lundi 30 juin 2014

Béarn : des mineurs saccagent une école maternelle pendant les fêtes d'Idron

Les fêtes annuelles d'Idron ont été entachées, samedi soir, par divers événements qui ont nécessité l'intervention du service de sécurité, employé pour l'événement, mais aussi de la police nationale.
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Vers 1 heure du matin, 13 mineurs de 15, 16 et 17 ans dont 11 jeunes filles ont pénétré dans l'enceinte de l'école maternelle du groupe scolaire du centre bourg, avenue Pierre-de-Belzunce.
  • 26 500 euros de dégâts
Les dégâts à l'intérieur de l'établissement sont considérables : les vitrages ont été cassés, dix portes de sécurité ont été endommagées et les trottinettes sont inutilisables. La facture pour l'instant s'élève à 26 500 euros.
Elle ne compte pas les heures passées par le personnel communal à nettoyer : les tapis de la salle de motricité avaient été éparpillés dans toute l'école pour servir de couches, les pots de peinture avaient été ouverts, laissant des traces sur les murs et les toilettes... "Il y avait de tout", se désole la maire d'Idron, Annie Hild.
Les jeunes gens, qui n'étaient pas alcoolisés sauf une personne, ont été interpellés et remis aux parents. Une plainte de la mairie était en cours dimanche soir.
  • Vols de portables et fugue
Au cours de ces fêtes, on a également déploré quatre vols de portables assortis de quatre plaintes.
À 2 heures du matin, un jeune de 25 ans, originaire de Lescar, a été interpellé par les vigiles après qu'il a été dénoncé par un témoin. Il aurait volé le téléphone d'une jeune fille de 16 ans sur la piste de danse. Il a été placé en garde à vue. Son taux d'alcoolémie atteignait le taux de 0,76 g. Il fera l'objet d'une composition pénale ultérieure.
Enfin dimanche matin, à 10 h 30, alors que les fêtes devaient se terminer dans la soirée, une jeune fille, déclarée fugueuse par son foyer, situé en Haut Béarn, a été découverte, lors d'une opération de contrôle sur quatre jeunes qui étaient à nouveau entrés dans l'école. Elle a été remise à son éducateur.
L'année dernière, les fêtes d'Idron avaient été assez calmes. L'année précédente, de mémoire de policier, il avait déjà fallu intervenir.
  • Faire annuler les fêtes ?
Depuis quelques années, les fêtes d'Idron, qui sont les premières d'une longue série estivale servent de "défouloirs à des jeunes qui n'ont plus classe. Ils boivent beaucoup, on ne sait pas quoi faire. Je me demande si je ne vais pas finir par les faire annuler...", ajoute l'élue.
L'école a finalement pu rouvrir lundi matin après le nettoyage. Des plaques en formica ont été posées sur les vitres.

http://www.sudouest.fr/2014/06/30/des-fetes-mouvementees-1600863-4470.php

Agression à Honfleur. Une touriste se fait voler une bague à 183 000 €

Un couple de retraités américains a été agressé samedi soir, alors qu'il rentrait dans leur hôtel de luxe cinq étoiles à Honfleur (Calvados).

Vers 22 heures samedi, un groupe de trois à quatre individus, dissimulés sous des masques de Zorro, font irruption dans l'hôtel la Ferme Saint-Siméon. Ils ont d'abord frappé puis aspergé le mari de gaz lacrymogène, avant de subtiliser la bague de sa femme à l'aide d'une pince coupante et de prendre la fuite. Le bijou était assuré à hauteur de 250 000 dollars, soit environ 183 000 €.
La police judiciaire de Caen, saisie de l'enquête, recherche activement les malfaiteurs.

http://www.ouest-france.fr/agression-honfleur-une-touriste-se-fait-voler-une-bague-183-000-eu-2662310

Tentative d'homicide : il tire en direction d'un pavillon avec un fusil

Un homme a tiré samedi soir, à travers une fenêtre d'un pavillon du Caoulet. Il aurait tenté de viser un membre de sa famille par alliance. Une vengeance pourrait être à l'origine des faits.
Un homme d'une quarantaine d'années a été interpellé samedi soir par les gendarmes alors qu'il s'était retranché chez son frère. Placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie d'Agen, il est soupçonné d'avoir tiré, avec un fusil de chasse, en direction d'une maison de parents par alliance, située dans un lotissement du Caoulet, allée Jean-Thorte, commune de Foulayronnes. Un coup de feu a été tiré vers 20 h 30 à travers une vitre visant une silhouette d'homme. Ce dernier n'a pas été touché par les projectiles de plombs, mais blessé par des éclats de verre. L'intéressé a été pris en charge par les pompiers, ainsi que sa femme en état de choc, présente dans le pavillon au moment des faits. Des riverains qui ont vu l'auteur présumé déambuler dans le lotissement, l'arme à la main, ont immédiatement donné l'alerte. Très vite, le suspect a été localisé, avenue de la Candélie, chez son frère. Il n'a pas opposé de résistance aux gendarmes. Le frère a été entendu en raison de son lien direct avec le couple pris pour cible. En l'espèce, il s'agirait de sa propre belle-mère et du compagnon de celle-ci. Selon une source proche du dossier, il aurait cherché à dissuader son frère de se rendre chez ses beaux-parents.

Vexation

La piste d'un différend familial reste privilégiée. Peut-être de l'ordre d'une vexation. L'enquête ouverte pour tentative d'homicide est confiée aux gendarmes de la brigade de recherches départementale. Les militaires ont reçu l'appui des gendarmes de la compagnie d'Agen qui sont intervenus dans les plus brefs délais sur les lieux, avec le concours du PSIG. Des élus de la mairie de Foulayronnes se sont rendus sur place samedi soir.
Les techniciens de la cellule d'investigations criminelles ont réalisé des prélèvements balistiques dans la maison. L'auteur présumé aurait été aperçu alcoolisé sortant d'un bar de la ville en fin de journée. Son audition était en cours hier pour mieux cerner les contours de sa colère. Sa garde à vue a été prolongée par le parquet.

Un homme grièvement brûlé dans sa voiture

Hier, vers 15 h 30, les pompiers du Dévoluy sont appelés pour un véhicule en feu, sur la RD17B, qui part de Saint-Étienne-en-Dévoluy et monte à la station, à proximité du hangar de la régie des remontées mécaniques.
Un homme se trouve à l’intérieur du véhicule. Une déflagration retentit également. Les pompiers du Dévoluy, qui sont une dizaine à être intervenus sur place, réussissent à éteindre l’incendie à l’aide d’une lance à débit variable. Le feu ne s’est pas propagé aux bâtiments alentours. Quant à la victime, il s’agit d’un homme de 22 ans. Grièvement brûlé, il a été pris en charge par les secours. Il a ensuite été évacué à bord de l’hélicoptère du Samu des Hautes-Alpes vers un hôpital lyonnais, où il a été admis dans un service des grands brûlés. Joint hier, le procureur de la République de Gap, Raphaël Balland, a indiqué « qu’il ne s’agissait pas d’un acte criminel ». Selon le Parquet, le jeune homme était conscient quand il a été pris en charge par les secours. Les gendarmes de la brigade du Dévoluy se sont également rendus sur place.

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2014/06/30/le-devoluy-un-homme-grievement-brule-dans-sa-voiture

dimanche 29 juin 2014

Savoie : un jeune homosexuel que ses parents voulaient exorciser se suicide

Peter, un jeune homme de 21 ans, membre de l'association Le Refuge, qui apporte son soutien aux jeunes homosexuels rejetés par leur famille, s'est suicidé, jeudi 26 juin. Son père et sa mère voulaient l'exorciser pour sa différence.

Peter était animateur dans un Club Med de Savoie. Mais derrière son sourire, ce jeune homosexuel semblait vivre un calvaire. Ses parents ne supportaient pas son homosexualité.

En septembre 2013, il avait écrit dans une lettre : "Mes parents deviennent de plus en plus hard dans leurs prières latines contre le diable. De toute façon, rien ne m’étonne après qu’ils aient fait appel à un prêtre exorciste pour me faire changer de bord."

Ouverture d’une enquête

 "Ce sont des mots très durs, c’est terrible", estime Frédéric Gal, directeur générale de l’association Le Refuge.

Le mois dernier, Peter avait passé une semaine dans la structure montpelliéraine de l’association Le Refuge. À sa sortie, il était toujours très affecté selon les bénévoles.

Le jeune homme s’est jeté d’un pont à Valmorel. Une enquête a été ouverte pour connaître les circonstances de ce drame.
 
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers

Béarn : un homme portant des traces de coups au visage retrouvé mort

Samedi matin, les gendarmes de la brigade de recherche de Lescar et ceux de la compagnie de Pau, placés sous le commandement du capitaine Pierre Noël, tentaient de trouver des traces permettant d'expliquer la mort d'un homme d'une quarantaine d'années, retrouvé par des témoins, sur la voie publique, vendredi vers 20h30 à Narcastet.
 
Locataire d'un appartement HLM du bailleur Habitelem à Narcastet, la résidence Louisiane du Clos Bedat, l'homme portait des lésions sur le corps et notamment au visage, selon des témoins. La représentante du parquet de Pau expliquait toutefois que "l'intervention d'un tiers n'est pas confirmé". La victime aurait pu se blesser en tombant.
Dans ce quartier tranquille qui mixe des logements sociaux répartis dans de petits bâtiments et les résidences cossues, c'était l'étonnement. "On n'a rien entendu" affirmait un voisin. "Hier soir, il y avait des gens dehors parce qu'ils faisait bon mais c'était calme" disait un autre.
Seul un autre locataire du bâtiment Louisiane expliquait qu'il avait peut-être "entendu des cris."
La personne décédée était connue du voisinage. Présenté comme "un marginal sans histoire qui faisait du stop et avait un chien".
Le maire, Jean-Pierre Faux, était encore sous le choc ce samedi matin alors que les premières constations laissaient penser à un mauvais coup pris dans une bagarre. "Les bras vous en tombent. Nous n'imaginions pas que de telles choses pouvaient se produire sur notre commune".
Selon le parquet, aucune interpellation n'était intervenue avant midi.

http://www.sudouest.fr/2014/06/28/bearn-un-homme-portant-des-traces-de-coups-au-visage-retrouve-mort-1599848-4344.php

Deux enfants mordus au visage par un chien

Vendredi, vers 23 heures, en marge de la fête de l'école, deux enfants, Charles, 8 ans, et Lucas, 5 ans, ont été sérieusement blessés au visage par un épagneul. Les deux enfants, pour lesquels beaucoup d'adultes présents à la fête ont d'abord craint qu'ils soient défigurés, ont été transportés à la clinique Saint-Hilaire d'Agen. L'un était profondément blessé à la lèvre, l'autre à une gencive. Hier, en fin d'après-midi, Suzanne Macabiau, maire de Miradoux, nous donnait des nouvelles plutôt rassurantes des victimes. Lucas avait rejoint son domicile tard dans la nuit après des soins et Charles est revenu à Miradoux hier après-midi. Suzanne Macabiau, qui, elle aussi, était de la fête vendredi, confirme que l'épagneul et le griffon qui l'accompagnait n'étaient pas connus des villageois. Il s'agit, en effet, de deux chiens venus du Tarn-et-Garonne (hameau Lachapelle…) qui divaguaient depuis deux jours. Ils ont été rendus à son propriétaire auquel le procureur de la République du Gers a fait obligation de soumettre le chien «agressif» à une analyse de comportement par un vétérinaire. Mais, selon la gendarmerie, le propriétaire envisage de faire euthanasier cet animal. L'autre chien s'est tenu totalement à l'écart de l'agression contre les deux enfants, ont noté les témoins.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/29/1909327-mordus-au-visage-par-un-chien.html

Accident grave à Amel une femme de 21 ans héliportée

L’accident a eu lieu peu après midi, sur la D14, hors agglomération d’Amel sur l’Etang, ce samedi.
Un agriculteur d’une quarantaine d’années, sortait de son champ en tracteur, quand, pour une raison qu’il restera à déterminer, il est entré en collision avec une voiture, qui circulait sur la départementale, perpendiculaire au chemin de terre.
Au volant, une jeune femme de 21 ans, résidant à Amel-sur-l’Etang. Elle a été gravement blessée dans l’accident.
Les pompiers de Verdun et Etain se sont déplacés sur les lieux, ainsi qu’une équipe du SAMU. La victime a dû être désincarcérée. Touchée à la colonne vertébrale, elle a été héliportée vers l’hôpital de Nancy. Le conducteur du tracteur, lui, est indemne.
L’enquête a été confiée à la communauté de brigades d’Etain. Les gendarmes se trouvaient sur place pour effectuer les constatations d’usage. Et faire toute la lumière sur cet accident.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/06/28/accident-grave-a-amel-une-femme-de-21-ans-heliportee

samedi 28 juin 2014

Val-d'Oise : la cocaïne arrivait dans des lettres

Quelques dizaines de grammes tout au plus à chaque fois, mais des enveloppes par centaines. Entre les Antilles et Sarcelles, la cocaïne voyageait par courrier ordinaire ; les trafiquants préférant la discrétion des lettres pour déjouer les contrôles éventuels sur les colis.

Cette semaine, sur commission rogatoire d'un juge d'instruction de Pontoise, les enquêteurs de l'antenne de Cergy de la DRPJ Versailles ont lancé un coup de filet des deux côtés de l'Atlantique.

Six suspects ont été interpellés mardi en Martinique, d'où était postée la drogue, et six autres en région parisienne, où elle arrivait dans les boîtes aux lettres. Quatre ont été appréhendés à Sarcelles, dans le Val-d'Oise, et deux autres à Bondy et Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis.

Deux frères au coeur du dispositif

Au fil de l'
menée avec le GIR 95, spécialisé dans la lutte contre l'économie souterraine, les policiers de la PJ ont découvert le point névralgique du trafic : une cellule de la maison d'arrêt de Martinique, à Ducos, où le cerveau du réseau, un détenu de 31 ans, organisait tout le trafic avec un simple téléphone. L'homme, qui purge déjà une peine de prison pour importation de produits stupéfiants, avait pour interlocuteur principal en métropole son jeune frère de 21 ans, installé à Sarcelles.

Après avoir envoyé un premier colis contenant 500 g de drogue, les trafiquants sont passés aux enveloppes, opérant souvent par envois groupés, puisqu'il arrivait qu'une quarantaine de lettres partent le même jour pour la métropole. D'où une organisation en Martinique, pour confectionner les envois, mais aussi en région parisienne, pour assurer la réception de la drogue.

Parmi les mis en examen, certains étaient chargés de trouver des adresses où les lettres pouvaient être acheminées. Certains destinataires ignoraient le contenu des courriers, pensant rendre service à des proches. Ce trafic rapportait gros. La drogue était achetée aux Antilles au tarif local, soit environ 6 000 EUR le kilo. Une cocaïne pure à 85 %, coupée assez largement à l'arrivée afin de mettre sur le
un produit pur à 30 ou 40 % et revendue autour de 30 000 à 40 000 EUR le kg. Soit, au final, autour de dix fois la mise initiale.

Lors de perquisitions, les enquêteurs ont saisi 3,5 kg de cocaïne et 10 000 EUR en espèces. Ils ont également mis la main sur cinq balances électroniques et des produits de coupe. Sept personnes ont été incarcérées et trois autres placées sous contrôle judiciaire.


http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/val-d-oise-la-cocaine-arrivait-dans-des-lettres-28-06-2014-3960687.php

Il percute une voiture et un bus

Le sang-froid du chauffeur de Tarnbus, qui partait d'Albi, en direction de Castres, a sans doute permis d'éviter une issue tragique à la violente collision qui s'est produite, hier vers 17 h 30, sur la D 112, entre Puygouzon et Dénat. Un véhicule, les ambulances du Thoré qui se descendait la deux voies en direction d'Albi s'est brusquement déporté sur sa gauche, heurtant légèrement un petit 4x4 avec deux personnes à bord avant de percuter violemment un bus de la ligne Tarnbus du conseil général, puis de finir sa course sur sa droite. Les deux occupants du premier véhicule, en équilibre sur le rail de sécurité, ont été légèrement blessés et pris en charge par les secours.
La dizaine de passagers du bus ainsi que le chauffeur ont été choqués mais pas blessés. Le conducteur, voyant l'ambulance lui foncer dessus, a serré son bus sur la droite contre le rail de sécurité. Ce qui a permis d'éviter un choc frontal aux conséquences désastreuses. Seul l‘avant-gauche du bus a été broyé.
Le conducteur de l'ambulance, plus sérieusement touché, a dû être désincarcéré par les sapeurs-pompiers d'Albi, il a reçu les premiers soins du Smur avant d'être conduit au centre hospitalier. Sous la violence du choc, le moteur du véhicule privé a été arraché et projeté à une dizaine de mètres en contrebas de la route.
Sur place, les secours se sont rapidement organisés avec trois ambulances, un camion de secours routier et un petit camion porteur d'eau. Les gendarmes ont mis deux déviations en place, en amont et en aval du lieu de l'accident, afin de résorber les kilomètres de bouchons.
Reste maintenant aux enquêteurs de l'escadron départemental de la sécurité routière à déterminer pourquoi l'ambulancier s'est déporté soudainement dans la grande ligne droite, peu avant le radar fixe : vitesse excessive, malaise, assoupissement ?

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/28/1909047-il-percute-une-voiture-et-un-bus.html

vendredi 27 juin 2014

Ain. Lagnieu: blessé grièvement en chutant du 4e étage

Ce vendredi après-midi, à Lagnieu, un homme d’une trentaine d’années a sauté par la fenêtre de son appartement au 4e étage, pour une raison encore indéterminée.
Rapidement sur les lieux, les sapeurs-pompiers de Lagnieu et le SMUR ont déployé tous les moyens nécessaires pour le secourir.
La brigade de Gendarmerie de Lagnieu était sur place pour effectuer les constatations. Il a été transporté sur l’hôpital Edouard Herriot à Lyon


http://www.leprogres.fr/ain/2014/06/27/lagnieu-blesse-grievement-en-chutant-du-4e-etage

Bordeaux : les cambrioleurs prévoyaient de séquestrer une riche famille

Dans le cadre d'une enquête engagée depuis le mois d'avril sur les agissements d'un groupe de cambrioleurs, les gendarmes de la section des recherches de Bordeaux-Bouliac, épaulés par différentes unités d'intervention du groupement de gendarmerie de Gironde, ont interpellé il y a quelques jours cinq individus, mis en cause dans le cadre d'une association de malfaiteurs.
 
Les investigations conduites par les gendarmes ont fait apparaître que ces cinq hommes projetaient de s'en prendre à une riche famille qu'ils entendaient séquestrer pour s'en prendre à leur coffre fort.
Les gendarmes ont identifié et localisé tous les protagonistes de ce crapuleux projet. Interpellés et placés en garde à vue, ils ont ensuite été présenté à un juge d'instruction et mis en examen pour association de malfaiteurs. Ils ont ensuite été présentés devant un juge des libertés et de la détention et trois d'entre eux ont été placés sous mandat de dépôt.
Au cours des perquisitions qui ont suivi les interpellations, trois armes de poing, un fusil, plusieurs masques et des équipements électroniques sophistiqués ont été saisis. 

http://www.sudouest.fr/2014/06/27/bordeaux-les-cambrioleurs-prevoyaient-de-sequestrer-une-riche-famille-1598951-2780.php

Borderouge. Il poignarde à mort un ami puis tente de le réanimer

Un homme de 39 ans a succombé à deux coups de couteau, hier, après une soirée arrosée dans l'appartement d'un ami qui a tenté de le réanimer, quartier Borderouge.
«Allô, je crois que je viens de tuer un homme…». C'est en substance ce qu'a déclaré aux policiers un homme de 58 ans en s'accusant, au téléphone, d'avoir porté des coups de couteau sur un ami qui venait de passer la soirée chez lui, dans la nuit de mercredi à jeudi, à Toulouse. Un coup de sang encore inexpliqué même si l'alcool a semblablement joué les détonateurs.
Jeudi, vers 2 h 30 du matin, les policiers réceptionnent l'appel d'un individu, Daniel L., qui leur déclare au bout du fil avoir poignardé un homme, chez lui, impasse Olympe de Gouges, quartier Borderouge, à Toulouse. Lorsque la brigade anticriminalité arrive sur les lieux, ils découvrent le corps d'un homme gisant au sol. La victime, Mourad Moussa, 39 ans, succombe à ses blessures, deux coups de couteau au thorax portés à l'aide d'une arme blanche type opinel. Son hôte s'affaire sur son corps pour tenter de le réanimer. Les secours prennent aussitôt le relais mais en vain. Interpellé et placé en cellule de dégrisement, avant sa garde à vue, le suspect n'a pas fourni d'explications claires. La soirée avait débuté à son domicile, dans son appartement, plutôt bien tenu, situé au rez-de-chaussée d'un immeuble de construction récente, dans les nouveaux quartiers de Borderouge. Une dispute aurait éclaté entre lui et Mourad. Une embrouille sur fond d'alcool, entre bières et vin, qui dégénère très vite puisque l'invité est victime d'au moins deux coups de couteau dans le thorax dans ce drame à huis clos. L'arme est retrouvée par les policiers au domicile de Daniel L.
Sans emploi et vivant de revenus sociaux, ce suspect est décrit comme solitaire, «il pouvait rester des heures, enfermé chez lui tout seul à fumer des cigarettes», résume un voisin. «Une personne aimable mais qui souffrait de problèmes de santé», ajoute une riveraine de l'impasse Olympe de Gouges.
À moins de deux kilomètres de là, chemin d'Audibert, aux Izards, où résidait la victime, ses proches sont sous le choc. «Mourad n'était pas quelqu'un de violent, assure un riverain et voisin de la victime. Il recevait quelque fois des invités chez lui pour boire un coup. Un soir, j'ai entendu voler par la fenêtre un téléviseur… Mourad avait été blessé au visage.»
Ce n'était pas la première fois que la victime se rendait chez son meurtrier présumé. Deux hommes en difficulté sociale. Existait-il un contentieux entre les deux ?
Les enquêteurs de la sûreté départementale poursuivent leurs investigations pour mieux connaître la nature de la relation entre les deux hommes.
Hier, l'autopsie a confirmé la présence de deux plaies au thorax compatibles avec des blessures par arme blanche.
Le suspect pourrait être déféré aujourd'hui au parquet et présenté devant un juge d'instruction

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/27/1908333-borderouge-poignarde-mort-ami-puis-tente-reanimer.html

jeudi 26 juin 2014

Seine-et-Marne: 2 hommes blessés par des coups de feu, l'un grièvement

Deux hommes ont été blessés mercredi après-midi par des coups de feu en pleine rue à Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne), dont l'un grièvement.
Les deux hommes "ont été pris pour cibles" vers 17H00 dans le quartier proche de la gare cette commune de grande banlieue à 35 kilomètres à l'est de Paris, a relaté à l'AFP une source judiciaire, précisant que le mobile n'était pas encore connu. L'un des hommes, âgé d'une trentaine d'années, a été blessé à l'aine. Dans un état jugé "sérieux", il a été héliporté à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, a précisé une source proche du dossier. Le second, touché à la jambe, s'est rendu seul à l'hôpital où il a donné l'alerte. Il devait être entendu par les enquêteurs en fin de journée, a précisé la source judiciaire. Selon une autre source proche du dossier, les victimes sont "défavorablement connues des services de police". La police judiciaire de Melun a été saisie de l'enquête.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/06/26/seine-et-marne-2-hommes-blesses-par-des-coups-de-feu-l-un-grievement-506417.html

Limoux : le PSIG intercepte un forcené

Ce matin, en milieu de matinée, à Cournanel, à l'auberge de La Corneilla, un jeune homme dont on ignore l'identité a été victime d'une crise de nerf. Il s'est retranché dans sa chambre, au premier étage, puis s'est mis à casser des objets. Et il a tenté de mettre le feu.
Les gendarmes et les pompiers de Limoux sont intervenus rapidement. Mais toutes les tentatives pour raisonner le jeune homme sont restées vaines. 
La propriétaire de l'auberge a alors donné son accord pour que les hommes du PSIG (peleton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) enfoncent la porte.
Mais le forcené s'est soudain jeté par la fenêtre. Blessé au pied, il a été transporté par le samu jusqu'à l'hôpital de Carcassonne. A 12h30, l'intervention des secours était terminée.

http://www.lindependant.fr/2014/06/26/limoux-le-psig-intercepte-un-forcene,1899413.php

Une vingtaine de policiers pour maîtriser le body-builder surexcité

Un culturiste éconduit par sa petite amie a opposé une résistance inouïe face aux policiers mardi soir. Ils ont dû s'y mettre à vingt pour le stopper dans son élan de rage.
Excité et pas franchement décidé à se laisser faire. Un jeune homme, body-builder à la carrure de colosse, a donné bien du fil à retordre aux policiers dans la nuit de mardi à mercredi.
Les secours ont d'abord été appelés pour un différend familial dans un logement de l'avenue des Minimes à Toulouse. Il était 22 h 45. Le culturiste de 21 ans et sa petite amie s'étaient disputés. Alors qu'elle souhaitait qu'il quitte l'appartement, lui n'avait de cesse que d'y rester sans laisser sortir la jeune femme. Les esprits se sont échauffés et les policiers ont été prévenus.
Lorsqu'ils sont arrivés sur place, ils sont parvenus à faire sortir la demoiselle, mais le Monsieur s'est montré très agressif, pas du tout coopérant et plus que coriace. Rapidement, des effectifs de police supplémentaires ont été appelés en renfort. Au total, six véhicules, soit près de vingt fonctionnaires se sont transportés sur les lieux.
Face à l'agressivité du sportif, passé en mode Hulk, les fonctionnaires se sont résolus à faire usage du taser (pistolet à impulsion électrique), censé neutraliser les plus récalcitrants en envoyant des décharges de plusieurs milliers de volts à l'adversaire.

Insensible au taser

Comme si les deux dards du taser l'avaient simplement chatouillé, le jeune homme aux muscles saillant ne s'est pas calmé. Il a arraché les deux griffes, comme qui rigole, et continué de s'en prendre avec violence aux policiers. Trois d'entre eux ont d'ailleurs été légèrement blessés. Le deuxième coup de taser n'a pas eu davantage d'effets sur l'agresseur. Il s'est finalement retrouvé à terre au bout d'un troisième tir de taser. Là encore, toujours agité, il a dû être maîtrisé par sept à huit fonctionnaires qui l'ont ceinturé et enfin interpellé.
Légèrement blessé, le jeune homme a d'abord été conduit à l'hôpital Purpan avant de finir sa nuit en garde à vue dans les geôles du commissariat central. On ignorait hier s'il était sous l'emprise de produits qui ont pu influencer son comportement lorsqu'il s'est rebellé face aux policiers. Hier, il a pu être entendu par les enquêteurs de la brigade de protection des familles avant d'être déféré devant un juge.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/26/1907608-une-vingtaine-de-policiers-pour-maitriser-le-body-builder-surexcite.html

«Il a mis un revolver sur la tête de ma sœur de 13 ans»

Moissac (82) - Après le vol à main armée de mardi, la famille de la victime témoigne

Vingt-quatre heures après le vol à main armée commis au domicile d'une famille moissagaise, située avenue Jean-Jaurès, c'est une fratrie sous le choc et une jeune victime traumatisée qui nous ont confié le témoignage de cette terrible matinée. En effet, mardi matin, vers 10 heures, un individu qui pensait vraisemblablement commettre un cambriolage en l'absence des propriétaires, n'a pas hésité à visage découvert à braquer avec une arme à feu une jeune adolescente de 13 ans qui lui avait ouvert la porte de son domicile. «Mes parents étaient partis en vacances la veille pour le Maroc où ma petite sœur et ma grand-mère devaient les rejoindre par avion mardi après-midi» témoigne le frère de la victime qui le même jour avait quitté dès 8 heures le domicile familial pour se rendre à son travail. Et de poursuivre : «vers 10 heures, une personne a sonné à la porte en déclarant à ma sœur âgée de 13 ans qui n'avait pas encore ouvert que c'était le facteur pour un recommandé. La porte ouverte, un jeune individu l'a propulsée contre le mur la main sur la bouche et un pistolet sur la tête en lui criant : «si tu parles, je te tue !» La jeune collégienne scolarisée en 5e au collège François-Mitterrand tétanisée par la violence de son agresseur qui ne cessera de la menacer de son arme à feu, obtempère. «Elle a eu beaucoup de courage, elle n'a rien dit, pendant ce temps le braqueur a fouillé un sac à main pour voler un portefeuille et un passeport avant de disparaître.» Et d'insister : «Ma sœur est traumatisée par cette agression, elle a quitté Moissac et n'a pas dormi de la nuit. Elle allait jusqu'ici au collège à pied, elle ne peut plus s'y rendre, elle a peur que son agresseur réapparaisse pour la tuer. C'est sidérant de vivre une pareille chose ici, on se croirait dans une favela de Rio ! Nous attendons maintenant que cette affaire n'en reste pas là, nous allons nous porter partie civile…»
Le mis en cause, un mineur de Moissac au lourd passé judiciaire, qui a été arrêté comme nous le révélions hier, par un heureux hasard des circonstances à la brigade de gendarmerie de Castelsarrasin — ce dernier se rendant le jour même de son agression à une convocation pour une autre affaire — a passé la nuit en garde à vue dans les locaux de la brigade des recherches (BR). Au terme de cette dernière, hier après-midi, le mis en cause présumé a été déféré au parquet de Montauban. Entendu par la procureur de la République Alix Cabot-Chaumeton, il s'est vu confirmer par la magistrate qu'il serait poursuivi pour des faits de vol avec violences. Une requalification de crime en délit que suivait la juge des enfants, Mélanie Rainsart. Cette dernière lui notifiait également sa mise en examen et un placement sous contrôle judiciaire (1). Ainsi, au terme de son déferrement, le mineur incriminé a été relâché en l'attente des investigations toujours en cours et de son procès devant le tribunal des enfants.
(1) Tout mis en examen est présumé innocent tant qu'il n'a pas été définitivement condamné par le tribunal compétent.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/26/1907589-mis-revolver-tete-soeur-13-ans.html

mercredi 25 juin 2014

Le chauffeur du car oublie de serrer le frein à main : un blessé grave

Une catastrophe routière a sans doute été évitée par miracle aujourd’hui en début d’après-midi sur une route de montagne, la route du Peuil, située sur la commune de Claix (banlieue de Grenoble). Un autocar transportant 18 enfants et leurs trois accompagnateurs a failli partir en marche arrière de façon incontrôlée vers 14 h 30 lorsque le chauffeur du véhicule est descendu pour explorer la route qui formait une épingle à cheveux difficile à négocier.
Il semble que cet homme de 42 ans ait fait une erreur d’itinéraire et qu’il se soit garé pour tenter de trouver une solution pour manœuvrer. Il se trouvait à côté du véhicule, un bus d’une cinquantaine de places, quand ce dernier a commencé à reculer, probablement parce que le frein à main n’avait pas été activé. Une accompagnatrice a alors eu un réflexe salvateur : elle est parvenue à serrer le frein et à immobiliser le car, mais le conducteur s’est trouvé coincé entre le véhicule et un mur. Gravement blessé au bassin, il a été secouru par les sapeurs-pompiers et le Samu et transporté au service déchocage du CHU de Grenoble La Tronche. Les enfants ont été mis en sécurité dans une maison en attendant d’être pris en charge par le transporteur.


http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/06/25/le-chauffeur-du-car-oublie-de-serrer-le-frein-a-main-un-blesse-grave

Huit blessés dans un violent accident de la route en Dordogne

Une collision a fait huit blessés, ce mardi, en fin d'après-midi dans la commune de Cendrieux. Le drame s'est produit aux environs de 18 heures, hors agglomération, à une intersection.
 
Au volant d'une Citroën Xara, un jeune homme qui venait de Sainte-Alvère et roulait avec trois passagers à bord, sur la départementale D2 en direction de Cendrieux, a omis de marquer un stop au croisement de la départementale D42.
L'automobile catapultée
Son véhicule a été violemment percuté latéralement par une Opel Zafira qui venait de sa gauche et n'a pu freiner à temps pour éviter le choc. L'automobile a été catapultée dans un champ situé à une quinzaine de mètres.

http://www.sudouest.fr/2014/06/25/huit-blesses-evacues-1595887-1777.php

Lyon 6e : un voyageur fait un malaise lors de l’évacuation du métro

La ligne A du métro a dû être interrompue en raison d’un incident technique ce mercredi matin, vers 9 heures. Environ 400 passagers bloqués entre deux stations ont dû être évacués par les secours au niveau de Masséna (Lyon 6e), indiquent les pompiers.

Au cours de la manœuvre, un voyageur a été victime d’un malaise. La victime est actuellement prise en charge par les secours. En attendant que la situation retourne à la normale, des bus relais ont circulé entre les stations Charpennes et Vaulx-en-Velin-La Soie. Le trafic a repris vers 10h50.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/06/25/lyon-6e-un-voyageur-fait-un-malaise-lors-de-l-evacuation-du-metro-xotb

Un culturiste blesse 3 policiers et résiste à deux décharges de Taser

Trois policiers toulousains ont été blessés par un culturiste qu'ils étaient venus appréhender à son domicile du quartier des Minimes. Le "colosse" n'a été maîtrisé qu'après l'usage d'un pistolet à impulsion électrique, type Taser.
Appelés mardi soir, vers 22h45, pour régler un différend familial, les fonctionnaires sont tombés sur un Monsieur Muscle déchaîné, vraisemblablement sous l'emprise d'anabolisants. Après avoir réussi à faire sortir la jeune compagne du culturiste de l'appartement, les policiers ont tenté de maîtriser cet adepte du body-building. Mais, face à son agressivité, ils ont dû appeler en renfort des collègues. Pas moins de six autres équipages sont intervenus. Dans la bagarre, trois policiers ont été légèrement blessés.
Les fonctionnaires ont finalement réussi à maîtriser le "colosse", vers 23h40, en faisant usage, à trois reprises, d'un pistolet à impulsion électrique. L'homme a été hospitalisé à Purpan, comme le veut la procédure après avoir reçu des décharges de Taser, avant d'être placé en garde à vue au commissariat.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/25/1907121-trois-policiers-blesses-par-un-culturiste-aux-minimes.html

mardi 24 juin 2014

Il tue son père tyrannique, sa peine allégée en appel

Un homme de 26 ans a été condamné en appel à 12 ans de réclusion pour avoir tué son père tyrannique, ce mardi 24 juin au tribunal de Colmar. En première instance, Frédéric Bohnert avait écopé de 20 ans de réclusion, une peine "infiniment trop sévère, il ne méritait pas ça", avait martelé son avocate, Me Jocelyne Klopfenstein.


Un soir de novembre 2010, le jeune homme avait tué son père, Robert Bohnert, un comptable de 68 ans à la retraite, à coups de couteau et de hache. Les faits avaient eu lieu au domicile familial de Schiltigheim, dans la banlieue de Strasbourg.

Porter assistance à sa mère

L'accusé avait expliqué son geste par la nécessité de se "protéger", mais aussi de protéger sa mère, contre les multiples violences verbales et psychologiques infligées par son père.


Une experte psychiatrique avait affirmé aux jurés que Frédéric Bohnert n'avait "pas (eu) le choix". "Il fallait qu'il tue le tyran pour pouvoir exister, pour pouvoir vivre", avait-elle dit.
 
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/il-tue-son-pere-tyrannique-sa-peine-allegee-en-appel-7772840116

Jugé pour le meurtre de sa compagne : «Je l'ai tuée parce qu'elle voulait me quitter»

«Je l'ai tuée parce qu'elle voulait me quitter» : c'est l'explication livrée hier par Jérôme Sobraques, 33 ans, accusé du meurtre de sa compagne Céline, 27 ans, en février 2012, à Pamiers. Et si la jeune femme voulait qu'il s'en aille, c'est en raison, justement, de ses accès de violence.
Cinq coups de couteau. Le premier au thorax, les quatre suivants à la gorge. Ils ont été donnés avec la volonté de tuer, et Jérôme Sobraques, 33 ans, accusé du meurtre de sa compagne Céline, alors âgée de 27 ans, et maman d'une petite fille de 4 ans (1) ne le nie pas. Il l'a d'ailleurs reconnu devant les gendarmes venus l'interpeller chez sa mère, où il s'était réfugié la nuit du drame. Il l'a également reconnu devant les policiers qui l'ont entendu à Pamiers. Il l'avait annoncé lui-même à son ex-compagne, au frère et au père de cette dernière, au président de son club de boules, qu'il considérait comme un père. Bref, à la moitié de Mazères et de Pamiers, avant d'être arrêté.
Un matin de février 2012
C'était au petit matin, en février 2012. Cinq heures plus tôt, Céline, hôtesse de caisse dans un magasin appaméen, avait regagné le domicile qu'elle occupait avec sa fille, à quelques dizaines de mètres du commissariat. La jeune femme, âgée de 27 ans, y vivait seule avec sa fille de quatre ans, avant que Jérôme Sobraques ne débarque avec ses valises. «Un peu trop vite», selon la jeune femme. De Céline, ses proches dressent le portrait d'une femme gaie, ouverte et généreuse. «Quelqu'un de joyeux, de souriant, avec un relationnel très fort, très apprécié de ses collègues», souligne son employeur. «C'était quelqu'un qui avait tendance à vouloir le “mieux” pour les autres. Quelqu'un qui croyait en la vie, en l'humain, en la bonté, parce qu'elle était comme ça», dit l'une de ses amies, Marie-Elisabeth. «C'était la personne la plus forte que je connaissais, note sa plus proche confidente, Audrey. Elle savait que la vie était belle et qu'elle valait la peine d'être vécue. Et pourtant, des galères, elle en a eu». Et son père, Patrick, un homme de 53 ans au parcours de vie douloureux, la décrit comme «un bijou» : «Il fallait qu'elle aide tout le monde. C'était peut-être à cause de mon exemple».
Jérôme Sobraques, lui, présente un visage plus ténébreux. Bosseur, il n'hésite pas à se lever très tôt pour prendre son poste de chauffeur dans une société d'équarrissage. Il est présenté comme organisé et méticuleux, voire même maniaque. Économe. Lorsqu'il rencontre Céline, en novembre 2011, il vit en couple depuis neuf ans, avec une autre femme, Mélanie, connue alors qu'elle n'avait que 18 ans. Il est devenu père d'une petite fille, alors âgé de vingt mois. Et le couple envisage d'acheter une maison. Les papiers sont prêts. Ils sont même passés chez le notaire. Un visage lisse. Une vie bien réglée. «Pour moi, le travail, c'est quelque chose d'important», admet, dans son box, Jérôme Sobraques.
Mais, dans le privé, ce n'est pas le même homme. Son ex-compagne, Mélanie, en pleurs, en a témoigné à la barre, longuement. Elle a parlé des meubles cassés dans la maison, des assiettes qui volaient, des coups de poing dans les murs. «Il y avait tellement de dégâts à payer que je n'osais plus regarder les relevés de la banque», confie la jeune femme.

Impulsif, parfois violent, joueur…

Jérôme Sobraques peut se montrer impulsif, il le reconnaît lui-même. «Il a eu une enfance très chaotique et très perturbée», confie sa mère, qui a quitté le père de Jérôme alors qu'il était bébé. Elle décrit cet homme comme excessivement jaloux et brutal dans ses comportements. Des traits de caractère que son fils aurait reçu en héritage.
Et Jérôme apparaît aussi comme un homme égoïste, qui ne donne aucune indication sur son emploi du temps. «Je l'attendais parfois toute la nuit», explique Mélanie. Jérôme Sobraques, lui, joue au poker. De grosses sommes. Parfois, il appelle sa compagne en urgence pour qu'elle vienne le dépanner. La jeune femme fait le dos rond. Elle essaie d'arrondir les angles, de le pousser à consulter un médecin.
Après sa rencontre avec Céline, au bout d'un mois d'une liaison connue de tous, la jeune femme lâche l'affaire : «Je n'avais jamais rien dit. J'avais tout accepté. Je voulais juste être tranquille. Aujourd'hui, je revis». Avec l'aide de voisins, elle met son compagnon dehors. Mis à la porte de son foyer, il pousse la porte de l'appartement de sa nouvelle passion. Il s'installe chez elle, avec ses valises, quelques affaires, et toute sa part d'ombre.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=28156&WS=291720_2501986&WA=5407

lundi 23 juin 2014

Landes : un agent blessé par un engin explosif, un collégien interpellé

Vendredi, en fin de matinée, un agent du collège Serge-Barranx de Montfort-en-Chalosse avait été évacué vers le centre hospitalier de Dax, après avoir été légèrement blessé par l'explosion d'une bouteille en plastique qu'il avait ramassée sur l'espace herbeux devant l'établissement scolaire.
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L'enquête des gendarmes de Montfort-en-Chalosse et de la brigade de recherches de Dax a permis d'identifier très rapidement l'auteur de l'engin explosif.
Il s'agit d'un élève du collège âgé de 15 ans. Il a été entendu par les gendarmes et aurait expliqué avoir juste voulu provoquer une explosion pour amuser ses camarades à la récréation, sans l'intention de blesser quiconque.
Au vu des différents éléments de l'enquête, le parquet de Dax déterminera les suites judiciaires à donner à cette affaire. Vendredi, la principale de l'établissement avait décidé de porter plainte alors que la victime, qui se plaignait de troubles de l'audition et présentait quelques brûlures, n'avait pas souhaité en faire de même

http://www.sudouest.fr/2014/06/23/faits-divers-1593724-4584.php

Accident de quad. Un père et ses deux enfants blessés

Dimanche soir, un Ornais a perdu le contrôle de son quad lors d'une accélération, ses deux enfants se trouvaient avec lui sur le véhicule.

L'accident s'est produit vers 19 h 15, au lieu-dit Fromentel sur la commune de La Fresnaye-au-Sauvage. Le conducteur né en 1978 et habitant La Fresnaye, a perdu le contrôle de son quad sur un chemin en terre.
Deux enfants, nés en 2005 et 2008, se trouvaient également dessus. L'un des enfants, polytraumatisé, a été transporté en hélicoptère au CHU de Caen. Le père et le deuxième passager ont été emmenés par les pompiers au centre hospitalier de Flers.

http://www.ouest-france.fr/accident-de-quad-un-pere-et-ses-deux-enfants-blesses-2645800

Un enfant sauvé de la noyade à la piscine Chapou

Un drame a été évité de justesse, hier après-midi, à la piscine Chapou, rue Saunière dans le quartier des Ponts-Jumeaux à Toulouse. Il était aux alentours de 16 heures lorsqu'un enfant en bas âge a échappé à la vigilance des adultes qui l'accompagnaient. En quelques secondes, il s'est retrouvé dans le bassin de cette piscine d'été et a commencé à se noyer.
Présents sur place les maîtres-nageurs sauveteurs employés par la mairie ont rapidement réagi. Ils sont allés récupérer l'enfant qu'ils ont ramené au bord de la piscine. Les sapeurs-pompiers et le Samu ont été appelés et sont arrivés rapidement. Ils ont prodigué les premiers soins à l'enfant avant de le transporter à l'hôpital de Purpan.
Hier après-midi, les températures élevées avaient incité beaucoup de familles à venir se rafraîchir à la piscine Chapou. L'accident s'est donc déroulé sous les yeux de nombreuses personnes qui ont été choquées. «On a vu l'enfant partir sur un brancard. Il fermait les yeux. Ça avait l'air sérieux», relatait, hier, une mère de famille.
Après l'accident, la piscine Chapou a été fermée au public. Elle devrait rouvrir ses portes aujourd'hui.
Dans les cas de noyade, il suffit de quelques minutes pour que les conséquences sur l'enfant soient irréversibles.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=28076&WS=291720_2501986&WA=5384

dimanche 22 juin 2014

Accident mortel sur les quais du Rhône à Vienne en Isère

Sur la voie express de Vienne, le long du Rhône, un septuagénaire a été percuté par une voiture, ce samedi 21 juin, en début d'après-midi. Malgré un tentative de réanimation, le piéton est décédé sur place. 
Peu après 14 heures, un homme de 76 ans s'est engagé dans le franchissement de la voie express en marchant à côté de son vélo. Un automobiliste est alors venu le percuter de plein fouet. Les secours, pourtant arrivés rapidement, n'ont rien pu faire.

Le conducteur, choqué, a été entendu au commissariat avant d'être relâché. L'enquête a été confiée à la CRS autoroutière en charge de cette portion


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/06/21/accident-mortel-sur-les-quais-du-rhone-vienne-en-isere-503589.html

Trois jeunes de Bollène gravement blessés dans un accident

Le nord-Vaucluse, plus précisément la commune de Lamotte-du-Rhône, a été le théâtre d'un accident grave vers 4 heures du matin. Pour une raison que l'enquête devra déterminer, une voiture a violemment heurté un platane sur la route de Pont-Saint-Esprit.

Ses trois occupants, tous de jeunes Bollénois, ont été grièvement blessés et évacués vers l'hôpital par les pompiers de Bollène. 


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2931189/trois-jeunes-de-bollene-gravement-blesses-dans-un-accident.html

93: un homme grièvement blessé dans un bar

Un homme, qui tentait de s'interposer lors d'une dispute dans un bar à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis, a été grièvement blessé de 15 coups de couteau dans la nuit de samedi à dimanche, indique une source proche du dossier.

Le différend a éclaté aux alentours de 04H00 dans un établissement situé dans la Zone de sécurité prioritaire (ZSP) de la commune.  "Un ami de la gérante du bar s'est interposé et il a pris 15 coups de couteau", a déclaré cette source à l'AFP. Transporté dans un hôpital parisien, son pronostic vital est engagé, a-t-elle précisé.

Les agresseurs, dont le nombre n'a pas été précisé, n'ont pas été retrouvés. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été saisie de l'enquête


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/22/97001-20140622FILWWW00042-93-un-homme-grievement-blesse-dans-un-bar.php

Montbéliard : la joue transpercée par un couteau de cuisine

L’affaire a pour théâtre un immeuble de la rue Debussy, quartier de la Petite-Hollande. Et pour acteurs, une fille et deux garçons. Il est environ 18 h. Le trio se trouve dans le logement occupé par le prénommé Geoffrey, un intérimaire âgé de 29 ans qui a le cœur qui bat sur le tempo amoureux pour une jeune fille de 18 ans. Geoffrey soupçonne son copain Lakhdar, 23 ans, d’avoir des vues sur la demoiselle. Les deux garçons vont se battre,  Lakhdar reçoit un coup de couteau qui le blesse gravement au visage.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/06/21/la-joue-transpercee-par-un-couteau-de-cuisine

samedi 21 juin 2014

Jura. Un cadavre découvert à Lect

Samedi, en milieu de matinée, un cadavre a été découvert sur la commune de Lect, au lieu dit le Saut Mortier, un site qui surplombe la rivière d’Ain
Un homme a été retrouvé pendu dans une partie boisée et très difficile d’accès ce qui a nécessité l’intervention de l’hélicoptère du Peloton de gendarmerie de montagne pour exfiltrer le corps. L’identification est en cours.
Début juin, un quinquagénaire originaire de l’Ain avait disparu sur ce secteur. Sa voiture avait été retrouvée sur la commune de Lect

http://www.leprogres.fr/jura/2014/06/21/un-cadavre-decouvert-a-lect

Paolin Musique à Bergerac : l’origine criminelle de l’incendie est confirmée

Les expertises judiciaires ne laissent plus de doute quant à l’origine du feu qui a entièrement ravagé le site de Paolin Musique, dans la nuit de mercredi à jeudi.

Dès jeudi matin, alors que les 2 000 m² de Paolin Musique, à Bergerac, fumaient encore, les premières constatations des enquêteurs laissaient penser à une origine criminelle de l'incendie.
 
Hier, le rapport de l'expert judiciaire a confirmé ces soupçons. On connaît désormais le mode opératoire du ou des fautifs. Une poubelle jaune pleine de déchets à recycler a été prise devant une maison qui jouxte l'entrepôt, traînée devant la porte de celui-ci, puis incendiée. Le feu s'est alors propagé à l'ensemble du site.
Un drone et un chien
L'alarme s'est bien déclenchée mais, comme c'était un système anti-intrusion, elle a démarré tardivement sous l'effet de la chaleur. En tout cas, il était trop tard pour que les pompiers puissent intervenir et sauvent quoi que ce soit.
L'expert s'est appuyé sur des relevés photographiques réalisés par un drone pour déterminer la propagation de l'incendie : un premier bureau s'est enflammé, puis un second, et enfin l'entrepôt. Grâce à un chien renifleur, il paraît exclu que des produits accélérant (essence, mazout…) aient été utilisés.
En revanche, il est encore trop tôt pour connaître le mobile. On ne sait toujours pas si cet incendie a servi à entrer dans les locaux de l'entreprise, s'il maquillait un vol, ni même si des instruments de musique ont été volés.
Les enquêteurs pencheraient vers une autre piste : un pyromane. En effet, régulièrement, des containers à détritus ou des cartons sont incendiés dans les rues de la ville, sans que l'on sache qui est derrière ces actes.
Quant au préjudice subi dans cet incendie, qui a détruit tout le stock d'instruments et les bureaux de la société Paolin Musique, il n'a pas encore été établi

http://www.sudouest.fr/2014/06/21/paolin-l-origine-criminelle-de-l-incendie-est-confirmee-1592138-1733.php

Collision frontale à Plonéis. Trois blessés, un conducteur alcoolisé

Dans les deux voitures entrées en collision, trois personnes sont actuellement secourues. La route a été coupée entre Plonéis et Pluguffan.

Ce samedi matin vers 11 h, une Peugeot 206 et une C4 Citroën sont entrées en collision frontale route de Plonéis, entre le rond-point du Paradis et celui de Ker Gaben. Le choc a été très violent. Les trois personnes à bord des deux voitures sont blessées. Pompiers et gendarmes sont sur place. La route a été coupée.
Selon les premiers éléments, le conducteur de la C4 était alcoolisé et sous l'emprise de stupéfiants. Il revenait de soirée en compagnie d'un ami.
Les trois blessés sont transportés au centre hospitalier de Quimper 

http://www.ouest-france.fr/collision-frontale-ploneis-trois-blesses-dans-un-accident-de-la-route-2639924

Loire. Victime d’un malaise au volant, un automobiliste lui sauve la vie

Jeudi à 7 h 45, un Altiligérien de 45 ans a été victime d’un malaise au volant de sa Citroën Kangoo
sur la CD 500, tout près de la bretelle d’accès de la RN88, dans le secteur de Fayol à Firminy. Lorsque le conducteur a perdu connaissance, sa voiture est venue heurter
une barrière de sécurité et a fini sa trajectoire au beau milieu d’un rond-point. Témoin de l’accident, l’automobiliste qui le suivait a immédiatement stoppé son véhicule pour lui porter secours. Cet homme, un fonctionnaire de police qui se rendait à son travail à Saint-Étienne, a vite remarqué que la victime était en arrêt cardiaque et lui a aussitôt pratiqué un massage de réanimation cardiopulmonaire tandis qu’une conductrice appelait les secours. Un réflexe qui a été très certainement salutaire au quadragénaire puisqu’à l’arrivée des pompiers de Firminy et du Samu, son état était stationnaire. Il a tout de même été transporté à l’hôpital Nord de Saint-Priest-en-Jarez.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/06/21/victime-d-un-malaise-au-volant-un-automobiliste-lui-sauve-la-vie

vendredi 20 juin 2014

Accident à la sortie de la discothèque de Trélissac (24) : le conducteur était alcoolisé

Suite à l'accident qui a eu lieu dimanche matin sur le parking de la discothèque L'Autre monde, à Trélissac, une information judiciaire a été ouverte pour blessures involontaires aggravées.
 
Ce matin-là, vers 5 heures, un homme de 19 ans, habitant Coulounieix-Chamiers, a été grièvement blessé. Son pronostic vital est engagé.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme était monté sur le coffre d'une voiture en mouvement et en serait tombé.
Le conducteur du véhicule, âgé d'une vingtaine d'années, a des antécédents judiciaires pour conduite en état d'ivresse. Il a été entendu. Le Parquet, à ce stade de l'enquête, a sollicité « un contrôle judiciaire extrêmement strict ».

http://www.sudouest.fr/2014/06/20/accident-a-la-sortie-de-la-discotheque-de-trelissac-24-le-conducteur-etait-alcoolise-1591513-2179.php

Le chahut au lycée Jean-Dupuy manque de virer au drame

C'est une scène de chahut comme on en a tous connu dans sa jeunesse. Sauf que l'affaire a manqué tourner au drame mercredi soir, à l'internat du lycée Jean-Dupuy. Après le repas, peu avant 20 heures, un des élèves de l'établissement, un peu bousculé, a renversé le lit d'un de ses camarades. Celui-ci a voulu lui rendre la monnaie de sa pièce et a, avec le concours d'autres élèves, forcé la porte de la chambre que le premier essayait de bloquer. Dans le vacarme, un des «assaillants» a reçu un coup de couteau qui lui a causé une légère entaille sur le côté droit du thorax. «Heureusement, la lame a ripé contre les côtes et n'est pas allée tout droit vers les poumons», explique la maman du jeune blessé, élève en classe préparatoire de 19 ans. La victime est sortie hier midi de l'hôpital où sa blessure a nécessité trois points et la pose d'un drain. Pour autant, la maman de la victime ne décolère pas : «Où était l'équipe d'encadrement durant tout cet épisode ? Ça ne s'est pas fait sans bruit. Ce sont les jeunes qui ont appelé les secours. Les policiers ont pris la déposition de chacun et ont demandé à mon fils s'il souhaitait porter plainte. Comme il était encore sous le choc, il a refusé». Mais aujourd'hui, l'élève et sa mère sont déterminés à porter plainte. «Ce n'est qu'à son arrivée à l'hôpital, dans sa chambre, que Gregory m'a appelé. Jusque-là personne ne nous avait contactés. La conseillère principale d'éducation a joint mon fils hier matin. Nous, ses parents, personne ne nous a prévenus, ni au lycée ni parmi les secours. Aujourd'hui, beaucoup de questions se posent : que faisait ce couteau dans la chambre de cet élève ? Comment se fait-il qu'on soit passé si près de la catastrophe dans un internat, un espace que l'on a choisi pour lui justement parce qu'il est sécurisé ?» Nous avons tenté de joindre les responsables du lycée Jean-Dupuy, hier, mais en l'absence du proviseur, personne n'était habilité à nous répondre.
Circulation >Ouverture du col du Tourmalet. Le franchissement du célèbre col sera à nouveau possible dès ce lundi. Seuls les véhicules de plus de 3,5 t devront encore patienter une petite quinzaine de jours

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/20/1904149-chahut-lycee-jean-dupuy-manque-virer-drame.html

Jura . La gendarmerie enquête sur le décès d’un quinquagénaire trouvé dans la rue à Marcornay

Plusieurs véhicules de gendarmerie, dont le fourgon des techniciens d’identification criminelle, ont stationné une partie de l’après-midi, rue des Micholettes, à quelques pas de la mairie de Macornay.

Allongé sur la chaussée devant la porte ouverte

Disposés comme un véritable rempart devant le numéro 14 de cette petite voie, ils dissimulaient à la vue des passants le corps de François Neuville, 59 ans, allongé sur la chaussée devant la porte ouverte de l’habitation. C’est là que les pompiers, premiers sur les lieux, ont découvert la victime peu avant 16 heures. Mais victime de quoi ou de qui ? Au départ, les secours ont été appelés, semble-t-il, pour une chute dans l’escalier de la maison. Les gendarmes, immédiatement prévenus par les soldats du feu, ont tout de suite « gelé » la scène afin de pouvoir procéder aux investigations d’usage. Sous les ordres du capitaine Laurent Mougin, adjoint au commandant de la compagnie de gendarmerie de Lons, la brigade des recherches et la brigade territoriale de Lons ont commencé l’enquête de voisinage tandis que les experts de l’identification criminelle effectuaient les premiers gestes de police scientifique. Alerté, le parquet du tribunal de Lons a demandé l’intervention d’un médecin légiste. « S’agit-il d’une chute accidentelle ? A-t-il été poussé ? Y a-t-il eu un défaut d’assistance à personne en danger ? Pour l’instant, aucune hypothèse n’est privilégiée », a commenté la procureure Sterenn Hell.

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/06/20/la-gendarmerie-enquete-sur-le-deces-d-un-quinquagenaire-trouve-dans-la-rue

jeudi 19 juin 2014

Meurtre de Maxime Roussel: l'accusé sort de son silence et clame son innocence

Depuis le début de son procès à huis clos devant la cour d'assises des mineurs de Besançon, lundi, le jeune homme qui était âgé de 17 ans
à l'époque des faits est muet.

Après avoir changé de version à plusieurs reprises lors de l'instruction, il maintenait avoir été présent le 10 janvier 2012 lorsque son ami avait été tué et brûlé par deux autres hommes. Une thèse écartée par les enquêteurs. (voir le rappel des faits)

Ce jeudi devant la cour, il est revenu sur ses déclarations, expliquant qu'il s'était rendu avec la voiture de sa mère dans le bois d'Étouvans pour rencontrer Maxime, ont rapporté les avocats des deux parties lors d'une suspension d'audience.

Selon cette nouvelle version, il aurait ensuite quitté l'adolescent, toujours en voiture, avant de revenir 10 minutes plus tard pour lui rendre ses clés. C'est
alors qu'il aurait découvert le corps sans vie en train de brûler.

Il aurait chargé la moto de la victime dans sa voiture et serait reparti, sans prévenir personne. La moto avait été retrouvée dans les locaux de la société de
pompes funèbres de son beau-père.

Le verdict est attendu demain vendredi.

Poursuivi pour assassinat, l'accusé désormais âgé de 19 ans, encourt 20 ans de prison si l'excuse de minorité est retenue, voire la réclusion criminelle à perpétuité si elle est finalement levée, en raison de la préméditation de l'acte ou du fait que la victime avait moins de 15 ans. (AFP)


http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/06/19/meurtre-de-maxime-roussel-l-accuse-sort-de-son-silence-et-continue-nier-502113.html

Marsac-sur-l’Isle (24) : deux des cinq blessés dans un état très grave

Mardi, vers 16 h 30, s'est produit un accident entre deux voitures, sur la route de Bordeaux à Marsac, au lieu dit La Prunerie.

Sur les cinq blessés, les deux conducteurs sont dans un état grave et leur pronostic vital est réservé. Le premier, habitant Marsac, a 62 ans, et l'autre, de Périgueux, a 20 ans.  Les trois autres, transportés au centre hospitalier et à la clinique Francheville, en sont sortis.


http://www.sudouest.fr/2014/06/19/marsac-sur-l-isle-24-deux-des-cinq-blesses-dans-un-etat-tres-grave-1590301-2236.php

Disparition d'Amandine : la famille garde l'espoir d'une «fin heureuse»

Pour le jour anniversaire de la disparition d'Amandine hier, 350 personnes sont venues soutenir la famille qui a planté un arbre et une pierre de l'espoir.
Un ruban vert, comme la couleur de l'espoir, épinglé sur le col. Les 350 personnes qui avaient répondu à l'appel de la famille d'Amandine Estrabaud, disparue depuis il y a un an jour pour jour le 18 juin 2013 (voir ci-dessus), arboraient tous ce signe distinctif hier à Roquecourbe dans le cortège qui les a menées des allées de Siloé au lieu-dit Couade près du parcours de pêche le long de l‘Agout. C'est là qu'un arbre de l'espoir, un tulipier, «symbole de la vie» et une pierre plantée «qui indique le chemin de l'espoir» avec le portrait d'Amandine gravée dessus, ont été dévoilés. Et ce n'est par hasard si cet endroit, au même titre que les allées de Siloé, a été choisi. «On y a plein de souvenirs avec Amandine, c'est là qu'on venait promener son chien Maïko, son labrador», raconte Monique Sire la maman de la disparue de 32 ans. «On se raccroche à ces anecdotes, cela nourrit le souvenir de sa présence» glisse le papa Pierre Estrabaud.
Pour la famille d'Amandine, l'objectif de cette manifestation était que la jeune femme ne tombe pas dans l‘oubli. «Et les gens ne l'oublient pas puisqu'ils sont là», explique Monique qui a besoin de ce soutien pour «tenir debout». Surtout à cette date anniversaire. «Cela nous aide qu'on parle d'elle», continue la maman forcément marquée par cette année «de doutes, de craintes et d'espoir» comme l‘a rappelé Bernard Bayle, le président du comité de soutien qui a organisé cette cérémonie émouvante. «Votre présence, ce formidable élan de solidarité, rassure la famille qui fait preuve de courage, de volonté et de détermination», a-t-il ajouté devant les 350 personnes tous en cercle se donnant la main autour de l'arbre. Pour la plupart des proches, des amis, des habitants du village, d'où est originaire la famille, et des élèves et personnel du lycée Anne-Veaute où travaillait Amandine.

«Merci d'être là»

Une lycéenne a d'ailleurs offert à la maman un livre d'or contenant des messages de soutien de tout l'établissement. «Merci d'être là un an après ce terrible 18 juin où ma vie a basculé, a témoigné en larme Monique Sire racontant la «peur au ventre» qu'elle a ressenti quand elle a découvert la «porte grande ouverte» de la maison d'Amandine ce jour-là. Chaque jour qui passe, je lutte pour ne pas me laisser aller, pour refuser la réalité qui m'étouffe. Mais tant que l'on ne me prouvera pas le contraire, je ne pourrais jamais me résoudre au pire. Je sais que ma fille est vivante et que nous allons la retrouver.» Alors forcément quand la veille, elle a été avertie de la garde à vue d'un suspect, c'est d'abord l'angoisse qui l'a envahie. «Même s'il n'y a rien de pire que de ne rien savoir, on a peur de connaître la réalité», raconte Monique Sire. «L'incertitude crée l'espoir», ajoute son ex-mari. Mais cette garde à vue, même si elle n'a rien donné (voir ci-dessus), est aussi «la certitude que les gendarmes font leur travail». «Tout ce qu'ils font fait avancer l'enquête. C'est comme un entonnoir petit à petit cela se resserre», conclut Monique qui veut croire dur comme fer à «un dénouement heureux».
http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/19/1903057-la-famille-garde-l-espoir-d-une-fin-heureuse.html

Un blessé grave dans une collision voiture contre camion, aux Fins, dans le Doubs

Une violente collision s'est produite ce mercredi matin à 10 heures 10 sur la route départementale 329 A entre le Bas de la Chaux et le Val Concelin.
Un automobiliste venant de la déchetterie s'est engagé sur la voie après le panneau " cédez le passage" alors qu'arrivait sur sa gauche venant du rond-point de la RD 461 un camion de l'entreprise de transport Faivre à Valdahon.
Le poids lourd vide venant s'approvisionner à la carrière Faivre-Rampant a percuté l'avant du kangoo et le côté chauffeur et traversé la route pour s'immobiliser dans le champ voisin.
Les pompiers des centres de secours de Morteau et du Russey sous les ordres du chef de groupe Patrick Seguin et Fabrice Dubi ont du désincarcérer le conducteur gravement blessé avant l'arrivée du SMUR de Pontarlier et la prise en charge par l'hélicoptère Dragon 25 à destination de l'hôpital de Besançon.


http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/06/18/un-blesse-grave-dans-une-collision-voiture-contre-camion-aux-fins-dans-le-doubs

mercredi 18 juin 2014

Accident de moto: 25 ans et gravement blessé dans une collision à Annemasse

Un jeune homme souffre de multiples fractures après une collision entre sa moto et une voiture, à Annemasse, ce mercredi 18 juin au matin. Il a visiblement doublé sur la ligne blanche alors qu'une voiture venait d'annoncer son intention de tourner
Un homme de 25 ans s'est gravement blessé, vers 6h40, à Annemasse. Transporté à l'hôpital, il souffre de multiples contusions.

Selon les premiers éléments communiqués par la police, la victime porterait "une part de responsabilité". Sur la rue d'Arve, en arrivant au croisement de la rue des Jardins, le motard aurait entrepris de doubler un véhicule alors qu'il y avait une ligne blanche et que la voiture avait actionné son clignotant, signalant qu'elle allait tourner à gauche.

Les autorités soulignent qu'en 2013 et 2014, les deux tiers des accidents impliquant un deux roues sont dus à un refus de priorité et/ou à un changement de direction au moment du dépassement.


http://alpes.france3.fr/faits-divers

Fuites des sujets du bac : une jeune fille se dénonce à la police

C'est un cas pour le moins original : une adolescente s'est rendue dans un commissariat de la police parisienne mardi, s'accusant d'avoir diffusé les sujets du bac la veille sur Twitter. "La jeune fille a été entendue dans le cadre du dossier et son audition a été portée à la connaissance des gendarmes en charge de l'enquête", a indiqué une source proche du dossier à l'AFP.

Dénoncée par des internautes ?

Des soupçons de fuite sur les sujets du baccalauréat de philosophie avaient été annoncés par le ministère de l'Education nationale à peine une demi-heure après le début des épreuves, alors que de nombreux bacheliers arrivaient en retard à cause de la grève de la SNCF. Selon la même source, l'adolescente à l'origine de ces fuites aurait été dénoncée par des utilisateurs de Twitter qui la connaissaient. De peur d'être interpellée par la brigade nationale chargée de la lutte contre la cybercriminalité, elle s'était résolue à se rendre à la police.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=27750&WS=291720_2501986&WA=5333

Le cadavre de l'écluse garde son mystère

Une autopsie a été pratiquée hier à l'institut médico-légal de Toulouse sur le corps d'un homme de 70 ans retrouvé mort, lundi, dans le canal latéral de la Garonne. Les circonstances du décès restent incertaines. Toutes les pistes sont ouvertes.
Le cadavre découvert lundi matin dans le canal latéral de la Garonne à Toulouse garde tout son mystère. Si l'identité de la victime, un Toulousain de 70 ans, semble établie, les conditions de son décès restent sombres. Une autopsie a eu lieu hier matin, à l'institut médico-légal de l'hôpital Rangueil. À l'issue de celle-ci, aucune certitude n'est ressortie quant aux causes de la mort de la victime.

Un corps nu et une plaie au crâne

«Rien ne permet de dire qu'il s'agit d'un crime ou de l'exclure», a précisé, hier après-midi, Michel Valet, le procureur de la République de Toulouse tout en confirmant : «Il s'agit d'un homme de 70 ans porté disparu depuis quelques jours. Dans cette affaire, il convient d'être prudent.»
Le corps sans vie a été découvert, flottant dans les eaux du canal latéral de la Garonne, lundi, un peu avant 9 heures du matin, par un éclusier, à quelques centaines de mètres de l'écluse de Lacourtensourt, près de la route de Paris, dans le Nord de Toulouse.

Disparition inquiétante

Les sapeurs-pompiers ont été appelés afin de repêcher la victime. L'enquête a été confiée aux hommes du service régional de la police judiciaire de Toulouse qui ont procédé à des constatations sur place et auditionné les proches de la victime. Son corps a été retrouvé dénudé, un détail qui pose questions.
La disparition inquiétante de cet homme de 70 ans avait été signalée à la police il y a plusieurs jours. Celui-ci, un habitant de Toulouse, était, semble-t-il, parti se promener avec son chien. Seul l'animal de compagnie était revenu au domicile, de sorte à attirer l'attention du voisinage. Depuis, activement recherché, la victime était restée introuvable.
Lors de la découverte de son corps, il présentait une importante plaie au niveau du crâne. Qu'est-il alors arrivé à ce septuagénaire ? Pourquoi était-il démuni de ses vêtements lorsqu'il a été retrouvé ? Les enquêteurs du SRPJ vont désormais s'atteler répondre à ces questions afin de faire la lumière sur les faits.
Toutes les pistes restent ouvertes. La victime a-t-elle mis fin à ses jours en se jetant dans les eaux du canal ? Dans cette hypothèse, pourquoi avoir amené son chien et s'être dénudé de sorte qu'aucun papier n'a pu être retrouvé sur lui.
Cet homme a-t-il été victime d'un malaise qui l'aurait précipité dans le canal alors qu'il se promenait sur les berges ? Dans ce cas de figure, il aurait perdu ses vêtements au cours de son séjour de plusieurs jours dans l'eau.

Analyse des tissus humains

Mais la victime a aussi pu être victime d'une agression crapuleuse. Son ou ses agresseurs l'auraient dépouillé de ses effets et de ses vêtements, ils l'auraient frappé avant de le jeter dans le canal.
La plaie observée sur le cadavre est-elle le fruit de l'intervention d'un tiers ou la conséquence d'une chute et du séjour dans l'eau ? Autant de questions qui restent à résoudre.
Au cours de l'autopsie pratiquée hier, plusieurs prélèvements ont été effectués et transmise à un laboratoire afin d'en savoir plus. Ces analyses peuvent prendre plusieurs jours voire des semaines.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/18/1902649-le-cadavre-de-l-ecluse-garde-son-mystere.html

mardi 17 juin 2014

Une esthéticienne qui jouait avec le bistouri a été écrouée pour exercice illégal de la médecine

Une esthéticienne du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), à qui il arrivait d'utiliser son bistouri pour des actes de chirurgie esthétique, a été mise en examen et placée en détention provisoire pour "exercice illégal de la profession de médecin".
"Elle allait au-delà des actes qui relèvent de la pure esthétique et jouait un peu du bistouri, pour retendre les paupières, par exemple", a expliqué une source
policière, confirmant une information du Parisien.
Selon cette source, au moins quatre personnes ont été victime de ses actes, dont certaines ont été "assez gravement infectées". "Elles vont nécessiter de la chirurgie réparatrice", a-t-elle précisé.
Les faits ont été commis entre "courant 2011 et janvier 2014", date à laquelle l'esthéticienne, âgée de 53 ans, a été arrêtée, a souligné une source judiciaire,
qui dénombre pour sa part "au moins huit victimes".
Outre l'exercice illégal de la médecine, cette femme d'origine vietnamienne a été mise en examen pour "violences aggravées" et "administration de substances nuisibles".
"Elle avait aménagé son cabinet d'esthétique pour effectuer ses opérations", a souligné la source policière.


http://paris-ile-de-france.france3.fr/2014/06/17/une-estheticienne-qui-jouait-avec-le-bistouri-ete-ecrouee-pour-exercice-illegal-de-la-medecine-500433.html

Grève SNCF: des cheminots bloquent des voies en gare Montparnasse

Des cheminots grévistes, manifestant à l'appel de la CGT et SUD-Rail, bloquaient mardi à la mi-journée les voies des Transiliens en gare Montparnasse à Paris, pour protester contre la réforme ferroviaire, a constaté une journaliste de l'AFP.
Des agents de la SNCF et des CRS évacuaient les passagers vers la gare principale, «pour leur sécurité», indiquait une annonce dans la gare. Les cheminots qui bloquaient les voies s'étaient d'abord rassemblés à proximité de l'Assemblée nationale, où doit avoir lieu l'examen de la réforme dans l'après-midi.

http://www.20minutes.fr/article/1403594/20140617-greve-sncf-cheminots-bloquent-voies-gare-montparnasse

Grosse pagaille sur l'A6 à la sortie nord de Lyon

Un accident s'est produit ce matin vers 9 heures sur l'A6 à hauteur de Champagne-au-Mont-d'Or dans le sens sud nord, après la sortie Écully. Une voie de circulation est neutralisée. Ce qui provoque d'importants ralentissements : il faut plus de trente minutes pour rallier la Porte de Lyon en partant du Valvert, selon le site infotrafic du Grand Lyon, onlymoov.com.
Un bouchon s'est également formé dans l'autre sens, entre Le Pérollier et le tunnel de Fourvière. Il est recommandé d'éviter le secteur. D'autant que les axes secondaires à Tassin (Trois-Renards et la route de Paris) sont complètement congestionnés. 

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/06/17/grosse-pagaille-sur-l-a6-a-la-sortie

Marville (55) : deux morts dans un crash

Hier à Marville (55), c’était la consternation parmi les amis du couple de Néerlandais qui ont trouvé la mort après la chute de leur appareil. Comme Wim Mijnen qui regarde la carcasse du monomoteur biplace Zenair de 80 CV, encastré dans un arbre sur le parcours canin de la zone d’activité. « J’ai vu l’avion tomber », confie-t-il la mine grave. Il explique le décollage, les problèmes de moteur. « Il a essayé de retourner à la piste. Il allait trop lentement ».
Hier vers midi trente, Ko Stuik et Evelyne Avis âgés respectivement de 69 et 60 ans, décollent du taxiway de l’aérodrome privé de Marville. Une piste qu’utilise l’association « Les pilotes de Marville ». Le couple retournait aux Pays-Bas, à Garderen au Nord du Pays, qu’il avait quitté quelques jours plus tôt pour participer à un « flying » entre pilotes. Une manifestation organisée annuellement à Marville et qui rassemblait cette année « environ 20 avions hollandais et une cinquantaine d’avions qui sont sur place », confie Christian Guilié, le responsable de la base et lui aussi pilote. « Il était invité. Les gens sont inscrits en préfecture pour pouvoir se poser sur notre terrain ».
Selon les premiers éléments et témoignages, l’avion aurait donc pris son envol normalement avec le vent de face et, à une soixantaine de mètres d’altitude, le moteur aurait alors émis des bruits non conventionnels. Le pilote aurait amorcé un virage à gauche pour regagner les pistes. En prenant cette direction l’avion s’est retrouvé avec le vent dans le dos. Il est passé très près du toit d’un hangar agricole avant de toucher le sol et de percuter un arbre en plein milieu du parcours canin et ce, à 300 mètres seulement de la piste. Avant qu’il toucher le sol, les témoins ont vu l’appareil prendre de la gîte. La vitesse étant tellement réduite, l’avion a sans doute finalement décroché et s’est écrasé.
« Ils vont récupérer les instruments de bord »
Ko Stuik, ancien pilote chez KLM, la compagnie aérienne néerlandaise, était un pilote très expérimenté totalisant près de 28.000 heures de vol.
Pourtant, « il a fait le mauvais choix », explique Christian Guilié. « S’il avait tourné à droite, il arrivait vent dans le nez et ce côté-là était totalement dégagé. La panne au décollage est la chose la plus dangereuse qui soit ».
Très rapidement, une vingtaine de sapeurs-pompiers venus de Montmédy, Damvillers, Marville et Stenay dirigés par le lieutenant Garnier de Verdun et le capitaine Harteman, chef de colonne, ont sécurisé les lieux. Le Samu 55 s’est aussi rendu sur place et a constaté le décès du couple de Néerlandais.
Rapidement, un périmètre de sécurité a été mis en place par la gendarmerie de Montmédy qui est arrivé en premier sur les lieux, épaulée par le PSIG et la brigade des recherches de Verdun. « La scène est gelée. Nous attendons la BGTA, la brigade de gendarmerie des transports aériens de Nancy qui sera appuyée par la section de recherche de la BGTA de Paris pour l’aspect technique de l’enquête. Ils vont récupérer les instruments de bord », précise le lieutenant-colonel Guy Antoine, adjoint du commandant de groupement de gendarmerie de la Meuse. L’enquête est désormais entre les mains de la BGTA qui devra déterminer les circonstances et les causes du crash.
Un examen des corps des victimes sera pratiqué aujourd’hui au centre hospitalier de Verdun.
Pour mémoire, un accident d’avion électrique s’était produit sur l’aérodrome de Marville en septembre 2013 et avait provoqué la mort du pilote.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/06/17/crash-a-marville-deux-morts

lundi 16 juin 2014

La Rochelle : un motocycliste grièvement blessé dans un accident

L'accident s'est produit dimanche soir, vers 19h30, avenue du 11-Novembre-1918 à La Rochelle
Dimanche soir, vers 19h30, un accident s'est produit entre un motocycliste et un véhicule léger, avenue du 11-Novembre-1918 à La Rochelle. 
 
Le motocycliste, grièvement blessé, a dû être transporté au centre hospitalier de La Rochelle. 

http://www.sudouest.fr/2014/06/16/la-rochelle-un-motocycliste-grievement-blesse-dans-un-accident-1586549-1391.php

Un père et ses deux enfants blessés dans la Meuse

Hier soir , un spectaculaire accident de la circulation s’est produit sur la D.174, sur la commune de Troyon, à hauteur de la ferme de Palameix. Un père de famille âgé de 33 ans, accompagnés de ses deux enfants de 5 ans et de 6 ans, circulait en direction de Lacroix-sur-Meuse en vue de rejoindre son domicile à Saint-Mihiel, lorsqu’il a perdu le contrôle de son véhicule à la sortie d’une courbe à droite très prononcée et, sur de petites parties, recouverte de gravillons.
Pour une raison que l’enquête de gendarmerie sera chargée d’établir, notamment pour savoir si la vitesse peut être la cause de cette sortie de route, la voiture a fait une embardée sur la gauche de la chaussée avant de repartir sur la droite comme en attestent les traces de pneus sur le bitume.
Le véhicule a ensuite effectué plusieurs tonneaux avant de terminer sa course, sur le toit, au beau milieu d’une prairie. À l’arrivée des sapeurs-pompiers venus de Vigneulles, Dieue-sur-Meuse, Lacroix-sur-Meuse et Fresnes-en-Woëvre, sous les ordres de l’adjudant-chef James Mathey, le père et ses deux enfants étaient sortis de l’habitacle, allongés sur l’herbe.
Ces derniers ont aussitôt été transportés au centre hospitalier de Verdun pour des examens de contrôle. L’épouse de la victime s’est également rendue sur place avant de rejoindre les siens à l’hôpital.
Les gendarmes de la brigade de proximité de Saint-Mihiel ont procédé aux constatations d’usage avant que le garage Ève, de Vigneulles, ne prenne en charge le véhicule accidenté.

http://www.estrepublicain.fr/meuse/2014/06/16/trois-blesses-a-troyon