Me Jérôme Garcia, l'avocat de la défense, avait prévenu, au moment où il faisait appel de la décision du tribunal correctionnel de Gap : "Nous sommes prêts à aller jusqu’à la cour de cassation s’il le faut." Selon l’avocat, "il y a un problème de causalité entre les faits reprochés, purement administratifs, et le décès. L’enquête n’a pas permis de déterminer ce lien de causalité. Un argumentaire qu'a entendu la cour d'appel de Grenoble, à lire l'arrêt qu'elle a rendu le 18 novembre dernier. "La cour a réformé le jugement rendu en première instance et les a relaxés, explique encore l'avocat de la défense. Le motif retenu, c'est l'absence de lien de causalité entre le décès et les manquements administratifs."
Les deux prévenus, père et fils, étaient poursuivis pour homicide involontaire par imprudence. Responsable d’une base de loisirs sur la Durance pour le premier et éducateur sportif pour les sports en eaux vives pour le second, ils comparaissaient afin de déterminer leurs responsabilités dans le décès d’une touriste belge lors d’une sortie en rafting sur la Durance, en juillet 2013. En première instance, en février, le tribunal correctionnel de Gap avait noté l'absence de trousse de secours et d'un téléphone dans l'embarcation et la carte professionnelle, refusé au fils par la préfecture. Le fils avait été condamné à 18 mois d’emprisonnement dont un an avec sursis et une interdiction d’exercer pendant cinq ans. Son père avait écopé de la même interdiction d'exercer et à un an d'emprisonnement avec sursis. "Je pense que le tribunal a fait une confusion. L'absence de carte professionnelle ne veut pas dire que les diplômes ne sont pas valables. Et mon client les avait bien. La cour d'appel a aussi reconnu ça", note encore Me Garcia.
L'entreprise familiale a néanmoins souffert des suites de cet accident. "Ils ont subi une fermeture administrative, sur laquelle il n'y a pas eu de recours. Ils ne rouvriront pas. Ils sont dégoûtés, si je peux m'exprimer ainsi. Cette histoire les a vraiment détruits, détaille Me Garcia. Le fils est jeune, il est moniteur de ski, il va rebondir. C'est pour son père que c'est plus difficile..."
La décision est désormais définitive puisque le ministère public disposait de cinq jours pour se pourvoir en cassation. Mais il reste un procès sur intérêts civils. Les parties sont renvoyées devant le tribunal de grande instance de Gap par la cour d'appel, qui demande également la mise en cause d'un kayakiste suisse. Ce dernier était entré en collision avec le rafting dans la vague du Rabioux
http://www.ledauphine.com/
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
dimanche 30 novembre 2014
Deux marins pêcheurs espagnols portés disparus au large de Bayonne
Le navire de pêche espagnol de 17 mètres, "le Safran", avait déclenché sa balise de détresse à 23h29 et quatre des six membres d'équipages ont pu être récupérés sains et saufs dans un radeau de survie par un autre navire de pêche espagnol.
Les survivants ont raconté que leur navire avait sombré rapidement dans des conditions de mer difficile à 72 kilomètres au large de Bayonne.
Le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) d'Etel a immédiatement dépêché sur place l'avion de surveillance maritime Falcon 50 de la marine nationale, l'hélicoptère d'alerte Puma SAR (Search And Rescue) de l'armée de l'air, ainsi qu'un hélicoptère SAR et une vedette de sauvetage espagnols.
Au moins sept navires de pêche sur zone ont participé activement aux recherches, et, à 02H20, un second radeau de survie a été retrouvé sans occupant à bord.
Les aéronefs ont poursuivi leurs recherches jusqu'au milieu de la nuit, selon leur potentiel de vol. Et depuis le lever du jour les recherches se poursuivent
avec les navires sur zone, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la marine nationale et un hélicoptère SAR espagnol, arrivés sur zone à 08h30, pour tenter de retrouver les deux marins-pêcheurs disparus.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/11/30/deux-marins-pecheurs-espagnols-portes-disparus-au-large-de-bayonne-603366.html
Les survivants ont raconté que leur navire avait sombré rapidement dans des conditions de mer difficile à 72 kilomètres au large de Bayonne.
Le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) d'Etel a immédiatement dépêché sur place l'avion de surveillance maritime Falcon 50 de la marine nationale, l'hélicoptère d'alerte Puma SAR (Search And Rescue) de l'armée de l'air, ainsi qu'un hélicoptère SAR et une vedette de sauvetage espagnols.
Au moins sept navires de pêche sur zone ont participé activement aux recherches, et, à 02H20, un second radeau de survie a été retrouvé sans occupant à bord.
Les aéronefs ont poursuivi leurs recherches jusqu'au milieu de la nuit, selon leur potentiel de vol. Et depuis le lever du jour les recherches se poursuivent
avec les navires sur zone, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la marine nationale et un hélicoptère SAR espagnol, arrivés sur zone à 08h30, pour tenter de retrouver les deux marins-pêcheurs disparus.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/11/30/deux-marins-pecheurs-espagnols-portes-disparus-au-large-de-bayonne-603366.html
Nancy : la victime présentait des plaies au cou
Nancy. Une jeune femme a été découverte sans vie, vendredi à son domicile, 105 avenue de Strasbourg à Nancy. Elle présentait des plaies au niveau du cou. Son compagnon l’aurait retrouvée ainsi à l’heure du déjeuner alors qu’il regagnait son appartement. Selon lui, la porte d’entrée du logement était verrouillée de l’intérieur.
Aucune hypothèse n’est écartée pour l’instant. Pas même celle d’un geste désespéré. Une autopsie du corps aura lieu mardi, elle pourra peut-être permettre de mieux comprendre les circonstances du décès de cette institutrice de 36 ans.
Le SRPJ de Nancy est chargé de l’enquête, ouverte dans le cadre d’une procédure de recherche des causes de la mort. Hier, ses hommes ont tenté de cerner la personnalité de la victime, en auditionnant son entourage.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/11/30/la-victime-presentait-des-plaies-au-cou
Aucune hypothèse n’est écartée pour l’instant. Pas même celle d’un geste désespéré. Une autopsie du corps aura lieu mardi, elle pourra peut-être permettre de mieux comprendre les circonstances du décès de cette institutrice de 36 ans.
Le SRPJ de Nancy est chargé de l’enquête, ouverte dans le cadre d’une procédure de recherche des causes de la mort. Hier, ses hommes ont tenté de cerner la personnalité de la victime, en auditionnant son entourage.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/11/30/la-victime-presentait-des-plaies-au-cou
Aubervilliers : il accuse deux policiers de l'avoir tabassé
Il y a d'abord ce visage tuméfié et ce regard un peu perdu. Il y a ensuite le récit glaçant de violences subies, selon ses déclarations, « sans raison » et « sans retenue ». Samir*, la trentaine, ne comprend toujours pas pourquoi il a été passé à tabac par deux policiers alors qu'il se trouvait à son domicile, le 23 novembre au petit matin, dans son appartement d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis)
Ce futur père de famille, à la carrure de déménageur, livre d'une voix lasse son « calvaire ».
« Je m'étais disputé avec ma compagne car j'avais bu 5 ou 6 whiskies au cours de la nuit avant de rentrer chez moi, confie d'emblée Samir. Il y a eu des éclats de voix entre nous, mais rien d'autre. Vers 8 h 30, j'ai entendu du bruit au niveau de la serrure de la porte de mon appartement. Puis quelqu'un a sonné. J'ai entrouvert et j'ai vu trois policiers en uniforme. Ils voulaient pénétrer de force chez moi. Je n'ai pas voulu les laisser entrer. Ils ont alors mis des coups de pied dans la porte puis l'un d'entre eux a dit : Allez les gars ! J'ai résisté un instant avant de me retrouver au sol, menotté aux poignets mais aussi aux chevilles. »
Perte de connaissance et vomissements
L'homme, employé dans le bâtiment, raconte ensuite la « pluie » de coups qui s'est abattue sur lui. « J'ai crié Au secours ! Ma compagne a tenté de s'interposer, mais elle est enceinte de quatre mois. Un premier policier m'a porté plusieurs coups de pied et de poing au niveau de la tête. Un second a fait de même. Il m'empêchait de respirer en me maintenant fermement au sol avec son pied. Je reconnais les avoir alors insultés, mais il n'y avait aucune raison pour qu'ils se déchaînent sur moi comme ça. »
Samir se remémore avoir « perdu connaissance à plusieurs reprises », « senti [son] tympan droit éclater » après avoir reçu un nouveau coup de pied, avoir « essayé de ramper » pour se dégager, puis avoir ressenti une « énorme douleur à la main gauche » sous l'effet d'un nouveau coup.
Alors qu'il se met à vomir et perd encore connaissance, les fonctionnaires décident d'appeler les pompiers. « Quand ils (ndlr. les pompiers) ont demandé ce qui s'était passé, les policiers ont répondu que mon compagnon s'était tapé la tête contre les murs, souffle Lila*, l'amie de Samir, encore sous le choc. Un des trois policiers n'a pas porté de coups. Il était lui-même très mal à l'aise. C'est le seul à avoir montré son matricule lorsque je lui ai demandé. »
Quarante-cinq jours d'interruption de travail
Conduit à l'hôpital de Saint-Denis, Samir se fait recoudre une arcade sourcilière avant d'être ramené au commissariat d'Aubervilliers. « J'ai été placé en cellule de dégrisement, puis un médecin est venu m'examiner, poursuit-il. Il m'a proposé de me donner un calmant tout en me disant que mes blessures étaient des égratignures. Je suis resté la nuit du dimanche au lundi en cellule, puis un autre médecin m'a ausculté. Il a tout de suite estimé que mon état de santé n'était pas compatible avec une garde à vue. »
Examiné dans la foulée à l'hôpital Avicenne de Bobigny, Samir se voit diagnostiquer une fracture de la main gauche, une perforation d'un tympan avec des complications au niveau de l'oreille interne, ainsi que trois côtes cassées. Il s'est vu délivrer quarante-cinq jours d'interruption totale de travail (ITT)... Traumatisé et meurtri, Samir a déposé plainte auprès de l'inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices. « Comment ont-ils pu aller aussi loin ? s'interroge-t-il. L'un des deux policiers avait même le sourire aux lèvres... »
* Les prénoms ont été changés.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/aubervilliers-il-accuse-deux-policiers-de-l-avoir-tabasse-30-11-2014-4334589.php
« Je m'étais disputé avec ma compagne car j'avais bu 5 ou 6 whiskies au cours de la nuit avant de rentrer chez moi, confie d'emblée Samir. Il y a eu des éclats de voix entre nous, mais rien d'autre. Vers 8 h 30, j'ai entendu du bruit au niveau de la serrure de la porte de mon appartement. Puis quelqu'un a sonné. J'ai entrouvert et j'ai vu trois policiers en uniforme. Ils voulaient pénétrer de force chez moi. Je n'ai pas voulu les laisser entrer. Ils ont alors mis des coups de pied dans la porte puis l'un d'entre eux a dit : Allez les gars ! J'ai résisté un instant avant de me retrouver au sol, menotté aux poignets mais aussi aux chevilles. »
Perte de connaissance et vomissements
L'homme, employé dans le bâtiment, raconte ensuite la « pluie » de coups qui s'est abattue sur lui. « J'ai crié Au secours ! Ma compagne a tenté de s'interposer, mais elle est enceinte de quatre mois. Un premier policier m'a porté plusieurs coups de pied et de poing au niveau de la tête. Un second a fait de même. Il m'empêchait de respirer en me maintenant fermement au sol avec son pied. Je reconnais les avoir alors insultés, mais il n'y avait aucune raison pour qu'ils se déchaînent sur moi comme ça. »
Samir se remémore avoir « perdu connaissance à plusieurs reprises », « senti [son] tympan droit éclater » après avoir reçu un nouveau coup de pied, avoir « essayé de ramper » pour se dégager, puis avoir ressenti une « énorme douleur à la main gauche » sous l'effet d'un nouveau coup.
Alors qu'il se met à vomir et perd encore connaissance, les fonctionnaires décident d'appeler les pompiers. « Quand ils (ndlr. les pompiers) ont demandé ce qui s'était passé, les policiers ont répondu que mon compagnon s'était tapé la tête contre les murs, souffle Lila*, l'amie de Samir, encore sous le choc. Un des trois policiers n'a pas porté de coups. Il était lui-même très mal à l'aise. C'est le seul à avoir montré son matricule lorsque je lui ai demandé. »
Quarante-cinq jours d'interruption de travail
Conduit à l'hôpital de Saint-Denis, Samir se fait recoudre une arcade sourcilière avant d'être ramené au commissariat d'Aubervilliers. « J'ai été placé en cellule de dégrisement, puis un médecin est venu m'examiner, poursuit-il. Il m'a proposé de me donner un calmant tout en me disant que mes blessures étaient des égratignures. Je suis resté la nuit du dimanche au lundi en cellule, puis un autre médecin m'a ausculté. Il a tout de suite estimé que mon état de santé n'était pas compatible avec une garde à vue. »
Examiné dans la foulée à l'hôpital Avicenne de Bobigny, Samir se voit diagnostiquer une fracture de la main gauche, une perforation d'un tympan avec des complications au niveau de l'oreille interne, ainsi que trois côtes cassées. Il s'est vu délivrer quarante-cinq jours d'interruption totale de travail (ITT)... Traumatisé et meurtri, Samir a déposé plainte auprès de l'inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices. « Comment ont-ils pu aller aussi loin ? s'interroge-t-il. L'un des deux policiers avait même le sourire aux lèvres... »
* Les prénoms ont été changés.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/aubervilliers-il-accuse-deux-policiers-de-l-avoir-tabasse-30-11-2014-4334589.php
HAUTE-LOIRE. Saugues : un important dispositif pour retrouver une désespérée
Dans la nuit de vendredi à samedi, pompiers et gendarmes sont intervenus dans le secteur des étangs de Bergougnoux à la suite d’une alerte signalant une disparition inquiétante. Tout est parti de lettres laissées par une femme d’une cinquantaine d’années indiquant qu’elle entendait mettre fin à ses jours.
La voiture de la malheureuse a finalement été retrouvée au milieu de la nuit près des étangs. Toutefois, compte tenu de l’obscurité et des mauvaises conditions météo, la décision a été prise de différer les recherches de quelques heures pour les plongeurs et l’équipe cynophile. Le corps de la quinquagénaire a été retrouvé sans vie, sur une berge, au petit matin.Saint-Pal-en-Chalencon.Saint-Pal-en-Chalencon : la voiture du livreur de journaux prend feu
Il était près de 6 heures, samedi, lorsque les sapeurs-pompiers sont intervenus pour un feu de voiture. Le sinistre s’est déclaré sur un véhicule assurant la livraison des journaux. Il circulait sur la RD12 reliant Saint-Pal-en-Chalencon à « Pontempeyrat », près de Craponne-sur-Arzon. On ne déplore pas de blessé.http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/11/30/saint-pal-en-chalencon
samedi 29 novembre 2014
Paris-Genève : il perd une oeuvre d'art chinoise à un million d'euros dans un train
Le 14 novembre, Francesco Plateroti était descendu peu avant 23 heures du TGV 9791 Paris-Genève en gare de Bellegarde-sur-Valserine (Ain), en oubliant son cartable noir censé contenir des reproductions et des photos, a expliqué le collectionneur à l'AFP, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Ce n'est que le lendemain matin qu'il a réalisé avec effroi que ce cartable contenait également le précieux rouleau de papier de riz chinois sur lequel sont peintes les douze immortelles de Wang Zhenpeng et qu'il venait de présenter "à une prestigieuse fondation parisienne en vue d'une coopération". "J'ai un petit doute, est-ce que je l'ai laissé dans le train ou quand je suis descendu sur le quai", a ajouté celui qui, depuis, reste en contact trois fois par jour avec le service des objets perdus en Suisse.
Il propose donc une "forte récompense en argent à celui qui retrouvera" ce trésor, qui "malheureusement n'était pas assuré pour le voyage". "Il y aura aussi une récompense
sur la vente, ou alors je donnerai une oeuvre. Et, s'il faut couper (le rouleau), je donnerai une de ces douze immortelles, nous trouverons un accord", a assuré
ce collectionneur conférencier international, qui dit avoir "bon espoir". Il souligne en effet que sans le certificat culturel, toujours en sa possession, cette peinture vieille de huit siècles "ne peut être ni vendue ni exportée".
Certes, un receleur pourrait en disposer, mais, dit-il avec philosophie, "on a 50 ans pour pouvoir la récupérer si elle est exposée dans un musée".
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/11/29/paris-geneve-il-perd-une-oeuvre-d-art-chinoise-un-million-d-euros-dans-un-train-603096.html
Ce n'est que le lendemain matin qu'il a réalisé avec effroi que ce cartable contenait également le précieux rouleau de papier de riz chinois sur lequel sont peintes les douze immortelles de Wang Zhenpeng et qu'il venait de présenter "à une prestigieuse fondation parisienne en vue d'une coopération". "J'ai un petit doute, est-ce que je l'ai laissé dans le train ou quand je suis descendu sur le quai", a ajouté celui qui, depuis, reste en contact trois fois par jour avec le service des objets perdus en Suisse.
Il propose donc une "forte récompense en argent à celui qui retrouvera" ce trésor, qui "malheureusement n'était pas assuré pour le voyage". "Il y aura aussi une récompense
sur la vente, ou alors je donnerai une oeuvre. Et, s'il faut couper (le rouleau), je donnerai une de ces douze immortelles, nous trouverons un accord", a assuré
ce collectionneur conférencier international, qui dit avoir "bon espoir". Il souligne en effet que sans le certificat culturel, toujours en sa possession, cette peinture vieille de huit siècles "ne peut être ni vendue ni exportée".
Certes, un receleur pourrait en disposer, mais, dit-il avec philosophie, "on a 50 ans pour pouvoir la récupérer si elle est exposée dans un musée".
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/11/29/paris-geneve-il-perd-une-oeuvre-d-art-chinoise-un-million-d-euros-dans-un-train-603096.html
Le bilan des intempéries qui frappent le sud de la France risque de s'alourdir. Un nouvelle personne, un homme, est portée disparue depuis ce samedi après la découverte d'une voiture dans une rivière. Le véhicule a été retrouvé abandonné dans un cours d'eau ayant débordé à La Garde-Freinet (Var), dans le golfe de Saint-Tropez, et son propriétaire n'a plus donné signe de vie à sa famille depuis jeudi
En vingt-quatre heures, quatre personnes, trois femmes et un homme sont mortes, dans le département du Var. Deux sont décédées à La Londe-Les-Maures, une autre à Cogolin, une quatrième à Hyères.
Plus à l'ouest dans le département, une petite fille de 8 ans, dont la mère est morte emportée par une rivière en crue à La Londe-Les-Maures, jeudi, est également recherchée depuis vendredi. Les recherches ont repris ce samedi, avec l'appui notamment d'une brigade canine spécialisée dans la détection d'odeurs corporelles. Plusieurs plongeurs des sapeurs-pompiers ainsi que des gendarmes en treillis ont fouillé les berges et le lit de la rivière Maravenne à la recherche de «tout ce qui peut servir d'indice», selon un militaire. Les recherches pour retrouver l'enfant ont repris à 7h30.
Ce samedi matin, préfecture et gendarmerie ont par ailleurs indiqué ne plus rechercher une personne annoncée disparue à La Londe, sur la foi d'un témoignage jugé «fragile».
Dans cette commune particulièrement frappée par les intempéries, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, vient mesurer l'ampleur des dégâts cet après-midi.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/intemperies-un-autre-disparu-dans-le-var-29-11-2014-4332711.php
En vingt-quatre heures, quatre personnes, trois femmes et un homme sont mortes, dans le département du Var. Deux sont décédées à La Londe-Les-Maures, une autre à Cogolin, une quatrième à Hyères.
Plus à l'ouest dans le département, une petite fille de 8 ans, dont la mère est morte emportée par une rivière en crue à La Londe-Les-Maures, jeudi, est également recherchée depuis vendredi. Les recherches ont repris ce samedi, avec l'appui notamment d'une brigade canine spécialisée dans la détection d'odeurs corporelles. Plusieurs plongeurs des sapeurs-pompiers ainsi que des gendarmes en treillis ont fouillé les berges et le lit de la rivière Maravenne à la recherche de «tout ce qui peut servir d'indice», selon un militaire. Les recherches pour retrouver l'enfant ont repris à 7h30.
Ce samedi matin, préfecture et gendarmerie ont par ailleurs indiqué ne plus rechercher une personne annoncée disparue à La Londe, sur la foi d'un témoignage jugé «fragile».
Dans cette commune particulièrement frappée par les intempéries, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, vient mesurer l'ampleur des dégâts cet après-midi.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/intemperies-un-autre-disparu-dans-le-var-29-11-2014-4332711.php
Le motard tué dans un accident avait quatre enfants
REIMS (51). Ce mardi, peu après 14 heures, un motard a trouvé la mort en percutant un camion devant la caserne des pompiers de la route de Witry. Père de quatre enfants, la victime est un Rémois de 50 ans, Francis Crépin.
D’après les constatations de la police, le motocycliste circulait en direction du pont de Witry. Le chauffeur du camion arrivait en sens inverse. Il a tourné à gauche pour s’engager vers la caserne et avait pratiquement terminé sa manœuvre quand la moto a percuté l’arrière de son camion. La victime était déjà en arrêt cardiaque à l’arrivée des secours.
Ce dramatique accident porte à sept le nombre de motards tués dans le département de la Marne depuis le début de l’année.
http://www.lunion.com/region/le-motard-tue-dans-un-accident-avait-quatre-enfants-ia3b24n447677
D’après les constatations de la police, le motocycliste circulait en direction du pont de Witry. Le chauffeur du camion arrivait en sens inverse. Il a tourné à gauche pour s’engager vers la caserne et avait pratiquement terminé sa manœuvre quand la moto a percuté l’arrière de son camion. La victime était déjà en arrêt cardiaque à l’arrivée des secours.
Ce dramatique accident porte à sept le nombre de motards tués dans le département de la Marne depuis le début de l’année.
http://www.lunion.com/region/le-motard-tue-dans-un-accident-avait-quatre-enfants-ia3b24n447677
La jeune femme disparue avait simulé sa grossesse
On craignait le pire. Un important dispositif avait été mis en place pour retrouver la jeune femme âgée de 35 ans et censée être enceinte de neuf mois. Elle avait quitté son domicile, à Coubon, mercredi dans la matinée, depuis elle n’avait pas donné de signe de vie.
Elle a été retrouvé dans la nuit de vendredi à samedi, dans une chambre d’hôtel à Lyon. L’intéressée a immédiatement déclaré qu’elle avait accouché deux jours plus tôt et qu’elle avait jeté le bébé dans le Rhône. Le parquet s’est saisi de suspicion d’infanticide.
Cependant, la jeune femme a été auscultée par un gynécologue-obstétricien. A la suite de l’examen médical, il s’est avéré que la trentenaire n’était pas enceinte et qu’elle
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/11/29/la-jeune-femme-disparue-avait-simule-sa-grossesse
Elle a été retrouvé dans la nuit de vendredi à samedi, dans une chambre d’hôtel à Lyon. L’intéressée a immédiatement déclaré qu’elle avait accouché deux jours plus tôt et qu’elle avait jeté le bébé dans le Rhône. Le parquet s’est saisi de suspicion d’infanticide.
Cependant, la jeune femme a été auscultée par un gynécologue-obstétricien. A la suite de l’examen médical, il s’est avéré que la trentenaire n’était pas enceinte et qu’elle
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/11/29/la-jeune-femme-disparue-avait-simule-sa-grossesse
Belfort : Accident devant l’école : le fuyard retrouvé
Belfort. Le 20 novembre dernier, aux alentours de 13 h 20, à l’heure de retourner en classe, un dramatique accident s’était produit devant l’école Pergaud, dans le quartier des Résidences, à Belfort. L’agent chargé de faire traverser les écoliers venait de sécuriser le passage piéton et deux fillettes, âgées de 7 ans et 9 ans, se sont avancées pour traverser. Au même moment, un véhicule s’est engagé dans la rue de Zaporojie, n’a pas freiné en arrivant sur le passage piéton et a percuté la benjamine. Le conducteur, au volant d’une Volkswagen Golf gris souris, n’a pas pris la peine de s’arrêter après l’accident.
Grièvement blessée, la fillette de 7 ans a été conduite à l’hôpital de Besançon. Elle est restée dans le coma jusqu’à dimanche. Elle a pu regagner son domicile cette semaine. La seconde écolière a été choquée par la scène.
Particulièrement touchés par les circonstances de l’accident, les policiers faisaient leur possible depuis l’accident pour retrouver le véhicule en cause et son propriétaire.
Ils ont lancé un appel à témoins dans nos colonnes et ont multiplié les patrouilles dans le quartier pour retrouver le fuyard. Mercredi soir, la Bac de nuit a repéré un véhicule correspondant au signalement, sur un parking des Résidences. Les enquêteurs ont procédé aux vérifications et sont parvenus à retrouver le conducteur. Le véhicule a été saisi pour des constatations techniques. Lors de cet examen, il est apparu que la voiture avait eu un choc récent.
Le propriétaire, un homme de 29 ans a été entendu au commissariat. Une audition rendue difficile car l’individu, d’origine turque, maîtrise mal le français. D’après les premiers éléments recueillis par les services de police, il pourrait s’agir de l’auteur de l’accident, mais ce point reste à confirmer. L’homme pourrait avoir reconnu les faits, tout en les minimisant. Il aurait affirmé n’avoir pas vu la fillette.
Il sera reconvoqué au commissariat avec un interprète.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/11/28/belfort-accident-devant-l-ecole-le-fuyard-retrouve
Grièvement blessée, la fillette de 7 ans a été conduite à l’hôpital de Besançon. Elle est restée dans le coma jusqu’à dimanche. Elle a pu regagner son domicile cette semaine. La seconde écolière a été choquée par la scène.
Particulièrement touchés par les circonstances de l’accident, les policiers faisaient leur possible depuis l’accident pour retrouver le véhicule en cause et son propriétaire.
Ils ont lancé un appel à témoins dans nos colonnes et ont multiplié les patrouilles dans le quartier pour retrouver le fuyard. Mercredi soir, la Bac de nuit a repéré un véhicule correspondant au signalement, sur un parking des Résidences. Les enquêteurs ont procédé aux vérifications et sont parvenus à retrouver le conducteur. Le véhicule a été saisi pour des constatations techniques. Lors de cet examen, il est apparu que la voiture avait eu un choc récent.
Le propriétaire, un homme de 29 ans a été entendu au commissariat. Une audition rendue difficile car l’individu, d’origine turque, maîtrise mal le français. D’après les premiers éléments recueillis par les services de police, il pourrait s’agir de l’auteur de l’accident, mais ce point reste à confirmer. L’homme pourrait avoir reconnu les faits, tout en les minimisant. Il aurait affirmé n’avoir pas vu la fillette.
Il sera reconvoqué au commissariat avec un interprète.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/11/28/belfort-accident-devant-l-ecole-le-fuyard-retrouve
vendredi 28 novembre 2014
Eaubonne : 50 enfants et 5 adultes victimes d’une intoxication alimentaire
Au lendemain de la mort d’un enfant de 9 ans dans l’Ain après avoir mangé à la cantine, la psychose s’est rapidement propagée dans deux écoles d’Eaubonne, ce vendredi après-midi. Cinquante enfants et cinq adultes se sont plaints de maux de ventre et de vomissements après leur repas (salade en entrée, cheeseburger frites en plat et yaourt en dessert). Pris en charge par les pompiers, la police et le Samu, les enfants âgés de 7 à 9 ans ont tous été auscultés par un médecin avant d’être rendus à leurs parents.
Seuls deux enfants ont été transportés au centre hospitalier d’Eaubonne pour être réhydratés. Les deux établissements sont desservis par la cuisine centrale Sodexho basée à Buchelay (Yvelines). Une inspection vétérinaire a été diligentée par les directions départementales de protection des populations du Val-d’Oise et des Yvelines pour déterminer les causes de cette intoxication
Chute de portail au collège privé de Châtillon sur Marne, un enfant blessé gravement
L'accident s'est produit ce vendredi à la mi-journée. D'après les premières informations fournies par les sapeurs-pompiers, un portail serait tombé sur un groupe d'élèves. Il s'agit d'enfants de l'école primaire venus déjeuner à la cantine du collège
Le premier bilan fait état de trois blessés, dont deux gravement, après la chute du portail métallique
Les deux enfants grièvement blessés, âgés de 7 et 9 ans, et dont les pronostiques vitaux n'étaient pas engagés, ont été pris en charge par les secours arrivés en nombre et transportés au CHU de Reims. L'un souffre d'au moins une fracture aux membres inférieurs et l'autre d'un traumatisme crânien.
Un troisième enfant de 8 ans, plus légèrement blessé, a été conduit vers l'hôpital d'Epernay.
Les gendarmes d'Epernay ont été chargés de l'enquête
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/11/28/chute-de-portail-au-college-prive-de-chatillon-sur-marne-importants-secours-sur-place-602320.html
Le premier bilan fait état de trois blessés, dont deux gravement, après la chute du portail métallique
Les deux enfants grièvement blessés, âgés de 7 et 9 ans, et dont les pronostiques vitaux n'étaient pas engagés, ont été pris en charge par les secours arrivés en nombre et transportés au CHU de Reims. L'un souffre d'au moins une fracture aux membres inférieurs et l'autre d'un traumatisme crânien.
Un troisième enfant de 8 ans, plus légèrement blessé, a été conduit vers l'hôpital d'Epernay.
Les gendarmes d'Epernay ont été chargés de l'enquête
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/11/28/chute-de-portail-au-college-prive-de-chatillon-sur-marne-importants-secours-sur-place-602320.html
Urrugne : deux personnes âgées blessées dans un incendie
L'alerte a été donnée dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 0h30. Un feu s'est déclaré sur la terrasse, en bois, d'un immeuble d'Urrugne, sur la route de la Corniche.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le sinistre serait dû à un mégot de cigarette mal éteint.
L'incendie s'est propagé aux deuxième et troisième étages. Sept personnes ont été évacuées. Les pompiers des casernes de Saint-Jean-de-Luz et d'Hendaye sont intervenus entre minuit et 3 heures du matin, de même que le Samu.
Aucun des locataires n'a dû être relogé, les appartements n'ayant pas été endommagés par l'incendie.
http://www.sudouest.fr/2014/11/28/urrugne-deux-personnes-agees-blessees-dans-un-incendie-1751429-4099.php
L'incendie s'est propagé aux deuxième et troisième étages. Sept personnes ont été évacuées. Les pompiers des casernes de Saint-Jean-de-Luz et d'Hendaye sont intervenus entre minuit et 3 heures du matin, de même que le Samu.
- Placés en observation
Aucun des locataires n'a dû être relogé, les appartements n'ayant pas été endommagés par l'incendie.
http://www.sudouest.fr/2014/11/28/urrugne-deux-personnes-agees-blessees-dans-un-incendie-1751429-4099.php
En possession de cannabis, le militaire du 1er RAMA roulait ivre
CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (51). Absent à la barre du tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne, un militaire du 1er RAMA a été condamné, mercredi, à 900 € de jours-amendes et une suspension de son permis de conduire pendant 3 mois, pour avoir été reconnu coupable de conduite sous l’empire d’un état alcoolique et détention de stupéfiants. Les faits qui lui étaient reprochés avaient été commis le 10 janvier dernier, à Châlons.
Il était environ 5 heures du matin, ce jour-là, quand les policiers avaient décidé de le contrôler alors qu’il manœuvrait au volant de son véhicule pour se garer. La musique s’échappant de son autoradio était un peu trop bruyante à leur goût.
S’exprimant de façon confuse et sentant l’alcool, celui-ci n’avait alors pas été en mesure de donner le change. Le dépistage de l’alcoolémie s’était révélé positif. Le militaire avait fini par reconnaître avoir consommé quelques verres lors d’une soirée chez des amis.
Déjà condamné en 2013
Son taux s’élevait en l’occurrence à 1,12g d’alcool par litre de sang. Mais au cours de sa garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police, le fonctionnaire qui procédait à sa fouille, avait également découvert en sa possession des petits morceaux de résine de cannabis, soit environ 2 grammes au total. Ne pouvant faire autrement que de reconnaître la détention de stupéfiants, il avait cependant déclaré ne plus en consommer, au moment des faits, depuis environ 4 mois.
En 2013, celui-ci avait toutefois déjà été condamné pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique mais aussi usage de stupéfiants.
http://www.lunion.com/region/en-possession-de-cannabis-le-militaire-du-1er-rama-roulait-ivre-ia18b0n447112
Il était environ 5 heures du matin, ce jour-là, quand les policiers avaient décidé de le contrôler alors qu’il manœuvrait au volant de son véhicule pour se garer. La musique s’échappant de son autoradio était un peu trop bruyante à leur goût.
S’exprimant de façon confuse et sentant l’alcool, celui-ci n’avait alors pas été en mesure de donner le change. Le dépistage de l’alcoolémie s’était révélé positif. Le militaire avait fini par reconnaître avoir consommé quelques verres lors d’une soirée chez des amis.
Déjà condamné en 2013
pour usage de stupéfiants
Son taux s’élevait en l’occurrence à 1,12g d’alcool par litre de sang. Mais au cours de sa garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police, le fonctionnaire qui procédait à sa fouille, avait également découvert en sa possession des petits morceaux de résine de cannabis, soit environ 2 grammes au total. Ne pouvant faire autrement que de reconnaître la détention de stupéfiants, il avait cependant déclaré ne plus en consommer, au moment des faits, depuis environ 4 mois.En 2013, celui-ci avait toutefois déjà été condamné pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique mais aussi usage de stupéfiants.
http://www.lunion.com/region/en-possession-de-cannabis-le-militaire-du-1er-rama-roulait-ivre-ia18b0n447112
Drame le week-end dernier : le nonagénaire a bien tué sa femme avant de se suicider
L'autopsie pratiquée mercredi à l'institut médico-légal de Toulouse a permis de confirmer l'hypothèse retenue par les gendarmes de la brigade des recherches (BR) de Saint-Girons et de la brigade territoriale de Sainte-Croix-Volvestre dans le drame de Fabas survenu le week-end dernier. À savoir que Derek Hawkins, presque centenaire, a tué son épouse Sheila, âgée de 85 ans, à l'aide de son arme de poing de calibre 22 long rifle avant de retourner l'arme contre lui.
Les corps de ces deux ressortissants britanniques, installés dans cette petite commune du Volvestre ariégeois depuis une trentaine d'années pour élever des teckels dans leur petite maison du lieu-dit «Clos de Bousquet», ont été découverts lundi matin par leur femme de ménage.
Les enquêteurs n'ont retrouvé aucun indice permettant de déterminer les raisons de ce drame.
L'action publique est donc désormais éteinte.
Foix >Les inscriptions «ZADistes» sur le tunnel de Foix en cours d'effacement. Hier après-midi, des agents de la direction interrégionale des routes sud-ouest (Dirso) étaient affairés à l'entrée sud du tunnel de Foix. Objectif de cette opération : effacer le tag peint en grandes lettres blanches dans la nuit de dimanche à lundi et proclamant «Calamès ZAD». L'association des Gardiens du Calamès, qui lutte contre l'extension de la carrière de Bédeilhac, avait indiqué qu'elle n'avait rien à voir avec cette inscription visant à faire de ce secteur de haute Ariège une «zone à défendre».
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/28/2000420-fabas-bien-eu-meurtre-suivi-suicide.html
Les corps de ces deux ressortissants britanniques, installés dans cette petite commune du Volvestre ariégeois depuis une trentaine d'années pour élever des teckels dans leur petite maison du lieu-dit «Clos de Bousquet», ont été découverts lundi matin par leur femme de ménage.
Les enquêteurs n'ont retrouvé aucun indice permettant de déterminer les raisons de ce drame.
L'action publique est donc désormais éteinte.
Foix >Les inscriptions «ZADistes» sur le tunnel de Foix en cours d'effacement. Hier après-midi, des agents de la direction interrégionale des routes sud-ouest (Dirso) étaient affairés à l'entrée sud du tunnel de Foix. Objectif de cette opération : effacer le tag peint en grandes lettres blanches dans la nuit de dimanche à lundi et proclamant «Calamès ZAD». L'association des Gardiens du Calamès, qui lutte contre l'extension de la carrière de Bédeilhac, avait indiqué qu'elle n'avait rien à voir avec cette inscription visant à faire de ce secteur de haute Ariège une «zone à défendre».
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/28/2000420-fabas-bien-eu-meurtre-suivi-suicide.html
jeudi 27 novembre 2014
Béarn : le chasseur n’aurait pas dû tirer
Difficile de dire si la balle a ricoché ou si elle a atteint directement la victime : gendarmes et chasseurs indiquent qu'elle n'a pas été retrouvée et n'a donc pas pu être examinée.
Voilà en tout cas un accident de chasse qui aurait pu très mal tourner. Le samedi 15 novembre, lors d'une battue aux sangliers sur la commune de Puyoô, un tir touche un chasseur de 57 ans dans le dos, avant de ressortir par l'abdomen, passant « à 1 centimètre de sa colonne vertébrale et 5 mm de son foie », selon Thierry Pignault, président de la société de chasse locale. Un véritable miraculé selon les médecins qui l'ont examiné.
« Le chasseur qui a tiré a commis une erreur, il le reconnaît », indique le responsable. « D'ailleurs il n'en a pas dormi pendant les nuits qui ont suivi l'accident. » L'homme en question, âgé de 77 ans « mais expérimenté et bon pied bon œil », précise Thierry Pignault, a fait feu dans un secteur interdit, « dans la traque », et non selon un angle de tir de 30° en arrière de la chasse, ainsi que le stipulent les consignes, rappelées ce jour-là comme avant chaque battue.
« Le sanglier était à environ 30 mètres : il a tiré une première fois, il l'a loupé, et au deuxième coup, c'est là que la balle aurait ricoché. » Et atteint un autre chasseur posté plus loin, qui a dû être évacué par hélicoptère vers l'hôpital de Pau, transpercé par la balle. Par miracle, l'accident ne lui a donc occasionné que des blessures légères.
Est-ce ce qui s'est passé à Puyoô ? L'auteur du coup de feu n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet. Et le chasseur blessé n'a pas non plus voulu témoigner.
Ce dernier n'a jusqu'ici pas porté plainte. Le permis de chasse du tireur a été provisoirement retiré en attendant d'éventuelles suites judiciaires.
http://www.sudouest.fr/2014/11/27/le-chasseur-n-aurait-pas-du-declencher-1749585-4360.php
Voilà en tout cas un accident de chasse qui aurait pu très mal tourner. Le samedi 15 novembre, lors d'une battue aux sangliers sur la commune de Puyoô, un tir touche un chasseur de 57 ans dans le dos, avant de ressortir par l'abdomen, passant « à 1 centimètre de sa colonne vertébrale et 5 mm de son foie », selon Thierry Pignault, président de la société de chasse locale. Un véritable miraculé selon les médecins qui l'ont examiné.
« Le chasseur qui a tiré a commis une erreur, il le reconnaît », indique le responsable. « D'ailleurs il n'en a pas dormi pendant les nuits qui ont suivi l'accident. » L'homme en question, âgé de 77 ans « mais expérimenté et bon pied bon œil », précise Thierry Pignault, a fait feu dans un secteur interdit, « dans la traque », et non selon un angle de tir de 30° en arrière de la chasse, ainsi que le stipulent les consignes, rappelées ce jour-là comme avant chaque battue.
« Le sanglier était à environ 30 mètres : il a tiré une première fois, il l'a loupé, et au deuxième coup, c'est là que la balle aurait ricoché. » Et atteint un autre chasseur posté plus loin, qui a dû être évacué par hélicoptère vers l'hôpital de Pau, transpercé par la balle. Par miracle, l'accident ne lui a donc occasionné que des blessures légères.
« L'effet tube » en cause ?
« Dans la chasse au sanglier, il existe ce que l'on appelle ‘‘l'effet tube''», explique Xavier Horgassan, de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. « Il arrive que les chasseurs, passionnés, se laissent absorber par la traque, ce qui peut conduire à une sorte d'aveuglement : on ne voit plus que la bête. Le champ visuel est réduit et vous ne tenez plus compte de l'environnement. »Est-ce ce qui s'est passé à Puyoô ? L'auteur du coup de feu n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet. Et le chasseur blessé n'a pas non plus voulu témoigner.
Ce dernier n'a jusqu'ici pas porté plainte. Le permis de chasse du tireur a été provisoirement retiré en attendant d'éventuelles suites judiciaires.
http://www.sudouest.fr/2014/11/27/le-chasseur-n-aurait-pas-du-declencher-1749585-4360.php
Meurtre d'Hèlène Pastor à Nice: vers une confrontation et une reconstitution
Une confrontation entre Wojciech Janowski et son coach sportif, Pascal Dauriac devrait se tenir très prochainement. Une confrontation qui pourrait se révéler capitale pour l'enquête sur le meurtre d'Hélène Pastor. Une reconstitution de la scène de crime serait également à l'ordre du jour.
Une confrontation s'annonçant comme potentiellement capitale devrait être organisée en fin d'année ou en début d'année prochaine entre Wojciech Janowski - commanditaire présumé des meurtres le 6 mai dernier à Nice de sa belle-mère Hélène Pastor et de Mohamed Darwich - et Pascal Dauriac, le coach sportif de l'ex-consul de Pologne à Monaco.
Le juge Christophe Perruault envisage une reconstitution du drame au printemps prochain selon Me Jean-Robert Nguyen Phong, l'avocat de Pascal Dauriac qui a été entendu dernièrement.
« Après avoir été entendu sur le fond, c'est sur les faits qu'il a été interrogé, et les faits sont têtus » assène le pénaliste. « Pascal Dauriac a maintenu sa version, il continue à tout assumer, même ce qui l'enfonce comme le fait d'avoir gardé une partie de l'argent »,poursuit l'avocat.
Wojciech Janowski devait être entendu aussi, mais la grève des avocats a entraîné le renvoi de cet interrogatoire à la mi décembre.
Six mois après l'assassinat d'Hélène Pastor, les positions des deux principaux protagonistes n'ont pas varié. Janowski continue à nier, tandis que son coach sportif l'accuse d'avoir commandité le double meurtre.
Quant à la date de l'examen par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de la requête en annulation de la garde à vue déposée par les avocats de l'ex-consul, Me Jean-Claude Giudicelli et le bâtonnier de Marseille Éric Campana, elle n'est toujours pas connue.
L'enjeu est colossal pour le dossier, car si la garde à vue est annulée, c'est aussi la mise en examen qui tombe.
http://www.nicematin.com/nice/meurtre-dhelene-pastor-a-nice-vers-une-confrontation-et-une-reconstitution.2001068.html
Une confrontation s'annonçant comme potentiellement capitale devrait être organisée en fin d'année ou en début d'année prochaine entre Wojciech Janowski - commanditaire présumé des meurtres le 6 mai dernier à Nice de sa belle-mère Hélène Pastor et de Mohamed Darwich - et Pascal Dauriac, le coach sportif de l'ex-consul de Pologne à Monaco.
Le juge Christophe Perruault envisage une reconstitution du drame au printemps prochain selon Me Jean-Robert Nguyen Phong, l'avocat de Pascal Dauriac qui a été entendu dernièrement.
« Après avoir été entendu sur le fond, c'est sur les faits qu'il a été interrogé, et les faits sont têtus » assène le pénaliste. « Pascal Dauriac a maintenu sa version, il continue à tout assumer, même ce qui l'enfonce comme le fait d'avoir gardé une partie de l'argent »,poursuit l'avocat.
Wojciech Janowski devait être entendu aussi, mais la grève des avocats a entraîné le renvoi de cet interrogatoire à la mi décembre.
Six mois après l'assassinat d'Hélène Pastor, les positions des deux principaux protagonistes n'ont pas varié. Janowski continue à nier, tandis que son coach sportif l'accuse d'avoir commandité le double meurtre.
Quant à la date de l'examen par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de la requête en annulation de la garde à vue déposée par les avocats de l'ex-consul, Me Jean-Claude Giudicelli et le bâtonnier de Marseille Éric Campana, elle n'est toujours pas connue.
L'enjeu est colossal pour le dossier, car si la garde à vue est annulée, c'est aussi la mise en examen qui tombe.
http://www.nicematin.com/nice/meurtre-dhelene-pastor-a-nice-vers-une-confrontation-et-une-reconstitution.2001068.html
Le chauffeur lituanien arrêté et condamné
Volés en Tarn-et-Garonne, le camion et son chargement ont pu être interceptés lors d'un contrôle routier à Labastide-Marnhac. Le chauffeur, un Lituanien de 37 ans, était aussitôt interpellé. L'individu qui appartiendrait à un réseau structuré a été condamné à 6 mois de prison.
S'il n'avait pas été intercepté par les gendarmes lotois à Labastide-Marnhac dimanche dernier, l'imposant truck Volvo roulerait peut-être aujourd'hui en direction d'un pays de l'Est avec tout son chargement subtilisé quarante-huit heures plus tôt.
Dimanche 23 novembre à 2 h 50, les gendarmes du peloton motorisé de Cahors opèrent un contrôle d'alcoolémie sur la commune lotoise. Un camion semi-remorque se présente. Très rapidement, les militaires se rendent compte du manque de connaissance technique du chauffeur, un Lituanien de 37 ans, sur la législation spécifique des transports. Puis plusieurs anomalies intriguent les gendarmes. Ces derniers constatent que la serrure de la porte de la cabine a été forcée, qu'un dispositif de fortune a permis le démarrage du tracteur. En poussant leurs investigations, les militaires découvrent que l'appareil de géolocalisation du camion a disparu et que les plaques d'immatriculation ont été changées. Le chauffeur est interpellé et placé en garde à vue.
Présenté devant le procureur de la République de Cahors lundi, le chauffeur a été jugé en comparution immédiate le lendemain et condamné à la peine de six mois de prison ferme. L'individu a été placé en détention à la maison d'arrêt de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/27/1999950-le-chauffeur-lituanien-arrete-et-condamne.html
S'il n'avait pas été intercepté par les gendarmes lotois à Labastide-Marnhac dimanche dernier, l'imposant truck Volvo roulerait peut-être aujourd'hui en direction d'un pays de l'Est avec tout son chargement subtilisé quarante-huit heures plus tôt.
Dimanche 23 novembre à 2 h 50, les gendarmes du peloton motorisé de Cahors opèrent un contrôle d'alcoolémie sur la commune lotoise. Un camion semi-remorque se présente. Très rapidement, les militaires se rendent compte du manque de connaissance technique du chauffeur, un Lituanien de 37 ans, sur la législation spécifique des transports. Puis plusieurs anomalies intriguent les gendarmes. Ces derniers constatent que la serrure de la porte de la cabine a été forcée, qu'un dispositif de fortune a permis le démarrage du tracteur. En poussant leurs investigations, les militaires découvrent que l'appareil de géolocalisation du camion a disparu et que les plaques d'immatriculation ont été changées. Le chauffeur est interpellé et placé en garde à vue.
Dérobé sur une base logistique en Tarn-et-Garonne
L'enquête va révéler que l'ensemble routier, chargé de produits laitiers (un chargement de yaourts), avait été volé à Labastide Saint-Pierre, en Tarn-et-Garonne, sur une base logistique et que l'instrument de géolocalisation et les plaques d'immatriculation avaient été abandonnés dans un conteneur à Caussade. Apparemment, l'ensemble routier devait rejoindre Mulhouse, en Alsace, avant de poursuivre vers une destination inconnue.Présenté devant le procureur de la République de Cahors lundi, le chauffeur a été jugé en comparution immédiate le lendemain et condamné à la peine de six mois de prison ferme. L'individu a été placé en détention à la maison d'arrêt de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/27/1999950-le-chauffeur-lituanien-arrete-et-condamne.html
Les chauffards de Tel Aviv jugés à Paris
Éric Robic, 40 ans, et Claude Khayat, 35 ans, doivent comparaître ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris. Le premier répond d'homicide involontaire, délit de fuite et non-assistance à personne en péril: il encourt 10 ans de prison et 150.000€ d'amende. Le second, pursuivi pour non-assistance, est passible de 5 ans de prison et 75.000€ d'amende.
Le 16 septembre 2011, les deux amis circulent à l'aube dans les rues de Tel Aviv. M. Robic pilote une surpuissante BMW X6 ; après une soirée animée, et arrosée, il est probablement ivre. M. Khayat est à ses côtés. Une jeune femme, Lee Zeitouni, traverse la rue sur un passage piétons: professeur de gymnastique, elle se dirige vers l'école où elle enseigne ce matin-là. Le choc est d'une violence inouïe: le conducteur reconnaîtra avoir entendu «un bruit horrible». Le corps de Lee Zeitouni est projeté à 12 mètres, disloqué. La voiture poursuit sa course sans s'arrêter. Ses deux passagers, de nationalité française, se ruent à l'aéroport Ben Gourion et regagnent Paris pour échapper aux rigueurs de la loi israélienne.
C'est en France qu'ils seront appréhendés, et c'est à Paris qu'ils seront jugés. L'affaire, qui avait immédiatement créé une très vive émotion en Israël, avait pris un tour diplomatique. Nicolas Sarkozy, alors chef de l'État, et son épouse, avaient fait part de leur émotion. De nombreuses écoutes téléphoniques semblent montrer que M. Robic - ce qu'il réfute - avait proposé 500.000€ à M. Khayat, assisté par Me Régis Meliodon, pour qu'il se fasse condamner à sa place. Quoi qu'il en soit, l'intéressé, défendu par Me Françoise Cotta, a admis avoir conduit la BMW au cours de son interrogatoire de première comparution.
Éric Robic et Claude Khayat sont, par ailleurs, mis en cause dans des affaires d'escroquerie, sans rapport avec ce dossier dramatique.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/11/27/01016-20141127ARTFIG00015-les-chauffards-de-tel-aviv-juges-a-paris.php
Le 16 septembre 2011, les deux amis circulent à l'aube dans les rues de Tel Aviv. M. Robic pilote une surpuissante BMW X6 ; après une soirée animée, et arrosée, il est probablement ivre. M. Khayat est à ses côtés. Une jeune femme, Lee Zeitouni, traverse la rue sur un passage piétons: professeur de gymnastique, elle se dirige vers l'école où elle enseigne ce matin-là. Le choc est d'une violence inouïe: le conducteur reconnaîtra avoir entendu «un bruit horrible». Le corps de Lee Zeitouni est projeté à 12 mètres, disloqué. La voiture poursuit sa course sans s'arrêter. Ses deux passagers, de nationalité française, se ruent à l'aéroport Ben Gourion et regagnent Paris pour échapper aux rigueurs de la loi israélienne.
C'est en France qu'ils seront appréhendés, et c'est à Paris qu'ils seront jugés. L'affaire, qui avait immédiatement créé une très vive émotion en Israël, avait pris un tour diplomatique. Nicolas Sarkozy, alors chef de l'État, et son épouse, avaient fait part de leur émotion. De nombreuses écoutes téléphoniques semblent montrer que M. Robic - ce qu'il réfute - avait proposé 500.000€ à M. Khayat, assisté par Me Régis Meliodon, pour qu'il se fasse condamner à sa place. Quoi qu'il en soit, l'intéressé, défendu par Me Françoise Cotta, a admis avoir conduit la BMW au cours de son interrogatoire de première comparution.
La fuite a rendu impossible les examens nécessaires
À noter que son hypothétique ébriété, voire sa consommation de drogue le soir des faits, n'est établie par aucune expertise, puisque la fuite a rendu impossible les examens nécessaires. Seuls des témoignages de personnes l'ayant croisé lors de ses pérégrinations nocturnes vont en ce sens. Il en va de même pour la vitesse apparemment excessive du 4x4, dans une zone où elle était limitée à 50 km/h: son chauffeur pense avoir roulé à 80 km/h, des passants estiment qu'il fonçait à 120 ou 130 km/h - mais aucun radar n'a flashé le véhicule ce matin-là.Éric Robic et Claude Khayat sont, par ailleurs, mis en cause dans des affaires d'escroquerie, sans rapport avec ce dossier dramatique.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/11/27/01016-20141127ARTFIG00015-les-chauffards-de-tel-aviv-juges-a-paris.php
mercredi 26 novembre 2014
Condé-sur-l'Escaut : un enfant retrouvé seul dans les rues à 6h du matin
Il est 6h15. Pas une heure pour traîner seul dans les rues de Condé-sur-l'Escaut. Encore moins quand on est en pyjama et qu'on a tout juste deux ans. Pourtant, un enfant âgé de deux-trois a bien été retrouvé seul à cette heure-là ce mercredi matin. « Il était en train de s’amuser avec un chien par un distributeur de prospectus, affirme le procureur de Valenciennes, François Pérain dans La Voix du Nord. Il est manifeste que cet enfant s’était soustrait à la surveillance de ses parents. » L'enfant, en pyjama rouge Spiderman, ne parlait pas, ne portait pas de traces de violences.
Très rapidement, les services de police se mettent à la recherche des parents de l'enfant. Ils placardent des avis de recherche chez les commerçants. Ils contactent la maison de la petite enfance... Mais l'enfant n'y est pas inscrit. Pendant ce temps, l'avis de recherche est diffusé sur les réseaux sociaux.
Finalement, vers midi, la maman de l'enfant s'est manifestée auprès du commissariat de Condé vers midi. Tout est bien qui finit bien ou presque...
« Une enquête a été ouverte pour vérifier les conditions d’éducation et la manière dont l’enfant est parti de son domicile », précise le procureur.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/26/conde-sur-l-escaut-un-enfant-retrouve-seul-dans-les-rues-6h-du-matin-600786.html
Très rapidement, les services de police se mettent à la recherche des parents de l'enfant. Ils placardent des avis de recherche chez les commerçants. Ils contactent la maison de la petite enfance... Mais l'enfant n'y est pas inscrit. Pendant ce temps, l'avis de recherche est diffusé sur les réseaux sociaux.
Finalement, vers midi, la maman de l'enfant s'est manifestée auprès du commissariat de Condé vers midi. Tout est bien qui finit bien ou presque...
« Une enquête a été ouverte pour vérifier les conditions d’éducation et la manière dont l’enfant est parti de son domicile », précise le procureur.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/26/conde-sur-l-escaut-un-enfant-retrouve-seul-dans-les-rues-6h-du-matin-600786.html
Ivre, un banquier licencié braque son ancienne agence
L'agence Banque populaire de la place Jeanne-d'Arc, dans le centre de Toulouse, a été victime hier après-midi d'un... simulacre de braquage. Peu après 14 heures, un homme est entré en brandissant une arme de poing et en clamant : "C'est un faux hold-up !" Les employés ont aussitôt reconnu un ancien collègue, licencié précédemment de l'entreprise. L'homme a fait le tour des guichets et est reparti sans rien prendre.
Une fois l'alerte donnée, l'ancien banquier a pu être rapidement repéré par des caméras de vidéosurveillance de la mairie. Les policiers de la Brigade anticriminalité l'ont arrêté vers 14h40 sur la place Wilson dans un état d'ébriété avancé. Son arme s'est révélée factice. L'homme a été placé en garde à vue. Il s'y trouvait encore ce matin.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/26/1999387-toulouse-le-banquier-licencie-braque-son-ancienne-agence.html
Une fois l'alerte donnée, l'ancien banquier a pu être rapidement repéré par des caméras de vidéosurveillance de la mairie. Les policiers de la Brigade anticriminalité l'ont arrêté vers 14h40 sur la place Wilson dans un état d'ébriété avancé. Son arme s'est révélée factice. L'homme a été placé en garde à vue. Il s'y trouvait encore ce matin.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/26/1999387-toulouse-le-banquier-licencie-braque-son-ancienne-agence.html
Roubaix: mis en joue par la police, par erreur
La police de Roubaix a perquisitionné hier par erreur une maison dans le cadre d'une intervention contre un trafic de drogue. Un adolescent a été par erreur interpellé par les agents dépêchés dans le quartier, rapporte La Voix du Nord.
« Il était 19 heures, notre fils de 17 ans était seul à la maison. Yann a entendu du bruit dehors et a regardé par la fenêtre. Il a vu des policiers en civil qui tentaient de casser la grille de la courée pour entrer. Il s'est tout de suite dit que les policiers venaient enfin nous débarrasser de nos dealers de voisins et il leur a proposé de leur ouvrir la grille » a déclaré le père de l'adolescent, cité par le journal. «Notre fils n'a pas eu le temps de dire un mot. Les policiers sont entrés en criant « à genoux, mains sur la tête. Il n'a pas eu la possibilité de parler».
Les policiers roubaisiens ont pointé une arme sur le front de l'adolescent. Au bout d'un certain temps, un des policiers aurait demandé : « Ici, c'est bien le 6/2 ? ». rapporte le père de famille, « mon fils a alors pu leur dire qu'ils s'étaient trompés d'adresse. Les policiers ont alors rapidement quitté le logement sans prendre la peine de s'excuser ni de fermer la porte.»
Une heure après les faits, Yann et son père se sont rendus au commissariat de Roubaix, poursuit La Voix du Nord, pour demander des explications et notamment exiger des excuses. « Les policiers qui nous ont reçus hier soir se sont moqués de notre fils. Ils l'ont accusé d'avoir pris de la drogue parce qu'il avait les yeux rouges. Et pour cause, il n'avait pas arrêté de pleurer. On nous a suggéré de déposer plainte sur Internet avant de nous mettre dehors, c'est inadmissible", tonne le père de Yann.
Les parents ont été reçus ce matin par le chef de la Sûreté urbaine de Roubaix qui leur a présenté des excuses pour l'erreur commise hier soir. Mais ils comptent néanmoins déposer plainte dans cette affaire. Les parents ont indiqué que leur fils n'allait pas «bien du tout» depuis cette histoire et qu'il irait voir «un pyschologue ».
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/25/97001-20141125FILWWW00331-roubaix-mis-en-joue-par-la-police-par-erreur.php
« Il était 19 heures, notre fils de 17 ans était seul à la maison. Yann a entendu du bruit dehors et a regardé par la fenêtre. Il a vu des policiers en civil qui tentaient de casser la grille de la courée pour entrer. Il s'est tout de suite dit que les policiers venaient enfin nous débarrasser de nos dealers de voisins et il leur a proposé de leur ouvrir la grille » a déclaré le père de l'adolescent, cité par le journal. «Notre fils n'a pas eu le temps de dire un mot. Les policiers sont entrés en criant « à genoux, mains sur la tête. Il n'a pas eu la possibilité de parler».
Les policiers roubaisiens ont pointé une arme sur le front de l'adolescent. Au bout d'un certain temps, un des policiers aurait demandé : « Ici, c'est bien le 6/2 ? ». rapporte le père de famille, « mon fils a alors pu leur dire qu'ils s'étaient trompés d'adresse. Les policiers ont alors rapidement quitté le logement sans prendre la peine de s'excuser ni de fermer la porte.»
Une heure après les faits, Yann et son père se sont rendus au commissariat de Roubaix, poursuit La Voix du Nord, pour demander des explications et notamment exiger des excuses. « Les policiers qui nous ont reçus hier soir se sont moqués de notre fils. Ils l'ont accusé d'avoir pris de la drogue parce qu'il avait les yeux rouges. Et pour cause, il n'avait pas arrêté de pleurer. On nous a suggéré de déposer plainte sur Internet avant de nous mettre dehors, c'est inadmissible", tonne le père de Yann.
Les parents ont été reçus ce matin par le chef de la Sûreté urbaine de Roubaix qui leur a présenté des excuses pour l'erreur commise hier soir. Mais ils comptent néanmoins déposer plainte dans cette affaire. Les parents ont indiqué que leur fils n'allait pas «bien du tout» depuis cette histoire et qu'il irait voir «un pyschologue ».
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/25/97001-20141125FILWWW00331-roubaix-mis-en-joue-par-la-police-par-erreur.php
Jarnac : Une camionnette prend feu sur la RN 141
Ce mardi matin, vers 8h20, un feu s'est déclaré dans le bloc moteur d'une camionnette appartenant à un jardinier paysagiste, alors qu'il circulait sur la RN 141, dans le sens Angoulême-Cognac. L'incendie s'est propagé à l'ensemble du véhicule.
Le conducteur, indemne, s'est arrêté sur le bas côté, au niveau de la sortie Jarnac Ouest. La circulation a été réduite à une seule voie.
http://www.sudouest.fr/2014/11/25/jarnac-une-camionnette-prend-feu-sur-la-rn-141-1747603-937.php
http://www.sudouest.fr/2014/11/25/jarnac-une-camionnette-prend-feu-sur-la-rn-141-1747603-937.php
Doubs : à Roches-lès-Blamont , l’octogénaire défend son coffre-fort
EN PLEINE NUIT, être violemment tiré de son sommeil et de son lit par deux hommes aux intentions belliqueuses est, à tout le moins, traumatisant.
deux intrus ont forcé la porte du pavillon à Roches-lès-Blamont, jeudi vers 2 h du matin. La visite n’a rien de courtoise. Le duo est armé d’un fusil. Il en veut à l’argent de l’octogénaire.
Sous la menace, les deux garçons exigent, que le vieil homme leur ouvre son coffre-fort. Comme il refuse, il essuie une volée de coups. Notamment à la tête. La résistance de la victime, ancien gérant d’une boîte de nuit dans le pays de Montbéliard, a eu raison de la détermination des deux malfrats, qui finissent par tourner les talons les mains vides. Sans se soucier davantage de l’état de santé de la personne âgée violentée, d’autant plus vulnérable en raison de son grand âge. L’octogénaire parvient à alerter par téléphone sa fille, qui se porte immédiatement à son secours et avise la gendarmerie de Blamont. Sérieusement blessé, le vieil homme a été hospitalisé. Il est d’ailleurs toujours en cours de soin.
Et côté agresseurs présumés ? Il se trouve que dans les heures suivant l’agression à Roches, un garçon se présente à la brigade de Blamont. Il prétend avoir été victime de violences perpétrées par des hommes qui l’auraient forcé à braquer un homme âgé de Roches-lès-Blamont. L’histoire servie est tellement bancale, que les gendarmes de Blamont et leurs collègues de la brigade des recherches chargés de l’enquête vont cuisiner la prétendue victime jusqu’à ce qu’elle passe aux aveux. L’homme a bien participé à l’équipée sauvage. De son plein gré. Déféré samedi soir devant le juge d’instruction puis le juge des libertés et de la détention, il a été placé sous mandat de dépôt. Son acolyte a été intercepté à la sortie de son domicile lundi soir. Il sera présenté aujourd’hui à la justice. Les deux garçons sont âgés d’une vingtaine d’années, résident à Mathay pour l’un, Blamont pour le second et ne traînent pas derrière eux des casiers lourds comme des boulets. Juste, avaient-ils entendu dire sur le plateau de Blamont que la victime conservait de l’argent à son domicile. Il n’en a pas fallu davantage pour qu’ils prennent les armes et le chemin de l’agression.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/11/25/l-octogenaire-defend-son-coffre-fort
deux intrus ont forcé la porte du pavillon à Roches-lès-Blamont, jeudi vers 2 h du matin. La visite n’a rien de courtoise. Le duo est armé d’un fusil. Il en veut à l’argent de l’octogénaire.
Sous la menace, les deux garçons exigent, que le vieil homme leur ouvre son coffre-fort. Comme il refuse, il essuie une volée de coups. Notamment à la tête. La résistance de la victime, ancien gérant d’une boîte de nuit dans le pays de Montbéliard, a eu raison de la détermination des deux malfrats, qui finissent par tourner les talons les mains vides. Sans se soucier davantage de l’état de santé de la personne âgée violentée, d’autant plus vulnérable en raison de son grand âge. L’octogénaire parvient à alerter par téléphone sa fille, qui se porte immédiatement à son secours et avise la gendarmerie de Blamont. Sérieusement blessé, le vieil homme a été hospitalisé. Il est d’ailleurs toujours en cours de soin.
Et côté agresseurs présumés ? Il se trouve que dans les heures suivant l’agression à Roches, un garçon se présente à la brigade de Blamont. Il prétend avoir été victime de violences perpétrées par des hommes qui l’auraient forcé à braquer un homme âgé de Roches-lès-Blamont. L’histoire servie est tellement bancale, que les gendarmes de Blamont et leurs collègues de la brigade des recherches chargés de l’enquête vont cuisiner la prétendue victime jusqu’à ce qu’elle passe aux aveux. L’homme a bien participé à l’équipée sauvage. De son plein gré. Déféré samedi soir devant le juge d’instruction puis le juge des libertés et de la détention, il a été placé sous mandat de dépôt. Son acolyte a été intercepté à la sortie de son domicile lundi soir. Il sera présenté aujourd’hui à la justice. Les deux garçons sont âgés d’une vingtaine d’années, résident à Mathay pour l’un, Blamont pour le second et ne traînent pas derrière eux des casiers lourds comme des boulets. Juste, avaient-ils entendu dire sur le plateau de Blamont que la victime conservait de l’argent à son domicile. Il n’en a pas fallu davantage pour qu’ils prennent les armes et le chemin de l’agression.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/11/25/l-octogenaire-defend-son-coffre-fort
mardi 25 novembre 2014
Drame familial dans l'Essonne
Un homme d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort aujourd'hui à son domicile de Massy (Essonne), à la suite d'un probable drame familial, a-t-on appris de source policière.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme aurait été abattu par son père, âgé de 77 ans, dans le jardin familial. Le tireur présumé aurait ensuite tenté de mettre fin à ses jours avec la même arme, un fusil ou une arme de poing. Il a été transporté dans un état critique dans un hôpital parisien, a précisé la source policière.
L'enquête a été confiée au commissariat de Massy
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/25/97001-20141125FILWWW00298-drame-familial-dans-l-essonne.php
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme aurait été abattu par son père, âgé de 77 ans, dans le jardin familial. Le tireur présumé aurait ensuite tenté de mettre fin à ses jours avec la même arme, un fusil ou une arme de poing. Il a été transporté dans un état critique dans un hôpital parisien, a précisé la source policière.
L'enquête a été confiée au commissariat de Massy
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/25/97001-20141125FILWWW00298-drame-familial-dans-l-essonne.php
En Isère, la gendarmerie tente toujours d'identifier le corps retrouvé à Salaise-sur-Sanne
Lundi 17 novembre, le cadavre d'un homme a été retrouvé décapité sur la ligne Lyon-Marseille. A première vue, la SNCF avait pensé à un nouvel "accident de personne", autrement dit un suicide.
Suite aux résultats d'autopsie, la thèse du suicide avait été de nouveau privilégiée, mais il restait aux enquêteurs l'identification. Mais le mystère demeure toujours entier concernant l'identité de l'homme retrouvé.
Dans un premier temps, les enquêteurs ont dû travailler à partir des signalements de disparitions dans la région, puis ailleurs, en vain.
La brigade de gendarmerie de Roussillon, en charge de l'enquête, lance donc un appel à témoins pour tenter d'identifier l'homme correspondant au portrait-robot réalisé à partir du cadavre.
Il serait âgé de 40 à 50 ans environ, pèserait entre 55 et 60 kilos et mesure 1,65 mètre. Il a les cheveux noirs ou bruns foncés et présente une calvitie sur le haut du crâne.
Lors de sa découverte, l'homme était vêtu d'un jean noir, d'un pull kaki, d'un tee-shirt gris et de chaussures montantes marron. Il portait également une casquette avec l'inscription "girl" dessus.é=
Toute personne susceptible d'identifier l'homme correspondant au portrait robot ci-dessus est priée de contacter la brigade de gendarmerie de Roussilon au 04.74.86.20.17.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/11/25/en-isere-la-gendarmerie-tente-toujours-d-identifier-le-corps-retrouve-salaise-sur-sanne-599572.html
Suite aux résultats d'autopsie, la thèse du suicide avait été de nouveau privilégiée, mais il restait aux enquêteurs l'identification. Mais le mystère demeure toujours entier concernant l'identité de l'homme retrouvé.
Dans un premier temps, les enquêteurs ont dû travailler à partir des signalements de disparitions dans la région, puis ailleurs, en vain.
La brigade de gendarmerie de Roussillon, en charge de l'enquête, lance donc un appel à témoins pour tenter d'identifier l'homme correspondant au portrait-robot réalisé à partir du cadavre.
Il serait âgé de 40 à 50 ans environ, pèserait entre 55 et 60 kilos et mesure 1,65 mètre. Il a les cheveux noirs ou bruns foncés et présente une calvitie sur le haut du crâne.
Lors de sa découverte, l'homme était vêtu d'un jean noir, d'un pull kaki, d'un tee-shirt gris et de chaussures montantes marron. Il portait également une casquette avec l'inscription "girl" dessus.é=
Toute personne susceptible d'identifier l'homme correspondant au portrait robot ci-dessus est priée de contacter la brigade de gendarmerie de Roussilon au 04.74.86.20.17.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/11/25/en-isere-la-gendarmerie-tente-toujours-d-identifier-le-corps-retrouve-salaise-sur-sanne-599572.html
Sarlat (24) : agressée, elle a eu le visage lacéré
Mercredi dernier, vers minuit, une Sarladaise de 40 ans sortait d'un bar de Sarlat (24) lorsqu'elle a croisé, dans la rue de la République, deux jeunes hommes qui lui ont fait une réflexion.
Comme elle a répondu, elle a été plaquée contre une voiture et s'est faite lacérer la joue avec un objet pointu.
Ses blessures n'ont pas entraîné d'incapacité temporaire de travail. Elle a porté plainte le lendemain et les deux hommes sont depuis recherchés par la gendarmerie pour violence en réunion avec arme
http://www.sudouest.fr/2014/11/25/sarlat-24-agressee-elle-a-eu-le-visage-lacere-1747459-2147.php
Ses blessures n'ont pas entraîné d'incapacité temporaire de travail. Elle a porté plainte le lendemain et les deux hommes sont depuis recherchés par la gendarmerie pour violence en réunion avec arme
http://www.sudouest.fr/2014/11/25/sarlat-24-agressee-elle-a-eu-le-visage-lacere-1747459-2147.php
Violente collision sur la RN 112 : une personne désincarcérée
Une violente collision s'est produite hier entre Mazamet et Labruguière sur la RN 112, au lieu-dit Cap-au-vent. Il était à peine plus de 14 heures lorsque l'accident a eu lieu. Le conducteur de l'un des deux véhicules impliqués en a perdu le contrôle au niveau de la scierie, à un endroit où la route dessine un «S».
Malgré une tentative désespérée pour récupérer la maîtrise de sa voiture, attestée par d'épaisses traces de freinage tant sur le bitume de la route que sur la terre la bordant, le pilote a percuté un véhicule arrivant en sens inverse. Sous la violence du choc, la Volskwagen conduite par un homme âgé de 42 ans a fini sa course dans le fossé après avoir percuté une butte de terre. L'autre voiture, une Renault Clio conduite par une septuagénaire, est allée finir sa course sur le côté opposé de la départementale, au fond d'un fossé... et sur le toit !
Pour la dégager d'une fort mauvaise posture, les sapeurs-pompiers ont dû désincarcérer la victime en découpant les montants du toit de la Renault. Durant l'intervention des secours, les gendarmes de la brigade de Labruguière ont dû quant à eux interrompre la circulation dans les deux sens. Cette opération a provoqué d'importantes perturbations à la circulation sur un axe où roulent, notamment, un grand nombre de poids lourds. La fermeture de la route à toutes circulations a duré près d'une heure trente.
Les deux victimes ont été admises au centre hospitalier Pays d'Autan... d'où elles ont pu ressortir en fin de journée. Un accident spectaculaire donc, mais, heureusement, plus de peur que de mal.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/25/1998457-violente-collision-une-personne-desincarceree.html
Malgré une tentative désespérée pour récupérer la maîtrise de sa voiture, attestée par d'épaisses traces de freinage tant sur le bitume de la route que sur la terre la bordant, le pilote a percuté un véhicule arrivant en sens inverse. Sous la violence du choc, la Volskwagen conduite par un homme âgé de 42 ans a fini sa course dans le fossé après avoir percuté une butte de terre. L'autre voiture, une Renault Clio conduite par une septuagénaire, est allée finir sa course sur le côté opposé de la départementale, au fond d'un fossé... et sur le toit !
Pour la dégager d'une fort mauvaise posture, les sapeurs-pompiers ont dû désincarcérer la victime en découpant les montants du toit de la Renault. Durant l'intervention des secours, les gendarmes de la brigade de Labruguière ont dû quant à eux interrompre la circulation dans les deux sens. Cette opération a provoqué d'importantes perturbations à la circulation sur un axe où roulent, notamment, un grand nombre de poids lourds. La fermeture de la route à toutes circulations a duré près d'une heure trente.
Les deux victimes ont été admises au centre hospitalier Pays d'Autan... d'où elles ont pu ressortir en fin de journée. Un accident spectaculaire donc, mais, heureusement, plus de peur que de mal.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/25/1998457-violente-collision-une-personne-desincarceree.html
Deux individus armés vident le coffre de La Poste
À l'heure de la fermeture, vendredi, les employés du bureau de Poste de Colomiers, rue Gilet ont eu la désagréable surprise de voir débarquer deux individus. Encagoulés, portant des gants, les braqueurs ont menacé les employés présents avec une arme. Les deux individus qui ont attendu que les locaux soient fermés au public, ont obligé le personnel à leur ouvrir le coffre de l'agence. À l'intérieur, ils ont récupéré plusieurs milliers d'euros.
Cette somme importante ne leur a pas suffi et le duo, bien renseigné, a voulu attendre l'ouverture du coffre du distributeur bancaire du bureau de Poste. Une opération qui, par mesure de sécurité, nécessite du temps entre la demande d'ouverture et le moment où l'accès aux billets est possible. «Il semble que faute du temps, les deux individus ont préféré partir», indique un policier.
Les deux braqueurs ont en effet quitté le bureau de Poste avant de pouvoir accéder au distributeur. Ils ont enfermé les trois employés présents dans les toilettes et pris la fuite, sans doute par l'arrière du bâtiment. Et ils ont accédé aux locaux sans doute par le même chemin en forçant l'accès. Les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme ont été chargés de l'enquête par le parquet. Ces policiers du service régional de police judiciaire devraient rapidement se rapprocher des gendarmes de la brigade des recherches de Toulouse-Saint-Michel. Eux enquêtent depuis le 4 novembre sur le braquage du bureau de Poste d'Aucamville. Un vol à main armé qui avait été commis le matin par deux individus, eux aussi entrés par effraction et en l'absence de client.
http://www.ladepeche.fr/
Cette somme importante ne leur a pas suffi et le duo, bien renseigné, a voulu attendre l'ouverture du coffre du distributeur bancaire du bureau de Poste. Une opération qui, par mesure de sécurité, nécessite du temps entre la demande d'ouverture et le moment où l'accès aux billets est possible. «Il semble que faute du temps, les deux individus ont préféré partir», indique un policier.
Les deux braqueurs ont en effet quitté le bureau de Poste avant de pouvoir accéder au distributeur. Ils ont enfermé les trois employés présents dans les toilettes et pris la fuite, sans doute par l'arrière du bâtiment. Et ils ont accédé aux locaux sans doute par le même chemin en forçant l'accès. Les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme ont été chargés de l'enquête par le parquet. Ces policiers du service régional de police judiciaire devraient rapidement se rapprocher des gendarmes de la brigade des recherches de Toulouse-Saint-Michel. Eux enquêtent depuis le 4 novembre sur le braquage du bureau de Poste d'Aucamville. Un vol à main armé qui avait été commis le matin par deux individus, eux aussi entrés par effraction et en l'absence de client.
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lundi 24 novembre 2014
Lyon : une adolescente renversée par une moto
L’accident s’est produit, ce lundi vers 14h30, dans le 8e arrondissement lyonnais, à l’angle du boulevard des Etats-Unis et de l’avenue Viviani.
Dans des circonstances encore floues, une moto de grosse cylindrée a percuté une adolescente de 12 ans qui traversait la route. Le motard et la jeune fille ont été grièvement blessés et transportés à l’hôpital. Une enquête est en cours.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/24/lyon-une-adolescente-renversee-par-une-moto
Dans des circonstances encore floues, une moto de grosse cylindrée a percuté une adolescente de 12 ans qui traversait la route. Le motard et la jeune fille ont été grièvement blessés et transportés à l’hôpital. Une enquête est en cours.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/24/lyon-une-adolescente-renversee-par-une-moto
Un réseau de machines à sous démantelé dans les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse
Treize tenanciers de bars et deux autres personnes ont été interpellés mardi lors d'une vaste opération dans le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône. 24 machines à sous illicites ont été saisies. Les deux organisateurs présumés de ce réseau ont été mis en examen et écroués
Un réseau de machines à sous et de jeux tactiles illicites a été démantelé dans les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Lors d'une vaste opération de police mardi,"une quinzaine de personnes, dont 13 tenanciers de débits de boissons", ont été interpellés et "24 machines ou jeux tactiles illicites" ont été saisis, explique, dans un communiqué la procureure d'Aix-en-Provence Dominique Moyal. 5.500 euros en numéraire, un compte bancaire, trois véhicules
automobiles, 14 fusils de chasse, un pistolet 6.35 ont également été saisis.
ajoute-t-il, sans précision sur le montant.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/11/24/un-reseau-de-machines-sous-demantele-dans-les-bouches-du-rhone-et-le-vaucluse-598926.html
Un réseau de machines à sous et de jeux tactiles illicites a été démantelé dans les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Lors d'une vaste opération de police mardi,"une quinzaine de personnes, dont 13 tenanciers de débits de boissons", ont été interpellés et "24 machines ou jeux tactiles illicites" ont été saisis, explique, dans un communiqué la procureure d'Aix-en-Provence Dominique Moyal. 5.500 euros en numéraire, un compte bancaire, trois véhicules
automobiles, 14 fusils de chasse, un pistolet 6.35 ont également été saisis.
Des jeux illicites placés dans les bars
C'est lors d'une opération liée à un trafic de stupéfiants que les gendarmes de la section de recherche ont découvert "des jeux illicites dans un bar de Châteaurenard (Bouches-du-Rhône)". "Les investigations menées dans le cadre de l'enquête préliminaire puis sur commission rogatoire révèlent qu'un gérant de société et un associé ont placé de nombreux jeux illicites (machines bingos et jeux tactiles) dans des bars des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse" précise le parquet.Cette activité illicite qui perdure depuis plusieurs années génère des bénéfices conséquents"
ajoute-t-il, sans précision sur le montant.
Deux mises en examen
Les deux organisateurs présumés de ce réseau ont été présentés au juge d'instruction le 20 novembre, mis en examen pour infraction à la législation sur les jeux en bande organisée, association de malfaiteurs et blanchiment en bande organisée, puis placés sous mandat de dépôt.http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/11/24/un-reseau-de-machines-sous-demantele-dans-les-bouches-du-rhone-et-le-vaucluse-598926.html
Bordeaux : ils refusent de payer et se retrouvent en garde à vue
Trois jeunes, deux Bergeracois de 20 ans et un Mérignacais de 18 ans, ont été interpellés vendredi soir quai de la Douane. Ils étaient partis d'un bar sans régler leurs consommations. Pire, refusant de payer, ils avaient proféré des menaces et l'un d'eux avait tenté de porter un coup de « lame ».
Dans leur fuite alcoolisée, ils avaient dérobé une pelle dans un parking. Placés en garde à vue, deux ont bénéficié d'un rappel à la loi. Le plus virulent est convoqué en justice.
http://www.sudouest.fr/2014/11/24/bordeaux-ils-refusent-de-payer-et-se-retrouvent-en-garde-a-vue-1746245-2780.php
http://www.sudouest.fr/2014/11/24/bordeaux-ils-refusent-de-payer-et-se-retrouvent-en-garde-a-vue-1746245-2780.php
Un facteur condamné pour des vols de lettres
Un facteur a été condamné à six mois de prison, dont trois avec sursis, pour avoir volé près de 1000 lettres et paquets à Denain (Nord) afin de dérober d'hypothétiques objets de valeur, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet de Valenciennes.
Interpellé et placé en garde à vue mercredi, le facteur âgé de 46 ans a indiqué aux enquêteurs "qu'il avait commencé à détourner le courrier qui lui était confié aux fins de distribution depuis deux années", selon le procureur de Valenciennes, François Pérain.
Une perquisition à son domicile a permis de découvrir un millier d'enveloppes correspondant au butin de ces huit derniers mois. Il prenait soin de ne pas dérober les chèques pour éviter d'être identifié. Le facteur a été présenté au parquet vendredi, dans le cadre d'une procédure dite de CRPC (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité). Les courriers retrouvés ont été restitués à La Poste pour qu'ils soient remis à leurs destinataires.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/24/97001-20141124FILWWW00103-nord-un-facteur-condamne-a-6-mois-de-prison.php
Interpellé et placé en garde à vue mercredi, le facteur âgé de 46 ans a indiqué aux enquêteurs "qu'il avait commencé à détourner le courrier qui lui était confié aux fins de distribution depuis deux années", selon le procureur de Valenciennes, François Pérain.
Une perquisition à son domicile a permis de découvrir un millier d'enveloppes correspondant au butin de ces huit derniers mois. Il prenait soin de ne pas dérober les chèques pour éviter d'être identifié. Le facteur a été présenté au parquet vendredi, dans le cadre d'une procédure dite de CRPC (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité). Les courriers retrouvés ont été restitués à La Poste pour qu'ils soient remis à leurs destinataires.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/24/97001-20141124FILWWW00103-nord-un-facteur-condamne-a-6-mois-de-prison.php
Le rappel à l'ordre du Commerce tourne mal : un gendarme frappé
Décidément, la discipline et le respect des horaires légaux ne sont pas le fort des cafetiers limouxins ces derniers temps. Après que deux établissements eurent été administrativement sanctionnés la semaine dernière, les gendarmes sont intervenus hier, vers 2 h 30, après que des riverains excédés eurent signalé du tapage et une activité commerciale «en dehors des clous». Les militaires se sont donc rendus place de la République pour rappeler à l'ordre le patron du café du Commerce. Les gendarmes ont été «plutôt mal accueillis» par le tenancier du bar qui a toutefois obtempéré et fermé. C'est sur la place que les choses ont dégénéré quand le peloton de surveillance et d'intervention a été pris à partie par une dizaine de jeunes. Les insultes ont fusé en direction des militaires qui étaient au nombre de cinq, dont trois gendarmes auxiliaires volontaires.
Les forces de l'ordre, pour éviter que la situation ne dégénère plus encore, ont préféré lever le camp. Mais dès hier matin, deux sur trois auteurs identifiés dans cette agression ont été interpellés et placés en garde à vue. Le troisième s'est présenté spontanément à la communauté de brigades et a été, également, placé en garde à vue. Tous sont déjà connus de la justice et de la gendarmerie. Par ailleurs, suite à cet incident, le Commerce pourrait subir le même sort que deux autres établissements et devoir baisser le rideau pendant quelques jours. La sous-préfecture envisage une décision en ce sens.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/24/1997457-rappel-ordre-commerce-tourne-mal-gendarme-frappe.html
Trois auteurs identifiés
L'un des militaires, en raison de ses «origines», a été particulièrement pris pour cible. Des menaces de mort ont été proférées à son encontre, il a été traité de traître, puis frappé par l'un des belligérants qui lui a infligé un violent coup de tête.Les forces de l'ordre, pour éviter que la situation ne dégénère plus encore, ont préféré lever le camp. Mais dès hier matin, deux sur trois auteurs identifiés dans cette agression ont été interpellés et placés en garde à vue. Le troisième s'est présenté spontanément à la communauté de brigades et a été, également, placé en garde à vue. Tous sont déjà connus de la justice et de la gendarmerie. Par ailleurs, suite à cet incident, le Commerce pourrait subir le même sort que deux autres établissements et devoir baisser le rideau pendant quelques jours. La sous-préfecture envisage une décision en ce sens.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/24/1997457-rappel-ordre-commerce-tourne-mal-gendarme-frappe.html
dimanche 23 novembre 2014
Le père de la fillette tombée dans la Garonne sera déferré devant le juge d'instruction
Le père de la petite Yumi de 21 mois, tombée dans la Garonne vendredi soir alors qu'elle était sous la garde de son père, sera déferré devant un juge d'instruction dans l'après-midi dans le cadre d'une information judiciaire pour homicide volontaire
Les enquêteurs avaient décidé de prolonger de 24 heures la garde à vue du père d'une fillette de 21 mois, qui affirme que son enfant est tombée dans la Garonne dans le centre de Bordeaux vendredi soir. Des enquêteurs qui semblent de moins en moins croire à l'homicide involontaire
De son côté, la mère n'avait pas revue sa fille depuis le mois d'août. Aujourd'hui elle est très choquée et devrait déposer plainte.
Alors qu'on n'a toujours pas retrouvé de corps, elle espérait peut-être encore une mise en scène orchestrée par son ancien compagnon peut-être inspirée par le faits divers du 11 novembre dernier : un homme s'était accusé d'avoir jeté son bébé dans la Garonne. Il faut dire qu'il n'y a pas de témoins directs capables de dire si l'homme était avec sa fillette, mais des passants ont rapportés l'avoir entendus téléphoner aux secours et à son ex-femme
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/11/23/le-pere-de-la-fillette-tombee-dans-la-garonne-sera-deferre-devant-le-juge-d-instruction-598236.html
Les enquêteurs avaient décidé de prolonger de 24 heures la garde à vue du père d'une fillette de 21 mois, qui affirme que son enfant est tombée dans la Garonne dans le centre de Bordeaux vendredi soir. Des enquêteurs qui semblent de moins en moins croire à l'homicide involontaire
Une séparation difficile
D'après nos confrères de Sud-ouest, l'homme vivait difficilement la séparation avec la mère de l'enfant installée à La Rochelle depuis le mois d'août. Il s'occupait seul de sa fille à laquelle il semblait très attaché.De son côté, la mère n'avait pas revue sa fille depuis le mois d'août. Aujourd'hui elle est très choquée et devrait déposer plainte.
Alors qu'on n'a toujours pas retrouvé de corps, elle espérait peut-être encore une mise en scène orchestrée par son ancien compagnon peut-être inspirée par le faits divers du 11 novembre dernier : un homme s'était accusé d'avoir jeté son bébé dans la Garonne. Il faut dire qu'il n'y a pas de témoins directs capables de dire si l'homme était avec sa fillette, mais des passants ont rapportés l'avoir entendus téléphoner aux secours et à son ex-femme
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/11/23/le-pere-de-la-fillette-tombee-dans-la-garonne-sera-deferre-devant-le-juge-d-instruction-598236.html
Le corps d'une femme échoué sur la plage de la Vieille Nouvelle
Une promeneuse a fait une macabre découverte ce matin très tôt sur la plage de la Vieille Nouvelle : un corps échoué sur le sable.
Elle a aussitôt donné l'alerte. Le corps, ayant visiblement séjourné dans l'eau depuis plusieurs jours, était dans un état de décomposition avancé, et il fut délicat de distinguer qu'il s'agissait d'une femme.
On ne connaît pas encore son âge. Seuls éléments : elle était habillée et entière. Une précision utile, alors que des rumeurs couraient déjà dans la ville faisant état d'un corps sans tête...
Le procureur s'est rendu surplace, rejoignant le médecin légiste, les gendarmes et les techniciens d'investigation criminelles.
L'identification de la malheureuse pourrait être longue, dans la mesure où le vent marin pousse le courant vers la plage depuis plusieurs jours. S'agit-il d'une femme disparue en mer depuis une embarcation ? La gendarmerie recherche dans le fichier national des personnes disparues.
http://www.lindependant.fr/2014/11/23/le-corps-d-une-femme-echoue-sur-la-plage-de-la-vieille-nouvelle,1959087.php
Elle a aussitôt donné l'alerte. Le corps, ayant visiblement séjourné dans l'eau depuis plusieurs jours, était dans un état de décomposition avancé, et il fut délicat de distinguer qu'il s'agissait d'une femme.
On ne connaît pas encore son âge. Seuls éléments : elle était habillée et entière. Une précision utile, alors que des rumeurs couraient déjà dans la ville faisant état d'un corps sans tête...
Le procureur s'est rendu surplace, rejoignant le médecin légiste, les gendarmes et les techniciens d'investigation criminelles.
L'identification de la malheureuse pourrait être longue, dans la mesure où le vent marin pousse le courant vers la plage depuis plusieurs jours. S'agit-il d'une femme disparue en mer depuis une embarcation ? La gendarmerie recherche dans le fichier national des personnes disparues.
http://www.lindependant.fr/2014/11/23/le-corps-d-une-femme-echoue-sur-la-plage-de-la-vieille-nouvelle,1959087.php
Jeune homme tombé dans la Garonne : recherches infructueuses
Les plongeurs des sapeurs-pompiers ont de nouveau sondé les eaux de la Garonne, entre 14 heures et 16 h 30 hier, pour tenter de retrouver un jeune homme qui était tombé à l'eau vendredi soir à proximité de la place Saint-Pierre. En vain. Les recherches, menées sur réquisition de la justice, se sont de nouveau révélées infructueuses. La victime, âgée de 22 ans, avait chuté dans la Garonne vers 18 h 30 vendredi. Un autre jeune homme, vraisemblablement de sa connaissance, avait à son tour sauté pour tenter de le secourir. Le second avait pu être récupéré par les secours dès vendredi soir sous une pile du pont Saint-Pierre. Il avait été admis à l'hôpital Purpan, mais son état de santé n'était pas préoccupant. La première victime avait en revanche été portée disparue. L'échec des nouvelles recherches et la température du fleuve laissent désormais aux sauveteurs peu d'espoir de le retrouver en vie.
Manifestation >Un journaliste de Radio-Canada blessé. Un journaliste français, qui couvrait la manifestation interdite d'hier après-midi à Toulouse pour le média d'outre-Manche Radio-Canada, a dû être évacué vers le CHU de Purpan. Cet homme de 51 ans a chuté lors d'un mouvement de foule, respiré des gaz lacrymogènes et perdu connaissance. Son état de santé n'était néanmoins pas préoccupant.
Montbrun-Lauragais >Coincé dans un château. En milieu de journée hier, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour délivrer un promeneur coincé dans un château fort situé sur la commune de Montbrun-Lauragais. L'homme s'était aventuré avec un ami dans la fortification en ruine et avait commencé à gravir les marches d'un vieil escalier. Mais arrivé au troisième étage, il a éprouvé des craintes pour redescendre et a appelé les pompiers. Ceux-ci se sont assurés que le passage était sûr et l'ont aidé à redescendre en toute sécurité
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/23/1997161-jeune-homme-tombe-dans-la-garonne-recherches-infructueuses.html
Et aussi...
Agression >Entendu pour un coup de couteau mortel. Un jeune homme de 22 ans était toujours en garde à vue hier après la rixe qui a coûté la vie à un autre homme, vendredi, devant une mosquée de la Reynerie. Il devrait être présenté aujourd'hui devant un juge d'instruction. L'altercation s'est produite vendredi en début d'après-midi entre deux jeunes hommes. Le mis en cause aurait sorti un couteau, blessant son adversaire au bras. Selon des témoins, un troisième homme a alors tenté de s'interposer. Mortellement blessé, il est décédé quelques minutes plus tard, malgré les efforts des secours pour le ranimer. L'agresseur présumé, qui aurait contesté auprès de proches avoir eu la volonté de tuer, a été arrêté sur les lieux et aussitôt placé en garde à vue.Manifestation >Un journaliste de Radio-Canada blessé. Un journaliste français, qui couvrait la manifestation interdite d'hier après-midi à Toulouse pour le média d'outre-Manche Radio-Canada, a dû être évacué vers le CHU de Purpan. Cet homme de 51 ans a chuté lors d'un mouvement de foule, respiré des gaz lacrymogènes et perdu connaissance. Son état de santé n'était néanmoins pas préoccupant.
Montbrun-Lauragais >Coincé dans un château. En milieu de journée hier, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour délivrer un promeneur coincé dans un château fort situé sur la commune de Montbrun-Lauragais. L'homme s'était aventuré avec un ami dans la fortification en ruine et avait commencé à gravir les marches d'un vieil escalier. Mais arrivé au troisième étage, il a éprouvé des craintes pour redescendre et a appelé les pompiers. Ceux-ci se sont assurés que le passage était sûr et l'ont aidé à redescendre en toute sécurité
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/23/1997161-jeune-homme-tombe-dans-la-garonne-recherches-infructueuses.html
Un blessé grave dans l'incendie d'une brocante à Fix-Saint-Geneys
La Brocante du Petit Chineur a brûlé, ce samedi soir, en plein cœur du bourg de Fix-Saint-Geneys. Tentant de contenir les flammes avant l’arrivée des pompiers, le brocanteur a été gravement brûlé aux bras et aux jambes.
L’incendie est parti accidentellement, vers 19 heures, au rez-de-chaussée de la boutique qui avait été entièrement rénovée au cours des derniers mois. Au milieu des nombreux objets entreposés, dont beaucoup en bois, les flammes se sont propagées très vite, détruisant le rez-de-chaussée et l’étage. Les secours, s’apprêtant à passer une partie de la nuit sur place, ont cependant pu empêcher l’embrasement de la toiture.
Le brocanteur, âgé de 38 ans, a été hospitalisé au Puy-en-Velay après avoir été pris en charge par une équipe médicale sur place. Son état est qualifié de grave.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/11/22/brocante-en-feu-a-fix-un-blesse-grave
L’incendie est parti accidentellement, vers 19 heures, au rez-de-chaussée de la boutique qui avait été entièrement rénovée au cours des derniers mois. Au milieu des nombreux objets entreposés, dont beaucoup en bois, les flammes se sont propagées très vite, détruisant le rez-de-chaussée et l’étage. Les secours, s’apprêtant à passer une partie de la nuit sur place, ont cependant pu empêcher l’embrasement de la toiture.
Le brocanteur, âgé de 38 ans, a été hospitalisé au Puy-en-Velay après avoir été pris en charge par une équipe médicale sur place. Son état est qualifié de grave.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/11/22/brocante-en-feu-a-fix-un-blesse-grave
samedi 22 novembre 2014
Un homme retrouvé mort 40 m en contrebas du viaduc de Collioure
C e sont des automobilistes qui ont prévenu les sapeurs-pompiers et les gendarmes vendredi vers 8 h.
Ils signalaient qu'un véhicule était abandonné au beau milieu de la chaussée, toutes portières ouvertes, sur la départementale 114 au niveau du viaduc du Douy (Photo M. Clementz), à l'entrée du tunnel d'En Raxat, entre Collioure et Port-Vendres. Aussitôt, des recherches ont été lancées et ont permis de découvrir le corps d'un homme gisant au pied du pont, 40 m en contrebas. Les secours n'ont malheureusement pu que constater le décès de la victime, un Colliourenc âgé de 82 ans. Un témoin l'aurait vu arrêter subitement sa voiture, descendre, traverser la route et se jeter dans le vide.
(SOURCE : L'INDENPENDANT)
http://www.midilibre.fr//2014/11/22/un-homme-retrouve-mort-40-m-en-contrebas-du-viaduc-de-collioure,1085981.php
L'hypothèse du suicide est privilégiée
Le corps de l'octogénaire a été transporté à l'hôpital où il a fait l'objet d'un examen médico-légal, ne relevant aucune trace suspecte. L'hypothèse du suicide est donc privilégiée, mais l'enquête, confiée aux gendarmes de la brigade de Banyuls-sur-Mer, se poursuit afin de déterminer les circonstances exactes de sa mort. Les raisons de son geste désespéré demeurant inconnues. Rappelons qu'en avril 2012, un homme âgé d'une cinquantaine d'années avait quitté son domicile à Collioure annonçant son intention de mettre fin à ses jours. Son corps avait été retrouvé un peu plus tard après qu'il se soit également jeté du viaduc du Douy.(SOURCE : L'INDENPENDANT)
http://www.midilibre.fr//2014/11/22/un-homme-retrouve-mort-40-m-en-contrebas-du-viaduc-de-collioure,1085981.php
Haute-Loire. Blessé dans son pré, un homme de 90 ans passe une nuit à la belle étoile
Un retraité agricole de 90 ans a été découvert par les gendarmes, samedi à 7h30, dans un pré de sa propriété près du lieu-dit « Le Roure » à Saint-Maurice-de-Lignon. L’homme avait chuté, vendredi soir, et a passé la nuit à la belle étoile
C’est l’infirmier de la victime, passant chaque matin lui prodiguer des soins, qui avait donné l’alerte aux gendarmes en constatant l’absence du nonagénaire. Les recherches engagées avec la famille ont rapidement permis aux gendarmes de le retrouver. Le nonagénaire, conscient, a expliqué qu’il était sorti pour voir son troupeau (quelques vaches et un taureau), vendredi soir, et qu’il avait chuté dans le pré. Il n’est pas arrivé à se relever et a donc dû attendre toute la nuit avant l’arrivée des secours.
Indemne mais fatigué, le retraité a été évacué sur l’hôpital de Firminy pour des examens de contrôle.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/11/22/blesse-dans-son-pre-un-homme-de-90-ans-passe-une-nuit-a-la-belle-etoile
C’est l’infirmier de la victime, passant chaque matin lui prodiguer des soins, qui avait donné l’alerte aux gendarmes en constatant l’absence du nonagénaire. Les recherches engagées avec la famille ont rapidement permis aux gendarmes de le retrouver. Le nonagénaire, conscient, a expliqué qu’il était sorti pour voir son troupeau (quelques vaches et un taureau), vendredi soir, et qu’il avait chuté dans le pré. Il n’est pas arrivé à se relever et a donc dû attendre toute la nuit avant l’arrivée des secours.
Indemne mais fatigué, le retraité a été évacué sur l’hôpital de Firminy pour des examens de contrôle.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/11/22/blesse-dans-son-pre-un-homme-de-90-ans-passe-une-nuit-a-la-belle-etoile
Enquête ouverte après la disparition inquiétante d'un étudiant nord-coréen à Paris
Selon l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, le jeune homme, inscrit à l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Paris-La Villette serait le fils d'un proche de l'oncle de Kim Jong-Un , exécuté en décembre par le régime.
Il n'a plus donné signe de vie depuis mercredi. Une enquête a été ouverte vendredi sur la disparition d'un étudiant nord-coréen scolarisé à Paris, qui pourrait être liée selon un média sud-coréen aux purges du régime de Pyongyang, a annoncé à l'AFP une source judiciaire. Cette enquête lancée pour "disparition inquiétante" par le parquet de Paris a été confiée à la brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP). L'étudiant de l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Paris La Villette (ENSAPLV) avait été identifié mercredi sous le nom de Han par l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, la première à avoir fait état de sa très récente disparition.
Il est, selon Yonhap, le fils d'un proche de Jang Song-Thaek, l'oncle et mentor du dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un, finalement exécuté en décembre par le régime. Une source non identifiée citée par Yonhap indiquait mercredi que Han avait été pris en charge par des agents nord-coréens envoyés à Paris, ajoutant qu'il aurait tenté de s'échapper alors qu'on l'emmenait à l'aéroport et qu'on est depuis sans nouvelles de lui.
Longtemps considéré comme le numéro deux du régime nord-coréen, Jang Song-Thaek avait été arrêté, rapidement jugé puis exécuté le 12 décembre 2013 au cours d'une purge perçue comme le bouleversement politique le plus important en Corée du Nord depuis l'arrivée au pouvoir de Kim Jong-Un fin 2011. Son exécution avait été confirmée par l'agence officielle nord-coréenne KCNA, qui l'avait qualifié de "traître". Yonhap rapportait mercredi que le père de Han avait également été visé par les purges consécutives à l'exécution de Jang Song-Thaek. La France n'entretient pas de relations diplomatiques avec Pyongyang. La Corée du Nord a cependant envoyé pour la deuxième fois en 2012 une dizaine d'étudiants nord-coréens faire des études d'architecture en France, après qu'une première promotion ait achevé ses sept ans d'études, selon le site du Quai d'Orsay.
Villeurbanne : deux garçons de 11 ans agressent une handicapée pour la voler
Vendredi en fin de matinée, une femme de 59 ans se déplaçant en fauteuil roulant a été victime d’une agression, devant la clinique du Tonkin, à Villeurbanne, où elle se rendait. Deux enfants se sont jetés sur elle et ont essayé d’arracher le sac qu’elle portait en bandoulière. Ils ne sont pas parvenus à leurs fins, et ont été interpellés peu après. L’âge de ces malfaiteurs en herbe a surpris les policiers, pourtant confrontés à des délinquants de plus en plus jeunes. Car ils n’ont que 11 ans et, entendus par la brigade criminelle de la Sûreté, ils ont mis en cause un « grand »… de 12 ans, qui a été entendu dans l’après-midi. Ils accusent en effet cet élève de 5e de les avoir obligés à lui remettre de l’argent. Eux-mêmes sont connus dans leur établissement scolaire pour des problèmes de comportement et d’assiduité
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/22/villeurbanne-deux-garcons-de-11-ans-agressent-une-handicapee-pour-la-voler
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/22/villeurbanne-deux-garcons-de-11-ans-agressent-une-handicapee-pour-la-voler
vendredi 21 novembre 2014
Montier-en-Der : poudre blanche suspecte au bureau de Poste
Huit personnes sont confinées au bureau de Poste de Montier-en-Der, après l'ouverture d'un emballage suspect contenant de la poudre blanche.
Selon nos informations, il s'agit notamment d'employés du bureau de la Poste et de deux gendarmes.
Un paquet suspect adressé au bureau de Poste a été ouvert en milieu de matinée. A l'intérieur se trouve une poudre blanche suspecte. Par mesure de précaution, les personnes présentes sont confinées en attendant l'arrivée d'une cellule spécialisée dans les risques chimiques et bactériologiques.
Cette équipe en provenance de Metz était attendue sur place en début d'après-midi
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/11/21/montier-en-der-poudre-blanche-suspecte-au-bureau-de-poste-597254.html
Selon nos informations, il s'agit notamment d'employés du bureau de la Poste et de deux gendarmes.
Un paquet suspect adressé au bureau de Poste a été ouvert en milieu de matinée. A l'intérieur se trouve une poudre blanche suspecte. Par mesure de précaution, les personnes présentes sont confinées en attendant l'arrivée d'une cellule spécialisée dans les risques chimiques et bactériologiques.
Cette équipe en provenance de Metz était attendue sur place en début d'après-midi
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/11/21/montier-en-der-poudre-blanche-suspecte-au-bureau-de-poste-597254.html
Périgueux : un garçon de 14 ans, en arrêt cardio-respiratoire, ranimé grâce un défibrillateur
Jeudi midi, l'adolescent venait de sortir de l'école de police, dans l'ancienne caserne du 5e Chasseurs, dans le quartier Saint-Georges à Périgueux, où il se trouvait dans le cadre d'un stage découverte. Alors qu'il discutait avec trois autres garçons devant l'établissement, il a fait un malaise particulièrement angoissant.
En arrêt cardio-respiratoire, les fonctionnaires sont parvenus à le ranimer en faisant usage du défibrillateur automatique installé au poste de garde. L'usage de l'appareil a permis de le stabiliser jusqu'à l'arrivée des pompiers et du Samu.
http://www.sudouest.fr/2014/11/21/perigueux-un-garcon-de-14-ans-ranime-grace-un-defibrillateur-1743268-1980.php
http://www.sudouest.fr/2014/11/21/perigueux-un-garcon-de-14-ans-ranime-grace-un-defibrillateur-1743268-1980.php
Une furie s'acharne sur les employées d'Eurodif
Elle a été prise la main dans le sac, au magasin Eurodif, le 5 juin avec des vêtements et bijoux dérobés. Loin de se démonter, Valérie V, 41 ans, une femme imposante au caractère bien trempé, s'en est prise aux employées mais aussi aux policiers venus l'interpeller. Absente, hier à la barre du tribunal, la mère de famille, poursuivie pour vol, outrage, rébellion, violences et dégradations, a été condamnée à 1 an de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l'épreuve, assortis d'une interdiction d'entrer en contact avec les vendeuses et de fréquenter le magasin. Elle devra verser 2 400 € environ de dommages et intérêts au magasin,
2 150 € aux vendeuses et 300 € à chacun des trois policiers, qui se sont porté partie civile au cours du procès.
Repérée en sortant d'une cabine d'essayage avec son sac, la mère de famille a été priée de montrer son contenu. «Très agressive et hystérique», selon les employées, la prévenue a sorti bec et ongles pour insulter, molester, cracher, griffer et dégrader les portiques du magasin. Loin de se calmer à l'arrivée de trois policiers, elle a monté le volume. Ils ont eu toute la peine du monde à la menotter au milieu des portiques et des vêtements jetés à terre puis à l'embarquer dans la voiture, direction le poste. Très énervée, elle s'est donnée trois coups de tête sur la vitre. Placée en garde à vue, elle a été entendue et laissée libre. Le lendemain, elle s'est rendue au magasin pour insulter les salariées et la gérante. Dans sa déposition, elle a expliqué «qu'à 5 contre un, elle a été obligée de se défendre. Elle avait un problème de carte bancaire et on lui aurait fait franchir le portique !». Sachant que la meilleure défense, c'est l'attaque, elle a surpris tout le monde par son agressivité.
«On connaît bien son fils au tribunal, son autre fils cadet est aussi sur la bonne voie. Je suis heureux de connaître la mère», confie le procureur en demandant 1 an de prison dont 6 mois SME, assortis de toutes les obligations retenues lors du jugement.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/21/1995900-une-furie-s-acharne-sur-les-employees-d-eurodif.html
2 150 € aux vendeuses et 300 € à chacun des trois policiers, qui se sont porté partie civile au cours du procès.
Repérée en sortant d'une cabine d'essayage avec son sac, la mère de famille a été priée de montrer son contenu. «Très agressive et hystérique», selon les employées, la prévenue a sorti bec et ongles pour insulter, molester, cracher, griffer et dégrader les portiques du magasin. Loin de se calmer à l'arrivée de trois policiers, elle a monté le volume. Ils ont eu toute la peine du monde à la menotter au milieu des portiques et des vêtements jetés à terre puis à l'embarquer dans la voiture, direction le poste. Très énervée, elle s'est donnée trois coups de tête sur la vitre. Placée en garde à vue, elle a été entendue et laissée libre. Le lendemain, elle s'est rendue au magasin pour insulter les salariées et la gérante. Dans sa déposition, elle a expliqué «qu'à 5 contre un, elle a été obligée de se défendre. Elle avait un problème de carte bancaire et on lui aurait fait franchir le portique !». Sachant que la meilleure défense, c'est l'attaque, elle a surpris tout le monde par son agressivité.
«On connaît bien son fils au tribunal, son autre fils cadet est aussi sur la bonne voie. Je suis heureux de connaître la mère», confie le procureur en demandant 1 an de prison dont 6 mois SME, assortis de toutes les obligations retenues lors du jugement.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/21/1995900-une-furie-s-acharne-sur-les-employees-d-eurodif.html
jeudi 20 novembre 2014
Charente : collision entre un blindé de l'armée et une voiture
L'accident s'est produit à 10h30 ce jeudi matin sur la commune de Saint-Germain-de-Montbron.
Le samu et les pompiers étaient encore sur place ce jeudi matin à 11 heures pour secourir les deux blessés après la collision qui s'est produite entre une voiture et un véhicule blindé de l'armée, sur la départementale 109 à hauteur des Bois des Chaillats.
Il est fréquent que, dans ce secteur, des véhicules de l'armée effectuent des manoeuvres. Les circonstances de la collision ne sont, elles, pas encore connues.
http://www.sudouest.fr/2014/11/20/charente-collision-entre-un-blinde-de-l-armee-et-une-voiture-1742208-1088.php
Le samu et les pompiers étaient encore sur place ce jeudi matin à 11 heures pour secourir les deux blessés après la collision qui s'est produite entre une voiture et un véhicule blindé de l'armée, sur la départementale 109 à hauteur des Bois des Chaillats.
http://www.sudouest.fr/2014/11/20/charente-collision-entre-un-blinde-de-l-armee-et-une-voiture-1742208-1088.php
Les restes d'un crâne humain découverts aux Sanguinaires à Ajaccio
Plusieurs ossements appartenant vraisemblablement selon le parquet à un jeune majeur décédé il y a dix ans ont été retrouvés par des employés municipaux qui effectuaient hier des travaux sur le site ajaccien
Qui est-il et pourquoi se trouvait-il sous terre, près des marches du sentier en pierre de la Parata ? C'est à ces questions que doivent répondre les policiers après la découverte hier en début d'après-midi à Ajaccio des restes d'un crâne humain.
C'est un coup de pioche anodin qui a ouvert l'enquête judiciaire. Il est environ 15 heures et les employés municipaux basés sur le grand site de la Parata se rendent sur l'isthme des Sanguinaires pour effectuer des travaux de maçonnerie sur le sentier en pierre qui conduit à la tour génoise.
Il s'agit de rehausser l'une des marches pour faciliter l'accès. L'équipe au premier coup de pelle trouve des cailloux de basalte, puis des dents nichées dans une cinquantaine de centimètres.
En quelques minutes, du rubalise, des palettes en bois protègent la découverte macabre. Les amoureux de la nature, les parents ou les rares touristes observent la mise en place du périmètre de sécurité qui ne contient pas le grand barnum, la tente destinée à protéger les cadavres du regard des badauds. Les promeneurs sont gentiment priés d'écourter leur balade près de la tour sous un beau ciel bleu d'automne.
Le grand site touristique de la Parata est devenu scène de crime. Une dizaine de policiers bloque maintenant la route en amont pour permettre le travail de l'identité judiciaire qui a troqué l'écouvillon recueillant l'ADN pour le pinceau de l'archéologue.
Sur une roche, on regroupe une quinzaine d'ossements légèrement blanchis et recouverts d'une terre insidieuse. Chacun est photographié, regroupé, analysé. Selon les premiers éléments de l'enquête, la mort est « ancienne ». « Il pourrait s'agir d'un jeune majeur décédé il y a une dizaine d'années », avance le parquet d'Ajaccio qui a confirmé que des analyses complémentaires devaient encore être menées.
« Le résultat sera connu très vite », a annoncé le ministère public qui préfère rester prudent à ce stade. « Nous ne savons pas si ce crâne a été charrié par la mer puis recouvert par la terre ou s'il a été enterré près de la marche », a-t-on ajouté du côté du représentant du parquet.
D'autres recherches doivent être menées afin de savoir si le site contient d'autres parties du squelette.
Les restes du crâne humain ont été découverts à proximité, non pas sous le béton, mais dans la terre. A-t-on profité de ces travaux pour y faire disparaître un crâne en lui donnant malgré tout une dernière sépulture ? Cette hypothèse criminelle est étudiée au même titre que les autres par les enquêteurs de la sécurité publique, en charge du dossier.
Si un nom est mis sur cette tête sans corps, une identité pourra-t-elle être posée sur l'auteur du crime ?
http://www.nicematin.com/derniere-minute/les-restes-dun-crane-humain-decouverts-aux-sanguinaires-a-ajaccio.1992158.html
Qui est-il et pourquoi se trouvait-il sous terre, près des marches du sentier en pierre de la Parata ? C'est à ces questions que doivent répondre les policiers après la découverte hier en début d'après-midi à Ajaccio des restes d'un crâne humain.
C'est un coup de pioche anodin qui a ouvert l'enquête judiciaire. Il est environ 15 heures et les employés municipaux basés sur le grand site de la Parata se rendent sur l'isthme des Sanguinaires pour effectuer des travaux de maçonnerie sur le sentier en pierre qui conduit à la tour génoise.
Il s'agit de rehausser l'une des marches pour faciliter l'accès. L'équipe au premier coup de pelle trouve des cailloux de basalte, puis des dents nichées dans une cinquantaine de centimètres.
Charrié par la mer ou caché sous terre ?
Dans une terre rendue humide par les dernières pluies, le reste du puzzle fait apparaître ce qui semble être un crâne humain. Les services techniques de la mairie sont alertés. La direction départementale de la sécurité publique prend la suite et investit les lieux.En quelques minutes, du rubalise, des palettes en bois protègent la découverte macabre. Les amoureux de la nature, les parents ou les rares touristes observent la mise en place du périmètre de sécurité qui ne contient pas le grand barnum, la tente destinée à protéger les cadavres du regard des badauds. Les promeneurs sont gentiment priés d'écourter leur balade près de la tour sous un beau ciel bleu d'automne.
Le grand site touristique de la Parata est devenu scène de crime. Une dizaine de policiers bloque maintenant la route en amont pour permettre le travail de l'identité judiciaire qui a troqué l'écouvillon recueillant l'ADN pour le pinceau de l'archéologue.
Sur une roche, on regroupe une quinzaine d'ossements légèrement blanchis et recouverts d'une terre insidieuse. Chacun est photographié, regroupé, analysé. Selon les premiers éléments de l'enquête, la mort est « ancienne ». « Il pourrait s'agir d'un jeune majeur décédé il y a une dizaine d'années », avance le parquet d'Ajaccio qui a confirmé que des analyses complémentaires devaient encore être menées.
« Le résultat sera connu très vite », a annoncé le ministère public qui préfère rester prudent à ce stade. « Nous ne savons pas si ce crâne a été charrié par la mer puis recouvert par la terre ou s'il a été enterré près de la marche », a-t-on ajouté du côté du représentant du parquet.
D'autres recherches doivent être menées afin de savoir si le site contient d'autres parties du squelette.
Tête sans corps ?
Les travaux de construction du sentier en pierre ont été réalisés en 2009 dans le cadre de l'aménagement du grand site de la Parata.« Pour couler la dalle de béton qui supporte l'empierrement, nous n'avions pas creusé le sol sur plus de 20 cm », se souviennent les services municipaux.Les restes du crâne humain ont été découverts à proximité, non pas sous le béton, mais dans la terre. A-t-on profité de ces travaux pour y faire disparaître un crâne en lui donnant malgré tout une dernière sépulture ? Cette hypothèse criminelle est étudiée au même titre que les autres par les enquêteurs de la sécurité publique, en charge du dossier.
Si un nom est mis sur cette tête sans corps, une identité pourra-t-elle être posée sur l'auteur du crime ?
http://www.nicematin.com/derniere-minute/les-restes-dun-crane-humain-decouverts-aux-sanguinaires-a-ajaccio.1992158.html
Le tueur à gage était en fait un gendarme infiltré
Deux sexagénaires comparaissent jeudi devant le tribunal correctionnel d'Evry pour avoir contacté un tueur à gages - qui était en réalité un gendarme infiltré - chargé d'infliger une correction à Gérard.
Ils pensaient avoir affaire à un tueur à gages et ont finalement été trompés par un gendarme infiltré. Deux sexagénaires comparaissent jeudi devant le tribunal correctionnel d'Évry pour avoir voulu faire tuer un homme avec qui ils étaient en contentieux. Pour ce faire, les retraités ont fait appel à un homme, surnommé Gino, qui était en réalité un gendarme chargé de mettre en scène l'exécution du "contrat".3.000 euros le passage à tabac. Cette histoire, c'est d'abord celle d'une grande rancœur. Les deux accusés en voulaient en effet terriblement à Gérard, parti il y a quinze ans avec la femme de l'un et embourbé dans des histoires d'argent avec l'autre. Ils décident donc de s'associer pour recruter un tueur à gage, rapporte Midi Libre.
Sauf que la section de recherches de la gendarmerie de Paris est mise au courant de l'annonce des deux sexagénaires. Pour piéger les deux individus, les enquêteurs décident donc d'envoyer un gendarme infiltré, chargé de se faire passer pour un tueur à gages. Sous la fausse identité de Gino, le gendarme leur demande 12.000 euros pour tuer Gérard. Trop cher, les deux sexagénaires prennent plutôt l'option à 3.000 euros, avec passage à tabac et jambes brisées.
"Une photo pour montrer que mes jambes étaient pliées en deux". Une fois le contrat passé, Gino a besoin de la participation de Gérard pour coincer les deux hommes. Une équipe débarque alors chez la victime pour mettre en scène sa prétendue agression, avec du maquillage, et même de fausses jambes.
"Je leur donne un jean, une paire de basket, une paire de chaussette. La maquilleuse me fait une fausse tête au carré, avec œil au beurre noir, tout ce qu'il faut sur le visage. Ils mettent les jambes dans mon jean, ils mettent les baskets, dessus ils mettent du faux sang. Ensuite, ils me prennent en photo pour montrer que j'avais les jambes complètement pliées en deux, donc cassées et que ce serait difficile de les remettre en place", se souvient Gérard au micro d'Europe 1.
10 ans de prison encourus. Cette photo, Gino, le faux tueur mais vrai gendarme, la montre aux deux commanditaires. Il se fait alors remettre en échange les 3.000 euros promis. Une transaction effectuée sur un parking qui a conduit à l'arrestation immédiate des deux sexagénaires.
Les deux hommes risquent aujourd'hui jusqu'à dix ans de prison. Quant à Gérard, il est tombé des nues en apprenant qu'il y avait un contrat sur sa tête. Aujourd'hui, il ferme d'ailleurs sa porte à double tour et sursaute dès qu'une moto passe devant lui.
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