identifier son origine et d'y mettre un terme (...), ce sont les pluies  qui menacent à présent  l'ensemble de la centrale". Et de rappeler l'incident début octobre concernant l'explosion d'une pompe hydraulique. Trois salariés ont été touchés par des effluents liquides radioactifs projetés sur leurs vêtements. Les militants exigent d'EDF de "sérieux contrôles" de tous les réacteurs du Tricastin dont l'état "est inconnu" écrivent-t-ils, et ce alors que "la situation est plus que tendue", ajoute CAN 84. 
L'incident a été signalé à l'Autorité de sûreté nucléaire. "Alors que  l'ASN n'a toujours pas répondu  à la mise en demeure  du 25 septembre  dernier  que lui a adressé  le CAN 84  au sujet de la fuite de radioactivité,  la menace de perte  de contrôle par EDF  de ses installations est loin d'être évacuée", conclut les anti-nucléaires. 

http://www.midilibre.fr/2013/10/25/tricastin-un-reacteur-arrete-en-urgence-apres-les-intemperies,774587.php

vendredi 25 octobre 2013

Sans revenus déclarés, la propriétaire percevait indûment des allocations de la CAF

«Si elle avait des soucis, elle pouvait prendre rendez-vous, on l’aurait reçue. » Ainsi parlait hier, la représentante de la Caisse d’allocations familiales (CAF) de Bayonne devant le tribunal correctionnel de Bayonne. L’allocataire en question est Anne V., prévenue pour avoir établi de fausses déclarations à destination des services de la CAF et perçu des allocations de façon indue. Anne V., absente hier de l’audience, ayant donné mandat à son avocate, a ainsi perçu un peu plus de 5 000 euros en prestations, de 2009 à 2010.
Le lièvre a été levé suite à une plainte de la Direction départementale de la solidarité en 2011. Cette veuve et mère de famille a récolté les fruits de dossiers rédigés pour accéder à l’allocation rentrée scolaire, à l’aide au logement entre autres prestations allouées par la CAF, mais aussi à des prestations distribuées par le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques, également constitué partie civile : Revenu minimum d’insertion (RMI), puis Revenu de solidarité active (RSA), à partir de juin 2009.

Alors que Mme V. indiquait « zéro » dans la case revenus de sa demande de RSA sur l’honneur effectuée chaque trimestre, elle disposait de revenus fonciers : la location d’une maison dans la commune de Tosse, moyennant un tarif de 800 euros par mois. « Ces revenus ont-ils été déclarés ? », s’est inquiétée Marie Hirigoyen pour le ministère public. Je pense que non », a rétorqué l’avocate de Mme V. « Il s’agit d’une fraude vis-à-vis des impôts, ce point sera noté Mme le greffier. » L’avocate de Mme V. a fait valoir que les loyers perçus permettaient à Mme V. de s’occuper de la maison héritée de son défunt mari, une propriété en indivision avec ses trois filles.
Mais la CAF reproche par ailleurs à Mme V. d’avoir dissimulé sa situation matrimoniale. Car au moment des faits, elle vivait avec son compagnon, gagnant correctement sa vie, dans l’appartement de celui-ci à Biarritz, rue Larralde. La femme de ménage du couple a d’ailleurs attesté de la vie commune. Le concubinage a, par ailleurs, été constaté par les services de police. Une première fois lorsque Mme V. a appelé la police pour des violences conjugales. Les policiers ont constaté la présence des deux personnes au domicile. Et le lendemain, lorsque Mme V. est allée déposer plainte, précisant qu’elle vivait avec son compagnon.
C’est lui qui est à l’origine du signalement des agissements de Mme V. à la CAF et au Conseil général, ayant mené au dépôt de plainte. Car le couple se déchire, notamment pour la garde du fils qu’ils ont eu ensemble. « Lui aussi, il a intérêt à dissimuler des choses, il y a des loyers et ne les déclare pas », a précisé l’avocate de Mme V. En effet, cette dernière recevait des mandats cash de sa mère lui permettant de régler des frais. Mandats cash qui n’étaient pas non plus déclarés. L’avocate de Mme V. a plaidé la relaxe, au motif que la vie commune de Mme V. avec son compagnon n’était pas établie, celui-ci résidant parfois chez sa mère.
La représentante de la CAF et le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques ont sollicité que Mme V. rembourse les sommes indûment perçues, et qu’elle soit condamnée à payer des dommages et intérêts (300 euros pour la CAF). Le ministère public a demandé que Mme V. soit condamnée à 500 euros d’amende. L’affaire a été mise en délibéré au jeudi 14 novembre
http://www.sudouest.fr/2013/10/25/proprietaire-et-allocataire-de-la-caf-1209966-3570.php

Retrouvé mort, le crâne enfoncé, dans un square parisien : un suspect en garde à vue

Un homme soupçonné d'être impliqué dans la mort d'un homme d'une vingtaine d'années retrouvé le crâne enfoncé mercredi dans un square à Paris, a été interpellé et placé en garde à vue.

L'homme est soupçonné d'être impliqué dans la mort d'un homme d'une vingtaine d'années retrouvé le crâne enfoncé mercredi dans un square à Paris. Il a été interpellé et placé en garde à vue, a indiqué vendredi une source proche de l'enquête.
Les enquêteurs de la brigade criminelle chargés de cette affaire, ont interpellé ce suspect, un SDF âgé d'une vingtaine d'années, jeudi après-midi dans le XIVe arrondissement, selon cette source, confirmant une information du Parisien. "Il pourrait bien être l'auteur du ou des coups mortels. Mais il faut rester prudent", a assuré cette source.
Près du corps, une bûche
Mercredi matin, vers 8 heures, des employés de la Mairie de Paris avaient découvert la victime gisant dans une mare de sang dans le square du Temple (IIIe arrondissement), vraisemblablement victime d'un "enfoncement de la boîte crânienne", selon cette source. Près du corps, une bûche, qui était auparavant posée sur un tas de bois à proximité, baignait dans le sang de la victime.
Peu après la découverte du corps, un homme apparemment "couvert de sang" s'était présenté spontanément aux enquêteurs sur la scène de crime, selon cette source. Il avait été interpellé et placé en garde à vue, mais "en fait ce n'était pas du sang sur ses vêtement et il semble qu'il soit hors de cause", a expliqué cette source.

Quadruple cambriolage à Nogaro

Quatre cambriolages ont visé dans la nuit de mercredi à jeudi des enseignes de Nogaro, dans la zone artisanale Daniate, y compris le centre de tri de la Poste. Les malfaiteurs sont repartis avec un butin de quelques dizaines d’euros... après avoir cassé portes et vitres, alarme et central téléphonique, causant plusieurs milliers d’euros de dégâts.
Les entreprises Réseau Pro, Sarremejean - magasin et centrale béton, et le centre de tri postal ont ainsi été «visités». A chaque fois, les cambrioleurs ont sauté les enceintes pour s’en prendre aux fenêtres, ou casser les portes, comme à la centrale à béton. A Réseau Pro, ils ont cassé le système d’alarme, coupé le téléphone... sans pouvoir arrêter la sirène ! La tentative pour emporter le coffre s’est soldée par un échec. Délaissant les ordinateurs, le matériel, les cambrioleurs se sont concentrés sur le numéraire, soit à peu près... 100€ en tout.
Les enquêteurs mettent ces exactions en rapport avec une tentative d’effraction aux Ets Dalies, une entreprise de matériaux d’Estang, la même nuit. La communauté de brigade d’Eauze, appuyée par la brigade d’Auch, est chargée de l’enquête, qui s’oriente vers l’action d’un petit groupe. Le mode opératoire rappelle l’effraction commise contre les locaux du Secours Populaire voilà une quinzaine de jours : le butin s’élevait à quelques boîtes de conserves et 3000€ de dégâts.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/25/1738854-nogaro-quadruple-cambriolage.html

Avignon : la mère végétalienne réclame le retour de son fils Joachim

L'enfant a été déplacé par crainte de privation de soins.
Effervescence jeudi à la cour d’appel de Nîmes qui devait statuer sur le retrait d’un bébé à sa famille. La décision avait été ordonnée en juin dernier à Avignon. Le nourrisson de dix mois a été placé car la justice craignait pour sa santé : sa courbe de croissance stagnait et semblait signifier qu’il souffrait d’une carence alimentaire. Situation qui a conduit les médecins à signaler l’affaire à la justice.
Le nourrisson a été pris en charge par les services sociaux du conseil général de Vaucluse. Les parents n’ont plus la garde et ne sont autorisés à le voir qu’en présence d’un tiers. Julien Paul et Céline Legros contestent cette décision et ont plaidé leur cause devant la cour lors d’une audience non publique.


Végétalienne
Un comité de soutien d’une trentaine de personnes, présentes aux abords du palais et dans la salle d’audience, a milité pour le retour de l’enfant à son domicile de Lauris (Vaucluse). Après une heure et demie de débats, les parents ont réitéré leur volonté de récupérer leur enfant. La mère a indiqué qu’elle pensait que la décision de justice était liée au fait qu’elle est végétalienne (alimentation excluant tout produit d’origine animale, lait et œuf compris). Elle a précisé jeudi que son régime alimentaire ne s’était pas appliqué à son fils.
"Des problèmes de nutrition et de suivi médical"
"On veut déplacer cette affaire sur une question de régime alimentaire. Ce n’est pas le cas. Avant le placement de l’enfant, les médecins ont montré que le bébé avait des problèmes de nutrition et de suivi médical", observe une source du dossier. L’avocat du couple, Me Ludot, a déclaré qu’il fallait agir dans l’intérêt de l’enfant. Me Gontard, avocat des services sociaux, a indiqué que le placement du nourrisson était régulier. L’arrêt de la cour est attendu le 14 novembre. Sur le plan pénal, les parents restent mis en examen à Avignon pour privation de soins sur leur enfant.

http://www.midilibre.fr/2013/10/24/avignon-les-parents-reclament-le-retour-de-leur-fils-joachim,774282.php

jeudi 24 octobre 2013

Nanterre:un mort dans un incendie

Un homme d'une cinquantaine d'années est décédé dans un incendie, hier soir, à Nanterre, révèle Le Parisien. Le feu a débuté vers 18h30 dans un appartement au quatrième étage d'un immeuble. Les sapeurs-pompiers de Paris ont été mobilisés sur place et ont maîtrisé l'incendie sans avoir besoin d'évacuer les habitants de l'immeuble. Après avoir pénétré dans l'appartement incendié, ils ont découvert le corps calciné de l'occupant.

Une autopsie va être pratiquée pour définir les causes exactes du décès. Selon les enquêteurs, l'origine de l'incendie serait accidentielle.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/24/97001-20131024FILWWW00547-nanterreun-mort-dans-un-incendie.php

A 63 : le chauffard bayonnais ivre sera jugé dans les deux mois

Le conducteur bayonnais de la BMW repérée mercredi après-midi sur l'A 63 à 196 km/h au lieu des 110 autorisés, celui-là même qui avait pris la fuite avant d'être intercepté en état d'ivresse au péage de Saugnacq-et-Muret, a été présenté ce jeudi matin au parquet de Mont-de-Marsan. Sa représentante, la vice-procureur de la République, a opté pour une réponse à mi- chemin entre la comparution immédiate et la traditionnelle convocation par officier de police judiciaire.
Considérant la gravité de ce grand excès de vitesse doublé d'un refus d'obtempérer et surtout d'une alcoolémie mesurée à 2,52 g/l de sang, et sachant que ce trentenaire a déjà été condamné pour des faits de même nature, Emilie Lagrave a ainsi choisi une procédure autre qui obligera le récidiviste à être jugé dans un délai maximal de deux mois. 

La magistrate l'a également renvoyé vers le juge des libertés et de la détention afin qu'il soit placé dès ce jeudi après-midi sous contrôle judiciaire, avec obligation de soins. 

http://www.sudouest.fr/2013/10/24/a-63-le-chauffard-bayonnais-ivre-sera-juge-dans-les-deux-mois-1209648-3452.php

Montauban. Un avion quitte la piste au moment de l'atterrissage

Un avion de compétition tout neuf, un pilote âgé de 82 ans mais au palmarès éloquent (amiral de l’aéronavale en retraite, ancien pilote d’essai et de chasse…)… Des ingrédients qui collent mal avec la culbute opérée hier sur la piste de l’aérodrome de Montauban, et pourtant. Le pilote castrais de l’appareil, habitué de la piste montalbanaise où il se rend régulièrement, venait en effet de se poser quand une roue de l’avion s’est détachée. Malgré l’adresse du pilote, l’appareil a fini par mordre le terrain herbeux environnant la piste et a terminé sa chevauchée sur le toit. Bien protégé par l’arceau de l’appareil, le pilote qui a été conduit à l’hôpital par les pompiers soufre de contusions légères. Une enquête a néanmoins été ouverte par la police aéronautique de Midi-Pyrénées dont un commissaire, actuellement en vacances, était présent sur l’aérodrome aux côtés du commissaire divisionnaire Bertinet et du commandant Larrouy.
L’avion de type «sun Reai» pesant moins de 300 kg a ensuite été retiré par les membres de l’aéro-club.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/24/1738351-montauban-avion-quitte-piste-moment-atterrissage.html

Meurtre d’un sexagénaire à Chalezeule : une barbarie inouïe

« On se connaissait depuis 25 ans… C’est lui qui m’avait trouvé ce local à côté du sien au début des années 2000. Moi j’installe des boulangeries, lui était spécialisé dans le matériel d’occasion pour l’hôtellerie et la restauration. On travaillait en synergie » explique Michel Coquard, le voisin de Jean-Pierre Merlot, sauvagement assassiné dans la nuit de dimanche à lundi.
Jean-Pierre Merlot était une des figures de l’agglomération bisontine, voire au-delà. Sa spécialisation et sa faconde lui attiraient une sympathie unanime. « Été comme hiver, il était en short » sourit Michel Coquard. Même son de cloche chez Adrien Rognon, ce jeune restaurateur du square Saint-Amour, a fait « sa connaissance il y a un an. Une amitié s’est tout de suite installée. C’était un bon vivant qui aimait les choses simples, pour lequel les biens matériels ne comptaient pas. Il était « Vieille France » avec le boulot érigé en règle de vie. Et il avait le cœur sur la main. On ne passait pas chez lui sans repartir avec un cadeau. Je l’entends encore chanter Brel à tue-tête la dernière fois où je suis passé le voir… J’ai du mal à croire que quelqu’un ait pu en vouloir à ce point à un homme aussi gentil pour lui avoir fait subir de tels actes de barbarie. »
Qui pouvait bien en vouloir à cet homme de 63 ans, apprécié de tous ? Quel mobile se dissimule derrière la sauvagerie avec laquelle Jean-Pierre Merlot a été maltraité dans la nuit de dimanche à lundi ?

Chaque geste exercé contre la victime était destiné à la faire souffrir

« Ils ont voulu lui faire dire où était son magot » suggère un ami venu aux nouvelles auprès de Michel Coquard. Et y avait-il un magot ? Si la chambre de la victime a bel et bien été fouillée de fond en comble, les enquêteurs ont retrouvé une somme de 200 € en liquide simplement posée sur une étagère, sans aucune recherche de dissimulation. Il semble clair que Jean-Pierre Merlot a été surpris dans son sommeil. Il n’a pas pu saisir le petit fusil qu’il gardait à côté de son lit. Probablement frappé au visage puis jeté violemment à terre, ce qui lui a causé des hématomes et la fracture de cinq côtes, il a ensuite été torturé avec une barbarie inouïe. Ses agresseurs ne se sont en effet pas contentés de lui casser les membres comme nous le révélions hier. Ils l’ont piqué aux bras et aux jambes à une demi-douzaine de reprises avec un objet pointu qui pourrait ressembler à un tournevis jusqu’à atteindre l’os où ils ont trifouillé et creusé en vrillant. Aucun organe vital n’a jamais été visé. Chaque geste exercé contre la victime était bien destiné à la faire souffrir. Et c’est finalement de stress que Jean-Pierre Merlot est mort, au petit matin, d’une crise cardiaque. Pour quelle raison, vengeance, obtenir des aveux, acharnement d’un fou furieux ? L’enquête s’annonce complexe.
La section des recherches de la gendarmerie n’exclut pour l’instant aucune piste, se gardant de tout a priori qui pourrait fausser l’enquête. Les gendarmes sont devant un cas hors norme et ont lancé un appel à témoins.
Numéro vert et gratuit : 0800.004.843
 

mercredi 23 octobre 2013

Une automobiliste écrouée pour avoir renversé un policier en Gironde

Une automobiliste de 48 ans ans a été mise en examen mercredi à Bordeaux et écrouée, pour avoir percuté et grièvement blessé un policier lundi après avoir reçu un PV.

Elle avait percuté et grièvement blessé un policier lundi, alors qu'elle était ulcérée par le procès-verbal qui venait de lui être dressé. L'automobiliste de 48 ans a été mise en examen mercredi à Bordeaux et écrouée, a-t-on appris de source judiciaire.

Le policier de la commune d'Ambarès-et-Lagrave, dans la grande banlieue de Bordeaux, restait mercredi hospitalisé dans un "état préoccupant", souffrant de multiples fractures, d'hématomes et d'un traumatisme crânien, mais son pronostic vital n'était pas engagé.

L'automobiliste avait percuté le policier, qui était en patrouille avec un collègue, lundi en fin d'après-midi sur un parking du centre d'Ambarès. Elle s'était emportée, déchirant un PV que l'agent venait de lui dresser, pour un stationnement sur une place réservée aux handicapés. Puis elle avait démarré à la hâte, percutant le policier qui avait lourdement chuté sur la tête.
 
Elle nie le caractère volontaire du choc
La quadragénaire avait alors pris la fuite au volant, emboutissant deux autres véhicules, mais s'était finalement présentée à la gendarmerie d'Ambarès, où elle avait été placée en garde à vue.   L'automobiliste, qui a reconnu les faits mais qui nie le caractère volontaire du choc avec le policier, a été déférée mercredi.

Elle a été mise en examen pour "violences volontaires avec ITT supérieure à huit jours, avec arme par destination (la voiture) sur personne dépositaire de l'autorité publique" - deux circonstances aggravantes - et encourt sept ans de prison. Elle a été placée en détention provisoire.
 

Collision à Herm (40) : les trois personnes désincarcérées évacuées vers l'hôpital de Dax

Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce mercredi midi, à Herm, où un accident de la route leur a été signalé.
Deux voitures qui circulaient sur la rue Michel Gieure se sont percutées frontalement.

Les quatre passagers de ces véhicules ont été blessés dans le choc.
Trois d'entre eux étaient encore incarcérés à l'arrivée des secours. Ils ont été sortis, puis évacués vers l'hôpital de Dax. Leur pronostic vital n'est pas engagé

http://www.sudouest.fr/2013/10/23/herm-40-trois-personnes-incarcerees-dans-leurs-voitures-1208569-3350.php

Cinq ans après avoir découpé un corps, un suspect arrêté

L’un des faits divers soissonnais les plus marquants de ces cinq dernières années va peut-être bientôt être élucidé. Après des années de recherches, la police judiciaire de Lille a découvert de nouveaux éléments qui pourraient bien donner au dossier une tournure décisive. Les faits remontent au 28 août 2008.

Dans le milieu chinois

Un sans-abri fouille des sacs-poubelles en bordure de la route nationale 2 à Villeneuve-Saint-Germain, près de Soissons (Aisne). En ouvrant l’un d’eux, il découvre un corps découpé, qui s’avère être celui d’une jeune femme de type asiatique.
L’autopsie révèle par la suite une mort par strangulation remontant à un mois auparavant maximum.
« La priorité est l’identification du corps de la victime », avait déclaré, alors, le procureur de Laon Olivier Hussenet. Aujourd’hui c’est chose faite selon la même source. «  La victime est une jeune femme appartenant à la communauté chinoise. Elle était régulièrement importunée par un homme très entreprenant.  »

Une preuve confondante

Au fil de l’enquête, les faits se regroupent et un scénario voit le jour. Le procureur poursuit : «  Cet homme devait avoir des vues sur la victime. Il la harcelait. Le jour de sa disparition il était avec elle. Il est sûrement le dernier à l’avoir vu. Il aurait tué la victime avant de la déplacer en voiture jusqu’au bord de la route nationale 2. Ce dernier nie les faits et se dit innocent. Il existe cependant une preuve génétique sur le sac-poubelle.  »
Cet élément pourrait s’avérer essentiel dans la suite de l’affaire. Celle-ci devrait être ordonnancée prochainement.
L’auteur présumé devrait être renvoyé devant la cour d’assises, vraisemblablement en 2014.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/cinq-ans-apres-avoir-decoupe-un-corps-un-suspect-arrete-ia0b0n236349

Seine-et-Marne : le cadavre était pendu depuis huit ans

Il avait été licencié par son employeur. Un homme s'est pendu en 2005 dans son appartement de Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne). Sa dépouille n'a été découverte que vendredi dernier a l'issue de la vente de son appartement.

La découverte remonte à vendredi. Un homme a été découvert pendu dans son appartement de Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne). D'après les éléments découverts sur les lieux, la mort serait survenue en 2005. Depuis, personne ne s'était inquiété du décès.

D'après les premiers éléments, détaillés par Le Parisien et RTL, l'homme - d'origine cambodgienne - avait coupé les ponts avec ses deux sœurs et ses deux frères pourtant domiciliés en Ile-de-France.

Il aurait eu 50 ans cette année.
La boîte aux lettres qui déborde, le téléphone qui ne répond plus... rien n'a inquiété les voisins. C'est la banque qui a lancé les procédures de vente aux enchères de l'appartement en raison des factures impayées. La vente aux enchères conclue, le nouveau propriétaire des lieux a pris possession de son bien ... et découvert la dépouille oubliée. La victime aurait eu 50 ans cette année.
 

Hérault : accident et délit de fuite à Frontignan

Un accident impliquant trois véhicules s'est produit ce mardi sur la RD 600 près du Pont de Meréville. Une femme a été hospitalisée. Deux hommes ont pris la fuite. Ils étaient poursuivis par la police municipale de Frontignan. 
Il était aux environs de 16 heures ce mardi lorsqu'une Renault Safrane qui circulait sur la RD 600 dans le sens Frontignan-Balaruc a , selon les premières informations recueillies sur les lieux, doublé un camion. Avant de le percuter, puis de venir s'encastrer dans une Smart qui roulait dans le sens inverse. La conductrice, blessée, a été transportée vers l'hôpital de Sète. La voiture, sérieusement endommagée est irrécupérable.
L'un des deux, blessé, a pu être rattrapé et interpellé par les policiers
Quant à la Safrane, également hors d'usage, elle a été retrouvée sans ses passagers. Et pour cause... Au moment du dépassement sur la départementale, ils étaient poursuivis par la police municipale de Frontignan. Toujours selon les premiers éléments de l'enquête, les deux hommes seraient les auteurs d'un cambriolage commis dans la matinée sur la commune de Balaruc-les-Bains. Après l'accident, ils ont pris la fuite à travers champs. L'un des deux, blessé, a pu être rattrapé et interpellé par les policiers. Il a été conduit au commissariat central de Sète. L'enquête devrait permettre d'en savoir plus sur le périple des deux fuyards. 

http://www.midilibre.fr/2013/10/22/frontignan-accident-et-delit-de-fuite,773285.php

mardi 22 octobre 2013

Dordogne : l'octogénaire a passé 24 heures dans les bois

Dimanche vers 16 h 30, les gendarmes ont été alertés pour une disparition inquiétante. Un habitant de Saint-Germain-des-Prés (24) de 86 ans, attendu pour midi chez son fils à Sainte-Eulalie-d’Ans, n'était pas arrivé.
L’homme a été retrouvé lundi, dans sa voiture, dans un chemin boisé. Il s’était embourbé, mais n’avait pas de téléphone portable. Selon les secours, après avoir passé la nuit dans sa voiture et un jour sans manger, il était désorienté, mais sain et sauf. Il a été pris en charge par sa famille.

http://www.sudouest.fr/2013/10/22/dordogne-l-octogenaire-a-passe-24-heures-dans-les-bois-1207142-2065.php