Le tribunal de grande instance de Vienne a condamné aujourd'hui un gendarme à une amende pour violences volontaires, et relaxé quatre de ses collègues poursuivis pour des brimades ayant dégénéré à l'encontre d'une jeune collègue, selon leurs avocats.
En avril, la victime, jeune gendarme, avait porté plainte contre ses collègues de la brigade de Roussillon (Isère), qu'elle accusait de coups, de l'avoir gazée avec une bombe lacrymogène et de l'avoir poussée pieds et poings liés dans une cellule, "pour rire".
Le principal prévenu, âgé de 27 ans, a été condamné à 150 euros d'amende pour des blessures involontaires, survenues lors d'une fête, et 1000 euros d'amende, dont la moitié avec sursis, pour des violences volontaires avec arme, en l'occurrence une bombe lacrymogène, a précisé l'avocat de la victime, Me Joël Grabarczuyk.
"Les cinq ont été relaxés pour les faits les plus graves d'enlèvement et séquestration. C'est une décision raisonnable", a estimé Me Gabriel Versini-Bullara, l'avocat des prévenus. "Ils retrouvent leur honneur battu en brèche par des salissures proférées sur eux par des collègues et la hiérarchie." L'avocat de la cliente est également satisfait de cette décision "a minima", dans la mesure où sa cliente "est reconnue comme victime de ces agissements".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/30/97001-20140930FILWWW00300-un-gendarme-condamne-pour-des-brimades.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
mardi 30 septembre 2014
Neuf Syriens découverts cachés dans un camion réfrigéré en Seine-Saint-Denis
Neuf Syriens en situation irrégulière, qui tentaient de rejoindre l'Angleterre, ont été découverts sains et saufs lundi dans la remorque d'un camion réfrigéré sur l'autoroute A3 en Seine-Saint-Denis, a-t-on appris mardi.
Vers 14H15, alors que les pompiers intervenaient sur un accident impliquant un camion sur l'A3 à hauteur de la commune d'Aulnay-sous-Bois, "ils ont entendu des bruits suspects provenant de la remorque", a relaté à l'AFP une source policière. Alertés, des policiers de la CRS autoroutière ont ouvert les portes de la remorque réfrigérée fermée avec un cadenas, et "découverts neuf hommes, d'origine syrienne cachés à l'intérieur", a poursuivi la source.
Ne parlant pas français, les Syriens ainsi que le chauffeur du camion, d'origine bulgare, ont été pris en charge par les enquêteurs de l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (Ocriest) et placés en garde à vue dans les locaux de l'office à Lognes (Seine et-Marne), a ajouté une source proche du dossier.
Une enquête de flagrance pour "aide au séjour irrégulier" a été ouverte par le parquet de Bobigny. Les neuf Syriens, dont on ignore pour l'heure le point de départ, "essayaient de rejoindre l'Angleterre", a précisé une source judiciaire. Selon cette source, le chauffeur a déclaré qu'il "n'était pas au courant de leur présence".
Le conflit qui dure depuis plus de trois ans en Syrie a fait plus de 200.000 morts et forcé près de la moitié des habitants à quitter leurs maisons.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/09/30/neuf-syriens-decouverts-caches-dans-un-camion-refrigere-en-seine-saint-denis-561614.html
Vers 14H15, alors que les pompiers intervenaient sur un accident impliquant un camion sur l'A3 à hauteur de la commune d'Aulnay-sous-Bois, "ils ont entendu des bruits suspects provenant de la remorque", a relaté à l'AFP une source policière. Alertés, des policiers de la CRS autoroutière ont ouvert les portes de la remorque réfrigérée fermée avec un cadenas, et "découverts neuf hommes, d'origine syrienne cachés à l'intérieur", a poursuivi la source.
Ne parlant pas français, les Syriens ainsi que le chauffeur du camion, d'origine bulgare, ont été pris en charge par les enquêteurs de l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (Ocriest) et placés en garde à vue dans les locaux de l'office à Lognes (Seine et-Marne), a ajouté une source proche du dossier.
Une enquête de flagrance pour "aide au séjour irrégulier" a été ouverte par le parquet de Bobigny. Les neuf Syriens, dont on ignore pour l'heure le point de départ, "essayaient de rejoindre l'Angleterre", a précisé une source judiciaire. Selon cette source, le chauffeur a déclaré qu'il "n'était pas au courant de leur présence".
Le conflit qui dure depuis plus de trois ans en Syrie a fait plus de 200.000 morts et forcé près de la moitié des habitants à quitter leurs maisons.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/09/30/neuf-syriens-decouverts-caches-dans-un-camion-refrigere-en-seine-saint-denis-561614.html
Un piéton écrasé par un bus en plein centre du Puy
Après le drame qui a coûté la vie à une lycéenne à Yssingeaux lundi, un homme a été écrasé par un bus en plein centre du Puy-en-Velay ce mardi matin. Son état est préoccupant.
Le drame s'est joué à 10h15 ce mardi matin, rue Pierret au Puy-en-Velay. L'homme, un Ponot de 77 ans, est passé sous les roues arrières d'un bus Tudip.
Très grièvement blessé, il a été hospitalisé à Émile-Roux dans un état considéré comme préoccupant.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/09/30/un-pieton-ecrase-par-un-bus-en-plein-centre-du-puy
Le drame s'est joué à 10h15 ce mardi matin, rue Pierret au Puy-en-Velay. L'homme, un Ponot de 77 ans, est passé sous les roues arrières d'un bus Tudip.
Très grièvement blessé, il a été hospitalisé à Émile-Roux dans un état considéré comme préoccupant.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/09/30/un-pieton-ecrase-par-un-bus-en-plein-centre-du-puy
Poursuivi pour avoir abattu un vautour à la carabine
Un éleveur de Saint-Félix-de-Rieutord comparaît cet après-midi devant le tribunal correctionnel pour avoir abattu un vautour d'un coup de carabine, en avril dernier.
La semaine dernière, la préfecture de l'Ariège autorisait la mise en œuvre de tirs d'effarouchement des vautours fauves dans notre département, expliquant que «les inquiétudes de la profession agricole ne peuvent être négligées et nécessitent une réponse de la part de l'autorité administrative» (lire ci-contre). Cet après-midi, un éleveur comparaîtra devant le tribunal correctionnel pour «destruction d'espèce protégée» et «acquisition d'arme de catégorie C sans déclaration» : armé d'une carabine, Christian Derramond, 52 ans, de Saint-Felix-de-Rieutord, a abattu un vautour fauve au-dessus de son exploitation. Du coup, l'actualité se bouscule autour du vautour, dans un contexte devenu passionnel. «Depuis plus d'un an, j'ai des soucis avec les vautours, explique Christian Derramond. Les attaques se multiplient. Je souhaite vraiment pouvoir m'expliquer devant la justice. Ce qui s'est passé, pour moi, c'est de la légitime défense. Je ne savais plus quoi faire». Sur les conseils de son avocat, Me Guy Dedieu, du barreau de Foix, Christian Derramond a choisi la voie d'une comparution devant le tribunal correctionnel, pour avoir un «procès public» et pouvoir exprimer, à la barre, l'inquiétude des éleveurs. De leur côté, les associations de défense de l'environnement ont également décidé de participer à ce procès. Elles sont trois à s'être constituées partie civile. «C'est un devoir dans la mesure où nous nous battons pour la défense des espèces protégées, commente Daniel Strub, président du Comité écologique ariégeois. Mais aujourd'hui, nous sommes dans une dérive totale, où l'on nous parle de vautours qui seraient devenus, soudainement, des prédateurs. Les vautours ne sont pas des prédateurs : dans ce département, il n'a pas eu un seul cas d'attaque avéré, pas plus qu'ailleurs sur la chaîne des Pyrénées. Nous sommes face à des contre-vérités, réfutées par toutes les observations scientifiques».
L'audience est fixée à 14 heures, au tribunal de grande instance de Foix.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/30/1961980-poursuivi-pour-avoir-abattu-un-vautour-a-la-carabine.html
La semaine dernière, la préfecture de l'Ariège autorisait la mise en œuvre de tirs d'effarouchement des vautours fauves dans notre département, expliquant que «les inquiétudes de la profession agricole ne peuvent être négligées et nécessitent une réponse de la part de l'autorité administrative» (lire ci-contre). Cet après-midi, un éleveur comparaîtra devant le tribunal correctionnel pour «destruction d'espèce protégée» et «acquisition d'arme de catégorie C sans déclaration» : armé d'une carabine, Christian Derramond, 52 ans, de Saint-Felix-de-Rieutord, a abattu un vautour fauve au-dessus de son exploitation. Du coup, l'actualité se bouscule autour du vautour, dans un contexte devenu passionnel. «Depuis plus d'un an, j'ai des soucis avec les vautours, explique Christian Derramond. Les attaques se multiplient. Je souhaite vraiment pouvoir m'expliquer devant la justice. Ce qui s'est passé, pour moi, c'est de la légitime défense. Je ne savais plus quoi faire». Sur les conseils de son avocat, Me Guy Dedieu, du barreau de Foix, Christian Derramond a choisi la voie d'une comparution devant le tribunal correctionnel, pour avoir un «procès public» et pouvoir exprimer, à la barre, l'inquiétude des éleveurs. De leur côté, les associations de défense de l'environnement ont également décidé de participer à ce procès. Elles sont trois à s'être constituées partie civile. «C'est un devoir dans la mesure où nous nous battons pour la défense des espèces protégées, commente Daniel Strub, président du Comité écologique ariégeois. Mais aujourd'hui, nous sommes dans une dérive totale, où l'on nous parle de vautours qui seraient devenus, soudainement, des prédateurs. Les vautours ne sont pas des prédateurs : dans ce département, il n'a pas eu un seul cas d'attaque avéré, pas plus qu'ailleurs sur la chaîne des Pyrénées. Nous sommes face à des contre-vérités, réfutées par toutes les observations scientifiques».
L'audience est fixée à 14 heures, au tribunal de grande instance de Foix.
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Pierrelaye : grièvement blessé dans une rixe
Un homme âgé de 35 ans a été grièvement blessé ce lundi après-midi, à l’occasion d’une rixe survenue à Pierrelaye (Val-d’Oise). Après avoir subi les premiers soins sur place, il a dû être évacué par les pompiers vers le centre hospitalier de Pontoise. Les faits se sont produits aux alentours de 17 h 30, au niveau de la rue Jean-Nicolas-Leveau, dans des circonstances qui restaient hier soir encore indéterminées.
Les services de police de commissariat de Cergy sont chargés de l’enquête
lundi 29 septembre 2014
Théus (05) : un blessé lors d'un accident de chasse
L'accident s'est produit hier dimanche 28 septembre vers 8h du matin. Un homme de 87 ans a été blessé au visage par des plombs. Le coup de fusil a été tiré par son beau-frère âgé de 79 ans suite à un erreur d'appréciation de sa part.
Les deux hommes étaient partis chasser tôt hier matin sur la commune de Théus dans les Hautes-Alpes. Vers 8 heures, l'un deux âgé de 79 ans voit passer un animal. Ébloui par le soleil levant, il tire quand même et blesse son beau-frère, âgé de 87 ans qui avait quitté son poste. Ce dernier est atteint par des plombs au niveau du visage et de la partie haute du corps.
Il a été hospitalisé au Centre hospitalier de Gap. Son pronostic vital n'est pas engagé
La gendarmerie de Gap est chargée de l'enquête.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/09/29/theus-05-un-blesse-lors-d-un-accident-de-chasse-560802.html
Les deux hommes étaient partis chasser tôt hier matin sur la commune de Théus dans les Hautes-Alpes. Vers 8 heures, l'un deux âgé de 79 ans voit passer un animal. Ébloui par le soleil levant, il tire quand même et blesse son beau-frère, âgé de 87 ans qui avait quitté son poste. Ce dernier est atteint par des plombs au niveau du visage et de la partie haute du corps.
Il a été hospitalisé au Centre hospitalier de Gap. Son pronostic vital n'est pas engagé
La gendarmerie de Gap est chargée de l'enquête.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/09/29/theus-05-un-blesse-lors-d-un-accident-de-chasse-560802.html
Aytré (17) : un piéton percuté par un TGV au passage à niveau
Ce lundi matin, à 5h50, un piéton est décédé après avoir été percuté par un TGV à hauteur du passage à niveau d'Aytré. Il ne s'agit pas du passage à niveau de la route de la plage, mais celui situé au nord de la commune, rue de la gare à côté du cimetière. Le TGV, au départ de La Rochelle, se dirigeait vers Paris.
L'accident a provoqué une perturbation importante des trains. Cinq trains ont été supprimés ou partiellement perturbés pendant plus de deux heures. Des bus de substitution en direction de Niort ont été mis en place.
http://www.sudouest.fr/2014/09/29/aytre-17-un-pieton-percute-par-un-train-au-passage-a-niveau-1686730-1238.php
http://www.sudouest.fr/2014/09/29/aytre-17-un-pieton-percute-par-un-train-au-passage-a-niveau-1686730-1238.php
Piétonne écrasée à Juan-les-Pins: le conducteur était ivre
L'enquête se poursuit après le dramatique accident qui a coûté la vie à une femme de 40 ans, samedi soir vers 19 h 30, à Juan-les-Pins.
Le dépistage d'alcoolémie a révélé que le conducteur de la voiture, qui a percuté la malheureuse sur le boulevard Raymond-Poincaré, avait pris le volant avec un taux d'alcoolémie bien supérieur à la limite autorisée.
D'abord placé en cellule de dégrisement, il a été entendu par la police hier en fin d'après-midi. Il a reconnu les faits.
Prévenus par des témoins, les sapeurs-pompiers d'Antibes étaient arrivés sur les lieux quelques minutes après le drame. Ils ont tenté de ranimer la victime en arrêt cardiaque. Mais les soins et massages prodigués ont été inutiles.
http://www.nicematin.com/antibes/pietonne-ecrasee-a-juan-les-pins-le-conducteur-etait-ivre.1923200.html
Le dépistage d'alcoolémie a révélé que le conducteur de la voiture, qui a percuté la malheureuse sur le boulevard Raymond-Poincaré, avait pris le volant avec un taux d'alcoolémie bien supérieur à la limite autorisée.
D'abord placé en cellule de dégrisement, il a été entendu par la police hier en fin d'après-midi. Il a reconnu les faits.
Prévenus par des témoins, les sapeurs-pompiers d'Antibes étaient arrivés sur les lieux quelques minutes après le drame. Ils ont tenté de ranimer la victime en arrêt cardiaque. Mais les soins et massages prodigués ont été inutiles.
http://www.nicematin.com/antibes/pietonne-ecrasee-a-juan-les-pins-le-conducteur-etait-ivre.1923200.html
Un policier violemment agressé dans le métro à Marseille
Un policier de la Brigade anticriminalité de Marseille a été violemment agressé dimanche soir dans le métro de la cité phocéenne. Le fonctionnaire a été sérieusement blessé, selon une source policière.
La victime a d'abord été frappée au visage par un jeune homme qui l'accusait de l'avoir bousculé, dans une rame de métro à hauteur de la station Rond-Point du Prado, dans les quartiers sud. Le fonctionnaire a alors fait état de sa qualité de policier "ce qui n'a fait que décupler la violence". Un des complices de l'agresseur l'a retenu par derrière, pendant que celui-ci multipliait les coups, lui adressant notamment un coup de genou dans la mâchoire.
Les agresseurs, au nombre de huit, ont ensuite pris la fuite, changeant de ligne à la station Castellane, deux arrêts plus tard.
Le policier a pu alerter ses collègues de la BAC, qui ont interpellé le principal agresseur, âgé de 22 ans, connu de la police notamment pour trafic de stupéfiants. Il a été identifié grâce aux caméras de vidéo-surveillance du métro.
Sérieusement touchée à la mâchoire, la victime a été transportée à l'hôpital de la Conception. "Il n'a pas fait l'objet d'une agression initiale liée à sa qualité de policier, mais le fait d'avoir décliné sa fonction a déclenché une violence tout à fait inadmissible. Je suis indigné de cette agression", a réagi Pierre-Marie Bourniquel, directeur départemental de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/29/1961536-un-policier-violemment-agresse-dans-le-metro-a-marseille.html
La victime a d'abord été frappée au visage par un jeune homme qui l'accusait de l'avoir bousculé, dans une rame de métro à hauteur de la station Rond-Point du Prado, dans les quartiers sud. Le fonctionnaire a alors fait état de sa qualité de policier "ce qui n'a fait que décupler la violence". Un des complices de l'agresseur l'a retenu par derrière, pendant que celui-ci multipliait les coups, lui adressant notamment un coup de genou dans la mâchoire.
Les agresseurs, au nombre de huit, ont ensuite pris la fuite, changeant de ligne à la station Castellane, deux arrêts plus tard.
Le policier a pu alerter ses collègues de la BAC, qui ont interpellé le principal agresseur, âgé de 22 ans, connu de la police notamment pour trafic de stupéfiants. Il a été identifié grâce aux caméras de vidéo-surveillance du métro.
Sérieusement touchée à la mâchoire, la victime a été transportée à l'hôpital de la Conception. "Il n'a pas fait l'objet d'une agression initiale liée à sa qualité de policier, mais le fait d'avoir décliné sa fonction a déclenché une violence tout à fait inadmissible. Je suis indigné de cette agression", a réagi Pierre-Marie Bourniquel, directeur départemental de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/29/1961536-un-policier-violemment-agresse-dans-le-metro-a-marseille.html
Un policier agressé à la fête foraine d’Epinal
Epinal. Dans le cadre de la fête patronale de la Saint-Maurice, les policiers du commissariat sont appelés à effectuer des surveillances à pied afin de sécuriser le site. C’est justement dans ce contexte qu’une interpellation a mal tourné, samedi aux alentours de 23 h 30. Trois policiers patrouillaient dans les allées de la fête lorsqu’un des représentants des forces de l’ordre a été visé par un pointeur laser.
Les policiers sont allés à la rencontre d’un groupe de personnes d’où provenait le rayon. Visiblement, l’alcool a échauffé l’esprit de quelques-uns. Des insultes ont fusé et c’est en voulant interpeller un des individus qu’un policier a été violemment pris à partie par deux frères avant d’être projeté au sol.
Des renforts ont alors été appelés afin de procéder à l’arrestation des deux frères. L’aîné, âgé de 23 ans, habite Vincey, le second, tout juste 16 ans, réside à Golbey. Les deux individus ont immédiatement été placés en garde à vue avant un probable déferrement au Parquet ce matin.
Quant au policier, il s’est vu diagnostiquer 8 jours d’incapacité totale de travail.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/29/un-policier-agresse-a-la-fete-foraine-d-epinal-tkck
Les policiers sont allés à la rencontre d’un groupe de personnes d’où provenait le rayon. Visiblement, l’alcool a échauffé l’esprit de quelques-uns. Des insultes ont fusé et c’est en voulant interpeller un des individus qu’un policier a été violemment pris à partie par deux frères avant d’être projeté au sol.
Des renforts ont alors été appelés afin de procéder à l’arrestation des deux frères. L’aîné, âgé de 23 ans, habite Vincey, le second, tout juste 16 ans, réside à Golbey. Les deux individus ont immédiatement été placés en garde à vue avant un probable déferrement au Parquet ce matin.
Quant au policier, il s’est vu diagnostiquer 8 jours d’incapacité totale de travail.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/29/un-policier-agresse-a-la-fete-foraine-d-epinal-tkck
dimanche 28 septembre 2014
Gironde : un corps découvert dans la forêt du Teich
Un chasseur a fait une macabre découverte hier après-midi vers 16 h 30. Un corps d'homme dans un état de décomposition avancé. Il a immédiatement alerté les gendarmes. Un périmètre de sécurité a été mis en place. Les gendarmes spécialisés de la Cellule d'identification criminelle se sont rendus sur place et une autopsie a été ordonnée par le parquet. Il pourrait s'agir du corps d'un homme dont la disparition a été signalée il y a un mois.
http://www.sudouest.fr/2014/09/28/gironde-un-corps-decouvert-dans-la-foret-du-teich-1685859-2780.php
http://www.sudouest.fr/2014/09/28/gironde-un-corps-decouvert-dans-la-foret-du-teich-1685859-2780.php
Décès d'un plongeur en Bretagne
Un plongeur sexagénaire, qui pratiquait cette activité dans le cadre d'un club, est décédé dimanche midi après une plongée en baie de Douarnenez, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de Brest. L'alerte a été donnée peu avant midi par le navire de support de plongée qui encadrait le groupe de sportifs. Le plongeur inanimé a été remonté par ses collègues après une plongée de 40 minutes.
A la suite d'une consultation téléphonique avec les services de secours, le navire de support a regagné le port de Douarnenez où la victime, en arrêt cardiaque, a été prise en charge par une équipe médicalisée qui n'a pu la ranimer. La météo était excellente, avec une mer belle à peu agitée, et un vent très faible (5 noeuds/7 km/h).
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/28/97001-20140928FILWWW00079-deces-d-un-plongeur-en-bretagne.php
A la suite d'une consultation téléphonique avec les services de secours, le navire de support a regagné le port de Douarnenez où la victime, en arrêt cardiaque, a été prise en charge par une équipe médicalisée qui n'a pu la ranimer. La météo était excellente, avec une mer belle à peu agitée, et un vent très faible (5 noeuds/7 km/h).
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/28/97001-20140928FILWWW00079-deces-d-un-plongeur-en-bretagne.php
Le cambrioleur s’échappe en sautant du 2e étage
L’auteur du cambriolage commis le 27 juillet à Revin, Mickaël Sitkiewicz, 18 ans, a été condamné à dix mois de prison ferme par le tribunal correctionnel.
En récidive, le jeune homme, condamné à cinq reprises, avait pénétré dans la maison de l’une de ses connaissances, partie en vacances avec sa famille, en brisant une vitre de la buanderie. À l’intérieur, il avait dérobé deux téléphones portables et une chaîne en or avant d’être mis en fuite par le voisin tandis qu’il fouillait dans le garage. Munie du signalement du suspect et du témoignage de sa petite amie, devant qui le prévenu s’était vanté d’être l’auteur du vol, la gendarmerie était parvenue à confondre le Revinois.
Non sans avoir joué au chat et à la souris pendant de longues heures. Lors de son interpellation, le prévenu s’était enfui en sautant de la fenêtre du 2e étage d’une maison où il était hébergé. À la barre, Mickaël Sitkiewicz a exprimé des regrets et fait part de ses difficultés en prison, où il se trouvait pour la première fois. Le portrait du jeune homme, brossé par l’expert psychiatre et son éducateur, fait état « de troubles du jugement » et « d’un comportement difficilement explicable ». « Il passe facilement à l’acte et de façon quasiment compulsive », explique l’expert. « Il vole souvent des choses complètement inutiles. Il avait fait des progrès mais tout est retombé. Et comparé à ce qu’on demande à un citoyen normal pour s’insérer, ses progrès sont dérisoires », regrette l’éducateur.
Le substitut du procureur a requis trois années d’emprisonnement, dont deux avec sursis et mise à l’épreuve. En défense, Me Vallet s’est appuyé sur l’examen de personnalité et le rapport d’expertise pour réclamer une peine « thérapeutique » : « Plutôt que d’emprisonnement, c’est de soins dont il a besoin. Aujourd’hui, nous disposons d’un niveau de lecture supplémentaire au travers du rapport d’expertise psychiatrique. D’autre part, le prévenu connaît la prison alors qu’avant, il n’imaginait pas ce que c’était. » Reconnu coupable, Mickaël Sitkiewicz a été maintenu en détention et devra verser plus de 3 000 euros de dommages et intérêts au propriétaire de la maison cambriolée.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-cambrioleur-s-echappe-en-sautant-du-2e-etage-ia0b0n414476
En récidive, le jeune homme, condamné à cinq reprises, avait pénétré dans la maison de l’une de ses connaissances, partie en vacances avec sa famille, en brisant une vitre de la buanderie. À l’intérieur, il avait dérobé deux téléphones portables et une chaîne en or avant d’être mis en fuite par le voisin tandis qu’il fouillait dans le garage. Munie du signalement du suspect et du témoignage de sa petite amie, devant qui le prévenu s’était vanté d’être l’auteur du vol, la gendarmerie était parvenue à confondre le Revinois.
Non sans avoir joué au chat et à la souris pendant de longues heures. Lors de son interpellation, le prévenu s’était enfui en sautant de la fenêtre du 2e étage d’une maison où il était hébergé. À la barre, Mickaël Sitkiewicz a exprimé des regrets et fait part de ses difficultés en prison, où il se trouvait pour la première fois. Le portrait du jeune homme, brossé par l’expert psychiatre et son éducateur, fait état « de troubles du jugement » et « d’un comportement difficilement explicable ». « Il passe facilement à l’acte et de façon quasiment compulsive », explique l’expert. « Il vole souvent des choses complètement inutiles. Il avait fait des progrès mais tout est retombé. Et comparé à ce qu’on demande à un citoyen normal pour s’insérer, ses progrès sont dérisoires », regrette l’éducateur.
Le substitut du procureur a requis trois années d’emprisonnement, dont deux avec sursis et mise à l’épreuve. En défense, Me Vallet s’est appuyé sur l’examen de personnalité et le rapport d’expertise pour réclamer une peine « thérapeutique » : « Plutôt que d’emprisonnement, c’est de soins dont il a besoin. Aujourd’hui, nous disposons d’un niveau de lecture supplémentaire au travers du rapport d’expertise psychiatrique. D’autre part, le prévenu connaît la prison alors qu’avant, il n’imaginait pas ce que c’était. » Reconnu coupable, Mickaël Sitkiewicz a été maintenu en détention et devra verser plus de 3 000 euros de dommages et intérêts au propriétaire de la maison cambriolée.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-cambrioleur-s-echappe-en-sautant-du-2e-etage-ia0b0n414476
samedi 27 septembre 2014
Laigneville : un jeune automobiliste de 24 ans tué par balle
Un jeune homme originaire de Creil (Oise) a été tué par balle vendredi soir, après semble-t-il une altercation entre automobilistes qui a mal tourné dans la ville voisine de Laigneville.
Les faits se sont déroulés vendredi vers 22h20, a expliqué une source proche de l'enquête, confirmant une information du Parisien. Deux groupes distincts circulant chacun dans une voiture ont commencé à se disputer, en venant aux insultes verbales. La raison de la dispute n'était pour l'instant pas connue.
Il semble qu'ensuite une arme ait été sortie et des coups de feu tirés. L'un des protagonistes, âgé de 24 ans, s'est alors effondré, touché au thorax. Un de ses camarades l'a transporté à l'hôpital de Creil mais il n'a pas survécu.
Des interpellations. Trois personnes ont été interpellées et placées en garde à vue et étaient entendues samedi sur les circonstances du drame. L'enquête a été confiée à la section de recherches d'Amiens.
Il se retrouve tétraplégique après un tir lors d'une battue
Julien est dans un fauteuil et le restera. En soins de rééducation depuis décembre 2013, ce cadre a été victime d'une imprudence lors d'une battue aux sangliers. L'auteur du tir n'a pas échappé à la sanction.
La balle est entrée sous l'omoplate gauche, a transpercé les deux poumons pour finalement se loger dans l'autre épaule mais au passage elle a sectionné la moelle épinière. Transporté par hélicoptère au centre hospitalier Pellegrin, Julien est resté dans le coma pendant trois semaines. Il a perdu beaucoup de sang, trop de sang. Le 17 octobre, il doit enfin sortir de plus de neuf mois de rééducation fonctionnelle.
Mais il en sortira en fauteuil. Car les dégâts causés par la balle de 12 millimètres sont irréparables. Il a perdu l'usage de son bras droit. Le projectile n'a été extrait que récemment. Le corps médical, raconte sa concubine, émettait des doutes. La retirer pouvait être synonyme de danger.
Le jugement de première instance le condamne à près de 50 000 € de frais et d'amendes diverses, dont 27 000 € au titre de la Mutualité sociale agricole, régime social dont dépend Julien, défendu par Me Sandrine Derisbourg.
«Les gendarmes et la justice ont conclu à un tir tendu direct» commente l'amie de la victime. Le 22 décembre 2013, la société de chasse de Sos organise une de ces battues aux sangliers prévues pour limiter la propagation de l'espèce. Tout va pour le mieux jusqu'en début d'après-midi.
Vers 15 heures, un sanglier se glisse entre les chasseurs. Le septuagénaire lève son arme, tire. Entre lui et l'infortuné Julien il y a le sanglier, puis un autre chasseur. Mais c'est ce jeune cadre de 28 ans qui s'effondre au sol, heurtant au passage un rocher. Il est difficile au départ d'établir les détails de l'accident de chasse. La configuration des lieux ne s'y prête pas, pouvait donner lieu à de multiples interprétations. Tous les témoins du drame sont entendus et, en bout de ligne, à l'issue d'une enquête qui a pris en compte les analyses balistiques, les gendarmes de Nérac parviennent jusqu'à ce septuagénaire qualifié à tout le moins d'imprudent. «Julien a été très déçu car le chasseur ne reconnaissait pas son erreur. Mon ami est aujourd'hui différent depuis qu'il connaît la décision du tribunal.»
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=34230&WS=291720_2501986&WA=6748
La balle est entrée sous l'omoplate gauche, a transpercé les deux poumons pour finalement se loger dans l'autre épaule mais au passage elle a sectionné la moelle épinière. Transporté par hélicoptère au centre hospitalier Pellegrin, Julien est resté dans le coma pendant trois semaines. Il a perdu beaucoup de sang, trop de sang. Le 17 octobre, il doit enfin sortir de plus de neuf mois de rééducation fonctionnelle.
Mais il en sortira en fauteuil. Car les dégâts causés par la balle de 12 millimètres sont irréparables. Il a perdu l'usage de son bras droit. Le projectile n'a été extrait que récemment. Le corps médical, raconte sa concubine, émettait des doutes. La retirer pouvait être synonyme de danger.
Tir tendu direct
«Il est soulagé enfin après avoir pris connaissance de la décision du tribunal» explique la compagne de Julien. Mercredi, le tribunal correctionnel d'Agen a condamné l'auteur du tir, un chasseur expérimenté de 72 ans, à deux ans de prison avec sursis, interdiction à vie de repasser le permis de chasser. Il doit rendre son arme à exécution de la peine. Il est frappé au portefeuille aussi.Le jugement de première instance le condamne à près de 50 000 € de frais et d'amendes diverses, dont 27 000 € au titre de la Mutualité sociale agricole, régime social dont dépend Julien, défendu par Me Sandrine Derisbourg.
«Les gendarmes et la justice ont conclu à un tir tendu direct» commente l'amie de la victime. Le 22 décembre 2013, la société de chasse de Sos organise une de ces battues aux sangliers prévues pour limiter la propagation de l'espèce. Tout va pour le mieux jusqu'en début d'après-midi.
Vers 15 heures, un sanglier se glisse entre les chasseurs. Le septuagénaire lève son arme, tire. Entre lui et l'infortuné Julien il y a le sanglier, puis un autre chasseur. Mais c'est ce jeune cadre de 28 ans qui s'effondre au sol, heurtant au passage un rocher. Il est difficile au départ d'établir les détails de l'accident de chasse. La configuration des lieux ne s'y prête pas, pouvait donner lieu à de multiples interprétations. Tous les témoins du drame sont entendus et, en bout de ligne, à l'issue d'une enquête qui a pris en compte les analyses balistiques, les gendarmes de Nérac parviennent jusqu'à ce septuagénaire qualifié à tout le moins d'imprudent. «Julien a été très déçu car le chasseur ne reconnaissait pas son erreur. Mon ami est aujourd'hui différent depuis qu'il connaît la décision du tribunal.»
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=34230&WS=291720_2501986&WA=6748
vendredi 26 septembre 2014
Un homme blessé par balle à Villard-Bonnot en Isère
Une violente dispute dont on ne connaît pas l'origine a éclaté vers 20h45 sur la place de la Houille à Villars-Bonnot, opposant un individu à un groupe de 3 hommes.
Un client du bar Eden Rock qui donne sur la place tente alors de s'interposer pour calmer la situation lorsqu'un des hommes du groupe de 3 sort une arme de poing et tire un coup de feu dans sa direction, l'atteint à la cuisse et tire un deuxième coup de feu.
La victime rentre alors dans le bar, les volets de l'établissement sont immédiatement baissés, et plusieurs coups de feu sont encore tirés avant que le groupe de 3 individus ne reparte avec un véhicule non identifié .
Légèrement blessé à la main et à la cuisse, la victime âgée de 45 ans a été transportée au CHU de Grenoble où elle doit subir une intervention chirurgicale.
Entendu cette nuit par les gendarmes de la Compagnie de Meylan, l'individu isolé impliqué dans l'altercation à l'origine des coups de feu a été relâché.
Les recherches se poursuivent pour retrouver les 3 individus, dont l'auteur des coups de feu.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/09/26/un-homme-blesse-par-balle-villard-bonnot-en-isere-558934.html
Un client du bar Eden Rock qui donne sur la place tente alors de s'interposer pour calmer la situation lorsqu'un des hommes du groupe de 3 sort une arme de poing et tire un coup de feu dans sa direction, l'atteint à la cuisse et tire un deuxième coup de feu.
La victime rentre alors dans le bar, les volets de l'établissement sont immédiatement baissés, et plusieurs coups de feu sont encore tirés avant que le groupe de 3 individus ne reparte avec un véhicule non identifié .
Légèrement blessé à la main et à la cuisse, la victime âgée de 45 ans a été transportée au CHU de Grenoble où elle doit subir une intervention chirurgicale.
Entendu cette nuit par les gendarmes de la Compagnie de Meylan, l'individu isolé impliqué dans l'altercation à l'origine des coups de feu a été relâché.
Les recherches se poursuivent pour retrouver les 3 individus, dont l'auteur des coups de feu.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/09/26/un-homme-blesse-par-balle-villard-bonnot-en-isere-558934.html
Agen : il sort de garde à vue et agresse un policier
On peut dire, sans risquer l'erreur judiciaire, que ce jeune majeur est hermétique aux leçons et insensible aux avertissements de la police
Mercredi après-midi, tout juste sorti d'une garde à vue au commissariat d'Agen, où il venait d'être entendu, avec deux mineurs, pour des faits de cambriolages commis au préjudice de la police municipale et de la régie de quartier, cet Agenais, libéré sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui, s'est distingué en infligeant des violences à un policier municipal.
Des coups consécutifs à une course-poursuite qui a été enclenchée quand les deux agents patrouillant, sur leur scooter, ont vu passer devant eux, deux personnes circulant sans casque, également en scooter, dans le secteur de l'avenue Henri-Barbusse à Agen.
Plaies au coude et à la main
Se voyant poursuivis, les jeunes ont cherché à fuir. Mais comprenant qu'ils ne pourraient se défaire des deux fonctionnaires, le conducteur du deux-roues a, pour se dégager, donné un coup de pied au plus proche, provoquant sa chute, alors qu'ils arrivaient non loin de la tour Léon-Blum, à Agen. La victime s'en tirera avec des plaies au niveau de la main gauche et du coude droit, nécessitant un arrêt de travail de deux jours selon un médecin.
Déféré ce vendredi
Réussissant à se soustraire à l'arrestation après avoir fait tomber le policier municipal, l'agresseur a continué à rouler, jusqu'à être lui-même victime d'une chute l'obligeant à abandonner son engin pour finir son chemin à pied.
Toute une partie de la journée de jeudi, des patrouilles de police ont cherché à l'appréhender. Sans succès. Mais, en milieu d'après-midi, le propriétaire du scooter s'est finalement présenté de lui-même à l'hôtel de police où il a, une nouvelle fois, été placé en garde à vue. Aucune charge n'a en revanche été retenue à l'encontre de son passager.
L'auteur du coup de pied devrait selon toute vraisemblance être déféré devant un magistrat du parquet ce vendredi. Parquet où l'on envisageait l'éventualité de le faire comparaître devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.
http://www.sudouest.fr/2014/09/26/il-sort-de-garde-a-vue-et-agresse-un-policier-1683872-3415.php
Mercredi après-midi, tout juste sorti d'une garde à vue au commissariat d'Agen, où il venait d'être entendu, avec deux mineurs, pour des faits de cambriolages commis au préjudice de la police municipale et de la régie de quartier, cet Agenais, libéré sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui, s'est distingué en infligeant des violences à un policier municipal.
Des coups consécutifs à une course-poursuite qui a été enclenchée quand les deux agents patrouillant, sur leur scooter, ont vu passer devant eux, deux personnes circulant sans casque, également en scooter, dans le secteur de l'avenue Henri-Barbusse à Agen.
Plaies au coude et à la main
Se voyant poursuivis, les jeunes ont cherché à fuir. Mais comprenant qu'ils ne pourraient se défaire des deux fonctionnaires, le conducteur du deux-roues a, pour se dégager, donné un coup de pied au plus proche, provoquant sa chute, alors qu'ils arrivaient non loin de la tour Léon-Blum, à Agen. La victime s'en tirera avec des plaies au niveau de la main gauche et du coude droit, nécessitant un arrêt de travail de deux jours selon un médecin.
Déféré ce vendredi
Réussissant à se soustraire à l'arrestation après avoir fait tomber le policier municipal, l'agresseur a continué à rouler, jusqu'à être lui-même victime d'une chute l'obligeant à abandonner son engin pour finir son chemin à pied.
Toute une partie de la journée de jeudi, des patrouilles de police ont cherché à l'appréhender. Sans succès. Mais, en milieu d'après-midi, le propriétaire du scooter s'est finalement présenté de lui-même à l'hôtel de police où il a, une nouvelle fois, été placé en garde à vue. Aucune charge n'a en revanche été retenue à l'encontre de son passager.
L'auteur du coup de pied devrait selon toute vraisemblance être déféré devant un magistrat du parquet ce vendredi. Parquet où l'on envisageait l'éventualité de le faire comparaître devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.
http://www.sudouest.fr/2014/09/26/il-sort-de-garde-a-vue-et-agresse-un-policier-1683872-3415.php
Femme happée par un train avec son bébé : la thèse du suicide
La piste du suicide est "totalement privilégiée" au lendemain de la mort d'une jeune femme et de son bébé, percutés par un train régional à Oudon, en Loire-Atlantique.
La piste du suicide est "totalement privilégiée" au lendemain de la mort d'une jeune femme et de son bébé, percutés par un train régional à Oudon (Loire-Atlantique), a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Nantes.
Une enquête pour déterminer les causes de la mort des deux victimes a été ouverte et des autopsies devaient être pratiquées vendredi. Les enquêteurs disposent déjà "d'éléments qui permettent sans difficultés d'évoquer" la thèse du suicide de la jeune femme de 27 ans, une piste "totalement privilégiée".
La jeune femme avait fait l'objet jeudi matin d'un signalement pour disparition inquiétante, selon la même source. Elle marchait le long des voies avec son bébé lorsqu'ils ont été heurtés jeudi soir par un train express régional reliant Nantes à Angers, avaient indiqué les pompiers. Lorsque les secours, appelés peu après 19h00, sont arrivés sur place, la mère et son enfant étaient décédés
Une enquête pour déterminer les causes de la mort des deux victimes a été ouverte et des autopsies devaient être pratiquées vendredi. Les enquêteurs disposent déjà "d'éléments qui permettent sans difficultés d'évoquer" la thèse du suicide de la jeune femme de 27 ans, une piste "totalement privilégiée".
La jeune femme avait fait l'objet jeudi matin d'un signalement pour disparition inquiétante, selon la même source. Elle marchait le long des voies avec son bébé lorsqu'ils ont été heurtés jeudi soir par un train express régional reliant Nantes à Angers, avaient indiqué les pompiers. Lorsque les secours, appelés peu après 19h00, sont arrivés sur place, la mère et son enfant étaient décédés
Les policiers le menottent, sa bande le délivre
Un jeune homme de 19 ans, soupçonné de trafic de stupéfiants, est parvenu à s'extraire d'une voiture de police, mercredi soir, après son interpellation. Un groupe d'une dizaine d'individus s'en est pris aux policiers de la brigade anticriminalité afin de favoriser son évasion.
Les policiers de la brigade anticriminalité n'ont rien pu faire, mercredi soir, dans le quartier Amouroux pour retenir un jeune délinquant. Il était aux environs de 20 heures lorsqu'ils ont repéré cet homme de 19 ans, déjà très connus de leurs services. Ils ont voulu le contrôler mais il a pris la fuite à pied.
Il a traversé la passerelle de la voie ferrée avant d'être rattrapé par les policiers. Il s'est rebellé au cours de son interpellation et les policiers ont dû le plaquer au sol avant de le menotter.
Au moment où la voiture de la BAC allait repartir, un groupe d'une dizaine de personnes est arrivé à hauteur du véhicule. Excités et bien décidés à faire libérer le jeune homme, ils se sont mis à insulter les trois policiers présents. Ils ont encerclé la voiture. Des fonctionnaires sont sortis afin de repousser les assaillants. C'est à ce moment que deux des jeunes garçons sont parvenus à ouvrir la portière de la voiture afin de «libérer» l'homme qui venait d'être interpellé.
Toujours menotté, il est parvenu à s'enfuir, sous la protection de ses «amis». Sans que les fonctionnaires n'aient fait usage de leurs armes, le petit groupe s'est envolé dans le quartier. Malgré leurs recherches dans le secteur, les policiers ne sont pas parvenus à le retrouver. Il devait notamment se débarrasser des menottes qui l'entravaient.
Selon lui, «une nouvelle fois, l'absence de signal fort dissuasif et d'une réelle politique significative de fermeté à l'égard des délinquants caractérise ces offensives déplorables qui réduisent à néant le travail et les efforts de la Police Nationale.»
Cette affaire intervient alors que, de leur côté, les policiers municipaux toulousains tirent le signal d'alarme du fait d'agressions répétées à leur encontre
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/26/1959694-les-policiers-le-menottent-sa-bande-le-delivre.html
Les policiers de la brigade anticriminalité n'ont rien pu faire, mercredi soir, dans le quartier Amouroux pour retenir un jeune délinquant. Il était aux environs de 20 heures lorsqu'ils ont repéré cet homme de 19 ans, déjà très connus de leurs services. Ils ont voulu le contrôler mais il a pris la fuite à pied.
Il a traversé la passerelle de la voie ferrée avant d'être rattrapé par les policiers. Il s'est rebellé au cours de son interpellation et les policiers ont dû le plaquer au sol avant de le menotter.
Une dizaine pour le «libérer»
Sur lui, ils ont retrouvé une petite balance de précision utilisée dans le cadre de trafics de stupéfiants mais aussi de l'argent liquide. Ils l'ont ramené vers leur véhicule banalisé afin de le conduire au commissariat et de le placer en garde à vue. Mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévu.Au moment où la voiture de la BAC allait repartir, un groupe d'une dizaine de personnes est arrivé à hauteur du véhicule. Excités et bien décidés à faire libérer le jeune homme, ils se sont mis à insulter les trois policiers présents. Ils ont encerclé la voiture. Des fonctionnaires sont sortis afin de repousser les assaillants. C'est à ce moment que deux des jeunes garçons sont parvenus à ouvrir la portière de la voiture afin de «libérer» l'homme qui venait d'être interpellé.
Toujours menotté, il est parvenu à s'enfuir, sous la protection de ses «amis». Sans que les fonctionnaires n'aient fait usage de leurs armes, le petit groupe s'est envolé dans le quartier. Malgré leurs recherches dans le secteur, les policiers ne sont pas parvenus à le retrouver. Il devait notamment se débarrasser des menottes qui l'entravaient.
Conditions d'intervention «difficiles»
Hier soir, le jeune homme était toujours dans la nature mais était activement recherché. Cette affaire a suscité l'émoi des policiers. Didier Martinez, secrétaire régional Unité SGP FO, a «dénoncé les difficiles conditions d'intervention des policiers de voie publique, de plus en plus régulièrement pris à partie, agressés et malmenés à l'occasion de l'exercice de leur mission, s'agissant d'interpeller les auteurs de crimes et délits».Selon lui, «une nouvelle fois, l'absence de signal fort dissuasif et d'une réelle politique significative de fermeté à l'égard des délinquants caractérise ces offensives déplorables qui réduisent à néant le travail et les efforts de la Police Nationale.»
Cette affaire intervient alors que, de leur côté, les policiers municipaux toulousains tirent le signal d'alarme du fait d'agressions répétées à leur encontre
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/26/1959694-les-policiers-le-menottent-sa-bande-le-delivre.html
jeudi 25 septembre 2014
Un homme interpellé et menotté par la police prend la fuite
Un homme interpellé dans le quartier Amouroux et menotté par la BAC est parvenu à s'enfuir avec la complicité d'un groupe d'individus qui l'ont extrait de la voiture de police.
Mercredi soir, un individu était interpellé pour trafic de stupéfiants dans le quartier Roseraie, par un équipage de la BAC. Menotté, il était placé dans le véhicule de police pour son transport vers le commissariat central. Mais une dizaine de jeunes se sont portés à la hauteur de l'équipage et ont pris à partie les policiers, alors que dans le même temps d'autres individus parvenaient à extraire l'interpellé menotté et lui permettaient de s'échapper malgré son entrave.
Très vite ensuite, l'individu évadé et ses complices prenaient la fuite. Le syndicat de police, Unité SGP Police FO, par la voix de son représentant, Didier Martinez, dénonce les "difficiles conditions d'intervention des policiers de voie publique, de plus en plus régulièrement pris à partie, agressés et malmenés à l'occasion de l'exercice de leur mission, s'agissant d'interpeller les auteurs de crimes et délits." Le syndicat ajoute : "Une nouvelle fois l'absence de signal fort dissuasif et d'une réelle politique significative de fermeté à l'égard des délinquants caractérise ces offensives déplorables qui réduisent à néant le travail et les efforts de la Police Nationale. Unité SGP Police FO apporte son total soutien aux forces de l'ordre qui demeurent déterminées et professionnelles malgré un contexte qui leur est extrêmement défavorable."
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=34131&WS=291720_2501986&WA=6730
Mercredi soir, un individu était interpellé pour trafic de stupéfiants dans le quartier Roseraie, par un équipage de la BAC. Menotté, il était placé dans le véhicule de police pour son transport vers le commissariat central. Mais une dizaine de jeunes se sont portés à la hauteur de l'équipage et ont pris à partie les policiers, alors que dans le même temps d'autres individus parvenaient à extraire l'interpellé menotté et lui permettaient de s'échapper malgré son entrave.
Très vite ensuite, l'individu évadé et ses complices prenaient la fuite. Le syndicat de police, Unité SGP Police FO, par la voix de son représentant, Didier Martinez, dénonce les "difficiles conditions d'intervention des policiers de voie publique, de plus en plus régulièrement pris à partie, agressés et malmenés à l'occasion de l'exercice de leur mission, s'agissant d'interpeller les auteurs de crimes et délits." Le syndicat ajoute : "Une nouvelle fois l'absence de signal fort dissuasif et d'une réelle politique significative de fermeté à l'égard des délinquants caractérise ces offensives déplorables qui réduisent à néant le travail et les efforts de la Police Nationale. Unité SGP Police FO apporte son total soutien aux forces de l'ordre qui demeurent déterminées et professionnelles malgré un contexte qui leur est extrêmement défavorable."
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=34131&WS=291720_2501986&WA=6730
Un forcené retranché chez lui, s’est rendu
HIRSON (02). Un homme de 30 ans souffrant de schizophrénie s’est retranché dans son appartement du 8 rue Barbusse, ce jeudi vers 12h45. Il refusait de prendre son traitement, et était pour cela prêt à tout : il menaçait de se suicider. Une vingtaine de personnes de l’immeuble ont été évacuées par sécurité. Une douzaine de gendarmes sont intervenus, avec quatre pompiers ainsi que le Samu. L’homme s’est finalement rendu vers 15 heures, il a été transporté à l’hôpital d’Hirson.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-forcene-retranche-chez-lui-s-est-rendu-ia0b0n413512
http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-forcene-retranche-chez-lui-s-est-rendu-ia0b0n413512
Tentative de suicide devant l'hôpital de Luynes (37)
Ce jeudi matin vers 8 h 20 un coup de feu a retenti. Un homme de 70 ans s’est tiré une balle dans la tête devant le centre hospitalier Jean Pagès, à Luynes dans l'Indre-et-Loire. Il a tenté de se suicider.
Pompiers et gendarmes sont intervenus. Grièvement blessé, l'homme a été transporté à l’hôpital de Trousseau à Chambray-lès-Tours (CHRU de Tours). Il est actuellement hospitalisé.
Pour l’instant, aucune information n' a été donnée sur son état de santé, ni sur les raisons de son geste.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/09/25/luynes-37-tentative-de-suicide-devant-l-hopital-558190.html
Pompiers et gendarmes sont intervenus. Grièvement blessé, l'homme a été transporté à l’hôpital de Trousseau à Chambray-lès-Tours (CHRU de Tours). Il est actuellement hospitalisé.
Pour l’instant, aucune information n' a été donnée sur son état de santé, ni sur les raisons de son geste.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/09/25/luynes-37-tentative-de-suicide-devant-l-hopital-558190.html
Lens. Il trouve une Rolex à 20 000 euros dans un bus et la vole
Lorsque l’on trouve un objet perdu dans un bus, il est préférable de le remettre au chauffeur. Mais quand cet objet est une montre Rolex d’une valeur de 20 000 euros, certains n’ont pas ce réflexe de bon citoyen. C’est le cas d’un homme interpellé à Lens, vendredi, après s’être emparé d’un sac oublié dans un bus, contenant une montre de la célèbre et luxueuse marque.
Selon La Voix du Nord, l’homme a été surpris en conflit avec un autre voyageur. Les deux individus semblaient se disputer au sujet d’un sac oublié un bus du réseau Tadao, à la gare routière de Lens. Appelée sur les lieux, la police a interpellé le voleur présumé qui était en possession de la Rolex. Il a ensuite été placé en garde à vue. Il devrait être jugé le 14 novembre prochain pour « vol en réunion ».
Quant au riche propriétaire de la Rolex, il a été retrouvé par les policiers. Il s’agit d’un Albanais de passage à Lens, probablement pour visiter le musée du Louvre.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/25/1959056-lens-trouve-rolex-20-000-euros-bus-vole.html
Selon La Voix du Nord, l’homme a été surpris en conflit avec un autre voyageur. Les deux individus semblaient se disputer au sujet d’un sac oublié un bus du réseau Tadao, à la gare routière de Lens. Appelée sur les lieux, la police a interpellé le voleur présumé qui était en possession de la Rolex. Il a ensuite été placé en garde à vue. Il devrait être jugé le 14 novembre prochain pour « vol en réunion ».
Quant au riche propriétaire de la Rolex, il a été retrouvé par les policiers. Il s’agit d’un Albanais de passage à Lens, probablement pour visiter le musée du Louvre.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/25/1959056-lens-trouve-rolex-20-000-euros-bus-vole.html
mercredi 24 septembre 2014
Trappes (78) : un jeune blessé par balle
Un jeune homme a été blessé par balle mardi soir à Trappes (Yvelines), vraisemblablement au cours d'une rixe entre jeunes au terme d'une soirée agitée dans cette ville de la banlieue dite "sensible", a-t-on appris mercredi de sources policières.
Cet habitant de la ville, âgé de 26 ans, s'est présenté mardi soir à l'hôpital de Trappes, une balle logée dans le ventre, accompagné de deux autres hommes souffrant de contusions. Ses jours ne sont plus en danger.
La police est intervenue une première fois vers 18 heures pour disperser des attroupements dans différents squares de la ville.
Les policiers poursuivent d'abord un jeune, qui tire des gaz lacrymogènes dans leur direction et s'enfuit. A l'aide d'une grenade, ils dispersent ensuite un attroupement d'une quarantaine de personnes qui commençaient à les encercler, sans faire de blessés. Ils découvrent enfin barres de fer, couteaux, une batte de base-ball et des bombes lacrymogènes en fouillant les buissons du square.
Une rixe impliquant une cinquantaine de jeunes
Peu avant 23 heures, la situation se tend à nouveau: une "détonation" retentit square Léo-Lagrange. Sur place, les policiers trouvent une rixe impliquant une cinquantaine de jeunes, qui prennent la fuite à leur arrivée. C'est au cours de ces violences que le jeune homme de 26 ans aurait été blessé par balle.
L'enquête menée par la sûreté départementale des Yvelines "devra le déterminer avec certitude", selon une source proche de l'enquête.
Trappes, ville populaire de 30.000 habitants, avait été le théâtre de plusieurs nuits de violences en juillet 2013, au cours desquelles environ 200 jeunes avaient pris le commissariat d'assaut. Le contrôle d'identité mouvementé d'une jeune femme portant un niqab, en plein ramadan, avait mis le feu aux poudres.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/24/97001-20140924FILWWW00175-trappes-78-un-jeune-blesse-par-balle.php
Cet habitant de la ville, âgé de 26 ans, s'est présenté mardi soir à l'hôpital de Trappes, une balle logée dans le ventre, accompagné de deux autres hommes souffrant de contusions. Ses jours ne sont plus en danger.
La police est intervenue une première fois vers 18 heures pour disperser des attroupements dans différents squares de la ville.
Les policiers poursuivent d'abord un jeune, qui tire des gaz lacrymogènes dans leur direction et s'enfuit. A l'aide d'une grenade, ils dispersent ensuite un attroupement d'une quarantaine de personnes qui commençaient à les encercler, sans faire de blessés. Ils découvrent enfin barres de fer, couteaux, une batte de base-ball et des bombes lacrymogènes en fouillant les buissons du square.
Une rixe impliquant une cinquantaine de jeunes
Peu avant 23 heures, la situation se tend à nouveau: une "détonation" retentit square Léo-Lagrange. Sur place, les policiers trouvent une rixe impliquant une cinquantaine de jeunes, qui prennent la fuite à leur arrivée. C'est au cours de ces violences que le jeune homme de 26 ans aurait été blessé par balle.
L'enquête menée par la sûreté départementale des Yvelines "devra le déterminer avec certitude", selon une source proche de l'enquête.
Trappes, ville populaire de 30.000 habitants, avait été le théâtre de plusieurs nuits de violences en juillet 2013, au cours desquelles environ 200 jeunes avaient pris le commissariat d'assaut. Le contrôle d'identité mouvementé d'une jeune femme portant un niqab, en plein ramadan, avait mis le feu aux poudres.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/24/97001-20140924FILWWW00175-trappes-78-un-jeune-blesse-par-balle.php
Dordogne : elle frappe sa voisine de 93 ans pour 20 euros
Une dispute entre voisines a pris vendredi, à Ribérac, une tournure sordide. Une quadragénaire, confrontée à des difficultés financières, s'est rendue chez la dame d'à côté, âgée de 93 ans, pour lui demander de lui prêter de l'argent.
Face à son refus, la Ribéracoise aurait été prise d'un accès de folie, la mettant au sol et la rouant de coups. Avant de partir, elle se serait emparée de 20 euros.
Placée en garde à vue lundi, la mise en cause a reconnu les faits. Elle a été déférée mardi devant le parquet. Si on ne lui connaît pas d'antécédents judiciaires, il semble qu'elle avait l'habitude de solliciter son voisinage pour qu'on lui prête de l'argent.
Son procès aura lieu au tribunal correctionnel de Périgueux le 29 octobre.
http://www.sudouest.fr/2014/09/24/une-quadragenaire-frappe-sa-voisine-de-93-ans-pour-20-euros-1681276-1980.php
Téléassistance
La victime a pu prévenir les secours grâce à sa téléassistance. Notamment victime d'hématomes au visage, la nonagénaire est sortie de l'hôpital samedi.Placée en garde à vue lundi, la mise en cause a reconnu les faits. Elle a été déférée mardi devant le parquet. Si on ne lui connaît pas d'antécédents judiciaires, il semble qu'elle avait l'habitude de solliciter son voisinage pour qu'on lui prête de l'argent.
Son procès aura lieu au tribunal correctionnel de Périgueux le 29 octobre.
http://www.sudouest.fr/2014/09/24/une-quadragenaire-frappe-sa-voisine-de-93-ans-pour-20-euros-1681276-1980.php
Il écrase sa femme avec son 4x4 par mégarde
C'est un fait divers peu banal qui s'est déroulé dimanche après-midi aux alentours de 16 heures sur la plage de la Vieille-Nouvelle, côté Port-la-Nouvelle, sur cette partie plus sauvage et moins fréquentée. Une dame de 60 ans a été percutée par un 4x4 et même écrasée alors qu'elle se trouvait derrière ce dernier. Écrasée sous le poids du véhicule, la blessée serait atteinte de divers traumatismes à plusieurs endroit du corps, son pronostic vital ne serait cependant pas engagé. D'importants moyens de secours ont été dépêchés sur place, au regard de la gravité des blessures : deux véhicules de secours routier, de Port-la-Nouvelle et Sigean, un groupe d'une dizaine de secouristes, ainsi qu'un hélicoptère du SAMU qui a évacué la blessée vers le centre hospitalier de Carcassonne. L'enquête de gendarmerie a pu déterminer que le 4x4 en question était celui du couple, la dame a été écrasée par son mari qui effectuait une marche arrière, une manœuvre pour changer le véhicule de place. Ce dernier a expliqué qu'il croyait que son épouse était en train de se baigner, comme elle le lui avait indiqué plus tôt. En fait, cette dernière s'est ravisée et s'est allongée derrière le véhicule. Le sable en s'affaissant légèrement a permis d'atténuer la gravité des blessures.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/24/1957757-il-ecrase-sa-femme-avec-son-4x4-par-megarde.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/24/1957757-il-ecrase-sa-femme-avec-son-4x4-par-megarde.html
mardi 23 septembre 2014
Charente : à 13 ans, il conduisait la voiture de son oncle, lui-même en garde-à-vue
Ce sont les riverains de la route de Bordeaux qui ont alerté les policiers en le voyant passer à bord d'une Citroën saxo, ce matin. Une jeune garçon de 13 ans conduisait en effet en toute sérénité ses deux jeunes soeurs, âgées de 6 et 8 ans, et sagement assises sur la banquette arrière. Lors de son arrestation par les forces de l'ordre, il a expliqué, sans paniquer, avoir voulu leur offrir une promenade.
Remarquant l'accent du garçonnet, originaire de Slovaquie et résidant dans le quartier de la Grande Garenne, les policiers angoumoisins ont fait le rapprochement avec un autre ressortissant slovaque, arrêté la veille au soir, dimanche vers 20h30, avenue de Cognac alors qu'il venait d'emboutir deux véhicules en stationnement. Fortement alcoolisé avec près de 2,50 grammes par litre de sang, il avait été reconvoqué au commissariat ce lundi après-midi pour être entendu. Finalement identifié comme l'oncle du très jeune conducteur, il a reconnu avoir laissé traîner ses clés de voiture.
Ramené au commissariat, le jeune garçon a été largement sermonné par les policiers.
Toute la famille est repartie avec un rappel à la loi. L'oncle, âgé de 49 ans a lui été libéré après sa garde-à-vue avec une convocation par l'officier de police judiciaire.
http://www.sudouest.fr/2014/09/22/charente-a-13-ans-il-conduisait-la-voiture-de-son-oncle-lui-meme-en-garde-a-vue-1680010-7.php
Ramené au commissariat, le jeune garçon a été largement sermonné par les policiers.
Toute la famille est repartie avec un rappel à la loi. L'oncle, âgé de 49 ans a lui été libéré après sa garde-à-vue avec une convocation par l'officier de police judiciaire.
http://www.sudouest.fr/2014/09/22/charente-a-13-ans-il-conduisait-la-voiture-de-son-oncle-lui-meme-en-garde-a-vue-1680010-7.php
Une voiture percute une ambulance et finit dans le fossé
Plus de peur que de mal pour cet accident qui s'est produit hier en fin de matinée sur la D622 après le hameau de La Fontasse, commune de Burlats, en direction de Brassac. Une automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture et est venue percuter une ambulance qui arrivait en face. Par miracle, les occupants des deux voitures n'ont pas été blessés. Les gendarmes de Roquecourbe ont assuré la sécurité des lieux le temps de l'intervention des pompiers et du dépanneur.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/23/1957384-une-voiture-percute-une-ambulance-et-finit-dans-le-fosse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/23/1957384-une-voiture-percute-une-ambulance-et-finit-dans-le-fosse.html
Le retraité cambriole... la maison de retraite
Un retraité de Montauban, appréhendé dimanche par les gendarmes de Montech, a reconnu être l'auteur d'un vol avec effraction, commis le matin même, dans un local technique de la maison de retraite de Montech. Interpellé à son domicile de la cité d'Ingres et placé ensuite en garde à vue, l'homme de 58 ans a fait l'objet d'une convocation devant un officier de policier judiciaire. Il devra se présenter le 16 janvier, à 10 heures, devant le tribunal correctionnel de Montauban.
Les faits se sont produits dimanche matin, entre 8 heures et 9 heures, à la maison de retraite Le Parc à Monteich. L'individu n'a eu aucun mal à s'introduire dans l'enceinte de cet établissement qui est ouvert. En revanche, il a fracturé une porte métallique pour pénétrer dans le local technique. Une fois à l'intérieur, il a dérobé plusieurs outils de bricolage et de jardinage : un poste à souder, des casques de protection, un désherbeur thermique, des sangles, un pied-de-biche, un chalumeau… Mais le seul fait de transporter ce matériel passera difficilement inaperçu. Le cambrioleur est vite repéré par personnel de l'établissement, notamment de cuisine. Grâce à un signalement précis fourni par les témoins, les gendarmes de Montech n'ont guère eu de difficulté à interpeller l'individu peu discret. Après sa fuite, il a été retrouvé, à son domicile montalbanais, en possession de tout le matériel volé à la maison de retraite de Montech.
De son côté, Didier Tasset, le directeur de la maison de retraite a salué l'efficacité des gendarmes, ainsi que la réactivité du personnel de l'établissement. «C'est grâce à la vigilance et au sérieux du personnel que cet homme a pu être interpellé rapidement après le vol. Notre établissement est ouvert, mais cela ne veut pas dire que personne ne surveille les allers et venues.» Le directeur du Parc a déposé plainte à la brigade de gendarmerie de Montech après ce vol avec effraction.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/23/1957368-le-retraite-cambriole-la-maison-de-retraite.html
Les faits se sont produits dimanche matin, entre 8 heures et 9 heures, à la maison de retraite Le Parc à Monteich. L'individu n'a eu aucun mal à s'introduire dans l'enceinte de cet établissement qui est ouvert. En revanche, il a fracturé une porte métallique pour pénétrer dans le local technique. Une fois à l'intérieur, il a dérobé plusieurs outils de bricolage et de jardinage : un poste à souder, des casques de protection, un désherbeur thermique, des sangles, un pied-de-biche, un chalumeau… Mais le seul fait de transporter ce matériel passera difficilement inaperçu. Le cambrioleur est vite repéré par personnel de l'établissement, notamment de cuisine. Grâce à un signalement précis fourni par les témoins, les gendarmes de Montech n'ont guère eu de difficulté à interpeller l'individu peu discret. Après sa fuite, il a été retrouvé, à son domicile montalbanais, en possession de tout le matériel volé à la maison de retraite de Montech.
De son côté, Didier Tasset, le directeur de la maison de retraite a salué l'efficacité des gendarmes, ainsi que la réactivité du personnel de l'établissement. «C'est grâce à la vigilance et au sérieux du personnel que cet homme a pu être interpellé rapidement après le vol. Notre établissement est ouvert, mais cela ne veut pas dire que personne ne surveille les allers et venues.» Le directeur du Parc a déposé plainte à la brigade de gendarmerie de Montech après ce vol avec effraction.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/23/1957368-le-retraite-cambriole-la-maison-de-retraite.html
lundi 22 septembre 2014
Collision : la petite Hané, transportée dans un état grave, va mieux
Nous avons relaté dans notre édition de dimanche le terrible accident qui s'est produit en début d'après-midi de samedi au carrefour de la D622 et de la D66. Une collision a impliqué trois véhicules. Six victimes au total dont deux malheureusement décédées : une mère de famille âgée de 40 ans, Caroline Gache, et sa petite fille de 7 ans, Nina. Dos Reis L'autre enfant qui se trouvait à bord de la Peugeot 205 conduite par la maman avait été grièvement blessée. Conduite au centre hospitalier Pays-d'Autan, elle avait ensuite dû être transférée sur Toulouse à bord d'un hélicoptère. Cette prise en charge rapide et efficace a sans doute permis de sauver la vie de la petite Hané, 10 ans. Dès samedi soir, le pronostic vital n'était plus engagé. Son état de santé a continué depuis à s'améliorer. À tel point qu'il est envisagé un retour sur le centre hospitalier de Castres pour le milieu de la semaine, afin bien entendu de la rapprocher le plus tôt possible de sa famille et en particulier de son papa, artisan très apprécié sur la commune.
Cet accident a fait trois autres blessés, plus légèrement atteints : Dominique Dubus, 51 ans, de Brassac ; Jean-François Puget (64 ans) et Simone Puget (62 ans) de Saïx.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/22/1956370-la-petite-hane-va-mieux.html
Cet accident a fait trois autres blessés, plus légèrement atteints : Dominique Dubus, 51 ans, de Brassac ; Jean-François Puget (64 ans) et Simone Puget (62 ans) de Saïx.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/22/1956370-la-petite-hane-va-mieux.html
dimanche 21 septembre 2014
Pau : une concurrente du semi-marathon renversée par une voiture
L'édition du semi-marathon de Pau, la Noste Henric, a été marquée par un accident de la circulation ce dimanche matin, vers 9h30.
Alors que le circuit du centre-ville où évoluaient autour de 600 concurrents était encadré par des commissaires de course, un automobiliste a forcé le passage avant de percuter une semi-marathonienne. Celle-ci a été blessée à la jambe et transportée à l'hôpital.
D'après les premiers témoignages, l'homme, âgé de 90 ans, tenait absolument à passer au niveau du boulevard des Pyrénées. Il aurait accéléré assez fortement pour avancer sans respecter la consigne qui lui imposait d'attendre.
Dans sa lancée, le véhicule a renversé une des concurrentes. Celle-ci a été victime d'une fracture de la cheville.
http://www.sudouest.fr/2014/09/21/pau-une-concurrente-du-semi-marathon-renversee-par-une-voiture-1678744-7.php
D'après les premiers témoignages, l'homme, âgé de 90 ans, tenait absolument à passer au niveau du boulevard des Pyrénées. Il aurait accéléré assez fortement pour avancer sans respecter la consigne qui lui imposait d'attendre.
Dans sa lancée, le véhicule a renversé une des concurrentes. Celle-ci a été victime d'une fracture de la cheville.
http://www.sudouest.fr/2014/09/21/pau-une-concurrente-du-semi-marathon-renversee-par-une-voiture-1678744-7.php
«Ce chauffard ne doit plus pouvoir nuire»
Victime d'un chauffard début septembre en pleine nuit, un Toulousain souffre depuis sur son lit d'hôpital. Le responsable de l'accident a pris la fuite et n'a pas été identifié.
«Il faut que ces gens-là soient mis hors d'état de nuire !» Cloué dans son lit, à la clinique Saint-Jean de Languedoc, Patient, un commerçant de 40 ans, en a assez. Vers 3 heures du matin, dans la nuit du 31 août au 1er septembre, il a été percuté, avenue de Muret à Toulouse, par une voiture qui a pris la fuite. Sévèrement blessé, il a écopé de 45 jours d'incapacité temporaire de travail. Un arrêt officiel, sans doute loin du temps qui lui faudra pour recommencer à pouvoir travailler ; Et aujourd'hui, alors que les policiers de la brigade des accidents du commissariat central continuent d'enquêter, Patient espère voir le chauffard qui l'a fauché répondre de ses actes.
«On sortait du magasin cette nuit-là avec trois copains vers 3 heures. J'ai tiré la grille et me suis approché de la voiture de mon cousin. J'ai ouvert la portière mais j'ai vu au loin une voiture qui arrivait à vive allure, relate Patient. Il zigzaguait. J'ai refermé la portière et me suis collé à la voiture. Le conducteur a perdu le contrôle sur les rails du tram. Quand il a redressé, il est venu taper l'arrière de la voiture.»
Policiers et pompiers se sont immédiatement rendus sur place. La victime a été prise en charge par le Samu tandis que la police a quadrillé le secteur, en vain. «À mon avis, ce sont des gens qui faisaient les fous mais ils n'ont pas conscience des conséquences de leurs actes.»
Après près de trois semaines d'hospitalisation, Patient souffre toujours. Il n'a pas pu reprendre son activité. «Le plus important, ce n'est pas l'argent, mais il faut que cette personne soit arrêtée avant de tuer quelqu'un. J'espère que mon témoignage pourra permettre de l'interpeller.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/21/1956100-ce-chauffard-ne-doit-plus-pouvoir-nuire.html
«Il faut que ces gens-là soient mis hors d'état de nuire !» Cloué dans son lit, à la clinique Saint-Jean de Languedoc, Patient, un commerçant de 40 ans, en a assez. Vers 3 heures du matin, dans la nuit du 31 août au 1er septembre, il a été percuté, avenue de Muret à Toulouse, par une voiture qui a pris la fuite. Sévèrement blessé, il a écopé de 45 jours d'incapacité temporaire de travail. Un arrêt officiel, sans doute loin du temps qui lui faudra pour recommencer à pouvoir travailler ; Et aujourd'hui, alors que les policiers de la brigade des accidents du commissariat central continuent d'enquêter, Patient espère voir le chauffard qui l'a fauché répondre de ses actes.
«On sortait du magasin cette nuit-là avec trois copains vers 3 heures. J'ai tiré la grille et me suis approché de la voiture de mon cousin. J'ai ouvert la portière mais j'ai vu au loin une voiture qui arrivait à vive allure, relate Patient. Il zigzaguait. J'ai refermé la portière et me suis collé à la voiture. Le conducteur a perdu le contrôle sur les rails du tram. Quand il a redressé, il est venu taper l'arrière de la voiture.»
«J'ai perdu connaissance»
La victime a alors le réflexe de sauter sur le capot du chauffard. «Il m'a pris au niveau du tibia. Ma tête a cogné son pare-brise. J'ai perdu connaissance.» Le chauffard a alors freiné et Patient a été projeté sur la chaussée. «Mes cousins ont essayé de le courser mais il a fait demi-tour sur les rails du tram et il est parti.»Policiers et pompiers se sont immédiatement rendus sur place. La victime a été prise en charge par le Samu tandis que la police a quadrillé le secteur, en vain. «À mon avis, ce sont des gens qui faisaient les fous mais ils n'ont pas conscience des conséquences de leurs actes.»
Après près de trois semaines d'hospitalisation, Patient souffre toujours. Il n'a pas pu reprendre son activité. «Le plus important, ce n'est pas l'argent, mais il faut que cette personne soit arrêtée avant de tuer quelqu'un. J'espère que mon témoignage pourra permettre de l'interpeller.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/21/1956100-ce-chauffard-ne-doit-plus-pouvoir-nuire.html
samedi 20 septembre 2014
Une passagère d’un bus gravement blessée
Jeudi vers 19h30, le pilote d’une moto a, pour des raisons inconnues, projeté une bouteille en direction d’un bus de la ligne 7, rue du 24 avril 1915 à Marseille. La bouteille a fracassé une vitre et atteint une passagère de 26 ans au crâne. Elle a été hospitalisée.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3048561/une-passagere-d%E2%80%99un-bus-gravement-blessee.html
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3048561/une-passagere-d%E2%80%99un-bus-gravement-blessee.html
À Purpan, la violence dépasse les vigiles
Les agents de sécurité de l'hôpital Purpan, n'ont plus les moyens d'assurer la sécurité dans les services notamment aux urgences. Ils demandent des effectifs supplémentaires et des moyens de protection.
Ce n'est malheureusement pas nouveau. Dès la fin de semaine, l'hôpital devient le réceptacle de toute la misère humaine et surtout de la violence urbaine. Aux urgences de Purpan, on ne compte plus les débordements nocturnes, les invectives, les tensions, voire les rixes que les agents de sécurité ont de plus en plus de mal à contenir. «Nous sommes régulièrement confrontés à des gens surexcités parfois armés de couteau, de machettes, contre lesquels nous sommes démunis, témoigne un vigile, qui veut rester anonyme. Nous voulons des moyens pour nous défendre». Lui et ses collègues, tous employés de la fonction publique, ne s'expliquent pas pourquoi il y a un peu plus de deux ans, le procureur de la République de Toulouse a décidé de supprimer leur équipement : menottes, matraques télescopiques et gazeuses. «ça fait 30 ans qu'on fonctionnait avec ce matériel, s'insurge-t-il et la violence s'est accrue. On ne peut plus faire face». Certes, il y a eu des formations juridiques et un peu de self-défense. «Un stage de sept jours et encore nous n'avons pas été assermentés alors que les agents de sécurité de Rangueil et de Larrey, qui font beaucoup moins d'interventions que nous, l'ont été, poursuit le vigile. À Rangueil, ils font en un mois ce que l'on fait en trois ou quatre jours. Nous, c'est parfois quinze interventions dans la nuit. Récemment on est tombé sur une bande en relation avec le meurtre d'Ilyès, sans le savoir. C'est la brigade anticriminalité qui nous a avertis». Blessures, absentéisme… les agents de sécurité de l'hôpital Purpan qui sont censés être huit, ne sont jamais le nombre sur le terrain. «Nous sommes en sous-effectifs chroniques et l'on doit faire des heureuses supplémentaires pas forcément payées». Le syndicat CGT a lancé un mot d'ordre de grève pour mercredi prochain portant sur ce mal-être en demandant des moyens supplémentaires, un équipement plus conforme aux interventions des agents et aussi le déblocage des assermentations. Mais la concertation tant attendue devrait commencer lundi. Un rendez-vous pour des négociations est pris à l'Hôtel-Dieu. Signe que la direction de l'hôpital prend la question très au sérieux. Hier, elle n'a pas voulu commenter, ni communiquer sur un dossier en cours, qui fait l'objet d‘un préavis de grève et de discussions. Mais la balle est dans son camp.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955665-a-purpan-la-violence-depasse-les-vigiles.html
Ce n'est malheureusement pas nouveau. Dès la fin de semaine, l'hôpital devient le réceptacle de toute la misère humaine et surtout de la violence urbaine. Aux urgences de Purpan, on ne compte plus les débordements nocturnes, les invectives, les tensions, voire les rixes que les agents de sécurité ont de plus en plus de mal à contenir. «Nous sommes régulièrement confrontés à des gens surexcités parfois armés de couteau, de machettes, contre lesquels nous sommes démunis, témoigne un vigile, qui veut rester anonyme. Nous voulons des moyens pour nous défendre». Lui et ses collègues, tous employés de la fonction publique, ne s'expliquent pas pourquoi il y a un peu plus de deux ans, le procureur de la République de Toulouse a décidé de supprimer leur équipement : menottes, matraques télescopiques et gazeuses. «ça fait 30 ans qu'on fonctionnait avec ce matériel, s'insurge-t-il et la violence s'est accrue. On ne peut plus faire face». Certes, il y a eu des formations juridiques et un peu de self-défense. «Un stage de sept jours et encore nous n'avons pas été assermentés alors que les agents de sécurité de Rangueil et de Larrey, qui font beaucoup moins d'interventions que nous, l'ont été, poursuit le vigile. À Rangueil, ils font en un mois ce que l'on fait en trois ou quatre jours. Nous, c'est parfois quinze interventions dans la nuit. Récemment on est tombé sur une bande en relation avec le meurtre d'Ilyès, sans le savoir. C'est la brigade anticriminalité qui nous a avertis». Blessures, absentéisme… les agents de sécurité de l'hôpital Purpan qui sont censés être huit, ne sont jamais le nombre sur le terrain. «Nous sommes en sous-effectifs chroniques et l'on doit faire des heureuses supplémentaires pas forcément payées». Le syndicat CGT a lancé un mot d'ordre de grève pour mercredi prochain portant sur ce mal-être en demandant des moyens supplémentaires, un équipement plus conforme aux interventions des agents et aussi le déblocage des assermentations. Mais la concertation tant attendue devrait commencer lundi. Un rendez-vous pour des négociations est pris à l'Hôtel-Dieu. Signe que la direction de l'hôpital prend la question très au sérieux. Hier, elle n'a pas voulu commenter, ni communiquer sur un dossier en cours, qui fait l'objet d‘un préavis de grève et de discussions. Mais la balle est dans son camp.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955665-a-purpan-la-violence-depasse-les-vigiles.html
vendredi 19 septembre 2014
Bréhan (56) : deux morts dans un accident de moto
Une vitesse excessive est à l'origine de la perte de contrôle d'une moto à Bréhan dans le Morbihan jeudi soir. Dans l'accident, le pilote de 22 ans et son passager de 26 ans sont décédés.
L'accident s'est produit à 21h50 sur la RD2 entre Bréhan et Rohan. Dans une courbe, une moto, une grosse cylindrée de 600 cm3, a fait un tout droit à cause d'une vitesse excessive. La moto a terminé sa course contre un poteau téléphonique.
Le passager, un homme de 26 ans est décédé sur place avant l'arrivée des secours. Le pilote, un homme de 22 ans, a été transporté dans un état critique à l'hôpital de Pontivy. Il est décédé des suites de ses blessures ce vendredi matin.
Selon les témoins de l'accident et les constatations sur place de la gendarmerie, il ne fait aucun doute que la vitesse excessive est à l'origine de la perte de contrôle.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/faits-divers
L'accident s'est produit à 21h50 sur la RD2 entre Bréhan et Rohan. Dans une courbe, une moto, une grosse cylindrée de 600 cm3, a fait un tout droit à cause d'une vitesse excessive. La moto a terminé sa course contre un poteau téléphonique.
Le passager, un homme de 26 ans est décédé sur place avant l'arrivée des secours. Le pilote, un homme de 22 ans, a été transporté dans un état critique à l'hôpital de Pontivy. Il est décédé des suites de ses blessures ce vendredi matin.
Selon les témoins de l'accident et les constatations sur place de la gendarmerie, il ne fait aucun doute que la vitesse excessive est à l'origine de la perte de contrôle.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/faits-divers
Cannes: un enfant victime d'une tentative d'enlèvement sous les yeux de son père
Un enfant de neuf ans a été approché par un individu qui lui a proposé de le raccompagner chez lui, ce jeudi après-midi à la sortie des cours, devant l'institut Stanislas de Cannes.
L'homme, souffrant visiblement de troubles mentaux, a affirmé à l'enfant que son père lui avait demandé de le ramener chez lui. Mais le père du garçonnet, qui se trouvait à quelques mètres de là, s'est alors interposé.
Il a ensuite alerté la police municipale qui a interpellé l'individu et l'a amené au commissariat. Le père de famille n'a pourtant pas pu porter plainte. On lui a expliqué que l'homme n'ayant pas touché l'enfant, on ne pouvait considérer ces faits comme une tentative d'enlèvement.
Il a donc dû se contenter de déposer une main courante et l'homme qui avait abordé son fils est sorti libre et sans poursuites du commissariat.
Le papa cannois a le soir-même adressé un mail au Garde des Sceaux pour s'indigner de cette situation. "Faudra-t-il qu'un enfant soit tué ou violé pour que quelque chose soit fait?" s'indigne-t-il.
http://www.nicematin.com/cannes/cannes-un-enfant-victime-dune-tentative-denlevement-sous-les-yeux-de-son-pere.1909084.html
L'homme, souffrant visiblement de troubles mentaux, a affirmé à l'enfant que son père lui avait demandé de le ramener chez lui. Mais le père du garçonnet, qui se trouvait à quelques mètres de là, s'est alors interposé.
Il a ensuite alerté la police municipale qui a interpellé l'individu et l'a amené au commissariat. Le père de famille n'a pourtant pas pu porter plainte. On lui a expliqué que l'homme n'ayant pas touché l'enfant, on ne pouvait considérer ces faits comme une tentative d'enlèvement.
Il a donc dû se contenter de déposer une main courante et l'homme qui avait abordé son fils est sorti libre et sans poursuites du commissariat.
Le papa cannois a le soir-même adressé un mail au Garde des Sceaux pour s'indigner de cette situation. "Faudra-t-il qu'un enfant soit tué ou violé pour que quelque chose soit fait?" s'indigne-t-il.
http://www.nicematin.com/cannes/cannes-un-enfant-victime-dune-tentative-denlevement-sous-les-yeux-de-son-pere.1909084.html
Saint-Cyprien. Inoubliable Carmen, tuée par une voiture
«Qu'est ce que je vais devenir ?» se désole Gilbert, en rassemblant les photos de son épouse sur la table du salon. C'est ici, dans ce modeste pavillon rue Delpy, quartier Saint-Cyprien, à Toulouse que Gilbert et Carmen Soldevila coulaient leur paisible retraite dans cette maison achetée en 1987, bien avant l'arrivée du tram avenue de Muret. Gilbert, ancien commercial de 81 ans, sait que rien ne sera comme avant. Le destin entre sans frapper et vous prend à la gorge. «C'est une bombe qui m'est tombée dessus», dit-il, foudroyé par la violente disparition de son épouse, après 48 ans de vie commune. Percutée et tuée accidentellement par une voiture à deux pas de leur maison, rue du Cimetière Saint-Cyprien, vendredi matin 12 septembre, Carmen, 79 ans, ancienne femme de ménage, était une figure de ce quartier. Chaque riverain garde un souvenir ému de cette retraitée alerte qui promenait les chiens tous les matins vers 8 heures. «Votre femme part pour une balade habituelle et ne revient plus», lance Gilbert, perdu dans un puits d'incompréhension. Inhumée, hier, au cimetière de son quartier, Carmen, ou plutôt Arlette pour ses proches, laisse le souvenir impérissable d'une retraitée «sympathique, agréable et gentille.» Toujours prête à rendre service avec le sourire en plus, «elle faisait les courses pour les gens du quartier qui le souhaitaient». Quand elle promenait les chiens, Eldi et Teo, un chihuahua tué avec elle dans l'accident, tous les écoliers du quartier s'arrêtaient pour caresser les bêtes. Casanière et sans enfants, Carmen aimait entretenir sa villa et le jardin de leur maison de campagne, près de Boulogne-sur-Gesse. Ce 12 septembre à 8 h 10, des voitures en double file, un soleil aveuglant et c'est le drame. Carmen traverse la rue du Cimetière avec les deux chiens, dont un qu'elle garde pour une amie. Une voiture double un véhicule en stationnement sur la route et la conductrice, aveuglée par les lueurs matinales du soleil ne voit pas Carmen dont le corps chute violemment au sol. «C'est un voisin qui m'a prévenu, raconte Gilbert. Je suis sorti d'un coup. Quand j'ai vu les médecins du Samu qui ont tout fait pour la réanimer, j'ai vite compris…» Eldi, le berger allemand rescapé, a passé trois jours à gémir. Carmen va leur manquer.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/19/1954514-saint-cyprien-inoubliable-carmen-tuee-par-une-voiture.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/19/1954514-saint-cyprien-inoubliable-carmen-tuee-par-une-voiture.html
jeudi 18 septembre 2014
Veauche : un cas de méningite chez une fillette de maternelle
Une méningite a été détectée lundi chez une fillette de 4 ans et demi de Veauche. Hospitalisée en réanimation au CHU de Saint-Etienne, l’enfant a vu son état s’améliorer et ses jours ne sont pas en danger.
Le milieu familial s’est vu prescrire un antibiotique de même que les élèves de la classe maternelle Marcel-Pagnol à Veauche, où la fillette est scolarisée, afin d’éviter une propagation de la maladie.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/09/18/veauche-un-cas-de-meningite-chez-une-fillette-de-maternelle
Le milieu familial s’est vu prescrire un antibiotique de même que les élèves de la classe maternelle Marcel-Pagnol à Veauche, où la fillette est scolarisée, afin d’éviter une propagation de la maladie.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/09/18/veauche-un-cas-de-meningite-chez-une-fillette-de-maternelle
Herrlisheim : deux adolescents éjectés d'un manège
L'accident s'est produit vers 18h30, lors du messti qui s'est terminé mercredi soir. Il est vraisemblablement dû à une imprudence de l'un deux adolescents. Les deux jeunes, blessés, ont été transportés vers le centre hospitalier de Haguenau.
L'engin sur lequel avaient pris place les deux adolescents est un manège composé d'un grand poteau auquel sont rattachés trois autres plots supportant chacun six fauteuils. Ceux-ci tournent sur eux-mêmes en même temps qu'ils tournent autour du poteau central.
Le jeune homme de 15 ans et ainsi que la jeune fille de 12 ans étaient sur le manège, quand celui-ci a démarré, le garçon s'est relevé et a réussi à se dégager de la barre de protection qui doit rester rabattue pendant que manège est en route.
Les deux jeunes ont alors été éjectés. Le garçon est tombé sur un forain qu'il a blessé dans sa chute. La jeune fille a elle été coupée au bras.
Les gendarmes de Soufflenheim se sont rendus sur place pour entendre les témoins et de vérifier la conformité de l'attraction. D'après leurs constatations, le manège était parfaitement en règle. L'accident est imputable à l'imprudence de l'adolescent qui aurait dû rester assis.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/09/18/herrlisheim-deux-adolescents-ejectes-d-un-manege-553300.html
L'engin sur lequel avaient pris place les deux adolescents est un manège composé d'un grand poteau auquel sont rattachés trois autres plots supportant chacun six fauteuils. Ceux-ci tournent sur eux-mêmes en même temps qu'ils tournent autour du poteau central.
Le jeune homme de 15 ans et ainsi que la jeune fille de 12 ans étaient sur le manège, quand celui-ci a démarré, le garçon s'est relevé et a réussi à se dégager de la barre de protection qui doit rester rabattue pendant que manège est en route.
Les deux jeunes ont alors été éjectés. Le garçon est tombé sur un forain qu'il a blessé dans sa chute. La jeune fille a elle été coupée au bras.
Les gendarmes de Soufflenheim se sont rendus sur place pour entendre les témoins et de vérifier la conformité de l'attraction. D'après leurs constatations, le manège était parfaitement en règle. L'accident est imputable à l'imprudence de l'adolescent qui aurait dû rester assis.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/09/18/herrlisheim-deux-adolescents-ejectes-d-un-manege-553300.html
Bordeaux : une nouvelle victime de la pilule en quête d’indemnisation
Victime d’un AVC après avoir pris la pilule de 3e génération, une habitante de Pessac plaide devant la commission d’indemnisation des victimes d’infractions. Une première.
Jolie jeune femme de 29 ans, Leslie Pervieux dissimule une vraie douleur derrière son sourire et ses yeux bleus. « J'ai pris la pilule Meliane en 2007. J'ai fait un AVC (accident vasculaire cérébral, NDLR) au début du mois de décembre 2010.
Depuis, j'ai perdu 50 % de l'acuité visuelle de mon œil gauche et je souffre de pertes de mémoire. J'ai perdu des souvenirs antérieurs à mon AVC et j'ai des difficultés de mémoire immédiate. »
Dans le cas de Leslie Pervieux, son avocat, Me François Lafforgue, a choisi d'emprunter une autre voie en allant directement devant la commission d'indemnisation des victimes d'infractions (Civi). Il a, de plus, demandé et obtenu la publicité des débats - ouverture au public et à la presse - alors que les dossiers qui viennent devant la Civi sont habituellement traités à huis clos.
Dans les conclusions qu'il a développées à Bordeaux, Me Lafforgue met en cause les prescripteurs de la pilule incriminée, deux gynécologues et un médecin généraliste, le laboratoire Bayer ainsi que l'État, dont il souligne « la carence fautive dans la prévention des risques ».
Si les magistrats bordelais ne sont pas habitués à ce type de démarche, François Lafforgue n'en est pas à son coup d'essai. « C'est la première fois que je viens directement devant la Civi pour un cas lié à la Meliane. Mais nous l'avons déjà fait à de nombreuses reprises et avec succès, en région parisienne, dans le nord de la France et à Marseille, pour des cas de saturnisme chez des enfants, liés à l'insalubrité de bâtiments. »
Le cabinet parisien Teissonnière-Topaloff-Lafforgue-Andreu a également éprouvé la méthode dans le dossier de l'amiante, qu'il a été l'un des premiers à porter devant la justice il y a une vingtaine d'années.
L'avocat, en suivant cette voie, espère parvenir à une indemnisation rapide de sa cliente. « Une plainte pénale contre les différents médecins et contre Bayer, qui fabrique la Meliane, aurait pris vingt ans », a-t-il plaidé hier devant la Civi.
La décision a été mise en délibéré au 15 octobre. À la sortie de l'audience, Me François Lafforgue n'affichait aucune inquiétude. « Nous attendrons la décision. Si elle n'est pas favorable, nous irons en appel. Dans tous les cas, la décision de la commission d'indemnisation est détachée de la procédure pénale. »
Leslie Pervieux espère pour sa part que tout cela ne prendra pas trop de temps. « On m'a reconnu une incapacité permanente partielle (IPP) de 25 %. Mais c'est tout de même très difficile au quotidien. En raison des pertes de mémoire, je dois redoubler d'attention et prendre beaucoup de notes. »
Accompagnée de sa mère, elle souhaite revenir le 15 octobre prochain pour connaître la décision du tribunal avec l'espoir d'éviter une longue procédure.
http://www.sudouest.fr/2014/09/18/une-victime-de-la-pilule-en-quete-d-indemnisation-1674858-2780.php
Jolie jeune femme de 29 ans, Leslie Pervieux dissimule une vraie douleur derrière son sourire et ses yeux bleus. « J'ai pris la pilule Meliane en 2007. J'ai fait un AVC (accident vasculaire cérébral, NDLR) au début du mois de décembre 2010.
La pilule Meliane dans le collimateur
Des séquelles handicapantes liées à l'AVC, dont des expertises médicales ont démontré qu'il était lié à la prise de la Meliane, contraceptif dit de troisième génération, mis en cause dans plusieurs dizaines de cas en France depuis que Marion Larat, autre jeune Bordelaise, a lancé la première en 2012 une procédure contre le laboratoire Bayer, fabricant de la Meliane. Depuis, plusieurs dizaines de plaintes contre ce moyen contraceptif, notamment des plaintes pénales, ont été déposées.Dans le cas de Leslie Pervieux, son avocat, Me François Lafforgue, a choisi d'emprunter une autre voie en allant directement devant la commission d'indemnisation des victimes d'infractions (Civi). Il a, de plus, demandé et obtenu la publicité des débats - ouverture au public et à la presse - alors que les dossiers qui viennent devant la Civi sont habituellement traités à huis clos.
Démarche surprenante
Face à un trio de magistrates, la présidente Hélène Mornet et ses deux assesseurs ainsi qu'une vice-procureur, Anne-Marie Laprie, visiblement surprises de la démarche, l'avocat a développé la thèse selon laquelle la commission d'indemnisation des victimes peut parfaitement s'emparer de ce dossier sans passer par la case pénale. Pour l'avocat parisien, « toutes les conditions de recevabilité sont réunies ».Dans les conclusions qu'il a développées à Bordeaux, Me Lafforgue met en cause les prescripteurs de la pilule incriminée, deux gynécologues et un médecin généraliste, le laboratoire Bayer ainsi que l'État, dont il souligne « la carence fautive dans la prévention des risques ».
Si les magistrats bordelais ne sont pas habitués à ce type de démarche, François Lafforgue n'en est pas à son coup d'essai. « C'est la première fois que je viens directement devant la Civi pour un cas lié à la Meliane. Mais nous l'avons déjà fait à de nombreuses reprises et avec succès, en région parisienne, dans le nord de la France et à Marseille, pour des cas de saturnisme chez des enfants, liés à l'insalubrité de bâtiments. »
Le cabinet parisien Teissonnière-Topaloff-Lafforgue-Andreu a également éprouvé la méthode dans le dossier de l'amiante, qu'il a été l'un des premiers à porter devant la justice il y a une vingtaine d'années.
L'avocat, en suivant cette voie, espère parvenir à une indemnisation rapide de sa cliente. « Une plainte pénale contre les différents médecins et contre Bayer, qui fabrique la Meliane, aurait pris vingt ans », a-t-il plaidé hier devant la Civi.
La décision mise en délibéré
Ses arguments ont sans doute retenu l'attention des magistrats. Ils n'ont pas pour autant convaincu la vice-procureur Anne-Marie Laprie. « Sur le fond, cette procédure n'est pas respectueuse de la victime, qui souffre probablement et veut comprendre. On instrumentalise la Civi. Vous déclarez qu'il y a un comportement fautif et vous demandez une indemnisation en mettant en cause deux ou trois médecins. À partir de quoi la Civi peut-elle dire s'il y a eu faute ou non ? Une plainte pénale aurait permis un débat contradictoire. Votre choix de procédure est voué à l'échec et, pour tout dire, je suis un peu fâchée. »La décision a été mise en délibéré au 15 octobre. À la sortie de l'audience, Me François Lafforgue n'affichait aucune inquiétude. « Nous attendrons la décision. Si elle n'est pas favorable, nous irons en appel. Dans tous les cas, la décision de la commission d'indemnisation est détachée de la procédure pénale. »
Leslie Pervieux espère pour sa part que tout cela ne prendra pas trop de temps. « On m'a reconnu une incapacité permanente partielle (IPP) de 25 %. Mais c'est tout de même très difficile au quotidien. En raison des pertes de mémoire, je dois redoubler d'attention et prendre beaucoup de notes. »
Accompagnée de sa mère, elle souhaite revenir le 15 octobre prochain pour connaître la décision du tribunal avec l'espoir d'éviter une longue procédure.
http://www.sudouest.fr/2014/09/18/une-victime-de-la-pilule-en-quete-d-indemnisation-1674858-2780.php
Willer-sur-Thur : un camion forestier dans un ravin: un blessé grave
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé à la suite d'un accident de camion forestier survenu mercredi dans la soirée, chemin de la Goutte, à Willer-sur-Thur en direction d'Altenbach.
Le véhicule Unimog a dévalé un ravin sur une trentaine de mètres en contrebas avant d'être stoppé par un arbre. L'homme qui était au volant s'est retrouvé coincé dans sa cabine. Le quinquagénaire n'a pas pu s'extraire du véhicule.
Ce sont les pompiers de Willer-sur-Thur, Thann, Mulhouse, une équipe de premièr intervention en milieu de montagne (EPIMM) de la Thur des pompiers de Saint-Amarin, du Grimp (groupe de recherche et d'intervention en milieu périlleux) de Saint-Louis, un infirmier pompier de Burnhaupt-le-Bas, un médecin pompier du groupement centre et le Samu 68, qui ont porté secours à la victime souffrant de multiples fractures.
L'intervention a été menée sous la direction du chef de colonne Emmanuel Munnier et du chef de groupe le lieutenant Daniel Dietrich. Durant une heure, les secouristes ont procédé à la désincarcération du conducteur.
Ensuite, l'homme a été transporté à l'hôpital Emile Muller à Mulhouse.
Les gendarmes de Thann se sont rendus sur place pour les constatations.
http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/18/willer-sur-thur-un-camion-forestier-dans-un-ravin-un-blesse-grave
Le véhicule Unimog a dévalé un ravin sur une trentaine de mètres en contrebas avant d'être stoppé par un arbre. L'homme qui était au volant s'est retrouvé coincé dans sa cabine. Le quinquagénaire n'a pas pu s'extraire du véhicule.
Ce sont les pompiers de Willer-sur-Thur, Thann, Mulhouse, une équipe de premièr intervention en milieu de montagne (EPIMM) de la Thur des pompiers de Saint-Amarin, du Grimp (groupe de recherche et d'intervention en milieu périlleux) de Saint-Louis, un infirmier pompier de Burnhaupt-le-Bas, un médecin pompier du groupement centre et le Samu 68, qui ont porté secours à la victime souffrant de multiples fractures.
L'intervention a été menée sous la direction du chef de colonne Emmanuel Munnier et du chef de groupe le lieutenant Daniel Dietrich. Durant une heure, les secouristes ont procédé à la désincarcération du conducteur.
Ensuite, l'homme a été transporté à l'hôpital Emile Muller à Mulhouse.
Les gendarmes de Thann se sont rendus sur place pour les constatations.
http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/18/willer-sur-thur-un-camion-forestier-dans-un-ravin-un-blesse-grave
Orages: une femme est morte noyée dans l’Aveyron
Une femme a été retrouvée morte noyée mercredi après-midi suite aux fortes intempéries qui ont provoqué de brusques montées des eaux dans l’Aveyron, a annoncé le ministère de l’Intérieur dans la soirée.
Cette victime a été retrouvée sur les berges du Dourdou, à Arnac, dans le sud du département de l’Aveyron, a précisé à l’AFP le ministère.
La femme se trouvait sur un pont, elle s’est penchée en contrebas et a chuté. Elle a ensuite péri noyée dans le cours d’eau, ont précisé les secours.
La région Languedoc-Roussillon «est traversée par des cellules orageuses de forte intensité, qui ont malheureusement provoqué la mort d’une personne dans l’Aveyron cet après-midi», a annoncé le ministre Bernard Cazeneuve dans un communiqué.
Il «a demandé aux forces de sécurité civile une mobilisation totale» face à cet épisode orageux violent. Au total, plus de 400 sapeurs-pompiers «sont à pied d’oeuvre aux côtés des gendarmes, policiers, agents des collectivités territoriales et des opérateurs publics, dans les départements du Gard, de l’Hérault et de l’Aveyron», précise le ministère.
M. Cazeneuve a également «décidé d’engager des moyens nationaux de la sécurité civile en renforts des secours locaux», ajoute le communiqué, sans autre précision.
Dans l’Aveyron, la décrue du Dourdou, un affluent du Tarn qui avait débordé dans le sud-est du département près de Camarès, suite à des fortes pluies allant jusqu’à 160 mm, a commencé dès la mi-journée, car la pluie a cessé. Une centaine de pompiers du département restaient mobilisés mercredi soir jusqu’à jeudi matin, de nouvelles pluies étant attendues.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/17/orages-une-femme-est-morte-noyee-dans-l-aveyron
Cette victime a été retrouvée sur les berges du Dourdou, à Arnac, dans le sud du département de l’Aveyron, a précisé à l’AFP le ministère.
La femme se trouvait sur un pont, elle s’est penchée en contrebas et a chuté. Elle a ensuite péri noyée dans le cours d’eau, ont précisé les secours.
La région Languedoc-Roussillon «est traversée par des cellules orageuses de forte intensité, qui ont malheureusement provoqué la mort d’une personne dans l’Aveyron cet après-midi», a annoncé le ministre Bernard Cazeneuve dans un communiqué.
Il «a demandé aux forces de sécurité civile une mobilisation totale» face à cet épisode orageux violent. Au total, plus de 400 sapeurs-pompiers «sont à pied d’oeuvre aux côtés des gendarmes, policiers, agents des collectivités territoriales et des opérateurs publics, dans les départements du Gard, de l’Hérault et de l’Aveyron», précise le ministère.
M. Cazeneuve a également «décidé d’engager des moyens nationaux de la sécurité civile en renforts des secours locaux», ajoute le communiqué, sans autre précision.
Dans l’Aveyron, la décrue du Dourdou, un affluent du Tarn qui avait débordé dans le sud-est du département près de Camarès, suite à des fortes pluies allant jusqu’à 160 mm, a commencé dès la mi-journée, car la pluie a cessé. Une centaine de pompiers du département restaient mobilisés mercredi soir jusqu’à jeudi matin, de nouvelles pluies étant attendues.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/17/orages-une-femme-est-morte-noyee-dans-l-aveyron
mercredi 17 septembre 2014
Elle réclame 150.000 euros à son chirurgien esthétique pour une photo sur le web
Une patiente a décidé de porter plainte contre son chirurgien esthétique, pour avoir publié une photo d'elle, avant et après opération, sur son site internet, sans autorisation. Le médecin est poursuivi pour "atteinte à la vie privée et violation du droit à l'image". Une information RTL.
Cette patiente dit en effet s'être sentie "complètement trahie" après la publication de ces images. Interrogée par la radio RTL, elle témoigne : "Je lui ai confié mon visage, je lui ai confié mes secrets, je lui ai confié mes complexes, exposée comme ça sur la place publique, c'est comme un viol. Je me suis sentie complètement trahie parce que là maintenant, tout le monde est au courant, les gens se fichent de moi. Qu'il se serve de ça pour sa propre publicité, je trouve ça ignoble quoi". Il s'agit de la première plainte de ce genre.
Une femme d'une cinquantaine d'années a décidé de porter plainte contre son chirurgien esthétique, "pour atteinte à la vie privée et violation du droit à l'image". Elle lui reproche d'avoir publié, sur son site internet, des photos d'elle, avant et après son opération (un lifting cervico-facial), pour faire sa publicité et ce, sans même lui avoir demandé son autorisation. Accompagnée de son avocat, Alexandre Blondieau, elle réclame aujourd'hui 150 000 de dommages et intérêts pour le préjudice causé, révèle ce mercred la radio RTL.
Cette patiente dit en effet s'être sentie "complètement trahie" après la publication de ces images. Interrogée par la radio RTL, elle témoigne : "Je lui ai confié mon visage, je lui ai confié mes secrets, je lui ai confié mes complexes, exposée comme ça sur la place publique, c'est comme un viol. Je me suis sentie complètement trahie parce que là maintenant, tout le monde est au courant, les gens se fichent de moi. Qu'il se serve de ça pour sa propre publicité, je trouve ça ignoble quoi". Il s'agit de la première plainte de ce genre.
Dordogne : une femme et un enfant blessés devant une école
Une femme et un enfant de 12 ans ont été blessés ce mardi matin, sur le parking situé en face de l'école de Creysse, à côté de Bergerac.
Il est aux environs de 8 h 30 quand une maman vient déposer ses enfants à école.Dans sa manoeuvre de stationnement, elle percute une autre voiture, dont la conductrice est en train de rentrer dans son habitacle. Elle se retrouve les deux chevilles coincées par la première voiture.
Elle a été évacuée par les pompiers vers l'hôpital de Bergerac. Tout comme un jeune garçon de 12 ans, touché légèrement à l'épaule.
La conductrice ayant raté sa manoeuvre ne serait pas titulaire du permis de conduire.
http://www.sudouest.fr/2014/09/17/creysse-24-une-femme-et-un-enfant-blesses-devant-l-ecole-1674537-1814.php
Elle a été évacuée par les pompiers vers l'hôpital de Bergerac. Tout comme un jeune garçon de 12 ans, touché légèrement à l'épaule.
La conductrice ayant raté sa manoeuvre ne serait pas titulaire du permis de conduire.
http://www.sudouest.fr/2014/09/17/creysse-24-une-femme-et-un-enfant-blesses-devant-l-ecole-1674537-1814.php
Un homme retrouvé mort dans un fossé
Hier matin, vers 9 h 30, les gendarmes sont alertés après qu'un cycliste ait repéré un homme inanimé, dans un fossé, à l'entrée de la commune de Cizos, sur la RD 137. Sur place, les enquêteurs constataient le décès de l'homme, âgé d'une cinquantaine d'années, qui avait été victime d'un arrêt cardiaque. Le décès, selon les premières estimations, devait remonter à lundi après-midi. L'homme vivait seul, aussi aucun signalement de disparition n'avait été lancé.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/17/1953371-un-homme-retrouve-mort-dans-un-fosse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/17/1953371-un-homme-retrouve-mort-dans-un-fosse.html
mardi 16 septembre 2014
Plounévez-Lochrist : mort suspecte d'un homme de 65 ans
Dimanche matin, un habitant de Plounévez-Lochrist a été retrouvé mort, à son domicile. C'est un proche qui avait l'habitude de lui venir lui rendre visite qui a fait la découverte. Considérée comme une personne discrète, Glenn Miller, d'origine anglaise, vivait seul dans une maison dont il avait hérité. La section de recherches de Rennes a été dépêchée sur place afin de mener les investigations.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/09/16/plounevez-lochrist-mort-suspecte-d-un-homme-de-65-ans-551726.html
Une enquête judiciaire ouverte
L'autopsie doit être pratiquée ce mardi 16 septembre et devra déterminer les circonstances de la mort de Glenn Miller. Une enquête judiciaire a été ouverte, les services de police ne souhaitant écarter aucune piste.http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/09/16/plounevez-lochrist-mort-suspecte-d-un-homme-de-65-ans-551726.html
Le Bugue (24) : un piéton fauché sur la route est décédé ce mardi matin
Un habitant du Bugue est décédé ce mardi matin dans un accident de la route. Il marchait sur l'avenue de la Gare (route venant de Campagne), quand il a été renversé par un véhicule vers 10 heures. L'homme, âgé de 70 ans, est décédé.
Les circonstances du drame n'ont pas encore été précisées.
http://www.sudouest.fr/2014/09/16/le-bugue-24-un-pieton-fauche-sur-la-route-est-decede-ce-mardi-matin-1673324-1898.php
Les circonstances du drame n'ont pas encore été précisées.
http://www.sudouest.fr/2014/09/16/le-bugue-24-un-pieton-fauche-sur-la-route-est-decede-ce-mardi-matin-1673324-1898.php
La Bâthie: un jeune homme de 25 ans meurt à la chasse
La Bâthie, l’ouverture de la chasse a été marquée par le décès accidentel d’Eddy Lison, un jeune homme de 25 ans, domicilié à Saint-Paul-sur-Isère. Celui-ci a fait une chute d’environ 200 mètres alors qu’il tentait de retrouver un chamois qu’il pensait avoir touché. L’enquête a été confiée à la communauté de brigades de gendarmerie d’Albertville.
http://www.ledauphine.com/savoie/2014/09/15/un-jeune-homme-de-25-ans-decede-a-la-chasse
http://www.ledauphine.com/savoie/2014/09/15/un-jeune-homme-de-25-ans-decede-a-la-chasse
lundi 15 septembre 2014
Une jeune femme de 19 ans gravement blessée après une dispute à Grenoble
Dimanche 14 septembre à 18 heures, les secours ont été appelés pour une violente dispute, au 2e étage d'un appartement situé rue Marx Dormoy à Grenoble. Deux femmes d'une vingtaine d'années se sont battues, armées de tire-bouchon et de bouteilles. L'une d'elles est gravement blessée au visage.
Il y avait plusieurs personnes dans l'appartement de la rue Marx Dormoy à Grenoble, lorsque la dispute a éclaté entre les deux jeunes femmes. Elle se seraient visiblement battues armées de tire-bouchon et d'une ou plusieurs bouteilles en verre.
L'une d'elles a été gravement blessée au visage. Prise en charge au CHU de Grenoble-La Tronche, elle est âgée de 19 ans.
La présumée auteur des coups, âgée de 20 ans, souffre également de plaies diverses mais ses blessures seraient légères.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/09/15/une-jeune-femme-de-19-ans-gravement-blessee-apres-une-dispute-grenoble-551080.html
Il y avait plusieurs personnes dans l'appartement de la rue Marx Dormoy à Grenoble, lorsque la dispute a éclaté entre les deux jeunes femmes. Elle se seraient visiblement battues armées de tire-bouchon et d'une ou plusieurs bouteilles en verre.
L'une d'elles a été gravement blessée au visage. Prise en charge au CHU de Grenoble-La Tronche, elle est âgée de 19 ans.
La présumée auteur des coups, âgée de 20 ans, souffre également de plaies diverses mais ses blessures seraient légères.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/09/15/une-jeune-femme-de-19-ans-gravement-blessee-apres-une-dispute-grenoble-551080.html
Nice. Il meurt écrasé par un tramway après une altercation pour une cigarette
Une simple altercation pour une cigarette a tourné au drame dimanche à Nice. Un jeune homme est décédé, écrasé par un tramway.
Les faits se sont déroulés dimanche soir dans le centre-ville de la préfecture des Alpes-Maritimes. A l'origine du drame, "une altercation entre deux hommes d'une vingtaine d'années pour une histoire de cigarette, un motif futile et bénin, qui a dégénéré en bousculade", a expliqué Fabienne Lewandowski, directrice départementale adjointe de la sécurité publique. "L'un d'eux a poussé ou repoussé l'autre et le jeune homme est tombé sur la voie, au moment où le tramway arrivait. Le chauffeur a freiné d'urgence, mais ça n'a pas suffi et l'individu a été percuté", a-t-elle précisé.
La victime, dégagée de la voie en soulevant la rame au moyen de vérins hydrauliques, est morte très rapidement de ses blessures. L'autre homme, resté sur le quai après l'accident, était en garde à vue ce lundi matin. Les enquêteurs devaient aussi entendre les nombreux témoins de la scène.
Il s'agit du deuxième accident mortel provoqué par le tramway à Nice. En 2010, une dame âgée avait été renversée et tuée sur le coup, alors qu'elle traversait juste devant une rame
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/15/1951940-nice-meurt-ecrase-tramway-apres-altercation-cigarette.html
Les faits se sont déroulés dimanche soir dans le centre-ville de la préfecture des Alpes-Maritimes. A l'origine du drame, "une altercation entre deux hommes d'une vingtaine d'années pour une histoire de cigarette, un motif futile et bénin, qui a dégénéré en bousculade", a expliqué Fabienne Lewandowski, directrice départementale adjointe de la sécurité publique. "L'un d'eux a poussé ou repoussé l'autre et le jeune homme est tombé sur la voie, au moment où le tramway arrivait. Le chauffeur a freiné d'urgence, mais ça n'a pas suffi et l'individu a été percuté", a-t-elle précisé.
La victime, dégagée de la voie en soulevant la rame au moyen de vérins hydrauliques, est morte très rapidement de ses blessures. L'autre homme, resté sur le quai après l'accident, était en garde à vue ce lundi matin. Les enquêteurs devaient aussi entendre les nombreux témoins de la scène.
Il s'agit du deuxième accident mortel provoqué par le tramway à Nice. En 2010, une dame âgée avait été renversée et tuée sur le coup, alors qu'elle traversait juste devant une rame
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/15/1951940-nice-meurt-ecrase-tramway-apres-altercation-cigarette.html
dimanche 14 septembre 2014
Une femme chute de 8 mètres à Saint-Jacques
Les sapeurs-pompiers du centre principal de secours de Cavaillon, appuyés par le SMUR, sont intervenus hier, en milieu d'après-midi, sur la colline Saint-Jacques, au lieu-dit le rocher école où une femme âgée de 51 ans venait de faire une chute.
La victime souffrant apparemment d'un traumatisme crânien, a été transportée aux urgences du centre hospitalier de la cité Cavare.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3037702/une-femme-chute-de-8-metres-a-saint-jacques.html
La victime souffrant apparemment d'un traumatisme crânien, a été transportée aux urgences du centre hospitalier de la cité Cavare.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3037702/une-femme-chute-de-8-metres-a-saint-jacques.html
vendredi 12 septembre 2014
Collision entre une moto et un camion à Dardilly: un blessé grave
L’accident s’est produit sur la N489 à hauteur de Dardilly vers 15 heures, dans des circonstances encore indéterminées. Le motard a été grièvement blessé
La circulation a été coupée dans les deux sens. L'accès A89 et RD306 ont été rouverts.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/09/12/collision-entre-une-moto-et-un-camion-a-dardilly-un-blesse-grave
La circulation a été coupée dans les deux sens. L'accès A89 et RD306 ont été rouverts.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/09/12/collision-entre-une-moto-et-un-camion-a-dardilly-un-blesse-grave
Décès d'une femme agressée en Seine-Saint-Denis, son ex en garde à vue
Une femme de 51 ans, violemment agressée jeudi 11 septembre dans la matinée dans son parking à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis) est décédée dans la nuit, et son ancien compagnon a été placé en garde à vue, selon l'AFP.
Cette quinquagénaire, mère de deux enfants, avait été transportée dans un état très grave à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière. "Elle est décédée dans la nuit", a précisé une source judiciaire. Entre temps, la police a arrêté son ancien compagnon, a-t-elle ajouté. Sa garde à vue a été prolongée vendredi dans la matinée. "Il y avait déjà eu des violences conjugales par le passé au sein du couple", avant leur séparation en janvier, selon une source proche de l'enquête.
L'agression a eu lieu vers 06H50, au coeur de la cité des Fauvettes. La victime s'apprêtait à récupérer sa voiture dans un box situé au sous-sol de son immeuble, lorsqu'elle a été frappée. "Son agresseur l'attendait visiblement dans le parking", a raconté une source policière. "Il lui a frappé la tête à plusieurs reprises contre un mur du garage avant de s'enfuir", a ajouté cette source, parlant d'une "agression très violente". C'est un voisin qui a prévenu la police, après avoir aperçu dans le parking un homme armé d'un couteau, puis la victime, gisant au sol.
La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargée de l'affaire.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/09/12/deces-d-une-femme-agressee-en-seine-saint-denis-son-ex-en-garde-vue-549520.html
Cette quinquagénaire, mère de deux enfants, avait été transportée dans un état très grave à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière. "Elle est décédée dans la nuit", a précisé une source judiciaire. Entre temps, la police a arrêté son ancien compagnon, a-t-elle ajouté. Sa garde à vue a été prolongée vendredi dans la matinée. "Il y avait déjà eu des violences conjugales par le passé au sein du couple", avant leur séparation en janvier, selon une source proche de l'enquête.
L'agression a eu lieu vers 06H50, au coeur de la cité des Fauvettes. La victime s'apprêtait à récupérer sa voiture dans un box situé au sous-sol de son immeuble, lorsqu'elle a été frappée. "Son agresseur l'attendait visiblement dans le parking", a raconté une source policière. "Il lui a frappé la tête à plusieurs reprises contre un mur du garage avant de s'enfuir", a ajouté cette source, parlant d'une "agression très violente". C'est un voisin qui a prévenu la police, après avoir aperçu dans le parking un homme armé d'un couteau, puis la victime, gisant au sol.
La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargée de l'affaire.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/09/12/deces-d-une-femme-agressee-en-seine-saint-denis-son-ex-en-garde-vue-549520.html
Un homme renversé par un camion rue Alsace-Lorraine
Un accident spectaculaire mais finalement sans gravité s'est produit hier, en début de matinée, rue Alsace-Lorraine, en plein centre de Toulouse. Alors qu'il circulait à pied, un homme de 66 ans a été fauché par un camion. Le chauffeur, qui faisait marche arrière, n'a pas vu sa victime arriver. Les sapeurs-pompiers ainsi que la police ont été appelés sur place. Dans un premier temps, l'important saignement au visage dont souffrait la victime a fait craindre le pire aux témoins. Rapidement pris en charge, cet homme, qui avait reçu un choc au visage, saignait finalement du nez. Une hémorragie impressionnante mais sans gravité. Il avait en outre une luxation au doigt. Il n'a pas perdu connaissance. Il a été conduit à l'hôpital de Purpan. Cet accident pose le problème de la cohabitation de certains véhicules avec les piétons dans cet axe central de Toulouse.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/12/1950183-un-homme-renverse-par-un-camion-rue-alsace-lorraine.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/12/1950183-un-homme-renverse-par-un-camion-rue-alsace-lorraine.html
jeudi 11 septembre 2014
Des parents payent directement l'instituteur dans un village de Lozère
A Rousses, l'inspection académique refuse de créer un poste car le nombre d'enfants ne serait pas suffisant. Les parents d'élèves ont pris les choses en mains.
Les parents d'un petit village de Lozère ne veulent pas lâcher leur combat entamé l'an dernier. A Rousses, l'école n'a pas d'instituteur. Du coup, les familles des dix-sept enfants payent elles-mêmes les salaires de l'enseignante. Cette décision, ils l'avaient prise l'an dernier puisque le seuil des quinze enfants n'était pas dépassé. Conséquence, l'inspection académique refusait la création de poste d'un instituteur.
Pour cette entrée, le village de Rousses comporte dix-sept enfants. Mais faute d'enseignant, les parents continuent à financer le salaire de l'enseignant et des parents bénévoles assurent également l'encadrement des enfants. L'école la plus proche est à 7kms. Mais les parents estiment que les trajets fatiguent les enfants. Qui plus est, l'établissement ne comporte pas de cantine.
Pour cette entrée, le village de Rousses comporte dix-sept enfants. Mais faute d'enseignant, les parents continuent à financer le salaire de l'enseignant et des parents bénévoles assurent également l'encadrement des enfants. L'école la plus proche est à 7kms. Mais les parents estiment que les trajets fatiguent les enfants. Qui plus est, l'établissement ne comporte pas de cantine.
Bordeaux : une employée de la CAF agressée
Mardi vers 11 h 15, un homme a perdu son calme dans les locaux de la Caisse d'allocation familiale rue Gabriel-Péri à Bordeaux Lac. Il a saisi l'écran de l'ordinateur qui se trouvait sur le bureau de la technicienne d'accueil qui venait de le recevoir et l'a projeté à terre.
Des employés de la CAF sont aussitôt intervenus et l'homme, âgé de 48 ans, a été mis à l'écart dans un bureau tandis que la police était alertée. Une patrouille a interpellé l'allocataire irascible qui a été placé en garde à vue à la brigade de sûreté urbaine de Bordeaux.
Mais ce mouvement d'humeur a eu l'effet d'une goutte d'eau faisant déborder le vase au sein de la CAF. Immédiatement avec l'appui de leurs syndicats, les agents ont fait jouer le droit de retrait et les bureaux ont été fermés. Ils le sont restés toute la journée de mardi. Hier matin, un agent de sécurité a été mis en place à l'entrée.
« Avec la crise, nous accueillons de plus en plus de gens. Dans le même temps les moyens pour travailler s'amenuisent, poursuit Nicolas Gebleux. La convention d'objectif qui a été signée au niveau national, prévoit pour la Gironde la suppression de 43 postes sur les 800 que compte le département. On comprend la situation des allocataires qui sont en difficulté. Mais nous n'avons pas les moyens de les suivre correctement. Même si notre taux de réponse est un des meilleurs en France. »
Le représentant de FO évoque des journées qui font frémir. « Il y a une quinzaine de jours, 900 dossiers ont été traités à l'accueil du siège, à Bordeaux. Il y avait huit techniciens pour les revoir. Et il faut imaginer que beaucoup d'allocataires ne viennent pas seuls. Il y a beaucoup de mères de familles avec plusieurs enfants. »
Directeur adjoint de la CAF de Gironde, Pierre-Yves Pacifico met lui aussi en avant la situation de crise pour expliquer les difficultés de la caisse. « Depuis 2008, le nombre d'allocataires ne cesse d'augmenter. Nous avons géré 416 957 dossiers en 2013 entre notre siège et les onze points relais du département. La même année nous avons relevé 34 dossiers d'incidents, incivilités ou agressions déclarées par les techniciens d'accueil. Heureusement, ils sont rares. » Pierre-Yves Pacifico assure que tous ces incidents sont enregistrés et que les agents qui en sont victimes font l'objet d'un suivi. « Nous n'aimons pas ces situations. Mardi, le CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) a été aussitôt réuni pour analyser ce qui s'était passé. La personne qui s'est énervée est venue car ses droits au RSA venaient d'être suspendus. Il manquait un justificatif de domicile dans son dossier. Il lui était demandé depuis le mois d'avril. Plusieurs relances lui ont été adressées. Il n'y avait pas répondu. Il est vrai aussi que mardi, il a attendu plus d'une heure avant d'être reçu. »
Pour le directeur adjoint, une des solutions d'apaisement devrait passer par la mise en œuvre, dans quelques mois, d'un accueil exclusivement sur rendez-vous.
http://www.sudouest.fr/2014/09/11/temps-de-colere-a-la-caisse-d-allocations-familiales-1667524-2780.php
Mais ce mouvement d'humeur a eu l'effet d'une goutte d'eau faisant déborder le vase au sein de la CAF. Immédiatement avec l'appui de leurs syndicats, les agents ont fait jouer le droit de retrait et les bureaux ont été fermés. Ils le sont restés toute la journée de mardi. Hier matin, un agent de sécurité a été mis en place à l'entrée.
« Cela n'aurait pu être qu'un simple fait divers, observe Nicolas Gebleux, délégué du personnel Force Ouvrière de la CAF. Il a joué un rôle de détonateur. Il illustre la réalité que vivent à la fois les allocataires et les employés de la CAF depuis plusieurs années. »
Hier après-midi, quatre syndicats, FO, CGT, CFDT et CFE-CGC, ont cosigné un communiqué dans lequel ils appellent à une assemblée générale de tous les personnels, pour le jeudi 18 septembre prochain.« Avec la crise, nous accueillons de plus en plus de gens. Dans le même temps les moyens pour travailler s'amenuisent, poursuit Nicolas Gebleux. La convention d'objectif qui a été signée au niveau national, prévoit pour la Gironde la suppression de 43 postes sur les 800 que compte le département. On comprend la situation des allocataires qui sont en difficulté. Mais nous n'avons pas les moyens de les suivre correctement. Même si notre taux de réponse est un des meilleurs en France. »
Le représentant de FO évoque des journées qui font frémir. « Il y a une quinzaine de jours, 900 dossiers ont été traités à l'accueil du siège, à Bordeaux. Il y avait huit techniciens pour les revoir. Et il faut imaginer que beaucoup d'allocataires ne viennent pas seuls. Il y a beaucoup de mères de familles avec plusieurs enfants. »
Directeur adjoint de la CAF de Gironde, Pierre-Yves Pacifico met lui aussi en avant la situation de crise pour expliquer les difficultés de la caisse. « Depuis 2008, le nombre d'allocataires ne cesse d'augmenter. Nous avons géré 416 957 dossiers en 2013 entre notre siège et les onze points relais du département. La même année nous avons relevé 34 dossiers d'incidents, incivilités ou agressions déclarées par les techniciens d'accueil. Heureusement, ils sont rares. » Pierre-Yves Pacifico assure que tous ces incidents sont enregistrés et que les agents qui en sont victimes font l'objet d'un suivi. « Nous n'aimons pas ces situations. Mardi, le CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) a été aussitôt réuni pour analyser ce qui s'était passé. La personne qui s'est énervée est venue car ses droits au RSA venaient d'être suspendus. Il manquait un justificatif de domicile dans son dossier. Il lui était demandé depuis le mois d'avril. Plusieurs relances lui ont été adressées. Il n'y avait pas répondu. Il est vrai aussi que mardi, il a attendu plus d'une heure avant d'être reçu. »
Pour le directeur adjoint, une des solutions d'apaisement devrait passer par la mise en œuvre, dans quelques mois, d'un accueil exclusivement sur rendez-vous.
http://www.sudouest.fr/2014/09/11/temps-de-colere-a-la-caisse-d-allocations-familiales-1667524-2780.php
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