Cathy, 41 ans, a disparu de son domicile de Frouzins depuis le 18 septembre. La jeune femme a été aperçue pour la dernière fois ce mardi-là aux alentours de 17 h 30. Elle est partie au volant de sa voiture sans téléphone portable. Elle mesure environ 1,60 m, ses cheveux sont châtain clair, mi-long. Son véhicule est un Hyundai Santa Fe gris immatriculé AH-721-YF. Toute personne disposant d'informations sur la jeune femme ou ayant aperçu son véhicule est priée de se faire connaître auprès de la gendarmerie ou auprès de sa famille (06 84 23 2 636).
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/30/1452814-appel-a-temoin-apres-une-disparition-inquietante.html
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
dimanche 30 septembre 2012
Deux accidents et neuf blessés, dont cinq graves, sur la N89
Rendue glissante par la pluie et des fuites de carburant, la RN 89 a été le théâtre de deux chocs frontaux qui ont nécessité la mobilisation d'une cinquantaine de pompiers et pas moins de cinq voyages d’hélicoptères de la gendarmerie et du Smur pour évacuer les nombreux blessés.
Durant toute l’intervention, la nationale est restée fermée à la circulation dans les deux sens entre l’intersection D389-D91, et le pont de Brévenne.
A Sain-Bel, sept personnes ont été blessés, dont cinq gravement, dans un face à face vers 13 heures, à La Brayarde. En cause deux véhicules : le premier en provenance de Sainte-Foy l'Argentière et qui embarquait une famille de cinq personnes de Haute-Rivoire et un second transportant deux personnes.
L'autre choc frontal s'est produit à La Giraudière, moins d'une heure après l'accident de Sain-Bel. Deux blessés sont à déplorer: un homme transporté à l'hôpital de Feurs et une femme héliportée vers Villefranche-sur-Saône.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/29/sain-bel-la-d389-fermee-a-la-circulation-apres-un-accident-corporel
Durant toute l’intervention, la nationale est restée fermée à la circulation dans les deux sens entre l’intersection D389-D91, et le pont de Brévenne.
A Sain-Bel, sept personnes ont été blessés, dont cinq gravement, dans un face à face vers 13 heures, à La Brayarde. En cause deux véhicules : le premier en provenance de Sainte-Foy l'Argentière et qui embarquait une famille de cinq personnes de Haute-Rivoire et un second transportant deux personnes.
L'autre choc frontal s'est produit à La Giraudière, moins d'une heure après l'accident de Sain-Bel. Deux blessés sont à déplorer: un homme transporté à l'hôpital de Feurs et une femme héliportée vers Villefranche-sur-Saône.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/29/sain-bel-la-d389-fermee-a-la-circulation-apres-un-accident-corporel
Gironde : la légitime défense reconnue à l'accusé
Après quelques heures dans l'intimité et le secret de la salle des délibérations, la cour d'assises de la Gironde a acquitté Patrick Faure, artisan de Lagorce de 58 ans, jugé depuis mercredi pour violences avec arme ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente.
Le 23 mai 2008, suite à un échange de coups survenu à Baillas, atteint par un panneau de bois, Dominique Serres, demeurant à Sablons, avait perdu un œil dans lequel s'était fiché un clou. Ce qui était d'abord apparu comme une altercation entre automobilistes irascibles, commencée devant la quincaillerie de Guîtres, cachait en fait une autre cause.
« Riposte disproportionnée »
Patrick Faure, menuisier qui allait livrer un client, avait été suivi en voiture par Dominique Serres qui s'était jeté sur lui et l'avait frappé avec un piquet de chasse. L'accusé entretenait depuis peu une relation amoureuse avec la femme de ce dernier, rencontrée lors de parties de chasse dominicales.
Dès le début de la procédure, Patrick Faure a assuré s'être simplement défendu. Hier, son avocat, Me Jean Gonthier, a demandé aux juges que soit reconnue à son client la cause d'irresponsabilité pénale que constitue la légitime défense. Et donc de l'acquitter. Rappelant que la partie civile n'était victime que d'elle-même car à l'initiative des coups, il a démontré à quel point l'accusé n'avait pas eu le choix des armes et avait « fait avec les moyens du bord » en saisissant ce panneau de bois.
La veille, Me Jean-David Boerner avait insisté sur le préjudice de son client, mari trompé qui ne se prétendait pas modèle, arrivé à la barre en ôtant son œil de verre. « Si la légitime défense est reconnue, cela n'ouvrira pas droit à l'indemnisation de Dominique Serres ». L'avocat avait insisté sur cette nécessaire réparation financière.
Estimant la riposte disproportionnée, assurant que le coup fatal avait été porté alors que le mari jaloux était désarmé, l'avocat général Dominique Hoflack avait quant à elle rejeté l'idée de légitime défense. Elle avait requis cinq ans de prison avec sursis.
http://www.sudouest.fr/2012/09/29/la-legitime-defense-reconnue-a-l-accuse-835040-2926.php
Le 23 mai 2008, suite à un échange de coups survenu à Baillas, atteint par un panneau de bois, Dominique Serres, demeurant à Sablons, avait perdu un œil dans lequel s'était fiché un clou. Ce qui était d'abord apparu comme une altercation entre automobilistes irascibles, commencée devant la quincaillerie de Guîtres, cachait en fait une autre cause.
« Riposte disproportionnée »
Patrick Faure, menuisier qui allait livrer un client, avait été suivi en voiture par Dominique Serres qui s'était jeté sur lui et l'avait frappé avec un piquet de chasse. L'accusé entretenait depuis peu une relation amoureuse avec la femme de ce dernier, rencontrée lors de parties de chasse dominicales.
Dès le début de la procédure, Patrick Faure a assuré s'être simplement défendu. Hier, son avocat, Me Jean Gonthier, a demandé aux juges que soit reconnue à son client la cause d'irresponsabilité pénale que constitue la légitime défense. Et donc de l'acquitter. Rappelant que la partie civile n'était victime que d'elle-même car à l'initiative des coups, il a démontré à quel point l'accusé n'avait pas eu le choix des armes et avait « fait avec les moyens du bord » en saisissant ce panneau de bois.
La veille, Me Jean-David Boerner avait insisté sur le préjudice de son client, mari trompé qui ne se prétendait pas modèle, arrivé à la barre en ôtant son œil de verre. « Si la légitime défense est reconnue, cela n'ouvrira pas droit à l'indemnisation de Dominique Serres ». L'avocat avait insisté sur cette nécessaire réparation financière.
Estimant la riposte disproportionnée, assurant que le coup fatal avait été porté alors que le mari jaloux était désarmé, l'avocat général Dominique Hoflack avait quant à elle rejeté l'idée de légitime défense. Elle avait requis cinq ans de prison avec sursis.
http://www.sudouest.fr/2012/09/29/la-legitime-defense-reconnue-a-l-accuse-835040-2926.php
samedi 29 septembre 2012
Un réseau «achetant» des voleuses en Serbie démantelé en France
La plupart des jeunes femmes sont des Tziganes serbes...
Douze personnes ont été mises en examen en France après le démantèlement mardi d'un réseau international de cambrioleurs, qui a accumulé un important butin en forçant des jeunes filles «achetées» en Serbie à voler, ont annoncé samedi les responsables de l'enquête.
En majorité Tziganes serbes, ces personnes ont été mises en examen notamment pour traite des êtres humains en bande organisée et vol ou tentative de vol en bande organisée, a indiqué au cours d'une conférence de presse Virginie Girard, vice-procureur de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lille, en charge de l'enquête.
Huit d'entre elles ont fait l'objet de mandats de dépôt. L'enquête, qui a commencé début 2012 dans la région lilloise, a permis de mettre en évidence une organisation criminelle internationale axée autour d'une famille qui achetait et hébergeait des jeunes filles -toutes majeures- en vue de cambriolages.
«Les voleuses de premier niveau, majeures, étaient achetées à la famille, en Serbie, dans le cadre d'un pseudo-mariage. Elles étaient revendues ensuite pour former d'autres équipes», a expliqué le lieutenant-colonel Eric Matyn, commandant de la section de recherches de Lille de la gendarmerie nationale.
«Si la voleuse était repérée, le clan la reprenait et la mettait pendant deux ou trois mois à l'abri dans une maison dédiée, avant d'être remise dans le circuit ou revendue», a-t-il précisé.
Certaines de ces jeunes femmes subissaient des violences physiques et leur passeport était confisqué.
Seize personnes avaient été arrêtées mardi -douze en France, trois en Belgique et une en Allemagne- et trois autres font l'objet d'un mandat d'arrêt européen.
Un important butin a été saisi: des bijoux en or, des montres et des objets de luxe, ainsi que de l'argent liquide, représentant un préjudice de plusieurs centaines de milliers d'euros rien que pour la France. Des véhicules de grosses cylindrées achetées avec l'argent des méfaits ont également été confisqués
http://www.20minutes.fr/societe/1013059-reseau-achetant-voleuses-serbie-demantele-france
Douze personnes ont été mises en examen en France après le démantèlement mardi d'un réseau international de cambrioleurs, qui a accumulé un important butin en forçant des jeunes filles «achetées» en Serbie à voler, ont annoncé samedi les responsables de l'enquête.
En majorité Tziganes serbes, ces personnes ont été mises en examen notamment pour traite des êtres humains en bande organisée et vol ou tentative de vol en bande organisée, a indiqué au cours d'une conférence de presse Virginie Girard, vice-procureur de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lille, en charge de l'enquête.
Huit d'entre elles ont fait l'objet de mandats de dépôt. L'enquête, qui a commencé début 2012 dans la région lilloise, a permis de mettre en évidence une organisation criminelle internationale axée autour d'une famille qui achetait et hébergeait des jeunes filles -toutes majeures- en vue de cambriolages.
«Les voleuses de premier niveau, majeures, étaient achetées à la famille, en Serbie, dans le cadre d'un pseudo-mariage. Elles étaient revendues ensuite pour former d'autres équipes», a expliqué le lieutenant-colonel Eric Matyn, commandant de la section de recherches de Lille de la gendarmerie nationale.
Un «mercato de voleuses»
«Il y avait une sorte de mercato de voleuses, avec une évolution des prix: si la voleuse était moins bonne, c'était 40.000 euros. L'agent traitant suivant pouvait monter jusqu'à 70.000 euros si elle avait réalisé les objectifs qui lui avaient été assignés», a-t-il détaillé.«Si la voleuse était repérée, le clan la reprenait et la mettait pendant deux ou trois mois à l'abri dans une maison dédiée, avant d'être remise dans le circuit ou revendue», a-t-il précisé.
Certaines de ces jeunes femmes subissaient des violences physiques et leur passeport était confisqué.
Seize personnes avaient été arrêtées mardi -douze en France, trois en Belgique et une en Allemagne- et trois autres font l'objet d'un mandat d'arrêt européen.
Un important butin a été saisi: des bijoux en or, des montres et des objets de luxe, ainsi que de l'argent liquide, représentant un préjudice de plusieurs centaines de milliers d'euros rien que pour la France. Des véhicules de grosses cylindrées achetées avec l'argent des méfaits ont également été confisqués
http://www.20minutes.fr/societe/1013059-reseau-achetant-voleuses-serbie-demantele-france
Méhoncourt (54): sortie de route mortelle pour une femme de 53 ans
Il était 11 h 30 quand, pour des raisons que l’enquête en cours tentera d’éclaircir, l’automobiliste qui circulait dans le sens Lunéville vers Bayon, a dévié de sa trajectoire (une longue ligne droite) pour quitter la bande d’asphalte et percuter un arbre en bordure de route.
Sous la violence du choc la conductrice, seule à bord, a été éjectée de son véhicule.
Arrivés sur place, les secours n’ont pu que constater le décès de la conductrice, originaire de Bayon, commune qu’elle regagnait, située à six kilomètres du lieu de l’accident.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/09/28/sortie-de-route-mortelle
Sous la violence du choc la conductrice, seule à bord, a été éjectée de son véhicule.
Arrivés sur place, les secours n’ont pu que constater le décès de la conductrice, originaire de Bayon, commune qu’elle regagnait, située à six kilomètres du lieu de l’accident.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/09/28/sortie-de-route-mortelle
Grève de la faim pour 40 pieds de cannabis
Olivier Asteggiano a entamé hier une grève de la faim devant la sous-préfecture de Gourdon, interrompue par les gendarmes. Il revendique le droit de se soigner à l'aide du cannabis qui lui a été retiré. Retour sur un dossier très sensible…
L'affaire Asteggiano revient au cœur de l'actualité et prend même une nouvelle dimension sociale, après avoir défrayé la chronique sur le plan judiciaire en 2009 et 2010.
Olivier Asteggiono est cet homme de 53 ans qui apaisait les douleurs provoquées par sa sclérose en plaques, à l'aide de sa propre plantation de cannabis. Condamné en première instance, en 2009, au tribunal correctionnel de Cahors à une amende de 150 € avec sursis, il avait écopé l'année suivante de la même peine par la cour d'appel d'Agen. Malgré divers avis médicaux largement commentés dans les tribunaux et démontrant les vertus thérapeutiques du cannabis, la plantation d'Olivier Asteggiano, ainsi que l'ensemble du matériel destiné à son entretien, avaient été confisqués au principal intéressé, il y a exactement un an et un mois. «Depuis, je vais de plus en plus mal. Il a été prouvé scientifiquement que le cannabis calmait la douleur dans mon cas précis. J'en ai aujourd'hui besoin plus que jamais, car ma maladie a beaucoup évolué», assure Olivier Asteggiano à bout de force.
Le Gourdonnais a entamé une grève de la faim hier, devant la sous-préfecture de Gourdon, pour récupérer son «médicament» prohibé (soit 40 pieds) ainsi que le matériel dont il a estimé la valeur à 2 000 €.
Mais il demande bien plus que ça : «Je considère que j'ai été lourdement lésé. Je réclame 1 million d'euros de dommages et intérêts», annonce-t-il.
En 2011, au terme d'une nouvelle procédure, le procureur d'Agen avait confirmé «l'abandon des charges» qui pesaient contre lui. «Je ne peux pas me contenter de cela. Je ne considère pas que l'on a réquisitionné mon cannabis et tout mon matériel, mais je prends plutôt cet acte comme un vol puisque la justice ne m'a pas condamné», insiste le Gourdonnais.
«Je veux que l'on me comprenne. La douleur m'empêche également d'avoir la moindre activité professionnelle pour améliorer ma situation. Je ne perçois que 650 €s par mois. Ma fille vit à mes côtés. Je ne m'en sors pas. Une solution doit être trouvée au plus vite», conclut-il.
Olivier Asteggiano souhaiterait surtout que la justice partage l'avis de la médecine et le démontre dans les faits. L'abandon des charges est déjà un geste fort à son égard. Aujourd'hui, il en veut plus… car il n'en peut plus.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/29/1451973-gourdon-greve-de-la-faim-pour-40-pieds-de-cannabis.html
L'affaire Asteggiano revient au cœur de l'actualité et prend même une nouvelle dimension sociale, après avoir défrayé la chronique sur le plan judiciaire en 2009 et 2010.
Olivier Asteggiono est cet homme de 53 ans qui apaisait les douleurs provoquées par sa sclérose en plaques, à l'aide de sa propre plantation de cannabis. Condamné en première instance, en 2009, au tribunal correctionnel de Cahors à une amende de 150 € avec sursis, il avait écopé l'année suivante de la même peine par la cour d'appel d'Agen. Malgré divers avis médicaux largement commentés dans les tribunaux et démontrant les vertus thérapeutiques du cannabis, la plantation d'Olivier Asteggiano, ainsi que l'ensemble du matériel destiné à son entretien, avaient été confisqués au principal intéressé, il y a exactement un an et un mois. «Depuis, je vais de plus en plus mal. Il a été prouvé scientifiquement que le cannabis calmait la douleur dans mon cas précis. J'en ai aujourd'hui besoin plus que jamais, car ma maladie a beaucoup évolué», assure Olivier Asteggiano à bout de force.
Le Gourdonnais a entamé une grève de la faim hier, devant la sous-préfecture de Gourdon, pour récupérer son «médicament» prohibé (soit 40 pieds) ainsi que le matériel dont il a estimé la valeur à 2 000 €.
Mais il demande bien plus que ça : «Je considère que j'ai été lourdement lésé. Je réclame 1 million d'euros de dommages et intérêts», annonce-t-il.
Placé en garde à vue
Son action a été de courte durée. En début d'après-midi, les gendarmes de Gourdon ont procédé à son interpellation. Celle-ci a été très mouvementée. «Cet individu a été placé en garde à vue pour outrage et rébellion à l'encontre des forces de gendarmerie», nous confirme un officier chargé du dossier. Avant ce nouvel épisode, pour la justice l'affaire Asteggiano était close.En 2011, au terme d'une nouvelle procédure, le procureur d'Agen avait confirmé «l'abandon des charges» qui pesaient contre lui. «Je ne peux pas me contenter de cela. Je ne considère pas que l'on a réquisitionné mon cannabis et tout mon matériel, mais je prends plutôt cet acte comme un vol puisque la justice ne m'a pas condamné», insiste le Gourdonnais.
«Je ne m'en sors pas»
Sûr et certain de son droit, Olivier Asteggiano s'était fermement opposé à la confiscation de ses plants de cannabis à l'arrivée des gendarmes à son domicile il y a un an. Son échange avec les forces de l'ordre avait aussi été houleux et musclé.«Je veux que l'on me comprenne. La douleur m'empêche également d'avoir la moindre activité professionnelle pour améliorer ma situation. Je ne perçois que 650 €s par mois. Ma fille vit à mes côtés. Je ne m'en sors pas. Une solution doit être trouvée au plus vite», conclut-il.
Olivier Asteggiano souhaiterait surtout que la justice partage l'avis de la médecine et le démontre dans les faits. L'abandon des charges est déjà un geste fort à son égard. Aujourd'hui, il en veut plus… car il n'en peut plus.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/29/1451973-gourdon-greve-de-la-faim-pour-40-pieds-de-cannabis.html
Appel à témoin : l’altercation routière s'était soldée par un mort
Deux individus, non identifiés, ayant mortellement blessé un automobiliste le 19 février dernier sur la route de Bédarieux (RD 909) sont, depuis, activement recherchés par les gendarmes de la compagnie de Béziers.
Le 19 février 2012, aux environs de 19 h 30, sur la route de Bédarieux (RD 909), commune de Faugères, un homme reçoit un coup de poing au cours d’un différend entre automobilistes. Suite à ce coup au niveau de la tête, la victime chute et perd connaissance. Transporté dans un état comateux à l’hôpital de Montpellier, l’homme décédera finalement le 5 mars des suites d’une importante fracture du crâne consécutive à la chute.
Un décès qui avait fait coulé beaucoup d'encre à l'époque et qui avaient entraîné une vive émotion au sein de la population. De nombreux médias nationaux tels que le Figaro, France Soir, le JDD ou encore LCI.TF1 avaient d'ailleurs relayé ce dramatique fait divers.
Une enquête au point mort
L’enquête, effectuée par les gendarmes de la compagnie de Béziers, permet d’attribuer ces faits à deux individus dont il est établi qu’ils circulaient à bord d’un véhicule de Marque Volkswagen, type Golf, de couleur blanche. Les deux occupants de cette automobile ont pris la fuite en direction de Bédarieux sous les yeux de l’épouse de la victime, paniquée, qui a immédiatement alerté les secours.
Les agresseurs pourraient vivre dans le Bédaricien
Selon les forces de l’ordre, les circonstances des faits tels qu’ils ont été reconstitués laissent à penser que les occupants de ce véhicule pourraient provenir des secteurs avoisinants.
Toute personne susceptible de fournir un témoignage ou d’apporter des renseignements se rapportant à ces faits ou au véhicule des auteurs est priée de prendre attache avec le service enquêteur à la compagnie de gendarmerie de Béziers au 04 67 35 82 62.
http://www.midilibre.fr/2012/09/28/l-altercation-routiere-se-solde-par-un-mort,569848.php
Le 19 février 2012, aux environs de 19 h 30, sur la route de Bédarieux (RD 909), commune de Faugères, un homme reçoit un coup de poing au cours d’un différend entre automobilistes. Suite à ce coup au niveau de la tête, la victime chute et perd connaissance. Transporté dans un état comateux à l’hôpital de Montpellier, l’homme décédera finalement le 5 mars des suites d’une importante fracture du crâne consécutive à la chute.
Un décès qui avait fait coulé beaucoup d'encre à l'époque et qui avaient entraîné une vive émotion au sein de la population. De nombreux médias nationaux tels que le Figaro, France Soir, le JDD ou encore LCI.TF1 avaient d'ailleurs relayé ce dramatique fait divers.
Une enquête au point mort
L’enquête, effectuée par les gendarmes de la compagnie de Béziers, permet d’attribuer ces faits à deux individus dont il est établi qu’ils circulaient à bord d’un véhicule de Marque Volkswagen, type Golf, de couleur blanche. Les deux occupants de cette automobile ont pris la fuite en direction de Bédarieux sous les yeux de l’épouse de la victime, paniquée, qui a immédiatement alerté les secours.
Les agresseurs pourraient vivre dans le Bédaricien
Selon les forces de l’ordre, les circonstances des faits tels qu’ils ont été reconstitués laissent à penser que les occupants de ce véhicule pourraient provenir des secteurs avoisinants.
Toute personne susceptible de fournir un témoignage ou d’apporter des renseignements se rapportant à ces faits ou au véhicule des auteurs est priée de prendre attache avec le service enquêteur à la compagnie de gendarmerie de Béziers au 04 67 35 82 62.
http://www.midilibre.fr/2012/09/28/l-altercation-routiere-se-solde-par-un-mort,569848.php
Bordeaux : il a tenté d'enlever son voisin en l'étranglant avec du fil de fer
Le 29 avril 2011 vers 9 h 15, un homme sort de son domicile et croise un homme qu'il ne connaît pas. Il le salue par politesse et au moment où il le dépasse, sent un câble s'enrouler autour de son cou. Par réflexe, il place ses doigts entre le fil de fer et son cou, se débat et appelle à l'aide. Il parvient à se libérer du câble, mais son agresseur tente alors de l'étrangler avec ses mains tout en l'entraînant vers la porte de l'appartement d'en face. Au moment ou des voisins arrivent, alertés par les cris de l'agressé, il tente de faire entrer ce dernier dans l'appartement avec un couteau.
Mais l'arrivée d'autres personnes met fin à ses intentions et il prend alors la fuite. Le malheureux qui vient d'échapper à une strangulation découvrira plus tard qu'il a été agressé par son voisin de palier, qu'il ne connaissait pas.
Un arsenal dans la voiture
Anthony Gilloteau, 37 ans, vivait en effet reclus dans son appartement. Connaissant -des difficultés financières, il avait imaginé cette agression pour se renflouer. Après sa fuite, il a volé une voiture. Celle-ci, munie d'un système de géolocalisation, est repérée le 30 avril 2011 par les Saint-Médard-de-Guizières qui procèdent à son interpellation à Camps-sur-l'Isle.
Dans l'appartement, les policiers de Bordeaux ont découvert des liens, une sangle sur le lit et du ruban adhésif. Dans la voiture, les gendarmes trouvaient un arsenal fait de pistolets à billes imitant les vrais, d'une bombe à poivre, d'une poignée de défense électrique d'une matraque télescopique et de 23 paires de menottes en tissus.
La victime, représentée par Me Pierre-Luc Receveur a cru qu'on en voulait à sa vie. Anthony Gilloteau, défendu par Me Pétral-Landry Baganina, a maintenu dès ses premières auditions jusqu'à son procès lundi dernier, que son intention n'était pas de tuer son voisin. Il voulait le forcer, en le séquestrant, à donner sa carte bancaire et à révéler son code secret. Au cours de l'audience, le vice-procureur Frédéric Clos a requis quatre ans de prison ferme. Le tribunal, présidé par Frédérique Gayssot a été au delà en prononçant une peine de cinq ans de prison, avec maintien en détention.
http://www.sudouest.fr/2012/09/28/violence-au-fil-de-fer-833622-2780.php
Mais l'arrivée d'autres personnes met fin à ses intentions et il prend alors la fuite. Le malheureux qui vient d'échapper à une strangulation découvrira plus tard qu'il a été agressé par son voisin de palier, qu'il ne connaissait pas.
Un arsenal dans la voiture
Anthony Gilloteau, 37 ans, vivait en effet reclus dans son appartement. Connaissant -des difficultés financières, il avait imaginé cette agression pour se renflouer. Après sa fuite, il a volé une voiture. Celle-ci, munie d'un système de géolocalisation, est repérée le 30 avril 2011 par les Saint-Médard-de-Guizières qui procèdent à son interpellation à Camps-sur-l'Isle.
Dans l'appartement, les policiers de Bordeaux ont découvert des liens, une sangle sur le lit et du ruban adhésif. Dans la voiture, les gendarmes trouvaient un arsenal fait de pistolets à billes imitant les vrais, d'une bombe à poivre, d'une poignée de défense électrique d'une matraque télescopique et de 23 paires de menottes en tissus.
La victime, représentée par Me Pierre-Luc Receveur a cru qu'on en voulait à sa vie. Anthony Gilloteau, défendu par Me Pétral-Landry Baganina, a maintenu dès ses premières auditions jusqu'à son procès lundi dernier, que son intention n'était pas de tuer son voisin. Il voulait le forcer, en le séquestrant, à donner sa carte bancaire et à révéler son code secret. Au cours de l'audience, le vice-procureur Frédéric Clos a requis quatre ans de prison ferme. Le tribunal, présidé par Frédérique Gayssot a été au delà en prononçant une peine de cinq ans de prison, avec maintien en détention.
http://www.sudouest.fr/2012/09/28/violence-au-fil-de-fer-833622-2780.php
vendredi 28 septembre 2012
Paris : il sauve un désespéré de la noyade et disparait
Un homme a sauvé de la noyade un Roumain qui a tenté de se suicider vendredi en se jetant d'un pont dans le canal de l'Ourcq à Paris puis, après l'avoir ramené à quai, est parti "fumer une cigarette" et n'est jamais réapparu. Les faits se sont déroulés au niveau du quai de Jemmapes dans le Xe arrondissement de Paris. En plein après-midi, un Roumain se jette du pont pour "en finir", selon la police.
C'est alors qu'un passant, en voyant la scène, plonge instinctivement pour le secourir. Il parvient à le ramener sur le quai et, une fois assuré que son rescapé allait mieux, «il part fumer une cigarette et n'est jamais revenu», a expliqué cette source
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-il-sauve-un-desespere-de-la-noyade-et-disparait-28-09-2012-2186903.php
C'est alors qu'un passant, en voyant la scène, plonge instinctivement pour le secourir. Il parvient à le ramener sur le quai et, une fois assuré que son rescapé allait mieux, «il part fumer une cigarette et n'est jamais revenu», a expliqué cette source
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-il-sauve-un-desespere-de-la-noyade-et-disparait-28-09-2012-2186903.php
Les recherches ont repris pour retrouver le jeune Ludovic
Les recherches ont repris vendredi pour retrouver un garçon de 16 ans, mystérieusement disparu depuis lundi près de Carcassonne, après une expédition à laquelle il participait pour voler des plants de cannabis et qui a mal tourné, ont indiqué la gendarmerie et le parquet.
Ludovic, son frère et un autre comparse avaient entrepris dans la nuit de dimanche à lundi d'aller voler des pieds de cannabis dans une propriété de Floure, dans la campagne à l'est de Carcassonne. Ils ont été surpris et Ludovic et son frère ont pris la fuite. Ludovic restait introuvable vendredi matin, a dit le parquet de Carcassonne. Toutes les hypothèses sont envisagées, a déclaré la gendarmerie.
Parmi celles-ci, celle de la fugue est aussi valable que les autres, a-t-elle ajouté. Les recherches ont repris vendredi sous une forme différente: les moyens lourds mis en oeuvre les jours précédents (ratissage par des dizaines de gendarmes, hélicoptères, plongeurs, chiens) n'ont pas été reconduits. Les gendarmes se concentrent désormais sur un travail d'investigations et d'auditions, selon la gendarmerie.
Ils ont vérifié les déclarations de quelques témoins qui ont dit avoir vu Ludovic depuis lundi, mais ces vérifications n'ont rien donné. Dans la nuit de dimanche à lundi, si Ludovic et son frère ont réussi à s'enfuir, leur compagnon a, lui, été rattrapé par ses poursuivants. Ils l'auraient longuement séquestré et malmené sous la menace d'un fusil à canon scié.
Les trois hommes qui l'auraient retenu devaient être jugés ce vendredi en comparution immédiate pour séquestration, violences aggravées parce que commises avec arme et en réunion, détention et usage de stupéfiants, et détention d'une arme de quatrième catégorie.
Il s'agit du propriétaire des plants de cannabis, âgé de 21 ans, son frère de 23 ans et un troisième individu de 20 ans. Selon le parquet, ils ne semblent pas en cause dans la disparition de Ludovic.
http://www.midilibre.fr/2012/09/28/les-recherches-ont-repris-pour-retrouver-le-jeune-ludovic,569698.php
Ludovic, son frère et un autre comparse avaient entrepris dans la nuit de dimanche à lundi d'aller voler des pieds de cannabis dans une propriété de Floure, dans la campagne à l'est de Carcassonne. Ils ont été surpris et Ludovic et son frère ont pris la fuite. Ludovic restait introuvable vendredi matin, a dit le parquet de Carcassonne. Toutes les hypothèses sont envisagées, a déclaré la gendarmerie.
Parmi celles-ci, celle de la fugue est aussi valable que les autres, a-t-elle ajouté. Les recherches ont repris vendredi sous une forme différente: les moyens lourds mis en oeuvre les jours précédents (ratissage par des dizaines de gendarmes, hélicoptères, plongeurs, chiens) n'ont pas été reconduits. Les gendarmes se concentrent désormais sur un travail d'investigations et d'auditions, selon la gendarmerie.
Ils ont vérifié les déclarations de quelques témoins qui ont dit avoir vu Ludovic depuis lundi, mais ces vérifications n'ont rien donné. Dans la nuit de dimanche à lundi, si Ludovic et son frère ont réussi à s'enfuir, leur compagnon a, lui, été rattrapé par ses poursuivants. Ils l'auraient longuement séquestré et malmené sous la menace d'un fusil à canon scié.
Les trois hommes qui l'auraient retenu devaient être jugés ce vendredi en comparution immédiate pour séquestration, violences aggravées parce que commises avec arme et en réunion, détention et usage de stupéfiants, et détention d'une arme de quatrième catégorie.
Il s'agit du propriétaire des plants de cannabis, âgé de 21 ans, son frère de 23 ans et un troisième individu de 20 ans. Selon le parquet, ils ne semblent pas en cause dans la disparition de Ludovic.
http://www.midilibre.fr/2012/09/28/les-recherches-ont-repris-pour-retrouver-le-jeune-ludovic,569698.php
Albi. Chute de scooter : une lycéenne en coma artificiel
Une chute de scooter a eu de terribles conséquences, le week-end dernier, pour deux lycéennes albigeoises. La conductrice, souffrant d'un grave traumatisme facial (son casque a sauté dans l'accident et ne l'a donc pas protégée), est hospitalisée au CHR de Toulouse-Purpan où les médecins l'ont placée en coma artificiel, mais ses jours ne sont pas en danger. La passagère a été blessée plus légèrement, elle aussi à la tête. En l'absence de témoin, difficile de dire ce qu'il s'est passé dans la nuit vendredi à samedi, rue de la République. Vers 0h25, un cyclomoteur, circulant vers les Lices dans cette rue à sens unique, a soudain quitté sa trajectoire pour chuter lourdement sur la chaussée. A bord, deux copines qui rentrent d'une soirée. «Une chute fortuite» pensent d'abord les policiers et les pompiers qui interviennent, puisqu'aucun autre véhicule n'est impliqué. Malheureusement, avec les blessures constatées et les traces d'alcool détectées chez les deux jeunes filles, c'est une procédure pour accident corporel de la circulation avec circonstances aggravantes qui a été ouverte au commissariat. Pour leur famille et leurs amis, le plus important est que leur état de santé s'améliore très vite.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/28/1450723-albi-chute-de-scooter-une-lyceenne-en-coma-artificiel.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/28/1450723-albi-chute-de-scooter-une-lyceenne-en-coma-artificiel.html
Var: une élève de 14 ans mise en examen pour avoir frappé son enseignante
L'adolescente a été mise en examen pour "violences
aggravées sur personne chargée d'une mission de service public" et placée en
"liberté surveillée préjudicielle" (sous le contrôle d'un éducateur) en
attendant son jugement. Mardi matin, l'adolescente a frappé sa professeur de
français au visage alors que celle-ci lui avait demandé son carnet de
correspondance parce qu'elle perturbait la classe. D'après le quotidien
Var-Matin, l'enseignante a été touchée à la bouche et à la mâchoire, la mineure
lui ayant porté un coup avec son avant-bras.
Le collège Henri Wallon
de la Seyne-sur-Mer, où s'est produite l'agression , est classé "ambition
réussite". Il se trouve dans la cité Berthe, un quartier sensible de la ville.
Douze des 500 postes d'assistants de prévention annoncés doivent revenir à
l'académie de Nice, dont il dépend, contre 50 pour la mieux dotée, celle de
Créteil.
Après une série de violences exercées contre des enseignants,
le ministre de l'Education nationale Vincent
Peillon a officialisé, le 17 septembre, la création d'une
délégation ministérielle présentée comme la "première structure pérenne" ayant
"pour mission de lutter contre les violences en milieu scolaire". Au mois de
juin, il avait déjà annoncé que 500 personnes seraient affectées à cette fin
"dans les établissements les plus difficiles", d'ici la Toussaint ou
Noël. Quelques jours après la rentrée des classes, réagissant à une première
série d'agressions, le député UMP Claude de Ganay avair pour sa part annoncé son
intention de déposer un projet de loi visant, comme en cas d'absentéisme, à
pouvoir supprimer les allocations familiales des élèves violents. Pour Philippe
Tournier, secrétaire général du SNPDEN, il faudrait avant tout réduire la
pression qui est mise sur l'école
73 pieds de cannabis découverts à Châteauneuf (16)
C'est en interpellant un automobiliste le 22 septembre dernier à 2 heures du matin lors d'un simple contrôle routier sur la commune de Châteauneuf, que les gendarmes ont réussi à remonter rapidement jusqu'à une culture importante de pieds de cannabis.
Cette nuit-là, l'automobiliste angoumoisin de 19 ans a voulu se soustraire au contrôle. Finalement interpellé, il a été dépisté positif au cannabis. Son permis lui a été immédiatement retiré au moins pour les six prochains mois. Il a également reçu une convocation au tribunal correctionnel pour transport, détention de produits stupéfiants et conduite sous l'emprise de stupéfiants.
L'affaire en serait restée là si le conducteur placé en garde à vue, n'avait pas tenté dans sa fuite de se débarrasser d'un sac contenant des pieds de cannabis. Les investigations des gendarmes leur ont permis de retrouver la parcelle où ces pieds avaient été cultivés, dans la région de Châteauneuf.
Sur place, les gendarmes ont découvert 73 pieds de cannabis en culture, d'une hauteur d'un à deux mètres, une dizaine de pieds en cours de séchage, plus d'une centaine de grammes de tête de cannabis et une trentaine de graines. Le propriétaire de cette propriété, un quinquagénaire a été interpellé et placé en garde à vue. Il sera convoqué au tribunal pour usage et détention de produits stupéfiants.
http://www.sudouest.fr/2012/09/27/73-pieds-de-cannabis-decouverts-a-chateauneuf-833517-882.php
Cette nuit-là, l'automobiliste angoumoisin de 19 ans a voulu se soustraire au contrôle. Finalement interpellé, il a été dépisté positif au cannabis. Son permis lui a été immédiatement retiré au moins pour les six prochains mois. Il a également reçu une convocation au tribunal correctionnel pour transport, détention de produits stupéfiants et conduite sous l'emprise de stupéfiants.
L'affaire en serait restée là si le conducteur placé en garde à vue, n'avait pas tenté dans sa fuite de se débarrasser d'un sac contenant des pieds de cannabis. Les investigations des gendarmes leur ont permis de retrouver la parcelle où ces pieds avaient été cultivés, dans la région de Châteauneuf.
Sur place, les gendarmes ont découvert 73 pieds de cannabis en culture, d'une hauteur d'un à deux mètres, une dizaine de pieds en cours de séchage, plus d'une centaine de grammes de tête de cannabis et une trentaine de graines. Le propriétaire de cette propriété, un quinquagénaire a été interpellé et placé en garde à vue. Il sera convoqué au tribunal pour usage et détention de produits stupéfiants.
http://www.sudouest.fr/2012/09/27/73-pieds-de-cannabis-decouverts-a-chateauneuf-833517-882.php
jeudi 27 septembre 2012
Affaire Neyret: l’ex-magistrat de Lyon mis en examen
Il est soupçonné à ce stade d’avoir révélé le contenu de deux casiers judiciaires et a été placé sous contrôle judiciaire, a précisé la source. Les modalités du contrôle judiciaire ne l’empêchent pas d’exercer ses fonctions.
Le magistrat a été mis en examen à Cayenne pour accès frauduleux à un casier judiciaire, détournement de la finalité d’un traitement de données à caractère personnel et violation du secret professionnel, a-t-on ajouté.
Francis Montoy a été nommé de Lyon à Cayenne à l’été 2011, soit juste avant l’arrestation de Michel Neyret, ancien numéro 2 de la PJ lyonnaise soupçonné d’avoir renseigné des membres du milieu lyonnais. Il a également été en poste au parquet de Valence.
Il avait été placé mardi en garde à vue à Cayenne pour être entendu par les enquêteurs de la police des polices parisienne (IGS, inspection générale des services).
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/27/affaire-neyret-l-ex-magistrat-de-lyon-mis-en-examen
Le magistrat a été mis en examen à Cayenne pour accès frauduleux à un casier judiciaire, détournement de la finalité d’un traitement de données à caractère personnel et violation du secret professionnel, a-t-on ajouté.
Francis Montoy a été nommé de Lyon à Cayenne à l’été 2011, soit juste avant l’arrestation de Michel Neyret, ancien numéro 2 de la PJ lyonnaise soupçonné d’avoir renseigné des membres du milieu lyonnais. Il a également été en poste au parquet de Valence.
Il avait été placé mardi en garde à vue à Cayenne pour être entendu par les enquêteurs de la police des polices parisienne (IGS, inspection générale des services).
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/27/affaire-neyret-l-ex-magistrat-de-lyon-mis-en-examen
Aude : disparition inquiétante d'un adolescent de 16 ans
Où est Ludovic ? Depuis plus de quatre jours, cet adolescent de
16 ans originaire d'Aigues-Vives, dans l'Aude, n'a plus donné signe
de vie. Les gendarmes qualifient sa disparition de
très inquiétante, selon Midi Libre.
Le garçon a été aperçu pour la dernière fois dans la commune de Floure dimanche soir. Ce soir-là, il devait participer à une fête chez un ami en compagnie de son grand-frère. La fête se serait terminée en bagarre et Ludovic n'a pas réapparu. Selon une source proche du dossier interrogée dans le Parisien, "l'orientation criminelle se renforce à chaque heure qui passe".
Le Midi Libre donne une autre explication que la fête à la soirée de dimanche. Selon le journal local, l'escapade de Ludovic, son frère et leur ami visait à voler des pieds de cannabis dans un jardin. Toujours selon le quotidien, les trois garçons auraient été surpris par les deux "cultivateurs". Deux cultivateurs qui sont en garde à vue à Carcassonne depuis mardi. Si le frère de Ludovic et son ami ont réapparu depuis, Ludovic, lui, est toujours introuvable et le mystère demeure....
Le garçon a été aperçu pour la dernière fois dans la commune de Floure dimanche soir. Ce soir-là, il devait participer à une fête chez un ami en compagnie de son grand-frère. La fête se serait terminée en bagarre et Ludovic n'a pas réapparu. Selon une source proche du dossier interrogée dans le Parisien, "l'orientation criminelle se renforce à chaque heure qui passe".
Le Midi Libre donne une autre explication que la fête à la soirée de dimanche. Selon le journal local, l'escapade de Ludovic, son frère et leur ami visait à voler des pieds de cannabis dans un jardin. Toujours selon le quotidien, les trois garçons auraient été surpris par les deux "cultivateurs". Deux cultivateurs qui sont en garde à vue à Carcassonne depuis mardi. Si le frère de Ludovic et son ami ont réapparu depuis, Ludovic, lui, est toujours introuvable et le mystère demeure....
Accident spectaculaire : une voiture enroulée autour d'un arbre, 2 blessés
En début de soirée, un accident spectaculaire s'est produit à la sortie de Nîmes, sur la route de Sommières, à hauteur de la zone industrielle de Saint-Césaire.
Un véhicule de type Peugeot a quitté la route et s'est enroulé autour d'un arbre. La sortie de route serait dû à un phénomène d'aquaplanning. Les deux occupants ont été blessés dans la collision et sont incarcérés. Les pompiers sont sur place et mettent en œuvre de gros moyens de désincarcération.
http://www.midilibre.fr/2012/09/26/accident-spectaculaire-une-voiture-enroulee-autour-d-un-arbre-2-blesses,568782.php
Un véhicule de type Peugeot a quitté la route et s'est enroulé autour d'un arbre. La sortie de route serait dû à un phénomène d'aquaplanning. Les deux occupants ont été blessés dans la collision et sont incarcérés. Les pompiers sont sur place et mettent en œuvre de gros moyens de désincarcération.
http://www.midilibre.fr/2012/09/26/accident-spectaculaire-une-voiture-enroulee-autour-d-un-arbre-2-blesses,568782.php
Béarn : enquête sur le double suicide d'un couple de retraités
C'est probablement en raison de difficultés financières qu'un couple de sexagénaires retraités s'est donné la mort par arme à feu le week-end dernier, dans une maison d'Ance, dans la vallée de Barétous. Détail bouleversant : une seule balle a été tirée.
L'enquête est toujours en cours, la gendarmerie devait faire examiner les corps par l'UMJ (unité médico-judiciaire) de Pau, ce mercredi matin.
Une autopsie sera peut-être ordonnée ensuite si besoin. Les constatations effectuées par un technicien en investigation criminelle sur place ont orienté l'enquête vers la thèse du double suicide, ainsi que l'enquête auprès des proches du couple, comme les écrits retrouvés qui évoqueraient bien des problèmes financiers dont l'étendue reste à mesurer.
http://www.sudouest.fr/2012/09/26/bearn-enquete-sur-le-double-suicide-d-un-couple-de-retraites-832387-4749.php
L'enquête est toujours en cours, la gendarmerie devait faire examiner les corps par l'UMJ (unité médico-judiciaire) de Pau, ce mercredi matin.
Une autopsie sera peut-être ordonnée ensuite si besoin. Les constatations effectuées par un technicien en investigation criminelle sur place ont orienté l'enquête vers la thèse du double suicide, ainsi que l'enquête auprès des proches du couple, comme les écrits retrouvés qui évoqueraient bien des problèmes financiers dont l'étendue reste à mesurer.
http://www.sudouest.fr/2012/09/26/bearn-enquete-sur-le-double-suicide-d-un-couple-de-retraites-832387-4749.php
mercredi 26 septembre 2012
Haute-Savoie : 7 ans ferme pour un chauffard qui avait fauché un motard
Un chauffard ivre, qui, en état de récidive légale, avait
fauché un motard de 25 ans en mars dernier, a été condamné à sept ans de prison
ferme par le tribunal correctionnel d'Annecy. La peine a été assortie d'une
annulation du permis de conduire et de l'interdiction de le passer pendant 10
ans, selon les mêmes sources, confirmant une information du Dauphiné Libéré. Le
procureur de la République, Eric Maillaud, avait requis cinq ans de prison, dont
un an avec sursis, lors de l'audience mardi.
Le 24 mars 2012, l'accusé, âgé de 29 ans, "s'était enivré
absolument toute la journée" avant de prendre le volant, selon le magistrat.
Conduisant à vive allure, avec un taux d'alcoolémie de 2,18 g/litre de sang, le
jeune chauffard avait percuté un motard de 25 ans, roulant en sens inverse, qui
avait été tué sur le coup. L'ami du chauffard "qui était avec lui dans la
voiture lui avait dit de ralentir mais il ne l'a pas fait", a précisé Eric
Maillaud. Placé en détention provisoire depuis les faits, l'homme avait déjà été
condamné une dizaine de fois, notamment pour conduite sans permis, délit de
fuite ou conduite en état d'ivresse.
"C'est le prototype du chauffard. Il était repentant à
l'audience mais c'était trop tard", a commenté Eric Maillaud. Son avocate Me
Natacha Estebanez-Pradel a indiqué ne pas savoir si son client fera appel de sa
condamnation. "Il m'a dit qu'il aurait mérité d'être à la place de la victime",
a-t-elle expliqué. "C'est quelqu'un qui a été totalement inconscient, a eu un
comportement meurtrier mais qui est dans le regret, la honte, la culpabilité", a
ajouté l'avocate. "Aujourd'hui, il y a des gens qui tuent volontairement et qui
ne sont pas condamnés à une peine plus lourde", a-t-elle aussi remarqué.
Ils défoncent un mur pour évacuer l'homme de 320 kg
Un homme de 48 ans pesant plus de 300 kg a dû être évacué de son logement par la fenêtre, hier à Cazères, pour être hospitalisé. La façade de l'immeuble a dû être cassée.
«Je ne suis pas sorti de cette pièce depuis plus de deux ans». Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir, hier après-midi, pour évacuer, par la fenêtre, Jérôme*, 48 ans, un homme pesant 320 kg, de son petit appartement du centre ville de Cazères-sur-Garonne. Cet ancien chef d'entreprise souffre d'«obésité morbide». «J'ai besoin d'une hospitalisation ce soir», a-t-il expliqué depuis le lit médicalisé qu'il ne quitte plus. Il n'avait jamais envisagé de quitter le logement qu'il occupe avec Gauthier, son fils de 18 ans. «Mais mon état de santé s'est dégradé avec les grosses chaleurs de l'été. Mon médecin m'a dit que j'avais une chance sur deux de mourir. Depuis un mois, je ne dors plus. Je ne vis plus.»
Dans le petit T2, un maçon réquisitionné par la mairie fait des allées et venues. Il démolit littéralement la façade du 2e étage de l'immeuble sous les yeux des riverains. «Vous avez vu les escaliers. Je ne peux pas sortir par là. Il faut me faire passer par le mur.» Obèse, il ne peut pas marcher et ne peut être transporté par les escaliers. Trop petite, la fenêtre doit être élargie pour permettre son évacuation.
Après l'intervention des pompiers et du SAMU, Jérôme devait être conduit à l'hôpital Larrey de Toulouse afin de soigner son problème d'obésité et son insuffisance respiratoire. En attendant la fin du chantier dans son appartement, il a reçu de nombreuses visites. Les gendarmes de Cazères se sont portés à son chevet. «L'association Bien-Vivre s'occupe très bien de moi d'habitude mais là il fallait vraiment que je sois hospitalisé.»
Aujourd'hui, il recherche un logement adapté sur Cazères. «J'ai onze demandes en cours pour un HLM. Le maire me soutient mais c'est très difficile d'obtenir un logement en rez-de-chaussée adapté à mon handicap. Mais désormais, vivre ici, ce n'est plus possible.»
*Prénom d'emprunt
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/26/1449371-ils-defoncent-un-mur-pour-evacuer-l-homme-de-320-kg.html
«Je ne suis pas sorti de cette pièce depuis plus de deux ans». Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir, hier après-midi, pour évacuer, par la fenêtre, Jérôme*, 48 ans, un homme pesant 320 kg, de son petit appartement du centre ville de Cazères-sur-Garonne. Cet ancien chef d'entreprise souffre d'«obésité morbide». «J'ai besoin d'une hospitalisation ce soir», a-t-il expliqué depuis le lit médicalisé qu'il ne quitte plus. Il n'avait jamais envisagé de quitter le logement qu'il occupe avec Gauthier, son fils de 18 ans. «Mais mon état de santé s'est dégradé avec les grosses chaleurs de l'été. Mon médecin m'a dit que j'avais une chance sur deux de mourir. Depuis un mois, je ne dors plus. Je ne vis plus.»
Dans le petit T2, un maçon réquisitionné par la mairie fait des allées et venues. Il démolit littéralement la façade du 2e étage de l'immeuble sous les yeux des riverains. «Vous avez vu les escaliers. Je ne peux pas sortir par là. Il faut me faire passer par le mur.» Obèse, il ne peut pas marcher et ne peut être transporté par les escaliers. Trop petite, la fenêtre doit être élargie pour permettre son évacuation.
«Plus possible de vivre ici»
Plus qu'un handicap, son surpoids est une souffrance quotidienne. «La vie, les antécédents familiaux m'ont fait devenir comme ça.» Interrogé sur son poids, le père de famille peine à répondre. «Aucun pèse-personne ne peut me supporter. Il faudrait que j'aille dans une gare me faire peser.»Après l'intervention des pompiers et du SAMU, Jérôme devait être conduit à l'hôpital Larrey de Toulouse afin de soigner son problème d'obésité et son insuffisance respiratoire. En attendant la fin du chantier dans son appartement, il a reçu de nombreuses visites. Les gendarmes de Cazères se sont portés à son chevet. «L'association Bien-Vivre s'occupe très bien de moi d'habitude mais là il fallait vraiment que je sois hospitalisé.»
Aujourd'hui, il recherche un logement adapté sur Cazères. «J'ai onze demandes en cours pour un HLM. Le maire me soutient mais c'est très difficile d'obtenir un logement en rez-de-chaussée adapté à mon handicap. Mais désormais, vivre ici, ce n'est plus possible.»
*Prénom d'emprunt
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/26/1449371-ils-defoncent-un-mur-pour-evacuer-l-homme-de-320-kg.html
Un chômeur sauve un homme qui voulait se jeter du haut des arènes
Hier après-midi, vers 15 h 30, un avocat qui semblait vouloir en finir avec la vie et se jeter du premier étage des arènes a été sauvé de justesse par un chômeur qui se promenait avec sa femme et son enfant. Jean-Michel Froment, le sauveur, raconte : "J’ai vu que la personne était mal en point et se penchait dangereusement au-dessus du vide.
J’ai fait alors ce qui me semblait logique de faire, c’est-à-dire m’agripper à lui pour le retenir." L’homme qui a tenté de se jeter du haut des arènes, non blessé, a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
http://www.midilibre.fr/2012/09/25/dma-un-chomeur-sauve-un-homme-qui-voulait-se-jeter-du-haut-des-arenes,568174.php
J’ai fait alors ce qui me semblait logique de faire, c’est-à-dire m’agripper à lui pour le retenir." L’homme qui a tenté de se jeter du haut des arènes, non blessé, a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
http://www.midilibre.fr/2012/09/25/dma-un-chomeur-sauve-un-homme-qui-voulait-se-jeter-du-haut-des-arenes,568174.php
SDIS 64 : Enquête pour harcèlement sur un officier
Le procureur de la République, Jean-Christophe Muller, a ouvert une enquête préliminaire pour harcèlement moral visant un officier du Sdis (service départemental d'incendie et de secours) des Pyrénées-Atlantiques. À l'origine, une plainte déposée fin 2011 par une cadre, qui ne travaille plus aujourd'hui chez les pompiers. Elle reproche à cet officier de l'avoir oppressé sexuellement et physiquement en 2010. Le parquet a retenu le harcèlement moral.
À l'issue de l'enquête préliminaire confiée à l'antenne paloise de la PJ (police judiciaire), le procureur de la République prendra la décision de poursuivre, ou pas, cet officier. Quoi qu'il advienne, selon une source judiciaire, cette troisième affaire pénale concernant les pompiers est à rapprocher du choc consécutif au suicide de Bernard Cazenave « qui a libéré la parole chez les pompiers ». Cet agent administratif s'était suicidé en juin 2009 sur son lieu de travail. En juin dernier, la cour d'appel de Pau avait condamné son ancien supérieur, Michel Tastet, à dix mois de prison avec sursis. Il avait été relaxé en première instance.
Une autre affaire a éclaté depuis et concerne la caserne des pompiers de Mourenx. En mai dernier, une information judiciaire pour « détournements de fonds publics », « faux et usage de faux » a été ouverte contre X par le procureur de Pau, à la suite d'une plainte déposée mi-janvier, par le président du Sdis, Yves Salanave-Péhé.
http://www.sudouest.fr/2012/09/25/enquete-sur-un-officier-830822-4310.php
À l'issue de l'enquête préliminaire confiée à l'antenne paloise de la PJ (police judiciaire), le procureur de la République prendra la décision de poursuivre, ou pas, cet officier. Quoi qu'il advienne, selon une source judiciaire, cette troisième affaire pénale concernant les pompiers est à rapprocher du choc consécutif au suicide de Bernard Cazenave « qui a libéré la parole chez les pompiers ». Cet agent administratif s'était suicidé en juin 2009 sur son lieu de travail. En juin dernier, la cour d'appel de Pau avait condamné son ancien supérieur, Michel Tastet, à dix mois de prison avec sursis. Il avait été relaxé en première instance.
Une autre affaire a éclaté depuis et concerne la caserne des pompiers de Mourenx. En mai dernier, une information judiciaire pour « détournements de fonds publics », « faux et usage de faux » a été ouverte contre X par le procureur de Pau, à la suite d'une plainte déposée mi-janvier, par le président du Sdis, Yves Salanave-Péhé.
http://www.sudouest.fr/2012/09/25/enquete-sur-un-officier-830822-4310.php
mardi 25 septembre 2012
soissonnais Course-pousuite : ils sèment la police
Un véhicule repéré après un vol de carburant dimanche soir dans le canton de Braine a ensuite été pris en chasse par la police à Soissons.
Avant-hier, vers 23 h 45, un vol de gasoil a été commis sur un poids lourd stationné dans le village de Courcelles-sur-Vesle, devant le domicile de son chauffeur. Alerté par le bruit, le routier a aperçu un véhicule Audi A5, immatriculé en Moselle et de couleur blanche, prendre la fuite, avec au moins un individu encagoulé à bord.
Peu après, cette voiture - où se trouvaient en fait plusieurs hommes encagoulés - a été prise en chasse à Villeneuve-Saint-Germain par les fonctionnaires de la brigade anticriminalité du commissariat de Soissons.
Lors de la course-poursuite, avec une Audi A5 qui roulait à tombeau ouvert sur la RN2 en direction de Laon, les malfaiteurs n'ont pas hésité à larguer par les fenêtres du gros outillage en leur possession, pour gêner le véhicule de leurs poursuivants.
Les policiers ont fini par perdre la trace de la voiture en fuite à hauteur de la commune de Monampteuil. La mise en alerte des forces de l'ordre sur Laon et Reims n'a pas permis de les retrouver.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/soissonnais-course-pousuite-ils-sement-la-police
Avant-hier, vers 23 h 45, un vol de gasoil a été commis sur un poids lourd stationné dans le village de Courcelles-sur-Vesle, devant le domicile de son chauffeur. Alerté par le bruit, le routier a aperçu un véhicule Audi A5, immatriculé en Moselle et de couleur blanche, prendre la fuite, avec au moins un individu encagoulé à bord.
Peu après, cette voiture - où se trouvaient en fait plusieurs hommes encagoulés - a été prise en chasse à Villeneuve-Saint-Germain par les fonctionnaires de la brigade anticriminalité du commissariat de Soissons.
Lors de la course-poursuite, avec une Audi A5 qui roulait à tombeau ouvert sur la RN2 en direction de Laon, les malfaiteurs n'ont pas hésité à larguer par les fenêtres du gros outillage en leur possession, pour gêner le véhicule de leurs poursuivants.
Les policiers ont fini par perdre la trace de la voiture en fuite à hauteur de la commune de Monampteuil. La mise en alerte des forces de l'ordre sur Laon et Reims n'a pas permis de les retrouver.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/soissonnais-course-pousuite-ils-sement-la-police
Bron : le virage de « la femme morte », fatal à Ashley, 18 ans
Trois ans de prison dont 18 mois avec sursis, annulation du permis de conduire et interdiction de le repasser avant 18 mois. Tel est le prix que devra payer Hassen Ayari pour avoir provoqué la mort accidentelle d’Ashley Chajadine, 18 ans, le 18 février sur le périphérique à Bron. Hassen Ayari détenu depuis le drame, est donc retourné hier en prison. Une bien maigre consolation pour une mère et neuf frères et sœurs : « Il nous a détruits et nous, on a perdu Ashley pour toujours ». Elle a du mal à retenir ses sanglots, à contenir sa douleur, cette mère qui veut rester digne : « Ce n’était pas tous les jours facile avec Ashley qui vivait depuis quelque temps dans un foyer lyonnais mais c’était ma fille. » Et cette nuit-là dans la Clio qui roulait sur le périphérique en direction du sud, la jeune fille chantait sur la banquette arrière. Karim, assis à côté du conducteur, absent hier à l’audience, s’en est souvenu. Comme il s’est souvenu qu’il s’est accroché de toutes ses forces quand la Clio a fait des tonneaux dans le virage dit de « la femme morte ». Mais Karim et Hassen Ayari avaient attaché leur ceinture de sécurité. Ashley non.
Quand il l’a vue inerte sur la chaussée, une partie du corps encore à l’intérieur de la voiture, quand il a vu son joli visage ensanglanté, Hassen Ayari, 29 ans, a compris qu’il n’aurait jamais dû prendre le volant. Cinq-six verres de vodka-whisky, ça ne pardonne pas quand le pied est un peu lourd sur le champignon.
La petite bande sortait d’une boîte de nuit lyonnaise. Deux autres copines montent dans la Clio. L’une d’elles, sobre, conduit jusqu’à la Doua, chez elle. Elle demande à Hassen s’il se sent de ramener tout le monde. Ben, avec 1,52 g d’alcool dans le sang et un peu de cannabis, Hassen, ça ne lui pose pas de problème. Ah, il a oublié aussi que sa Clio n’était plus assurée. Et qu’il n’était pas un modèle au volant. La mémoire vous joue des tours, des fois…
Hier, la procureur a rappelé à Ayari son pedigree : quatre mois de prison ferme pour blessures dans un accident de la route, trois condamnations pour refus d’obtempérer, deux pour conduite sans permis sans compter les violences conjugales et une lourde peine pour trafic de stupéfiants. « Vous n’êtes pas un primo-délinquant de la route. La justice vous a averti à plusieurs reprises, vous ne pouviez pas dire que vous ne saviez pas ». La tête baissée, Ayari ne peut que s’excuser auprès de la famille. Pas un mot pour Ashley, morte par sa faute à 18 ans. Faut dire qu’il la connaissait à peine.
La jeune fille aurait dû monter dans une autre voiture, une C3, mais le conducteur était indisponible. Ayari, lui, n’était « que fatigué ».
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/25/bron-le-virage-de-la-femme-morte-fatal-a-ashley-18-ans
Quand il l’a vue inerte sur la chaussée, une partie du corps encore à l’intérieur de la voiture, quand il a vu son joli visage ensanglanté, Hassen Ayari, 29 ans, a compris qu’il n’aurait jamais dû prendre le volant. Cinq-six verres de vodka-whisky, ça ne pardonne pas quand le pied est un peu lourd sur le champignon.
La petite bande sortait d’une boîte de nuit lyonnaise. Deux autres copines montent dans la Clio. L’une d’elles, sobre, conduit jusqu’à la Doua, chez elle. Elle demande à Hassen s’il se sent de ramener tout le monde. Ben, avec 1,52 g d’alcool dans le sang et un peu de cannabis, Hassen, ça ne lui pose pas de problème. Ah, il a oublié aussi que sa Clio n’était plus assurée. Et qu’il n’était pas un modèle au volant. La mémoire vous joue des tours, des fois…
Hier, la procureur a rappelé à Ayari son pedigree : quatre mois de prison ferme pour blessures dans un accident de la route, trois condamnations pour refus d’obtempérer, deux pour conduite sans permis sans compter les violences conjugales et une lourde peine pour trafic de stupéfiants. « Vous n’êtes pas un primo-délinquant de la route. La justice vous a averti à plusieurs reprises, vous ne pouviez pas dire que vous ne saviez pas ». La tête baissée, Ayari ne peut que s’excuser auprès de la famille. Pas un mot pour Ashley, morte par sa faute à 18 ans. Faut dire qu’il la connaissait à peine.
La jeune fille aurait dû monter dans une autre voiture, une C3, mais le conducteur était indisponible. Ayari, lui, n’était « que fatigué ».
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/25/bron-le-virage-de-la-femme-morte-fatal-a-ashley-18-ans
Arnaque au rétro : un papy délesté de 3 600 €
Vendredi après-midi, à Lézignan-Corbières, un monsieur âgé a, une nouvelle fois, été victime de la désormais fameuse arnaque dite «au rétro». Un usager, seul à bord de son véhicule, est parvenu à faire croire au malheureux octogénaire qu'il venait de lui briser son rétroviseur par maladresse, mais qu'un arrangement, financier, pouvait être trouvé et lui éviter, à son grand âge, de payer la franchise de l'assurance et d'être malussé… Dont acte. L'escroc est parvenu à le convaincre, a accompagné l'octogénaire jusqu'à un distributeur automatique de billets, et lui a fait retirer la coquette somme de 3600 € ! Un record pour ce genre d'escroquerie. La gendarmerie de Lézignan est chargée de l'enquête pour retrouver le malfaiteur, et les autorités lancent un appel à la plus grande prudence, notamment à l'attention des conducteurs les plus âgés.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/25/1448345-carcassonne-arnaque-au-retro-un-papy-deleste-de-3-600.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/25/1448345-carcassonne-arnaque-au-retro-un-papy-deleste-de-3-600.html
Vol aux Restos du coeur de Besançon
Le centre de distribution des Restos du
Coeur de Chalezeule, près de Besançon, a été cambriolé par des
inconnus qui ont volé de la nourriture et des habits pour enfants, a
indiqué lundi le responsable du centre. Les cambrioleurs ont cassé un store pour
s'introduire dans le centre dans la nuit de vendredi à samedi, selon la
gendarmerie.
"Ils ont dérobé quatre ou cinq gros cartons de boîtes de
conserve, des couches et des petits pots pour bébé, ainsi qu'une quinzaine de
cartons remplis d'habits pour enfant", a expliqué à l'AFP Gérard Van Helle,
responsable du centre. "Nous n'avons pas un gros préjudice financier, il s'agit
de biens de la collecte des Restos du Coeur. Mais le préjudice moral est
important et c'est surtout un préjudice pour les bénéficiaires des Restos, à qui
devaient revenir la nourriture et les habits", a-t-il ajouté.
Début mars, un autre centre de distribution de l'association
caritative avait été victime d'un cambriolage à Besançon. Quatre ordinateurs,
qui contenaient les données de 2.600 bénéficiaires, et un camion frigorifique
avaient été volés, empêchant un millier de familles de recevoir leur repas.
Trois jeunes ayant reconnu être les auteurs de ce cambriolage ont par la suite
été interpellés par la police. Ils seront jugés début octobre.
Engin explosif devant une école à Mont-de-Marsan : il s'agissait de quatre obus
Le périmètre de sécurité qui avait été délimité ce matin autour du chantier de travaux public sur lequel avait été découvert un engin explosif, dans le quartier du Peyrouat, à Mont-de-Marsan, a été levé à 13 heures.
Les opérations de déminage ont permis de mettre en évidence l'existence de quatre obus, dont un quasiment intact. Selon les spécialistes de Saint-Martin-de-Seignanx, les pièces retrouvées seraient bien des vestiges des bombardements de la seconde guerre mondiale.
La vingtaine d'habitants de l'immeuble qui avait été évacuée par mesure de précaution ont été autorisés à regagner leur domicile dès la fin des opérations et les cours de l'école primaire ont pu reprendre normalement dès le début de l'après-midi.
http://www.sudouest.fr/2012/09/24/engin-explosif-devant-une-ecole-a-mont-de-marsan-il-s-agissait-de-quatre-obus-830362-3452.php
Les opérations de déminage ont permis de mettre en évidence l'existence de quatre obus, dont un quasiment intact. Selon les spécialistes de Saint-Martin-de-Seignanx, les pièces retrouvées seraient bien des vestiges des bombardements de la seconde guerre mondiale.
La vingtaine d'habitants de l'immeuble qui avait été évacuée par mesure de précaution ont été autorisés à regagner leur domicile dès la fin des opérations et les cours de l'école primaire ont pu reprendre normalement dès le début de l'après-midi.
http://www.sudouest.fr/2012/09/24/engin-explosif-devant-une-ecole-a-mont-de-marsan-il-s-agissait-de-quatre-obus-830362-3452.php
lundi 24 septembre 2012
Charente : accident entre quatre camions sur la RN 10
Un accident impliquant quatre poids lourds étrangers s'est produit vers 13h10, ce lundi, sur la RN10, à Roullet-Saint-Estèphe (Charente), au sud d'Angoulême. Trois chauffeurs sont blessés dont un grièvement, de nationalité portugaise.
La collision s'est déroulée à hauteur de l'échangeur des Berguilles, dans le sens Bordeaux-Paris, à l'endroit même où un premier accident matériel, tôt ce matin, a provoqué de nombreux bouchons. De nombreux secours ont été mobilisés. La circulation est déviée par la sortie Roullet centre, au niveau du restaurant du Berguille.
http://www.sudouest.fr/2012/09/24/charente-accident-entre-quatre-camions-sur-la-rn-10-830359-813.php
La collision s'est déroulée à hauteur de l'échangeur des Berguilles, dans le sens Bordeaux-Paris, à l'endroit même où un premier accident matériel, tôt ce matin, a provoqué de nombreux bouchons. De nombreux secours ont été mobilisés. La circulation est déviée par la sortie Roullet centre, au niveau du restaurant du Berguille.
http://www.sudouest.fr/2012/09/24/charente-accident-entre-quatre-camions-sur-la-rn-10-830359-813.php
Un entrepôt de près de 3 000 m² totalement détruit par un incendie à Chaponost
Du bâtiment implanté rue Jules-Vernes dans la zone industrielle Les Troques, à Chaponost, il ne reste plus rien ! Hier matin, un incendie a dévasté 2 700 m² d’ateliers et de bureaux qui abritaient le siège social France d’Expace, société spécialisée dans la conception et installation de stands.
C’est un passant qui a donné l’alerte, peu après 7 heures, quand il a vu de la fumée s’échapper de l’édifice. Les flammes se sont rapidement propagées.
Un important dispositif a été mis en place. Quatre-vingt-neuf sapeurs pompiers, placés sous l’autorité du lieutenant-colonel Jean-Philippe Gueugneau ont été mobilisés, ainsi que vingt et un véhicules. Sept lances, dont deux sur échelle, ont été déployées pour venir à bout du sinistre qui a été maîtrisé en fin de matinée, les pompiers progressant prudemment face à une structure fragilisée qui menaçait de s’effondrer.
Un employé, qui s’est rendu sur place pour constater l’étendue du désastre a été transporté à l’hôpital en état de choc.
« On ignore pour l’instant l’origine de l’incendie et dans l’immédiat nous ne privilégions aucune hypothèse » nous a confié hier soir le capitaine Platz, commandant la brigade de gendarmerie de Brignais.
Ce matin, des experts en police scientifique sont attendus sur les lieux pour procéder aux premiers relevés, déterminer le lieu du foyer et donner ainsi une orientation à l’enquête confiée aux gendarmes de Brignais. Une chose est sûre, il n’y avait personne à l’intérieur lorsque le feu s’est déclaré. La veille, des salariés de la boîte avaient travaillé dans l’atelier qu’ils avaient quitté vers 19 heures.
Expace, qui emploie une cinquantaine de collaborateurs, est également présente à Paris, Montréal, Hong Kong et Shanghai. C’est elle qui, pour l’édition 2012 du festival de Cannes, a réalisé l’exposition « Anniversaire Marylin Monroe ».
Hier, le directeur de l’établissement, Jean Gallonier, était à la recherche d’un espace capable d’accueillir l’activité de l’entreprise.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/24/un-entrepot-de-pres-de-3-000-m-totalement-detruit-par-un-incendie
C’est un passant qui a donné l’alerte, peu après 7 heures, quand il a vu de la fumée s’échapper de l’édifice. Les flammes se sont rapidement propagées.
Un important dispositif a été mis en place. Quatre-vingt-neuf sapeurs pompiers, placés sous l’autorité du lieutenant-colonel Jean-Philippe Gueugneau ont été mobilisés, ainsi que vingt et un véhicules. Sept lances, dont deux sur échelle, ont été déployées pour venir à bout du sinistre qui a été maîtrisé en fin de matinée, les pompiers progressant prudemment face à une structure fragilisée qui menaçait de s’effondrer.
Un employé, qui s’est rendu sur place pour constater l’étendue du désastre a été transporté à l’hôpital en état de choc.
« On ignore pour l’instant l’origine de l’incendie et dans l’immédiat nous ne privilégions aucune hypothèse » nous a confié hier soir le capitaine Platz, commandant la brigade de gendarmerie de Brignais.
Ce matin, des experts en police scientifique sont attendus sur les lieux pour procéder aux premiers relevés, déterminer le lieu du foyer et donner ainsi une orientation à l’enquête confiée aux gendarmes de Brignais. Une chose est sûre, il n’y avait personne à l’intérieur lorsque le feu s’est déclaré. La veille, des salariés de la boîte avaient travaillé dans l’atelier qu’ils avaient quitté vers 19 heures.
Expace, qui emploie une cinquantaine de collaborateurs, est également présente à Paris, Montréal, Hong Kong et Shanghai. C’est elle qui, pour l’édition 2012 du festival de Cannes, a réalisé l’exposition « Anniversaire Marylin Monroe ».
Hier, le directeur de l’établissement, Jean Gallonier, était à la recherche d’un espace capable d’accueillir l’activité de l’entreprise.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/24/un-entrepot-de-pres-de-3-000-m-totalement-detruit-par-un-incendie
Un chasseur au faisan se tue à Eauze
Jean Vignes âgé de 64 ans est mort hier en fin de matinée alors qu'il participait à une chasse au faisan en compagnie d'un ami et de leurs chiens. Le drame s'est déroulé en bordure de la route de Sauboires. Alors que selon le témoignage recueilli par la gendarmerie, les deux hommes étaient distants d'une centaine de mètres, Jean Vignes a perdu l'équilibre au moment de franchir un fossé abrupt et relativement profond. Dans sa chute, il actionnait son fusil dont la décharge l'a atteint au visage. Le chasseur auprès de qui les pompiers et le Samu se sont rendus, n'a pu être ramené à la vie. Marié et père de deux filles, Jean Vignes était le frère de l'épouse de l'ancien maire et conseiller général d'Eauze, Pierre Pédussaut. «Un homme sympathique, sans histoires dont la disparition est cruellement ressentie» affirme le maire et conseiller général Michel Gabas qui a été appelé sur les lieux du drame. Dans le cadre de l'enquête de gendarmerie, un technicien de l'identification criminelle est intervenu. Hier soir, le parquet qui attendait que toutes les vérifications soient faites, privilégiait la thèse de l'accident. D'ailleurs le permis d'inhumer a été délivré
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/24/1447328-un-chasseur-se-tue-a-eauze.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/24/1447328-un-chasseur-se-tue-a-eauze.html
Arrêté par les gendarmes alors qu’il partait « tuer » l’ex-amant de sa femme
Un drame a peut-être été évité de justesse hier à l’aube, à 6 h 30 du matin, dans la petite commune de Coisia (canton d’Arinthod). Les habitants ont été surpris de voir « débarquer » les gendarmes à cette heure matinale et interpeller un individu, en sanglots, qui venait de garer sa voiture sur un parking, non loin de sa « destination ».
Une destination qui n’était autre que le domicile de l’ex-amant de sa femme, dont le Jurassien âgé de cinquante ans avait vraisemblablement appris l’existence au réveil. Parti d’une commune à peine plus grande du canton de Saint-Julien, il a parcouru une trentaine de kilomètres, avec l’intention de s’en prendre, probablement plus que violemment, à celui qu’il identifiait désormais comme son « rival », l’histoire avec son épouse n’étant pourtant pas, a priori, récente. Deux armes de chasse (dont une carabine) ont été retrouvées dans son coffre, et il était également porteur d’un couteau.
C’est son épouse qui a alerté les gendarmes, après le départ de son mari et les menaces qu’il avait proférées. Un barrage de gendarmerie stratégique a été mis en place sur la route et des renforts ont été mobilisés ; ils ont finalement été rappelés, la brigade locale l’ayant interpellé avant que quoi que ce soit ne se passe, à son arrivée à Coisia. Hormis les menaces, rien de répréhensible ne lui est pour l’heure reproché. Vu son état, le procureur de la République a demandé qu’il soit examiné ; transporté par les pompiers à Lons-le-Saunier, il a été hospitalisé. Il sera entendu ultérieurement sur ses actes, à sa sortie de l’hôpital.
http://www.leprogres.fr/jura/2012/09/24/arrete-par-les-gendarmes-alors-qu-il-partait-tuer-l-ex-amant-de-sa-femme
Une destination qui n’était autre que le domicile de l’ex-amant de sa femme, dont le Jurassien âgé de cinquante ans avait vraisemblablement appris l’existence au réveil. Parti d’une commune à peine plus grande du canton de Saint-Julien, il a parcouru une trentaine de kilomètres, avec l’intention de s’en prendre, probablement plus que violemment, à celui qu’il identifiait désormais comme son « rival », l’histoire avec son épouse n’étant pourtant pas, a priori, récente. Deux armes de chasse (dont une carabine) ont été retrouvées dans son coffre, et il était également porteur d’un couteau.
C’est son épouse qui a alerté les gendarmes, après le départ de son mari et les menaces qu’il avait proférées. Un barrage de gendarmerie stratégique a été mis en place sur la route et des renforts ont été mobilisés ; ils ont finalement été rappelés, la brigade locale l’ayant interpellé avant que quoi que ce soit ne se passe, à son arrivée à Coisia. Hormis les menaces, rien de répréhensible ne lui est pour l’heure reproché. Vu son état, le procureur de la République a demandé qu’il soit examiné ; transporté par les pompiers à Lons-le-Saunier, il a été hospitalisé. Il sera entendu ultérieurement sur ses actes, à sa sortie de l’hôpital.
http://www.leprogres.fr/jura/2012/09/24/arrete-par-les-gendarmes-alors-qu-il-partait-tuer-l-ex-amant-de-sa-femme
Bagarre générale dans une pizzeria d'Angoulême : cinq blessés
C'était OK Corral dans la pizzeria", confie un enquêteur quelques heures après les faits. Ce matin, entre 6 heures et 6h30, la police est intervenue dans une pizzeria du Vieil-Angoulême, rue Raymond-Audour. Ouverte pour permettre aux noctambules de se restaurer au terme d'une nuit de fête, le Napoli Centro a été le théâtre d'une grosse bagarre générale, avec un bilan à la hauteur : cinq blessés, tous transportés au centre hospitalier d'Angoulême. La plupart d'entre eux souffrent d'importantes plaies avec présomption de fracture pour certains.
D'après le patron de la pizzeria, six individus seraient rentrés dans son établissement, vers 6 heures, afin de clairement provoquer la clientèle. Les coups sont alors très vite partis. Sur place, les policiers ont saisi une batte de base-ball. Trois des six individus en question, tous angoumoisins, ont été interpellés et placés en garde à vue. Les cinq blessés sont toujours en observation au centre hospitalier.
http://www.sudouest.fr/2012/09/23/bagarre-generale-dans-une-pizzeria-d-angouleme-cinq-blesses-829248-813.php
D'après le patron de la pizzeria, six individus seraient rentrés dans son établissement, vers 6 heures, afin de clairement provoquer la clientèle. Les coups sont alors très vite partis. Sur place, les policiers ont saisi une batte de base-ball. Trois des six individus en question, tous angoumoisins, ont été interpellés et placés en garde à vue. Les cinq blessés sont toujours en observation au centre hospitalier.
http://www.sudouest.fr/2012/09/23/bagarre-generale-dans-une-pizzeria-d-angouleme-cinq-blesses-829248-813.php
dimanche 23 septembre 2012
Piégé par le feu, un agriculteur meurt carbonisé
L'été a été marqué par une série particulièrement importante d'incendies de garrigues et de broussailles dans la partie littorale du département. La plupart de ces sinistres étaient dûs à la négligence et au non-respect des règles qui s'imposent dans cette région de pinèdes mais aussi malheureusement à des actes criminels. Fort heureusement, aucune victime n'était à déplorer jusqu'alors, même si le feu qui s'était déclaré aux abords de la commune de Peyriac-de-Mer avait suscité les plus vives inquiétudes quant aux conséquences dramatiques qu'il aurait pu avoir. Avec la fin des grosses chaleurs, l'on pouvait espérer ne plus revoir les bombardiers d'eau intervenir sur le secteur. Et pourtant, c'est bien le feu qui a causé un véritable drame dans un champ non loin de Salles-d'Aude. Un agriculteur de 86 ans, d'une famille bien connue sur Nissan, la famille Angel, est décédé jeudi à la suite d'un incendie qui s'est déclaré dans son champ. Le vieil homme avait l'habitude de détruire ses détritus dans deux futs en ferraille installés sur son champ. Des voisins rencontrés sur site avaient prévenu plusieurs fois l'agriculteur du danger que représentait cette pratique. Le pire était à craindre et s'est finalement produit. M. Angel a été victime du feu qu'il avait allumé. Les flammes ont pris une telle ampleur qu'elles en sont devenues incontrôlables. Le feu s'est alors propagé à la végétation alentour. Si l'agriculteur était parti dans l'autre direction, contre le vent, il aurait été sauvé. Malheureusement, pris de panique, il a voulu s'enfuir dans le sens du vent. Les flammes se sont propagées rapidement dans cette même direction. Pris au piège du terrible brasier, il n'a pas pu s'en échapper. Il est décédé sans que l'on sache pour l'instant si c'est par asphyxie ou de crise cardiaque. Une autopsie permettra de le déterminer. Le feu s'est ensuite propagé dans la garrigue alentours entraînant la destruction de plus de 2 ha de végétation. D'importants moyens ont été déployés pour maîtriser le feu dont deux bombardiers d'eau. La sécheresse de la végétation appelle à la plus grande prudence, même si l'été est terminé. Les sapeurs-pompiers rappellent que dans l'Aude, la pratique de l'écobuage ou brûlage des déchets verts est interdit jusqu'au 15 octobre.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/23/1446659-salles-d-aude-piege-par-le-feu-un-agriculteur-meurt-carbonise.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/23/1446659-salles-d-aude-piege-par-le-feu-un-agriculteur-meurt-carbonise.html
MHSC : l’œil du supporter blessé de façon quasi-certaine par le tir d'un flash-ball sera sauvé
Ce samedi, en fin de journée, le rapport du médecin légiste a confirmé que la blessure avait été provoqué de façon quasi-certaine par le tir de flash-ball.
Vendredi soir avant le match Montpellier - Saint-Étienne, des heurts se sont déroulés en dehors du stade de La Mosson près des buvettes entre des supporters et les forces de l'ordre.
Selon le parquet de Montpellier, le policier aurait agi en état de légitime défense alors qu’il se trouvait, avec trois autres policiers «pris en étau» par une soixantaine de personnes et que l’un de ses collègues se trouvait à terre blessé.
Selon le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin, l'affaire a commencé lorsqu'un groupe de quatre policiers de la BAC a voulu interpeller un homme interdit de stade, aux abords du stade de la Mosson, avant le début de la rencontre. "Quand il a vu les policiers, il s'est réfugié dans une buvette où se trouvait une soixantaine de personnes.
Les policiers ont malgré tout voulu l'interpeller. Il y a eu des scènes de violences et les policiers ont été pris à partie", a expliqué le magistrat samedi. L'un des fonctionnaires a été blessé, une fois à terre, et s'est vu prescrire six jours d'ITT (interruption temporaire de travail).
Il souffre d'un "arrachement musculaire au niveau cervical", a précisé M. Robin. Pour se dégager, un autre policier a envoyé une grenade de désencerclement et un autre a utilisé son gomme-cogne pour repousser la foule.
C'est à ce moment qu'un Montpelliérain de 21 ans, membre d'un club de supporteurs ultras selon une source policière, a été touché à un oeil. Le jeune homme a été opéré avec succès samedi après-midi au CHU de Montpellier et son oeil sera sauvé, a-t-on appris de source policière.
L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale. Une expertise balistique a été ouverte pour déterminer avec plus de précision les circonstances dans lequel le tir est intervenu et notamment pour savoir à quelle distance se trouvait la victime.
http://www.midilibre.fr/2012/09/22/dma,566692.php
Vendredi soir avant le match Montpellier - Saint-Étienne, des heurts se sont déroulés en dehors du stade de La Mosson près des buvettes entre des supporters et les forces de l'ordre.
Selon le parquet de Montpellier, le policier aurait agi en état de légitime défense alors qu’il se trouvait, avec trois autres policiers «pris en étau» par une soixantaine de personnes et que l’un de ses collègues se trouvait à terre blessé.
Selon le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin, l'affaire a commencé lorsqu'un groupe de quatre policiers de la BAC a voulu interpeller un homme interdit de stade, aux abords du stade de la Mosson, avant le début de la rencontre. "Quand il a vu les policiers, il s'est réfugié dans une buvette où se trouvait une soixantaine de personnes.
Les policiers ont malgré tout voulu l'interpeller. Il y a eu des scènes de violences et les policiers ont été pris à partie", a expliqué le magistrat samedi. L'un des fonctionnaires a été blessé, une fois à terre, et s'est vu prescrire six jours d'ITT (interruption temporaire de travail).
Il souffre d'un "arrachement musculaire au niveau cervical", a précisé M. Robin. Pour se dégager, un autre policier a envoyé une grenade de désencerclement et un autre a utilisé son gomme-cogne pour repousser la foule.
C'est à ce moment qu'un Montpelliérain de 21 ans, membre d'un club de supporteurs ultras selon une source policière, a été touché à un oeil. Le jeune homme a été opéré avec succès samedi après-midi au CHU de Montpellier et son oeil sera sauvé, a-t-on appris de source policière.
L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale. Une expertise balistique a été ouverte pour déterminer avec plus de précision les circonstances dans lequel le tir est intervenu et notamment pour savoir à quelle distance se trouvait la victime.
http://www.midilibre.fr/2012/09/22/dma,566692.php
Bordeaux : cinq ans de prison pour l'homme aux douze identités
La présidente Frédérique Gayssot s'est presque amusée en énonçant les douze noms différents sous lesquels l'homme qu'elle avait en face d'elle est apparu en rentrant ses empreintes dans le Faed (fichier automatisé des empreintes digitales). Âgé de 52 ans ou de 58 ans selon les cas, celui qui comparaissait mercredi après-midi sous le nom de Jacques Nouanda a été condamné à cinq ans de prison ferme et maintenu en détention. Il s'y trouve depuis son interpellation par les policiers bordelais le 4 novembre 2011.
Avec un faux passeport
La veille, probablement accompagné d'un certain Johnny pour lui servir de guide, celui qui se fait appeler Jacques Nouanda s'est présenté dans plusieurs bureaux de poste à Bordeaux, Villenave-d'Ornon, Tresse et Vayres. Avec l'identité et les coordonnées bancaires d'un homme qui habite en région parisienne et muni d'un faux passeport à son nom, il a retiré pour plus de 50 000 euros d'argent liquide.
Mais pour la présidente du tribunal, comme pour le vice-procureur Jean-Louis Rey et même pour l'avocate du prévenu Hélène Poulou, il paraissait évident qu'il n'avait pu agir seul. Les transactions ont en effet été effectuées (virement et retrait) en trente minutes entre chaque bureau de poste. Ce qui est matériellement difficile dans la seule ville de Bordeaux et devient impossible entre Vayres et Bordeaux. Simplement l'homme est resté mué, n'a donné aucune information précise sur le fameux Johnny et avait déjà été condamné en 2009 pour des faits d'escroquerie.
Deux Jacques Nouanda
Jean-Louis Rey relevait au passage qu'un homme répondant au nom de Jacques Nouanda travaillait bien dans une entreprise près de Paris comme le prévenu l'avait indiqué. Mais problème, ce Jacques Nouanda là a travaillé jusqu'au 11 avril 2012 alors que l'autre Jacques Nouanda se trouvait en détention provisoire depuis le 4 novembre précédent, date de son interpellation par les policiers bordelais. « Je crois que l'on se fiche de nous et que Jacques Nouanda collabore à une véritable petite structure organisée », affirmait le vice-procureur qui demandait « au minimum, la peine plancher de quatre ans de prison, puisqu'il est en récidive. »
Hélène Poullou n'excluait pas que son client ait pu être entouré ou épaulé. Mais selon elle, il n'est qu'un petit maillon, qui ne détient pas d'information. Elle demandait au tribunal d'écarter la peine plancher et d'infliger une peine avec sursis et mise à l'épreuve. Les juges sont plutôt allés dans le sens du vice-procureur en prononçant même une peine au-delà de ses réquisitions.
http://www.sudouest.fr/2012/09/22/cinq-ans-pour-l-homme-aux-douze-noms-828326-2780.php
Avec un faux passeport
La veille, probablement accompagné d'un certain Johnny pour lui servir de guide, celui qui se fait appeler Jacques Nouanda s'est présenté dans plusieurs bureaux de poste à Bordeaux, Villenave-d'Ornon, Tresse et Vayres. Avec l'identité et les coordonnées bancaires d'un homme qui habite en région parisienne et muni d'un faux passeport à son nom, il a retiré pour plus de 50 000 euros d'argent liquide.
Mais pour la présidente du tribunal, comme pour le vice-procureur Jean-Louis Rey et même pour l'avocate du prévenu Hélène Poulou, il paraissait évident qu'il n'avait pu agir seul. Les transactions ont en effet été effectuées (virement et retrait) en trente minutes entre chaque bureau de poste. Ce qui est matériellement difficile dans la seule ville de Bordeaux et devient impossible entre Vayres et Bordeaux. Simplement l'homme est resté mué, n'a donné aucune information précise sur le fameux Johnny et avait déjà été condamné en 2009 pour des faits d'escroquerie.
Deux Jacques Nouanda
Jean-Louis Rey relevait au passage qu'un homme répondant au nom de Jacques Nouanda travaillait bien dans une entreprise près de Paris comme le prévenu l'avait indiqué. Mais problème, ce Jacques Nouanda là a travaillé jusqu'au 11 avril 2012 alors que l'autre Jacques Nouanda se trouvait en détention provisoire depuis le 4 novembre précédent, date de son interpellation par les policiers bordelais. « Je crois que l'on se fiche de nous et que Jacques Nouanda collabore à une véritable petite structure organisée », affirmait le vice-procureur qui demandait « au minimum, la peine plancher de quatre ans de prison, puisqu'il est en récidive. »
Hélène Poullou n'excluait pas que son client ait pu être entouré ou épaulé. Mais selon elle, il n'est qu'un petit maillon, qui ne détient pas d'information. Elle demandait au tribunal d'écarter la peine plancher et d'infliger une peine avec sursis et mise à l'épreuve. Les juges sont plutôt allés dans le sens du vice-procureur en prononçant même une peine au-delà de ses réquisitions.
http://www.sudouest.fr/2012/09/22/cinq-ans-pour-l-homme-aux-douze-noms-828326-2780.php
samedi 22 septembre 2012
Marseille : soixante CRS pour un manifestant
Une soixantaine de CRS, appuyés par un hélicoptère de la gendarmerie, se sont déployés samedi après-midi dans le centre de Marseille, face à un seul manifestant qui avait appelé à dénoncer les caricatures du prophète Mahomet parues dans Charlie Hebdo.
Cet homme, Omar Djellil, un responsable d'association, avait appelé à une manifestation samedi à 14h00 dans le quartier de la Porte d'Aix, pour laquelle la préfecture n'avait pas reçu de demande d'autorisation.
Une trentaine de journalistes étaient également présents. Après avoir parlé à la presse, le manifestant a collé trois affichettes sur lesquelles était notamment écrit "Porcs Hebdo" et "les Français musulmans n'ont pas besoin d'autorisation pour défendre leurs droits".
Joggeuse enlevée: suicide du suspect
Un homme de 28 ans, détenu depuis mars pour l'enlèvement et l'agression d'une joggeuse à proximité de Saint-Cyr-sous-Dourdan (Essonne) s'est suicidé, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire, confirmant une information du Parisien. Le suspect s'est donné la mort "en début de semaine" à la prison de Fresnes (Val-de-Marne), a précisé la même source.
Le 11 mars, une professeur de physique-chimie de 39 ans avait été enlevée et mise dans le coffre d'une voiture, tandis qu'elle faisait son jogging sur une route de campagne à proximité de Saint-Cyr-sous-Dourdan, la ville où elle réside.
L'enseignante avait finalement pu fuir au bout de quelques dizaines de minutes. Un automobiliste l'avait retrouvée sur le bord d'une route de Rochefort-en-Yvelines. Quelques jours plus tard, le jeune homme avait été interpellé dans cette commune. Il avait reconnu les faits lors de sa garde à vue, avant d'être mis en examen pour "tentative d'homicide volontaire" et "enlèvement et séquestration" et écroué.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/22/97001-20120922FILWWW00341-joggeuse-enlevee-suicide-du-suspect.php
Le 11 mars, une professeur de physique-chimie de 39 ans avait été enlevée et mise dans le coffre d'une voiture, tandis qu'elle faisait son jogging sur une route de campagne à proximité de Saint-Cyr-sous-Dourdan, la ville où elle réside.
L'enseignante avait finalement pu fuir au bout de quelques dizaines de minutes. Un automobiliste l'avait retrouvée sur le bord d'une route de Rochefort-en-Yvelines. Quelques jours plus tard, le jeune homme avait été interpellé dans cette commune. Il avait reconnu les faits lors de sa garde à vue, avant d'être mis en examen pour "tentative d'homicide volontaire" et "enlèvement et séquestration" et écroué.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/22/97001-20120922FILWWW00341-joggeuse-enlevee-suicide-du-suspect.php
Prison ferme requise en appel contre un maire de l’Ain qui avait causé un accident
Six mois de prison ferme, soit le double de ce qui avait été requis en première instance. C’est ce qu’a réclamé, hier après-midi, le parquet, devant la cour d’appel de Lyon, à l’encontre de Jean Chabry, maire de Jujurieux (Ain) depuis 1995, conseiller général depuis 1998 et président de la communauté de communes des Rives de l’Ain.
En première instance, reconnu coupable de blessures involontaires (incapacité n’excédant pas trois mois), de délit de fuite et de conduite en état alcoolique en récidive, l’élu avait écopé de six mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve de 18 mois, avec l’obligation d’indemniser les victimes. Son permis avait été annulé et il lui était interdit de le repasser pendant 12 mois.
Retour sur le jeudi 16 février 2012, à 17 h 30 sur le boulevard Laurent-Bonnevay, dans l’agglomération lyonnaise. Il y a du monde. Une voiture freine. Le 4x4 Nissan de l’élu, juste derrière, ne s’arrête pas à temps. C’est la collision en chaîne avec trois véhicules impactés.
Jean Chabry, reparti au volant de son 4x4, avait ensuite été pris en chasse par les forces de l’ordre. « Il a fait une embardée, a failli nous heurter, puis nous a dépassés », avaient consigné les gendarmes. « Je prenais simplement la bretelle pour aller à mon ancienne usine à Vaulx-en-Velin, et c’est là qu’ils m’ont arrêté », a observé Jean Chabry. « J’ai beaucoup de respect pour les forces de l’ordre avec qui je travaille en tant comme élu. Je réfute totalement le délit de fuite et veux bien croire à une erreur d’interprétation de la gendarmerie », a encore expliqué le prévenu. « Si un homme public se doit d’être exemplaire, il n’en est pas moins un homme », a plaidé son avocat, M e Jacques Bernasconi, avant de rappeler les difficultés « personnelles » de son client portant sur un état de santé fragile, « qui exclut la possibilité d’un emprisonnement ferme » et un conflit avec son fils. L’avocat a réclamé la « confirmation du jugement de première instance » et de « ne pas en rajouter ».
L’affaire a été mise en délibéré au 19 octobre prochain.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/22/prison-ferme-requise-en-appel-contre-un-maire-de-l-ain-qui-avait-cause-un-accident
En première instance, reconnu coupable de blessures involontaires (incapacité n’excédant pas trois mois), de délit de fuite et de conduite en état alcoolique en récidive, l’élu avait écopé de six mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve de 18 mois, avec l’obligation d’indemniser les victimes. Son permis avait été annulé et il lui était interdit de le repasser pendant 12 mois.
Retour sur le jeudi 16 février 2012, à 17 h 30 sur le boulevard Laurent-Bonnevay, dans l’agglomération lyonnaise. Il y a du monde. Une voiture freine. Le 4x4 Nissan de l’élu, juste derrière, ne s’arrête pas à temps. C’est la collision en chaîne avec trois véhicules impactés.
Une maman et ses deux enfants légèrement blessés dans la collision
Dans l’aventure, une maman est légèrement blessée, tout comme ses deux enfants. « Je regrette amèrement d’avoir pu faire mal à quelqu’un » a déclaré Jean Chabry, contrit, à l’adresse des juges, hier. « Je ne suis pas descendu du véhicule, mais ai demandé aux personnes, par la vitre s’il y avait un problème. Personne ne m’a répondu. J’ai jugé le choc insignifiant et considéré que je pouvais continuer ma route », a poursuivi l’élu. Le président de la Cour d’appel, s’appuyant sur les témoignages, a toutefois une version différente des faits. « Vous êtes descendu, puis remonté… Pourquoi ces personnes mentiraient ? »Jean Chabry, reparti au volant de son 4x4, avait ensuite été pris en chasse par les forces de l’ordre. « Il a fait une embardée, a failli nous heurter, puis nous a dépassés », avaient consigné les gendarmes. « Je prenais simplement la bretelle pour aller à mon ancienne usine à Vaulx-en-Velin, et c’est là qu’ils m’ont arrêté », a observé Jean Chabry. « J’ai beaucoup de respect pour les forces de l’ordre avec qui je travaille en tant comme élu. Je réfute totalement le délit de fuite et veux bien croire à une erreur d’interprétation de la gendarmerie », a encore expliqué le prévenu. « Si un homme public se doit d’être exemplaire, il n’en est pas moins un homme », a plaidé son avocat, M e Jacques Bernasconi, avant de rappeler les difficultés « personnelles » de son client portant sur un état de santé fragile, « qui exclut la possibilité d’un emprisonnement ferme » et un conflit avec son fils. L’avocat a réclamé la « confirmation du jugement de première instance » et de « ne pas en rajouter ».
L’affaire a été mise en délibéré au 19 octobre prochain.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/22/prison-ferme-requise-en-appel-contre-un-maire-de-l-ain-qui-avait-cause-un-accident
Il était 12 h 30, hier, dans le quartier de Basseau à Angoulême. Affairée à la distribution du courrier d'un immeuble de la rue Robert-Schuman, une factrice voit passer sous son nez un projectile.
Elle se retourne et trouve un jeune homme à la fenêtre d'un bâtiment. « Ça ne va pas ? », fait-elle, entre autres mots de remontrance. Le jeune homme n'apprécie pas et le fait savoir. Il sort de l'immeuble et rattrape la factrice devant le bâtiment suivant, au numéro 16. Et de lui asséner aussi sec un coup de poing dans le nez. Bilan : une fracture du nez. La factrice se réfugie dans le hall et appelle sa direction.
En CDD
Alertés par des témoins, les policiers interviennent dans les cinq minutes. Toujours sur place, l'agresseur est interpellé dans la rue et placé en garde à vue. Bientôt âgé de 21 ans, il a été condamné à plusieurs reprises par le tribunal des enfants.
La victime est sortie de l'hôpital de Girac dans l'après-midi. Elle s'est vue délivrer deux jours d'Incapacité totale de travail et souhaite reprendre au plus vite ses tournées. Elle avait été recrutée en CDD depuis seulement deux semaines. « Elle a envie de reprendre dès demain [aujourd'hui], confiait hier soir Patricia Bonneau, déléguée CGT de La Poste. C'est une jeune femme qui a du caractère. C'est courageux de sa part qu'elle reprenne le métier, mais pas sur la même tournée. » De tels incidents imposent la convocation d'un Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail dans les 48 heures. Sera abordée la sécurité des agents : « Ça fait longtemps qu'on le pointe à la CGT, il faut se pencher sur la question des agents dans les quartiers sensibles. »
http://www.sudouest.fr/2012/09/21/la-factrice-frappee-au-visage-par-un-riverain-826973-813.php
Elle se retourne et trouve un jeune homme à la fenêtre d'un bâtiment. « Ça ne va pas ? », fait-elle, entre autres mots de remontrance. Le jeune homme n'apprécie pas et le fait savoir. Il sort de l'immeuble et rattrape la factrice devant le bâtiment suivant, au numéro 16. Et de lui asséner aussi sec un coup de poing dans le nez. Bilan : une fracture du nez. La factrice se réfugie dans le hall et appelle sa direction.
En CDD
Alertés par des témoins, les policiers interviennent dans les cinq minutes. Toujours sur place, l'agresseur est interpellé dans la rue et placé en garde à vue. Bientôt âgé de 21 ans, il a été condamné à plusieurs reprises par le tribunal des enfants.
La victime est sortie de l'hôpital de Girac dans l'après-midi. Elle s'est vue délivrer deux jours d'Incapacité totale de travail et souhaite reprendre au plus vite ses tournées. Elle avait été recrutée en CDD depuis seulement deux semaines. « Elle a envie de reprendre dès demain [aujourd'hui], confiait hier soir Patricia Bonneau, déléguée CGT de La Poste. C'est une jeune femme qui a du caractère. C'est courageux de sa part qu'elle reprenne le métier, mais pas sur la même tournée. » De tels incidents imposent la convocation d'un Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail dans les 48 heures. Sera abordée la sécurité des agents : « Ça fait longtemps qu'on le pointe à la CGT, il faut se pencher sur la question des agents dans les quartiers sensibles. »
http://www.sudouest.fr/2012/09/21/la-factrice-frappee-au-visage-par-un-riverain-826973-813.php
vendredi 21 septembre 2012
Un homme condamné à 20 ans de prison pour avoir tué sa femme devant leur fils
Un chercheur de 55 ans, accusé d'avoir tué sa femme devant un de leurs fils, sur fond de divorce conflictuel, a été condamné vendredi à vingt ans de réclusion criminelle par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône.
Marcel Asther a été reconnu coupable d'assassinat par les jurés, qui ont suivi les réquisitions de l'avocat général, Gilles Rognoni.
"Il veut tuer sa femme parce qu'elle lui a résisté, parce que Robin (leur fils de 13 ans qui a vu le meurtre, NDLR) risque de lui échapper, parce que sa raison s'en est allée, parce que le chaos est entré dans cette intelligence", avait affirmé le magistrat dans son réquisitoire.
L'avocat général avait qualifié ce spécialiste en biotechnologie agroalimentaire au sein d'un laboratoire de recherche de l'Inra à la faculté de Luminy à Marseille de "personnage pervers, manipulateur et dangereux".
"Il y a un petit côté tyrannique chez lui, celui qui s'oppose à ce qu'il a décidé est mis au placard, il est capable de tout pour arriver à ses fins", avait ajouté M. Rognoni.
Le 25 septembre 2009, Marcel Asther avait tiré sur son épouse Michèle sept balles de revolver alors qu'elle venait récupérer leur fils cadet pour le week-end. Il s'était ensuite retranché dans leur villa de la Ciotat (Bouches-du-Rhône), avant de se rendre sans violence après intervention du GIPN et d'un négociateur.
Le procès, qui se tenait depuis lundi à Aix-en-Provence, a été l'occasion de débats entre l'accusation, partisane d'un meurtre prémédité, et donc d'un assassinat de sang-froid, et la défense, convaincue que son client a cédé à une pulsion.
M. Asther, qui était à l'époque séparé de sa femme depuis deux ans, avec qui il était en conflit pour la garde de leurs deux fils adolescents, avait été condamné, quelque temps avant les faits, à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour des faits de violence conjugale remontant à 2007.
L'avocat de la défense Jean-Claude Valéra, qui a plaidé l'absence de préméditation, avait demandé aux jurés, malgré "l'acte horrible", "de juger un homme pas comme les autres, au bout de la souffrance".
"Les choses ont pété, il n'a pas pu se contrôler", avait-il estimé.
C'est le seul moment du procès durant lequel les deux fils du couple, Robin, 16 ans, et Julien, 22 ans, se sont absentés de la salle d'audience. A plusieurs reprises, le cadet avait demandé à ce que son père reste "le plus longtemps possible en prison".
http://www.leparisien.fr/marseille-13000
Marcel Asther a été reconnu coupable d'assassinat par les jurés, qui ont suivi les réquisitions de l'avocat général, Gilles Rognoni.
"Il veut tuer sa femme parce qu'elle lui a résisté, parce que Robin (leur fils de 13 ans qui a vu le meurtre, NDLR) risque de lui échapper, parce que sa raison s'en est allée, parce que le chaos est entré dans cette intelligence", avait affirmé le magistrat dans son réquisitoire.
L'avocat général avait qualifié ce spécialiste en biotechnologie agroalimentaire au sein d'un laboratoire de recherche de l'Inra à la faculté de Luminy à Marseille de "personnage pervers, manipulateur et dangereux".
"Il y a un petit côté tyrannique chez lui, celui qui s'oppose à ce qu'il a décidé est mis au placard, il est capable de tout pour arriver à ses fins", avait ajouté M. Rognoni.
Le 25 septembre 2009, Marcel Asther avait tiré sur son épouse Michèle sept balles de revolver alors qu'elle venait récupérer leur fils cadet pour le week-end. Il s'était ensuite retranché dans leur villa de la Ciotat (Bouches-du-Rhône), avant de se rendre sans violence après intervention du GIPN et d'un négociateur.
Le procès, qui se tenait depuis lundi à Aix-en-Provence, a été l'occasion de débats entre l'accusation, partisane d'un meurtre prémédité, et donc d'un assassinat de sang-froid, et la défense, convaincue que son client a cédé à une pulsion.
M. Asther, qui était à l'époque séparé de sa femme depuis deux ans, avec qui il était en conflit pour la garde de leurs deux fils adolescents, avait été condamné, quelque temps avant les faits, à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour des faits de violence conjugale remontant à 2007.
L'avocat de la défense Jean-Claude Valéra, qui a plaidé l'absence de préméditation, avait demandé aux jurés, malgré "l'acte horrible", "de juger un homme pas comme les autres, au bout de la souffrance".
"Les choses ont pété, il n'a pas pu se contrôler", avait-il estimé.
C'est le seul moment du procès durant lequel les deux fils du couple, Robin, 16 ans, et Julien, 22 ans, se sont absentés de la salle d'audience. A plusieurs reprises, le cadet avait demandé à ce que son père reste "le plus longtemps possible en prison".
http://www.leparisien.fr/marseille-13000
Nanterre : 23 interpellations lors d’une opération anti-drogue
Les policiers de la Sûreté territoriale des Hauts-de-Seine ont mené une vaste opération d’interpellations, le mardi 18 septembre, dans la cité des Canibouts à Nanterre, ainsi qu’à Argenteuil et Saint-Gratien dans le Val d’Oise. Vingt-trois personnes soupçonnées d’appartenir à un important réseau de trafiquants de drogue ont été arrêtées aux premières heures du jour. Deux suspects sont parvenus à échapper à ce vaste coup de filet.
Les membres présumés de ce réseau, âgés de 17 à 24 ans, ont tous été placés en garde à vue. Ce vendredi 21 septembre, de nombreuses auditions étaient toujours en cours. Selon nos informations, 1 kg de résine de cannabis ainsi que 500 € en argent liquide ont été saisis par les enquêteurs au cours des premières perquisitions. Ce trafic, organisé au sein de la cité des Canibouts, est considéré comme l’un des plus importants des Hauts-de-Seine. Toujours selon nos informations, le chiffre d’affaires quotidien réalisé par les trafiquants sur ce point de vente a été estimé à près de 8 000 €.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/nanterre-23-interpellations-lors-d-une-operation-anti-drogue-21-09-2012-2174598.php
Les membres présumés de ce réseau, âgés de 17 à 24 ans, ont tous été placés en garde à vue. Ce vendredi 21 septembre, de nombreuses auditions étaient toujours en cours. Selon nos informations, 1 kg de résine de cannabis ainsi que 500 € en argent liquide ont été saisis par les enquêteurs au cours des premières perquisitions. Ce trafic, organisé au sein de la cité des Canibouts, est considéré comme l’un des plus importants des Hauts-de-Seine. Toujours selon nos informations, le chiffre d’affaires quotidien réalisé par les trafiquants sur ce point de vente a été estimé à près de 8 000 €.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/nanterre-23-interpellations-lors-d-une-operation-anti-drogue-21-09-2012-2174598.php
Montauban. Vaste arnaque commerciale sur le net
Situés au 1935, avenue de Fonneuve au cœur d'un mini-centre commercial les deux rideaux métalliques du magasin l'«Univers des marques» sont baissés depuis presque le début du mois d'août. Et ils ne sont pas prêts d'être relevés. Car le tribunal de commerce de Montauban a rendu un jugement de liquidation judiciaire simplifié à la date du 23 août en fixant la date de cessation des paiements au 9 août. Dans l'absolu et avec fatalisme on pourrait dire : un commerce de plus victime de la crise ou du marasme. Mais pour cette enseigne spécialisée en prêt à porter, bijouterie fantaisie, chaussures et accessoires en magasin et sur internet… c'est justement le site de vente en ligne qui interpelle. Même s'il y a juste un an - en septembre 2011- ce même commerce avait été victime d'un cambriolage spectaculaire.300 pièces haut de gamme en prêt à porter ayant été emportées par des monte-en-l'air qui avaient fracturé les fenêtres situées à l'arrière du commerce et depuis murées. Donc, sur le site internet de l'Univers on pouvait trouver et passer commande d'habits, de bijoux et surtout d'appareils photos. D'après d'autres commerçants spécialistes en photo et vidéo, les prix proposés étaient très compétitifs. On pouvait parfois gagner jusqu'à 100 € sur un modèle. De plus il y avait des promos, des lots des plus séduisants. Le site présentait toutes «les garanties» avec numéro de tel, messagerie etc.Sauf que si la ligne téléphonique existe encore, un avertissement sonore précise que la messagerie est saturée. Et que bien entendu les commandes passées ne sont plus honorées depuis belle lurette. À coup de sommes allant de 300 € à près de 900 € ils sont plusieurs dizaines à s'être fait escroquer. Une des victimes nous déclare : «Depuis le 11 août, le magasin est fermé (»pour congés» !) Pour le matériel photo, de très nombreux clients (dont je fais partie) se sont fait «arnaquer» avec des commandes passées pour des sommes conséquentes sans jamais avoir été livrés. Les entretiens téléphoniques (avec un certain «Quentin» de la société) étaient édifiants lorsqu'il s'agissait de demander des explications». Depuis les plaintes affluent au commissariat de police, mais aussi auprès du procureur de la République, à la répression des fraudes. Sur les forums d'internautes (arnaque.com ; pages jaunes) ils sont des dizaines à se plaindre, à partager leurs estimations de préjudice et le modus operandi de leur arnaque . Bon nombre d'entre eux conseillant même d'écrire au liquidateur judiciaire (Maître Enjalbert) . Mais pour l'heure, difficile de quantifier de façon précise le nombre de victimes et de chiffrer le préjudice financier global. Sans omettre de se demander où sont d'ailleurs passées les sommes encaissées, vu la liquidation judiciaire prononcée. Affaire à suivre…
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/21/1445417-montauban-vaste-arnaque-commerciale-sur-le-net.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/21/1445417-montauban-vaste-arnaque-commerciale-sur-le-net.html
"On s'est réfugié à Béziers, sinon ils nous auraient fait la peau"
Harcelés par leurs agresseurs après une rixe, une famille des Yvelines décide de se réfugier à Béziers, abandonnant maison et travail.
"On vit un véritable cauchemar ! On n’en dort plus la nuit. Dans cette affaire, on a tout perdu, travail, maison, amis, confie, les joues perlées de larmes, ce père de famille originaire des Yvelines. Et le plus dur à avaler c’est qu’au final je pourrais être condamné alors que je n’étais pas à l’origine des faits. Nous sommes victimes mais on nous reproche d’avoir réagi à une agression."
Au soir du 30 juin dernier, la vie de ce couple et de ses trois enfants a basculé dans "l’enfer" alors qu’ils participaient à une soirée anniversaire chez des amis, au domaine Les Petites Yvelines, aux Bréviaires, dans les Yvelines. Il s’agit d’un ancien camping où la famille a acheté deux parcelles jumelées, il y a quatre ans, et y a monté un chalet.
Bombe lacrymogène
"Un petit paradis qui s’est transformé en ghetto depuis qu’une famille de la communauté gitane s’y est installée, il y a deux ans, poursuivent de concert Karoll et Éric. On ne cesse de se plaindre auprès de la copropriété, de la mairie et de la gendarmerie pour des nuisances sonores, des soirées à répétition, des incivilités, des quads qui circulent à toute berzingue, des véhicules garés n’importe où... mais rien ne bouge. Ils font leur loi en toute impunité."
Le soir des faits, trois jeunes gens de la communauté qui voulaient s’introduire dans la soirée se sont fait interdire l’accès par Karoll, qui se tenait à proximité du portail d’entrée. C’est là que tout a basculé. Voyant que la tension montait d’un cran, la mère de famille a alerté son mari qu’il était temps de partir. Mais alors qu’ils tentaient de regagner leur domicile en compagnie de leurs enfants, ils se sont fait prendre à partie par les trois jeunes éconduits.
"Je crois qu’il m’aurait tué"
"Ils s’en sont pris à mon épouse verbalement, en l’insultant et en la menaçant de mort. Puis elle a reçu des gifles. En moins de deux, ils étaient quatre, cinq, six autour d’elle, raconte le mari. J’ai pris peur. Je suis vite allé chercher une bombe à lacrymogène à la maison et j’ai gazé tout le monde pour les disperser. Ils étaient au moins dix." Une initiative qui a eu le mérite de calmer la grande majorité des assaillants.
Mais alors que tout semblait rentrer dans l’ordre, un individu, éméché, s’est jeté sur Éric, le rouant de coups de poing. "Si je ne lui avais pas mordu le doigt à quasiment le lui arracher, je crois qu’il m’aurait tué."
Jets de pierres et insultes
C’est un voisin, accompagné de son chien, qui a mis fin à la rixe avant que les gendarmes interviennent et embarquent... Éric. "Ils l’ont placé en garde à vue durant 48 h, me laissant seule avec mes enfants, s’insurge Karoll. Les jours qui ont suivi, ils n’ont pas cessé de me harceler, me jetant des pierres et m’insultant copieusement. Ils ont même cassé ma clôture. On a donc décidé de partir. On s’est réfugié à Béziers sinon ils nous auraient fait la peau..."
http://www.midilibre.fr/2012/09/20/contraints-de-venir-a-beziers-apres-une-rixe,565413.php
"On vit un véritable cauchemar ! On n’en dort plus la nuit. Dans cette affaire, on a tout perdu, travail, maison, amis, confie, les joues perlées de larmes, ce père de famille originaire des Yvelines. Et le plus dur à avaler c’est qu’au final je pourrais être condamné alors que je n’étais pas à l’origine des faits. Nous sommes victimes mais on nous reproche d’avoir réagi à une agression."
Au soir du 30 juin dernier, la vie de ce couple et de ses trois enfants a basculé dans "l’enfer" alors qu’ils participaient à une soirée anniversaire chez des amis, au domaine Les Petites Yvelines, aux Bréviaires, dans les Yvelines. Il s’agit d’un ancien camping où la famille a acheté deux parcelles jumelées, il y a quatre ans, et y a monté un chalet.
Bombe lacrymogène
"Un petit paradis qui s’est transformé en ghetto depuis qu’une famille de la communauté gitane s’y est installée, il y a deux ans, poursuivent de concert Karoll et Éric. On ne cesse de se plaindre auprès de la copropriété, de la mairie et de la gendarmerie pour des nuisances sonores, des soirées à répétition, des incivilités, des quads qui circulent à toute berzingue, des véhicules garés n’importe où... mais rien ne bouge. Ils font leur loi en toute impunité."
Le soir des faits, trois jeunes gens de la communauté qui voulaient s’introduire dans la soirée se sont fait interdire l’accès par Karoll, qui se tenait à proximité du portail d’entrée. C’est là que tout a basculé. Voyant que la tension montait d’un cran, la mère de famille a alerté son mari qu’il était temps de partir. Mais alors qu’ils tentaient de regagner leur domicile en compagnie de leurs enfants, ils se sont fait prendre à partie par les trois jeunes éconduits.
"Je crois qu’il m’aurait tué"
"Ils s’en sont pris à mon épouse verbalement, en l’insultant et en la menaçant de mort. Puis elle a reçu des gifles. En moins de deux, ils étaient quatre, cinq, six autour d’elle, raconte le mari. J’ai pris peur. Je suis vite allé chercher une bombe à lacrymogène à la maison et j’ai gazé tout le monde pour les disperser. Ils étaient au moins dix." Une initiative qui a eu le mérite de calmer la grande majorité des assaillants.
Mais alors que tout semblait rentrer dans l’ordre, un individu, éméché, s’est jeté sur Éric, le rouant de coups de poing. "Si je ne lui avais pas mordu le doigt à quasiment le lui arracher, je crois qu’il m’aurait tué."
Jets de pierres et insultes
C’est un voisin, accompagné de son chien, qui a mis fin à la rixe avant que les gendarmes interviennent et embarquent... Éric. "Ils l’ont placé en garde à vue durant 48 h, me laissant seule avec mes enfants, s’insurge Karoll. Les jours qui ont suivi, ils n’ont pas cessé de me harceler, me jetant des pierres et m’insultant copieusement. Ils ont même cassé ma clôture. On a donc décidé de partir. On s’est réfugié à Béziers sinon ils nous auraient fait la peau..."
http://www.midilibre.fr/2012/09/20/contraints-de-venir-a-beziers-apres-une-rixe,565413.php
Dordogne : la disparue d'Allemans retrouvée au Pays Basque
Ce jeudi, dans la nuit, les parents d'une mère de famille de 30 ans, qui avait disparu d'Allemans depuis plus d'une semaine, ont fait le voyage jusqu'à l'hôpital de Bayonne. Elle a en effet été retrouvée au Pays Basque, dans la soirée de mercredi, dans sa voiture, garée sur la route de la Corniche, entre Saint-Jean-de-Luz et Hendaye, vers 22 h 30.
Les pompiers sont intervenus quand des riverains se sont inquiétés de voir cette femme dans une voiture, qui commençait à brûler. D'après les premières constatations, elle a essayé de mettre le feu au véhicule, où elle avait posé au moins une bombonne de gaz. Légèrement blessée par les flammes, elle a été hospitalisée à Bayonne, où elle a reconnu avoir tenté de se suicider. Ses jours ne sont pas en danger.
Cette trentenaire n'avait plus donné signe de vie depuis le 13 septembre. Ce jour-là, elle n'était pas venue récupérer son enfant à l'école d'Allemans. La gendarmerie de Ribérac avait lancé un appel à témoins.
http://www.sudouest.fr/2012/09/20/dordogne-la-disparue-d-allemans-retrouvee-au-pays-basque-826516-1980.php
Les pompiers sont intervenus quand des riverains se sont inquiétés de voir cette femme dans une voiture, qui commençait à brûler. D'après les premières constatations, elle a essayé de mettre le feu au véhicule, où elle avait posé au moins une bombonne de gaz. Légèrement blessée par les flammes, elle a été hospitalisée à Bayonne, où elle a reconnu avoir tenté de se suicider. Ses jours ne sont pas en danger.
Cette trentenaire n'avait plus donné signe de vie depuis le 13 septembre. Ce jour-là, elle n'était pas venue récupérer son enfant à l'école d'Allemans. La gendarmerie de Ribérac avait lancé un appel à témoins.
http://www.sudouest.fr/2012/09/20/dordogne-la-disparue-d-allemans-retrouvee-au-pays-basque-826516-1980.php
jeudi 20 septembre 2012
Maisons-Alfort: un forcené retranché
Un homme était retranché chez lui à Maisons-Alfort (Val-de-Marne) depuis le début de l'après-midi, menaçant "de tuer ses voisins", et le Raid a été dépêché sur les lieux, a-t-on appris de source policière. Des voisins ont alerté les secours vers 13h et à l'arrivée des policiers, l'homme, qui souffrirait de troubles psychiatriques, a menacé de "tuer ses voisins".
Les proches riverains ont été évacués et le gaz a été coupé dans le quartier, a déclaré le porte-parole de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), Franck Carabin. Un périmètre de sécurité de 200 mètres autour du studio où vit l'homme et où il s'est retranché a été établi, selon Franck Carabin. D'importantes forces de police ont été dépêchées sur place bouclant le quartier.
Il a été fait appel au Raid, l'unité d'élite de la police nationale, a aussi indiqué Franck Carabin. Il se trouvait sur place vers 15h, tentant de raisonner le présumé forcené qui serait en possession d'une arme de poing, selon la source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/20/97001-20120920FILWWW00603-maisons-alfort-un-forcene-retranche.php
Les proches riverains ont été évacués et le gaz a été coupé dans le quartier, a déclaré le porte-parole de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), Franck Carabin. Un périmètre de sécurité de 200 mètres autour du studio où vit l'homme et où il s'est retranché a été établi, selon Franck Carabin. D'importantes forces de police ont été dépêchées sur place bouclant le quartier.
Il a été fait appel au Raid, l'unité d'élite de la police nationale, a aussi indiqué Franck Carabin. Il se trouvait sur place vers 15h, tentant de raisonner le présumé forcené qui serait en possession d'une arme de poing, selon la source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/20/97001-20120920FILWWW00603-maisons-alfort-un-forcene-retranche.php
Pont-de-l'Arn. Un chauffeur de poids-lourd grièvement blessé dans un accident
Un chauffeur de poids lourd a été sérieusement blessé dans un accident survenu hier, en fin d'après-midi, sur la commune de Pont-de-l'Arn. Il était 17h15, lorsqu'un camion de l'entreprise de travaux publics ETDE, de Saïx, a fait une embardée sur la RD 54, au lieu-dit «Montlédier». à la sortie d'un long virage, le chauffeur a perdu le contrôle de son véhicule qui a glissé sur le flanc gauche, terminant sa course contre un châtaignier, sur le talus de la route dans le sens opposé de son sens de marche. Coincé dans sa cabine, l'homme a été secouru par les sapeurs-pompiers mazamétains avec l'appui des médecins urgentistes du Samu.
Médicalisé, la victime consciente a été extraite de son engin vers 18h25 et transportée dans l'ambulance où il était dressé un premier bilan, notamment une fracture du tibia et du péroné droit. Le blessé, un Castrais âgé de 28 ans, a été évacué sur le centre hospitalier du pays d'Autan à Castres.
Le maire de Pont-de-l'Arn Christian Carayol était sur place ainsi que le patron de l'entreprise dont une équipe était en chantier sur la commune du Vintrou, pour des enfouissements de lignes électriques au Mariech. Pendant les opérations de secours, les gendarmes ont régulé la circulation par alternance sur cette portion de route départementale. Il revient à la COB de Saint-Amans d'ouvrir une enquête accident. Dans la procédure il a été fait appel à la brigade motorisée de Castres pour les relevés d'usage de la carte numérique du camion, le chronotachygraphe. D'autres éléments recueillis viendront étayer la cause de cet accident pour l'heure inexpliqué.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/20/1444425-grave-accident-de-camion.html
Médicalisé, la victime consciente a été extraite de son engin vers 18h25 et transportée dans l'ambulance où il était dressé un premier bilan, notamment une fracture du tibia et du péroné droit. Le blessé, un Castrais âgé de 28 ans, a été évacué sur le centre hospitalier du pays d'Autan à Castres.
Le maire de Pont-de-l'Arn Christian Carayol était sur place ainsi que le patron de l'entreprise dont une équipe était en chantier sur la commune du Vintrou, pour des enfouissements de lignes électriques au Mariech. Pendant les opérations de secours, les gendarmes ont régulé la circulation par alternance sur cette portion de route départementale. Il revient à la COB de Saint-Amans d'ouvrir une enquête accident. Dans la procédure il a été fait appel à la brigade motorisée de Castres pour les relevés d'usage de la carte numérique du camion, le chronotachygraphe. D'autres éléments recueillis viendront étayer la cause de cet accident pour l'heure inexpliqué.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/20/1444425-grave-accident-de-camion.html
Egaré par son GPS, le cycliste se rendait à Narbonne par l’A61
Ce sont plusieurs automobilistes, surpris de doubler un cycliste sur l’autoroute A 61, qui ont alerté les gendarmes, hier soir, à 21 h 20.
Parfaitement équipé, avec notamment un gilet fluorescent, ce ressortissant roumain âgé d’une quarantaine d’années a été intercepté à hauteur de l’aire des Corbières, alors qu’il circulait en direction de Narbonne.
Pris en charge par les gendarmes de l’autoroute, l’homme a expliqué avoir bêtement suivi les instructions de son GPS pour se rendre sur Narbonne.
Reconduit à une sortie d’autoroute par les gendarmes, ce cycliste inconscient a dû s’acquitter d’une amende symbolique de 22 €, avant de pouvoir reprendre sa route.
http://www.midilibre.fr/2012/09/19/dma-egare-par-son-gps-le-cycliste-se-rendait-a-narbonne-par-l-a-61,564941.php
Parfaitement équipé, avec notamment un gilet fluorescent, ce ressortissant roumain âgé d’une quarantaine d’années a été intercepté à hauteur de l’aire des Corbières, alors qu’il circulait en direction de Narbonne.
Pris en charge par les gendarmes de l’autoroute, l’homme a expliqué avoir bêtement suivi les instructions de son GPS pour se rendre sur Narbonne.
Reconduit à une sortie d’autoroute par les gendarmes, ce cycliste inconscient a dû s’acquitter d’une amende symbolique de 22 €, avant de pouvoir reprendre sa route.
http://www.midilibre.fr/2012/09/19/dma-egare-par-son-gps-le-cycliste-se-rendait-a-narbonne-par-l-a-61,564941.php
Braquage dans le Gers : le sang-froid d'une buraliste
Un braquage à main armée a eu lieu en plein centre-ville et en plein jour, hier, dans un tabac-presse auscitain.
Il est 11 h 20 lorsque Martine Toulon voit entrer dans son tabac-presse-épicerie, situé au pied de l'escalier monumental, un homme. La tête enfouie sous la cagoule de son sweat-shirt, les yeux cachés par des lunettes « mouche » à la mode féminine et le bas du visage enfoncé dans les vêtements, il se poste à l'entrée du magasin. « Il est resté là, au niveau des bonbons », raconte la patronne, depuis vingt-trois ans, du magasin Totem, installé sur les berges du Gers. « Il m'a montré une arme. » Était-ce un revolver, un pistolet ou une arme à air comprimée ?
« Il s'est enfui en courant »
Derrière le comptoir qui la sépare de son agresseur, la patronne fait preuve d'un sang-froid et d'un calme à toute épreuve et dont elle s'étonne elle-même. « Je n'ai pas eu peur, sur le moment. J'ai plutôt ressenti de la colère. J'ai voulu lui jeter la caisse à la figure, mais mes mains tremblaient et la caisse est tombée par terre. Il m'a dit ''non, c'est les billets que je veux !'' » Alors j'ai fait le tour du comptoir pour venir à sa rencontre et je lui ai dit : « Je vais appeler ma famille et la police. Sur ce, il est sorti et s'est enfui en courant. »
Elle appelle immédiatement la police d'Auch qui, située à quelques centaines de mètres plus haut, place de la cathédrale, accourt. En voiture et à pied, munis de gilets pare-balles, les policiers « étaient là alors que j'étais toujours en ligne avec le commissariat », raconte Martine Toulon.
À ce moment, des clients arrivent. Des voisins viennent chercher leur pain pour le déjeuner. Certains ont pu apporter un témoignage affirmant qu'ils avaient vu un homme vêtu d'un sweat à capuche partir en courant dans les ruelles derrière le tabac, dans ce quartier en bord de Gers.
Hier soir, Martine Toulon a poursuivi sa journée de travail jusqu'à la fermeture du soir. « Je ne veux pas fermer. Pour quoi faire ? C'est mon travail ici, c'est comme ça que je gagne ma vie. Je ne vais pas rester chez moi à me morfondre. Si je décidais de fermer, alors je ne rouvrirais pas non plus les jours suivants… Non, je continue. Et puis, je ne veux pas qu'il croie qu'il m'a fait peur, je ne voudrais pas lui laisser ce plaisir. »
Alors, Martine Toulon rouvrira son commerce aujourd'hui et puis demain et les jours suivants. Mais elle craint l'hiver et la nuit qui tombe dès 17 heures. Avec son fort caractère et son regard franc, elle continuera de servir ses clients. Mais ne regardera plus la porte d'entrée avec la même confiance que jusqu'à présent.
http://www.sudouest.fr/2012/09/19/il-m-a-braquee-avec-une-arme-a-poing-825018-2277.php
Il est 11 h 20 lorsque Martine Toulon voit entrer dans son tabac-presse-épicerie, situé au pied de l'escalier monumental, un homme. La tête enfouie sous la cagoule de son sweat-shirt, les yeux cachés par des lunettes « mouche » à la mode féminine et le bas du visage enfoncé dans les vêtements, il se poste à l'entrée du magasin. « Il est resté là, au niveau des bonbons », raconte la patronne, depuis vingt-trois ans, du magasin Totem, installé sur les berges du Gers. « Il m'a montré une arme. » Était-ce un revolver, un pistolet ou une arme à air comprimée ?
« Il s'est enfui en courant »
Derrière le comptoir qui la sépare de son agresseur, la patronne fait preuve d'un sang-froid et d'un calme à toute épreuve et dont elle s'étonne elle-même. « Je n'ai pas eu peur, sur le moment. J'ai plutôt ressenti de la colère. J'ai voulu lui jeter la caisse à la figure, mais mes mains tremblaient et la caisse est tombée par terre. Il m'a dit ''non, c'est les billets que je veux !'' » Alors j'ai fait le tour du comptoir pour venir à sa rencontre et je lui ai dit : « Je vais appeler ma famille et la police. Sur ce, il est sorti et s'est enfui en courant. »
Elle appelle immédiatement la police d'Auch qui, située à quelques centaines de mètres plus haut, place de la cathédrale, accourt. En voiture et à pied, munis de gilets pare-balles, les policiers « étaient là alors que j'étais toujours en ligne avec le commissariat », raconte Martine Toulon.
À ce moment, des clients arrivent. Des voisins viennent chercher leur pain pour le déjeuner. Certains ont pu apporter un témoignage affirmant qu'ils avaient vu un homme vêtu d'un sweat à capuche partir en courant dans les ruelles derrière le tabac, dans ce quartier en bord de Gers.
Hier soir, Martine Toulon a poursuivi sa journée de travail jusqu'à la fermeture du soir. « Je ne veux pas fermer. Pour quoi faire ? C'est mon travail ici, c'est comme ça que je gagne ma vie. Je ne vais pas rester chez moi à me morfondre. Si je décidais de fermer, alors je ne rouvrirais pas non plus les jours suivants… Non, je continue. Et puis, je ne veux pas qu'il croie qu'il m'a fait peur, je ne voudrais pas lui laisser ce plaisir. »
Alors, Martine Toulon rouvrira son commerce aujourd'hui et puis demain et les jours suivants. Mais elle craint l'hiver et la nuit qui tombe dès 17 heures. Avec son fort caractère et son regard franc, elle continuera de servir ses clients. Mais ne regardera plus la porte d'entrée avec la même confiance que jusqu'à présent.
http://www.sudouest.fr/2012/09/19/il-m-a-braquee-avec-une-arme-a-poing-825018-2277.php
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