jeudi 31 mars 2016

Oloron-Sainte-Marie (64) : de rage, il donne un coup de tête à la voiture des gendarmes

Un jeune motard de 19 ans, qui s'était aventuré, parmi d'autres, dans le jardin public, pourtant interdit par arrêté, n'a pas supporté son interpellation
Un contrôle de gendarmerie a mal fini mercredi soir vers 17 h 15 dans le jardin public d'Oloron. Les gendarmes du PSIG se sont approchés d'un groupe de jeunes motards qui s'étaient aventurés dans le jardin pourtant interdit par arrêté
Le Psig a notamment repéré un jeune homme de 19 ans connu des services pour de nombreuses conduites sans casque. Ce pilote ne s'en est pas laissé conter, loin de là. Il a d'abord invectivé les gendarmes en les insultant puis s'est débattu quand ils ont décidé de l'interpeller. De rage, le garçon a adressé un coup de tête sur la voiture des militaires avant d'être complètement maîtrisé.
Le conducteur récalcitrant a été emmené en garde à vue à la gendarmerie. Ils devraient faire l'objet de poursuites pour outrage et rébellion. Les gendarmes du Psig ont déposé plainte contre lui.
La situation des jeunes motards est un problème d'incivisme récurrent d'Oloron où les gendarmes sont régulièrement amenés à intervenir. 
http://www.sudouest.fr/2016/03/31/oloron-sainte-marie-de-rage-il-donne-un-coup-de-tete-a-la-voiture-des-gendarmes-2317207-4344.php

Port-d'Envaux (17) : l'homme a tué sa femme avant de se suicider

Il n'aurait pas supporté que sa femme envisage de quitter le domicile
L'autopsie des corps de René et Maryvonne Gaillard, tous deux 73 ans, retrouvés morts à leur domicile de Port-d'Envaux lundi près de Saintes (Charente-Maritime), a confirmé "l'hypothèse d'un homicile suivi d'un suicide", selon le parquet de Saintes.
René Gaillard n'aurait pas supporté que sa femme envisage de quitter le domicile. Le jour du drame, elle était en train de préparer ses valises. René Gaillard a ouvert le feu sur son épouse et retourné l'arme contre lui. Le couple rencontrait des difficultés depuis de longues années
http://www.sudouest.fr/2016/03/31/charente-maritime-l-homme-a-bien-tue-sa-femme-avant-de-se-suicider-2317327-1391.php

Une institutrice jugée en appel pour «violences

Relaxée en première instance, une institutrice et directrice d'école de Haute-Vienne était jugée hier en appel pour violences morales et physiques sur une vingtaine de ses élèves de maternelle âgés de 3 à 5 ans.

Le ministère public a requis contre l'enseignante, toujours sous le coup d'une mesure de suspension conservatoire, une peine de 18 mois de prison avec sursis et l'interdiction à vie d'exercer une profession en lien avec des enfants. La décision a été mise en délibéré au 27 mai. Mettant en lumière "sa pédagogie de la terreur", son comportement "générateur de violence" la présidente Johanne Perrier et l'avocat général Georges Borg n'ont pas fait ciller l'institutrice, qui a soutenu comme en première instance être victime d'une "machination". "Ce n'est que mensonges et exagérations", a-t-elle répété.

Mais le feu incessant de questions a permis d'éclairer la personnalité de "maîtresse Delphine", tels que l'appelaient les enfants, laissant entendre que brimades et humiliations contribuaient à pousser les enfants "à l'autonomie" et à "vaincre leurs peurs". Une quinzaine d'avocats, une vingtaine de parties civiles, une quarantaines de parents et huit témoins de l'entourage professionnel de l'institutrice ont raconté à la barre comment étaient "terrorisés" les enfants de la petite section de maternelle de l'école de Feytiat, près de Limoges.

Six assistantes maternelles, au contact quotidien de l'institutrice de 49 ans, ont évoqué des "hurlements", "cheveux tirés", "claques", "tapes". "On ne savait pas quoi faire pour que ça s'arrête, c'était tous les jours", a témoigné l'une d'entre elles. "Je n'avais jamais entendu au cours de ma carrière des mots pareils dans la bouche d'une enseignante. Je suis de la vieille école, je suis pour la rigueur, mais là c'était de la maltraitance", a déclaré une assistante avec 30 années d'expérience.

L'affaire avait éclaté au début de l'été 2015 quand des parents avaient constaté que le comportement de leurs enfants se dégradait (peur irrationnelle, refus de manger, terreurs nocturnes, draps souillés...). Ils avaient alerté la hiérarchie de l'institutrice mais, en l'absence de sanctions disciplinaires, ils avaient porté plainte en février 2015.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Incendie à Marseille : 6 enfants intoxiqués

Huit personnes, dont six enfants, ont été "sérieusement intoxiquées" lors de l'incendie d'un appartement ce soir dans le centre de Marseille, a-t-on appris auprès des pompiers. Ce "violent feu d'appartement" s'est déclenché peu après 20h00 au troisième étage d'un immeuble qui en compte 5 et qui a été évacué, ont expliqué les marins pompiers dans un communiqué.

Huit personnes ont été "transportées vers des centres hospitaliers pour intoxication sérieuse au monoxyde de carbone", et parmi eux "6 enfants âgés de 2 à 9 ans, un adolescent et une femme enceinte", a précisé la même source. Environ 60 pompiers sont intervenus pour éteindre le feu et porter secours aux habitants de l'immeuble

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Haute-Saône : un enfant de 4 ans oublié dans un car scolaire

Aurore Halm, qui réside depuis huit ans à Amoncourt, un village de Haute-Saône fort de 300 habitants, est « en colère ». Elle ne pardonne pas une erreur qu’elle juge « inadmissible ». Mardi soir, elle a d’ailleurs déposé plainte auprès des services de gendarmerie de Vesoul pour « mise en danger d’autrui » après que son fils, Enzo, a passé une partie de la matinée, oublié dans un car scolaire appartenant à la société privée Dahn Tourisme.
Vers 8 h 20, en ce lendemain de jour férié, la nourrice avait accompagné l’enfant, âgé de quatre ans, jusqu’au car qui assure la navette vers l’école maternelle de Fleurey-lès-Faverney, dans le cadre d’un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Mais alors que les écoliers, arrivés à destination, descendaient un à un du véhicule, Enzo est resté à l’intérieur.

« Elle ne s’est pas aperçue que mon fils s’était endormi sur un siège »

Ne se doutant de rien, la conductrice, pourtant expérimentée, a regagné son domicile, situé à quelques kilomètres de là. Elle a fermé les portes du bus, abandonnant sans le savoir le bambin, seul sur un siège. Jusqu’à 11 h 15. C’est en effet au moment où elle a repris le volant pour aller récupérer les enfants à Fleurey-lès-Faverney, qu’elle a constaté la présence du garçonnet. Celui-ci a été ramené en bonne santé auprès de sa nourrice, à l’issue du trajet retour.
La maman d’Enzo, qui dénonce également « un manque de vigilance total de l’école » qui ne l’aurait pas prévenu de l’absence de son fils, n’a appris les faits qu’à 13 h 30, lorsque la conductrice s’est elle-même présentée à sa porte pour lui donner des explications. Aurore Halm s’apprêtait à partir pour son travail, espace de la Motte à Vesoul. « Elle est venue me dire qu’elle avait fait “une petite boulette”, qu’elle ne s’était pas aperçue que mon fils s’était endormi sur un siège. Il aurait pu être kidnappé. C’est scandaleux », estime-t-elle. Physiquement, Enzo « va bien ». Psychologiquement, « il a un peu souffert », ajoute la jeune femme, âgée de 33 ans, qui a tenu à dénoncer « les faits pour que ça ne se reproduise plus ». Pour sa négligence, la conductrice pourrait être lourdement sanctionnée par son employeur.
« L’incident, qui reste heureusement très rare, n’aurait jamais dû se produire », réagit Laurent Dargent. En charge des services des transports au conseil départemental de Haute-Saône, il rappelle qu’entre 350 et 360 véhicules assurent chaque jour 580 circuits de transports scolaires, qui vont des écoles aux lycées : « Des consignes claires sont régulièrement données. Les chauffeurs ont pour obligation de faire le tour de leur bus avant de le quitter ».

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2016/03/31/haute-saone-un-enfant-oublie-dans-un-car-scolaire

mercredi 30 mars 2016

Un jeune meurt après avoir été séquestré

Une enquête en flagrance a été ouverte pour "enlèvement et séquestration suivie de mort", après qu'un jeune homme a été retrouvé mort ce matin dans le centre de Montpellier, a indiqué le procureur lors d'un point de presse tenu sur place. "Les secours ont été appelés vers 11h et sur place, les pompiers ont retrouvé un homme blessé âgé de 21 ans, dont le pronostic vital n'est pas engagé, et un homme inanimé qui n'a pu être ramené à la vie", a précisé à la presse le procureur de la République à Montpellier, Christophe Barret.

Le jeune homme décédé, retrouvé à proximité de la Maison de quartier Jacques Prévert de la petite cité Astruc, "n'a pas été identifié", mais il y avait "des traces de violences sur le corps", a-t-il dit.  "Il n'y a que l'autopsie qui pourra nous donner les causes de la mort", a dit le procureur refusant de confirmer des informations obtenues de sources proches du dossier indiquant que le jeune homme, qui ne serait pas majeur, avait été battu à mort et jeté d'une voiture en marche.

M. Barret a également indiqué qu'une personne avait été placée en garde à vue, en refusant de confirmer ou d'infirmer qu'il s'agissait du blessé. "Je ne vous donne pas davantage d'éléments car il y a une enquête criminelle en cours", a-t-il répondu aux questions des journalistes. Le SRPJ de Montpellier a été saisi de l'enquête.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Pas-de-Calais: un homme retranché chez lui interpellé par les gendarmes

Un homme de 49 ans s'est retranché chez lui à Guemps, dans le Pas-de-Calais, hier après-midi et affirmait être en détention d'une arme, rapporte La Voix du Nord. Les gendarmes ont encerclé la maison, d'où il a fini par sortir afin d'essayer de se sauver.

Emmené à la gendarmerie de Oye-Plage afin d'être entendu, il a été pris en charge par les pompiers qui l'ont transporté à l'hôpital de Calais car il se ne sentait pas bien.

Un élu local affirme que ce père de famille est "un homme fragile, qui a eu un problème privé" qui réside dans la commune depuis une quinzaine d'années

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 29 mars 2016

Jeune écrasé à Bordeaux : le chauffard recherché pour tentative de meurtre

Dimanche, un jeune de 25 ans a été écrasé à deux reprises par un véhicule. L'auteur des faits est en fuite
Il n'a toujours pas été entendu et il n'est même pas sûr que son témoignage puisse considérablement faire avancer l'enquête. Un Bordelais de 25 ans était toujours hospitalisé dans un état préoccupant, hier, après avoir été percuté et écrasé deux fois par une voiture, dimanche matin place André-Meunier à Bordeaux.
Mobile des plus vagues
Selon les premiers éléments vérifiés dont disposent les enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire, une altercation entre clients de la discothèque Black Pepper est survenue au petit matin. Le mobile de la dispute reste des plus vagues. Priés de sortir de l'établissement, les jeunes ont continué leur bagarre à l'extérieur. Dans la bousculade ou pour le voler, un jeune a arraché le collier d'un autre, et en réplique, a été mordu à l'oreille. Pour une raison pour l'heure incompréhensible, un de ses amis a grimpé dans une voiture et foncé sur un groupe. Certains ont pu s'écarter à temps, mais pas le Bordelais de 25 ans qui a été renversé et happé sous le véhicule.
Le chauffard n'a pas pris la fuite tout de suite puisqu'il a pris soin de faire demi-tour et d'écraser une deuxième fois le Bordelais avant de percuter une voiture en stationnement. Dans l'accrochage, son véhicule, qui a disparu dans la nuit, a perdu sa plaque d'immatriculation. Laissée pour morte, la victime a été conduite aux urgences de l'hôpital Pellegrin où son pronostic vital ne serait plus engagé.
Plusieurs témoins ont déjà été entendus, d'autres, comme le gérant et le portier de la boîte de nuit le seront prochainement. Le flou et la divergence des témoignages semblent traduire à la fois une grande fatigue des personnes interrogées, un manque de coopération ou de la mauvaise volonté et une imprégnation alcoolique voire une consommation de produits stupéfiants. Des dépistages, qui n'ont pas encore révélé leurs conclusions, ont été faits en ce sens.
La voiture a été retrouvée dimanche après-midi cours Victor-Hugo à Bordeaux et a fait l'objet de prélèvements de police technique et scientifique. Il s'agissait d'une voiture de location. Seule certitude, le jeune qui a été mordu à l'oreille, un habitant du Val d'Oise de 23 ans, faisait partie du même groupe que le chauffard qui court toujours. Il a été placé en garde à vue et devrait être déféré pour vol, violences en réunion et complicité de tentative de meurtre.
http://www.sudouest.fr/2016/03/29/tentative-de-meurtre-le-chauffard-toujours-recherche-2315503-2780.php
 

dimanche 27 mars 2016

Sélestat : un corps retrouvé dans l'Ill

Un corps, en état de décomposition, a été retrouvé cet après-midi dans l'Ill, à hauteur du quai de l'Ill à Sélestat. La victime a été repêchée par les plongeurs de Finkwiller. Il s'agirait d'un homme dont l'âge est encore indéterminé.
C'est lors d'un nettoyage des berges que les membres du club de canoë-kayak ont découvert un corps dans l'Ill à hauteur du Quai de l'Ill derrière la salle de spectacle Les Tanzmatten.
Le cadavre en état de décomposition a été repêché par les plongeurs de Finkwiller. Il s'agirait d'un homme d'âge indéterminé (70 ans environ selon les pompiers).
La police municipale et le maire de la commune Marcel Bauer se sont rendus sur place.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/selestat-un-corps-retrouve-dans-l-ill-961183.html

vendredi 25 mars 2016

3 CRS de la compagnie de Grenoble sauvent un nourrisson en détresse respiratoire

Trois policiers d’une compagnie républicaine de sécurité (CRS) de Grenoble, qui rentraient de leur vacation de surveillance à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, ont sauvé jeudi soir un nourrisson en détresse respiratoire dans la circulation parisienne
Ces trois policiers de la compagnie CRS de Grenoble venaient de terminer leur vacation, tenue de 15 à 23 heures à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, dans le cadre du renforcement de la sécurité après les attentats de Bruxelles, lorsque, bloqués dans la circulation sur le boulevard Mortier dans le 20e arrondissement de Paris, ils ont été alertés par une voiture klaxonnant et appelant à l’aide.
"C’était un père affolé qui nous a expliqué que son enfant ne respirait plus", a raconté Julien, l’un des trois policiers. Le bébé, âgé d’une semaine, se trouvait avec sa mère à l’arrière du véhicule. "Le nourrisson était en détresse respiratoire. Nous lui avons fait une insufflation, il a repris des couleurs", a expliqué Julien, qui, comme ses collègues Thibault et Sébastien, a suivi une formation de secouriste.
Les faits se déroulant devant les locaux de la DGSE (Direction régionale de la sécurité extérieure), les CRS ont pu y mettre le nourrisson au chaud et lui prodiguer les premiers soins en attendant l’arrivée des secours. Le bébé a été placé en observation pour cinq jours, selon Julien, qui a pris de ses nouvelles vendredi auprès de la mère.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2016/03/25/3-crs-de-la-compagnie-de-grenoble-sauvent-un-nourrisson-en-detresse-respiratoire

Le bras écrasé par un tapis de charge du maïs

Les sapeurs-pompiers du Bas-Rhin ont été appelé ce matin, peu avant 10h, dans la commune de Saint-Pierre, dans la rue Principale, pour secourir un homme de 43 ans qui s'était coincé le bras gauche dans un tapis roulant de charge du maïs. La victime a été dégagée par les secours, mais présente un écrasement total de l'avant-bras
http://www.dna.fr/actualite/2016/03/25/le-bras-ecrase-par-un-tapis-de-charge-du-mais

jeudi 24 mars 2016

Un accident impliquant un poids lourd s'est produit ce jeudi vers 6h30 à hauteur du Boulou, dans les Pyrénées-Orientales. La route a été fermée dans les deux sens et une déviation a été mise en place
Un semi-remorque s'est couché, ce jeudi vers 6h30, sur la D900 à hauteur du Boulou, dans les Pyrénées-Orientales

Une déviation mise en place
La route départementale a été fermée dans les deux sens. Le poids lourd doit être dégagé de la route et la chaussée nettoyée pendant la matinée. Une déviation locale a été mise en place

Le conducteur du camion a été légèrement blessé dans l'accident.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/pyrenees-orientales/pyrenees-orientales-la-d900-fermee-dans-les-deux-sens-suite-un-accident-hauteur-du-boulou-959131.html

mercredi 23 mars 2016

Un accident, banal et tragique à la fois

De l'alcool et des remords d'un côté de la barre, de la souffrance physique et des reproches de l'autre : un drame de la route d'une banalité affligeante et tragique s'est arrimé, hier, à la barre du tribunal correctionnel de l'Ariège. Militaire au 1er RCP, Maxence D..., 31 ans, a choisi de ne pas prendre d'avocat. Il assumera seul. Il se tournera à deux reprises vers la victime de l'accident, qui se déplace encore péniblement, à l'aide de deux canes. Il présente des excuses raides, embarrassées et explique n'avoir pas pu le faire auparavant : «Les gendarmes ne m'ont pas donné les identités des victimes», regrette-t-il.

Plus de 2 g d'alcool dans le sang

L'accident s'est produit le 12 décembre dernier, non loin des Pujols. Maxence D... se rendait en discothèque, avec plus de 2,2 grammes d'alcool dans le sang. Il ne se souvient pas pourquoi il est parti seul, laissant un collègue parti se changer, et qui devait venir avec lui. Il ne se souvient plus des circonstances de l'accident. En face survient la voiture d'un couple d'agriculteurs. Le véhicule de Maxence D... quitte sa voie de circulation. Le choc est inévitable, particulièrement violent.
Pour la passagère, grièvement blessée, un long calvaire va commencer.
«Ma cliente a eu la rotule brisée, relate son avocate. Elle a été hospitalisée et opérée en urgence. Depuis la date de l'accident, elle suit une rééducation longue et douloureuse dans un centre de rééducation, à Verdèche. Elle y a passé les fêtes de fin d'année, isolée. Elle n'a pas pu sortir avant la fin du mois de février. Et la rééducation a été prolongée de trois mois, en mars». Un long, très long calvaire.
Reste que le retour au foyer se prépare. Et s'annonce difficile. «Il va falloir effectuer des aménagements dans la maison, reprend la robe noire. Rendre la salle de bain accessible. Installer des toilettes spéciales, un carrelage qui ne dérape pas, araser la douche». Les premiers devis sont arrivés : de 12 000 à 13 000 €.
«Il y a des règles. Elles visent à éviter ce genre de drame, a rappelé le procureur de la République. Il faut bien prendre conscience de la gravité des conséquences qu'un tel accident peut avoir». Le conducteur fautif a été condamné à quatre mois de prison avec sursis, et mise à l'épreuve pendant 18 mois, une peine assortie d'une obligation de soins. Son permis de conduire a été annulé et il ne pourra pas le repasser dans un délai de trois mois. À part de nouveaux mots d'excuses, le jeune parachutiste, visiblement très affecté, n'a rien voulu ajouter pour sa défense.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/23/2309962-un-accident-banal-et-tragique-a-la-fois.html

mardi 22 mars 2016

Deux blessés par balle à Saint-Ouen

Deux hommes ont été blessés par balle en pleine rue dans la nuit de lundi à mardi à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, sur fond probable de trafic de drogue, a-t-on appris de sources policières. Ils ont été touchés, l'un à la main, l'autre à la cuisse, "par un ou plusieurs individus" qui ont fait feu "avant de prendre la fuite à pied", a indiqué une source policière.

Ils ont été hospitalisés et leurs jours ne sont pas en danger.
Les deux hommes, connus des services de police pour des affaires de stupéfiants, affirment avoir été la cible d'un homme cagoulé qui s'est enfui à pied. Un scénario jugé peu crédible par une autre source, qui évoque un "probable différend" entre trafiquants. 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 21 mars 2016

Charente-Maritime : une kitesurfeuse en détresse dans l'île de Ré

Les faits se sont passés à La Couarde-sur-Mer, ce dimanche. Un vent de terre assez important soufflait
Une adepte de kitesurf a dû être secourue dimanche après-midi alors qu'elle pratiquait son sport au large de la commune de La Couarde. Elle ne s'est semble-t-il pas assez méfiée d'Éole. En effet, à ce moment-là soufflait un vent de terre assez important. Elle s'est rapidement retrouvée dans l'incapacité de regagner la plage. Un autre kitesurfeur s'est aussitôt lancé pour lui porter assistance.
Publicité
Heureusement pour eux, le Zodiac des pompiers d'Ars-en-Ré s'est porté à leur secours. De même, l'hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 17, s'est également rendu sur zone depuis Nantes où il venait de conduire une personne hospitalisée. Les pompiers sont parvenus à ramener les deux kitesurfeurs sur la plage  où l'équipe médicale de Dragon 17 a pu prodiguer quelques soins à la kitesurfeuse de 26 ans. Elle se porte bien
http://www.sudouest.fr/2016/03/21/faits-divers-2307628-4584.php

Charente: un corps démembré retrouvé

Samedi soir, le conducteur d'un TGV Paris-Bordeaux a aperçu aux alentours de 23 heures un corps démembré en bordure de la voie ferrée, près d'Angoulême, rapporte Sud Ouest.

Le corps, particulièrement abîmé, a été transporté à Poitiers pour identification et prélèvements ADN. La victime serait un homme âgé d'une trentaine d'années. Les raisons de sa mort n'ont pas encore été élucidées.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 20 mars 2016

Marseille : le policier tentait de vendre 17 kilos de cannabis

Un commandant de police de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) de Marseille, âgé de 47 ans, est interrogé depuis vendredi par «la police des polices» après son interpellation alors qu'il transportait 17 kilos de résine de cannabis dans son véhicule près d'Aix-en-Provence, comme l'avait révélé Le Parisien.

 
Selon La Provence, «Il semble désormais établi que le policier avait rendez-vous avec un revendeur de drogue, afin qu’il lui cède la marchandise». Une trentaine de kilos supplémentaires, issus d'une saisie douanière, ont par ailleurs été retrouvés à son domicile.

Eragny-sur-Epte (60): un cycliste meurt percuté par une voiture

Il n'avait pas de phare sur son vélo, ni de casque, ni de vêtement réfléchissant...Et sur cette route, la D915, dépourvue d'éclairage public, le cycliste était difficilement visible dans le noir.
Il a été percuté par une voiture samedi soir vers 21h30. Agé de 35 ans, il est décédé sur le coup....

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/oise/eragny-sur-epte-60-un-cycliste-meurt-percute-par-une-voiture-956069.html

Cambriolage au club house du Magnoac FC

Un cambriolage a eu lieu, dans la nuit de vendredi à samedi, après 0 h 30 au club-house du MFC. Hier, les responsables du club ont découvert des portes fracturées. Réserve, bureau et meuble vidéo n'ont pas été épargnés. De nombreux cadres d'équipes affichés au mur ont été cassés et des verres jonchaient le sol. Premier bilan : les cambrioleurs ont fait main basse sur quelques bouteilles d'alcool, mais aussi sur de la nourriture. Ils ont même volé cinquantaine de yaourts. La gendarmerie locale mène l'enquête.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/20/2307959-cambriolage-au-club-house-du-magnoac-fc.html

samedi 19 mars 2016

Condé-sur-l'Escaut : un homme retrouvé sequestré dans le coffre de sa voiture

Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu après 1h, les policiers du Valenciennois sont alertés pour un accident de la circulation. En arrivant sur place, les forces de l'ordre ne retrouvent pas le conducteur. Il n'était pas à son volant, ni même sur le bas-côté.

Les forces de police font alors une découverte étrange : la victime de l'accident était en fait dans son coffre. L'homme, d'une vingtaine d'années, portait des traces de coups sur son visage. Il aurait été séquestré par un proche de sa petite-amie d'après les informations de nos confrères de
La voix du Nord.

D'après la police, il connaît l'auteur de l'agression, qui a pris la fuite, et a pu l'identifier lorsque les secours l'ont retrouvé dans le coffre. La piste d'un règlement de compte sur fond d'affaire sentimentale est privilégiée.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/conde-un-homme-retrouve-sequestre-dans-le-coffre-de-sa-voiture-955675.html

Gourdon : il avait brandi un sabre

Le 21 juillet 2015 à Gourdon, Stéphane, 46 ans, croyant avoir été «balancé», sort de son véhicule, brandi un sabre vers un restaurateur. Jugé hier par le tribunal correctionnel de Cahors, il a été condamné à 3 mois de prison avec sursis.
Ce jour-là, les gendarmes sont appelés pour intervenir dans le centre de Gourdon. Ils se retrouvent face à la victime, un restaurateur qui explique avoir été agressé.
De façon régulière, le prévenu circule dans la rue du restaurant à vive allure, malgré les injonctions de la victime de lever le pied. Et il a déjà reçu auparavant un avertissement de la gendarmerie, déposé sur son pare-brise.
Le jour de l'agression, certain qu'il a été «balancé» par le restaurateur, Stéphane se dirige vers l'établissement, sort du véhicule et brandi un sabre en proférant des menaces. Trois témoins assistent à la scène, confirmant les faits.
«Pourquoi roulez-vous avec dans votre voiture un sabre et aussi un pistolet à bille ?» interroge la présidente du tribunal Laurence Di Rollo. «Ce n'est pas dans mes habitudes de circuler avec un sabre japonais ; je l'avais acheté à une armurerie la veille, se défend le prévenu. Le pistolet, dans mon cas, ce n'est pas pour m'en servir.» «Expliquez-moi le concept d'avoir des choses pour ne pas s'en servir», lâche la présidente. Stéphane esquive. «Je suis descendu avec le sabre, je ne l'ai pas brandi. J'étais sur la voie publique.» «Quand on sort un sabre c'est pour faire des câlins ?» ironise Laurence Di Rollo. «Je pensais que c'était lui qui m'avait dénoncé à la gendarmerie. Je voulais qu'il me donne des explications.»
Finalement, le prévenu reconnaît avoir eu un comportement disproportionné par rapport à des agressions qu'il avait cru subir. Une expertise psychiatrique met en avant une attitude méfiante, suspicieuse, un trouble des personnes paranoïaques.
«La victime tient un restaurant où l'été en terrasse il y a du monde, des enfants ; et le prévenu passe dans la rue à vive allure, indique Me Françoise Chappert, avocate du restaurateur qui s'est porté partie civile. Il n'assume pas tellement ses responsabilités. Ce jour-là, il arrive avec un sabre ; heureusement, mon client a beaucoup de sang-froid. Il en fait une demande de principe. Il demande 2 000 € de dommages et intérêts au titre du préjudice.»
«Il marque une certaine distance par rapport aux faits, remarque le ministère public. Il sort de son véhicule avec un sabre. Trois témoins tout de même l'ont vu. Ce sont des faits de violence. Je requiers à son encontre 4 mois de prison avec sursis.»
En septembre 2015, le prévenu avait déjà été condamné à 6 mois avec sursis pour violence avec arme, sur la commune de Léobard.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/19/2307338-gourdon-il-avait-brandi-un-sabre.html

vendredi 18 mars 2016

Trois mises en examen, quatre mois après des tirs sur des militaires à Toulouse

Trois hommes ont été mis en examen à Toulouse dont deux ont été écroués, après quatre mois d'enquête : fin novembre des militaires en civil qui rentraient d'une soirée arrosée avaient essuyé des tirs dans le quartier de la Gloire. 
Trois hommes ont été mis en examen jeudi 17 mars à Toulouse pour "tentative d'homicides volontaires" et deux d'entre-eux ont été placés en détention provisoire alors que le troisième a été laissé libre. Ils sont soupçonnés d'avoir participé aux tirs qu'ont essuyé des militaires toulousains le 19 novembre dernier dans le quartier de la Gloire à Toulouse.

Les militaires, qui étaient sortis en ville sans autorisation mais qui étaient en civil et non-identifiables, avaient été visés par deux hommes en scooter, alors qu'ils venaient de quitter leur taxi et finissaient leur chemin à pied pour rentrer à leur caserne. Ils auraient également été battus. Deux avaient été légèrement blessés par des plombs de carabine.

La police a enquêté sur cette affaire et au bout de quatre mois, le parquet de Toulouse a ouvert une information judiciaire pour tentative d'homicides volontaires à l'encontre des trois hommes. On ignore en revanche qu'elles étaient les motivations des mis en cause et s'ils avaient visé les victimes en raison de leur statut de militaires. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/trois-mises-en-examen-quatre-mois-apres-des-tirs-sur-des-militaires-toulouse-954869.html

Des coups de feu tirés hier cité Bourbaki

Que s'est-il passé hier vers 16h30, rue du général Hoche, cité Bourbaki, à Toulouse ? Des riverains ont entendu des coups de feu en pleine rue et un homme d'une trentaine d'années aurait été visé par au moins un projectile tiré à partir d'une arme à feu, depuis une voiture. Cette victime n'a pas été blessée.
Hier, les policiers de la sûreté départementale ont tenté d'y voir plus clair en réalisant les premières constatations sur les lieux. La victime a été entendue au commissariat pour les besoins de l'enquête. Cet incident a semé le trouble dans cette cité populaire, située en lisière du boulevard Silvio Trentin. Les faits se sont produits non loin des écoles de quartier.
Vers 16h30, le passager d'un véhicule aurait ouvert le feu sur un homme, en pleine rue. Un tir, peut-être deux, qui n'a pas atteint sa cible. La voiture a ensuite pris la fuite.
S'agit-il d'un contentieux entre deux personnes ou d'un différend plus sérieux sur fond de règlement de comptes ? Les policiers poursuivent leurs investigations
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/18/2306733-des-coups-de-feu-tires-hier-cite-bourbaki.html

Montpellier : jusqu’où ira ce fonctionnaire municipal ?

U n fonctionnaire travaillant à l'hôtel de ville de Montpellier fait beaucoup parler de lui en ce moment. 
Après avoir exigé un bureau individuel pour la simple raison que ses collègues "sentent mauvais", ce dernier vient d'être dispensé de pointer… Il possède en effet une ordonnance d'un médecin qui indique que "badger est un geste trop répétitif pour lui". Pourvu que son travail ne soit pas trop répétitif lui aussi. Il pourrait alors en être exempté...
http://www.midilibre.fr/2016/03/17/montpellier-jusqu-ou-ira-ce-fonctionnaire-municipal,1301737.php

jeudi 17 mars 2016

Décès d'une patiente à la maternité d'Orthez : l'obstétricien fait appel

L'obstétricien, présent dans le bloc lors de l'accouchement qui avait coûté la vie à une jeune femme en septembre 2014, a été mis en examen pour "non assistance à personne en danger"
L'obstétricien présent dans la salle d'accouchement de la maternité d'Orthez, où est décédée une patiente en septembre 2014, conteste sa mise en examen pour « non-assistance à personne en danger », qui lui a été notifiée le 25 février.
Publicité
L'audience est prévue le mercredi 30 mars devant la chambre d'instruction de Pau.
« Nous contestons toute forme de responsabilité », indique son avocat, Me Vincent Tortigue. Ce médecin exerce depuis une vingtaine d'années, mais il est « récent » sur Orthez. « Il n'a aucun antécédent de quelque nature que soit, civile ou pénale, précise encore l'avocat. Je sais très bien qu'il va y avoir une confusion, mais cela n'a strictement rien à voir avec le cas de l'anesthésiste ».
Cette dernière avait été mise en examen pour homicide involontaire aggravé. Elle avait reconnu avoir bu avant l'intervention
http://www.sudouest.fr/2016/03/17/deces-d-une-patiente-a-la-maternite-d-orthez-l-obstetricien-fait-appel-2304052-4329.php

Loi Travail: les lycéens parisiens bloquent la rue de Rivoli

mardi 15 mars 2016

Angoulême : un piéton grièvement blessé après avoir été renversé

L'accident s'est produit vers 8 h 30 ce mardi matin boulevard Besson-Bey à Angoulême
Un homme de 80 ans a été renversé boulevard Besson-Bey. Selon les premiers éléments de l'enquête, il traversait hors passage piéton. Le conducteur de l'automobile ne l'aurait vu qu'au dernier moment en raison d'un soleil rasant, bien trop tard pour éviter le choc.
 
L'état de santé de la victime a été jugé très sérieux. Elle a été transporté au centre hospitalier d'Angoulême
http://www.sudouest.fr/2016/03/15/angouleme-un-pieton-grievement-blesse-apres-avoir-ete-renverse-2301821-813.php

lundi 14 mars 2016

Décès d'un septuagénaire à Irissarry (64) : enquête administrative au sein de la gendarmerie

Un voisin aurait alerté la gendarmerie sur des bruits suspects le soir de la mort d'un septuagénaire dans une cour du village. La patrouille n'avait rien trouvé
Selon l'autopsie réalisée la semaine dernière à Bordeaux, Pierre Elicèche, un habitant d'Irissarry âgé de 79 ans, est décédé "sans cause externe" dans la soirée du 4 mars. Malade et dyalisé le matin même, le septuagénaire avait été retrouvé sans vie près de sa voiture le samedi 5 mars au matin, au sol de la cour d'un voisin.
Publicité
A proximité, le propriétaire de la maison semblait aussi avoir passé la nuit dehors. En hypothermie, Pascal Bidegaray, 73 ans, avait été évacué vers l'hôpital de Bayonne où son état s'est amélioré. Des prélèvements biologiques doivent venir confirmer la thèse accidentelle du décès de la première victime.

Les gendarmes prévenus ?

Une enquête administrative a également été ouverte au sein de la gendarmerie et confiée au groupement de Pau. Selon un voisin, les gendarmes auraient été prévenus dès 20 heures le vendredi soir par ce jeune homme qui entendait des bruits suspects à l'extérieur de son domicile, sans pouvoir précisément les localiser, même après être sorti.
http://www.sudouest.fr/2016/03/14/deces-d-un-septuagenaire-a-irissarry-64-enquete-administrative-au-sein-de-la-gendarmerie-2300807-4181.php

Accident : de l'alcool, des stups et pas de permis

Un accident de la circulation est survenu dimanche matin, vers 7 h 30, sur l'autoroute A 62, aux abords de Montpezat-de-Quercy. Une conductrice a perdu le contrôle de sa voiture qui a percuté le terre-plein central avant de s'immobiliser sur la bande d'arrêt d'urgence, sans causer de carambolage. La jeune femme au volant et son passager, propriétaire de la voiture, ont été légèrement blessés et transportés à l'hôpital de Cahors. Au cours des constatations, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière ont vite compris que les toutes conditions d'un accident avaient été réunies par cette automobiliste qui conduisait sans permis, sous l'emprise de l'alcool (1, 20 g par litre de sang) et de produits stupéfiants.

dimanche 13 mars 2016

Incendie dans le centre-ville de Rennes : un homme blessé, un appartement détruit

Le feu a pris au 4ème et dernier étage d’un immeuble de la rue Saint Louis dans le vieux centre de Rennes à 9h40 ce dimanche matin. Grâce au détecteur de fumée, l’occupant s’est réveillé. Son appartement a été entièrement détruit.
Les pompiers sont parvenus rapidement à circonscrire l’incendie qui s’est déclaré vers 9h du matin ce dimanche, dans un appartement du centre historique de Rennes, rue Saint-Louis.
L’occupant, un homme de 25 ans, a été réveillé par le détecteur de fumée. Il a pu sortir de l’appartement, intoxiqué et brûlé au pied, et a été transporté au centre hospitalier régional.

L’immeuble a été entièrement évacué. L’appartement est entièrement détruit, et quatre autres sont impactés.

Une famille relogée à Bruz

Par ailleurs, un incendie s’est déclaré à 4h30 dans la nuit de samedi à dimanche dans un pavillon de Bruz. Il était occupé par trois adultes et trois enfants. La famille a été relogée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/incendie-dans-le-centre-ville-de-rennes-un-homme-blesse-un-appartement-detruit-950757.html

INFO TF1. Benoît Magimel en garde à vue

Actuellement en garde à vue dans le 16e arrondissement de Paris, l'acteur français est soupçonné d'avoir renversé une femme de 62 ans lors d'une marche arrière vendredi. Il était positif à la cocaïne et n'avait plus de points sur son permis
Il est entendu depuis vendredi 18h. Selon nos informations, l'acteur français Benoît Magimel se trouve actuellement en garde à vue dans le XVIe arrondissement de Paris. Il est soupçonné d'avoir renversé une femme de 62 ans lors d'une marche arrière, alors qu'il était au volant d'une voiture de location. Les faits se sont produits vendredi vers 15h boulevard Exelmans, dans le XVIe arrondissement.
Il était positif à la cocaïne, et n'avait plus un seul point sur son permis. Après le choc, l'acteur récemment césarisé a rapidement pris des nouvelles de la victime avant de prendre la fuite. Les policiers l'ont identifié, notamment grâce à des témoins. Ils se sont rendus à son domicile mais l'acteur n'y était pas.
Benoît Magimel s'est lui-même rendu au commissariat trois heures après l'accident. La victime est blessée aux jambes, son pronostic vital n'est pas engagé

samedi 12 mars 2016

Accident. Un père et son fils de trois ans doivent être désincarcérés, à Marthod

L'accident s'est produit vers 11H sur la RN 212 reliant Albertville à Ugine. Deux voitures, circulant dans le même sens, se sont percutées à hauteur de la commune de Marthod. A l'intérieur de l'une d'elles : un homme de 40 ans et son fils de trois ans. Ils ont dû être désincarcérés. L'enfant est légèrement blessé. L'état de santé du père se serait aggravé peu après l'arrivée des secours, qui étaient toujours sur place vers 12H.

La conductrice de l'autre voiture, âgée également de 40 ans, a été hospitalisée pour des douleurs au thorax.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/accident-un-pere-et-son-fils-de-trois-ans-doivent-etre-desincarceres-marthod-950258.html

Orléans: Ils s’évadent de prison en profitant des obsèques d’un proche

Deux hommes ont profité des obsèques d'un proche dans un camp de gens du voyage pour s'évader, vendredi près d'Orléans. Le ministère de la Justice a assuré que «tout était mis en œuvre» pour les retrouver rapidement.
Les deux hommes avaient bénéficié d'une permission de sortie pour assister aux obsèques d'un proche, a-t-on appris auprès du parquet sur place. L'un était en détention provisoire à Saran, près d'Orléans, et le second était incarcéré à Argentan (Orne), a-t-on indiqué de même source.

Une cinquantaine de policiers mobilisés

Les faits se sont déroulés à Saran, entre 15h et 15h30, où les deux hommes assistaient dans un camp de gens du voyage aux obsèques de l'un de leurs proches, un jeune homme de 17 ans, décédé dans un accident de voiture, a-t-on précisé. Ils ont réussi à fausser compagnie à leurs escortes et à prendre la fuite. La Chancellerie a précisé qu'un troisième homme présent, également détenu, ne s'était lui pas évadé et regagnerait dans la soirée son établissement pénitentiaire.
Une cinquantaine de policiers ont été déployés pour ratisser le secteur, également survolé par un hélicoptère de la gendarmerie.
http://www.20minutes.fr/societe/1804863-20160312-orleans-evadent-prison-profitant-obseques-proche

Il prend deux ans ferme pour violences volontaires

Johnny Bailliet, 45 ans, jugé hier en comparution immédiate devant le tribunal d'Albi, a été condamné à 3 ans de prison dont un assorti du sursis pour des faits de violences sur une Albigeoise handicapée de 63 ans.
Interpellé à sa nouvelle adresse, en centre-ville, mercredi matin, il a aussitôt été placé en garde à vue. Il faisait jusque-là l'objet de plusieurs plaintes pour violences de la part d'une Albigeoise handicapée de 63 ans qui l'hébergeait, contre un petit loyer, en échange de services. Dans la nuit du 31 décembre dernier, alors que la propriétaire dormait, son locataire étant absent, un incendie s'était déclaré dans le garage de l'habitation, entraînant l'hospitalisation de la propriétaire et plus tard son relogement. Au moment des faits, l'incendie avait été classé accidentel. Mais une nouvelle plainte pour violences aggravées, le 4 janvier, a mis la puce à l'oreille des policiers qui ont enquêté sur le passé de cet homme. Déjà condamné à 17 reprises notamment pour des faits de vols, vol avec violence, recel, violences avec armes, violences sur personne dépositaire de l'autorité publique, il avait aussi été reconnu coupable à Tours de l'incendie volontaire d'un appartement et condamné à un an de prison. En garde à vue comme dans le box des prévenus, l'homme a reconnu les faits de violence, mais pas l'incendie volontaire.

Gros souci avec l'alcool

«Une enquête sociale rapide met en lumière une enfance difficile, soulignera la présidente du tribunal, Florence Croisille-Cabrol, avec un père meurtrier et une mère qui l'a abandonné. On note un gros souci avec l'alcool mais aucune pathologie mentale.» Les faits reprochés sont doubles : violences envers la sexagénaire et qui plus est colocataire et responsabilité dans l'incendie. «Le 14 décembre dernier, le contexte est tendu, résume la présidente s'adressant au prévenu. Vous avez bu. S'ensuit une altercation et vous la bousculez et lui cassez un doigt. Une fracture qui nécessitera une opération chirurgicale.»
«J'étais obligé de la bousculer quand elle était en crise. Là, j'ai eu un coup de nerf mais c'est la seule fois où je l'ai bousculée. je n'ai jamais voulu lui faire du mal.» En écho, la victime appelée à la barre lui rétorque indirectement «qu'il a menacé de commettre un incendie. Tu m'as dit que ma maison et moi, tu nous brûlerais.»
Dans le réquisitoire de la procureur Marie Regnier-Pellat, on notera «la difficulté de prouver la culpabilité de J.B. dans l'incendie. En revanche, les violences sur personne vulnérable sont clairement établies. Je requiers 36 mois de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l'épreuve (SME) avec maintien en détention , une interdiction d'entrer en contact avec la victime et une obligation de l'indemniser et de se soigner de sa dépendance à l'alcool.» Me Meyer-Soulier, pour la partie civile, réclamera 1 500 € au titre de l'article 475-1 et le renvoi sur les intérêts civils. Me Albarède, avocat de J.B. demandera la «relaxe pour l'incendie et la requalification sur les chefs de violence car pas un témoin n'a dit de la victime qu'elle était vulnérable.»
Le jugement du tribunal suivra le réquisitoire du parquet. Johnny Bailliet sera reconnu coupable des deux faits reprochés : violences et incendie. Il a écopé de trois ans de prison avec un an de sursis et mise à l'épreuve avec maintien en détention, interdiction d'entrer en contact avec la victime et des obligations de soins, de travail ou formation. L'examen des intérêts civils a, lui, été renvoyé au 2 mai.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/12/2302603-il-prend-deux-ans-ferme-pour-violences-volontaires.html

vendredi 11 mars 2016

Toulouse : un passant maîtrise le braqueur d'une supérette

C'est un passant qui, assistant au braquage d'une supérette du Faubourg Bonnefoy jeudi soir à Toulouse, a maîtrisé le braqueur armé d'un pistolet et l'a remis à la police
Le braquage à main armée d'une supérette vers 23 heures jeudi soir avenue de Lyon dans le faubourg Bonnefoy à Toulouse s'est terminé sur le trottoir, quand un passant a maîtrisé seul le braqueur avant de le remettre aux policiers, a-t-on appris vendredi de source policière.

Le braqueur s'était présenté à la caisse de la supérette avec une arme de poing, qui s'est révélée être un pistolet à air comprimé. Il a braqué la caisse.

Mais c'est lorsqu'il a voulu s'enfuir, qu'un passant, qui a assisté à la scène, l'a maîtrisé à coups de poing. Il l'a ensuite maintenu au sol en attendant l'arrivée des policiers. Le braqueur a été interpellé et placé en garde à vue à l'hôtel de police de Toulouse. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/toulouse-un-passant-maitrise-le-braqueur-d-une-superette-949490.html

Val-d’Oise : Le forcené retranché à Saint-Gratien interpellé

Un homme s'est retranché chez lui depuis plusieurs heures ce vendredi matin à Saint-Gratien, impasse de la Ceinture.  (Val d'Oise). Arrivés sur place à 9h40, les hommes du Raid ont mis en place un dispositif de sécurité tout autour de l'impasse à proximité de laquelle se trouve le lycée Gustave Monod d’Enghien.

Un homme sous bracelet électronique

L'homme a finalement été interpellé l'homme vers 11h, relate Le Parisien. Sous bracelet électronique, il aurait, selon les premières informations, refusé d'ouvrir la porte à des policiers chargés de venir le contrôler régulièrement à son domicile. L'homme a insulté ces policiers et les a menacés avec ce qui semblait être une arme de poing, précie Le Parisien.  La femme du forcené avait pu au préalable s'échapper et expliquer aux policiers que son mari possédait deux fusils de chasse.
http://www.20minutes.fr/paris/

jeudi 10 mars 2016

Le corps d'un homme repêché dans le Rhin

Un cadavre été découvert dans le Rhin par un passant à Village-Neuf. Son identité et les circonstances du décès ne sont pas encore connues. Une enquête de gendarmerie est en cours.
Vers 9 heures du matin ce 10 mars, le corps a été aperçu par un passant, au niveau d'un ponton vers le restaurant "La Piste du Rhin", à Village Neuf. L'identité de la personne n'est à cette heure pas connue, mais il s'agirait d'un homme d'une cinquantaine d'années.

Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin d'identifier la victime et de déterminer les causes de sa mort.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/haut-rhin/le-corps-d-un-homme-repeche-dans-le-rhin-948693.html

L'ancien maire tombe dans la Lauze en voulant sauver un chat

Hier matin, Gérard Balista, l'ancien maire d'Ax, a emprunté une passerelle enjambant la Lauze pour aller chercher un chat. La structure vermoulue a cédé et le docteur est tombé dans la rivière. Grièvement blessé, il a été héliporté à l'hôpital de Purpan, à Toulouse.
Sauvé grâce à la réactivité d'un pompier en vacances. Il est presque 11heures, hier, quand Gérard Balista emprunte la passerelle qui enjambe la Lauze, au centre d'Ax-les-Thermes, pour aller récupérer un chat sur l'autre berge. Le bois est vermoulu et cède au passage de l'ancien maire. Le docteur axéen fait une chute de 5 mètres dans une eau à 5 °C. Son voisin, un pompier en vacances dans la cité thermale, assiste à la scène. Il saute immédiatement dans le ruisseau porter assistance au septuagénaire. Il réussit à le sortir de l'eau et le met en sécurité sur un muret en béton. Avec une infirmière présente au moment de l'accident, il lui donne les premiers soins. Rapidement, le SMUR, les pompiers d'Ax, de Vèbre, ainsi que le Grimp (groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) sont sur place. Une dizaine d'hommes s'affairent en bord de Lauze. «La personne était sur l'autre rive, explique le lieutenant Xavier Stinglhamber, chef d'unité du Grimp. Il y avait de l'eau jusqu'à hauteur de genoux. Nous avons disposé des cordes avec palans afin de remonter la civière.» La victime est ensuite transportée en ambulance jusqu'à Savignac-les-Ormeaux, sur la base du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM). Là, à 13 heures, l'hélicoptère du détachement aérien de gendarmerie décolle avec, à son bord, la victime dans un état jugé sérieux. Vingt-sept minutes plus tard, il arrive à l'hôpital de Purpan, à Toulouse.

Un docteur ami des chats

À Ax-les-Thermes, la présence des secours n'est pas passée inaperçue. Rapidement, la rumeur se répand. La cause de la chute aussi. Les chats, Gérard Balista en a fait une de ses priorités. En 2008, il est à l'initiative de l'association Chat libre du canton d'Ax. Depuis, la structure s'est fixée pour mission de stériliser, tatouer et assurer le suivi sanitaire et alimentaire des chats errants du secteur. Aujourd'hui, l'ancien médecin généraliste en est le trésorier. Tous les jours, il parcourt les rues de la cité thermale, un sac de nourriture à la main, des vaccins dans l'autre, afin de s'assurer que ses petits protégés se portent bien.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/10/2301104-ancien-maire-tombe-lauze-voulant-sauver-chat.html

mercredi 9 mars 2016

Draguignan: Une nounou condamnée pour avoir donné une fessée à une fillette

L’assistante maternelle avait pris la décision de ne plus garder d’enfants. Le tribunal de Draguignan vient de confirmer son initiative, la condamnant à trois ans d’interdiction d’exercer les fonctions pour avoir donné une fessée à une fillette de 22 mois.
Les faits remontent à décembre 2015, dans la commune varoise de Flayosc. Ce jour-là, la nounou âgée de 38 ans est malade et fatiguée. Elle décide tout de même de garder deux des enfants dont elle a la charge « pour ne pas mettre les parents en difficulté » et pour ne pas « leur faire faux bond », rapporte Nice-Matin.

« C’était la première fois que j’en donnais une »

La petite fille se cogne. S’en suit une crise de larmes et de pleurs. « Je n’ai pas réussi à la calmer en détournant son attention, comme d’habitude. Quand j’ai changé sa couche, la fessée est partie », raconte-t-elle dans les colonnes du journal local.
Immédiatement, une procédure de retrait de l’agrément d’assistante maternelle est lancée. Mais la nounou prend les devants, ne se voyant plus exercer sa profession après cet incident. « C’était la première fois que j’en donnais une. Je n’aurais pas dû je le sais. J’en suis malade », dit-elle avant de poursuivre : « Je ne veux plus travailler avec des enfants. Ça nous fait peur, on ne veut pas revivre ça encore une fois. »
http://www.20minutes.fr/nice/1802855-20160309-draguignan-nounou-condamnee-avoir-donne-fessee-fillette

Un tractopelle explose une conduite de gaz à Marseille

Un important dispositif de pompiers est déployé ce matin sur l'avenue Roger Salengro (Marseille, 15e) et le trafic est totalement coupé dans les deux sens. La raison ? Une conduite de gaz de 40 millimètres en acier malencontreusement cassée par un tractopelle
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3836905/un-tractopelle-explose-une-conduite-de-gaz.html

Une pharmacienne agressée par des adolescents

Une pharmacienne a été agressée par deux adolescents lundi, rapporte aujourd'hui Le Dauphiné. Un adolescent de 16 ans a été interpellé par la police dans la soirée.
Aux alentours de 19h30, deux jeunes entrent dans la pharmacie et s'emparent de plusieurs produits coûteux. L'employée intervient mais les jeunes répliquent à coups de poing. Les deux voleurs ont ensuite pris la fuite aux côtés d’un troisième homme resté à l’extérieur selon le quotidien. 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 8 mars 2016

Nord : 2 collégiens grièvement blessés par l'effondrement d'un silo à grains lors d'une sortie scolaire

Deux enfants se trouvent dans un état grave après qu'un silo à grains s'est effondré sur un groupe de collégiens en sortie scolaire pédagogique, à Pont-sur-Sambre, dans le No
 
Deux collégiens ont été gravement blessés ce mardi par l'effondrement d'un silo à grains qu'ils visitaient avec leur collège. Six enfants d'une douzaine d'années ont été blessés, dont deux grièvement : l'un a perdu connaissance, l'autre est en arrêt cardio-respiratoire, selon la sous-préfecture d'Avesnes-sur-Helpe. Une adolescente a eu une jambe cassée et trois enfants ont été légèrement blessés.
 
Les victimes sont scolarisées au collège de Berlaimont, non loin du lieu de l'accident, selon les pompiers.

Étant donné qu'il ne se trouvait, sous l'amas de grains, aucune autre personne que celles qui ont été dégagées, le dispositif de secours, initialement important, "a été allégé", a-t-on indiqué de source préfectorale.

En déplacement à proximité, la sous-préfète, Virginie Kles, s'est rendue sur les lieux. Deux hélicoptères étaient mobilisés pour procéder à l'évacuation éventuelle des blessés.

Meurtre à la machette à Clermont-Ferrand : un ami de la victime déféré

Ils sont deux à s'être rendus au commissariat de Clermont-Ferrand quelques heures après le décés de Cédric Nollin mais à l'issue de leurs gardes à vues, seul l'un d'entre eux est pouruivi. Un peu plus de 48 heures après les faits, c'est bien un ami de la victime qui a été déféré au parquet où une information judiciaire a été ouverte, alors que son acolyte lui, a été remis en liberté. Une énquête rapidement bouclée par les hommes du SRPJ de Clermont-Ferrand.

Selon nos informations, c'est au domicile de l'homme poursuivi que l'altercation avec la victime a eu lieu, lors d'une fête particulièrement arrosée. Une altercation pour un motif futile et sur fond d'alcool, où Cédric Nollin a reçu plusieurs coups de machette.

Transporté aux urgences du CHU Estaing, où il a été retrouvé dans une voiture avant d'être pris en charge par le personnel personne, le jeune homme, âge d'une trentaine d'années et originaire de Bouillante, en Guadeloupe, n'a pas pu être sauvé et est décédé, au petit matin, des suites de ses blessures.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/puy-de-dome/clermont-ferrand/meurtre-la-machette-un-ami-de-la-victime-defere-946769.html

Loiret : le couple percevait la retraite de la belle-mère décédée depuis 10 ans

Un couple de quinquagénaires résidant dans le Loiret (Centre-Val de Loire), percevait depuis plus de dix ans la retraite de la mère du mari, alors qu'elle était décédée en 2004. C'est la femme qui a décidé de ne pas déclarer la mort de sa belle-mère pour continuer de toucher sur le compte commun les 600 euros mensuels de retraite. 
Lorsque le couple décide de se séparer, le mari dénonce l'affaire à la caisse de retraite la Carsat. Celle-ci a évalué le préjudice à 65.000 euros et a porté plainte contre le couple, qui a reconnu les faits devant les enquêteurs du commissariat d'Orléans, en fin de semaine dernière. 
Le jugement aura lieu en juillet prochain, au tribunal correctionnel d'Orléans, dans le cadre d'une procédure de plaider-coupable. La femme sera jugée pour escroquerie et son mari pour recel d'escroquerie.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/08/2299718-loiret-couple-touchait-retraite-belle-mere-decedee-depuis-10-ans.html

INFO TF1. Fusillade dans le tunnel du Prado à Marseille : trois hommes arrêtés

Trois hommes ont été interpellés dans l'enquête sur le double-meurtre du tunnel du Prado, à Marseille, en novembre dernier. Tous ont été arrêtés par la Brigade criminelle de la police judiciaire de la cité phocéenne, dimanche 28 et lundi 29 février. Ils sont soupçonnés d'avoir joué un rôle actif dans ce double-homicide d'une violence inouïe.
Ils sont soupçonnés d'avoir joué un rôle actif dans ce double-homicide d'une violence inouïe. Trois hommes ont été interpellés dimanche 28 et lundi 29 février par la Brigade criminelle de la PJ de Marseille dans le cadre de la fusillade du tunnel du Prado. Le 10 novembre 2015, une impressionnante course-poursuite entre voyous s'était déroulée un peu après minuit dans ce tunnel qui traverse la cité phocéenne, au beau milieu de la circulation.
 
Plusieurs suspects armés au volant d'un 4x4 avaient pris en chasse un autre véhicule de type 4x4, dans lequel se trouvaient quatre hommes appartenant à une bande rivale des cités du XIIIème arrondissement. Deux d'entre eux avaient été abattus. Parmi eux, un voyou très connu de la justice : Mohamed Mhoumadi, 31 ans, surnommé "babouin" dans sa cité des Oliviers, un voyou multi-récidiviste soupçonné d'être derrière un triple-meurtre, commis dans la cité ennemie des Lauriers le 25 octobre 2015.
 
Deux adolescents de 15 ans et un homme de 24 ans avaient alors été tués. Cette tuerie a déclenché une spirale meurtrière à travers Marseille qui a fait depuis une dizaine de morts et de blessés graves entre les bandes rivales des "Gitans" et des "Blacks". Les trois hommes, âgés d'une vingtaine d'années et déjà connus de la justice pour de nombreuses affaires de drogue et de violences, ont tous été mis en examen par un juge d'instruction marseillais et incarcérés.
 

lundi 7 mars 2016

Dordogne : deux chiens morts de faim, abandonnés par leur maîtresse

Les dépouilles des staffordshire bull terrier ont été découvertes dans la cave d'une maison inoccupée. Retrouvée, leur propriétaire encourt... une amende de 750 euros
Article mis à jour à 11h05
Mardi, les policiers municipaux de Sarlat ont été appelés pour un chien de race shar pei qui divaguait dans le quartier de la Poulgue. Lorsqu'ils sont arrivés dans le quartier, ils se sont aperçu qu'il entrait et sortait d'une habitation qui n'était plus occupée. Alertés par une odeur nauséabonde, ils ont constaté depuis l'extérieur que les cadavres de deux autres chiens se trouvaient dans la cave, deux staffordshire bull terrier.
Les gendarmes sarladais ont ouvert une enquête et établi qu'une femme de 24 ans, partie vivre en Gironde, a abandonné ses chiens et qu'ils sont morts de faim. Elle aurait indiqué à des membres de sa famille venus préalablement apporter à manger aux animaux qu'elle s'en occupait, mais cela était faux. Le shar pei avait réussi à sortir de la maison pour subvenir à ses besoins, mais les deux autres dans la cave n'ont pas pu. La jeune femme sera poursuivie par le parquet de Bergerac pour mauvais traitements à animaux devant le tribunal de police de Sarlat.
http://www.sudouest.fr/2016/03/07/dordogne-deux-chiens-morts-de-faim-abandonnes-par-leur-maitresse-2293492-1980.php

Une piétonne percutée par un chauffard

Une femme de 47 ans a été hospitalisée au CHU Purpan dans un état grave après avoir été percutée par une voiture, dimanche vers 3 heures du matin, boulevard de Strasbourg à Toulouse. La piétonne se trouvait sur un passage clouté lorsque le véhicule, une Clio, l'a renversée violemment, sous les yeux de son compagnon, extrêmement choqué. La victime s'est retrouvée sur le capot du véhicule qui lors de sa course lui a roulé dessus. L'automobiliste a pris la fuite, poursuivi par des témoins, qui ont essayé de le rattraper, en courant. Hier matin, vers 11 h 30, cet automobiliste âgé d'une trentaine d'années s'est rendu au commissariat de Tournefeuille, sur les conseils d'un proche. Il a été placé en garde à vue pour «blessures involontaires» et «délit de fuite». Il aurait indiqué avoir consommé de l'alcool et fumé du cannabis. Cet homme sortait de discothèque juste avant les faits. Les policiers ont entendu de nombreux témoins mais des zones d'ombre subsistent encore.
La police lance un appel à témoins et recueille toutes informations utiles à l'enquête sur cet accident (Tél. : 05 61 12 77 77)
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/07/2298905-une-pietonne-percutee-par-un-chauffard.html

dimanche 6 mars 2016

Une des deux adolescentes en fugue est rentrée chez elle

L'une des deux adolescentes qui ont disparu vendredi en Haute-Savoie est rentrée chez elle selon la gendarmerie contactée par France 2. Louisa, 16 ans, ne faisait jusqu'à samedi l'objet d'aucune surveillance particulière.

La gendarmerie a annoncé ce dimanche que Louisa, l'une des deux adolescentes en fugue depuis vendredi était rentrée chez elle."Ses parents ont alerté la gendarmerie pour dire qu'elle est rentrée vers 16 heures", a indiqué le parquet, précisant que l'adolescente était actuellement entendue par les enquêteurs.
"Elle a vu sa mère à la télévision et elle a laissé tomber sa copine" a expliqué de son côté le père de Louisa à France 2. Sa fille est restée introuvable pendant près de deux jours et fait l'objet d'une interdiction de sortie du territoire
 
Israé, l'autre jeune fille disparue est toujours introuvable. Les enquêteurs craignent qu'elle tente de rejoindre la Syrie. Agée de 15 ans, la jeune fille était connue pour être radicalisée. Elle avait été placée en foyer il y a deux ans après une première tentative de départ.
Selon Dounia Bouzar du CPDSI, un organisme au sein duquel Israé a déjà suivi une procédure de "déradicalisation", Israé venait de sortir de l'hôpital psychiatrique. Elle y était entrée pour une "dépression de l'adolescence". Elle est "fragile", "veut mourir" et il lui faut un lieu "cocoonant" a expliqué cette anthropologue spécialisée dans les dérives sectaires liées à l'islam.

Hautes-Pyrénées: des dizaines d'intoxications respiratoires lors d'un concert dans une église

Il semblerait que l'accident ait été provoqué par un chauffage défectueux dans l'église de Lortet, près de la sous-préfecture de Bagnères-sur-Bigorre, où des chorales étaient venues chanter.
"Environ 70 personnes ont été intoxiquées après ce concert dans l'église de Lortet. Ca ne s'est pas déclenché immédiatement mais quand elles sont rentrées chez elles, en ressentant des maux de tête et des vertiges", a précisé à l'AFP la sous-préfète, Isabelle Rebattu.
"Certains ont appelé les urgences, d'autres se sont rendus dans les deux CHU de la région où ils ont été placés sous des tentes d'oxygène", a-t-elle indiqué. En tout, une vingtaine d'entre eux ont été traités par le Samu.
Certains sont sortis très rapidement tandis que d'autres ont passé "plusieurs heures sous oxygène", a-t-elle ajouté.
"Une fillette de neuf ans, car c'est le protocole, a été transportée au CHU de Purpan à Toulouse", a précisé Mme Rebattu, soulignant qu'elle pourrait regagner son domicile en début d'après-midi.
La gendarmerie et des techniciens sont à l'oeuvre dans l'église pour déterminer les raisons de cette intoxication respiratoire.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees-des-dizaines-d-intoxications-respiratoires-lors-d-un-concert-dans-une-eglise-945064.html

Choc frontal entre deux véhicules à Saint-Marcellin, en Isère

L'accident s'est produit ce samedi 5 mars, vers 22 heures. Les deux occupants de la voiture sont gravement blessés. Le conducteur du véhicule utilitaire qui arrivait en face l'est plus légèrement
Les deux occupants de la voiture, âgés de 21 ans, ont été conduits au CHU de Grenoble après avoir été pris en charge par le SMUR. Le jeune homme souffre d'une fracture du bassin et du fémur. La jeune femme, qui se trouvait à ses côtés, souffre d'une fracture ouverte de la jambe.
Le conducteur du véhicule utilitaire, âgé de 36 ans, était plus légèrement blessé. Il a été conduit à l'hôpital de Romans.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/choc-frontal-entre-deux-vehicules-saint-marcellin-en-isere-944854.html

Le pilote d'un scooter tué près du Stadium

Dramatique accident de circulation, hier, en milieu d'après-midi, allée Gabriel Biénès, sur l'île du Ramier, non loin du Stadium municipal. Un homme de 57 ans a perdu la vie au guidon de son scooter lors d'une collision avec une voiture. Les circonstances de cet accident restent encore très floues. Vers 14 h 45, le pilote circulait sur son scooter de marque Aprilia, lorsque pour une raison qu'il reste encore à éclaircir, le scooter est entré en collision avec une voiture, sur une longue ligne droite. Les pompiers et médecins du Samu se sont rendus sur place pour prodiguer les premiers soins à la victime. Malheureusement, cette dernière est décédée sur les lieux du drame. L'identité du quinquagénaire qui résidait dans le secteur de Camille Pujol, n'a pas été communiquée. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/06/2298298-le-pilote-d-un-scooter-tue.html

samedi 5 mars 2016

Haute-Savoie: Deux jeunes filles radicalisées recherchées par la gendarmerie

hebergement d'image
Appel à témoins. Ce samedi, la gendarmerie nationale a lancé sur son compte Twitter un avis de recherche concernant deux adolescentes originaires de la région Auvergne-Rhône-Alpes qui sont radicalisées.

Elle chercheraient à quitter la France

Selon les gendarmes, les deux mineures, âgées de 15 et 16 ans, sont radicalisées et sont susceptibles de chercher à quitter la France « par tous moyens » en utilisant « de fausses identités ».
Toutes deux sont scolarisées au lycée des Carillons, à Seynod, dans le département de la Haute-Savoie. La dernière fois qu’elles ont été vues remonte à ce vendredi, vers 13h, alors qu’elles quittaient l’établissement.
La première, âgée de 16 ans, s’appelle Louisa Bounechada et habite à Annecy. De corpulence mince, elle mesure 1,70m et a des cheveux et des yeux noirs.
La deuxième s’appelle Israé Abou Serie Mohamed et réside à Annemasse. Elle est âgée de 15 ans, mesure 1,76m, a les cheveux châtain clair, les yeux marron et porte un appareil dentaire.
Selon les gendarmes, les adolescentes ont toutes deux fugué. Les personnes disposant d'informations susceptibles de permettre de les retrouver sont invitées à contacter la brigade de Meythet au 04.50.24.52.40
http://www.20minutes.fr/lyon/1800371-20160305-haute-savoie-deux-jeunes-filles-radicalisees-recherchees-gendarmerie

La Rochelle : un passeur et une famille de réfugiés interpellés à l'aéroport

En début de semaine, la police aux frontières est intervenue afin d'interpeller un passeur et une famille munis de faux papiers
D'après nos informations, la brigade mobile de recherches de la Police aux frontières (PAF) de Bordeaux est intervenue en début de semaine à l'aéroport de La Rochelle-Île de Ré. Il s'agissait d'interpeller un passeur et une famille de réfugiés munis de faux papiers.
Le parquet de La Rochelle et la PAF se refusent à tout commentaire sur cette affaire. Une enquête est en cours.
L'intervention se serait produite mardi 1er mars, sachant que le même jour, à 17h15, un vol, à partir de La Rochelle, de Ryanair desservait Londres Stansted. La famille concernée, dont il n'a pas été possible d'obtenir des nouvelles, serait afghane et composée de quatre personnes. Le passeur présumé a été conduit à Bordeaux
http://www.sudouest.fr/2016/03/04/la-rochelle-un-passeur-et-une-famille-de-refugies-interpelles-a-l-aeroport-2291583-1391.php

Un réseau de stupéfiants démantelé par les gendarmes

Six mois d'enquête auront été nécessaires aux gendarmes de la brigade de recherche de Limoux pour mettre fin à un réseau de stupéfiants.
Depuis septembre dernier, les gendarmes enquêtaient sur un Limouxin. Les militaires soupçonnaient cet homme de se livrer à un trafic entre l'Espagne et Limoux. Ce dernier se rendait de l'autre côté des Pyrénées pour y acheter de la cocaïne et du cannabis qu'il revendait de retour chez lui dans l'Aude.
Les gendarmes ont finalement interpellé hier le principal suspect. Ce coup de filet a été complété par trois de ses lieutenants.
Placés en garde à vue, ils ont reconnu les faits.
Pendant les perquisitions, les forces de l'ordre ont découvert 1 500 euros, une montre d'une valeur de 8 200 euros et de l'herbe de cannabis.
Présentés au parquet, ils sont convoqués devant le tribunal le 19 avril prochain.
La bande a été remise en liberté, l'organisateur du réseau est soumis à un contrôle judiciaire
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/05/2298004-un-reseau-de-stupefiants-demantele-par-les-gendarmes.html

vendredi 4 mars 2016

L’hôpital leur annonce que leur fils est sorti alors qu’il est à la morgue

Une malencontreuse succession d’omissions et d’erreurs aurait conduit à l’impensable à l’hôpital Pierre-Oudot de Bourgoin-Jallieu. Le 24 février au matin, un patient de 45 ans est retrouvé gisant mort sur le sol de sa chambre après une semaine d’hospitalisation, dans le service gastroentérologie de l’établissement.
Un décès intervenant alors même que la veille le médecin avait annoncé à ce patient sa sortie pour le lendemain. Ne parvenant pas à joindre directement les parents du défunt pour leur annoncer la triste nouvelle, l’hôpital les a invités à se manifester rapidement en leur laissant plusieurs messages sur leur répondeur.
Quand ils rappellent l’établissement, il leur est annoncé que leur fils est sorti de l’hôpital. Ils n’apprendront le décès de leur fils par la police que six jours plus tard. Car le médecin avait soupçonné une mort suspecte, obligeant l’établissement à informer la police. Ce qui ne sera fait que le 1er mars, alors que le corps du défunt séjournait toujours au dépositoire de l’hôpital.
Apprenant ce multiple « imbroglio », le parquet de Bourgoin-Jallieu a immédiatement ordonné une autopsie qui a permis d’établir que le défunt est décédé d’une embolie pulmonaire massive. Par ailleurs, une enquête a été ouverte afin de faire toute la lumière sur cette succession de manquements.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2016/03/04/l-hopital-leur-annonce-que-leur-fils-est-sorti-alors-qu-il-est-a-la-morgue

Sorti de prison il y a une semaine, il est arrêté en flagrant délit de cambriolage

Deux individus qui étaient en train de commettre un cambriolage dans une propriété agricole située à Saint-Martin-de-Belcassé, ont été interpellés mercredi, en flagrant délit, par une patrouille du commissariat de Castelsarrasin. Arrivés avec un véhicule portant de fausses plaques d'immatriculation, les deux jeunes Castelsarrasinois tentaient, après avoir abandonné leur auto volée l'an passé, à Montauban, de s'enfuir à pied en apercevant les fonctionnaires de police. Les deux individus ont été immédiatement placés en garde à vue. L'un d'eux était loin d'être un inconnu des enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Castelsarrasin. Sorti il y a à peine une semaine de détention pour de multiples vols avec effraction, il a été présenté hier, tout comme son comparse, devant le magistrat de permanence du parquet. Ce dernier a réclamé leur mise en détention provisoire en vue d'un jugement en comparution immédiate aujourd'hui, devant le tribunal correctionnel.

Libéré il y a une semaine, le cambrioleur risque gros

En récidive et sous le coup d'une peine avec sursis, l'ex-taulard risque gros, d'autant que l'audience correctionnelle sera présidée par un juge d'application des peines (JAP), Thomas Godon, et par le vice-procureur Pierre Vignolles pour le Ministère public. Enfin, dans le contexte de recrudescence des cambriolages que connaît le département, comme l'a démontré l'audience correctionnelle de mardi, où deux mis en cause de Moissac et Larrazet, jugés en comparution immédiate, ont écopé de prison ferme pour des vols avec effraction, le tribunal ne devrait pas donc pas être plus clément pour ces deux accusés
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/04/2297280-sorti-prison-semaine-est-arrete-flagrant-delit-cambriolage.html

Un accident entre un Airbus et un drone évité de justesse

Le 19 février dernier, un avion de ligne a bien failli entrer en collision près de Roissy avec un drone qui volait à haute altitude. L'incident, jugé grave par le BEA, fait actuellement l'objet d'une enquête.
 
Un Airbus A320 d'Air France assurant la liaison entre Barcelone et Paris Charles de Gaulle a évité de justesse une collision avec un drone qui volait à haute altitude le 19 février alors qu'il était en phase d'approche de l'aéroport parisien, annonce le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) sur son site internet.
L'autorité française d'enquêtes de sécurité de l'aviation civile, qui qualifie dans un communiqué l'incident de grave, précise que le copilote a aperçu le drone alors que l'avion se trouvait à une altitude de 5500 pieds (environ 1600 m), soit bien plus haut que l'altitude maximale à laquelle peut normalement monter un drone de loisir.
L'équipage a désactivé le pilote automatique pour éviter une collision avec le drone, qui est passé selon le commandant de bord à "environ cinq mètres en dessous de l'aile gauche de l'avion", indique le BEA. Le pilote automatique a ensuite été réenclenché et l'Airbus A320 a pu reprendre son approche après avoir informé le contrôle aérien de la présence d'un drone non identifié, poursuit l'autorité de l'aviation civile, ajoutant qu'une enquête est en cours.

jeudi 3 mars 2016

Fonctionnaires: Les agents de Matignon sont les champions de l'absentéisme

Avec une moyenne de 10,2 journées de « congés de maladie ordinaire » (CMO) par an et par personne, ce sont les services du Premier ministre qui occupent la plus haute marche du podium de l’absentéisme dans les administrations.
>> A lire aussi : Pourquoi la France est-elle championne du monde de l'absentéisme?
Les personnels de l’hôtel Matignon devancent les fonctionnaires du ministère de la Justice (8,7 CMO par an et par employé) et ceux du ministère du Travail (8,5 CMO). Suivent deux autres ministères, celui de l’Economie et des Finances et celui de l’Intérieur. Ces chiffres issus de l’enquête Absentéisme pour raison de santé en 2012 et relayés par Le Figaro, montrent par ailleurs que les agents du ministère de la Culture sont les plus fidèles au poste.

Irrités par le non-remplacement des enseignants manquants

Autre information, et non des moindres : l’absentéisme des enseignants est inférieur à la moyenne observée dans l’ensemble de la fonction publique. Il existerait donc une nette différence entre la réalité des absences pour cause de maladie au sein de l’Education nationale et la perception qu’en ont les observateurs, au premier rang desquels on trouve les parents d’élèves.
>> A lire aussi : Education nationale: Qu'a fait le gouvernement pour mieux remplacer les profs absents?
Ces derniers sont d’ailleurs plus souvent irrités par le non-remplacement des enseignants manquants que par l’absentéisme en lui-même. Dans les écoles primaires, 15 % des absences, quelle que soit leur raison, ne font effectivement pas l’objet d’un remplacement. Le chiffre monte à 62 % pour les absences de courte durée dans le second degré.
http://www.20minutes.fr/economie/