dimanche 31 mars 2013

Messe de Pâques: vingt-quatre personnes intoxiquées au monoxyde de carbone

Les malaises sont survenus à l’issue de la cérémonie. Une soixantaine de personnes ont pu être vues par un médecin. Vingt-quatre ont été hospitalisées à Besançon, Lons ou Dole. Un dysfonctionnement du chauffage serait à l’origine de l'intoxication au monoxyde de carbone (CO).

Les pompiers sont intervenus peu avant midi pour des intoxications au monoxyde de carbone (CO). Un dysfonctionnement du chauffage serait à l’origine de cet incident. Au moment des faits, 140 personnes étaients présentes dans l’église.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/03/31/messe-de-paques-vingt-deux-personnes-intoxiquees-au-monoxyde-de-carbone

Matelas ensanglanté et dents sur une aire d'autoroute : le mystère levé

L'"énigme" autour de la macabre découverte sur une aire de l'autoroute A7 dans la Drôme est résolue. Ce sont les "restes" d'un homme qui s'était suicidé à Bagnolet et qui ont été abandonnés là par une entreprise de désinfection, plutôt que de l'incinérer. Les auteurs risquent des poursuites.
Deux dents, dont un bridge argenté, un fragment d'os et des vêtements avaient été retrouvés vendredi au côté d'un matelas ensanglanté sur l'aire de la Coucourde, sur l'autoroute A7 à Montélimar, dans la Drôme. Les gendarmes avaient aussi mis la main sur des morceaux de papier essuie-tout et un oreiller, eux aussi maculés de sang. L'"énigme" autour de cette macabre découverte a été résolue dimanche, ces "restes" ayant été abandonnés par une entreprise de désinfection après le suicide d'un homme à Bagnolet, en Seine-Saint-Denis, a annoncé à l'AFP le parquet de Valence.

"C'est bien du sang humain. Il s'avère qu'une entreprise du Vaucluse, chargée par une famille de nettoyer un loft à Bagnolet, à la suite du suicide d'un homme, a abandonné ces effets sur l'aire de Montélimar", a expliqué à l'AFP le procureur de La République à Valence, Antoine Paganelli. C'est en descendant en camion de la région parisienne pour le Sud que cette entreprise de nettoiement-désinfection s'était débarrassée de ces restes qui auraient dû être incinérés, a-t-il ajouté. Les auteurs du méfait se sont ensuite faits connaître des autorités lorsqu'ils ont vu durant le week-end sur un bandeau de chaîne d'information la mention matelas ensanglanté. Ils encourent des poursuites.
 

Braquage de Plan-de-Campagne : "J'ai perdu mon fils au milieu de l'attaque"

Des mères de famille terrorisées, des enfants en pleurs, des salariés choqués, des chariots abandonnés dans les rayons, des cris d'effroi et des coups de feu effrayants...
En quelques secondes, le Géant Casino de Plan-de-Campagne a pris des allures de camp retranché, hier soir, aux environs de 19 h 30. Des braqueurs, venus dévaliser la Boutique Or située à l'intérieur du magasin qui ferme habituellement à 21 h, n'ont pas hésité à utiliser leurs armes et à tirer en l'air, au moins quatre fois, pour couvrir leur fuite, dans la foule des clients de ce week-end pascal.
Selon les premiers témoignages, plusieurs individus, vraisemblablement deux, auraient fait irruption dans le magasin, casqués et armés. Ils se seraient immédiatement dirigés vers les vitrines contenant des bijoux.
Le magasin était en grève, un service minimum était assuré
"Mais aujourd'hui, il y avait une grève dans le magasin. On était en service minimum en raison de ce mouvement social jusqu'à 18 h, du coup il n'y avait pas grand-chose à prendre comme bijoux", expliquait un employé du magasin, sous le choc. Les braqueurs seraient ensuite repartis en scooter. L'engin, apprenait-on hier sur place, semblait avoir été stationné près d'une issue de secours, pour faciliter la fuite des malfaiteurs. "C'était très impressionnant, on a eu très peur. Les clients se sont couchés par terre, des enfants hurlaient", confiait une autre salariée de l'enseigne Casino.
Une cellule psychologique sera ouverte, dès lundi, pour le personnel qui souhaiterait évoquer cette attaque violente. "Se mettre à tirer comme ça, c'est de pire en pire. On se demande jusqu'où ils vont aller..." Hier soir, en tout cas, et avant même tout soutien psychologique, c'étaient les employés eux-mêmes qui, à grand renfort d'accolades et de mots de réconfort, s'épaulaient les uns les autres à la sortie de la galerie marchande. Où des responsables venaient s'enquérir de l'état de santé de ses employés.
Choquées, certaines personnes ont été conduites à l'Hôpital Nord
Les sapeurs-pompiers des Pennes-Mirabeau, de Septèmes-les-Vallons et de Gardanne, avec le chef de colonne venu de la caserne de Vitrolles, se sont déplacés pour prendre en charge quatre personnes. Des femmes, âgées de 28 à 60 ans, présentant des douleurs au dos. Certaines, choquées, ont été conduites à l'Hôpital Nord, à Marseille, pour y subir des examens. Fort heureusement, personne n'a été blessé.
Les policiers de la sécurité publique, puis de la BRB, brigade de répression du banditisme, de la PJ de Marseille, se sont rendus sur place. La PJ a été chargée de mener les investigations. "Ils ont gelé les lieux, le magasin et la galerie ont été évacués".
Selon nos informations, quatre personnes ont été interpellées à proximité de la grande surface et placées en garde à vue. Hier soir, la police cherchait toutefois à déterminer si elles avaient un lien avec ces faits de vol avec arme.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2288859/braquage-de-plan-de-campagne-jai-perdu-mon-fils-au-milieu-de-lattaque.html

Roquecor. Un sexagénaire met en fuite l'homme qui lui a tiré dessus

C'est un rocambolesque fait divers qui s'est produit vendredi tard dans la soirée à Roquecor. Il était 22 h 30 passé lorsqu'une personne sonne à la porte d'une maison située un peu à l'écart du village et occupée par un couple de sexagénaires. Sous couvert d'anonymat, le mari a accepté de témoigner de la suite des événements. «Après m'être interrogé si je devais ouvrir ou non, en raison des nombreux cambriolages qui ont lieu actuellement, j'ai fini par crier «Qui est là ?» pour avoir une réponse.» Elle ne vient pas et notre homme finit par se dire que cela peut-être quelqu'un en panne ou qui a besoin d'aide.

Le braqueur demande la carte bleue et qu'on l'accompagne en voiture

Il ouvre donc sa porte. «Mon agresseur est rentré violemment et m'a bousculé, ce qui m'a occasionné une petite blessure au visage.» Cagoulé et tout de noir vêtu, l'homme est armé. «C'était un pistolet mais je ne m'y connais pas assez pour vous dire de quel calibre», précise l'agressé qui n'est, toutefois, pas homme à se laisser faire. «Très vite, il m'a demandé de l'argent, mais je me suis débattu et nous avons eu une première altercation.» N'ayant à sa disposition que très peu de numéraire, le couple de sexagénaire tend quelques billets, moins de cent euros, sous la pression d'une arme dont l'homme à la cagoule se serait servi une première fois.

«Cela devait être une balle à blanc»

«Cela devait être une balle à blanc parce que les gendarmes n'ont pas retrouvé de trace d'impact», précise notre interlocuteur. Les quelques dizaines d'euros qui sont proposés à son agresseur ne semblent pas le satisfaire. «Nous avons eu une autre algarade lorsqu'il m'a demandé ma carte bleue et qu'on prenne notre véhicule pour qu'on l'accompagne afin de retirer de l'argent, ce que j'ai refusé. Il a alors tiré une seconde fois. Est-ce que son arme n'était pas rechargée, s'était-elle enrayée ? Il ne m'a pas semblé que le second coup soit parti.» Le vol à main armée ne se déroulant pas à la vitesse qu'il souhaitait et ses cibles montrant un peu trop de résistance, le braqueur décide alors de prendre la poudre d'escampette. «Il s'est enfui à pied, en courant très vite, avec mes rhumatismes je ne risquais pas de le rattraper…»

Un portrait-robot établi hier après-midi par la BR de Castelsarrasin

Le sexagénaire a-t-il eu le temps de reconnaître son agresseur, qu'il décrit comme étant «âgé d'une vingtaine d'années, à peu près de la même corpulence que la mienne sinon je n'aurai pas résisté» ? Ce n'est pas certain, mais il aurait pu voir son visage, en arrachant par exemple sa cagoule ? «Je n'ai vu que ses yeux», nous a assuré hier en début d'après-midi ce citoyen de Roquecor, toutefois assez courageux pour prendre dans la foulée son véhicule et faire le tour du village afin de retrouver son agresseur. Toujours est-il que le sexagénaire souhaitait sans doute conserver quelques détails précieux pour les gendarmes. Il avait ainsi rendez-vous, hier après-midi, avec les enquêteurs de la brigade de recherches de Castelsarrasin pour essayer d'établir un portrait-robot du braqueur…
Du côté des gendarmes, dès qu'ils ont été avertis, vendredi soir, les hommes de la brigade de Montaigu-de-Quercy sont intervenus à Roquecor. Ils n'auraient pu, toutefois, bénéficier de l'appui d'une équipe cynophile de Cahors, en raison des fortes précipitations, pour les aider dans leurs recherches. L'enquête suivait donc son cours, hier, et l'hypothèse d'une piste locale semblait la plus plausible. Quant au sexagénaire agressé, il a conservé une morale de cette histoire qu'il souhaite désormais partager avec le plus grand nombre : «Quand on frappe à votre porte en pleine nuit et qu'on ne répond pas, n'ouvrez pas !»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/31/1595449-roquecor-sexagenaire-met-fuite-homme-tire-dessus.html

Drame de Nissan : le meurtrier présumé toujours en garde à vue

L'homme qui a tiré sur sa mère, vendredi dans les rues de Nissan-lès-Ensérune, ne nie pas les faits. Il a même confirmé qu'un différend financier l'a rendu fou.
Le Nissanais, âgé de 39 ans, suspecté du meurtre de sa mère âgée de 59 ans, ce vendredi vers 12 h30 à Nissan-Lez-Ensérune, est toujours en garde à vue à la gendarmerie de Capestang. "Il sera présenté demain (dimanche), en milieu de matinée, devant le juge de la détention et des libertés en vue de sa mise en examen pour être placé en détention provisoire. Nous allons ouvrir une information judiciaire", a confirmé le vice-procureur de la République, de Béziers, Henri Bec.
Le motif de se drame est aussi confirmé. Le mis en cause a expliqué aux gendarmes qu'il y a plusieurs années, lors d'un partage de terres agricoles, il avait acheté à sa mère 4 hectares de vignes qu'il devait payer en plusieurs fois. "Il a versé la somme convenue la première année, puis plus rien", confirme encore le procureur Bec."Comme cela durait depuis plusieurs années, la mère a lancé une procédure judiciaire à l'encontre de son fils et, vendredi, c'est confirmé il a bien reçu une lettre d'un huissier qui l'a fait complètement disjoncter."

De nouvelles expertises
En ce qui concerne le déroulement des faits, il y aurait une difficulté dans la succession des tirs. C'est la raison pour laquelle des gendarmes techniciens en investigation criminelle, un médecin légiste et un expert balistique se sont rendus sur place afin de déterminer avec exactitude l'enchainement des tirs. "Certains impacts sur les murs et au sol sont curieux et les témoins, annoncent de 1 à 4 tirs. Il faut tout vérifier", ajoute Henri Bec.
Il faut savoir que le suspect s'est servi d'un fusil de chasse à canons superposés, donc à deux coups. Si comme certains témoins l'affirment, il y a eu quatre coups de feu, il va falloir avoir de nouvelles explications pour comprendre comment il a rechargé l'arme alors que son ami, présent sur place, faisait tout pour l'empêcher de commettre l'irréparable. "Le suspect collabore pleinement avec les enquêteurs. Il a expliqué que quand il a reçu la lettre, il était devenu comme fou. Quand il a aperçu sa mère en ville, il ne l'a plus vu que comme un cible et ne se souvient d'absolument de rien en ce qui concerne les tirs."
Les témoins entendus ce samedi
Les deux victimes blessées qui étaient à l'hôpital seront entendues ce samedi après-midi. L'une d'elle sortira après de l'hôpital. L'homme a été opéré et devrait sortir lundi au plus tard. Ils ne sont tous les deux que blessés aux jambes et de manière légère.
En ce qui concerne le jeune garçon de 10 ans, il devrait être lui aussi auditionné en fin de journée pour savoir ce qu'il avait exactement vu.


http://www.midilibre.fr/2013/03/30/drame-de-nissan-le-meurtrier-presume-toujours-en-garde-a-vue,669393.php

Les cambrioleurs aimaient le grand luxe

Les gendarmes de la section de recherches (SR) d’Agen ont mené une opération d’envergure avec les enquêteurs des groupes d’intervention régionaux (GIR) d’Aquitaine et Midi-Pyrénées. Lundi, pas moins de 200 militaires ont été mobilisés pour procéder à l’interpellation de 32 personnes soupçonnées d’avoir participé à des cambriolages de maisons cossues. Les voleurs ciblaient des résidences après avoir effectué plusieurs repérages. Leur rayon d’action s’étendait sur huit départements : Lot-et-Garonne, Gironde, Landes, Pyrénées-Atlantiques, Gers, Haute-Garonne, Lot et Tarn-et-Garonne.
Hier, neuf des principaux protagonistes, âgés d’une cinquantaine d’années, ont été mis en examen pour vol et recel en bande organisée, blanchiment aggravé, non-justification de ressources et association de malfaiteurs. Ils encourent vingt ans de réclusion criminelle.

Tous sont parfaitement insérés dans la vie de leur commune et ne sont pas connus de la justice.
Le parquet a néanmoins requis huit placements en détention provisoire, cinq suspects ont été écroués.
La nuit et les week-ends
L’affaire a vu le jour au printemps 2011 dans la région d’Agen. Face à la recrudescence inquiétante de cambriolages, les gendarmes de la Section de recherches ont très vite compris qu’ils se trouvaient face à des malfaiteurs chevronnés, ne laissant aucune trace sur leur passage. Les enquêteurs ont rapidement découvert qu’il s’agissait d’une équipe mobile disposant de relais. « Ils avaient un réseau relationnel très efficace », concède Géraldine Bouzard, vice-procureur à la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Bordeaux.
Les gendarmes y ont donc mis les moyens et créé une cellule d’enquête composée de fins limiers de l’investigation. « C’est un commando judiciaire », n’hésite pas à dire le lieutenant-colonel Pierre-Étienne Chapotard, commandant la SR d’Agen. « Nous avons traqué cette bande pendant de longs mois. »
Les gendarmes ont dû faire preuve de patience car les malfaiteurs agissaient dans la plus grande discrétion, le plus souvent la nuit et les week-ends, en l’absence des propriétaires des lieux. « Il n’y a jamais eu de violence », précise l’officier. Les voleurs neutralisaient les systèmes d’alarme si nécessaire et s’introduisaient ensuite par effraction pour faire main basse sur des objets de valeur susceptibles d’être écoulés facilement sur un marché parallèle. En perquisition, les enquêteurs ont découvert des vêtements et des stylos de marque, des bijoux, de la maroquinerie de luxe, des bouteilles de grands crus, une tapisserie, des œuvres d’art et autres pièces de monnaie de collection. « À chaque fois, le butin représentait plusieurs dizaines de milliers d’euros », précise Géraldine Bouzard.
Véhicules et argent saisis
Avant de passer à l’action, les cambrioleurs récupéraient donc des renseignements auprès de certaines de leurs connaissances rencontrées dans le milieu sportif, notamment dans des salles de boxe. Disposant, grâce à ces « rabatteurs », d’éléments suffisamment précis sur leurs victimes potentielles, ils passaient ensuite dans une phase d’observation pour s’attaquer aux demeures qui les intéressaient.
Sans profession pour la plupart et vivant d’allocations, ils profitaient largement de l’argent émanant du butin. Leur train de vie attirait d’ailleurs l’attention, mais cela ne semblait nullement les freiner dans leur activité nocturne.
D’ores et déjà, les gendarmes ont saisi leurs véhicules, des camping-cars et de puissantes berlines pour une valeur estimée à 200 000 euros. 30 000 euros en numéraires ont également été placés sous scellés et le GIR a effectué une saisie sur des comptes bancaires à hauteur de 82 000 euros.
Désormais, les gendarmes cherchent à identifier les victimes. Ils envisagent de créer un site Internet consacré à cette affaire.
L’enquête menée sur commission rogatoire du juge Jean-Michel Gentil n’est cependant pas terminée, et d’autres arrestations pourraient avoir lieu au cours des prochaines semaines.

http://www.sudouest.fr/2013/03/30/les-cambrioleurs-aimaient-le-grand-luxe-1010093-7.php

samedi 30 mars 2013

La tour Eiffel évacuée après un appel faisant craindre un attentat

Un appel téléphonique anonyme a provoqué l'évacuation du site parisien par mesure de précaution…
La Tour Eiffel a été évacuée ce samedi en fin de journée, a appris à 20 Minutes une source policière. Samedi soir, les services de sécurité étaient toujours en état d’alerte.
Selon les informations de 20 Minutes, c’est un appel téléphonique anonyme passé au 17 et faisant craindre un attentat qui a déclenché l’alerte puis, à la demande de la Société d’exploitation de la Tour Eiffel, l’évacuation du site, situé dans le 7e arrondissement de Paris.

Chiens policiers mobilisés

D'après le site de l'Express, l'attentat qui aurait été mentionné lors de l'appel anonyme était annoncé pour 21h30 ce samedi. Et selon les information du Parisien.fr, des équipes cynophiles ont été mobilisées pour fouiller le bâtiment historique à la recherche d'explosifs après qu'environ 1.500 visiteurs ont été évacués.

http://www.20minutes.fr/societe/1128777-20130330-tour-eiffel-evacuee-apres-alerte

Avalanche: décès d'une skieuse aux Arcs

Une skieuse russe de 41 ans est morte ce matin après avoir été emportée par une avalanche la veille sur une piste de la station de ski des Arcs (Savoie), a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

La skieuse a été emportée par une avalanche hier vers 16h20 alors qu'elle skiait avec sa fille, son mari et un moniteur, sur la piste rouge du Grand Renard. L'avalanche de 1,50 mètre de haut a coupé la piste sur 50 mètres de largeur. Engagées à 16h25, les recherches menées par les pisteurs-secouristes de la station ont permis de dégager la skieuse à 16h52, selon un communiqué de la station.

En arrêt cardio-respiratoire, la victime a été prise en charge par les secouristes, puis par un médecin de la station, et transportée par hélicoptère à l'hôpital de Grenoble à 18h30. Elle est décédée à l'hôpital ce matin. Une enquête menée par le peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) de Bourg-Saint-Maurice devra déterminer les circonstances précises de l'accident.

Selon Laurent Chelle, directeur général du domaine skiable des Arcs, "c'est un secteur qui avait fait l'objet d'un déclenchement préventif d'avalanche le matin même". Un tel événement "est extrêmement rare", a-t-il indiqué à l'AFP. "Notre métier est de faire en sorte que ça n'arrive jamais", a-t-il ajouté. Selon le PGHM, il avait neigé entre 3 et 5 cm de neige sur la station dans la journée.

Un expert nivologue interviendra dans le cadre de l'enquête. En outre, les gendarmes auditionneront toutes les personnes qui ont assisté à l'avalanche.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/30/97001-20130330FILWWW00388-avalanche-deces-d-une-skieuse-aux-arcs.php

Thil: un pêcheur plonge dans un étang avec sa voiture

Un pêcheur est tombé dans un étang avec sa voiture, ce samedi 30 mars à 10 heures sur la commune de Thil. Il s’agit d’un homme âgé de 72 ans, demeurant Lyon 3e. Il est dans un état jugé grave.
La voiture s’est retrouvée à 5 mètres de profondeur. Le conducteur pu être remonté à la surface par un pompier-plongeur et a retrouvé une activité cardiaque après un arrêt cardio-respiratoire. Evacué sur l’hôpital de la Croix-Rousse, le blessé a été admis dans un état grave, en service réanimation.

http://www.leprogres.fr/actualite/2013/03/30/thil-un-pecheur-plonge-dans-un-etang-avec-sa-voiture

Heurts à Montigny après un décès lors d'un arrestation : 5 personnes convoquées devant la justice

La ville de Montigny-en-Gohelle, dont un habitant est décédé jeudi lors de son interpellation, a été le théâtre d'échauffourées entre des résidents et la police. Les cinq jeunes hommes gardés à vue se sont vus délivrer vendredi soir et samedi matin des convocations devant le tribunal.
Les gardes à vue de cinq personnes, soupçonnées d'avoir participé aux heurts avec les forces de l'ordre jeudi à Montigny-en-Gohelle (Pas-de-Calais), après la mort d'un habitant tué par la police lors de son interpellation, ont été levées, selon le parquet de Béthune. Les cinq jeunes hommes gardés à vue se sont vus délivrer vendredi soir et samedi matin des convocations devant le tribunal pour dégradations, outrages, rébellions, violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, et, pour l'un d'entre eux, usage de stupéfiants. Les jeunes hommes, qui contestent l'intégralité des faits, ont été confrontés à des policiers, mais chacun est resté sur ses déclarations antérieures, selon le parquet de Béthune.
Des incidents entre riverains et forces de l'ordre avaient éclaté après la mort de Lahoucine Ait Omghar, 26 ans, soupçonné d'avoir commis jeudi matin une tentative d'extorsion dans un hôtel proche de Cambrai (Nord) et tué par balle lors de son interpellation alors qu'il tentait de s'en prendre à un policier avec une paire de ciseaux. Cinq balles auraient été tirées par les policiers présents lors de l'interpellation, mais une seule aurait causé un impact mortel, selon les premiers résultats d'autopsie et de balistique recueillis vendredi.
Le parquet de Béthune a ouvert samedi matin une information judiciaire pour tentative de vol avec arme, vol avec violences, tentative d'homicide volontaire sur les policiers et homicide volontaire, a-t-il déclaré à l'AFP. L'IGPN (Inspection générale de la police nationale), la "police des polices", avait quant à elle été saisie vendredi matin "pour effectuer une enquête parallèle sur les circonstances de l'intervention des services de police et ce qui a amené le déclenchement des tirs", selon le parquet. La famille du jeune homme tué, qui a réclamé "justice" lors d'une marche blanche vendredi, a contacté le cabinet de Me Eric Dupond-Moretti et souhaite se constituer partie civile, a indiqué par ailleurs le parquet de Béthune.
 

Avesnes-le-Sec: face-à-face mortel sur la D74

Ce vendredi peu avant midi, un conducteur de 22 ans a perdu la vie rue de Bouchain, sur la départementale 74 à Avesnes-le-Sec, non loin de Denain.
Pour une raison encore indéterminée, le conducteur de la Peugeot 206, originaire d’Hordain, a fait une embardée sur la gauche. Une fourgonnette roulant vers Lieu-Saint-Amand l’a percuté de face.
Le SAMU, arrivé rapidement sur les lieux, a tenté de réanimer le jeune homme, en vain. Le conducteur de la fourgonnette, originaire de Cambrai et âgé de 62 ans, a été transporté à l’hôpital de Denain. Il a été légèrement blessé.
Les pompiers de Denain, de Douchy-les-Mines et les gendarmes de Bouchain étaient sur place. L’enquête est en cours pour déterminer les circonstances de ce dramatique accident.

http://www.lavoixdunord.fr/region/avesnes-le-sec-face-a-face-mortel-sur-la-d74-ia15b36962n1135258

Les agresseurs sectionnent deux doigts à leur victime pour de l'argent

Un homme de 42 ans a vécu un véritable calvaire, jeudi, dans sa maison du Muretain puis dans un véhicule. Les circonstances de son agression restent floues mais cette victime a eu deux de ses doigts coupés.
Selon nos informations, l'homme, un artisan, a été pris à partie à son domicile jeudi, en début de matinée, route de Saint-Clar-de-Rivière, à Beaufort, près de Rieumes, par deux personnes qui en voulaient à son argent.
Les agresseurs auraient pénétré dans son domicile de Beaufort dans la matinée, aux alentours de 9 heures du matin. Armés, ils l'auraient menacé et tabassé tout en lui demandant de leur remettre de l'argent. Les voleurs n'ont pas eu gain de cause mais se sont acharnés sur leur victime. L'artisan de 42 ans a été traîné dans une voiture.
Ses agresseurs ont parcouru entre un et deux kilomètres entre le domicile et un endroit isolé dans la nature. La victime a été frappée dans le véhicule. Armés d'un sécateur, ses bourreaux lui ont sectionné deux doigts afin d'en venir à leurs fins. Ils ont proféré des menaces de morts à son encontre. L'homme a été ensuite abandonné dans une forêt, à l'écart, tandis que le véhicule était mis à feu. Déboussolée, la victime est finalement parvenue à rejoindre la route dans l'après-midi. Une personne qui passait par là l'a pris en charge. Il a été conduit, vers 17 h 30, à la clinique d'Occitanie de Muret afin d'y recevoir des soins.
Avertis, les gendarmes se sont immédiatement rendus sur les lieux. Les techniciens en investigations criminelles se sont attelés à relever le moindre indice sur les lieux de l'agression et de la mutilation.
Hier Soir, le procureur de la République, Michel Valet, a confirmé les faits. «Une enquête est en cours», a-t-il simplement expliqué.
La victime, sérieusement traumatisée, a été opérée. Elle n'a pas pu être entendue par les gendarmes de la section de recherches de Toulouse en charge de l'enquête. Agression crapuleuse, règlement de comptes… aucune piste n'était écartée hier.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/30/1594600-deux-doigts-coupes-pour-de-l-argent.html

Des sacs de chair sur une aire de l'A7

Un matelas ensanglanté et des sacs poubelles contenant de la chair ont été découverts aujourd'hui sur une aire de repos de l'A7 dans la Drôme, a annoncé le parquet de Valence, confirmant partiellement une information du Dauphiné Libéré.

Le procureur de La République à Valence, Antoine Paganelli, s'est toutefois refusé à confirmer qu'il s'agissait de chair humaine, comme le rapporte le quotidien. "Il faut être très prudent dans l'affirmation qu'il s'agit de chair humaine, il s'agit de sang c'est certain, et seul le laboratoire pourra dire si c'est du sang animal ou humain", a précisé le procureur.

Selon le quotidien régional, vendredi vers 17 heures, les agents des ASF (autoroutes du sud de la France) ont découvert sur l'aire de repos de La Coucourde (Drôme) sur l'autoroute A7, à proximité d'un conteneur à poubelles, un matelas maculé de sang et des sacs-poubelles: "Selon les premières investigations menées par les gendarmes, il s'agirait de matières humaines", selon le journal.

Le laboratoire de la police scientifique d'Ecully (Rhône) a été chargé des analyses, a précisé le procureur

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/29/97001-20130329FILWWW00725-des-sacs-de-chair-sur-une-aire-de-l-a7.php

Pays basque : quatre ans de prison ferme pour le transporteur de drogue

Cet entrepreneur en devenir, résidant d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a-t-il mal interprété le terme de « besoin de financement » ? C’est en tout cas ce qu’il a tenté de vendre hier, à l’audience correctionnelle, où il comparaissait. L’homme svelte à la chevelure rase et grisonnante a justifié son transport de 144,4 kilos de résine de cannabis… par la nécessité de financer sa petite entreprise de transport en devenir.
« Vous avez des dettes ? » a demandé le président. « Non, c’est pour créer mon entreprise », a répondu le prévenu. Effectivement un semi-professionnel du transport. Car le président n’a pas manqué de noter que le véhicule personnel de l’individu avait été utilisé pour plusieurs trajets, tous à destination de la frontière espagnole, Saint-Jean-de-Luz, ou le Perhtus. « Vous aimez les vacances sur la Méditerranée ? », a repris le magistrat. Non, non. Le prévenu n’aime pas les vacances, mais ses amis de la région parisienne, à qui il prête régulièrement son véhicule. Une confiance aveugle semble-t-il. À moins qu’il ne s’agisse de la peur du milieu d’Aulnay-sous-Bois, et de la nécessité de ne pas parler pour rester en bonne santé, selon Me Diallo, avocat du mis en cause.

Parking du Lidl à Hendaye
Pour ce transport de 144,4 kilos de résine de cannabis, le quadragénaire avait « dealé », une somme de 6 000 euros avec son commanditaire. Le transporteur de Seine-Saint-Denis a récupéré son chargement dans une Toyota stationnée sur le parking du supermarché Lidl à Hendaye, a-t-il indiqué, soutenant la version livrée lors de sa garde à vue, et échappant ainsi, lors du délibéré, à la partie « importation » de stupéfiants.
Il n’en demeure pas moins que l’entrepreneur en projet a été cueilli, par les douaniers, le 17 février à 20 h 30, dans la commune d’Urrugne en possession de l’importante quantité de stupéfiants que l’avocat de l’administration douanière a relevé, de même que de la qualité « hypertoxique » de la résine de cannabis « à 24 % de THC (1) ». Les chiens des douanes ont apprécié, en marquant l’arrêt devant le faux plancher aménagé dans le coffre.
Le passeur n’était pas seul dans son périple. Il était précédé par celui que Me Diallo a décrit comme le commanditaire du convoi, et qui est passé à travers les mailles du filet, non sans avoir communiqué par téléphone à son transporteur les divers contrôles douaniers sur sa route. L’homme au volant en a paniqué. Fait demi-tour. De quoi alerter les douaniers. Le transporteur a été condamné à quatre ans de prison ferme, 280 000 euros d’amende, confiscation des stupéfiants et du véhicule.
(1) Le Tétra-hydro-cannabinol est une molécule active du cannabis.

http://www.sudouest.fr/2013/03/29/trafiquant-createur-d-entreprise-1008689-4171.php

vendredi 29 mars 2013

Champagnole : un homme retrouvé mort en état de décomposition à son domicile

Les gendarmes et les pompiers de Champagnole ont réalisé une macabre découverte jeudi après-midi au domicile d’un homme de 65 ans.
Ce Champagnolais ne donnait plus de nouvelles depuis plusieurs semaines. Les secours ont retrouvé l’homme dans son lit. Le corps était dans un état de décomposition avancé. Le médecin a conclu à une mort naturelle.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/03/29/champagnole-un-homme-retrouve-mort-a-son-domicile-en-etat-de-decomposition

Assassinat sans cadavre : acquitté après avoir écopé de 25 ans de réclusion

La cour d’assises d’appel du Bas-Rhin a déclaré hier soir Laïd dit Pascal Khiri non coupable de complicité d’assassinat. Il avait été condamné en octobre 2011 à 25 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises du Haut-Rhin.
La cour d’assises d’appel du Bas-Rhin a déclaré hier soir Laïd dit Pascal Khiri non coupable de complicité d’assassinat. Condamné en octobre 2011 à 25 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises du Haut-Rhin pour avoir instigué l’assassinat de Didier Swidlikiewicz (DNA des 19 au 22/10/2011), Laïd « Pascal » Khiri était jugé en appel depuis lundi.
Laïd « Pascal » Khiri avait été accusé d’avoir commandité le meurtre, sur fond de rivalité amoureuse, de Didier Swidlikiewicz, disparu en septembre 2005. Seule sa voiture avait été retrouvée à Mulhouse dans le canal du Rhône-au-Rhin. Mais l’intéressé de 46 ans a toujours démenti toute implication. Représenté par Me Renaud Bettcher, il a été acquitté hier dans la soirée. L’avocat général avait requis une peine de vingt années de réclusion criminelle

http://www.dna.fr/faits-divers/2013/03/29/assassinat-sans-cadavre-acquitte

Marseille : la vie brisée de Kadiatou après la mort d'Ibrahima

Au printemps 2007, elle n'avait pas 20 ans la première fois qu'elle a vu la France. Jeune mariée et enceinte de trois mois, elle n'avait pas fait ce long voyage depuis la Guinée pour visiter Marseille.
De la cité phocéenne, elle n'a guère vu plus que le cabinet d'un avocat et la morgue de l'institut médico-légal, où était gardé ce qu'il restait du cadavre supplicié de son jeune époux, Ibrahima Sylla. "Je n'ai pas voulu le voir. Je voulais garder dans ma tête son image intacte", raconte Kadiatou, assise sagement dans l'appartement de son "tuteur", Cheik Doukouré, président de l'association "Programme pour l'aide du développement en Guinée". Depuis la macabre découverte en bordure de route, à deux pas du campus de Luminy, six ans ont passé. Mais ni la douleur, ni le chagrin n'ont disparu. Pis, depuis, Kadiatou a dû fuir la Guinée, son pays d'origine. "Pour protéger ma fille", assure-t-elle la gorge nouée.
Des relations conflictuelles avec la famille d'Ibrahima
À son retour en Guinée, après le meurtre de son jeune mari, Kadiatou affirme avoir été répudiée par sa belle-famille. "Ils disaient que je portais malheur. Ils ont même refusé que je donne le sein à ma fille, raconte-t-elle. Je me suis retrouvée seule. Abandonnée."
Jusqu'ici, c'était Ibrahima qui lui payait ses études. "J'étais au lycée, lorsque l'on s'est rencontrés", précise-t-elle. Elle avait 15 ans. Lui, quelques années de plus. Après leurs fiançailles, Ibrahima s'est envolé pour Marseille afin de poursuivre ses études supérieures en mathématiques appliquées. Le soir, il faisait la plonge dans un restaurant de Borély pour subvenir aux besoins de sa future femme et de sa famille, restées en Guinée. "Il est revenu pour le mariage, puis, il est reparti... poursuit la jeune femme. Je ne l'ai jamais revu."
"Madame Sylla ? On a assassiné votre mari"
Elle apprendra sa mort par un simple coup de fil. Un matin d'avril, le 1er, à l'aube. "Je partais en cours. Mon téléphone a sonné. C'était un de ses collègues du restaurant. Il m'a dit : 'Madame Sylla ? On a assassiné votre mari.'" Tout s'enchaîne alors dans un brouillard épais.
Kadiatou, enceinte de trois mois, vient en France avec sa belle-famille pour rapatrier le cadavre de son époux et retourne au pays, désormais livrée à elle-même. "J'ai dû arrêter mes études et faire des photocopies pour vivre et nourrir ma fille. J'attendais les résultats de l'enquête. Je me disais qu'en France, on allait rapidement trouver qui avait tué mon mari." Mais cinq ans plus tard, elle apprend, presque par hasard, que l'enquête est close. Le juge d'instruction a rendu un non-lieu. Aucun élément probant n'est venu livrer la moindre piste plausible aux enquêteurs de la brigade criminelle.
Un nouveau combat : la garde de sa fille
Au-delà de cette nouvelle désillusion, Kadiatou doit livrer un autre combat, avec sa belle-famille, pour conserver la garde de sa fille. "Pour tenter d'apaiser la situation, un chef de quartier a décidé d'un arrangement "social". La petite irait dans la famille de son père quand elle aurait 7 ans", explique Cheik Doukouré. "C'est la tradition lorsque le couple se sépare, mais moi, j'ai perdu mon mari. Il a été tué", s'indigne Kadiatou. Prise en charge par sa propre famille, Kadiatou a dû également fuir une coutume ancestrale. "Mes propres tantes ont voulu exciser ma fille. Je connais trop les conséquences dramatiques de l'excision. Je refuse que ma fille le soit", lâche-t-elle en éclatant en sanglots.
"Seule" et "dans l'impasse", Kadiatou s'est donc réfugiée en France avec sa fille. À quelques kilomètres des lieux où son mari a été massacré de 31 coups de couteau. Mais "ici", elle espère avoir "une vie meilleure". "Personne ne connaît son histoire. Mais il est vrai que nous sommes un peu comme une aiguille dans l'océan (sic)", s'excuse presque Cheik Doukouré.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2285214/marseille-la-vie-brisee-de-kadiatou-apres-la-mort-dibrahima.html

Maine-et-Loire : un corps de femme dans le coffre d'une voiture calcinée

Le cadavre a été retrouvé jeudi en début de soirée dans le coffre d'une voiture calcinée dans le nord-ouest du Maine-et-Loire. Il pourrait s'agir de celui d'une femme qui avait disparu depuis deux semaines d'une commune située à 15 km de là.
Depuis le 16 mars, Anne Barbot n'avait pas donné signe de vie. C'est peut-être son corps qui a été retrouvé jeudi soir dans le coffre d'une voiture brûlée. Les vérifications étaient en cours vendredi matin pour s'en assurer mais le véhicule pourrait être, selon certaines sources policières, celui de cette femme de 38 ans disparue de la commune de Vritz, située à 15 km du lieu de la découverte macabre à Saint-Michel et Chanveaux.
"Je peux vous confirmer qu'on a retrouvé une voiture totalement calcinée avec un corps dans le coffre", a déclaré vendredi le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. Les caractéristiques de la voiture étaient en cours de vérification pour confirmer qu'il s'agissait de celle de la disparue, une 306 verte foncée, a-t-il ajouté.
La dernière fois qu'Anne Barbot avait été aperçue, c'est lorsqu'elle avait quitté son domicile le 16 mars au matin pour rejoindre son emploi dans une grande surface à Candé. Depuis, plus de nouvelle. D'intenses recherches menées par les gendarmes qui n'écartaient pas l'hypothèse du suicide n'avaient pas permis d'élucider sa disparition. Une enquête pour disparition inquiétante avait été ouverte mardi pour recueillir des témoignages. Un chéquier au nom de la disparue avait été retrouvé non loin de Candé mercredi mais la procureure de Nantes Brigitte Lamy, interrogée jeudi à ce sujet, avait souligné que cela ne permettait pas d'en tirer des conclusions sur les causes de la disparition de Brigitte Barbot.
 

Les cambrioleurs de Cruviers, tombés dans le Gardon, ont été condamnés

Le 18 mars dernier, ils avaient failli se noyer après leur forfait. Heureusement, un agent de la mairie passait par là...
Le 18 mars dernier, leur épopée a failli tourner au drame. Mis en fuite par le déclenchement d’une alarme dans une maison de Cruviers-Lascours qu’ils sont en train de cambrioler, Fethi et Soufiane se jettent dans le Gardon. Ils doivent leur salut à l’intervention d’un employé municipal, qui saute à l’eau, et d’un groupe de pompiers spécialisés qui, coïncidence, sont en entraînement dans le Gardon. Fethi, passera 45 minutes dans la rivière et, en état d’hypothermie, devra être hospitalisé.
Connus de la police

Jeudi, ils comparaissaient pour ces cambriolages devant le tribunal d’Alès, accompagné d’un troisième garçon Yoni. Ce dernier, originaire de Meynes, âgé de 19 ans, n’est pas connu de la justice, contrairement aux deux autres, qui sont Nîmois et récidivistes. C’est toutefois dans la voiture de Yoni, ou plutôt celle de son père, que la bande s’est déplacée. Elle comporte un quatrième homme, qui n’a pas été interpellé par les gendarmes, et à qui les protagonistes font porter le chapeau. C’est de ce quatrième que serait partie l’idée de cette virée vers Alès "pour acheter du shit" affirment les trois. Ce qui étonne le substitut du procureur Pierre Cramier : "À Nîmes, il suffit de se baisser pour en ramasser..."
Trois tentatives de cambriolages
Une virée qui passe donc par Cruviers-Lascours pour une première tentative de cambriolage. Il y en aura trois, dont un cambriolage effectif : au bord de la rivière, on retrouve une pochette avec des bijoux volés dans l’une des maisons. Sur Fethi, on trouve de l’argent. Plusieurs témoins ont vu les fugitifs, ou la voiture de Yoni. Chacun des trois essaye de minorer son rôle. Yoni affirme qu’il dormait dans la voiture. Quant à Soufiane, âgé de 28 ans, père de famille, et présentant une promesse d’embauche au 1er juin, il tente également de se dédouaner. "Vous n’étiez pas au milieu de nulle part, si vous souhaitiez vous démarquer, vous le pouviez", relève la présidente Jennifer Jouhier.
"Rangé, besoin d'air"
L’avocate de Soufiane, Me Delran, le décrit comme "rangé" et tente l’explication d’un "besoin d’air, il s’occupe beaucoup de ses enfants, il a saturé et s’est laissé embarqué". Plus dure est la tâche de Me Vialette, qui défend Fethi, et plaide l’immaturité.
Le Nîmois de 25 ans écope de 30 mois d’emprisonnement avec mandat de dépôt. Soufiane est condamné à deux ans, dont un an avec sursis et mise à l’épreuve, mais sans mandat de dépôt. Quant à Yoni, il a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour complicité de tentative de vol.

http://www.midilibre.fr/2013/03/28/les-cambrioleurs-de-cruviers-condamnes,668309.php

Deux-Sèvres : le sonar élucide la disparition de 1985

Avec leur sonar à balayage latéral, un bijou de technologie pour les investigations subaquatiques, les gendarmes de la brigade nautique de La Rochelle viennent de faire sensation à la Sotterie, lieu-dit posé sur le bord de la Sèvre Niortaise, entre Coulon et Irleau. Là, comme l’écrit le « Courrier de l’Ouest » dans son édition de mercredi, les gendarmes, en repérant au fond du cours d’eau une Renault 5 envasée, avec à son bord un squelette, ont contribué à élucider une disparition vieille de bientôt vingt-huit ans.
Jean-Pierre Bertrand, un père de famille domicilié à Chantonnay (Vendée), avait disparu le 31 mai 1985. L’enquête de gendarmerie avait fait chou blanc. L’épouse du disparu décédait. Les trois enfants du couple restaient avec ce terrible mystère d’un père parti pour des raisons mystérieuses.

Des os remontés un à un
Si des analyses ADN doivent encore attester que les os, soigneusement remontés un à un à la surface par les plongeurs, sont bien ceux de Jean-Pierre Bertrand, les documents retrouvés dans la voiture, hissée hors de l’eau avec délicatesse mardi dernier, vont dans ce sens. « Ce n’est pas cette voiture que nous recherchions, explique le capitaine Jean-Claude Siron, adjoint au commandant de la compagnie de gendarmerie de Niort, mais le véhicule d’une personne disparue récemment (1). Pour ce faire, nous avions donc fait appel à la brigade nautique de La Rochelle. »
Le major Frédéric Taymont, commandant de cette brigade, souligne aussi que, dès la découverte de la R 5, « ont été menées toutes les expertises sous-marines avant d’entrer dans le véhicule dont la plaque nous avait permis d’identifier le propriétaire. »
Il s’agissait de préserver tous les éléments susceptibles d’alimenter et de préserver une vieille enquête afin de déterminer dans quelles circonstances l’automobiliste a trouvé la mort. À ce titre, un technicien en identification criminelle de Niort a examiné le squelette. Il n’y avait pas d’élément suspect. L’enquête privilégie l’hypothèse du suicide ou celle de l’accident de circulation.
(1) Magalie Bertaud, Niortaise âgée de 45 ans, avait été retrouvée morte en bord de Sèvre, à Arçais, le 12 mars dernier.

http://www.sudouest.fr/2013/03/28/le-sonar-elucide-la-disparition-de-1985-1007680-3.php

jeudi 28 mars 2013

Une automobiliste décède dans un choc frontal

L'accident s'est produit ce matin sur la RN44, vers 10h30. Une voiture et un camion sont entrés en collision. L'automobiliste au volant de la citadine est décédée.
Ce matin à 10h30, une automobiliste qui circulait sur la RN44 en direction de Vitry-le-François et un poids-lourd arrivant en sens inverse sont entrés en collision.
Le choc s'est produit au sommet de la côte de Gravelines, sur le territoire de la commune de Couvrot.
La conductrice de la voiture, prise en charge par les pompiers de Vitry-le-François et le SMUR, est décédée peu après 13 heures malgré les soins apportés sur place. Elle était sur la point d'être transportée par hélicoptère vers un centre hospitalier de la région.
L'accident a occasionné des bouchons sur cet axe important du département qui relie Châlons-en-Champagne à Vitry-le-François. La circulation a repris normalement vers 13h15.
Second accident sur la RN 44 en 2013
C'est le quatrième accident mortel dans la Marne depuis le début de l'année 2013 et déjà le second sur cet axe.
Le 22 janvier, une jeune femme de 28 ans a trouvé la mort sur la RN44 à hauteur de La Veuve. Le choc entre sa voiture, une Peugeot 207 et un Toyota Land Cruiser, a été très violent, tuant l'automobiliste.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/une-automobiliste-decede-dans-un-choc-frontal

Un homme recherché tué par la police

Un homme a été tué par un policier aujourd'hui en fin de matinée lors de son interpellation à Montigny-en-Gohelle (Pas-de-Calais) après une tentative d'extorsion, et un policier a été blessé.

L'homme était recherché par la police après avoir tenté d'extorquer de l'argent à la gérante d'un hôtel de Fontaine-Notre-Dame, près de Cambrai (Nord), où il avait passé la nuit. Il avait ensuite pris la fuite en voiture.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/28/97001-20130328FILWWW00538-un-homme-recherche-tue-par-la-police.php

Un mort dans un crash d’ULM en Bourgogne

Les secours sont intervenus hier sur l’aérodrome de Meilly-sur-Rouvres pour un accident d’ULM qui s’était produit dans l’après-midi. Vers 16 h 30, un témoin qui passait à proximité du site a aperçu un engin en très mauvaise posture ; un ULM de type Apollo Fox, dont l’avant était enfoncé dans le sol. Il a alerté les secours qui n’ont malheureusement pu que constater la mort du pilote, à leur arrivée sur les lieux.
La victime, Alain Masson, un habitant de Sombernon âgé de 66 ans, était décédée sur le coup. L’homme n’était pas affilié au club local, mais les enquêteurs ont retrouvé son véhicule et sa remorque sur un parking situé à proximité des lieux du drame.
Le crash s’étant déroulé sans témoin direct, l’heure de l’accident est pour le moment estimée entre 14 h et 16 h. On ignore encore les circonstances exactes du drame, mais les premiers éléments laissent à penser que l’ULM avait déjà quitté sa trajectoire lorsqu’il s’est écrasé au sol.
Atterrissage d’urgence, erreur de pilotage, malaise, problème technique… Toutes les hypothèses sont envisagées et vérifiées par les enquêteurs, qui vont poursuivre leurs investigations dans les prochains jours.
Contacté par nos soins, Mathieu Bligny, le président de l’aéro-club “Les Ailes de Pouilly Maconge”, rappelle qu‘il n’y a pas eu d’accidents de ce type depuis plus de 20 ans sur le site. « C’est assez rare. Il suffit de regarder les statistiques de l’an passé pour s’en rendre compte, puisque sur toute la France, seuls 30 accidents d’ULM ou d’avions légers ont été comptabilisés, dont 10 mortels », précise le président, qui est également pilote de ligne à Air France.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/03/28/un-mort-dans-un-crash-d-ulm-en-bourgogne

Tarbes. Le lunetier harcelait ses employées

Pascal est le PDG d'une marque célèbre d'optique et possède plusieurs magasins dans le département ainsi qu'en Espagne. Sanglé dans son impeccable costume prince-de-galles, Pascal se tient bien droit, la chevelure argentée de la cinquantaine coiffée au millimètre. L'air d'un PDG sûr de lui et calme dans l'adversité. Mais l'image va très vite se lézarder. Le chef d'entreprise est poursuivi pour harcèlement moral. Sur le banc des parties civiles, trois jeunes femmes attendent, serrées les unes contre les autres. Quand la présidente commence l'instruction du dossier, Pascal reste calme : «Vous avez insulté vos employées, vous avez mis la pression chaque fois qu'elles étaient enceintes, vous les avez humiliées, rabaissées… Ce n'est pas tolérable, et il faudrait que vous compreniez que ce sont des victimes». Quand la magistrate énonce les insultes, Pascal commence à s'agiter : «Grosse connasse qui ne fout rien ! T'es de la merde c'est tout.» À celle qui était en début de grossesse : «Bouge ton cul et ton gros bide de là, on n'est pas chez les fonctionnaires !» Et ainsi de suite. Pascal n'y tient plus et d'une voix de stentor, va se lancer dans une longue diatribe : «C'est faux ! Archifaux ! Je n'utilise jamais le mot de connasse, je trouve que c'est laid». Dans le flot de paroles de plus en plus vives, Pascal dérape très vite : «C'est vrai que je leur ai dit quelquefois qu'elles faisaient des conneries…» «Conasse», c'est vilain, «connerie», c'est beaucoup plus joli comme chacun sait. «Valérie ? un vrai boulet celle-là !, Madame la présidente. Avec 2 de tension à chaque bras ! Faut bien que le travail se fasse. Je bosse moi, qu'est-ce que vous croyez ! C'est le client qui commande et le client est exigeant.» La présidente lui coupe la parole et lui ordonne sèchement de se calmer un peu : «Vous vous rendez compte que vous êtes en train de démontrer vous-même les accusations portées contre vous, par votre comportement et vos propos ?» Manifestement, Pascal, tout à son ire, ne se rend pas compte du tout qu'il se tire lui-même une balle dans le pied. Son attitude de plus en plus véhémente et ses dénégations de plus en plus incohérentes ne font qu'aggraver la situation. A la barre, les jeunes femmes vont montrer d'abord de la colère, puis très vite, au fur et à mesure que les souvenirs reviennent, elles s'effondrent en larmes toutes les trois. «C'était la pression tout le temps, les insultes, on est toujours bonnes à rien d'après lui. On n'était que de la merde et à force, on finit par se sentir comme de la merde», racontent-elles en chœur. Pascal hoche la tête furieusement, en jetant des regards noirs. «Il semblerait que vous ayez des problèmes avec les femmes», lui lance la présidente. Il répond du tac au tac : «Je n'emploie pratiquement que des femmes, alors forcément, j'ai statistiquement plus de chances de m'engueuler avec des femmes !» jette t-il en haussant les épaules d'un geste rageur. Les mauvais points vont ainsi s'accumuler tout au long de l'audience et le casier de Pascal n'arrange pas les choses : une condamnation pour violences et une autre pour grand excès de vitesse. Tout le portrait d'un homme particulièrement sanguin. Par trois fois, la présidente devra l'interrompre et lui demander de se calmer. Peine perdue pour elle mais pas pour lui : 3 fois 5.000 € d'amende et 3 fois 1.500 € de dommages et intérêts à payer aux trois employées qui ont osé se porter parties civiles.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/28/1593077-le-lunetier-harcelait-ses-employees.html

Drame de Beaulieu : "Je n’ai jamais voulu tuer"

Mehdi Kebdou est jugé pour le meurtre de Gaëtan Boils, le 14 juillet 2010, durant une fête votive dans le Lunellois.

On a beau savoir les apparences souvent trompeuses, l’on n’imagine pas non plus Mehdi Kebdou dans un box. Loin de ce profil de petite frappe basculant un jour dans le crime, pour un regard de travers, une remarque. Pour rien.
C’est pourtant ce garçon de 27 ans qui, depuis mercredi et jusqu’à vendredi, est jugé devant la cour d’assises de l’Hérault. Pour avoir, dans la nuit du 13 au 14 juillet 2010 à Beaulieu, cette commune du Lunellois, mortellement blessé d’un coup de couteau Gaëtan Boils, 18 ans, les derniers lampions de la fête votive tout juste éteints. Mais depuis la place qui est la sienne, Mehdi Kebdou le dit : "Je reconnais les faits mais je n’ai jamais voulu tuer."

Impeccable de tenue et de retenue, sa sœur aînée soutient mordicus que, non, son frère "n’est pas le monstre et le délinquant que l’on se complaît à décrire. Nos parents nous ont élevés dans l’empathie, le savoir-vivre avec les autres. Cette affaire est un drame pour les deux familles...".
"Je crois que la peur, il l’a réellement ressenti"
Mais alors, comment ce jeune homme, arrivé du berceau familial grenoblois un an auparavant pour travailler dans le restaurant de sa sœur et de son beau-frère à Fréjorgues en est-il arrivé à ce geste fatal ? Passé au crible, le champ médical de l’accusé ressemble à une terre quasiment en jachère. Et ce, bien que "l’organisation de sa personnalité est assez fragile", indiquent les psychiatres l’ayant sondé. Ces mêmes spécialistes concédant tout de même : "Face à une stimulation, il va réagir assez vite." Notant également des difficultés de l’intéressé à contrôler ses pulsions. "Et qui peut subir des failles dans une situation de peur, de crainte primaire qu’il ne contrôle plus. Je crois que la peur, il l’a réellement ressenti. Il est quelque part inachevé dans la construction de sa personnalité", développe l’expert.
Filles et relents éthyliques
De là à se saisir de ce couteau ménager amené par l’un des deux copains la nuit du drame... Et puis, pourquoi diable cette troïka-là a-t-elle décidé, après avoir bu une partie de l’après-midi, de gagner ainsi Beaulieu ? Sachant qu’en arrivant vers 3 h 30, ne resteraient que des relents éthyliques à humer. Pour régler son compte à l’un qui avait, quelques jours plus tôt à la fête de Sussargues, violenté l’un des copains de Mehdi Kedou ? Ou pour voir des filles comme le souhaitait le second ? Chose certaine : peu de temps après leur arrivée, les protagonistes vont se retrouver mêlés à une rixe à l’origine floue.
"Nous, on voulait que ça se calme. Je me suis interposé et me suis fait frapper", soutient l’accusé. Copieusement rossé en tout cas après ces moulinets faits au couteau et le coup fatal. "Il n’y a pas eu de résistance. J’ai rien entendu. Pour moi, il n’y avait rien." "Vous n’êtes pas encerclé. Pourquoi vous ne partez pas ?", lui rétorque Me Abratkiewicz depuis le banc des parties civiles. "Je sais pas..."
"Je ne suis pas un lapin de six mois"
Les enquêteurs non plus du reste. Tel cet ancien militaire de la brigade de recherches de Lunel, que l’on sent à cran, une fois sur le gril de la défense : "Je ne suis pas un lapin de six mois. Je connais le principe !" Et Me Malgras, goguenard de lui adresser : "C’est quoi le principe ? Que les avocats posent des questions pièges ?"
L’enquête, il est vrai, fut épique. Tant pour tenter de préserver une scène de crime souillée plus qu’à son tour que pour remonter, ensuite, le fil des événements. Ce que résume bien l’un des collègues de ce gendarme, toujours d’active. "Nous avons eu beaucoup de mal à identifier les personnes présentes le soir des faits", concède-t-il.
Certaines ayant visiblement du mal à venir s’épancher sur le bureau du directeur d’enquête. Pourquoi ? Le silence est de sang.

http://www.midilibre.fr/2013/03/27/drame-de-beaulieu-je-n-ai-jamais-voulu-tuer,667750.php

Charente-Maritime : un père de famille prêt à se cloîtrer dans son bus avec son bébé

Michaël Dumontet, 39 ans, s’apprête à tenir un siège dans un ancien bus qu’il a retapé pour y vivre et qui est stationné chez ses grands-parents, route de Saintes, à Varzay. En conflit avec sa compagne âgée de 26 ans, il craint qu’on veuille venir lui prendre de force sa fille âgée de 4 mois. L’intéressé a prévu de s’enfermer dans son bus si tel était le cas. Il a tout envisagé. « J’ai stocké du lait pour ma fille et je fonctionne en totale autonomie. J’ai l’électricité, une citerne de 700 litres d’eau. Je peux tenir un mois comme ça », certifie-t-il.
Le juge aux affaires familiales de Saintes, dans le conflit qui oppose les deux parents, a ordonné une enquête sociale pour vérifier les conditions que chacun d’eux peut offrir à l’enfant. Dans l’attente du dépôt de ce rapport, la résidence du bébé a été fixée au domicile de la mère. Le père, lui, a un droit de visite en milieu médiatisé dans les locaux de l’association accueil des familles à Toulouse, lieu de résidence de la mère, chaque samedi pendant environ 1 h 30.

Sur le qui-vive
Sauf que Michaël Dumontet ne veut pas se résoudre à laisser sa fille. « Mon ancienne compagne a des problèmes. Elle m’a quitté du jour au lendemain le 11 janvier dernier en me laissant tout seul avec ma fille sans lait et sans argent. J’ai eu des nouvelles le 25 janvier lorsqu’elle a porté plainte contre moi à Toulouse pour soustraction d’enfant avec violence. Ce qui est totalement faux », raconte ce père déterminé qui s’attend à tout moment à voir débarquer les gendarmes.
Une demande d’enquête
Hier, en fin de journée, il était toujours sur le qui-vive. Sa compagne est passée prendre l’enfant, il a refusé.
« Je sais qu’elle a appelé la gendarmerie, confie-t-il. Ce que je demande, c’est qu’une enquête plus poussée sur la mère soit ordonnée avant de lui laisser la garde. Elle a déjà eu les mêmes soucis avec le père de son premier enfant. Une affaire est en cours à Toulouse. Jamais je ne lui laisserai ma fille. Son instabilité me fait peur. »
http://www.sudouest.fr/2013/03/27/un-pere-pret-a-se-cloitrer-1006305-1531.php

mercredi 27 mars 2013

Un surfeur se tue dans le massif du Mont-Blanc

De nationalité britannique, l'homme est tombé dans une crevasse sur le glacier des Rognons, mercredi. Il est décédé des suites de ses blessures.
Il était seul au moment de l'accident, qui s'est produit vers 14h15 près du domaine skiable des Grands Montets. Un surfeur de 37 ans est mort, mercredi, en tombant dans une crevasse sur le glacier des Rognons, dans le massif du Mont-Blanc.
Il a succombé à ses blessures, a indiqué le peloton de gendarmerie de haute montagne de Chamonix. De nationalité britannique, il résidait à Passy, en Haute-Savoir, à une vingtaine de kilomètres de Chamonix.
 

Fusillade à Bondy: un homme tué (mise à jour)


Un homme est décédé cet après-midi après avoir reçu une balle dans la tête lors d'une fusillade dans une cité de Bondy en Seine-Saint-Denis, affirme Le Parisien et BFM TV.

"Il y a eu des coups de feu tirés (...) la victime âgée de 21 ans a reçu une balle dans la tête notamment", dans la cité de Bondy Nord, a indiqué la préfecture. "Le ou les auteurs sont en fuite", selon la préfecture. Plusieurs autres sources évoquent deux suspects dans cette affaire qui auraient quitté les lieux en voiture.

Le jeune homme est connu des services de police pour trafic de stupéfiants notamment, selon la préfecture. Le périmètre a été sécurisé. Si un attroupement a pu se créer au moment des faits, vers 14 heures, les lieux étaient "redevenus calmes" une heure plus tard, selon la préfecture.

Le préfet de la Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, et le directeur territorial de la sécurité publique, Serge Castello, étaient sur place.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/27/97001-20130327FILWWW00527-fusillade-a-bondy-un-homme-dans-un-etat-critique.php

 
Un homme était entre la vie et la mort mercredi après-midi après avoir reçu une balle dans la tête lors d'une fusillade dans une cité de Bondy en Seine-Saint-Denis.

Drame à Bondy. Un homme a reçu une balle en pleine tête mercredi lors d'un échange de coups de feu dans une cité de la commune de Seine-Saint-Denis. Le pronostic vital de la victime, âgée de 21 ans, est engagé.

Selon la préfecture du département francilien, la scène s'est déroulée dans la cité de Bondy Nord : "il y a eu des coups de feu tirés (...) la victime a reçu une balle dans la tête notamment". "Le ou les auteurs sont en fuite", précise la préfecture. Plusieurs autres sources évoquent deux suspects dans cette affaire qui auraient quitté les lieux en voiture.

Le jeune homme est connu des services de police pour trafic de stupéfiants notamment, selon la préfecture. Le préfet de la Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, et le directeur territorial de la sécurité publique, Serge Castello, étaient sur place.
 

L'A49 coupée en direction de Grenoble

L'autoroute A49 était coupée dans le sens Valence-Grenoble ce matin et pour une grande partie de la journée à cause d'un camion-citerne renversé sur la chaussée, a-t-on appris auprès des pompiers et de la gendarmerie.

L'accident s'est produit peu avant 8h00 à hauteur de la commune de Tullins (Isère).

Le choc a provoqué une fuite sur le camion-citerne, transportant 32.000 litres de gazole, qui laissait échapper une partie de sa cargaison sur l'autoroute mercredi matin, selon les pompiers.
Ces derniers n'étaient pas en mesure d'accéder à la partie percée de la citerne et pompaient donc le liquide au fur et à mesure de la fuite.

Le chauffeur, souffrant d'un traumatisme crânien, a été transporté à l'hôpital de Grenoble.

L'autoroute devrait rester fermée une grande partie de la journée dans le sens Valence-Grenoble, ont indiqué les pompiers, qui doivent pomper chaque compartiment de la citerne avant de la relever et de nettoyer d'éventuelles pollutions.

Le canal de la Morge, qui longe l'autoroute, n'a pas connu de pollution, selon les pompiers.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/27/97001-20130327FILWWW00414-a49-coupee-en-direction-de-grenoble.php

Aux Izards, la lutte contre le trafic de drogue crée des tensions

Engagés depuis plusieurs mois dans la lutte contre l'économie souterraine générée par le trafic de drogue dans le quartier des Izards, à Toulouse, les policiers multiplient les interventions dans cette cité toulousaine inscrite depuis fin 2012 en zone de sécurité prioritaire. «L'objectif est de faire en sorte que la population ne vive pas sous le joug d'une minorité de trafiquants qui forcément voient d'un mauvais œil la présence policière dans ce quartier», précise le capitaine David Delattre à l'état-major de la police nationale. «Les fonctionnaires agissent dans le cadre d'une réquisition judiciaire et perturbent l'activité des trafiquants», précise-t-il. Depuis quelques jours, des habitants des Izards dénoncent eux des interventions «musclées», sur des jeunes «qui ne sont pas des trafiquants.» Ce week-end, dix voitures ont été brûlées dans cette cité en réponse aux interpellations. «Lors de ces interventions, les forces de l'ordre confisquent, certes, des petites quantités de drogue mais surtout de l'argent, des sommes dérisoires jamais restituées, sans aucune procédure derrière…», s'étonne l'avocat d'une famille des Izards, Me Christian Etelin. «Ces témoignages sont trop fréquents pour que l'on ne puisse pas les prendre au sérieux», dit-il, remettant en cause la méthode policière. Des fonctionnaires qui sont très souvent la cible d'injures ou de caillassages et qui entendent, de leur côté, faire respecter «l'État de droit», dans toutes les cités toulousaines. «Aux Izards, la majeure partie des habitants se montre satisfaite de savoir que la police intervient pour lutter contre la délinquance et le trafic de drogue», conclut David Delattre, récusant toute forme d'accusation.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/27/1592588-aux-izards-la-lutte-contre-le-trafic-de-drogue-cree-des-tensions.html

Villepinte : il abat la mère de ses deux filles d’un coup de fusil

Une femme de 43 ans a été tuée par son ex-compagnon, mardi, à Villepinte, dans l'Aude. Interpellé sur place, le suspect est en garde à vue.
Après avoir donné lui-même l’alerte, mardi, peu avant 16 h à Villepinte, dans l'Aude, c’est en fumant une cigarette qu’un homme de 42 ans aurait attendu les gendarmes. Sans broncher. Et dans un état d’ivresse manifeste. Il aurait froidement indiqué aux militaires qu’il venait de tuer son ancienne compagne, Raymonde Cheiboum, âgée de 43 ans. D’une décharge de fusil de chasse fatale qui n’aurait laissé aucune chance à la victime. Selon nos informations, l’ancien compagnon de la victime aurait tiré un seul coup de feu à travers la porte d’entrée de cette maison de village située au n° 11 de la rue de la Liberté, alors que Raymonde Cheiboum se trouvait derrière.
"Connu pour sa violence dans les fêtes de villages"

Selon une voisine, l’auteur du coup de feu avait régulièrement l’habitude de venir chez son ex-compagne pour la harceler, voire la violenter : "Il était connu pour sa violence dans les fêtes de villages, entre autres..." Des violences dont aurait été victime régulièrement Raymonde Cheiboum... jusqu’à ce qu’elle décide de le quitter, il y a deux ou trois ans. D’après ce que nous avons pu apprendre dans l’entourage de la victime, son ex-compagnon avait refait sa vie à Toulouse, où il a eu un petit garçon.
Native du village, Raymone Cheiboum avait, pour sa part, choisi de rester à Villepinte, avec les deux filles, nées, il y a 16 et 19 ans, de l’union avec l’homme qui lui a tiré dessus, hier. Une femme estimée par ses voisins, employée comme aide ménagère.
Alcoolisé
Mardi soir, alors que les investigations se poursuivaient sur les lieux du crime, avec le concours des techniciens en investigations criminelles (Tic) de la gendarmerie, l’auteur du coup de feu était placé en garde à vue dans les locaux de la brigade de Bram. Mais, compte tenu de son imprégnation alcoolique, il n’avait pas encore été entendu à l’heure où nous écrivions ces lignes.

http://www.midilibre.fr/2013/03/26/il-abat-la-mere-de-ses-deux-filles-d-un-coup-de-fusil,667077.php

Cambriolages en série : coup de filet dans la région

Une trentaine de femmes et d’hommes ont été ramassés dans le filet tendu, tôt hier matin, par près de 200 gendarmes d’Aquitaine et de Midi-Pyrénées, dont plus de la moitié provenant de la section de recherches d’Agen et du groupement de gendarmerie de Lot-et-Garonne. Cette vague d’interpellations et de perquisitions a touché sept départements, dont celui-ci. Aucun incident n’a été signalé au terme de l’opération.
Toutes et tous sont entendus dans le cadre d’une enquête portant sur des cambriolages de demeures et propriétés particulièrement cossues qu’ils auraient, à des degrés divers, contribué à écumer depuis le début de l’année dernière dans les départements du Grand Sud-Ouest. Un communiqué de la gendarmerie recense une vingtaine de vols entre 2012 et 2013.

Chaque fait, issu d’une préparation toute aussi minutieuse que son exécution, visait à détrousser les propriétaires de bijoux et d’importantes sommes d’argent. Dans certains cas, le préjudice pouvait atteindre le million d’euros.
Une bande structurée
Sur la carte des faits répertoriés, les gendarmes ont marqué la Gironde, le Lot, le Gers, les Landes, le Tarn-et-Garonne, la Haute-Garonne ou encore le Lot-et-Garonne, où l’équipe de malfaiteurs aurait commencé à sévir dès janvier 2012. Une des raisons notamment pour lesquelles le magistrat de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) en charge du dossier, Jean-Michel Gentil, a laissé les rênes de l’enquête entre les mains des gendarmes de la section de recherches d’Agen.
Si les vols étaient préparés dans le cadre d’une collecte efficace de renseignements précieux, les enquêteurs ont aussi établi que les sommes ainsi acquises étaient blanchies, servant pour l’acquisition de biens immobiliers, de voitures très haut de gamme ou encore d’accessoires de luxe… Dès hier d’ailleurs, le rapatriement vers la gendarmerie d’Agen des avoirs criminels saisis dans le cadre des perquisitions s’est engagé.
Des suspects méfiants
Si la trentaine de suspects (on évoquait hier le chiffre de 35), est impliquée à des niveaux variables, la hiérarchie dans la bande était en revanche clairement établie. Entre ceux aux repérages, ceux aux cambriolages, ceux au recel et enfin ceux à l’organisation du blanchiment de l’argent. Selon une source proche du dossier, les malfaiteurs, pas forcément jeunes, étaient particulièrement prudents et méfiants. Les personnages les plus prépondérants de l’organisation seraient domiciliés dans les régions bordelaise et toulousaine.
Les interpellations de lundi sont la conséquence de longues et minutieuses investigations menées par la section de recherches d’Agen, renforcée par des gendarmes de Lot-et-Garonne, des Landes, de Haute-Garonne et de la section de recherches de Toulouse, appuyés par les groupes d’intervention régionale (GIR) de Bordeaux et de Toulouse. Les auditions vont se poursuivre aujourd’hui. Hier soir, dans le cadre de cette procédure pour vols en bande organisée, la possibilité d’en entendre certains jusqu’au terme des 96 heures légales de garde à vue était envisagée.

http://www.sudouest.fr/2013/03/26/presumes-voleurs-de-riches-proprietaires-1005350-2780.php

mardi 26 mars 2013

Bébés congelés de l'Ain: la mère avoue avoir noyé ses deux nouveau-nés

La femme chez laquelle deux bébés congelés ont été découverts, dimanche, a avoué avoir tué ses nouveau-nés en les noyant, a expliqué ce mardi le procureur de la République de Bourg-en-Bresse. Elle a été inculpée de meurtres avec circonstances aggravantes et a été placée en détention provisoire.
Après la découverte de deux foetus ou nouveau-nés dans le congélateur d'une maison dans l'Ain, le procureur de la République de Bourg-en-Bresse, Denis Mondon, a tenu une conférence de presse ce mardi dans laquelle il a annoncé le placement en détention provisoire de la mère, désormais inculpée de meurtres avec circonstances aggravantes.
Selon les confessions de la jeune femme, âgée de 32 ans, celle-ci "a tué ces deux bébés qu'elle déclare être nés vivants et dit les avoir tué par noyade", a indiqué e procureur de la République. Il a également reconnu que ces crimes avaient été commis en état de récidive puisque la jeune femme a déjà été condamnée pour des faits similaires en 2005.
 

Un ouvrier blessé par un effondrement

Ce lundi vers 15 heures, une douzaine de sapeurs-pompiers de Gentilly sont intervenus sur un chantier situé au centre de Sexey-les-Bois. Une partie du mur pignon d’une grande bâtisse en cours de rénovation s’est effondrée, emportant avec elle la partie centrale d’un échafaudage accolé, et blessant un ouvrier. Celui-ci circulait en contrebas, il a reçu des pierres sur la tête occasionnant des blessures qui ne seraient « pas particulièrement graves », selon le responsable des pompiers.
L’homme, salarié d’une entreprise touloise, a été transporté en ambulance vers l’hôpital central, tandis que les hommes du feu dressaient un périmètre de sécurité pour éviter tout autre accident.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/03/25/un-ouvrier-blesse-par-un-effondrement

Une escroquerie de 300.000 € révélée à Cannes

Grâce à des papiers d'identité volés ou falsifiés, un réseau bien organisé ouvrait une quinzaine de comptes dans plusieurs agences bancaires avant d'escroquer des concessionnaire automobiles cannois ou la SNCF. Arrêtés il y a quelques, jours, huit individus ont été mis en examen dont certains ont été écroués.

C'est fou ce qu'on peut faire avec une carte d'identité. C'est en partant de ce principe qu'un réseau d'une dizaine d'individus a décidé de franchir les limites de la loi à grands pas. Mais c'était sans compter sur les enquêteurs de la brigade des recherches de la gendarmerie de Grasse. Il y a quelques jours, huit individus ont été mis en examen pour plusieurs faits d'escroqueries en bande organisée. Cinq d'entre eux ont été écroués en attendant d'être jugés.

Entre les mois de mars et juin 2012, près de 300.000 € ont pu être détournés grâce à une organisation bien ficelée.

Tout commence par des papiers d'identité volés puis falsifiés. Grâce à cela, plusieurs intermédiaires,« des mules », ouvrent une quinzaine de comptes dans plusieurs agences bancaires.

Vie de prince… aux frais de la princesse

Les moyens de paiement sont ensuite transmis à « la tête pensante » du réseau, un Cannois de 35 ans, un flambeur qui ne se prive pas de mener une vie de prince… aux frais de la princesse. Vêtements de marque, chaussure, soirées, tout y passe. Ce trentenaire était déjà sous liberté conditionnelle dans le cadre d'une affaire similaire.

Pour les banques, impossible de retrouver les propriétaires des comptes.

Le réseau ne tarde pas à monter en puissance. Toujours à l'aide de faux papiers d'identité, ils « pillent » quelques concessionnaires automobiles de Cannes et du Cannet. Ils achètent une quinzaine de voitures par ce procédé, flouant les garages, mais aussi les organismes de crédit qui s'étaient portés préteurs. Ni une ni deux, les véhicules étaient revendus dans la foulée sur des sites Internet de vente aux particuliers, à des prix défiant toute concurrence… Et, bien sûr, pour la transaction, du cash était demandé.

Plus fort encore, les escrocs n'hésitaient pas à acheter des billets de train SNCF en gare - les plus onéreux possible -, puis à les annuler et se les faire rembourser dans la foulée dans une autre gare ! Et ce, avant même que le premier prélèvement n'ait été enregistré.

En tout, le préjudice est estimé à près de 300 000 e. Trop gros pour durer. Les protagonistes de cette entreprise spécialisée en escroquerie ont été identifiés, de fil en aiguille, par les enquêteurs, grâce aux outils d'écoutes téléphoniques, surveillance et investigations. Le dernier membre du réseau a été interpellé il y a quelques jours seulement.

http://www.nicematin.com/cannes/une-escroquerie-de-300000-%E2%82%AC-revelee-a-cannes.1189224.html

Il vole une voiture et sa passagère

C'est une histoire peu commune que rapporte aujourd'hui Le Parisien. Samedi après-midi dans le XIIIe arrondissement de Paris, un couple d'automobilistes s'arrête devant un bureau de Poste. Le conducteur, une retraité de 73 ans, descend de la voiture en laissant les clés sur le contact pour déposer un colis. Sa femme, âgée de 75 ans, reste elle dans le véhicule.

C'est ce moment que choisit un inconnu pour s'introduire dans la Peugeot 5008. Alerté par les cris de sa femme, le conducteur se place devant le véhicule mais manque de se faire écraser. Trois cents mètres plus loin, la passagère est éjectée du véhicule. Le couple prévient alors les secours.

Un dispositif de recherche est rapidement déployé mais le fuyard réussit à passer entre les mailles du filet. Les enquêteurs du 3e district de police judiciaire ont été chargés de l'affaire.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/26/97001-20130326FILWWW00280-il-vole-une-voiture-et-sa-passagere.php

Foetus ou nouveaux-nés congelés dans l'Ain : les précisions du procureur

Alors que deux petits cadavres ont été découverts dans son congélateur, la garde à vue de la mère trentenaire, qui aurait déjà été condamnée en 2002 pour infanticide, a été prolongée lundi soir. Selon le procureur, "il est très compliqué de déterminer l'âge des corps retrouvés".
Foetus ou nouveaux-nés ? L'autopsie devra le déterminer. Mais "en l'état, il est très compliqué de déterminer l'âge des corps retrouvés, et de savoir s'ils étaient vivants ou viables" à leur naissance. Quelques heures après la révélation de la macabre découverte à Ambérieu, dans l'Ain, de deux corps congelés trouvés dimanche dans un congélateur, le procureur de la République s'est cantonné à cette déclaration auprès de l'AFP lundi soir, précisant seulement que la garde à vue de la mère, débutée dimanche soir, venait d'être prolongée à la demande des enquêteurs.

C'est un appel aux gendarmes du père, qui venait de découvrir un corps dans son congélateur, qui a permis d'en découvrir un second au même endroit. D'après les informations recueillies par MYTF1News, la mère âgée d'une trentaine d'années aurait déjà été condamnée en 2002 pour des faits similaires. La jeune femme aurait en tous cas confirmé aux gendarmes que les deux bébés étaient bien d'elle. Selon une autre source, elle aurait indiqué aux enquêteurs que les faits s'étaient produits en 2011 et 2012. Selon nos informations, son concubin est de son côté entendu, mais pas sous le régime de la garde à vue.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/foetus-congeles-dans-l-ain-les-precisions-du-procureur-7894409.html