mardi 31 mars 2015

Bordeaux : éconduit d'une soirée, il revient frapper le locataire

Vendredi soir, alors qu'il passait dans la rue Porte-Dijeaux à Bordeaux, un Bouscatais de 24 ans a entendu les bruits caractéristiques d'une soirée réussie : bonne musique et conversations animées. Alors qu'il ne connaissait aucun des participants, il s'est alors invité à cette soirée qui battait son plein.
Mais, un peu insistant avec les jeunes femmes, pénible avec les garçons et pique-assiette, il a vite été éconduit.
Mécontent, il est revenu à la même adresse lundi avec un ami et s'en est violemment pris à son hôte de vendredi, le frappant au visage. Le Bordelais fait tout de même valoir huit jours d'incapacité totale de travail. 
Interpellé, le jeune éconduit de la soirée a été placé en garde à vue à la brigade de sûreté urbaine de Bordeaux. Il en est ressorti avec une convocation devant le tribunal correctionnel de Bordeaux.
http://www.sudouest.fr/2015/03/31/bordeaux-econduit-d-une-soiree-a-laquelle-il-n-etait-pas-invite-il-revient-frapper-le-locataire-1877306-2780.php

Bouches-du-Rhône: trois banques braquées cette nuit en 20 minutes

Selon RTL, trois agences bancaires ont été braquées quasi simultanément cette nuit dans les Bouches-du Rhône. Les forfaits auraient eu lieu entre 3 heures 40 et 4 heures du matin, et pourraient être l'œuvre de la même équipe.

À chaque fois, dans les villes de Lambesc, Fontvieille, et Mouriès, les malfaiteurs se seraient attaqués à des distributeurs de billets, ils auraient réussi à en emporter un à Lambesc. Il était installé dans un mobile home, l'agence étant en travaux. Les gendarmes ont été chargés de l'enquête

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/31/97001-20150331FILWWW00126-bouches-du-rhone-trois-banques-braquees-cette-nuit.php

Le maire de Tarbes en garde à vue

Le maire UMP de Tarbes, Gérard Trémège, a été placé en garde à vue ce matin. Une perquisition était en cours à son domicile, dans le cadre d'une enquête sur des faits présumés de prise illégale d'intérêt sur fond de transactions immobilières, selon une source judiciaire.

L'adjoint au maire chargé des travaux et un architecte étaient également en garde à vue à Tarbes, sur commission rogatoire du juge d'instruction, a précisé cette source. Une information judiciaire a été ouverte contre X en septembre 2013 à Pau au sujet de faits présumés de prise illégale d'intérêt et de recel. Les enquêteurs s'intéressent notamment à l'octroi de marchés publics par la mairie de Tarbes et à l'achat et la revente de terrains par la municipalité.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/31/97001-20150331FILWWW00089-le-maire-de-tarbes-en-garde-a-vue.php

Collision sur l’A36 : le témoin devient la principale victime

L’accident qui s’est produit samedi soir, vers 21 h 30, sur l’autoroute A36, illustre parfaitement les dangers encourus en bordure d’une voie rapide. La principale victime de cette collision en chaîne qui a tout d’abord impliqué deux fourgonnettes, dont l’une visiblement très lourdement chargée, a en effet été le témoin qui a appelé les secours.
Cette femme de 54 ans, domiciliée à Ingersheim s’est arrêtée pour passer un appel d’urgence depuis une borne, située à proximité du lieu de la collision. Le premier conseil de l’opérateur de la gendarmerie qui a reçu l’appel a été de lui demander de se mettre à l’abri derrière les glissières de sécurité.
Il venait à peine de prodiguer cette mise en garde qu’un choc se faisait entendre. Une voiture qui survenait à ce moment a percuté l’un des véhicules accidentés qui a été projeté sur la borne et la quinquagénaire qui téléphonait. Cette dernière a été grièvement blessée à la tête. Lorsqu’elle a été secourue et transférée à l’hôpital, son pronostic vital était engagé.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/30/collision-sur-l-a36-le-temoin-devient-la-principale-victime

lundi 30 mars 2015

Un poids lourd perd du gasoil: l'A6 coupée dans un sens près de Lyon

L'accident a entraîné une coupure de la bretelle, ainsi qu'une coupure de l'A6 au niveau de la porte de Valvert, avant le tunnel de Fourvière.
L'autoroute A6 dans le sens nord-sud, au niveau de Lyon, a été coupée lundi après qu'un poids lourd a perdu du gasoil, provoquant des glissements de voitures mais sans faire de blessés, a indiqué Bison Futé. "Un poids lourd accidenté sur la bretelle de sortie 39C Perrache a perdu du gasoil sur la chaussée de l'A6", ce qui a mis "plusieurs véhicules en difficulté", selon le centre régional d'information routière.

L'accident a entraîné une coupure de la bretelle, ainsi qu'une coupure de l'A6 au niveau de la porte de Valvert, avant le tunnel de Fourvière. "Pour les usagers se dirigeant vers Marseille, il est conseillé d'emprunter le boulevard périphérique Nord, ainsi que l'A46 Nord au niveau de Anse", prévient Bison Futé.
 

Charente-Maritime : accident entre une voiture et un bus de ramassage scolaire

Un accident de la circulation impliquant un véhicule léger contre un bus de ramassage scolaire a eu lieu ce lundi vers 8h30, sur la D115, au niveau de Saint-Sauveur-d'Aunis, en direction du Gué-d'Alléré.
Au total, 10 personnes sont impliquées dans cet accident qui a fait un blessé grave : une personne, incarcérée dans la voiture. Il s'agit d'un homme de 57 ans, désincarcéré puis évacué à l'hôpital de La Rochelle par l'hélicoptère Dragon 17 de la Sécurité civile.
http://www.sudouest.fr/2015/03/30/charente-maritime-accident-entre-une-voiture-et-un-bus-de-ramassage-scolaire-1875788-1592.php

Rhône. Lyon 2e: après une dispute, elle fonce en voiture sur son ami et le blesse gravement

Un homme d’une trentaine d’années a été hospitalisé dimanche matin dans un état grave, après avoir été percuté volontairement par la voiture de son amie. Les relations de ce couple, plus ou moins séparé, sont houleuses et, samedi déjà, la police était intervenue au domicile de la jeune femme à la suite d’un violent différend. L’homme avait alors insulté les policiers, ce qui lui avait valu quelques heures de garde à vue. Réconciliés momentanément, l’homme et la femme ont passé la soirée ensemble et après avoir passé la nuit dans différents établissements, la situation a de nouveau dégénéré. Ils se trouvaient rue Ravat, à Lyon (2e ), où la jeune femme âgée de 26 ans a soudain foncé en voiture sur l’homme, qu’elle a volontairement renversé. Elle a été interpellée et placée en garde à vue. Le blessé, dont le pronostic vital n’est pas engagé, a été admis à l’hôpital Jules Courmont
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/03/30/apres-une-dispute-elle-fonce-en-voiture-sur-son-ami-et-le-blesse-gravement

dimanche 29 mars 2015

Cantal : un homme meurt après le retournement de son tracteur à Neuvéglise

Gendarmes et pompiers sont intervenus en début d'après-midi à Neuvéglise dans le Cantal après un accident mortel. Un homme âgé de 35 ans, au volant d'un engin agricole, est décédé après le retournement de son tracteur.
Un homme de 35 ans, au volant d'un engin agricole, a perdu la vie en début d'après-midi samedi 28 mars à Neuvéglise dans le Cantal.
L'homme était au volant de son tracteur, qui s'est retourné. Le conducteur s'est alors retrouvé sous le véhicule. Pompiers et gendarmes sont intervenus.
Les circonstances de l'accident et les causes du retournement du tracteur ne sont pas connues pour le moment.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2015/03/28/cantal-un-homme-meurt-ecrase-sous-son-tracteur-retourne-neuveglise-689781.html

Meurthe-et-Moselle : collision entre deux véhicules à Allamps

Un accident entre deux voitures s’est produit vendredi 27 mars aux alentours de 9 h 45 sur la D 4, entre Vannes-le-Châtel et Allamps à hauteur du terrain de sports. Le conducteur, un habitant de la Cité du cristal, sortait d’un chemin au volant d’une voiture normale et s’engageait pour tourner sur la gauche en direction de Vannes-le-Châtel. Au même moment arrivait, de la direction de Colombey-les-Belles, une autre voiture. Les deux véhicules se sont percutés l’un à l’avant, l’autre à l’arrière. Quant aux dégâts, l’un des véhicules est hors d’usage. Les deux automobilistes, résidant à Vannes et Allamps, blessés ont toutefois été transportés à l’hôpital central de Toul. Sur place, étaient présents les sapeurs-pompiers de Colombey-les-Belles et de Toul, ainsi que la gendarmerie de Toul.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/03/29/faits-divers-collision-entre-deux-vehicules-a-allamps

Il veut la vérité sur la mort de sa fille

Gérard Pello, médecin de campagne beaumontois. Ce quinquagénaire taillé dans le roc n'a pas pour religion de tendre l'autre joue. L'homme est déterminé, anguleux même, mais aussi foncièrement droit, animé d'une «force mystérieuse» toute entière tournée vers «la» vérité. «Tu la tiens de ta fille», lui dit un ami prêtre. «Si j'ai pu continuer à trouver cette force c'est pour ne pas mettre les deux genoux à terre. Tant qu'on en n'a qu'un, on peut se relever», rajoute Gérard Pello que la vie n'épargne pas. Pas plus que ses ennemis d'ailleurs, qui lui expédient des balles par courrier postal, profanent la photo de sa fille apposée sur la porte de son cabinet, usent de provocations, intimident… «On ne vit pas dans le monde des bisounours», feint-il de s'amuser.

Le docteur Pello dérange

Le docteur Pello, excellent médecin de réputation, dérange. Il n'en a cure. Pour lui, Alexia, ce n'est pas de l'histoire ancienne. «Une plaie ouverte», dit-il.
Gérard Pello s'active, écrit à la garde des Sceaux, anime un blog («Il y a 14 ans, nous balbutions en matière de réseaux sociaux et de diffusion sur le Web. Aujourd'hui, par cette technologie, le monde entier saura, en détail, la raison existentielle pour laquelle je me bats encore.», écrit-il), compte de plus en plus d'amis sur facebook (350 aujourd'hui), déroule son histoire sur le plateau de Sophie Davant, intrigue la presse nationale… Il a le soutien de sa seconde épouse avec qui il a deux enfants. Mais plus celui des frères et sœurs d'Alexia «qui refusent le combat» constate-il, réaliste.

Accident de la route ? Assassinat ?

Il y a 14 ans, le 29 mars 2001, Alexia, l'aînée de ses quatre enfants, âgée de 21 ans, brillante étudiante en droit, mourrait au volant de sa voiture entre Beaumont et Toulouse. «Un accident de la route» a conclu la justice au terme d'un marathon judiciaire ponctué de «bizarreries», d'investigations contestées avec fougue et intransigeance par le père d'Alexia. «Un assassinat» soutient le docteur Pello depuis le début et aujourd'hui encore. 14 ans de rébellions…
L'homme est solide. Ceux qui le connaissent ne sont pas surpris. Plutôt interpellés par cette constance, cette véhémence au fil du temps. L'homme n'est pas du genre à se battre contre des moulins à vent. Trop cartésien, trop scientifique, trop carré. Ce qu'il sait des circonstances de l'accident de sa fille, de la conduite des investigations, des tenants et des aboutissants de «l'affaire» que constitue son propre drame, tout cela l'empêche de passer à autre chose. «La ficelle est trop grosse. Je ne céderai pas» assure-t-il On a tendance à le croire.

«Dire à ma fille : J'ai fait le boulot»

Gérard Pello n'a pas toujours rencontré beaucoup de soutien dans sa croisade pour la vérité. Au mieux, on voyait un père aveuglé par la douleur. Au pire, on le traitait de fou. «Je ne suis pas paranoïaque», se défend-il, «je suis très précis dans mes accusations. Je vise deux gendarmes et trois magistrats. Je les ai là tous les 30 mars», mime-t-il. Gérard Pello s'étranglerait de tant d'adversité impunie. Il veut «la vérité, toute la vérité». Il ne lâchera pas. Bien qu'ayant épuisé toutes les voies de recours en France il compte désormais sur la justice européenne pour relancer l'enquête et remettre les pendules à l'heure. «C'est mon combat. ce sera un soulagement. je serai fier quand je pourrai dire j'ai fait le boulot, ma fille». L'opération «main propre» du docteur Pello devra au final aboutir à la mise en accusation de ceux qui, estime-t-il, ont manqué à l'exercice de leur charge.
Aujourd'hui, Gérard Pello élargi le cercle de ses amis, «je ne suis plus tout seul». Cet après-midi, il espère agrandir encore l'audience de son combat.
(1) Rassemblement à 14 heures rue Fermat devant le cabinet du Docteur Pello

http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/29/2076601-docteur-gerard-pello-combat-verite-fille.html

samedi 28 mars 2015

Deux jeunes à scooter, sans casque, se blessent gravement dans Amiens

A scooter, le port du casque est obligatoire. Faut-il le rappeler ? Certains conducteurs de deux roues s'en passent. Deux jeunes en ont payé un prix fort, à Amiens, vendredi 27 mars.

Un garçon et une fille de 18 ans ont été grièvement blessés dans une collision entre leur scooter et une voiture. L'accident s'est produit peu avant 21h00, rue de l'oratoire, en plein centre-ville d'Amiens.

L’une des victimes souffre d'une fracture du fémur. L'autre, d'un "gros trauma crânien" dû au non-port du casque. "C'est assez fréquent, surtout dans les quartiers sensibles, des jeunes roulent sans casque ou en le posant sur le front, ce qui aggrave les lésions", précisent les pompiers de la Somme.

Médicalisés par le Samu 80, les deux jeunes ont été transférés à l'hôpital Sud d'Amiens.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/03/28/deux-jeunes-de-18-ans-scooter-sans-casque-gravement-blesses-en-plein-centre-ville-d-amiens-689599.html

Accident de la route: un blessé grave et un blessé léger

Les sapeurs-pompiers du Bas-Rhin ont dû intervenir la nuit dernière, peu après minuit et demie, sur la RD 1004 à Ittenheim, direction Strasbourg, pour un accident de la route impliquant deux véhicules. Les pompiers indiquent que ce choc frontal a nécessité la désincarcération d'une des victimes, gravement blessée et transportée vers le CHU de Strasbourg-Hautepierre.
http://www.dna.fr/actualite/2015/03/28/accident-de-la-route-une-blesse-grave-et-un-blesse-leger

Charente-Maritime : l'épouse a entendu des voix qui lui ont dit de tuer le mari, le chien et le chat

Procureure de La République de La Rochelle, Isabelle Pagenelle vient d'apporter ce vendredi après-midi quelques précisions dans un communiqué de presse sur le meurtre de Marc Leveille, survenu dans la nuit de mardi à mercredi à Saint-Laurent-de-la-Prée, près de Rochefort.
La magistrate indique que l'épouse de la victime a "reconnu "verbalement les faits" devant les gendarmes mercredi midi, leur "indiquant que des voix lui avaient demandé de tuer son mari, le chien et le chat".
A lire aussi : stupeur après la découverte d'un homme tué par des coups de couteau

Hospitalisation d'office pour l'épouse qui a avoué

"A la suite d'un examen psychiatrique, sa garde à vue était levée au profit d'une hospitalisation d'office. Une information judiciaire du chef d'assassinat sera ouverte la semaine prochaine", conclut la procureure.
Rappelons que Marc Leveillé, âgé de 75 ans, a succombé dans la nuit de mardi à mercredi, à deux coups de couteau portés au thorax.
Son épouse, plus jeune d'une vingtaine d'années environ, avait appelé mercredi matin une amie qui à son tour avait prévenu la gendarmerie. À leur arrivée, les forces de l'ordre ont trouvé une « femme prostrée, qui tenait des propos incohérents ». Le chat et le chien du couple ont aussi été tués lors de cette nuit macabre
http://www.sudouest.fr/2015/03/27/charente-maritime-l-epouse-a-entendu-des-voix-qui-lui-ont-dit-de-tuer-le-mari-le-chien-et-le-chat-1873554-1557.php

Coups de feu et de couteau : un duo condamné

Les faits remontent à mardi matin, peu avant deux heures. Deux hommes, âgés de 19 et 20 ans, originaires de Trèves et de Laure Minervois ont littéralement déboulé au bas du domicile d'une jeune femme qui habite dans la résidence Floréal et ont exigé qu'elle les accueille et les héberge. Ils ont prétexté de ne pas vouloir dormir dehors et se sont montrés si insistants et effrayants que la victime a téléphoné à son frère pour qu'il vole à son secours.
Ce qu'il fit, accompagné d'un ami. C'est dans le jardin de la résidence qu'il est tombé nez à nez avec l'agresseur de sa sœur. Et des explications ont été demandées. La situation a vite dégénéré. Sauf que face aux poings éventuels, ont été sorties une arme blanche et l'autre à feu ! L'un des protagonistes de la bagarre a reçu un coup de couteau, l'autre un nuage de plombs ! Et que les deux ont été blessés, mais n'ont même pas alerté les services de gendarmerie sur le moment. Ce n'est que le lendemain, soit mercredi qu'ils ont déposé plainte avec, en plus, un certificat médical attestant, pour l'un, d'une incapacité totale temporaire d'une durée de 3 semaines pour l'un des deux !
Les deux agresseurs de la jeune femme, puis de son frère et son copain, ont vite été identifiés, en raison du fait, surtout, que le cadet, le Trébéen était déjà fort connu des services de gendarmerie et de la justice en raison de condamnations multiples. Hier matin, le duo a été renvoyé en correctionnelle en comparution immédiate. Dylan S, a écopé d'une peine de 8 mois dont 3 ferme et a été placé sous mandat de dépôt avec, dans la foulée, une période de 24 mois de mise à l'épreuve. Son comparse a écopé d'une peine de trois mois ferme aménageables et a pu rentrer chez lui dans l'attente d'une décision du juge de l'application des peines.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/28/2075736-coups-de-feu-et-de-couteau-un-duo-condamne.html

Bar-le-Duc : deux policiers blessés lors d'une interpellation

Il était 16 h, jeudi, lorsque le commissariat de Bar-le-Duc a été appelé pour une intervention devant le supermarché Casino, situé en plein centre-ville, boulevard de la Rochelle. Selon les dires du plaignant, un employé de l’enseigne se serait fait agresser par un individu faisant partie d’un groupe qui importune régulièrement les clients et le personnel.
Sur place, les policiers constatent la présence d’une victime qui affirme avoir été giflée par une femme qui se trouve à proximité. Cette dernière, ivre et priée de décliner son identité, ne se laisse pas faire au moment d’être contrôlée et se rebelle aussitôt contre les forces de l’ordre, qui parviennent tant bien que mal à la maîtriser en la menottant.
L’interpellation est d’autant plus délicate qu’un deuxième individu du groupe, ivre lui aussi, en fait le compagnon de la jeune femme, se montre soudain menaçant avec les policiers, d’autant qu’il est accompagné d’un chien noir de type berger allemand, non muselé. Ces derniers préfèrent quitter les lieux avec l’auteur de la gifle, placée en garde à vue.
Une demi-heure plus tard, le commissariat est à nouveau sollicité au téléphone par un riverain déclarant qu’un individu vient de briser la vitre d’un magasin, toujours l’enseigne Casino. Les policiers identifient rapidement l’auteur qui n’est autre que la personne avec le chien. Lors de son interpellation et de son transport au commissariat, ce dernier multiplie les outrages et les violences en donnant des coups de pied aux policiers. Deux d’entre eux seront blessés, l’un au visage, avec pour chacun une incapacité totale de travail de 5 jours.
Entendus ce matin, l’homme, 43 ans, et sa compagne, 33 ans, de Bar-le-Duc et sans emploi, ont reconnu les faits. Ils ont été remis en liberté, convoqués courant juin devant le tribunal correctionnel pour répondre de leurs actes. Quatre plaintes ont été déposées dans ce dossier, par l’enseigne Casino, l’employé giflé et les deux policiers.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/27/bar-le-duc-deux-policiers-blesses-lors-d-une-interpellation

vendredi 27 mars 2015

Charente-Maritime : stupeur après la découverte d'un homme tué à l'arme blanche

C'est très probablement un drame familial qui s'est noué dans la nuit de mardi à mercredi, dans un pavillon de la résidentielle rue des Allées, à Saint-Laurent-de-La-Prée, en Pays rochefortais. Un homme âgé de 75 ans, Marc Leveillé, a succombé, victime de deux coups de couteau portés au thorax.
Son épouse, plus jeune d'une vingtaine d'années environ, a appelé mercredi matin une amie qui à son tour a prévenu la gendarmerie. À leur arrivée, les forces de l'ordre ont trouvé une « femme prostrée, qui tenait des propos incohérents », selon le parquet de La Rochelle.
Stupeur dans le voisinage
Toujours de source judiciaire, les premiers éléments fournis par celle qui fait office de principale suspecte n'ont pas donné lieu « à une explication rationnelle » de cet acte qualifié « d'impulsif ».
Selon nos informations, il semblerait que le chat et le chien du couple ont aussi été tués lors de cette nuit macabre. Placée dans un premier temps en garde à vue, l'épouse du défunt a été transférée dans un établissement prodiguant des soins psychiatriques, en raison de son état de santé.
Il semblerait que le chat et le chien du couple ont aussi été tués lors de cette nuit macabre
Depuis jeudi midi, c'est la stupeur qui prédomine dans ce coin situé sur les hauteurs de Saint-Laurent-de-La-Prée, non loin du golf, et où alternent pavillons s'étirant le long des routes et champs.
Quand ils ont vu débarquer, mercredi midi, une noria de gendarmes accompagnés de techniciens en identification criminelle, les voisins étaient à mille lieux de s'imaginer qu'un homicide venait d'être commis quelques heures plus tôt. « On pensait qu'il s'agissait d'une affaire de trafic de drogues », convenait l'un d'eux, encore surpris que la rue des Allées ait été barrée une grosse partie de l'après-midi.

Une vie normale

À mesure que les heures se sont écoulées, la triste nouvelle s'est répandue. En même temps que certains semblaient presque découvrir l'existence de leurs voisins qui menaient une vie discrète depuis leur installation voilà une poignée d'années. Considéré « comme des gens sans histoires », ce couple recomposé avait été marié, il y a quelques années, par le maire de la commune Raymond Minier.
D'après le souvenir d'un riverain, Marc Leveillé travaillait dans le secteur de l'aéronautique avant sa retraite. Ce voisin se souvient aussi que, jusqu'à ces dernières semaines, il se rendait régulièrement à l'aéro-club du Pays rochefortais à Saint-Agnant. En 2010, Marc Leveillé s'était inscrit au club informatique de la commune.

Quel mobile ?

Aux yeux de la population, il s'agissait d'un couple à la vie normale, ponctuée de fréquentes marches nordiques avec leur chien. Dès lors, les enquêteurs de la communauté de brigades de Fouras et de la brigade de recherches de Rochefort s'attachent à déterminer le mobile du crime. À ce titre, l'une des connaissances du couple se rappelle d'une anecdote survenue voilà quelques jours, alors qu'il s'était rendu chez eux. Marc Leveillé avait « de gros problèmes de mémoire. Ses phrases devenaient répétitives », poursuit leur hôte selon lequel « son état de santé se détériorait ».

http://www.sudouest.fr/2015/03/27/tue-a-coups-de-couteau-1872440-1391.php

La population aide les gendarmes à appréhender trois jeunes cambrioleurs

La vigilance et la réactivité des habitants d'Escosse ont permis d'arrêter trois jeunes cambrioleurs pris en flagrant délit de vol, mercredi après-midi, sur les hauteurs de la commune.
Les habitants d'Escosse sont des citoyens vigilants. C'est, en substance le message transmis hier par la brigade de gendarmerie de Pamiers, suite aux événements survenus sur la commune, mercredi après-midi. La réactivité des résidents de cette bourgade de 422 âmes a permis de mettre fin à l'entreprise à laquelle se livraient trois jeunes hommes ce jour-là, dans une villa des hauteurs du village.
Pris en flagrant délit de vol par deux employés municipaux dans une demeure du chemin des coteaux, les trois malfaiteurs ont pu être rapidement appréhendés. Et ce grâce au bouche-à-oreille efficacement utilisé entre les élus et les habitants de la commune de l'ouest appaméen. Mis aux faits des événements survenus quelques minutes plus tôt, de nombreux habitants ont servi de relais à la vingtaine de militaires (issus des brigades de Pamiers, Saverdun, Mirepoix, du Peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) de Pamiers, de la brigade de recherche et de l'escadron motorisé départemental de sécurité routière) déployés sur place afin de quadriller la zone de recherche
Aidés par l'hélicoptère du détachement aérien des Pujols, les tracteurs ont réussi à débusquer les deux premiers individus, âgés de 16 ans, au bout d'une demi-heure. «Ils n'étaient pas partis bien loin, puisque nous les avons interpellés près du stade en bas du village», explique le capitaine Jean-Luc Doumenc, de la compagnie de gendarmerie de Pamiers.

En voiture avec un conseiller municipal

À l'abri des regards, le dernier larron n'a pu être intercepté qu'en fin d'après-midi. Le jeune homme, aperçu route de Vicaria, a tenté de prendre la poudre d'escampette en vélo, en direction de Pamiers. Pris en charge par un automobiliste, qui n'est autre qu'un des conseillers municipaux d'Escosse, celui-ci a été livré dans la foulée aux forces de l'ordre.
Placés immédiatement en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Pamiers, les trois individus ont reconnu la tentative de cambriolage tout comme le vol d'un véhicule, survenu deux jours plus tôt dans la cité aux trois clochers (voir encadré). Bien connus des services de police, les trois apprentis Arsène-Lupin étaient toujours en garde à vue, hier, en début d'après-midi. Présentés à un magistrat, un mineur et le majeur comparaîtront prochainement devant le tribunal de Foix. Le second mineur sera présenté, quant à lui, aujourd'hui au juge des enfants
 

jeudi 26 mars 2015

Tarn : accident de car entre Blayes-les-Mines et Carmaux

Dans le Tarn entre Blaye-les-mines et Carmaux. Un car qui transportait une trentaine de collégiens et une voiture se sont percutés. Il y a  un blessé grave et trois blessés légers dont deux jeunes. Un important dispositif de secours a été déployé.
Un accident s'est produit vers 8h15 dans le Tarn entre Blayes-les-mines et Carmaux au lieu-dit La gignerette-basse. Une voiture a percuté frontalement un car dans un virage. L'autobus assurait la ligne régulière entre Albi et Carmaux et transportait à cette heure-là une trentaine d'élèves du collège de Carmaux situé à quelques centaines de mètres de l'accident.
Le conducteur de la voiture, seul dans le véhicule au moment des faits, est grièvement blessé et a du être désincarcéré. La conductrice du car, très choquée est légèrement blessé tout comme deux jeunes passagers. les autres sont indemnes. Tous ont pu être récupéré par leurs parents, ou regagner leur établissement scolaire qui les a pris en charge.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2015/03/26/tarn-accident-de-car-entre-blayes-les-mines-et-carmaux-687739.html

Soupçonnée d'avoir étranglé son bébé, une mère de Haute-Loire écrouée

Le parquet de Clermont-Ferrand a confirmé qu'une femme de 28 ans, soupçonnée d'avoir étranglé son nouveau-né au domicile familial à Saugues (Haute-Loire), a été mise en examen mercredi soir pour homicide volontaire aggravé et écrouée.
Les faits se sont déroulés peu après l'accouchement de la jeune femme, vendredi matin, au domicile de ses parents, avec qui elle vit.  C'est sa mère qui a appelé les secours, après avoir découvert dans la chambre de sa fille, le corps sans vie du nourrisson sur le lit, avec des vêtements tâchés de sang autour. 
"On ne peut pas parler de déni de grossesse"
Hospitalisée après l'accouchement, la suspecte est passée aux aveux lors de sa garde à vue, débutée lundi après-midi. Elle a dit qu'elle avait tué le bébé.
Selon les premiers éléments de l'enquête, "on ne peut pas parler de déni de grossesse dans la mesure où beaucoup de personnes de son entourage s'étaient parfaitement aperçu qu'elle était enceinte", a déclaré le procureur de la République de Clermont-Ferrand, Pierre Sennès.
La mort par étranglement a été confirmée par les examens du médecin légiste. "À sa naissance, le bébé était viable. Il a ensuite été étouffé", a indiqué le procureur.
La grand-mère a également été placée en garde à vue. "On souhaitait l'entendre pour qu'on précise avec elle un certain nombre d'éléments car elle est un témoin direct. Mais à ce stade, elle n'est pas impliquée dans la mort du bébé. Seule la mère est mise en cause", a ajouté Pierre Sennès. 
La semaine dernière en Sud-Gironde, une affaire d'infanticide présumé a aussi éclaté dans le village de Louchats. Une information judiciaire pour infanticide a été ouverte samedi 21 mars après la découverte de cinq bébés dont quatre congelés dans un pavillon de la commune. 

http://www.sudouest.fr/2015/03/25/soupconnee-d-avoir-etrangle-son-bebe-une-mere-de-haute-loire-ecrouee-1871045-7.php

Ils foncent sur un policier, lui arrachent un doigt

Un policier de 26 ans a été hospitalisé dans un état grave ce matin après avoir été renversé par le conducteur d'une Porsche qui souhaitait échapper à un contrôle de police à Bondy (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de sources concordantes.

Le conducteur et le passager de la voiture, âgés de 21 ans et 25 ans, ont été interpellés quelques minutes après les faits, après avoir tenté de prendre la fuite. Ils ont été placés en garde à vue.
Les chauffards ont été repérés vers 04 heures 30 du matin, au volant d'une Porsche Cayenne, près de la porte de la Villette, à Paris. "Ils roulaient à vive allure et s'amusaient à faire des zigzags", a raconté une source policière.

Un équipage de police a alors décidé de les prendre en chasse afin de les contrôler "mais ils sont partis en trombe" sur le périphérique, puis en direction de l'A3, a précisé cette source. L'équipage de police les a finalement retrouvés alors qu'ils étaient arrêtés à une sortie de l'autoroute, à Bondy. Deux des trois agents sont descendus de leur voiture mais la Porsche "a redémarré et leur a foncé dessus", a précisé une source proche de l'affaire.

Dans le choc, la portière du véhicule de police a été arrachée et l'un des policiers a été renversé. Il "a eu le doigt arraché", a raconté cette source. Le deuxième policier, alerté par le cri, a "tout juste eu le temps de s'écarter".

Le policier blessé, qui souffre également d'une fracture à la jambe, a été hospitalisé à Bagnolet. "Il risque de perdre son doigt", précise Sébastien Bailly, du syndicat de policiers Alliance, qui estime que les deux fonctionnaires "auraient pu y passer".

Le chauffard, déjà connu des services de police, a été interpellé avec son passager près de la porte de Pantin, dix minutes après l'accident. Ils ont été tous deux placés en garde à vue dans les locaux de la sûreté territoriale de Seine-saint-Denis.


 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/26/97001-20150326FILWWW00155-ils-foncent-sur-un-policier-lui-arrachent-un-doigt.php

La pelle mécanique volée en pleine nuit

En colère ou désabusé. Roger Machon, exploitant agricole sur la commune de Saint Sulpice oscille entre ces deux sentiments après le vol de sa pelle mécanique à chenille dans la nuit de dimanche à lundi. En colère : «J'en ai ras le bol d'être victime régulièrement de vols. 4 en 4 mois. Un coup on siphonne le gasoil dans les tracteurs, une autre fois on emporte les batteries, et maintenant on me pique carrément ma pelle mécanique». Désabusé : «J'ai l'impression qu'il faut que je m'habitue désormais à cette situation. Il n'y a pas de solution, j'ai donc envie de baisser les bras». L'engin était garé à l'extérieur de la propriété agricole et les deux entrées étaient fermées. Les individus, trois au minimum d'après les traces de pas retrouvés lundi au petit matin, ont démarré la pelle mécanique, ont traversé les champs, franchi un fossé et chargé la machine dans un camion près d'un dépôt de la DDE, situé à 200 mètres de la ferme. «Incontestablement, ce sont des pros qui ont fait ça. Ca ne s'invente pas de conduire une pelle mécanique et de franchir un fossé à son volant», analyse Roger. D'une valeur de 40 000 euros environ, cette pelle mécanique servait au curage des fossés, à faire les drains pour l'irrigation et de multiples autres tâches. «Ils ont pris également es 5 godets». Pour Roger, c'est l'heure de la déclaration aux assurances :»inutile d'espérer une baisse des primes, même si je ne déclare pas tout les vols», sourit Roger Manchon. Il reconnait bien volontiers être très perturbé par ces vols à répétition : «je me réveille la nuit. Je ne sais plus quoi faire». Pour éviter le vol de carburant, il stationne ces engins mécaniques à l'extérieur : «dans le garage, ils peuvent agir sans que personne ne les surprennent». Cerise sur le gâteau : mercredi matin, sur les deux tracteurs, les bouchons de réservoir s'étaient volatilisés. «Heureusement, je veille, le soir, à enlever toute l'essence».
 

mercredi 25 mars 2015

Béarn : accusé d’avoir tiré sur des militaires, il dit qu’il chassait des oiseaux

Un homme de 34 ans était jugé en correctionnelle mardi après-midi à Pau, pour deux tirs à la carabine effectués le 17 avril 2014 dans l'ouest-Béarn.
Le premier plomb avait heurté l'aile avant-gauche d'un véhicule des militaires des Forces spéciales, alors qu'un caporal-chef se trouvait dehors, à un mètre de l'impact. Le second, tiré quelques secondes plus tard, n'a pas été retrouvé. Ni le caporal-chef, ni son capitaine n'ont été blessés.
Les deux militaires à l'entraînement préparaient une opération extérieure. Le caporal-chef s'est accroupi au premier coup de carabine. Son caporal-chef était un peu plus loin et il a aperçu un homme sur le pas d'une maison, au loin, juste après le second coup de feu.
Parti à sa rencontre pour lui demander s'il avait vu quelque chose, il a été reçu si sèchement que les soupçons se sont très vite portés sur l'homme de 34 ans qui a ouvert la porte.
C'est lui qui comparaissait hier. Après avoir nié être à l'origine du tir, il a vigoureusement repoussé les questions des soldats. La déposition des militaires fait état de reproches tels que « Vous n'avez rien à faire là ! » ou « Elle est belle notre armée ! ».
Le prévenu a répété qu'il visait des oiseaux
D'autres militaires ont suivi. Le tireur présumé a de nouveau contesté les coups de carabine devant les gendarmes, mais il a remis une arme. Les doutes se sont renforcés. Puis il a convenu qu'il avait tiré. Mais en direction d'oiseaux de passage. Le futur prévenu a indiqué qu'il était lui-même fils et beau-frère de militaires et qu'il n'avait aucune haine envers l'armée.

Peut-être le vent

Il a rappelé ses états de service familiaux hier, à la barre du tribunal correctionnel, pour contester l'intention du tir. « Je n'ai rien contre eux, a expliqué l'employé agroalimentaire. Si par malheur j'ai touché la voiture, ça doit être le vent. » Le prévenu a répété qu'il visait des oiseaux et qu'il s'entraînait sur des pignes de pin. « Le prévenu a volontairement fait usage de son arme, a opposé le procureur Sébastien Ellul. Ses déclarations ne résistent pas à l'examen du dossier. Ce n'est pas un accident ou une imprudence. » Le magistrat a requis 100 jours amendes de 15 euros, la confiscation de l'arme et l'interdiction d'en détenir pour 5 ans.
L'avocat du prévenu, Me Dubarry, a plaidé la relaxe. Planche photographique à l'appui, il a soutenu qu'aucun élément ne prouve l'intention de viser les militaires. « Les parties civiles ont fait l'hypothèse que le tir était dirigé vers eux mais ce n'est qu'une hypothèse. » Délibéré le 21 avril.
http://www.sudouest.fr/2015/03/25/accuse-d-avoir-tire-sur-des-militaires-1870445-4088.php

Double homicide dans le Comminges : mère et fille tuées à l'aide d'un objet tranchant

Un agriculteur de 48 ans au domicile duquel deux femmes, la mère et sa fille, ont été retrouvées mortes lundi, à Eoux, dans le Comminges, est en garde à vue. Il est soupçonné du double meurtre.
Moins de 48 heures après la macabre découverte de deux femmes tuées dans une ferme à Eoux, petite localité du Comminges, au Sud de la Haute-Garonne, on en sait un peu plus sur les circonstances de ce double homicide en rase campagne.
Hier, à 9 h 50, le principal suspect âgé de 48 ans, Serge Dader, a été interpellé par les gendarmes au domicile d'une connaissance, lieu-dit le Moulin, à Palaminy, après 20 heures d'une longue traque. Ce suspect, exploitant agricole à Eoux, avait quitté en courant sa vieille ferme familiale, lundi après-midi, dès l'arrivée des gendarmes qui viennent d'être alertés par la soudaine disparition de l'ex-compagne de Serge Dader, une femme de 54 ans, Brigitte Labeda et de sa mère, Marcelle Labeda, 85 ans. Lorsque les militaires pénètrent dans la demeure de Serge Dader, ils découvrent les corps sans vie de ces deux femmes gisant dans une grande cuisine de la maison. Les corps portent des blessures portées par un objet tranchant à hauteur de la gorge. Des blessures probablement provoquées par l'utilisation d'un couteau de cuisine. Elles auraient été égorgées. Très vite d'importantes recherches commencent pour retrouver l'agriculteur en fuite. Parti précipitamment de chez lui, il ne porte ni chaussures, ni pantalon et erre durant de longues heures en slip à travers les sous-bois. Les gendarmes de Saint-Gaudens appuyés par un hélicoptère et aidés par les enquêteurs de la section de recherches de Toulouse quadrillent le secteur. Une véritable chasse à l'homme débute à travers les vallons et zones boisées. Grâce à des signalements d'habitants de ce secteur, le suspect est localisé. Hier matin, Serge Dader est retrouvé à une vingtaine de kilomètres de son domicile, dans une voiture squattée près d'une ferme appartenant à paysan, à Palaminy, non loin de Cazères. Il est aussitôt placé en garde à vue. Dépressif depuis la mort de son père en octobre 2014, il est aussi en proie à des crises de démence. Depuis peu, sa relation avec sa compagne, Brigitte Labeda, bat de l'aile et le couple se sépare. En janvier, il a été condamné par le tribunal de Saint-Gaudens pour des violences à l'encontre de son ex-compagne. Des faits qui remontent à octobre 2014. La victime, Brigitte Labeda, dont la mère résidait à Saint-Lary Boujean, dans le Comminges, travaillait en tant qu'auxiliaire de vie au sein d'une association de Saint-Gaudens. Le couple avait fait connaissance lorsque cette quinquagénaire généreuse apportait des repas au domicile de l'agriculteur. Reste le mobile de ce double meurtre. Coup de folie lié à une séparation mal vécue ? La suite de la garde à vue devrait permettre d'éclaircir les raisons de cette tragédie
 

mardi 24 mars 2015

Deux accidents mortels sur l'A9 cette nuit dans le Gard

Un chauffeur de camion a été fauché cette nuit par un véhicule au moment où il descendait de son poids-lourd en pleine voie sur l'A9 à hauteur de Marguerittes dans le Gard. Presque au même moment un piéton était tué sur l'A9 à hauteur de Nîmes. Deux véhicules l'ont percuté.
Les deux accidents se sont produits à une demi-heure d'intervalle sur l'autoroute A 9 dans le Gard.

Le chauffeur de poids-lourd descend de son camion en pleine voie
Le conducteur d'un ensemble routier polonais qui circulait en direction de l'Espagne,  est mort un peu avant minuit à hauteur de Marguerittes dans le Gard.
Selon la gendarmerie du Gard, alerté par l'incendie de sa remorque, le conducteur a stoppé en urgenceson camion en pleine voie et est descendu de sa cabine.
C'est à ce moment-là qu'un véhicule qui doublait le convoi, a percuté le chauffeur.
L'homme était âgé de 48 ans.
150 des 200 moutons transportés sont morts carbonisés dans l'incendie de la remorque.

Un piéton tué à Nîmes
 Vers minuit trente un piéton a été tué sur l'autoroute A9 dans le sens Sud-Nord à hauteur de Nîmes.
La personne décédée qui circulait à pied n'a pu être identifiée.
Deux véhicules l'ont percuté. Une camionnette puis une voiture.
La thèse du suicide est également étudiée par les enquêteurs de la gendarmerie, du fait de la proximité d'un pont qui enjambe l'autoroute A 9 à cet endroit.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2015/03/23/deux-accidents-mortels-sur-l-a9-cette-nuit-dans-le-gard-684629.html

 

Labergement-Sainte-Marie : un enfant à vélo grièvement blessé

Un accident entre un cycliste de huit ans et un utilitaire a fait un blessé grave, lundi vers 18h20, à Labergement-Sainte-Marie. Les circonstances du choc sont particulières : l’enfant sortait d’un chemin privé, en pente. Lancé, il a heurté l’arrière gauche de la camionnette qui circulait normalement sur la chaussée. Le jeune cycliste ne portait pas de casque.
Les secours alertés ont immédiatement constaté la gravité de la situation. Le recours à l’hélicoptère suisse de la Rega a permis d’héliporter le jeune blessé au centre hospitalier Minjoz, à Besançon. Le pronostic vital est engagé. L’enquête a été confiée à la gendarmerie des Hôpitaux-Neufs.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/24/un-enfant-a-velo-grievement-blesse

Menottée et dépouillée par de faux policiers

Une femme de 25 ans s'est fait voler 5.000 euros après avoir été interpellée au volant de sa voiture et menottée par de faux policiers, hier au Raincy, en Seine-Saint-Denis, indiquent aujourd'hui une source policière.

La jeune femme a été arrêtée vers 11h par trois hommes qui se trouvaient à bord d'une voiture équipée d'un gyrophare. Les trois malfaiteurs "l'ont menottée" puis l'ont obligée à les conduire chez elle, disant devoir procéder à une "perquisition", a précisé cette source. Arrivés au pied de son immeuble, l'un des faux policiers est resté avec la jeune femme. "Les deux autres sont montés dans l'appartement" et "ont fouillé toutes les pièces", a raconté la source policière. Ils sont repartis quelques minutes plus tard avec 5000 euros, laissant la jeune femme sur place.

Cette dernière, qui n'a pas été blessée, a contacté la police dans la soirée, pour faire état de cette agression. Les "vols par fausse qualité", notamment ceux réalisés par de faux policiers, sont en recrudescence depuis plusieurs semaines en Seine-Saint-Denis selon la préfecture, qui recensait "240 agressions de cette nature en 2014" dans le département.

Dans un communiqué, la préfecture avait appelé en février à "une vigilance toute particulière" envers "toute personne inconnue se présentant à leur domicile ou les sollicitant sur la voie publique en se prévalant de la qualité d'agent public

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/24/97001-20150324FILWWW00112-menottee-et-depouillee-par-de-faux-policiers.php

Deux corps retrouvés et un homme en fuite dans les bois du Comminges

Un homme de 48 ans est soupçonné d'avoir tué ses voisins avec lesquels il était en procès, à Eoux, un village du Comminges entre Aurignac et L'Isle-en-Dodon. Hier, en début de soirée, il était toujours activement recherché par les gendarmes.
Pour les habitants d'Eoux, l'impressionnant déploiement de forces de gendarmerie et le tournoiement permanent d'hélicoptères qui a débuté vers 17 heures, n'avait d'autre but que de rechercher un homme de 48 ans, bien connu des habitants et qualifié d'«instable». Mais ces mêmes villageois ignoraient encore hier soir, que dans la forêt, deux corps venaient d'être retrouvés, ceux des plus proches voisins de cet homme.

Mauvaises relations de voisinage

La scène s'est déroulée sur les coteaux qui dominent le village d'Eoux, au lieu-dit Las Cassagnes. L'homme de 48 ans est né dans le village où il a toujours vécu et connaît des problèmes psychologiques (il aurait subi plusieurs internements). A la mort de son père, et après le départ de sa compagne, il s'est retrouvé seul dans la ferme familiale. C'est à quelques centaines de mètres de celle-ci que ses nouveaux voisins ont emménagé, voici quelques années. Et les querelles avec eux n'ont fait que s'aggraver au fil du temps, des chamailleries de mauvais voisinage, allant toutefois jusqu'à mettre en route des procédures.
Alertés de ne plus avoir de nouvelles de leur enfant, les parents de ces voisins ont signalé leur disparition aux gendarmes qui se sont rendus sur les lieux, hier. Dès qu'il les a vus, l'homme de 48 ans, vêtu de son seul slip, s'est enfui dans les bois environnants. C'est en le recherchant que les gendarmes ont découvert deux corps dans la forêt qui pourraient être ceux des voisins. Le premier corps est celui d'une femme, le sexe du deuxième n'a pu être formellement identifié. De même, on ignore la façon dont ces personnes ont trouvé la mort.
Pour retrouver l'homme en fuite, les recherches des gendarmes (ceux de Boulogne-sur-Gesse et ceux de Saint-Gaudens étaient présents), se sont effectuées à pied dans les bois et les taillis, foisonnant dans ce secteur, mais aussi en hélicoptère.
Monique Rey est le maire d'Eoux, une commune de 120 habitants. Hier soir au téléphone, elle est apparue choquée par le drame survenu dans un village commingeois si tranquille d'habitude. «Je n'en sais pas davantage», nous lâche-t-elle, évoquant la discrétion des responsables de l'enquête.
L'affaire en est juste à son commencement et la première question à régler est l'identification des deux corps. Les deux victimes sont-elles bien les voisins de l'homme recherché. Les a-t-il tués ? Après une nouvelle querelle ?
Mais avant d'établir des hypothèses, il faut retrouver le suspect. Lui seul peut expliquer pourquoi il s'est ainsi enfui dès qu'il a vu les gendarmes hier et, peut-être, donner la clé de l'affaire.
Né à Eoux où il a passé la majeure partie de sa vie, il connaît l'environnement de ces vallons, champs et taillis par cœur. Peut-être a-t-il, jusqu'à présent réussi à rester caché, mais combien de temps pourra-t-il tenir ainsi, pratiquement nu, dans les bois environnants la commune ?
À l'heure où nous écrivons ces lignes, toutes les questions restent posées.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/24/2073254-deux-corps-retrouves-homme-fuite-bois-comminges.html

lundi 23 mars 2015

Dordogne : un piéton percuté par un train à Périgueux

Les circonstances de cet accident restent à déterminer. Toujours est-il que ce lundi, vers 6h30, un homme a été percuté par un train à hauteur du quartier Saint-Georges, à Périgueux.
Âgé d'une soixantaine d'année, l'homme a été sérieusement blessé.
Il a été transporté au centre hospitalier de Périgueux.
http://www.sudouest.fr/2015/03/23/dordogne-un-pieton-percute-par-un-train-a-perigueux-1868051-1980.php

Tarn: un forcené retranché chez lui s'est rendu

Un forcené armé s'est retranché chez lui pendant plus de 5 heures ce matin à Couffouleux (Tarn), avant d'accepter de se rendre aux gendarmes peu avant midi, a-t-on appris auprès des forces de l'ordre.

"L'homme est condamné à une peine de prison. Comme il ne s'est pas présenté au tribunal, nous sommes venus le chercher ce lundi à 6h30. Il nous a accueillis avec une ou deux armes", a indiqué le lieutenant-colonel Sylvain Renier, commandant du groupement de gendarmerie du Tarn.

"Le forcené vient d'être interpellé peu avant midi. Les négociateurs l'ont convaincu de sortir, que c'était la meilleure solution. Il est sorti dans le calme", a expliqué le lieutenant-colonel. L'homme avait ouvert le gaz, la situation était alors tendue selon les gendarmes, dont les négociateurs ont convaincu l'homme de ne pas faire un geste irrémédiable.

L'homme se trouvait seul dans son logement et l'ensemble du quartier de la petite commune de deux milliers d'habitants a été bouclé pendant les négociations.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/23/97001-20150323FILWWW00178-tarn-un-forcene-retranche-chez-lui-s-est-rendu.php

Corse : attentat à l’explosif contre une maison en construction

Une maison en construction a été la cible d’un attentat à l’explosif la nuit dernière à Vescovato, en Haute-Corse.
L’attentat, qui n’a pas été revendiqué, n’a fait aucune victime. L’importance des dégâts n’a pas été précisée. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire. En février déjà, un autre attentat avait visé une maison en construction appartenant à un artisan à Vescovato. Il n’avait pas non plus été revendiqué.

dimanche 22 mars 2015

Dordogne : le plan Epervier déclenché, quatre hommes arrêtés pour cambriolages

Samedi, en fin de matinée, quatre individus, âgés entre 20 et 40 ans, ont été arrêtés près de La Douze (24) par les gendarmes de Périgueux, qui les avaient pris en chasse.
Un peu plus tôt, vers 10 heures, les quatre hommes auraient tenté de cambrioler un commerçant non sédentaire de Marquay, le croyant absent. Le propriétaire, présent, avait donné l'alerte à la gendarmerie qui a aussitôt déclenché le plan Epervier.
Dans leur fuite, les individus auraient ensuite cambriolé un local du club de football de Saint-Léon-sur-Vézère. Le quatuor, placé en garde à vue, est connu des services de gendarmeries pour des faits de même nature.
http://www.sudouest.fr/2015/03/22/dordogne-le-plan-epervier-declenche-quatre-hommes-arretes-pour-cambriolages-1867183-2147.php

LOIRE. Une voiture percutée par le train à Saint-Galmier

Ce dimanche à 5 h 30 du matin, une voiture a calé et s'est immobilisée sur la voie ferrée, à la sortie de Saint-Galmier, route de Cuzieu. Les passagers ont pu s'en extraire avant l'arrivée d'un train.
Mais le véhicule a ensuite été percuté par un convoi de marchandises. Tout était rentré dans l'ordre à  8 heures
http://www.leprogres.fr/loire/2015/03/22/une-voiture-percutee-par-le-train-a-saint-galmier

Meurtre d’une propriétaire à Besançon : le suspect toujours en garde à vue

Interpellé vendredi et placé en garde à vue, ce chômeur de 25 ans a rapidement reconnu, durant son audition, avoir frappé sa propriétaire, venue lui réclamer, mardi dernier, des loyers impayés. Avant de dissimuler le corps de la septuagénaire dans un tissu, dans sa cave. Dans les sous-sols de cet immeuble du quartier Saint-Claude à Besançon, les enquêteurs avaient retrouvé le corps sans vie d’Huguette Leidelinger, 75 ans, disparue depuis, un avis de recherche ayant même été lancé par la police. Et sa voiture avait été retrouvée à proximité de l‘immeuble.
Ce matin, la garde à vue a été prolongée pour que les auditions puissent se poursuivre. Avant une présentation au juge d’instruction que la procureure de Besançon pourrait vraisemblablement demander demain dimanche.
Si la participation du jeune homme dans ce drame ne semble faire aucun doute, des actes d’enquêtes étaient encore en cours hier pour vérifier que les déclarations du meurtrier présumé corroborent bien avec les constatations effectuées sur place par les enquêteurs.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/21/besancon-le-meurtrier-presume-de-sa-proprietaire-toujours-en-garde-a-vue

samedi 21 mars 2015

Une personne rouée de coups dans le métro de Lille, une ligne interrompue

La victime a été blessée gravement à la tête, mais ses jours ne sont pas en danger", a indiqué la police. Trois individus ont été arrêtés
Une violente bagarre entre quatre personnes et une homme, gravement touché à la tête, a conduit samedi après-midi à l'interruption d'une ligne du métro de Lille. « Une altercation a eu lieu vers 16H30 à la station porte de Valenciennes entre un individu et quatre autres personnes". "La victime a exhibé un pistolet d'alarme, donc inoffensif, pour se défendre et il n'y a pas eu de fusillade", a-t-elle poursuivi. "Elle a ensuite été rouée de coups."  Les premiers secours ont été effectués par des policiers, qui ont ramené à l'état de conscience la victime. "La victime a été blessée gravement à la tête, mais ses jours ne sont pas en danger", a-t-elle indiqué.

Trois individus ont été interpellés, qui sont "fortement soupçonnés" d'être les auteurs de l'agression, a précisé une source policière. "Par mesure de sécurité, la ligne 2 a été interrompue pendant une trentaine
de minutes, entre 16H30 et 17H00 environ", a indiqué une porte-parole de Transpole, qui gère le métro lillois.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/une-personne-rouee-de-coups-dans-le-metro-de-lille-une-ligne-interrompue-8582650.html

Un enfant de 7 ans renversé par une voiture à Sèez en Savoie

Un garçonnet de 7 ans a été renversé par une voiture ce vendredi 20 mars dans la commune de Séez, en Savoie. Il a été transporté par les sapeurs-pompiers et le SMUR à l'hôpital de Bourg-Saint-Maurice
On ne connaît pas tout à fait les circonstances de cet accident survenu vers 18 heures vendredi 20 mars, sur la commune de Séez, en Savoie. Un jeune garçon de 7 ans a été renversé par une voiture. L'enfant a été pris en charge avec sa mère, à l'hôpital de Bourg-Saint-Maurice. Ses jours ne seraient pas en danger. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/03/20/un-enfant-de-7-ans-renverse-par-une-voiture-seez-en-savoie-679831.html

A Menton, il se brûle grièvement en allumant un tas de feuilles avec de l'essence

Il ne pensait certainement pas que son geste, qu'il voulait pratique et efficace, aurait de telles conséquences pour sa santé. Mais lorsqu'on joue avec le feu, trop souvent malheureusement on se brûle.
C'est ainsi que jeudi en fin d'après-midi, ce Mentonnais a été grièvement brûlé, sur plus de 80 % du corps, en voulant faire brûler des déchets végétaux dans son jardin.
Il était environ 17h30 lorsque l'accident est survenu dans ce jardin de l'impasse de la Maison russe dans le quartier de Carnolès.
Un sexagénaire s'affairait dans son jardin, à rassembler des feuilles mortes en tas pour les brûler ensuite.
C'est quand l'homme a voulu embraser l'amas végétal que les choses se sont gâtées et ont viré à la catastrophe.
L'homme, pour être certain que le foyer allait prendre rapidement, a versé un bidon d'essence sur le tas, avant d'allumer. Lorsqu'il a jeté une allumette pour faire partir le tout, la réaction a été aussi instantanée que violente. Un retour de flamme énorme l'a atteint directement et s'est propagé à ses vêtements.
Transporté vers Toulon en hélicoptère
Transformé en torche humaine, le pauvre homme a rapidement été secouru par un proche qui a tout fait pour étouffer les flammes. Mais la victime était déjà très atteinte.
Immédiatement alertés, les pompiers de Menton ainsi que l'équipe du Smur de la Palmosa se sont très rapidement déplacés sur zone pour porter assistance au malheureux.
Les secouristes ont pris le temps nécessaire pour stabiliser le sexagénaire atteint de brûlures au troisième degré sur 85 % du corps.
Puis ils ont pris la décision de faire appel au renfort de l'hélicoptère de la Sécurité civile pour transporter l'homme dans un état jugé plus que sérieux vers l'hôpital Sainte-Anne de Toulon pour qu'il soit pris en charge par le service des grands brûlés
http://www.nicematin.com/menton/a-menton-il-se-brule-grievement-en-allumant-un-tas-de-feuilles-avec-de-lessence.2147140.html

vendredi 20 mars 2015

Arcachon : les collégiens vendaient de la drogue aux lycéens

Mercredi, deux ados de 14 et 16 ans ont été surpris par des policiers municipaux en patrouille à proximité des collèges et lycée d'Arcachon en possession de cannabis, d'une balance électronique et d'une forte somme d'argent.
Au commissariat, le premier collégien, scolarisé sur le site, a reconnu être le responsable du trafic. Il revendait la drogue auprès des lycéens et avait déjà été interpellé pour consommation en septembre. Il vient de fêter ses 14 ans et fera l'objet d'une comparution pénale en avril. Il sera suivi sur le plan médical et psychologique. Le second, descolarisé, sera mis en examen.
http://www.sudouest.fr/2015/03/20/faits-divers-1865329-4584.php

Aude : l'ULM s'écrase contre un arbre en redécollant

Plus de peur que de mal, ce matin, sur la petite piste d'envol d'ULM qui a été aménagée sur le territoire de la commune de Saint-Couat-d'Aude, non loin de Carcassonne.
Selon informations, c'est aux environs de 11 h 15 que cet accident s'est produit. À bord du petit aéronef monomoteur, un pilote d'avion âgé de 30 ans, résidant à Ramonville-Saint-Agne (Haute-Garonne), qui passait sa qualification d'ULM, avec un moniteur du club “Air Occitanie”, basé à Lézignan. Ce dernier, âgé de 76 ans, vit à Caves (Aude).
Aucun blessé
Toujours d'après nos renseignements, cet équipage en entraînement venait de partir d'une zone boisée, lorsqu'il a amorcé une manœuvre d'approche sur la piste. Tout s'est bien passé dans un premier temps, mais en voulant redécoller, l'élève n'aurait pas suffisamment poussé les gaz. Résultat des courses : l'ULM a heurté deux arbres en bout de piste, avant de s'immobiliser au milieu des autres.
Un accident spectaculaire qui n'a, fort heureusement, fait aucun blessé. Chargés de faire toute la lumière sur les circonstances exactes de ce crash d'ULM, les gendarmes de la brigade des transports aériens de Perpignan sont épaulés par leurs homologues de la communauté de brigades de Trèbes.
http://www.midilibre.fr/2015/03/19/aude-l-ulm-s-ecrase-contre-un-arbre-en-redecollant,1138514.php

jeudi 19 mars 2015

Agression à l'arme blanche à Nantes: un mort, une blessée grave, le suspect interpellé

Un homme, soupçonné d’avoir tué un travailleur social et d’avoir grièvement blessé au couteau sa conjointe, jeudi en début d’après-midi à Nantes, a été interpellé peu après les faits et placé en garde à vue.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le suspect aurait tué le travailleur social à l’intérieur du bâtiment du Service social de la protection de l’enfance, situé près du palais de justice, sur l’île de Nantes.
La victime, dont l’âge n’a pu être précisé, a reçu un coup de couteau à la carotide, alors qu’elle était en rendez-vous avec le suspect, de nationalité roumaine, sa conjointe, et leur petite fille de quatre ans, a précisé la source policière.
Ayant pris peur, la femme a quitté le bâtiment et a été poursuivie dans la rue par son compagnon, qui lui a porté deux coups de couteau, a-t-on ajouté de même source.
Elle a été transportée à l’hôpital et se trouvait toujours en fin d’après-midi au bloc opératoire, avec un pronostic vital engagé, selon la source policière.
Le suspect a été placé en garde à vue, après avoir été arrêté par des clients qui se trouvaient à la terrasse d’un café, a-t-on indiqué de même source

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/03/19/agression-au-couteau-un-mort-une-blessee-grave-le-suspect-interpelle

Un Bergeracois, porté disparu, a été retrouvé mort dans la mer Méditerranée

Le corps d'un Bergeracois a été retrouvé ce jeudi matin, dans les eaux du port de Port-Vendres, dans les Pyrénées-Orientales.
L'homme, âgé de 63 ans, aurait quitté son domicile le week-end dernier, après avoir retiré de l'argent liquide. C'est son fils qui a signalé sa disparition, mardi, au commissariat de police de Bergerac.
Selon nos confrères de "L'Indépendant", plusieurs témoins ont remarqué le corps d'un homme flottant dans le port, alertant la brigade nautique de la gendarmerie locale.
Les raisons de la présence de cet homme dans cette station balnéaire catalane et les causes de son décès sont pour l'heure inconnues.
http://www.sudouest.fr/2015/03/19/un-bergeracois-porte-disparu-a-ete-retrouve-mort-dans-la-mer-mediterranee-1864508-1733.php

Une dame de 84 ans agressée à son domicile

Pierrette, 84 ans, avait oublié de fermer à clé la porte de son appartement. Et cette vieille dame a cher payé cette banale négligence. Mardi soir, l’octogénaire a vécu le scénario cauchemar qui hante toutes les personnes âgées solitaires. La malheureuse a été lâchement agressée à son domicile de la résidence du Bengale, rue Farinière à Marseille (9e arr.).
Peu après 20 heures, Pierrette regardait paisiblement le journal télévisé, assise dans son canapé, quand la porte de son appartement, situé au rez-de-chaussée de la résidence, s’est ouverte brusquement. Deux individus ont surgi dans son séjour, le visage dissimulé sous des cagoules. L’un d’eux exhibait une arme de poing dont il a menacé la victime.
Séquestrée et frappée au visage à coups de crosse
Terrorisée, Pierrette n’a même pas eu le temps d’appeler au secours. Dans son immeuble, personne n’a même entendu quoi que ce soit du drame qui se jouait au rez-de-chaussée. Les malfaiteurs se sont jetés sur la vieille dame sans défense pour lui arracher ses deux colliers. Puis, l’un d’eux lui a recouvert le visage avec un linge, lui ordonnant de dire où se trouvait sa carte bancaire. Sans aucun scrupule, il a infligé à sa victime plusieurs coups de crosse au visage avant qu’elle ne s’exécute.
Le duo a encore réussi à s’emparer du portefeuille de la victime et de son téléphone portable avant de prendre la fuite. Très choquée et souffrant de plusieurs blessures à la tête, la vieille dame a été transférée à l’hôpital de la Timone par les marins-pompiers. Hier, son pronostic vital n’était pas engagé. Mais le traumatisme psychique consécutif à cette agression risque de laisser des traces profondes. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3317836/une-dame-de-84-ans-agressee-a-son-domicile.html

Paris: un homme blessé par balle par des policiers

Un homme, soupçonné de tenter de voler une voiture et qui menaçait avec un couteau les policiers venus l'interpeller, a été blessé par balle par un des fonctionnaires ce soir dans le nord de Paris, a-t-on appris de sources policières. Les faits se sont déroulés vers 21H15 à proximité de la station Laumière, dans le XIXe arrondissement de Paris, quand des policiers de la Compagnie de sécurisation et d'intervention ont repéré un suspect de tentative de vol de voiture dont ils avaient eu le signalement et qui avait alors une altercation avec quelqu'un.

Lorsque les policiers ont voulu l'appréhender, l'homme dont l'âge n'a pas été précisé, a brandi un couteau, selon ces sources. Après plusieurs injonctions, l'un des fonctionnaires a fait usage de son arme de service et logé une balle au-dessus d'un de ses genoux.
Le pronostic vital de cet homme, qui a été pris en charge par les pompiers, n'est pas engagé, a affirmé l'une des sources policières. L'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie de l'enquête -comme à chaque fois qu'un policier fait usage de son arme- au côté de la police judiciaire

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/18/97001-20150318FILWWW00502-paris-un-homme-blesse-par-balle-par-des-policiers.php

mercredi 18 mars 2015

Quarante gendarmes de Montluçon et du PI2G procèdent à six interpellations musclées

Une très grosse opération de gendarmerie s'est déroulée à Montluçon dimanche 15 mars à 6 heures du matin. 6 personnes ont été placées en garde à vue. Pour des infractions à la législation sur les stupéfiants, violences aggravées et extorsions. Près de 40 gendarmes étaient sur les lieux
Les faits se sont déroulés dimanche 15 mars, très tôt le matin. Il était 6 heures lorsqu'une quarantaine de gendarmes de Montluçon et du PI2G (Peloton d'Intervention de 2ème Génération), une antenne du GIGN spécialisée dans la libération d'otages, interpellation, arrestation de forcené ou malfaiteur dangereux et toutes interventions délicates, ont procédé à des interpellations particulièrement musclées à Montluçon.

Des coups de fusil à pompe

Selon le procureur de la république, Eric Camous, des coups de fusil à pompe ont été tirés au cours de l'intervention. Pour ouvrir les portes de trois habitations. Le parquet justifie cet impressionnant déploiement de forces par les faits dont étaient soupçonnés les six personnes en cause. A savoir : des infractions à la législation sur les stupéfiants, des violences aggravées et des extorsions. En raison également de la dangerosité particulière de deux des malfaiteurs, compte tenu des menaces proférées à l'encontre  d'autres personnes et des risques de représailles.
Des armes ont été retrouvées aux domiciles des six individus, ainsi que des produits stupéfiants.

Six personnes en garde à vue

A l'issue de cette vaste opération de gendarmerie, six personnes ont été placées en garde à vue. Quatre ont été remises en liberté lundi 16 mars. Deux seront présentées au parquet mercredi 18 mars, dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2015/03/17/quarante-gendarmes-de-montlucon-et-du-pi2g-procedent-six-interpellations-musclees-677219.html

AIN. Saint-André-de-Corcy : un couple de retraités se fait arnaquer à son domicile

Jacques et Yvette Dié sont dans de beaux draps. Mais des draps dans lesquels ils ne dormiront pas. Pour la petite histoire, Jacques est correspondant du Progrès sur Tramoyes. Habituellement, c’est lui qui donne la parole aux autres. Mais aujourd’hui, il souhaite témoigner dans nos colonnes, de sa mésaventure.
Jacques explique que son épouse a été victime dimanche dernier d’une arnaque. Le couple habite le lotissement des Echanaux, près de la route de Tramoyes. Un petit pavillon tranquille au bout d’une impasse. « J’étais parti le matin à la salle des rencontres de Saint-André pour m’occuper de l’expo photo » raconte le septuagénaire.
Elle vient à la maison pour réclamer un chèque
« Quand je suis revenu à mon domicile en milieu de matinée, ma femme m’a annoncé qu’elle venait d’acheter une parure de draps à une personne qui s’était présentée à notre domicile ». Du linge de lit emballé dans un plastique qui ne semble pas neuf. Le lot comprend un drap, une housse de drap et deux taies d’oreiller. Selon Yvette, 75 ans, cette visiteuse inattendue était « une dame d’un certain âge, vêtue d’une parka marron ».
Cette dernière serait venue taper à la porte du pavillon après avoir ouvert et franchi le portail sans sonner. Elle aurait ensuite expliqué à Yvette avoir vu son mari le matin même au marché. Celui-ci lui aurait passé cette commande, en lui demandant d’aller voir son épouse pour se faire payer, faute d’avoir de l’argent sur lui. Un scénario qui ne met pas la puce à l’oreille d’Yvette.

Un chèque de 80€, sans ordre

La dame a l’air plutôt sympathique et de bonne foi. Elle lui remet alors un chèque de 80 euros, sans ordre.
« Elle a suivi ma femme dans la maison et a regardé dans toutes les pièces. Elle lui a même fait la bise en partant ! ».
Si Jacques s’amuse presque de cette anecdote, il reste choqué par cette escroquerie, tout comme son épouse, encore perturbée par cette histoire. « Yvette est malentendante de naissance, moi-même je suis handicapé depuis enfant à cause d’une méningite, ce n’est peut-être pas un hasard si on s’en est pris à des personnes comme nous. On a peur qu’elle soit aussi venue repérer les lieux pour un futur cambriolage. J’ai voulu aussi témoigner pour mettre en garde les gens contre ce genre de pratique ».
Le couple n’a pas alerté la gendarmerie et ne souhaite pas porter plainte. Jacques a simplement contacté sa banque pour faire opposition au chèque. L’imposture leur aura coûté 12 euros de frais bancaires et la sensation d’avoir été pris pour des gogos

http://www.leprogres.fr/ain/2015/03/18/un-couple-de-retraites-se-fait-arnaquer-a-son-domicile

Ivre, il cogne le pompier qui secourait sa compagne

Un sapeur - pompier du centre de secours de Grisolles qui était en intervention sur le parking de la discothèque de la commune, a été violemment pris à partie par un client de l'établissement. Il était, en effet, près de 6 heures dimanche, lorsque quatre femmes qui en étaient venues aux mains devant l'établissement de nuit, se blessent mutuellement. Joints, les pompiers grisollais intervenaient pour porter les premiers secours à l'une d'elle. C'est au cours de cette intervention que l'un des sapeurs de 38 ans, recevait un coup de poing en plein visage du compagnon de la victime. Vraisemblablement éméché, l'individu qui voulait grimper dans l'ambulance, s'était vu refuser l'accès du véhicule. Avec le concours des vigiles de la boîte de nuit et des autres pompiers, l'individu était repoussé alors qu'il prenait la fuite juste au moment où la patrouille de gendarmerie arrivait sur les lieux non sans avoir outrageusement insulté les secouristes. Dans la matinée, l'individu ayant retrouvé la raison, se présentait à la brigade où il était immédiatement placé en garde à vue. Au terme de son audition, il a été relâché dans l'attente de la décision du parquet. De son côté le lieutenant Roujas, patron du centre de secours de Grisolles a déposé plainte ainsi que le service départemental d'incendie et de secours de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/18/2068893-ivre-il-cogne-le-pompier-qui-secourait-sa-compagne.html

Agde : il braque une caissière... pour une friteuse

L 'individu a menacé l'employée d'un supermarché d'Agde avec un pistolet à grenaille. Son butin : une friteuse !
Lundi 16 mars,vers 17 h, un individu tente de voler une friteuse au supermarché Netto, à Agde (Hérault). Alors qu'il essaie de passer la caisse, l'employée le rattrape, lui somme de rendre la friteuse. L'affaire aurait pu en rester là. Mais l'individu revient, armé d'un pistolet à grenailles. Il braque la caissière et lui ordonne de lui remettre la friteuse. Il s'enfuit, son butin sous le bras.
Ils prennent la fuite en scooter, la friteuse sous le bras
Dehors, un complice l'attend sur un scooter. L'employée du supermarché a la présence d'esprit de relever le numéro d'immatriculation du deux-roues et donne un signalement exact à la police.  La police va identifier les deux hommes dont un est connu de leurs services. Chez lui, on retrouve l'objet volé et le carton d'emballage brûlé. Les deux hommes, un Toulousain et un Agtahois, âgés de 34 ans et 35 ans, ont été placés en garde à vue au commissariat d'Agde.
http://www.midilibre.fr/2015/03/17/agde-il-braque-une-caissiere-pour-une-friteuse,1137107.php

mardi 17 mars 2015

Le Havre : un bébé décède après une chute du 4ème étage d'un immeuble

Un bébé de 23 mois est décédé, ce lundi 16 mars, vers 10 h 30, dans le quartier du Bois de Bléville, au Havre. 
L'enfant a fait une chute depuis le 4ème étage d'un immeuble, situé rue Père Hugues Sautreuil, dans le quartier de Bléville.
Malgré l'arrivée du SAMU qui a pris en charge l'enfant, celui-ci n'a pas survécu à cette chute.
Les circonstances de ce drame sont inconnues pour le moment.
La brigade de Sûreté Urbaine du Havre est chargée de l'enquête. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2015/03/16/le-havre-un-bebe-decede-apres-une-chute-du-4eme-etage-d-un-immeuble-676315.html

Il avoue avoir carbonisé sa compagne

Le compagnon d'une femme, dont le corps avait été découvert carbonisé dans une voiture en novembre en Ardèche, a avoué le meurtre lors de sa garde à vue, indique aujourd'hui la gendarmerie.
Âgé d'une trentaine d'années et inconnu des services de gendarmerie, cet homme a été interpellé hier à Saint-Cierge-sous-le-Cheylard, en Ardèche. Il a reconnu le meurtre en expliquant qu'il avait agi à la suite "d'une dispute" qui avait mal tourné. L'homme devrait être présenté cet après-midi, en vue de sa mise en examen, à une juge d'instruction d'Avignon qui instruit une information judiciaire ouverte pour assassinat depuis le 5 décembre.
 Le 13 novembre 2014, l'homme avait signalé la disparition de sa concubine, une secrétaire médicale mère d'un enfant de deux ans, qui avait quitté le domicile familial pour aller garder les enfants de son employeur. Le lendemain, un habitant découvrait, en retrait d'une route communale de Saint-Cierge-sous-le-Cheylard, un véhicule incendié dans lequel se trouvait un corps carbonisé, identifié comme celui de la compagne. Les expertises réalisées sur le véhicule et le cadavre orientaient l'enquête sur la piste d'un assassinat. L'autopsie a déterminé que la victime était décédée avant l'incendie sans expliciter les causes de la mort. Son compagnon n'a pas encore révélé comment il l'a tuée.
Le parquet d'Avignon est compétent pour les dossiers criminels de l'Ardèche. L'enquête est menée par la section de recherches de Grenoble et la brigade de recherches de Tournon-sur-Rhône.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/17/97001-20150317FILWWW00179-condamne-pour-avoir-carbonise-sa-compagne.php

Valdoie : un corps retrouvé dans la Savoureuse

Un corps a été retrouvé dans la Savoureuse, au niveau des petits îlots situés dans le lit de la Savoureuse au niveau des rues Paul-Hueber et Proudhon à Valdoie. C’est un pêcheur qui a donné l’alerte, dimanche vers 19 h. Il remontait la rivière lorsqu’il a aperçu une forme d’apparence humaine accrochée à des branches.
Quelques minutes plus tard, pompiers et policiers étaient à pied d’œuvre. Selon les témoins, la corpulence, la taille et la tenue vestimentaire correspondraient aux caractérises qui ont été communiquées dans un avis de disparition pour une septuagénaire. Début mars, des pompiers, des policiers, un chien pisteur et même un hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie de Colmar avaient mené des recherches au bord de la Savoureuse pour retrouver une Valdoyenne dépressive mesurant 1,60 m et portant au moment de sa disparition un jean bleu, un gilet gris et une parka marron. Les recherches avaient finalement été abandonnées. Maintenant, les investigations visent notamment à confirmer l’identité de la victime et à rechercher les causes de sa mort. Selon les témoins, que nous avons retrouvés, la septuagénaire présentait des blessures sur les parties nues de son corps, et notamment le visage. Elles pourraient avoir été provoquées par des poissons. Le parquet de Belfort tient pourtant à s’en assurer. Selon la formule consacrée, il n’écarte donc aucune hypothèse pour expliquer la mort de la septuagénaire. À ce stade des investigations, il privilégie l’hypothèse d’un geste désespéré. Le parquet a ordonné une autopsie qui devrait être pratiquée rapidement.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/03/16/valdoie-un-corps-retrouve-dans-la-savoureuse

lundi 16 mars 2015

Charente-Maritime : un ancien maire décède en arrivant au thé dansant

Il était 15 heures, dimanche, lorsque Pierre Rocher (86 ans) est décédé subitement lors d'un thé dansant organisé dans la salle Aliénor-d'Aquitaine à Saint-Jean-d'Angély. "Il est arrivé, a salué les convives, s'est assis puis s'est écroulé", raconte un témoin de la scène.
Les sapeurs-pompiers de Saint-Jean-d'Angély ainsi que le service médical d'urgence lui ont prodigué des massages cardiaques mais n'ont pu ramener à la vie celui qui a été maire des Nouillers de 1971 à 2001.
http://www.sudouest.fr/2015/03/16/charente-maritime-un-ancien-maire-decede-en-arrivant-au-the-dansant-1860734-1419.php

Rue de la Pomme : les nuits blanches des riverains

Si en journée la rue de la Pomme offre un visage bon enfant, la nuit est bien différente. Bruits, incivilités voire violences sont le lot quotidien des riverains. Ambiance.
Depuis trois ans, François et son amie habitent un charmant immeuble rue de la Pomme. Avec vue imprenable sur la rue et des commerçants à portée de main, le couple pensait avoir fait le bon choix. C'était sans compter sur la vie nocturne de cette rue de l'hyper-centre, qui la nuit tombée, se transforme en vacarme cauchemardesque :
«Les problèmes démarrent vers minuit, témoigne François avec un pic violent vers cinq, six heures du matin». En cause ? Le public agglutiné devant le Shanghai, discothèque emblématique de la ville, ouverte toute la semaine. «Qu'on soit bien d'accord, ce n'est pas la musique du Shanghai qui pose problème mais bien les clients qui crient, vocifèrent devant l'entrée. Un public qui bien sûr, passé une certaine heure, est aviné et perd tous sens des réalités», avance François. Démuni face au problème, le couple a dû recourir à une technique qui fait froid dans le dos : «On peine tant à trouver le calme que l'on tient hermétiquement fermée la fenêtre de notre chambre à l'aide d'une très lourde planche de bois utilisée pour l'insonorisation. «C'est le seul moyen qu'on a trouvé pour atténuer le bruit».
Une situation qui ne s'atténue pas avec l'aube. Bien au contraire : «Dès 1 heure et facilement jusqu'à 9, 10 heures le matin avec les after de la discothèque, on a aussi droit aux cris d'un vendeur de sandwich qui face à l'établissement vante sa marchandise toute la nuit».
Sans oublier les violences liées à des bagarres à l'arme blanche qui parfois se terminent par des blessures graves.

Vigiles ou police nationale ?

Durant deux ans, Julie a vécu dans cet immeuble. Aujourd'hui partie après une dépression liée aux nuits blanches, elle témoigne : «C'était invivable», se rappelle la jeune femme qui s'étonne encore des plaintes déposées par son père en 2012 auprès de la police nationale, restées sans suite et des courriers à la mairie sans réponse. Qui donc est responsable de cet état de fait ? Selon Delphine, voisine du Zoom, autre discothèque bruyante, «ce sont aux vigiles ou au gérant de faire la police, voire de la pédagogie auprès du public incivique».
Ce que réfute énergiquement Ivo Danaf, président des discothèques à l'Umih 31, «le problème est d'ordre public et les vigiles ne sont pas habilités à faire régner le calme sur l'espace public. C'est à la police de passer et de verbaliser».
Selon Christophe Vidal, président de l'association Toulouse Nocturne et maire de la Nuit de Toulouse, «c'est de l'ordre de la ville et des syndicats (Umih 31 et Synhorcat) de faire que le triptyque fête, calme et activités des professionnels cohabitent au mieux».
Ce à quoi, Olivier Arsac, adjoint au maire chargé de la sécurité, répond : «Si la mairie est parfaitement consciente du problème, elle a deux verrous à faire sauter : tout d'abord remédier au manque d'effectifs du «3101» garant d'une intervention rapide et efficace. Ensuite la ville doit revoir la refonte du planning de la police municipale qui pour l'heure arrête ses fonctions à 2 heures le week-end et qui elle, peut verbaliser». Deux points normalement résolus à l'automne. En attendant, les nuits des riverains de la rue de la Pomme ne ressemblent pas à un long sommeil tranquille…
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/16/2067597-rue-de-la-pomme-les-nuits-blanches-des-riverains.html

dimanche 15 mars 2015

Deux personnes grièvement blessées dans un accident de motoneige sur le plateau du Revard (Savoie)

Les sapeurs-pompiers de la Savoie ont été mobilisés hier vers 18h30 pour un accident de motoneige qui serait survenu dans le secteur du Revard dans le Massif des Bauges. Deux personnes ont été grièvement blessées après avoir heurté un arbre. 
Un grave accident de motoneige a fait deux blessés hier en fin d’après-midi, sur le plateau du Revard à proximité de la commune de la Féclaz. Deux personnes, un homme de 56 ans et une femme de 60 ans, ont perdu le contrôle de leur motoneige et ont terminé leur course dans un arbre. L’impact s’est produit vers 18h.

Alerté, les sapeurs-pompiers se sont rapidement rendus sur place et ont trouvé les deux victimes en hypothermie. Polytraumatisées, les deux victimes ont été héliportées grâce au Dragon 74, l'hélicoptère de la sécurité civile d'Annecy, vers le centre hospitalier de Chambéry. Leurs jours ne sont pas en danger.

On ne connait pas encore les circonstances exactes de l'accident. Une enquête de gendarmerie est en cours.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/03/15/deux-personnes-grievement-blessees-dans-un-accident-de-motoneige-sur-le-plateau-du-revard-savoie-675239.html

Une automobiliste chute de la quatre voies

C’est un témoin, qui se trouvait sur la petite route menant à Adoménil, qui a prévenu les secours vers 18 h 15 hier après-midi. Il avait entendu un « boum » et vu s’écraser une voiture en contrebas du pont de la quatre voies. Le véhicule est retombé sur ses quatre roues après une chute de sept ou huit mètres, terminant sa course contre le parapet de l’ouvrage.
A l’intérieur, une femme de 51 ans, qui circulait sur la RN 333 dans le sens Nancy-Lunéville, restée consciente malgré la violence du choc. Sa petite cylindrée a franchi les glissières de sécurité avant d’effectuer un bond de plusieurs dizaines de mètres.
A leur arrivée sur les lieux situés à quelques centaines de mètres des Cités Sainte-Anne, à Lunéville, les sapeurs-pompiers de Lunéville, placés sous les ordres du capitaine Feivet, ont découvert l’automobiliste prisonnière de son véhicule, dont elle n’avait pu s’extraire seule.
Ils ont dû enlever le toit afin de dégager la victime, les opérations de désincarcération se prolongeant en présence du médecin du SAMU. Une fois dégagée, la quinquagénaire a été conditionnée dans un VSAV avant d’être transportée à l’hôpital de Lunéville.
Elle ne souffrirait que de blessures légères.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/03/14/luneville-une-automobiliste-chute-de-la-quatre-voies

samedi 14 mars 2015

Gironde : cagoulés et armés, ils braquent un collègue de travail chez lui

"Je ne vous cache pas que je ne m'entendais pas avec lui", a déclaré l'un des malfaiteurs au tribunal
Ils étaient entrés par la fenêtre ouverte de la chambre à coucher. Le 14 septembre 2012, en pleine nuit, trois hommes encagoulés ont fait irruption dans une maison de Léognan. Réveillés, les occupants ont été priés de rester au lit, sous la menace d'une arme de poing.
Pendant que l'un les tenait en joue, les deux autres ont dérobé divers objets multimédias, des espèces et… huit kilogrammes de résine de cannabis ! L'un des cambrioleurs, un adolescent, avait laissé ses empreintes sur les lieux du crime.

Un an ferme requis

En l'identifiant, les enquêteurs ont pu remonter la piste des deux majeurs de 20 et 21 ans qui l'accompagnaient et qui étaient jugés, hier, par le tribunal correctionnel de Bordeaux pour vol aggravé. Ils étaient pourtant passibles de la cour d'assises, avant que le vol à main armée ne soit requalifié.
« J'ai voulu suivre la bande », affirme l'un. Trop stressé après les faits, il a préféré rentrer chez lui sans rien prendre. « Je ne voulais pas y aller, j'étais sûr qu'on se ferait piquer », assure l'autre qui y est allé quand même. Le président Reynal se demande à haute voix si le but de l'expédition était financier ou revanchard.
Car les deux prévenus connaissaient leur cible qui ne s'est pas constitué partie civile. C'était un collègue qui travaillait dans la même chaîne de restaurants. « Je ne vous cache pas que je ne m'entendais pas avec lui », admet le plus jeune. À cause d'un différend commercial suite à une transaction de produits stupéfiants et à cause de propos insultants qui sont revenus aux oreilles du prévenu. « On était venu récupérer le cannabis. »
L'arme, qui n'était pas factice mais inutilisable, avait été retrouvée dans un bois à Léognan. Depuis, les deux jeunes ont repris des études et trouvé du travail. Rappelant la gravité des faits - « ce n'est pas rien » - le vice-procureur Marc Ottomani requiert deux ans de prison dont un ferme. Les deux jeunes encouraient dix ans.
En défense, Me Sandrine Joinau-Dumail relativise. Elle parle d'erreur de parcours chez un jeune qui « désormais avance » et plaide la clémence. La prison viendrait anéantir tous les efforts d'insertion. Me Astrid Robert estime que les deux jeunes font tout pour se racheter vis-à-vis de la société. « Ils avaient 20 ans, ils ont voulu jouer les caïds et avoir de la fumette gratos. Mais à leur âge, les portes de l'avenir sont grandes ouvertes ».
Après en avoir délibéré, le tribunal les a condamnés à dix-huit mois de prison avec sursis. La peine ne sera pas inscrite sur le bulletin numéro deux du casier judiciaire du plus jeune.
http://www.sudouest.fr/2015/03/14/ils-braquent-un-collegue-de-travail-chez-lui-1859035-2780.php