Le passager d'une voiture a été grièvement blessé lors d'un accident survenu hier à 17 heures sur la RD7 qui mène de Verzenay à la départementale 944.
Agé de 25 ans, le jeune homme se trouvait à bord d'une Peugeot conduite par une amie du même âge, domiciliée comme lui à Reims. Pour une raison que l'enquête de gendarmerie devra déterminer, la jeune femme a perdu le contrôle de sa voiture dans un double virage, sur une chaussée légèrement humide, alors qu'elle se dirigeait vers la RD944. L'auto a effectué un ou plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser sur le toit, sur la voie inverse.
Le passager a été éjecté. Les secours l'ont retrouvé inconscient sur le bitume, atteint de blessures engageant son pronostic vital. Il a été évacué dans un état comateux au CHU de Reims. Bloquée dans l'habitacle, la jeune femme a dû être désincarcérée, mais elle souffre de lésions sans gravité.
L'accident a entraîné la coupure de la RD7 pendant près d'une heure.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/ejecte-le-passager-dans-le-coma
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
vendredi 31 mai 2013
Trafic perturbé sur le RER B lundi
La RATP a annoncé vendredi dans un communiqué qu'elle prévoyait un "trafic normal" dans le métro lundi, et "quasi normal" sur le RER A mais un "trafic perturbé" sur la ligne B du RER, suite à un préavis de grève des syndicats CGT, FO et SUD.
Les conducteurs de métro et RER de la zone RATP ont déposé un préavis de grève pour la journée de lundi afin de dénoncer "des modifications de leurs conditions de travail" et "la casse de la réglementation existante".
Ce jour-là, l'intersyndicale doit examiner un avenant au protocole des conducteurs. Ils craignent une dégradation de leurs conditions de travail et réclament une revalorisation de leur grille de salaires, une amélioration du déroulement de carrière pour tous, et des négociations sur des vrais métiers de deuxième partie de carrière en raison de la pénibilité du travail de conducteur.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/05/31/97002-20130531FILWWW00511-trafic-perturbe-sur-le-rer-b-lundi.php
Les conducteurs de métro et RER de la zone RATP ont déposé un préavis de grève pour la journée de lundi afin de dénoncer "des modifications de leurs conditions de travail" et "la casse de la réglementation existante".
Ce jour-là, l'intersyndicale doit examiner un avenant au protocole des conducteurs. Ils craignent une dégradation de leurs conditions de travail et réclament une revalorisation de leur grille de salaires, une amélioration du déroulement de carrière pour tous, et des négociations sur des vrais métiers de deuxième partie de carrière en raison de la pénibilité du travail de conducteur.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/05/31/97002-20130531FILWWW00511-trafic-perturbe-sur-le-rer-b-lundi.php
Agen : elle fonce volontairement sur quatre jeunes femmes avec sa voiture
Les faits se sont déroulés mercredi vers 21 heures, rue Paul-Verlaine à Agen. Les policiers interviennent suite au signalement d'un accident. Arrivant sur place, ils constatent en effet qu'une voiture de marque BMW a terminé sa course dans une clôture.
Aux abords de celle-ci se trouvent quatre jeunes femmes, trois mineures et une jeune majeure, choquées et légèrement blessées. Rapidement, le petit groupe explique aux forces de l'ordre que l'automobiliste leur a volontairement foncé dessus.
La conductrice en cause, une Agenaise de 20 ans, est placée en garde à vue, laquelle a été prolongée de 24 heures et débouchera sur une présentation devant un magistrat, ce vendredi matin. Si cette dernière a tout d'abord nié les faits, elle n'a pu que les reconnaître au regard des avancées de l'enquête.
Une violente dispute serait à l'origine de cet acte, qualifié de violence aggravée avec arme par destination.
http://www.sudouest.fr/2013/05/31/agen-une-automobiliste-fonce-volontairement-sur-quatre-jeunes-femmes-1070564-3603.php
Aux abords de celle-ci se trouvent quatre jeunes femmes, trois mineures et une jeune majeure, choquées et légèrement blessées. Rapidement, le petit groupe explique aux forces de l'ordre que l'automobiliste leur a volontairement foncé dessus.
La conductrice en cause, une Agenaise de 20 ans, est placée en garde à vue, laquelle a été prolongée de 24 heures et débouchera sur une présentation devant un magistrat, ce vendredi matin. Si cette dernière a tout d'abord nié les faits, elle n'a pu que les reconnaître au regard des avancées de l'enquête.
Une violente dispute serait à l'origine de cet acte, qualifié de violence aggravée avec arme par destination.
http://www.sudouest.fr/2013/05/31/agen-une-automobiliste-fonce-volontairement-sur-quatre-jeunes-femmes-1070564-3603.php
Mort suspecte d'une nonagénaire à La Rochelle
Le corps d'une femme de 93 ans, sur lequel ont été constatés "des traces de coups", a été retrouvé jeudi à son domicile de La Rochelle, a-t-on appris vendredi auprès du parquet, qui évoque une possible piste criminelle.
La nonagénaire, qui vivait seule, a été trouvée "par un voisin", selon le parquet de La Rochelle. "La maison a été fouillée", ce qui oriente l'enquête vers un crime crapuleux, a précisé cette même source à l'afp, confirmant une information du site internet de Sud Ouest.
L'heure de la mort doit être déterminée vendredi lors d'une autopsie dont les résultats sont attendus d'ici à la fin de journée. Des moyens de police technique et scientifique de Bordeaux et Orléans sont intervenus sur les lieux du crime, où le parquet s'est également rendu jeudi après-midi. L'enquête a été confiée à l'antenne de police judiciaire de La Rochelle.
L'heure de la mort doit être déterminée vendredi lors d'une autopsie dont les résultats sont attendus d'ici à la fin de journée. Des moyens de police technique et scientifique de Bordeaux et Orléans sont intervenus sur les lieux du crime, où le parquet s'est également rendu jeudi après-midi. L'enquête a été confiée à l'antenne de police judiciaire de La Rochelle.
Haute-Corse : le corps d'un homme retrouvé criblé de balles
Un homme a été tué par balles sur la commune de San Nicolao, en Haute-Corse ce vendredi. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme a été retrouvé mort vers 11 heures, touché par des balles au thorax et à la tête. Le corps de l'homme se trouvait une voiture, sans doute la sienne. C'est le 11e homicide depuis le début de l'année sur l'île de Beauté.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/haute-corse-le-corps-d-un-homme-retrouve-crible-de-balles-7979975.html
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/haute-corse-le-corps-d-un-homme-retrouve-crible-de-balles-7979975.html
Lyon, un cambrioleur trahi par... son oreille
Vous ne le saviez peut-être pas, mais chaque individu est doté d'un pavillon auditif unique, à l'image de ses empreintes de doigt. Et si ! A Lyon, un cambrioleur géorgien vient de l'apprendre à ses dépens, révèle Le Parisien dans son édition de vendredi. Ce Sdf de 26 ans avait pour (mauvaise) habitude de coller son oreille aux portes des appartements qu'il venait cambrioler pour s'assurer qu'il n'y avait personne à l'intérieur. Surpris en flagrant par les policiers de la sécurité publique, ces derniers ont pour la première fois en France procédé au relevé de son empreinte d'oreille.
Placé en détention provisoire, les enquêteurs ont comparé son empreinte d'oreille à plusieurs dizaines d'autres empreintes recueillies sur des scènes de cambriolage depuis 2009. "Il est alors apparu une concordance entre l'empreinte de l'oreille de ce suspect et celles retrouvées sur les portes de 80 appartements cambriolés", explique une source policière citée par Le Parisien. Précurseur en la matière, la Suisse dispose depuis plusieurs années d'un fichier d'empreintes d'oreille.
Affaire des paris suspects : six personnes placées en garde à vue
Info Midi Libre - Six personnes ont été placées aujourd’hui en garde à vue par le juge montpelliérain Thomas Meindl, qui dirige l’enquête sur les paris suspects du match de handball Cesson-Montpellier du 12 mai dernier.
http://www.midilibre.fr/2013/05/30/dma-paris-suspects-du-mahb-six-personnes-placees-en-garde-a-vue,707401.php
Parmi eux figurent plusieurs joueurs professionnels : Mickaël Robin, le gardien de but du MAHB, Mathieu Grébille, un autre Montpelliérain qui vient d’être retenu pour jouer en juin en équipe de France pour les derniers matches qualificatifs pour l’Euro 2014, et Rémy Salou, qui avait disputé le match litigieux l’an dernier avec Montpellier, et évolue actuellement à Tremblay-en-France.
Les trois autres personnes gardées à vue sont des proches des joueurs : tout comme Salou, l’épouse de Mladen Bojinovic, un joueur déjà mis en examen, est en garde à vue à Paris, tandis qu’un ami de ce même Bojinovic et l’ex compagne de Mickaël Robin le sont à Montpellierhttp://www.midilibre.fr/2013/05/30/dma-paris-suspects-du-mahb-six-personnes-placees-en-garde-a-vue,707401.php
jeudi 30 mai 2013
Six personnes interpellées pour trafic de drogue
Il utilisait son domicile pour faire ses transactions. Ce Guisard a écoulé 4 kg de cannabis en un an. Sa compagne, son beau-fils, son fournisseur et deux autres personnes ont aussi été arrêtés.
Les gendarmes viennent de mettre un coup d'arrêt à un vaste trafic de cannabis. En début de semaine, six personnes ont été interpellées sur la commune de Guise par une trentaine de gendarmes et deux équipes cynophiles spécialisées dans la recherche de stupéfiants. En l'espace de deux jours, les enquêteurs ont également entendu une vingtaine de consommateurs.
Une année d'enquête aura été nécessaire pour démanteler ce réseau, dont le rayon d'action gravitait essentiellement sur Guise. « Tout est parti d'une rumeur persistante », explique le capitaine Jean-Christophe Boutin, patron des gendarmes de la compagnie de Saint-Quentin. Le revendeur principal accueillait les consommateurs directement à son domicile, situé place Lesur, à Guise, et les allées et venues incessants, de jour comme de nuit, ont ainsi rapidement éveillé les soupçons du voisinage.
Un kilo de drogue saisi
Les gendarmes ont alors mis en place une surveillance, des écoutes téléphoniques et mené également plusieurs filatures afin de comprendre comment fonctionnait précisément le trafic. Une fois les éléments recueillis, ne restait plus qu'aux gendarmes à cueillir, au saut du lit, le revendeur principal âgé de 29 ans, ainsi que sa compagne et son beau-fils, avant d'aller chercher le fournisseur, âgé de 25 ans, et deux autres personnes. Tous habitent Guise.
Au cours des auditions de garde à vue, le revendeur a reconnu avoir écoulé plus de quatre kilos de cannabis en un an. S'il n'avait jamais été condamné pour infractions à la législation sur les stupéfiants, les gendarmes avaient déjà arrêté le fournisseur en 2011, pour trafic de drogues.
Lors des perquisitions des domiciles des mis en cause, les militaires ont mis la main sur pas moins d'un kilo de drogue, mais aussi de l'argent liquide et des téléphones portables servant uniquement au trafic.
Les six Guisards ont été remis en liberté, hier matin. Le fournisseur, le revendeur principal et son beau-fils sont convoqués au tribunal correctionnel de Saint-Quentin en septembre, pour trafic de drogue. Quant aux trois autres, ils font l'objet d'une composition pénale.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/six-personnes-interpellees-pour-trafic-de-drogue
Les gendarmes viennent de mettre un coup d'arrêt à un vaste trafic de cannabis. En début de semaine, six personnes ont été interpellées sur la commune de Guise par une trentaine de gendarmes et deux équipes cynophiles spécialisées dans la recherche de stupéfiants. En l'espace de deux jours, les enquêteurs ont également entendu une vingtaine de consommateurs.
Une année d'enquête aura été nécessaire pour démanteler ce réseau, dont le rayon d'action gravitait essentiellement sur Guise. « Tout est parti d'une rumeur persistante », explique le capitaine Jean-Christophe Boutin, patron des gendarmes de la compagnie de Saint-Quentin. Le revendeur principal accueillait les consommateurs directement à son domicile, situé place Lesur, à Guise, et les allées et venues incessants, de jour comme de nuit, ont ainsi rapidement éveillé les soupçons du voisinage.
Un kilo de drogue saisi
Les gendarmes ont alors mis en place une surveillance, des écoutes téléphoniques et mené également plusieurs filatures afin de comprendre comment fonctionnait précisément le trafic. Une fois les éléments recueillis, ne restait plus qu'aux gendarmes à cueillir, au saut du lit, le revendeur principal âgé de 29 ans, ainsi que sa compagne et son beau-fils, avant d'aller chercher le fournisseur, âgé de 25 ans, et deux autres personnes. Tous habitent Guise.
Au cours des auditions de garde à vue, le revendeur a reconnu avoir écoulé plus de quatre kilos de cannabis en un an. S'il n'avait jamais été condamné pour infractions à la législation sur les stupéfiants, les gendarmes avaient déjà arrêté le fournisseur en 2011, pour trafic de drogues.
Lors des perquisitions des domiciles des mis en cause, les militaires ont mis la main sur pas moins d'un kilo de drogue, mais aussi de l'argent liquide et des téléphones portables servant uniquement au trafic.
Les six Guisards ont été remis en liberté, hier matin. Le fournisseur, le revendeur principal et son beau-fils sont convoqués au tribunal correctionnel de Saint-Quentin en septembre, pour trafic de drogue. Quant aux trois autres, ils font l'objet d'une composition pénale.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/six-personnes-interpellees-pour-trafic-de-drogue
Un préavis de grève des conducteurs de métro et de RER lundi
Les conducteurs de métro et RER de la zone RATP ont déposé un préavis de grève pour lundi afin de dénoncer «des modifications de leurs conditions de travail» et «la casse de la réglementation existante», a-t-on appris ce jeudi de source syndicale.
La CGT a déposé un préavis d'une journée tandis que Sud-RATP et FO-RATP ont déposé un préavis de grève illimitée à partir de lundi, journée où l'intersyndicale doit examiner un avenant au protocole des conducteurs.
Selon le délégué central de Sud-RATP, Jean-Christophe Delprat, la direction a entamé des discussions pour modifier les conditions de travail, qui devraient conduire à leur dégradation. La direction cherche également à «casser l'unicité des métiers avec des déroulements de carrière parallèles» fonctionnant sur la base du volontariat et l'attribution de primes, affirme-t-il.
Le délégué CGT affirme, pour sa part, que le projet soumis aux syndicats «reste très flou et l'approuver consisterait à donner un blanc-seing à la direction». Les syndicats demandent, pour leur part, une revalorisation de leur grille de salaires, une amélioration du déroulement de carrière pour tous, et des négociations sur des vrais métiers de deuxième partie de carrière en raison de la pénibilité du travail de conducteur.
L'UNSA ne s'est pas associée à ce mouvement.
http://www.20minutes.fr/societe/1165183-20130530-preavis-greve-conducteurs-metro-rer-lundi
La CGT a déposé un préavis d'une journée tandis que Sud-RATP et FO-RATP ont déposé un préavis de grève illimitée à partir de lundi, journée où l'intersyndicale doit examiner un avenant au protocole des conducteurs.
«Politique de productivité»
Les perturbations du trafic devraient être plus importantes sur les lignes RER, parce que l'attaque la plus importante est sur le RER», avec la poursuite d'une «politique de productivité», a indiqué le délégué CGT Daniel Le Cunss.Selon le délégué central de Sud-RATP, Jean-Christophe Delprat, la direction a entamé des discussions pour modifier les conditions de travail, qui devraient conduire à leur dégradation. La direction cherche également à «casser l'unicité des métiers avec des déroulements de carrière parallèles» fonctionnant sur la base du volontariat et l'attribution de primes, affirme-t-il.
Pour une revalorisation de la grille de salaire
Le syndicaliste dénonce des modifications qui auraient pour conséquence une mobilité interne «à la tête du client», des déroulements de carrière différents en fonction des conducteurs et non plus à l'ancienneté et la volonté de constituer «une petite caste de conducteurs corvéables» pour casser les grèves.Le délégué CGT affirme, pour sa part, que le projet soumis aux syndicats «reste très flou et l'approuver consisterait à donner un blanc-seing à la direction». Les syndicats demandent, pour leur part, une revalorisation de leur grille de salaires, une amélioration du déroulement de carrière pour tous, et des négociations sur des vrais métiers de deuxième partie de carrière en raison de la pénibilité du travail de conducteur.
L'UNSA ne s'est pas associée à ce mouvement.
http://www.20minutes.fr/societe/1165183-20130530-preavis-greve-conducteurs-metro-rer-lundi
Cycliste tué à Bordeaux : le père porte plainte contre la mairie
Laurent Dupuis veut comprendre dans quelles conditions son fils Ryan a perdu la vie dans l’après-midi du 17 mai, place Bir-Hakeim à Bordeaux. Comment le chauffeur du camion benne n’a-t-il pas vu le cycliste circulant dans le même sens, en direction du pont de pierre depuis le cours Victor-Hugo ? « Pour moi, c’est important de savoir », dit Laurent Dupuis, très digne.
Tandis que l’enquête confiée aux policiers de la brigade des accidents et des délits routiers de la Direction départementale de la sécurité publique se poursuit, le père du cycliste vient de saisir le procureur de la République par la voix de son avocat, Me Philippe Courtois. Celui-ci vient de déposer une plainte pour homicide involontaire à l’encontre de la commune de Bordeaux. « Il apparaît que la dangerosité de la place Bir-Hakeim est connue depuis fort longtemps par les services municipaux, constate Me Courtois. Plusieurs enquêtes d’agglomération ont été réalisées avant l’accident qui a coûté la vie au jeune Ryan. Il s’agit de l’un des carrefours de l’agglomération les plus fréquentés par les vélos. C’est également l’un des plus compliqués pour les cyclistes. Malgré cela, aucune modification de la circulation n’a été apportée. »
La famille Dupuis, originaire de Vernon, en Haute-Normandie, s’est installée à Lormont en 1987. « Nous l’avons appelé Ryan parce que j’ai une sœur qui vit aux États-Unis, à Oakland. »
Ryan était cuisinier au restaurant L’Estacade à Bordeaux-Bastide. Le jour du drame, il avait enfourché son vélo pour aller faire une course en ville et il rentrait chez lui, à Ambès, où il avait aménagé il y a deux mois. « C’est le maire de Lormont qui m’a annoncé l’accident, soupire Laurent Dupuis. C’est terrible. »
Présent sur les lieux quelques minutes après l’accident, l’élu a d’ores et déjà fait part de ses observations très critiques sur la circulation place Bir-Hakeim. « À chaque fois, nous nous déplaçons pour comprendre. Cet endroit est très complexe. Il y a deux lignes de tram, des pistes cyclables, une route pour les véhicules, des trottoirs pour les piétons et des haies beaucoup trop hautes qui masquent la visibilité du tram. Mais tout ce qui concerne la voirie est une problématique communautaire. »
D’ailleurs, une proposition de travaux a été adressée par la mairie à la CUB. « Mais on fait quoi en attendant ?, interroge Me Courtois. On laisse perdurer cette situation ? Non, il faut que les choses bougent pour éviter un nouvel accident. »
http://www.sudouest.fr/2013/05/30/plainte-contre-la-mairie-1068477-729.php
Tandis que l’enquête confiée aux policiers de la brigade des accidents et des délits routiers de la Direction départementale de la sécurité publique se poursuit, le père du cycliste vient de saisir le procureur de la République par la voix de son avocat, Me Philippe Courtois. Celui-ci vient de déposer une plainte pour homicide involontaire à l’encontre de la commune de Bordeaux. « Il apparaît que la dangerosité de la place Bir-Hakeim est connue depuis fort longtemps par les services municipaux, constate Me Courtois. Plusieurs enquêtes d’agglomération ont été réalisées avant l’accident qui a coûté la vie au jeune Ryan. Il s’agit de l’un des carrefours de l’agglomération les plus fréquentés par les vélos. C’est également l’un des plus compliqués pour les cyclistes. Malgré cela, aucune modification de la circulation n’a été apportée. »
- Cuisinier et rugbyman
La famille Dupuis, originaire de Vernon, en Haute-Normandie, s’est installée à Lormont en 1987. « Nous l’avons appelé Ryan parce que j’ai une sœur qui vit aux États-Unis, à Oakland. »
Ryan était cuisinier au restaurant L’Estacade à Bordeaux-Bastide. Le jour du drame, il avait enfourché son vélo pour aller faire une course en ville et il rentrait chez lui, à Ambès, où il avait aménagé il y a deux mois. « C’est le maire de Lormont qui m’a annoncé l’accident, soupire Laurent Dupuis. C’est terrible. »
- Un endroit complexe
Présent sur les lieux quelques minutes après l’accident, l’élu a d’ores et déjà fait part de ses observations très critiques sur la circulation place Bir-Hakeim. « À chaque fois, nous nous déplaçons pour comprendre. Cet endroit est très complexe. Il y a deux lignes de tram, des pistes cyclables, une route pour les véhicules, des trottoirs pour les piétons et des haies beaucoup trop hautes qui masquent la visibilité du tram. Mais tout ce qui concerne la voirie est une problématique communautaire. »
D’ailleurs, une proposition de travaux a été adressée par la mairie à la CUB. « Mais on fait quoi en attendant ?, interroge Me Courtois. On laisse perdurer cette situation ? Non, il faut que les choses bougent pour éviter un nouvel accident. »
http://www.sudouest.fr/2013/05/30/plainte-contre-la-mairie-1068477-729.php
Meurtre de Brest. Le compagnon en garde à vue
Un drame épouvantable s'est noué hier soir à Brest, au 2 rue du Gatinais, dans le quartier de Bellevue : vers 23 h, une femme de 34 ans a été tuée d'un coup de fusil de chasse dans le cou. Elle est morte sur le coup.
Les forces de l'ordre ont aussitôt été prévenues par le voisinage et ont interpellé son compagnon de 35 ans qui est resté sur place, manifestement très fortement alcoolisé.
Il a été placé en garde à vue dans la foulée mais n'a pu être entendu à cette heure.
Une autopsie de la victime est actuellement en cours.
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/brest-un-homme-en-garde-a-vue-apres-la-mort-de-son-epouse-30-05-2013-2119867.php
Les forces de l'ordre ont aussitôt été prévenues par le voisinage et ont interpellé son compagnon de 35 ans qui est resté sur place, manifestement très fortement alcoolisé.
Il a été placé en garde à vue dans la foulée mais n'a pu être entendu à cette heure.
Une autopsie de la victime est actuellement en cours.
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/brest-un-homme-en-garde-a-vue-apres-la-mort-de-son-epouse-30-05-2013-2119867.php
Sérénac. La factrice l'a sauvée, une présence utile
Cécile Caussé, factrice sur la commune de Sérénac, a sauvé la vie d'une de ses clientes pendant sa tournée, fin décembre 2012. «Aujourd'hui, Mme Déjean va très bien. Cet incident me fait aimer davantage mon métier. Nous avons un lien vraiment particulier avec les personnes âgées». Elle nous rappelle cet événement : «J'ai eu la peur de ma vie en découvrant Mme Déjean par terre, dans sa cuisine, alors que je lui amenais son journal quotidien. J'ai appelé les secours et je suis restée avec elle jusqu'à leur arrivée. Puis elle précise : Je n'ai jamais suivi de formation aux premiers secours et j'ai donc improvisé. Je l'ai couverte de mon blouson et je me suis glissée derrière elle pour la maintenir dans mes bras. Même si je n'ai pas fait d'erreur, j'aurai été plus sûre de moi avec une formation.» Cécile Caussé a d'abord été «factrice des villes» en secteur urbain pendant 11 ans à la plate-forme de préparation et de distribution du courrier d'Albi. À l'occasion d'un remplacement sur une tournée rurale, elle a apprécié le contact avec ses clients. Ils étaient plus disponibles, elle se sentait attendue. Ainsi, elle a choisi d'être «factrice des champs». «En prenant cette tournée, je ne pensais vraiment pas être aussi proche d'eux», confie Cécile Caussé en souriant.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/30/1637605-serenac-la-factrice-l-a-sauvee-une-presence-utile.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/30/1637605-serenac-la-factrice-l-a-sauvee-une-presence-utile.html
Un gendarme de Béziers porte plainte pour harcèlement contre son commandant
Le 8 juin 2012, un sous-officier de la compagnie de gendarmerie de Béziers a fini par déposer plainte au parquet biterrois pour “harcèlement moral” contre son commandant. Saisi, le parquet de Narbonne a diligenté une enquête. Celle-ci a été confiée à l’inspection générale.
Soit l’ultime recours possible estime la victime présumée. Celle-ci dénonçant sa mise à l’écart de son poste de chef du secrétariat de la compagnie, des brimades, des vexations subies - en privé, mais aussi en présence d’autres militaires - de rabaissements, menaces verbales, pressions...
Incompréhensible pour l’adjudant-chef Gilbert Vidal. "J’ai trente ans de service, n’ai jamais eu une seule lettre d’observation, mais six de félicitations", raconte l’intéressé, ancien enquêteur et technicien en identification criminelle (Tic) au sein des brigades de recherches de Narbonne et Béziers.
Puis, le 21 novembre 2011 : "Il a posé une lettre sur le bureau dans laquelle il me disait qu’il me détachait comme adjoint administratif à la communauté de brigades de Valras. Et cela, à partir du lendemain sans avoir marqué l’année dans la date. Mais ce poste n’existe pas en gendarmerie ! Et il a enfreint toutes les règles. Car un détachement ne peut être prononcé que par un commandant de groupement (*) ", poursuit l’adjudant-chef Vidal, sûr de son bon droit.
Une situation kafkaïenne
Alors, bien décidé à se défendre face à ce qu’il considère comme une situation kafkaïenne, le gendarme va scrupuleusement tout consigner dans un journal de marche. Comme il le faisait pour les enquêtes dont il avait la charge. Et noter, au jour le jour, avec une foultitude de détails, la teneur de ses rapports quotidien avec son supérieur. Soit, à l’arrivée, un document de cent quinze pages dans lesquelles figurent quarante et un faits susceptibles d’étayer sa plainte.
http://www.midilibre.fr/2013/05/29/un-sous-officier-porte-plainte-pour-harcelement,706664.php
"C’est un type de procédure assez rare. Car la preuve n’est pas évidente et cela a lieu dans un cadre tout à fait particulier", concède l’avocat narbonnais Me Robert Mary. Lequel s’est engagé, il y a quelques mois de cela, dans une procédure à tout le moins singulière en décidant de défendre un sous-officier de la compagnie de gendarmerie de Béziers. Un adjudant-chef qui, le 8 juin dernier, a fini par déposer plainte au parquet biterrois pour “harcèlement moral” contre son commandant.
Brimades et vexationsSoit l’ultime recours possible estime la victime présumée. Celle-ci dénonçant sa mise à l’écart de son poste de chef du secrétariat de la compagnie, des brimades, des vexations subies - en privé, mais aussi en présence d’autres militaires - de rabaissements, menaces verbales, pressions...
Incompréhensible pour l’adjudant-chef Gilbert Vidal. "J’ai trente ans de service, n’ai jamais eu une seule lettre d’observation, mais six de félicitations", raconte l’intéressé, ancien enquêteur et technicien en identification criminelle (Tic) au sein des brigades de recherches de Narbonne et Béziers.
Puis, le 21 novembre 2011 : "Il a posé une lettre sur le bureau dans laquelle il me disait qu’il me détachait comme adjoint administratif à la communauté de brigades de Valras. Et cela, à partir du lendemain sans avoir marqué l’année dans la date. Mais ce poste n’existe pas en gendarmerie ! Et il a enfreint toutes les règles. Car un détachement ne peut être prononcé que par un commandant de groupement (*) ", poursuit l’adjudant-chef Vidal, sûr de son bon droit.
Une situation kafkaïenne
Alors, bien décidé à se défendre face à ce qu’il considère comme une situation kafkaïenne, le gendarme va scrupuleusement tout consigner dans un journal de marche. Comme il le faisait pour les enquêtes dont il avait la charge. Et noter, au jour le jour, avec une foultitude de détails, la teneur de ses rapports quotidien avec son supérieur. Soit, à l’arrivée, un document de cent quinze pages dans lesquelles figurent quarante et un faits susceptibles d’étayer sa plainte.
http://www.midilibre.fr/2013/05/29/un-sous-officier-porte-plainte-pour-harcelement,706664.php
mercredi 29 mai 2013
Mariage arrangé: elle tente de se suicider
Une jeune fille bangladaise, mise au ban de sa famille parce qu'elle refusait un mariage arrangé, a tenté de se suicider en buvant du Destop. Ses parents sont soupçonnés de non assistance à personne en danger et devaient être présentés aujourd'hui à un juge de Bobigny.
La jeune fille, qui avait fait ce geste désespéré le 15 mai en revenant au domicile familial à Saint-Denis après une fugue, est toujours hospitalisée. Les médecins ont procédé à l'ablation de son oesophage et de son estomac et ils ne savent pas à ce stade si ceux-ci pourront être remplacés par des organes artificiels, selon une source proche de l'enquête.
Son collège avait fait un premier signalement en avril 2012, après que l'adolescente de 15 ans avait raconté que ses parents voulaient la marier de forcer à un cousin du Bangladesh. Ils réprouvaient son petit ami pakistanais "jugé incompatible".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/29/97001-20130529FILWWW00613-mariage-arrange-elle-tente-de-se-suicider.php
La jeune fille, qui avait fait ce geste désespéré le 15 mai en revenant au domicile familial à Saint-Denis après une fugue, est toujours hospitalisée. Les médecins ont procédé à l'ablation de son oesophage et de son estomac et ils ne savent pas à ce stade si ceux-ci pourront être remplacés par des organes artificiels, selon une source proche de l'enquête.
Son collège avait fait un premier signalement en avril 2012, après que l'adolescente de 15 ans avait raconté que ses parents voulaient la marier de forcer à un cousin du Bangladesh. Ils réprouvaient son petit ami pakistanais "jugé incompatible".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/29/97001-20130529FILWWW00613-mariage-arrange-elle-tente-de-se-suicider.php
Dijon : il menace de se suicider au TGI
Plus de peur que de mal ce mardi après-midi vers 15 heures au tribunal de grande instance (TGI) de Dijon, boulevard Clemenceau. Police et sapeurs-pompiers ont été appelés pour un individu réfugié sur une terrasse située au 2e étage, là où sont situés les bureaux du parquet. L’homme, un Côte-d’Orien de 28 ans et domicilié dans l’agglomération dijonnaise, a menacé de se jeter dans le vide après qu’il a mal accepté quelques minutes plus tôt une décision d’un juge d’application des peines, ce dernier lui ayant refusé un aménagement de peine.
Défavorablement connu des services de police, condamné à plusieurs reprises par la justice, le Côte-d’Orien a au final quitté le TGI de lui-même, vers 15 h 45, en compagnie d’un médecin du Samu, ce dernier ayant décidé de le faire hospitaliser au regard de son état psychologique.
http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/05/29/dijon-un-cote-d-orien-exaspere-menace-de-se-suicider-au-tgi
« Au bout du rouleau »
C’est la vice-procureure du TGI qui est intervenue pour discuter avec le Côte-d’Orien. Avec succès puisqu’elle a réussi à le faire rentrer au sein du TGI puis dans son bureau pour évoquer sa situation. « Les policiers ont essayé de parlementer mais ça tournait un peu en rond », raconte Edwige Roux-Morizot. « Je suis montée sur la terrasse et j’ai discuté avec lui, lui disant qu’il valait mieux qu’il vienne avec moi, tranquillement dans mon bureau. Il a fini par me suivre. J’ai vite compris qu’il était un peu au bout du rouleau ; il n’acceptait pas une décision de justice assez lourde le concernant, et le juge n’a pas accepté d’aménager sa peine parce qu’il n’apportait pas les garanties suffisantes. »Défavorablement connu des services de police, condamné à plusieurs reprises par la justice, le Côte-d’Orien a au final quitté le TGI de lui-même, vers 15 h 45, en compagnie d’un médecin du Samu, ce dernier ayant décidé de le faire hospitaliser au regard de son état psychologique.
http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/05/29/dijon-un-cote-d-orien-exaspere-menace-de-se-suicider-au-tgi
Un jeune homme se fait tirer dessus à la Reynerie sur fond de règlement de compte
Un jeune homme de 23 ans a reçu des tirs de plombs de chasse lundi soir, vers 22 h 30, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse. Il a été hospitalisé mais ses jours n'étaient pas en danger. Une enquête est ouverte afin de déterminer les causes de cette agression. La piste d'un règlement de comptes sur fond de trafic de stupéfiants est envisagée.
Des coups de feu dans la nuit. Des habitants affolés qui appellent la police et une mare de sang sur un parking. Lundi soir, vers 22 h 30, des tirs d'arme à feu ont résonné, au 14 cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse. Aussitôt, les services de police ont été prévenus et se sont transportés sur les lieux. Là, ils ont trouvé une mare de sang sur le parking de cet ensemble d'immeubles et des traînées de sang qui les ont menés jusqu'à un hall. Sur place cependant, personne.
Des recherches ont été engagées afin de retrouver une éventuelle victime. Les enquêteurs ont ratissé la cité et ses coursives. Les hôpitaux toulousains ont été sondés. Un homme de 23 ans, blessé par balle, a finalement été signalé aux autorités. Il venait d'être admis aux urgences de l'hôpital. Touché par des tirs d'arme à feu, il était blessé à la jambe mais son pronostic vital n'était pas engagé.
Selon les premiers éléments de l'enquête, cet homme a été touché par des plombs d'arme de chasse. Il s'est rendu par ses propres moyens à l'hôpital. Blessé, il est parvenu à atteindre le parking. Lors de leurs fouilles aux abords du lieu de l'agression, les policiers ont mis la main sur plusieurs cartouches non percutées dont on ignorait hier si elles avaient un quelconque lien avec les faits.
Hier, la victime, qui a reçu plusieurs projectiles, a été opérée de la jambe. Il devait être entendu par les enquêteurs. Ce jeune homme de 23 ans est déjà connu des services de police pour de multiples faits de délinquance autour, notamment, du trafic de stupéfiants. Règlement de compte sur fond de trafic de drogue, affaire de cœur… aucune piste n'était privilégiée aux premières heures de l'enquête confiée aux policiers de la sûreté départementale.
En novembre 2011, Samir Chorfi, un jeune homme de 23 ans, avait été abattu à quelques mètres de l'agression de lundi, par des tirs de kalachnikov.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/29/1637126-jeune-homme-fait-tirer-dessus-reynerie-fond-reglement-compte.html
Des coups de feu dans la nuit. Des habitants affolés qui appellent la police et une mare de sang sur un parking. Lundi soir, vers 22 h 30, des tirs d'arme à feu ont résonné, au 14 cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse. Aussitôt, les services de police ont été prévenus et se sont transportés sur les lieux. Là, ils ont trouvé une mare de sang sur le parking de cet ensemble d'immeubles et des traînées de sang qui les ont menés jusqu'à un hall. Sur place cependant, personne.
Des recherches ont été engagées afin de retrouver une éventuelle victime. Les enquêteurs ont ratissé la cité et ses coursives. Les hôpitaux toulousains ont été sondés. Un homme de 23 ans, blessé par balle, a finalement été signalé aux autorités. Il venait d'être admis aux urgences de l'hôpital. Touché par des tirs d'arme à feu, il était blessé à la jambe mais son pronostic vital n'était pas engagé.
Selon les premiers éléments de l'enquête, cet homme a été touché par des plombs d'arme de chasse. Il s'est rendu par ses propres moyens à l'hôpital. Blessé, il est parvenu à atteindre le parking. Lors de leurs fouilles aux abords du lieu de l'agression, les policiers ont mis la main sur plusieurs cartouches non percutées dont on ignorait hier si elles avaient un quelconque lien avec les faits.
Hier, la victime, qui a reçu plusieurs projectiles, a été opérée de la jambe. Il devait être entendu par les enquêteurs. Ce jeune homme de 23 ans est déjà connu des services de police pour de multiples faits de délinquance autour, notamment, du trafic de stupéfiants. Règlement de compte sur fond de trafic de drogue, affaire de cœur… aucune piste n'était privilégiée aux premières heures de l'enquête confiée aux policiers de la sûreté départementale.
Un homme abattu en 2011
Hier, le syndicat de police Alliance, par la voix de son secrétaire zonal, Luc Escoda, a estimé «que ce type d'infractions graves ne pourra cesser que par un travail d'enquête de fond afin de d'éradiquer les trafics d'armes et de stupéfiants». Il ajoutait : «Cela passe bien évidemment par l'octroi de moyens en équipements et en hommes que nous attendons toujours avec les créations des zones de sécurité prioritaires.»En novembre 2011, Samir Chorfi, un jeune homme de 23 ans, avait été abattu à quelques mètres de l'agression de lundi, par des tirs de kalachnikov.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/29/1637126-jeune-homme-fait-tirer-dessus-reynerie-fond-reglement-compte.html
La famille du forcené d’Henri-Wallon à Nîmes : "Nous ne comprenons pas"
Armé d'un couteau, il a semé la panique lundi dans une classe de l’école Henri-Vallon à Pissevin. Ce lycéen âgé de 17 ans, était suivi depuis peu par un psychiatre. Sa mère et sa tante témoignent.
Depuis, ce garçon de Pissevin, élève du lycée Mistral en CAP peinture, est en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police. "Nous ne savons pas pourquoi il a fait ça.... Nous ne comprenons pas...", répètent ces deux mères de famille.
"Lundi, il est parti après le petit-déjeuner, raconte sa maman. Je l’ai appelé pour qu’il m’aide à monter mes courses. Il ne m’a pas répondu."
Lorsque les deux femmes ont appris que leur fils, et neveu, était l’auteur de l’agression à l’école Henri-Wallon, elles n’ont pas voulu le croire. "Tout le monde est choqué... Vous vous rendez compte. Mon propre fils, âgé de 10 ans (le cousin de Samir), est dans cette école mais dans une autre classe", raconte Soraya. "Jusqu’à présent, il n’a jamais fait parler de lui, assure Fadela, la mère de Samir. "Personne ne le connaît dans le quartier...", ajoute sa tante.
"Il n’avait pas trouvé de stage. Cela l’avait dégoûté" dit sa maman
Fin novembre, la maman et la tante de Samir ont constaté que l’adolescent allait de plus en plus mal. "Il se plaignait de maux de ventre, allait tous les deux ou trois jours chez le médecin", racontent les deux femmes. Les examens subis à l’hôpital n’ont rien donné. Le médecin a renvoyé Samir, souffrant d’angoisse et d’agoraphobie, vers un psychiatre.
Depuis janvier, selon ses proches, le cadet de cette famille de trois enfants, suivi par un psychiatre, était déscolarisé. "Il n’avait pas trouvé de stage. Cela l’avait dégoûté", explique sa maman. Samir avait également arrêté de jouer au football.
http://www.midilibre.fr/2013/05/28/forcene-d-henri-wallon-nous-ne-comprenons-pas,705901.php
Fadela, la maman de Samir (1) et Soraya, sa tante n’ont pas dormi de la nuit. Et beaucoup pleuré. Samir, 17 ans, leur fils et neveu, est ce jeune homme, apparemment perturbé, qui, lundi, armé d’un couteau, a semé la panique dans une classe de l’école Henri-Vallon à Pissevin.
"Nous ne savons pas pourquoi il a fait ça.... Nous ne comprenons pas..."Depuis, ce garçon de Pissevin, élève du lycée Mistral en CAP peinture, est en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police. "Nous ne savons pas pourquoi il a fait ça.... Nous ne comprenons pas...", répètent ces deux mères de famille.
"Lundi, il est parti après le petit-déjeuner, raconte sa maman. Je l’ai appelé pour qu’il m’aide à monter mes courses. Il ne m’a pas répondu."
Lorsque les deux femmes ont appris que leur fils, et neveu, était l’auteur de l’agression à l’école Henri-Wallon, elles n’ont pas voulu le croire. "Tout le monde est choqué... Vous vous rendez compte. Mon propre fils, âgé de 10 ans (le cousin de Samir), est dans cette école mais dans une autre classe", raconte Soraya. "Jusqu’à présent, il n’a jamais fait parler de lui, assure Fadela, la mère de Samir. "Personne ne le connaît dans le quartier...", ajoute sa tante.
"Il n’avait pas trouvé de stage. Cela l’avait dégoûté" dit sa maman
Fin novembre, la maman et la tante de Samir ont constaté que l’adolescent allait de plus en plus mal. "Il se plaignait de maux de ventre, allait tous les deux ou trois jours chez le médecin", racontent les deux femmes. Les examens subis à l’hôpital n’ont rien donné. Le médecin a renvoyé Samir, souffrant d’angoisse et d’agoraphobie, vers un psychiatre.
Depuis janvier, selon ses proches, le cadet de cette famille de trois enfants, suivi par un psychiatre, était déscolarisé. "Il n’avait pas trouvé de stage. Cela l’avait dégoûté", explique sa maman. Samir avait également arrêté de jouer au football.
http://www.midilibre.fr/2013/05/28/forcene-d-henri-wallon-nous-ne-comprenons-pas,705901.php
mardi 28 mai 2013
Deux femmes en garde à vue pour avoir menacé la mère d'une victime de Merah
Une mère et sa fille soupçonnées d'avoir menacé de mort Latifa Ibn Ziaten, la mère du premier soldat tué par Mohammed Merah, ont été interpellées et placées en garde à vue mardi à Montpellier
Une mère et sa fille soupçonnées d'avoir menacé de mort Latifa Ibn Ziaten, la mère du premier soldat tué par Mohammed Merah, ont été interpellées et placées en garde à vue mardi à Montpellier, a-t-on appris de proche de l'enquête. En mars, Mme Ibn Ziaten, qui a créé une association et un site internet, avait reçu des messages menaçants dans lesquels on lui demandait d'arrêter de mettre en cause Mohamed Merah, a indiqué la même source, confirmant une information du site internet de Midi Libre.
La fille de 17 ans a reconnu être l'auteur de ces messages mais a affirmé qu'ils n'étaient pas menaçants. La mère a été interpellée parce qu'elle paye la ligne de téléphone et la connexion internet. Toutes deux ont vu leur garde à vue prolongée. Musulmanes pratiquantes, elles ont demandé à conserver leur voile, ce qui leur a été refusé par les policiers, a encore précisé cette source, ajoutant qu'elles seraient déférées au parquet de Montpellier mercredi. Une plainte avait été déposée à Rouen où habite la victime mais le parquet local s'est finalement dessaisi au profit de celui de Montpellier, a-t-on précisé. Le parachutiste Imad Ibn Ziaten avait été tué par Mohamed Merah le 11 mars 2012 à Toulouse.
La fille de 17 ans a reconnu être l'auteur de ces messages mais a affirmé qu'ils n'étaient pas menaçants. La mère a été interpellée parce qu'elle paye la ligne de téléphone et la connexion internet. Toutes deux ont vu leur garde à vue prolongée. Musulmanes pratiquantes, elles ont demandé à conserver leur voile, ce qui leur a été refusé par les policiers, a encore précisé cette source, ajoutant qu'elles seraient déférées au parquet de Montpellier mercredi. Une plainte avait été déposée à Rouen où habite la victime mais le parquet local s'est finalement dessaisi au profit de celui de Montpellier, a-t-on précisé. Le parachutiste Imad Ibn Ziaten avait été tué par Mohamed Merah le 11 mars 2012 à Toulouse.
Le premier patient atteint du coronavirus en France est décédé
Le premier des deux patients atteints du coronavirus est décédé, a annoncé mardi la Direction générale de la santé, confirmant une information de France Inter.
Il avait été admis à l'hôpital de Valenciennes, dans le Nord, le 23 avril. Le premier des deux patients atteints du coronavirus est décédé, a annoncé mardi la Direction générale de la santé (DGS), confirmant une information de France Inter.
"Le premier patient (hospitalisé) est décédé", a confirmé la DGS, se référant au premier malade admis à son retour d'un séjour à Dubaï. Sa contamination par le nouveau coronavirus avait été confirmée le 7 mai.
A lire aussi : Coronavirus : l'OMS invite les Français à rester calmes
Toulouse : un homme blessé par balle
Un homme de 23 ans a été blessé par balle dans la nuit d'hier à aujourd'hui dans le quartier sensible du Mirail à Toulouse, a-t-on appris de source policière.
Les policiers ont été alertés en début de nuit par des voisins qui avaient entendu des coups de feu dans un chemin de la Reynerie, l'un des ensembles composant le Mirail.
Arrivés sur place, ils ont découvert des traces de sang qui les ont conduits à un parking où le blessé était peut-être monté dans une voiture.
Ils l'ont retrouvé dans un hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. On ignore par combien de projectiles il a été atteint et les motifs de l'acte
Non loin des traces de sang, les policiers ont saisi des cartouches non percutées sans pouvoir dire dans un premier temps si elles avaient un rapport avec les faits.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/28/97001-20130528FILWWW00365-toulouse-un-homme-blesse-par-balle.php
Les policiers ont été alertés en début de nuit par des voisins qui avaient entendu des coups de feu dans un chemin de la Reynerie, l'un des ensembles composant le Mirail.
Arrivés sur place, ils ont découvert des traces de sang qui les ont conduits à un parking où le blessé était peut-être monté dans une voiture.
Ils l'ont retrouvé dans un hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. On ignore par combien de projectiles il a été atteint et les motifs de l'acte
Non loin des traces de sang, les policiers ont saisi des cartouches non percutées sans pouvoir dire dans un premier temps si elles avaient un rapport avec les faits.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/28/97001-20130528FILWWW00365-toulouse-un-homme-blesse-par-balle.php
Considérant que son permis lui a été injustement retiré, il continue à conduire
Thierry Durroux est un homme obstiné. Considérant que son permis lui avait été indûment retiré, il a conduit sans, avec les conséquences que l'on imagine. Pour autant, il n'en démord pas.
L'histoire pourra peut-être prêter à sourire et Thierry Durroux passer pour une tête de mule invétérée, mais il s'en fiche. Parce qu'il est sûr de son bon droit. Et ce même si parfois, son raisonnement est un peu tiré par les cheveux, il ne veut pas céder. Notre homme est, comme beaucoup d'entre nous, un automobiliste. Mais pas comme les autres, puisqu'il dispose d'un certificat médical l'autorisant à ne pas porter la ceinture de sécurité. «J'ai une balafre de 40 centimètres sur le ventre, j'ai subi 27 opérations chirurgicales de la paroi abdominale en 3 ans, j'étais en permanence avec des points, c'est pour cela que le médecin de la préfecture m'a délivré ce certificat, en 1991», plaide-t-il, sûr de son coup, ajoutant même avec une pointe d'humour, et joignant le geste à la parole, «ma cicatrice, ce n'est pas du bidon». À ceci près que, d'ordinaire, ces certificats ont une durée limitée, le temps de la guérison. «Mais le mien ne comporte aucune date butoir, alors, je considère qu'il est permanent !» Ce n'est pas l'avis des forces de l'ordre qui l'interpellent plus souvent qu'à son tour. «Une première fois, c'était pour le portable, j'ai perdu 3 points, et ça, je ne le conteste pas. Après, j'ai été arrêté trois fois pour non port de la ceinture, et voilà, je me suis retrouvé sans aucun point sur mon permis.» Lequel a été, du coup, annulé…
Mais il ne veut rien savoir et, à l'époque, c'était en 2008, persuadé que les infractions ne sont pas valides et qu'on lui a injustement retiré les points, il continue à conduire. Sans permis, bien sûr… Et ce qui devait arriver arriva, il est de nouveau arrêté, et là, plus possible de lui retirer des points qu'il n'a plus, sur un permis qu'il n'a plus, il est traduit devant le tribunal qui le condamne à 4 mois de prison ferme. «J'ai fait les 4 mois de prison», poursuit-il, une peine qu'il considère, de fait, aussi comme une injustice. «J'ai écrit au ministère de l'Intérieur, au président de la République, à chaque fois, on m'a répondu que j'aurais dû contester dans les deux mois suivant la notification, par lettre recommandée, que je n'avais plus de points sur mon permis. Or, ce courrier recommandé, je ne l'ai jamais reçu. Du coup, je n'étais pas censé être au courant que je n'avais plus de permis, mais personne n'a rien voulu savoir, pour eux, ce courrier est parti de chez eux, point barre.»
Vous étiez prévenus, notre homme est obstiné… Et ce n'est pas fini. «J'ai vu au Journal Officiel que de toute façon, comme la loi n'est pas rétroactive en France, sur les permis délivrés avant le système des points, on ne pouvait pas les retirer.» Bon, renseignement pris, c'est faux, hein… Mais il persiste : «Je connais des gens qui ont été arrêtés avec de l'alcool au volant, d'autres qui ont commis des infractions bien plus graves que moi, mais qui sont passés au travers. Moi, on ne m'a jamais rien passé…»
Et aujourd'hui ? «Je continue à me battre, je vais réécrire au ministère de l'Intérieur, au président de la République. Je veux qu'on me rende mes points !» Et le permis de conduire, qu'il n'a jamais voulu repasser, puisque selon lui, il lui a été indûment retiré ? «Je me fais porter, mais ça commence à me gêner pour mon activité professionnelle. J'ai perdu tous mes permis, y compris le poids lourd, dont j'ai besoin, il faut que je les repasse tous. Je me suis inscrit au code, je commence sous peu.» Enfin, un peu de raison, une prise de conscience ? Pas sûr… «Mais pour moi, je suis dans mon bon droit, mais je ne peux pas me faire entendre. Je vais repasser le permis, mais…» Incorrigible…
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/28/1636222-on-m-a-injustement-retire-tous-les-points-du-permis.html
L'histoire pourra peut-être prêter à sourire et Thierry Durroux passer pour une tête de mule invétérée, mais il s'en fiche. Parce qu'il est sûr de son bon droit. Et ce même si parfois, son raisonnement est un peu tiré par les cheveux, il ne veut pas céder. Notre homme est, comme beaucoup d'entre nous, un automobiliste. Mais pas comme les autres, puisqu'il dispose d'un certificat médical l'autorisant à ne pas porter la ceinture de sécurité. «J'ai une balafre de 40 centimètres sur le ventre, j'ai subi 27 opérations chirurgicales de la paroi abdominale en 3 ans, j'étais en permanence avec des points, c'est pour cela que le médecin de la préfecture m'a délivré ce certificat, en 1991», plaide-t-il, sûr de son coup, ajoutant même avec une pointe d'humour, et joignant le geste à la parole, «ma cicatrice, ce n'est pas du bidon». À ceci près que, d'ordinaire, ces certificats ont une durée limitée, le temps de la guérison. «Mais le mien ne comporte aucune date butoir, alors, je considère qu'il est permanent !» Ce n'est pas l'avis des forces de l'ordre qui l'interpellent plus souvent qu'à son tour. «Une première fois, c'était pour le portable, j'ai perdu 3 points, et ça, je ne le conteste pas. Après, j'ai été arrêté trois fois pour non port de la ceinture, et voilà, je me suis retrouvé sans aucun point sur mon permis.» Lequel a été, du coup, annulé…
Mais il ne veut rien savoir et, à l'époque, c'était en 2008, persuadé que les infractions ne sont pas valides et qu'on lui a injustement retiré les points, il continue à conduire. Sans permis, bien sûr… Et ce qui devait arriver arriva, il est de nouveau arrêté, et là, plus possible de lui retirer des points qu'il n'a plus, sur un permis qu'il n'a plus, il est traduit devant le tribunal qui le condamne à 4 mois de prison ferme. «J'ai fait les 4 mois de prison», poursuit-il, une peine qu'il considère, de fait, aussi comme une injustice. «J'ai écrit au ministère de l'Intérieur, au président de la République, à chaque fois, on m'a répondu que j'aurais dû contester dans les deux mois suivant la notification, par lettre recommandée, que je n'avais plus de points sur mon permis. Or, ce courrier recommandé, je ne l'ai jamais reçu. Du coup, je n'étais pas censé être au courant que je n'avais plus de permis, mais personne n'a rien voulu savoir, pour eux, ce courrier est parti de chez eux, point barre.»
Vous étiez prévenus, notre homme est obstiné… Et ce n'est pas fini. «J'ai vu au Journal Officiel que de toute façon, comme la loi n'est pas rétroactive en France, sur les permis délivrés avant le système des points, on ne pouvait pas les retirer.» Bon, renseignement pris, c'est faux, hein… Mais il persiste : «Je connais des gens qui ont été arrêtés avec de l'alcool au volant, d'autres qui ont commis des infractions bien plus graves que moi, mais qui sont passés au travers. Moi, on ne m'a jamais rien passé…»
Et aujourd'hui ? «Je continue à me battre, je vais réécrire au ministère de l'Intérieur, au président de la République. Je veux qu'on me rende mes points !» Et le permis de conduire, qu'il n'a jamais voulu repasser, puisque selon lui, il lui a été indûment retiré ? «Je me fais porter, mais ça commence à me gêner pour mon activité professionnelle. J'ai perdu tous mes permis, y compris le poids lourd, dont j'ai besoin, il faut que je les repasse tous. Je me suis inscrit au code, je commence sous peu.» Enfin, un peu de raison, une prise de conscience ? Pas sûr… «Mais pour moi, je suis dans mon bon droit, mais je ne peux pas me faire entendre. Je vais repasser le permis, mais…» Incorrigible…
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/28/1636222-on-m-a-injustement-retire-tous-les-points-du-permis.html
Gard : victime de violences, Dylan ne va plus à l’école
À Ribaute-les-Tavernes près d'Ales, Dylan, élève de CM2, n’est plus scolarisé depuis deux mois. En cause, brimades, insultes...
Au cabinet de Me Sophie Bonnaud qui suit le dossier, Dylan n’est pas intimidé. Il exprime parfaitement ses doutes et ses craintes. Il parle avec ses mots à lui, de son long calvaire. "Ce camarade de classe m’embête depuis longtemps. Il a une bande. On se moque de moi, on m’insulte. Maintenant j’ai appris à me défendre, et ça finit en bagarres." C’est justement ce type de réaction qui inquiète Sébastien, le papa. "Comme Dylan ne voit qu’aucun adulte ne l’aide, qu’on ne l’écoute pas, il ressent de l’injustice. Je ne veux pas que mon fils devienne violent en pensant que tout se règle avec les coups. Je vois bien qu’il n’a plus confiance dans l’adulte. On a décidé de le faire suivre par un pédopsychiatre."
Malgré des promesses, rien n'a changé
Et de détailler la genèse de l’histoire. "Fin 2012, on a écrit au directeur de l’école afin d’obtenir un rendez-vous, qu’on a jamais eu. En mars 2012, on a refait un courrier mais en recommandé toujours au directeur, mais aussi à l’inspection d’académie : pas de réponse." Le 21 mars dernier, de nouveaux incidents se seraient déroulés dans la cour de récré. Dylan craque. Le papa exige du directeur qu’il fasse "son boulot. Vous n’êtes qu’un guignol." Le directeur porte plainte pour outrages. Les parents n’ont d’autres solutions que de garder Dylan à la maison pour assurer sa sécurité, en attendant une hypothétique solution. Solution qu’ils pensent trouver lorsqu’ils sont convoqués à la direction académique de Nîmes le 7 mai. Le papa explique : "On nous a parlé de l’absentéisme de Dylan. Un inspecteur de secteur a bien été saisi pour prendre en compte le problème. On l’a rencontré. Il s’était engagé à prendre des mesures. On avait sa promesse. Dylan était fou de joie à l’idée de revenir à l’école mardi dernier, mais lorsque je l’ai emmené, le garçon mis en cause était toujours dans la classe. Rien n’avait changé." La maman ajoute, au bord des larmes : "Pour Dylan et aussi pour nous, c’était la fin du monde. Nous, ce qu’on voudrait, c’est une médiation pour désamorcer cette crise. On n’a jamais pu rencontrer la famille du garçon incriminé pour mettre les choses à plat. Pourquoi est-ce toujours à la victime à devoir changer d’école ?" Une réunion est prévue mardi à l’école avec les parents, le directeur, et les services départementaux de l’Éducation nationale.
http://www.midilibre.fr/2013/05/27/victime-de-violences-dylan-ne-va-plus-a-l-ecole,705181.php
Ça fait trop longtemps que ça dure. Il faut que Dylan puisse retourner à l’école", déclare inquiète sa maman Laëtitia. Le petit Dylan, 11 ans, scolarisé en CM2 à l’école Marcel-Pagnol de Ribaute-les-Tavernes, ne veut plus revenir en classe. Depuis deux mois, il reste chez lui pendant que ses parents remuent ciel et terre pour faire comprendre l’urgence de la situation à une administration pas pressée de trouver une solution durable. Une déscolarisation non voulue, due à des brimades, insultes, et violences que Dylan subit depuis trois longues années, de la part d’un de ses petits camarades de classe.
Dylan parle de son calvaireAu cabinet de Me Sophie Bonnaud qui suit le dossier, Dylan n’est pas intimidé. Il exprime parfaitement ses doutes et ses craintes. Il parle avec ses mots à lui, de son long calvaire. "Ce camarade de classe m’embête depuis longtemps. Il a une bande. On se moque de moi, on m’insulte. Maintenant j’ai appris à me défendre, et ça finit en bagarres." C’est justement ce type de réaction qui inquiète Sébastien, le papa. "Comme Dylan ne voit qu’aucun adulte ne l’aide, qu’on ne l’écoute pas, il ressent de l’injustice. Je ne veux pas que mon fils devienne violent en pensant que tout se règle avec les coups. Je vois bien qu’il n’a plus confiance dans l’adulte. On a décidé de le faire suivre par un pédopsychiatre."
Malgré des promesses, rien n'a changé
Et de détailler la genèse de l’histoire. "Fin 2012, on a écrit au directeur de l’école afin d’obtenir un rendez-vous, qu’on a jamais eu. En mars 2012, on a refait un courrier mais en recommandé toujours au directeur, mais aussi à l’inspection d’académie : pas de réponse." Le 21 mars dernier, de nouveaux incidents se seraient déroulés dans la cour de récré. Dylan craque. Le papa exige du directeur qu’il fasse "son boulot. Vous n’êtes qu’un guignol." Le directeur porte plainte pour outrages. Les parents n’ont d’autres solutions que de garder Dylan à la maison pour assurer sa sécurité, en attendant une hypothétique solution. Solution qu’ils pensent trouver lorsqu’ils sont convoqués à la direction académique de Nîmes le 7 mai. Le papa explique : "On nous a parlé de l’absentéisme de Dylan. Un inspecteur de secteur a bien été saisi pour prendre en compte le problème. On l’a rencontré. Il s’était engagé à prendre des mesures. On avait sa promesse. Dylan était fou de joie à l’idée de revenir à l’école mardi dernier, mais lorsque je l’ai emmené, le garçon mis en cause était toujours dans la classe. Rien n’avait changé." La maman ajoute, au bord des larmes : "Pour Dylan et aussi pour nous, c’était la fin du monde. Nous, ce qu’on voudrait, c’est une médiation pour désamorcer cette crise. On n’a jamais pu rencontrer la famille du garçon incriminé pour mettre les choses à plat. Pourquoi est-ce toujours à la victime à devoir changer d’école ?" Une réunion est prévue mardi à l’école avec les parents, le directeur, et les services départementaux de l’Éducation nationale.
http://www.midilibre.fr/2013/05/27/victime-de-violences-dylan-ne-va-plus-a-l-ecole,705181.php
lundi 27 mai 2013
Un gendarme à moto renversé
Il était midi, hier, quand un agent de la brigade motorisée de la compagnie de Laon s'est fait renverser par une voiture, à Coupru sur la D 1003.
Au volant, un couple de sexagénaires conduisait en direction de Soissons et le gendarme arrivait de la route de Coupru. Sans marquer d'arrêt à un panneau stop, le véhicule a renversé la moto.
La brigade de Charly-sur-Marne est intervenue. Le couple a été légèrement blessé et le gendarme se porte bien. Un constat à l'amiable a été dressé.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-gendarme-a-moto-renverse
Au volant, un couple de sexagénaires conduisait en direction de Soissons et le gendarme arrivait de la route de Coupru. Sans marquer d'arrêt à un panneau stop, le véhicule a renversé la moto.
La brigade de Charly-sur-Marne est intervenue. Le couple a été légèrement blessé et le gendarme se porte bien. Un constat à l'amiable a été dressé.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-gendarme-a-moto-renverse
Un corps dans une valise en mer identifié
Un corps, retrouvé en juillet 2011 dans une valise flottant en rade de Lorient a pu être identifié grâce à une clé découverte sur la victime, a-t-on appris de source judiciaire. Âgé d'une cinquantaine d'années, l'homme retrouvé dans la valise pieds et poings liés, le visage recouvert de ruban adhésif, est un Français d'origine maghrébine, salarié d'un salon de massage, a-t-on appris de même source, confirmant une information du quotidien Ouest-France dans son édition de lundi.
Les enquêteurs ont effectué un travail de fourmi pour parvenir à découvrir l'origine de la clé retrouvée dans une poche de la victime. Cette clé les a finalement menés dans un appartement inoccupé de la région parisienne et a permis l'identification du corps. Les enquêteurs vont désormais pouvoir cerner le milieu dans lequel évoluait la victime afin de tenter de boucler cette affaire. Une information judiciaire pour "séquestration et assassinat" avait été ouverte après la découverte par des plaisanciers, le 13 juillet 2011, du corps d'un homme non identifié dans une valise lestée flottant à l'entrée de la rade de Lorient. L'autopsie avait révélé que la victime était décédée "par asphyxie mécanique suite à l'intervention d'un tiers". Le corps ne portait pas de trace de coups ni de blessures. Une reconstitution faciale, suivie d'un appel à témoins, n'avait pas permis l'identification de la victime.
dimanche 26 mai 2013
Thoisy-la-Berchère : une enfant et sa mère blessées dans un accident
Ce samedi vers 12 h 15, une conductrice, habitant Thoisy-la-Berchère et âgée de 37 ans, a perdu le contrôle de son véhicule. Elle circulait sur la D977 bis, en direction de son domicile. Sa voiture a mordu l’accotement puis percuté de face un arbre. A bord du véhicule se trouvaient les deux filles de la conductrice, âgées de 3 et 7 ans. La fillette de 3 ans s’en est sortie indemne. Sa grande sœur et sa mère ont été blessées puis transférée par les secouristes vers le centre hospitalier de Semur-en-Auxois. Leur pronostic vital n’est pas engagé.
http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2013/05/26/thoisy-la-berchere-une-enfant-et-sa-mere-blessees-dans-un-accident
http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2013/05/26/thoisy-la-berchere-une-enfant-et-sa-mere-blessees-dans-un-accident
Trois Marnais blessés dans une sortie de route sur la D18
Trois personnes ont été blessées, tôt hier matin dans une sortie de route entre Montmort-Lucy et Étoges.
Difficiles à l'heure actuelle de savoir exactement ce qui s'est passé sur la RD18 ce samedi matin vers 6 heures. Les victimes n'ont pas encore été entendues par les gendarmes et aucun témoin pour expliquer cette sortie de route.
L'accident s'est déroulé en pleine ligne droite alors que la chaussée était rendue légèrement glissante en raison d'une pluie fine qui tombait sur le sud-ouest marnais.
La conductrice d'une Renault clio qui circulait dans le sens Montmirail/Étoges s'est soudainement déportée sur sa gauche. Elle a perdu le contrôle de sa voiture, heurtant plusieurs obstacles au passage avant de finir sa course dans le fossé.
C'est un automobiliste qui est passé plus tard qui a donné l'alerte. Les pompiers d'Épernay, de Vertus et de Montmirail arrivés sur les lieux de l'accident ont pris en charge la conductrice ainsi que ses deux passagers. Tous les trois, des Marnais ont été blessés dans l'accident et ont été transportés vers le centre hospitalier d'Épernay. Les secours ont été facilités par une circulation quasi nulle sur cette route à cette heure-là. Les gendarmes de Montmirail ont procédé aux premières constatations sur place. Le dépistage d'alcoolémie et de stupéfiants, obligatoire lors d'un accident avec victimes a été effectué sur la conductrice mais les résultats ne sont pas encore connus à ce jour.
L'intervention s'est achevée vers 7 h 45.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/trois-marnais-blesses-dans-une-sortie-de-route-sur-la-d18
Difficiles à l'heure actuelle de savoir exactement ce qui s'est passé sur la RD18 ce samedi matin vers 6 heures. Les victimes n'ont pas encore été entendues par les gendarmes et aucun témoin pour expliquer cette sortie de route.
L'accident s'est déroulé en pleine ligne droite alors que la chaussée était rendue légèrement glissante en raison d'une pluie fine qui tombait sur le sud-ouest marnais.
La conductrice d'une Renault clio qui circulait dans le sens Montmirail/Étoges s'est soudainement déportée sur sa gauche. Elle a perdu le contrôle de sa voiture, heurtant plusieurs obstacles au passage avant de finir sa course dans le fossé.
C'est un automobiliste qui est passé plus tard qui a donné l'alerte. Les pompiers d'Épernay, de Vertus et de Montmirail arrivés sur les lieux de l'accident ont pris en charge la conductrice ainsi que ses deux passagers. Tous les trois, des Marnais ont été blessés dans l'accident et ont été transportés vers le centre hospitalier d'Épernay. Les secours ont été facilités par une circulation quasi nulle sur cette route à cette heure-là. Les gendarmes de Montmirail ont procédé aux premières constatations sur place. Le dépistage d'alcoolémie et de stupéfiants, obligatoire lors d'un accident avec victimes a été effectué sur la conductrice mais les résultats ne sont pas encore connus à ce jour.
L'intervention s'est achevée vers 7 h 45.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/trois-marnais-blesses-dans-une-sortie-de-route-sur-la-d18
Roué de coups pour un portable
Un homme qui traversait le square De-Gaulle hier vers 4 h 30 à Toulouse a été agressé par deux individus qui voulaient lui dérober son smartphone. La victime a pris de nombreux coups. Une violence qui ne s'arrêtait plus, même quand la victime a chuté au sol… La police est intervenue et l'arrestation des deux suspects, des habitués du commissariat central, n'a pas été simple. Les deux individus se sont rebellés et un policier a même été mordu à un doigt. Les deux garçons, finalement maîtrisés, ont été placés en garde à vue au commissariat central. Hier ils ont été auditionnés par les enquêteurs de permanence à la sûreté départementale à qui ils ont affirmé être mineurs. Au regard d'un examen osseux, ces deux copains auraient 19 ans. Ils ont été présentés au paquet hier après-midi et devraient être jugés dès lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/26/1634927-roue-de-coups-pour-un-portable.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/26/1634927-roue-de-coups-pour-un-portable.html
Plus d'1 M de sachets d'aspirine saisis
Quelque 1,2 million de sachets d'aspirine de contrefaçon en provenance de Chine ont été saisis mi-mai par les douanes du Havre, soit "la plus importante saisie de contrefaçon de médicaments jamais réalisée par les services douaniers en France et dans l'Union Européenne", a annoncé le ministère de l'Economie.
Les médicaments étaient dissimulés dans un chargement de thé en provenance de Chine, souligne le ministère. Les marchandises "devaient être livrées au sein d'une société espagnole localisée aux îles Baléares présentant tous les aspects d'une société écran, et étaient sans doute destinées à être vendues dans la péninsule ibérique, le sud de la France et l'Afrique francophone", précise le ministère.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/25/97001-20130525FILWWW00486-plus-d-1-m-de-sachets-d-aspirine-saisis.php
Les médicaments étaient dissimulés dans un chargement de thé en provenance de Chine, souligne le ministère. Les marchandises "devaient être livrées au sein d'une société espagnole localisée aux îles Baléares présentant tous les aspects d'une société écran, et étaient sans doute destinées à être vendues dans la péninsule ibérique, le sud de la France et l'Afrique francophone", précise le ministère.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/25/97001-20130525FILWWW00486-plus-d-1-m-de-sachets-d-aspirine-saisis.php
samedi 25 mai 2013
Mérignac : un auto-entrepreneur escroc
Dans quelques mois, un artisan auto-entrepreneur du bâtiment comparaîtra devant les magistrats de la 4e chambre du tribunal correctionnel de Bordeaux pour répondre de travail dissimulé, abus de faiblesse et recours au service d’un mineur pour effectuer un travail dissimulé. Cet homme de 47 ans a été placé en garde à vue cette semaine au commissariat de Mérignac.
Les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine (BSU) l’ont confondu à la suite de minutieuses investigations menées depuis plusieurs mois. L’auto-entrepreneur, aujourd’hui en arrêt maladie, a abusé de la faiblesse d’au moins quatre retraitées à Mérignac, Pessac, Bordeaux et Amboise, en Indre-et-Loire. Les victimes sont âgées de 85 à 94 ans et sont particulièrement vulnérables.
Connu pour fraude fiscale
Ce sont les agents de Tracfin, chargés de repérer les mouvements d’argent suspects depuis le ministère des Finances, qui ont alerté le procureur de la République de Bordeaux en septembre 2012. Ils ont découvert que d’importantes sommes transitaient depuis le compte de l’artisan sur ceux de ses enfants. L’auto-entrepreneur récupérait ensuite du numéraire pour l’écouler, notamment dans l’achat de voitures de luxe.
Au total, en l’espace d’un an, entre mars 2011 et avril 2012, il aurait empoché 125 000 euros.
Les policiers mérignacais ont pu établir qu’il sillonnait le Grand Sud de la France au volant de son fourgon et déposait sa carte de visite au domicile de personnes âgées. L’homme repérait semble-t-il ses victimes avant de les démarcher. Se disant spécialiste en travaux de peinture mais aussi dans la jardinerie, il commençait un chantier, le bâclait le plus souvent, voire ne le terminait pas. Il travaillait avec son fils, 13 ans, déscolarisé. Artisan depuis 2006, il n’avait aucun diplôme et n’a jamais déclaré ses revenus. Il délivrait par ailleurs des factures non conformes sur lesquelles n’apparaissait pas le montant de la TVA.
Lors de son audition devant les enquêteurs, il aurait reconnu les faits. Le parquet financier a demandé la saisie immédiate de son véhicule 4x4, estimé à 40 000 euros.
L’auto-entrepreneur était déjà connu pour fraude fiscale. Les victimes de ses agissements devraient se constituer partie civile afin de récupérer une partie de l’argent extorqué.
http://www.sudouest.fr/2013/05/25/un-auto-entrepreneur-escroc-1063669-3001.php
Les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine (BSU) l’ont confondu à la suite de minutieuses investigations menées depuis plusieurs mois. L’auto-entrepreneur, aujourd’hui en arrêt maladie, a abusé de la faiblesse d’au moins quatre retraitées à Mérignac, Pessac, Bordeaux et Amboise, en Indre-et-Loire. Les victimes sont âgées de 85 à 94 ans et sont particulièrement vulnérables.
Connu pour fraude fiscale
Ce sont les agents de Tracfin, chargés de repérer les mouvements d’argent suspects depuis le ministère des Finances, qui ont alerté le procureur de la République de Bordeaux en septembre 2012. Ils ont découvert que d’importantes sommes transitaient depuis le compte de l’artisan sur ceux de ses enfants. L’auto-entrepreneur récupérait ensuite du numéraire pour l’écouler, notamment dans l’achat de voitures de luxe.
Au total, en l’espace d’un an, entre mars 2011 et avril 2012, il aurait empoché 125 000 euros.
Les policiers mérignacais ont pu établir qu’il sillonnait le Grand Sud de la France au volant de son fourgon et déposait sa carte de visite au domicile de personnes âgées. L’homme repérait semble-t-il ses victimes avant de les démarcher. Se disant spécialiste en travaux de peinture mais aussi dans la jardinerie, il commençait un chantier, le bâclait le plus souvent, voire ne le terminait pas. Il travaillait avec son fils, 13 ans, déscolarisé. Artisan depuis 2006, il n’avait aucun diplôme et n’a jamais déclaré ses revenus. Il délivrait par ailleurs des factures non conformes sur lesquelles n’apparaissait pas le montant de la TVA.
Lors de son audition devant les enquêteurs, il aurait reconnu les faits. Le parquet financier a demandé la saisie immédiate de son véhicule 4x4, estimé à 40 000 euros.
L’auto-entrepreneur était déjà connu pour fraude fiscale. Les victimes de ses agissements devraient se constituer partie civile afin de récupérer une partie de l’argent extorqué.
http://www.sudouest.fr/2013/05/25/un-auto-entrepreneur-escroc-1063669-3001.php
Invaincue à un jeu télévisé, Michèle la Toulousaine se bat pour son fils handicapé
La Star de «Harry», jeu culturel télévisé diffusé par France 3, est toulousaine ! Michèle, 57 ans, est professeur de mathématiques à la retraite. Elle a troqué les chiffres contre des lettres, et s'illustre désormais sur le petit écran grâce à son habileté à manier les mots. Chaque fin d'après-midi, du lundi au vendredi, Sébastien Folin anime cette émission, dénommée «Harry» en référence à l'écran-robot du même nom qui lui donne la réplique. Dans ce jeu demandant de reformer des mots préalablement découpés en plusieurs syllabes, Michèle est invaincue depuis le 26 avril… Et sa cagnotte s'élève actuellement à plus de 18 000 € ! «C'est vraiment super ce qui m'arrive ! Et puis l'ambiance est très sympa là-bas, tout le monde est aux petits soins. Sébastien Folin est très naturel, j'ai adoré» confie-t-elle. Passionnée de jeux de lettre, férue de la langue française, Michèle participe régulièrement à des tournois de Scrabble. «À mon dernier tournoi, plus de 500 inconnus sont venus pour me féliciter pour mes performances à Harry. J'étais extrêmement touchée» avoue Michèle. Derrière cet amour pour les mots, Michèle recèle une détermination sans faille, une envie de vaincre qui s'avère liée à une histoire particulièrement émouvante. «Ce jeu va me changer la vie…» précise-t-elle, sur un ton évasif. Inscrite dans l'espoir de se procurer de l'argent pour acheter un fauteuil roulant à son fils qui est handicapé, son parcours jalonné de réussite dépasse largement ses attentes et emplit de bonheur toute une famille. «J'espère pouvoir rester en lice le plus longtemps possible !» souligne la Toulousaine. Audacieuse et téméraire, Michèle entend bien prolonger le plaisir et poursuivre cette formidable série de victoires. Néanmoins, la championne précise que les émissions suivantes s'annoncent plus compliquées : «Il faut beaucoup d'endurance. Enchaîner 7 à 8 émissions par jour est parfois compliqué.» Jusqu'où ira-t-elle pour son fils ? Michèle arrivera-t-elle à vaincre la fatigue ? Réponse ce lundi, à 16h50 sur France 3.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/25/1634086-invaincue-jeu-televise-michele-bat-fils.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/25/1634086-invaincue-jeu-televise-michele-bat-fils.html
Perpignan : peines confirmées pour les deux maçons de l'horreur
La réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans pour Jean-Barthelemy Rathqueber, trente ans de réclusion et 18 ans de sûreté pour Fouad Sellam : après cinq heures heures de délibéré, les jurés des Pyrénées Orientales viennent de confirmer le verdict des jurés de l'Aude, qui avaient lourdement condamné les deux maçons de l'horreur en janvier 2012.
Les deux hommes étaient rejugés en appel pour la séquestration suivi du double assassinat des époux Saint-Aubert, deux retraités tués de façon sordide le 4 avril 2008 à Argeliers (Aude), un village du Minervois
http://www.midilibre.fr/2013/05/24/perpignan-peines-confirmees-pour-les-deux-macons-de-l-horreur,703232.php
Les deux hommes étaient rejugés en appel pour la séquestration suivi du double assassinat des époux Saint-Aubert, deux retraités tués de façon sordide le 4 avril 2008 à Argeliers (Aude), un village du Minervois
http://www.midilibre.fr/2013/05/24/perpignan-peines-confirmees-pour-les-deux-macons-de-l-horreur,703232.php
vendredi 24 mai 2013
Dordogne : l'ancienne femme à tout faire condamnée pour abus de confiance
Elle n'était pas là pour entendre la décision des juges. Nathalie Audibert, désormais commerciale dans une agence immobilière en Dordogne, a été reconnue coupable d'abus de confiance ce vendredi matin par le tribunal correctionnel de Bordeaux.
Elle a comparu mercredi devant la chambre de la juridiction interregionale spécialisée pour avoir détourné - et dépensé pour un train de vie luxueux - de l'argent destiné aux frais de fonctionnement de la propriété d'un riche homme d'affaires islandais, à Saint-Cernin-de-Labarde (Dordogne), dont elle avait la charge. Elle a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et mise à l'épreuve, devra rembourser les sommes détournées soit quelque 650 000 euros et payer en outre 5 000 euros de dommages et intérêts à son ancien employeur qui lui avait donné toute sa confiance.
http://www.sudouest.fr/2013/05/24/dordogne-l-ancienne-femme-a-tout-faire-condamnee-pour-abus-de-confiance-1063277-2032.php
Elle a comparu mercredi devant la chambre de la juridiction interregionale spécialisée pour avoir détourné - et dépensé pour un train de vie luxueux - de l'argent destiné aux frais de fonctionnement de la propriété d'un riche homme d'affaires islandais, à Saint-Cernin-de-Labarde (Dordogne), dont elle avait la charge. Elle a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et mise à l'épreuve, devra rembourser les sommes détournées soit quelque 650 000 euros et payer en outre 5 000 euros de dommages et intérêts à son ancien employeur qui lui avait donné toute sa confiance.
http://www.sudouest.fr/2013/05/24/dordogne-l-ancienne-femme-a-tout-faire-condamnee-pour-abus-de-confiance-1063277-2032.php
Une mini tornade a frappé la Lorraine hier soir
Ces dernières 24 h ont été agitées dans le ciel Lorrain. Une traîne active, avec de la grêle ou du grésil et des rafales de vent parfois soutenues (supérieur à 70 km/), a été observée. De fortes variations de température ont aussi été notées.
Mais le fait le plus marquant serait le phénomène observé hier soir par plusieurs témoins dans la région de Saint Avold. Il était environ 18 h 30 quand une mini tornade a touché cette partie de la Moselle, plus précisément aux Marcheren.
Des vidéos amateurs ont été prises ainsi que des photos. Une enquête est en cours. Elle fait état d'une tornade confirmée avec de grosses difficultés de formation dans sa structure. Celle-ci a été brève car elle a duré moins de 7 minutes. Son diamètre était de quelques mètres. Des dégâts minimes sont à noter, cette tornade était de faible intensité.
Les sapeurs-pompiers locaux indiquent ne pas être intervenus, pas plus que les gendarmes de Folschviller – en charge de ce secteur. Du côté des services de la mairie de Saint-Avold, une inspection des agents ce matin a permis de constater que la petite tornade n’avait occasionné aucun dégât. La population locale a plus été marquée et gênée par une soudaine et fournie chute de grêle très localisée, formant par endroits (Hombourg-Haut, Guenviller, Macheren, Saint-Avold, Seingbouse), une pellicule de 5 cm, donnant définitivement à cette fin de mai des airs surréalistes d’hiver.
Le phénomène a aussi été observé à Commercy, dans la Meuse.L'observatoire national des tornades confirme le phénomène mais va mener des investigations complémentaires.
Le phénomène se classe F0 sur l’échelle de Fujita qui mesure les tornades, F5 étant le niveau le plus élevé
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/24/lorraine-tornade-hier-soir
Mais le fait le plus marquant serait le phénomène observé hier soir par plusieurs témoins dans la région de Saint Avold. Il était environ 18 h 30 quand une mini tornade a touché cette partie de la Moselle, plus précisément aux Marcheren.
Des vidéos amateurs ont été prises ainsi que des photos. Une enquête est en cours. Elle fait état d'une tornade confirmée avec de grosses difficultés de formation dans sa structure. Celle-ci a été brève car elle a duré moins de 7 minutes. Son diamètre était de quelques mètres. Des dégâts minimes sont à noter, cette tornade était de faible intensité.
Les sapeurs-pompiers locaux indiquent ne pas être intervenus, pas plus que les gendarmes de Folschviller – en charge de ce secteur. Du côté des services de la mairie de Saint-Avold, une inspection des agents ce matin a permis de constater que la petite tornade n’avait occasionné aucun dégât. La population locale a plus été marquée et gênée par une soudaine et fournie chute de grêle très localisée, formant par endroits (Hombourg-Haut, Guenviller, Macheren, Saint-Avold, Seingbouse), une pellicule de 5 cm, donnant définitivement à cette fin de mai des airs surréalistes d’hiver.
Le phénomène a aussi été observé à Commercy, dans la Meuse.L'observatoire national des tornades confirme le phénomène mais va mener des investigations complémentaires.
Le phénomène se classe F0 sur l’échelle de Fujita qui mesure les tornades, F5 étant le niveau le plus élevé
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/24/lorraine-tornade-hier-soir
Soueich. Nouveau malaise au centre de loisirs, des parents en colère
Une plainte a été déposée à la gendarmerie d'Aspet, suite à des incidents survenus envers des enfants à l'ALAE de Soueich (centre de loisirs). Cet établissement, géré par le syndicat à vocation unique des 5 communes (Soueich, Cabanac-Cazaux, Encausse-les-Thermes, Régades et Lespiteau) a déjà connu des turbulences l'an dernier qui ont conduit à la mise à pied du directeur d'alors. Ce dernier a été remplacé, depuis la rentrée dernière par Olivier Thomas, ancien militaire, qui est remis en cause par des parents d'enfants.
Ainsi Marielle Estadieu, qui a déposé la plainte, explique que ses deux filles refusent désormais de se rendre à la cantine en raison de comportements «d'exclusion» dont sa fille est victime. La plus jeune de ses enfants, âgée de 8 ans, a d'ailleurs été entendue par les gendarmes dans ce cadre et un autre enfant a été exclu du centre de loisirs par son responsable. Ce que déplore Marielle Estadieu dans cette affaire est de n'être pas entendue par les responsables du syndicat qui gère l'ALAE. Dans le village, l'ambiance se dégrade entre les parents d'élèves qui fréquentent le centre de loisirs et les autorités locales.
Les accusations qui sont portées par les familles contre l'animateur du centre de loisirs sont graves. Du côté des autorités locales, on affirme ne pas être au courant de celles-ci.
Cela fait deux ans que le centre de loisirs est dans la tourmente. Sera-t-il pacifié prochainement ? Peut-être l'enquête de gendarmerie apportera-t-elle des réponses.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633454-soueich-nouveau-malaise-au-centre-de-loisirs.html
Ainsi Marielle Estadieu, qui a déposé la plainte, explique que ses deux filles refusent désormais de se rendre à la cantine en raison de comportements «d'exclusion» dont sa fille est victime. La plus jeune de ses enfants, âgée de 8 ans, a d'ailleurs été entendue par les gendarmes dans ce cadre et un autre enfant a été exclu du centre de loisirs par son responsable. Ce que déplore Marielle Estadieu dans cette affaire est de n'être pas entendue par les responsables du syndicat qui gère l'ALAE. Dans le village, l'ambiance se dégrade entre les parents d'élèves qui fréquentent le centre de loisirs et les autorités locales.
Les accusations qui sont portées par les familles contre l'animateur du centre de loisirs sont graves. Du côté des autorités locales, on affirme ne pas être au courant de celles-ci.
Cela fait deux ans que le centre de loisirs est dans la tourmente. Sera-t-il pacifié prochainement ? Peut-être l'enquête de gendarmerie apportera-t-elle des réponses.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633454-soueich-nouveau-malaise-au-centre-de-loisirs.html
Cazes-Mondenard. Les plongeurs sondent un lac de nuit à la recherche d'un cadavre
La nuit a été agitée dans le secteur de «Sarrange haut», à Cazes-Mondenard. En effet vers 22 heures, des riverains ayant aperçu un véhicule tombé dans un lac de la commune, ont donné l'alerte. Aussitôt, les pompiers de permanence du centre de traitement de l'alerte (CTA) du SDIS (service départemental d'incendie et de secours) de Tarn-et-Garonne diligentaient sur place une équipe de secours pour venir en aide à un éventuel automobiliste.
Arrivés de Lauzerte et Montauban, les hommes grenouilles sondaient le lac au beau milieu de la nuit. Après avoir eu la certitude qu'aucun corps ne se trouvait dans le véhicule, les plongeurs récupéraient l'une des plaques d'immatriculation. Une information qui permettait aux enquêteurs de la communauté de brigades (COB) de gendarmerie de Lauzerte d'identifier le propriétaire du véhicule, un habitant de Cazes-Mondenard. Ce dernier ayant vraisemblablement fait une sortie de route, aurait abandonné son automobile qui s'enfonçait dans un trou d'eau. Convoqué à la brigade de Lauzerte, il a été entendu, hier après-midi. Quant au véhicule, il a été retiré de l'eau dans la nuit par le garagiste Muret-Frères.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633371-cazes-mondenard-plongeurs-sondent-lac-nuit-recherche-cadavre.html
Après une sortie de route, le propriétaire abandonne son véhicule
Sur place, les soldats du feu lauzertins ne pouvant avoir accès au véhicule tombé dans un trou d'eau et n'ayant pas la certitude que l'automobiliste ne soit pas encore à l'intérieur de l'habitacle, demandaient immédiatement l'assistance de plongeurs.Arrivés de Lauzerte et Montauban, les hommes grenouilles sondaient le lac au beau milieu de la nuit. Après avoir eu la certitude qu'aucun corps ne se trouvait dans le véhicule, les plongeurs récupéraient l'une des plaques d'immatriculation. Une information qui permettait aux enquêteurs de la communauté de brigades (COB) de gendarmerie de Lauzerte d'identifier le propriétaire du véhicule, un habitant de Cazes-Mondenard. Ce dernier ayant vraisemblablement fait une sortie de route, aurait abandonné son automobile qui s'enfonçait dans un trou d'eau. Convoqué à la brigade de Lauzerte, il a été entendu, hier après-midi. Quant au véhicule, il a été retiré de l'eau dans la nuit par le garagiste Muret-Frères.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633371-cazes-mondenard-plongeurs-sondent-lac-nuit-recherche-cadavre.html
Montpellier : soupçonné du meurtre de sa femme, libéré à cause d’une erreur?
Philippe Bailleux, 53 ans écroué depuis le 2 mai 2011 pour le meurtre à Montpellier de sa femme, Anne, retrouvée étranglée, avec le mot “Pute“ gravée au couteau sur la poitrine, va-t-il retrouver la liberté ?
Auparavant, Me Iris Christol, partie civile pour les enfants de la victime s’était vigoureusement opposée à une éventuelle libération, rappelant "les charges colossales" dans cette affaire dont l’instruction arrive à son terme. Le parquet, qui a fait appel de la décision du juge, et a obtenu un référé détention suspendant provisoirement toute libération s’est également opposé à une remise en liberté, et a demandé d’ordonner "la prolongation de la détention" de Philippe Bailleux. Philippe Bailleux nie depuis le départ toute responsabilité dans le crime, affirmant avoir eu "un trou noir" ce soir-là, où une soirée échangiste aurait été organisée avec un autre couple à son domicile. Il soutient s’être éveillé le lendemain, dans la baignoire et avoir découvert le corps de son épouse sur le lit conjugal.
http://www.midilibre.fr/2013/05/23/dma-un-homme-soupconne-de-meurtre-libere-demain-a-cause-d-une-erreur-d-un-juge,702467.php
La cour d’appel doit se prononcer demain sur ce qui ressemble fort à un couac de procédure. Car la juge d’instruction chargée du dossier a visiblement oublié de renouveler à temps le mandat de dépôt de cet homme qui nie les faits, malgré de nombreux éléments à charge. "C’est le dossier d’une erreur humaine" a plaidé ce matin Me Mendel devant la chambre de l’instruction, saisie du problème. "Cet homme est aujourd’hui détenu arbitrairement" a insisté Me Sandrine Bonnici, rappelant que le mandat de dépôt a expiré depuis le 18 mai.
Philippe Bailleux crie son innocenceAuparavant, Me Iris Christol, partie civile pour les enfants de la victime s’était vigoureusement opposée à une éventuelle libération, rappelant "les charges colossales" dans cette affaire dont l’instruction arrive à son terme. Le parquet, qui a fait appel de la décision du juge, et a obtenu un référé détention suspendant provisoirement toute libération s’est également opposé à une remise en liberté, et a demandé d’ordonner "la prolongation de la détention" de Philippe Bailleux. Philippe Bailleux nie depuis le départ toute responsabilité dans le crime, affirmant avoir eu "un trou noir" ce soir-là, où une soirée échangiste aurait été organisée avec un autre couple à son domicile. Il soutient s’être éveillé le lendemain, dans la baignoire et avoir découvert le corps de son épouse sur le lit conjugal.
http://www.midilibre.fr/2013/05/23/dma-un-homme-soupconne-de-meurtre-libere-demain-a-cause-d-une-erreur-d-un-juge,702467.php
jeudi 23 mai 2013
Le quinquagénaire fait une chute de 6 mètres
Un homme résidant dans un appartement du carrefour de la Vache-Noire, sur la RN 31, à Vic-sur-Aisne, est tombé de sa fenêtre, mercredi aux environs de 18 h 30.
Un passant l'a repéré, gisant au sol près du café le Pilcomayo, manifestement blessé. Les secours, sapeurs-pompiers et gendarmes, s'y sont immédiatement rendus. Il était conscient mais fortement alcoolisé et se plaignait du bassin.
On aurait pu croire à une tentative de suicide mais il n'en fut rien. L'homme, âgé de 53 ans, a expliqué aux gendarmes qu'il avait l'habitude de se pencher à sa fenêtre. Là, il a fait le grand saut.
Trauma au bassin
Heureusement, le bougre, malgré une chute de 6 mètres, n'avait à première vue rien de cassé. Il a été transporté à l'hôpital de Soissons. Verdict : un trauma au bassin.
Les militaires se sont tout de même assuré qu'il s'était bien agi d'un accident. La porte de son appartement était verrouillée de l'intérieur et il était seul.
Dans son malheur, cet homme a quand même eu de la chance de ne pas s'être fait plus mal encore. Ce genre d'accident peut s'avérer fatal.
Il y a moins d'un an, en septembre 2012, un jeune homme de 23 ans se tuait en tombant du 3e étage d'une résidence étudiante de l'IUT de Cuffies. Il avait pour habitude de passer sur le toit les soirs de fête. Ce soir-là, alcoolisé, il était tombé de 10 mètres.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/le-quinquagenaire-fait-une-chute-de-6-metres
Un passant l'a repéré, gisant au sol près du café le Pilcomayo, manifestement blessé. Les secours, sapeurs-pompiers et gendarmes, s'y sont immédiatement rendus. Il était conscient mais fortement alcoolisé et se plaignait du bassin.
On aurait pu croire à une tentative de suicide mais il n'en fut rien. L'homme, âgé de 53 ans, a expliqué aux gendarmes qu'il avait l'habitude de se pencher à sa fenêtre. Là, il a fait le grand saut.
Trauma au bassin
Heureusement, le bougre, malgré une chute de 6 mètres, n'avait à première vue rien de cassé. Il a été transporté à l'hôpital de Soissons. Verdict : un trauma au bassin.
Les militaires se sont tout de même assuré qu'il s'était bien agi d'un accident. La porte de son appartement était verrouillée de l'intérieur et il était seul.
Dans son malheur, cet homme a quand même eu de la chance de ne pas s'être fait plus mal encore. Ce genre d'accident peut s'avérer fatal.
Il y a moins d'un an, en septembre 2012, un jeune homme de 23 ans se tuait en tombant du 3e étage d'une résidence étudiante de l'IUT de Cuffies. Il avait pour habitude de passer sur le toit les soirs de fête. Ce soir-là, alcoolisé, il était tombé de 10 mètres.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/le-quinquagenaire-fait-une-chute-de-6-metres
Bergerac : mort suspecte d'un homme de 59 ans en centre-ville
Un homme de 59 ans, apparemment célibataire et sans emploi, a été retrouvé mort, lundi vers 22 heures, dans un petit studio de la cité Jean-Moulin, à Bergerac. Le corps gisait déjà depuis au moins une dizaine d’heures sur le sol encombré de débris d’objets, lorsqu’il a été découvert par hasard par une amie.
Les pompiers, qui sont arrivés sur les lieux les premiers, ont constaté le décès du quinquagénaire, mais ont fait bien attention à ne pas déplacer le corps. La police nationale, qui s’est rendue sur place aussitôt après avoir été prévenue, a en effet considéré qu’il y avait lieu de pousser un peu plus loin les investigations.
Un premier examen a permis de révéler la présence de trois plaies sur la tête de la victime. Les abondantes traces de sang qu’elles ont laissé échapper au sol conduisent la police à penser qu’elles ont été causées par l’utilisation d’un objet contondant.
L’autopsie pratiquée ce mercredi matin à Bordeaux n’a pas vraiment permis de déterminer les causes de la mort, qui, à ce stade de l’enquête, reste suspecte pour le parquet de Bergerac.
Le substitut du procureur en charge de l’enquête soupçonne une bagarre qui aurait mal tourné entre la victime et les individus qui se trouvaient avec lui dimanche soir.
Du bruit dans l’immeuble
Dans la nuit de dimanche à lundi, sur les coups de 4 heures et demie du matin, les voisins de l’homme retrouvé inanimé dans son appartement ont entendu du bruit, beaucoup de bruit. Mais le silence qui s’est brutalement installé un quart d’heure plus tard les a dissuadés de s’inquiéter outre mesure : ils ont cru que la soirée arrosée venait de se terminer. L’un d’eux a d’ailleurs vu un homme quitter les lieux dans la foulée.
Pour faire toute la lumière sur cette affaire, le parquet de Bergerac a lancé une recherche sur les causes de la mort, accidentelles ou criminelles. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Périgueux. Les enquêteurs sont à la recherche des amis présents dans l’appartement de la victime dimanche soir.
http://www.sudouest.fr/2013/05/23/mort-suspecte-a-jean-moulin-1061523-1733.php
Les pompiers, qui sont arrivés sur les lieux les premiers, ont constaté le décès du quinquagénaire, mais ont fait bien attention à ne pas déplacer le corps. La police nationale, qui s’est rendue sur place aussitôt après avoir été prévenue, a en effet considéré qu’il y avait lieu de pousser un peu plus loin les investigations.
Un premier examen a permis de révéler la présence de trois plaies sur la tête de la victime. Les abondantes traces de sang qu’elles ont laissé échapper au sol conduisent la police à penser qu’elles ont été causées par l’utilisation d’un objet contondant.
L’autopsie pratiquée ce mercredi matin à Bordeaux n’a pas vraiment permis de déterminer les causes de la mort, qui, à ce stade de l’enquête, reste suspecte pour le parquet de Bergerac.
Le substitut du procureur en charge de l’enquête soupçonne une bagarre qui aurait mal tourné entre la victime et les individus qui se trouvaient avec lui dimanche soir.
Du bruit dans l’immeuble
Dans la nuit de dimanche à lundi, sur les coups de 4 heures et demie du matin, les voisins de l’homme retrouvé inanimé dans son appartement ont entendu du bruit, beaucoup de bruit. Mais le silence qui s’est brutalement installé un quart d’heure plus tard les a dissuadés de s’inquiéter outre mesure : ils ont cru que la soirée arrosée venait de se terminer. L’un d’eux a d’ailleurs vu un homme quitter les lieux dans la foulée.
Pour faire toute la lumière sur cette affaire, le parquet de Bergerac a lancé une recherche sur les causes de la mort, accidentelles ou criminelles. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Périgueux. Les enquêteurs sont à la recherche des amis présents dans l’appartement de la victime dimanche soir.
http://www.sudouest.fr/2013/05/23/mort-suspecte-a-jean-moulin-1061523-1733.php
Accusé d'avoir jeté une ado dans la Seine
Un homme de 49 ans présumé avoir blessé une adolescente en la précipitant dans la Seine à Paris, le week-end dernier, a été écroué après s'être présenté lui-même à la police, a-t-on appris de source policière jeudi. Dans la nuit de samedi à dimanche, deux adolescentes assises sur la rembarde du Pont Bir-Hakeim, les pieds dans le vide, ont été précipitées par le suspect, a indiqué la source confirmant une information de RTL.
L'une a réussi à s'agripper à la rembarde mais l'autre est tombée à l'eau où elle a été secourue par le mousse d'une péniche puis la brigade fluviale de la police. Elle souffre de plusieurs fractures, a dit la source. Un homme a été interpellé sur place puis relâché et le suspect s'est présenté peu après au commissariat de police indiquant être l'auteur et plaidant l'accident. Il a été déféré en début de semaine devant la justice et écroué, a précisé la même source.
Paris. Des femmes riches enlevées et dépouillées dans les beaux quartiers
Une vague de criminalité d'un nouveau genre sévit dans les beaux quartiers de la capitale. En effet, des femmes qui semblent riches de par leur tenue et les quartiers qu'elles fréquentent se font enlever et dépouiller avant d'être relâchées à quelques kilomètres du lieu de leur disparition.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/23/1632885-paris-femmes-riches-enlevees-depouillees-beaux-quartiers.html
Un mode opératoire similaire
En moins d'un mois, deux cas de ce genre ont été recensés. Ces agressions avec un mode opératoire répétitif laissent penser à la piste d'un gang spécialisé. D'après Le Parisien, un nouvel enlèvement a eu lieu ce dimanche vers minuit et demi, avenue Foch dans le XVI arrondissement de Paris. La victime, âgée de 57 ans, a été forcée de monter dans une voiture. Après avoir été dépouillée, elle a été remise en liberté une demi heure plus tard, sur l'autoroute A1.http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/23/1632885-paris-femmes-riches-enlevees-depouillees-beaux-quartiers.html
Mobilisation de Lespignan à Millau pour sauver la vue du petit Logan, 4 ans
Le garçon est atteint d'une maladie génétique. Déjà sourd avec des problèmes d'apprentissage et d'équilibre, il va perdre la vue. La mobilisation d'un village héraultais a redonné de l'espoir aux parents pour faire soigner le garçon.
Ce petit Millavois n’entend aucun son, souffre de problèmes d’équilibre, d’apprentissage - il n’a marché qu’à l’âge de 2 ans et demi - et perd la vue progressivement. Il n’y a malheureusement que peu de traitements à l’heure actuelle.
Les médecins essayent seulement de remédier à certains symptômes comme la surdité avec des implants auditifs. Mais ce sont de lourdes opérations et beaucoup de temps passé à faire des examens à l’hôpital de Montpellier.
Ses grands yeux vont s’éteindre petit à petit
En revanche, rien en ce qui concerne la vue. Ses grands yeux vont s’éteindre petit à petit. Il va se couper du monde qui l’entoure. Mais ses parents, Jennifer Saint-Léger et Florent Dollé, veulent se battre.
En effectuant des recherches internet, ils ont trouvé un traitement pour la rétinite pigmentaire, qui ralentirait voire stopperait la dégénérescence. Il est uniquement pratiqué à Cuba. Cela coûterait 60 000 €. Une somme bien trop élevée pour le couple.
Un concert de soutien et d’espoir
Deux années de toute façon nécessaire car le traitement cubain ne peut commencer qu’à partir de l’âge de 6 ans. Il faut aussi que les médecins déterminent le gène atteint par la maladie. Des examens préliminaires doivent être effectués dans une clinique portugaise qui travaille avec Cuba.
"Cela nous permettra de faciliter la vie de Logan. Il faut, par exemple, que l’on déménage dans une maison au lieu d’un appartement." Et la maman d’expliquer : "Logan dort très peu, se lève à n’importe quelle heure et comme il est sourd, fait beaucoup de bruit..."
Tous avec et pour Logan, Tél. 06 44 80 20 68 ou www.associationtousavecetpourlogan.jimdo.com
http://www.midilibre.fr/2013/05/22/une-association-pour-sauver-la-vue-de-logan,701679.php
Logan ne parle pas, mais ses grands yeux en disent beaucoup. Ce gentil petit garçon, qui fêtera ses 4 ans dimanche, est atteint du syndrome de Usher, maladie génétique caractérisée par une surdité congénitale associée à une déficience visuelle progressive par rétinite pigmentaire.
De nombreux handicapsCe petit Millavois n’entend aucun son, souffre de problèmes d’équilibre, d’apprentissage - il n’a marché qu’à l’âge de 2 ans et demi - et perd la vue progressivement. Il n’y a malheureusement que peu de traitements à l’heure actuelle.
Les médecins essayent seulement de remédier à certains symptômes comme la surdité avec des implants auditifs. Mais ce sont de lourdes opérations et beaucoup de temps passé à faire des examens à l’hôpital de Montpellier.
Ses grands yeux vont s’éteindre petit à petit
En revanche, rien en ce qui concerne la vue. Ses grands yeux vont s’éteindre petit à petit. Il va se couper du monde qui l’entoure. Mais ses parents, Jennifer Saint-Léger et Florent Dollé, veulent se battre.
En effectuant des recherches internet, ils ont trouvé un traitement pour la rétinite pigmentaire, qui ralentirait voire stopperait la dégénérescence. Il est uniquement pratiqué à Cuba. Cela coûterait 60 000 €. Une somme bien trop élevée pour le couple.
Un concert de soutien et d’espoir
Pourtant, l’espoir est revenu le 6 avril dernier avec un groupe de musiciens héraultais, les No Name. Ils ont organisé une journée de solidarité et un concert à Lespignan en faveur du petit Logan. Ce sont près de 2 000 € qui ont pu être récoltés.
"Cela nous a remotivés, on ne va pas lâcher notre fils, sourit un peu Jennifer. Grâce à eux, on a monté une association, Tous avec et pour Logan, et il y a déjà 28 membres. On va organiser des tombolas et d’autres manifestations pour collecter des fonds. On cherche aussi des gens pour nous aider à organiser cela."
Le couple se donne deux ansDeux années de toute façon nécessaire car le traitement cubain ne peut commencer qu’à partir de l’âge de 6 ans. Il faut aussi que les médecins déterminent le gène atteint par la maladie. Des examens préliminaires doivent être effectués dans une clinique portugaise qui travaille avec Cuba.
"Cela nous permettra de faciliter la vie de Logan. Il faut, par exemple, que l’on déménage dans une maison au lieu d’un appartement." Et la maman d’expliquer : "Logan dort très peu, se lève à n’importe quelle heure et comme il est sourd, fait beaucoup de bruit..."
Tous avec et pour Logan, Tél. 06 44 80 20 68 ou www.associationtousavecetpourlogan.jimdo.com
http://www.midilibre.fr/2013/05/22/une-association-pour-sauver-la-vue-de-logan,701679.php
mercredi 22 mai 2013
Strasbourg: un tunnel près d'une banque
Une enquête a été ouverte à Strasbourg après la découverte fortuite d'un tunnel de 5 à 7 mètres, creusé sous une rue du centre-ville à proximité d'une banque, et qui pourrait avoir été aménagé en vue d'un cambriolage.
Le tunnel a été repéré hier suite à un léger affaissement de la chaussée, qui a nécessité l'intervention des services municipaux. Selon des images diffusées par France 3 Alsace, des policiers se sont glissés dans le tunnel à partir des égoûts et ont constaté la présence de gravats.
Le parquet s'est refusé à tout commentaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/22/97001-20130522FILWWW00591-strasbourg-un-tunnel-pres-d-une-banque.php
Le tunnel a été repéré hier suite à un léger affaissement de la chaussée, qui a nécessité l'intervention des services municipaux. Selon des images diffusées par France 3 Alsace, des policiers se sont glissés dans le tunnel à partir des égoûts et ont constaté la présence de gravats.
Le parquet s'est refusé à tout commentaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/22/97001-20130522FILWWW00591-strasbourg-un-tunnel-pres-d-une-banque.php
Disparition de Cédric à Bordeaux : de nouveaux éléments, les recherches s'élargissent
L'étudiant poitevin de 21 ans venu passer le week end à Bordeaux avec des amis a disparu dans la nuit de samedi à dimanche.
Les recherches se sont immédiatement portées vers la Garonne à proximité du quai Sainte-Croix, là où Cédric a été vu par ses amis pour la dernière fois.
Depuis, les enquêteurs ont décidé d'élargir les recherches à un plus large périmètre. Un agent de sécurité en fonction dans la nuit de samedi à dimanche a indiqué aux policiers qu'il avait rencontré le jeune homme dimanche vers 3 heures, à proximité de la Maison écocitoyenne, non loin de la Garonne (et du Pont de pierre).
Cédric a ensuite été filmé par plusieurs cameras de vidéo surveillance le long des quais en suivant le cours du fleuve. Sous l'autorité de Jean-Claude Borel Garin, directeur départemental de la sécurité publique, décision a été prise d'élargir les recherches le long de ce cheminement.
Il doit être fait appel au sonar et aux plongeurs de la brigade nautique de la gendarmerie d'Arcachon. L'hypothèse d'une chute accidentelle de Cédric dans le fleuve, envisagée dès le début est désormais largement prioritaire.
Pour rappel, toute personne susceptible de fournir des renseignements peut s'adresser au numéro Vert 0800 004 938.
Verbalisé devant son propre garage !
était 11 h 27, le lundi 6 mai, lorsque l'Opel Corsa de Lucas Burette, domicilié avenue d'Essômes, non loin de l'hypermarché Carrefour, a été verbalisée. Montant indiqué : 35 euros. Motif retenu par l'agent de surveillance de la voie publique (ASVP) : stationnement gênant devant une entrée carrossable. Pour l'automobiliste, c'est le pompon. « Alors, nous ne pouvons plus nous garer devant notre propre sortie de garage ? J'habite ici depuis trois ans, et je n'ai jamais vu ça ! » L'homme ajoute, remonté : « Quand on sait combien nous payons d'impôts locaux à Château-Thierry, la facture commence à être salée. Que cherche la mairie, à ce que les habitants déménagent dans les communes voisines ? La mise en place de cette mesure est scandaleuse. N'ont-ils pas d'autres idées pour remplir les caisses ? »
Contactés, les ASVP disent « appliquer le code de la route ». Noël Scherrer, le responsable précise : « Devant toute entrée carrossable, il est interdit de se garer même si c'est sa voiture. »
A cet endroit, une large croix jaune a même été matérialisée. Apposer le numéro de sa plaque d'immatriculation sur la porte du garage, n'y changera rien. « On l'a tous appris quand on a passé le code la route, mais on a oublié », renchérit l'agent.
Contestant son PV, Lucas Burette a néanmoins rédigé un courrier accompagné d'une photocopie de sa carte grise et de l'adresse de son domicile. Il a envoyé le tout le 10 mai à l'officier du ministère public basé au commissariat de Soissons. Il espère avoir gain de cause…
2 166 contraventions
L'an passé, les ASVP (personnel municipal) ont sorti le carnet à souches 2 166 fois. Ce chiffre se décompose comme suit : 1 174 contraventions ont été dressées pour stationnement irrégulier en zone de stationnement payant, 166 pour stationnement abusif sur la voie publique dépassant la durée fixée par un arrêté, 164 pour stationnement irrégulier sur zone bleue, 63 sur des emplacements réservés aux personnes à mobilité réduite, 19 pour stationnement gênant sur des emplacements dédiés aux livraisons.
Sans oublier ceux qui se garent sur les trottoirs (91 conducteurs), sur un accès ou dégagement gênant (131), sur des places réservées pour une manifestation (108) et ceux qui restent sur un emplacement plus de 7 jours durant.
« Ca fait beaucoup, note Philippe Pintelon, l'élu délégué au stationnement, d'autant que lorsqu'ils verbalisent, ils ne font pas autre chose. »
Autre chiffre à retenir : 50 véhicules abandonnés ont été emmenés en fourrière l'an passé. Coût pour la Ville : 9 000 euros. « Et comme personne ne vient les récupérer, la facture reste pour nous », conclu le conseiller municipal.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/verbalise-devant-son-propre-garage
Contactés, les ASVP disent « appliquer le code de la route ». Noël Scherrer, le responsable précise : « Devant toute entrée carrossable, il est interdit de se garer même si c'est sa voiture. »
A cet endroit, une large croix jaune a même été matérialisée. Apposer le numéro de sa plaque d'immatriculation sur la porte du garage, n'y changera rien. « On l'a tous appris quand on a passé le code la route, mais on a oublié », renchérit l'agent.
Contestant son PV, Lucas Burette a néanmoins rédigé un courrier accompagné d'une photocopie de sa carte grise et de l'adresse de son domicile. Il a envoyé le tout le 10 mai à l'officier du ministère public basé au commissariat de Soissons. Il espère avoir gain de cause…
2 166 contraventions
L'an passé, les ASVP (personnel municipal) ont sorti le carnet à souches 2 166 fois. Ce chiffre se décompose comme suit : 1 174 contraventions ont été dressées pour stationnement irrégulier en zone de stationnement payant, 166 pour stationnement abusif sur la voie publique dépassant la durée fixée par un arrêté, 164 pour stationnement irrégulier sur zone bleue, 63 sur des emplacements réservés aux personnes à mobilité réduite, 19 pour stationnement gênant sur des emplacements dédiés aux livraisons.
Sans oublier ceux qui se garent sur les trottoirs (91 conducteurs), sur un accès ou dégagement gênant (131), sur des places réservées pour une manifestation (108) et ceux qui restent sur un emplacement plus de 7 jours durant.
« Ca fait beaucoup, note Philippe Pintelon, l'élu délégué au stationnement, d'autant que lorsqu'ils verbalisent, ils ne font pas autre chose. »
Autre chiffre à retenir : 50 véhicules abandonnés ont été emmenés en fourrière l'an passé. Coût pour la Ville : 9 000 euros. « Et comme personne ne vient les récupérer, la facture reste pour nous », conclu le conseiller municipal.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/verbalise-devant-son-propre-garage
Angers. Le SDF vole une ambulance, un chèquier et du champagne
Taxi, dîner au restaurant, chambre d’hôtel… À Angers, un SDF a voulu jouer le grand jeu, le jour de ses 48 ans.
Dimanche dernier, il a d’abord volé un chéquier dans une voiture stationnée dans le centre-ville.
Il en a profité ensuite pour aller manger au Buffalo Grill puis réserver une chambre d’hôtel, après avoir dérobé deux bouteilles de champagne. Il a finalement été interpellé dans la soirée, dans la chambre.
Il a été condamné mardi à Angers à un mois de prison ferme. Voilà une semaine, il avait été condamné à une peine d’emprisonnement avec sursis pour avoir volé une ambulance au CHU d’Angers et s’être rendu en Mayenne voir une amie.
Corse. Elle tire sur son ex-concubin au fusil de chasse
Un agriculteur de 52 ans a été blessé par balle à la tête par son ex-concubine mardi dans un village proche de Bastia, en Haute-Corse, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Son pronostic vital n'est pas engagé, a précisé ce mercredi cette même source.
Les faits se sont déroulés vers 20h30 au domicile de la femme, situé dans un lotissement du village de Rapale, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bastia. La victime a reçu une décharge de fusil de chasse tirée à travers la porte d'entrée de la maison. L'ex-concubine, également âgée de 52 ans et agricultrice, a immédiatement appelé les secours. Elle a été placée en garde à vue à la gendarmerie. L'agriculteur et son ex-compagne étaient connus pour se disputer fréquemment. Une enquête a été ouverte ét confiée à la section de recherches et au groupement de gendarmerie.
Dimanche dernier vers 5 heures, Flavio Dominici, 26 ans, a été grièvement atteint à l'abdomen par un projectile de 9 mm, alors qu'il se trouvait à bord d'une voiture dans le centre de Bastia. Lundi, Charles Meoni, âgé d'une vingtaine d'années, a reconnu être le propriétaire de l'arme et le tireur. Il a été mis en examen mardi pour tentative d'homicide et infraction à la législation sur les armes. Connu défavorablement des services de police, Charles Meoni a affirmé avoir tiré accidentellement. Il a été écroué au terme d'un débat contradictoire.
Le 16 mai, c'est un sergent-chef espagnol du 2e Régiment étranger de parachutistes de Calvi qui a été grièvement blessé d'une balle de pistolet dans la tête par le propriétaire d'une villa du village de Lumio que le militaire tentait de cambrioler. Âgé de 75 ans, l'auteur du tir a été reconnu en état de légitime défense mais mis en examen pour infraction à la législation sur les armes.
Le 12 mai, un homme a été blessé d'une balle dans la jambe sur le parking d'une discothèque de Calvi. Deux hommes ont été mis en examen dans cette affaire.
Le ministre de l'Intérieur avait émis cette affirmation au lendemain de l'assassinat de Jean-Luc Chiappini, le président du Parc naturel régional de Corse, le 25 avril, puis le 5 mai sur France Inter. "Ces propos sont choquants et indignes d'un ministre de l'Intérieur", a estimé Laurent Marcangeli.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/22/1631974-corse-tire-ex-concubin-fusil-chasse.html
Les faits se sont déroulés vers 20h30 au domicile de la femme, situé dans un lotissement du village de Rapale, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bastia. La victime a reçu une décharge de fusil de chasse tirée à travers la porte d'entrée de la maison. L'ex-concubine, également âgée de 52 ans et agricultrice, a immédiatement appelé les secours. Elle a été placée en garde à vue à la gendarmerie. L'agriculteur et son ex-compagne étaient connus pour se disputer fréquemment. Une enquête a été ouverte ét confiée à la section de recherches et au groupement de gendarmerie.
4 blessés par balle en 11 jours
II s'agit du quatrième blessé par balle en Haute-Corse en onze jours.Dimanche dernier vers 5 heures, Flavio Dominici, 26 ans, a été grièvement atteint à l'abdomen par un projectile de 9 mm, alors qu'il se trouvait à bord d'une voiture dans le centre de Bastia. Lundi, Charles Meoni, âgé d'une vingtaine d'années, a reconnu être le propriétaire de l'arme et le tireur. Il a été mis en examen mardi pour tentative d'homicide et infraction à la législation sur les armes. Connu défavorablement des services de police, Charles Meoni a affirmé avoir tiré accidentellement. Il a été écroué au terme d'un débat contradictoire.
Le 16 mai, c'est un sergent-chef espagnol du 2e Régiment étranger de parachutistes de Calvi qui a été grièvement blessé d'une balle de pistolet dans la tête par le propriétaire d'une villa du village de Lumio que le militaire tentait de cambrioler. Âgé de 75 ans, l'auteur du tir a été reconnu en état de légitime défense mais mis en examen pour infraction à la législation sur les armes.
Le 12 mai, un homme a été blessé d'une balle dans la jambe sur le parking d'une discothèque de Calvi. Deux hommes ont été mis en examen dans cette affaire.
10 meurtres depuis le début de l'année
Déjà 10 homicides ont été perpétrés en Corse depuis le début de l'année. Mardi, Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur, a déploré le nombre élevé d'armes détenues sur l'Île de Beauté. "En Corse, il y a plus d'armes que dans le reste du pays", a déclaré le ministre à l'Assemblée nationale, en réponse à une question du député de Corse-du-Sud Laurent Marcangeli. "Vous êtes culturellement incompétent en matière de sécurité, vous et vos amis politiques", avait lancé le député après avoir demandé à Manuel Valls s'il maintenait ses récents propos selon lesquels "la violence est enracinée dans la culture corse".Le ministre de l'Intérieur avait émis cette affirmation au lendemain de l'assassinat de Jean-Luc Chiappini, le président du Parc naturel régional de Corse, le 25 avril, puis le 5 mai sur France Inter. "Ces propos sont choquants et indignes d'un ministre de l'Intérieur", a estimé Laurent Marcangeli.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/22/1631974-corse-tire-ex-concubin-fusil-chasse.html
Montpellier : fausse alerte à la bombe dans l'Ecusson
Grosse inquiétude ce mardi soir près de la préfecture et la place Jean Jaurès de Montpellier quand un "paquet" suspect à été signalé à proximité du parking de la préfecture.
Les démineurs et les pompiers sont intervenus sur place. Tous les accès au parking ont été fermés.
Finalement le paquet s'est avéré inoffensif car au moment où ils allaient le détruire, son propriétaire est arrivé pour le récupérer... Une fausse alerte donc!
http://www.midilibre.fr/2013/05/21/montpellier-fausse-alerte-a-la-bombe-dans-l-ecusson,701032.php
Les démineurs et les pompiers sont intervenus sur place. Tous les accès au parking ont été fermés.
Finalement le paquet s'est avéré inoffensif car au moment où ils allaient le détruire, son propriétaire est arrivé pour le récupérer... Une fausse alerte donc!
http://www.midilibre.fr/2013/05/21/montpellier-fausse-alerte-a-la-bombe-dans-l-ecusson,701032.php
mardi 21 mai 2013
Saint-Gaudens : sauvée d'une eau à six degrés
Deux policiers du commissariat de Saint-Gaudens, en Haute-Garonne, ont bravé une eau à 6 degrés mardi après-midi pour sauver une femme de la noyade, parvenant après une longue lutte contre le courant à la tirer vivante d'un canal conduisant à une centrale électrique, a-t-on appris auprès des sauveteurs. Cette femme âgée d'une cinquantaine d'années a été immédiatement prise en charge par les pompiers et le SAMU, puis hospitalisée. En état d'hypothermie, elle se trouvait toutefois mardi soir dans un état jugé préoccupant. C'est un pêcheur qui a donné l'alerte vers 15 heures, en voyant une femme coincée par le courant contre les grilles de la centrale électrique de Labarthe-Rivière à quelques kilomètres de Saint-Gaudens.
Les policiers ont constaté en arrivant sur place que la victime vivait encore, et ont alors décidé de plonger. "Je n'ai pas hésité, confie l'un d'eux: j'ai sauté instinctivement". L'eau était à 6 degrés et le débit atteignait plus de 90m3/seconde. " Nous étions aspirés sur les grilles. Nous nous sommes vraiment demandés si nous allions nous en sortir", poursuit-il. Il a fallu 25 minutes d'efforts aux deux hommes, aidés par des agents EDF, pour sortir la femme de l'eau.
Une enquête a été ouverte pour comprendre les raisons de sa présence dans l'eau.
Une enquête a été ouverte pour comprendre les raisons de sa présence dans l'eau.
Charente-Maritime : jugé pour avoir maltraité un enfant resté handicapé
Un homme comparaît mercredi et jeudi à la cour d’assises à Saintes pour avoir violenté la fille de son ex-compagne alors âgée de moins de deux ans
La petite Clara, née le 24 octobre 2007 à Saintes, est aujourd’hui confiée au service d’aide sociale à l’enfance de la Charente. Elle souffre des séquelles de maltraitance du type « bébé secoué. » Des lésions cérébrales empêchent son développement normal. Hyperactivité, troubles de la concentration et de la mémorisation, difficulté d’acquisition du langage et gêne pour marcher perturbent son quotidien depuis cette triste nuit du 20 au 21 septembre 2009 à La Rochelle.
Des lésions sur tout le corps
Un homme de 33 ans, Ludovic, comparaît libre, mercredi et jeudi, à la cour d’assises de la Charente-Maritime, à Saintes, pour avoir violenté cette petite fille devant les yeux de sa mère, son ancienne compagne. Excédé par les pleurs et les cris de l’enfant, il a perdu le contrôle. Apparemment, ce n’était pas la première fois. Il est poursuivi du chef de violences habituelles sur mineure de 15 ans suivies d’une mutilation ou infirmité permanente.
La maman de Clara, elle, comparaît également libre pour non-dénonciation de mauvais traitements infligés sur une mineure de 15 ans. L’association Enfance et Partage s’est notamment portée partie civile dans cette affaire.
C’est l’hôpital de La Rochelle qui a signalé au procureur de la République, le 21 septembre 2009, l’admission vers 13 heures aux urgences pédiatriques de Clara, âgée de 23 mois. La petite victime présentait des lésions sur tout le corps sous la forme d’hématomes multiples ainsi que des lésions cérébrales nécessitant son transfert au CHU de Poitiers.
Sous contrôle judiciaire
La mère, entendue par les enquêteurs, a raconté alors cette terrible nuit passée chez son ex-concubin qui l’hébergeait depuis quelques jours avec sa fille issue d’une autre union. C’est vers 1 heure du matin, alors que Clara s’était réveillée en pleurant, que la situation a dégénéré. Pour la faire taire, Ludovic a avoué, lors de son audition, avoir plaqué sa main sur sa bouche, lui avoir donné plusieurs coups sur les cuisses, les jambes, les bras et les fesses et l’avoir mordu.
Il a aussi reconnu l’avoir secoué violemment à deux ou trois reprises d’avant en arrière, en la tenant sous les aisselles, les pieds dans le vide.
Le supplice a duré plusieurs heures, s’achevant vers 5 ou 6 heures avec des phases plus calmes. Jusqu’à son admission aux urgences, la petite Clara a fait trois malaises. Sa maman a certifié avoir tenté de s’interposer entre sa fille et son ancien compagnon. En vain. Ludovic l’aurait aussi empêché d’appeler les secours malgré l’état d’inconscience de l’enfant.
Finalement, c’est au bout du troisième malaise que la mère de Clara a pu téléphoner. Incarcéré du 23 septembre 2009 au 23 mai 2010, l’accusé a par la suite été placé sous contrôle judiciaire. Il s’avère que ces violences ne dataient pas seulement de la nuit des faits. Ludovic, pour expliquer son attitude, a indiqué qu’il n’arrivait pas à maîtriser ses pulsions.
Au moment de sa mise en examen, le 10 juin 2011, il a déclaré : « Je suis désolé pour elle et c’est à elle que je pense. » Elle, c’est Clara
http://www.sudouest.fr/2013/05/21/juge-pour-avoir-maltraite-un-enfant-reste-handicape-1059523-1733.php
La petite Clara, née le 24 octobre 2007 à Saintes, est aujourd’hui confiée au service d’aide sociale à l’enfance de la Charente. Elle souffre des séquelles de maltraitance du type « bébé secoué. » Des lésions cérébrales empêchent son développement normal. Hyperactivité, troubles de la concentration et de la mémorisation, difficulté d’acquisition du langage et gêne pour marcher perturbent son quotidien depuis cette triste nuit du 20 au 21 septembre 2009 à La Rochelle.
Des lésions sur tout le corps
Un homme de 33 ans, Ludovic, comparaît libre, mercredi et jeudi, à la cour d’assises de la Charente-Maritime, à Saintes, pour avoir violenté cette petite fille devant les yeux de sa mère, son ancienne compagne. Excédé par les pleurs et les cris de l’enfant, il a perdu le contrôle. Apparemment, ce n’était pas la première fois. Il est poursuivi du chef de violences habituelles sur mineure de 15 ans suivies d’une mutilation ou infirmité permanente.
La maman de Clara, elle, comparaît également libre pour non-dénonciation de mauvais traitements infligés sur une mineure de 15 ans. L’association Enfance et Partage s’est notamment portée partie civile dans cette affaire.
C’est l’hôpital de La Rochelle qui a signalé au procureur de la République, le 21 septembre 2009, l’admission vers 13 heures aux urgences pédiatriques de Clara, âgée de 23 mois. La petite victime présentait des lésions sur tout le corps sous la forme d’hématomes multiples ainsi que des lésions cérébrales nécessitant son transfert au CHU de Poitiers.
Sous contrôle judiciaire
La mère, entendue par les enquêteurs, a raconté alors cette terrible nuit passée chez son ex-concubin qui l’hébergeait depuis quelques jours avec sa fille issue d’une autre union. C’est vers 1 heure du matin, alors que Clara s’était réveillée en pleurant, que la situation a dégénéré. Pour la faire taire, Ludovic a avoué, lors de son audition, avoir plaqué sa main sur sa bouche, lui avoir donné plusieurs coups sur les cuisses, les jambes, les bras et les fesses et l’avoir mordu.
Il a aussi reconnu l’avoir secoué violemment à deux ou trois reprises d’avant en arrière, en la tenant sous les aisselles, les pieds dans le vide.
Le supplice a duré plusieurs heures, s’achevant vers 5 ou 6 heures avec des phases plus calmes. Jusqu’à son admission aux urgences, la petite Clara a fait trois malaises. Sa maman a certifié avoir tenté de s’interposer entre sa fille et son ancien compagnon. En vain. Ludovic l’aurait aussi empêché d’appeler les secours malgré l’état d’inconscience de l’enfant.
Finalement, c’est au bout du troisième malaise que la mère de Clara a pu téléphoner. Incarcéré du 23 septembre 2009 au 23 mai 2010, l’accusé a par la suite été placé sous contrôle judiciaire. Il s’avère que ces violences ne dataient pas seulement de la nuit des faits. Ludovic, pour expliquer son attitude, a indiqué qu’il n’arrivait pas à maîtriser ses pulsions.
Au moment de sa mise en examen, le 10 juin 2011, il a déclaré : « Je suis désolé pour elle et c’est à elle que je pense. » Elle, c’est Clara
http://www.sudouest.fr/2013/05/21/juge-pour-avoir-maltraite-un-enfant-reste-handicape-1059523-1733.php
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