mardi 31 décembre 2013

Aude : dans le train, il vole le portable d’une passagère à La Franqui

C'est en gare de La Franqui,  où le train venait de stopper, que le vol a été commis.
Un jeune Biterrois a été interpellé, dimanche en fin de matinée après avoir dérobé le téléphone portable d’une adolescente, à bord d’un train. Les faits se sont produits alors que le train venait de faire halte à la gare de La Franqui. Le suspect a profité de l’arrêt pour arracher son portable à une jeune passagère âgée de 17 ans, avant de prendre la fuite sur le quai.
Le suspect a reconnu les faits


Promptement rattrapé, le voleur a été remis aux gendarmes de Leucate, devant lesquels il a reconnu les faits. De même qu’il a conduit les enquêteurs à l’endroit où il avait dissimulé le téléphone volé, qui a été restitué à sa légitime propriétaire. La procédure a été transmise au parquet de Béziers, qui statuera sur les suites à donner visant le mis en cause, qui serait déjà connu pour des faits similaires.

http://www.midilibre.fr/2013/12/30/dans-le-train-il-vole-le-portable-d-une-passagere,802775.php

Dompierre-sur-Charente : une jeune fille grièvement blessée dans un accident de scooter

Une jeune femme de 18 ans a perdu le contrôle de son scooter, lundi, vers 22h30, sur la commune de Dompierre-sur-Charente, entre Saintes et Cognac. 
Grièvement blessée, elle a été transportée vers le centre hospitalier de Cognac.

http://www.sudouest.fr/2013/12/31/dompierre-sur-charente-grievement-blessee-en-scooter-1416645-1332.php

Auch. 26 personnes évacuées dans l'incendie de leur immeuble

Dimanche soir, à 21 heures, un feu s’est déclaré dans un appartement, dans l’un des petits immeubles de la rue de Châteaudun, en face de la Sécurité Sociale à Auch.
Le feu a rapidement gagné l’ensemble de l’appartement, au point que les pompiers d’Auch et de Pavie, arrivés sur place, l’ont découvert entièrement embrasé.
Pour circonscrire le sinistre en toute sécurité, les sapeurs pompiers ont fait évacuer la totalité des habitants de l’immeuble, soit 26 personnes, pour les rassembler dans la salle des Cordeliers, tout proche. «C’est l’un des points de rassemblement du plan de secours, expliquent les services de secours. Nous l’avons fait ouvrir pour mettre les gens à l’abri».
Parmi les personnes évacuées, une femme de 31 ans, et trois fonctionnaires de police, en intervention sur place, se sont trouvés incommodés par les fumées, mais de simples contrôles sur place ont suffi et aucune des victimes n’a pas fait l’objet d’une évacuation.
L’appartement, situé au deuxième étage de ce petit immeuble qui en compte trois, est totalement détruit. L’officier de police dépêché sur place et les sapeurs-pompiers n’ont pas tardé à identifier le point chaud, départ de l’incendie, à l’arrière d’un appareil, «sans doute un appareil électrique, du type lave-linge ou lave-vaisselle, qui a provoqué un court-circuit», selon les services de police.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/31/1785065-auch-26-personnes-evacuees-dans-l-incendie-de-leur-immeuble.html

Un surveillant pris en otage durant 4h à la prison d'Alençon

Un surveillant a été pris en otage par deux détenus lundi soir dans l'Orne à la maison centrale d'Alençon. Selon le syndicat Ufap interrogé par LCI, les deux détenus dénonçaient les fouilles des colis de Noël et exigeaient d'être transférés ailleurs.

La prise d'otage aura duré plus de quatre heures. Un surveillant a été retenu par deux détenus lundi soir dans l'Orne à la maison centrale d'Alençon. C'est une équipe d'intervention spéciale dépêchée sur place qui a permis la fin de la prise d'otage "sans bain de sang". Les deux détenus, armés d'un couteau artisanal, ont pris le jeune surveillant en otage à 16h46 dans une salle de cours située dans la zone dite "sociale" de la prison, a précisé une autre source proche du dossier. 
Selon cette source et Jean-François Forget, secrétaire général de l'Ufap-Justice interrogé sur LCI, les détenus demandaient leur transfèrement dans un autre centre pénitentiaire. Ils dénonçaieent aussi "les fouilles des colis de Noël", a ajouté le syndicaliste de l'Ufap.  On ignore pour l'heure s'ils ont obtenu gain de cause.
70 détenus condamnés à de longues peines
Inauguré en avril 2013, le centre pénitentitaire d'Alençon/Condé-sur-Sarthe est une maison centrale accueillant 70 détenus condamnés à des peines longues et, pour certains, réputés difficiles. Le 16 décembre, une vingtaine d'entre eux s'étaient brièvement rebellés, demandant à pouvoir circuler librement d'une cellule à l'autre comme il est d'usage dans d'autres centrales.
Deux jours plus tard, une cinquantaine de surveillants avaient manifesté à Alençon pour dénoncer leurs conditions de travail. "Il nous faut 50 postes de surveillants supplémentaires pour pouvoir assurer notre mission dans des conditions acceptables de sécurité", a expliqué à l'AFP Emmanuel Baudin, secrétaire régional de FO pénitentiaire. L'établissement compte 177 salariés.
 

lundi 30 décembre 2013

Nice: une Polonaise soupçonnée de meurtre

Une Polonaise, soupçonnée du meurtre de son compagnon samedi soir dans un immeuble de l'est de Nice où elle a été retrouvée ligotée, était en garde à vue lundi et doit être déférée au parquet mardi, a-t-on appris lundi de source judiciaire.

Cette jeune femme est soupçonnée d'avoir attenté samedi en fin d'après-midi à la vie de son compagnon, Polonais lui aussi.
L'homme de 27 ans avait été retrouvé par les secours au bas de l'immeuble, agonisant après avoir été frappé de plusieurs coups de couteau et avoir sauté ou avoir été défenestré du 3e étage d'un immeuble où il résidait avec elle.

La jeune femme avait, elle, été retrouvée à l'intérieur de l'appartement par la police, ligotée, bâillonnée et grièvement blessée. Aussitôt hospitalisée, elle est ressortie depuis et a été entendue par la police qui l'a placée en garde à vue, selon la même source. Les identités n'ont pas été révélées. Rien n'a filtré pour l'instant sur ces auditions ni sur les circonstances exactes du drame.

Trois personnes originaires des pays de l'Est avaient été placées en garde à vue dès samedi, mais ont été relâchées dimanche.
La police judiciaire de Nice est chargée de l'enquête


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/30/97001-20131230FILWWW00394-nice-une-polonaise-soupconnee-de-meurtre.php

Pyrénées-Orientales : trois morts dans l'incendie d'une maison de village

Trois personnes, deux adultes et un mineur selon les pompiers, ont péri lundi matin dans l'incendie d'une maison dans le village de Rasiguères, dans les Pyrénées-Orientales,
Une quarantaine de pompiers sont intervenus pour maîtriser le feu, dont l'origine reste inconnue.


  http://www.sudouest.fr/2013/12/30/pyrenees-orientales-trois-morts-dans-l-incendie-d-une-maison-de-village-1415995-7.php

Haute-Saône : l’amoureux éconduit, fou de rage, sort une arme et tire

S’il n’y a jamais de bon moment pour être quitté, la période des fêtes est sans doute mal choisie. Rien n’excuse cependant les agissements d’un Villersexellois de 28 ans, jusque-là inconnu des services de police.
Le 26 au soir, lorsqu’il apprend que sa petite amie le quitte, son sang ne fait qu’un tour.
La jeune femme trouve refuge chez un ancien petit-ami domicilié à Échenoz-la-Méline mais l’amoureux éconduit débarque quelques instants plus tard, fou de rage, bien décidé à en découdre avec celui qui héberge sa compagne. Une bagarre éclate et les choses dégénèrent rapidement. Le jeune homme de 28 ans sort un pistolet. Un coup part dans le tumulte. Fort heureusement, la balle vient se nicher dans une marche d’escalier. Le tireur prend alors la fuite.
Interpellé le lendemain par les gendarmes de Villersexel, il a reconnu les faits en garde à vue. Samedi soir, le jeune homme a été déféré devant le parquet et placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son jugement en février.

http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2013/12/30/l-amoureux-econduit-fou-de-rage-sort-une-arme-et-tire

Mazamet. Le jeune père s’en prend aux policiers

Policiers et gendarmes sont souvent requis pour régler des conflits familiaux. Des interventions qui sont souvent délicates. Deux fonctionnaires du commissariat de Mazamet en ont fait l’amère expérience vendredi soir. En voulant protéger une jeune mère de 16 ans et son petit d’à peine un an du courroux de son ex-compagnon, ils ont subi la réaction violente du jeune homme, un Mahorais âgé de 20 ans qui vit mal cette séparation. Les deux policiers ont été légèrement blessés, le jeune papa a passé la nuit en garde à vue. Il a été laissé libre samedi matin et sera reconvoqué, le parquet de Castres ayant ordonné une enquête sociale pour étudier la situation de ce jeune couple.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/30/1784968-mazamet-le-jeune-pere-s-en-prend-aux-policiers.html

Carcassonne. Un jeune homme tué sur une moto volée

Un jeune homme de 26 ans, originaire du quartier de la Trivalle à Carcassonne, a perdu la vie, samedi vers 21 h 40, dans un accident de la circulation. À l’arrivée des secours, policiers et pompiers, à l’angle des rues Antoine-Marty et Pierre-Germain, un homme est au sol, inconscient. Le second est choqué, mais indemne. Malgré leurs tentatives, les secouristes ne pourront pas réanimer la victime. Les policiers penchent alors, pour expliquer les circonstances du drame, à une perte de contrôle du deux-roues par son pilote. Mais deux éléments vont survenir coup sur coup, ou presque. D’une part, les enquêteurs vont découvrir que la moto de petite cylindrée, une 50 cm3, a été volée moins d’une demi-heure avant l’accident, à quelques hectomètres des lieux de l’accident.
C’est peu avant minuit qu’un nouveau rebondissement va se produire. Apprenant qu’un accident a eu lieu en début de soirée sur le boulevard Antoine-Marty, un automobiliste va se présenter spontanément au commissariat, expliquant avoir heurté «quelque chose» à l’heure des faits.
Les policiers font alors le rapprochement, d’autant que le véhicule porte, sur son avant gauche, les traces d’un choc. Toutefois, l’automobiliste indiquera ne pas savoir ce qu’il avait pu toucher et qu’il n’avait «rien vu dans son rétroviseur».

Ils poussaient la moto en sens interdit

C’est finalement l’audition du second jeune homme qui va permettre d’éclairer d’un jour nouveau les circonstances du drame. Celui-ci va indiquer aux enquêteurs qu’avec son complice, il a volé la moto. Après avoir tenté de la démarrer en la poussant dans la rue Pierre-Germain, ils ont décidé de couper les fils du démarreur. Le jeune homme de 26 ans a alors enfourché l’engin au moment où le moteur s’est allumé. A-t-il été surpris ? Il semble avoir traversé la chaussée sans que l’automobiliste ne s’en aperçoive, d’autant que les deux jeunes gens remontaient la rue en sens interdit. Le choc lui a été fatal. Des prélèvements sanguins ont été réalisés sur le corps de la victime. L’automobiliste, lui, a été mis hors de cause à l’issue de l’enquête.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/30/1784907-carcassonne-un-jeune-homme-tue-sur-une-moto-volee.html

dimanche 29 décembre 2013

En grève de la faim, la mère courage de Fontenay fait un malaise

Elle avait prévenu qu’elle était prête «à aller jusqu’au bout». Sabine Bruto, une habitante de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) en grève de la faim pour réclamer le retour de ses enfants, a fait un malaise vagal ce samedi après-midi.
«Il y avait un rassemblement près de l'Élysée pour son quatrième jour de grève de la faim, raconte Sandrine Bordet, membre de son comité de soutien. Le comité a été bloqué et contrôlé par la police et Sabine a fait un malaise vagal.Elle a été prise en charge par les pompiers et amenée à l’hôpital.»

Depuis, elle se repose et ne souhaite pas «communiquer pour le moment», le temps de reprendre des forces. Cette «maman qui n’a plus d’appétit», comme elle se définit, s’était mise en grève de la faim depuis Noël pour récupérer ses deux fils, Adam et Alexandre, âgés de 7 et 9 ans, retenus par leur père en Tunisie. Ce dernier fait l’objet d’un mandat d’arrêt international pour soustraction d’enfants.
Le 3 décembre dernier, Sabine Bruto avait obtenu un rendez-vous à avec l’ambassadeur de Tunisie. Mais celui-ci, n’appréciant pas qu’elle se soit présentée entourée de son comité de soutien et de journalistes, avait finalement refusé de la recevoir. .

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/en-greve-de-la-faim-la-mere-courage-de-fontenay-fait-un-malaise-29-12-2013-3447433.php

Saint-Michel. Vols et dégradations, les riverains excédés

«Les vols avec effraction se multiplient dans les garages souterrains de notre quartier. Ça devient invivable !» Excédé, un riverain du secteur du conseil régional tire la sonnette d’alarme. «Rue des Platanes, rue des Saules, il y a des problèmes. Des personnes voient leurs voitures vandalisées. Certains ont eu les pneus crevés à coups de couteau.» Ces deux rues sont perpendiculaires à la rue François Longaud qui longe le bâtiment du conseil régional. Un quartier dont le visage s’est profondément modifié avec l’arrivée, depuis ces derniers jours, du tram. Mais face à ces dégradations, les riverains envisagent de régler le problème eux-mêmes. «Certains voulaient tourner dans les garages car ils en ont marre de subir la situation, poursuit un riverain. Moi, j’habite ici depuis huit ans, c’était un quartier tranquille mais depuis un peu plus d’un an, ça s’est dégradé. On n’est plus sereins.»
Selon les services de police cependant, sur le quartier Saint-Michel, «on constate une baisse de plus de 28 % des vols effractions. D’une manière générale, nous avons une hausse de plus de 31 % des faits élucidés concernant les atteintes aux biens».
Des actions sont mises en œuvre pour sécuriser le quartier.

Lutte contre la délinquance

«Chaque jour des patrouilles de sécurisation sont menées sur ce quartier. Les effectifs de la BAC travaillent également sur ce secteur dans le cadre de leur mission de lutte contre la délinquance et la criminalité».
Et de poursuivre : «Des sécurisations des transports en commun sont menées sur ce quartier, aux abords des stations de métro (Saint Michel, Saint Agne…). Des opérations tranquillité vacances sont également menées sur l’ensemble du secteur au gré des demandes. Une opération destinée à lutter contre les cambriolages et les vols avec effraction. Enfin, le dispositif anti hold-up qui s’étend à l’ensemble des zones commerciales de la ville est également mis en place afin de sécuriser les commerces».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/29/1784578-saint-michel-vols-et-degradations-les-riverains-excedes.html

Fusillades à Toulouse : un suspect remis en liberté

Un Toulousain de 27 ans, incarcéré depuis le 20 décembre pour tentative de meurtre après des fusillades dans le quartier sensible des Izards, a été remis en liberté vendredi soir. Il reste cependant placé sous contrôle judiciaire strict.
Un Toulousain de 27 ans, incarcéré depuis le 20 décembre pour tentative de meurtre après des fusillades dans le quartier sensible des Izards, a été remis en liberté vendredi soir mais reste placé sous contrôle judiciaire strict, a-t-on appris samedi auprès de son avocat. Il devra se présenter chaque jour au commissariat de police et ne pas quitter son domicile toulousain. "Les magistrats de la chambre d'instruction de la Cour d'appel de Toulouse ont estimé qu'il n'y avait pas suffisamment d'éléments pour que ce garçon reste en prison", a commenté l'avocat du jeune homme, Me Alexandre Martin. "Le dossier est vide, l'implication de mon client n'était nourrie que par la rumeur", a-t-il soutenu. 
Il reste poursuivi pour tentative de meurtre


Cet habitant les Izards reste cependant poursuivi pour tentative de meurtre contre un employé d'une pizzeria, cible d'un tir de 11.43, le 5 décembre, route de Launaguet, après avoir été percuté par une voiture. Il est également toujours mis en examen pour "port et transport d'arme" de première catégorie et "association de malfaiteurs". "Il n'y a aucun élément dans le dossier si ce n'est les déclarations de la victime qui ont varié. Le pizzaiolo n'avait reconnu personne la première fois. Puis il a reconnu mon client et un autre suspect, la seconde fois. Mais cette reconnaissance n'est étayée par rien, un témoin présent sur les lieux ne reconnaît pas mon client", a assuré Me Martin.
"Lié de près ou de loin" au meurtre de Nabil Benani, selon le parquet
Selon l'avocat, le parquet avait également estimé que son client était "lié de près ou de loin" au meurtre d'un jeune habitant du quartier, Nabil Benani, victime le 8 décembre d'une rafale à l'arme de guerre tirée contre l'entrée d'un immeuble du quartier des Izards. "Mais il se trouvait alors sur la route vers Paris", a fait valoir Me Martin.
Un autre habitant des Izards, âgé de 29 ans, reste incarcéré pour "tentative de meurtre en bande organisée" dans l'affaire du tir visant le pizzaiolo. Ce suspect avait reconnu avoir eu une altercation avec ce dernier tout en démentant avoir fait usage d'une arme à feu. Les Izards, où les immeubles de quelques étages côtoient de petites maisons, sont classés en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP) et souvent décrits comme une des plaques tournantes du trafic de drogue à Toulouse.

http://www.midilibre.fr/2013/12/28/fusillades-a-toulouse-un-suspect-remis-en-liberte,802137.php

samedi 28 décembre 2013

Arnouville : il blesse grièvement son voisin à cause d’un scooter mal garé

UUn scooter a été la cause d’une violente rixe vendredi soir, avenue Henri-Barbusse à Arnouville. Le deux-roues, qui était peut-être mal garé, aurait été déplacé et installé au milieu de la route par un voisin mécontent. Le propriétaire, âgé de 45 ans, et son frère sont alors allés voir ledit voisin.

 Armé d’un couteau, celui-ci a poignardé le propriétaire à deux reprises, le blessant grièvement. Le frère a également été touché. L’auteur des coups a été placé en garde à vue. Le propriétaire était toujours hospitalisé samedi soir à l'hôpital Bichat ().


Mérignac (33) : il tente de voler une voiture et se fait arrêter

Il n'était pas habitué aux boites automatiques et n'a donc fait que quelques mètres au volant de la voiture qu'il venait de voler !
Jeudi, au lendemain de Noël, une sexagénaire d'Eysines s'apprêtait à monter dans son véhicule quand un individu a surgi derrière elle et a tenté de lui arracher les clés. Comme elle résistait, son agresseur l'a violemment tirée en arrière et l'a projetée au sol. Dérobant les clés, l'homme a bondi dans l'habitacle, démarré mais, enclenchant une vitesse automatique au hasard, a percuté un muret.
Voyant des passants approcher, il a préféré ne pas tenter un nouveau départ et prendre la fuite à pied. Il a été interpellé quelques centaines de mètres plus loin, avenue de la Libération à Mérignac et placé en garde à vue à la brigade de sûreté urbaine de Mérignac. Il n'a pu que reconnaître les faits.
Il s'était rendu sur Mérignac pour rencontrer une éducatrice qui devait l'aider financièrement. N'ayant finalement pas pu la voir et se retrouvant dans une situation financière délicate, il a rapidement élaboré le projet du vol de la voiture afin de la revendre à très bas prix.
Ce jeune Bordelais tout juste majeur a été présenté hier vendredi au parquet de Bordeaux et devrait être jugé lundi par le tribunal correctionnel de Bordeaux dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.
La victime a récupéré son véhicule accidenté et fait valoir une incapacité totale de travail (ITT) de deux jours suite aux violences exercées à son encontre.
http://www.sudouest.fr/2013/12/28/merignac-33-il-tente-de-voler-une-voiture-et-se-fait-arreter-1414842-2868.php

Un train percute une voiture vide

Il est presque 11 heures, rue du Milourd, à Anor (Nord), quand les agents SNCF finissent de ramasser batterie, pièces mécaniques et autres morceaux de tôle semés sur 300 mètres depuis le passage à niveau.
Neuf cents mètres plus loin, en direction de l’Aisne, sur le bord des rails, trône l’épave d’une Opel Zafira compressée par la violence du choc de la veille.
« Le chauffeur du train affirme avoir vu les phares, il a freiné mais c’est difficile d’arrêter un train lancé », explique le lieutenant Mickaël Noiret, des pompiers de Fourmies.

Aucun blessé dans le choc

Il n’était pas encore 20 heures quand un TER circulant dans le sens Fourmies-Hirson percute le véhicule laissé vide sur la voie ferrée. Dix-huit personnes, dont le conducteur et le machiniste sont à bord du train, mais aucun n’a été blessé. « Seule une dame a fait un léger malaise après coup, sans gravité, et a été conduite au CHU de Foumies », précise le lieutenant Noiret.
La circulation a été interrompue dans les deux sens une bonne partie de la soirée, le temps de laisser les 70 personnes intervenues sur les lieux rechercher le corps d’un potentiel conducteur et de dégager les voies. Un système de taxi a été mis en place pour permettre aux voyageurs de rentrer chez eux. L’heure est à présent à l’enquête pour la compagnie de gendarmerie d’Avesnes-sur-Helpe. À première vue, tout porte à croire que le véhicule immatriculé dans les Hauts-de-Seine (92), en région parisienne, serait volé et aurait été abandonné sur les rails.
Mais les gendarmes ne tirent, pour l’instant, aucune conclusion : « L’enquête va nous permettre de savoir si la voiture a été dérobée et si elle a pu servir lors d’éventuels vols. La police scientifique a également procédé à des prélèvements et les analyses permettront d’un savoir plus sur l’auteur. »
Aucune piste n’est privilégiée pour le moment et les résultats des analyses devraient être connus début janvier.

http://www.lunion.presse.fr/region/un-train-percute-une-voiture-vide-ia18b0n274431

Cahors. Un chèque en bois pour une bague en or

Les boutiques d’achat d’or demeurent de bons moyens pour obtenir rapidement des fonds en espèces. Gisèle Rodriguez le croyait aussi.
Mais elle dit avoir été «escroquée». Récit...
De l’argent en espèces contre de l’or. Le principe est bien rodé. Cette possibilité d’avoir en mains du cash immédiatement séduit les particuliers poussant la porte des boutiques d’achat d’or qui fleurissent ici et là.
La Cadurcienne Gisèle Rodriguez voudrait bien, quant à elle, franchir à nouveau la porte du magasin de la place Galdemar, à Cahors, où l’or était expertisé avant d’être payé à la valeur estimée.
Le hic, c’est que cette boutique est définitivement close.
Le comptoir d’achat d’or subsiste, mais l’endroit sonne creux. Gisèle y a laissé une bague en or contre laquelle la personne qui s’occupait du magasin, se présentant comme «une employée», lui a remis un chèque… en bois.
Gisèle est furieuse. «Le 24 décembre, j’ai découvert qu’une liquidation judiciaire avait été prononcée pour ce magasin dont l’employée m’avait remis le chèque sans provision en juin 2013», résume-t-elle.
Sa colère est montée d’un cran lorsqu’elle a appris par la liquidatrice judiciaire que «d’autres personnes avaient vécu la même mésaventure dans cette même boutique».

Dépôt de plainte

Ancienne commerçante, Gisèle Rodriguez a un regard très pointu sur ce type de vente. «Lors de la remise de la bague, je me suis étonnée que la personne qui tenait la boutique s’empresse, devant moi, de séparer l’or de son support. Je n’ai également pas compris pourquoi elle m’a donné un chèque plutôt que des espèces», poursuit-elle.
Lors de la réception du courrier confirmant le rejet du chèque, Gisèle s’est déplacée au magasin. «L’employée m’a demandé de ne pas représenter le chèque. Je me suis mise en colère. Cette jeune femme m’a alors réclamé un relevé d’identité bancaire afin d’effectuer un virement. J’ai refusé, car je n’ai pas saisi la logique de cette démarche alors que la société est insolvable. La liquidatrice m’a dit qu’elle allait être poursuivie pour escroquerie. J’ai décidé de déposer plainte», annonce Gisèle.
Elle désire que son or changé en bois soit réglé en argent.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/28/1784177-cahors-un-cheque-en-bois-pour-une-bague-en-or.html

Dans les alpes. Trois morts et deux blessés dans des avalanches

Un jeune skieur, âgé de 15 à 20 ans, est décédé vendredi à l’hôpital de Grenoble après avoir été emporté par une avalanche à Serre-Chevalier (Hautes-Alpes).
Le jeune homme, qui skiait hors pistes, avait été pris dans une avalanche, qui s’était déclenchée en début d’après-midi sous des télésièges.
Vendredi à la mi-journée, un gardien de refuge qui rejoignait à peau de phoque un refuge de Courchevel avec son fils, dans la vallée des Avals (Savoie), a également trouvé la mort dans une avalanche. Son fils en est ressorti indemne.
Dans la matinée, à La Clusaz (Haute-Savoie), également en raison du déclenchement d’une avalanche, plusieurs personnes ont été emportées, dont un homme de 33 ans et une femme de 38 ans qui ont été héliportées à l’hôpital d’Annecy en situation d’»urgence absolue» selon les secours. Leur pronostic vital est engagé.
Dans la matinée, on apprenait également qu’une autre avalanche mortelle s’était déclenchée en Suisse dans le secteur de Saint Moritz.
Tous ces accidents sont arrivés alors que de fortes chutes de neige et la pratique du ski hors piste ont rendu le manteau neigeux très fragile et que les préfectures redoublent d’avertissements pour demander aux skieurs de n’emprunter que les pistes balisées

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/12/27/trois-morts-et-deux-blesses-dans-des-avalanches

vendredi 27 décembre 2013

Mont-de-Marsan : deux mineurs devant le juge pour avoir tabassé un homme en sortie de boîte

Deux Montois de 17 ans, dont un déjà très défavorablement connu de la justice, ont été renvoyés jeudi soir par le parquet de Mont-de-Marsan devant le juge des enfants pour des faits de violences volontaires en réunion.
En avril dernier, le duo s'en était pris violemment (et semble-t-il sans raison) à un homme qui sortait de la boîte de nuit Le Paradise.
Ces derniers avaient même fini leur œuvre du côté de la rue Armand-Dulamon, où la victime s'était réfugiée pour appeler les secours.
Ils avaient au passage mis la main sur son téléphone portable et l'avaient jeté dans le Midou

http://www.sudouest.fr/2013/12/27/mont-de-marsan-deux-mineurs-devant-le-juge-des-enfants-pour-violences-volontaires-1414064-3452.php

Reynerie. Trois ans de prison requis contre l'agresseur des pompiers

Plus de quatre mois après l’agression, la justice s’est de nouveau penchée hier sur la violente altercation entre garçons des cités et des pompiers. C’était le samedi 3 août et l’incident, violent, a laissé des marques. Les trois pompiers victimes ne l’ont pas caché hier devant les juges d’appel.
Une vingtaine de collègues, des officiers et le directeur du service départemental d’incendie et de secours, le colonel Touflet, les soutiennent dans la salle d’audience. Bellile Diab, 21 ans, compte sur trois proches, sa famille, à qui il sourit. «On me reproche des choses que je n’ai pas faites. Je suis seul et on me met tout sur le dos», lâche tout de suite ce père de famille.
Les victimes parlent «de furie», d’un homme «surexcité». Difficile à imaginer à l’observer s’agacer, frêle sur son banc. Et pourtant. Insultes, menaces, celui qui voulait «des explications» suite à un très hypothétique coup de volant du chauffeur de l’ambulance, admet «ses erreurs». Il conteste en revanche avoir lancé un pavé sur l’ambulance qui quittait le quartier sans avoir pu porter secours. Un crève-cœur pour les trois professionnels. Quatre mois après, ils ne l’ont pas digéré. «Notre devise, c’est sauver ou périr. On n’a pas pu porter secours», regrette toujours un membre de l’équipage. Son chef insiste : «Notre principe c’est de porter secours, pas d’agresser les gens».
Me Boguet, avocat des pompiers, ironise sur le prévenu «qui voulait des excuses ! De qui se moque-t-on ?» et sur ses mensonges, piégé par une photo où il est habillé de jaune comme l’ont toujours dit les victimes quand, depuis son arrestation, il affirme qu’il était en blanc. D’ailleurs l’avocat général Gâté aggrave les réquisitions : trois ans dont un avec sursis. Diab avait pris deux ans en correctionnelle.
La cour rendra sa décision le 8 janvier. Et méditera sur les efforts de la défense. «Pas pour excuser les faits», ont prévenu Mes Parra Bruguière et Etelin. Faits «inexcusables» insiste Me Etelin. «Ce n’est pas les pompiers que Diab visait. Pour lui c’est une querelle d’automobilistes», essaye Me Parra Bruguière. Et Me Etelin s’est efforcé, au-delà du contexte, de démontrer que l’entrave aux secours n’existait pas. «Il n’y a jamais pensé. Ce n’était pas son but».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/27/1783558-reynerie-trois-ans-prison-requis-contre-agresseur-pompiers.html

Carcassonne : trois et huit mois ferme pour les cambrioleurs de la montagne Noire

Lundi, les services de gendarmerie avaient mené une véritable chasse à l'homme en montagne Noire pour mettre la main sur un trio de cambrioleurs. Les deux prévenus majeurs comparaissaient ce matin devant le tribunal correctionnel de Carcassonne.
Placés en détention provisoire mardi après-midi, c’est ce jeudi matin que les deux majeurs d'un  trio de cambrioleurs ont été jugés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Carcassonne pour des faits de vol aggravé en réunion et par effraction.
Lundi après-midi, après un cambriolage sur le domaine de Montipez, à Aragon, les deux prévenus, ainsi qu’un complice mineur (*) avaient été pris en chasse par la gendarmerie dans la montagne Noire. Un important dispositif d’interception engagé sur le terrain, avec l’appui aérien d’un hélicoptère venu de Toulouse, avait finalement débouché sur l'arrestation, en plusieurs temps du trio.


Le mineur comparaîtra devant le juge des enfants le 23 janvier
Ce jeudi, seuls Marwin Chevalier, âgé de 19 ans, et Antonio Jimenez-Santiago, 33 ans, comparaissait devant le tribunal correctionnel. Le mineur, âgé de 17 ans,  a lui été écroué à la maison d’arrêt de Perpignan, en attendant de comparaître devant le juge pour enfants de Carcassonne, le 23 janvier prochain.
Après l'examen des faits, le procureur de la République devait requérir 6 mois de prison ferme avec maintien en détention pour le plus jeune, et 18 mois ferme également assortis du maintien en détention, pour le trentenaire. Des réquisitions en partie entendues par le tribunal qui condamnera Marwin Chevalier à 3 mois ferme et Antonio Jimenez-Santiano à 8 mois ferme, avec maintien en détention pour les deux hommes. Condamnation assortie de l'obligation de payer solidairement une amende de 500 euros pour le dommage moral causé à la victime du cambriolage.

http://www.midilibre.fr/2013/12/26/carcassonne-trois-et-huit-mois-fermes-pour-les-deux-cambrioleurs-de-la-montagne-noire,801652.php

jeudi 26 décembre 2013

Narbonne : cinq personnes dont deux enfants intoxiquées au monoxyde de carbone

L'alerte a été donnée en début d'après-midi à Narbonne : cinq membres d'une même famille ont été victimes d'un début d'intoxication au monoxyde de carbone dans une habitation située sur le boulevard Joffre.
Aussitôt sur place, les pompiers ont évacué les cinq personnes, dont deux enfants,  et les ont transportées au Centre hospitalier pour un bilan de santé complémentaire. Les émanations toxiques seraient dues, selon les premiers éléments, à une chaudière défectueuse.

Les personnes intoxiquées ont été transportées dans un second temps sur Perpignan pour un passage par un caisson hyperbarre.

http://www.lindependant.fr/2013/12/26/cinq-personnes-dont-deux-enfants-intoxiquees-au-monoxyde-de-carbone,1828906.php

Bègles : un fou des armes interpellé par le GIPN

Mardi matin, avenue Lucien-Lerousseau, un Béglais de 46 ans a été tiré du lit par les policiers d'élite du Groupe d'intervention de la police nationale. Les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine de Pessac ont prévu cet impressionnant dispositif car ils le savaient armé. Et pour cause
Le 20 décembre, lors d'une soirée arrosée passée dans un bar puis un restaurant, il avait eu des mots avec un des convives et avait quitté la table. Il était revenu au domicile de son interlocuteur où se terminait la soirée, muni d'une arme de poing. Il en avait fait usage à deux reprises, blessant le locataire des lieux au pied gauche.
Transporté à l'hôpital, ce dernier en était ressorti avec une incapacité totale de travail de 20 jours. Il avait supplié le corps médical de ne pas prévenir les services de police, avant de finalement porter plainte lundi dernier en livrant le nom de son agresseur.
Les policiers ne se sont pas trompés : l'homme est connu pour aimer les armes. Toutes les armes. En perquisition à son domicile, les enquêteurs ont découvert des centaines de cartouches de chasse, une arbalète et une machette, le colt qui a servi le 20 décembre, quatre fusils, des couteaux. C'est bien simple : dans chaque pièce se trouvait une arme dissimulée mais prête à fonctionner. Il cachait également 2 grammes de résine de cannabis.
Placé en garde à vue, le quadragénaire a reconnu les faits, assurant cependant que le deuxième tir était accidentel. Il devait être présenté hier au parquet de Bordeaux.

http://www.sudouest.fr/2013/12/26/interpelle-par-le-gipn-1413037-2760.php

Saint-Sulpice. Le chauffard sème la panique en ville

La folle embardée d’un homme alcoolisé au volant aurait pu très mal se terminer mardi soir à Saint-Sulpice. Il est 17 h 30 environ lorsqu’une Renault Mégane, circulant sur l’autoroute A 68, emprunte la bretelle de sortie de Saint-Sulpice. Au rond-point de Gabor, le conducteur de la Mégane refuse la priorité à un autre véhicule, qu’il percute. Mais au lieu de s’arrêter pour évaluer les dégâts et signer un constat amiable, le conducteur s’enfuit à vive allure vers le centre-ville de Saint-Sulpice. L’automobiliste victime de ce délit de fuite appelle le 17. Une patrouille de la brigade territoriale de Saint-Sulpice est justement dans le secteur. Elle prend la Renault Mégane en chasse.
Les gendarmes le suivent à distance, mais le chauffard va multiplier les infractions, mettant en danger plusieurs usagers qui faisaient leurs derniers achats de Noël au centre ville. Cette folle embardée va se terminer dans le fracas des tôles, à l’angle de la rue de Reims et de l’avenue Rhin-et-Danube. Il est 17h40 environ. Une voiture vient de s’arrêter avant le passage protégé situé devant la Maison de la Presse pour laisser passer des piétons: le conducteur de la Mégane arrive trop vite et n’a pas le temps de freiner. Il va percuter par l’arrière le véhicule à l’arrêt.Voulant à tout prix se dégager, il ne va pas hésiter à lui rentrer dedans une seconde fois ! Manœuvre dangereuse et inutile qui laisse le temps aux gendarmes de venir à sa hauteur et de l’interpeller au volant de sa Mégane.

Garde à vue prolongée

Extrait de l’habitable et menotté, le conducteur, âgé de 62 ans, présentait tous les signes de l’ivresse. Ce qu’a confirmé le dépistage d’alcoolémie auquel il a été soumis, un taux de 1,17 milligramme par litre d’air expiré étant relevé, soit plus de 2,30 g par litre de sang.
Inutile de préciser que le sexagénaire a passé la nuit du réveillon en dégrisement puis la journée de Noël en garde à vue à la gendarmerie de Saint-Sulpice. Hier soir, le parquet de Castres a prolongé sa garde à vue. Une décision sera prise aujourd’hui.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/26/1782575-saint-sulpice-le-chauffard-seme-la-panique-en-ville.html

mercredi 25 décembre 2013

Trèbes : deux blessés, dont un bébé, dans un violent choc frontal entre deux véhicules

Un accident de la circulation routière s'est produit dans l'Aude, ce mercredi vers 12 h 50, sur la route D610, entre Trèbes et Marseillette.
Il s'agit d'une collision, apparemment frontale, entre deux véhicules (une Renault Clio et une Peugeot 306 immatriculées dans l'Aude), dont un a fini sa course dans les vignes.

Les sapeurs-pompiers ont porté secours à deux personnes blessées, dont un enfant de 25 mois, sans plus de précisions sur la nature des traumatismes subis.

http://www.lindependant.fr/2013/12/25/marseillette-deux-blesses-dans-un-choc-frontal-entre-deux-vehicules,1828587.php

Un corps de femme repêché dans le canal à Sars-et-Rosières, ce matin

Ce matin, vers 9 heures, un membre de l’équipe municipale de Sars-et-Rosières a, en venant vérifier le niveau de l’eau, découvert une voiture tombée à l’eau, dans le courant de l’Hôpital. Dans le véhicule, coincé sous le petit pont situé à côté de la mairie, les secours intervenus sur place ont fini par libérer le corps sans vie d’une personne âgée. Immatriculée du côté de Lesquin, la victime n’était manifestement pas une administrée de la commune. Au moment où nous écrivons ces lignes, son identité était encore inconnue. Il semblerait également qu’elle soit restée de longues heures dans l’eau.

http://www.lavoixdunord.fr/region/un-corps-de-femme-repeche-dans-le-canal-a-ia27b0n1805422

Carcassonne : le patron des pompiers audois réagit après l’agression de deux pompiers

Dimanche matin, un pompiers à reçu un coup de tête de la victime qu'il secourait. Un autre a pris un coup de poing au visage.
Trois plaintes, finalement, ont été déposées (une à la gendarmerie de Peyriac-Minervois, lundi soir, et deux au commissariat de Carcassonne, mardi matin) après l’agression de deux pompiers dans l’exercice de leurs fonctions, dimanche matin. "Les pompiers sont là pour aider les gens et non pour être agressés. Nous sommes étonnés de cette réaction violente. Pour moi, il y a des limites à ne pas dépasser", nous a confiés, mardi, le colonel Henri Benedittini, “patron” des pompiers audois.
Rixe entre frère sur fond d'alcool


Les faits remontent à dimanche matin, vers 5 h. Ce jour-là, les pompiers sont appelés allée d’Iéna, pour secourir une personne qui a été blessée lors d’une bagarre... avec son frère. Rixe qui s’est déroulée face à la station-service Esso. À l’arrivée des secours, une personne était effectivement ensanglantée et couchée sur le trottoir. On saura par la suite que ce Carcassonnais d’une quarantaine d’années, ancien joueur de rugby à XIII, s’est battu avec son propre frère à l’issue d’une soirée trop arrosée.
Un "pétage" de plombs dans l'ambulance
Blessée, la victime a alors été prise en charge pour être conduite à l’hôpital... Mais c’était sans compter sur un “pétage” de plombs de la victime, qui a donné un coup de tête à l’un des pompiers à ses petits soins, et asséné un coup de poing à un autre. Âgés de 26 et 31 ans, les deux pompiers n’ont été que légèrement blessés, mais leur agression physique est bien loin d’être digérée.
Même si le colonel Benedittini ne souhaite pas faire dans la dramaturgie, après le caillassage dont ont été la cible les pompiers carcassonnais, le 1er décembre, alors qu’ils intervenaient sur onze feux de conteneurs à ordures à la cité Ozanam : "Dans le département de l’Aude, nous intervenons 30 000 fois par an en moyenne, et ce type d’agression est plutôt marginale..."

http://www.midilibre.fr/2013/12/24/le-patron-des-pompiers-audois-reagit-apres-l-agression-de-deux-soldats-du-feu,801328.php

mardi 24 décembre 2013

Lot-et-Garonne : six blessés légers dans un accident à hauteur de Layrac

Deux voitures sont entrées en collision, mardi matin, sur l'autoroute, à hauteur de Layrac, sans le sens Toulouse-Bordeaux. L'un des deux véhicules, suite au choc, a terminé sa course sur le toit.
À bord des deux véhicules : trois adultes et trois enfants. Blessés légèrement, tous ont été transportés au centre hospitalier d'Agen.

http://www.sudouest.fr/2013/12/24/a-62-six-blesses-legers-dans-un-accident-1411898-3603.php

lundi 23 décembre 2013

Castres. Le butin d'un vol récupéré après une course-poursuite

La soirée a été «animée» sur le quartier d’Aillot à Castres samedi. Les policiers du commissariat se font fait caillasser par une quinzaine d’individus qui voulaient les empêcher de récupérer le butin d’un vol qui venait d’être commis à Saint-Salvy-de-la-Balme.
Vers 20h, un riverain de ce village du Sidobre appelle les gendarmes pour leur signaler que 4 individus sont en train de charger une Renault Clio avec du matériel qu’ils viennent de dérober dans une maison. Deux des voleurs repartent à bord de la Clio alors que leurs deux complices prennent la fuite l’un avec un quad et l’autre sur une moto qu’ils ont volés sur place. Les voyous, pris en chasse par les gendarmes, partent en direction de Castres. L’alerte est transmise aux policiers castrais de la brigade anticriminalité (Bac) qui repèrent la Renault Clio dans le quartier d’Aillot. Une course-poursuite s’engage avec le renfort du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig). Victime d’un accrochage avec leur voiture au cours de la poursuite, les policiers perdent de vue les voleurs quelques instants. Mais finalement, ils vont retrouver un peu plus tard, le quad, la moto et la Renault Clio, qui s’avérera elle aussi dérobée mais sur Castres dans la journée, que les voleurs avaient tenté de dissimuler dans le quartier. L’intégralité du butin est donc retrouvée. Mais lorsque les dépanneurs sont intervenus pour récupérer les trois véhicules, les policiers ont été la cible de jets de pierres vers 23h. Il n’y a pas eu de blessés, ni d’interpellation. Mais hier matin, le butin a été passé au crible de la police scientifique qui ne manquera pas de relever les traces et indices permettant d’identifier les voleurs

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/23/1780755-castres-butin-vol-recupere-apres-course-poursuite.html

Une marche pour la Gardoise Charlotte avant le procès du chauffard

Originaire de Gallician, Charlotte Landais, 18 ans, avait été fauchée le 22 décembre 2012 à Montpellier par un chauffard ivre et sous l'emprise de produits stupéfiants. Il devrait comparaître le 2 janvier devant le tribunal correctionnel de Montpellier. Une marche sera organisée ce jour-là dans la préfecture héraultaise.
C’était quelques jours avant Noël. Le 22 décembre 2012 à Montpellier, Charlotte Landais, 18 ans, originaire de Gallician (Vauvert) est fauchée par une voiture. Le chauffard mis en cause - un Montpelliérain dont le permis de conduire avait été annulé - était ivre, sous l’emprise de produits stupéfiants et a pris la fuite.
Procès le 2 janvier 2014


Il devrait comparaître le 2 janvier pour homicide involontaire aggravé devant le tribunal correctionnel de Montpellier. Charlotte était une brillante étudiante en 2e année de pharmacie. Elle était la fille aînée de Stéphane Landais, œnologue à la cave coopérative de Gallician et d’Anne qui travaille à la maison de retraite de Vauvert. La famille est originaire du Maine-et-Loire.
Elle rejoignait sa chambre universitaire
Le jour du drame, vers 5 h 40, la jeune Charlotte venait de sortir du taxi qu’elle avait pris la précaution d’appeler après une soirée, pour fêter le début des vacances de Noël. Alors qu’elle traversait la rue pour rejoindre sa chambre universitaire, elle a été percutée par une voiture folle.
Le chauffard avait pris la fuite
Le chauffard ne s’est pas arrêté. Les policiers ont retrouvé rapidement le véhicule, une Skoda. Son propriétaire a alors contesté toute responsabilité assurant qu’il avait prêté sa voiture à une tierce personne. Mis en examen et incarcéré, le propriétaire de la voiture est finalement revenu sur ses déclarations fin janvier 2013.
Trop saoul pour conduire
Visiblement, le chauffard était trop saoul pour conduire. Son compagnon de beuverie, qui avait passé une partie de la nuit avec lui en discothèque, a préféré conduire la voiture jusqu’à son propre domicile. Le propriétaire de la Skoda aurait ensuite repris le volant et percuté la jeune étudiante.
Association créée
Depuis, les parents de Charlotte, ceux de Mathieu, 20 ans, et ceux d’Adam, 8 mois, trois familles meurtries après le décès de leur enfant dans des circonstances semblables ont créé l’association Charlotte-Mathieu-Adam. Ils réclament la criminalisation de certains comportements routiers qui relèvent, selon eux, de violences volontaires.
Marche
Le 2 janvier, l’association Charlotte-Mathieu-Adam organise une marche qui partira à 11 heures de la place de la Comédie à Montpellier pour se rendre jusqu’à la cour d’assises - là, où la famille Landais aurait voulu voir juger le prévenu - puis se dirigera ensuite vers le tribunal de grande instance.

http://www.midilibre.fr/2013/12/22/le-proces-d-un-chauffard-et-une-marche-pour-charlotte,800728.php

dimanche 22 décembre 2013

Ivry-sur-Seine : un homme retrouvé blessé près du commissariat

Un homme a été agressé de plusieurs coups de couteau samedi après-midi à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Alors qu’ils sortaient du commissariat, les policiers de la brigade anticriminalité ont découvert un homme étendu sur le sol avec les jambes ensanglantées. La victime, d’origine roumaine, a reçu deux coups de couteau dans chaque cuisse.
Elle indique qu’elle a été blessée par une personne également roumaine. Aidées du descriptif, les forces de l’ordre se sont rendues dans le campement Rom situé rue Truillot et ont interpellé vers 17 heures un homme dont le signalement correspondait. Alcoolisé, l’auteur présumé de l’agression a été placé en garde à vue. La victime a été conduite à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. Le commissariat d’Ivry est en charge de l’enquête.

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/ivry-un-homme-retrouve-blesse-pres-du-commissariat-22-12-2013-3431927.php

Fait divers. La voiture, coincée sur les rails, bloque quatre trains

Vendredi soir, près de la gare de Paimpol, un homme ivre a bloqué sa voiture sur les rails. Des passagers n'ont pas vu leur train arrivé.

Vendredi, vers 20 h, un chauffeur de train alerte les gendarmes de Paimpol. Un véhicule est immobilisé sur la voie ferrée, sur le passage à niveau de la rue Châteaubriant.
Sur place, la brigade constate que le chauffeur, originaire de Lanvollon, est ivre. Il a un taux de 1,64 g/l. L’homme, âgé de 27 ans, est également sous l’emprise de produits stupéfiants. Sa voiture ne pouvait plus bouger. Une dépanneuse a finalement retiré le véhicule, 45 minutes plus tard.
Durant cet incident, quatre trains n’ont pas pu se rendre à la gare de Paimpol, le soir des vacances. La SNCF a dû affréter un bus et plusieurs taxis pour satisfaire les usagers. La compagnie a décidé de porter plainte.
Le permis du conducteur a été retiré. Il sera prochainement convoqué au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc.


http://www.ouest-france.fr/fait-divers-la-voiture-coincee-sur-les-rails-bloque-quatre-trains-1809044

Nérac. Deux blessé dans un accident grave

Une sortie de route s’est produite hier à 13 heures sur la RD 136 en direction Espiens à Nérac. Le conducteur âgé de 70 ans a été éjecté du véhicule. Blessé grièvement, il a été évacué sous assistance du SAMU à l’hôpital d’Agen. un enfant de 9 ans plus légèrement blessé a également été pris en charge par les pompiers et hospitalisé.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/22/1780574-nerac-deux-blesse-dans-un-accident-grave.html

Isère: un pratiquant de speed riding décède dans une avalanche

Un homme est mort samedi en Isère, emporté par une avalanche alors qu'il pratiquait le speed riding, mélange de parapente et de ski.
Un homme d'une quarantaine d'années est mort samedi en Isère, emporté par une avalanche alors qu'il pratiquait le speed riding, mélange de parapente et de ski, sur le domaine hors-piste de l'Alpe d'Huez, selon la direction des pistes de la station. La victime, qui officiait comme moniteur de parapente au sein de l'école de vol libre de l'Alpe d'Huez, évoluait à 2.500 mètres d'altitude sur le secteur de la Combe Charbonnière, en compagnie de quatre autres personnes, lorsque l'accident est survenu. "La coulée s'est déclenchée à son passage. Il a été emporté, puis enseveli par une plaque de neige. Il n'a pu être ranimé malgré l'intervention rapide des secours", a indiqué la direction de la station, qui a appelé à la prudence quant à la pratique du hors-piste.

http://www.midilibre.fr/2013/12/21/isere-un-pratiquant-de-speed-riding-decede-dans-une-avalanche,800311.php

samedi 21 décembre 2013

Charente-Maritime : l’épicerie de Loiré-sur-Nie braquée, les malfaiteurs en cavale

Vers 18 h 30, hier, en Charente-Maritime, le dispositif de la gendarmerie nationale, le plan Épervier, était levé.
Avec pour premier cercle le secteur de Loiré-sur-Nie, petite commune située à l’est de Saint-Jean-d’Angély, il avait été mis en place vers 17 heures dès lors que l’on savait qu’un homme, cagoulé et armé d’un pistolet, venait d’y braquer le commerce Mille Frais, en centre-bourg.
  • De l’argent et des cigarettes
Le malfaiteur tenait en respect la caissière de l’épicerie-tabac et prenait la fuite à pied avec le contenu de la caisse : une quarantaine d’euros et environ 400 euros de cigarettes. Une cinquantaine de mètres plus loin, il s’engouffrait dans une voiture, a priori blanche, au volant de laquelle se trouvait une femme, sa complice. L’automobile prenait la direction de Saint-Jean-d’Angély.
Le déploiement des forces de gendarmerie, dont des maîtres-chiens, en différents points névralgiques, et l’alerte des gendarmeries des Deux-Sèvres et de la Charente, deux départements proches de Loiré-sur-Nie, n’ont pas permis de retrouver ce véhicule.
« L’enquête est maintenant judiciaire », indiquait, hier soir, le commandant de la compagnie de Saint-Jean-d’Angély, le capitaine Yves Rétho. Ainsi, les techniciens en investigations criminelles (TIC) de la gendarmerie recherchaient rapidement, sur le site du braquage, 4 rue Grand-Chapitre, toutes les traces qui permettraient de faire avancer l’enquête. La direction de cette dernière était confiée à la brigade de recherches de la compagnie.
Les témoins du braquage, dont Catherine, l’employée, qui s’est retrouvée en face de l’arme de l’agresseur, étaient entendus. S’il n’y a pas eu de violence physique et de tir, l’employée du commerce était choquée. Ce Mille Frais est tenu depuis juillet 2010 par Pascale Fuzeau.

http://www.sudouest.fr/2013/12/21/l-epicerie-braquee-1409031-1423.php

Auch. La maison du Père Noël saccagée

L’association des commerçants d’Auch avait trouvé une petite maison de bois pour abriter le Père Noël pendant les fêtes dans la haute-ville. Hier matin, ils l’ont découverte mise en pièces.
Elle avait été montée en début de semaine par les commerçants eux-mêmes, aidés par des collègues retraités, dans le renfoncement situé au dos de la Poste, rue Dessoles. «Elle devait accueillir le Père Noël, qui y recevait les dessins des enfants dans le cadre d’un petit concours, où les gagnants recevaient des bons d’achat dans les boutiques», explique Éric Michel, le vice président de l’association des commerçants. L’édifice devait être peint hier aux couleurs de Noël. A minuit, il était encore debout. «Quand je suis arrivé
[hier] à 8 h 15, tout était par terre, écroulé. C’est la deuxième année qu’on lance une animation de la sorte, et la deuxième fois qu’on rencontre un problème.» En 2012, la cabane placée au pont de la Treille avait carrément disparu… Qui a fait le coup ? A l’ACA, on n’accuse personne. «L’ACA a porté plainte, bien entendu, annonce Brunon Gilardi, le président de l’association. Voilà quelques centaines d’euros partis à la poubelle…» Pauvre Père Noël, le voilà SDF. Il va devoir arpenter la ville pour distribuer bonbons et autres gâteries, et qui devra aussi se passer de dessins : «faute de local, le concours de dessins est annulé», précise le président de l’ACA

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/21/1779659-auch-la-maison-du-pere-noel-saccagee.html

Gironde : crash d'un hélicoptère dans une rivière, quatre personnes disparues

Un hélicoptère avec quatre personnes à bord s'est écrasé dans une rivière ce vendredi en fin d'après-midi en Gironde. Les gendarmes et les pompiers effectuent des recherches. Aucun bilan pour l'instant...
L'hélicoptère s'est écrasé dans la rivière Dordogne, en Gironde, a-t-on appris auprès de la gendarmerie et de la préfecture. Aucun bilan n'était pour l'heure disponible, les gendarmes et pompiers effectuant des recherches dans la rivière.
Un hélicoptère de la gendarmerie, équipé d'un puissant projecteur, survolait le cours d'eau tandis que des plongeurs, sur un zodiac, sondaient les eaux de la Dordogne. Des gendarmes inspectaient également les berges de la rivière, au lieu-dit du port du Petit Chartron, sur le territoire de la commune de Lugon-et-l'île-du-Carnay.


Quatre personnes à bord
A bord de l'hélicoptère se trouveraient notamment l'ancien propriétaire du château viticole de La Rivière, James Grégoire, et son tout nouvel acquéreur, un ressortissant chinois, Lam Kok, qui préside la société Brillant, dont le siège est à Hong Kong et spécialisée dans les thés d'exception et l'immobilier de luxe en Chine.
Les deux hommes avaient conclu la vente du château de la Rivière jeudi pour ce qui apparaît comme le plus gros investissement chinois dans le vignoble bordelais. Un interprète et le fils, mineur, de Lam Kok étaient également à bord de l'hélicoptère.

http://www.midilibre.fr/2013/12/20/gironde-crash-d-un-helicoptere-dans-une-riviere-quatre-personnes-disparues,799982.php

vendredi 20 décembre 2013

La Couronne (16) : 250 litres de carburant siphonnés

Dans la nuit de lundi à mardi, des véhicules ont été siphonnés au centre de travaux de SAG Vigilec, une société spécialisée dans les réseaux électriques implantée dans la zone industrielle du Champ-de-la-Tuilerie, à La Couronne, au sud de l'agglomération d'Angoulême.
250 litres manquent à l'appel. Une clôture a été sectionnée pour permettre les allées et venues du ou des visiteurs. Une enquête de police est ouverte au commissariat d'Angoulême.

http://www.sudouest.fr/2013/12/20/la-couronne-250-litres-de-carburant-siphonnes-1408601-813.php

Avignonet-Lauragais. Le pompiste sauve la vie du bébé de sa cliente

Alors qu’elle prenait de l’essence, la maman a vu son bébé d’un mois devenir tout bleu. Le bouche-à-bouche du garagiste, Pascal Martinez, a sauvé la vie de Cassandra.
Demain, la petite Cassandra fêtera l’anniversaire de son premier mois au service pédiatrie du CHU Purpan. Sans la présence d’esprit de Pascal Martinez, propriétaire de la station Total d’Avignonet-Lauragais, le bébé ne serait plus de ce monde. «Un peu après 13 heures, une voiture immatriculée dans l’Aude est arrivée pour prendre de l’essence», raconte le garagiste de la station Total, en bordure de la RN113. A son bord, une femme âgée, une maman d’une trentaine d’années et un bébé. Tout d’un coup, alors que je revenais de l’atelier, la jeune femme est arrivée en hurlant : «Au secours, appelez les pompiers.» Pascal et son épouse Laurence ont vite compris que ce qui se passait était grave. Un client a essayé de secouer le bébé. Il était tout bleu. Laurence Martinez a aussitôt appelé les pompiers mais aussi le docteur du village et le Samu.
Mais que faire en attendant ? «Le bébé ne respirait plus du tout. Alors, on a pris une veste, je l’ai allongé dessus et j’ai commencé à lui faire le bouche-à-bouche. Je connais la technique car je suis un ancien légionnaire en retraite mais c’est si fragile à cet âge», raconte Pascal.
Pendant dix interminables minutes («une éternité»), Pascal s’est acharné à tout faire pour ramener Cassandra à la vie. «Enfin, elle s’est mise à respirer difficilement. Puis le docteur Clavier est arrivé. J’étais soulagé.» Ont suivi les pompiers puis deux véhicules du SAMU dont un, spécialisé pour les enfants.
«Le docteur du Samu m’a félicité pour mon intervention. D’après les premières constatations, la petite fille, née prématurée et allaitée au sein, aurait été victime de ce qu’on appelle couramment «une mauvaise route». En clair, le lait qui passe dans le mauvais tuyau», précise Pascal.
Mise rapidement sous respiration artificielle, Cassandra a été prise en charge par le Samu qui l’a transportée aussitôt à Purpan, accompagnée par sa maman, encore sous le choc. La grand-mère, elle a repris la route pour l’Aude voisine pour aller s’occuper de ses autres petits-enfants.
Encore très émue par cette histoire, Laurence Martinez attend désormais que la maman revienne à nouveau chercher de l’essence à la station Total. «Je serais si heureuse de revoir ce bout de chou», dit-elle.
Quant à Pascal, héros modeste, en refusant la fatalité et en donnant tout son souffle pour ranimer le bébé, il a certainement fait, avec quelques jours d’avance, le plus beau cadeau de Noël de sa vie.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/20/1779264-avignonet-lauragais-pompiste-sauve-vie-bebe-cliente.html

Hérault : le chauffeur de Georges Fontès blesse accidentellement deux gendarmes

A Vailhauquès (Hérault), deux gendarmes ont été blessés et évacués vers l'hôpital, à la suite d'une bousculade. Le chauffeur de Georges Fontès, ancien ministre et maire de Béziers, n'aurait pu les éviter.
Les pompiers de l'Hérault sont en grève. Depuis ce matin, ils faisaient le siège du centre opérationnel du Sdis à Vailhauquès où se déroulait le conseil d'administration du Sdis34.
A l'issue de cette réunion et alors qu'une bousculade s'est produite à la sortie des élus, deux gendarmes auraient été blessés au jambes et évacués vers le CHU.


Fauchés par la voiture
Selon nos informations, tous les deux seraient tombés au sol quand la voiture de Georges Fontès, conseiller général de l'Hérault et adjoint à la mairie de Béziers, passait. Le chauffeur de ce dernier n'aurait pu les éviter et leur a roulé sur les jambes. A l'heure actuelle, les blessures sont jugées superficielles.
Georges Fontès a été l'ancien maire de Béziers (1983-1989), il est aujourd'hui le 9e adjoint du maire de Béziers Raymond Couderc, mais aussi conseiller général du canton de Béziers  dont il est élu depuis 1982 et est le doyen de l'assemblée départementale. Il est membre du conseil d'administration du Sdis34. Ancien député il a aussi été secrétaire d'Etat aux anciens combattants du 20 mars 1986 au 10 mai 1988.

http://www.midilibre.fr/2013/12/19/vailhauques-le-chauffeur-de-georges-fontes-blesse-accidentellement-deux-gendarmes,799480.php

jeudi 19 décembre 2013

Des cambrioleurs ligotent un garçon de 15 ans

Deux cambrioleurs seraient entrés dans un pavillon de Fontenay-sous-Bois ce matin vers 11 heures et y auraient trouvé un adolescent âgé de 15 ans, rapporte aujourd'hui le Parisien. Les mafaiteurs auraient ligoté le jeune garçon, probablement le fils de la famille, et poursuivi leur forfait avant de prendre la fuite à bord d'un véhicule trouvé sur place.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/19/97001-20131219FILWWW00531-des-cambrioleurs-ligotent-un-garcon-de-15-ans.php

Cannibale présumé des Pyrénées : l'ancien militaire va être présenté vendredi au juge

Jeremy Rimbaud, l'ancien militaire suspecte d'assassinat et de cannibalisme lors d'un passage à Nouilhan, dans les (Hautes-Pyrénées, dans la nuit du 14 au 15 novembre, sera présenté demain à une juge d'instruction.
C'est la première fois qu'il est entendu depuis les faits. La première tentative d'entretien avait tourné court en raison de l'état psychique du jeune homme.
Après son audition, il pourrait être mis en examen pour assassinat, tentative d'assassinat et atteinte à l'intégrité d'un cadavre
Cet ancien militaire rentré traumatisé d'Afghanistan aurait torturé, tué et mangé des parties du corps d'un homme de 90 ans. Les faits de cannibalisme restent à établir. La viande retrouvée sur place dans une assiette était cependant bien d'origine humaine

http://www.sudouest.fr/2013/12/19/le-cannibale-presume-des-pyrenees-va-etre-presente-vendredi-au-juge-1407238-7.php

Une battue pour empêcher les sangliers de rentrer dans Agen

Aujourd’hui, sous le commandement d’un lieutenant de louveterie, une battue administrative est organisée sur le coteau de l’Ermitage, la route de Gaillard et le vallon de Vérone. Plusieurs dizaines de sangliers y ont été repérés.
Les riverains du coteau de l’Ermitage et du vallon de Vérone, ainsi que les automobilistes devant circuler dans cette zone entre 10 h et 14 h sont appelés à la plus grande vigilance aujourd’hui.
En effet, suite à de nombreux signalements de la présence de sangliers dans le secteur, une battue a été mise en place, en concertation avec les différents services de l’État, la direction départementale des territoires et la préfecture, les mairies d’Agen et de Foulayronnes, la police, la gendarmerie, la police municipale d’Agen et la fédération départementale de chasse.
François Cazottes, directeur départemental des territoires, explique : «Sur la commune de Foulayronnes, plusieurs dizaines de têtes ont été identifiées».
Un budget de 90 000 € pour les dégâts
Alain Gigounoux, directeur de la fédération de chasse de Lot-et-Garonn, ajoute : «La zone concernée par la battue est très particulière, car très urbanisée. Le coteau de l’Ermitage constitue un excellent refuge pour les sangliers. Même si c’est toujours très difficile de quantifier ces animaux, on estime que sur la zone, il y a au moins entre trente et cinquante bêtes. Nous sommes au stade où il y a une vraie nécessité d’intervenir».
Cette battue administrative a pour but, essentiellement, d’empêcher la prolifération des sangliers qui causent de nombreux dégâts. «Notre budget lié aux dégâts que peut causer ce type d’animaux est de l’ordre de 90 000 €. À cela s’ajoute un budget d’environ 100 000 € pour les différentes actions de prévention, comme les clôtures, la mise à disposition d’alimentation dans certaines zones pour qu’ils n’aillent pas dans les champs», relate Alain Gigounoux.
Une autre battue en janvier ?
Selon les résultats de la battue du jour, une autre pourrait être programmée au mois de janvier. Ils devraient être une vingtaine de chasseurs à circuler sur le secteur aujourd’hui. La police municipale d’Agen effectuera également des patrouilles pour demander aux riverains de redoubler de vigilance.
Ce que coûtent les sangliers
Depuis une dizaine d’années, la prolifération des sangliers devient un véritable problème. Ceux-ci causent de nombreux dégâts. Ainsi, en 2011-2012, la Fédération nationale de chasse a estimé à plus de 30 millions le coût des dégâts causés par ces animaux. Plusieurs villes ou départements ont d’ailleurs adopté des mesures exceptionnelles pour empêcher ces animaux de se reproduire et d’approcher les villes. Le nombre de sangliers sur le territoire français serait de deux millions d’individus.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/19/1777751-chasse-sanglier-coteau-ermitage.html

Hérault : un cas de gale dans une école à Sète

Suite à la découverte, lundi, d'un cas de gale chez une fillette scolarisée à l'école Paul-Bert, dans le Quartier Haut à Sète, l'établissement devait être désinfecté mercredi.
L’alerte a été donnée lundi à tous les parents d’élèves de l’école élémentaire Paul-Bert, située dans le Quartier Haut à Sète, via un communiqué de l’Académie de Montpellier glissé dans les cartables. Une petite fille, scolarisée en CM1, s’était en effet présentée ce jour-là en classe, atteinte de la gale, une maladie parasitaire bénigne mais particulièrement contagieuse en cas de contact direct et prolongé.
Cinq autres cas non confirmés


Selon le directeur de l’école, cinq autres cas seraient suspectés, mais non confirmés, dans trois autres classes. Immédiatement contactés, les parents de ces élèves ont été invités à venir chercher leurs enfants tandis que le personnel d’entretien de l’établissement a procédé à un premier nettoyage. Celui-ci devrait cependant être complété par une désinfection complète de l’école, prévue mercredi, par les services municipaux.
Recrudescence de cette parasitose
Au cours des derniers mois, d’autres cas de gale ont été suspectés ou confirmés dans d’autres établissements de Sète accueillant des enfants (deux crèches et un lycée), alors même que l’on note, depuis le milieu des années 2000, une augmentation de cette parasitose, "qui se propage rapidement dès qu’il y a promiscuité et que l’on trouve dans toutes les classes socio-économiques", explique une étude de SOS Médecins, consacrée à la recrudescence des cas.
Précisons que la gale se manifeste par une éruption cutanée, qui provoque de très fortes démangeaisons, notamment la nuit, au niveau des mains, des doigts, voire des chevilles, des coudes, des pieds…

http://www.midilibre.fr/2013/12/18/un-cas-de-gale-a-paul-bert-l-ecole-desinfectee-aujourd-hui,798872.php

mercredi 18 décembre 2013

Dordogne : le parieur hippique à la méthode "infaillible" vient d'être condamné

Il était à la barre le 25 novembre dernier. Un Périgordin de 54 ans vient d’être condamné pour escroquerie dans le cadre de paris hippiques.
Le tribunal correctionnel de Périgueux a finalement reconnu cet habitant de Coulounieix-Chamiers (24) coupable d'avoir dupé plusieurs dizaines de personnes dans toute la France entre 2009 et 2013 : via Internet, il vendait une méthode soit disant infaillible pour remporter des gains importants aux courses de chevaux.
Ce mercredi, l'homme a donc écopé de 18 mois de prison avec sursis. Il devra par ailleurs soigner son addiction aux jeux et se retrouve dans l'interdiction d'engager des paris. Enfin, il devra verser 41000 euros aux 22 victimes qui se sont porté parties civiles dans son procès.

http://www.sudouest.fr/2013/12/18/dordogne-le-parieur-hippique-a-la-methode-infaillible-vient-d-etre-condamne-1406044-1980.php

Perpignan : Une désespérée de 17 ans sauvée des eaux par deux jeunes femmes

L’affaire aurait pu tourner au drame. Lundi, vers 18 h, une jeune fille âgée de 17 ans aurait voulu mettre fin à ses jours et selon les premiers éléments, se serait jetée depuis la berge dans la Têt, à hauteur du pont Joffre à Perpignan. « Comme tous les jours, on promenait nos chiens au bord de l’eau en direction du palais des expositions, raconte un témoin. On a vu arriver une jeune femme en courant qui criait : “Il y a quelqu’un dans l’eau”. Elle l’avait vue depuis la route, elle avait laissé sa voiture sur le passage à gué pour se précipiter. Elle s’est jetée à l’eau et Alizé, une autre jeune fille qui était avec moi a fait de même. Toutes les deux, alors qu’elles n’ont qu’une vingtaine d’années, n’ont écouté que leur courage. Sans réfléchir, elles ont sauté pour la secourir tandis que j’appelais les pompiers. Le courant était très fort. On la voyait partir à la dérive. Elle a dû être saisie par le froid et réaliser d’un coup. Elle appelait au secours ».
Dans un élan de solidarité exemplaire, ces deux “anges gardiens” ont réussi à ramener la malheureuse jusque sur le bord, et à la porter sur les cailloux. En hypothermie, elle a été évacuée vers le centre hospitalier de Perpignan. Mais ses jours ne sont pas en danger. Les deux jeunes filles, quant à elles, n’ont pas été blessées mais en ont été quittes pour un bon coup de froid avec leurs vêtements

http://www.lindependant.fr/2013/12/17/perpignan-une-desesperee-de-17-ans-sauvee-des-eaux-par-deux-jeunes-femmes,1825785.php

Tirs aux Izards : le principal suspect écroué pour tentative de meurtre

L’homme en garde à vue depuis vendredi a été écroué hier pour tentative de meurtre en bande organisée. Il est soupçonné d’avoir ouvert le feu sur un commerçant le 5 décembre, à Toulouse. Il n’est pas poursuivi pour le meurtre de Nabil Bennani tué d’une rafale de Kalachnikov, aux Izards.
Walid.L.B, 29 ans a été placé en détention provisoire hier pour tentative de meurtre en bande organisée. Il est soupçonné d’avoir tiré sur un commerçant de la route de Launaguet, à Toulouse, non loin du quartier des Izards, le 5 décembre. En revanche, il n’est pas poursuivi pour le meurtre de Nabil Bennani, 18 ans, tué d’une rafale de Kalachnikov, après les tirs du 8 décembre devant un immeuble de la rue des Chamois, aux Izards. «Il est prouvé au dossier qu’il était en dehors de Toulouse dans la soirée du 8 au 9. Il était sur la route entre Paris et Toulouse. Il est totalement hors de cause : il n’était pas aux Izards à l’heure du crime», a assuré son avocat Me Etelin.
De son côté, la police judiciaire en charge de l’enquête suivie par la juge d’instruction Elodie Billot poursuit ses investigations. Walid L.B., interpellé vendredi soir par un équipage de la sécurité publique était en possession d’une arme de calibre 11.43. Le même calibre utilisé lors du tir sur le commerçant, le 5 décembre, route de Launaguet. Mais les vérifications ont permis d’établir qu’il ne s’agit pas de la même arme.

Contentieux

Un contentieux opposait Walid L.B au commerçant visé par le tir de 11.43. Le suspect écroué dans le cadre de cette affaire nie être l’auteur du coup de feu. Le 8 décembre, rue des Chamois, aux Izards, ce même commerçant se trouvait dans l’immeuble devant lequel deux rafales de Kalachnikov ont retenti fauchant mortellement, Nabil Bennani, un jeune de 18 ans qui se trouvait sur les lieux en compagnie d’un groupe de jeunes.
La présence du commerçant sur les lieux des tirs du 5 et du 8 décembre a notamment conduit la justice à joindre ces deux affaires considérant que cet homme est le dénominateur commun des deux faits. Les événements du 4 décembre, toujours aux Izards, où un individu à scooter a ouvert le feu sur des vitrines de commerce au pistolet-mitrailleur, sont traités séparément. Une guerre de clans sur fond de trafic de stupéfiants pourrait être à l’origine de cette série de tirs qui s’est soldée par la mort d’un jeune des Izards, un quartier classé zone de sécurité prioritaire et connu pour ses lieux de deal. La victime, Nabil Bennani, employé au sein de la boulangerie familiale du quartier n’était pas connue pour trafic de stupéfiants. Selon ses proches, «il s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment.» Frédéric Abéla

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/18/1777529-tirs-izards-principal-suspect-ecroue-tentative-meurtre.html

Roger Hanin réclame 300 000 euros aux Mitterrand

Roger Hanin, acteur et beau-frère de feu François Mitterrand, a demandé mardi en justice le remboursement de près de 300 000 euros prêtés à Danielle Mitterrand pour payer la caution de Jean-Christophe dans l'affaire de l'Angolagate.
 "On a tout essayé, en vain", pour obtenir à l'amiable le remboursement de 1,5 million (230 000 euros) puis 400.000 francs (60 000 euros) prêtés à Danielle Mitterrand qui cherchait alors à réunir l'argent pour régler la caution -"rançon" avait-elle dit- de 5 millions de francs (760 000 euros) de son fils Jean-Christophe, brièvement incarcéré fin décembre 2000 et libéré en janvier 2001dans l'affaire de l'Angolagate, a plaidé Me Olivier Pardo, avocat de Roger Hanin.
Une loi d'honneur


L'acteur a donc "de guerre lasse" assigné les fils de l'ancien président, Gilbert et Jean-Christophe, demandant par ailleurs le remboursement d'un dernier prêt, de 250 000 francs (38 000 euros), consenti à titre personnel à ce dernier, pour renflouer une affaire de pêcherie qu'il avait montée en Mauritanie. Rappelant que "Pierre Bergé, Jack Lang ou encore André Rousselet", figures de la "Mitterrandie" qui avaient aussi participé à l'effort financier, avaient eux été remboursés, Me Pardo a estimé que c'était une "loi d'honneur que de rembourser ceux qui vous ont aidé quand vous étiez dans la difficulté". Mais "rien, nada, nothing", pour lui, les frères écrasent de leur mépris "l'acteur de seconde zone qui a osé demander quelque chose à la famille Mitterrand, qui aurait fait toute sa carrière".
Roger Hanin est sous curatelle
Quant à l'affirmation de Jean-Christophe d'avoir remboursé en liquide le prêt pour la pêcherie, "c'est se moquer du tribunal, il n'apporte pas le commencement du dixième de la preuve". "Tout ça c'est du cinéma", réplique pour les frères Mitterrand Me Jean-Pierre Versini-Campinchi. Et d'assurer que "de 2001 à janvier 2013 il n'y a eu aucun commencement de début de demande" de remboursement, et "qu'on a commencé à vous réclamer de l'argent quand M. Hanin a été placé sous curatelle", en l'occurrence de sa fille, Isabelle. L'acteur, époux de Christine Gouze-Rénal, décédée en 2007 et soeur de Danielle Mitterrand, est aujourd'hui âgé de 88 ans. Et l'avocat  insiste sur une "jurisprudence constante": "si vous exigez le remboursement il vous appartient d'apporter la preuve de l'obligation à rembourser". Or en l'espèce, soutient-il, si Roger Hanin et la tante de Jean-Christophe Mitterrand "avaient eu le sentiment que cet argent devait être restitué" ils l'auraient demandé. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 4 février.

http://www.midilibre.fr/2013/12/17/roger-hanin-reclame-300-000-euros-aux-mitterrand,798611.php

mardi 17 décembre 2013

300 000 euros de maroquinerie de luxe dérobés dans le Var

Quelque 300.000 euros de produits de maroquinerie de luxe ont été dérobés dans la nuit de lundi à mardi dans un magasin de dépôt-vente de Saint-Tropez (Var), a indiqué ce mardi le parquet de Draguignan.
Le cambriolage s'est produit vers 3h00, l'entrée de ce magasin du centre-ville ayant été forcée à l'aide d'un pied-de-biche, a-t-on précisé de même source.
La gendarmerie de Saint-Tropez a été chargée de l'enquête, aidée de la brigade de recherches.

http://www.sudouest.fr/2013/12/17/300-000-euros-de-maroquinerie-de-luxe-derobes-1404628-7.php