mardi 31 mai 2011

Il menace sa conjointe avec une fourchette ?

Mercredi, à 16 h 50, une équipe de roulement de jour de la police s’est rendue rue Edouard-Herriot à Chenôve, où une femme venait d’être mise à la porte de son logement. Son concubin, qui venait de la frapper, était resté dans l’appartement avec les enfants du couple. Un interprète en langue turque a été requis au poste de police afin de traduire les propos de la victime et de son conjoint violent.

La jeune femme, âgée de 28 ans, s’est plainte d’avoir été menacée avec une fourchette. Son conjoint a nié. Il est resté en garde à vue toute la nuit. L’enquête se poursuit.

http://www.bienpublic.com/fr/faits-divers/article/5171341/Il-menace-sa-conjointe-avec-une-fourchette.html

Les contrôleurs de la SNCF incités à faire du chiffre en verbalisant davantage ?

Plusieurs syndicats de la SNCF ont dénoncé des "pressions" exercées sur les contrôleurs pour les inciter à verbaliser les passagers, en réaction à une note interne de la direction, citée mardi par le Parisien.
Selon le quotidien, une note confidentielle aurait été envoyée en avril aux contrôleurs d'un établissement afin de les exhorter de réaliser "quatre affaires par jour". Un système de bonus inciterait en outre les agents à faire du zèle.

Ces informations n'ont toutefois pas été confirmées par la SNCF. "Nous savons qu'il y a de manière informelle des préconisations, des pressions qui sont faites sur les agents", a déclaré Thierry Nier, responsable fédéral de la CGT, premier syndicat de la SNCF, tout en précisant n'avoir "pas eu connaissance de note officielle".
"Il y a toujours eu un élément rémunérateur au regard des amendes adressées par les contrôleurs, mais y-a-t-il aujourd'hui la volonté d'aller plus loin? Si c'est le cas, nous le condamnons", a-t-il ajouté, en appelant la direction à "énoncer clairement sa position".
SUD-Rail, troisième organisation syndicale au sein de l'entreprise publique, a fustigé une "politique du chiffre", appelant les contrôleurs à "ne pas céder aux pressions hiérarchiques". "La direction SNCF met la pression sur les contrôleurs pour que ceux-ci fassent du chiffre et réalisent des PV", affirme le syndicat, estimant que cette situation "crée des situations conflictuelles qui parfois aboutissent à l'agression".
http://www.midilibre.fr/2011/05/31/les-controleurs-de-la-sncf-incites-a-faire-du-chiffre-en-verbalisant-davantage,327564.php

Joué-les-Tours : Guéant présente les "excuses" de la gendarmerie

Je voulais, au nom de la gendarmerie, dire aux familles toutes les excuses de cette arme". Au lendemain du dramatique accident qui a coûté la vie à une fillette à Joué-les-Tours et blessé grièvement six enfants, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a présenté mardi "toutes les excuses" de la gendarmerie aux familles des victimes. Il s'est rendu sur place en compagnie du ministre de l'Education nationale Luc Chatel. Mardi matin, deux enfants se trouvaient toujours dans un état critique.
L'accident s'est produit lundi en début d'après-midi près du rond-point de la Gitonnière dans cette commune située au sud de Tours. Pour une raison encore indéterminée, le conducteur de la camionnette de la gendarmerie a perdu le contrôle de son véhicule sur le rond-point, avant de faucher un groupe de 23 enfants de 6 à 11 ans qui marchaient sur le trottoir quelques dizaines de mètres plus loin. Le groupe d'enfants de CM1/CM2 était parti de l'école primaire Mignonne, située aux portes du quartier populaire de la Rabière, et se rendait au stade de rugby pour une séance de sport.
Le gendarme est "très très mal"
"L'enquête, je le dis clairement, se déroulera de façon absolument claire. Rien ne sera caché, tout sera fait pour que nous connaissions la vérité", a indiqué Claude Guéant. Le ministre de l'Intérieur a précisé qu'il avait lancé dès lundi soir une enquête administrative "à la demande du président de la République", en complément de l'enquête judiciaire ouverte par le procureur de Tours. "La gendarmerie lutte tous les jours pour la sécurité et que l'un de ses membres soit impliqué dans ce drame affreux lui fait exprimer une solidarité toute particulière avec ces familles et la population de Joué-les-Tours", a-t-il dit.

"C'est un accident de la circulation qui, semble-t-il, est dû à une mauvaise maîtrise du véhicule", affirmait lundi le procureur de la République de Tours, se fondant sur les premières déclarations du gendarme qui conduisait le véhicule. Le militaire était toujours en garde à vue mardi matin. Cet homme, un père de famille travaillant à la brigade de Loches (Indre-et-Loire), pourrait être mis en examen dans la journée pour homicide involontaire et blessures involontaires, a poursuivi le procureur. "Il est très très mal, il est complètement effondré", a-t-il ajouté. "Apparemment, il roulait à une vitesse normale", a précisé M. Varin. "A priori, il n'y a pas de tache d'huile" sur les lieux de l'accident", a également affirmé le procureur.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/drame-de-joue-les-tours-deux-ministres-sur-place-mardi-6510983.html

Couffouleux. Bouchon monstre sur l'A68 après un accident

L'autoroute a été coupée près de 5 heures hier matin, entre Albi et Toulouse suite à l'embardée d'un semi-remorque frigorifique à hauteur de Couffouleux.
Les usagers de l'A 68 circulant en direction de Toulouse hier matin ont connu les pires difficultés au niveau de l'échangeur autoroutier de Rabastens- Couffouleux. 5 à 6 kilomètres de bouchons se sont formés de 7 heures à 10 heures du matin. La faute à un semi-remorque qui a fait une spectaculaire embardée, au petit matin. Il était 4 h 45 environ. Un camion frigorifique, qui circulait vers Albi où il devait livrer 10 tonnes de fruits et légumes au centre Leclerc, a soudain quitté sa voie de circulation peu après le pont qui enjambe la rivière Agout. A hauteur de la borne 29 N, le poids lourd a percuté la barrière de sécurité, traversé le terre-plein central avant de s'immobiliser… à cheval sur les deux voies rapides.
Fort heureusement, à cette heure très matinale, la circulation n'était pas dense et cette spectaculaire embardée n'a pas occasionné de suraccident. Même si le 14 tonnes ne s'est pas couché, sa position rendait impossible la circulation des véhicules dans le sens Albi-Toulouse et neutralisait la voie de gauche, en direction d'Albi.
Les sapeurs pompiers du centre de secours de Rabastens et les gendarmes des brigades de Rabastens et Lisle-sur-Tarn, secondés par les hommes du PSIG de Gaillac, sont arrivés très rapidement sur les lieux. L'état de santé du conducteur du camion n'inspirait aucune inquiétude. C'est d'ailleurs lui qui a prévenu les secours. Il a toutefois été transporté, pour des contrôles de routine, dans l'ambulance des sapeurs pompiers, vers le centre hospitalier universitaire de Toulouse. Les secours ont procédé, dans l'urgence et avec efficacité, à une sécurisation des lieux.

Pagaille à Rabastens

Les employés de la Direction des routes nationales du Sud Ouest (DIRSO) étaient également à pied d'œuvre pour remettre en état la chaussée après l'évacuation du poids lourd par une entreprise spécialisée. Conséquence prévisible de cet accident, dès 6 h 30 du matin, le trafic s'est intensifié et les premiers bouchons ont fait leur apparition. La coupure d'autoroute a obligé les usagers à sortir à l'échangeur de Rabastens, provoquant notamment une pagaille sans nom dans cette agglomération pendant une grande partie de la matinée. Selon les premières constatations, le chauffeur du camion se serait endormi au volant.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/31/1095143-lavaur-bouchon-monstre-sur-l-a68-apres-l-accident.html

A 9 : le dealer à vélo a entendu des voix

En raison de son état mental perturbé, le jeune Tarnais arrêté, la semaine dernière, à vélo et à contresens sur l’autoroute, avec plusieurs kilos de drogue, a été mis en examen puis libéré, sous contrôle judiciaire, en fin de semaine dernière.
Le parquet a décidé de prolonger les investigations sur cet ancien restaurateur âgé de 34 ans. En grande difficulté financière, il a reconnu avoir fait un premier voyage en Hollande à l’automne dernier, pour acheter et revendre plusieurs stupéfiants.

Lorsqu’il a été interpellé, il revenait d’un second périple. Et s’il a pris son vélo après être tombé en panne, échappant par miracle à un accident, c’est parce qu’il a entendu des voix le menaçant.

http://www.midilibre.fr/2011/05/30/a-9-le-dealer-a-velo-a-entendu-des-voix,327223.php

lundi 30 mai 2011

Accident près de Tours : une fillette décédée

Un véhicule de gendarmerie fauche un groupe d'enfants

Le drame s'est produit peu après 15 heures à la sortie d'un rond-point à Joué-Lès-Tours. Un fourgon de la gendarmerie aurait dérapé sur une plaque d'huile avant de foncer sur un groupe d'enfants qui marchait près d'une école. Selon un bilan provisoire, une fillette de huit ans a été tuée et dix enfants ont été blessés, dont quatre grièvement. Tous les enfants sont âgés de six à huit ans. Selon nos informations, le test d'alcoolémie pratiqué sur le conducteur s'est révélé négatif.

Le plan Orsec de gestion des catastrophes a été déclenché et quatre équipes médicalisées et douze ambulances se sont rendues sur les lieux. Les victimes et leurs proches ont été accueillis au centre hospitalier régional de Tours où la préfecture a ouvert une cellule médico-psychologique.

Paris : un homme retrouvé mort à son domicile

Les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris ont été chargés de faire toute la lumière après la découverte d'un homme décédé, dimanche, vers 13 h 30 dans son appartement, situé Boulevard Bonne-Nouvelle dans le IIe arrondissement. C'est une voisine de la victime, inquiète de trouver la porte de l'appartement de ce dernier ouverte, qui a donné l'alerte. L'homme, âgé de 37 ans, a été retrouvé dans un état de décomposition avancé.

Selon les premières investigations, il aurait été frappé à de nombreuses reprises au visage et à la tête. L'autopsie du corps de la victime devrait avoir lieu ce lundi.


http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-homme-retrouve-mort-a-son-domicile-30-05-2011-1473453.php

La voiture décolle et passe un mur de 2 m : les passagers sont éjectés

Un très grave accident de la route s’est produit vers 4 h 40 du matin, dans la nuit de samedi à dimanche. C’était sur la départementale 844 (ancienne RN7) entre Malataverne et Donzère, au Sud de Montélimar.
Pour une raison encore inconnue, une Peugeot 206, qui roulait vers le Sud, a quitté sa trajectoire. La voiture a littéralement décollé, passant au-dessus d’un mur de 2 mètres, avant de se retrouver “tanquée” dans une propriété.
Les deux occupants ont semble-t-il été éjectés du véhicule. Il s’agit de deux hommes, âgés de 23 et 27 ans, d’origine portugaise, domiciliés à Donzère. Très grièvement blessés, ils ont été conduits à l’hôpital de Montélimar. Leur pronostic vital est engagé.
Sur place se trouvaient les gendarmes de la brigade de Donzère, du Psig de Pierrelatte, les sapeurs-pompiers et le Smur de Montélimar.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de l’accident.

http://www.ledauphine.com/drome/2011/05/29/deux-hommes-tres-grievement-blesses

Un mort et deux blessés dans une collision avec un arbre

Dimanche matin, au petit jour, trois jeunes Aurois, tous membres du FC Nestes, ont violemment percuté un arbre à l'entrée de Hèches. L'un d'eux est mort, les deux autres sont blessés, dont un très grièvement.
Sur la route, la RD 929, à l'entrée de Hèches, à Rebouc, pour être précis, il n'y a pas les habituels débris qui jonchent la chaussée et témoignent d'un accident. Il faut alors jeter un œil dans le pré, en contrebas de la route, pour avoir une vision d'horreur : une voiture, on apprendra plus tard qu'il s'agit d'une Renault Clio, est entièrement disloquée. Broyée. Déchiquetée. Et comme pour souligner encore la violence du choc, l'arbre qu'elle a percuté hier matin, vers 7 h 30, est entièrement dessouché.

Vitesse excessive

Que s'est-il passé ? Le capitaine Hieber, commandant la compagnie de Bagnères, tente de reconstituer le scénario. « Le véhicule descendait la vallée en direction de Lannemezan. À très vive allure puisqu'un témoin, celui qui nous a prévenus par la suite, nous a dit qu'il avait été dépassé en trombe quelques centaines de mètres plus tôt par la Clio et que le conducteur avait failli rater un virage. Malheureusement, le suivant, il l'a raté. » Une courbe à gauche, de laquelle il est ressorti trop large, empiétant dans le bas-côté, très réduit à cet endroit-là. La sortie de route était inévitable. Dans sa course folle, la Clio tape, certainement de côté, dans un premier arbre avant de s'encastrer littéralement dans un second. Un arbre qui sera déraciné sous la violence du choc.
Très rapidement sur place, les pompiers et une équipe du SMUR devaient constater le décès du conducteur, tué sur le coup : Rémi Bacqué, 20 ans, domicilié à Mont. À côté de lui, un autre jeune homme est blessé, il s'agit de Sébastien Brissot, 20 ans lui aussi, domicilié à Génos. Ses blessures sont assez mineures, compte tenu du choc, et il est immédiatement évacué vers l'hôpital de Lannemezan. En revanche, les blessures de l'autre passager, Benoît Rodriguès, domicilié à Péré, sont plus graves. Pour ne pas dire gravissimes puisque les pompiers et les médecins du SMUR mettront plus de deux heures à le médicaliser sur place, afin de stabiliser son état, avant qu'il ne soit évacué par l'hélicoptère de la gendarmerie vers l'hôpital toulousain de Rangueuil, aux alentours de 10 heures. Hier, en fin d'après-midi, les nouvelles étaient plus rassurantes, selon des proches, le pronostic vital n'était plus engagé mais ses blessures, notamment à une jambe (fémur broyé, artères sectionnées), restaient très graves.
Un accident qui a provoqué un véritable séisme dans la vallée, en partie à cause du fait que les trois jeunes gens sont footballeurs au FC Nestes, club qui fêtait samedi, après une brillante victoire, sa montée en promotion honneur. L'un des trois jeunes, Benoît Rodriguès, était d'ailleurs sur le terrain… La fête aurait pu être parfaite si elle n'avait pas été endeuillée par ce terrible drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/30/1094217-heches-un-mort-et-deux-blesses.html

Au bout de la sixième infraction au code de la route, la prison ferme finit par tomber

Il est 1 h 25, dans la nuit de dimanche à lundi dernier, lorsque le prévenu a un subit besoin de papier à rouler les cigarettes. Il part du Cap pour rejoindre Agde à bord de son véhicule. Las, il roule un peu vite et croise les policiers de la brigade anticriminalité. Contrôlé, il reconnaît tout de suite qu’il n’a ni permis, ni assurance.
Devant le tribunal, il confirme que les faits se sont bien déroulés ainsi. Le jeune homme est maçon au chômage. Habitant près de Montpellier, il était venu au Cap chez un ami pour faire quelques travaux au noir. Il a pris la voiture de sa mère. Le président Christian Combes égrène son casier judiciaire qui comprend 5 mentions concernant des infractions routières. La dernière date du 1er février lorsque le TGI de Montpellier l’a condamné à deux mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve. Le président lui demande : "Qu’est ce qu’il faut faire pour que vous arriviez à comprendre ? Jusqu’à présent vous avez eu des peines relativement clémentes. Votre comportement n’est pas acceptable."

Pour la substitut du procureur Magali Issad : "Les faits sont reconnus. La justice a des difficultés à lui faire prendre conscience de sa dangerosité. De 2004 à 2011, il n’a toujours pas compris. La boucle est bouclée par tous ces rappels à la loi." Elle requiert quatre mois de prison ferme avec maintien en détention et la confiscation du véhicule puisque sa mère l’avait laissé à sa disposition alors qu’elle connaissait la situation.
Son avocat insiste : "Je comprends que l’on puisse être agacé. Il peut paraître arrogant mais, hier soir, je l’ai vu s’effondrer chez le juge d’application des peines lorsqu’il a compris qu’il allait attendre son procès en prison." Il demande une application clémente de la loi et que le mandat de dépôt ne soit pas déposé à l’audience.
Le tribunal a condamné le prévenu à un mois de prison avec maintien en détention. Le véhicule a été confisqué
http://www.midilibre.fr/2011/05/29/au-bout-de-la-sixieme-infraction-au-code-de-la-route-la-prison-ferme-finit-par-tomber,326690.php

En détention pour outrages à agents

Deux hommes sont actuellement placés en détention provisoire, avant d’être présentés lundi devant le tribunal correctionnel de Valence en comparution immédiate.
Jeudi, les policiers valentinois avaient été appelés afin d’intervenir au pole bus du centre-ville valentinois, suite à une bagarre qui venait d’éclater dans un bus.
Visiblement en fort désaccord au sujet d’une fille, deux majeurs et un mineur en étaient venus aux mains. Cependant ils n’ont pas apprécié l’intervention des forces de police et se sont violemment rebellés.
Placés tous les trois en garde à vue, le mineur laissé libre sera présenté devant le juge des enfants le 16 juin prochain.
Les deux majeurs attendent désormais, en prison, d’être jugés pour outrages à agents et violence en réunion.

http://www.ledauphine.com/drome/2011/05/28/en-detention-pour-outrages-a-agents

dimanche 29 mai 2011

Un skieur et une randonneuse victimes de chutes mortelles dans les Alpes

Un skieur d'une vingtaine d'années et une randonneuse de 63 ans sont décédés dimanche respectivement dans les Hautes-Alpes et en Haute-Savoie à la suite de chutes accidentelles, selon les CRS et les gendarmes. Le jeune homme, qui faisait du ski-alpinisme avec un ami sur la montagne des Agneaux, dans le massif des Ecrins, "a dévissé à 2.700 mètres d'altitude alors qu'il descendait le couloir Piaget, qui est très raide", peu avant 11h, ont indiqué les CRS de Briançon. "Il a fait une chute mortelle de 800 mètres", ont-ils ajouté, sans donner de précisions sur son identité. La randonneuse sexagénaire a pour sa part été victime d'une "chute fatale de 100 mètres" en fin de matinée à La Chapelle d'Abondance Haute-Savoie), selon le peloton de gendarmerie de haute montagne d'Annecy. Originaire du département, la victime est "tombée dans le vide en s'approchant du bord du sentier" sur lequel elle marchait avec un groupe d'amis

http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-skieur-et-une-randonneuse-victimes-de-chutes-mortelles-dans-6509524.html

Une lame de 19 cm pour un vigile

Un Dijonnais de 24 ans qui s’en était pris au vigile d’un grand magasin du centre Dauphine a dû s’expliquer de ses actes, hier, à la barre du tribunal. Le 26 avril 2011, l’homme avait reconnu le vigile comme étant le responsable d’une dénonciation de l’un de ses copains à la police. Animé de l’envie d’en découdre, il était allé chercher un couteau avant de revenir régler ses comptes. Le vigile avait réussi à le désarmer après un échange de coups de poing. L’avocate du prévenu a expliqué que le Dijonnais avait commis ces faits alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool ce qui avait rendu sa déposition confuse : l’homme avait nié dans un premier temps avoir en main la lame de 19 cm. Filmé par les caméras vidéo il avait dû finalement reconnaître les faits. Le tribunal a condamné Thomas Rozier à 15 mois de prison dont 7 avec sursis, obligation de soins et de travail.
http://www.bienpublic.com/fr/faits-divers/article/5160136/Une-lame-de-19-cm-pour-un-vigile.html

Un homme de 54 ans tué en élaguant un arbre

Hier, vers 11h30, sur l'Ile de Groix (56), un promeneur a donné l'alerte à la gendarmerie. Il a en effet découvert le corps sans vie d'un homme de 54 ans. La victime a été retrouvée dans un arbre. L'accident s'est déroulé à l'intérieur de sa résidence secondaire, au lieu-dit Kermouzouet. Alors qu'il utilisait une tronçonneuse électrique pour élaguer un arbre, une lourde branche lui est tombée dessus. L'homme, originaire de Mont-de-Marsan (40), est mort sur le coup. Les pompiers n'ont rien pu faire. D'après les premières constatations faites sur place, l'accident aurait pu avoir lieu vendredi. L'homme était seul dans sa propriété au moment des faits

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/ile-de-groix-un-homme-de-54-ans-tue-en-elaguant-un-arbre-29-05-2011-1318037.php

Un couple de motards tué

Hier matin, un couple de motards circulant sur la RN 116 en direction de Mont-Louis a été percuté au niveau de Thuès-entre-Valls, par un véhicule circulant en sens inverse. Le choc n’a pas été très violent mais a suffi à déstabiliser la moto qui a frappé par deux fois le parapet, et à éjecter les deux motards.
L’homme et la femme, âgés d’environ 55 et 45 ans, ont été projetés à 40 m en contrebas. Plus d’une quinzaine de pompiers sont intervenus, mais n’ont pu sauver le couple. Le conducteur du véhicule qui a heurté la moto ne s’est pas arrêté après le choc.

Des témoins ont fourni un signalement et les gendarmes l’ont intercepté. Le conducteur, âgé d’une quarantaine d’années, a été placé en garde à vue. Il n’était pas sous l’empire d’un état alcoolique et ne serait pas rendu compte de la gravité de l’accident.

http://www.midilibre.fr/2011/05/28/trebes,326317.php

Démantèlement d'un trafic européen de cannabis

Pour comprendre l'affaire, il faut remonter au mercredi 18 août 2010. On est au péage d'Arras, et les douaniers viennent d'intercepter un camion utilitaire. Jackpot : à l'intérieur, conditionnées dans de simples cartons empilés, sont tapies 2,565 tonnes de résine de cannabis.

Soit près de 7,5 millions d'euros à la revente !
Le chauffeur, un quinquagénaire néerlandais, racontera en garde à vue qu'il ignorait tout de ce qui se tramait dans son utilitaire. Lui croyait transporter du pop-corn, pas de la résine. Il est écroué, et une information judiciaire est ouverte. Commence alors un long travail d'investigation.

Deux Néerlandais interpellés
Avec cette particularité que l'enquête sera menée conjointement par les Belges et les Français : « Nous étions persuadés qu'un vaste trafic de drogue était piloté depuis la Belgique et la Hollande. Partant de cette certitude, le juge français s'est rapproché de l'Unité de coopération judiciaire de l'Union européenne (Eurojust), raconte Magali Caillat, directrice adjointe de la DIPJ (Police judicaire) de Lille. Ainsi nous avons pu former, dès mars 2011, une équipe commune d'enquête avec la Belgique ». Composée des polices judiciaires de Lille et de Turnhout, l'équipe mène de longues surveillances. Elle décide de passer à l'action le 19 mai, à Meer, une commune belge à la frontière avec les Pays-Bas. L'homme interpellé ce jour-là est soupçonné d'avoir organisé la cargaison du 18 août. C'est un sexagénaire néerlandais qui est officiellement le gérant d'une société de logistique basée au Pays-Bas, et spécialisée dans le transport de machines-outils. En contactant Europol, les enquêteurs sauront qu'il est déjà connu en Allemagne pour trafic d'ecstasy au début des années 2000. Lors de la perquisition de son domicile, les enquêteurs saisiront d'ailleurs des échantillons d'ecstasy ainsi que 40 000 euros.
Une semaine plus tard, l'équipe commune d'enquête procède à une seconde interpellation, celle du présumé associé de ce Néerlandais. Ça se passe en Hollande, ce jeudi : un Néerlandais âgé d'une cinquantaine d'années est placé en garde à vue.

Tous jugés en France
Voilà donc trois interpellés pour un même trafic. Le premier - le chauffeur pris le 18 août - est déjà sous les verrous en France. Le second - le présumé commanditaire - fait l'objet d'un mandat d'arrêt européen et devrait être extradé vers la France sous quelques semaines. Même chose pour son présumé associé, qui pour l'heure est écroué aux Pays-Bas. La PJ de Lille s'est félicitée de cette enquête « qui marque une vraie réussite franco-belge » . Elle reste persuadée que « sans cette coopération, ce trafic n'aurait pas pu être démantelé ».

http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/05/28/demantelement-d-un-trafic-europeen-de-ca.shtml

samedi 28 mai 2011

Une jeune désespérée se jette sous un poids lourd

Impossible de l’éviter. Sous le choc, le routier meurthe-et-mosellan entendu par les CRS autoroutier a expliqué qu’il n’a rien pu faire. Hier matin, alors qu’il circulait sur l’A 31 en direction du Luxembourg, une femme s’est jetée sous ses roues au niveau du viaduc Beauregard de Thionville. Il était environ 8h et la circulation, dense, comme chaque jour.
La victime a été happée par le poids lourd qui s’est arrêté dès qu’il a pu. Les sapeurs-pompiers de Thionville, Yutz et Hayange sont arrivés sur place en quelques minutes, rapidement rejoints par une équipe du Smur 57. Mais face à la gravité des blessures de la jeune femme, il a fallu faire appel à un hélicoptère pour la transporter en « urgence absolue » vers l’hôpital Central de Nancy. Un engin qui s’est posé à cheval sur l’A31 et la bretelle d’accès à la zone de Linkling.

A31 coupée et axes secondaires saturés

La désespérée, dont les deux jambes ont été sectionnées, a été héliportée dans un état critique. Il s’agit d’une ressortissante étrangère dont l’identité n’a pas été communiquée. Elle séjournait en psychiatrie à l’hôpital Beauregard.
Dans des circonstances que l’enquête devra préciser, elle a quitté le service où elle était hospitalisée pour venir mettre fin à ses jours sur l’axe autoroutier tout proche. Le conducteur du poids lourd, auquel aucune infraction n’est à reprocher, a été transporté à l’hôpital Bel Air de Thionville, en état de choc.
Ce drame est survenu à l’un des pires moments de la journée sur l’autoroute des frontaliers. L’A31 coupée pendant une heure trente au niveau de Thionville, le bouchon a rapidement pris de l’ampleur sur plusieurs kilomètres.
Ceux qui n’ont pas suivi le conseil diffusé par le panneau à message variable de Richemont ont continué sur l’A31 au lieu de rester sur l’A30. Le piège s’est refermé dès Guénange, se prolongeant sur une dizaine de kilomètres.
Plus loin, des motards ont guidé les véhicules vers la sortie Yutz.
Mais la situation n’était guère meilleure sur les axes secondaires, rapidement saturés. L’agglomération thionvilloise a été asphyxiée tant que l’autoroute n’a pas été rendue à la circulation. Soit durant près de trois heures, la situation étant revenue à la normale aux environs de 10h30.
http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2011/05/28/une-jeune-desesperee-se-jette-sous-un-poids-lourd

Agression/Saint-Ouen: 2 inculpations

Deux adolescents ont été mis en examen pour violences avec trois circonstances aggravantes hier après l'agression d'un jeune de quinze ans près de son établissement scolaire mercredi à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de source judiciaire.

Ces deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, ont été mis en examen pour "violences volontaires ayant entraîné une ITT inférieure à 8 jours, en réunion avec arme, aux abords d'un établissement scolaire" et laissés libres, selon cette source.

Selon une source proche de l'enquête, trois jeunes hommes, qui n'étaient pas scolarisés dans le même établissement que la victime, l'avaient agressé, lui tirant dessus avec un pistolet à impulsion électrique avant de le rouer de coups et de le laisser inconscient.
Transporté dans un état jugé critique à l'hôpital Beaujon de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), l'état de Mathieu, 15 ans, s'est amélioré

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/28/97001-20110528FILWWW00417-agressionsaint-ouen-2-inculpations.php

Le septuagénaire tue sa femme et se suicide

Coup de folie ? Acte prémédité ? Toujours est-il que Jean Corne, 72 ans, a tué, hier après-midi, dans le quartier Lacombe à Muret, d'un coup de fusil son épouse Michèle dont il était séparé depuis environ deux ans. Il s'est ensuite donné la mort par pendaison.
C'est la fille du couple qui a donné l'alerte. Inquiète de ne pas parvenir à joindre au téléphone sa mère avec qui elle avait rendez-vous, elle a appelé les pompiers. Ce sont ces derniers qui ont fait la macabre découverte. Les gendarmes, informés du drame qui venaient de se jouer, se sont aussitôt rendus sur place en nombre craignant que le meurtrier soit encore vivant.
Les précautions des gendarmes autour de la maison et le bouclage du quartier se sont finalement avérés inutiles. En fouillant les différentes pièces, les enquêteurs devaient se rendre à l'évidence Jean Corne était mort, pendu dans la cuisine. Il avait auparavant tenté de se tirer une balle dans la poitrine.
Brigitte Lanfranchi, substitut du procureur de la République, est venue sur les lieux en milieu d'après-midi. Sur le plan judiciaire, l'action publique est éteinte puisque le meurtrier est mort.
Séparé de son épouse depuis environ deux ans, Jean Corne supportait difficilement cette rupture qui devait se conclure par un divorce. Il semble que samedi dernier, Jean Corne ait reçu les papiers attestant de ce divorce.
Hier, ils se sont une dernière fois rencontrés dans la villa. Que s'est-il passé ? La mort a jeté sur ce drame son voile de silence et de mystère.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/28/1092790-le-septuagenaire-tue-sa-femme-et-se-suicide.html

Prison ferme pour avoir tiré sur l’immeuble de ses voisins

Hasard du calendrier judiciaire : hier, après l’accident de chasse de Saint-Offenge, le tribunal correctionnel de Chambéry s’est penché sur l’affaire du “Tireur de Cognin”.
Le 11 avril dernier, Jacques Puthod, 62 ans, tire avec sa carabine 22 long rifle sur l’immeuble d’en face. Cinq balles vont se ficher dans la façade, deux traversent le store et la baie vitrée d’un appartement.

Un geste « qui aurait pu tuer »

« Il était 20 h 30, j’étais tout seul, je m’ennuyais. Je voulais régler la lunette de visée de mon arme » se souvient le prévenu, inscrit depuis cinq ans dans un club de tir du bassin chambérien. Du bout des lèvres il ajoute « je suis désolé d’avoir causé des inconvénients ».
L’ancien cuisinier a tiré sept fois en plein centre de Cognin : pout le procureur, Pierre Filliard, «c’est un geste inconsidéré qui aurait pu tuer ». Un véritable arsenal a été découvert au domicile du prévenu précise le président du tribunal, Bernard Landot.
Jacques Puthod a été condamné à six mois de prison dont un ferme, une interdiction de détention d’arme de 5 ans, la confiscation de ses armes, 200 € d’amende et le paiement des dommages et intérêts.
http://www.ledauphine.com/savoie/2011/05/27/prison-ferme-pour-avoir-tire-sur-l-immeuble-de-ses-voisins

Jugés pour 50 000 € de fraude aux allocations familiales

En tout, la fraude aux organismes sociaux s’élève à 50 000 €. La caisse d’allocations familiales (Caf) est la principale victime de ces prestations frauduleuses. La méthode de l’embrouille ? Un enfant faussement reconnu par un ressortissant français d’origine marocaine. Ce qui a permis à cette femme de nationalité marocaine de toucher les allocs’et accessoirement d’obtenir un titre de séjour.
Un complice se trouvait avec elle, hier, à la barre du tribunal correctionnel de Nîmes, poursuivi également pour "perceptions frauduleuse de prestations au titre de l’aide sociale". Confrontés au feu nourri des questions du président Bruno Lavielle, les prévenus ont indiqué qu’ils regrettaient leur attitude. Parfois des larmes (de crocodile ?) ont ponctué les débats et souvent la présentation des faits (2007 à 2010) paraissait désagréable. Le représentant de la Caf a pris aussi la parole. Il n’a pas caché son irritation face à ce genre de comportement qui nuit fortement à la collectivité. Le remboursement des sommes a été réclamé.

Au terme de l’instruction du dossier et de la prise de parole des parties civiles (le Département du Gard était présent aux côtés de l’organisme social), le substitut du procureur de la République, Eric Emmanuelidis, a pris la parole pour fustiger le comportement de cette mère (il est vrai impécunieuse), mais dont le comportement indigne faisait porter un fardeau bien lourd à cet enfant "qui possède une identité qui n’est pas la sienne et un père qui n’est pas le sien". L’accusation, solennelle et irritée, souligne que "ce comportement fait le lit du pire". Quatre mois de prison et 1 000 € d’amende sont requis contre Rachida Benaliliche, la jeune femme et 3 000 € d’amende contre Khalid Mohssine qui était coprévenu. Pour la défense Me Jean-Pierre Cabanes, a estimé qu’il n’était pas opportun d’ouvrir "le vaste débat de l’immigration" dans le prétoire.
L’avocat a tracé - schématiquement - la typologie des immigrés venant s’installer dans le Gard. Pour lui, quelques Algériens, quelques Tunisiens et principalement des migrants Marocains. Selon lui, cette immigration est répartie à Nîmes "avec une partie à la Zup nord, une partie à la Zup sud, le reste à la maison d’arrêt".
Le bâtonnier Cabanes a ensuite contesté avec force l’attitude de la Caf dans sa démarche. Selon l’avocat, malgré ses errements, la jeune femme a nourri ses trois enfants avec l’argent perçu. Le jugement a été mis en délibéré au 14 juin.
http://www.midilibre.fr/2011/05/27/juges-pour-50-000-eur-de-fraude-aux-allocations-familiales,325851.php

Drame hier matin sur l'A31: une jeune femme de 27 ans passe sous un camion

hier matin peu après 8 h, une jeune femme de 27 ans est passée sous un camion à Thionville, à hauteur du viaduc de Beauregard. Les secours sont arrivés rapidement sur place. La jeune femme est sérieusement blessée, notamment aux jambes. Ellle a été héliportée. Ses jours sont en danger. La circulation a été très perturbée sur l'A31. A partir de 8 h 20, le Crir enregistrait des bouchons dans les deux sens et sur plusieurs kilomètres.
A cette heure, il est difficile de dire s'il s'agit d'un accident ou si la jeune femme a tenté de se suicider.

http://www.estrepublicain.fr/fr/a-la-une/info/5159456-Drame-sur-l-A31-une-jeune-femme-de-27-ans-sous-un-camion

vendredi 27 mai 2011

Une lame de rasoir dans une baguette

Mehmet Kahriman, habitant de Vernon, dans l'Eure, a trouvé une lame de rasoir dans la baguette de pain qu'il venait tout juste d'acheter au supermarché Leclerc samedi dernier, rapporte Paris-Normandie vendredi. Le Vernonnais et son épouse, insatisfaits de la réponse du chef de rayon du supermarché, qui parle seulement d'"accident", a déposé une main courante au commissariat de police. De son côté, le gérant du supermarché n"y croit pas : "nous n’utilisons pas de lames de rasoir en boulangerie, assure-t-il, mais des scarificateurs, un genre de bistouri dont la lame est solidaire du manche. Quant aux salariés, ils portent une tenue de travail spéciale. On ne voit pas pourquoi ils auraient une lame de rasoir dans leur poche. Et personne de l’extérieur n’a accès au laboratoire. Je suis plus qu’extrêmement surpris que cette baguette vienne de chez nous et je ne peux pas le vérifier". L'histoire risque de s'arrêter là.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Une-lame-de-rasoir-dans-une-baguette-321289

Berck : des coups de feu tirés lors d'une partie de pêche qui dégénère

Une simple partie de pêche a tourné au pugilat, mercredi soir, au bord d'un étang situé au nord de Berck, près du chemin de la Grosse-Pierre. ...


Une famille de quatre personnes, dont un enfant de 13 ans, avait posé ses gaules au Terminus autour d'une hutte de chasse.
Mais l'utilisateur de cette dernière est arrivé en colère. Sa hutte avait apparemment été cambriolée récemment. Ce Berckois d'une cinquantaine d'années, accompagné de sa femme, était muni d'un fusil de chasse de calibre 12. Il aurait alors tiré à deux reprises, sans pour autant viser le groupe. Personne n'a été blessé, mais lorsque l'un des pêcheurs lui a arraché son arme, la dispute a viré à la bagarre. Tous auraient alors appelé des renforts parmi leurs familles respectives et, au final, sept personnes en sont venues aux mains. Des coups ont été échangés à l'aide de barres de fer et autres objets trouvés sur place. Jusqu'à ce que la femme du Berckois appelle la police. Lorsque les forces de l'ordre sont arrivées, il ne restait plus que le groupe des pêcheurs sur place. L'un d'eux, blessé à l'oeil suite à un coup ou à une chute, a dû être transporté au centre hospitalier de Rang-du-Fliers, puis à Amiens. Il a reçu cinq jours d'interruption temporaire de travail.

Des armes non déclarées

Ce groupe, résidant autour de Montreuil, a déposé plainte hier matin. Le commissariat a souhaité régler rapidement l'affaire afin d'éviter tout nouveau débordement. Les policiers ont d'abord convoqué le Berckois, qui a été placé en garde à vue. Puis sa femme et ses deux « alliés » ont été interpellés. Une perquisition de son domicile a ensuite permis aux policiers de mettre la main sur deux carabines de gros calibre non déclarées.
Ces quatre personnes ont été relâchées peu avant 18 heures. Le dossier a été transmis au parquet, qui décidera des poursuites à engager pour ces faits de « violences en réunion » et « avec arme »
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Montreuil/actualite/Secteur_Montreuil/2011/05/27/article_berck-des-coups-de-feu-tires-lors-d-une.shtml

Métro/électrocution: plainte contre X

Le père d'un jeune homme mort électrocuté dans le métro, mi décembre 2010, après une soirée arrosée, a déposé plainte contre X pour homicide involontaire et non assistance à personne en danger, a-t-on appris vendredi auprès de son avocat. La plainte a été déposée le 17 mai au tribunal de grande instance de Paris, a indiqué Me Richard Forget confirmant une information du Parisien.

Le jeune homme, Maxime Salagnac, 19 ans, était mort électrocuté après une chute sur les voies du métro parisien gare d'Austerlitz (13è), au sortir d'une soirée très arrosée qui avait été organisée par le bureau des élèves de l'établissement dans lequel il était scolarisé. L'analyse toxicologique a relevé un taux élevé d'alcolémie au moment du décès, a précisé Me Richard Forget à l'AFP.

Selon Me Forget, le jeune homme a été le dernier à quitter l'établissement, une discothèque, où s'était déroulée la soirée. Il a ensuite "déambulé" dans Paris avant de se retrouver, par hasard, gare d'Austerlitz. Il s'est alors endormi sur un banc avant de se relever. Il a alors titubé et chuté sur la voie du métro. "Porter plainte contre X va permettre d'élargir la recherche de responsabilités", a précisé Me Forget. Elle vise en particulier le bureau des étudiants et l'organisatrice de la soirée qui avaient amené l'alcool, ainsi que l'alcolier qui a fourni les bouteilles.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/27/97001-20110527FILWWW00442-metroelectrocution-plainte-contre-x.php

A contresens sur l'A89 entre Noirétable et Saint-Germain-Laval

Un automobiliste de 78 ans a pris l'autoroute A89 à contresens entre Noirétable et Saint-Germain-Laval cet après-midi. L'homme, originaire de Mornant (Rhône), avait peut-être parcouru une vingtaine de kilomètres avant d'être arrêté
Fort heureusement, plus de peur que de mal cet après-midi sur l'A89, le conducteur, à contresens sur l'A89 au volant d'une Saxo blanche, n'a causé qu'un accrochage qui n'a fait qu'un blessé léger.
Arrêté à Saint-Germain-Laval, l'homme dit n'avoir aucun souvenir de sa manoeuvre d'entrée sur l'autoroute.

Samedi, c'est un autre octogénaire qui était interpellé à contresens sur l'A72 à la hauteur du péage de Veauchette dans la plaine du Forez


http://www.leprogres.fr/loire/2011/05/26/a-contresens-sur-l-a89-entre-noiretable-et-saint-germain-laval

À Brest, des policiers sauvent un homme du suicide

Une patrouille de police a empêché un jeune homme de se jeter dans le vide. En le retenant par les chevilles, puis en le menottant à la rambarde du pont...
L'histoire
Il a mauvaise réputation, le pont Schumann, à Brest. À tel point qu'avant la pose de hautes rambardes, on l'appelait le pont des suicidés. C'est peut-être cette image qui a éveillé les soupçons d'une policière, mercredi à 1 h 50... « Sa patrouille devait passer le pont pour intervenir sur un différent familial », explique le commissaire Yves Floc'h. Mais là, sur un muret à l'entrée du pont, un jeune homme est assis. Sans bouger. Inquiétant à cette heure-là.
Parler, parler, parler
La brigadière fait stopper sa voiture un peu plus loin. L'équipage attend. Pas très longtemps. Le Brestois de 33 ans quitte son muret. Pour passer de l'autre côté des gardes corps du pont ! Et se rapprocher de l'endroit où le vide se fait plus profond encore...
Les trois policiers s'approchent au fur et à mesure de lui. « Ils n'ont pas arrêté de lui parler », explique le commandant Daniel Kerdraon. Le suicidaire leur explique qu'il va se jeter du pont parce que son amie vient de le quitter. Il vient d'ailleurs de lui envoyer un SMS pour la prévenir de ses intentions.
Et tout à coup, il lâche les grillages auxquels il s'accrochait ! Dans un incroyable réflexe, « un policier se jette sur ses chevilles, pour le retenir ». L'autre gardien de la paix le saisit par le blouson... L'épreuve d'endurance commence... « Pendant quinze minutes », ils vont tenir le désespéré à bout de bras. Tout en continuant à lui parler. Les pompiers arrivent enfin. Mieux équipés, ils passent eux aussi de l'autre côté de la rambarde de sécurité. Rejoignent le suicidaire.
Menotté au pont !
Enfin, les policiers vont pouvoir souffler. Ils tendent des menottes aux pompiers, qui les attachent aux chevilles du désespéré, et au pont. Tout en continuant à soutenir le jeune homme. C'est finalement le groupement d'intervention en milieu périlleux (Grimp) des pompiers qui sort le désespéré « de sa position inconfortable », comme le décrit sobrement le registre de main courante du commissariat de Brest.
Quant à la patrouille qui lui a sauvé la vie, elle a continué son travail de nuit normalement.

jeudi 26 mai 2011

Une affaire de détournement à la direction de l'agriculture

Une fonctionnaire sans antécédents, et même considérée comme un "bon élément", a été condamnée mardi à sept mois de prison avec sursis pour détournement de biens d'un dépôt public, de faux et de prise de nom d'un tiers. Il lui était reproché d'avoir détourné, pour ses propres dépenses, 5 000 euros d'argent public. Le jugement a été prononcé par le tirbunal correctionnel de Lons-le-Saunier.
Les faits, reconnus par la prévenue, se sont déroulés pendant plusieurs mois, jusqu'à la fin de l'année 2010. Elle a expliqué avoir rencontré des difficultés personnelles, avoir "perdu les pédales" et avoir continué ses actes lorsqu'elle a constaté que cela avait marché la première fois. Cette fonctionnaire de la direction départementale des territoires du Jura, qui dépend de la direction départementale de l'agriculture, imitait la signature d'un ancien collègue, en charge des achats.

http://www.leprogres.fr/actualite/2011/05/26/une-fonctionnaire-de-la-ddt-condamnee-pour-detournement

Six suspects arrêtés après une violente agression

Les gendarmes de la section de recherche (SR) ont interpellé mardi matin six individus, dans la périphérie toulousaine, soupçonnés d'avoir pris part à une violente agression commise au domicile d'un homme, le 21 juillet 2010, à Saint-Jory. Ce soir-là, la victime dormait chez elle lorsque plusieurs hommes encagoulés et armés ont fait irruption pour lui dérober de l'argent. L'occupant des lieux a résisté à ses agresseurs et lors de la rixe il a reçu un coup de couteau qui lui a sectionné une artère. Les malfaiteurs ont pris la fuite. Grièvement blessée, la victime a été conduite en urgence à l'hôpital. Après de longues surveillances et de nombreux recoupements, les enquêteurs de la SR arrivent à localiser et à identifier six suspects. Mardi, les gendarmes sont passés à l'action, agissant sur commission rogatoire d'une juge d'instruction. Parmi les six suspects, quatre auraient participé directement aux violences. Hier, ils ont été présentés devant un juge pour être mis en examen pour « tentative d'assassinat. »
À l'origine de cette affaire, une vengeance qui aurait mal tourné. Les principaux suspects sont déjà connus des services de gendarmerie. Par ailleurs, cinq autres personnes ont été arrêtées non loin de Graulhet, lundi et mardi, dans le Tarn, toujours par les enquêteurs de la SR, dans le cadre d'une enquête sur une agression au domicile d'un couple d'agriculteurs, à Roquevidal. Les faits remontent au 26 janvier 2011. Une équipe de malfaiteurs s'était introduite chez les propriétaires pour voler des bijoux.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/26/1090669-six-suspects-arretes-apres-une-violente-agression.html

Les membres d’une famille réglaient leurs différends à coups d’électrochoc

Un différend, entre plusieurs jeunes hommes d’une même famille, s’est réglé, il y a deux ans à Villefranche, à coups, notamment, de taser (terme générique retenu dans la procédure). L’arme utilisée dans ce conflit, qui faisait l’objet d’une audience en correctionnelle, mardi à Villefranche, est différente du type de celle employée par les policiers et les gendarmes. Plus petite, elle n’épouse pas la forme d’un pistolet et ne lance pas d’électrodes. Pour la faire fonctionner, il faut au contraire s’approcher de la cible. Hamed (1), prévenu et victime dans cette affaire, saurait parfaitement décrire les effets de ce que les professionnels appellent un électrochoc. Lors d’une bagarre avec son cousin Nourdine, il a reçu plus d’une dizaine d’impulsions électriques, ainsi que le démontre un certificat médical produit au dossier. Ce contentieux entre eux deux est né « bêtement », le soir du 9 mai 2009, « à cause de l’alcool ». « On était en boîte de nuit et je n’ai pas voulu lui payer un dernier verre », a raconté Hamed à la barre du tribunal. « Du coup, Nourdine ne voulait plus me raccompagner en voiture, mais il s’est rétracté. À bord, on était alcoolisés et les noms d’oiseaux ont fusé. » La dispute s’est achevée quand Hamed a pris la fuite après avoir aspergé Nourdine de lacrymogène. Fin du premier acte. Le second s’est déroulé une dizaine de jours plus tard. En plein centre de Villefranche, Hamed recroise Nourdine, lequel est muni à cet instant-là du fameux mini-taser. Une bagarre éclate et Hamed endure plusieurs décharges. Le soir-même, toujours dans le centre-ville, les deux protagonistes se retrouvent accompagnés de leur frère respectif et équipés de barre de fer. La situation dégénère. Nourdine reçoit un couteau (replié) sur le nez et Hamed est encore « taserisé » sur le torse et dans le dos. « Ce soir-là, heureusement que des personnes sont intervenues pour nous séparer », a exprimé ce dernier. Bien que très violents, les échanges n’ont débouché sur aucune incapacité temporaire de travail (ITT). « Depuis les faits, il n’y a plus eu de bagarre entre eux », a précisé le vice-procureur Ohayon. Lequel a requis contre Hamed, six mois de prison avec sursis. Pour son jeune frère, en revanche, il a été un plus sévère (huit mois demandés) du fait de son absence aux débats. Idem pour Nourdine. En répression, le tribunal les a condamnés respectivement à quatre, cinq et sept mois de prison avec sursis. Reconnu comme étant l’auteur des violences, Nourdine devra verser à Hamed 1 000 euros de dommages et intérêts, et 600 euros pour les frais d’avocat.
(1) Prénom d’emprunt.

Bastia: attentat contre Corse Matin

L'agence du quotidien régional Corse-Matin a été la cible d'un attentat dans la nuit dernière à Bastia sans faire de blessé, a-t-on appris auprès des secours.

Une à deux explosions ont été entendues peu après 1 heures par les riverains de la rue César-Campinchi dans le centre-ville de Bastia où se trouve l'agence du quotidien Corse-Matin, selon les secours. Selon les premiers éléments de l'enquête, la charge a été déposée contre la porte d'entrée du quotidien.

L'attentat a été confirmé à l'AFP par le directeur de la rédaction, Roger Antech, qui a précisé que les dégâts ne concernaient a priori que la façade. Un incendie s'est déclaré et a rapidement été maîtrisé par les sapeurs-pompiers. Un périmètre de sécurité a été mis en place par la direction départementale de la sécurité publique et les démineurs ont été dépêchés sur place.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/26/97001-20110526FILWWW00378-bastia-attentat-contre-corse-matin.php

Trois dealers arrêtés au Cap d'Agde : 500 grammes de cannabis saisis

Les policiers de la brigade anticriminalité d’Agde ont interpellé trois individus en flagrant délit de trafic de stupéfiants, lundi 23 mai, aux alentours de 20 h, avenue des Villes-d’Amérique au Cap-d’Agde. Une arrestation houleuse au terme de laquelle un agent a été blessé au visage et est actuellement en arrêt de travail pour sept jours.
Les deux vendeurs, deux Marocains âgés de 18 et 26 ans, ainsi que l’acheteur, un Agathois de 20 ans, tous défavorablement connus des services de police, ont été placés en garde à vue. Sur eux, les policiers ont mis la main sur cinq savonnettes de résine de cannabis de 100 grammes chacune ainsi qu’un pistolet à impulsion électrique appartenant au plus âgé des trois.

Les perquisitions ont également permis de saisir une somme rondelette de 1 200 € en liquide ainsi que du matériel de conditionnement.
Après avoir reconnu les faits qui leur étaient reprochés, les trois mis en cause ont été déférés devant le Parquet de Béziers et écroués dans l’attente de leur présentation en comparution immédiate, demain matin.
Quant aux policiers, ils s’attellent désormais à tenter d’identifier les grossistes, les deux revendeurs marocains étant subitement atteints d’amnésie.
http://www.midilibre.fr/2011/05/25/trois-dealers-arretes,324722.php

Elle découvre un serpent corail dans son jardin

D'après une information révélée par le site lindependant.fr, une habitante de Perpignan a eu la peur de sa vie en découvrant dans son jardin un serpent corail jaune et noir, considéré comme un des plus dangereux au monde. Fort heureusement le reptile était mort.

Comment un animal qui vit d'habitude vit en Amérique du Sud, dans les Caraïbes ou au Mexique a-t-il pu se retrouver dans la capitale catalane ? Mystère ! Peut-être un collectionneur amateur de reptiles exotiques aura-t-il laissé s'échapper un de ses protégés ? En tous cas, malgré ses couleurs chatoyantes, le serpent corail (d'où son nom), représente un véritable danger pour l'homme. En effet, la morsure de ce serpent, qui peut atteindre 2 mètres de longueur, est presque toujours mortelle.

Le poison neurotoxique que diffuse ses crochets paralyse instantanément les centres nerveux et peut conduire rapidement à la mort. A l'inverse d’autres serpents, il ne relève pas la tête quand on s'approche de lui. On peut donc facilement lui marcher dessus et se faire mordre sans l'avoir même aperçu.

Mais comme le précise l'adage : "Le pire n'est jamais certain". En effet il existe une chance pour que le serpent retrouvé mort appartienne à une espèce inoffensive. Il existe en effet des "faux serpents corail" dont la taille varie de 70 à 80 cm. Ils profitent de la sinistre réputation des "vrais serpents corail" pour faire fuir les prédateurs.

http://www.midilibre.fr/2011/05/25/elle-decouvre-un-serpent-corail-mort-dans-son-jardin,324630.php

mercredi 25 mai 2011

Epouvantable accident sur l' A 48

Un dramatique accident de la circulation a fait un mort ce mercredi vers 12 h 30 dans l'agglomération grenobloise. Une personne circulant au volant d'une Renault Twingo a trouvé la mort, carbonisée, après avoir été percutée par un camion frigorifique. L'accident s'est produit dans le sens Grenoble-Lyon, entre la bretelle de sortie de Saint-Martin-le-Vinoux et la bretelle d'entrée du pont d'Oxford. Selon les premiers éléments recueillis sur place, un ralentissement, causé par un premier accident matériel sur une zone de travaux, s'est produit peu après midi. Une Renault Twingo qui venait de stopper en bout de file a été percutée de plein fouet par un petit camion, la voiture s'embrasant immédiatement. Si le conducteur du véhicule utilitaire est parvenu à s'extraire de son véhicule, il n'en fut pas de même de la personne prisonnière de la Renault, qui est morte carbonisée sous les yeux des témoins impuissants. Cette personne, homme ou femme, n'a pu être identifiée. Trois autres véhicules auraient été impliqués dans la collision. Vers 15 h 30, l'A 48 devait être rouverte à la circulation, une déviation ayant été mise en place pendant les opération de secours.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/05/25/accident-mortel-sur-l-a48-un-poids-lourd-et-trois-vehicules-impliques

L’ancien policier comparaîtra devant le tribunal de Chalon

Suite à sa garde à vue au commissariat de Montceau, l’ancien policier qui avait observé dimanche une femme se déshabiller en utilisant un miroir dans les vestiaires du centre nautique a été déferré hier devant le parquet du tribunal de Chalon. Le quinquagénaire avait également menti sur sa fonction aux policiers municipaux qui étaient intervenus, se prétendant réserviste de la police nationale et montrant la photocopie de la carte professionnelle qu’il aurait dû rendre à son départ à la retraite en 2005 . Devant le parquet, il a reconnu les faits et comparaîtra jeudi devant le tribunal correctionnel après une convocation par procès-verbal.

http://www.lejsl.com/fr/accueil/article/5143301/L-ancien-policier-comparaitra-devant-le-tribunal-de-Chalon.html

Bourges : un mort dans un accident d'ULM

Un pilote d'ULM de 63 ans a trouvé la mort mercredi matin lorsque son appareil s'est écrasé dans un champ à Levet (Cher) pour une raison encore indéterminée, a-t-on appris de sources concordantes. Un témoin a appelé les secours vers 10h00 pour signaler un ULM en feu dans un champ à Levet, à une vingtaine de km au sud de Bourges, ont indiqué les pompiers. La victime, tuée sur le coup, était un pilote chevronné inscrit depuis un an au club de Dun-sur-Auron, a précisé le président de ce club. Il était seul à bord de cet ULM de type X-Air. L'origine de l'accident n'avait pas été établie en début d'après-midi. Dans sa chute, l'appareil a sectionné une ligne EDF moyenne tension, a constaté un correspondant de l'AFP.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Bourges-un-mort-dans-un-accident-d-ULM-319827

Alcoolisé au volant, il avait tué un motard : un an de prison ferme

Presque huit mois de détention provisoire n’ont pas suffi. Condamné hier après-midi, pour la mort d’un homme, à une peine de deux ans de prison dont un an avec sursis, John Denis, 36 ans, devra encore patienter quelques semaines, avant de quitter le centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse, et d’aspirer à une nouvelle vie. Logiquement sanctionné par le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse, et maintenu en détention, ce chauffard d’un jour n’avait pourtant pas attendu de se retrouver dans le box pour faire amende honorable, tenter d’expier sa faute, comprendre sa dérive alcoolique aux conséquences tragiques.
L’accident s’était produit le 3 octobre dernier, sur la départementale 984 entre Divonne-les-Bains et Gex, à hauteur de la commune de Vesancy. Il était 13 heures. « Je n’oublierai jamais ce dimanche, ni le visage de la victime », écrira plus tard le prévenu, au frère du défunt, représenté en tant que partie civile au procès. Au volant de sa camionnette, 2,34 g d’alcool dans le sang, le conducteur avait fait une embardée au plus mauvais moment, percutant de plein fouet une moto qui arrivait en sens inverse. Éjecté, le pilote de la moto, un Genevois âgé de 28 ans, sera déclaré décédé quelques instants plus tard.
« Ce drame, il aurait dû être évité », a rappelé hier le substitut Virginie Maggio, au nom du parquet, détaillant les quantités d’alcool, de la bière et du vin blanc, consommés la veille au soir, puis le matin même, par l’agent d’entretien dépressif. Ces excès, pour lui, « les derniers temps, c’était devenu habituel », ainsi qu’il l’a reconnu, racontant ses vaines tentatives de désintoxication, un combat inachevé contre un alcoolisme maladif.
Des regrets, et des propos empreints d’une certaine lucidité : « Je voudrais m’excuser auprès de la famille, pour l’immense faute que j’ai commise. Je ne pourrai jamais réparer le mal que j’ai fait. Malheureusement, il a fallu ce drame pour que je comprenne. » L’expression d’une prise de conscience, soulignée, pour la défense, par M e Marie Audineau, rappelant l’attitude de son client dès les premiers instants, et plus tard.
En toile de fond, la détresse d’un père, « effondré » par les conséquences de ses actes ; la clairvoyance d’un détenu ayant mis à profit la détention pour faire un travail sur lui-même ; le fatalisme d’un prévenu déjà condamné, à vie : « Pour lui, la pire des sanctions, c’est d’avoir la mort d’un homme sur la conscience. »
http://www.leprogres.fr/ain/2011/05/25/alcoolise-au-volant-il-avait-tue-un-motard-un-an-de-prison-ferme

Saint-Ouen : un garçon de 15 ans dans un état critique

Un adolescent d'une quinzaine d'années a été passé à tabac ce mercredi matin devant son collège à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), proche de la mairie, par trois personnes. Visé par un tir de pistolet à impulsions électriques, il aurait perdu connaissance.
Il a été hospitalisé dans un état jugé sérieux, du fait d'un possible traumatisme crânien, à l'hôpital Beaujon de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine).


http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/saint-ouen-un-garcon-de-15-ans-dans-un-etat-critique-25-05-2011-1466358.php

Fabrice Wullens, le directeur du casino, a été retrouvé mort à son domicile

Abasourdi. Sous le choc. Le personnel du casino de Valras ne parvient pas à comprendre la nouvelle tombée dans la nuit. Leur directeur, Fabrice Wullens a été retrouvé mort à son domicile, lundi vers 23 h.
Ce jeune chef d’établissement de 35 ans aurait mis fin à ses jours à la suite d’un grave différend familial. Il laisse, en dehors de toute sa famille et ses enfants, un personnel totalement désemparé.

"C’était un homme dynamique. À fond dans son travail. Toujours sur le pont et à notre écoute, assurent certains membres du personnel du casino. Nous sommes sous le choc car nous n’avons rien vu venir. Rien ne laissait présager un tel geste. Jamais nous n’aurions imaginé vivre un tel événement."
Fabrice Wullens est arrivé à la direction du casino de Valras pour remplacer l’ancien directeur Stéphane Guérin, lui aussi décédé.
Il était touours jovial avec les personnes qu’il côtoyait. Nombreuses sont celles qui insistent aujourd’hui sur le fait que c’était "un jeune qui aimait la vie, qui vivait sa passion de la gestion des jeux et son métier à cent à l’heure. Le stress était son compagnon et il vivait, semble-t-il, en harmonie avec lui".
En forme de respect, le personnel qui parle de lui refuse d’être identifié. "Lui rendre hommage, c’est parler de lui et pas nous mettre en avant."
De son côté, la direction du groupe Tranchant, qui gère l’établissement de Valras, s’exprimait ainsi : "Le Groupe Tranchant et les collaborateurs du casino de Valras-Plage ont appris avec une grande émotion le décès de Fabrice Wullens, leur directeur général. Nous sommes tous sous le choc de cette disparition brutale. Notre directeur était aimé et respecté autant par sa hiérarchie que par l’ensemble de ses collaborateurs et de la clientèle. Fabrice Wullens était un directeur très proche et à l’écoute de tous. Toujours positif, allant de l’avant, il savait écouter et conseiller : un manager hors pair ! Il laisse un grand vide…"
http://www.midilibre.fr/2011/05/24/fabrice-wullens-le-directeur-du-casino-a-ete-retrouve-mort-a-son-domicile,324162.php

Billy-Montigny : il est agressé quand il pêche, il tire un coup de feu en représailles

Un homme de Noyelles-sous-Lens âgé de 40 ans pêchait avec son collègue, samedi après-midi, à Billy-Montigny. Et puis un groupe est arrivé et a importunés les deux pêcheurs. On ne sait pas combien étaient ces agresseurs. Ils auraient frappé le Noyellois. Il était 18 h 45. Alors celui-ci est parti chez lui en voiture. ...

Il est revenu avec un fusil de chasse. Et comme il savait, apparemment, dans quel quartier et même dans quelle rue habitaient ses agresseurs, il s'y est rendu. Une fois dans la rue Salvador-Allende, il a tiré un coup de feu en l'air. Il était 20 h 15. Personne, par chance, n'a été blessé. Mais une femme de 39 ans a fait un malaise, sans doute à cause de la peur provoquée par la déflagration. Elle a été transportée par les pompiers à l'hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. L'homme au fusil de chasse a pris la fuite.

Test d'alcoolémie positif

Toujours est-il que l'alerte a été donnée. La police s'est mise à la recherche de la voiture dont l'immatriculation avait été communiquée par des témoins. Une patrouille est tombée sur le véhicule en question, rue de Sallaumines, dans la ville du même nom. L'homme, selon une source, n'a fait aucune difficulté lors de son interpellation. Il a été ramené au commissariat. Le dépistage de l'alcool s'est avéré positif. Il a été placé en garde à vue.
Lors de la fouille, les policiers ont découvert 1,5 gramme de cannabis sur lui.
La brigade criminelle a été saisie de l'enquête. Une douille de calibre douze a été retrouvée dans la rue où le coup de feu avait été tiré. Une source proche de l'enquête expliquait hier soir que le mis en cause avait été libéré hier matin. C'est le parquet de Béthune qui a pris cette décision. L'arme ayant servi à tirer le coup de feu n'a pas été retrouvée et les personnes dont le mis en cause voulait se venger n'ont pas été identifiées.

L'enquête menée par la brigade criminelle se poursuit donc pour éclaircir cette affaire.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lens/actualite/Secteur_Lens/2011/05/24/article_billy-montigny-il-est-agresse-quand-il-p.shtml

mardi 24 mai 2011

Sarthe : un bus scolaire s'embrase, pas de victimes

Un bus scolaire avec à son bord 48 enfants d'école primaire et six adultes s'est embrasé mardi après-midi dans la Sarthe mais aucun blessé n'a été constaté. L'incident est survenu sur la route de Cerans Foulletourte, la RD323 à Clermont-Créans, vers 16 heures. Les causes de l'incendie ne sont pas encore connues.
Selon les premiers éléments, les adultes ont fait sortir les enfants dès les premiers signes d'incendie, avant que le bus ne soit «entièrement embrasé», selon les pompiers qui n'ont dénombré «aucune victime». Une vingtaine de sapeurs-pompiers ont été mobilisés sur place pour éteindre le feu.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/sarthe-un-bus-scolaire-s-embrase-pas-de-victimes-24-05-2011-1465063.php

Important coup de filet ce matin dans le quartier du Viguier

Importante opération, ce matin, dans le quartier sensible du Viguier, à Carcassonne, qu’une cinquantaine de fonctionnaires de police, de la gendarmerie, des douanes et de la brigade de recherche et d’intervention du SRPJ de Montpellier, intervenant en appui, ont investi, vers 6 h 30. Peu après 8 h 30, le dispositif a été levé.
L’opération, coordonnée par la direction départementale de la sécurité publique de l’Aude, s’inscrirait dans le cadre d’une commission rogatoire délivrée par le juge d’instruction de Carcassonne, sur fond d’important trafic de stupéfiants, et serait l’aboutissement de plusieurs mois d’enquête.

La justice et la police observent le mutisme le plus complet sur cette opération. Selon nos informations, les forces de l’ordre auraient procédé à plusieurs interpellations de “dealers” présumés, placés en garde à vue au commissariat de Carcassonne, et auraient découvert d’importantes quantités de résine de cannabis, mais aussi de cocaïne.
Deux véhicules auraient également été saisis par les enquêteurs, véhicules qui seront confiés à des spécialistes de police scientifique, dans le but de déterminer s’ils ont pu servir au trafic.
Cette importante opération serait susceptible de déboucher sur de nombreuses interpellations, dans les jours qui viennent, et pourrait également connaître d’autres prolongements
http://www.midilibre.fr/2011/05/24/dma-descente-de-police-ce-matin-a-carcassonne,323997.php

Saisie de drogue et des arrestations à Saint-Ouen

Arrestations matinales, ce mardi, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), dans la cité Cordon. Les policiers locaux ont interpellé quatre personnes, soupçonnées de participer plus ou moins activement à un trafic de cannabis. Parmi elles, deux nourrices présumées. De la drogue a aussi été trouvée. La quantité précise reste à déterminer mais il pourrait y avoir une douzaine de kilos de résine.
15 000 euros en liquide ont par ailleurs été découverts et des voitures saisies. Ce quartier fait partie d’une attention particulière de la police, dans le cadre de la lutte contre les stupéfiants.

http://www.leparisien.fr/saint-ouen-93400/saisie-de-drogue-et-des-arrestations-a-saint-ouen-24-05-2011-1464836.php

Une mère et ses enfants renversés chemin Nicol

On a frôlé le drame, hier matin, dans le quartier Croix-Daurade, à Toulouse.
Une mère de famille de 27 ans, sa fille de 3 ans et son fils de 5 ans, ont été renversés par une camionnette, vers 8h15, chemin Nicol, à Toulouse.
Seul le garçonnet a été blessé un peu plus sérieusement que le reste de la famille. Il était maintenu en observation, hier soir, à l'hôpital des enfants, à Purpan. Hier, peu après 8 heures, le conducteur d'une camionnette, ébloui par le soleil et circulant à faible allure a percuté la mère et se deux enfants alors qu'ils traversaient sur un passage piétons, à l'angle du chemin Nicol et de la rue d'Avranches. Les pompiers, arrivés très vite sur les lieux, ont pris en charge les victimes, toutes conscientes après le choc.
Le conducteur a été entendu sur place par les policiers et laissé libre après un test d'alcoolémie qui s'est avéré négatif.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/24/1089525-une-mere-et-ses-enfants-renverses.html

Il écope de quatre mois de prison ferme pour vol et insultes

Le week-end passé en prison l’a amené, hier après-midi, devant le juge Anselmi, à faire amende honorable. "Je regrette mon geste", a reconnu ce Decazevillois de 23 ans qui, vendredi 20 mai, dans un état d’ébriété avancée, avait volé une bouteille de whisky et des sandwiches dans le magasin “Casino”, avant d’être rattrapé par les vigiles, puis interpellé par les policiers. Non sans s’être débattu et avoir proféré des insultes à leur encontre. Son “excitation extrême” avait, au demeurant, nécessité son hospitalisation la nuit qui a suivi les faits.
Présenté ce lundi dans le cadre d’une comparution immédiate, ce célibataire à la recherche d’un travail - dont le casier judiciaire fait état de plusieurs condamnations - a tenté d’expliquer son geste : "Je bois pour oublier...". Vainement. Comme fut vaine la demande de Me Galandrin, son défenseur, qui, à l’ouverture de l’audience, avait demandé la nullité de la procédure au motif qu’on n’avait pas notifié en bonne et due forme les droits à son client...

Pour autant, le procureur Chabbi ne se montra pas sévère à l’extrême, demandant ainsi une “peine mixte” pour ce prévenu, présenté par Me Galandrin comme "un peu perdu, mais pas un mauvais garçon" : "Ce dossier est avant tout celui de la solitude, d’un mal-être évident".
Au final, le tribunal n’a pas prononcé de mandat de dépôt, mais a condamné le prévenu à quatre mois de prison ferme (et six avec sursis), à une mise à l’épreuve de deux ans et à une obligation de soins.
http://www.midilibre.fr/2011/05/23/il-ecope-de-quatre-mois-de-prison-ferme-pour-vol-et-insultes,323537.php

Accusé de viol, il ne se présente pas aux assises

Un mandat d’arrêt a été prononcé contre l’homme qui devait être jugé ce lundi matin par la cour d’assises de Loire-Atlantique. Soupçonné d’un viol commis dans le quartier Guist’hau, à Nantes, l’accusé avait été remis en liberté il y a quelques jours par la chambre de l’instruction de Rennes. Ne le voyant pas se présenter à son procès, la présidente de la cour d'assises a mandaté des policiers pour aller le chercher ce matin chez sa mère, à Vannes, où il devait loger : ils ont appris que l’homme avait plié bagages, sans rien dire de sa destination, il y a une semaine. Le procès a donc été reporté. L’accusé fait désormais l’objet d’un mandat d’arrêt.

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Accuse-de-viol-il-ne-se-presente-pas-aux-assises_40771-1807088-pere-pdl_filDMA.Htm

lundi 23 mai 2011

L'acteur Samy Naceri en garde à vue

L'acteur Samy Naceri était en garde à vue aujourd'hui au commissariat de Cannes pour "avoir montré une partie de son anatomie intime" à des jeunes gens qui lui avaient demandé de poser pour une photo dimanche, a-t-on appris source policière. "Une enquête est en cours. Tout ce que je peux vous dire, c'est le motif de l'interpellation: il est accusé d'avoir montré une partie de son anatomie intime" sur la voie publique, a-t-on précisé de même source.

Selon le quotidien Nice-Matin, un groupe de jeunes gens, tombant nez à nez avec l'acteur sur la Croisette, devant l'hôtel Martinez, lui ont demandé de poser pour une photo. Celui-ci a préféré baisser son pantalon et montrer son derrière en proférant des insultes, précise le journal. Le héros de la série "Taxi", réputé pour ses frasques parfois violentes, a été auditionné par la police hier après-midi et ce matin.

Lundi dernier, Samy Naceri avait déjà été placé en garde à vue au commissariat de Cannes pour avoir insulté des policiers mais il avait été remis en liberté. Il avait également eu, ce même jour, une vive altercation avec le personnel de l'hôtel Martinez, alors qu'il voulait à tout prix garer sa voiture devant l'établissement. Il avait été expulsé par le personnel de sécurité de l'hôtel.

Fin avril, Samy Naceri avait été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à 16 mois de prison ferme pour avoir agressé à l'arme blanche en janvier 2009 un ami de son ancienne compagne, peine aménageable qui lui a évité une nouvelle détention.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/23/97001-20110523FILWWW00428-samy-naceri-en-garde-a-vue.php

En instance de divorce depuis 3 ans : 15 000 euros d’avocats pour le couple

Un temps pour l’adolescence, un temps pour la vie conjugale et familiale et, enfin, un temps pour soi. » C’est la philosophie de Jean, 57 ans, en instance de divorce depuis trois ans.
Après 37 ans de vie commune, leur fille unique est sortie du nid : « Nous nous sommes retrouvés à deux dans une vaste propriété. J’ai eu un sentiment de ras-le-bol. La vie métro-boulot-dodo n’était plus pour moi. »
Du jour au lendemain, Pierre a décidé de vendre son affaire et de se séparer de sa femme : « Nous n’avions plus rien à nous dire, plus rien en commun. Elle n’avait jamais souhaité travailler. C’était plutôt une accro du shopping, moi du jardinage et de la pêche.
Je précise que je ne partais pas pour une autre femme, mais ce n’est pas à 70 ans qu’on tourne la page pour une autre vie. »
Au départ, Jean souhaitait une simple séparation mais son épouse, « poussée par son avocate », ne l’a pas entendu de cette oreille : « Le jour où je lui ai annoncé ma décision, elle a dépensé 10 000 euros en sapes. Elle était bien décidée à tout pour me faire payer. »
L’avocat de Pierre avait un autre objectif : « Limiter la casse. La moitié de la maison et du mobilier, c’était raisonnable, mais la prestation, alors que je ne travaille plus, elle oui, c’était un peu difficile à accepter. »
C’était il y a trois ans et le divorce n’est toujours pas prononcé : « J’en suis à 5 000 euros d’avocat, elle à 10 000. »
L’épouse ne travaillant pas et le couple étant marié sous le régime de la communauté, une demande de prestation compensatoire a été demandée : « Au-delà de la moitié de la mai-
son et de tous les biens, mon épouse demandait 200 000 euros. »
Le jugement est tombé au bout de deux ans de procédure. « 50 000 euros de prestation compensatoire et la moitié de la maison et de son contenu.
Par contre, en attendant la vente, nous étions condamnés à une résidence commune. » C’est le cas depuis trois ans puisque la maison n’est toujours pas vendue : « Je lui ai proposé de louer un appartement pour elle. Elle a refusé et a fait appel. On attend toujours et la cohabitation n’est évidemment pas facile. »
En trois ans, Pierre a pris 20 kg et a fait une dépression : « Au-delà du problème financier, on perd 80 % de ses anciennes relations. On découvre aussi que ceux que l’on prenait pour des amis, n’hésitent pas à vous tourner le dos pour essayer de sortir avec votre femme. Mais le pire, c’est cette bataille d’avocats qui s’engage.
Une vie étalée, jetée en pâture. Vos revenus et vos dépenses passés au crible, comme si tout n’était que triche. »
Pierre est aujourd’hui inactif, tandis que sa femme travaille désormais : « J’aimerais bien remonter une affaire, mais j’attends le divorce. Elles seraient, elle et son avocate, bien capables de revendiquer la moitié. »
http://www.leprogres.fr/loire/2011/05/23/en-instance-de-divorce-depuis-3-ans-15-000-euros-d-avocats-pour-le-couple

Encore trois « papy-frotteurs » interpellés sur la Croisette

C’est presque devenu une tradition au Festival de Cannes! Mais certainement pas la plus glorieuse. On les appelle les « papys frotteurs ». Un doux euphémisme pour qualifier une pratique relativement obscène.
Ces pervers du parvis du Palais des festivals s’adonnent à des séances de frottements contre la gente féminine. Idem devant le plateau du Grand journal de Canal +, sur la plage de l’hôtel Martinez, où chaque soir, l’affluence favorise ces déviances.
Ces papys-là n’ont donc rien du bon grand-père de famille! Cheveux blancs, un âge qui inspire la confiance. Et pourtant… Ils sévissent partout où la foule le leur permet. Vendredi soir, ils étaient trois. Pris la main sur le sexe! Ou plutôt, en flagrant délit de frottement. Direction le poste de police.
Les trois protagonistes dépassaient la soixantaine. Deux d’entre eux s’en sont bien sortis : un dossier classé sans suite, l’autre est resté en suspens car la victime n’a finalement pas déposé plainte.
« Exhibition et attouchements »
Le troisième larron, un Biotois de 64 ans, n’a pas échappé à la sentence de sa perversité. Même s’il semble relativiser les faits, il est poursuivi pour « exhibition sexuelle et agression sexuelle par des attouchements ».
Vendredi, il avait profité de la foule amassée devant le plateau de télévision du Grand journal à l’occasion des répétitions pour se coller de façon très pressante à près d’une quinzaine de spectatrices.
Interpellé par la brigade anticriminalité de Cannes, ce sexagénaire impudique n’aura pas eu le loisir d’assister à l’émission. La braguette condamnée, il a été conduit manu militari au commissariat. Il comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Grasse en octobre

http://www.nicematin.com/article/faits-divers/encore-trois-%C2%AB-papy-frotteurs-%C2%BB-interpelles-sur-la-croisette

dimanche 22 mai 2011

Incendie au centre de valorisation de déchets de Nicollin

Un incendie s'est déclaré cet après-midi, vers 17 h 30, à Montpellier dans le quartier Garosud au centre de valorisation de déchets de l'entreprise Nicollin. Le feu à pris dans le bâtiment principal qui concerne le recyclage des cartons.
Une épaisse fumée noire est d'ailleurs visible d'assez loin au sud de la ville. D'importants moyens, pour lutter contre les flammes, ont été mis en oeuvre par les pompiers de Montpellier.

http://www.midilibre.fr/2011/05/22/incendie-au-centre-de-valorisation-de-dechets-de-l-entreprise-nicollin,322995.php

Un pédophile en série présumé écroué dans le Vaucluse

Un homme de 27 ans a été mis en examen et écroué pour une vingtaine de viols et agressions sexuelles commis sur des enfants âgés de 3 mois à 12 ans, a-t-on appris dimanche de source judiciaire. Il a été mis en examen pour "viols et agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans par personne ayant autorité". Le pédophile présumé aurait reconnu les faits.
Cuisinier au chômage, l'homme a été interpellé jeudi sur la commune du Teil, en Ardèche, puis écroué à la maison d'arrêt du Pontet, dans le Vaucluse. De source proche du dossier, on déclare que les enquêteurs ont retrouvé une vidéo sur son téléphone portable le mettant en scène lors de l'une de ses agressions. Au total, une vingtaine d'enfants auraient été abusés entre 2009 et 2011 : des enfants de sa famille, d'amis et de proches dont le jeune homme assurait la garde, principalement sur la commune du Teil.
Les enquêteurs vont désormais élargir leurs recherches aux départements voisins de l'Ardèche, notamment dans la Drôme, à la recherche d'éventuelles nouvelles victimes. Des enquêtes médico-légales seront aussi pratiquées sur les enfants violentés. L'auteur présumé des faits va faire l'objet d'analyses psychiatriques poussées. De source proche de l'enquête, on indique que l'homme n'était pas connu jusqu'ici des services de police pour des faits similaires
http://www.lepoint.fr/societe/un-pedophile-en-serie-presume-ecroue-dans-le-vaucluse-22-05-2011-1333586_23.php