Un homme s'est gravement blessé dimanche dans le canyon de la Maglia dans la Roya.
L'individu âgé d'une trentaine d'années a fait une mauvaise chute alors qu'il faisait du canyoning avec deux autres personnes.
Originaire de l'Isère, le trentenaire s'est mal réceptionné après un saut de 17 mètres. Il est gravement blessé au dos.
Il a été secouru par les CRS montagne épaulés des sapeurs-pompiers et de l'hélicoptère de la sécurité civile.
http://www.nicematin.com/menton/un-homme-gravement-blesse-apres-une-saut-dans-le-canyon-de-la-maglia.2324910.html
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
lundi 31 août 2015
vendredi 28 août 2015
Un réseau de trafic de drogue démantelé en Sarladais
Une dizaine d'enquêteurs du groupe anti-stupéfiants de la compagnie de gendarmerie de Sarlat, appuyés par des brigades territoriales, ont mis à jour un réseau de cannabis dans le Sarladais.
Huit personnes ont été interpellées après une perquisition au domicile de la tête du réseau, mardi matin, entre 6 et 8 heures. 27 barrettes de résine ont été trouvées.
Libérés sur décision de justice après leur garde à vue, les deux principaux acteurs comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Bergerac, le 16 janvier 2016.
Par ailleurs, deux intermédiaires et quatre consommateurs seront convoqués par le procureur de la République à Bergerac, dans les prochaines semaines, pour un rappel à la loi.
http://www.sudouest.fr/2015/08/28/un-reseau-de-trafic-de-drogue-demantele-en-sarladais-2108208-2147.php
Huit personnes ont été interpellées après une perquisition au domicile de la tête du réseau, mardi matin, entre 6 et 8 heures. 27 barrettes de résine ont été trouvées.
Libérés sur décision de justice après leur garde à vue, les deux principaux acteurs comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Bergerac, le 16 janvier 2016.
Par ailleurs, deux intermédiaires et quatre consommateurs seront convoqués par le procureur de la République à Bergerac, dans les prochaines semaines, pour un rappel à la loi.
http://www.sudouest.fr/2015/08/28/un-reseau-de-trafic-de-drogue-demantele-en-sarladais-2108208-2147.php
jeudi 27 août 2015
Haut-de-Seine : un enfant miraculé après une chute du 6ème étage
Un garçon de 11 ans a frôlé la mort mardi en fin d’après-midi à Montrouge (Hauts-de-Seine). L’enfant a voulu s’amuser en sautant de la fenêtre de son appartement sur un toit plat tout proche, chose qu’il faisait régulièrement. Malheureusement, il a dérapé et a fait une chute vertigineuse du 6ème étage. Le garçon a heurté une barrière en contrebas puis a atterri dans un jardin. Étonnamment, il s’en tire avec une simple fracture du tibia.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/27/2166009-paris-un-enfant-miracule-apres-une-chute-du-6eme-etage.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/27/2166009-paris-un-enfant-miracule-apres-une-chute-du-6eme-etage.html
mercredi 26 août 2015
Jeune fille égorgée à Perpignan: le petit ami en garde à vue, probable drame passionnel
Le petit ami de la jeune fille retrouvée morte égorgée mardi dans un parc de Perpignan a été placé en garde à vue après s'être présenté dans la nuit à la police et l'enquête s'orientait vers un drame passionnel, a déclaré mercredi la justice.
La victime, mineure selon le procureur, avait été découverte égorgée et atteinte de plusieurs coups de couteau dans un parc attenant au lycée Aristide Maillol de la ville, à une semaine de la rentrée.
"Son petit ami, âgé de 18 ans, s'est présenté de lui-même au commissariat de Perpignan après minuit", a expliqué le procureur Achille Kiriakidès interrogé par l'AFP par téléphone.
Il a été placé en garde à vue pour une durée de 24 heures renouvelable pouvant aller jusqu'à 48 heures.
Le procureur n'a pas voulu dire à ce stade des investigations si le jeune homme avait avoué avoir tué la victime et quels étaient exactement ses motifs.
Mais, a-t-il déclaré, "il y a suffisamment d'éléments pour le mettre en garde à vue et il avait suffisamment d'éléments pour venir s'expliquer".
La piste du crime crapuleux ou d'un rôdeur paraît en tout cas pouvoir être écartée.
"Dans la mesure où c'est le petit ami on peut présumer que ce n'est pas crapuleux. On est plutôt sur quelque chose qui est en lien avec la relation qui existait entre eux", a expliqué M. Kiriakidès.
La victime comme son petit ami sont des gens de Perpignan.
Ces informations ont été confirmées de source policière sans qu'aucun autre élément ne soit fourni.
C'est la police, apparemment alertée, qui a découvert le corps de la jeune fille âgée d'environ 17 ans mardi vers 17H00 dans un parc attenant au lycée Maillol de Perpignan, très fréquenté par les joggeurs.
Il gisait à 2 mètres en contrebas d'un ruisseau. Les policiers ont constaté qu'elle avait été, non seulement égorgée mais aussi lardée de coups de couteau en particulier au visage, au torse et au cou.
Le souvenir des "disparues de Perpignan"
Le lieu de la découverte macabre est situé dans le quartier du Haut Vernet, un quartier résidentiel du nord de Perpignan, plutôt populaire et pavillonnaire.
La police scientifique, le maire Jean-Marc Pujol, la préfète des Pyrénées Orientales Josiane Chevalier et le procureur Kiriakidès s'étaient rapidement rendus sur place alors que les forces de l'ordre maintenaient à distance des dizaines de badauds.
La préfecture des Pyrénées-Orientales a déjà été ébranlée ces dernières années par l'affaire des "disparues de Perpignan".
Un cariste-magasinier de 54 ans au lourd passé de délinquant sexuel, Jacques Rançon, a été incarcéré à l'automne 2014 dans ce dossier concernant trois jeunes femmes disparues à la fin des années 1990.
Il a avoué le viol et le meurtre en 1997 de Mokhtaria Chaïb, une étudiante de 19 ans dont le corps avait été retrouvé affreusement mutilé.
Après 18 ans d'enquête, il a également avoué en juin - après avoir été confondu par son ADN - le meurtre dans des conditions similaires de Marie-Hélène Gonzales, 22 ans, disparue en 1998.
Une troisième jeune femme, Tatiana Andujar, une lycéenne de 17 ans, avait été la première à disparaître en septembre 1995. Elle n'a jamais été retrouvée.
M. Rançon est aujourd'hui interné en hôpital psychiatrique.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/26/2165380-jeune-fille-egorgee-perpignan-petit-ami-garde-vue.html
La victime, mineure selon le procureur, avait été découverte égorgée et atteinte de plusieurs coups de couteau dans un parc attenant au lycée Aristide Maillol de la ville, à une semaine de la rentrée.
"Son petit ami, âgé de 18 ans, s'est présenté de lui-même au commissariat de Perpignan après minuit", a expliqué le procureur Achille Kiriakidès interrogé par l'AFP par téléphone.
Il a été placé en garde à vue pour une durée de 24 heures renouvelable pouvant aller jusqu'à 48 heures.
Le procureur n'a pas voulu dire à ce stade des investigations si le jeune homme avait avoué avoir tué la victime et quels étaient exactement ses motifs.
Mais, a-t-il déclaré, "il y a suffisamment d'éléments pour le mettre en garde à vue et il avait suffisamment d'éléments pour venir s'expliquer".
La piste du crime crapuleux ou d'un rôdeur paraît en tout cas pouvoir être écartée.
"Dans la mesure où c'est le petit ami on peut présumer que ce n'est pas crapuleux. On est plutôt sur quelque chose qui est en lien avec la relation qui existait entre eux", a expliqué M. Kiriakidès.
La victime comme son petit ami sont des gens de Perpignan.
Ces informations ont été confirmées de source policière sans qu'aucun autre élément ne soit fourni.
C'est la police, apparemment alertée, qui a découvert le corps de la jeune fille âgée d'environ 17 ans mardi vers 17H00 dans un parc attenant au lycée Maillol de Perpignan, très fréquenté par les joggeurs.
Il gisait à 2 mètres en contrebas d'un ruisseau. Les policiers ont constaté qu'elle avait été, non seulement égorgée mais aussi lardée de coups de couteau en particulier au visage, au torse et au cou.
Le souvenir des "disparues de Perpignan"
Le lieu de la découverte macabre est situé dans le quartier du Haut Vernet, un quartier résidentiel du nord de Perpignan, plutôt populaire et pavillonnaire.
La police scientifique, le maire Jean-Marc Pujol, la préfète des Pyrénées Orientales Josiane Chevalier et le procureur Kiriakidès s'étaient rapidement rendus sur place alors que les forces de l'ordre maintenaient à distance des dizaines de badauds.
La préfecture des Pyrénées-Orientales a déjà été ébranlée ces dernières années par l'affaire des "disparues de Perpignan".
Un cariste-magasinier de 54 ans au lourd passé de délinquant sexuel, Jacques Rançon, a été incarcéré à l'automne 2014 dans ce dossier concernant trois jeunes femmes disparues à la fin des années 1990.
Il a avoué le viol et le meurtre en 1997 de Mokhtaria Chaïb, une étudiante de 19 ans dont le corps avait été retrouvé affreusement mutilé.
Après 18 ans d'enquête, il a également avoué en juin - après avoir été confondu par son ADN - le meurtre dans des conditions similaires de Marie-Hélène Gonzales, 22 ans, disparue en 1998.
Une troisième jeune femme, Tatiana Andujar, une lycéenne de 17 ans, avait été la première à disparaître en septembre 1995. Elle n'a jamais été retrouvée.
M. Rançon est aujourd'hui interné en hôpital psychiatrique.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/26/2165380-jeune-fille-egorgee-perpignan-petit-ami-garde-vue.html
mardi 25 août 2015
Trois voitures volées au service de soins
Dans la nuit de dimanche à lundi, des cambrioleurs ont volé trois véhicules appartenant au service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) géré par l'Admr de Puylaurens. Il s'agit de voitures utilisées par les aides-soignants qui effectuent des soins à domicile auprès de personnes âgées en général sur tout le secteur puylaurentais. C'est au petit matin de samedi que des employés venant prendre leur service se sont rendu compte du vol. Les cambrioleurs sont entrés par effraction dans les bureaux de l'ADMR / SSIAD et auraient fouillé et finalement découvert l'emplacement des clefs. A ce stade, l'enquête ouverte par les services de gendarmerie ne permet pas de dire si les voleurs ont ciblé à dessein l'établissement pour y voler des véhicules ou bien si les cambrioleurs y sont tombés dessus par hasard. Un vol commis dans un secteur plutôt tranquille et isolé de Puylaurens, puisque le centre se trouve à la zone artisanale, route de Blan. A cette heure en tout cas, le bilan ne fait apparaître aucun autre vol que les trois voitures ce qui représente un préjudice important pour l'association. Les salariés se sont toutefois organisés samedi dans l'urgence et ce dimanche pour que le service de soins à domicile ne soit pas trop perturbé. Les gendarmes de Puylaurens sont chargés de l'enquête.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/25/2164728-trois-voitures-volees-au-service-de-soins.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/25/2164728-trois-voitures-volees-au-service-de-soins.html
lundi 24 août 2015
Saint-Aubin-Epinay (76) : un enfant mordu par un chien rottweiler
Les pompiers sont intervenus peu après 18 heures à Saint-Aubin-Epinay près de Bonsecours. Un enfant de 10 ans venait d'être mordu par un rottweiler. Selon nos sources, le chien qui était enfermé dans une maison se serait échappé.
La petite victime est grièvement blessée. Elle a dû être hospitalisée.
Les chiens rottweiler sont classés parmi les chiens de garde et de défense. Ils doivent être tenus en laisse et aussi muselés sur la voie publique, dans les transports en commun et dans les lieux publics. Leurs maitres doivent suivre une formation.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/saint-aubin-epinay-76-un-enfant-mordu-par-un-chien-rottweiler-792137.html
La petite victime est grièvement blessée. Elle a dû être hospitalisée.
Les chiens rottweiler sont classés parmi les chiens de garde et de défense. Ils doivent être tenus en laisse et aussi muselés sur la voie publique, dans les transports en commun et dans les lieux publics. Leurs maitres doivent suivre une formation.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/saint-aubin-epinay-76-un-enfant-mordu-par-un-chien-rottweiler-792137.html
Cécile se bat pour récupérer son fils de 5 ans, enlevé par son père au Cameroun
David-Pierre a eu 5 ans le 16 juillet. Mais Cécile, sa mère, n'a pas pu fêter son anniversaire avec lui. Cette jeune femme de 33 ans, qui vit à Gagnac-sur-Garonne, n'a pas vu son fils depuis presque un an. Le père de l'enfant, avec qui elle est encore mariée, est parti au Cameroun où il retient le garçon. «Mon mari a décidé de partir vivre au Cameroun alors que je voulais rester en France. L'été dernier, il y a pris notre fils pour les vacances. Le petit devait rentrer en France pour la rentrée, où je l'avais inscrit à l'école. Mais en septembre, mon mari n'a pas voulu le faire revenir et il l'a scolarisé au Cameroun.» Cécile finit par refuser une offre d'emploi en CDI en France dans le but de les retrouver au Cameroun. Elle s'y rend à Noël. «J'ai alors appris que mon mari avait une nouvelle compagne.» Sur place, elle se décide donc d'engager une procédure pour récupérer son fils. Mais son mari ne se présente pas à l'audience et le procès est repoussé. Cécile rentre en France. Pendant un temps, elle communique avec son fils par Internet, via Skype. Mais à partir de février, son mari s'efface progressivement. «Il s'est mis à ne plus répondre à ses mails, a enlevé la puce française de son portable.» C'est par les réseaux sociaux que Cécile apprend qu'il a eu un enfant avec sa nouvelle compagne… Et par son fils que la famille a déménagé de Douala à Yaoundé. «Je ne connais même pas leur adresse.»
Elle finit par porter plainte en France pour enlèvement d'enfant à la gendarmerie de Gagnac, le 10 juin dernier. Problème, Cécile possède la nationalité camerounaise alors que son mari, lui, est français. Ce qui ne lui facilite pas les choses.Le 20 août, nouvelle audience au Cameroun. Cécile en attendait beaucoup, puisqu'elle a inscrit son fils à l'école de Gagnac, où elle vient de s'installer. Mais une nouvelle fois, son mari est aux abonnés absents. L'audience a été repoussée au 3 septembre. «Après la rentrée», soupire-t-elle. Cela fait maintenant un mois et demi qu'elle n'a plus du tout de nouvelles de son fils. En France, la procédure engagée suit son cours. Elle n'espère désormais plus qu'une chose : que David-Pierre la rejoigne dans son appartement coquet de Gagnac, «tout près de l'école».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/24/2163958-depuis-toulouse-cecile-bat-recuperer-fils-5-ans-enleve-pere.html
Elle finit par porter plainte en France pour enlèvement d'enfant à la gendarmerie de Gagnac, le 10 juin dernier. Problème, Cécile possède la nationalité camerounaise alors que son mari, lui, est français. Ce qui ne lui facilite pas les choses.Le 20 août, nouvelle audience au Cameroun. Cécile en attendait beaucoup, puisqu'elle a inscrit son fils à l'école de Gagnac, où elle vient de s'installer. Mais une nouvelle fois, son mari est aux abonnés absents. L'audience a été repoussée au 3 septembre. «Après la rentrée», soupire-t-elle. Cela fait maintenant un mois et demi qu'elle n'a plus du tout de nouvelles de son fils. En France, la procédure engagée suit son cours. Elle n'espère désormais plus qu'une chose : que David-Pierre la rejoigne dans son appartement coquet de Gagnac, «tout près de l'école».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/24/2163958-depuis-toulouse-cecile-bat-recuperer-fils-5-ans-enleve-pere.html
dimanche 23 août 2015
Accident à Etretat : un motard dans un état grave
Une collision entre un véhicule et une voiture a eu lieu sur le CD39 au niveau de la route de Criquetot l’Esneval, à Étretat.
L’accident s’est produit vers 15h ce samedi 22 août. Le conducteur de la moto est grièvement blessé. Il a été transporté par hélicoptère au CHU de Rouen.
Le conducteur du véhicule est légèrement blessé.
La circulation a du être interrompue dans les deux sens.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/accident-etretat-un-motard-dans-un-etat-grave-791745.html
L’accident s’est produit vers 15h ce samedi 22 août. Le conducteur de la moto est grièvement blessé. Il a été transporté par hélicoptère au CHU de Rouen.
Le conducteur du véhicule est légèrement blessé.
La circulation a du être interrompue dans les deux sens.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/accident-etretat-un-motard-dans-un-etat-grave-791745.html
Info 20 Minutes. Nantes : Un colis suspect en cours d edéminage au Jardin des plantes
Ce dimanche midi, un colis suspect a été trouvé dans la rue Ecorchard juste à côté du Jardin des plantes (quartier de la gare nord). Un périmètre de sécurité a été rapidement mis en place par la police et le Jardin des plantes a été évacué. « Nous avons été alertés pour quelque chose emballé dans du gros scotch noir, le tout étant paqueté », explique un officier de policer. L’opération de déminage est en cours.
>> Plus d’informations à venir sur 20 Minutes. en cliquant sur ce lien ....... http://www.20minutes.fr/nantes/1670915-20150823-info-20-minutes-nantes-colis-suspect-cours-edeminage-jardin-plantes
>> Plus d’informations à venir sur 20 Minutes. en cliquant sur ce lien ....... http://www.20minutes.fr/nantes/1670915-20150823-info-20-minutes-nantes-colis-suspect-cours-edeminage-jardin-plantes
samedi 22 août 2015
Saint-Paul-De-Fenouillet : Un enfant de 10 ans évacué après une mauvaise chute dans les gorges de Galamus
Hier vers 16 h 30, un enfant de 10 ans qui pratiquait le canyoning avec ses parents dans les gorges de Galamus s'est réceptionné sur le dos, après un saut de 8 mètres.
Souffrant de douleurs dorsales, le jeune homme a été secouru par les pompiers du groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux, qui l'a hélitreuillé à bord de l'hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 66. Pris en charge par un médecin du Samu, il a été transporté jusqu'à l'hôpital de Perpignan pour des examens complémentaires.
http://www.lindependant.fr/2015/08/22/un-enfant-de-10-ans-evacue-apres-une-mauvaise-chute-dans-les-gorges-de-galamus,2074485.php
Souffrant de douleurs dorsales, le jeune homme a été secouru par les pompiers du groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux, qui l'a hélitreuillé à bord de l'hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 66. Pris en charge par un médecin du Samu, il a été transporté jusqu'à l'hôpital de Perpignan pour des examens complémentaires.
http://www.lindependant.fr/2015/08/22/un-enfant-de-10-ans-evacue-apres-une-mauvaise-chute-dans-les-gorges-de-galamus,2074485.php
Collision sur la RD 813 : le Dr Pouget grièvement blessé
Une lourde collision entre trois véhicules qui circulaient entre Moissac et Castelsarrasin, a paralysé, hier en fin d'après-midi, la RD 813. Parmi les trois victimes, le médecin généraliste moissagais, Alain Pouget, polytraumatisé, a été conduit à Purpan.
Un véhicule soulevé par un autre qui s'est encastré à l'arrière du premier, près des serres horticoles Duffaut, à Moissac… le rescapé de ce spectaculaire accident, un commercial castelsarrasinois, âgé de 42 ans, qui était au volant de sa «Peugeot 306» passé au-dessous d'un «Dacia Duster» qui le précédait, était encore sous le coup de s'en être sorti sans une égratignure. «C'est difficile de dire précisément ce qui s'est passé, j'ai juste vu un véhicule en face se déporter» témoignait-il avant d'être conduit pour des radios de contrôle au centre hospitalier de Moissac. La conductrice d'un troisième véhicule, une employée de 21 ans d'un fleuriste de Moissac et résidant à Cazes-Mondenard, était elle aussi conduite aux urgences de la cité uvale avec des blessures légères.
Plus grièvement touché, le conducteur du «Dacia Duster», le docteur moissagais Alain Pouget, 48 ans, polytraumatisé, souffrait de plusieurs fractures, devait être désincarcéré par les pompiers des centres de secours de Castelsarrasin et Moissac. Au vu de ses blessures, le médecin généraliste devait être transporté par une ambulance médicalisée au centre hospitalier de Purpan où il devait être pris en charge par un chirurgien orthopédiste.
Dans le même temps, la circulation entre Castelsarrasin et Moissac était complètement paralysée sur l'axe où la police municipale de Moissac avait mis en place une déviation dès le giratoire de Saint-Benoît et la police de Castelsarrasin en zone de Terre Blanche. Sur place, les gendarmes de la COB de Moissac réalisaient les constatations d'usage en présence du nouveau patron de la compagnie, le capitaine Didier Protois. À cet instant, il était bien difficile de déterminer les circonstances exactes ayant conduit à cette triple collision. Les trois véhicules roulaient-ils dans le même sens ? C'est ce que confirmaient les premiers examens des traces de freinages… Un point que contestait le dernier automobiliste indemne. L'enquête ouverte et notamment les futures auditions des autres protagonistes et éventuels témoins devraient permettre d'élucider la question…
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/22/2163192-collision-sur-la-rd-813-le-dr-pouget-grievement-blesse.html
Un véhicule soulevé par un autre qui s'est encastré à l'arrière du premier, près des serres horticoles Duffaut, à Moissac… le rescapé de ce spectaculaire accident, un commercial castelsarrasinois, âgé de 42 ans, qui était au volant de sa «Peugeot 306» passé au-dessous d'un «Dacia Duster» qui le précédait, était encore sous le coup de s'en être sorti sans une égratignure. «C'est difficile de dire précisément ce qui s'est passé, j'ai juste vu un véhicule en face se déporter» témoignait-il avant d'être conduit pour des radios de contrôle au centre hospitalier de Moissac. La conductrice d'un troisième véhicule, une employée de 21 ans d'un fleuriste de Moissac et résidant à Cazes-Mondenard, était elle aussi conduite aux urgences de la cité uvale avec des blessures légères.
Plus grièvement touché, le conducteur du «Dacia Duster», le docteur moissagais Alain Pouget, 48 ans, polytraumatisé, souffrait de plusieurs fractures, devait être désincarcéré par les pompiers des centres de secours de Castelsarrasin et Moissac. Au vu de ses blessures, le médecin généraliste devait être transporté par une ambulance médicalisée au centre hospitalier de Purpan où il devait être pris en charge par un chirurgien orthopédiste.
Dans le même temps, la circulation entre Castelsarrasin et Moissac était complètement paralysée sur l'axe où la police municipale de Moissac avait mis en place une déviation dès le giratoire de Saint-Benoît et la police de Castelsarrasin en zone de Terre Blanche. Sur place, les gendarmes de la COB de Moissac réalisaient les constatations d'usage en présence du nouveau patron de la compagnie, le capitaine Didier Protois. À cet instant, il était bien difficile de déterminer les circonstances exactes ayant conduit à cette triple collision. Les trois véhicules roulaient-ils dans le même sens ? C'est ce que confirmaient les premiers examens des traces de freinages… Un point que contestait le dernier automobiliste indemne. L'enquête ouverte et notamment les futures auditions des autres protagonistes et éventuels témoins devraient permettre d'élucider la question…
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/22/2163192-collision-sur-la-rd-813-le-dr-pouget-grievement-blesse.html
vendredi 21 août 2015
Une explosion d'origine indéterminée s'est produite ce vendredi à la mi-journée dans une usine de fabrication de feux d'artifices sur la commune du Fleix, en Dordogne, blessant un employé de ce site classé Seveso, a indiqué la sous-préfète de Dordogne, Dominique Laurent.
L'explosion s'est produite vers 11h50 sur ce site de la société Brezac Artifices, alors qu'un employé déchargeait des caisses de fusées non tirées pour les entreposer dans un bâtiment de 100m2, provoquant l'incendie de cet entrepôt et d'un véhicule de transport. L'employé, «sérieusement brûlé» aux jambes, a été transporté au CHU de Pellegrin à Bordeaux, a précisé la sous-préfète.
Toutefois, les mesures de sécurité prévues dans le Plan d'opération interne (POI), en raison du classement Seveso du site, ont «aussitôt été mises en oeuvre», et «les moyens engagés par le SDIS (Service départemental d'incendie et de secours) ont permis de maîtriser l'incendie», selon un communiqué de la préfecture de la Dordogne. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'explosion, a ajouté Mme Laurent.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/21/97001-20150821FILWWW00195-explosion-dans-une-usine-de-feux-d-artifice.php
L'explosion s'est produite vers 11h50 sur ce site de la société Brezac Artifices, alors qu'un employé déchargeait des caisses de fusées non tirées pour les entreposer dans un bâtiment de 100m2, provoquant l'incendie de cet entrepôt et d'un véhicule de transport. L'employé, «sérieusement brûlé» aux jambes, a été transporté au CHU de Pellegrin à Bordeaux, a précisé la sous-préfète.
Toutefois, les mesures de sécurité prévues dans le Plan d'opération interne (POI), en raison du classement Seveso du site, ont «aussitôt été mises en oeuvre», et «les moyens engagés par le SDIS (Service départemental d'incendie et de secours) ont permis de maîtriser l'incendie», selon un communiqué de la préfecture de la Dordogne. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'explosion, a ajouté Mme Laurent.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/21/97001-20150821FILWWW00195-explosion-dans-une-usine-de-feux-d-artifice.php
Notre-Dame-des-Landes : un véhicule de gendarmerie incendié près de la "zad"
Un véhicule de gendarmerie a été incendié par une fusée de détresse, jeudi matin à Notre-Dame-des-Landes, alors que les gendarmes intervenaient pour une expulsion locative, près du site occupé par les zadistes qui luttent contre la construction du futur aéroport.
Vers 10 heures jeudi matin, les gendarmes étaient venus accompagner un huissier qui devait procéder à l'expulsion de locataires ne payant pas les loyers de la maison
qu'ils occupent. Le lieu-dit concerné, L'Épine, se trouve à proximité de la "Zad", acronyme de "zone d'aménagement différé" destinée à l'aéroport.
qu'ils occupent. Le lieu-dit concerné, L'Épine, se trouve à proximité de la "Zad", acronyme de "zone d'aménagement différé" destinée à l'aéroport.
Un véhicule a surgi avec cinq personnes à bord, masquées et armées. "Ils ont attaqué avec des pistolets à billes le gendarme qui était seul à l'extérieur de la maison", près du véhicule de gendarmerie, a expliqué le colonel Didier Marconnet, commandant la Région Pays de la Loire et le groupement de Loire-Atlantique.
Armés de battes de baseball, ils ont ensuite brisé les vitres de la voiture de gendarmerie avant d'y mettre le feu avec une fusée de détresse. Le gendarme pris pour cible été blessé très légèrement au bras par une bille en plastique, selon le parquet de Saint-Nazaire.
De lourds moyens engagés pour retrouver les agresseurs
"J'ai engagé une soixantaine de gendarmes sur l'ensemble de la zone", ainsi qu'un hélicoptère, pour tenter d'intercepter les agresseurs, mais "ils s'étaient réfugiés dans la ZAD", a relaté le colonel.
Ensuite, un groupe d'une quinzaine d'individus a surgi des bois en provenance de la Zad, "armés, gantés, casqués", avec "des frondes et des bâtons" et ont tenté d'agresser les gendarmes, qui les ont mis en fuite sans réussir à les interpeller, a détaillé le colonel.
La femme résidant dans la maison, soupçonnée d'avoir alerté les zadistes, a été placée en garde à vue jeudi midi ainsi que son fils, qui a encouragé les agresseurs, selon le parquet et la gendarmerie.
Une enquête est en cours pour destruction de véhicule par incendie et violences envers dépositaires de l'autorité publique, en réunion, a précisé le parquet.
Mort d'Arthur Maillard : le chauffard retrouvé et écroué
Le conducteur soupçonné d'avoir mortellement percuté le jeune rappeur toulousain, Arthur Maillard, en novembre 2013, faubourg Bonnefoy, à Toulouse, a été interpellé en Espagne et écroué. Il faisait l'objet d'un mandat d'arrêt européen
Presque deux ans après la mort d'Arthur Maillard, ce jeune artiste de 26 ans, alias DF Le Mister Chill, renversé par une voiture le 3 novembre 2013 Faubourg-Bonnefoy, à Toulouse, le conducteur qui avait pris la fuite a été interpellé dernièrement.
Ce Toulousain de 28 ans, Ouissem N., aurait reconnu avoir conduit la BMW qui a mortellement fauché Arthur Maillard alors que ce dernier traversait la chaussée.
Après l'accident, le conducteur est revenu discrètement sur les lieux avant de s'envoler dix jours plus tard vers Barcelone pour rejoindre la Tunisie où il aurait séjourné durant presque deux ans. Les trois autres personnes, deux garçons et une fille, présentes dans la BMW lors de l'accident, avaient été interpellées par les policiers de la sûreté départementale. Les deux hommes avaient été placés en détention provisoire. Activement recherchée par les enquêteurs, la voiture avait été partiellement désossée. Mais malgré ces dissimulations de preuves, les policiers sont parvenus à identifier le dernier suspect dans cette affaire qui avait fait grand bruit et ému de nombreux Toulousains. Ouissem N. faisait l'objet d'un mandat d'arrêt européen. Fin juillet, cet homme, déjà connu des services de police, est arrêté à la Jonquera, à la frontière espagnole, par les «Mossos» lors d'un contrôle d'identité. Pour les besoins de la procédure, il est transféré en région parisienne puis présenté le 13 août devant le juge d'instruction en charge du dossier. Il a été mis en examen pour «homicide involontaire aggravé», «non-assistance à personne en danger», «destruction de preuve» et «vitesse excessive». Il a été écroué.
«Il est soulagé d'avoir été interpellé car il vivait avec la mort de ce jeune homme sur la conscience. Il assume ses responsabilités et vit avec un sentiment de culpabilité. Le jour des faits, il a eu peur et a paniqué», indiquent ses avocats, Mes Alexandre Martin et Sophie Dermarkar. En revanche, «il nie avoir participé au démontage de la voiture dont il n'est pas le propriétaire.» Une grande chaîne de solidarité s'est mise en place après la mort d'Arthur Maillard. Ses copains ont repris le flambeau en sortant un album commencé par le jeune artiste peu de temps avant le drame. Une nouvelle fresque, en mémoire d'Arthur, a vu le jour, sur le parking de l'ancienne station-service, avenue de Lyon.
http://www.ladepeche.fr/
Presque deux ans après la mort d'Arthur Maillard, ce jeune artiste de 26 ans, alias DF Le Mister Chill, renversé par une voiture le 3 novembre 2013 Faubourg-Bonnefoy, à Toulouse, le conducteur qui avait pris la fuite a été interpellé dernièrement.
Ce Toulousain de 28 ans, Ouissem N., aurait reconnu avoir conduit la BMW qui a mortellement fauché Arthur Maillard alors que ce dernier traversait la chaussée.
Après l'accident, le conducteur est revenu discrètement sur les lieux avant de s'envoler dix jours plus tard vers Barcelone pour rejoindre la Tunisie où il aurait séjourné durant presque deux ans. Les trois autres personnes, deux garçons et une fille, présentes dans la BMW lors de l'accident, avaient été interpellées par les policiers de la sûreté départementale. Les deux hommes avaient été placés en détention provisoire. Activement recherchée par les enquêteurs, la voiture avait été partiellement désossée. Mais malgré ces dissimulations de preuves, les policiers sont parvenus à identifier le dernier suspect dans cette affaire qui avait fait grand bruit et ému de nombreux Toulousains. Ouissem N. faisait l'objet d'un mandat d'arrêt européen. Fin juillet, cet homme, déjà connu des services de police, est arrêté à la Jonquera, à la frontière espagnole, par les «Mossos» lors d'un contrôle d'identité. Pour les besoins de la procédure, il est transféré en région parisienne puis présenté le 13 août devant le juge d'instruction en charge du dossier. Il a été mis en examen pour «homicide involontaire aggravé», «non-assistance à personne en danger», «destruction de preuve» et «vitesse excessive». Il a été écroué.
«Il est soulagé d'avoir été interpellé car il vivait avec la mort de ce jeune homme sur la conscience. Il assume ses responsabilités et vit avec un sentiment de culpabilité. Le jour des faits, il a eu peur et a paniqué», indiquent ses avocats, Mes Alexandre Martin et Sophie Dermarkar. En revanche, «il nie avoir participé au démontage de la voiture dont il n'est pas le propriétaire.» Une grande chaîne de solidarité s'est mise en place après la mort d'Arthur Maillard. Ses copains ont repris le flambeau en sortant un album commencé par le jeune artiste peu de temps avant le drame. Une nouvelle fresque, en mémoire d'Arthur, a vu le jour, sur le parking de l'ancienne station-service, avenue de Lyon.
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jeudi 20 août 2015
Accident d'ULM près de Saint-Nazaire : trois blessés graves, deux légers
Selon les premiers éléments recueillis par les gendarmes, un problème de gouvernail serait apparu après le décollage et l'appareil a percuté un poteau de signalisation avant de tomber sur trois personnes présentes sur la base.
Un accident d'ULM a fait trois blessés graves et deux blessés légers jeudi midi sur la base ULM de Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique), ont indiqué les gendarmes. L'accident est survenu vers 12H40 lors d'un baptême d'ULM. Selon les premiers éléments recueillis par les gendarmes, un problème de gouvernail serait apparu après le décollage et l'appareil a percuté un poteau de signalisation avant de tomber sur trois personnes présentes sur la base.
Le pilote et l'adolescente de 14 ans qui l'accompagnait ont été blessé légèrement mais les trois personnes au sol, un homme de 45 ans et deux femmes de 24 ans, ont été grièvement blessées. Un des blessés graves a été héliporté au CHU de Nantes et les deux autres blessés graves transportés au CH de Saint-Nazaire. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie des transports aériens de Nantes et à la brigade de gendarmerie de Saint-Brévin.
Condette : un jeune homme piqué par un scorpion
Un jeune homme de 22 ans a été hospitalisé la nuit dernière au CH de Boulogne-sur-Mer après avoir été piqué par un scorpion, au domicile de ses parents à Condette (Pas-de-Calais).
"C'est la première fois que j'interviens sur un tel spécimen". Jérémie Marion, responsable du service animalier Opale Capture, n'en revient toujours. La nuit dernière, il a été appelé peu après minuit par les pompiers d'Arras pour capturer un scorpion rue des Buissons, à Condette, un village situé au sud de Boulogne-sur-Mer. L'arthropode, de 8 centimètres de long, venait de piquer un jeune homme de 22 ans de retour d'un séjour à Cuba. Il se trouvait dans sa trousse de toilettes.
La victime a été conduite par sa mère au CH de Boulogne-sur-Mer où il est encore, ce jeudi, sous surveillance. "Nous sommes équipés gros gants spécifiques pour éviter de se faire piquer, il faut être vigilant", raconte Jérémie Marion qui a capturé le scorpion pour le remettre au Centre de sauvegarde de la faune sauvage de Calais. Des analyses sont en cours pour savoir avec précision de quelle espèce il s'agit et évaluer surtout sa dangerosité
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/condette-un-jeune-homme-pique-par-un-scorpion-790177.html
"C'est la première fois que j'interviens sur un tel spécimen". Jérémie Marion, responsable du service animalier Opale Capture, n'en revient toujours. La nuit dernière, il a été appelé peu après minuit par les pompiers d'Arras pour capturer un scorpion rue des Buissons, à Condette, un village situé au sud de Boulogne-sur-Mer. L'arthropode, de 8 centimètres de long, venait de piquer un jeune homme de 22 ans de retour d'un séjour à Cuba. Il se trouvait dans sa trousse de toilettes.
La victime a été conduite par sa mère au CH de Boulogne-sur-Mer où il est encore, ce jeudi, sous surveillance. "Nous sommes équipés gros gants spécifiques pour éviter de se faire piquer, il faut être vigilant", raconte Jérémie Marion qui a capturé le scorpion pour le remettre au Centre de sauvegarde de la faune sauvage de Calais. Des analyses sont en cours pour savoir avec précision de quelle espèce il s'agit et évaluer surtout sa dangerosité
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mercredi 19 août 2015
Belfort : le suspect met le feu à une poussette : un immeuble évacué
Un important dégagement de fumée a conduit à un important déploiement de pompiers devant le 4 rue Albert-Thomas ce mardi vers 15 h 05. En fait le feu a été allumé dans une poussette qui était stockée près d’une porte palière, au deuxième étage d’un immeuble appartenant à Néolia. Très rapidement sur place, les pompiers de Belfort-Sud et Belfort-Nord ont éteint l’incendie avec une seule lance. Ils ont ventilé le hall.
Pendant les opérations de secours, une quinzaine de locataires sont soit sortis d’eux-mêmes, soit ont été évacués par les pompiers. D’autres encore ont été confinés chez eux. Huit adultes et deux enfants, ont fait l’objet d’un examen de contrôle mais n’ont pas été hospitalisés.
C’est la deuxième fois que les secours interviennent pour le même type incendie, dans le même hall et au même étage. Le 7 avril dernier, un dégagement de fumée après l’incendie d’une poussette dans le même créneau horaire avait suscité une grosse frayeur. Elle avait conduit les pompiers à intervenir depuis la rue Thomas et la rue du Haut-Rhin.
Les similitudes entre les deux incendies n’ont pas échappés aux fonctionnaires de police du commissariat de police. Une de leur patrouille est repartie avec un homme originaire du Haut-Rhin. Il est soupçonné d’avoir incendié les deux poussettes. Il a été placé en garde à vue.
On ne connaît pas encore ses motivations. La piste d’un différend conjugal n’est pas écartée.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/08/18/belfort-le-suspect-met-le-feu-a-une-poussette-un-immeuble-evacue
Pendant les opérations de secours, une quinzaine de locataires sont soit sortis d’eux-mêmes, soit ont été évacués par les pompiers. D’autres encore ont été confinés chez eux. Huit adultes et deux enfants, ont fait l’objet d’un examen de contrôle mais n’ont pas été hospitalisés.
C’est la deuxième fois que les secours interviennent pour le même type incendie, dans le même hall et au même étage. Le 7 avril dernier, un dégagement de fumée après l’incendie d’une poussette dans le même créneau horaire avait suscité une grosse frayeur. Elle avait conduit les pompiers à intervenir depuis la rue Thomas et la rue du Haut-Rhin.
Les similitudes entre les deux incendies n’ont pas échappés aux fonctionnaires de police du commissariat de police. Une de leur patrouille est repartie avec un homme originaire du Haut-Rhin. Il est soupçonné d’avoir incendié les deux poussettes. Il a été placé en garde à vue.
On ne connaît pas encore ses motivations. La piste d’un différend conjugal n’est pas écartée.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/08/18/belfort-le-suspect-met-le-feu-a-une-poussette-un-immeuble-evacue
mardi 18 août 2015
Paris: Des coups de feu entendus lundi près de la gare de l’Est
Les faits se sont déroulés lundi et restent encore bien mystérieux. Selon les informations du Parisien, plusieurs coups de feu ont été tirés en fin de soirée dans une petite rue du 10e arrondissement, à proximité de la gare de l’Est.
L’alerte a été donnée à 22 heures par des riverains, alarmés par les détonations à répétition qui résonnaient dans ce quartier.
A l’arrivée des policiers, tout le monde avait disparu, souligne le Parisien. Pas de trace de tireurs, de victimes ou de voitures. Et les hôpitaux parisiens n’ont enregistré aucune admission pour blessure par balle. Les policiers ont en revanche retrouvé plusieurs douilles sur la chaussée, à l’angle de la rue Pierre-Dupont et du passage Delessert. Selon cette même source de la préfecture de police, impossible de dire pour le moment s’il s’agit d’un règlement de compte.
Selon le quotidien, les policiers du 2e district de police judiciaire, chargés de l’enquête, vont maintenant tenter de « faire parler » les douilles et les images de vidéosurveillance pour retrouver la trace des fuyards.
Paris: Des coups de feu entendus lundi près de la gare de l’Est
http://www.20minutes.fr/paris/1668455-20150818-paris-coups-feu-suivis-course-poursuite-entendus-pres-gare
L’alerte a été donnée à 22 heures par des riverains, alarmés par les détonations à répétition qui résonnaient dans ce quartier.
Aucunes traces des tireurs
Selon les premiers témoignages, recueillis par le quotidien, plusieurs personnes qui se trouvaient dans une voiture garée à cet endroit auraient été prises pour cible par deux ou trois individus. La voiture des « victimes » aurait alors démarré en trombe pour échapper aux tirs. « Mais il n’y a pas eu de course-poursuite », précise une source de la préfecture de police, contactée par 20 Minutes.A l’arrivée des policiers, tout le monde avait disparu, souligne le Parisien. Pas de trace de tireurs, de victimes ou de voitures. Et les hôpitaux parisiens n’ont enregistré aucune admission pour blessure par balle. Les policiers ont en revanche retrouvé plusieurs douilles sur la chaussée, à l’angle de la rue Pierre-Dupont et du passage Delessert. Selon cette même source de la préfecture de police, impossible de dire pour le moment s’il s’agit d’un règlement de compte.
Selon le quotidien, les policiers du 2e district de police judiciaire, chargés de l’enquête, vont maintenant tenter de « faire parler » les douilles et les images de vidéosurveillance pour retrouver la trace des fuyards.
Paris: Des coups de feu entendus lundi près de la gare de l’Est
http://www.20minutes.fr/paris/1668455-20150818-paris-coups-feu-suivis-course-poursuite-entendus-pres-gare
Darnétal (Seine-Maritime) : un homme gravement blessé après une tentative de meurtre
Une tentative de meurtre a eu lieu ce mardi 18 août 2015 à Darnétal, dans l'agglomération de Rouen (Seine-Maritime). Une équipage de police-secours se rend sur place après le coup de fil d'un riverain de la rue de Longpaon, qui a entendu une bagarre dans l'appartement de son voisin. Il est environ 00h15.
Arrivés dans la rue en question, les agents croisent un homme torse nu, couvert de sang, qui tient un chien en laisse. Il a des blessures à la tête et au cou et perd beaucoup de sang. L'homme se réfugie derrière une porte. Les policiers l'abordent et le convainquent de sortir. Il est alors pris en charge par les sapeur-pompiers et le Samu, prévenus entre-temps par les agents, puis transporté à l'hôpital dans un état grave. Il a 39 ans et vit à Darnétal.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de sûreté départementale. Les services régionaux de l'identité judiciaire sont chargés des constatations sur place. On ignore encore le motif de l'altercation entre les deux hommes.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/darnetal-seine-maritime-un-homme-gravement-blesse-apres-une-tentative-de-meurtre-789073.html
Arrivés dans la rue en question, les agents croisent un homme torse nu, couvert de sang, qui tient un chien en laisse. Il a des blessures à la tête et au cou et perd beaucoup de sang. L'homme se réfugie derrière une porte. Les policiers l'abordent et le convainquent de sortir. Il est alors pris en charge par les sapeur-pompiers et le Samu, prévenus entre-temps par les agents, puis transporté à l'hôpital dans un état grave. Il a 39 ans et vit à Darnétal.
L'auteur reconnaît les faits
Un second équipage de police se rend à l'appartement où semble avoir eu lieu la rixe. Plusieurs traces de sang y mènent, signe que l'homme blessé est passé par là. L'inconnu qui leur ouvre la porte reconnaît avoir poignardé la victime à plusieurs reprises et se laisse interpeller sans difficultés. Il a 49 ans et vit dans le logement en question. Il a bu de l'alcool et est placé en garde en vue.L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de sûreté départementale. Les services régionaux de l'identité judiciaire sont chargés des constatations sur place. On ignore encore le motif de l'altercation entre les deux hommes.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/darnetal-seine-maritime-un-homme-gravement-blesse-apres-une-tentative-de-meurtre-789073.html
Nantes: un corps retrouvé dans un coffre
Le corps sans vie d'un homme a été retrouvé hier en début de soirée vers 20h dans le coffre d'un véhicule garé sur la commune de La Montagne, près de Nantes (Loire-Atlantique).
Selon Presse Océan, le corps serait celui d'un homme de soixante ans disparu aux alentours du 20 juillet. Si les enquêteurs s'orientent vers la thèse du suicide en raison des médicaments retrouvés à proximité du corps et du vehicule fermé de l'intérieur, une autopsie sera réalisée pour confirmer ou infimer l'hypothèse. La victime traversait une phase dépressive, selon le site du journal.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/18/97001-20150818FILWWW00069-nantes-un-corps-retrouve-dans-un-coffre.php
Selon Presse Océan, le corps serait celui d'un homme de soixante ans disparu aux alentours du 20 juillet. Si les enquêteurs s'orientent vers la thèse du suicide en raison des médicaments retrouvés à proximité du corps et du vehicule fermé de l'intérieur, une autopsie sera réalisée pour confirmer ou infimer l'hypothèse. La victime traversait une phase dépressive, selon le site du journal.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/18/97001-20150818FILWWW00069-nantes-un-corps-retrouve-dans-un-coffre.php
Bagatelle : un groupe encagoulé s'attaque à une sandwicherie
Un groupe d'une quinzaine d'individus, encagoulés et armés de battes de base-ball, s'en est pris à une sandwicherie et à ses clients du quartier Bagatelle, à Toulouse, un peu avant 21 heures hier. Après avoir détruit le mobilier, ils ont incendié treize voitures garées sur le parking adjacent avant de prendre la fuite. Il y a eu un blessé léger parmi les clients du restaurant. Une enquête est confiée au groupe spécialisé dans l'investigation sur les bandes de la sûreté départementale.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/18/2161283-bagatelle-un-groupe-encagoule-s-attaque-a-une-sandwicherie.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/18/2161283-bagatelle-un-groupe-encagoule-s-attaque-a-une-sandwicherie.html
lundi 17 août 2015
Bébé dans une poubelle à Toulouse : la mère soupçonnée de multiples infanticides
La mère qui avait jeté son bébé à la poubelle à Toulouse semble avoir commis un "infanticide" et les enquêteurs se concentrent désormais sur six fausses couches avouées.
Cette femme de 31 ans avait déjà été mise en examen le 10 août pour "homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans", après avoir été entendue par le parquet.
Alors que les enquêteurs estiment qu'il s'agit d'un "infanticide établi", la suspecte "nie totalement" ces accusations. Elle affirme aux enquêteurs que l'enfant était "mort-né".
Il est également confirmé que cette femme avait accouché récemment. Elle a fourni la date du 26 ou 27 juillet. La suspecte, qui aurait eu une enfance difficile en passant de foyer d'accueil en foyer d'accueil, a aussi fait état de six fausses couches.
Les enquêteurs s'intéressent désormais aux circonstances de ces fausses couches. "Ils s'interrogent s'il ne s'agit pas de cas similaires" au dernier nourrisson, explique-t-on au sein des enquêteurs.
http://www.sudouest.fr/2015/08/17/toulouse-une-femme-soupconnee-de-multiples-infanticides-2099012-5377.php
Cette femme de 31 ans avait déjà été mise en examen le 10 août pour "homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans", après avoir été entendue par le parquet.
Alors que les enquêteurs estiment qu'il s'agit d'un "infanticide établi", la suspecte "nie totalement" ces accusations. Elle affirme aux enquêteurs que l'enfant était "mort-né".
Elle a accouché récemment
Mais des photos récentes d'un nourrisson ont été découvertes sur son téléphone portable. Le bébé ou son cadavre n'a pas été retrouvé car les ordures du conteneur-poubelle "ont été incinérées le jour même", selon la même source. Mais les enquêteurs y ont trouvé des "traces de sang".Il est également confirmé que cette femme avait accouché récemment. Elle a fourni la date du 26 ou 27 juillet. La suspecte, qui aurait eu une enfance difficile en passant de foyer d'accueil en foyer d'accueil, a aussi fait état de six fausses couches.
Les enquêteurs s'intéressent désormais aux circonstances de ces fausses couches. "Ils s'interrogent s'il ne s'agit pas de cas similaires" au dernier nourrisson, explique-t-on au sein des enquêteurs.
http://www.sudouest.fr/2015/08/17/toulouse-une-femme-soupconnee-de-multiples-infanticides-2099012-5377.php
Une octogénaire tuée lors d'un cambriolage à La Réunion
Une femme de 85 ans est décédée après avoir été rouée de coups par un cambrioleur qui a réussi à s'enfuir, ce dimanche dans un quartier proche du centre-ville de Saint-Denis de La Réunion.
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Ruée de coups par un cambrioleur, une femme de 85 ans est décédée, ce dimanche, à La Réunion. L'agression a eu lieu en milieu de journée dans un quartier proche du centre-ville de Saint-Denis, mais a été révélée par les enquêteurs en début de soirée. Le malfrat a réussi à s'enfuir.
L'octogénaire a été retrouvée par sa fille lors de sa visite quotidienne vers 13 heures. La victime, qui présentait plusieurs traces de coups notamment au visage, est décédée à l'arrivée des secours.
La piste d'un cambriolage qui a mal tourné est sérieusement étudiée par les policiers chargés de l'enquête. Un grand désordre régnait dans l'appartement que la victime occupait seule au rez-de-chaussée d'une résidence et, à son arrivée, sa fille a eu le temps de voir un individu s'enfuir par l'arrière de la maison.
Incendie de mobile-homes au zoo des 3 vallées
Il était 8 h 40 hier quand l'alerte était donnée au centre de secours. Un incendie venait de se déclarer au Zoo des 3 vallées dans le secteur des mobile-homes dont certains sont occupés par les employés du parc en cette période de grande activité. Aussitôt des sapeurs pompiers de Montredon se rendaient sur place sous la direction du lieutenant Houlès, rejoints quelques minutes plus tard par des hommes du centre de Réalmont et le chef de groupe de Castres. Immédiatement, par précaution, le soigneur légèrement intoxiqué par les fumées et qui avait donné l'alarme était évacué vers l'hôpital de Castres. Afin d'éviter la propagation des flammes à l'ensemble des résidences mobiles du site, les pompiers profitaient de la présence d'un gros engin Manitou pour sortir de leur enceinte les mobile-homes en feu. Apparemment d'origine accidentelle, le sinistre, vite circonscrit, n'a provoqué aucun autre dégât matériel. Situé dans une zone délimitée et isolée, mais proche de l'entrée du zoo, l'incendie ne semble pas avoir perturbé les animaux familiers ni le fonctionnement de l'établissement. Cinq mobile-homes au total ont été touchés par le sinistre.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/17/2160576-incendie-de-mobile-homes-au-zoo-des-3-vallees.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/17/2160576-incendie-de-mobile-homes-au-zoo-des-3-vallees.html
dimanche 16 août 2015
Il percute une adolescente et prend la fuite
Un véhicule a percuté violement une adolescente, âgée de 18 ans, qui sortait vraisemblablement de boite de nuit à Briançon ce dimanche matin vers 5 heures, avant de prendre la fuite. Selon les premiers éléments de l’enquête, la jeune fille originaire de Briançon a été fauchée par un véhicule alors qu’elle marchait avec plusieurs personnes le long de la route à proximité de la discothèque "le Baroque". La jeune femme était en arrêt cardio-ventilatoire à l’arrivée des secours. Polytraumatisée, elle a été évacuée par les sapeurs-pompiers vers le centre hospitalier de Briançon avant d’être transportée sur Grenoble. "La victime est toujours dans un état critique", a confié à La Provence une source proche de l’enquête. L’automobiliste est activement recherché. L’enquête judiciaire ouverte par le parquet de Gap a été confiée à la Brigade de Sureté Urbaine (BSU) du commissariat de Briançon
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3536593/il-percute-une-adolescente-et-prend-la-fuite.html
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3536593/il-percute-une-adolescente-et-prend-la-fuite.html
Elle frappe un gendarme et en mord un autre !
Curieuse réaction d'une femme prise en faute. Vendredi soir, vers 23 heures, les gendarmes marmandais en patrouille aperçoivent un scooter sur lequel se tenaient deux personnes : le conducteur, casqué, et sa passagère, tête nue. Le deux-roues allait démarrer lorsque les gendarmes interpellent ses utilisateurs. Ils demandent à la jeune femme de se déplacer à pied et d'aller chercher un casque si elle veut monter sur le scooter de son ami. Elle acquiesce et se met à marcher. Une dizaine de minutes plus tard, les mêmes gendarmes aperçoivent le même scooter, roulant cette fois, et dessus, le même conducteur, toujours casqué, et la même passagère, toujours tête nue. Nouvelle interpellation. Cette fois, la femme part en courant dans les rues de Marmande. Un gendarme la course et l'interpelle. Obtempérant, la jeune femme le suit jusqu'au véhicule de gendarmerie où son comportement change tout à coup. Elle assène au gendarme un vif coup de pied dans la partie la plus sensible de l'anatomie masculine. Son coéquipier tente alors de la maîtriser et écope d'une franche morsure au bras. La rebelle sera finalement conduite au poste pour outrages et rébellion. Un test d'alcoolémie révélera 0,50 mg/l d'air expiré (soit 1 g/l sang). La morsure sur forces de l'ordre semble devenir pratique courante
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/16/2160401-elle-frappe-un-gendarme-et-en-mord-un-autre.html#cK5O6TCpsyquAccS.99
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/16/2160401-elle-frappe-un-gendarme-et-en-mord-un-autre.html#cK5O6TCpsyquAccS.99
samedi 15 août 2015
Hautes-Pyrénées : après avoir heurté une voiture, il tombe dans un ravin
Apparemment, selon les premières constatations, le motard aurait dérapé sur la chaussée et aurait percuté un véhicule qui arrivait en face.
Sous la violence du choc, le motard est passé par-dessus le parapet et a chuté dans un ravin en contrebas.
Les pompiers sont intervenus, soutenus par les hommes du GRIMP (groupes de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) et par les CRS de Gavarnie. Le sauvetage s'est révélé extrêmement difficile, délicat, le motard souffrant de plusieurs fractures.
Après plusieurs heures d'effort, la victime a été évacuée à l'Hôpital de Tarbes.
Les jours de cet homme de 50 ans ne sont pas en danger.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/hautes-pyrenees-apres-avoir-heurte-une-voiture-il-tombe-dans-un-ravin-787017.html
Sous la violence du choc, le motard est passé par-dessus le parapet et a chuté dans un ravin en contrebas.
Les pompiers sont intervenus, soutenus par les hommes du GRIMP (groupes de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) et par les CRS de Gavarnie. Le sauvetage s'est révélé extrêmement difficile, délicat, le motard souffrant de plusieurs fractures.
Après plusieurs heures d'effort, la victime a été évacuée à l'Hôpital de Tarbes.
Les jours de cet homme de 50 ans ne sont pas en danger.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/hautes-pyrenees-apres-avoir-heurte-une-voiture-il-tombe-dans-un-ravin-787017.html
Bar-le-Duc : un jeune escroc incarcéré après un vol dans une habitation du centre-ville
Pas encore 25 ans et l’escroquerie déjà bien chevillée au corps… Condamné à une peine de 4 ans de prison ferme, le 6 juillet 2012 par le tribunal correctionnel de Nancy pour une série d’escroquerie qui a fait une soixantaine de victimes pour un préjudice évalué à 28.000 €, entre avril et octobre 2011, ce jeune Barisien, présenté comme « mythomane » et « immoral » au point de voler sa famille, a de nouveau fait parler de lui, de retour dans la cité des Ducs, en étant interpellé par la police, mardi en début d’après-midi, en plein cœur de ville.
L’histoire débute avec le témoignage d’un ami de la victime, le propriétaire d’une maison du centre-ville parti en vacances dans le Sud de la France. Un ami surpris d’apercevoir la voiture du propriétaire stationnée sur le parking de la gare routière, avec un jeune homme à proximité. Pendant qu’il transmet le signalement du suspect au commissariat, il appelle le propriétaire dans le Sud de la France pour savoir si ce dernier a prêté sa voiture à quelqu’un. La réponse est négative.
L’ami se rend aussitôt au domicile de la victime et constate une porte d’entrée fracturée de la maison et divers objets dérobés à l’intérieur, télévision, chaîne hi-fi, home cinéma, ordinateurs, vêtements et montre de grande marque d’une valeur de 7.000 €.
Le suspect est assez rapidement identifié puisqu’il s’agit d’une récente connaissance du propriétaire qui lui a été présentée lors d’une soirée. Dans la discussion, il avait appris l’absence de ce dernier à partir du 21 juillet.
L’enquête des policiers les conduit dans un magasin d’achat-vente du centre-ville, où sont retrouvés les divers objets volés dans l’habitation. La voiture elle aussi est saisie, le suspect s’étant simplement emparé des clés lors de son vol avec effraction, pour s’en servir à loisir dans ses déplacements. Une perquisition à son domicile permet également de mettre la main sur la montre de valeur.
Entendu dans le cadre de sa garde à vue et face aux nombreux éléments recueillis par les policiers, le jeune Barisien a reconnu les faits. Il a fait l’objet, mercredi après-midi, d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc. Mais en l’absence d’avocat pour le représenter à l’audience, le prévenu a été placé sous mandat de dépôt en attendant son jugement qui a été fixé le vendredi 28 août à 15 h.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/08/13/bar-le-duc-un-jeune-escroc-incarcere-apres-un-vol-dans-une-habitation-du-centre-ville
L’histoire débute avec le témoignage d’un ami de la victime, le propriétaire d’une maison du centre-ville parti en vacances dans le Sud de la France. Un ami surpris d’apercevoir la voiture du propriétaire stationnée sur le parking de la gare routière, avec un jeune homme à proximité. Pendant qu’il transmet le signalement du suspect au commissariat, il appelle le propriétaire dans le Sud de la France pour savoir si ce dernier a prêté sa voiture à quelqu’un. La réponse est négative.
L’ami se rend aussitôt au domicile de la victime et constate une porte d’entrée fracturée de la maison et divers objets dérobés à l’intérieur, télévision, chaîne hi-fi, home cinéma, ordinateurs, vêtements et montre de grande marque d’une valeur de 7.000 €.
Le suspect est assez rapidement identifié puisqu’il s’agit d’une récente connaissance du propriétaire qui lui a été présentée lors d’une soirée. Dans la discussion, il avait appris l’absence de ce dernier à partir du 21 juillet.
Pas d’avocat à l’audience
Les policiers sont avisés des faits le vendredi 7 août. Ils prennent aussitôt contact avec la victime qui rentre précipitamment de vacances le dimanche soir, avant de déposer plainte le lendemain.L’enquête des policiers les conduit dans un magasin d’achat-vente du centre-ville, où sont retrouvés les divers objets volés dans l’habitation. La voiture elle aussi est saisie, le suspect s’étant simplement emparé des clés lors de son vol avec effraction, pour s’en servir à loisir dans ses déplacements. Une perquisition à son domicile permet également de mettre la main sur la montre de valeur.
Entendu dans le cadre de sa garde à vue et face aux nombreux éléments recueillis par les policiers, le jeune Barisien a reconnu les faits. Il a fait l’objet, mercredi après-midi, d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc. Mais en l’absence d’avocat pour le représenter à l’audience, le prévenu a été placé sous mandat de dépôt en attendant son jugement qui a été fixé le vendredi 28 août à 15 h.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/08/13/bar-le-duc-un-jeune-escroc-incarcere-apres-un-vol-dans-une-habitation-du-centre-ville
vendredi 14 août 2015
Un engin explosif de près de 2 mètres de long découvert à Yport (Seine-Maritime)
Un engin explosif a été retrouvé mardi 11 août 2015 entre les plages d'Yport et de Criqueboeuf-en-Caux (Seine-Maritime) par un riverain. Les policiers, rapidement alertés, n'ont pas pu accéder à l'engin avant le lendemain, à cause de la marée haute. Il est enfoui au milieu de rochers et mesure 1,80 mètre de long et 0,50 mètre de diamètre. Ce sont les démineurs maritimes de Cherbourg (Manche) qui iront le récupérer.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/un-engin-explosif-de-pres-de-2-metres-de-long-decouvert-yport-seine-maritime-786637.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/un-engin-explosif-de-pres-de-2-metres-de-long-decouvert-yport-seine-maritime-786637.html
Deux victimes héliportées sur Toulouse
La fin de journée de mercredi fut particulièrement chargée et sensible pour les pompiers des Deux-Rives appelés coup sur coup pour deux accidents d'une gravité avérée.
Saint-Paul-d'Espis : une fillette de 14 mois chute dans la piscine. Une enfant âgée de 14 mois a été héliportée mercredi soir vers 18 h 30 par le Samu 31 vers l'hôpital des enfants à Toulouse après avoir été découverte inanimée dans la petite piscine à boudins installée dans la propriété familiale située dans le bourg de la commune. On ignore pour l'instant si au moment des faits l'enfant était accompagnée d'un adulte ou, ayant échappé à toute vigilance, elle aurait malencontreusement chuté dans l'eau ou volontairement décidé de s'y tremper. Toujours est-il qu'à l'arrivée des secours, l'enfant était inerte. Au terme de longs efforts, la petite a finalement pu être réanimée par les pompiers valenciens et les médecins du Samu 82 avant d'être médicalisée et transportée par hélicoptère vers l'hôpital des enfants de Purpan à Toulouse, son état étant jugé critique. Sa mère âgée de 41 ans a quant à elle été transportée par l'ambulance des pompiers sur l'hôpital de Montauban après avoir fait un grave malaise. Les circonstances de ce drame restent donc à éclaircir ce que s'efforceront de faire les services de gendarmerie. La piscine incriminée, de structure gonflable, contenait semble-t-il un faible volume d'eau. Malheureusement suffisant pour piéger une aussi jeune enfant.
Auvillar: un septuagénaire chute d'une échelle. Les services du Sdis 82 ont à nouveau été sollicités dans le secteur des Deux-Rives mercredi vers 19 h 30, au lieu-dit Baragnes où un septuagénaire, M. De Rossi âgé de 76 ans venait de chuter d'une échelle apposée contre le mur de son habitation alors qu'il était occupé à de menus travaux. Une chute de 4 mètres que la victime a subie de plein fouet en tombant à la renverse. Gravement touché et inconscient, M. De Rossi a été pris en charge par les pompiers et les médecins avant d'être lui aussi héliporté vers un CHU toulousain dans un état jugé sérieux.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/14/2159317-deux-victimes-heliportees-sur-toulouse.html
Saint-Paul-d'Espis : une fillette de 14 mois chute dans la piscine. Une enfant âgée de 14 mois a été héliportée mercredi soir vers 18 h 30 par le Samu 31 vers l'hôpital des enfants à Toulouse après avoir été découverte inanimée dans la petite piscine à boudins installée dans la propriété familiale située dans le bourg de la commune. On ignore pour l'instant si au moment des faits l'enfant était accompagnée d'un adulte ou, ayant échappé à toute vigilance, elle aurait malencontreusement chuté dans l'eau ou volontairement décidé de s'y tremper. Toujours est-il qu'à l'arrivée des secours, l'enfant était inerte. Au terme de longs efforts, la petite a finalement pu être réanimée par les pompiers valenciens et les médecins du Samu 82 avant d'être médicalisée et transportée par hélicoptère vers l'hôpital des enfants de Purpan à Toulouse, son état étant jugé critique. Sa mère âgée de 41 ans a quant à elle été transportée par l'ambulance des pompiers sur l'hôpital de Montauban après avoir fait un grave malaise. Les circonstances de ce drame restent donc à éclaircir ce que s'efforceront de faire les services de gendarmerie. La piscine incriminée, de structure gonflable, contenait semble-t-il un faible volume d'eau. Malheureusement suffisant pour piéger une aussi jeune enfant.
Auvillar: un septuagénaire chute d'une échelle. Les services du Sdis 82 ont à nouveau été sollicités dans le secteur des Deux-Rives mercredi vers 19 h 30, au lieu-dit Baragnes où un septuagénaire, M. De Rossi âgé de 76 ans venait de chuter d'une échelle apposée contre le mur de son habitation alors qu'il était occupé à de menus travaux. Une chute de 4 mètres que la victime a subie de plein fouet en tombant à la renverse. Gravement touché et inconscient, M. De Rossi a été pris en charge par les pompiers et les médecins avant d'être lui aussi héliporté vers un CHU toulousain dans un état jugé sérieux.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/14/2159317-deux-victimes-heliportees-sur-toulouse.html
jeudi 13 août 2015
Mirail : un vigile accusé d'extorquer de l'argent à des locataires
Vaste opération policière hier matin au 162-164 chemin de Lestang, quartier Mirail, à Toulouse, où le vigile de la résidence est soupçonné d'extorquer de l'argent à plusieurs locataires.
Deux hommes, dont le vigile d'une résidence de copropriétés située au 162 et 164 chemin de Lestang, quartier Mirail, à Toulouse, sont en garde à vue depuis hier matin dans le cadre d'une enquête pour extorsion et violence avec arme.
Hier matin très tôt, une vaste opération policière a permis l'interpellation du vigile de cette résidence privée, un homme de 38 ans, et d'un complice présumé de 27 ans. Le gardien de cette résidence est soupçonné d'extorquer de l'argent à des locataires dont certains en grande précarité. Arrivé depuis peu pour assurer le gardiennage, cet homme aurait usé de ses gros bras pour exiger des mensualités de loyer allant de 80 à 200 €, en dehors de tout cadre légal, sur une cinquantaine de logements. Les enquêteurs de la sûreté départementale ont notamment saisi dans la loge du vigile des outils «dissuasifs» : couteaux et barre de fer. Ils ont également constaté que les compteurs d'eau et d'électricité étaient étrangement à l'arrêt.
Tout commence ce week-end lorsque le vigile se rend au commissariat pour dénoncer des violences au couteau que lui auraient infligé plusieurs personnes de cette résidence. Au même moment ces mis en cause, deux frères, accusent à leur tour le vigile de vouloir les déloger tout en dénonçant des faits présumés d'extorsion et de violence. L'un d'eux porte d'ailleurs des blessures à l'arme blanche. Après vérifications, les deux frères quittent le commissariat sans être poursuivis et les enquêteurs concentrent leur travail autour des activités douteuses du vigile.
Un homme qui aurait d'abord utilisé la force pour évincer son prédécesseur au même poste et ainsi s'octroyer les pleins pouvoirs dans les attributions de logements. Les investigations en cours vont permettre d'établir l'existence avérée ou pas de ces versements de loyer sans attestation de bail. Une cinquantaine de locataires en difficulté sociale auraient été ainsi «rackettés». Cette résidence de quatre étages comprend au total 250 appartements. Elle est gérée par un syndic de copropriétés qui demeurait injoignable hier. Les appartements, destinés au départ aux étudiants de la fac du Mirail, sont en grande partie occupée par des locataires en situation précaire. Une situation qui rappelle celle de l'immeuble insalubre des Castalides, rue Aristide-Mailhol, au Mirail, évacué de tous ses locataires il y a deux ans pour des problèmes graves d'insalubrité.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/13/2159070-mirail-vigile-accuse-extorquer-argent-locataires.html
Deux hommes, dont le vigile d'une résidence de copropriétés située au 162 et 164 chemin de Lestang, quartier Mirail, à Toulouse, sont en garde à vue depuis hier matin dans le cadre d'une enquête pour extorsion et violence avec arme.
Hier matin très tôt, une vaste opération policière a permis l'interpellation du vigile de cette résidence privée, un homme de 38 ans, et d'un complice présumé de 27 ans. Le gardien de cette résidence est soupçonné d'extorquer de l'argent à des locataires dont certains en grande précarité. Arrivé depuis peu pour assurer le gardiennage, cet homme aurait usé de ses gros bras pour exiger des mensualités de loyer allant de 80 à 200 €, en dehors de tout cadre légal, sur une cinquantaine de logements. Les enquêteurs de la sûreté départementale ont notamment saisi dans la loge du vigile des outils «dissuasifs» : couteaux et barre de fer. Ils ont également constaté que les compteurs d'eau et d'électricité étaient étrangement à l'arrêt.
Tout commence ce week-end lorsque le vigile se rend au commissariat pour dénoncer des violences au couteau que lui auraient infligé plusieurs personnes de cette résidence. Au même moment ces mis en cause, deux frères, accusent à leur tour le vigile de vouloir les déloger tout en dénonçant des faits présumés d'extorsion et de violence. L'un d'eux porte d'ailleurs des blessures à l'arme blanche. Après vérifications, les deux frères quittent le commissariat sans être poursuivis et les enquêteurs concentrent leur travail autour des activités douteuses du vigile.
Un homme qui aurait d'abord utilisé la force pour évincer son prédécesseur au même poste et ainsi s'octroyer les pleins pouvoirs dans les attributions de logements. Les investigations en cours vont permettre d'établir l'existence avérée ou pas de ces versements de loyer sans attestation de bail. Une cinquantaine de locataires en difficulté sociale auraient été ainsi «rackettés». Cette résidence de quatre étages comprend au total 250 appartements. Elle est gérée par un syndic de copropriétés qui demeurait injoignable hier. Les appartements, destinés au départ aux étudiants de la fac du Mirail, sont en grande partie occupée par des locataires en situation précaire. Une situation qui rappelle celle de l'immeuble insalubre des Castalides, rue Aristide-Mailhol, au Mirail, évacué de tous ses locataires il y a deux ans pour des problèmes graves d'insalubrité.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/13/2159070-mirail-vigile-accuse-extorquer-argent-locataires.html
mercredi 12 août 2015
Normandie: Un patron met la clef sous la porte sans prévenir ses salariés
Pourquoi se donner la peine de prévenir ses salariés que leur entreprise ferme ? Un patron d’une société de faux plafonds à Normanville près d’Evreux a décidé de vendre machines et stock au cœur de l’été sans prévenir ses salariés, dévoile Paris-Normandie. « Je ne les ai pas prévenus parce qu’ils sont en vacances », argumente cet entrepreneur. Qui assure qu’une opportunité surprise l’a convaincu d’accélérer le déménagement.
Mais si le patron a décidé de prendre sa retraite, ses quatre salariés ont de quoi s’inquiéter pour l’avenir. « On nous a dit que nous serions payés jusqu’à fin septembre et licenciés en octobre. Après, nous ne savons rien », confie l’un des salariés à Paris-Normandie.
http://www.20minutes.fr/societe/1665755-20150812-normandie-patron-met-clef-sous-porte-prevenir-salaries
Le patron prend sa retraite… mais les salariés seront licenciés
Si les salariés connaissaient les difficultés financières, ils ont eu la mauvaise surprise à leur retour de vacances d’apprendre que des grues avaient enlevé leurs outils de travail. Et le patron n’a pas l’air prêt à présenter des excuses pour sa précipitation. Il prend des accents revanchards quand il évoque ses salariés. « J’ai eu plusieurs entreprises dans ma carrière et je n’ai jamais vu des salariés avec un si mauvais esprit. Ils ne voulaient pas travailler, produisaient quand ils en avaient envie, disaient qu’ils s’en moquaient s’ils étaient licenciés, ne venaient au boulot que pour la paie, se mettaient en arrêt maladie pour un oui ou pour un non… Ils faisaient les fiérots, maintenant ils vont comprendre. Leur attitude a coûté à l’entreprise et ils vont le payer cash », avance-t-il auprès du quotidien. De leur côté, les salariés confirment que l’ambiance était à couteaux tirés avec leur supérieur.Mais si le patron a décidé de prendre sa retraite, ses quatre salariés ont de quoi s’inquiéter pour l’avenir. « On nous a dit que nous serions payés jusqu’à fin septembre et licenciés en octobre. Après, nous ne savons rien », confie l’un des salariés à Paris-Normandie.
http://www.20minutes.fr/societe/1665755-20150812-normandie-patron-met-clef-sous-porte-prevenir-salaries
A Reims, un petit garçon tombe du 5e étage
Un enfant de deux ans et demi est tombé hier du 5e étage d’un immeuble de la rue Guillaume-Apollinaire (près de l’avenue de Champagne). Le bambin se trouvait dans sa chambre quand il a chuté sans que personne ne l’ait vu grimper sur la fenêtre. La scène s’est produite peu après 17 heures. Le papa, qui travaille de nuit, dormait. La maman était sans doute déjà bien occupée avec ses deux autres petits garçons. C’est elle qui a appelé les secours. L’enfant, qui aurait été conscient après sa chute, a été transporté à l’hôpital Maison-Blanche par le Samu. Il est gravement blessé. Il souffre de plusieurs fractures.
http://www.lunion.com/node/526994
http://www.lunion.com/node/526994
Montpellier : deux SDF ont failli s’entre-tuer sur la place de la Comédie
D eux marginaux se sont affrontés à coups de couteau, dimanche 9 août, sur la place de la Comédie pour un mobile encore obscur, le pronostic d'un d'entre eux a été engagé mais ils sont désormais hors de danger.
Certains urgentistes de l'hôpital Lapeyronie l'ont récemment constaté : ils n'ont pas vu autant de blessures dues à des coups de couteau que cet été 2015, à Montpellier. Le 29 juillet, un jeune individu en a tué un autre d'un coup de lame dans le cœur. C'était sur l'Esplanade. Dimanche 9 août, à quelques dizaines de mètres de là, sur le parvis de l'Opéra-Comédie, deux marginaux déjà connus de la justice ont failli s'entre-tuer, là encore avec des couteaux.
Selon nos informations, les bisbilles entre SDF auraient commencé en début de semaine dernière pour une raison obscure qui pourrait être une rixe, place Laissac, à la suite du vol d'une boîte de conserve...
Le quadragénaire, qui affirme avoir été victime du vol avec violence, était avec des amis quand il a recroisé l'un de ses rivaux, dimanche, vers 18 h. Il lui a alors collé la lame de son OpinelTM "sous la gorge pour discuter", a-t-il expliqué lors de sa garde à vue. C'est là qu'il l'a blessé au cou, sans qu'heureusement, aucun organe vital ne soit touché. Un complice - qui n'a pas été arrêté - a, dans la foulée, donné des coups de bâton sur la victime. Cette dernière a alors sorti à son tour un couteau pour porter un coup d'estoc au niveau de l'estomac de son rival armé de l'OpinelTM. Lequel n'a, au final, été que légèrement blessé et placé en garde à vue par les services de police.
"Le parquet a reconnu qu'il était en légitime défense, se félicite Me Mousset, l'avocat de la victime qui a bénéficié de cinq jours d'ITT (incapacité totale de travail). Mais sur la Comédie, on a failli avoir une tragédie."
http://www.midilibre.fr/2015/08/11/deux-sdf-ont-failli-s-entre-tuer,1201279.php
Lame sous la gorge, blessure au ventre
Pour ces faits, l'un des agresseurs, âgé de 49 ans, doit être présenté ce mercredi 12 août devant le tribunal alors que le second, 34 ans, grièvement blessé à la gorge, est considéré comme simple victime.Selon nos informations, les bisbilles entre SDF auraient commencé en début de semaine dernière pour une raison obscure qui pourrait être une rixe, place Laissac, à la suite du vol d'une boîte de conserve...
Le quadragénaire, qui affirme avoir été victime du vol avec violence, était avec des amis quand il a recroisé l'un de ses rivaux, dimanche, vers 18 h. Il lui a alors collé la lame de son OpinelTM "sous la gorge pour discuter", a-t-il expliqué lors de sa garde à vue. C'est là qu'il l'a blessé au cou, sans qu'heureusement, aucun organe vital ne soit touché. Un complice - qui n'a pas été arrêté - a, dans la foulée, donné des coups de bâton sur la victime. Cette dernière a alors sorti à son tour un couteau pour porter un coup d'estoc au niveau de l'estomac de son rival armé de l'OpinelTM. Lequel n'a, au final, été que légèrement blessé et placé en garde à vue par les services de police.
"Sur la Comédie on a failli avoir une tragédie"Le plus jeune, dont le pronostic vital a été un temps engagé, a été hospitalisé jusqu'à lundi après-midi avant d'être lui aussi placé en garde à vue pour être interrogé par la brigade criminelle de la sûreté départementale. Il en est ressorti libre, hier mardi, et ne sera pas poursuivi.
"Le parquet a reconnu qu'il était en légitime défense, se félicite Me Mousset, l'avocat de la victime qui a bénéficié de cinq jours d'ITT (incapacité totale de travail). Mais sur la Comédie, on a failli avoir une tragédie."
http://www.midilibre.fr/2015/08/11/deux-sdf-ont-failli-s-entre-tuer,1201279.php
mardi 11 août 2015
Intoxication massive au monoxyde de carbone lors d'un jeu de rôle dans une grotte
Le pire a été évité, mais les participants se souviendront longtemps de leur séjour. Plus de 200 personnes venues de toute la France et la Belgique s'étaient réunies ce week-end près de Tour, en Indre-et-Loire, pour jouer à un jeu de rôle grandeur nature inspiré du jeu vidéo Fallout.
Dans une grotte de la région, ils devaient passer deux jours immergés dans une ambiance post-apocalyptique, pour s'amuser. La cave troglodyte, ancienne champignonnière, avait été louée par l'association qui organisait l'événement.
Le nombre de malades augmentant à vue d'oeil, l'équipe médicale a vite soupçonné une intoxication au monoxyde de carbone, et décrété l'évacuation générale du lieu. Pompiers et Samu ont été appelés en renfort pour traiter le nombre important de personnes touchées.
Au total, plus d'une centaine de pompiers ont été mobilisés, affluant sur les lieux avec des dizaines d'ambulances. Les gendarmes ainsi que le sous-préfet d'Indre-et-Loire se sont également rendus sur place. Tous les participants ont été examinés et l'intoxication au monoxyde de carbone a été constatée sur plus de 150 d'entre eux. Quatre personnes d'une même famille, deux adultes et deux enfants, ont été hospitalisés à titre préventif.
Tous les participants ont été placés sous oxygène pour récupérer. Des bonbonnes ont du être acheminées de toute la région pour répondre à la forte demande. L'opération a pris "plusieurs heures, mais à cinq heures du matin, dimanche, plus une seule personne n'était intoxiquée", a précisé l'organisateur à FranceTvInfo.
Le site restera fermé jusqu'à ce que toute la lumière soit faite sur l'incident.
http://www.sudouest.fr/2015/08/11/intoxication-massive-au-monoxyde-de-carbone-lors-d-un-jeu-de-role-dans-une-grotte-2093795-4696.php
Dans une grotte de la région, ils devaient passer deux jours immergés dans une ambiance post-apocalyptique, pour s'amuser. La cave troglodyte, ancienne champignonnière, avait été louée par l'association qui organisait l'événement.
Le pire a été évité
Le monoxyde de carbone est un gaz incolore et inodore extrêmement toxique, qui peut tuer un homme en quelques minutes ou quelques heures si sa concentration dans l'air est trop importante. Les premiers symptômes d'une intoxication sont généralement des maux de tête et des nausées, mais ils sont souvent confondus avec les signes d'une grippe ou d'une gastro-entérite.
Des dizaines de malades
Mais quelques heures après le début du jeu, samedi, plusieurs participants ont commencé à se sentir mal : maux de tête, nausées, refroidissements... les symptômes ont rapidement éveillé les soupçons des organisateurs, qui ont déployé leur propre dispositif de secours, avec médecins et infirmiersLe nombre de malades augmentant à vue d'oeil, l'équipe médicale a vite soupçonné une intoxication au monoxyde de carbone, et décrété l'évacuation générale du lieu. Pompiers et Samu ont été appelés en renfort pour traiter le nombre important de personnes touchées.
Au total, plus d'une centaine de pompiers ont été mobilisés, affluant sur les lieux avec des dizaines d'ambulances. Les gendarmes ainsi que le sous-préfet d'Indre-et-Loire se sont également rendus sur place. Tous les participants ont été examinés et l'intoxication au monoxyde de carbone a été constatée sur plus de 150 d'entre eux. Quatre personnes d'une même famille, deux adultes et deux enfants, ont été hospitalisés à titre préventif.
Tous les participants ont été placés sous oxygène pour récupérer. Des bonbonnes ont du être acheminées de toute la région pour répondre à la forte demande. L'opération a pris "plusieurs heures, mais à cinq heures du matin, dimanche, plus une seule personne n'était intoxiquée", a précisé l'organisateur à FranceTvInfo.
Un groupe électrogène en cause ?
La grotte qui accueillait l'événement a été largement ventilée et ne présente plus aucun risque. Elle avait déjà servi de décor à d'autres jeux, sans qu'aucun problème ne vienne perturber les soirées. Les organisateurs doivent à présent déterminer ce qui a pu causer cette intoxication. D'après les premiers éléments de l'enquête, ils soupçonnent qu'un problème soit survenu sur le moteur d'un groupe électrogène qui alimentait la cave géante en électricité.Le site restera fermé jusqu'à ce que toute la lumière soit faite sur l'incident.
http://www.sudouest.fr/2015/08/11/intoxication-massive-au-monoxyde-de-carbone-lors-d-un-jeu-de-role-dans-une-grotte-2093795-4696.php
Un homme blessé par balle à Cannes
Un homme de 34 ans a été blessé par balle lundi matin aux alentours de 5h15, sur la place du marché à Cannes la Bocca.
Le tir - qui le visait a priori - l'a atteint au bras. La victime, résident au Cannet, a été transportée vers l'hôpital des Broussailles, mais ses jours ne sont pas en danger.
Il n'a pour l'instant pas pu être entendu par les hommes de la police judiciaire de Nice saisis du dossier, son état de santé nécessitant une opération.
Sans son témoignage, les circonstances de ce qui s'apparente à une tentative d'assassinat restent encore floues. À cette heure matinale, peu de témoins se trouvaient en effet sur place.
Une enquête a été ouverte pour tenter de retracer le fil des événements.
http://www.nicematin.com/cannes/un-homme-blesse-par-balle-a-cannes.2306383.html
Le tir - qui le visait a priori - l'a atteint au bras. La victime, résident au Cannet, a été transportée vers l'hôpital des Broussailles, mais ses jours ne sont pas en danger.
Il n'a pour l'instant pas pu être entendu par les hommes de la police judiciaire de Nice saisis du dossier, son état de santé nécessitant une opération.
Sans son témoignage, les circonstances de ce qui s'apparente à une tentative d'assassinat restent encore floues. À cette heure matinale, peu de témoins se trouvaient en effet sur place.
Une enquête a été ouverte pour tenter de retracer le fil des événements.
http://www.nicematin.com/cannes/un-homme-blesse-par-balle-a-cannes.2306383.html
Trois enfants blessés dans un accident de chariot
Trois enfants ont été blessés, dimanche soir, aux abords du circuit de Nogaro, dans un accident de chariot de supermarché motorisé. Une enquête a été ouverte.
Le chariot de supermarché n'en était plus vraiment un… La «machine» avait en effet été équipée d'un moteur et d'un châssis de karting. Dimanche soir, aux abords du circuit de Nogaro, vers 20 h 25, quand trois enfants âgés de 8 et 9 ans sont montés dans ce «bolide», il ne s'attendait sans doute pas à terminer la soirée à l'hôpital… Le chariot s'est pourtant renversé, provoquant la blessure des deux filles et du petit garçon. Très vite, les gendarmes de Cazaubon sont intervenus, de même que les pompiers de Nogaro, qui ont transféré les jeunes victimes, légèrement blessées, à l'hôpital de Mont-de-Marsan. L'une des filles présentait notamment des blessures au visage. Les jeunes victimes sont originaires de d'Indre-et-Loire, de Loire-Atlantique et du Doubs.
L'accident s'est déroulé entre l'ancien et le nouveau paddock du circuit de Nogaro, à la fin d'un week-end dédié aux motos anciennes. Patrick Garrec, président du Coyote Racing Team, qui organisait ce rassemblement, déclare : «En fait, les enfants sont tombés d'un chariot que le fils d'un participant à notre rassemblement avait motorisé. Et les victimes sont elles aussi des enfants de participants. Le jeune a voulu faire plaisir aux enfants, en les faisant tourner une fois de plus dans sa machine. Il faut savoir qu'il a tourné tout le week-end ! Et puis, il a perdu le contrôle de son chariot, c'est un accident malheureux, la faute à pas de chance.» Le rassemblement était d'ailleurs terminé lorsque l'accident a eu lieu.
Il s'agissait d'ailleurs de la 18e édition de ces journées Coyote, et «nous n'avons jamais connu un tel accident», assure le président. Non sans préciser que d'autres engins «artisanaux» du genre de ce caddie ont «tourné» durant tout le week-end.
Ainsi, détaille-t-il, «il y avait une brouette avec une fourche de moto et un moteur de scooter. Et puis aussi un petit bateau magnifique entraîné par un moteur de scooter. Ce sont des montages sympas !» Les trois jeunes blessés les trouvent sûrement moins sympathiques depuis leur mésaventure de dimanche soir
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/11/2157872-trois-enfants-blesses-dans-un-accident-de-chariot.html
Le chariot de supermarché n'en était plus vraiment un… La «machine» avait en effet été équipée d'un moteur et d'un châssis de karting. Dimanche soir, aux abords du circuit de Nogaro, vers 20 h 25, quand trois enfants âgés de 8 et 9 ans sont montés dans ce «bolide», il ne s'attendait sans doute pas à terminer la soirée à l'hôpital… Le chariot s'est pourtant renversé, provoquant la blessure des deux filles et du petit garçon. Très vite, les gendarmes de Cazaubon sont intervenus, de même que les pompiers de Nogaro, qui ont transféré les jeunes victimes, légèrement blessées, à l'hôpital de Mont-de-Marsan. L'une des filles présentait notamment des blessures au visage. Les jeunes victimes sont originaires de d'Indre-et-Loire, de Loire-Atlantique et du Doubs.
«Il a tourné tout le week-end»
Le maire de la commune, Christian Peyret, s'est également rendu sur place. Les gendarmes ont ouvert une enquête. Elle déterminera si les parents étaient d'accord pour que leurs enfants montent dans cet engin, et s'ils portent plainte contre son propriétaire, qui le conduisait.L'accident s'est déroulé entre l'ancien et le nouveau paddock du circuit de Nogaro, à la fin d'un week-end dédié aux motos anciennes. Patrick Garrec, président du Coyote Racing Team, qui organisait ce rassemblement, déclare : «En fait, les enfants sont tombés d'un chariot que le fils d'un participant à notre rassemblement avait motorisé. Et les victimes sont elles aussi des enfants de participants. Le jeune a voulu faire plaisir aux enfants, en les faisant tourner une fois de plus dans sa machine. Il faut savoir qu'il a tourné tout le week-end ! Et puis, il a perdu le contrôle de son chariot, c'est un accident malheureux, la faute à pas de chance.» Le rassemblement était d'ailleurs terminé lorsque l'accident a eu lieu.
Divers engins «artisanaux»
«Nous avons réuni 280 participants à ce rassemblement, fermé une partie du centre-ville de Nogaro pour faire des animations, organisé des concerts, énumère le président. Bref, en dehors de la météo, tout s'était bien passé jusqu'à ce malheureux accident…»Il s'agissait d'ailleurs de la 18e édition de ces journées Coyote, et «nous n'avons jamais connu un tel accident», assure le président. Non sans préciser que d'autres engins «artisanaux» du genre de ce caddie ont «tourné» durant tout le week-end.
Ainsi, détaille-t-il, «il y avait une brouette avec une fourche de moto et un moteur de scooter. Et puis aussi un petit bateau magnifique entraîné par un moteur de scooter. Ce sont des montages sympas !» Les trois jeunes blessés les trouvent sûrement moins sympathiques depuis leur mésaventure de dimanche soir
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/11/2157872-trois-enfants-blesses-dans-un-accident-de-chariot.html
lundi 10 août 2015
Seignosse (40) : un différend amoureux se règle à la hache
Vendredi matin, aux environs de 7 heures, une altercation a eu lieu sur le parking de la plage du Penon, impliquant six jeunes hommes fortement alcoolisés. La dispute serait partie d'une histoire de cœur.
Les esprits s'échauffant, l'un d'eux est allé chercher une hache dans sa voiture, a menacé les autres avec, puis l'a plantée dans leur pare-brise. Il a, en retour, été frappé à coup de skateboard, puis maîtrisé et maintenu au sol jusqu'à l'arrivée de la gendarmerie et des pompiers.
Il est actuellement hospitalisé à Bordeaux, en attente de chirurgie faciale, à l'issue de laquelle il sera placé en garde à vue. Les autres protagonistes ont été entendus par les gendarmes dans le cadre de l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2015/08/10/seignosse-un-differend-amoureux-se-regle-a-la-hache-2092760-3452.php
Les esprits s'échauffant, l'un d'eux est allé chercher une hache dans sa voiture, a menacé les autres avec, puis l'a plantée dans leur pare-brise. Il a, en retour, été frappé à coup de skateboard, puis maîtrisé et maintenu au sol jusqu'à l'arrivée de la gendarmerie et des pompiers.
Il est actuellement hospitalisé à Bordeaux, en attente de chirurgie faciale, à l'issue de laquelle il sera placé en garde à vue. Les autres protagonistes ont été entendus par les gendarmes dans le cadre de l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2015/08/10/seignosse-un-differend-amoureux-se-regle-a-la-hache-2092760-3452.php
Florimont (90) : des doigts arrachés après plusieurs tonneaux
Depuis le 6 août, il ne se passe pas une nuit sans que Florimont ne fasse la une des faits-divers. Après un accident sur la route de Courcelles jeudi soir puis du tapage nocturne dans la nuit de vendredi à samedi, la nuit de samedi à dimanche a connu une spectaculaire sortie de route. Un peu avant 1 h 30, une berline circulait sur la RD 43 entre Florimont et Delle. Selon les premiers éléments que nous avons recueilli, il apparaît qu’à la sortie d’un virage à gauche, l’automobiliste a mordu l’accotement droit de la chaussée. Après ce qui ressemble à une perte de contrôle suite à un coup de volant, le véhicule a glissé puis est parti du côté gauche de la chaussée. C’est là qu’il a heurté le talus, rebondi et effectué plusieurs tonneaux. Sur place, nous avons déterminé à partir des traces qu’il y en a eu au moins trois. Dans sa course folle, la voiture a retraversé la chaussée, écrasé, sur le côté droit, un panneau signalisant des virages dangereux avant de s’immobiliser sur le flanc. Elle s’est appuyée contre un arbre dans le fossé.
Alertés, les pompiers de Delle, Grandvillars et Belfort ont porté secours aux passagers de la voiture qui s’en seraient extraits par leurs propres moyens. Le premier, un homme de 36 ans résidant à Seppois-le-Bas (68), a eu trois doigts arrachés à la main droite. Les pompiers de Delle l’ont conduit au centre hospitalier de Besançon, l’hélicoptère n’ayant pu décoller en raison de fortes bourrasques de vent. Il devait être opéré mais son pronostic vital n’était pas engagé. Les pompiers de Grandvillars ont transporté au centre hospitalier de Belfort un homme de 26 ans résidant à Florimont. Blessé à une main, lui aussi, il est considéré comme blessé léger.
Les gendarmes ont procédé aux constatations d’usage.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/08/09/florimont-des-doigts-arraches-apres-plusieurs-tonneaux
Alertés, les pompiers de Delle, Grandvillars et Belfort ont porté secours aux passagers de la voiture qui s’en seraient extraits par leurs propres moyens. Le premier, un homme de 36 ans résidant à Seppois-le-Bas (68), a eu trois doigts arrachés à la main droite. Les pompiers de Delle l’ont conduit au centre hospitalier de Besançon, l’hélicoptère n’ayant pu décoller en raison de fortes bourrasques de vent. Il devait être opéré mais son pronostic vital n’était pas engagé. Les pompiers de Grandvillars ont transporté au centre hospitalier de Belfort un homme de 26 ans résidant à Florimont. Blessé à une main, lui aussi, il est considéré comme blessé léger.
Les gendarmes ont procédé aux constatations d’usage.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/08/09/florimont-des-doigts-arraches-apres-plusieurs-tonneaux
dimanche 9 août 2015
LIGNIÈRES-CHÂTELAIN (80) Un corps calciné dans un mobil-home
Les gendarmes se sont rendus dans la commune de Lignières-Châtelain près de Poix-de-Picardie (Somme) samedi soir suite à l’incendie d’un mobil-home. Une enquête judiciaire a été ouverte après la découverte d’un corps calciné dans les décombres du mobil-home. Les gendarmes doivent établir s’il s’agit du propriétaire, un homme âgé d’une cinquantaine d’années, installé depuis une année dans des conditions précaires
http://www.courrier-picard.fr/region/lignieres-chatelain-80-un-corps-calcine-dans-un-mobil-home-ia201b0n618141
Chute mortelle d'un champignonneur
Roland Ruche, 53 ans, qui était parti, vendredi vers 11 heures aux champignons, a été retrouvé mort, hier matin, par les gendarmes du PGHM de Pierrefitte, entre le col de Beyrède et le village, au Cap de la Pène. Dans cette zone escarpée, il a chuté d'une vingtaine de mètres depuis une falaise. Ses parents, domiciliés dans le village, chez qui il passait les vacances, ont donné l'alerte en ne le voyant pas revenir. Beaucoup de monde s'est alors mobilisé y compris dans les localités voisines pour retrouver cet enfant du pays, domicilié à Vandargues (Hérault) indique le maire, Gilbert Rotgé, sous le choc de cette triste nouvelle. Son portable sonnait... L'inquiétude était d'autant plus grande que la veille, son portable sonnait et qu'il ne répondait pas. Les sauveteurs du PGHM sont, une première fois, partis vendredi, à pied, sous la pluie et dans le brouillard mais les recherches n'ont rien donné. Samedi, au petit matin, elles ont repris avec une vingtaine de gendarmes et autant de voisins et d'amis. C'est ainsi qu'à 8 heures il a été découvert sans vie, vraisemblablement mort sur le coup. Ce quinquagénaire, père de deux enfants, avait emprunté une piste forestière en cette période où commencent à pousser girolles et cèpes. Il a sans doute glissé sur ce terrain accidenté où le rocher est très moussu. L'annonce de ce décès a provoqué une vive émotion à Beyrède où le père de la victime est conseiller municipal. «Ce sont des gens qu'on connaît depuis toujours, on est bouleversés» glisse une habitante de ce village endeuillé.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/09/2157123-chute-mortelle-d-un-champignonneur.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/09/2157123-chute-mortelle-d-un-champignonneur.html
samedi 8 août 2015
Panique et coups de feu sur fond d'ivresse
«Des coups de feux ont été tirés cours Dillon. Venez vite !» C'est en substance l'appel qui a été passé dans la nuit de jeudi à vendredi vers 1 h 20 au «17», le numéro d'alerte de la police.
Aussitôt une patrouille se rend sur place et après avoir pris de vraies protections, notamment l'utilisation d'un bouclier censé arrêter les balles d'arme à feu, les policiers s'approchent. Ils se dirigent vers un groupe d'apparence calme dont les membres, visiblement, profitent de la fraîcheur des bords de la Garonne. Deux d'entre eux sont allongés dans l'herbe. Blessés ? Les individus, bouteilles à la main, ne semble guère affolé. Les policiers entrent en contact et découvrent des habitants français d'une lointaine île du Pacifique, réunis pour rigoler, discuter et arroser ces retrouvailles.
Des coups feux ? «Oui» répondent les intéressés. Une «embrouille» avec des jeunes gars des cités ! «Ils voulaient qu'on se battent…» «Sont partis en voiture» «Quel type ? Sais pas…» «Déposer plainte ? Pourquoi..?»
Les policiers, un peu déstabilisés par tant de désinvolture, sont repartis, laissant le petit groupe poursuivre tranquillement sa fête largement alcoolisée. D'ailleurs les deux personnes allongées dans l'herbe ne soignaient aucune blessure. Ils essayaient juste de trouver dans un sommeil réparateur de quoi digérer l'alcool largement ingurgité lors de la soirée
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/08/2156784-panique-et-coups-de-feu-sur-fond-d-ivresse.html
Aussitôt une patrouille se rend sur place et après avoir pris de vraies protections, notamment l'utilisation d'un bouclier censé arrêter les balles d'arme à feu, les policiers s'approchent. Ils se dirigent vers un groupe d'apparence calme dont les membres, visiblement, profitent de la fraîcheur des bords de la Garonne. Deux d'entre eux sont allongés dans l'herbe. Blessés ? Les individus, bouteilles à la main, ne semble guère affolé. Les policiers entrent en contact et découvrent des habitants français d'une lointaine île du Pacifique, réunis pour rigoler, discuter et arroser ces retrouvailles.
Des coups feux ? «Oui» répondent les intéressés. Une «embrouille» avec des jeunes gars des cités ! «Ils voulaient qu'on se battent…» «Sont partis en voiture» «Quel type ? Sais pas…» «Déposer plainte ? Pourquoi..?»
Les policiers, un peu déstabilisés par tant de désinvolture, sont repartis, laissant le petit groupe poursuivre tranquillement sa fête largement alcoolisée. D'ailleurs les deux personnes allongées dans l'herbe ne soignaient aucune blessure. Ils essayaient juste de trouver dans un sommeil réparateur de quoi digérer l'alcool largement ingurgité lors de la soirée
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/08/2156784-panique-et-coups-de-feu-sur-fond-d-ivresse.html
vendredi 7 août 2015
Un motard grièvement blessé à Saint-Vivien-de-Médoc (33)
La conductrice de la voiture est indemne, mais le motard souffre de plusieurs traumatismes.
Jeudi soir, vers 19 h 30, un accident de la circulation est survenu sur la RD 1215 à Saint Vivien de Médoc (33). Le motard, un gendarme au repos, circulait dans le sens Lesparre-Le Verdon. Il suivait une file de voitures quand celles-ci ont brusquement freiné. Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes chargés de l'enquête, le motard a entrepris de dépasser la file de véhicules.
Mais à hauteur d'un carrefour, il est venu percuter l'avant gauche d'une voiture qui tournait à sa gauche à l'intersection de la RD1215 et de la route de Vensac. Le choc a été violent. Le motard, polytraumatisé, a été évacué à la clinique de Lesparre.
http://www.sudouest.fr/2015/08/07/un-motard-grievement-blesse-a-saint-vivien-de-medoc-2090787-2964.php
Jeudi soir, vers 19 h 30, un accident de la circulation est survenu sur la RD 1215 à Saint Vivien de Médoc (33). Le motard, un gendarme au repos, circulait dans le sens Lesparre-Le Verdon. Il suivait une file de voitures quand celles-ci ont brusquement freiné. Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes chargés de l'enquête, le motard a entrepris de dépasser la file de véhicules.
Mais à hauteur d'un carrefour, il est venu percuter l'avant gauche d'une voiture qui tournait à sa gauche à l'intersection de la RD1215 et de la route de Vensac. Le choc a été violent. Le motard, polytraumatisé, a été évacué à la clinique de Lesparre.
http://www.sudouest.fr/2015/08/07/un-motard-grievement-blesse-a-saint-vivien-de-medoc-2090787-2964.php
La voiture familiale fait des tonneaux et finit dans le fossé
Dans leur malheur, ils ont eu énormément de chance. À 14h40 hier après-midi , un couple de Bordelais en vacances avec leurs deux jumeaux de 7 ans à bord de leur Honda Civic , a eu la frayeur de leur vie. Alors qu'ils circulaient sur la route de Béziers à hauteur du domaine de Millepetit vers Marseillette , un camping car de marque Fiat d'un couple d'Italiens de Bareggio avec leur adolescent , a éclaté son pneu arrière droit pourtant en parfait état. Le père de famille qui conduisait le véhicule a alors perdu son contrôle et s'est déporté sur la partie médiane de la route, frôlant l'automobile qui arrivait en face. S'en est suivie une série de tonneaux pour la Honda terminant sa course sur le toit à une cinquantaine de mètres du camping-car qui a fini dans le fossé . Les enfants très choqués, seuls leur père et la femme du chauffeur du camping-car ont été légèrement commotionnés et ont passé des examens de contrôle. Les pompiers trébéens et les gendarmes de la COB de Trèbes-Capendu , très rapidement sur les lieux , ont assuré les premiers secours et la sécurisation du lieu de l'accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/07/2156044-voiture-familiale-fait-tonneaux-finit-fosse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/07/2156044-voiture-familiale-fait-tonneaux-finit-fosse.html
jeudi 6 août 2015
Un homme porte plainte contre le Samu
Selon une information rapportée par Sud Ouest, un homme porte plainte contre les pompiers et le Samu, estimant que les moyens mis en ouvre pour sauver son frère ont fait défaut.
Mardi, à Saint-Laurent-de-la-Prée (Charente-Maritime), Roger Mesnager conduit son frère à l'hôtial de Rochefort. A leur arrivée, son frère est pris en charge mais décède malgré les soins prodigués.
Roger Mesnager a déposé plainte hier contre le Samu et les pompiers «parce qu'ils n'ont pas, mardi, entre 6 et 7 heures, envoyé des moyens pour secourir mon frère qui les avait appelés. Il se plaignait d'une douleur à la poitrine. Alors il m'a appelé.» Roger a aussi remis hier à la gendarmerie de Fouras le téléphone portable de Michel, son frère défunt.
Dans cette affaire d'un secours à la personne qui tourne au drame, toutes les conversations ont été enregistrées et seront exploitées dans le cadre de l'enquête qui a déjà commencé.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/06/97001-20150806FILWWW00045-un-homme-porte-plainte-contre-le-samu.php
Mardi, à Saint-Laurent-de-la-Prée (Charente-Maritime), Roger Mesnager conduit son frère à l'hôtial de Rochefort. A leur arrivée, son frère est pris en charge mais décède malgré les soins prodigués.
Roger Mesnager a déposé plainte hier contre le Samu et les pompiers «parce qu'ils n'ont pas, mardi, entre 6 et 7 heures, envoyé des moyens pour secourir mon frère qui les avait appelés. Il se plaignait d'une douleur à la poitrine. Alors il m'a appelé.» Roger a aussi remis hier à la gendarmerie de Fouras le téléphone portable de Michel, son frère défunt.
Dans cette affaire d'un secours à la personne qui tourne au drame, toutes les conversations ont été enregistrées et seront exploitées dans le cadre de l'enquête qui a déjà commencé.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/06/97001-20150806FILWWW00045-un-homme-porte-plainte-contre-le-samu.php
Bozouls rend un dernier hommage à trois enfants du pays, tués dans un accident
Hier, à 19 heures dans l'église Saint Pie X à Bozouls (Aveyron), les habitants du village se sont réunis en nombre pour rendre un dernier hommage à Béatriz, Guillerm et Sandro, trois enfants tués ce week-end dans un accident de la route en Espagne.
Vive émotion, hier dans le village de Bozouls commune à quelques kilomètres au nord de Rodez, pour la cérémonie d'hommage aux trois jeunes enfants décédés samedi 1er août, alors qu'ils étaient sur la route des vacances.
Ce week-end, Luis Goncalves partait pour le Portugal avec ses trois enfants, Sandro, 4ans, Guillerm, 8 ans, et Béatriz, 12 ans, ainsi qu'une amie de cette dernière.
La mère, séparée du père de ses enfants se rendait, mais dans un autre véhicule, dans le même village portugais que son ex-mari. Alors que ce dernier roulait sur une route de la province espagnole de Zamora, son véhicule est entré en collision frontale avec un camion qui venait en sens inverse. Les trois enfants ont été tués sur le coup. Le père a de son côté été transporté à l'hôpital, entre la vie et la mort. Selon un porte-parole des autorités sanitaires de Castilla y Léon, il se trouve actuellement hors de danger.
Quant à l'adolescente qui les accompagnait, elle n'a été blessée que légèrement, et serait sortie de l'hôpital en début de semaine, selon la presse espagnole.
Mardi, des centaines de personnes se sont rendues aux obsèques des trois jeunes enfants, à Murça, petite ville portugaise dont la famille était originaire. «Aujourd'hui est un jour de profonde tristesse et de consternation pour la famille de ces enfants, mais aussi pour toute la population», a déclaré le père Sérgio Dinis, responsable de la cérémonie funéraire.
Un village sous le choc
Le petit village de Bozouls, en Aveyron, où les victimes vivaient, est aussi sous le choc.
Après avoir appris la nouvelle, les habitants se sont immédiatement mobilisés. Un registre de condoléances a été mis à disposition à la mairie, à leur demande.
Atterrés par le triste événement, ils «ne pouvaient pas les laisser partir comme ça». Hier soir à 19 heures, une cérémonie s'est donc tenue à l'église Saint Pie X. Roses blanches à la main, amis, camarades de classe, institutrices et voisins, se sont succédé devant les portraits des enfants. Tous se sont réunis, emplissant vite la petite église de Bozouls, pour un dernier adieu à Béatriz, Guillerm et Sandro. «Ces fleurs expriment notre douleur», a souligné le père Aurélien, avant d'inviter les jeunes du village à s'installer dans le chœur de l'église.
«Cet hommage est à l'initiative de tous, tout le monde voulait réagir», a expliqué le maire Jean-Luc Calmelly.
Lors de la cérémonie, une collecte de fonds a été réalisée par les habitants de Bozouls venus apporter leur soutien à la famille endeuillée, mais aussi, pour témoigner leur soutien aux parents de ces jeunes enfants, «démunis et anéantis».
La famille s'était installée dans le village en 2009.
«Luis était un très bon maçon, qui faisait des murs en pierre magnifiques. Il était très mobilisé pour son travail, mais surtout pour ses enfants. Il travaillait dur car il rêvait de leur offrir des vacances au Portugal», a précisé Jean-Luc Calmelly.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/06/2155705-bozouls-rend-dernier-hommage-trois-enfants-pays-tues-accident.html#fixvLGcXscPTTHFf.99
mercredi 5 août 2015
Heuliez: un ouvrier dans un état critique
Un ouvrier de 52 ans est dans un état critique selon France Bleu, après qu'une mâchine de 800 kilos lui soit tombé dessus ce matin sur l'ancien site d'Heuliez à Cerizay (Deux-Sèvres).
Aux alentours de 7h30, l'ouvrier était en train de démonter un robot quand une pièce de 800 kilos est tombée sur la tête et le thorax de la victime. En arrêt cardio-respiratoire, la victime a été transportée en hélicoptère au CHU de Poitiers. L'ouvrier travaille pour l'entreprise Cartol qui exploite et vide les bâtiments d'Heuliez, après sa fermeture en 2013. Une enquête a été ouverte par les gendarmes de Cerizay.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/05/97001-20150805FILWWW00182-heuliez-un-ouvrier-dans-un-etat-critique.php
Aux alentours de 7h30, l'ouvrier était en train de démonter un robot quand une pièce de 800 kilos est tombée sur la tête et le thorax de la victime. En arrêt cardio-respiratoire, la victime a été transportée en hélicoptère au CHU de Poitiers. L'ouvrier travaille pour l'entreprise Cartol qui exploite et vide les bâtiments d'Heuliez, après sa fermeture en 2013. Une enquête a été ouverte par les gendarmes de Cerizay.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/05/97001-20150805FILWWW00182-heuliez-un-ouvrier-dans-un-etat-critique.php
Deux morts et un blessé grave dans un accident à Nice
Dans la nuit de mardi à mercredi, une voiture s'est violemment encastrée dans un arbre à proximité de l'aéroport Nice Côte d'Azur, informe le journal Nice-Matin. Deux personnes sont décédées et une autre se trouve dans un état grave.
Deux personnes, un homme et une femme, sont décédées dans la nuit de mardi à mercredi dans un accident de la route sur la promenade Corniglion-Molinier à Nice. Le véhicule s'est violemment encastré dans un arbre.
Une troisième personne a été transportée à l'hôpital dans un état grave, son pronostic vital engagé. Le quatrième occupant du véhicule avait, selon les informations de Nice-Matin, réussi à s'extirper de la voiture par ses propres moyens et a été conduit aux urgences. Il n'est que légèrement blessé.
Vandœuvre-lès-Nancy : des ossements humains découverts dans un chantier
Des ossements humains ont été découverts dans un chantier, ce mardi matin, vers 8 h, à proximité de l’église du vieux Vandœuvre, rue Pasteur.
Les ouvriers procédaient au remplacement d’une borne incendie défectueuse pour le compte du Grand Nancy quand ils ont découvert des morceaux de crâne humain et ce qui semblerait être un fémur, au fond de la tranchée, à plus d’un mètre de profondeur. Le chantier a aussitôt été interrompu conformément à la procédure.
Les services techniques de la ville devraient procéder à des fouilles complémentaires. Ces restes humains ont été transférés dans la journée de mardi à l’Institut médico-légale. Il s’agit à présent de les dater. La police pense avoir affaire à de vieux ossements. « Nous sommes à proximité d’une vieille église, près du cimetière, ça n’aurait rien d’étonnant ».
L’endroit n’avait pas été sondé depuis au moins une quarantaine d’années d’après un agent du Grand Nancy, c’est l’âge à peu près de l’installation incendie.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2015/08/04/vandoeuvre-les-nancy-ossements-humains-dans-un-chantier
Les ouvriers procédaient au remplacement d’une borne incendie défectueuse pour le compte du Grand Nancy quand ils ont découvert des morceaux de crâne humain et ce qui semblerait être un fémur, au fond de la tranchée, à plus d’un mètre de profondeur. Le chantier a aussitôt été interrompu conformément à la procédure.
Les services techniques de la ville devraient procéder à des fouilles complémentaires. Ces restes humains ont été transférés dans la journée de mardi à l’Institut médico-légale. Il s’agit à présent de les dater. La police pense avoir affaire à de vieux ossements. « Nous sommes à proximité d’une vieille église, près du cimetière, ça n’aurait rien d’étonnant ».
L’endroit n’avait pas été sondé depuis au moins une quarantaine d’années d’après un agent du Grand Nancy, c’est l’âge à peu près de l’installation incendie.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2015/08/04/vandoeuvre-les-nancy-ossements-humains-dans-un-chantier
mardi 4 août 2015
Porté-Puymorens : le corps d'un homme retrouvé sans vie dans un ruisseau
Les services de gendarmerie du PGHM (Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne) d'Osséja ont été alertés ce lundi soir vers 18h par un randonneur.
L'homme venait de découvrir le corps d'un inconnu à hauteur du ruisseau du Courtal sur les hauteurs de Porté-Puymorens.
Les militaires sont intervenus immédiatement à l'aide de l'hélicoptère de la gendarmerie de Pamiers.
Malheureusement, à leur arrivée sur les lieux, ils n'ont pu que constater le décès de la victime.
Selon les premiers éléments, il s'agirait d'un homme âgé de 49 ans, originaire de la région toulousaine qui serait parti pêcher dans ce secteur. Il aurait chuté d'une falaise et serait retombé dans l'eau.
http://www.lindependant.fr/2015/08/04/porte-puymorens-le-corps-d-un-homme-retrouve-sans-vie-dans-un-ruisseau,2068230.php
L'homme venait de découvrir le corps d'un inconnu à hauteur du ruisseau du Courtal sur les hauteurs de Porté-Puymorens.
Les militaires sont intervenus immédiatement à l'aide de l'hélicoptère de la gendarmerie de Pamiers.
Malheureusement, à leur arrivée sur les lieux, ils n'ont pu que constater le décès de la victime.
Selon les premiers éléments, il s'agirait d'un homme âgé de 49 ans, originaire de la région toulousaine qui serait parti pêcher dans ce secteur. Il aurait chuté d'une falaise et serait retombé dans l'eau.
http://www.lindependant.fr/2015/08/04/porte-puymorens-le-corps-d-un-homme-retrouve-sans-vie-dans-un-ruisseau,2068230.php
Marne : un cas d'infection par la superbactérie NDM-1 détecté
Un homme victime d'une infection par la superbactérie NDM-1, résistante aux antibiotiques, et qui avait séjourné en juillet à l'hôpital de Châlons-en-Champagne, a été placé à l'isolement au CHU de Reims
Selon les protocoles nationaux en vigueur, le centre hospitalier de Châlons-en-Champagne a adressé un courrier à toutes les personnes ayant été en contact avec lui pour les inviter à passer des tests de dépistage. "A ce jour, l'ensemble des dépistages réalisés chez les patients présents dans l'établissement n'a pas retrouvé la présence de cette bactérie", a indiqué la direction de l'hôpital de Châlons dans un communiqué. "Le risque d'être porteur pour les patients "contacts" est faible. Le fait de devenir porteur n'a pas de conséquence sur l'état de santé des patients", a précisé l'hôpital.
Communément appelée "superbactérie", la NDM-1 (New Delhi metallo-beta-lactamase) fait l'objet d'une surveillance internationale. Identifiée pour la première fois en 2009, elle est considérée comme une bombe à retardement par les experts. Il s'agit en fait d'un gène de résistance qui s'est diffusé à des espèces de bactéries pathogènes, responsables de la dysenterie, mais aussi du choléra.
Un cas d'infection par la superbactérie NDM-1 a été détecté dans la Marne, a précisé ce lundi une source médicale. Le patient, un homme qui revenait du Vietnam, avait été hospitalisé à Châlons-en-Champagne avant d'être admis au service de réanimation du CHU de Reims mi-juillet où il a été diagnostiqué porteur de la bactérie et placé à l'isolement.
Selon les protocoles nationaux en vigueur, le centre hospitalier de Châlons-en-Champagne a adressé un courrier à toutes les personnes ayant été en contact avec lui pour les inviter à passer des tests de dépistage. "A ce jour, l'ensemble des dépistages réalisés chez les patients présents dans l'établissement n'a pas retrouvé la présence de cette bactérie", a indiqué la direction de l'hôpital de Châlons dans un communiqué. "Le risque d'être porteur pour les patients "contacts" est faible. Le fait de devenir porteur n'a pas de conséquence sur l'état de santé des patients", a précisé l'hôpital.
Communément appelée "superbactérie", la NDM-1 (New Delhi metallo-beta-lactamase) fait l'objet d'une surveillance internationale. Identifiée pour la première fois en 2009, elle est considérée comme une bombe à retardement par les experts. Il s'agit en fait d'un gène de résistance qui s'est diffusé à des espèces de bactéries pathogènes, responsables de la dysenterie, mais aussi du choléra.
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