vendredi 31 octobre 2014

Accident de chasse aux Avenières, le père de l'enfant blessé encore sous le choc

Il préfère garder l'anonymat et donner uniquement son prénom. Julien, le père de l'enfant touché à la tête par un plomb de chasse jeudi 23 octobre, a tenu à s'exprimer sur cette affaire.

Comment se porte votre fils aujourd'hui?

Il va bien mais il est toujours en observation dans le service de neuro-chirurgie pédiatrique d'un hôpital de Lyon. Nous sommes, ses parents et lui, tous les trois très choqués et avons hâte de rentrer à la maison pour retrouver nos repères.
Dans son malheur, il a eu beaucoup de chance."

Sa blessure était plus sérieuse que ce qu'avaient affirmé les secours?

Il a dû subir lundi une intervention chirurgicale sous anesthésie générale pour retirer le plomb logé dans son cuir chevelu et qui pouvait causer des risques d'infection ou de complication. Dans son malheur il a eu beaucoup de chance d'être touché dans une zone osseuse du crâne, car si le plomb s'était logé dans l'oeil ou dans l'oreille les conséquences auraient pu être beaucoup plus graves. 

Quelle seront les conséquences judiciaires à cette affaire?

Nous avons porté plainte immédiatement à la gendarmerie des Avenières contre le centre social et avons sollicité le recours d'un conseil juridique. Nous hésitons à faire une action contre l'hôpital de Bourgoin-Jallieu qui nous a dit que la blessure n'était pas grave. Heureusement, nous avons demandé un second avis médical qui a permis l'hospitalisation de notre enfant à Lyon.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/10/31/accident-de-chasse-aux-avenieres-le-pere-de-l-enfant-blesse-encore-sous-le-choc-581887.html

Agen : la jeune Russe tombée d’un étage mercredi s’est grièvement blessée

L'histoire nouée entre trois protagonistes dans la nuit de mardi à mercredi, rue Sentini à Agen, n'a pas fini de dessiner nettement les contours du scénario qui a abouti à la chute d'une femme russe de 31 ans, depuis un appartement situé au 3e étage, jusqu'au balcon de l'étage inférieur.
La victime a expliqué aux enquêteurs que son accident avait été la conséquence d'une tentative d'évasion du logement où elle était retenue captive depuis quelques heures par un restaurateur agenais. L'homme désigné comme son « geôlier », âgé de 56 ans et interpellé mercredi matin, avait été placé en garde à vue. Celle-ci avait été prolongée dans la soirée et a été levée ce jeudi, aux alentours de 17 h 30.
La jeune femme souffrirait de blessures graves à la colonne vertébrale
Les fonctionnaires de la brigade de sûreté urbaine chargés de l'enquête procèdent actuellement à des investigations complémentaires afin de se faire une idée plus précise du déroulement des faits, le restaurateur en garde à vue ayant livré une version différente de celle de la victime.
Par ailleurs, la jeune femme, après avoir été examinée par un médecin spécialisé jeudi, a vu son interruption totale de travail, passer de 30 jours minimum à 45. Elle souffrirait de blessures graves à la colonne vertébrale. D'autres expertises médicales pourraient suivre.

Un deuxième homme

C'est un riverain qui avait alerté la police dans la nuit de mardi à mercredi, pour signaler des cris de détresse rue Sentini. En se rendant sur place, les forces de l'ordre ont eu affaire, dans un premier temps, au restaurateur, propriétaire de l'appartement dans lequel la jeune Russe a affirmé avoir été séquestrée mais aussi un autre homme de 55 ans, entretenant une relation suivie avec la victime et soutenant s'être rendu sur place pour la secourir.
Placé dans un premier temps en garde à vue, notamment parce que ce dernier détenait un fusil dans son véhicule et des cartouches dans sa poche, il a été remis en liberté jeudi mais devra tout de même s'expliquer ultérieurement sur la détention et le transport d'arme. L'enquête visant à déterminer les circonstances exactes ayant abouti à la chute de la jeune femme se poursuit.

http://www.sudouest.fr/2014/10/31/la-jeune-russe-tombee-d-un-etage-mercredi-s-est-grievement-blessee-1721374-3603.php

Violent Incendie à la Maison de la Radio à Paris - 31/10

REIMS (51). Une enquête ouverte autour d’une défenestration

Ce jeudi 30 octobre, vers 21 heures, les sapeurs pompiers sont intervenus rue Auguste-Walbaum. Un homme d’une quarantaine d’années est tombé du deuxième étage d’un immeuble de 12 étages. Grièvement blessé, il a été pris en charge par l’équipe médicale du SAMU, avant d’être transporté au CHU
La police a placé en garde à vue un homme d’une soixantaine d’années qui se trouvait dans l’appartement au moment des faits afin de comprendre dans quelles circonstances la chute a eu lieu.

http://www.lunion.presse.fr/region/reims-51-une-enquete-ouverte-autour-d-une-defenestration-ia231b0n431895

Un poids lourd s'encastre contre une voiture

Hier un accident entre un poids lourd et une voiture est survenu sur la RD922, sur la commune de Causse-et-Diège, dans la traversée du bourg de Loupiac, vers 15 heures. Le conducteur du poids lourd, âgé de 31 ans, est sorti indemne de l'accident alors que les trois personnes dans le véhicule ont été blessées : une femme âgée de 33 ans a été héliportée au centre hospitalier de Rodez, dans un état grave et les deux autres femmes âgées de 52 ans et de 17 ans ont été transportées, légèrement blessées, à Figeac. Les pompiers de Capdenac, Decazeville, Villefranche et le Smur étaient sur place, tout comme les unités de gendarmerie de Villefranche et de Capdenac, la brigade motorisée et le peloton de surveillance. La circulation a été coupée pendant 3 heures.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/31/1982598-un-poids-lourd-s-encastre-contre-une-voiture.html

Colonie de vacances : quinze personnes prises de vomissements

Quinze personnes dont une dizaine d'enfants, en séjour à la colonie de vacances de la ville de Toulouse à Aulus-les-Bains, ont été victimes de vomissements, diarrhées, maux de tête et vertiges. Les sapeurs-pompiers et une équipe médicale du SMUR sont intervenus sur le site afin de porter assistance aux enfants et adultes touchés par ce qui évoque des cas de gastro-entérites.
Quatre enfants de 7 et 8 ans et un adulte touchés de manière un peu plus forte par les symptômes ont été évacués sur les centres hospitaliers d'Ariège Couserans et du val d'Ariège.
«Ces évacuations ont été faites par mesure de précaution» a précisé, hier en fin d'après-midi, Anne Peny, directrice de cabinet du préfet de l'Ariège avant de préciser : «Leur état n'inspirait pas de crainte particulière.»
Ces cinq personnes admises à l'hôpital devaient sortir, hier, en toute fin de journée.
La colonie de vacances de la ville de Toulouse d'Aulus-les-Bains accueille 85 enfants de Toulouse et 15 adultes en charge de l'encadrement en cette semaine de vacances de la Toussaint. Deux enquêtes sont engagées pour tenter de déterminer l'origine de ces malaises touchant une quinzaine de personnes. Des agents de la DDCSPP ont effectué des prélèvements d'usage notamment sur les repas servis, et l'ARS a fait des prélèvements d'eau, «par mesure de précaution, précise Anne Peny.
Le réseau d'eau qui alimente la colonie de vacances est en parfait état et tous les contrôles effectués jusqu'à présent étaient conformes.»
Les gendarmes de la brigade de recherche de Saint-Girons ont également ouvert une enquête comme c'est l'usage en pareil cas. Les enfants de la colonie et les encadrants doivent regagner Toulouse aujourd'hui, terme de leur séjour dans les Pyrénées.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/31/1982205-colonie-de-vacances-quinze-personnes-prises-de-vomissements.html

jeudi 30 octobre 2014

Un motard de la gendarmerie blessé dans une collision

Mercredi, vers 14 h 25, alors qu'il s'était lancé à la poursuite d'un véhicule en infraction, un motard de la gendarmerie a été blessé. Avec son collègue, le militaire circulait à vive allure sur la RD 117, à hauteur du magasin But de Saint-Lizier, lorsqu'il a percuté une automobile. Âgé de 88 ans, le conducteur de celle-ci sortait de son domicile situé en bordure de la route lorsque la moto est arrivée.
A la suite du choc, le gendarme âgé de 39 ans a été sérieusement blessé. Pris en charge par les pompiers, il a été conduit en urgence au centre hospitalier Ariège-Couserans. L'automobiliste octogénaire, en état de choc, a également été évacué vers l'établissement de soins pour y subir des examens de contrôle.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident qui a rendu les deux véhicules à l'état d'épave.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/30/1981963-un-motard-de-la-gendarmerie-blesse-dans-une-collision.html

mercredi 29 octobre 2014

Haute-Savoie. Percutée par une voiture, une cycliste de 77 ans dans un état critique

Un grave accident de la circulation est à déplorer ce mercredi 29 octobre près de Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie. Une femme âgée de 77 ans a été percutée par une voiture à Sciez, route d'Excenevex, dans une ligne droite.

La victime roulait à vélo sur la route d'Yvoire, commune voisine au bord du Lac Léman. Un automobiliste est arrivé par derrière et d'abord sans la voir. Il a quand même, de justesse, réussi à l'éviter d'un coup de volant. Mais un second véhicule qui suivait derrière n'avait, lui, plus suffisamment de temps pour réagir...

Le pronostic vital de la cycliste est engagé. La femme a été héliportée à l'hôpital d'Annecy

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/10/29/percutee-par-une-voiture-sciez-haute-savoie-une-cycliste-de-77-ans-dans-etat-critique-580557.html

Incendie d'habitation à Carmouet: un père et sa filette hospitalisés

Un incendie dans une maison d'habitation de Carmouet, dans les Côtes d'Armor, a pu être maîtrisé dans la nuit. Un père et sa fillette de deux ans ont été hospitalisés pour inhalation de fumées. Ils ont été transportés à l'hôpital de Carhaix.
Il a fallu une trentaine de pompiers des Côtes d'Armor, et 4 lances, pour venir à bout de l'incendie dans une maison d'habitation de la rue principale de Carmouet, près de Jugon-les-Lacs, dans les Côtes d'Armor. L'alarme a été déclenchée à 2h40.

La toiture de la maison de 40m2, composée d'un rez-de-chaussée et d'un étage, a également été touchée et le feu a commencé à se propager aux habitations voisines.

Le propriétaire, un père et sa fillette de 2 ans, ont été hospitalisés pour inhalation de fumées et ont été transportés à l'hôpital de Carhaix.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/10/29/incendie-d-habitation-carmouet-un-pere-et-sa-filette-hospitalises-580204.html

Angoulême : de la prison avec sursis pour une bagarre à coups de barres de fer

C'est un règlement de compte entre voisins à coups de barres de fer qui s'est déroulé, rue Louis-Pergaud à Angoulême, le 1er octobre dernier. « Un épisode de la famille Pierrafeu », a ironisé, hier, le procureur de la République, Patrice Camberou au tribunal correctionnel qui examinait l'affaire. Ils étaient cinq, prévenus et victimes à la fois, à raconter une histoire plus ou moins similaire.
Kelly, 20 ans, son petit ami Loïc, 22 ans, le frère de Kelly, Jonathan, âgé de 24 ans, qui vivent avec leur mère, étaient chez eux. Depuis juillet, la famille a de nouveaux voisins, Killian 24 ans et son grand frère de 30 ans, Gaëtan, tous les deux connus de la justice. Peu enclins aux discussions courtoises, ils semblent, d'après les témoignages d'autres voisins, s'adonner régulièrement à des « rodéos » et autres dérapages dans la rue à des « vitesses folles ». Ce 1er octobre, Gaëtan se gare trop près de la voiture de la mère de famille. Les insultes fusent et les policiers interviennent une première fois en début d'après-midi.

Pare-brise brisé et claque

Le calme pourtant revenu, Gaëtan veut repartir de la rue malgré la présence de la mère et du beau-père de Kelly et Jonathan devant son capot de voiture. Il provoque alors ses voisins, faisant « vrombir sa voiture et s'arrêtant à quelques centimètres de la mère de famille », racontent les témoins. C'est la première étincelle puisque Kelly frappe alors son pare-brise avec une barre de fer. « Pour ne pas qu'il roule sur ma mère », s'est-elle défendue, hier.
Gaëtan sort alors de son véhicule et frappe la jeune fille au visage, déclenchant pour de bon la bagarre générale, à coups de barres de fer récupérées aussi par Loïc et Jonathan, sur des meubles démontés, ainsi qu'un rouleau à pâtisserie. Les coups pleuvent des deux bords entre les cinq jeunes jusqu'au retour des policiers.
« On a tapé, j'assume, mais on a fait que se défendre », a plaidé Killian hier, suivi par son frère.
« Gaëtan a montré ses muscles, employé un langage fleuri », a concédé Patrice Camberou lors de ses réquisitions réclamant trois mois de sursis pour Kelly et Loïc et des travaux d'intérêt général pour les trois autres protagonistes, déjà connus de la justice.
Kelly a été condamnée à trois mois de prison avec sursis et son petit ami, Loïc, à deux mois avec sursis, tandis que son frère a écopé de 120 heures de travaux d'intérêt général. Gaëtan et Killian ont été condamnés, chacun, à payer 100 jours amende à 10 euros.
http://www.sudouest.fr/2014/10/29/bagarre-generale-a-la-barre-de-fer-1719255-813.php

Trafic : ils avaient avalé 2,2 kg de cannabis

Deux Toulousains ont été incarcérés après avoir importé du cannabis. Pour passer les contrôles, les deux suspects avaient avalé 2,2 kg de résine mais également de l'huile de cannabis.
En débarquant à l'aéroport de Toulouse-Blagnac en provenance du Maroc voilà dix jours, deux hommes ne s'attendaient pas à un tel comité d'accueil. Le duo pensait passer la douane avec le sourire, comme la police les soupçonne de l'avoir déjà fait à plusieurs reprises dans le passé. Mais cette fois, les enquêteurs du groupe civile de la compagnie de sécurisation surveillaient ces voyageurs particuliers. Ce soir-là, le voyage s'est terminé en garde à vue et surtout à l'hôpital Purpan où les deux suspects âgés de 56 et 25 ans ont dû «expulser» leur chargement.
Une curiosité, et une première pour du cannabis à Toulouse puisque les deux suspects se sont transformés en «mule» comme on le voit régulièrement dans les trafics de cocaïnes en provenance des Antilles ou de l'Amérique du Sud. Au départ, avant de monter dans l'avion, ils ont ingurgité plus de deux kilos de cannabis. Des morceaux de «shit» classique en forme d'olive mais également de l'huile, un produit assez rare, réputé très fort, et qui se consomme avec du tabac.

De l'huile de cannabis

À l'hôpital, les «restitutions» successives ont permis aux policiers de récupérer 1,3 kg d'huile de cannabis et 900 grammes de résine. «Ils ont pris un risque considérable pour leur santé», observe un proche du dossier. Un problème dans l'emballage des substances toxiques aurait sans doute eu des effets dévastateurs pour les convoyeurs. Mais à l'image des passeurs de cocaïne, le duo toulousain espérait rentabiliser son aller-retour. Vendu 10 € le gramme, ou le millilitre, l'huile de cannabis assurerait semble-t-il de généreux bénéfices avec une recette espérée de plus de 13 000 € uniquement pour ce produit.
Avant de surprendre les deux hommes à leur retour du Maroc, les enquêteurs du groupe civil de la compagnie de sécurisation avaient exploité un «tuyau» qui dénonçait les activités illicites d'un suspect de 56 ans. Les investigations ont rapidement confirmé le trafic et les policiers ont attendu un voyage pour «boucler» leur dossier. Les enquêteurs pensent que ce trafic portait «au moins» sur deux voyages par an. Présentés au parquet, les deux suspects devaient être jugés dans le cadre des comparutions immédiates la semaine dernière. Ils ont demandé un délai pour préparer leur défense. Ils seront jugés le 9 décembre. En attendant, ils dorment en prison

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/29/1981328-ils-avaient-avale-2-2-kg-de-cannabis.html

mardi 28 octobre 2014

Alès : un corps retrouvé sans vie au pied d'un immeuble

C e mardi matin, le corps d'une femme a été trouvé sans vie au pied d'un immeuble de quatre étages à Alès.
Les secours sont intervenus ce mardi matin, au quartier de Clavières, à Alès, après qu'un corps sans vie, celui d'une femme, a été trouvé au pied d'un immeuble de quatre étages.
Les pompiers n'ont rien pu faire pour l'infortunée victime, dont le corps a été évacué. Une enquête de police est en cours pour déterminer les circonstances de ce drame.

http://www.midilibre.fr//2014/10/28/ales-un-corps-retrouve-sans-vie-au-pied-d-un-immeuble,1072550.php

Elle reçoit un plomb dans la jambe dans une rue de Bolbec (Seine-Maritime

Enquête en cours

Après les employés municipaux de Fécamp pris pour cible, voici une autre affaire de tir de projectiles en plomb en Seine-Maritime. Samedi, c'est une lectrice du site Internet de France 3 Haute-Normandie qui, via un message privé sur la page Facebook de la rédaction, s'inquiétait des rumeurs circulant à Bolbec et voulait savoir "si c'était bien vrai que quelqu'un avait fini à l'hôpital ? "

Ce mardi matin (28 octobre) la direction départementale de la police (DDSP 76) confirmait à la rédaction de France 3 Haute-Normandie qu'une passante avait reçu un plomb dans le mollet. C'est vendredi dernier, après avoir garé sa voiture près du temple de Bolbec, que cette femme a ressenti une forte douleur à la jambe. Un plomb s'était fiché dans le muscle de son mollet.

Secourue par les Sapeurs-Pompiers, puis soignée à l'hôpital, la victime a ensuite raconté sa mésaventure aux policiers du commissariat de Bolbec. Des policiers qui, pour l'instant, n'ont interpellé personne et qui continuent leurs investigations.

Le calibre du projectile extrait est de 4,5 mm, ce qui correspond aux plombs utilisés dans les "carabines à plomb" dont le canon se plie, mais aussi aux billes qui servent de projectiles à certaines armes de poing actionnées par de l'air comprimé ou avec des cartouches de co2.

Autre catégorie, prisée par les adolescents : les répliques de pistolet ou de revolver, alimentées par des cartouches de gaz, qui  sont utilisées dans les jeux d' "Airsoft".
Malgré leur aspect ludique, il s'agit  bien d'armes dangereuses qui, à courte distance,  peuvent blesser…

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/10/28/elle-recoit-un-plomb-dans-la-jambe-dans-une-rue-de-bolbec-seine-maritime-579726.html

Castelnaudary/Hôpital : vingt heures d'angoisse avec son fils âgé de 3 ans

Parce qu'il se plaignait de fortes douleurs à l'estomac, une maman a conduit son garçon aux urgences de Castelnaudary. Histoire d'un parcours du combattant jusqu'à Toulouse.
Laëtitia Clerico, habitante de Villespy, se souviendra longtemps de cette nuit du 22 octobre. Alors que son fils Matthias, âgé de 3 ans, présente une température de 38,5 degrés avec de fortes douleurs abdominales, elle se rend ce mercredi soir à 19 h 50, aux urgences de l'hôpital de Castelnaudary. En dépit d'une "équipe très attentive et professionnelle", va commencer pour le jeune patient et sa mère, un parcours du combattant sur fond d'angoisse.

Le médecin urgentiste soupçonne une possible crise d'appendicite. Le centre hospitalier de Castelnaudary ne disposant pas de service de pédiatrie, l'urgentiste téléphone à ses confrères de l'hôpital de Carcassonne et essuie un premier refus. "L'on ne peut pas prendre en charge un enfant de cette corpulence (17 kg) dans l'éventualité d'une anesthésie", aurait-on rétorqué à l'urgentiste chaurien. Contactée lundi, la directrice adjointe de l'hôpital de Carcassonne nous a précisé que ce service, "dans le cadre d'une chirurgie programmée" prenait en charge les patients, "même les moins de 3 ans". En revanche, pour les "urgences concernant une pathologie à risque, comme ce fut le cas pour cet enfant avec une suspicion d'appendicite, nous ne pouvons intervenir et envoyons les patients vers des centres spécialisés".
Dépendre du "secteur administratif de Montpellier"
Le médecin plaide néanmoins la possibilité de réaliser une échographie sur l'enfant afin d'évaluer le risque d'appendicite. Il apprend alors qu'il n'est pas possible d'effectuer cet examen, à cette heure tardive. Poursuivant sa mission, l'urgentiste contacte alors l'hôpital de Purpan à Toulouse. La demande est refusée car "pas de place" et le patient dépend du "secteur administratif de Montpellier". "Le médecin a eu beau expliquer que Castelnaudary se trouve à 60 kilomètres de Toulouse, alors que nous sommes à près de 200 kilomètres de Montpellier, ils n'ont rien voulu savoir", commente Laëtitia Clerico.
Direction Toulouse
Deux heures du matin. L'urgentiste reçoit un appel du pédiatre de l'hôpital toulousain qui lui propose une "prise en charge en chirurgie pédiatrique" dans la clinique privée Sarrus Teinturiers à Toulouse, spécialisée en la matière. Sur le rapport de l'urgentiste que nous avons pu nous procurer, le docteur écrira en lettres capitales, suivies de trois points d'exclamations, le mot "merci!!!". Une ambulance transporte donc Matthias à Toulouse, qui est suivi en voiture par sa maman.
«Seulement une importante inflammation de l'intestin»
L'enfant est pris en charge par le médecin spécialiste et une infirmière indique à Laëtitia Clerico "qu'apparemment il n'y a pas d'urgence". Le médecin passera voir l'enfant et sa mère à 8 h alors que celle-ci "s'étonnera" que l'échographie ne soit réalisée "qu'à 10 h 30". À 17 h 30 le diagnostic d'une seconde échographie confirmera l'absence d'appendicite et "'seulement' une importante inflammation de l'intestin" relate la maman. Une chose est certaine, durant plus de 20 heures, Laëtitia Clerico a eu très peur.
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  • Du côté de l'hôpital de Carcassonne
Contacté lundi au sujet de son refus de pratiquer une échographie sur le patient, l'hôpital carcassonnais précise : "Quel que soit l'âge du patient, nous avons un service d'imagerie de garde, 24 h sur 24 et 7 jours sur 7, c'est une obligation". Et, si l'échographie n'a pas été acceptée à Carcassonne, ce serait d'une part "parce que l'hôpital de Castelnaudary avait la possibilité de la réaliser en appelant son radiologue d'astreinte (ce qui nous a été confirmé), évitant ainsi un déplacement inutile avec les risques inhérents" et d'autre part, "parce qu'en matière de suspicion d'appendicite, l'urgence est le bilan sanguin (ce qui a été fait par l'urgentiste chaurien) qui donne le diagnostic, et non l'échographie".

http://www.lindependant.fr/2014/10/28/hopital-vingt-heures-d-angoisse-avec-son-fils-age-de-3-ans,1948092.php

La buraliste de Peyriac braqué par un homme cagoulé

L'inquiétante série de braquages à main armée, notamment en milieu rural, initiée il y a quelques jours à Carcassonne et qui s'est poursuivie jusqu'à Villepinte a connu un nouvel épisode, hier, en fin de matinée à Peyriac-Minervois. Ce lundi à 11 h 45, Isabelle Cagninacci, qui tient le bureau de tabac situé sur la rue principale de Peyriac-Minervois, l'avenue Ferroul, a vu surgir dans son magasin, un homme cagoulé et armé d'un gros couteau de cuisine. Sous la menace elle s'est vue contrainte de lui remettre le contenu de la caisse qui contenait quelques centaines d'euros. L'agresseur, un homme qui paraissait jeune a aussitôt pris la fuite vers la boulangerie dans le vieux village avant de disparaître. La scène s'est jouée en quelques minutes mais des témoins ont malgré tout assisté au braquage, notamment son neveu et associé, bouleversé par ce qu'il venait de voir. Alertée par la victime, la gendarmerie de Peyriac s'est immédiatement rendue sur les lieux et a reçu le concours de la brigade de recherches et des techniciens en investigations criminelles. La gendarmerie a par ailleurs lancé un appel à témoins.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/28/1980394-buraliste-peyriac-braque-couteau-homme-cagoule.html

lundi 27 octobre 2014

Sud-Gironde : un automobiliste entre la vie et la mort

L'accident a eu lieu à un carrefour entre deux départementales : la D12 et la D110-E8. Pour une raison encore indéterminée, une Ford Fiesta circulant sur la D110-E8 n'a pas respecté un stop et a coupé la route à une Renault 21 qui arrivait à ce moment-là  sur la D12. Le choc a été d'une extrême violence.
Le conducteur de la Renault, seul à bord de son véhicule, a dû être désincarcéré par les pompiers. Il a ensuite été pris en charge par une équipe médicale et transporté par l'hélicoptère Dragon 33 au CHU de Bordeaux. Hier soir, son pronostic vital était engagé. 
Les occupants de la Ford Fiesta, un homme et une femme, ont été légèrement blessés et évacués à l'hôpital de Langon. 
On ignore pour l'heure l'identité des victimes. Une enquête de gendarmerie a été ouverte et confiée à la communauté de brigades de Bazas. Des dépistages d'alcoolémie ont été réalisés: celui effectué sur le conducteur de la Ford s'est avéré négatif. Les résultats de celui pratiqué sur le conducteur de la Renault ne sont pas encore connus

http://www.sudouest.fr/2014/10/27/bazadais-33-un-automobiliste-entre-la-vie-et-la-mort-1717475-2932.php

Accident sur la route de Suippes : la conductrice était ivre

Spectaculaire, la triple collision survenue samedi matin sur la RD 977, entre la ville préfecture et Suippes, aurait pu être dramatique. Par miracle, l’accident qui s’est produit un peu avant l’embranchement vers La Cheppe a causé trois blessés légers dont une fillette âgée de 9 ans.
Il n’est pas tout à fait 10 h 15 ce samedi quand la Seat rouge conduite par une automobiliste de 21 ans empiète sur la voie de circulation inverse. Elle percute violemment une Peugeot 206 blanche, conduite par un Suippa de 27 ans qui se dirigeait vers sa commune. Touché à l’avant gauche de sa voiture, l’automobiliste, surpris, est inévitablement projeté sur la Peugeot 307 grise qui le suit. Le conducteur de cette dernière, un Suippa de 39 ans, termine sa course sur le bas-côté de la départementale. À son bord, quatre occupants dont la fillette de 9 ans qui souffre de douleurs au cou. Elle est aussitôt conduite au centre hospitalier de Châlons-en-Champagne par les secours. Au total, quatorze sapeurs-pompiers sont mobilisés pour secourir les blessés. Une équipe est plus particulièrement occupée à désincarcérer la conductrice de la Seat, une militaire de Suippes, qui souffre de douleurs au dos.

Résultats du labo dans les jours à venir

Au moyen de prélèvements sanguins, l’enquête des gendarmes de la compagnie de Châlons-en-Champagne a révélé que la conductrice de la Seat, auteur de l’accident, s’avère positive au test d’alcoolémie. Les analyses n’ont pas encore été poussées au point de donner le taux précis de l’alcoolémie, à savoir si ce taux relève d’une contravention, c’est-à-dire compris entre 0,5 et 0,8 gramme d’alcool par litre de sang, ou s’il s’avère délictuel, soit supérieur à 0,8. Porté en laboratoire ce jour, le test devrait donner un résultat définitif et précis d’ici à trois jours.

http://www.lunion.presse.fr/region/accident-sur-la-route-de-suippes-la-conductrice-etait-ivre-ia3b24n429519

JURA. Saint-Claude : deux piétons renversés, l’un d’eux est grièvement blessé

Ce dimanche en tout début d’après-midi, un couple se promenait route de Chaumont, à la sortie de Saint-Claude, quand un véhicule qui descendait direction la ville les a percutés.
Le conducteur aurait été ébloui par le soleil. Les piétons ont été blessés : la dame légèrement mais son mari beaucoup plus grièvement. Son pronostic vital est engagé d’où l’intervention de l’hélicoptère suisse qui l’a transporté jusqu’à l’hôpital de Genève.

http://www.leprogres.fr/jura/2014/10/26/saint-claude-deux-pietons-renverses-l-un-d-eux-est-grievement-blesse

dimanche 26 octobre 2014

Nantes: Il prétend avoir été kidnappé et vole la rançon versée par sa petite amie

Le scénario rocambolesque a touché à sa fin. Ce vendredi, deux trentenaires ont été interpellés par la police après avoir imaginé une histoire digne d’un mauvais polar, rapportent ce dimanche Presse Océan et Ouest-France.

Un enlèvement inventé

Tout commence par une rencontre sur Internet entre une femme et un homme, qui entament une relation. Mais très vite, l’amant est touché par la malchance: pour son train qu’il rate, il demande d’abord à sa copine de lui envoyer 300 euros par mandat. Pire : il raconte ensuite s’être fait kidnapper alors qu’il buvait un café en ville. Pour sa libération, une rançon de 1.200 euros est demandée. L’amoureuse arrive à rassembler la moitié, qu’elle confie à un négociateur.
Le troisième rebondissement finit par mettre la puce à l’oreille de la jeune femme, relatent Presse Océan et Ouest-France. Car le négociateur, lui aussi, se fait enlever… et cette fois, il faudra verser 2.000 euros pour sauver tout le monde. La jeune femme porte plainte et passe la main aux policiers: une patrouille se présente à la remise de la rançon vendredi, interpelle et met en garde à vue les deux hommes, qui agissaient sous de faux noms. Ils seront jugés en avril pour escroquerie.
http://www.20minutes.fr/nantes/1468235-20141026-nantes-pretend-avoir-kidnappe-vole-rancon-versee-petite-amie

Champs Elysées : un policier fait usage de son arme

Changement d'horaire oblige, la nuit a été longue et le réveil difficile aux alentours des Champs Elysées. En quelques minutes ce dimanche matin, un homme a été roué de coups et des hommes qui pourraient être ses agresseurs ont été interpellés près de la célèbre avenue après qu'un policier a fait usage de son arme, selon les informations recueillies par Europe1.
Tout a commencé avec la violente agression, vers 6 heures et demi, d'un homme par plusieurs individus qui voulaient, selon les premiers éléments, lui dérober sa montre. La victime a été hospitalisée. Quelques minutes plus tard, à quelques centaines de mètres de là, une grosse berline allemande sans plaque d'immatriculation a forcé un contrôle de police. L'un des fonctionnaires a tiré une fois, sans faire de blessé. Cinq hommes, soupçonnés d'être les auteurs de l'agression, ont pu être interpellés.
 

Deux CRS blessés et deux militants interpellés

En marge du grand rassemblement des anti-barrage de Sivens, des heurts se sont produits hier en début de soirée, entre les forces de l'ordre et des opposants au barrage. Deux d'entre eux ont été interpellés pour des jets de pierres, de cocktail molotov ou de bouteilles d'acide sur les policiers et les gendarmes. Ils ont été placés en garde à vue. Du côté des forces de l'ordre, deux policiers CRS ont été hospitalisés, l'un pour une fracture de la main, le second pour une clavicule. Hier soir le site de Sivens, où de nombreux campeurs devaient passer la nuit, était sous haute protection avec en plus des gendarmes départementaux, des CRS et des gendarmes mobiles. Vers 21 heures, la tension entre les deux parties s'était un peu relâchée. Mais la nuit risquait d'être longue.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/26/1979548-deux-crs-blesses-et-deux-militants-interpelles.html

samedi 25 octobre 2014

Choc frontal entre 2 véhicules à Quessoy : 5 blessés dont 1 grave

Tôt ce matin, un choc frontal entre deux véhicules a fait cinq blessés dont un grav à Quessoy dans les Côtes d'Armor.
Ce matin aux alentours de 5h00, au lieu dit Les Bandes à Quessoy (22), deux véhicules se sont percutés frontalement faisant cinq blessés dont un grave. Tous ont été transférés au CHU de St Brieuc. Les causes de l'accident ne sont pas connues à cette heure.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/10/25/choc-frontal-entre-2-vehicules-quessoy-5-blesses-dont-1-grave-578062.html

La folle odysée de deux jeunes désœuvrés

Deux jeunes Cadurciens, auteurs de vols aggravés et d'incendies volontaires, au mois d'avril, ont été condamnés à de lourdes peines par le tribunal correctionnel
Ils s'approchent, penauds, à la barre du tribunal correctionnel. Hugo et Mickaël, deux jeunes Cadurciens de 21 et 23 ans, ont eu la main très lourde au mois d'avril dernier, avant d'être interpellés par les gendarmes de Saint-Géry, le 13 mai, alors qu'ils s'enfuyaient à bord de leur Renault Clio Rouge, après un cambriolage dans une maison d'Arcambal. Des vols de petits outillages, matériels multimédias, carburant, commis au préjudice de paisibles citoyens dans des maisons individuelles de Vers, Esclauzels, Saint-Pierre-Lafeuille et Villesèque. Des objets que les deux jeunes adultes s'empressaient de revendre dans des commerces d'achat rapide afin notamment de financer leurs besoins en shit… Est-ce cette consommation de drogue, ajoutée à de l'alcool et à l'oisiveté qui a conduit ces deux gamins a passé à un stade supérieur ? Les 10 et 14 avril, manifestement désœuvrés, les deux hommes ajouteront plusieurs incendies volontaires à leur funeste palmarès. Des poubelles à Saint-Paul de Loubressac, de bois à Laroque des Arcs et surtout l'embrasement, à l'Hospitalet, de près d'un millier de balles de paille et dans la foulée, sur la même commune de 600 balles de fourrage et d'un bâtiment agricole, qui avait déclenché un important dispositif de secours et une perte financière de plus de 300 000 € pour l'agriculteur en question : «Je regrette, je m'excuse auprès de chaque victime, j'éprouve beaucoup de remords», dira Mickaël à la barre. Un gamin à l'enfance chaotique, sans repère. Hugo exprimera la même chose. Son passé familial est sans tache, et pourtant, il est aussi passé à l'acte, terrassé par le divorce brutal de ses parents. Les deux ont expliqué rechercher un emploi, avec la volonté de s'en sortir. Pour Bérangère Lacan, substitut du procureur de la République, «il s'agit de faits graves qui ont entraîné des traumatismes pour les victimes. C'est une dérive inquiétante». Et la représentante du ministère public de demander, pour les deux hommes, la même peine : 24 mois de prison dont 10 mois assortis du sursis et d'une mise à l'épreuve de trois ans, avec obligations de soins et travail.
Les deux avocats de la défense, Mes Cabessut et Belou ont essayé de faire comprendre que leurs clients avaient tiré les leçons de leurs méfaits. Cela n'a pas suffi à leur éviter une peine lourde. Mickaël a écopé de 24 mois de prison dont 14 mois fermes et une mise à l'épreuve de trois ans. Hugo de 24 mois de prison dont 10 mois ferme. Mickaël ira en prison, loin de son fils chéri de 4 ans. Pas Hugo dont la peine ferme est aménageable. Les deux complices devront dédommager les victimes, se soigner et essayer de trouver un travail.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/25/1978864-la-folle-odysee-de-deux-jeunes-desoeuvres.html

Paris: L'homme retranché chez lui maîtrisé par les forces de l'ordre

Le forcené qui s'était retranché chez lui vendredi à Paris pendant quelques heures a été maîtrisé sans violence par les forces de l'ordre dans la soirée, a-t-on appris de sources policières. L'homme, qui n'était pas armé, était entouré de sa compagne qui, comme lui, se trouvait dans un état de «fragilité psychologique», selon l'une de ces sources.
Les deux ont été conduits à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. Un grand nombre de policiers avait été mobilisé pendant plusieurs heures et le quartier du nord de Paris avait été bouclé.

Pas d'otage

Le médecin psychologue traitant cet homme avait signalé à la police le cas de son patient qui, selon les premiers éléments, avait arrêté «brutalement son traitement» et qui pouvait «être potentiellement dangereux». La police avait constaté sur place que l'homme s'était en effet retranché chez lui, dans le nord de la ville. Un périmètre de sécurité avait aussitôt été mis en place. La brigade de recherche et d'intervention (BRI, «l'anti-gang») s'était rendue sur les lieux afin «d'engager le dialogue».

Connu pour avoir grièvement blessé une personne

L'homme est connu des services de police pour avoir grièvement blessé une personne il y a quelques années, selon cette même source policière. La brigade de recherche et d'intervention (BRI, «l'anti-gang») s'est rendue sur les lieux afin «d'engager le dialogue» avec cet homme ce qui était toujours en cours vers 19h, a précisé la même source
http://www.20minutes.fr/paris/1467887-20141024-faits-divers-homme-retranche-chez-paris-anti-gang-place

vendredi 24 octobre 2014

Gap: dix ans de prison requis contre une mère accusée d'infanticide

Ce bébé était un objet encombrant et il est mort seul au monde."a argumenté Inès Delay, l'avocat général, réclamant également à l'encontre de l'accusée cinq années de soins socio-judiciaires. Au cours des débats ouverts jeudi à Gap, la jeune mère a réitéré les aveux qu'elle avait formulés devant les enquêteurs après le drame. En larmes, elle a également relaté l'avortement gardé secret d'un premier enfant en 2003, et un accouchement sous X en 2008.

A la barre, témoins et experts ont souligné l'absence de "déficit intellectuel" de l'accusée, qui se savait enceinte, et évoqué un contexte familial "difficile", marqué par le décès d'une mère alcoolique. "Le déni de grossesse n'est que partiel. Il s'agissait pour elle de la dissimuler aux autres", a développé un expert à la barre.

Déni de grossesse et dénouement tragique

L'entourage de Coralie, 28 ans, n'apprendra sa grossesse que dans la nuit du 11 au 12 février 2012, lorsque son employeur découvrira la jeune femme affairée à nettoyer le sol de l'établissement, imbibé de sang. Elle était "livide et très calme", a précisé la gérante à la barre.
Ce soir-là, Coralie, accouche seule dans l'hôtel-restaurant de Puy-Saint-Vincent où elle travaille. Elle coupe elle-même le cordon ombilical, puis étouffe de sa main l'enfant avant d'errer à l'extérieur par -16°c et de le jeter froidement dans un ravin enneigé situé à proximité. Transportée à l'hôpital de Briançon à la suite de complications médicales, la trentenaire confie son acte au personnel de l'établissement et indique aux gendarmes où se trouve la dépouille de son bébé. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/10/24/gap-dix-ans-de-prison-requis-contre-une-mere-accusee-d-infanticide-577692.html

Cognac : quatre squelettes de trois adultes et un enfant découverts dans le jardin

Dimanche dernier, une petite famille cognaçaise de la rue de la Providence s'est lancée dans des travaux de jardinage, sous le soleil. En cassant une dalle vieille de quinze ans, le propriétaire est tombé sur des ossements qu'il a d'abord pris soin d'entasser dans un coin. C'est lorsqu'il a découvert un crâne et une dent qu'il a alerté le commissariat de police.
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« Si notre jardin est vraiment au-dessus d'un cimetière, à l'avenir, on se limitera à planter des tulipes »
Pour des questions de moyens techniques et scientifiques, la gendarmerie a été saisie de l'affaire et s'est rendue hier matin au domicile des Cognaçais. Au total, quatre squelettes, de trois adultes et un enfant, auraient été déterrés. Les ossements ont été prélevés et envoyés pour datation à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) de Pontoise. Ceux-ci seraient anciens. « L'espace d'un instant, nous avons pensé avoir trouvé les disparus de Boutiers, souffle la propriétaire des lieux. Mais les os seraient beaucoup plus vieux. »

Trois semaines d'attente

La maison se trouve à proximité de l'église Saint-Martin. Tout autour, sur deux hectares, s'étendait un cimetière mérovingien. Difficile de ne pas faire un lien même si, à l'heure actuelle, rien ne permet de le confirmer. « Si notre jardin est vraiment au-dessus d'un cimetière, à l'avenir, on se limitera à planter des tulipes », ajoute la mère de famille. L'âge des ossements ne sera pas déterminé avant trois semaines.

http://www.sudouest.fr/2014/10/24/une-macabre-decouverte-1714277-882.php

Isère: Un groupe d'enfants en promenade aux Avenières touchés par des tirs de plomb

Un enfant de 4 ans et un accompagnateur stagiaire de 16 ans, qui encadrait le groupe d’enfants en promenade ont été blessés par des plombs lors d'une sortie effectuée dans le cadre des activités du centre social de la commune des Avenières (Isère), indique France 3 Rhône-Alpes sur son site Internet.

Des tirs de chasseurs?

Le groupe d'enfant a essuyé des tirs provenant probablement de chasseurs. L’enfant a été touché sans gravité derrière la tête et l’accompagnateur, lui a été blessé au niveau de l’épaule, de l’avant-bras et du ventre

http://www.20minutes.fr/societe/1467239-20141023-isere-groupe-enfants-promenade-avenieres-touches-tirs-plomb

jeudi 23 octobre 2014

Noyade à Anglet : la fillette de 15 mois retrouvée dans une piscine va mieux

Les jours de la fillette de 15 mois qui avait été retrouvée mardi après-midi dans une piscine privée ne sont plus en danger

Retrouvée mardi vers 15h30, la victime avait pu être ranimée par le Samu, alors qu'elle se trouvait au stade 3 de la noyade. La fillette de 15 mois va mieux et ses jours ne sont plus en danger. Il est en revanche trop tôt pour déterminer si l'enfant gardera des séquelles de l'accident.
http://www.sudouest.fr/2014/10/23/noyade-a-anglet-la-fillette-de-15-mois-retrouvee-dans-une-piscine-va-mieux-1713714-4018.php

Loire-Atlantique : des organes humains retrouvés dans le frigo des policiers

Au milieu des yaourts et du fromage, des morceaux de corps humain... C'est la trouvaille morbide qui a été faite vendredi dans un commissariat de Rezé (Loire-Atlantique). Les organes se trouvaient dans un sac en plastique déposé dans le frigo de la salle de repos des policiers.

"Une histoire regrettable"

Il s'agirait en fait de prélèvements destinés à un laboratoire d'analyses pour une autopsie, qu'un employé distrait ou négligent aurait déposé dans le frigo en attendant. "Ce sac aurait dû être placé dans un frigo du service local de police technique au commissariat central de Nantes",  explique Jean-Christophe Bertrand, le directeur départemental de la sécurité publique, au journal Ouest-France. Il estime toutefois qu'il n'y a rien de "gravissime" : "C'est une histoire regrettable, un manque de discernement. On va rappeler la procédure aux fonctionnaires

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/23/1977962-organes-humains-retrouves-frigo-salle-repos-policiers.html

Puy-Saint-Vincent: accusée d’avoir tué son nouveau-né

« Elle est plus à plaindre qu’à blâmer. » L’ancien maire de Puy-Saint-Vincent, Marcel Chaud, est encore sous l’émotion, quand il s’agit de parler de cette “enfant du pays”, laquelle doit comparaître devant la cour d’assises des Hautes-Alpes à partir d’aujourd’hui.
 Elle est soupçonnée d’avoir tué son nouveau-né après avoir accouché seule dans un hôtel-restaurant de la commune, son lieu de travail, en février 2012. Une affaire, à l’époque, qui avait localement « choqué » l’opinion. Mais aujourd’hui les habitants de Puy-Saint-Vincent semblent envelopper la jeune femme de 31 ans d’une certaine bienveillance.


http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2014/10/23/puy-saint-vincent

mercredi 22 octobre 2014

Anesthésiste/Orthez: licenciée en 2013 en Belgique

L'anesthésiste belge Helga Wauters, placée en détention provisoire en France après le décès d'une patiente à la maternité d'Orthez (sud-ouest) fin septembre et qui a admis avoir bu le soir du drame, avait été licenciée d'un hôpital en Belgique début 2013, a annnoncé aujourd'hui son ancien établissement.

Helga Wauters, 45 ans, a été recrutée en décembre 2012 par le Centre Hospitalier Régional (CHR) de Soignies (centre de la Belgique), a précisé la chargée de communication de l'hôpital, Lyse Jadoulle.

"Pendant les deux mois et demi où elle a travaillé chez nous, il n'y a eu aucune plainte sur son comportement et son travail n'a jamais posé problème", a souligné la chargée de communication.
"Mais, après une garde en février 2013, un médecin a jugé qu'elle avait l'air distraite, qu'elle n'allait pas très bien ou même qu'elle présentait une sorte de mal-être. Il s'en est ouvert au directeur général qui a décidé de la convoquer".

Wauters ne s'est toutefois "pas présentée à cette convocation" et la direction du CHR "a décidé de la licencier", a expliqué Mme Jadoulle. "On ne sait pas si elle buvait, on ne s'en doutait pas, mais nous ne pouvions pas nous permettre d'avoir une personne à un poste à responsabilités qui n'était pas bien", a-t-elle ajouté.
Licenciée pour "comportement paradoxal", l'anesthésiste n'a pas contesté la mesure, selon l'hôpital.

En France, Helga Wauters a reconnu devant les enquêteurs "avoir bu" le 26 septembre, soir où elle avait la charge d'une parturiente de 28 ans souhaitant accoucher à Orthez, où l'anesthésiste venait d'être recrutée.

Wauters lui prodigue une péridurale avant de sortir boire "un verre de rosé" chez des amis. Mais l'accouchement se passe mal et une césarienne devient nécessaire. Rappelée, l'anesthésiste sent l'alcool à son retour à l'hôpital et son comportement et son élocution paraissent étranges à ses collègues.

La situation tourne au drame : au lieu de se servir du respirateur du bloc opératoire, l'anesthésiste utilise un ballon manuel pour ventiler sa patiente et elle intube les voies digestives au lieu des voies respiratoires. En arrêt cardiaque, la jeune femme sera transférée à l'hôpital de Pau, où elle mourra le 30 septembre. Son bébé est sain et sauf.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/22/97001-20141022FILWWW00325-anesthesisteorthez-licenciee-en-2013-en-belgique.php

Poitiers le forcené retranché dans un hôtel a été interpellé

Un homme était retranché depuis le début d'après-midi dans l'hôtel Continental situé face à la gare dans le centre-ville de Poitiers. Il a été interpellé par les forces de l'ordre. L'homme n'était pas armé contrairement à ce qu'il semblait affirmer.
Après son arrestation, le forcené dont on ignore encore les motivations a été pris en charge par une équipe médicale du SAMU et évacué en ambulance

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/10/22/poitiers-le-forcene-retranche-dans-un-hotel-ete-interpelle-576506.html

Bordeaux : il vole une septuagénaire et se fait dénoncer par sa petite amie

Lundi, la brigade anticriminalité intervenait à Bordeaux à la demande d'une jeune femme qui venait de subir les violences de son compagnon. Lorsqu'ils sont arrivés, elle leur a remis un sac rempli de bijoux en précisant que son compagnon « est un voleur ». Les policiers ont fait le rapprochement avec un vol avec violence commis samedi dernier rue Turenne, au domicile d'une septuagénaire, sur lequel la brigade de répression des atteintes aux personnes avait ouvert une enquête.
 
Au départ, la personne âgée, qui venait de faire des courses, a reçu l'aide de deux jeunes gens qui ont porté ses paniers jusqu'à sa porte. Plus tard, l'un d'eux est revenu, prétextant avoir besoin de téléphoner. La septuagénaire a ouvert sans inquiétude. Ensuite, l'homme l'a obligée, sous la menace, à le conduire à l'endroit où se trouvaient ses bijoux. Elle l'a emmené dans sa chambre. Là, l'individu s'est emparé des bijoux et des papiers d'identité de sa victime. Puis il s'en est pris physiquement à elle, la menaçant de viol. La septuagénaire n'a pas perdu son sang-froid et a trouvé les arguments pour inciter son agresseur à quitter les lieux. Ce à quoi il a finalement consenti, emportant son butin. Celui qui a été remis aux policiers par son amie qu'il venait de frapper.
Il doit être présenté au parquet ce matin en vue d'un jugement en comparution immédiate cet après-midi.
http://www.sudouest.fr/2014/10/22/denonce-par-son-amie-1711987-2780.php

Oise : non-lieu confirmé pour le gendarme ayant tué un jeune à un barrage

Le qui était poursuivi pour avoir tué par balle un jeune homme de 20 ans à un barrage routier en 2008 dans l'Oise, a vu son non-lieu confirmé mardi par la . Il avait tiré six coups de feu en direction d'une Mégane qui, à deux reprises, avait tenté de le percuter pour prendre la fuite afin d'échapper à un barrage de la gendarmerie intervenant sur un accident. Les faits remontent au 28 novembre 2008 à Gouvieux (Oise).

L'un des trois occupants du véhicule,
Naguib Toubache, 20 ans, avait été touché et avait succombé à ses blessures. La voiture, volée et faussement immatriculée, avait été prise en chasse par une patrouille de gendarmes après un vol de carburant et un cambriolage. Les juges d'instruction de Senlis en charge du dossier avaient renvoyé le gendarme devant le tribunal correctionnel pour homicide involontaire. Mais le parquet général, estimant que le gendarme avait fait usage de son arme par absolue nécessité, avait fait appel.

Le 2 juillet 2013,
la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Amiens a prononcé un non-lieu. La famille de Naguib Toubache avait formé un pourvoi en cassation contre cette décision. Il a été rejeté mardi, selon un arrêt consulté par l'AFP. Le non-lieu devient donc définitif pour la justice française.

Pour écarter la responsabilité pénale du gendarme, la chambre de l'instruction avait retenu notamment que
le conducteur de la voiture n'avait pas obtempéré aux sommations de s'arrêter. Et que le gendarme avait dû s'esquiver deux fois pour ne pas être percuté et pouvait légitimement conclure qu'il n'y avait pas d'autre moyen pour immobiliser le véhicule que de faire usage de son arme, rappelle la Cour de cassation. Celle-ci a estimé que l'usage de son arme par le gendarme était «absolument nécessaire» en l'espèce.

Les
deux autres occupants du véhicule (le conducteur et un passager) soupçonnés d'avoir laissé Naguib Toubache, grièvement blessé au dos, devant une caserne de sapeurs-pompiers, où il était décédé, avaient été condamnés à de la prison ferme en septembre 2012.
http://www.leparisien.fr/oise-60/oise-non-lieu-confirme-pour-le-gendarme-ayant-tue-un-jeune-a-un-barrage-21-10-2014-4230909.php

mardi 21 octobre 2014

Une cavalière de 18 ans fait une chute mortelle

Samedi, un tragique accident de c
http://www.lunion.presse.fr/france-monde/une-cavaliere-de-18-ans-fait-une-chute-mortelle-ia0b0n426763
heval a coûté la vie à Marine, une jeune femme de 18 ans. Alors qu'elle était en train de faire une promenade entre la Neuville-lès-Lœuilly dans le sud d'Amiens, son cheval s'est subitement emballé et s'est mis à galoper. Marine a fait une chute. Après avoir été transportée à l'hôpital, elle est morte dans la soirée. 
Selon les premiers éléments de l'enquête relatés par nos confrères du Courrier Picard, le cheval se serait emballé à cause du bruit provoqué par des engins à moteur. 
Sur facebook, une page a été créer pour lui rendre homme. Intitulée "Hommage a Marine de Super kuky & Marine", elle regroupe à ce jour plus de 11 000 personnes. 
Passionnée de cheval et d'équitation, Marine avait passé postulé pour devenir écogarde sur la Coulée verte où ell est malencontreusement décédée.

Chute mortelle pour Lucie

Ce tragique fait divers n'est pas sans rappeler celui de Lucie. Il y a un an, cette adolescente de 14 ans chutait de son cheval. C’est une dame qui, voyant revenir le cheval dans le bourg sans sa jeune cavalière, avait donné l’alerte peu après 19h30. Dépêchés sur place, les secours ont fini par la retrouver non loin de son domicile de la Grande rue, gisant au sol. 
Lucie souffrait d'un œdème cérébral et se trouvait dans le coma après sa chute. Elle était déclarée morte une semaine plus tard. 
http://www.lunion.presse.fr/france-monde/une-cavaliere-de-18-ans-fait-une-chute-mortelle-ia0b0n426763

SNCF : le trafic TGV entre le Sud-Ouest et Paris fortement perturbé

Les passagers qui ont pris place ce matin dans un TGV assurant la liaison Paris-Bordeaux et Bordeaux-Paris, vont devoir prendre leur mal en patience. Idem pour ceux qui ralliaient la capitale depuis La Rochelle ou se rendaient en Charente-Maritime depuis Paris.
 
À 8h10, une personne a été heurtée par un train en gare de Poitiers. Elle n'a pas survécu. Le TGV 8404 était parti de Bordeaux à 6h18 et se dirigeait vers Montparnasse.
La circulation a été interrompue dans les gares et sur les voies, dans les deux sens, le temps de procéder aux diverses constatations médico-légales.
Suite à cet accident, les TGV accusaient, au départ ou à l'arrivée, un retard pouvant aller jusqu'à deux heures pour les trains bloqués depuis le départ. Le trafic devait reprendre progressivement à partir de 10h30. 

http://www.sudouest.fr/2014/10/21/trafic-sncf-une-personne-heurtee-a-poitiers-la-ligne-bordeaux-paris-perturbee-1711533-7.php

Un piéton renversé sur l'A35 à hauteur de Blaesheim

Un homme âgé d'une cinquantaine d'années a été percuté par une voiture, ce mardi vers 9h30, sur l'autoroute A35 à hauteur de Blaesheim. Il est grièvement blessé.
Le quinquagénaire circulait à bord d'une voiture sur l'autoroute A35, dans le sens Colmar-Strasbourg. Pour une raison qui reste à déterminer, il se serait arrêté sur la chaussée et serait sorti de son véhicule. Le piéton a été percuté par une voiture alors qu'il se trouvait sur la voie de droite.
L'homme a été pris en charge par les médecins du Samu et du Smur 67, en présence des sapeurs-pompiers. Grièvement blessé, il a été évacué par l'hélicoptère de la sécurité civile du Bas-Rhin Dragon 67 en direction du CHU de Strasbourg-Hautepierre.
Deux des trois voies de circulation ont été momentanément neutralisées, ce qui a généré plusieurs kilomètres de ralentissements.
Les policiers de la CRS autoroutière de Strasbourg ont ouvert une enquête.
http://www.dna.fr/actualite/2014/10/21/un-pieton-renverse-sur-l-a35-a-hauteur-de-blaesheim

Une cueilleuse de champignons victime de vandalisme

Pour trois champignons ramassés, elle trouve la facture un peu salée. Une cueilleuse de cèpes qui a ses habitudes dans les bois de Cutxan, un hameau rattaché à la commune de Cazaubon, raconte sa mésaventure du week-end : «Dimanche après-midi alors que nous nous promenions dans les bois juste avant le village de Cutxan pour cueillir quelques champignons, nous avons eu la désagréable surprise de retrouver notre voiture avec les deux pneus droits transpercés avec une lame de couteau. Il y a plus de trente ans que nous allons dans ces mêmes bois, aucune pancarte n'indique d'interdiction. Nous n'avons jamais eu de problème jusqu'ici. Nous étions garés correctement. Nous avons porté plainte auprès des gendarmes. Il faut savoir que le vandalisme est puni par la loi. Mais au-delà de tout le dérangement, le stress, le temps perdu et l'argent que ceci va coûter, il est déplorable de penser qu'il existe chez nous des gens assez bêtes et méchants pour crever les pneus de la seule voiture garée au bord d'une route, près de chez eux peut-être, et mettre dans le plus grand embarras des personnes honnêtes et sans histoires.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/21/1976413-une-cueilleuse-de-champignons-victime-de-vandalisme.html

LYON 9E. Chute d’un immeuble à la Duchère : la sœur écrouée

La jeune Nigériane soupçonnée d’avoir poussé son frère par la fenêtre vendredi matin, a été écrouée à la suite de sa présentation au parquet dimanche. Elle a déclaré aux enquêteurs de la Sûreté qu’elle s’était disputée avec son frère parce qu’elle voulait le dénoncer à la police.
Ancienne prostituée, elle l’avait enfermé dans une pièce et c’est en voulant s’enfuir, a-t-elle déclaré, qu’il avait chuté par la fenêtre.
La victime âgée de 30 ans a tenu un autre discours aux enquêteurs venus l’entendre à l’hôpital. Il a déclaré que sa sœur qui l’hébergeait l’avait fait basculer dans le vide.
Il avait réussi à s’agripper au rebord de fenêtre mais elle lui avait tapé sur les doigts pour qu’il lâche prise, une version corroborée par des témoins.
Le frère a fait une demande d’asile et est en attente de décision.
Vendredi, il avait chuté du deuxième étage d’un immeuble de la Sauvegarde à la Duchère et avait atterri sur le dos (ITT supérieure à trente jours).
L’enquête se poursuit dans le cadre d’une information judiciaire.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/10/21/chute-d-un-immeuble-a-la-duchere-la-soeur-ecrouee

lundi 20 octobre 2014

Pont-sur-Sambre : une femme meurt d'une chute dans les escaliers, son mari mis en examen

Les faits ont eu lieu ce samedi vers 4h du matin. Les pompiers sont appelés au domicile d'un couple de Pont-sur-Sambre. Là, ils découvrent le corps sans vie d'une femme âgée de 60 ans dans les escaliers de la maison. Rapidement, le médecin légiste indique que "le décès était vraisemblablement la conséquence d'une hémorragie intracrânienne sans doute consécutive à une chute dans les escaliers." 

C'est l'époux de la victime, qui a prévenu les secours. Fortement alcoolisé, il a selon le Parquet de Valenciennes livré "successivement des versions différentes et contradictoires sur les circonstances dans lesquelles il avait découvert  le corps inanimé de son épouse, et allant jusqu’à déclarer aux fonctionnaires de police qu’il l’avait lui-même poussée dans les escaliers." 

"Non moi j’fais rien du tout.. Appelez la police, j’en ai rien à foutre moi"

Plusieurs témoins entendus ont dénoncé l'alcoolisme et la violence du mari. Sa femme, Chantal D., a été vue il y a deux ou trois semaines avec un hématome à l'œil. Pendant sa garde à vue, le mari a pourtant nié toute implication dans le décès de son épouse. Il a expliqué être rentré à son domicile vers 21h, après avoir bu quelques bières avec un collègue. Il dit s'être disputé avec sa femme, également fortement alcoolisée. Vers 21h15, il dit avoir pris un médicament pour dormir et bu plusieurs whisky, avant de s’endormir sur la table de la cuisine. Il dit s'être ensuite réveillé vers 4h et avoir découvert le corps inanimé de son épouse. Il a affirmé avoir fait 6 à 7 massages cardiaques.

Mais selon le Parquet de Valenciennes, des incohérences dans la version des faits du mis en cause étaient relevées par rapport aux constatations médico-légales. L'enquête va aussi permettre de déterminer qu'il a refusé de faire un massage cardiaque à son épouse : “Non moi j’fais rien du tout.. Appelez la police, j’en ai rien à foutre moi ”, entend-on dans l'enregistrement de son appel aux pompiers.

L'homme a été mis en examen par un juge d'instruction pour les faits de coups mortels aggravés, non assistance à personne en péril et violences habituelles sur conjoint. Il a été placé en détention provisoire. Une autopsie du corps de son épouse sera réalisée ce mardi.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/10/20/pont-sur-sambre-une-femme-meurt-d-une-chute-dans-les-escaliers-son-mari-mis-en-examen-575010.html

Accident mortel sur l'A64 : un conducteur toulousain de 18 ans mis en examen

Le Toulousain de 18 ans qui conduisait la bétaillère qui a été percutée par le bus, tôt samedi sur l'autoroute Toulouse-Tarbes a été mis en examen hier pour «homicide involontaire».
Lors de cet accident, un homme de 36 ans présent à l'avant du car a été tué et neuf autres personnes blessées. Le conducteur de la bétaillère a été placé sous contrôle judiciaire et le magistrat instructeur lui a interdit de conduire. «On lui reproche la défaillance d'un feu arrière qui reste à prouver et une vitesse trop lente», explique son avocat, Me Éric Monton. «Feu défaillant ou pas, le conducteur du car devait être maître de son véhicule. Logiquement lui aussi doit être mis en examen», estime l'avocat toulousain dont le client se rendait à Lourdes, comme les passagers du car, pour animer un manège avec ses poneys.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/20/1975670-conducteur-toulousain-18-mis-examen-apres-accident-mortel.html

L'appel déchirant d'une mère : «Rendez-moi mes deux filles»

Une maisonnette dans un lotissement anonyme de la périphérie tarbaise. Dans le jardin, un tricycle et un petit vélo immobiles. Au salon, des jouets muets. Plein de rose, mais sans petites filles pour y inventer des contes de fée. Assise sur le canapé, Sandrine (1), 34 ans, les traits tirés par une nuit blanche, s'occupe de son bébé. «Il est né le 1er octobre. Son père était très fier, c'était notre premier garçon. Mais il a profité que j'étais à l'hôpital pour m'abandonner et partir avec nos deux filles au Maroc. Il voulait rejoindre ensuite la Syrie via la Turquie…», résume-t-elle.
Regard clair, coupe de cheveux soignée, aucun signe religieux ostentatoire, ni sur elle ni dans la maison… L'islam, elle avait accepté de s'y convertir, pour lui. Mais elle, elle n'a jamais basculé. «Lui, par contre, je l'ai vu se radicaliser et malgré mes efforts, mes mises en garde, je n'ai rien pu faire», constate-t-elle.
L'histoire de Sandrine et Malik ? C'est en Espagne qu'elle rencontre ce jeune chauffeur routier marocain, il y a cinq ans. «Il était très agréable, très souriant et il avait un très bon contact avec tout le monde». Elle est amoureuse lorsqu'elle se marie avec lui, en 2010 et qu'ils s'installent dans les Hautes-Pyrénées. 2010, l'année de naissance de leur première fille à Tarbes, le 1er novembre. Suivie un an et demi plus tard d'une petite sœur. «Nos trois enfants, on les a désirés», souligne Sandrine.
«Ma conversion à l'islam ? Il m'en a parlé dès le début et ça me posait problème. Je ne voulais pas mettre le voile et j'avais peur qu'il change de caractère. J'avais raison, ça a fini par arriver», enchaîne-t-elle. Elle n'en a pas moins fait ce pas vers lui. Elle a commencé à s'instruire à la mosquée de sa propre initiative, «le seul endroit où je mettais le voile», précise-t-elle.
«Mais quand j'ai commencé à me convertir, lui est devenu plus dur, plus agressif, plus violent. Pour lui, ma conversion n'allait pas assez vite ni assez loin, il voulait me forcer à mettre le voile». Lorsqu'elle a parlé de ses exigences autoritaires à la mosquée, on l'a mise en garde. Le cheminement vers la foi est individuel. Il n'avait aucun droit de lui imposer quoi que ce soit. Elle a commencé à avoir des doutes sur ce que devenait son mari.
«C'est vers l'été 2013 qu'il a vraiment changé», reprend-elle. Changement remarqué aussi, du côté de la mosquée. «Avant, c'était un garçon sympa, rieur, il participait, donnait un coup de main en cuisine pour le ramadan, faisait du bénévolat, puis il est de moins en moins venu et cette année, pour le ramadan en juillet, il n'y était pas», précise quelqu'un qui le connaissait, consterné. De fait, la «haine des mécréants» s'est installée. «De tout le monde, y compris des musulmans qui ne pratiquaient pas comme lui», précise Sandrine.
Lorsqu'ils sont partis en octobre 2013 avec leurs deux filles au Maroc, chez les beaux-parents… «Il m'a imposé de me couvrir entièrement, chaussettes comprises pour les pieds. Dès qu'on croisait une femme totalement voilée, il disait «elle est trop belle !». Même sa famille lui disait de se calmer, qu'il allait trop loin». Ils y restent six semaines. Premier sérieux avertissement…
«En fait, il m'a alors dit qu'il voulait qu'on vende tout, qu'on s'installe chez ses parents et que de là, lui partirait en Syrie parce que c'était son devoir de défendre ses frères. Il s'est laissé pousser la barbe, s'est mis à porter le sarouel.»
Au retour ? Il y a le rappel à l'ordre de l'école, quant à la scolarisation obligatoire de l'aînée. Et Sandrine qui essaye de reprendre la main. «Mais tous les jours, il restait sur facebook jusqu'à trois heures du matin, c'est là qu'ils doivent les endoctriner, les recruter. Sa haine devenait globale, pour tout il était très énervé, tout le temps, parfois violent. Il était là mais il n'était plus présent. Il verrouillait son portable avec des codes secrets. Je lui ai rappelé que son premier devoir était de s'occuper de ses enfants en bas âge, mais il s'en fichait. En juillet, on a déménagé. Il m'a dit qu'il faisait des intérims, qu'il avait une promesse d'embauche. J'étais enceinte. Il disait alors reculer jusqu'après septembre le travail pour pouvoir rester avec moi, m'aider. Mais il ne faisait rien à la maison. En fait il mentait sur tout, tout le temps».
Ordinateur, téléphone portable, il ne déconnecte plus. Et Sandrine repère qu'une femme fait désormais partie des échanges. «Il négociait sans doute déjà son mariage coutumier pour partir en Syrie vers sa nouvelle vie», analyse-t-elle aujourd'hui.
«Le 1er octobre, j'ai donc accouché. Il était très heureux. Un fils ! Mais aussi l'occasion qu'il attendait. Il m'a dit qu'il devait aller au Maroc récupérer des papiers pour être naturalisé, mais aussi que sa mère était mourante et qu'il partirait avec les filles parce qu'elle voulait les voir. J'étais à l'hôpital avec le petit, je ne pouvais rien faire. Je l'ai juste prévenu que si au bout de dix jours il n'était pas rentré, j'alerterais les autorités».
Tous les jours, il l'a appelée. «Trop, même, ça en devenait suspect alors que d'habitude, il n'en avait rien à faire de me donner des nouvelles». Et puis l'échéance imposée du retour arrivant, il lui a expliqué que leur fourgonnette était tombée en panne… Mais ses explications n'étaient pas claires, il se contredisait. Elle a haussé le ton. Il a promis que tout était réparé, qu'il partirait le jeudi. Il était visiblement surveillé et sur écoute. Le mercredi après-midi, il était arrêté à l'aéroport.
Lorsque cette nuit-là, elle a eu sa belle-mère en larmes au téléphone, l'accusant avec ses rares mots de français d'avoir appelé la police «alors que son fils, il n'avait rien fait», elle n'a «rien compris». Elle le croyait déjà prêt pour le retour en France. «Il m'avait dit «je demande à ma mère de faire les valises»». C'est le lendemain, lorsqu'elle a eu l'appel d'un journaliste marocain qu'elle a réalisé. «Heureusement que la police marocaine l'a arrêté, sans elle, je ne revoyais plus jamais mes filles. Qu'est-ce qu'il aurait fait d'elles là-bas, en Syrie ?», lâche-t-elle.
Seulement voilà, «encore une fois il a dû mentir en disant que lui, le père, avait autorité sur nos enfants». Les deux petites Françaises ont été confiées au grand-père paternel, ancien gendarme, papier officiel à la clé. «Sans doute ont-ils cru bien faire, mais c'est le Consulat qui aurait dû les récupérer pour que je vienne les chercher», précise Sandrine, catastrophée, soupçonnant désormais la belle famille de vouloir faire des enfants un enjeu pour qu'elle témoigne en faveur de leur fils, «alors qu'il doit assumer». Et qu'il y a surtout urgence pour elles, à ce qu'elles rentrent en France.
«Aucune des deux ne parle arabe. La petite a de graves problèmes de santé, elle souffre d'un retard de croissance à tous les niveaux, elle ne parle pas, elle est suivie par des spécialistes. Elle souffre d'allergies et je suis sûre qu'ils ne lui donnent pas son traitement. Elle a un problème cardiaque, aussi et doit voir bientôt le cardiologue à Toulouse. Je sais qu'elle ne fait que pleurer car elle ne peut pas communiquer autrement. Là-bas, les grands-parents ne se rendent vraiment pas compte de ce qu'elle a», s'inquiète Sandrine. L'aînée ? «Elle est aussi perturbée, elle manque l'école». Le 1er novembre, elle aura 4 ans. L'éventuelle perspective de cet anniversaire sans ses deux filles, c'est la goutte de trop pour Sandrine.
(1) Par soucis d'anonymat et dé sécurité, tous les prénoms ont été changés.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/20/1975623-appel-dechirant-mere-rendez-deux-filles.html

dimanche 19 octobre 2014

RTL gerra

L'histoire s'est bien terminée mais elle aura provoqué une belle panique. Samedi matin, une mère de famille a malencontreusement oublié sa fille de 10 ans sur une aire de l'autoroute A7, près de Cavaillon (Vaucluse). Les gendarmes, prévenus par des témoins, se sont rapidement occupé de l'enfant. De son côté, la maman de l'enfant ne s'est rendu compte de son erreur qu'une centaine de kilomètres plus tard

 
Il était environ 8h30, raconte La Provence, lorsque l'adulte effectue une pause pour se rendre aux toilettes. De retour à son véhicule, elle pense alors que sa fille dort toujours aux côtés de son frère sur la banquette arrière. Mais l'enfant s'était elle aussi rendue aux toilettes sans prévenir sa mère. A son arrivée près de Bandol (Var), l'automobiliste s'est aperçue de l'absence de sa fille et a prévenu les autorités qui gardaient l'enfant depuis une borne d'urgence. La mère et la fille se sont finalement retrouvées en fin de matinée. 
 

Cahors : un mort dans l'incendie d'une habitation

L'incendie s'est déclaré vers 20 heures samedi. Les pompiers ont découvert dans les décombres le corps d'un homme d'une cinquantaine d'années.
Les pompiers ont découvert le corps d'un homme d'une cinquantaine d'années, dans une maison située rue des Ramonets à Cahors.
Selon les premiers éléments, l'incendie serait la conséquence d'une explosion au gaz. La police chargée de l'enquête n'écarte pas la thèse du suicide.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/10/19/un-mort-dans-l-incendie-d-une-habitation-574436.html

Le premier adjoint de Bobigny poursuivi pour violences contre une élue

Le premier adjoint au maire UDI de Bobigny en Seine-Saint-Denis est convoqué devant la justice pour répondre de "violences en réunion" après un "interrogatoire particulièrement agressif" d'une élue.
"J'ai toute confiance dans l'impartialité et l'objectivité de la justice", a estimé dans un communiqué Christian Bartholmé, qui comparaîtra le 16 décembre devant le tribunal de grande instance de Bobigny. Il est soupçonné, avec trois agents de la ville, d'avoir mené le 8 juillet un entretien musclé avec une élue, alors adjointe à la petite enfance, pour savoir si elle avait diffusé un tract mettant en cause la municipalité. Les quatre hommes sont accusés de l'avoir retenue pendant plus d'une heure et demi dans un bureau fermé et d'avoir employé un "ton menaçant", évoquant même des "mesures de rétorsions professionnelles" contre son compagnon, selon la convocation.

L'élue avait porté plainte en juillet pour "menaces de mort" et "séquestration". L'hebdomadaire Marianne avait diffusé cet été sur son site des extraits de la conversation enregistrés par la plaignante à l'insu de ses interlocuteurs. Christian Bartholmé, par ailleurs collaborateur du cabinet de Jean-Christophe Lagarde (UDI), député-maire de la commune voisine de Drancy, a précisé avoir porté plainte contre l'hebdomadaire pour diffamation.
Rumeur d'embauche de l'épouse de Youssouf Fofana
L'affaire avait débuté en juin, peu après l'élection du nouveau maire centriste Stéphane De Paoli. Un tract anonyme avait accusé la mairie d'avoir recruté une jeune femme condamnée à un mois de prison ferme pour violences, et par ailleurs épouse d'un membre du "gang des barbares", actuellement incarcéré pour son implication aux côtés de Youssouf Fofana dans la mort du jeune juif Ilan Halimi.

"La Justice fera la pleine lumière sur les faits particulièrement infamants dont la municipalité est la cible depuis plusieurs mois, (...) ayant pour but de provoquer les divisions au sein même de la population et d'appeler à la haine entre communautés de notre ville", a ajouté M. Bartholmé dans son communiqué.
 

HAUTE-LOIRE. L’octogénaire refuse la priorité au couple de motards sur la RD103

Une collision est survenue samedi après-midi sur la RD103 entre une Citroën « C4 » et une moto.
Il était 14 h 45 au carrefour entre la départementale et le lieu-dit « Bernard », lorsque le deux-roues est venu percuter la voiture, conduite par un homme de 88 ans. Selon toute vraisemblance, l’octogénaire a grillé la priorité à la moto, qui circulait sur la RD103, en s’engageant sur la voie. Les deux motards, une femme de 30 ans et un homme de 28 ans, souffraient de blessures légères. Secourus par les sapeurs-pompiers, ils ont été transportés aux urgences du centre hospitalier Émile-Roux, au Puy-en-Velay. L’octogénaire, choqué, a également été conduit à l’hôpital.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/10/19/l-octogenaire-refuse-la-priorite-au-couple-de-motards-sur-la-rd103

samedi 18 octobre 2014

Incendie en cuisine d'une discothèque de Nice: une centaine de personnes évacuées

Clients et personnels d'une discothèque du centre-ville de Nice ont été évacués cette nuit après un début d'incendie en cuisine, a-t-on appris ce samedi matin.
Selon les premiers éléments, un "feu de cartons" s'est déclaré peu après 4 heures du matin dans les cuisines de la boîte de nuit "Le Garden", rue du Congrès.
Au total, une centaine de personnes ont été évacuées. Il n'y a pas de blessés.

http://www.nicematin.com/nice/incendie-en-cuisine-dune-discotheque-de-nice-une-centaine-de-personnes-evacuees.1948675.html

La soirée trop arrosée fait deux blessés graves en plein centre-ville

Hier matin à 4 heures, un conducteur qui avait passé une soirée trop arrosée à Auch a percuté deux piétons au centre-ville, les blessant grièvement.
Le conducteur, Laijiasa Bolenaivalu, un Fidjien de 19 ans, est un rugbyman professionnel de Périgueux, venu à Auch pour faire la fête dans un bar du centre. Il conduisait dans la rue du Pouy, à l'angle de la rue Mirabeau, et n'a pas pu éviter les piétons, deux hommes de 23 et 36 ans. Son Opel Astra a percuté les victimes de plein fouet, arrachant la jambe du plus jeune, et causant une fracture ouverte de la jambe gauche à l'autre piéton. Les deux hommes ont été projetés sur le trottoir, devant la bijouterie. La voiture s'est arrêtée au niveau du magasin de prêt-à-porter Surplus. Des témoins du drame ont alerté les pompiers. Les deux blessés ont été conduits au centre hospitalier d'Auch pour des soins d'urgence.
Le rugbyman a été placé en garde à vue. Les contrôles d'alcoolémie ont révélé un taux de 1,36 g, et il ne possède pas de permis de conduire ni d'assurance. Il conduisait la voiture d'un autre joueur de Périgueux, Wendemi Fossaert, passé par Auch et qui évoluait à Fleurance la saison dernière. Les deux hommes avaient répondu à l'invitation de Larry Hueber, un ancien joueur d'Auch passé à Périgueux. Hueber, au dernier moment, avait refusé de monter dans la voiture. Il n'avait pas ses papiers au moment de l'accident. Capable d'évoluer en deuxième ou en troisième-ligne, le jeune Fidjien a disputé la dernière Coupe du monde des moins de 20 ans avec sa sélection. Le club de Périgueux a décidé de licencier les trois joueurs concernés par cette affaire.
Hier soir, le conducteur a été libéré. Il sera présenté à la justice la semaine prochaine. «L'état du blessé — les médecins étaient réservés (hier soir, Ndlr) sur la possibilité de sauver sa jambe — conditionne les chefs d'inculpation. Il reste aussi à entendre de nombreux témoins», précise le Parquet.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/18/1974748-soiree-trop-arrosee-fait-deux-blesses-graves-plein-centre-ville.html

vendredi 17 octobre 2014

Le chauffard frôle deux fillettes sur un trottoir

REIMS (51). Domicilié à Laon, un automobiliste de 35 ans, Stephan Kowalski, a été écroué dans la Marne après une ribambelle d’infractions routières collectionnées en quelques minutes le week-end dernier à Reims.
L’homme n’est pas assuré, ni titulaire du permis, ce qui ne l’a pas empêché de venir faire un tour en voiture dans la sous-préfecture marnaise. Vers 9 h 30, dimanche matin, il s’est fait remarquer par la police en s’arrêtant à un feu du boulevard Foch… sur la voie inverse, après avoir doublé plusieurs voitures.
Les agents ont voulu le verbaliser, il a démarré. Le chauffard a grillé plusieurs feux rouges, obligé des automobilistes à s’écarter et aurait pu provoquer un drame car il a escaladé un trottoir sur lequel il a frôlé deux fillettes. Le fuyard est finalement arrivé rue de la Baltique où il a terminé sa course contre un arbre et le grillage d’un terrain de la SNCF.
Présenté au parquet, Stephan Kowalski a été condamné à six mois de prison, dont cinq mois ferme avec placement en détention. Sa voiture est confisquée. Obligation lui est faite de suivre un stage routier et de passer le permis de conduire.
http://www.lunion.presse.fr/region/le-chauffard-frole-deux-fillettes-sur-un-trottoir-ia3b24n424937

Un rugbyman du CA Périgueux en garde à vue après avoir fauché deux piétons

Wendemi Fossaert, Laijiasa Bolenaivalu et Larry Hueber ne seront bientôt plus des joueurs du club de rugby du CA Périgueux (Fédérale 1). Ce matin, le club a annoncé qu'ils allaient être renvoyés.
Ce jeudi soir, les trois joueurs ont participé à la fête de la Colombelle, à Auch, dans le Gers. Ils avaient été invités par leur coéquipier Larry Hueber, ancien joueur d'Auch où il travaille et où il est domicilié.
Vers 4 heures du matin, Wendemi Fossaert (passé par Auch et Fleurance) aurait demandé à son partenaire de prendre le volant pour déplacer son véhicule qui gênait, seulement Laijiasa Bolenaivalu n'a pas de permis de conduire.
A la vue de trois piétons, il aurait accéléré au lieu de freiner. Deux ont été grièvement blessés. Bolenaivalu, qui était en état d'ivresse comme son partenaire, a été placé en garde à vue. Fossaert, lui, a été auditionné comme témoin. Hueber était rentré chez lui.

http://www.sudouest.fr/2014/10/17/deux-joueurs-du-ca-perigueux-en-garde-a-vue-1707674-1980.php

Ils se sont livrés à une chasse à l’homme dans les rues de Reims

«Les faits s’inscrivent dans une logique de règlements de comptes entre des communautés ethniques d’origine différente. » Le parquet de Reims a laissé la langue de bois au vestiaire, mercredi soir, au moment de requérir le placement en détention provisoire de quatre Tchétchènes accusés d’avoir participé à la sauvage agression d’un étudiant béninois de 19 ans, tabassé le mois dernier au terme d’une véritable chasse à l’homme lancée dans le quartier Croix-Rouge.
La victime a une main cassée, un œil crevé, définitivement perdu. Mis en examen pour « violences volontaires avec arme ayant entraîné une infirmité permanente », crime puni d’un maximum de quinze ans de réclusion, deux des Tchétchènes ont été écroués, les deux autres remis en liberté sous contrôle judiciaire strict. Un cinquième a été placé sous le statut de témoin assisté. D’autres arrestations pourraient intervenir car selon la police, ce sont « une vingtaine de Tchétchènes » qui ont participé à la curée.

Au départ, une simple dispute entre collégiennes

Croix-Rouge est le quartier où résident toutes les familles de réfugiés tchétchènes accueillies à Reims. L’honneur est une valeur sacrée. D’après l’enquête, tout aurait commencé le 26 septembre, à la suite d’une banale dispute entre deux collégiennes, l’une béninoise, l’autre tchétchène. Des insultes ont été échangées. Ce serait pour laver l’affront que le lendemain soir, plusieurs Tchétchènes auraient pris à partie une famille malienne devant son immeuble rue Pierre-Taittinger. Des amis sont venus la défendre, notamment l’étudiant béninois.
« Ils se sont battus, puis ça s’est calmé. Tout le monde est reparti », raconte un proche du jeune homme, « mais le dimanche 28 septembre, l’après-midi, des gens ont vu plusieurs Tchétchènes tourner dans le quartier en voiture avec des bâtons pour chasser des Blacks. Nous, on ne l’a pas su. »
Le soir, l’étudiant s’est rendu à la maison de quartier pour écouter de la musique avec quatre camarades. « Vers 21 heures, trois Tchétchènes se sont avancés vers la porte de la MJC pour voir quelles têtes il y avait à l’intérieur. Ils ont alors sifflé, crié dans leur langue et d’un coup, au moins une vingtaine de Tchétchènes sont arrivés de partout. »
Deux des amis ont pu s’enfuir, pas les autres. D’après les témoins, les agresseurs étaient munis de « branches », de « battes de base-ball » mais aussi d’une arme blanche – peut-être un couteau – avec lequel un des assaillants a crevé l’œil gauche de l’étudiant. Tombé à terre, le garçon a reçu plusieurs coups de bâton qui lui ont fracturé la main gauche. La bande s’est ensuite retirée.
Confrontés à ces violences qu’ils qualifient d’« inédites » dans la ville, et qui ont cessé avec l’agression de la maison de quartier, les policiers de la sûreté départementale de Reims ont déployé de gros moyens pour en identifier les auteurs. Un des Tchétchènes écroués est celui qui aurait crevé l’œil de l’étudiant. L’instruction ne fait que commencer. Un Guinéen aurait été agressé l’après-midi du 28 septembre, mais recueillir des plaintes semble problématique. Une victime de la maison de quartier a refusé. Terrorisée, elle est partie se réfugier en région parisienne.

http://www.lunion.presse.fr/region/ils-se-sont-livres-a-une-veritable-chasse-a-l-homme-ia3b24n424751