dimanche 31 mai 2015

Loiret : un mort et cinq blessés graves dans un accident de la route

Terrible bilan humain lors d'un accident survenu samedi en début de soirée vers 19 heures sur la RD 2007, à la hauteur de Dordives (Loiret). L'accident a causé la mort d'un homme de 44 ans et fait huit blessés, dont cinq dans un état très grave parmi lesquels deux fillettes de 2 et 8 ans rapporte le site de La République du Centre
Le quotidien régional indique que selon les premières constatations, la conductrice, indemne, était positive au dépistage d'alcoolémie. Elle était au volant d'un pick-up où se trouvaient huit autres personnes alors que le maximum autorisé pour ce véhicule est de cinq places. Pour une raison indéterminée, l'automobiliste qui circulait dans le sens Paris-Nemours a perdu le contrôle de son véhicule. Le pick-up a fait plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser 90 mètres plus loin. La circulation a été neutralisée jusqu'à 22 h 30 le temps pour les secours de porter assistance aux victimes

http://www.leparisien.fr/

Appel à témoins après un contre-sens sur la RN10 en Charente

La gendarmerie lance un appel à témoins après un accident qui s'est produit vers 23 heures vendredi soir sur la RN10 dans le sens Bordeaux-Angoulême à hauteur de Roullet-Saint-Estèphe.
En effet, un couple qui venait juste de s'engager sur la RN10 et qui entamait le dépassement d'un camion, s'est retrouvé face à une voiture. Par réflexe, le conducteur a donné un coup de volant et a percuté l'arrière de la remorque du poids lourd. Grâce à ce réflexe du chauffeur, le pire a été évité et l'accident n'a été que matériel.
Toutefois, la gendarmerie recherche le conducteur arrivant à contre-sens sur cette 2x2 voies. Selon les premiers témoignages, il s'agirait d'une Clio première génération de couleur foncée avec des plaques d'immatriculation arrières jaunes et un feu arrière droit défaillant.
Toutes personnes ayant des éléments nouveaux sur cette enquête est priée de se rapprocher de la gendarmerie de Blanzac en composant le 05 45 64 00 23.

http://www.sudouest.fr/2015/05/30/appel-a-temoins-apres-un-contre-sens-sur-la-rn10-en-charente-1936543-1180.php

La Croix-Rouge accusée d'épuiser ses salariés

Selon un rapport publié ce dimanche par Le Parisien, La Croix-Rouge a commis 3.800 infractions sur le temps de travail dans son siège parisien. L'association n'aurait pas respecté le temps de repos de ses salariés et les aurait fait travailler excessivement.
Burn-out à La Croix-Rouge ? L'association s'est rendue coupable de 3.800 infractions à la législation sur le temps de travail en 2014 dans son siège parisien, selon un rapport de l'inspection du travail que révèle ce dimanche Le Parisien/Aujourd'hui en France. Ce rapport "de 206 pages" pointe le temps de travail excessif des 480 salariés du siège parisien de La Croix-Rouge (XIVe arrondissement), dont le contrat de travail prévoit 37 heures hebdomadaires pour les non-cadres.

Sur les 3.800 infractions constatées en 2014, "environ 3.300 concernent des journées de travail supérieures à dix heures", d'autres portent sur"des dépassements de la durée hebdomadaire maximale" (48 heures selon la loi), écrit le journal. Les inspecteurs du travail pointent également une "privation du repos quotidien minimal" soit onze heures entre deux périodes travaillées.

Amende jusqu'à 11 millions d'euros

Les infractions sont sanctionnées de 750 euros chacune par le Code du  travail, ce qui représente une amende de plus de 2,8 millions d'euros. En incluant la rémunération due aux salariés et leur indemnisation au titre du  préjudice subi, la facture pourrait atteindre 11 millions d'euros pour la Croix-Rouge, selon Le Parisien.

Interrogé par le quotidien, le délégué CFE-CGC, syndicat majoritaire, Eric  Laurent assure que "cela fait seize mois que nous alertons la direction sur les  dérives en matière d'heures supplémentaires". "On n'a pas affaire à un problème de sous-effectif, on est en face d'une inorganisation totale du travail", ajoute le syndicaliste qui cite des "demandes récurrentes de dernière minute, demande de refaire le travail,  travail inutile. Les gens sont épuisés. Certains commencent à 7 heures et  terminent à 20 heures".
 

samedi 30 mai 2015

Lafox (47) : ivre, elle tombe dans le canal latéral et rejoint la berge à la nage

C'est vendredi soir, vers 20h30, à hauteur de la commune de Lafox, qu'une voiture a basculé dans le canal latéral. La conductrice a réussi à sortir du véhicule et à rejoindre la berge sans être blessée.
C'est un pêcheur qui a donné l'alerte, en contactant le gendarmes, inquiet de voir un véhicule circuler à vive allure le long du canal sur une voie strictement réservée aux cyclistes et aux piétons. Quelques minutes plus tard, la voiture basculait dans l'eau avec plus de 2 mètres de dénivelé.

Taux d'alcoolémie positif

La conductrice, une Lot-et-Garonnaise âgée de 42 ans, a pu rejoindre la berge à la nage tandis que les sapeurs-pompiers avec plongeurs se rendaient sur place. Contrôlée par les gendarmes de Laroque-Timbaut sur le lieu de l'accident, la quadragénaire présentait un taux d'alcoolémie de 2,2 g d'alcool par litre de sang. Elle sera convoquée ultérieurement devant le tribunal pour conduite en état d'alcoolémie.
Il a fallu pas moins de deux dépanneuses pour sortir le véhicule de l'eau d'autant qu'à cet endroit, les deux berges opposées sont très éloignées du fait de l'existence d'une aire pour permettre aux bateaux de plaisance de faire demi-tour.
http://www.sudouest.fr/2015/05/30/lafox-47-ivre-elle-tombe-dans-le-canal-lateral-et-rejoint-la-berge-a-la-nage-1936440-4622.php

Fin des perturbations sur les TGV Paris-Bordeaux

Un incident de caténaire en Charente a provoqué dans la nuit de vendredi à samedi des perturbations sur les TGV Paris-Bordeaux. Le trafic est depuis revenu à la normal.
Le trafic ferroviaire sur la ligne Paris-Bordeaux a été perturbé à la suite d'un incident de caténaire en Charente survenu dans la nuit de vendredi à samedi. Plus d'un millier de passagers de TGV ont été affectés par des retards allant jusqu'à plus de trois heures.

Le trafic dans les deux sens est revenu à la normale, et sans retards, dès ce samedi matin pour la dizaine de TGV prévus, a assuré la
SNCF, quoi qu'encore sur une seule voie à hauteur de l'incident. Des réparations étaient en cours, qui devaient permettre aux deux voies d'opérer totalement normalement en début  d'après-midi.

L'arrachement de caténaire, pour des causes encore indéterminées, est survenu vers 23H00 à hauteur de Montmoreau, à environ 35 km au sud d'Angoulême. Conséquence : un TGV Paris-Bordeaux avec 73 passagers à bord a été immobilisé sur place.

Deux autres TGV venant derrière lui, avec 366 et 570 passagers  respectivement, ont été affectés et retenus en gare d'Angoulême avant de  pouvoir repartir. L'un deux, reparti après 01H00 samedi, a pris à son bord les  passagers du premier TGV accidenté. Les retards de ces trains, à l'arrivée à
Bordeaux, se sont échelonnés entre  2 heures et plus de 3 heures.http://lci.tf1.fr/france/societe/le-trafic-des-tgv-paris-bordeaux-perturbe-jusqu-a-la-mi-journee-8615442.html

Isère : elle arrache sa fille de la voiture d'un inconnu à la sortie de l'école

G rosse frayeur pour cette maman de Bourgoin-Jallieu en Isère qui a sauvé sa petite fille de 4 ans de la voiture d'un inconnu à la sortie de l'école. L'homme a pris la fuite. Il est activement recherché.
Selon Le Dauphiné Libéré, un homme est activement recherché en Isère autour de Bourgoin-Jallieu. Il est suspecté d'avoir voulu enlever une fillette de 4 ans à la sortie de son école.
Juste après 16 h 30 ce mardi 26 mai, il a suffit d'une minute d'inattention pour que la petite Maélys s'éloigne de sa mère, venue la chercher à l'école de Boussieu de Bourgoin-Jallieu. La fillette s'est dirigée vers le feu tricolore pour monter dans la voiture d'un inconnu. C'est son frère qui a signalé à la maman que sa sœur était dans cette voiture, stoppée au feu rouge, non loin de l'entrée de l'établissement scolaire. Heureusement, une automobiliste l'aurait bloqué avec sa voiture pour l'empêcher de partir. La maman s'est alors précipitée pour ouvrir la portière et arracher sa petite fille du véhicule. Mais il a quand même réussi à s'enfuir. Des recherches sont en cours pour le retrouver.
L'homme est activement recherché
La mère de la fillette n'a pas pu identifier précisément l'homme mais a indiqué aux gendarmes qu'"il avait des lunettes" et qu'il était plutôt de "forte corpulence." L'homme recherché aurait une cinquantaine d'années, serait chauve et il conduisait une Mercedes beige foncé.
Selon Le Dauphiné, la police judiciaire de Lyon a lancé un appel à témoins : "Toutes les personnes et témoins qui ont assisté à la scène, sont invitées à se manifester. La PJ demande aussi aux automobilistes qui se sont arrêtés ou qui ont porté assistance à la fillette, de contacter le plus rapidement possible le numéro suivant : 04 78 78 40 06"
En attendant, la sécurité aux abords des écoles du secteur a été renforcée. Une enquête pour "tentative d'enlèvement de mineur de moins de 15 ans" par le parquet de Bourgoin-Jallieu a été ouverte.
http://www.midilibre.fr/2015/05/29/isere-elle-arrache-sa-fille-de-la-voiture-d-un-inconnu-a-la-sortie-de-l-ecole,1167709.php

vendredi 29 mai 2015

Aveyron : attaque à l'explosif d'une agence bancaire de Laissac

Une agence bancaire a été la cible de braqueurs, vendredi, aux alentours de 4 heures du matin, dans la commune de Laissac, en Aveyron.
Les enquêteurs, et notamment la cellule d'investigation scientifique de Rodez, sont sur place.
L'agence aurait été attaquée à l'explosif ou au gaz. Selon un témoin, trois hommes cagoulés seraient arrivés à bord de deux voitures. Ils auraient alors attaqué la façade de l'agence à l'explosif ou au gaz. Après s'être emparés d'un butin dont on ignore le montant, les malfaiteurs se seraient enfuis à bord d'une Mégane blanche, laissant sur place leur deuxième véhicule, un Scénic noir qu'ils auraient au préalable tenté d'incendier, toujours selon ce témoin interrogé par les journalistes de France 3. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2015/05/29/aveyron-braquage-dans-une-agence-bancaire-de-laissac-734569.html

Dordogne : un sexagénaire pris au piège par la vase dans son étang

À Saint-Estèphe, en Dordogne, un retraité de 63 ans a entrepris de curer son étang jeudi matin, au lieu dit Barreau. Il devrait s'en souvenir longtemps
Vers 11 heures, alors qu'il s'appliquait à nettoyer avec une pelle les bordures de l'étendue d'eau, il a fait une chute qui l'a plongé dans l'étang dont le fond était recouvert d'une très épaisse couche de vase.
L'homme a bien tenté de s'extraire de la boue, mais ses efforts sont restés vains. Ses proches sont venus à sa rescousse, l'ont tiré, sans plus de succès.
Du coup, la famille a dû se résoudre à appeler les pompiers qui, enfin, ont réussi à le dégager.
L'histoire peut prêter à sourire, mais le pauvre homme est tout de même resté une heure ainsi immobilisé dans la vase.
http://www.sudouest.fr/2015/05/29/dordogne-un-sexagenaire-pris-au-piege-par-la-vase-dans-son-etang-1935200-1980.php

«C'est l'alcool qui m'appelait»

C'est un homme à la dérive, l'esprit rongé par l'alcool, qui a comparu hier en fin de matinée devant le tribunal correctionnel d'Auch. Éric S., un Vicois de 48 ans, était jugé pour des faits graves commis le 3 mai dernier, au bar «Le Pachamama», à Vic-Fezensac. La présidente Marjorie Lacassagne-Taveau rappelle le déroulement de cette soirée, en essayant de réveiller la mémoire bien défaillante du prévenu : «Le gérant est arrivé vers 20 heures. Vous étiez au bar en train de boire une bière. Il vous a salué et au début la conversation a été courtoise. Puis vous lui avez demandé une consommation gratuite. Il a refusé. Le ton est monté et le gérant a décidé de vous expulser du bar. En vous empoignant par le cou, il vous a conduit dehors devant la terrasse. C'est en revenant dans son établissement qu'il s'est aperçu qu'il saignait au niveau de la nuque et du flanc droit. Vous vous rappelez, Monsieur S., lui avoir donné ces deux coups de couteau?».
«Oui, je me rappelle un peu de l'avoir piqué, d'avoir voulu le piquer. Je ne pensais pas lui en avoir mis deux.»

«Presque un ami d'enfance»

Éric ne s'est jamais expliqué devant les gendarmes. Et pour cause : il était dans un état d'excitation tel qu'il a donné un coup de tête à un militaire venu l'interpeller, le menaçant aussi de mort ainsi qu'un de ses collègues de la brigade. Impossible de le maintenir en garde à vue : il sera hospitalisé d'office pendant 10 jours. Interpellé à sa sortie, le 13 mai, il était déféré au parquet en vue d'un jugement en comparution immédiate, compte tenu de ses antécédents judiciaires, mais il a sollicité un délai pour préparer sa défense. Extrait de la maison d'arrêt d'Agen, le client du «Pachamama» regrette ce qu'il a fait : «Avec M. Lavigne, on se connaît depuis qu'on est petits, c'est presque un ami d'enfance. Jamais je n'aurais fait ça si j'avais été dans un état normal».
Me Hélène Plenier, partie civile pour le cafetier, expose «les douleurs persistantes» dont souffre son client depuis cette agression. Elle demande au tribunal (qui l'entendra sur ce point) d'ordonner une expertise médicale pour quantifier le préjudice corporel.
L'histoire d'Éric S. c'est celle d'une addiction, à l'alcool c'est sûr, aux stupéfiants aussi même si l'intéressé, qui comparaît aussi pour détention de cannabis, minimise. «J'étais sous traitement médicamenteux pour éviter de boire. Deux jours avant, à la fête de Nérac, je n'avais pas du tout consommé de l'alcool. Mais j'ai craqué le dimanche soir à Vic, raconte-t-il à la barre.
- Pourquoi vous avez craqué? interroge la présidente.
- C'est l'alcool qui m'appelait.»
Une phrase terrible mise à profit par Me Sandra Vazquez. «C'est bien la preuve que mon client n'en est plus à choisir s'il va boire ou pas. Ce n'est plus la raison qui le dirige, c'est l'appétence à l'alcool». Et l'avocate de la défense a bien noté que l'expert psychiatrique évoquait «une altération du discernement».

2 ans de prison dont 1 ferme

Le Ministère public n'a pas le même regard sur ce dossier, forcément. «La gravité des faits est incontestable. Frapper quelqu'un au cou peut être dramatique de conséquences et on a vu des cas similaire se terminer aux assises», expose Olivier Bataillé. Face à cette «personnalité inquiétante» et ce «risque de récidive qui est au maximum», le substitut du procureur s'interroge : «Quelle est la peine à prononcer?». Il requiert 4 ans d'emprisonnement dont la moitié assortie d'un sursis avec mise à l'épreuve. Le tribunal n'est pas allé aussi loin. Éric S. écope de 2 ans, dont 1 an ferme, une peine assortie des trois obligations réclamées par le parquet : se soigner, indemniser la victime et ne plus fréquenter les bars. Maintenu en détention, le prévenu se voit interdit de port d'arme pendant 5 ans. Sage précaution sachant que dans une dizaine de jours il comparaîtra dans une autre affaire de violences avec arme, sur fond de stupéfiants.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/29/2113911-c-est-l-alcool-qui-m-appelait.html

Accident mortel à Paris : le policier au volant avait 2,13 g d'alcool dans le sang

D eux policiers ivres, qui n'étaient pas en service et rentraient d'une soirée à bord d'un véhicule banalisé, ont percuté une camionnette jeudi 28 mai à l'aube dans le centre de Paris, tuant un livreur de pain de 40 ans.
Deux policiers ivres, qui n'étaient pas en service et rentraient d'une soirée à bord d'un véhicule banalisé, ont percuté une camionnette jeudi 28 mai à l'aube dans le centre de Paris, tuant un livreur de pain de 40 ans. Le fonctionnaire qui était au volant, un brigadier-chef selon des sources policières, présentait une alcoolémie de 2,13 grammes d'alcool par litre de sang, a indiqué en fin de journée une source judiciaire. C'est plus de quatre fois le taux légal (0,5 g) et près de trois fois le taux à partir duquel l'alcoolémie au volant devient un délit (0,8 gramme).
Les policiers revenaient d'une soirée dans une boîte de nuit
Ce policier a été placé en garde à vue, tandis qu'un collègue, un lieutenant, qui était sur le siège passager était entendu comme témoin par les enquêteurs, selon la même source judiciaire. Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux policiers, en poste à la police judiciaire (PJ) de Seine-Saint-Denis, revenaient d'une soirée dans une boîte de nuit du VIIIe arrondissement de la capitale, rue Pierre-Charron.
http://www.midilibre.fr/2015/05/29/accident-mortel-a-paris-le-policier-au-volant-avait-2-13-g-d-alcool-dans-le-sang,1167484.php

jeudi 28 mai 2015

Une charge de 2 tonnes s'écrase sur un poids lourd à Chambéry

Ce mercredi 27 mai, un conducteur de camion a été victime d'un accident du travail sur un chantier. Alors qu'une grue soulevait une charge, celle-ci s'est décrochée, s'écrasant sur la cabine.

L'accident s'est produit vers midi, sur un chantier au Carrefour Chamnord. Une grue déchargeait un camion, lorsqu'une charge de deux tonnes est tombée lourdement sur la cabine où se trouvait le conducteur.

L'ouvrier, âgé de 33 ans, est gravement blessé, polyfracturé. Il a été admis au Centre hospitalier de Chambéry. Il était conscient à l'arrivée des secours


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/05/27/une-charge-de-2-tonnes-s-ecrase-sur-un-poids-lourd-chambery-733601.html

Violences conjugales : une femme condamnée à 18 mois ferme pour avoir battu son ex-mari

Zakia Medkour était poursuivie pour avoir infligé pendant 15 mois de graves violences à son ex-mari. Le tribunal correctionnel de Paris l’a condamnée, jeudi 28 mai, à trois ans de prison, dont la moitié avec sursis, et plus de 200 000 euros d’indemnisation.  
Cette peine, qui est aménageable et n’envoie donc pas automatiquement la condamnée en prison, constitue selon le tribunal « le minimum compte tenu de la gravité des faits et le maximum compte tenu de leur ancienneté ». Lors de l’audience en avril dernier, la procureure avait requis la peine maximale, soit cinq ans de prison ferme.
Zakia Medkour, 43 ans, avait séquestré, battu, privé de ses papiers et réduit à l’état d’esclave son ancien compagnon pendant plus d’un an, entre 2008 et 2009.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/28/2113482-violences-conjugales-femme-condamnee-18-mois-ferme-avoir-battu-ex.html

LYON. Coup de fusil dans la nuit : le mystérieux décès d'un quinquagénaire

Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 4 heures du matin, un homme de 55 ans n'habitant pas le quartier a trouvé la mort rue Saint-Eusèbe à Lyon (3e).
Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 4 heures du matin, un homme de 55 ans n'habitant pas le quartier a trouvé la mort d'une balle dans la tête, rue Saint-Eusèbe à Lyon (3e).
La victime était originaire de Marennes, une commune du sud est lyonnais. La Police judiciaire a été saisie de l'enquête. De l'homicide à l'accident, durant la journée, toutes les hypothèses étaient envisagées par les enquêteurs. Dans la soirée, c'est la piste du suicide qui était privilégiée.
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/05/27/un-homme-se-tire-une-balle-dans-la-tete-en-pleine-rue-a-lyon

mercredi 27 mai 2015

Aude: un jeune raveur retrouvé mort dans sa voiture après une overdose d'ecstasy

L'adolescent aurait consommé plusieurs cachets. Il a été retrouvé mort dans une voiture garée sur le bas-côté de la route.
Ce sont apparemment les camarades avec lesquels il s'était rendu à une rave-party, à proximité de Lespinassière, qui l'ont retrouvé mort dimanche après-midi, à bord de leur voiture, garée sur le bas-côté de la route, entre les départements de l'Aude et du Tarn. L'adolescent, originaire du Vaucluse selon nos informations, aurait succombé à une overdose d'ecstasy. C'est en tout cas l'hypothèse privilégiée par les gendarmes de la brigade de Saint-Amans-Soult. Une hypothèse que le médecin légiste chargé de l'autopsie du corps devra confirmer
Ce décès est survenu au terme d'une semaine où les forces de gendarmerie audoises étaient mobilisées en raison de l'annonce d'un teknival dans la région : le groupement de gendarmerie de l'Aude avait mobilisé l'escadron départemental de sécurité routière, les compagnies de Carcassonne, Limoux, Narbonne ainsi que les moyens du détachement aérien de gendarmerie (DAG) de Toulouse pour assurer "une surveillance terrestre et aérienne" des sites exposés.
Le samedi soir, alors que les élus concernés avaient été alertés pour mettre en place des dispositifs d'interdiction d'accès, le groupement gérait depuis sa salle opérationnelle les patrouilles déployées. Si le teknival 'redouté' n'a pas eu lieu, de plus modestes raves se sont bien déroulées comme celle lors de laquelle le jeune homme est décédé.
Tout au long du week-end, Charles Lucet et Bernadette Sire, maire et 1re adjointe de Lespinassière, avaient assisté à l'incessant ballet : "Des voitures qui passaient dans le village et se dirigeaient vers Albine, dans le Tarn, et les camions qui comme d'habitude transportent les sons. Les premiers sont arrivés dans l'après-midi de vendredi."
Car dans ce village audois à la limite du Tarn, les raves ou teufs sont monnaie courante. Au point que l'élu rappelait qu'il n'est pas rare que certains participants "s'arrêtent au café pour boire un verre", alors que d'autres, trompés par les chemins délicats qui mènent au site, "doivent souvent faire appel à des dépanneuses pour dégager leurs voitures".
Quand bien même les forces de l'ordre veillent ou tentent de veiller au grain : "Les gendarmes leur courent après, et ils ont l'habitude de monter vers le site de la rave, là où des éoliennes sont projetées. On a d'ailleurs souvent des appels en mairie de parents inquiets qui veulent savoir où retrouver leurs enfants."
http://www.lindependant.fr/2015/05/27/un-jeune-raveur-succombe-a-une-overdose-d-ecstasy,2036284.php

Escroquerie fiscale à 2 M€ : un patron d'entreprise écroué

Un patron toulousain est soupçonné d'avoir détourné des subventions par le biais du crédit impôt recherche aidant au financement de projets technologiques. L'enquête du SRPJ porte sur 2 millions d'euros de fraude.
Un chef d'entreprise toulousain Pierre H.L, 51 ans, a été mis en examen et écroué dernièrement pour «escroquerie» et «abus de biens sociaux». Une affaire de délinquance en col blanc peu banale avec pour toile de fond, le crédit impôt recherche, un dispositif souvent décrié pour les risques de fraude et son coût pour la dépense publique. La justice reproche à ce patron d'avoir détourné, à son profit, les aides publiques qui lui ont été allouées sur la période 2010-2013, par le biais du crédit impôt recherche (CIR). Ces aides permettent un abattement fiscal important et des exonérations de taille sur la partie recherche et développement des projets innovants. Mais l'allégement fiscal proposé aux entrepreneurs éligibles à ce type d'accompagnement aurait surtout servi, dans ce cas, à enrichir les comptes personnels du principal mis en cause. C'est en tout cas ce qu'il ressort d'une enquête fastidieuse menée par la division économique et financière du SRPJ de Toulouse qui aurait permis de démonter tout un mécano financier complexe. Une arnaque présumée portant sur une somme de près de 2 millions d'euros indûment perçue pour financer un système d'antenne sur les avions permettant aux passagers de se connecter à internet en plein vol. C'est par le biais de la société toulousaine Axcess Europe, en liquidation judiciaire depuis un an, que transitaient toutes les demandes de crédit. Les aides allouées auraient pris la direction d'une holding dénommée Axcess et basée au Luxembourg. En réalité, une simple adresse postale permettant de récupérer les fonds, via un circuit financier opaque, et des sociétés sans réelle existence économique, établies dans une dizaine de pays. Une grande partie de cet argent public aurait alimenté le portefeuille personnel de Pierre L, dont l'avocat, sollicité plusieurs fois, n'a pas souhaité s'exprimer.
Critiqué par la cour des comptes, le CIR a fait l'objet d'une étude approfondie de chaque dossier ces dernières années. Et en examinant les demandes successives d'aide de la société Axcess Europe, l'administration fiscale aurait mis au jour des versements indus au bénéfice de cette société. Un signalement a été transmis au parquet de Toulouse qui a saisi les enquêteurs financiers du SRPJ pour démêler cet écheveau. Sur 10 millions d'euros demandés pour l'aboutissement du projet, près de 2 millions ont été octroyés. Une instruction a été ouverte pour déterminer avec précision l'utilisation finale des aides indûment perçues. Deux autres personnes, sa compagne et un gérant, ont été placées sous contrôle judiciaire. Ce dernier et Pierre H.L. voulaient mettre à profit leur connaissance technique et scientifique dans le secteur de l'aéronautique en développant leur projet d'antenne sur les vols long-courriers. Leur nom avait d'ailleurs été cité en référence dans une thèse très sérieuse soutenue par un étudiant de l'Insa, à Toulouse, fin 2011.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/27/2112716-escroquerie-fiscale-a-2-me-un-patron-d-entreprise-ecroue.html

Pays de Montbéliard : après le décès de sa mère des suites de déshydratation en maison de retraite, sa fille cherche des explications

Yvonne avait 82 ans. Cette octogénaire domiciliée dans le pays de Montbéliard a été accueillie à l’automne 2012 dans un établissement spécialisé de la région.
Deux ans plus tard, elle s’est éteinte, alors que rien ne laissait présager une fin rapide. « Durant les derniers jours qui ont précédé sa mort, elle n’allait pas très bien. Elle se plaignait de maux de gorge », rapporte sa fille Colette, qui lui rendait visite tous les après-midis. Elle n’aurait rien soupçonné et aurait porté son deuil en silence si n’avait été le constat dressé par un médecin des urgences de l’hôpital où la vieille dame avait été transportée à bout de forces : « Votre maman est décédée des suites d’une déshydratation ! » Cette révélation a eu l’effet d’un coup de massue sur Colette : « On aurait dû la perfuser ! Il aurait suffi de la perfuser pour qu’elle soit encore en vie ! », s’indigne l’orpheline, qui s’est aussitôt mise en quête d’explications.
« On met en doute le certificat du médecin urgentiste »
Mais ni le médecin, ni la direction l’établissement où était hébergée sa maman, ni l’autorité de tutelle n’ont été en mesure de lui en fournir. « Pire que ça, on ne me croit pas. On met en doute le certificat du médecin urgentiste », s’insurge Colette, qui s’est finalement résolue à recourir aux services d’un avocat : « Mon avocat a adressé des courriers à toutes les personnes susceptibles de nous éclairer sur les circonstances du décès de ma maman. En vain. Elle a eu beau préciser qu’on ne cherchait pas à battre monnaie, qu’on ne réclame rien d’autre que des explications, rien n’y fait : c’est le silence. Et c’est insupportable », témoigne Colette, qui, en désespoir de cause, nous a sollicités. « Je ne veux pas faire un procès contre cet établissement. Ce n’est pas le genre de la maison. D’ailleurs, maman n’aurait pas aimé qu’on parle de tout ça. Mais ça me soulage d’en parler. Et surtout, j’aimerais attirer l’attention sur ce grave problème de la déshydratation des personnes âgées ».
Colette évoque l’épisode dramatique de la canicule de l’été 2003, avec sa cohorte de 15.000 morts qui avait ébranlé la France entière.
« Je pensais que tout le monde, surtout dans le milieu soignant, faisait tout aujourd’hui pour éviter que pareil drame ne se reproduise. Mais j’ai constaté que l’on continue ici ou là à ignorer ce sérieux problème pourtant bien connu : les personnes âgées perdent la sensation de la soif. C’est pourquoi il faut leur proposer régulièrement à boire. C’est vital pour elles. »
Colette pourrait parler pendant des heures sans étancher sa soif de comprendre comment on a pu laisser sa maman mourir aussi bêtement. « Surtout, écrivez bien que ce n’est pas seulement quand il fait chaud qu’il faut proposer à boire aux aînés, mais tout le temps. La preuve, maman est morte de déshydratation au mois de novembre ! ».
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/05/26/pays-de-montbeliard-apres-le-deces-de-sa-mere-des-suites-de-deshydratation-en-maison-de-retraite-sa-fille-cherche-des-explications

mardi 26 mai 2015

Vol de diamants à l'arraché en plein Paris

Une pochette contenant des diamants pour une valeur de 35.000 euros a été volée à l'arraché mardi vers 16h30 dans le quartier du Marais au sein du IIIe arrondissement de Paris.
Le malfrat devait être bien renseigné. Une pochette contenant des diamants pour une valeur de 35.000 euros a été volée à l'arraché mardi vers 16h30 dans le quartier du Marais au sein du IIIe arrondissement de Paris. Le propriétaire des diamants se rendait chez un diamantaire du quartier

Landes : il bat violemment son ex-compagne, une enquête ouverte pour tentative de meurtre


C'est une scène d'une rare violence qui s'est déroulée dimanche matin dans une maison de Louer. Une mère de famille, âgée de 34 ans, a reçu de nombreux coups de poing, de tête, de ceinture et de pied, de la part de son ancien conjoint de 36 ans.
Publicité
La jeune femme trouve refuge chez un voisin
La pluie de coups aurait duré une heure selon le parquet de Dax, et ne s'est arrêtée que lorsque l'attention du père de famille a été attirée un peu plus longuement par un des deux enfants du couple, âgés de 4 ans et 7 mois.
La jeune femme en a alors profité pour s'échapper par une fenêtre et trouver refuge chez un voisin qui a alerté les secours à 9 h 30. Ces derniers avaient également été prévenus par le nouvel ami de la jeune femme, qui avait reçu des menaces de mort de l'ancien conjoint et avait compris que la situation allait dégénérer.

Blessée de la tête aux pieds

Reparti dans l'Essonne (91) depuis la séparation du couple en début d'année, le père de famille serait revenu dans le village chalossais dans la nuit de samedi à dimanche. Arrivé vers 1 heure du matin, il aurait dormi dans sa voiture en attendant que la maisonnée se réveille.
Un homme déjà condamné pour violences conjugales
Hospitalisée à Dax, la victime a bien cru que sa dernière heure était arrivée. Blessée de la tête aux pieds, la jeune femme s'est vue signifier 12 jours d'ITT. Interpellé dans la maison par les gendarmes, le père de famille a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Pontonx-sur-l'Adour.
Il avait déjà été condamné pour des violences conjugales sur son ancienne compagne en 2010. Inquiétée par ses SMS menaçants, cette dernière avait déposé plainte à son encontre le 15 mai. Une enquête a été ouverte pour tentative de meurtre et confiée aux gendarmes de Pontonx, appuyés par la Brigade de recherches de Dax. La garde à vue du conjoint violent a été prolongée hier soir. Les enfants ont été pris en charge par leur grand-mère maternelle.

http://www.sudouest.fr/2015/05/25/une-enquete-ouverte-pour-tentative-de-meurtre-1930329-3350.php

Un homme tire des centaines de balles sur un hélicoptère dans l'Ain

Selon Le Progrès, un pilote et son instructeur ont évité le pire fin avril lors d'un vol en rase campagne.

Les faits se sont déroulés le 22 avril mais Le Progrès ne donne l'information que ce mardi.  Ce jour-là, un pilote est en vol avec son instructeur dans l'Ain, près de Lyon, pour valider sa licence de pilote. Les deux hommes volent tranquillement en rase campagne pour ne pas déranger les habitations. Mais la journée va se dérouler différemment que prévu.

En effet, alors que l'appareil est en vol stationnaire au-dessus du sol, un individu surgit de nulle part, armé d'un fusil de chasse. Il tire alors à de multiples reprises sur l'hélicoptère qui se pose quelque temps après.

Une fois posé sur le sol, le pilote et son instructeur ne peuvent que constater les dégâts. Une centaine d'impacts de plomb recouvre la queue de l'appareil, ainsi que l'un des pales. Une enquête a été ouverte mais aucun indice n'a permis d'identifier le tireur. Les deux hommes s'en sont plutôt bien tirés.

Collision à La Neuvelle-lès-Scey : une étudiante sérieusement blessée

Une collision spectaculaire a fait une blessée grave ce dimanche vers 17 h 20 sur la RN 19. L’accident s’est produit à l’intersection entre la nationale et la RD 283, au niveau de La Neuvelle-lès-Scey (Haute-Saône).
En provenance de la petite route d’Arbecey, une jeune femme de 20 ans a voulu traverser la RN 19 au volant de sa 206 pour se diriger vers La Neuvelle. Marion Ruisseaux, étudiante en première année de médecine, repartait de chez ses parents pour rentrer à Besançon, où elle réside la semaine. L’intersection est dangereuse, mais la jeune femme passe à cet endroit chaque dimanche.
Cette fois, pour une raison encore inexpliquée, elle se serait engagée alors qu’un véhicule arrivait sur la RN 19 dans le sens Vesoul-Combeaufontaine. La conductrice d’une C1 n’a pas pu éviter le choc. Elle a percuté la 206 de plein fouet, au niveau de la portière avant gauche. Les deux véhicules ont fini leur route l’un contre l’autre dans l’herbe, sur le bas-côté.
Au volant de la Citroën, une jeune femme de 21 ans originaire de Longevelle-sur-le-Doubs – qui suit un stage d’infirmière à l’hôpital de Vesoul – s’en est semble-t-il tirée sans trop de dommages. Elle est parvenue à s’extraire de son véhicule avant l’arrivée des secours et a été transportée à Vesoul pour des examens de contrôle.
Dans la 206, Marion Ruisseaux a été plus sérieusement blessée. Se plaignant de douleurs à la hanche, elle était piégée dans son véhicule. « Nous avons utilisé le matériel de désincarcération pour l’extraire avec précaution », relate le capitaine Denizot, commandant des opérations de secours, qui dirigeait pour l’occasion des pompiers de Combeaufontaine, Scey-sur-Saône et Vesoul. Sous la surveillance d’une équipe du SMUR, la jeune femme a été délivrée de sa voiture et a été transportée à l’hôpital de Vesoul. Elle devait passer des partiels de fin d’année ce mardi.
Le trafic a été légèrement perturbé pendant les opérations de secours : les gendarmes ont alterné la circulation sur une voie.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/05/25/collision-a-la-neuvelle-les-scey-une-etudiante-serieusement-blessee

lundi 25 mai 2015

Landivisiau: accident mortel sur la RN 12

Une femme âgée de 38 ans a perdu le contrôle de son véhicule ce samedi soir sur la Nationale 12 à hauteur de Landivisiau. Elle est décédée dans l'accident, tandis que sa fille âgée de 5 ans a été légèrement blessée et transportée au CHRU de Brest.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2015/05/25/landicisiau-accident-mortel-sur-la-rn-12-731519.html

Il tente d'assassiner sa compagne avec un rouleau à pâtisserie

Un pâtissier de Saint-Laurent-du-Var dans les Alpes-Maritimes a été mis en examen et écroué dimanche après avoir enlevé et tenté d'assassiner sa compagne à coup de rouleau à pâtisserie.
Vendredi soir, vers 23h30, l'artisan d'une cinquantaine d'années, qui entretenait depuis quelques mois une relation avec une quinquagénaire serveuse dans cette ville de l'agglomération niçoise, était venu attendre cette dernière à son domicile et l'avait violemment agressée avec un rouleau à pâtisserie, avant de l'entraîner de force dans son véhicule.
Des automobilistes avaient repéré la victime cherchant à s'enfuir dans les alentours de Vence. Et l'artisan d'une cinquantaine d'années avait fini par la déposer, grièvement blessée, devant une clinique.
L'homme a été interpellé au petit matin, alors qu'il s'était réfugié chez sa mère. Il a été mis en examen dimanche pour tentative d'assassinat et enlèvement et a été écroué. La victime, dont le pronostic vital a un temps été engagé, est hors de danger et a pu être entendue par les enquêteurs.
ADVERTISEMENT
Le pâtissier a visiblement mal supporté la décision de rompre de cette dernière

Voiture contre moto: le motard grièvement blessé

Un accident entre une voiture et une moto s'est produit ce dimanche vers 10h15 rue Louis-Ampère à Illkirch-Graffenstaden
A l'arrivée des pompiers et du Samu, le pilote du deux-roues gisait inconscient sur la chaussée. Agé d'une trentaine d'années, il a été évacué dans un état grave au CHU de Strasbourg-Hautepierre. L'automobiliste de 78 ans est indemne mais très choqué
http://www.dna.fr/actualite/2015/05/25/voiture-contre-moto-le-motard-grievement-blesse

HAUTE-LOIRE. Deux motards blessés dans une collision avec un tracteur à Valprivas

Dimanche, aux alentours de 18 h 30, une moto circulant sur la RD125 en direction de Saint-Hilaire-Cusson-la-Valmitte (Loire) est entrée en collision avec un tracteur, au lieu-dit « Chazelet ».
Dans l’accident, les deux jeunes motards, originaires de Saint-Anthème (Puy-de-Dôme) et de Marlhes (Loire), ont été blessés. Ils ont été secourus par les sapeurs-pompiers de Saint-Pal-en-Chalencon, Bas-en-Basset et Beauzac, ainsi qu’une équipe du SAMU42, venue à bord d’un hélicoptère. Le pilote, qui souffrirait d’une fracture au niveau du bassin, a été héliporté à l’Hôpital Nord de Saint-Étienne. Sa passagère, dont les blessures seraient plus légères, a été transportée à l’hôpital par voie terrestre.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Monistrol-sur-Loire ont tenté d’établir les circonstances de cette collision. Au volant de son tracteur, un agriculteur de Valprivas aurait quitté un chemin rural pour s’engager sur la départementale au moment où passait la moto. À ce carrefour, la visibilité, pour ceux qui souhaitent rejoindre la route, obstruée par une haie, est très réduite.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2015/05/24/deux-motards-blesses-dans-une-collision-avec-un-tracteur-a-valprivas

dimanche 24 mai 2015

Il feint une alerte à la bombe pour retarder l'avion de son amie

Un trentenaire girondin, qui craignait que son amie, bloquée dans les embouteillages, rate son avion, a lancé une fausse alerte à la bombe à l'aéroport de Bordeaux-Mérignac.
MYTF1News vous en parlait récemment : l'amour a les mêmes effets que l'alcool ! C'est sans doute aveuglé par l'ivresse des sentiments qu'un Bordelais de 33 ans a passé un coup de fil à l'aéroport de Bordeaux-Mérignac jeudi 21 mai aux alentours de 7h30 et lancé : "Il y a une bombe!"
Une partie de l'aéroport est immédiatement bouclée et des recherches sont lancées par les policiers et militaires sur place dans le cadre du plan Vigipirate, révèle Sud Ouest Dimanche. En vain.
Et pour cause. L'auteur de l'appel, localisé dans une bourgade située à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux, a reconnu les faits et expliqué son geste en garde à vue : son amie se trouvait bloquée dans les embouteillages sur la rocade bordelaise et cet appel lui a paru le seul moyen de retarder le vol.
Convoqué pour une comparution devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, il risque deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende, rappelle le Parquet qui a confirmé l'anecdote.

Les «faux policiers» sévissent par téléphone

Avec trois plaintes déposées en l'espace de quinze jours, les policiers de la brigade des affaires financières font face à une escroquerie d'un nouveau type à Toulouse. Cible privilégiée : les personnes âgées. Mode opératoire : le téléphone. Les trois victimes, toutes retraitées, ont fait état d'une escroquerie similaire, jusque-là inconnue des services de police dans la Ville rose. «L'escroc se fait passer pour un policier, et explique qu'il enquête sur une série de cartes bleues piratées. Par prudence, il demande à la personne de se rendre dans un bureau de tabac et d'acheter avec sa carte bleue une carte PCS, une carte de paiement prépayée, et de lui communiquer le code de cette carte. Puis de charger de l'argent sur cette carte», indiquent les forces de l'ordre. «Le procédé paraît fumeux, mais l'escroc fait preuve d'une grande persuasion et parvient à prendre l'ascendant psychologique sur sa victime», souligne-t-on.

Vérifier l'identité

La prudence est donc de mise. «Si quelqu'un se présente à vous en se faisant passer pour un policier, avant toute autre chose, demandez-lui son nom et son poste. Relevez le numéro d'appel s'il n'est pas masqué. Puis appelez immédiatement le commissariat (1) pour vérifier si cette personne existe, et si elle vient de vous appeler.» Un réflexe qui vaut pour toutes les arnaques «au faux policier». Que l'escroc appelle au téléphone ou qu'il se présente au domicile.
(1) À Toulouse, le standard du commissariat central est le 05 61 12 77 77.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/24/2110899-les-faux-policiers-sevissent-par-telephone.html

samedi 23 mai 2015

Le tracteur percute un arbre : un blessé grave

Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été grièvement blessé ce samedi matin dans un accident avec un tracteur, dans le nord du Bas-Rhin
L'accident s'est produit aux alentours de 9h45 indiquent les sapeurs-pompiers, sur la RD3 vers Lembach, sur le ban de la commune de Niedersteinbach (nord du Bas-Rhin). Selon le compte-rendu des sapeurs-pompiers, un tracteur de plus de six tonnes a percuté un arbre et s'est couché sur le flanc. Un homme d'une vingtaine d'années, selon les sapeurs-pompiers, qui a réussi à se dégager seul, considéré comme grièvement blessé, a été transporté en hélicoptère à l'hôpital de Hautepierre, à Strasbourg
http://www.dna.fr/actualite/2015/05/23/le-tracteur-percute-un-arbre-un-blesse-grave

La tension monte entre les commerçants et les gitans

Cela fait maintenant un peu plus de 10 jours que des riverains, commerçants et artisans de la zone de la Chartreuse vivent une situation pour le moins compliquée. Un enfer pour certains. Depuis qu'une dizaine de caravanes et véhicules de gens du voyage, expulsés du terrain situé près de l'aéroport, sont venus s'installer sauvagement sur un terrain rue d'Ampère. Une situation qu'ils sont venus exposer jeudi soir en mairie au sous-préfet, Jean-Yves Chiaro, à la commissaire Anne de Bermont et au maire Pascal Bugis. Une trentaine de personnes ont témoigné de leur exaspération et parfois de leur peur. Les commerçants aux alentours sont en effet confrontés à des vols à l'étalage, incivilités, provocations, insultes et autres dégradations. «Cela occupe une bonne partie du personnel obligé de surveiller ces personnes qui sont souvent des enfants qui arrivent à plusieurs, témoigne Guy Bousquet le patron de la Jardinerie tarnaise. Cela devient très difficile à gérer. La tension monte régulièrement. L'enfant d'un de mes clients a reçu une gifle l'autre jour. Et la jeune femme qui tient un magasin de vêtements à côté à reçu deux gifles parce qu'elle a essayé de s'interposer avec ces gens qui étaient en train de la voler». Les commerçants les plus près des caravanes se disent terrorisés et contraints de s'enfermer dans leur boutique. Les policiers, qui se déplacent plusieurs fois par jour sur place, ont déjà enregistré une dizaine de plaintes et autant de mains courantes.
Lors de cette réunion, le maire a expliqué le contexte de la présence de ces gens du voyage exclus de l'aire de la Vivarié à cause de leur comportement. Et depuis, les gens du voyage, qui souhaitent rester sur la ville, jouent au chat et à la souris avec les autorités. Et le sous-préfet et la commissaire ont rappelé aussi les procédures légales auxquelles ils étaient soumis pour intervenir dans ce genre de situation. D'ailleurs, le propriétaire du terrain sur lequel les caravanes sont installées illégalement a déposé une demande d'expulsion en référé au tribunal. Une requête qui sera examinée mardi. «Si après ce référé, rien est fait, on décidera d'actions à envisager», explique Guy Bousquet qui estime que les procédures sont trop longues et qui craint que l'agacement ressenti par les commerçants et riverains sur la zone tourne au débordement.
Une situation qui pourrait aussi dégénérer au Siala puisque trois caravanes ont quitté Mélou pour s'installer derrière Décathlon.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/23/2110288-la-tension-monte-entre-les-commercants-et-les-gitans.html

vendredi 22 mai 2015

Une fillette de 11 ans fauchée par une voiture à Fécamp

Une fillette de 11 ans a été fauchée par une voiture, hier soir, vers 18 heures, route de Valmont. L'enfant a traversé la voie, en dehors d'un passage protégé au moment ou arrivait une automobile. Gêné par un camion, le conducteur, âgé de 78 ans, n'a pu l'éviter.

La jeune fille, encastrée sous la voiture a été transportée au centre hospitalier Jacques Monod, près du Havre. Elle souffre de douleurs à la colonne vertébrale, de plaies à l'abdomen et au genou. Son pronostic vital n'est pas engagé. L'automobiliste n'était pas alcoolisé.  

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2015/05/22/une-fillette-de-11-ans-fauchee-par-une-voiture-fecamp-730065.html

Appel à témoins: un étudiant lotois renversé à Bordeaux est actuellement entre la vie et la mort

Un étudiant âgé de 21 ans, originaire du Lot et domicilié à Mérignac (Gironde), est actuellement dans un état jugé "très critique" après avoir été renversé par une voiture, dans la nuit de mercredi à jeudi, peu après minuit, rue Boudet à Bordeaux. Après avoir heurté violemment le jeune Lotois (son corps a été projeté à une vingtaine de mètres du point d'impact), le chauffard a pris la fuite s'engageant même dans une rue en sens interdit.
Il conduisait une voiture grise dont le rétroviseur gauche a été brisé. La police bordelaise lance un appel à témoins pour retrouver l'auteur présumé de cet accident avec délit de fuite.
Toute personne qui serait en mesure d'informer les policiers doit composer le 05.57.85.71.60.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/22/2109962-appel-temoins-etudiant-lotois-renverse-bordeaux-est-actuellement-entre-vie.html

Marseille: un mort après un violent accident entre un tram et une voiture

Un mort et un blessé grave à Marseille dans un violent choc entre un tram et une voiture. Les marin-pompiers dépêchés sur place situent l'accident vers 12H15 dans le 5e arrondissement de la municipalité, dans des circonstances qui ne pouvaient pas être immédiatement précisées.
   
En heurtant le tramway, la voiture a été projetée sur un piéton, un homme de 31 ans. Le blessé a été déclaré mort environ une heure après l'accident, ont ajouté les marins-pompiers, dont 25 hommes étaient déployés sur place.

Le conducteur du véhicule, âgé de 21 ans et souffrant de nombreux traumatismes, a quant à lui été évacué vers un service d'urgence hospitalière, dans un état grave, même si son pronostic vital n'était pas engagé.
   
Le tramway n'a pas déraillé lors de la collision, aucun de ses occupants n'a été a priori blessé.


http://www.bfmtv.com/societe/faits-divers/

jeudi 21 mai 2015

Autoroute : il tue un agent de la Sanef et réclame la réparation de sa voiture

Classé sans suite par le Parquet de Senlis, un accident dramatique qui a coûté la vie à un patrouilleur de l’A1, revient, ce vendredi 22 mai 2015, sur le terrain judiciaire. Le 24 août 2008, un conducteur belge au volant d’une BMW, employé de la société Mopan, avait percuté un agent de la Sanef (Société des autoroutes du nord et de l’est de la France) alors qu’il ramassait des débris de pneu sur la voie médiane de l’autoroute, à hauteur de Plailly.
Conclusion de l’enquête : un funeste concours de circonstances mais le chauffeur ne pouvait pas être mis en cause. C’est finalement lui qui, sept ans plus tard, se retourne contre la Sanef. Devant le tribunal administratif d’Amiens (Somme), il demande « réparation du préjudice subi ».

L’avocat de la société Mopan, Me Marc Stubbe, explique : « Mon client a vu l’agent sur la voie du milieu à la dernière minute, il n’y avait aucune signalisation, il s’est déporté à gauche. Au même moment, le patrouilleur a tenté de rejoindre le terre-plein central et l’accident est arrivé. Dramatique… un homme a perdu la vie mais mon client n’y est pour rien », défend-il. « Nous faisons cette demande car il n’a pas pu se faire rembourser des dommages causés sur son véhicule, la Sanef a refusé de l’indemniser. » Au sein du personnel de l’exploitant autoroutier, ce décès avait suscité une très vive émotion. Contactée, la Sanef n’a pas souhaité s’exprimer.


http://www.leparisien.fr/plailly-60128/il-tue-un-agent-de-la-sanef-et-demande-la-reparation-de-son-vehicule-21-05-2015-4790883.php

Accident mortel sur l'A75

Mercredi vers 13h, un automobiliste qui conduisait un véhicule Dacia Duster a trouvé la mort sur l'A75 dans le sens Sud-Nord peu avant l'aire de Lafayette-Lorlanges. Sa passagère est elle légèrement blessé et a été évacuée vers le Centre Hospitalier d'Issoire.
Il est environ 12h50 quand l'accident a eu lieu sur l'A75, dans le sens Sud-Nord, aux environs de l'aire de Lafayette Lorlanges. Pour une raison encore indéterminée, le conducteur d'un Dacia Duster perd le contrôle de son véhicule qui part en tonneaux sur plusieurs dizaines de mètres avant de finir sur le toit.

Les sapeurs-pompiers de Brioude, arrivés rapidement sur place, ont tenté de désincarcérer l'homme qui, gravement blessé, est décédé sur place quelques minutes plus tard. La vie de sa passagère n'est quant-à elle pas en danger. Légèrement blessée, elle a été évacuée vers le Centre Hospitalier d'Issoire.

 http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2015/05/20/accident-mortel-sur-l-a75-728735.html

L'animatrice télé Carole Rousseau se retrouve au commissariat après une bagarre

Carole Rousseau a été interrogée au commissariat du Ier arrondissement de Paris après une bagarre mardi dernier, révèle Le Parisien ce jeudi. L'animatrice télé se serait battue avec une autre femme. L'objet du conflit : une place de parking, précise le quotidien.
Celle qui s'est fait connaître sur TF1 devait récupérer un document dans son bureau, avant d'emmener son fils blessé, suite à une chute, aux urgences. Alors qu'elle voulait se garer, elle a alors découvert une camionnette d'ouvriers sur sa place de stationnement. Ces derniers effectuaient des travaux dans un immeuble voisin.

Des claques échangées

Quand elle a demandé que le véhicule soit déplacé, la propriétaire des locaux est sortie et le ton est monté. D'après les témoins, celle-ci aurait insulté Carole Rousseau qui était déjà énervée et « stressée », a-t-elle expliqué. C'est alors que les deux femmes en seraient venues aux mains. Une scène digne d'une dispute dans un feuilleton télé : des claques sont échangées, des cheveux sont tirés…
"J'ai été insultée, j'ai pris une gifle, alors j'en ai remis une. Rien de plus. (…) À cause de ça, je n'ai pas pu emmener mon fils aux urgences, et je ne l'ai retrouvé là-bas qu'un peu plus tard ", s'est défendue Carole Rousseau, interrogé mercredi par Le Parisien.
Les deux belligérantes ont fini au commissariat. Le parquet n'a pas donné suite à l'affaire.
http://www.sudouest.fr/2015/05/21/l-animatrice-tele-carole-rousseau-se-retrouve-au-commissariat-apres-une-bagarre-1927438-4697.php

La Rochelle : le cadavre d'un homme torturé trouvé dans un appartement

Le corps d’un homme dans un état de putréfaction avancé a été trouvé par la police jeudi à La Rochelle (Charente-Maritime), rapporte Sud-Ouest. La victime, âgée de 55 ans, a été violemment frappée avant d’être étranglée avec un lacet.

Tué il y a des semaines

C’est un ami du locataire qui a prévenu les forces de l’ordre, inquiet de ne pas avoir de nouvelles depuis longtemps. Les policiers ignorent encore les causes de ce sordide assassinat et l’enquête a été confiée à la PJ. La mort de l’homme remonterait à plusieurs semaines et l’appartement a donc dû être entièrement désinfecté.

mercredi 20 mai 2015

Limoges : alerte à l'entérocoque, bactérie multirésistante au CHU

La cellule de crise vient d'être désactivée mais au CHU de Limoges, le service d'hépato-gastro-entérologie a dû faire face à une épidémie d'entérocoques, une bactérie résistante aux antibiotiques
La situation est sur le point d'être réglée au CHU de Limoges. Seul un patient est encore concerné par cette bactérie multirésistante. Il  a été diagnostiqué le mois dernier, mais il est actuellement hospitalisé pour d'autres raisons médicales. Au total, onze patients ont été pris en charge.

Cette épidémie d'entérocoques a touché le service d'hépato-gastro-entérologie du CHU le 16 avril dernier. Lorsque cette épidémie a été identifiée, tous les patients ont été isolés dans une aile du service. Heureusement, il ne s'agissait que de porteurs sains. Ils n'avaient pas développé d'infection.

Il faut savoir que le risque le plus important a craindre dans ce type de cas semble être l'infection urinaire, mais aucun patient n'en a été victime. Néanmoins ce début d'épidémie a été pris très au sérieux en raison de la résistance de la bactérie aux antibiotiques et sa rapidité de propagation.

La cellule de crise mise en place depuis un mois a été désactivée ce matin et la zone de prise en charge des patients est en cours de désinfection.
Ce type d'épidémies n'est pas rare en France, mais c'est la première fois que le CHU de Limoges est concerné.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2015/05/20/limoges-alerte-l-enterocoque-bacterie-multiresitante-au-chu-728341.html

Carmaux : peur sur la ville

Le pire a été évité de justesse hier matin vers 10 h 30 à Carmaux (Tarn). Deux hommes ont braqué une armurerie. Mis en fuite par le commerçant avec une bombe lacrymogène, ils ont croisé des policiers devant l'école Jean-Jaurès. Le duo n'a pas hésité à faire feu sur eux avant de prendre la fuite. Hier soir, ils étaient toujours en fuite.
Deux braqueurs ont fait irruption dans une armurerie hier matin, à Carmaux et ont ouvert le feu sur des policiers venus les arrêter. Ce duo déterminé a pris la fuite au terme d'un échange de tirs avec les fonctionnaires de police dont l'un d'eux a été blessé d'une balle à la cuisse. Ces deux hommes se sont volatilisés et d'importants moyens ont été mis en place pour les retrouver. Le braquage s'est déroulé en plein centre-ville au magasin «Carmaux, loisirs et passion» situé au 46 de la principale avenue de l'ancienne cité minière. Un témoin raconte : «Je sortais de mon magasin pour aller fumer une cigarette quand j'ai vu mon collègue d'en face sortir de son armurerie en se frottant les yeux, confie Sophie. J'ai entendu l'alarme se déclencher et au même moment, j'ai vu un homme se diriger dans ma direction, le regard perdu, un fusil à la main. Il était alors à un mètre de moi. Une fois la rue Albert-Thomas traversée, il a parlé à un deuxième homme en lui criant : «cours, cours !». De taille moyenne, pas plus de trente ans, les deux hommes s'exprimaient dans un français sans accent. La police et les pompiers carmausins sont arrivés sur place très vite. Quelques minutes plus tard, on a entendu un coup de feu.»
Hier vers 10 h 30, le duo déboule dans cette échoppe qui vend des armes, des couteaux, et demande à voir sur le comptoir un fusil de chasse à pompe d'une valeur de 400 €. Une fois l'arme sortie du râtelier par le commerçant et alors qu'il vérifie le prix sur son ordinateur, les deux hommes sortent un petit pistolet. Là, tout va très vite. L'armurier ne se laisse pas intimider et sort une bombe lacrymogène. Les deux braqueurs répliquent en gazant à leur tour le commerçant et prennent la fuite à pied avec leur maigre butin. Ils traversent au pas de course la place Gambetta et se retrouvent à 800 m de là à hauteur de l'école Jean-Jaurès au moment de la récréation. C'est là que les deux hommes se trouvent nez à nez avec une patrouille de police. Au lieu de prendre une direction opposée, ils mettent en joue les policiers avec la ferme intention de leur dérober leur véhicule. Ils ouvrent la porte passager et extirpent la policière, la plaquent au sol et lui volent son arme de service. Dans la foulée, avec cette arme, l'un des deux braqueurs ouvre le feu sur le policier. Ce dernier riposte avant de voir une balle lui toucher la cuisse gauche. Après cette fusillade qui s'est déroulée alors que les enfants de l'école Jean-Jaurès achevaient leur temps de récréation, les deux hommes n'en restent pas là. Ils braquent un autre véhicule, un Mercedes Classe A à la sortie de la ville, en l'occurrence celui d'un ancien policier à la retraite, mais l'abandonnent moteur tournant quelques centaines de mètres plus tard. Les deux malfaiteurs se rabattent finalement sur une Renault Clio de couleur grise pour fuir la ville tarnaise de 10 000 habitants.
Les policiers du SRPJ de Toulouse sont arrivés sur place hier vers 13 h 30. Le plan Épervier a été déclenché sur le Tarn et les départements limitrophes dès le braquage de l'armurerie. Un braquage qui aurait pu tourner au carnage. L'armurier dans un premier temps et les deux policiers carmausins ensuite ont vu la mort de très près devant cette école Jean-Jaurès où jouaient des enfants. Et que se serait-il passé si les deux malfaiteurs version «tête brûlée» avaient décidé d'entrer dans la cour de l'école pour s'y retrancher ? On n'ose l'imaginer.
 

Taillecourt : la chaudière explose, deux octogénaires gravement blessés

Montbéliard. Ce mardi matin, un dramatique accident domestique s’est produit dans la commune de Taillecourt (Doubs). Vers 11 h 15, un habitant de 84 ans, Virgile Baumler, et son épouse de 80 ans, Pierrette, ont entendu un bruit sourd en provenance du sous-sol de leur maison. Ils sont descendus à la cave pour comprendre ce qui se passait. Au moment même, la chaudière à bois a explosé. Des voisins sont venus immédiatement secourir ces deux personnes et ont appelé les pompiers.
Victime de brûlures importantes aux bras, aux jambes et au visage, l’homme a été conduit au centre hospitalier de Montbéliard. Les brûlures de sa femme paraissent plus légères. La dame a été touchée aux bras, au thorax. Elle a également été hospitalisée. Les gendarmes se sont rendus sur place pour procéder aux constatations d’usage et à l’enquête. Aucun relogement ne sera nécessaire.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/05/20/taillecourt-la-chaudiere-explose-deux-octogenaires-gravement-blesses

mardi 19 mai 2015

Braquage à Carmaux : un policier blessé, une école évacuée

Ce mardi matin, deux individus ont braqué une armurerie située à Carmaux dans le Tarn. Ils ont blessé un policier en intervention en lui volant son arme. Une école mitoyenne a été évacuée par précaution.
Deux individus ont braqué ce mardi matin une armurerie à Carmaux (Tarn). Ils étaient toujours en fuite peu avant midi. Selon les informations de LCI, l'un des deux hommes a blessé à la cuisse un policier dépêché sur place en lui volant son revolver de type Sig Sauer.
"Une patrouille de police s'est rendue sur place : un des malfaiteurs a arraché l'arme de service des mains d'un policier et l'a blessé par balle à une cuisse", a confirmé une source policière à l'AFP, précisant qu'un important dispositif de police a été mis en place dans le quartier. L'un des deux hommes serait équipé d'un fusil à pompe.

Une école évacuée

Toujours selon LCI, le
braquage a provoqué la fermeture d'une école située à proximité. "Une mesure de précaution", indique l'AFP, précisant qu'il s'agit de l'école Jean-Jaurès. De son côté, le maire de la commune, Alain Espié, a indiqué auprès de l'agence que l'évacuation des élèves s'est déroulée sans problème.

Il a ajouté : "dès que les malfaiteurs sont sortis, ils ont arrêté une voiture, une  Mercedes grise, ont molesté et menacé d'une arme le conducteur avant de lui  voler sa voiture et de s'enfuir vers Valdériès", un village situé à une dizaine  de kilomètres au sud-est de Carmaux, a précisé le maire.

Dans un communiqué publié dans l'après-midi, le ministère de l'Intérieur condamnee "avec la plus grande fermeté" l'agression dont a été victime la patrouille de police.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/a-carmaux-un-braquage-provoque-l-evacuation-d-une-ecole-8610802.html

Une cycliste décède sous les roues d’un camion

Ce mardi matin vers 9 heures sur le port La Seyne (Var), un camion de 19 tonnes a percuté puis écrasé une dame circulant à vélo, rapporte le site de Var-Matin.
La femme, âgée de 47 ans, est morte sur le coup. Le conducteur du poids lourd, en état de choc, a dû être pris en charge par les pompiers. Une enquête est ouverte pour établir les circonstances de l'accident.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3411469/une-cycliste-decede-sous-les-roues-d%E2%80%99un-camion.html

La drogue était cachée dans l'école

Ils se croyaient à l'abri en choisissant une école primaire comme lieu de deal et y avaient installé un véritable drive de cannabis. Cinq personnes ont été interpellées, par les policiers du groupe civil de la compagnie de sécurisation et d'intervention (CSI), la semaine dernière à l'issue de deux semaines d'enquête autour de l'école élémentaire de Montaudran.
Ces individus se livraient, depuis au moins un mois, à un trafic de stupéfiants en toute impunité. Selon certains éléments de l'enquête, les dealers dissimulaient la drogue dans la cour et les toilettes de l'école.
Lorsqu'un client arrivait, il n'avait qu'à passer commande, depuis sa voiture, auprès du vendeur et attendre d'être servi, sur le modèle des drive-in de certains fast-foods. Âgés de 20 ans à 30 ans, les trafiquants jouaient sur l'intimidation en exhibant régulièrement des pistolets, du type de ceux utilisés pour le paintball.

1 500 € en liquide

Leur commerce pouvait leur rapporter entre 300 € et 500 € par jour. Ils ont finalement été pris en flag par les policiers alors qu'ils effectuaient des transactions. Cinq personnes ont été placées en garde à vue et des clients entendus.
Au cours des perquisitions, 400 grammes de résine de cannabis et 300 grammes d'herbe ont été retrouvés ainsi que 1 500 € d'argent liquide. À l'issue de leur garde à vue, les suspects ont été déférés devant un juge. Trois d'entre eux ont été écroués. Les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire en attendant leur comparution devant le tribunal correctionnel le 11 juin prochain.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/19/2107591-la-drogue-etait-cachee-dans-l-ecole.html

Aix-en-Provence : cinq ans après, la "veuve noire" reconnait les faits

Trois personnes comparaissent devant la cour d'assises des Bouches-du-Rhône, ce lundi, pour l'assassinat d'un entrepreneur à Rognonas (Bouches-du-Rhone) en 2010. Sa veuve, Roselyne P., a reconnu avoir commandité le meurtre. Son fils et un ami sont eux jugés en tant qu'exécuteurs présumés du contrat. Le verdict est attendu ce vendredi.

Près de cinq ans après les faits, Roselyne P., 61 ans, a reconnu avoir commandité l'assassinat de son mari, ce matin lors de son audience au tribunal d'Aix-en-provence. A ses côtés, son fils, Arnaud, 38 ans, tête baissée pendant la lecture du résumé des faits, a admis sa complicité, tout comme son ami Christopher, 30 ans, qui lui a déclaré : "Je reconnais être l'assassin." Christophe L, un chef d'entreprise de 48 ans, avait été tué d'un tir de fusil de chasse à la tête, le 24 novembre 2010, sur le chemin de leur mas à Rognonas. L'enquête avait mis au jour des tensions entre les époux depuis l'annonce de M. Lejard de son intention de divorcer
Selon l'accusation, Roselyne P., craignant d'être lésée dans le partage du patrimoine, avait demandé à son fils, né d'un premier mariage de recruter quelqu'un pour éliminer son mari, contre la somme de 15.000 euros. Il avait confié la tâche à Christopher. Des faits reconnus par la prévenue, en revanche elle nie avoir commandité depuis sa cellule, l'assassinat, ensuite, de Christopher ainsi que l'accusation d'escroquerie de 188.809 euros de capital décès.
Le verdict est attendu vendredi. Les trois principaux prévenus risquent la réclusion criminelle à perpétuité.

lundi 18 mai 2015

Reims: Après un accident mortel, la traversée urbaine complètement saturée

En fin d’après-midi aux alentours de 18h15, un piéton a été percuté par un poids lourd sur la traversée urbaine de Reims dans le sens Cormontreuil-Tinqueux à hauteur de l’échangeur Reims Cathédrale. Le choc s’est produit sur la voie du milieu, sous le pont de l’avenue de Gaulle.
Malgré l’arrivée des secours l’homme est décédé. Il s’agit d’un suicide, l’homme s’est engagé en marchant sur cette voie rapide limitée à 90 km/h et s’est jeté sous les roues d’un camion.
L’autoroute est complètement bloquée dans ce sens. L’échangeur Reims Cathédrale est fermé
http://www.lunion.com/node/466302

Charente-Maritime : deux femmes blessées dans un accident de la circulation

Samedi, peu avant 14 heures, les pompiers sont intervenus à la suite d'un accident de la circulation survenu entre deux automobiles sur la D 209, entre Surgères et Saint-Saturnin-du-Bois.
Trois femmes ont été secourues, et l'axe routier a été coupé. La gendarmerie était sur le site. Deux des personnes, respectivement âgées de 25 et 26 ans, ont été transportées au centre hospitalier de Niort. L'état de santé de la troisième femme, âgée de 45 ans, n'a pas nécessité de prise en charge hospitalière.
http://www.sudouest.fr/2015/05/18/charente-maritime-deux-femmes-blessees-dans-un-accident-de-la-circulation-1923905-1504.php

Accident d'hélicoptère en Corse: deux blessés

Deux personnes ont été blessées dans un crash d'hélicoptère ce matin à Bocognano (Corse-du-Sud), ont indiqué les services de la préfecture de région. L'appareil, un hélicoptère civil, effectuait des opérations d'élagage et de protection des lignes électriques pour le compte d'EDF, a précisé la préfecture.

Les deux personnes ont été blessées dans le crash de l'appareil, qui s'est ensuite embrasé. Leurs jours ne seraient pas en danger, a-t-on ajouté. La cause de cet accident qui s'est produit vers 10 heures, n'était pas connue à la mi-journée

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/05/18/97001-20150518FILWWW00141-accident-d-helicoptere-en-corse-deux-blesses.php

Morbihan: un cheval fonce dans la foule et fait 4 blessés

Hier après-midi, un cheval a désarçonné son jockey et foncé dans le public lors des courses hippiques de Questembert (Morbihan). L'animal a blessé quatre personnes dont un enfant grièvement.

L'enfant, âgée de 11 ans, a été pris en charge sur place par les sapeurs-pompiers puis transporté par hélicoptère à l'hôpital de Vannes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/05/18/97001-20150518FILWWW00056-morbihan-un-cheval-fonce-dans-la-foule-et-fait-4-blesses.php

Nancy : décès de l’assassin de Bousquet

Son nom avait fait le tour de la planète, le 8 juin 1993 à Paris : Christian Didier avait assassiné René Bousquet, secrétaire général de la police de Vichy. Originaire de Saint-Dié, le meurtrier avait été condamné à 10 ans de prison en 1995, qu’il avait purgés au centre de détention de Toul. Depuis, il vivait à Saint-Dié, à son domicile de la rue Joseph-Mengin, où il est décédé jeudi 15 mai, des suites d’une longue maladie, à l’âge de 71 ans.
En 1993, Christian Didier avait abattu René Bousquet, 84 ans, devant la porte de son domicile parisien de cinq balles, justifiant son acte lors de son procès, par son désir de « venger les victimes des meurtriers nazis, tuées à Saint-Dié ». René Bousquet était un haut fonctionnaire français collaborateur durant l’occupation de la France par les forces armées du Troisième Reich. Son passé avait fini par le rattraper, et l’instruction de son procès pour crimes contre l’humanité était en cours lorsqu’il fut assassiné par le Déodatien. Aussitôt après avoir tué Bousquet, il avait prévenu les journaux parisiens pour une conférence de presse.
Ces dernières années, Christian Didier réclamait sa réhabilitation, sous forme d’un acquittement qu’il estimait mériter « pour avoir sauvé l’honneur de la France en abattant René Bousquet, responsable de la livraison de 80.000 juifs de France, déportés et assassinés dans les camps de concentration ».
À Saint-Dié, ceux qui l’ont connu le croisaient parfois se promenant seul en ville. Christian Didier avait exercé plusieurs métiers dans la ville où sa mère avait, longtemps, tenu un salon de coiffure. Féru de lecture, il était l’auteur de trois ouvrages, dont un paru à compte d’auteur (La balade d’Early Bird) en 1985. En 2013, le Déodatien avait entamé des poursuites en diffamation contre l’écrivain Alain Minc pour son ouvrage « L’homme aux deux visages ».
Lors de son procès devant la cour d’assises de Paris en 1995 où il fut défendu par Arnaud Montebourg, jeune avocat commis d’office, la municipalité de Saint-Dié de l’époque avait appelé à une relative clémence des jurés. Ses obsèques seront célébrées demain à 10 h 30 en l’église Notre-Dame de Galilée à Saint-Dié.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/05/18/deces-de-l-assassin-de-bousquet

dimanche 17 mai 2015

Gironde : collision entre une moto et un vélo, trois personnes grièvement blessées

Le choc, très violent, s'est produit en fin de matinée dans le Libournais. Les pronostics vitaux du pilote de la moto, de son passager ainsi que celui du cycliste sont engagés
La route était ensoleillée ce dimanche matin vers 10h30. Une moto circulant sur la D674 venait de franchir le pont qui enjambe la voie ferrée sur la commune des Églisottes. Mais au croisement avec la D674E3, près du lieu-dit la Benauge, son chemin a rencontré celui d'un cycliste.
 
Le choc a semble-t-il été particulièrement violent : la moto a glissé sur une bonne centaine de mètres et le pilote ainsi que son passager, projetés, ont été retrouvés par des riverains en contrebas d'une barrière de sécurité. Le quinquagénaire à vélo gisait sur la chaussée.
Tous trois sont grièvement blessés : les deux hommes ont été placés en coma artificiel et évacués à l'hôpital Pellegrin, à Bordeaux, grâce aux hélicoptères Dragon 33 et Dragon 24 venus en renfort de Dordogne. La passagère a elle aussi été conduite à Bordeaux. Leur pronostic vital est engagé.
Cet accident a mobilisé plusieurs casernes (Coutras, La Roche-Chalais, Saint-Aigulin, Lapouyade, et Libourne). Les gendarmes de Coutras, Libourne et du peloton autoroutier d'Abzac ont régulé la circulation pendant près de deux heures, jusqu'à l'évacuation des blessés.

http://www.sudouest.fr/2015/05/17/gironde-collision-entre-une-moto-et-un-velo-trois-personnes-grievement-blessees-1923055-2780.php

Gironde : 900 kilos de viande avariée saisis chez un boucher

Un boucher-traiteur travaillant à Arès et au Haillan a été condamné mercredi à trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d'amende. Le tribunal correctionnel de Bordeaux l'a reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, comme le révèle "Sud Ouest Dimanche" dans son édition du 17 mai.

Suite à une dénonciation, les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont effectué une première visite à la boucherie d'Arès. Ils y ont vu des chats manger de la viande stockée dans un stand non sécurisé, d'autres morceaux à la couleur et/ou à l'odeur curieuses. De certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s'échappe même "un liquide verdâtre" quand on les presse.

 
Les constats furent identiques dans la boutique du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande douteuse et impropre à la consommation ont été saisis.

"Cela fait froid dans le dos"

Le boucher, qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait "une dépression" et "un paquet de bêtises".

"Il y a eu mise en danger de la vie d'autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos", a rétorqué la magistrate du parquet.

Les deux boucheries ont été fermées dans la foulée des contrôles et n'ont pas rouvert depuis.

http://www.sudouest.fr/2015/05/17/gironde-900-kilos-de-viande-avariees-saisis-chez-un-boucher-1922781-2944.php

Tonneins : un parapentiste de Saint-Girons très grièvement blessé

Un pratiquant de l'un de ces sports extrêmes, le parapente, a été retrouvé vers 16 heures hier gisant inanimé aux abords d'une ferme dans les environs du hameau Dayet, à Tonneins, à 30 kilomètres d'Agen vers Bordeaux. Âgé de 35 ans, Bierna Che, domicilié à Saint-Girons, était inconscient à l'arrivée des secours, et souffrait selon le premier diagnostic des urgentistes du Samu de multiples fractures aux membres inférieurs et au bassin. Deux heures après les premiers soins, il était toujours inconscient et il était envisagé dans un premier temps de le transférer par la route au CHU Pellegrin à Bordeaux. Mais l'accès au lieu de l'accident étant difficile pour les secours, cette option n'était plus privilégiée et les médecins poursuivaient les soins sur place. Depuis 48 heures, le Lot-et-Garonne est secoué par un épisode de vent, un riverain a été le témoin de la chute du parapentiste, et évoque auprès des gendarmes «une aile qui s'est pliée» après une rafale.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/17/2106351-tonneins-un-parapentiste-de-saint-girons-tres-grievement-blesse.html

samedi 16 mai 2015

Lyon 8e : une fillette percutée par un tramway

Une petite fille de 4 ans qui se promenait ce samedi peu avant 16 heures rue Volnay a brusquement échappé à la vigilance de son père et a couru en direction de la ligne de tramway qui passe le long de l’hôpital Edouard-Herriot.
Elle n’a pas vu arriver une rame qui venait de démarrer de la station Ambroise-Paré et se dirigeait vers Grange-Blanche. La petite a été percutée par la rame qui heureusement roulait à une vitesse réduite. Son père qui tentait de la rattraper a également touché. Légèrement blessée à la main et au genou, la fillette a été transportée à l’hôpital.
La ligne du T1 a été interrompue le temps de l’intervention des pompiers et a repris à 16 h 20. Les TCL ont mis en place un service partiel entre Grange-Blanche et Lyon Perrache et entre Hôtel de ville Bron et Saint-Priest- Bel Air. 
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/05/16/lyon-8e-une-fillette-percutee-par-un-tramway