jeudi 31 décembre 2015

Rouen (Seine-Maritime) : en état d'ébriété, il grille une dizaine de feux rouges en plein centre-ville

Il est 4 heures 30 lorsque des policiers voient un véhicule griller un feu rouge sur le boulevard des Belges. Une course poursuite va suivre. 
Lorsque la patrouille de police remarque l'automobiliste qui ne s'arrête pas au feu rouge, elle décide de le suivre. Un peu plus loin sur le boulevard des Belges, le conducteur passe encore au rouge. Les policiers mettent en route leur sirène. Le chauffard refuse de s'arrêter.

Durant la poursuite, il va encore brûler plusieurs feux rouges. Arrivé sur la rive gauche de Rouen, il s'arrête rue aux Anglais et tente de fuir à pied.

Il sera rattrapé un peu plus loin.

Après analyse, il s'avère que le conducteur âgé de 20 ans, de Petit-Quevilly (Seine-Maritime), est en état d'ivresse avec 0,69 grammes d'alcool par litre de sang. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/rouen-seine-maritime-en-etat-d-ebriete-il-grille-une-dizaine-de-feux-rouges-en-plein-centre-ville-893847.html

Pas-de-Calais : sauvé grâce à une bûche de Noël

Mardi, un homme a été secouru à son domicile où il était immobilisé depuis cinq jours. C'est sa boulangère, inquiète de ne pas le voir venir récupérer sa bûche de Noël, qui a donné l'alerte.
Il doit la vie à sa boulangère... et à sa bûche de Noël. Mardi, alors qu'il était coincé depuis cinq jours dans son appartement de Lillers dans le Pas-de-Calais, un homme a été secouru par la police.

Les premiers faits remontent au 24 décembre quand Mary Tomasi, la responsable de la boulangerie Créa'Pain, s'inquiète de ne pas voir un de ses clients venir chercher sa bûche de Noël. "Je l'ai appelé plusieurs fois mais il n'a pas répondu", explique-t-elle à La Voix du Nord. "Il vient tous les jours entre 10h et 11h. Ce n'était pas normal" s'inquiètait la jeune femme.
"Ils l'ont entendu crier"
Plusieurs jours passent, et le 29 décembre, alors qu'elle fait le point sur ses commandes des fêtes, la responsable signale à son patron cette unique commande non honorée. Soucieuse, elle décide de contacter la police pour qu'ils se rendent chez l'homme. Non sans mal. "Ils m'ont dit qu'ils n'entraient pas comme ça chez les gens mais j'ai insisté. Quand ils se sont présentés chez lui, ils l'ont entendu crier."
L'homme était immobilisé chez lui depuis cinq jours. La victime a été conduite à l'hôpital de Beuvry par les sapeurs-pompiers. "On m'a dit qu'il était aux urgences mais que ça allait et qu'il allait subir des examens sanguins", s'est réjoui la responsable de l'établissement.

mercredi 30 décembre 2015

Un chauffard percute un portail : une fillette de 7 ans blessée

Une fillette âgée de 7 ans a été victime d'un grave traumatisme crânien dans la nuit de mardi à mercredi, rue des Braves à Toulouse. L'accident a été provoqué par un chauffard qui a défoncé le portail d'une résidence au volant de sa voiture. Malheureusement, le portail est tombé sur la petite fille. Pas de quoi émouvoir le chauffard qui a enclenché la marche arrière et pris la fuite sans qu'il ait été possible de l'identifier.
La jeune victime a été transportée à l'hôpital des enfants, à Purpan. Son état est jugé sérieux mais ses jours ne seraient pas en danger. De son côté, la brigade accident a fait les constatations sur place afin d'analyser les débris du véhicule et de remonter jusqu'à son propriétaire
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/30/2247269-chauffard-percute-portail-fillette-7-ans-blessee.html

mardi 29 décembre 2015

Rouen: Un homme en garde à vue après un double meurtre

L'enquête progresse. Un homme a été interpellé et placé en garde à vue mardi suite au double homicide ayant lieu il y a une dizaine de jours dans le centre de Rouen.
Selon la police, cet homme avait été filmé par des caméras de surveillance quand il était entré dans un immeuble de la place de la Pucelle, en plein coeur historique de Rouen, en compagnie de deux jeunes gens qui pourraient être les victimes, dans la nuit du 19 au 20 décembre. Des analyses ADN ont permis également d'interpeller le suspect.

Obligation de quitter le territoir

Le suspect serait de nationalité rwandaise et en situation irrégulière en France, selon des précisions apportées par le site Infonormandie, qui n'ont pas encore été corroborées par le parquet de Rouen. Sans domicile fixe, venant tout juste de purger une peine de prison pour viol, il faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire, selon le site. Il a été interpellé dans la nuit de lundi à mardi, en train de rôder aux abords d'une discothèque rouennaise.
C'est justement après une sortie nocturne que les deux victimes, Julien T., un infirmier de 29 ans, et Elise F., 24 ans, une jeune femme sans emploi, avaient rencontré leur meurtrier. Amis, mais ne vivant pas en couple, ils avaient passé une soirée très arrosée dans une boîte de nuit gay de Rouen.
La jeune femme avait proposé à son ami, qui tenait à peine debout, de passer la nuit dans son appartement situé au rez-de-chaussée de l'immeuble à colombages de la place de la Pucelle. L'agresseur avait réussi à pénétrer également dans l'appartement.

Grande émotion dans Rouen

Dans la soirée du dimanche les jeunes gens ont été découverts morts, tués par strangulation, comme le révélera un peu plus tard l'autopsie. Leur meurtrier avait effectué une sorte de mise en scène, plaçant les deux corps l'un sur l'autre sous un drap, leur tête recouverte d'un T-shirt. La jeune femme a subi des violences sexuelles avait indiqué le parquet. L'infirmier n'avait pas subi d'autres violences que la strangulation mais avait été dévêtu.
Le double meurtre a suscité une grande émotion dans Rouen. Deux marches blanches, une à Rouen, place de la Pucelle, l'autre à Dieppe, avaient été organisées à la mémoire des victimes le week-end dernier.

http://www.20minutes.fr/societe/1757375-20151229-rouen-homme-garde-vue-apres-double-meurtre

Montpon-Ménestérol (24) : un piéton héliporté à Bordeaux après un accident

La scène s'est déroulée ce mardi matin, vers 8 h 30. Un piéton a été renversé par une automobile sur la route de Bordeaux, la D6089, qui prend le nom de rue Thiers quand elle traverse le centre de Montpon-Ménestérol. 
Le choc a été rude et les blessures suffisamment graves pour que les sapeurs-pompiers et le Samu prennent la décision d'évacuer la victime en hélicoptère vers le centre hospitalier universitaire Pellegrin à Bordeaux. 
http://www.sudouest.fr/

Course-poursuite dans le quartier de Veyrières

Samedi dernier peu avant 19heures, les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) du commissariat d'Albi tombent dans le quartier de Veyrières sur deux individus à scooter roulant à vive allure. Ils ont été alertés plus tôt dans l'après-midi par la présence en ville d'un deux-roues de type T-Max, qui s'est déjà fait remarquer par une circulation dangereuse dans le quartier de Cantepau.
À la vue des forces de l'ordre, le conducteur du deux-roues prend immédiatement la fuite. Mais rapidement, il se retrouve dans une impasse et chute avec son engin. Les policiers de la BAC vont appréhender le passager âgé de 18 ans, très défavorablement connu de leurs services. En revanche, le conducteur va parvenir à s'enfuir de la scène de l'accident. L'individu appréhendé est placé en garde à vue. Il dira aux enquêteurs «avoir suivi son copain pour aller faire un tour en ville».
Les enquêteurs vont rapidement découvrir que le scooter a été volé lors d'un cambriolage dans un garage du quartier de Veyrières dont les propriétaires étaient partis en vacances. Ces derniers sont rentrés hier sur Albi et ont formellement identifié le deux-roues. La perquisition de son domicile n'ayant rien donné, le jeune passager du scooter a finalement été libre à l'issue de sa garde à vue.
Quant au conducteur du deux-roues qui a réussi à prendre la d'escampette samedi soir, son identification est en cours.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/29/2246208-course-poursuite-dans-le-quartier-de-veyrieres.html

lundi 28 décembre 2015

Bessin: viré de boite de nuit, un agriculteur revient se venger au volant de son tracteur

Dans la nuit de samedi à dimanche, à Crouay, un homme d'une trentaine d'années est venu manifester sa colère au volant de son tracteur sur le parking de la discothèque dont il avait été éconduit quelques heures plus tôt.
Certains ont le coup de sang sans limite. Dans la nuit de samedi à dimanche, un homme âgé d'une trentaine d'années est prié par les videurs de la discothèque Le Guest, sur la commune de Crouay près de Bayeux, de quitter l'établissement. Alcoolisé, le client éconduit revient quelques instants plus tard au volant de son tracteur bien décidé à exprimer son mécontentement. Les gendarmes sont appelés sur les lieux. L'agriculteur, furieux, refuse d'obtempérer et, après avoir abîmé l'espace fumeur de l'établissement, prend la fuite en direction du Molay-Littry où son passage occasionnera quelques dégradations. Finalement, l'homme s'est rendu de lui-même un peu plus tard dans la journée à la compagnie de gendarmerie de Bayeux. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/calvados/bessin/bessin-vire-de-boite-de-nuit-un-agriculteur-revient-se-venger-au-volant-de-son-tracteur-892675.html

Bordeaux : un nez cassé et une oreille arrachée à l'arrêt de tram

Ce week-end, une bagarre a opposé deux hommes en état d'ivresse
Les policiers vont devoir démêler les circonstances d'une bagarre qui a opposé deux hommes en état d'ébriété à la station de tram Bergonié à Bordeaux ce week-end.
Dans la rixe qui les a opposés, l'un a eu une oreille arrachée et l'autre le nez cassé.
http://www.sudouest.fr/2015/12/28/faits-divers-2228878-4584.php

dimanche 27 décembre 2015

Dans l'Yonne, un TER percute une voiture à un passage à niveau à la sortie de Cheny

Samedi 26 décembre, vers 22 heures, un TER transportant 17 passagers a percuté une voiture, à un passage à niveau, à la sortie de Cheny. Aucun blessé n'est à déplorer
Ce samedi 26 décembre 2015, le TER assurait la liaison entre Laroche-Migennes et Auxerre quand il a percuté le véhicule, peu après 22 heures. D'après les premiers éléments de l'enquête, la voiture aurait cherché à franchir le passage à niveau alors qu'il se refermait, mais les barrières du passage à niveau ne seraient pas endommagées. Les 2 occupants de la voiture sont indemnes de même que les 17 passagers du train. Le train a été immobilisé pendant près de 2 heures et a pu repartir peu après minuit.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne/dans-l-yonne-un-ter-percute-une-voiture-un-passage-niveau-la-sortie-de-cheny-892279.html

Habillés en faux policiers, ils dépouillent un automobiliste

Un automobiliste a été frappé hier matin, à Frouzins, par deux hommes se prétendant policiers. Ils lui ont dérobé une sacoche avant de s'enfuir. Les gendarmes sont parvenus à les interpeller.
Il aura désormais du mal à savoir à qui se fier. Un automobiliste qui circulait hier, au petit matin, à Frouzins, à l'Ouest de Toulouse, a vécu une expérience pour le moins traumatisante. Il était aux environs de 6 heures lorsque deux hommes, dont l'un portait une veste et une casquette de policier l'ont invité à se soumettre à un contrôle.
De bonne foi, le conducteur s'est arrêté afin de répondre aux questions des «forces de l'ordre». Immédiatement, il s'est retrouvé acculé sous les coups des deux hommes qui l'ont frappé au visage avant de lui dérober une sacoche qu'il transportait.
Une fois leur forfait accompli, les deux malfaiteurs ont pris la fuite. Dans ce laps de temps, un témoin de la scène a contacté les services de gendarmerie et donné l'alerte. Les militaires en patrouille de la compagnie de Toulouse Mirail, appuyés par ceux de Muret, ont immédiatement mis en place un dispositif afin d'interpeller les suspects. Les deux hommes, âgés d'une petite vingtaine d'années, ont été retrouvés à proximité, quelques instants plus tard. L'un d'entre eux se trouvait sur la route tandis que l'autre avait tenté de se dissimuler derrière une haie.
De son côté, la victime, légèrement blessée mais choquée, a été prise en charge.

Tenue de policiers volée dans la nuit

Les agresseurs, passablement éméchés, ne se sont pas privés de proférer des insultes à l'égard des militaires au cours de leur arrestation. Ils ont été conduits à la gendarmerie et placés en cellules de dégrisement. Une fois leurs esprits recouvrés, ils ont été entendus sous le régime de la garde à vue où ils se trouvaient toujours hier après-midi. Selon les premiers éléments de l'enquête, la tenue de policier utilisée pour le guet-apens avait été dérobée au cours d'un vol à la roulotte commis à Toulouse dans la nuit. Les deux hommes devront également en répondre

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/27/2245650-habilles-en-faux-policiers-ils-depouillent-un-automobiliste.html

samedi 26 décembre 2015

Lons-le-Saunier : aux urgences pour un repas laissé sur le feu !

Deux personnes intoxiquées transportées aux urgences. 
C'est un plat cuisiné , laissé sur le feu d'une gazinière, qui a provoqué le dégagement de fumée. Les secours sont intervenus vers 11 heures dans un appartement situé avenue du Commandant Villard à Lons- le- Saunier. Ils ont évacué deux appartements où se trouvaient quatre personnes.  Deux d'entre elles, une femme de 39 ans et son enfant de 5 ans, ont été incommodées et transportées aux urgences du Centre Hospitalier de Lons- le- Saunier.  
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/lons-le-saunier-aux-urgences-pour-un-repas-laisse-sur-le-feu-891979.html

Savoie : le Renault Espace démarre seul et percute un talus avec une fillette à bord

En juillet dernier, un Renault Espace 5 avait démarré tout seul, sans conducteur au volant. À son bord, une fillette de 8 ans était restée prisonnière avant que le véhicule ne percute un talus. Les propriétaires et parents ont porté plainte contre le constructeur français.
Une mésaventure pour le moins insolite et qui aurait pu virer au drame. Cette formule reflète parfaitement l'incident mécanique advenu à une famille en vacances à La Plagne, village de Savoie. Alors que le couple et ses enfants quittaient l'auto, garée sur un parking, le monospace s'est brusquement remis en marche. Le contact était pourtant coupé et la carte servant de clé, située à l'extérieur de la voiture. Dans le Renault Espace 5, la jeune Lila, 8 ans, est prisonnière de l'habitacle. Le véhicule dévale alors un premier talus de 20 mètres, heurte la route en contrebas, puis traverse la chaussée avant de s'immobiliser en équilibre sur le talus opposé.
Effaré, le père de famille raconte : «Sous nos yeux, alors que notre fille était encore à l'intérieur, en train de descendre de la 3e rangée de sièges et donc sans ceinture de sécurité, la voiture s'est remise en route, marche avant et a basculé dans le vide». Si sa fille a eu la peur de sa vie, elle est en revanche sortie indemne «par miracle». Saine et sauve, elle a pu s'extirper du véhicule avec seulement quelques contusions.
Suite à ce démarrage imprévisible, la famille a adressé un dossier complet, certificats médicaux à l'appui à l'assureur. Les experts se sont succédé avant que l'assureur ne décide de mettre en cause la responsabilité du constructeur français.

Renault assigné en justice

Les parents ont également adressé un courrier à la marque au losange afin que celle-ci rappelle tous les Espace 5 automatique pour qu'ils fassent l'objet d'un contrôle de sécurité. Courrier auquel Renault a répondu en demandant aux propriétaires de faire examiner «le câblage moteur du véhicule» dans une agence constructeur. La famille a alors décidé d'assigner Renault en justice le 12 octobre, en réclamant 70 000 euros. Soit la valeur du véhicule, plus des dommages et intérêts. «En rendant la chose publique, au moins l'information passera auprès de nos concitoyens», a argumenté le père de Lila pour justifier sa démarche.
Le groupe assure de son côté que ses analyses ne révèlent pas de dysfonctionnement. Pour l'heure, la responsabilité de Renault n'est pas engagée. En attendant la première audience au tribunal lieu mi-février, le mystère de la voiture folle demeure entier.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/26/2245304-savoie-renault-espace-demarre-seul-percute-talus-fillette-bord.html

vendredi 25 décembre 2015

4 blessés dont 2 graves dans un accident sur l'A40 à Archamps en Haute-Savoie

Deux véhicules sont impliqués dans cet accident survenu le 24 décembre en début de soirée, sur l'A40 dans le sens Chamonix-Mâcon
Jeudi 24 décembre, vers 19h40 sur la commune d'Archamps, un accident s'est produit entre 2 voitures sur l'A40 dans le sens Chamonix-Mâcon. Les 4 passagers sont blessés, dont 2 grièvement. Ceux-ci ont été transportés à l'hôpital d'Annecy
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/4-blesses-dont-2-graves-dans-un-accident-sur-l-a40-archamps-en-haute-savoie-891467.html

Accident de Conques-sur-Orbiel : le chauffard est toujours en fuite

Les circonstances de l'accident survenu, mercredi, en tout début d'après-midi sur la RD 201 en direction de Conques-sur-Orbiel n'ont pas été établies avec certitude par les gendarmes. Il y a 48 heures, deux véhicules étaient entrés en collision entre la commune de Conques et le rond-point de Bezons. Dans l'un des véhicules, deux personnes avaient été très grièvement blessées, dans le second, les deux occupants ont pris la fuite sans attendre l'arrivée des secours.
Reste que le dispositif de recherches mis en place par les enquêteurs a permis d'arrêter un homme, qui a affirmé être le passager de la Twingo, au moment du choc. Mais rien ne prouve, pour l'heure la véracité de ses dires. Les gendarmes ont donc choisi de l'auditionner en qualité de témoin en attendant les résultats des différents prélèvements biologiques réalisés sur le véhicule accidenté. Le deuxième homme, bien qu'identifié par les militaires était, hier encore, introuvable. Seule certitude, la Renault Twingo appartient bien à l'un des deux hommes
Le conducteur de la Citroën Visa, âgé de 43 ans, évacué dans un premier temps sur le centre hospitalier de Carcassonne a été admis en fin de journée mercredi, au centre hospitalier universitaire de Montpellier, où il a été plongé dans un coma artificiel. La passagère de la voiture, elle, moins sérieusement blessée est actuellement soignée au centre hospitalier de Carcassonne.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/25/2244631-le-chauffard-est-toujours-en-fuite.html

jeudi 24 décembre 2015

La folle cavale d'un dealer de 15 ans

La police a mené une nouvelle opération à La Reynerie pour contrer les dealers. Un des suspects a sauté du 2e étage pour s'échapper, s'est cassé plusieurs membres puis a pris la fuite de l'hôpital.
Un droit de suite. Lundi après-midi, les équipes de la brigade anticriminalité et les enquêteurs de la voie publique de la sûreté ont réalisé une nouvelle descente cheminement Edgard-Varèse où, malgré des arrestations mi-octobre, le trafic d'herbe et de cannabis se porte bien. Avec les clients de l'université du Mirail qui n'ont qu'un pont à traverser, les doses se vendent comme du bon pain.

1 000 €, 300 g d'herbe, 180 g de résine

De quoi motiver une nouvelle opération des services qui a permis de récupérer environ 300 g d'herbe, 150 g de résine et plus de 1 000 € en liquide. Les policiers avaient pris soin, auparavant, d'intercepter deux clients et ils ont ensuite voulu interpeller deux mineurs qui «surveillaient» les alentours et le vendeur. Ce dernier a réussi à s'enfuir dans les étages et a pénétré dans un logement vide dont la porte avait pourtant été scellée. C'est du moins ce que pensaient les policiers mais ils se sont vite aperçus que les dealers avaient forcé les soudures, tout en les préservant autant que possible manière de s'assurer une planque discrète. En octobre, ils avaient cassé un mur pour accéder au vide sanitaire sous l'immeuble… La nouvelle planque constituait une échappatoire intéressante sauf que les policiers ont vu le fuyard entrer dans sa cachette. Ils ont donc forcé la porte, non sans mal.
Pendant ce temps, le suspect a voulu tenter sa chance par la fenêtre, façon film d'action. Un saut d'environ 6 mètres un peu osé. Une réception manquée plus tard, cet adolescent âgé de 15 ans s'est retrouvé avec un bras fracturé, une hanche et un bassin très abîmés et une cheville bonne, a minima, pour quelques jours de plâtre. Un copain de passage a voulu le ramener chez lui sans se douter de ce qui venait de se passer et, soupçonné, s'est retrouvé lui aussi en garde à vue…
Quant au dealer présumé et blessé, impossible dans ces conditions de le placer en garde à vue. Le jeune homme a donc été pris en charge par les médecins, direction les urgences de l'hôpital Purpan. Les policiers pensaient le retrouver là mardi sauf que ce garçon, malgré de multiples fractures et une opération de chirurgie programmée, a décidé de rentrer chez lui. Et après avoir mis la patience des équipes médicales très à l'épreuve, il finit par obtenir que sa mère signe une autorisation de sortie ; ses copains sont donc venus le chercher dans la nuit. Depuis, il a disparu. Ce qui ne semble pas affoler les services d'enquête même si l'état de santé de l'adolescent serait, selon les chirurgiens de la faculté, peu compatible avec une cavale.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/24/2244349-la-folle-cavale-d-un-dealer-de-15-ans.html

mercredi 23 décembre 2015

Le cou entaillé par une disqueuse

Un salarié de 23 ans, d’une entreprise de Wihr-au-Val, dans la vallée de Munster, s’est blessé grièvement en manipulant une disqueuse professionnelle ce matin peu avant midi.
L’engin s’était bloqué puis a redémarré subitement en déséquilibrant le salarié, lui entaillant le cou et la joue. Touché à la carotide, la victime a été transportée dans un état grave à l’hôpital Pasteur de Colmar. Son pronostic vital n’est pas engagé. Un enquête a été ouverte par la gendarmerie.
http://www.dna.fr/actualite/2015/12/22/le-cou-entaille-par-une-disqueuse

Violente rixe : deux adolescents blessés

Il était près de 16 heures, hier, lorsque pour une raison futile, une rixe s'est produite entre deux adolescents dans les locaux de l'association «Les Orteils au soleil» à Cransac-les-Thermes. L'un des belligérants appelait famille et amis en renfort. Selon des témoins, sept à huit personnes déboulaient quelques minutes plus tard, s'acharnant sur deux jeunes, qui ont été frappés à coup de poing, de pied, d'écran d'ordinateur et d'une queue de billard. Puis le groupe s'est enfui à l'arrivée des policiers. Blessés, notamment au visage, deux adolescents âgés de 16 ou 17 ans se sont rendus au centre hospitalier de Decazeville. Les locaux ont été fermés et une enquête a été ouverte par les policiers decazev
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/23/2243711-violente-rixe-deux-adolescents-blesses.html#FMi5jmOR2OwfwHYd.99
 

mardi 22 décembre 2015

Trois jeunes sourds-muets vandalisent le distributeur de billets de La Poste

Trois jeunes, deux Slovaques âgés de 19 ans et 23 ans et un Français âgé de 20 ans ont jeté leur dévolu sur le distributeur de billets de La Poste et la caméra située à proximité, armés qu'ils étaient d'une masse. Ils ont également essayé de pénétrer dans les locaux en forçant une porte avec un pied-de-biche. Malheureusement pour eux leur forfait a été interrompu par l'arrivée d'une patrouille de la gendarmerie qui avait été prévenue par un témoin des faits. Les trois jeunes gens ont cependant réussi à prendre la fuite sans pouvoir récupérer le moindre numéraire. Mais leur cavale sera de courte durée. Les gendarmes préviennent alors les policiers albigeois qui mettent en place des postes d'interception sur les routes en direction d'Albi. Bonne pioche car un véhicule avec à son bord trois personnes se présente sur un point de contrôle. Les trois occupants refusent d'obtempérer et s'en vont. Ils seront rapidement interceptés par les policiers qui découvrent dans la voiture divers outils dont une masse et un pied-de-biche, objets qui auraient peut-être servi pour fracturer le distributeur. Les gendarmes prennent alors en charge les trois jeunes gens et les placent en garde à vue. Mais les auditions s'avèrent plus compliquées que prévu car les gardés à vue sont sourds et muets. L'intervention d'un interprète en langage des signes est nécessaire. Finalement, les trois jeunes gens reconnaîtront les faits qui leur sont reprochés. Le Parquet ordonnera alors leur placement en détention provisoire dans l'attente d'une comparution immédiate. Lorsqu'ils sont présentés devant le tribunal correctionnel d'Albi, toujours assistés d'un interprète, les trois prévenus reconnaissent une nouvelle fois les faits. Le procureur de la République requerra 10 mois de prison assortis de 6 mois de sursis et mise à l'épreuve, le tribunal condamnera les trois jeunes gens à 10 mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve, obligation de financer la réparation des dégâts et de travailler
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/22/2243023-trois-jeunes-sourds-muets-vandalisent-distributeur-billets-poste.html

lundi 21 décembre 2015

Côte-d'Or : un homme a été interpellé après un tir contre la gendarmerie de Venarey-les-Laumes

Les faits se sont produits dimanche en milieu d'après-midi. Un homme a visé une fenêtre du bâtiment de la gendarmerie. Il a tiré sur une fenêtre située côté rue. Le tir n’a pas fait de blessé.
L'homme s'est enfui aussitôt. Il a été interpellé à son domicile par une quarantaine de gendarmes.

L'individu est originaire du secteur. Il a été placé en garde à vue. Les motivations de cet homme étaient encore inconnues dimanche en fin de journée, ont indiqué les gendarmes et le parquet de Dijon.

Le tireur n'a toujours pas été entendu ce lundi à 9h30, car il se trouvait dans un état de forte ébriété au moment des faits, a indiqué la procureure de la République à France 3 Bourgogne. L'homme n'a pas d'antécédents judiciaires, a précisé Marie-Christine Tarrare. Un psychiatre a été requis. Il doit se rendre sur place pour procéder à une expertise du tireur.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/cote-d-or-un-homme-ete-interpelle-apres-un-tir-contre-la-gendarmerie-de-venarey-les-laumes-889295.html

Montbeliard Un SIG Sauer 9 mm et 83 munitions ont été retrouvés chez un Bethoncourtois de 30 ans

AVEC TOUT CE que l’on voit en France en ce moment… » Cette petite phrase lourde de sens, Hassan T. la répète inlassablement. Comme un leitmotiv, pour expliquer sa décision de s’équiper d’une arme de guerre.
Ancien agent de sécurité, aujourd’hui opérateur dans l’horlogerie en Suisse, il a commencé par se jeter dans la gueule du loup. C’est en répondant à une convocation du délégué du procureur, mardi dernier, qu’il se fait contrôler, une cartouche de 9 mm parabellum dans la poche. À partir de là, une perquisition est menée chez lui, à Bethoncourt.
Le prévenu : « Je me sens plus en sécurité au Maroc qu’en France »
Dans une mallette remisée dans le grenier, les policiers découvrent alors un SIG Sauer P225. Le Bethoncourtois décide alors de se montrer coopératif. Il indique où il a dissimulé les munitions. À savoir dans le bloc-moteur de sa voiture. Il y a là 83 cartouches de 9 mm. Il explique avoir fait l’acquisition de ce pistolet automatique et des bastos, pour 1 200 € payés en liquide, le samedi précédent à Neuchâtel. Un quidam l’aurait approché et lui aurait proposé cette transaction.
« Pourquoi avoir acheté cette arme ? », interroge Audrey Vandendriessche, la présidente du tribunal de Montbéliard. Le prévenu en revient à sa formule : « Avec tout ce que l’on voit en France en ce moment… Je me sens plus en sécurité au Maroc qu’en France. Il y a beaucoup de voleurs. Et moi, avec mon physique, je ne ferai pas le poids si quelqu’un rentre chez moi. C’était pour me protéger. C’était une arme de dissuasion. ».
La présidente riposte : « Non, c’est une arme pour tuer ! Vous comprenez qu’aujourd’hui, c’est vous qui êtes inquiétant avec, justement, tout ce qui se passe actuellement en France ». Ainsi donc, l’ancien agent de sécurité ne serait pas en capacité de se défendre sans arme. Ce qui laisse songeur sur ses compétences dans sa précédente mission…
De son précédent travail, il avait conservé un appareil électrochoc ainsi qu’une imposante bombe aérosol (500 ml) de gaz lacrymogène. Ce qui est interdit.
Le procureur : « Il n’est pas admissible que des armes circulent sous le manteau »
Une question subsiste aussi au sujet du SIG Sauer, si tant est que la version du Bethoncourtois soit vraie. Cette arme a-t-elle été utilisée dans des affaires criminelles ? « Le gars qui me l’a vendue m’a assuré que non », dit-il. Le 9 mm en question a été envoyé pour expertise et la justice sera fixée prochainement sur son éventuelle traçabilité.
Le procureur Pascal rappelle la signification de parabellum « pour la guerre » (N.D.L.R. : ou, prépare la guerre) et pose le cadre à l’aune de la situation que traverse le pays et l’état d’urgence : « Il n’est pas admissible que des armes circulent sous le manteau. Même si des éléments rassurants concernant le prévenu existent, il faut que le message passe ». D’où la fermeté des réquisitions : « six mois de prison ferme avec maintien en détention ».

L’avocat : « Ni un terroriste, ni un djihadiste »

Me Roller, l’avocat de la défense, réagit : « C’est surexagéré ! Mon client a eu un comportement naïf et stupide mais il n’est pas dangereux. Il ne faut pas exagérer. On n’est pas ici face à un terroriste ou un djihadiste. Il n’est pas animé par ces intentions-là. Il ne faut pas extrapoler. Si vous le condamnez, il va perdre son travail ».
Dans le box où il est encadré de trois policiers, le Bethoncourtois fond en larmes avec la perspective de partir six mois derrière les barreaux.
Le tribunal n’a pas suivi les réquisitions. Le Bethoncourtois pourra fêter son 31e anniversaire, le 28 décembre prochain chez lui. Il est condamné à six mois de prison dont quatre avec un sursis mise à l’épreuve durant 18 mois. Quant aux deux mois ferme, ils devraient faire l’objet d’un aménagement. En revanche, il lui est interdit de détenir une arme et il devra suivre des soins. Sans doute que son raisonnement « inquiétant » selon la présidente, nécessite, aux yeux des magistrats, un suivi scrupuleux.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/12/20/montbeliard-un-sig-sauer-9-mm-et-83-munitions-ont-ete-retrouves-chez-un-bethoncourtois-de-30-ans

dimanche 20 décembre 2015

Le corps d'une femme retrouvé dans l'Hérault

Selon le Midi Libre, le corps d'une jeune femme a été découvert ce dimanche dans un ruisseau reliant deux bras de l'étang de Thau, près de Marseillan (Hérault).

Selon les premières constatations, la mort ne serait pas accidentelle. Le parquet de Béziers a ouvert une enquête pour meurtre et chargé la section de recherche de Montpellier des investigations.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/12/20/97001-20151220FILWWW00147-le-corps-d-une-femme-retrouve-dans-l-herault.php

Le pharmacien escroc usait d'un logiciel pour frauder le fisc

Déjà condamné pour une vaste fraude à la sécurité sociale, l'ex patron de la pharmacie montalbanaise L' Alhambra, Ghassane A., comparaissait, cette fois, devant le tribunal correctionnel pour avoir fraudé le fisc. Une escroquerie mise en place via à un logiciel de gestion.
Un bloc-notes à la main, griffonné, Ghassane A., se présente à la barre du tribunal sans son avocat. Le quinquagénaire qui gérait, il y a quelques années, la plus grosse officine du Tarn-et-Garonne (8 M€ de chiffre d'affaires et 32 salariés, en 2010), et affichait ses signes extérieurs de richesse en roulant au volant d'une Maserati, se retrouve bien esseulé pour assurer sa défense.

«C'est un outil de fraude fiscal livré clé en main»

Face à lui le président Alain Birgy qui l'a déjà jugé dans une affaire de fraude à la CPAM, mais également l'avocat représentant le ministère des Finances, Me Hadrien Hahn de Bykhovetz, du prestigieux cabinet parisien Urbino. «C'est suite à un banal contrôle fiscal de la Sarl pharmacie L'Alhambra que les agents des impôts ont découvert une forte minoration des recettes et de la TVA, assurait l'avocat qui ne manquait pas de rappeler le mode opératoire du pharmacien Montalbanais. Ce mécanisme de fraude qui passe par le logiciel Alliance +, est un dossier emblématique de notre cabinet (4 000 des 22 000 officines du pays étant équipés de ce programme de gestion, 200 seraient aujourd'hui poursuivies, ndlr). Grâce, en effet, à ce logiciel et à la demande d'un mot de passe à la société éditrice, il est possible de faire disparaître de manière invisible et pernicieuse une partie des recettes, certifiait Me Hahan. C'est un outil de fraude fiscal livré clé en main». Un procédé ayant permis de créer une comptabilité occulte où le praticien ciblait les recettes à effacer dans les ventes de médicaments non-remboursable et la parapharmacie. Seul hic pour le fraudeur qui était vraisemblablement déjà dans le collimateur du fisc, les traces informatiques laissées par la suppression de milliers de factures et de transactions. «Il y a un fichier trace qui confirme qu'une facture a été supprimée et vu le nombre l'accusé ne peut pas prétendre qu'il s'agit d'une erreur», garantissait avec brio Me Hahn. «Ce sont ainsi 62 % de la TVA et 69 % des impôts de sa société qu'il aurait soustraits au fisc» confirmait la substitut du procureur Bérengère Lacan qui allait requérir 10 mois avec sursis et une lourde amende de 40 000 euros.

«Je n'ai pas fraudé pour m'enrichir»

De son côté, le prévenu qui avait reconnu la fraude en début d'audience, faisait esquisser un sourire au président Birgy en déclarant ne pas l'avoir fait «pour s'enrichir personnellement». «Mais pour qui alors ?», lui rétorquait le juge. «Pour la pharmacie qui était en liquidation judiciaire», lui répondait du tac au tac Ghassane A. «Et qui était l'actionnaire de la société ?», lui lançait avec un sourire malicieux le président Birgy. «C'est moi, j'étais le seul actionnaire» déclarait benoîtement l'accusé. «Cela ne vous a donc pas enrichi ?» répliquait le magistrat. «Oui mais pas les sommes indiquées… Et puis si j'avais mis de l'argent de côté, je ne serais plus en France» objectait le pharmacien qui mettait en évidence son état de précarité. «J'ai 800 € de retraite qui me sont saisis, je suis à la rue…» Un pathos qui semblait quelque peu attendrir le tribunal qui, après avoir délibéré, condamnait Ghassane A. à un an de prison avec sursis mais sans aucune amende. Une décision pour laquelle le parquet pourrait bel et bien faire appel

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/20/2241882-pharmacien-escroc-usait-logiciel-frauder-fisc.html

samedi 19 décembre 2015

Saint-Jean-d'Arves : il fait une chute de 100 mètres au volant de sa voiture

Un homme de 28 ans a été gravement blessé peu après 5 heures ce matin. Le jeune automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture au niveau du pont de la Ravine sur la commune de Saint-Jean-d’Arves en Maurienne. Le conducteur est originaire de la vallée et revenait d'une soirée festive d'ouverture de saison.
L'équipe du TDL montant de Saint Jean de Maurienne a vu le véhicule tomber dans la ravine près de 100 mètres en contrebas.
Sans eux, les secours n'auraient pu être alertés.
Des équipes du SDIS et du SMUR, ainsi que la gendarmerie et l'hélicoptère du DAG de Modane sont intervenues pour remonter la victime consciente par un impressionnant dispositif de treuil installés par l'agrès du secours routier.
La victime a été évacuée par l'hélicoptère de la gendarmerie

http://www.ledauphine.com/savoie/2015/12/19/saint-jean-d-arves-il-fait-une-chute-de-100-metres-au-volant-de-sa-voiture

Accident de bûcheronnage : un blessé grave

Un accident s’est produit samedi matin peu après 10h à Geispolsheim alors qu’un homme de 51 ans travaillait avec une tronçonneuse, à hauteur de la RD 84 qui mène à Blaesheim. Le bûcheron s’est sérieusement blessé avec l’engin à la jambe gauche, à hauteur du genou.
Les pompiers ont posé un garrot avant de transporter la victime en urgence absolue vers la salle de déchocage du CHU de Strasbourg-Hautepierre
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/12/19/accident-de-bucheronnage-un-blesse-grave

La cafétéria du Leclerc vidée, le directeur mis en examen

Les salariés de cet espace de restauration, le bailleur des lieux, le patron du Leclerc Aussonne, n'en reviennent pas… La cafétéria du centre commercial a été vidée. Et pas à n'importe quel moment dans la nuit de samedi à dimanche par une équipe d'individus qui était visiblement aguerrie à ce genre de situation. La scène a été filmée par les caméras de vidéosurveillance de la grande surface. Des enregistrements que n'ont pas manqué d'exploiter les policiers de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Montauban qui ont été saisis de cette affaire par la procureur de la République. La magistrate ayant ouvert une enquête pour abus de biens sociaux en état de flagrance.
Interpellé en début de semaine à la sortie du tribunal de commerce, l'ex-directeur de la cafétéria, âgé de 37 ans, a immédiatement été placé en garde à vue. Son bras droit, un quadragénaire a également été arrêté à son domicile montalbanais. Les deux mis en cause ont dû s'expliquer sur plusieurs points. En premier lieu, le détournement des biens de la société qui devaient faire l'objet d'un inventaire par un mandataire judiciaire. Un stock et du mobilier permettant de payer le bailleur et les fournisseurs laissés sur le carreau depuis le dépôt de bilan de l'établissement. Le capitaine Franck Fournier et ses enquêteurs s'intéressaient particulièrement au fonctionnement de la SAS Brissel dont le siège est à Marseille.Une société spécialisée dans le secteur d'activité des cafétérias et des libres-services, possédant d'autres établissements que celui de Montauban.

Une manœuvre typique de la criminalité en col blanc

Les limiers de la BSU auraient ainsi tenté de comprendre si la banqueroute de l'entreprise montalbanaise avait été organisée notamment en gonflant le passif de la société. Une manœuvre empêchant, dès lors, l'épuration des dettes et mettant de fait la société en faillite. Une gestion comptable caractéristique de la délinquance en col blanc sur laquelle la juge d'instruction, Nicole Bergougnan qui a ouvert une information judiciaire, a été chargée de faire la lumière. Présentés devant la magistrate, les deux individus ont ainsi été mis en examen pour abus de biens sociaux et placés sous contrôle judiciaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/19/2241216-la-cafeteria-du-leclerc-videe-le-directeur-mis-en-examen.html

vendredi 18 décembre 2015

Ejecté d'un manège, le patron du club de rugby de Perpignan grièvement blessé

Vers 16 heures ce vendredi, François Rivière, président de l'USAP, le club de rugby de Perpignan, a été éjecté d'un manège à Narbonne. Alors qu'il se trouvait en famille au marché de Noël, il est tombé du Shangaï Express, explique L'Indépendant. D'après les premiers éléments recueillis par La Dépêche, il a percuté une barrière après avoir été éjecté de l'attraction à grande vitesse. Un pompier volontaire lui a apporté les premiers secours.
Il enterrait sa mère le matin 
L'homme de 51 ans a été grièvement blessé. Victime d'un traumatisme crânien, il a été dans un premier temps évacué vers le centre hospitalier de Narbonne. Toujours selon L'Indépendant, son état suscitant beaucoup d'inquiétudes, le blessé a été transféré dans un service de neuro-chirurgie de Montpellier.

Son épouse se trouvait à ses côtés, ainsi que son associé, extrêmement choqué, rapporte encore L'Indépendant.

Une vidéo filmée par les proches des victimes a été saisie par les enquêteurs qui devront éclaircir les circonstances de l'accident. Le matin même, François Rivière enterrait sa mère et avait souhaité faire ensuite un tour de manège pour honorer une tradition familiale. 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/actualites-informations-videos-faits-divers

Nord: Elle utilise un produit défrisant et perd tous ses cheveux

La très mauvaise surprise. Une jeune femme originaire de Lomme, près de Lille, a eu la mauvaise surprise de voir la totalité de ses cheveux tomber après avoir utilisé un produit défrisant révèle La Voix du Nord.
A 23 ans, Marie, une habitante de Lomme, est aujourd’hui chauve contre son gré. Mi-novembre, la jeune femme avait décidé de défriser une nouvelle fois ses longs cheveux bouclés, comme elle l’avait déjà fait maintes fois par le passé. Mais cette fois-ci, puisque son produit habituel n’est plus disponible, elle a acheté un « Kit défrisant » de la marque Laura Sim’s chez Auchan.

Quelques minutes seulement

Lors de l’utilisation, la jeune femme s’est vite rendu compte que quelque chose n’allait pas. Après quelques minutes d’application seulement, son cuir chevelu s’est mis à la piquer très fort. Trop tard pour revenir en arrière, le mal était fait. Lorsqu’elle a rincé le produit dans son lavabo, ses cheveux sont partis avec jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus rien sur le crâne.

Pour les cheveux de type afro

Et pourtant, CAP de coiffure en poche, Marie s’y connaît en la matière. Elle assure avoir lu en totalité les précautions d’emploi, lesquelles ne lui semblaient pas alarmantes. Contactée par la jeune nordiste, la société qui fabrique le kit défrisant lui a affirmé qu’après analyses, le produit n’avait aucun problème. Rejetant la faute sur Marie, la société lui a fait comprendre elle n’avait pas à utiliser son produit car il était réservé aux cheveux de type afro.
Pas du tout convaincue par ces explications, la Lommoise, qui ne sait toujours pas si ses cheveux repousseront normalement un jour, devrait porter plainte contre la société CEDEA qui fabrique le Kit défrisant Laura Sim’s.

http://www.20minutes.fr/lille/1753479-20151218-nord-utilise-produit-defrisant-perd-tous-cheveux

jeudi 17 décembre 2015

La SNCF condamnée à 80.000 euros d'amende pour homicide involontaire

La SNCF a été condamnée à 80.000 euros d'amende jeudi, par le tribunal correctionnel de Lyon. Ce dernier a reconnu la responsabilité de l'entreprise dans la mort d'un cheminot percuté par un train de voyageurs en 2012 .
Le tribunal correctionnel de Lyon a reconnu jeudi la responsabilité de la SNCF dans la mort en mars 2012 d'un ouvrier percuté par un train de voyageurs, alors qu'il travaillait sur un chantier. Poursuivie pour homicide involontaire, la compagnie ferroviaire a été condamnée à 80.000 euros d'amende.

Les magistrats ont suivi l'avis du parquet qui lors de l'audience le 29 octobre, avait requis la même peine à l'encontre de la SNCF.     

Des conditions de chantier difficiles

Dans la nuit du 28 au 29 mars 2012, alors qu'il travaillait au ballastage des voies à Villeurbanne, près de Lyon, l'ouvrier avait été heurté par un train de nuit assurant la liaison Nice-Paris. Les conditions du chantier, déjà difficiles en raison de la poussière et du bruit, avaient été rendues plus compliquées encore par la configuration de la voie à cet endroit.
À la sortie d'une courbe, le chantier ne permettait pas une application rigoureuse des règles de sécurité. L'ouvrier chargé d'avertir le reste de l'équipe de l'arrivée des trains circulant sur une voie contiguë, se trouvait à une centaine de mètres de ses collègues et non à cinq mètres, comme le veut le règlement.
"La SNCF aurait dû s'efforcer d'éliminer le risque"

Pour le parquet de Lyon, il n'y a pas eu de fautes des autres cheminots, ni de la victime. En revanche, "la SNCF aurait dû s'efforcer d'éliminer le risque en supprimant les trains cette nuit-là ou, à défaut, en mettant en place un système d'annonce des trains efficace", avait ainsi estimé le procureur Gilles Proisy dans son réquisitoire.

Avocat de la SNCF, Me Philippe Valent avait plaidé la relaxe. "Il est intolérable qu'un salarié meurt sur son lieu de travail mais est-ce si intolérable qu'il faille chercher la responsabilité des uns et des autres ?", s'était-il interrogé. Tout en prenant garde de ne pas rejeter formellement la faute sur les collègues de la victime, Me Valent avait souligné que les normes en matière de sécurité, n'avaient "à un moment (...) pas été mises en œuvre comme elles auraient dû l'être". Une position qui avait hérissé les parties civiles et le parquet.

Selon SUD-Rail qui s'est constitué partie civile et dénonce un cumul des fonctions préjudiciable à certains postes, cette affaire est la conséquence d'une "politique de réduction des coûts".
 

Il y a 20 ans, le massacre de l'ordre du Temple Solaire, à Saint-Pierre-de-Chérennes

En décembre 1995, 16 personnes étaient retrouvées mortes, brûlées dans une forêt du Vercors, toutes victimes de la secte de l'ordre du Temple Solaire. Suicides collectifs? Assassinats commandités? L'enquête sur l'OTS n'a jamais vraiment permis de connaître toute la vérité. Rappel des faits.
15 décembre 1995 : plusieurs membres de le secte du Temple Solaire sont signalés disparus. Une semaine plus tard, dans une forêt à Saint-Pierre-de-Chérennes, la gendarmerie découvre, au milieu d'une clairière, 16 corps carbonisés dont ceux de trois enfants.

Le scénario n'est pas sans rappeler celui que le Québec et la Suisse ont connu un an plus tôt : 53 adeptes de la même organisation, dont les gourous Jo di Mambro et Luc Jouret, avaient été tués par balle avant d'être brûlés.

L'enquête va durer cinq ans. Une instruction fleuve pour un procès qui s'ouvre en avril 2001, à Grenoble, avec un seul prévenu : Michel Tabachnik, le célèbre chef d'orchestre franco-suisse. S'il est avéré qu'il avait des liens avec Jo di Mambro et Luc Jouret, l'homme a toujours nié son implication dans l'ordre du Temple Solaire.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/il-y-20-ans-le-massacre-de-l-ordre-du-temple-solaire-saint-pierre-de-cherennes-885527.html

mercredi 16 décembre 2015

Le chef de la police municipale d'Aix-en-Provence cambriolé : 3 armes dérobées

Le domicile du patron de la police municipale d'Aix-en-Provence a été cambriolé mardi par un ou plusieurs individus, rapporte ce mercredi La Provence. Trois armes et 200 cartouches ont été volées.
C'est un cambriolage qui n'a rien d'anodin. Selon les informations de La Provence, un ou plusieurs individus sont entrés par effraction, mardi en fin de journée, dans le domicile du chef de la police municipale d'Aix-en-Provence.

Trois
armes de poing, 357 Magnum, ainsi que 200 cartouches ont été dérobées dans un coffre-fort dont le ou les voleurs ont trouvé la clé. Le quotidien régional rapporte que des bijoux ont également été volés dans la salle de bain du domicile. Le commissariat d'Aix-en-Provence a été chargé de l'enquête.

Intoxication au monoxyde

Deux personnes ont été victimes d'une intoxication au monoxyde de carbone, hier, vers 18 h 15, au 7, rue du Château à Odos. L'occupante des lieux - la compagne de François Vignes - a été retrouvée inanimée dans la cuisine par une amie qui, par chance, passait la voir et lui a probablement sauvé la vie. En effet, son compagnon était à son travail et devait rentrer, plus tard, aux alentours de 20 heures. L'amie a appelé aussitôt François Vignes qui s'est rendu sur les lieux et a alerté les pompiers de Tarbes. Ils ont coupé toutes les énergies, pris en charge les deux personnes qui avaient inhalé du monoxyde de carbone et les ont évacuées vers le centre hospitalier de Tarbes. Leurs jours ne sont pas en danger. Les pompiers ont ensuite ventilé les locaux, effectué des contrôles. Les services de GRDF sont également intervenus sur les lieux afin de remettre l'installation en sécurité. à l'origine de cette intoxication, une chaudière à gaz défectueuse qui engendre une mauvaise combustion du monoxyde. «On ne sent rien et on ne comprend pas ce qui se passe», indique François Vignes. En effet, le danger du monoxyde de carbone est qu'il est inodore, incolore et explosif. Bref, on a évité un drame. Jean-Michel Lehmann, maire d'Odos, et Jean-Michel Tisné, adjoint à la communication, étaient sur les lieux aux côtés des pompiers et de GRDF et pour apporter leur soutien à François Vignes
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/16/2238928-intoxication-au-monoxyde.html

Agression à la hache sur fond de soirée arrosée

Dans la nuit de samedi à dimanche, à l'issue d'une soirée arrosée, un différend éclate entre trois individus qui viennent de passer la nuit ensemble. L'un d'entre eux se saisit d'une hache (photo ci-contre) et assène deux coups sur la tête d'un de ses camarades. Bilan : douze points de suture. L'agresseur, un Millavois de 46 ans, est interpellé le lendemain après-midi, dimanche 13 décembre. Après sa garde à vue, il est présenté devant le parquet et écroué. Il devrait être jugé cet après-midi devant le tribunal de Rodez, dans le cadre de la comparution immédiate
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/16/2239332-agression-a-la-hache-sur-fond-de-soiree-arrosee.html#ST7UkcJo3CVEyDBq.99
 

mardi 15 décembre 2015

Un ouvrier chute d'un pylône de 20 mètres à Launois-sur-Vence dans les Ardennes

Ce membre du personnel travaillait sur le chantier de reconstruction de la ligne électrique à très haute tension. Il a été transféré conscient à l’hôpital de Charleville-Mézières
Aux alentours de midi ce mardi 15 décembre, un ouvrier de 27 ans, qui opérait sur le chantier RTE de reconstruction de la ligne à très haute tension à Launois-sur-Vence, a chuté d’un pylône.
«  Polytraumatisé  » selon les pompiers, il souffrirait de plusieurs fractures et de douleur au dos mais a été transporté conscient à l’hôpital Manchester de Charleville-Mézières.
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Le pylône mesurait 20 mètres, mais il est pour l’instant impossible de dire «  à quelle hauteur était l’ouvrier  » blessé, précise RTE.
http://www.lunion.fr/node/619484

Charente-Maritime : la querelle de voisinage dégénère, deux coups de fusils tirés

Si les deux coups de feu tirés ce lundi ont surtout été entendus dans le quartier du Four-à-Pain, à deux pas du bourg de Breuil-Magné, le dispositif de gendarmerie pour interpeller le tireur s'est vu et bien vu dans cette commune du Pays rochefortais, entre 16 heures et 18 h 30. L'habitant a fini par être appréhendé dans le calme par les forces de l'ordre, sans que l'affaire ne vire au drame.
Les faits sont très bêtes au départ, comme souvent dans les querelles de voisinage. Et ils sont à épisodes, tout au long du week-end dernier.

4X4 et roue crevée

Samedi d'abord. Alors que l'homme vient de pénétrer dans le jardin d'un voisin avec son 4X4, un autre habitant du quartier le voit et lui demande ce qu'il fait là. De façon incohérente, le Breuillais explique vouloir faire plaisir en labourant le terrain avec son gros véhicule. Quand le même homme, qui essaie de le calmer, lui glisse au passage que ce serait bien qu'il roule moins vite sur les routes, l'autre répond que même à 150 km/h, il maîtrise !
Dimanche maintenant. Le même voisin, qui a toujours été en bons termes avec le tireur, "un brave gars qui a bon fond au départ", note que la roue arrière du 4X4 est crevée. "J'ai pensé qu'il avait dû faire une fausse manœuvre…"raconte-t-il.
Lundi, les deux hommes se croisent, normal, ils habitent à 30 mètres l'un de l'autre. Et aussitôt, le propriétaire du 4X4 accuse son voisin de lui avoir crevé sa roue… À moins que ce ne soit quelqu'un d'autre. Bref, il en veut à tout le monde, quelque peu énervé. Désarçonné par cette réaction, celui qui se trouve accusé tente de calmer cet homme, qui est à la dérive depuis plusieurs années. Mais l'autre ne s'en laisse pas compter. 
"Il m'a dit ‘‘tu vas voir comment je règle mes comptes'' et il est allé chercher un fusil dans sa voiture (1)", explique le même témoin qui s'est vite retranché dans sa maison.
Bien lui en prend car aussitôt, il entend deux coups de feu. "J'ai regardé par ma fenêtre et j'ai vu mon voisin casser son fusil à deux coups avant de rentrer chez lui", explique ce retraité qui, un peu effrayé, a aussitôt appelé les gendarmes.
Très rapidement, à 16 heures, une douzaine de militaires arrivent : une patrouille de la compagnie de Rochefort, deux du peloton de sécurité et d'intervention de la gendarmerie et une autre de la brigade des recherches de Rochefort. L'homme est barricadé chez lui, rue des Vieux-Fours, et il faut parlementer. Au bout de deux heures et demie, vers 18 h 30, il finit par se rendre et les forces de l'ordre peuvent l'interpeller en douceur.

Seul avec ses deux chiens

Le maire de la commune expliquait ce lundi soir que jamais cet homme de 58 ans n'avait posé de problème, ni fait parler de lui. Pour autant, cela fait quelques années que ce Breuillais qui ne travaille plus part à la dérive.
Divorcé, il vit seul avec ses deux chiens, coupé de tous et même de sa fille de 21 ans. De plus en plus dépendant à l'alcool, il n'a même plus la volonté d'entretenir son habitation. Et ces derniers temps, il a perdu énormément de poids et n'est plus que l'ombre de lui-même.
"Il y a trois semaines, j'ai appelé les pompiers qui l'ont transporté à l'hôpital car il était debout avec sa canne sur la placette à côté du four à pain, totalement immobile, muet et sans réaction"
- Le voisin
Il est fort probable que cet homme ait été hospitalisé dans un premier temps lundi soir. Reste que cette affaire aura certainement des suites judiciaires. Car il semblerait que les deux coups de fusils n'aient pas été tirés en l'air, mais en direction du portail du voisin, vu l'endroit où les gendarmes ont récupéré les cartouches.
(1) Il posséderait aussi deux carabines.

http://www.sudouest.fr/2015/12/15/il-tire-deux-coups-de-feu-2217649-1269.php

Attentats de Paris en janvier : deux personnes en garde à vue

Deux personnes, dont un homme déjà en détention dans une affaire de trafic d'armes, ont été placées en garde à vue mardi dans l'enquête sur les attentats de janvier à Paris, a-t-on appris de sources concordantes, confirmant une information de BFMTV.
Il s'agit de Claude Hermant, proche des milieux d'extrême droite du nord de la France, et de sa compagne, a précisé le parquet de Lille à l'AFP. Les enquêteurs les interrogent car des armes retrouvées dans l'arsenal d'Amédy Coulibaly, le tueur de l'Hyper Cacher, avaient transité par une société gérée par la compagne d'Hermant, a expliqué une source proche de l'enquête.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/15/2238676-attentats-paris-janvier-deux-personnes-garde-vue.html

lundi 14 décembre 2015

AMIENS Les fans de Johnny Hallyday sont déjà là !

hebergement d'image
Alors que les deux concerts de Johnny Hallyday à Amiens sont les mardi 15 et mercredi 16 décembre, des fans sont déjà présents devant le zénith depuis ce lundi matin. Quelques tentes ont été installées dans la nuit de dimanche à lundi devant la salle. Premier concert de la star française mardi à 20 heures. Le concert est complet. En revanche, il reste quelques places pour le spectacle du mercredi 16 décembre à 20 heures au zénith d’Amiens. Informations et réservations ici.

http://www.courrier-picard.fr/region/amiens-les-fans-de-johnny-hallyday-sont-deja-la-ia201b0n690329

Violente expédition d'une bande à Cantepau

C'est vers 16 heures samedi, à l'issue d'un match de football entre les équipes de jeunes U15, âgés de 14 ans, d'Albi et de Castres, sur les terrains de la base de loisirs du quartier de Cantepau, qu'une vingtaine d'individus sont venus semer la pagaille. Munis pour certains de barres de fer, ils ont transformé cette fin de rencontre en pugilat. Des coups auraient été échangés. Les jeunes Castrais qui semblaient être la cible principale de ces jeunes individus ont trouvé refuge dans les vestiaires du stade. Ils ont pu être évacués grâce à l'arrivée des forces de police qui, au passage, ont reçu des jets de pierre. Lorsque les policiers sont arrivés les agresseurs se sont éparpillés comme une volée de moineaux. Mais ils ne sont pas allés très loin puisqu'on les retrouve vers 17 h 30 à Bricomarché où ils ont dérobé des bombes de peinture avant de prendre la fuite. Au moins une caméra de vidéosurveillance de la ville aurait d'ailleurs été «bombée» dans la soirée. Les individus sont en cours d'identification par les enquêteurs du commissariat albigeois qui n'a pour l'instant enregistré aucune plainte concernant des coups et d'éventuelles blessures. En tout cas, les pompiers n'ont pas été appelés sur place et les policiers n'ont pas constaté de blessés.
Mais les policiers n'en avaient pas fini avec le quartier. Dans la soirée, vers 20 h 30, des containers à poubelles ont été disposés en travers du boulevard Maréchal Lannes et incendiés, créant ainsi une «barricade» derrière laquelle une vingtaine d'individus, le visage dissimulé, s'étaient réfugiés pour visiblement en découvre avec les forces de l'ordre. Les policiers ont réussi à gérer l'incident sans faire usage de la violence en mobilisant des renforts. Là encore, les auteurs, qui ont pris la fuite, sont en cours d'identification par les policiers
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/14/2237754-violente-expedition-d-une-bande-a-cantepau.html

dimanche 13 décembre 2015

Grave accident à Eclose-Badinières (Isère) après une nuit en discothèque

Au coeur du village d'Eclose-Badinières, vers 4h15, la Renault Mégane a brutalement quitté la chaussée, percutant une voiture stationnée sur le côté. Sous le choc ce Peugeot Expert Tepee qui était garé, s'est littéralement retourné. Dans la voiture en mouvement, il y avait quatre jeunes majeurs et un mineur, deux garçons et trois filles. Trois ont été gravement blessés et hospitalisés sur Grenoble, Lyon et Vienne, un autre a été plus légèrement atteint et le passager avant est indemne. Une enquête de gendarmerie est bien entendu ouverte
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grave-accident-eclose-badinieres-isere-apres-une-nuit-en-discotheque-880695.html

Trois jeunes interpellés pour violences

Vendredi soir, vers 23 h 20, les policiers ont été appelés pour une bagarre à la sortie de l'établissement de nuit La Diva place Verdun. En fait, il s'agissait d'un groupe de trois jeunes hommes qui avaient exercé des violences gratuites sur d'autres jeunes. Ils ont été interpellés en état d'ivresse manifeste puis placés en cellule de dégrisement au commissariat de Tarbes jusqu'à samedi en début d'après-midi où ils ont été placés en garde à vue et entendus par les policiers. Plusieurs victimes ont déposé plainte pour violences mais aucune hospitalisation n'a été nécessaire.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/13/2237317-trois-jeunes-interpelles-pour-violences.html

samedi 12 décembre 2015

Bretagne : prise d'otages dans un supermarché

Neuf salariés d'un supermarché breton ont été pris en otages pendant plus de quatre heures samedi matin. Ils ont finalement été libérés, leurs agresseurs ont pris la fuite
Les quatre heures passées enfermés dans leur supermarché ont du leur sembler très longues. Samedi matin, neuf employés d'un Carrefour market des Côtes d'Armor, en Bretagne, ont été pris en otages, rapporte Ouest-France.
Vers six heures du matin, ils ont été enfermés par plusieurs individus dans une pièce du magasin. L'un d'eux est parvenu à s'enfuir par une fenêtre et à rejoindre le centre de la commune pour donner l'alerte.
Vingt-sept gendarmes ont été mobilisés et ont pu évacuer les huit employés restant. Les agresseurs, eux, ont pris la fuite.
Combien étaient-ils? Comment étaient-ils armés ? Quel était leur mobile ? Les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver les auteurs.
Les employés ont été pris en charge par une cellule psychologique. 
http://www.sudouest.fr/2015/12/12/bretagne-prise-d-otages-dans-un-supermarche-2215635-7.php

Savoie : 121 chiens vivant dans des conditions «choquantes» ont été saisis

La Société Protectrice des Animaux a saisi mercredi 121 chiens dans un état déplorable. Les animaux, en majorité des malamutes et des huskies, vivaient dans un élevage du Planay (Savoie) appartenant à un musher (meneur de chiens de traîneau). Laissés en partie à l’abandon et cloîtrés dans des enclos trop petits, les chiens subissaient des « conditions de vie choquantes ».

Des chiens apeurés

Les bêtes, dont sept chiots, étaient parquées dans « des structures qui ne respectaient pas les normes de bien-être ». « Certains étaient enfermés à plusieurs dans de très petites cages de remorque », rapporte la SPA dans un communiqué. « De toute évidence, la surpopulation rendait impossible leur entretien ». Les animaux, « apeurés et manifestement peu habitués à être manipulés », ont été sauvés grâce à l’intervention des équipes Protection animale et de la cellule anti-trafic de la SPA, de la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations), de deux vétérinaires et de la gendarmerie locale
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/12/2236970-savoie-121-chiens-vivant-conditions-ignobles-ont-ete-saisis.html

vendredi 11 décembre 2015

Pau : ivre, il appelle RMC et menace d’un attentat

Un Palois de 45 ans a été interpellé, mercredi matin, quelques heures après avoir tenté de passer dans la matinale d'information de RMC.
Peu après 5 heures du matin, le quadragénaire avait annoncé au standardiste qu'il comptait faire exploser trois bombes sans préciser l'endroit. Le régulateur ne lui avait pas ouvert l'antenne mais avait prévenu la police. L'individu ayant pris soin de laisser son vrai nom, il a rapidement été retrouvé.
L'appel avait été émis depuis Pau par ce quadragénaire sans emploi. Les fonctionnaires ont retrouvé chez lui un livre consacré au personnage d'Oussama Ben Laden, mais aussi quelques stupéfiants. Placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue, le Palois a reconnu avoir consommé de la drogue la veille de son appel. Mardi soir, il indique avoir bu deux bouteilles d'alcool à son domicile avant de continuer son entreprise d'enivrement dans le quartier du Triangle. Le tout agrémenté de plusieurs joints.

Messages nébuleux

Au cours de la soirée, le quadragénaire a envoyé d'énigmatiques messages d'alarme à ses amis. « Je déclare une fois pour toutes les hostilités » ou « Je déclare la guerre à toutes les personnes qui ne seraient pas prophétistes » figurent au rayon de ces alertes.
L'homme ne se souvient pas avoir contacté la station de radio à son retour chez lui, mais il convient que son état d'alcoolisation a pu provoquer pareil appel. Il explique son comportement par un sentiment dépressif très ancré et une certaine distance avec toutes les religions.
Placé sous contrôle judiciaire avec obligations de soins, il comparaîtra en février pour « divulgation de fausse information afin de faire croire à une destruction par moyen dangereux ».
http://www.sudouest.fr/2015/12/11/ivre-il-appelle-rmc-et-menace-d-un-attentat-2213944-4344.php

Bordeaux : la régisseuse siphonnait l'Opéra

Le livret d'un opéra-bouffe ? Côté cour, on l'appelait la «Robespierre des notes de frais», tant elle taillait dans les notes des intermittents du spectacle et des artistes.
Côté jardin, elle ne se refusait rien : un pavillon luxueux dans l'Entre-Deux-Mers, du mobilier de classe, une piscine, un spa… Le couple venait de commander une Porsche Cayenne, après avoir acheté une Mercedes.
L'ex-régisseuse de l'Opéra national de Bordeaux et son compagnon comparaissaient hier devant le tribunal girondin pour avoir détourné 2,4 millions d'euros.
Elle était à la tête de la régie d'avance, munie d'un budget d'environ 3 millions d'euros annuels qui servait à payer les petites dépenses de fonctionnement, à rémunérer les artistes, les techniciens et à payer les frais de voyage et d'hébergement des artistes. Le budget global de l'Opéra de Bordeaux s'élève lui à 26 millions d'euros.
Durant dix ans, au nez et à la barbe de l'Opéra de Bordeaux et du Trésor Public mais aussi de la Cour régionale des comptes, Corinne Auguin, 54 ans, a pioché dans la caisse.
Ce sont les deux régisseurs suppléants qui travaillaient à ses côtés qui ont été alertés par des opérations suspectes et ont averti leur hiérarchie.
Hier après-midi, le parquet a requis 5 ans de prison dont quatre ferme à l'encontre de l'ex-régisseuse de l'Opéra de Bordeaux, et quatre ans dont deux ferme pour son mari, ainsi que la confiscation de ses biens. Le jugement a été mis en délibéré le 7 janvier.
http://www.ladepeche.fr/

Il tente d'enlever une fillette, un appel à témoin lancé

Mercredi, entre 11 h 30 et 11 h 45, un homme a tenté d'enlever une petite fille de 9 ans sur le chemin entre l'école et son domicile, route des Pyrénées à Pujo. L'agresseur est activement recherché par la gendarmerie.
La petite fille effectue le même parcours tous les jours à midi pour rentrer chez elle depuis l'école, en bordure de la route des Pyrénées. Mercredi, à hauteur de la boulangerie du village, elle a croisé la route d'un individu apparemment mal intentionné qui venait d'acheter du pain à cette même boulangerie, située sur le chemin de la petite fille. L'homme l'aurait attrapée par le bras et lui aurait demandé si elle allait acheter du pain. Il lui aurait alors dit qu'il avait du pain chez lui. Sophie, l'épouse du boulanger Daniel Madrigal, ne se souvient pas du tout de ce client. En revanche, la mère de la jeune victime est venue à sa rencontre et lui a rapporté les faits : «L'homme, qui portait du pain sous son bras, l'a empoignée et a voulu l'emmener. La petite rapporte qu'il lui a dit : «Est-ce que tu veux partager mes petites miches de pain ?». Elle s'est défendue et elle a réussi à s'échapper en lui donnant un coup de pied. Ensuite, elle s'est mise à courir jusqu'à chez elle».
Auditionnée par les gendarmes, la petite fille a réussi à décrire son agresseur, avec le plus de précision possible, malgré le choc émotionnel. Sur la base de ces éléments, la gendarmerie, sur autorisation du vice-procureur de la République, a lancé un appel à témoin : «L'homme serait âgé d'environ 40 ans, 1,75 m, cheveux courts blonds-blancs, légèrement dégarni, portant des lunettes rondes, et serait vêtu au moment des faits d'un pull gris, un jean bleu clair et des chaussures de ville noires. Il tenait à la main une baguette de pain».
A priori, il était à pied. Sur la base de cette description, un portrait-robot (ci-contre) a été établi par la gendarmerie et les gendarmes ont réalisé une enquête d'environnement sur Pujo et ses alentours, pour voir si les résidents reconnaissaient la personne et avaient remarqué sa présence dans le secteur, ou des indices susceptibles de faire avancer l'enquête. On ignore encore s'il habite dans le secteur où s'il était simplement de passage, comme le pensent plusieurs personnes, dont le maire Françoise Lerda. Contacté par téléphone, le premier magistrat de la commune nous a précisé : «Les parents de la petite fille ne sont pas natifs de Pujo mais habitent la commune depuis quelques années. Suite à cette tentative d'enlèvement, plusieurs mesures élémentaires de sécurité ont été prises au niveau de la commune. Outre la présence renforcée des gendarmes, recommandation a été faite aux parents de venir chercher leurs enfants au portail. Une information a été diffusée par les enseignants aux élèves et aux parents à la fois pour essayer de les rassurer et aussi pour les inviter à rester vigilants».
Toute personne ayant des informations permettant d'identifier l'individu ou d'orienter l'enquête est priée de prendre contact de toute urgence avec la brigade de gendarmerie de Vic-en-Bigorre au 05.62.96.70.08.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/11/2235647-il-tente-de-l-enlever.html

jeudi 10 décembre 2015

Elle s'enfuit avec son bébé qui devait lui être retiré

Rukmini Singh, 30 ans, atteinte de troubles psychologiques graves, maman d'un bébé de 2 mois, attendait le jugement indiquant le placement de son dernier enfant. Hébergée par sa mère à Lasserre-de-Prouilhe la jeune femme s'était enfuie il y a deux jours avec son nourrisson, refusant obstinément qu'on lui retire son enfant qui par ailleurs devait être confié à la grand-mère maternelle. Rapidement localisée dans sa fuite, sur Carcassonne, par la gendarmerie de Limoux, tout d'abord dans un hôtel, puis dans des commerces et cafés, elle était suivie à la trace par les enquêteurs de la compagnie de Limoux. Pour éviter dans un mouvement de panique une mise en danger et toutes violences éventuelles contre l'enfant, la jeune femme coutumière des fugues, n'était pas interpellée immédiatement, mais seulement surveillée de près. C'est finalement hier matin, à l'aube, que la maman et son enfant étaient cueillis sans dommage dans leur sommeil par la police à Carcassonne. Rukmini Singh a été hospitalisée d'office à l'ASM de Limoux et le bébé immédiatement transporté à la maternité du centre hospitalier de Carcassonne pour des examens complets.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/10/2234874-enfuit-bebe-devait-etre-retire.html

mercredi 9 décembre 2015

Deux hommes arrêtés par les policiers du Raid

Descente de police hier à l'aube dans le cadre d'une enquête antiterroriste à Albi. Elle a eu lieu avenue Kellermann à Cantepau. Deux hommes, d'origine tchétchène, ont été conduits au commissariat d'Albi par les policiers du Raid et de la DGSI.
Des hommes issus de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et des policiers du Raid ont été mobilisés hier matin à l'aube dans le quartier de Cantepau à Albi avenue Kellermann
Cette action menée dans le cadre d'une commission rogatoire d'un juge d'instruction antiterroriste parisien a été conduite très discrètement par les policiers de la DGSI et du Raid.
Ils ont perquisitionné le domicile d'un couple qui était sous surveillance discrète depuis quelque temps. L'homme, d'origine tchétchène, a été conduit menotté au commissariat d'Albi. Son épouse, vêtue d'un voile intégral, a suivi librement les policiers afin d'être auditionnée, avec une traductrice.
L'homme y a été placé en garde à vue* afin d'y être entendu par les hommes du Raid et de la DGSI. De source policière, il semblerait qu'un second homme ait lui-aussi été interpellé et placé en garde à vue.
Dans le quartier de Cantepau, la tension était palpable hier peu avant midi au bas de la barre d'immeuble où ont été effectuées les arrestations. Si certains habitants ont spontanément confirmé «la présence des forces de l'ordre dès les premières heures de la matinée et jusqu'à environ 10 h 30» dans un square de l'avenue Kellermann, tout comme «l'arrestation de deux personnes», d'autres, plus jeunes, peut-être échaudés par l'intrusion à leurs yeux des policiers dans «leur» quartier et les arrestations de la matinée se sont montrés beaucoup moins «accueillants».

Déjà cinq arrestations en février 2015 sur Albi

Ces deux interpellations renvoient forcément aux six personnes, membres de la communauté tchétchène, arrêtées le dimanche 8 février dernier au matin, l'une à Ramonville-Saint-Agne et les cinq autres à Albi, déjà par la DGSI et déjà avenue Kellermann.
Ces six personnes étaient soupçonnées de «transferts de fonds suspects et de recrutements de jihadistes vers la Syrie». À l'époque, cette opération, ordonnée il y a dix mois jour pour jour par des magistrats du pôle antiterroriste de Paris saisis d'une information judiciaire en janvier 2014 pour «association de malfaiteurs terroriste et financement du terrorisme» avait abouti à l'incarcération de ces six individus, tous trentenaires, tous d'origine tchétchène et soupçonnés «de transferts de fonds douteux» et d'avoir recruté des candidats au jihad. Les enquêteurs cherchaient alors également à vérifier si certains d'entre eux s'étaient rendus en Syrie.
Ces djihadistes présumés avaient été incarcérés dans plusieurs maisons d'arrêt telles Bois d'Arcy, Fleury-Mérogis ou encore la prison du Val d'Oise.
L'opération conduite hier matin à Albi par le Raid et la DGSI a t-elle un lien avec l'arrestation de ces six personnes d'origine tchétchène, le 8 février 2015, dans le Tarn et à Ramonville-Saint-Agne? Peut-être. Les auditions des deux hommes, toujours en cours hier soir à l'hôtel de police d'Albi, pourraient permettre d'en savoir plus. Ils devraient vraisemblablement être transférés rapidement d'Albi sur Paris pour y être présentés au magistrat du parquet antiterroriste chargé de l'instruction de cette affaire.
*La garde à vue peut être prolongée, sur autorisation spéciale des magistrats compétents, par tranches de 24 heures supplémentaires jusqu'à 144 heures (6 jours) au maximum dans le cas particulier des affaires de terrorisme

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/09/2234558-deux-hommes-arretes-par-les-policiers-du-raid.html

mardi 8 décembre 2015

Les jeunes footballeurs figeacois agressés à Villefranche-de-Rouergue

C'est l'incompréhension pour les dirigeants de Figeac Quercy Foot autant que pour les parents et les jeunes U17 du club, qui ont subi injures et assauts de coups, samedi, lors de leur déplacement à Villefranche, en Aveyron.
Marqués, traumatisés, sous le choc, les mots manquent pour décrire ce que ressentent les jeunes joueurs de l'équipe U17 de Figeac Quercy Foot. À la 82e minute de la rencontre, face à l'équipe de Villefranche-de-Rouergue, samedi, au stade aveyronnais du Tricot, une cinquantaine de personnes, adolescents, jeunes et adultes, ont investi le terrain, pour s'en prendre aux treize gamins de Figeac, âgés de 16 à 17 ans, et aux quelques supporters présents.
«Nous venions juste de remonter au score et d'égaliser à deux partout. Depuis le début du match, on entendait des insultes monter des tribunes et de derrière les balustrades, j'avais dit à mes jeunes de ne pas en faire cas. Puis, certains s'en sont pris à nos supporters, à ma femme et à ma fille de 6 ans», raconte Olivier Noizillier, l'entraîneur figeacois, responsable de l'école de foot de Figeac depuis 2000.
L'encadrement du club et des parents qui avaient fait le déplacement, ont tenté d'intervenir pour protéger les jeunes et calmer chacun, en vain. «Ils se sont mis à nous frapper aussi. Il y avait un de nos dirigeants figeacois au sol, avec une quinzaine de personnes autour de lui, et sur lui, c'était du lynchage ! Il prenait des coups de pied. Un de nos joueurs a eu le visage tuméfié, un autre le nez cassé. Nos gamins tentaient de fuir pour éviter d'être frappés», se remémore, avec tristesse, l'entraîneur des U17.
Pour le coprésident de Figeac Quercy Foot, Philippe Brouqui : «C'était un guet-apens. Ils ont démonté notre arbitre de touche assermenté, M. Couderc. Nos adultes ont tenté de protéger les gamins, face aux coups qui pleuvaient, ils n'ont pas riposté. ça a dégénéré et Villefranche s'est laissé déborder.»
Il aura fallu l'intervention d'une douzaine de gendarmes pour mettre en fuite les assaillants, et permettre aux pompiers de prodiguer les premiers soins.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/08/2233494-les-jeunes-figeacois-agresses-a-villefranche.html

lundi 7 décembre 2015

2 poids lourds en portefeuille sur l'A7 à hauteur de Roussillon

Vers 1h35, ce lundi 7 décembre, deux camions se sont mis en portefeuille sur l'A7. Il n'y a pas eu de blessé mais la circulation a été ralentie jusqu'à 4 heures du matin
Ces deux poids lourds étrangers se sont mis en travers de la route à hauteur de Roussillon, dans le sens Sud/Nord. Un camion frigorifique était au milieu des voies et le deuxième, un camion citerne qui transportait du jus de fruit, était immobilisé sur la voie de droite. Les chauffeurs n'ont pas été blessés, mais la circulation s'est faite sur la bande d'arrêt d'urgence pendant plusieurs heures
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/2-poids-lourds-en-portefeuille-sur-l-a7-hauteur-de-roussillon-875637.html

Chute fatale pour deux randonneurs montalbanais

Deux randonneurs, un homme et une femme âgés tous les deux d'une cinquantaine d'années, ont trouvé la mort hier, en milieu de journée alors qu'ils progressaient dans la descente du Pic de l'Har, au-dessus de Sentein, un sommet qui culmine à 2 245 mètres, en Ariège. L'alerte a été donnée par les autres membres du groupe, hier après-midi vers 13 h 45.
Il s'agit de l'encadrant, titulaire d'un diplôme fédéral d'accompagnateur en montagne, et d'une randonneuse peu expérimentée, tous deux membres d'un groupe de randonneurs de l'ASPTT de Montauban. Les circonstances du drame ne sont pas encore connues avec certitude, mais il semble que la randonneuse ait perdu l'équilibre sur une pente verglacée. L'encadrant, qui cheminait à ses côtés, aurait alors tenté de la rattraper. Tous deux ont glissé sur une pente particulièrement raide, de 500 mètres de dénivelé.
Les autres randonneurs, qui n'auraient pas assisté au drame, ont donné l'alerte. L'hélicoptère du peloton de gendarmerie de haute montagne a été mobilisé. Les deux corps sans vie ont alors été retrouvés en bas de cette pente raide. Les randonneurs du groupe, choqués, ont été rapatriés par hélicoptère et pris en charge à la gendarmerie de Castillon-en-Couserans.
Les gendarmes de haute montagne ont averti des conditions très dangereuses dans ce secteur en cette saison, avec des conditions hivernales et une neige gelée sur les versants nord mais une neige de printemps et des avalanches sur les versants sud et est : «Je suis sous le choc, nous disait hier Marie-Françoise Lacaze, la présidente de l'ASPTT Montauban Omnisports. Je ne peux rien dire, c'est terrible». Selon nos informations, Patrick Harté, serait l'une des deux victimes de cet accident. Il encadrait le groupe comme il l'avait déjà dans de très nombreuses autres sorties.
Les Pyrénées ont connu un week-end noir. Samedi, déjà, un skieur de 19 ans s'était tué en hors-piste à Cauterets. Le jeune homme avait sauté une barre rocheuse. Il est alors mal retombé, avant de basculer sur d'autres barres rocheuses et de terminer sa chute en contrebas