dimanche 31 janvier 2016

Marseille: Une championne de boxe aurait occupé un emploi fictif à la mairie pendant 11 ans

L’ancienne championne du monde de boxe, Myriam Lamare, aurait bénéficié d’un emploi fictif à la mairie de Marseille pendant 11 ans, rapporte La Provence.
La sportive a été embauchée par Jean-Claude Gaudin en 2004 pour remplir une mission de « promotion du sport ». En échange, elle bénéficiait d’un salaire de 1 500 euros par mois et pouvait continuer de s’entraîner et de participer à des compétitions.

Changement de majorité

Mais en novembre, la mairie a décidé d’envoyer son employé devant le conseil de discipline pour réclamer sa radiation estimant qu’elle ne remplissait pas (ou plus) sa mission. Il faut dire qu’entre-temps, la jeune femme est passée au PS avant d’être affectée à la mairie du 7e secteur, détenue depuis 2014 par Stéphane Ravier, du Front national.
L’instance a finalement décidé de suspendre Myriam Lamare pendant deux ans. Elle n’a retenu que l’absence injustifiée entre août 2014 et février 2015, indiquent nos confrères.
http://www.20minutes.fr/marseille/1776695-20160131-marseille-championne-boxe-occupe-emploi-fictif-mairie-pendant-11-ans

Incendie dans un centre de valorisation des déchets: ni victime ni pollution

En fin de matinée dimanche, les pompiers étaient toujours à pied d'oeuvre dans la zone industrielle du Broc, où un incendie a ravagé un centre de traitement des déchets.
L'incendie a ravagé environ 2.000 m², sans faire heureusement de victime ni de pollution particulière.
Le feu, qui s'était déclaré vers 4h30, était maîtrisé au lever du jour, mais les opérations de déblai devraient occuper les pompiers une bonne partie de la journée.
Dans le courant de la matinée, les pompiers ont pu alléger leur dispositif, mais une trentaine d'hommes restaient tout de même sur place pour la suite des opérations.
http://www.nicematin.com/faits-divers/incendie-dans-un-centre-de-valorisation-des-dechets-ni-victime-ni-pollution-19301

Handicapé et menacé d'expulsion

Ancien artisan maçon, Stéphane Marty, 45 ans, souffre d'obésité morbide. Cloué chez lui, à Bach, il est aujourd'hui menacé d'expulsion pour une ancienne dette professionnelle : il la rembourse, mais pas assez rapidement.
Stéphane Marty était artisan maçon. Aujourd'hui âgé de 45 ans, il a cessé son activité depuis sept ans, quand la maladie a pris le dessus sur lui : d'abord un accident du travail en 1990, puis des troubles du sommeil («Je m'endormais n'importe où, sans m'en rendre compte»), et enfin une obésité morbide. à 180 kg, il est cloué chez lui, à Bach, dans la petite maison qu'il a lui-même construite au début des années 2000. Le conseil départemental a financé les aménagements indispensables pour qu'il puisse continuer à y vivre malgré son handicap. C'est le seul bien qui lui reste pour vivre, avec les 540 € mensuels d'allocation handicap.
Mais restera-t-il encore longtemps dans cette maison ? C'est la question que Stéphane Marty se pose depuis mardi dernier, lorsqu'un huissier est venu lui rappeler que le tribunal l'avait condamné à la saisie de ses biens.
Mais il lui reste à régler ses problèmes judiciaires, conséquence d'une malfaçon sur un de ses derniers chantiers. «Le client ayant refusé de signer la réception des travaux, l'assurance biennale et décennale n'a pas été activée», explique Stéphane Marty. En 2012, le tribunal de Cahors l'avait alors condamné à verser à son ex-client la somme de 16 000 €.
Stéphane Marty s'est engagé à rembourser ce dû, selon ses moyens, et il s'y tient : chaque mois, il verse 100 € à l'avocate de son ex-client, et a ainsi remboursé près de 4 000 €.
Un rythme qui ne satisfait pas le plaignant : à raison de 100 € par mois, son ancien maçon mettra environ 15 ans (intérêts compris) à rembourser sa dette. Il saisit donc de nouveau la justice, et obtient la saisie des biens de l'ex-maçon.

La maison aux enchères

Mardi dernier, une visite de la maison était proposée à d'éventuels acheteurs. Aucun acquéreur ne s'est manifesté. Seuls les membres de son comité de soutien étaient présents — Marie Piqué en tête. La vice-présidente du conseil régional en charge des solidarités se dit «outrée de constater une telle situation dans la patrie des droits de l'homme».
Ce qui ne veut pas dire que son propriétaire est tiré d'affaire : la vente aux enchères de la maison est programmée au 19 février, et un acquéreur peut toujours se manifester. La mise à prix initiale sera de 98 000 € — et au besoin elle pourra même être revue à la baisse (20 %).
Alerté, le cabinet de la préfète fait savoir que le dossier fait l'objet de toutes les attentions. La situation de Stéphane Marty sera étudiée, et il sera accompagné dans ses démarches.
Les élus locaux ont été sollicités, Ségolène Neuville (secrétaire d'État chargée du Handicap) a été saisie, un dossier de surendettement a été déposé…
La question est simple : comment procéder pour que la décision de justice soit respectée, sans que Stéphane Marty se retrouve à la rue ? Il reste moins de trois semaines pour trouver une solution.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/31/2267182-handicape-et-menace-d-expulsion.html

samedi 30 janvier 2016

Deux blessés graves dans un accident de la route sur la D1032

Trois véhicules sont entrés en collision samedi 30 janvier vers 8h15 du matin sur la D1032, à hauteur de La Frette, à Tergnier. Une Peugeot a heurté un véhicule léger du centre de secours des pompiers de Boncourt avec un sapeur-pompier à son bord. Face à cette première collision, la Golfe qui suivait la Peugeot a tenté d’éviter les deux véhicules en donnant un coup de volant mais s’est retrouvé dans le fossé.

En tout, quatre personnes ont été blessées dont deux grièvement. Les deux personnes qui se trouvaient dans la Peugeot ont dû être désincarcérées et conduites au centre hospitalier de Chauny. Le sapeur-pompier a été légèrement blessé et transféré vers l’hôpital de Laon.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/deux-blesses-graves-dans-un-accident-de-la-route-sur-la-d1032-916987.html

Cépière : le collège à l'arrêt après les violences

Les trois bagarres qui ont opposé entre eux des élèves de quatrième du collège George Sand vendredi matin en classe de maths et de technologie ont fait exploser une situation qui au fil des semaines était devenue intenable. Fatigués de tirer la sonnette d'alarme pour dénoncer le climat de violence qui n'a cessé de s'aggraver au sein de cet établissement classé Rep plus, enseignants, et personnels d'éducation et de surveillance ont fait valoir leur droit de retrait hier matin à 10 heures. Ils sont toutefois restés dans l'établissement pour assurer l'encadrement des élèves avant de prendre en début d'après midi le chemin du rectorat où ils ont été reçus par Jacques Caillaut inspecteur d'académie.
Dans ce collège discret situé sur le bord de la route de Saint Simon les bagarres qui ont éclaté hier matin font partie du quotidien. «En tant que professeur principal d'une classe de quatrième je reçois chaque jour trois à quatre rapports d'incident concernant des comportements insolents mais également de nombreux cas de violence», explique un enseignant. Confrontés à ce climat de «violence physique permanente, certains élèves vivent dans la peur. Aujourd'hui une élève a pleuré parce qu'elle ne supporte plus cette tension. Et cette semaine un prof de maths qui faisait une remarque à un élève qui s'amusait avec des pétards a été menacé «de se faire démonter»», poursuit un de ses collègues.
Pour l'ensemble des enseignants rassemblés hier après-midi au rectorat, la situation dérape depuis plusieurs mois. «Face à cette violence, les réactions de la vie scolaire sont très tardives et pas toujours adaptées à la gravité des événements. La conséquence c'est que le nombre d'incidents se multiplie et le seuil de tolérance s'élève chaque jour un peu plus».
Ce climat dégradé a été présenté hier à l'inspecteur d'académie. Ce dernier s'est engagé «à mettre en place un audit avec la participation du personnel de l'établissement à partir du mois de mars.» Cet état des lieux doit «déboucher sur une démarche pour améliorer la situation», a promis M. Caillaut. L'inspecteur d'académie reconnaît que la situation «a amené certains professeurs à être à bout», mais il soutient «leur hiérarchie directe qui n'est pas à remettre en cause mais à aider» afin de contenir ces troubles qui selon lui sont le fait de «quelques élèves en grande difficulté, mais pas de la majorité d'entre eux».

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/30/2266629-cepiere-le-college-a-l-arret-apres-les-violences.html

Incendie sur un TGV Paris-Bordeaux : près de 800 passagers temporairement bloqués

Un incendie s'est déclaré ce vendredi soir au sud de Tours sur un TGV qui faisait la liaison Paris-Bordeaux avec près de 800 passagers à bord. Aucune victime n'est à déplorer et le trafic a pu reprendre.
Un incendie s'est déclaré ce vendredi soir dans un TGV qui faisait la liaison Paris-Bordeaux avec 700 à 800 passagers à bord, a-t-on appris auprès de la préfecture d'Indre-et-Loire, qui ne fait pas état de victime.

Le feu s'est déclaré vers 19H45 sur le train, qui s'est immobilisé à Monts  (Indre-et-Loire), non loin de la route départementale D84, ont indiqué la préfecture et les pompiers.

"L'incendie a été très vite maîtrisé et c'est en voie de règlement", a indiqué vers 22H la préfecture. Des mesures ont été prises pour assurer le ravitaillement des voyageurs "aussi rapidement que possible", a précisé la même source.

"Il y a eu un début d'incendie sur une rame TGV Paris-La Rochelle. Les pompiers sont intervenus, il a fallu couper l'alimentation électrique et tous  les trains sur l'axe Paris-Bordeaux ont été arrêtés", a expliqué un responsable du service de communication de la SNCF.

"Cela fait maintenant plus d'une heure que le courant a été rétabli et le trafic a repris. Les clients qui étaient dans la rame endommagée ont été transbordés dans une autre rame", a-t-il ajouté.

vendredi 29 janvier 2016

Un homme décède après une chute de pierres

Un homme de 59 ans qui pratiquait l'escalade sur la montagne de Courchon, à Moustiers-Sainte-Marie (Alpes-de-Haute-Provence), a été blessé à l'épaule par la chute de pierres situées un vingtaine de mètres au-dessus de lui, vers 16h30. Conscient au moment de l'appel des secours, l'homme était en arrêt cardio-respiratoire à leur arrivée et n'a pu être réanimé.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3778137/un-homme-decede-apres-une-chute-de-pierres.html

Soumoulou (64) : arrêté pour avoir pointé son laser vers un hélicoptère du 5e RHC

Un pilote du 5e Régiment d’hélicoptères de combat de Pau a été perturbé en plein exercice. Un homme de 20 ans a été interpellé
Le geste peut paraître anodin, mais il est extrêmement dangereux pour le pilote de la machine. C'est sans doute pour cela que le parquet a décidé de sévir.
Vendredi dernier, le 22 janvier, un pilote du 5e Régiment d'hélicoptères de combat de Pau est perturbé en plein exercice par une lueur venue du sol. Le Tigre survole alors les plaines de l'est-Béarn. Il prévient sa hiérarchie au retour qui saisit à son tour la brigade de gendarmerie des transports aériens de Mont-de-Marsan. L'enquête ne tarde pas et, mardi, un jeune homme de 20 ans est interpellé à Soumoulou.
Le jeune adulte a reconnu les faits et indiqué qu'il ne pensait pas mettre le pilote en danger. Il avait acheté son laser quelques jours auparavant sur Internet. Le parquet réfléchit à une réponse pénale appropriée.
http://www.sudouest.fr/2016/01/29/faits-divers-2257741-4584.php

Disneyland Paris: la femme recherchée a été arrêtée

La femme qui accompagnait l'homme interpellé hier à Disneyland Paris en possession de deux armes a été interpellée dans la nuit de jeudi à vendredi et placée en garde à vue, a-t-on appris de sources policières. L'homme de 28 ans arrêté hier après-midi lorsque sa valise a déclenché une sonnerie au passage d'un portique de sécurité de l'Hôtel New York, dans le parc d'attractions à l'est de Paris, était toujours entendu vendredi, a-t-on précisé.

"Au vu des premiers éléments, on s'éloigne très clairement d'une velléité d'attaque", a dit à Reuters une source policière.
Selon une autre source, l'homme a déclaré aux enquêteurs transporter des armes -- un pistolet automatique de calibre 7.65 et un pistolet de plus petit calibre -- pour "se protéger". Un Coran en français a également été découvert dans sa valise. La jeune femme qui l'accompagnait s'était éclipsée au moment de son arrestation. Elle était recherchée depuis. Elle a été arrêtée à son domicile, selon une source policière.

"L'interpellation s'est bien passée. On ne connaît pas pour l'instant la nature de leur relation", a dit une autre source.
Le parquet antiterroriste de Paris ne n'est pas saisi de l'affaire, qui est confiée au parquet de Meaux.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 28 janvier 2016

Choc entre deux voitures : les conducteurs à l'hôpital

Accident spectaculaire mais sans victime à déplorer mercredi après-midi sur la RD 8 à Labarthe Rivière dans une collision frontale entre deux véhicules. L'un des deux conducteurs, pour des raisons indéterminées, s'est déporté sur la voie inverse de sa trajectoire. Le temps des opérations de secours, les gendarmes de la brigade de Montréjeau ont mis en place une déviation pendant près d'une heure trente, avant un retour à la normale du trafic routier. Sur place, les sapeurs-pompiers de Saint-Gaudens ont été renforcés par Aurignac, pour lesquels ont procédé à l'évacuation des conducteurs, dont le pronostic vital n'était pas engagé, vers le centre hospitalier de Saint-Gaudens. Sur les lieux également, des agents de la DIR Sud-ouest qui ont pour leur part ont remis en état la chaussée et fait enlever les véhicules immobilisés.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/28/2264845-choc-entre-deux-voitures-les-conducteurs-a-l-hopital.html

Roissy: de faux explosifs paniquent chez Fedex

Des engins explosifs factices destinés à des exercices de sécurité ont été découverts par accident à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle vendredi dernier par des salariés de Fedex, furieux de ne pas avoir été informés du transport de tels colis, a-t-on appris ce matin de sources concordantes.

Vers 22H00 mercredi, des salariés de la compagnie américaine de colis traitent un fret en provenance des États-Unis et à destination de la Tunisie lorsqu'un des colis s'éventre, dévoilant une cocotte-minute remplie de vis et de boulons.

Après un mouvement de recul, les salariés se rendent compte qu'un conteneur transporte d'autres dispositifs similaires, accompagnés de ce qui semble être des détonateurs, raconte Frédéric Petit, représentant CGT du personnel de la compagnie.

Ils alertent alors leur direction pour «danger imminent» et s'en suit un long moment de flottement, selon le syndicaliste.

Des responsables arrivés sur place ont ensuite tout vérifié, en passant les colis aux rayons X et en utilisant des chiens de détection.

«Personne n'était au courant de ce fret», assure le syndicaliste. «Les colis étaient en réalité des leurres en partance pour l'ambassade des États-Unis à Tunis et destinés à des exercices d'entraînement», indique une source de sécurité aéroportuaire.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php

mercredi 27 janvier 2016

155 kilos de cocaïne saisis au port du Havre

Une nouvelle saisie record a été effectuée au port du Havre. Les douanes ont saisi plus de 150 kilos de cocaïne.
La saisie a eu lieu le 18 janvier 2016. 155 kilos de cocaïne ont été découverts dans le port du Havre. Les stupéfiants sont arrivés d’Amérique du sud. 5 jours plus tôt, toujours au Havre, les douaniers avaient déjà interceptés 350 kilos de cocaïne. de la drogue cachée au milieu de crevettes dans un conteneur réfrigéré. Une prise estimée à 15 millions d’euros
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/le-havre/155-kilos-de-cocaine-saisis-au-port-du-havre-914323.html

La voiture échappe au facteur

Le pire a été évité hier après-midi un peu avant 15 h 30 au hameau de Puygouzon. Le facteur, en fin de tournée dans le secteur avait arrêté son véhicule au bas du hameau. Alors qu'il apportait le courrier à un habitant, il se rend compte que sa voiture avançait seule. Pas de frein à main ? Ou pas assez serré ? Il réalise alors le danger et se lance à la poursuite de la voiture pour essayer d'en reprendre la maîtrise, alors même que le véhicule entamait une descente à la sortie du hameau. Impossible de reprendre place au volant, la voiture ayant pris de l'élan, le postier ne pouvait que rester impuissant à regarder l'estafette jaune, causer d'abord des dégâts à deux voitures stationnées un plus bas et prendre ensuite la clé des champs en traversant un lotissement en travaux, où deux maisons sont actuellement en construction avec des ouvriers présents sur le chantier. Un compteur posé par ERDF a été arraché au passage. Le véhicule a finalement terminé sa course folle dans un mur en parpaings qui venait d'émerger des fondations, après une embardée aveugle de plusieurs centaines de mètres. «Je me trouvais sur le mur une minute avant» confiait un des ouvriers. Par chance, les dégâts ne sont que matériels. Le facteur et l'un de ses collègues venu l'assister ont effectué sur place avec les habitants concernés, les premiers constats d'assurance, afin que les dégâts soient pris en charge. Le facteur était visiblement choqué, après une grande frayeur.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/27/2264203-la-voiture-echappe-au-facteur.html

mardi 26 janvier 2016

Clermont-Ferrand : 97 kilos de cannabis saisis par la douane

Jeudi 21 janvier 2016, en milieu d’après midi, les agents des douanes de la Brigade de Surveillance Intérieure des Douanes de Clermont-Ferrand positionnés sur l’A75, ont procédé à la saisie de près de 97 kilogrammes d’herbe de cannabis, représentant une valeur sur le marché illicite de la revente de plus de 1 million d’euros.

Lors d’un contrôle de routine, les douaniers décident d’intercepter un véhicule immatriculé en Espagne qu’ils entreprennent de fouiller sommairement. Peu convaincus par les explications et les documents présentés par le chauffeur, les agents décident d’approfondir leur fouille dans les locaux de la Brigade des Douanes à Clermont-Ferrand.
Leur initiative s’avère payante puisque dissimulés derrière le chargement déclaré de cartons de valises et de produits cosmétiques de premier prix, les douaniers mettent à jour dix-sept cartons contenant un toute autre type de marchandises, de l’herbe de cannabis, soigneusement emballée.
D’après les premières déclarations du chauffeur, cette marchandise devait être acheminée à la frontière belgo néerlandaise.
A la demande du parquet, les douaniers ont remis le chauffeur et la marchandise de fraude au SRPJ de Clermont-Ferrand.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/puy-de-dome/clermont-ferrand

Heurts lors de la grève des taxis : 20 interpellés à la Porte Maillot et à Orly

19 manifestants ont été arrêtés à la Porte Maillot, après plusieurs blocages du périphérique. Un chauffeur de navette qui a forcé un barrage et renversé un manifestant peu après 7h est quant à lui entendu dans les locaux de la police à l'aéroport d'Orly.

Ce mardi, les chauffeurs de taxis sont nombreux à manifester en Ile-de-France et dans plusieurs grandes villes de France contre la "concurrence déloyale" des VTC. En marge de ces manifestations, des incidents se sont produits, notamment à Orly où une navette partagée de type "Shuttle" a forcé un barrage filtrant et blessé un chauffeur à la jambe. Porte Maillot, des pneus ont été incendiés sur la place au milieu des klaxons.
 
Une vingtaine d'interpellations
 
Selon la préfecture de Paris, 19 manifestants ont été arrêtés en milieu de matinée à la Porte Maillot, après plusieurs blocages du périphérique, pour "violences volontaires, port d'arme et incendie volontaire". Le chauffeur de la navette qui a forcé un barrage et renversé un manifestant peu après 7h00 était quant à entendu dans les locaux de la police à l'aéroport d'Orly.

Lundi, le préfet de police de Paris, Michel Cadot, avait lancé "un appel assez ferme" aux taxis "à ne faire en aucun cas" preuve de "violence". De précédents rassemblements de taxis avaient déjà été émaillés de violences.
Incidents à Orly
Une navette de type "Shuttle" a donc forcé un barrage filtrant à l'aéroport d'Orly, blessant un chauffeur de taxi peu après 7h. Selon nos informations, la victime souffre d'une fracture ouverte. Les autres manifestants s'en sont alors pris aux vitres du minibus, et ont forcé ses passagers à en descendre. Vers 7h20, les secours sont arrivés sur place pour venir en aide au blessé renversé par le véhicule, encore au sol.
A Orly, quelques dizaines de manifestants ont également organisé un filtrage sur l'A106 en installant des plots sur la chaussée, ne laissant passer que les taxis en grève, dans une ambiance échauffée. Un peu plus tôt, un chauffeur de taxi non gréviste avait été pris à partie et ses passagers contraints de terminer à pied leur trajet. Au total, une centaine de taxis étaient rassemblés sur les deux aéroports de Roissy et sur les terminaux d'Orly.
Vives tensions porte Maillot
Porte Maillot, 300 taxis étaient stationnés. Ils occupaient la moitié du site, sans bloquer l'accès à la capitale. La manifestation donnait lieu à un concert de klaxons, quelques pneus brûlés et plusieurs dizaines de chauffeurs européens étaient aussi présents avec leurs drapeaux, venus notamment d'Espagne, Italie, Belgique. Lorsqu'un groupe de plusieurs dizaines de taxis est parti "s'occuper du périph" en bloquant des cars à l'une des sorties, les CRS sont intervenus et la circulation a repris.
 

lundi 25 janvier 2016

Bretagne: Elle laisse son enfant de deux ans seul pour aller faire la fête

La responsabilité de certains parents laisse parfois cruellement à désirer. La police est intervenue dimanche matin dans le quartier de Balzac à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor) suite à l’appel d’un voisin inquiet d’entendre un bébé hurler dans un appartement, rapporte Ouest-France.
>> A lire aussi : Nord: Il laisse son fils de 3 ans dans la voiture et va faire ses courses
Et pour cause, l’enfant en question, âgé d’à peine deux ans, avait été laissé seul toute la nuit de samedi à dimanche. Sa maman avait en effet décidé d’aller faire la fête et de passer toute la nuit en discothèque.

La police force la porte de l'appartement

Vers 6h du matin, la jeune femme de 22 ans est quand même repassée chez elle en coup de vent pour voir si son enfant allait bien avant de repartir. Les policiers ont finalement forcé la porte de l’appartement vers 10h du matin pour récupérer le bambin, qui a été confié au centre départemental de l’enfance.
La maman, qui a d’abord nié, a finalement reconnu les faits. Le dossier a été transmis au parquet qui décidera des suites à donner dans cette affaire.
http://www.20minutes.fr/rennes/1772539-20160125-bretagne-laisse-enfant-deux-ans-seul-aller-faire-fete

Ivre, il fonce sur l'agence bancaire

Eh non ! il ne s'agissait pas d'une attaque de la Caisse d'Epargne à la voiture-bélier. Mais sans le faire exprès, une voiture a bel et bien foncé, dans la nuit de samedi à dimanche, sur cette agence de l'Ecureuil à Grisolles, située au croisement des rues Hébrard et Larroque. Un jeune homme de 22 ans habitant à Valence d'Agen a perdu le contrôle de sa Renault Mégane, provoquant pas mal de dégâts sur l'établissement bancaire. Une patrouille du peloton de surveillance et d'intervention de la compagnie de gendarmerie de Montauban est arrivée sur ces entre-faits. Le test éthylométrque s'est alors révélé positif pour le conducteur. De son côté, la Caisse d'Epargne a fait appel à un agent de sécurité pour surveiller les lieux en attendant que les réparations soient réalisées.

Spectaculaire accident dans Haut-Doubs : quatre blessés à Ouhans

En se déportant pour une raison qui reste à déterminer, une voiture conduite par un jeune Bisontin est venue percuter deux autres véhicules qui roulaient en sens inverse, ce dimanche sur la RN 57 entre Goux-les-Usiers et Ouhans. En voulant éviter l'impact, une quatrième voiture a fini dans le talus, mais ses deux occupants sont indemnes. Deux des véhicules ont l'avant broyé, un troisième a été sévèrement touché latéralement. 
D'importants moyens de secours - 17 pompiers et l'unité du SMUR de Pontarlier - ont été déployés sur place aux côtés de la gendarmerie et des agents de la Dir-Est. On déplore finalement quatre blessés, dont deux personnes de nationalité suisse. L'une d'elle, une femme de 27 ans, a été transportée à l'hôpital de Besançon pour y subir une opération chirurgicale. Aucun pronostic vital n'est engagé. Une seconde victime a été dirigée vers Besançon. Les deux autres blessés, eux, ont été acheminés à Pontarlier. Ils y subiront des soins et des examens. Un chien était également présent dans l'un des véhicules accidentés : l'animal n'a rien eu, sinon une belle frousse...
De gros bouchons se sont constitués de part et d'autre de la zone d'impact, totalement fermée à la circulation. Celui côté Pontarlier atteignait la Vrine. Sur les lieux de la collision, une voie de déviation a été mise en place via un petit parking, le long de la RN57. Le retour à la normale était attendu en ce début de soirée, une fois les carcasses enlevées par la dépanneuse et la voie débarrassée des nombreux débris qui la jonchaient.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2016/01/24/haut-dounbs

dimanche 24 janvier 2016

Un accidenté de la route retrouvé 6 heures plus tard en Haute-Vienne

Cette nuit (24 janvier), un jeune homme venant d'avoir un accident en Haute-Vienne a appelé les pompiers depuis son véhicule dont il ne pouvait pas sortir. Ce n'est que vers 10 heures ce matin qu'il a été retrouvé gravement blessé mais conscient.
Vers 4 heures du matin cette nuit, sur la commune de Thouron au nord de Limoges, un homme de 25 ans perd le contrôle de son véhicule. Blessé, il a la présence d'esprit d'appeler les pompiers avant que la batterie de son téléphone portable ne tombe en panne.

D'importantes recherches sont alors lancées mobilisant 15 pompiers, 10 gendarmes et un hélicoptère. La victime a finalement été retrouvée par un riverain, vers 9h45. Désincarcéré de son véhicule, l'homme a été évacué par hélicoptère au CHU de Limoges

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/un-accidente-de-la-route-retrouve-6-heures-plus-tard-en-haute-vienne-911761.html

Cyclisme : six coureurs dont le Français Warren Barguil renversés par une voiture

Le véhicule se serait déporté sur la voie opposée, fauchant les coureurs de l'équipe Giant-Alpecin qui s'entraînaient en Espagne
Des vélos complètement démontés, voire même coupés en deux. Le choc a été violent. Six coureurs de l'équipe professionnelle Giant-Alpecin, ont été renversés ce samedi par une voiture, alors qu'ils s'entraînaient dans la région d'Alicante.
Le Breton Warren Barguil fait partie des coureurs accidentés, ainsi que les Allemands John Degenkolb et Max Walscheid, l'Américain Chad Haga, le Suédois Tobias Ludvigsson et le Néerlandais Ramon Sinkeldam.

D'après le site espagnol Diario Informacion, l'accident s'est produit en milieu d'après-midi, lorsqu'une voiture conduite par une citoyenne britannique s'est déportée sur la voie opposée, fauchant les six coureurs.
Tous ont été transférés vers deux hôpitaux proches. L'un des coureurs, gravement blessé, a été héliporté.
http://www.sudouest.fr/2016/01/23/cyclisme-six-coureurs-dont-le-francais-warren-barguil-renverses-par-une-voiture-2252036-4596.php

Agression au CCAS : trois mois de prison

Rififi au CCAS de la place Belfort, à Toulouse, où un individu a semé la pagaille en s'en prenant à un vigile et au directeur du centre social. Le mis en cause de 28 ans a été jugé, vendredi, par le tribunal correctionnel de Toulouse pour avoir insulté et violenté, mercredi vers 13 h 50, le directeur du CCAS (centre communal d'action social), place Belfort à Toulouse, ainsi qu'un vigile. Ce dernier, avait déjà été pris a partie et insulté par l'individu agité le 29 décembre et 5 janvier pour un incident autour d'un vol de vélo. «Mon vélo a été volé sous ses yeux et il n'a rien fait», lui reproche le prévenu. Mercredi, le directeur, entendant les insultes proférées à l'encontre du vigile, a décidé d'intervenir pour calmer la situation.

Déjà condamné

En contrepartie, celui-ci a également été la cible de nombreuses insultes mais également d'un coup à l'œil. «C'était involontaire», se défend le prévenu. Le procureur Yvert rappelle la vocation du CCAS : «Aider les personnes en difficulté». Le ministère public requiert six mois de prison contre l'individu déjà condamné trois fois. «Ce n'est pas quelqu'un de violent», considère Me Issandou Zapata, avocat du prévenu, au sujet de son client. Elle retrace le parcours de ce dernier. «Il n'a pas eu beaucoup de cadeau dans la vie». Le tribunal a condamné le prévenu à 3 mois de prison . Il a été incarcéré.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/24/2262191-agression-au-ccas-trois-mois-de-prison.html

Mécontent des soins, il cogne un pompier

Sauver ou périr». Me Boguet rappelle la devise des sapeurs pompiers violemment insultés et menacés lors d'une intervention le 10 décembre, à Toulouse. Pour ces faits, un homme a été jugé dernièrement par le tribunal correctionnel. Le jeudi 10 décembre, l'homme de 35 ans s'est rendu dans un établissement de la poste route de Seysses à Toulouse. Mécontent d'être dirigé vers un guichet automatique, l'homme a alors copieusement insulté un agent de La poste. Tentant de calmer le jeu, cet agent a alors essayé de mettre à la porte l'homme excité mais ce dernier ne se laissant pas faire, une rixe a éclaté. «J'ai pris des coups. Je n'en ai donné aucun», s'explique le prévenu dans le box. Sonné par la bagarre, ce client mécontent a appelé les pompiers. L'arrivée des secours n'a pas calmé cet homme particulièrement virulent puisque ce dernier s'est également plaint des soins prodigués. Une fois à l'hôpital Purpan, l'homme l'a fait savoir et a alors copieusement insulté et menacé de mort l'un des pompiers avant de faire l'apologie du terrorisme. «Nous sommes à l'aube d'une ère nouvelle», a alors lancé l'homme. «Je n'approuve pas ces attentats», se défend le prévenu, se disant «blessé» par les événements de novembre, à Paris. Me Boguet, avocat des sapeurs pompiers, ne cache pas son agacement. «Vous avez dégommé un pompier !» affirme-t-il en direction du box, rappelant la lassitude des soldats du feu régulièrement victimes de ce genre d'incivisme. Le procureur exhorte le tribunal de ne pas «laisser sans réponse ces propos inacceptables». Douze mois de prison sont requis. «Ce n'est ni un fanatique religieux ni un intégriste», soutien en défense Me Messaoudene-Boucetta. L'avocat rappelle «l'histoire familiale difficile» de son client déjà condamné 7 fois dont 5 pour des menaces de mort. Le tribunal a relaxé le prévenu du délit d'apologie d'actes du terrorisme mais l'a condamné à 8 mois de prison pour les outrages et menaces de mort. Il a été incarcéré
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/24/2262482-mecontent-des-soins-il-cogne-un-pompier.html

samedi 23 janvier 2016

Une habitante de Vienne (Isère) brûlée par un chauffage à l'éthanol

Elle rechargeait un foyer à l'éthanol quand une habitante de Vienne (Isère) a été victime d'un retour de flammes. La jeune femme est grièvement blessée. 
C'est peu avant 23 heures que les pompiers de l'Isère ont été appelés dans un immeuble de la montée Saint-Mamert à Vienne. A leur arrivée, ils ont découvert une femme de 31 ans grièvement brûlée au 2e et 3e degrés sur 50% de la surface avant du corps. Elle a été hospitalisée à l'hôpital Saint-Joseph de Lyon.

Elle venait de recharger son chauffage avec de l'éthanol, un combustible très volatil. Ces foyers posent régulièrement des problèmes de sécurité comme le retour de flamme en cas de rallumage à chaud, le risque de brûlure sur certaines parties de l'appareil, des émanations importantes de monoxyde de carbone, d'oxydes d’azote et de formaldéhyde. 60 millions de consommateurs a souvent appelé à la prudence, d'autant que ce type de chauffage se mue peu à peu en objet de décoration. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/vienne-38/une-habitante-de-vienne-isere-brulee-par-un-chauffage-l-ethanol-911135.html

Nancy : il défend un policier agressé sur le parking d’Ikéa

Nancy. Avant de livrer son témoignage, il a prévenu : pas question de passer pour un héros. Augustin, 33 ans, plaide juste pour un mieux vivre ensemble. Cet agent SNCF s’est pourtant livré à un acte d’un altruisme suffisamment rare en soi.
Les faits se sont déroulés sur le parking d’Ikea (Metz), voilà quelques jours. Lorsqu’il arrive sur place, avec sa femme et ses deux jeunes enfants, le jeune homme est témoin d’une altercation vive entre un fonctionnaire de police, pris à partie par le passager d’un automobiliste contrôlé à l’issue d’un excès de vitesse, après que le véhicule a été pris en chasse sur l’A 31.
Sur place, le contrôle des papiers a dégénéré et le policier a été déséquilibré par un jeune agresseur trentenaire. Augustin réagit à l’instinct : il intervient pour soutenir le fonctionnaire de police et contribuera, après une bousculade et quelques prises savamment contrôlées, à maintenir le belliqueux. Pas eu le temps de réfléchir, Adrien a agi conformément aux actes qui le guident pour « être en phase avec les valeurs qui sont les miennes » dit-il.
« Pourquoi suis-je intervenu ? Parce que je trouve normal d’agir pour les autres. Cela m’agace de constater cette forme d’indifférence à la douleur et à l’aide qu’on doit aux personnes qui souffrent ou qui traversent une passe difficile. Dans le métro ou dans la rue, il ne faut rester ni insensible, ni impassible quand les autres ont besoin d’aide ».

« Chacun peut faire un petit geste »

Augustin réfute, on l’a dit, toute idée d’un geste glorieux et refuse d’être mis en avant. « Il ne s’agit pas de jouer au héros. Mais chacun peut néanmoins faire un petit geste quand il assiste à une scène délicate : intervenir, ou à défaut, proposer son aide, téléphoner aux secours… Le pire c’est de détourner le regard. Il ne faut pas baisser la tête pour pouvoir se regarder dans la glace »
Une philosophie de vie qu’il applique au long cours dans le cadre de sa profession et de sa vie privée. Voilà une dizaine d’années, déjà, il avait contribué, sans faire de bruit, à l’interpellation d’un voleur après une course-poursuite, à pied, dans les rues de la vieille ville. L’excellente condition physique de ce trentenaire, parfaite par une ceinture rouge de taekwondo, la pratique régulière du VTT et de la course à pied, aura contribué à l’aider à maîtriser ses nerfs et ses gestes.
L’auteur des blessures sur le policier a été condamné à un an de prison avec sursis. Augustin, lui, campe sur son intention de demeurer « juste un citoyen qui fait attention et donne de l’attention aux autres ». Il poursuit : « Je sais que cela peut paraître idéaliste, mais je vois la vie comme ça. Qu’il s’agisse d’un regard, d’un sourire ou d’un coup de main, il faut lutter chacun à la hauteur de nos moyens pour éviter de se calquer sur les réflexes de l’époque ultra-individualiste. Quand on donne, on reçoit toujours en retour

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/01/23/nancy-il-defend-un-policier-agresse-sur-le-parking-d-ikea

vendredi 22 janvier 2016

Un apiculteur de Roquevidal se fait voler cinquante ruches

Un apiculteur de Roquevidal a été victime d'un vol de ruches ce week-end. Il a eu la désagréable surprise de constater que la totalité de son rucher, les 50 ruches qu'ils possédaient sur la commune voisine de Paulin avaient disparu.
C'est la totalité de son rucher qui s'est volatilisé. Le vol a très certainement été commis par des professionnels tentés de prendre le bien d'un confrère : «Pour réussir un tel vol il faut être équipé : camion, tenue adéquate et savoir ensuite comment écouler ce butin», explique un apiculteur amateur de Labastide Saint Georges.

Un sacré savoir-faire pour voler des ruches

Il faut en effet un sacré savoir-faire pour se hasarder à voler des ruches, mêmes avec des abeilles endormies. «Avec la mortalité grandissante des abeilles, le miel devient rare et donc cher. Il est plus rentable de voler puis de revendre une ruche plutôt que d'élever des abeilles et de vivre de leur production». Sur le site «Le bon coin», il est courant de trouver des ruches à vendre en cette saison entre 200 et 300 euros l'unité.
C'est une perte d'un minimum de 13 000 euros pour l'apiculteur de Roquevidal. Sans compter le miel que les abeilles produiront dès le mois de mai. Dans le Tarn, c'est une bonne centaine de vols qui sont comptabilisés par an. Un chiffre en constante hausse. Des systèmes de surveillance existent : caméras ou GPS installés à l'intérieur des ruches mais l'investissement est très onéreux. De quoi donner le bourdon à une profession déjà victime d'une mortalité importante des colonies à cause des produits phytosanitaires, pesticides notamment.
En hiver, une ruche abrite environ 10 000 ouvrières. C'est donc un vol et en plus le kidnapping de 500 000 abeilles. Aucun faux-bourdon pris en otage : aux premiers frimats les abeilles jettent tous les mâles dehors, ceux-ci ne servant à rien en hiver. Une plainte a été déposée à la brigade de gendarmerie de Lavaur.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/22/2261268-un-apiculteur-de-roquevidal-se-fait-voler-cinquante-ruches.html

Trafic perturbé sur le RER D après l'agression d'un chauffeur

Le trafic du RER D sera perturbé ce vendredi. Plusieurs syndicats ont lancé un appel au droit de retrait après l'agression d'un conducteur de train mercredi à Corbeil.
La CGT, Sud Rail et l'UNSA "appellent l'ensemble des agents faisant du Transilien à user de leur droit de retrait dès leur premier train vendredi matin" après l'agression mercredi d'un conducteur, passé à tabac par deux jeunes sur le quai de la gare de Corbeil-Essonne.
 
Un train sur quatre est prévu entre Paris et Corbeil via Grigny, et entre Paris et Melun via Combs-la-Ville. Ce sera pire sur les autres branches puisqu'aucune rame n'est prévue entre Paris et Corbeil via Ris-Orangis, ni entre Corbeil et Melun ou Malesherbes.
 
Les syndicats veulent ainsi "exprimer d'une part, leur mécontentement vis-à-vis du comportement de la direction qui refuse tout effectif supplémentaire alors que la situation vécue par le collègue montre le besoin urgent d'en avoir et d'autre part, leur soutien envers le collègue agressé".

jeudi 21 janvier 2016

Après le décès de leur fils, un couple de Bordelais attaque l'hôpital de Marmande

Sébastien, 32 ans, avait été admis en 2014 pour un nez cassé après une chute de vélo. Il s'est étouffé quelques heures plus tard
Le 18 mai 2014, en début de soirée, Sébastien Delforge, Girondin de 32 ans, est admis à l'hôpital de Marmande après une chute de vélo. À 1h45, son décès est constaté. Ses parents viennent d'adresser, par l'entremise de leur avocate bordelaise, Me Marie Mescam, une plainte pour homicide involontaire auprès du procureur de la République d'Agen. Elle vise l'hôpital et les médecins en service le soir du 18 mai 2014.
Ce dimanche-là, Sébastien Delforge est venu faire du ride bike sur un terrain, à Fauillet, avec un ami. Très sportif, il se passionne pour cette discipline qui consiste à franchir des parcours de bosses et de rampes. Après un saut, il fait une mauvaise chute et perd connaissance quelques secondes.

Le nez cassé

Son ami alerte les pompiers. Sébastien est évacué sur l'hôpital marmandais, où il est admis à 19h30.
À 20 heures, il passe un scanner. Le médecin radiologue diagnostique une fracture du nez et un possible traumatisme crânien. Sébastien Delforge est ensuite placé dans une chambre. À 21h30, il appelle son épouse restée à leur domicile de Frontenac, en Gironde. Il se plaint du froid, de la faim, mais aussi de sa gorge qui lui fait mal. Il a des difficultés à déglutir. Il lui fait part de son étonnement de ne voir aucun soignant, alors qu'il a sonné à plusieurs reprises.
Une heure plus tard, son ami le rejoint. Sébastien bave, il ne peut plus avaler sa salive. Il alerte les médecins. « On a dit à mon fils que c'était à cause de glaires, dit Alain Delforge, le père de Sébastien. Il est ensuite resté seul jusqu'à 23h45. Son ami est sorti lorsque les soignants sont revenus. Il leur a demandé quand il pouvait revenir chercher Sébastien qui, à ce moment-là, était censé quitter l'hôpital. On lui a dit de revenir à 0h15. »

Pas d'ORL disponible

Mais le médecin urgentiste va constater que Sébastien va mal. Il réinterroge par téléphone le radiologue, qui lui redit n'avoir rien constaté d'autre sur le scanner que la fracture du nez. Un nouveau scanner est envisagé mais l'appareil est en panne. « Il n'a pas été nécessaire pour constater que mon fils avait un œdème », déclare Alain Delforge. L'hôpital de Marmande cherchera ensuite, sans y parvenir, un ORL pour pratiquer une trachéotomie. Le CHU de Bordeaux, alerté, accepte d'accueillir Sébastien Delforge en urgence mais demande qu'une mini-trachéotomie soit pratiquée. Elle ne le sera pas non plus et le trentenaire, père de deux jeunes enfants, décédera peu de temps après.
« On a tout de suite compris qu'il y avait eu quelque chose d'anormal, dit Alain Delforge. Lorsque le lendemain j'ai rencontré l'urgentiste, il était gêné. Il m'a confié que le radiologue était revenu vers minuit et avait admis qu'il avait vu quelque chose au niveau de la gorge mais ne l'avait pas signalé. » Les proches de Sébastien ont alors saisi Marie Mescam. L'avocate a demandé au tribunal administratif d'ordonner une expertise. Elle a été conduite par les professeurs Dominique Fletcher (anesthésiste) et Robert Carles (radiologue) de l'hôpital Raymond-Poincaré, à Garches (92). Il est écrit dans leur rapport que « des erreurs grossières ont été commises ».
« Les médecins sauvent des gens. Des accidents médicaux peuvent arriver, souligne Me Mescam. Mais là, nous sommes face à une faute grave. Un jeune homme en bonne santé est mort à cause d'une mauvaise prise en charge. »
Le procureur de la République d'Agen a trois mois pour décider de la suite à donner à la plainte qui va lui parvenir ce jeudi.

http://www.sudouest.fr/2016/01/21/l-hopital-attaque-2249077-3603.php

Appel à témoins après l'agression d'une jeune fille

Les gendarmes lancent un appel à témoins après l'agression qu'aurait subie une jeune fille, le mercredi 6 janvier, sur le parking du magasin Gifi de Muret. Selon les premiers éléments de l'enquête, elle aurait été victime d'un malaise, entre 17 h 45 et 18 h 30, dans sa voiture, une Ford K rouge. Selon le témoignage de la victime, désorientée, elle aurait été secourue par une femme accompagnée d'une jeune adolescente. Les gendarmes sont à la recherche de cette personne qui pourrait les aider dans leur enquête. L'agression se serait produite après son intervention. L'anonymat sera respecté. Contact : 05 34 46 33 08 ou 17.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/21/2260504-appel-a-temoins-apres-l-agression-d-une-jeune-fille.html

mercredi 20 janvier 2016

Identifié, le policier en civil agressé par deux hommes ivres

«J'étais ivre mort». Jugés pour des violences à l'égard d'un policier en civil rue Gabriel-Péri à Toulouse à l'aube du 1er octobre, les deux hommes dans le box peinent à rassembler leurs souvenirs. Le policier, lui, n'a rien oublié. «Je suis sorti de mon véhicule et l'un des deux m'a demandé si j'étais policier. Il m'a reproché d'avoir arrêté un de ses amis la semaine passée». La victime a alors été prise à partie par les deux copains, recevant un coup de tête au visage et des coups de ceinture avant d'appeler ses collègues en renfort. Lorsque ces derniers sont arrivés, ils ont rapidement interpellé les deux hommes ivres, titubant et la ceinture à la main. L'un des deux, blessé au visage, avait une arcade ouverte. «La seule chose dont je me souviens c'est de sortir du bar et de voir le policier parler méchamment à mon ami. Je veux les séparer et je ne me souviens de rien», explique-t-il. Une version qui diverge largement de celle de la victime. Me Debuisson, avocat du fonctionnaire, balaye les accusations de violence contre son client. «Le fait pour le prévenu de sortir sa ceinture démontre que la dynamique agressive est de son côté». L'avocat rappelle la gravité des blessures subies par le policier. «Dix jours d'arrêt selon le légiste !» Le procureur partage ce point de vue. «On ne voit pas pourquoi il s'en serait pris à ces individus». Et le ministère public s'indigne : «On l'agresse parce qu'il est policier !». Dix-huit mois de prison dont six mois avec sursis et mise à l'épreuve sont requis contre les deux individus déjà condamnés à une et deux reprises. En défense, Me Balbo s'interroge sur l'origine de la rixe et plaide un «probable dérapage» du policier. «Quand on est ivre à ce point, comment peut-on agresser quelqu'un avec tant de lucidité ?» Pour lui, les 10 jours d'arrêt, «c'est gonflé !»
Le tribunal rendra sa décision le 9 février. Les deux prévenus restent libres.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/20/2259724-identifie-le-policier-en-civil-agresse-par-deux-hommes-ivres.html

Aveyron : un mélange chimique explose dans une rue de Decazeville, un homme interpellé

Les policiers decazevillois ont été alerté, cet après-midi vers 13 h 30, rue Edouard-Vaillant où un petite explosion a été entendue. Sur les lieux, ils ont interpellé un homme, trentenaire, connu pour des antécédents psychiatriques. C'est devant son domicile que deux bouteilles en plastique contenant des éléments chimiques, dont de l'acide, ont été retrouvées. Un périmètre de sécurité a été mis enplace. Une troisième bouteille, vide, a été retrouvée plus loin. Une perquisition a été menée dans son domicile.
Une fois les éléments matériels recueillis, les sapeurs-pompiers du Bassin sont intervenus pour nettoyer la rue de l'acide projeté.
L'homme a été placé en garde à vue et une enquête a été ouverte par la police. Elle devra déterminer si c'est bien lui qui a fait exploser les deux premières bouteilles et ses motivations.
Intervenant dans le contexte de l'état d'urgence, cette affaire n'est pas prise à la légère. La communication a été prise en main par la préfecture de l'Aveyron. Laquelle souligne que rien de démontre une quelconque radicalisation du suspect.
Le parquet de l'Aveyron décidera des suites à donner en fonction des résultats de l'enquête et de l'état de santé mentale du suspect.

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/19/2259156-aveyron-melange-chimique-explose-rue-decazeville-homme-interpelle.html#vSYgSH1drKVKdBI8.99
 

mardi 19 janvier 2016

Tergnier: la victime de l'accident de train a été amputée de sa jambe gauche

Le jeune homme de 18 ans a été plongé dans un coma artificiel
La victime de l’accident qui s’est produit lundi soir, en garde de Tergnier, est toujours hospitalisée. Le jeune homme, âgé de 19 ans, à qui l’on a déjà amputé le bras gauche, vient de perdre également sa jambe gauche. Le jeune homme a été plongé dans un coma artificiel. Son état serait jugé stable.
En cause, une simple glissade, selon les premiers éléments de l’enquête. Le jeune homme aurait en effet glissé entre le quai numéro 1 et le train, alors que celui-ci était encore en marche.
Une enquête est toujours en cours, au commissariat de police ternois. Des témoins de l’accident doivent encore être entendus.
http://www.lunion.fr/node/642638

Rennes : les policiers sauvent une mère de famille et ses 4 enfants de l'appartement en feu

Dans la nuit de lundi à mardi un incendie s'est déclaré dans un appartement proche du commissariat de Rennes. Prévenus par les pompiers, des policiers se sont rendus aussitôt sur place. Ils ont sorti de l'appartement en feu une femme et ses 4 enfants. Ces 10 personnes ont été hospitalisées.
Il est 2h du matin lorsque les pompiers sont appelés pour un feu de cuisine dans un appartement du 5e et dernier étage du 8 rue de Redon en centre-ville. Les pompiers préviennent aussitôt le commissariat central qui se situe à quelques dizaines de mètres de l’immeuble. Une quinzaine de policiers se rendent au plus vite sur les lieux. 5 d’entre eux montent dans les étages et se retrouvent devant la porte de l’appartement en feu au 5e et dernier étage du bâtiment. Entendant des cris d’appel au secours, les fonctionnaires  de police enfoncent la porte et découvrent dans le logement enfumé une femme de 29 ans avec ses 4 enfants de 9 ans, 7 ans et ses deux jumeaux de 2 ans. Ils procèdent à leur évacuation et commencent à prendre en charge les voisins alors que les pompiers arrivent.
La trentaine de soldats du feu dépêchés rapidement sur place maîtrise l’incendie qui avait pris dans la cuisine et qui menaçait de se propager à d’autres appartements.

Au total, 22 personnes ont été évacuées. La femme, ses 4 enfants et les 5 policiers, légèrement intoxiqués par les fumées ont été transportés à l’hôpital.

Les autres occupants de l’immeuble ont pu regagner leur domicile vers 4h du matin.

La famille de l’appartement en feu sera relogé


http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/incendie-rennes-10-personnes-hospitalisees-dont-5-policiers-907611.html

Bordeaux : l'infirmier maltraitait son patient avec une pince à viennoiseries

Un soignant de l’hôpital Charles-Perrens est poursuivi pour avoir fait subir de mauvais traitements à l’un de ses patients.
C'est une infirmière qui a constaté qu'un patient de l'hôpital psychiatrique Charles-Perrens avait des marques anormales sur l'un de ses bras. Elle s'en est ouverte à sa hiérarchie ainsi qu'à l'association qui s'occupe du malade placé sous tutelle.
Cette dernière a déposé plainte contre un infirmier qui avait particulièrement en charge ce patient lorsque celui-ci venait à l'hôpital.Les responsables de l'association ont d'abord demandé à la victime, un homme âgé de 35 ans, ce qui se passait. Celui-ci a eu quelques peines à verbaliser ce qu'il subissait lorsqu'il se trouvait en présence de cet infirmier, âgé de 46 ans.
Il est apparu qu'il avait fait de ce patient son souffre-douleur. Il lui a fait subir des sévices physiques légers. Notamment à l'aide d'une pince à viennoiseries. Les marques laissées par les dents de cette pince sur les bras de l'homme avaient alarmé l'infirmière, qui a donné l'alerte.
Une enquête a été ouverte et confiée aux enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Bordeaux. Il est apparu que les faits se déroulaient depuis juillet 2013. L'infirmier a été convoqué la semaine dernière par les policiers de la BSU.
Au cours de son audition, il a admis les faits en donnant des justifications qui ont quelque peu surpris les enquêteurs.

L'argument de l'animosité

Il est apparu que le soignant avait de l'animosité envers son malade, sans raison véritable. Il lui a tenu des propos humiliants mais aussi à connotation raciste, traitant notamment le trentenaire déficient de « sale nègre ». Il a aussi reconnu lui avoir fait subir de mauvais traitements, notamment avec la pince au seul motif qu'il ne l'aimait pas.
Des actes et des arguments qui vont conduire l'infirmier devant la justice. Déféré en fin de semaine dernière au parquet de Bordeaux, une convocation par procès-verbal devant le tribunal correctionnel lui a été notifiée. Il est par ailleurs mis à pied

http://www.sudouest.fr/2016/01/19/l-infirmier-avait-son-souffre-douleur-2247046-2780.php

Paris: Important incendie au Ritz, actuellement en travaux

Heureusement, il est inoccupé. Un incendie était en cours ce mardi matin à l'hôtel parisien du Ritz, actuellement en travaux, a-t-on appris de sources concordantes.
L'incendie touche le «dernier niveau du bâtiment et de la toiture», ont indiqué les pompiers qui ont été alertés vers 6h du matin. «Il n'y avait pas de public et il n'y a pas de victimes», ont précisé les pompiers, mais la surface touchée est «importante» et «on est là pour un moment», selon les pompiers.

L'hôtel fermé depuis 2012

La préfecture de police de Paris a évoqué un «incendie important» sur son compte Twitter, conseillant aux automobilistes d'éviter le secteur.
http://www.20minutes.fr/paris/1768571-20160119-paris-important-incendie-ritz-actuellement-travaux

lundi 18 janvier 2016

Un jeune homme a eu le bras sectionné par un train en gare de Tergnier

Vers 18 heures, les sapeurs-pompiers de Tergnier ont pris en charge une victime polytraumatisée qui aurait été happée par un train, en gare de Tergnier. Son pronostic vital est engagé. Il doit être héliporté à Amiens dans la soirée.
Ce lundi soir vers 18 heures, les pompiers de Tergnier ont été appelés à la gare de Tergnier pour un accident impliquant un piéton et un train. Un jeune homme de 18 ans a chuté entre le quai et un train en mouvement à vitesse réduite. Grièvement blessé, il a immédiatement été pris en charge par les pompiers et médicalisé par l’équipe du SMUR de Chauny appelé en renfort.
Polytraumatisé, le jeune homme a eu le bras gauche sectionné à hauteur de l’épaule. Vers 19 h 45, il a pu être transporté dans un premier temps à l’hôpital de Chauny avant d’être héliporté à l’hôpital d’Amiens. Le pronostic vital serait engagé.
D’après nos informations, le jeune homme était scolarisé à Laon. Il était en transit en gare de Tergnier, où il devait prendre le train de 18h01 reliant Paris à Saint-Quentin.
Le trafic ferroviaire a été interrompu durant l’intervention des secours. Vers 20 heures, la circulation a repris progressivement en gare de Tergnier.
Une enquête devra déterminer les circonstances exactes de cet accident.
http://www.lunion.fr/641982/article/2016-01-18/un-jeune-homme-a-eu-le-bras-sectionne-par-un-train-en-gare-de-tergnier

INFO TF1. Un homme meurt roué de coups en plein Paris

La police judiciaire parisienne enquête depuis ce week-end sur le meurtre d'un homme de 30 ans survenu dans la nuit de samedi à dimanche dans le XIe arrondissement de la capitale. Une dizaine de suspects, armés de barres de fer et de couteaux, étaient toujours recherchés lundi.
La scène s'est déroulée vers 1h40. Selon nos informations, la police judiciaire parisienne enquête depuis ce week-end sur le meurtre d'un homme de 30 ans survenu dans la nuit de samedi à dimanche dans le XIème arrondissement de Paris.
 
Pour des raisons encore inconnues, la victime a été passée à tabac par une dizaine de suspects, armés de barres de fer et de couteaux. Plusieurs témoins ont assisté à la scène. Trois barres de fer et une bombe lacrymogène ont été retrouvées sur place par les enquêteurs.

 
La victime, hospitalisée en urgence avec plusieurs lésions aux jambes et au crâne, est morte un peu plus tard dans la nuit à l'hôpital Saint-Antoine. Ses agresseurs, qui ont pris la fuite en voiture, étaient toujours recherchés ce lundi.

Un couple de dépeceurs chinois jugé mardi aux assises de Paris

Un bébé mort chez sa nourrice, ses parents tués, dépecés et leurs corps dispersés: un couple de Chinois comparaît à partir de mardi devant la cour d'assises de Paris pour ce double crime hors du commun.
Poursuivis pour "homicide volontaire", les accusés, Hui Zhang et son compagnon Te Lu, encourent trente années de réclusion criminelle.
Le 7 juin 2012, deux joggeuses découvrent dans le bois de Vincennes une jambe "sans vêtement et coupée à la cheville". Quelque jours plus tard, un chien d'aveugle exhume une partie de torse humain. 
Les recherches pour trouver les restes des corps sont infructueuses. Seule certitude: les morceaux découverts appartiennent à un homme et une femme asiatiques. On pense alors au dépeceur canadien Luka Rocco Magnotta, arrêté peu avant à Berlin après un passage à Paris, mais aussi aux méthodes de la mafia chinoise.

dimanche 17 janvier 2016

Bordeaux : trois personnes agressées dans un tram

Deux passagers ont été blessés avec des tessons de bouteilles ce dimanche matin. Une enquête est en cours
Une rixe est survenue ce matin vers 6 heures dans un tram de la ligne C entre les arrêts Jardin Public et Les Aubiers. Une jeune fille et deux hommes qui, selon toute vraisemblance, tentaient de s'interposer ont été pris à partie par cinq individus.
La jeune fille a été bousculée et les deux hommes ont été blessés avec des tessons de bouteilles. Ils ont été hospitalisés. Leurs jours ne sont pas en danger. Une enquête est en cours
http://www.sudouest.fr/2016/01/17/bordeaux-trois-personnes-agressees-dans-un-tram-2245304-2780.php

Contresens sur l'A62 : «J'ai vu la mort en face»

Alain, 49 ans, a croisé la route d'un automobiliste à contresens sur l'A62 vendredi après-midi. Il a évité l'accident grâce aux appels de phare d'un conducteur. Il se considère aujourd'hui comme un rescapé.
«En une fraction de seconde, j'ai croisé la mort en face». Vendredi après-midi, Alain, un Tournefeuillais de 49 ans, qui quittait son travail à Montauban pour regagner son domicile haut-garonnais, a croisé le chemin d'un automobiliste de 84 ans engagé à contresens sur l'A62. La folle course de l'octogénaire désorienté s'est étendue sur 28 km et a choqué les conducteurs qui se sont retrouvés face à lui.
«Alors que je double à 120 ou 130 km/h sur l'A62, sur la voie de gauche, je suis intrigué par une voiture qui roule elle aussi voie de gauche mais dans le sens Toulouse-Montauban et qui fait des appels de phares brefs et incessants, décrit Alain. Ayant été coincé la veille dans le bouchon de l'accident du matin, 2 h 30 pour faire le trajet de chez moi au travail, je me dis qu'il doit y avoir un nouvel accident, je lève le pied et me positionne sur la file centrale».
Une décision salutaire. «En une fraction de seconde, un véhicule à vive allure à contresens vient de frôler mon rétroviseur. Ma petite voiture bouge au souffle du passage comme s'il y avait eu un coup de vent, poursuit Alain. Je vois une borne orange d'appel d'urgence, je m'y arrête, percute le bouton d'appel. Elle sonne durant une minute et puis coupe, sans interlocuteur au bout du fil. Je ne rappelle pas, je remonte dans ma voiture, il me faut avertir coûte que coûte, éviter l'horreur… Je compose le 17 afin de joindre la plateforme téléphonique de la gendarmerie. Une opératrice me répond. Je lui fais part du contresens. J'entends en bruit de fond un autre opérateur qui, dialoguant probablement lui aussi avec un automobiliste, prononce le mot contresens».
Alain a vu sa vie s'arrêter ce vendredi après-midi. Aujourd'hui, il tient à remercier «cet automobiliste anonyme qui, par son réflexe d'appels de phares incessants, a sauvé ma vie, a sauvé combien de vie ?»
Et de conclure : «Aujourd'hui, samedi 16 janvier 2016, c'est le deuxième jour du reste de ma vie».

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/17/2257339-contresens-a62-ai-vu-mort-face.html

samedi 16 janvier 2016

Un garçon de 4 ans entre la vie et la mort : les parents entendus

Un enfant de quatre ans originaire d’Apt est dans un état critique à l’hôpital de la Timone à Marseille depuis qu’il a été victime d’un violent choc à la tête alors qu’il était chez lui vendredi.
Les parents ont été entendus une première fois par les gendarmes.
Accident ? Négligence ? Maltraitance ? Aucune piste n’est privilégiée.
http://www.ledauphine.com/actualite/2016/01/16/un-garcon-de-4-ans-entre-la-vie-et-la-mort-les-parents-entendus

10 ans pour Joseph Miqueu

Le procès de Joseph Miqueu s'est achevé hier soir. Les jurés, après une heure trois quarts de délibéré, ont prononcé une peine de 10 ans de réclusion. Tout au long de ce procès, l'accusé aura été son pire ennemi.
C'est dans un silence à couper au couteau que le verdict est tombé : 10 ans de réclusion criminelle pour Joseph Miqueu. Le maximum de la peine réclamée par l'avocate générale. L'attitude de dénégation systématique, face aux plus criantes évidences, a beaucoup desservi le retraité, qui s'est enferré jusqu'au bout.
«Tout ça, c'est un tissu de mensonges !», a déclaré Joseph Miqueu après la déposition de son épouse Françoise (voir encadré ci-contre). Tous les témoins mentent ? «Oui.» Tous les experts mentent ou se sont trompés ? «Oui.» Sa femme ment ? «Oui.» Jusqu'au bout, jusqu'au tout dernier moment, Joseph Miqueu va rester arc-bouté à son histoire, à sa vérité à lui. Contre toutes les évidences, contre tous les témoignages, contre tous les avis d'experts pourtant qualifiés de «pontes», chacun dans leurs domaines.
Des déclarations péremptoires qui, une nouvelle fois, ont provoqué hier la colère du président Francis Bobille : «Je vous rappelle que vous avez le droit de mentir. Mais la frontière est mince entre le droit de mentir et une juridiction de penser que vous la prenez pour une imbécile. Elle peut finir par s'en offusquer».
Sous la pression de son avocate, Me Dominique Chevallier, Miqueu va finir par faire un pas, un tout petit pas : «Je suis resté inconscient, alors peut-être que je me suis fait un petit cinéma avec le verger…». La réplique du président est immédiate : «Vous découvrez ça à l'audience ? Sous la pression ? Mais quel crédit peut-on vous accorder ? Quelle confiance peut-on vous faire ?». Joseph Miqueu insiste : «J'ai jamais voulu lui faire mal. Juste lui faire peur». La voix du magistrat enfle : «Avec un fusil chargé ? Dans un espace confiné et réduit sans échappatoire possible ? Avec d'autres munitions prêtes à servir ? Vous vous rendez compte de ce que vous racontez depuis hier ? Absolument tous les éléments démontrent le contraire de ce que vous dites. Y compris les témoignages. Soyez un homme à un moment donné ! Assumez un peu !».

Un tyran domestique

Un instant, on a pu penser que le procès allait basculer quand le retraité déclare : «Oui, je reconnais et je m'excuse». L'illusion sera de très courte durée. «De quoi vous excusez-vous ?» «Ben, de lui avoir fait peur. Je l'ai poussée avec la main, je voulais aller dehors, pour tirer à côté et lui faire peur. Ce qu'elle décrit, c'est pas vrai, elle ment.» Me Thierry Sagardoytho, pour la partie civile, n'aura pas à forcer son talent pour s'adresser aux jurés : «Face à ce mur d'arrogance et de cynisme, ne soyez pas dupes. Il y a le Joseph Miqueu à la ville : agréable, jovial, convivial. Et il y a le Joseph Miqueu au foyer : un tyran domestique qui tire sa force du fait qu'on ne le voit pas. Il y a l'alcool, les insultes, le mépris de quelqu'un qui s'est arrogé le droit de vie et de mort sur son épouse, qui a fui en se noyant dans le travail, en se dévouant pour les autres. Lui faire peur ? Mais de quoi ? Les mots ont un sens : la tentative de meurtre est un crime. Et s'il ne reconnaît rien, c'est par pur orgueil machiste. Il a tout le temps menti». L'avocate générale Marie-Charlotte Trébuchet va démontrer point par point que la tentative de meurtre est bel et bien consommée. Que l'intention homicide était bien réelle. Que l'âge de l'accusé n'a pas à entrer en ligne de compte et que seule la loi prévaut.
En conséquence, elle va réclamer de 8 à 10 ans de réclusion criminelle. Après avoir rappelé les terribles chiffres de la violence conjugale et «la dérive culturelle» quant à ces violences.
Pour la défense, Me Chevallier va tenter de démontrer que son client n'avait pas réellement l'intention de tuer et que l'envoyer derrière les barreaux, à 76 ans, équivaut à une condamnation à perpétuité : «Même sa femme ne l'envisage pas… Pensez à ses filles, qu'elles puissent dire à leurs enfants que leur grand-père n'était pas un criminel».

La victime Coupable, oui, mais pas la prison

Françoise Miqueu n'a jamais varié dans ses déclarations depuis 38 mois. On a découvert une petite femme déterminée à la barre, mais sans la moindre agressivité : «Ce que j'attends de ce procès, c'est la vérité, c'est qu'il soit déclaré coupable. Mais je ne veux pas qu'il aille en prison. Pourquoi faire ? Juste qu'il reconnaisse. Je veux pouvoir refermer ce livre une bonne fois pour toutes.» Son mari ne lui accordera pas ce qu'elle demande. Il continue à la traiter de menteuse, de comédienne, alors que tous, sans exception, experts psychologues compris, affirment que cette femme est honnête, courageuse, travailleuse jusqu'au dévouement et parfaitement «authentique». Depuis ce 24 novembre 2013, elle vit dans la peur mais ne se laisse pas abattre. Entre le mépris et l'arrogance d'une part, le courage et l'honnêteté d'autre part, ce procès aura donné un grand éventail d'humanité. Un grand écart entre deux attitudes.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/16/2256588-10-ans-pour-joseph-miqueu.html

vendredi 15 janvier 2016

Franche-Comté : 35 camions crèvent à la chaîne sur l’autoroute

C’est une scène inhabituelle qui s’est produite ce jeudi matin sur l’autoroute A36 entre Montbéliard et Belfort, en Franche-Comté. Trente-cinq camions ont été immobilisés à partir du kilomètre 53, tous ayant été victimes de crevaison, rapporte France 3 Franche-Comté. Un défaut de la chaussée serait à l’origine de cet incident.
Selon France Bleu Belfort Montbéliard, une trentaine de camions attendaient sur la bande d’arrêt d’urgence après avoir crevé. En cause, une tige métallique serrant un des joints de dilatation du viaduc Belchamps qui dépassait de 4 à 5 centimètres sur la chaussée. Les dépanneurs appelés à la rescousse ont été débordés ce jeudi après-midi, certains véhicules ayant plusieurs roues crevées. La société en charge de l’exploitation de l’autoroute (APRR) devra dédommager les chauffeurs routiers pour ce désagrément.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/15/2256524-franche-comte-35-camions-crevent-chaine-autoroute.html

jeudi 14 janvier 2016

Un pan de la falaise chute sur le parking

Mardi soir, à proximité du site de la cascade d'Autoire, un morceau de la falaise s'est écroulé sur le parking en contrebas.Les pluies abondantes sont sans doute à l'origine de l'éboulement. La RD 38 a été fermée pour des raisons de sécurité. Il y a une menace de nouvelles chutes de rochers.
Le site très touristique de la cascade d'Autoire a été le théâtre d'un incident spectaculaire mardi dans la soirée avec l'effondrement d'une partie de la falaise sur un parking situé juste en dessous. Selon les premières constatations , l'éboulement est survenu entre 20 h 30 et 21 heures, des tonnes de roches dévalant la pente abrupte pour recouvrir la D38 et le parking haut de la cascade .Des automobilistes découvrant l'avalanche de pierres ont alerté la gendarmerie vers 22 h 30. C'est tout un pan de la falaise qui s'est effondré sur le parking en question ainsi que sur une partie de la route. Immédiatement alerté, Alain Nouzière le maire d'Autoire s'est rendu sur les lieux et a prévenu les services compétents. «Les conditions atmosphériques épouvantables de ces derniers jours sont sans doute à l'origine de l'affaissement» explique l'élu pas vraiment rassuré par l'examen des lieux : «Sur cette partie de falaise qui surplombe la D38 et qui fait 1 km environ, il y a les prémices de chutes de roches et de nombreux écoulements d'eau inhabituels pouvant laisser craindre que cela peut bouger. à nouveau. Cela dégouline de partout. J'espère que cette journée d'accalmie va permettre de purger toutes les sources sauvages qui se sont créées».
Les équipes techniques du conseil départemental se sont réunies hier dans la matinée pour déterminer la suite des opérations à mener sachant que la paroi rocheuse présente toujours ces signes inquiétants. La D38 est barrée à l'entrée d'Autoire en venant de Saint-Céré avec l'instauration d'une déviation sur Ségonsac et Loubressac et au pont de la route de Frouges en venant de Gramat et Padirac . Les lieux sont sécurisés en attendant l'intervention des équipes du conseil départemental qui devront dégager la chaussée et évacuer ces tonnes de roches.
C'est un vrai coup de chance que l'éboulement se soit produit en cette période de l'année et de nuit. L'été , ils sont des dizaines et beaucoup plus encore à stationner sur ce parking haut avant d'entamer leur balade jusqu'à la cascade.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/14/2255184-un-pan-de-la-falaise-chute-sur-le-parking.html

mercredi 13 janvier 2016

Limoges : deux morts dans un incendie cette nuit

L'incendie ce serait déclaré aujourd'hui mercredi 13 janvier 2016 vers 3 heures du matin aux 23-25 rue Pétiniaud-Dubos dans un immeuble près de la gare de Limoges.

Deux personnes sont décédées, impossible pour le moment de les identifier, ni même de déterminer leur sexe. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées.

Les quinze autres locataires de l'immeuble ont immédiatement été évacués et relogés.

L'immeuble est vétuste et selon les habitants du quartier il s'agirait du troisième incendie dans cette rue.

15 véhicules de secours ont été dépêchés sur place et une quarantaine de pompier est toujours sur les lieux.

Une enquête afin de déterminer les causes de l'incendie est en cours.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges/limoges-deux-morts-dans-un-incendie-cette-nuit-903141.html

Canet-en-Roussillon : un couple d'octogénaires renversé par une voiture, grièvement blessé

Mardi, peu avant 16 h 30, un couple de personnes âgées, résidant sur la commune, traversait la chaussée rue Joseph-Lafon à Canet-village lorsqu'ils ont été percutés par une voiture.
L'homme, âgé de 86 ans, a été blessé au niveau des jambes. Son épouse, de 85 ans, aurait fait une mauvaise chute consécutive au choc et a, elle, été grièvement touchée.
Elle souffrirait d'un traumatisme crânien. Tous deux ont été évacués vers l'hôpital de Perpignan où la dame se trouvait mardi soir dans un état jugé très sérieux.
Une enquête a aussitôt été déclenchée menée par les gendarmes de la brigade de Canet. Selon les premiers éléments, corroborés par les témoignages, le conducteur, domicilié à Alénya, aurait été ébloui par le soleil couchant et n'aurait pas vu les octogénaires sur la route.
Il a été soumis à divers dépistages qui se sont révélés négatifs.

http://www.lindependant.fr/2016/01/13/un-couple-d-octogenaires-renverse-par-une-voiture,2140603.php

mardi 12 janvier 2016

Pont-à-Vendin : découverte d'un corps dans la Deûle

Les pompiers ont été appelés ce mardi en toute fin de matinée pour repêcher un corps flottant dans Deûle à Pont-à-Vendin. La police est sur place.
corps flottant a été découvert vers 11 heures ce mardi matin, dans la Deûle à Pont-à-Vendin (62), au niveau de la rue Roland Sergeant. Pompiers et police ont été dépêchés sur place.

Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait du corps de Marco Scherrer, un homme de 28 ans issu de la communauté des gens du voyage,
porté disparu depuis la nuit du 24 au 25 décembre. Il aurait pu être identifié grâce à un tatouage qu'il portait au niveau de la poitrine.

Le soir du réveillon de Noël, il faisait partie d'un groupe de gens du voyage qui festoyait dans une salle désaffectée au bord de la Deûle, non loin de l'endroit où le corps a été découvert. Marco Scherrer avait quitté le groupe à pied. Une enquête avait été ouverte, et le canal avait déjà été sondé sur une distance d'un kilomètre.

La brigade de sûreté urbaine de Lens est chargée de l'enquête, afin de déterminer les causes et les circonstances de la mort de la victime. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/pont-vendin-decouverte-d-un-corps-dans-la-deule-902643.html

Un enfant éjecté dans un accident

Ce lundi après-midi, vers 14 heures, un accident de la circulation impliquant deux véhicules s’est produit à l’intersection de la D8 et de la D 243 à Bollène.
Dans le choc, le conducteur ainsi qu’un enfant de 12 ans qui l’accompagnait ont été blessés.

Ejecté, l’enfant de 12 ans a été évacué vers le centre hospitalier par les sapeurs-pompiers d’Avignon. Souffrant de contusions lombaires et de violentes douleurs à l’abdomen, il a été médicalisé sur place par les équipes du Smur avant d’être hospitalisé.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3748187/un-enfant-ejecte-dans-un-accident.html

Choc frontal dans le Haut-Doubs : un pompier gravement blessé

Alors qu'il circulait à bord de sa voiture, ce pompier volontaire de 58 ans a heurté de plein fouet un camion de déménagement, ce lundi à Maisons-du-Bois-Lièvremont.
violente collision s’est produite peu avant 18 h ce lundi à l’entrée du village de Maisons-du-Bois-Lièvremont. Pour des raisons qui restent à déterminer, alors que tombait la neige, la voiture conduite par l’adjoint au chef de centre des pompiers du Russey a heurté de plein fouet un camion de déménagement d’une entreprise locale qui roulait en sens inverse.
Ce pompier volontaire âgé de 58 ans a été grièvement blessé. Médicalisé sur place par ses collègues, le Haut-Doubien a ensuite été transporté à l’hôpital de Pontarlier. Son pronostic vital n’est pas engagé. Le chauffeur du camion, lui, est indemne.
Le temps de l’intervention, la RD437 a été totalement coupée à la circulation, générant d’importants ralentissements.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2016/01/11/choc-frontal-dans-le-haut-doubs-un-pompier-gravement-blesse

lundi 11 janvier 2016

Disparition inquiétante d'un jeune majeur en Charente-Maritime

Le commissariat de Saintes lance un appel à témoins après la disparition jugée inquiétante d'un jeune majeur (18 ans)souffrant d'une légère déficience mentale.
Yann Tonneau a été déposé en gare de Saintes vendredi 8 janvier afin de prendre le train de 7h59 en direction de Royan. Le jeune adulte n'est jamais arrivé à destination et n'a pas donné signe de vie depuis.
Il ne sait ni lire ni écrire. Il doit prendre régulièrement un traitement médical.
Lors de sa disparition, il portait un jean, un blouson en cuir noir et avait une petite sacoche verte foncée. Il mesure 1 m 70, a un âge apparent entre 16 et 20 ans. Il est de corpulence normale, a des yeux marron, des cheveux noirs courts et raides.
Signe particulier : souffre d'un tic, il lève les épaules.

En cas de découverte, bien vouloir aviser le commissariat de Saintes (17) au 05 46 90 30 40.
http://www.sudouest.fr/2016/01/10/disparition-inquietante-d-un-jeune-majeur-en-charente-maritime-2238660-1531.php

Un gendarme blessé dans une rixe nocturne place de la République

Un pallier a été franchi dans les violences qui se produisent régulièrement dans le centre-ville en fin de semaine, mettant en présence des bandes sur fonds de rivalité pugilistique et d'imprégnation d'alcool. Cette fois, la force publique a été molestée, l'autorité qu'elle représente et qui est une limite essentielle dans le respect des biens et des personnes, bafouée. Les faits se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche, sur le coup de 1h 45, place de la République, où des échauffourées avaient été signalées parmi un groupe d'une quarantaine de personnes âgées de 20 à 30 ans. Appellée sur les lieux, une patrouille de cinq gendarmes de la brigade de Limoux était prise à partie par les bélligérants, avant même d'être descendue du véhicule de fonction, essuyant des jets de projectiles dont des bouteilles et des verres. Le pare-brise de la voiture volait en éclats, obligeant les militaires à s'abriter à l'extérieur pour se protéger. L'un d'entre eux devait être blessé par un éclat de verre. Des renforts avec la présence du PSI (Peloton de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie Nationale) arrivaient à la rescousse. Rapidement, une douzaine de gendarmes au total dont la commandante Marie-Isabelle Serror, parvenaient à se rendre maître de la situation avec sang-froid et à disperser les protagonistes d'une bagarre qui s'était déclarée à l'angle de la rue de la Goutine et de la place de la République. Cet épisode, qui fait suite à une longue série d'incidents qui se produisent régulièrement dans le centre ville, ne restera pas sans suites, assurent les responsables de la sécurité publique.

dimanche 10 janvier 2016

Décès suspect à Launaguet

Samedi matin, le corps sans vie d'une femme de 60 ans a été retrouvé à son domicile. Des traces de coups auraient été observées. une enquête est en cours. 
Ce sont les voisins qui ont donné l'alerte, après avoir aperçu un membre de la famille quitter les lieux de manière furtive.
Le corps sans vie d'une femme de 60 ans a été retrouvé dans son pavillon de Launaguet, samedi 9 janvier.
Il porterait des traces de coups, selon les enquêteurs, sans qu'il soit possible pour l'heure de déterminer s'il s'agit d'une agression ou des conséquences d'une chute après un malaise.
Une autopsie sera réalisée lundi. 

Un homme chute sur une ancienne voie ferrée dans le 14e

samedi 9 janvier 2016

Il dérobe et abandonne la voiture de son ex-beau-père

Ayant obtenu une permission de sortie, Steven arrose l'événement et dérobe la voiture de son ex-beau-père à Carmaux, en juillet 2015. Déjà détenu, il y restera 3 mois de plus.
Avec 17 condamnations à son casier judiciaire pour des violences en réunion, des violences aggravées, rébellion, dégradation, transport d'armes et alcool au volant, Steven G, 29 ans, se trouvait en état de double récidive légale lorsqu'il a été jugé, jeudi, à la barre du tribunal correctionnel. La justice lui reproche un vol et un outrage envers un gendarme, le 13 juillet 2015 à Carmaux. Il a donc comparu sous escorte pour avoir été condamné à deux reprises le 26 novembre 2013 à Albi et le 18 février 2014, toujours à Albi pour des faits identiques ou assimilés.
Le 13 juillet, Steven, qui bénéficiait d'une permission de sortie du 10 au 15 juillet «emprunte» la voiture de son ex-beau-père. «Je lui ai dit, je te prends la voiture pour aller faire un tour. Il y a les clés dessus, m'a-t-il répondu. Je me suis arrêté sur le bas-côté car elle fumait», explique-t-il à la présidente. «Ce n'est pas du tout ce qu'il a déclaré, il a porté plainte contre vous pour le vol de son véhicule».
Lorsque les gendarmes arrivent près de la voiture arrêtée, ils ne sont pas très bien accueillis par le conducteur qui a un coup dans le nez. «Ils sont arrivés et ils m'ont molesté, lance-t-il.ça faisait 18 mois que je n'avais pas bu d'alcool, j'ai bu une bière ou deux, je n'étais plus habitué». Steven refuse le contrôle d'alcoolémie, s'en prend vertement à un gendarme puis à un médecin lors de son transfert à l'hôpital. «Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, ce n'est pas mon tempérament, c'est l'alcool. J'ai 29 ans, j'ai passé 5 ans de ma vie derrière les barreaux, j'en ai marre maintenant». Une explication qui ne fait pas vraiment frémir Me Marie Laroche-Malric, qui représente le propriétaire de la voiture. «Il a un gros souci avec l'alcool, il y a des règles et il faut les respecter. Il y avait un véritable danger à laisser cette voiture sur la bande d'arrêt d'urgence». Elle demande 2 000 € de dommages et intérêts. Le gendarme, lui, réclame 500 €. Pascal Suhard, le procureur, regrette qu'après lui avoir fait confiance, on revienne à la case départ. Il demande 6 mois de prison et le maintien en détention. Il en obtiendra 3, l'ex beau-père 200 € et le gendarme, 300 €.
http://www.ladepeche.fr/

vendredi 8 janvier 2016

Pour échapper aux gendarmes, il abandonne sa voiture et tombe... dans la vase !

Un jeune automobiliste de 19 ans qui avait tenté d'échapper à un contrôle de gendarmerie à Muret (Haute-Garonne) dans la nuit de jeudi à vendredi a été interpellé après être tombé dans... de la vase ! Il était ivre, sans permis et sans assurance. 
L'automobiliste a tenté d'échapper à un contrôle de gendarmerie, vers 1 heure dans la nuit du jeudi au vendredi 8 janvier, boulevard Joffrery à Muret. Il a refusé d'obtempérer et a pris la fuite.
Pris en chasse par les gendarmes du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG), il a perdu le contrôle de sa voiture qui s'est s’immobilisée dans un rond-point.

Il a alors voulu prendre la fuite à pied mais est tombé... dans un fossé profond rempli de vase. Les gendarmes ont donc pu l'interpeller sans problème.

Agé de 19 ans, ce Muretain circulait sans permis de conduire, sans assurance et en état d'ébriété. Il a été placé en garde à vue.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/pour-echapper-aux-gendarmes-il-abandonne-sa-voiture-et-tombe-dans-la-vase-899193.html