jeudi 31 juillet 2014

Un motard gravement blessé à Montferrand-le-Château

L'accident s'est produit à 8h ce matin. A un carrefour en plein coeur de la commune du Grand Besançon. Une voiture et un motard se sont percutés. 
Le motard a été médicalisé par le SAMU de Besançon.

Les pompiers ont également pris en charge le conducteur de la voiture impliqué dans l'accident.

Les gendarmes détermineront les causes du choc qui s'est produit au carrefour tricolore venant d'Avanne et Grandfontaine, à l'intersection de la RD 105. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/07/31/un-motard-gravement-blesse-montferrand-le-chateau-525590.html

A Nice, elles simulent des malaises pour dépouiller leurs victimes

Des voleuses semblent avoir développé un nouveau procédé : elles pratiquent l'évanouissement
Le numéro de charme consistant à aborder des hommes seuls, relativement âgés, et à leur promettre quelques faveurs pour mieux… les délester de leurs bijoux ne paye plus depuis qu'une bande de Roumaines cornaquées par des hommes a été démantelée début juillet dernier par les policiers du groupe district de Cannes et la sûreté départementale.
Sept personnes ont été mises en examen pour vols par ruse, vols avec violence, vols à l'arraché, proxénétisme, le tout commis en bande organisée.
La technique de l'évanouissement
Désormais, les voleuses qui ne manquent pas d'idées à défaut de scrupules semblent avoir développé un nouveau procédé : elles pratiquent l'évanouissement !
En effet, les policiers de la Sûreté départementale ont observé ce nouveau mode opératoire depuis quelques semaines, au point de souhaiter mettre en garde les personnes âgées, prioritairement ciblées par les astucieuses délinquantes. En fait, ces jeunes femmes, qui opèrent souvent en binôme, repèrent des « proies » à la sortie des magasins où elles effectuent leurs courses et les suivent jusqu'à leur domicile.
Voleuses en binôme
Elles profitent de l'ouverture de la porte pour pénétrer dans l'immeuble et montent dans l'ascenseur avec elles. C'est là qu'elles passent à l'action. L'une d'elles simule un malaise et s'écroule. Sa copine demande alors à la personne âgée si elle ne peut pas lui donner un verre d'eau.
Du coup, cette dernière propose aux deux filles de la suivre chez elle. Et, pendant que l'une boit son verre d'eau, captant l'attention de son hôte, l'autre jeune femme vole tout ce qu'elle peut à l'insu de la victime qui ne constate généralement les faits qu'après le départ de ses visiteuses.
Une dizaine de faits a été observée au cours des dernières semaines par les policiers de la Sûreté départementale. Beaucoup trop pour ne pas lancer une mise en garde de tous les seniors azuréens.

http://www.nicematin.com/nice/a-nice-elles-simulent-des-malaises-pour-depouiller-leurs-victimes.1845042.html

Rouée de coups par son compagnon : 8 mois de prison dont 6 avec sursis

«Je me suis vue mourir et j'ai dit : il faut que ça s'arrête», raconte une jeune femme devant le tribunal correctionnel d'Agen hier, le visage encore marqué par la terrible correction infligée par son compagnon, à Nérac, le 3 juillet dernier.
Ce soir-là, vers 1 heure, les gendarmes l'ont trouvée dehors, sur un banc, la figure terriblement tuméfiée, deux dents ébréchées, de multiples ecchymoses attestant de la brutalité des coups qu'elle avait reçus. Une dispute qui dégénère, sur fond d'alcool, une gifle qui part, la fuite de la femme, rattrapée dans la rue par son compagnon qui la roue à nouveau de coups, la jette au sol et lui cogne plusieurs fois la tête sur le bitume, et qui se termine devant les juges. Pourtant le prévenu, qui admet l'avoir déjà frappée à plusieurs reprises, affirme en larmoyant au président : «Je n'ai jamais pensé qu'elle voulait me quitter, je croyais qu'il y avait de l'amour».
Me Gillet martèle : «On a rarement vu des photos aussi accablantes. C'était un véritable passage à tabac». Elle demande une expertise pour évaluer le réel préjudice corporel. Le procureur constate que l'homme a «un rapport à la réalité complètement faussé» et déplore ces faits commis devant les enfants de 8 et 10 ans car «c'est absolument déstructurant pour eux».
Il requiert 8 mois de prison dont 6 avec sursis et mise à l'épreuve avec obligation de soins, l'interdiction d'aller chez la victime et le maintien en détention.
Pour Me Martial, «comme d'habitude, la violence gagne quand le dialogue a cessé». Entre une femme qui travaille et le prévenu sans emploi, ce dernier avait fini par décrocher et «il a choisi un pansement, l'alcool».
Le tribunal a suivi les réquisitions du procureur et a ordonné une expertise médicale

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=30557&WS=291720_2501986&WA=5933

mercredi 30 juillet 2014

Gard : une voiture percute un cheval, la passagère enceinte grièvement blessée

U n accident a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi à Bellegarde (Gard). La passagère d'une voiture a été grièvement blessée.
La passagère d'une voiture a été grièvement blessée à Bellegarde dans la nuit de mardi à mercredi vers 1 h 30 au niveau du rond-point de la coopérative. La voiture a percuté un cheval. La victime, enceinte, a été prise en charge par l'hôpital de Nîmes.

http://www.midilibre.fr//2014/07/30/gard-une-voiture-percute-un-cheval-la-passagere-enceinte-grievement-blessee,1031631.php

Le boucher s'est comporté comme un cochon

«C'est le procès de la négligence», résume la présidente élisabeth Gadoullet. à double titre car le dossier a fait l'objet d'une composition pénale. Mais Frédéric 1 ne s'est pas présenté pour la notification de la validation de la composition pénale, en dépit de d'appels téléphoniques et de courriers.
«Je n'ai reçu aucuns courriers», se défend Frédéric. Que reproche-t-on à Frédéric, boucher de son état ? Tout simplement de s'être comporté comme un cochon. Il a jeté dans le ruisseau deux batteries dont l'acide se répandait. Frédéric a fait un nettoyage de printemps, jetant sacs de matériaux de construction, chaises cassées, un vélo, des jouets usagers, etc.
Et comme la déchetterie était fermée quand il y est allé, il a tout laissé devant.
«Vous pouviez stocker chez vous. Qu'est que c'est que cette façon de faire. Vous êtes boucher. Vous êtes donc conscient que les animaux doivent être bien alimentés et qu'ils peuvent boire de l'eau polluée. Vous en avez pris conscience ?» interroge la présidente. «Oui, tout à fait», répond Frédéric. La présidente Gadoullet lui indique que l'Office national des milieux aquatiques estime qu'il n'a «aucune circonstance atténuante».
Marion de La Lande d'Olce, substitut du procureur, estime que Frédéric, a été plus que négligent dans ce dossier. «Il s'en est carrément fichu… La mairie a dû envoyer du personnel pour enlever les déchets». Elle requiert une amende et l'affichage du jugement à son domicile. Pour sa défense, Frédéric bredouille un «Je recommencerais plus» digne d'un enfant pris la main dans le pot de confiture. Le tribunal le condamne à 1 200 € d'amende mais rejette la demande d'affichage du jugement.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/30/1926437-le-boucher-s-est-comporte-comme-un-cochon.html

mardi 29 juillet 2014

Beautiran (33) : deux gendarmes blessés dans une collision

Deux militaires de la gendarmerie ont été blessés, lundi, vers 23h30, alors qu'ils poursuivaient un malfaiteur. Leur véhicule est entré en collision avec celui d'un homme d'une quarantaine d'années qui tentait de leur échapper et a finalement été interpellé et placé en garde à vue.
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L'accident s'est produit sur la commune de Beautiran, au sud de Bordeaux. Les deux militaires ont été secourus par les sapeurs-pompiers et évacués au CHU de Bordeaux pour y subir des examens de contrôle

http://www.sudouest.fr/2014/07/29/beautiran-33-deux-gendarmes-blesses-dans-une-collision-1628191-2758.php

Bagnolet: un homme blessé par trois balles

Selon une information du Parisien, un homme a été blessé de trois coups de feu hier vers 16 heures, dans la ville de Bagnolet (Seine-Saint-Denis).

La victime, blessé à l'abdomen et au bras, a été transportée à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Son pronostic vital n'est pas engagé. Le suspect, âgé d'un peu moins de trente ans, est lui en fuite. Selon le quotidien, une rivalité amoureuse pourrait être à l'origine de la fusillade. L'auteur présumé avait aperçu la victime avec son ex-compagne. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/29/97001-20140729FILWWW00086-bagnolet-un-homme-blesse-par-trois-balles.php

lundi 28 juillet 2014

Grenoble : décédée après avoir chuté de plusieurs étages

Les sapeurs-pompiers et une équipe du SAMU 38 sont intervenus ce lundi peu après 6 heures, rue de Constantine à Grenoble où une femme -dont on ignore l'âge et l'identité- en ait de chuté de plusieurs étages.

Sur place, les secouristes n'ont pu que constater le décès de la malheureuse. Les policiers, également présents, cherchent désormais à établir dans quelles circonstances la victime s'est défenestrée


http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/07/28/grenoble-decedee-apres-avoir-chute-de-plusieurs-etages

Un gendarme renversé à Wintzenheim

Un gendarme de l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR) a été heurté par un conducteur qui a pris la fuite, ce dimanche vers 4 h 45 du matin, rue de Feldkirch à Wintzenheim. Il s’agissait d’un des trois points de contrôle des forces de l’ordre à la sortie de la fête du vin de Wettolsheim.
Agé d'une quanrantaine d'années, le militaire aurait été traîné sur une trentaine de mètres. Présentant des douleurs à un coude et un genou, il a été évacué à l’hôpital, mais a pu en ressortir rapidement.
 
Vingt-sept gendarmes de l'EDSR étaient postés à trois endroits à la sortie de la fête du vin de Wettolsheim, ce dimanche entre 1h et 8h du matin. Deux conducteurs circulaient après avoir consommé du cannabis, et 17 sous l'empire d'un état alcoolique : quatre d'entre eux accusaient un taux délictuel, dont un Haut-Rhinois de 22 ans qui conduisait avec 1,96 gramme d'alcool par litre de sang.


http://www.lalsace.fr/actualite/2014/07/27/un-gendarme-renverse-a-wintzenheim

Elle mord son enfant, il est hospitalisé

Selon le quotidien La Montagne, une femme, suspectée d'avoir mordu son fils samedi à Limoges, a été laissée en liberté hier soir, dans l'attente de suites judiciaires. Son fils, victime de plusieurs morsures, est toujours hospitalisé.

Samedi vers 11 heures, cette femme de 35 ans, en état d'ivresse, a été interpellée dans le centre de la capitale limousine, alors qu'elle venait de violenter son fils, et a été placée en garde à vue. En plus de l'avoir frappé, la mère a mordu son fils « à plusieurs reprises », a estimé la police. Âgé de 13 ans, le fils a été hospitalisé encore plus choqué que blessé


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/28/97001-20140728FILWWW00091-elle-mord-son-enfant-il-est-hospitalise.php

Ile-de-France : nombreux accidents, gros bouchons sur l'A3 et l'A1

La circulation s'avère particulièrement difficile ce lundi matin dans le nord-est de l'Ile-de-, après une nuit pluvieuse. En cause, la survenue de plusieurs accidents et la fermeture de certains grands axes, en particulier l'autoroute A3. La circulation est également difficile sur l'autouroute A1 à cause de l' d'un poids lourd.

A 6h46, un accident impliquant un poids-lourd en
s'est produit sur l'A3 en direction de Paris à la hauteur de la commune de Roissy-en-France, provoquant d'énormes bouchons.
 Par ailleurs, un poids-lourd  a pris feu pour des raisons indéterminées sur l'A1 en direction de Paris à la hauteur de la commune de Saint-Denis. Si l'incendie est maintenant circonscrit, 2 voies sur 3 ont dû être neutralisées, ce qui créé de gros ralentissements. Bouchons également sur la A 104 où un accident impliquant un véhicule léger s'est produit.

Selon Bison Futé qui fait le bilan du trafic, la circulation est chargée sur  l'A1, en direction de Paris, entre Épiais (A1xN104) et la porte de la Chapelle, en raison d'un accident localisé sur l'A3 ; sur l'A3, de Bondy à Aulnay-sous-Bois et sur l'A104 extérieure, de Villevaudé à Mitry-le-Neuf

A 08h40, on totalisait 140km de bouchons cumulés en Ile-de-France selon le site Sytadin.
Le site Info trafic enregistrait lui 211 km de ralentissements.  Mettant en exergue surtout deux points noirs : 15,84 km de bouchons sur l' A1 en direction de Paris entre Epiais (A1xN104) et Saint-Denis (N1) et 11,99 km de ralentissement sur l'A104 Extérieure entre Montjay-la-Tour et Gonesse (A1xA3xA104) .
Suivez la circulation en direct




http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/ile-de-france-nombreux-accidents-gros-bouchons-sur-l-a3-et-l-a1-28-07-2014-4032801.php

Le feu détruit les entrepôts Beuron

Hier vers 19 heures, un gigantesque incendie s'est déclaré dans les entrepôts de l'entreprise Beuron à Carcassonne, zone de la Ferraudière 3, à proximité de la Cité de l'automobile. Les flammes ont tout détruit.
C'est le patron de Sud Primeur qui a appelé directement Thierry Beuron hier sur le coup de 19 heures. «Tu as le feu à ton entrepôt». Aussitôt, les pompiers sont prévenus et arrivent très rapidement sur les lieux, guidés par une très épaisse fumée noire visible des quatre coins de Carcassonne.
Pour éviter que les nombreux badauds ne s'approchent des fumées toxiques, plusieurs cordons de policiers neutralisent les accès à la rue Gustave Eiffel et sécurisent cette zone située à la ZA de la Ferraudière 3, à deux pas de la concession Audi et de la Cité de l'automobile.
Un poste de commandement est immédiatement installé pour coordonner les 60 pompiers arrivés en renfort. «Nous ne connaissons pas l'origine de l'incendie, mais le bâtiment dans son ensemble est sous l'emprise du feu. Nous devons faire face à d'épaisses fumées et d'importantes flammes car à l'intérieur il y a beaucoup de mousses isolantes qui dégagent ces flammes et une intense chaleur; heureusement, nous avons pu protéger la partie du dépôt de gaz», précise le colonel Bénédittini. De grands moyens sont déployés avec trois fourgons-pompes tonnes, deux grandes échelles, deux camions-citernes feux de forêt et les pompiers travaillent avec des protections respiratoires.
À côté du poste de commandement, le patron de l'entreprise, Thierry Beuron, est lui aussi secouru. Sous tension et victime d'un malaise, il est placé sous contrôle des médecins du SAMU 11 qui décident de le conduire en observation à l'hôpital.
Sur place, Gérard Larrat, le maire de Carcassonne, est venu lui apporter son soutien. «Laissons-le se remettre du choc, mais c'est un vrai chef d'entreprise, un battant, il va vite réagir. De notre côté nous allons l'aider à trouver une solution. Dès demain matin nous nous rencontrerons avec les élus de la CAC pour proposer un lieu de substitution afin que les 15 salariés qui travaillent dans cet entrepôt puissent continuer à exercer. Il nous faut trouver un local d'environ 4 000 à 5 000 m2», dit le maire. Le nom de l'ancienne usine Pilpa était déjà évoqué.
Avec ces 160 salariés, le groupe Beuron, spécialisé dans le négoce des produits frais de la mer (lire encadré ci-contre), est l'une des entreprises phares de la ville. Hier, le patron Thierry Beuron, soutenu par quelques salariés venus sur place dès qu'ils ont été prévenus, était abattu et ne comprenait pas l'origine de cet incendie. L'enquête devra le déterminer, mais à l'heure où nous écrivons ces lignes, la priorité était toujours de maîtriser les flammes. Le lieutenant Henri Thomas et le commandant Grégory Maquart, qui dirigeaient les deux échelons de commandement des pompiers, savaient que leurs hommes allaient y passer une bonne partie de la nuit.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/28/1925468-le-feu-detruit-les-entrepots-beuron.html

dimanche 27 juillet 2014

Une enfant de 4 ans gravement blessée par une hélice de bateau

Hier, vers 17h40, une sortie sur le lac d'Esparron a tourné au drame pour une famille à bord d"un bateau électrique. Alors qu'une enfant de 4 ans était dans l'eau, le moteur du bateau aurait été accidentellement activé.

Sérieusement blessé à la jambe, la fillette a été prise en charge par les sapeurs pompiers et évacuée en hélicoptère à l'hôpital de la Timone. Ses jours ne seraient pas en danger.


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2978654/une-enfant-de-4-ans-gravement-blessee-par-une-helice-de-bateau.html

Fontaine: un homme tué, ce matin, à l’arme blanche

Un jeune homme de 27 ans est mort ce dimanche matin vers 7h40 à Fontaine.

Il aurait succombé à un ou plusieurs coups de couteau. Une enquête a été ouverte et confiée à la Sûreté départementale de Grenoble


http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/07/27/fontaine-un-homme-tue-ce-matin-a-l-arme-blanche

samedi 26 juillet 2014

Narbonne : Deux ans ferme pour une 'mule' interceptée sur l'A9

Un pilote de moto Italien comparaissait jeudi, détenu, pour importation et transport de drogue.
C'est en pleurs que Berniero Fresolone, un Italien de 38 ans, a quitté le tribunal, menottes aux poignets, en direction de la maison d'arrêt de Béziers. Ce pilote de moto professionnel, spécialiste de démonstrations de motocross freestyle, a été arrêté le 22 juillet par les douanes sur l'aire de Vinassan sur l'A9, alors qu'il rentrait de Barcelone et qu'il mettait les gaz sur l'Italie. Seule une conduite en état d'ivresse en Italie figurait sur son casier judiciaire. Dans son van Volkswagen, il transportait sa moto, mais surtout des sacs thermosoudés (pour éviter l'odeur) d'herbe de cannabis. Une quantité considérable pour un passage, soit 18 kg.

Sous la menace de voyous
Les gendarmes ont étudié ses appels téléphoniques et son GPS et ils ont retracé son parcours. Le prévenu a avoué, au cours de son audition, être sous la menace de ressortissants albanais en Italie, qui le recherchent depuis 7 ans et ce pour une dette de 15 000 euros.
À l'audience, il a affirmé que des Albanais avaient entreposé de la drogue dans son garage, que cette drogue avait été volée, et qu'il était - depuis - menacé : "Depuis sept ans, je n'ai pas arrêté de bouger, mais après un accident de moto, j'ai été immobilisé trois mois et ils sont venus chez moi".
C'est après avoir eu des mots avec ces Albanais qu'il aurait décidé d'en finir avec cette traque de 7 années, et d'effectuer ce transport censé régler définitivement sa dette.
À la barre du tribunal, la Douane a demandé une amende de 49 511 euros, valeur marchande très minorée de la valeur estimée de l'herbe, la confiscation de l'herbe de cannabis à des fins de destruction, celle du véhicule, puis l'interdiction de pénétrer sur le territoire français pendant 5 ans.
Fabien Tourette, le substitut du procureur a déploré un phénomène croissant inquiétant : trois affaires similaires depuis lundi ! "La précarité ne justifie pas de commettre un délit !", a-t-il rappelé. Tenir compte de la contrainte irait dans le sens de la banalisation du transport de produits stupéfiants depuis l'Espagne vers l'Italie.
Le parquet, saluant l'efficacité des Douanes dans le contexte actuel de densité de trafic, et celle de la Gendarmerie, a requis deux ans ferme, avec mandat de dépôt et interdiction d'entrer en France pendant 5 ans.
Me Figueroa, du barreau de Montpellier, insistera sur "notre région, terrain de passage", en stigmatisant alors l'inertie des états européens vis-à-vis des pays du Maghreb, "pays producteurs dans lesquels les champs de production sont parfaitement géolocalisables". Elle a assuré que son client et sa famille étaient menacés : "On joue sa vie avec ces gens-là, il faut punir, c'est sûr, mais réglera-t-on le problème pour autant ?"  L'avocate, réfutant la quantité saisie, a plaidé pour éviter la confiscation du fourgon, son outil de travail. 
Le tribunal a condamné Berniero Fresolone à deux années de prison, avec mandat de dépôt et prononcé la confiscation de l'herbe saisie, ainsi que celle du fourgon, tout en faisant droit à l'amende douanière. Le pilote italien se voit, en outre, interdit de séjourner en France pendant 4 ans.

http://www.lindependant.fr/2014/07/25/deux-ans-ferme-pour-une-mule-sur-l-a9,1911348.php

vendredi 25 juillet 2014

Corps retrouvé à Moëlan-sur-Mer : un appel à témoins est lancé

C'est en bordure de route, au lieu-dit "Le Croaziou" à la sortie de l'agglomération de Moëlan-sur-Mer, en direction des ports de Doelan et Merrien, que le corps sans vie de Mathieu Coadic, a été découvert.

Dans le cadre de son enquête, la gendarmerie est à la recherche de témoins susceptibles de fournir des éléments relatifs à ces faits.

Les personnes ayant circulé sur cet axe entre 6h et 8h sont invitées à se faire connaître ainsi que celles ayant passé la nuit du 18 au 19 juillet à la discothèque Le Récif à Riec-sur-Belon. Les renseignements sont à communiquer à la Gendarmerie Nationale - Brigade de recherches de Quimperlé au 02.98.96.67.74

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/07/25/corps-retrouve-moelan-sur-mer-un-appel-temoins-est-lance-522665.html

Un incendie en centre-ville de Pont-à-Mousson

Pont-à-Mousson. Ils ont réussi à arrêter le feu à la porte de la chambre à coucher. Les pompiers sont intervenus, hier peu après midi, pour éteindre un incendie dans une maison du centre-ville de Pont-à-Mousson, rue Charles-Lepois, à l’angle de la rue des Potiers, dans le quartier Saint-Jean.
C’est au-dessus des garages, dans un grenier aménagé, que le sinistre, d’origine accidentel, s’est déclaré. Le propriétaire se trouvait a priori en train de bricoler. Quand le fils, là pour des vacances, est descendu : « On voyait beaucoup de fumée et les secours avaient été appelés », témoignait-il, alors qu’un périmètre de sécurité venait d’être délimité par la police afin d’empêcher les gens de s’approcher de trop près.
Ce sont principalement des moyens humains et matériels de la caserne local qui ont été engagés : deux fourgons pompe-tonne et l’échelle, rejoints par un VSAV (véhicule d’assistance) de Dieulouard. « Dix-sept hommes au total », indiquait le lieutenant Errard, qui a dirigé les opérations, « plus le chef de colonne ensuite. »
Attaquant le brasier, les sapeurs-pompiers ont cherché à circonscrire les flammes. Une véritable difficulté dans un secteur urbain où les habitations se touchent, voire pour certaines sont imbriquées les unes aux autres. Faisant passer des tuyaux par plusieurs maisons de la rue des Potiers, ils ont pu prendre le feu à revers, et empêcher ainsi sa propagation. « Le fort potentiel calorifique nous a obligés à déployer quatre lances à un moment. Il y avait de quoi alimenter le foyer », mettait en exergue le Lt Errard.
Quelque 120 m² ont brûlé, mais la partie habitable de la maison ayant été protégée, les époux Baccéga, le couple de personnes âgées y demeurant, n’ont pas eu à être relogés, pas d’autres habitants d’ailleurs, comme la mairie, représentée sur place par Laurence Ferrero, la première adjointe, s’est posé la question. Pas blessés mais tout de même un peu choqués, ils ont été pris en charge dans l’ambulance durant une grande partie de l’intervention, en ressortant alors que les pompiers commençaient à ranger leurs équipements.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/07/24/un-incendie-en-centre-ville-de-pont-a-mousson

Un toit de supermarché s'effondre dans le Morbihan après un orage

Les 300 m² de toiture dun supermarché se sont effondrés jeudi sans faire de blessé lors du passage d'un épisode orageux dans le Morbihan, alors que l'Ille-et-Vilaine a été confrontée à des pluies abondantes dans la soirée.
Le toit d'un supermarché s'est effondré jeudi sans faire de blessé lors du passage d'un épisode orageux dans le Morbihan, alors que l'Ille-et-Vilaine a été confrontée à des pluies abondantes dans la soirée, a-t-on appris auprès de la préfecture et des pompiers. Les 300 m² de toiture du supermarché situé au Faouët se sont effondrés peu après 17 h 45 sous l'effet de fortes pluies, a précisé la préfecture du Morbihan. Aucune victime n'est à déplorer, personnel et clients ayant été évacués à temps.
Les pompiers sont intervenus 150 fois en 2 h 30
Au total, les pompiers sont intervenus environ 150  fois dans le département entre 17 h 30 et 20 h, notamment au nord et à l'est de Lorient, principalement pour des assèchements de caves inondées. En Ille-et-Vilaine, c'est le secteur de Tinténiac, entre Rennes et Saint-Malo, qui a subi des précipitations abondantes à partir de 20 h environ et a été confronté à une "élévation très rapide du niveau des eaux", ont détaillé les pompiers, qui n'ont toutefois rapporté aucun blessé. Il a été relevé "jusqu'à un mètre d'eau dans les habitations et sur les chaussées" et au moins "deux voitures ont été prises par la montée des eaux", ont-ils précisé, indiquant avoir réalisé une centaine d'interventions en l'espace de deux heures.
Dans le Maine-et-Loire, Angers a été touché vers 18 h 20 par un "énorme coup de vent très localisé dans le centre-ville" qui n'a provoqué que des dégâts matériels, selon les pompiers. Branches et arbres tombés sur la chaussée ont perturbé la circulation notamment sur les voies sur berge et dans le centre-ville, où le niveau d'eau atteignait jusqu'à 40 cm dans certaines rues, ont ajouté les pompiers. Le Morbihan, le Finistère et la Loire-Atlantique avaient été placés en vigilance orange pour la soirée de jeudi, jusqu'à 22 heures, par Météo France. 

http://www.midilibre.fr//2014/07/25/un-toit-de-supermarche-s-effondre-dans-le-morbihan-apres-un-orage,1029609.php

jeudi 24 juillet 2014

Eboueur mortellement renversé à Chermignac (17) : prison avec sursis pour le chauffeur de la benne

Le procès avait eu lieu le 3 juillet dernier. Le chauffeur de la benne à ordures qui en reculant, le 11 janvier 2012, avait écrasé un collègue ripeur, Frédéric Jacquiaud, lors d'une tournée de ramassage des poubelles à Chermignac, près de Saintes, a écopé ce mardi de deux ans de prison avec sursis assortis d'une mise à l'épreuve pendant trois ans.
 
Il a également obligation de se soigner pour ses problèmes d'alcool. Le jour des faits, il avait en effet bu trois grosses canettes de bière dans la matinée et présentait un taux d'1,65 gramme d'alcool par litre de sang.
Le chauffeur, qui a retrouvé un poste à la Communauté d'agglomération de Saintes, voit également l'annulation de son permis de conduire pendant une période de deux ans. Enfin, il va devoir indemniser la famille de la victime pour une somme totale d'environ 130 000 euros.

http://www.sudouest.fr/2014/07/23/eboueur-mortellement-renverse-a-chermignac-17-prison-avec-sursis-pour-le-chauffeur-de-la-benne-1623300-1391.php

Altercation dans la piscine d'une résidence

Depuis le début de l'été, la piscine municipale de Cugnaux, «Le lagon», est fermée. La nouvelle municipalité a fait ce choix par souci d'économie, en évoquant le coût de certaines réparations Malgré des navettes organisées jusqu'à la piscine intercommunale de Tournefeuille- La Ramée, cette fermeture de l'équipement public pèse sans doute pour certains jeunes Cugnalais.
Même si la chaleur n'est pas encore intense, certains s'invitent dans des piscines des résidences privées et sécurisées. Certains gestionnaires ont été contraints de déployer des vigiles. Hier, vers 18 h 30, une altercation a eu lieu entre une dizaine de jeunes de Cugnaux et des habitants de la résidence «Les jardins de Kheops», composée de 185 logements, avenue François-Mitterrand. Prié de partir, le groupe a quand même frappé un des résidents à plusieurs reprises, avant de s'enfuir. Ils ont été pris en chasse par des habitants puis par une patrouille de gendarmerie. Plusieurs habitants sont allés déposer plainte dans la foulée, pour coups et blessures.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=30137&WS=291720_2501986&WA=5850

Vaulx-en-Velin. Il percute la police et prend la fuite en oubliant ses papiers

Un jeune homme de 19 ans a été interpellé ce lundi, vers 20 h 40, après s’être présenté au commissariat de Vaulx-en-Velin où il se savait recherché. Et pour cause. Plus tôt dans la soirée, alors qu’il circulait sans casque au guidon d’un scooter, il avait en effet percuté volontairement une voiture de la BAC qui tentait de le contrôler, avant de chuter de son deux-roues en essayant de repartir. Contraint de fuir à pied, il a ensuite perdu sa sacoche contenant ses papiers d’identité, ce qui a permis aux policiers de l’identifier plus facilement… L’enquête a également permis de montrer qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire. Le suspect, déjà connu des services de police, a été présenté mercredi au parquet

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/07/24/il-percute-la-police-et-prend-la-fuite-en-oubliant-ses-papiers

mercredi 23 juillet 2014

LOIRE. Un bloc de pierre de 18 tonnes écrase une voiture à Çaloire

Il était environ 2 heures, dans la nuit de mardi à mercredi, lorsqu’un énorme rocher de 18 tonnes s’est détaché de la paroi pour tomber sur une voiture stationnée en contre bas et fort heureusement vide.
Le véhicule était garé sur le bas-côté de la départementale 108 qui relie le Pertuiset (Unieux) à Chambles, au lieu-dit Vareilles, sur la commune de Çaloire.
«Nous stationnons toujours une voiture à cet endroit» explique la propriétaire de la maison située juste à côté et qui explique n’avoir jamais vu ça alors qu’elle vit dans cette maison depuis vingt ans.
La Peugeot 206 a littéralement été aplatie comme une crêpe : «Elle ne faisait plus que 80 cm de haut» explique-t-on du côté du Conseil général puisque les services du Département se sont rendus sur place dès que l’alerte a été donnée pour fermer la route à la circulation.
Mercredi matin, une circulation alternée a été mise en place par les services de la commune et dès jeudi matin une entreprise spécialisée devrait venir pour évacuer le rocher et réparer la chaussée.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/07/23/un-bloc-de-pierre-de-18-tonnes-ecrase-une-voiture-a-caloire

Pays basque : il arrache l'oreille de son voisin avec ses dents, un an ferme

Coupée, cisaillée ou arrachée ? Tel est le dilemme qu'ont tranché, mardi, les juges du tribunal de Bayonne concernant l'oreille du père de famille qui en a perdu un bon morceau dans une bagarre, samedi, en milieu de journée. Les deux protagonistes sont voisins de palier depuis quelques semaines, dans une résidence de la rue de Venise, à Anglet. Insultes et réprimandes envers les enfants auraient créé une « prise de bec », terme employé par le mordeur, père de famille de 30 ans.
 
Je fermais les yeux et en disant ‘‘ aïe '', mes dents se sont fermées
La victime est aussi père de quatre enfants. Pour lui, c'est le terme d'arrachée qui convient. Il mime la scène avec force gestes au tribunal : « Il essaie de me planter le couteau dans le cœur, là, comme ça… Après, on est tombé dans l'escalier, en bas, il était sur moi et j'ai senti qu'il arrachait mon oreille. Comme dans Midnight Express. Je criais. Il s'est relevé et il a craché le morceau par terre. Comme ça ptffeu. » Le procureur tord la bouche : « On a compris, merci. »
L'homme a la tête bandée, un filet de résille pour tenir les pansements, et son avocate, Nadège Harambasic, a du mal à lui imposer le silence.
Il bout, d'autant plus que le prévenu minimise, préférant la version « cisaillement » involontaire : « Elle s'est coupée comme du papier. » D'ailleurs, il n'a « pas voulu mordre ». C'est le hasard qui a fait cela : « Je fermais les yeux et en disant ‘‘ aïe '', mes dents se sont fermées. Je ne savais pas qu'il y avait son oreille. »
Le couteau ? « Un couteau plein de Brie qui restait sur la table après le déjeuner. »
Et de s'apitoyer sur son sort : « À cause de ça, je ne vais pas pouvoir toucher ma femme pendant six mois. Je dois faire des tests VIH, je suis peut-être séropositif. C'est pire que d'aller en prison. » Le magistrat qui mène l'audience lui demande s'il aimerait avoir perdu la moitié de son oreille.
Pour le procureur, il y a bien eu arrachement volontaire du cartilage. Et il récapitule les mensonges de l'agresseur qui veut se faire passer pour une victime. « C'est lui qui prend un couteau, qui va au contact. Ce n'est pas l'attitude pour simplement se défendre. » Et de souligner son absence de remords ou d'excuses. Cet ancien militaire a cinq mentions à son casier, dont une pour violence. Il est donc récidiviste et risque entre quatre ans (peine plancher) et vingt ans de prison, pour mutilation. Les réquisitions sont de deux ans, dont un avec sursis, obligation d'indemniser la victime, et de ne pas l'approcher.
Son avocat, Maître Zapirain s'appuie sur la physionomie de l'agressé, nettement plus imposante que celle de son client, plutôt fluet. Il pointe aussi l'évidente impétuosité du voisin qui a effrayé son client.
Celui-ci pleure en revenant à la barre, il pense à ses enfants dont il vient d'obtenir la garde. Du bout des lèvres, il dit qu'il regrette ce qui s'est passé.
Le tribunal n'a pas été convaincu et a suivi mot pour mot les réquisitions

http://www.sudouest.fr/2014/07/23/un-an-de-prison-pour-le-croqueur-d-oreille-1622689-3944.php

Seine-et-Marne : le TGV Est heurte un individu, le trafic perturbé

Un train de la ligne de TGV est européenne a percuté un individu ce lundi aux alentours de midi, perturbant sérieusement. L'accident a eu lieu aux alentours de Coulombs-en-Valois, en Seine et Marne.

Le trafic sur la ligne a été totalement interrompu à partir de 12h35 avant de reprendre progressivement aux alentours de 16h. Les trains empruntent d'autres lignes, ce qui provoque de grands retards de 1h30 à 2h sur toutes les lignes de l'est.

  Les perturbations sur ces lignes très fréquentées sont à prévoir jusque dans la


 
 
http://www.leparisien.fr/faits-divers/seine-et-marne-le-tgv-est-heurte-un-individu-sur-la-voie-le-trafic-perturbe-22-07-2014-4019965.php

Ivry : deux bouteilles de gaz explosent accidentellement, 3 blessés légers

Deux bouteilles de gaz ont explosé accidentellement mardi après-midi dans un collège en travaux d'Ivry-sur-Seine, provoquant deux fortes déflagrations et un incendie. Trois personnes sont légèrement blessées.

On ignore pour l'heure l'origine et même le lieu exact des détonations. Deux explosions ont été entendues à Ivry-sur-Seine ce mardi en début d'après-midi. Une journaliste de MYTF1News sur place voyait de loin une colonne de fumée que l'on pouvait également constater sur des photos postées par des habitants sur Twitter.
Contactés par MYTF1News, la préfecture de police d'Ivry et les pompiers ont confirmé deux explosions et être dépêchés sur place.
Selon l'AFP, deux bouteilles de gaz ont explosé accidentellement mardi après-midi dans un collège en travaux d'Ivry-sur-Seine dans le Val-de-Marne, provoquant deux fortes déflagrations et un incendie. Trois personnes, des ouvriers qui travaillaient sur le toit du collège Molière, ont été légèrement blessées. Il n'y avait pas d'élèves dans le collège au moment des faits.
Selon les premiers éléments, les bouteilles de gaz ont explosé coup sur coup pour une raison encore inconnue. "Un nuage de fumée noire se dégage du bâtiment, il y a eu beaucoup de bruit, mais peu de dégâts", a souligné une source policière. 

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/deux-explosions-a-ivry-8455398.html

mardi 22 juillet 2014

Escroquerie de grande ampleur dans le Berry

La brigade de gendarmerie de Buzançais a arrêté un homme âgé d'une cinquantaine d'années domicilié dans l'Indre. Il est soupçonné d'avoir floué 91 personnes en proposant de fausses réparations d'extincteurs. Les enquêteurs estiment le préjudice à 115 000 euros. 
L'escroc présumé sera jugé le 5 novembre devant le tribunal correctionnel de Châteauroux. Il devra répondre d'"escroquerie, falsification et usage de chèques falsifiés et d'exécution de travail dissimulé". 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/07/22/escroquerie-de-grande-ampleur-dans-le-berry-521049.html

Pays basque : une caravane échouée sur l'A 63

Un véhicule a perdu sa caravane sur la voie de gauche après la sortie Saint-Jean-de-Luz nord, dans le sens sud-nord

A 10h40 mardi matin, un bouchon était en cours de formation sur l'A 63 dans le sens sud-nord, 4 kilomètres après la sortie de Saint-Jean-de-Luz nord. Un véhicule a perdu sa caravane sur la voie de gauche.
 

Souppes : la nonagénaire disparue n’avait pas quitté la maison de retraite

Pendant plus de trois heures ce mardi matin, les services de police ont fouillé les abords de la maison de retraite « La Garenne » située à Souppes-sur-Loing. Ils ont été alertés à 4 h 40 de la disparition d’une pensionnaire de l’établissement, une femme de 92 ans, atteinte de la maladie d’Alzheimer. D’importants effectifs sont alors mobilisés pour rechercher la nonagénaire. Tous savent que c’est dans les premières heures que tout se joue.
 
Munis du descriptif de la retraitée, ils passent les lieux au peigne fin. Aucune piste n’est à négliger et pour cela, il faut aussi connaître ses habitudes. Mais à 7 h 20, coup de théâtre. Alors que tout le monde la cherche à l’extérieur, la vieille dame est finalement retrouvée dans les cuisines de « La Garenne ». Elle avait faim. Un signe de bonne qui ne trompe pas et qui a redonné le sourire à tous ceux qui remuaient ciel et terre pour la trouver.

http://www.leparisien.fr/souppes-sur-loing-77460/souppes-la-nonagenaire-disparue-n-avait-pas-quitte-la-maison-de-retraite-22-07-2014-4019353.php

Agriculteur passé à tabac : dix minutes d'une violence inarrêtable

Un trio était à la barre, hier après-midi, au tribunal de Cahors. Accusé d'avoir roué de coups un agriculteur, une connaissance, le 22 juin à Frayssinet pour d'hypothétiques attouchements sur enfants. Ils ont déposé plainte mais les violences ne sont pas restées impunies.
Quarante-deux jours d'incapacité. C'est la conséquence, moins visible que les bleus et divers stigmates que montre la présidente du tribunal Béatrice Almendros sur les photos de la procédure judiciaire. Le visage de la victime n'en laissait rien paraître, hier après-midi au tribunal correctionnel de Cahors, mais cela donne une idée de l'ampleur des coups et blessures, infligés le 22 juin dernier à Frayssinet.
Nous sommes dimanche, jour de repos et de détente au domicile d'un couple d'agriculteurs. Pourtant, à 14 h 15, les gendarmes de Gourdon sont contactés en urgence. Les deux victimes, un couple d'agriculteurs, déjeunaient avec trois invités. Des invités qui deviendront les témoins tétanisés devant la haine du trio, une femme de 39 ans et deux hommes de 34 et 40 ans. «La nature humaine réserve des surprises. Ici, c'était une vendetta. Pour un motif qui tiendrait aux propos à caractère sexué qu'auraient tenu la victime aux enfants des trois prévenus, ainsi qu'en raison d'un prêt refusé selon les dires de la victime, vous êtes entrés dans un déchaînement de violence au lieu d'ouvrir une enquête auprès de la gendarmerie (N.D.L.R. Celle-ci est active depuis le 9 juillet après dépôt de plainte du trio) argue la substitut du procureur de la République. Ces trois-là ne sont pas capables de s'arrêter de frapper même lorsque madame est couchée pour protéger son compagnon. Elle aura d'ailleurs un malaise cardiaque.» La violence aura duré entre cinq et dix minutes. «Ça a dû être très très long» déclarait la présidente. D'abord dans la cuisine, ensuite dans la salle de bain et la baignoire avant que l'un des agresseurs ne sorte une serpette et menace les personnes présentes. L'arrivée des gendarmes calmera les esprits.

Entraide

Victime, l'agriculteur ne s'attendait pas à recevoir une bouteille brisée sur le crâne, puis à subir une flopée de coups de poing au visage et des coups de pied dans le dos. Il connaissait en effet les deux hommes qui l'avaient aidé pour des travaux agricoles. Et réciproquement en habits, chaussures, mobilier ou repas. Ses agresseurs ont été reconnus coupables. Huit mois avec sursis pour la femme, quinze mois dont huit de sursis avec deux ans de mise à l'épreuve pour l'autre agresseur et deux ans de prison dont six mois de sursis avec mise à l'épreuve et un mandat de dépôt pour Jean-Marc Barreau.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/22/1922504-dix-minutes-d-une-violence-inarretable.html

Haute-Loire. Camion à la dérive sur la RN88 : une voiture écrasée contre une maison

Un drame a été évité de justesse, à 22h30 dans la nuit de lundi à mardi, en plein bourg de Saint-Hostien: endormi au volant, un routier cantalien a percuté une citerne avant de se mettre en portefeuille et d'écraser une voiture contre une maison.
Par miracle, la voiture, qui était stationnée sur le trottoir, était vide. Seul le chauffeur du camion, un cantalien de 36 ans, légèrement blessé et très choqué, a été hospitalisé. Autre chance dans cet accident : la citerne percutée, transportant habituellement des hydrocarbures, était vide au moment du choc.

La RN88 est restée fermée jusqu'à 2h30, le temps de l'enlèvement des camions accidentés (qui n'a débuté qu'à minuit) et du nettoyage de la chaussée


http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/07/22/camion-a-la-derive-sur-la-rn88-une-voiture-ecrasee-contre-une-maison

lundi 21 juillet 2014

Rambouillet : une femme de 53 ans ligotée par deux cambrioleurs

Ils l’ont abandonnée au milieu de sa maison en feu après l’avoir ligotée avec du ruban adhésif. Samedi matin, une femme de 53 ans a été agressée par deux individus, dans son domicile de Rambouillet. Vers 11 heures, ils se sont introduits dans le pavillon, situé rue de l’Etang de la tour, en passant par une fenêtre restée ouverte.
 
Ils se sont précipités sur la propriétaire, l’ont ligotée avec du ruban adhésif et ont fouillé toute la maison. Ils se sont ensuite emparé de sa carte bancaire et ont déclenché un dans la cuisine, avant de prendre la fuite.

Par chance, la quinquagénaire est parvenue à se débarrasser de ses entraves et à prévenir les secours, qui ont rapidement maîtrisé l’incendie. Elle n’a pas été blessée mais demeure particulièrement choquée par cette agression. L’affaire a été confiée à la DRPJ de Versailles.



http://www.leparisien.fr/yvelines-78/rambouillet-une-femme-de-53-ans-ligotee-par-deux-cambrioleurs-21-07-2014-4016823.php

Bordeaux : un motard très grièvement blessé au passage d'un dos d'âne

Son pronostic vital est engagé. Un motard de 46 ans, habitant de Saint-Aubin-du-Médoc a été transporté d'urgence à l'hôpital Pellegrin, samedi en début de soirée après un spectaculaire accident de la route.
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Selon les premiers éléments dont disposent les policiers, le motard a soudain perdu le contrôle de son engin au passage sur un dos-d'âne, rue Raymond-Poincaré, à Bordeaux.
Dans le choc avec le ralentisseur, le quadragénaire a été éjecté de sa moto et projeté en l'air. Il a atterri quelques mètres plus loin sous une voiture en stationnement.
Prisonnier des tôles et grièvement blessé, il a dû être désincarcéré pour être conduit aux urgences.

http://www.sudouest.fr/2014/07/20/bordeaux-un-motard-tres-grievement-blesse-au-passage-d-un-dos-d-ane-1620334-3081.php

Une mamie a disparu

D'importants moyens de gendarmerie ont été engagés hier après-midi sur la commune de Lédas-et-Penthiès pour retrouver une femme âgée de 79 ans portée disparue. Atteinte de la maladie d'Alzheimer, cette mamie était dans une maison avec ses proches lorsque vers 13 h 30, son absence a été remarquée. Des témoins l'ont aperçue en train de traverser des champs de maïs non loin de là. Au cours de l'après-midi, une vingtaine de gendarmes de la compagnie d'Albi sont partis à sa recherche dans la commune. L'effectif a également reçu le concours d'un maître-chien venu de Montauban. Par ailleurs, un hélicoptère a survolé la zone pour retrouver sa trace. Pour le moment, aucun appel à témoins n'a été diffusé par la gendarmerie.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/21/1921882-une-mamie-a-disparu.html

Bouches-du-Rhône : un homme blessé par balle déposé à une caserne de pompiers

Un ou plusieurs proches ont déposé, dimanche en fin d'après-midi, un homme de 25 ans, vraisemblablement blessé par balles, à la caserne de pompiers de Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône).
Un homme de 25 ans, vraisemblablement blessé par balles, a été déposé dimanche en fin d'après-midi par un ou plusieurs proches à la caserne de pompiers de Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône), a-t-on appris auprès des pompiers et de source policière. "L'homme a été déposé par un membre de sa famille. Effectivement, il saignait, et il a peut-être fait l'objet d'un tir d'arme à feu", a expliqué la source policière.

Le pronostic vital a un temps été engagé, mais ne l'est plusDéposé peu avant 18H00, il était conscient à son arrivée et avait un impact de balle dans le thorax, ont précisé les pompiers des Bouches-du-Rhône. Il a été évacué vers le l'hôpital Nord de Marseille. Le pronostic vital a un temps été engagé, mais ne l'est plus, a indiqué la source policière. Agé de 25 ans, L'homme est originaire de Port-de-Bouc, commune située sur la bande littorale entre l'étang de Berre et la mer. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille. L'ignorance du lieu et des circonstances du crime rendent particulièrement difficile ce type d'enquête, a souligné la source policière. 

http://www.midilibre.fr//2014/07/20/bouches-du-rhone-un-homme-blesse-par-balle-depose-a-une-caserne-de-pompiers,1027369.php

dimanche 20 juillet 2014

Senlis (60) : 6 scouts de l'oise foudroyés en Charente-Maritime !

6 jeunes garçons âgés de 11 à 14 ans ont été transportés au Centre Hospitalier de Saintes. Selon les sapeurs pompiers de Charente-Maritime, ils présentaient de légers impacts aux jambes. Arrivées en Saintonge le 6 juillet, ils devaient repartir à Senlis, dans l'Oise, aujourd'hui même.

Nous reviendrons ce soir à 19h00 dans le journal régional sur les dangers relatifs à la foudre et sur les moyens de se prémunir contre de tels accidents.

Une centaine de personnes est foudroyée chaque année en France, selon les travaux du Dr Gourbière. Le plus souvent, les accidents surviennent en juillet et en août, deux mois particulièrement orageux, et lors de randonnées, loin des zones d'habitation.

D'après les travaux du Dr Elisabeth Gourbière, médecin spécialiste de la foudre, "les foudroiements sont globalement graves : 10% des victimes décèdent, plus de 70% des survivants ont des séquelles permanentes et invalidantes". Ces chiffres sont publiés sur le site de l'association Protection Foudre. D'autres études américaines évoquent des chiffres plus faibles, entre 3 et 5%.

Le plus souvent, la mort est provoquée par une électrocution, qui cause un arrêt cardiaque. Chez les survivants, les séquelles peuvent être très diverses (cardiaques, brûlures, visuelles, auditives, psychologiques...) et se développer au fil du temps. Jusqu'à 300 000 volts peuvent passer en surface du corps sous forme d'un "arc de contournement", mais l'énergie qui traverse le corps peut entraîner des perturbations cardiovasculaires et neurologiques graves.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/07/20/senlis-60-6-scouts-de-l-oise-foudroyes-en-charente-maritime-520027.html

Fêtes de la Madeleine: 177 interventions dans la nuit de samedi à dimanche

Traditionnellement la nuit de samedi à dimanche est la plus fréquentée des fêtes de la Madeleine. C'était encore le cas cette année. Les estimations de comptage font état de la présence de 100 000 personnes environ.
 
Entre Croix rouge et pompiers, 177 interventions ont été recensées. Huit personnes ont été évacuées sur l'hôpital Layné pour de la bobologie principalement. Quelques bagarres ont été déplorées.
Quatre personnes sont en garde à vue ce matin pour des vols en réunion. Des véhicules ont été dégradés notamment dans le secteur de Despiau, Nonères, de la route de Sabres et de l'IUT.
Douze conducteurs ont été contrôlés avec une alcoolémie positive, onze contraventionnelles et une délictuelle.  

http://www.sudouest.fr/2014/07/20/fetes-de-la-madeleine-177-interventions-dans-la-nuit-de-samedi-a-dimanche-1620238-7.php

La collision fait deux blessés

C'est aux alentours de 15 heures, hier, qu'un terrible accident de la circulation s'est produit sur la RD940 (route de Lourdes) au niveau de la commune de Lamarque-Pontacq. Trois véhicules utilitaires sont impliqués, dont deux qui sont entrés en collision. Alors qu'elle circulait en direction de Lourdes, une 205 immatriculée en Seine-Maritime, avec à l'intérieur deux adultes et leurs deux enfants, aurait voulu doubler le véhicule (Opel bleue) qui se trouvait devant elle. Mais lorsque le conducteur de la 205 a déboîté, il est entré en collision avec la voiture arrivant en sens inverse, immatriculé en Grande-Bretagne, tout en impactant l'arrière de l'Opel bleue. Suite au choc, la 205 a enchaîné les tonneaux, alors que les deux autres véhicules ont terminé leurs courses sur le bas-côté de la chaussée. Des automobilistes arrivant sur les lieux ont retourné la 205, sorti et mis en sécurité les enfants qui se trouvaient à l'arrière, une fille de 6 ans et un garçon de 4 ans. Alertés à 15 h 15, les pompiers de Pontacq, Lourdes et Couarraze, ainsi que les gendarmes d'Ossun, Pontacq et Tarbes, se sont immédiatement rendus sur place et ont mis en sécurité les blessés. D'importants moyens ont été mobilisés ; l'hélicoptère de la gendarmerie qui n'a finalement pas servi, ainsi que deux équipes du SMUR (Pau et Lourdes). Six personnes ont été blessées dans cet accident, dont deux gravement. Ce sont les parents de la famille originaire de Seine-Maritime, âgés de 60 ans et 42 ans, qui après avoir été désincarcérés de leur véhicule, ont été transportés vers les centres hospitaliers de Pau et Lourdes. Très choqués, leurs enfants ont été évacués vers l'hôpital de Tarbes afin de subir des examens de contrôle. La circulation a été bloquée et déviée durant une partie de l'après-midi. Un dramatique accident qui, d'après les affaires éparpillées au sol, s'est déroulé au départ ou au retour de vacances. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/20/1921328-la-collision-fait-deux-blesses.html

Collision de deux trains près de Pau : la signalisation au coeur de l'enquête

L a signalisation est au coeur des enquêtes qui ont démarré vendredi sur la collision entre un Train express régional (TER) et un TGV, dans laquelle 40 personnes ont été blessées, dont quatre graves, jeudi à hauteur de la commune de Denguin dans les Pyrénées-Atlantiques.
Pourquoi le TER qui s'est arrêté à un signal rouge est-il reparti? Le signal est-il passé à tort au vert? Le conducteur a-t-il pris l'initiative de reprendre sa route malgré un signal rouge? Trois enquêtes devront répondre à ces questions pour expliquer l'accident, survenu peu après 17H30 lorsqu'un TER a heurté un TGV reliant Tarbes à Paris, à hauteur de Denguin (Pyrénées-Atlantiques).

Un signal défaillant en cours de réparation
Lors d'un point de presse vendredi, la SNCF et Réseau ferré de France (RFF) ont retracé la chronologie de l'accident, indiquant qu'un premier TER avait fait état de la défaillance d'un signal permettant de garantir qu'un seul train se trouve sur cette portion de ligne comportant une seule voie. Un agent de maintenance a alors été dépêché sur place, peu avant l'arrivée du TGV. Ce train "s'est arrêté au signal, (...) au rouge car l'agent de maintenance" travaillait dessus, a expliqué Alain Krakovitch, directeur général sécurité et qualité de service ferroviaire à la SNCF. Le TGV a obtenu l'autorisation de passer, franchi le signal et poursuivi sa route à vitesse réduite 30 km/h.
"Le TER est ensuite arrivé, il s'est arrêté quelques secondes, il est ensuite reparti et c'est là qu'on ne comprend pas ce qu'il s'est passé", a ajouté M. Krakovitch, précisant qu'il "a franchi le signal à vitesse normale, c'est-à-dire 120 km/h". Interrogé sur la couleur du signal, M. Krakovitch a répondu: "On ne sait pas, il est possible que le signal soit passé au vert". Voyant le TGV, le TER a freiné, mais a percuté le TGV à 95 km/h.

Deux blessés encore dans un état sérieux

Moins de 24 heures après l'accident, six personnes restaient hospitalisées, dont deux dans un "état sérieux", mais leur pronostic vital n'était pas engagé. "Deux adultes sont dans un état jugé sérieux, mais stable", a déclaré Christophe Gautier, directeur de l'hôpital de Pau. Selon la préfecture, ces deux victimes sont notamment traitées pour des "lésions traumatiques abdominales". Deux enfants, dont un bébé, admis en urgence jeudi, étaient pour leur part "hors de danger", selon M. Gautier. Deux autres personnes restaient hospitalisées dans une clinique privée à Pau et à l'hôpital de Dax. Treize personnes avaient été hospitalisées jeudi soir après la collision entre le TER et le TGV, à bord desquels voyageaient 228 passagers.

Une enquête confiée au groupement de gendarmerie de Pau

Sur les lieux de l'accident vendredi matin, il ne restait plus que les experts et enquêteurs. Les accès au passage à niveau près duquel s'est produite la collision étaient, eux, filtrés par la gendarmerie, a indiqué le maire de la commune, Gilles Tesson.  Dès jeudi soir, le secrétaire d'Etat aux Transports, Frédéric Cuvillier, venu sur place, et la SNCF ont évoqué un lien possible avec "le système de signalisation en maintenance". Le parquet de Pau a ouvert vendredi une information judiciaire pour "blessures involontaires", et deux juges d'instruction doivent être désignés. L'enquête judiciaire a été confiée au groupement de gendarmerie de Pau avec l'appui de la Section de recherche.
Selon une source proche de l'enquête, les deux conducteurs, dont celui du TER "très choqué", ont été entendus dès jeudi soir, ainsi que d'autres témoins. Les deux conducteurs devraient être rapidement réentendus, a précisé cette source, indiquant également que "les deux boîtes noires" des trains avaient été récupérées. Les investigations du Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre (BEA-TT) devraient se concentrer sur les aspects techniques. La SNCF a également diligenté une enquête interne. Des passagers du TGV ont raconté avoir entendu avant le choc une annonce évoquant un ralentissement causé par un problème de signalisation lié à la chaleur. "Rien ne permet de dire que la chaleur a joué un rôle", selon les responsables de la SNCF et RFF.

Une demande de transparence

Les présidents socialistes des régions Aquitaine et Midi-Pyrénées, Alain Rousset et Martin Malvy, ont demandé que "toute la lumière soit faite" sur la collision, M. Malvy estimant que si elle est liée à "une défaillance de la signalisation, RFF devra dire les conclusions qu'il en tire pour renforcer la sécurité sur l'ensemble du réseau". Pour l'association de victimes "Solidarité Saint-Médard PN11", constituée après un accident mortel de TER à Saint-Médard-sur-Ille (Ille-et-Vilaine) en octobre 2011, "la SNCF et RFF doivent doter tous leurs matériels roulants de moyens modernes d'alerte en temps réel pour anticiper la présence d'un obstacle sur les voies".

http://www.midilibre.fr//2014/07/18/collision-de-deux-trains-pres-de-pau-la-signalisation-au-coeur-de-l-enquete,1026750.php
 

samedi 19 juillet 2014

Biarritz : le conducteur du scooter est décédé

Le trentenaire originaire de Paris avait perdu le contrôle de son scooter dans la nuit de lundi à mardi
e vacancier de 31 ans, originaire de Paris, qui, dans la nuit de lundi à mardi, a perdu le contrôle de son scooter, rue de Madrid, est décédé mercredi.
 
Très grièvement blessé dans sa chute, il avait été transporté à l'hôpital de Bayonne dans un état jugé critique.

http://www.sudouest.fr/2014/07/19/biarritz-le-conducteur-du-scooter-est-decede-1619877-7.php

Finistère. Le corps d'un homme retrouvé à Moëlan-sur-Mer

Le corps inanimé d'un homme a été découvert dans un fossé peu avant 9h sur la route de Merrien, à l'entrée de la commune de Moëlan-sur-Mer, dans le Finistère.

Les gendarmes, les pompiers et le Samu sont sur place. Le procureur de Quimper est arrivé sur place vers 10h. L'homme est décédé dans des circonstances qui restent à éclaircir. L'homme retrouvé, un Moëlanais de 31 ans, était employé dans la commune.

http://www.ouest-france.fr/finistere-le-corps-dun-homme-retrouve-moellan-sur-mer-2709809

Un incendie d'origine humaine à un million d'euros de préjudice

L'incendie du hangar Sanz, maîtrisé jeudi vers 21 heures, serait d'origine humaine, d'après les premiers éléments de l'enquête. Le préjudice matériel est estimé à un million d'euros.
La nuit a été chaude à Port-Sainte-Marie. à la chaleur ambiante d'une nuit de juillet, s'est rajoutée celle des flammes qui ont englouti le hangar de stockage de caisses de bois de l'entreprise Sanz (voir notre édition d'hier). «Je ne pense pas que Port-Sainte-Marie ait connu un tel incendie un jour. Je suis resté du début à la fin, c'était impressionnant», raconte le maire William Kherif. «La fin», c'est aux alentours de 21 heures, quand le gros de l'incendie a été maîtrisé par les pompiers.

Deux lances toute la journée

Mais le travail des soldats du feu était loin d'être terminé. Toute la nuit de jeudi et la journée d'hier jusqu'en début d'après-midi, deux lances ont continué d'arroser les 4000 m² de bâtiment — dont il ne reste que les ossements métalliques — pour contenir les points chauds actifs et éviter de nouveaux départs de feu comme cela a pu être le cas vers 1 h 30.
Les premières expertises réalisées sur place permettent d'y voir plus clair sur le départ des flammes. L'incendie serait donc d'origine humaine, autrement dit qu'il a fallu une action de l'homme mais sans pour autant qu'elle soit volontaire. Le feu est en revanche parti de l'extérieur, sur des cagettes disposées contre les locaux, à hauteur de la fin du quai SNCF derrière le bâtiment. Un jet de mégot aurait pu provoquer l'incendie même si la gendarmerie n'exclut pour l'instant aucune hypothèse.

Aucun impact sur l'emploi

Pour l'entreprise spécialisée dans les fruits, qui louait le hangar à la SNCF depuis quarante ans, la pilule est évidemment dure à avaler. Le hangar, le matériel contenu sont détruits. Les murs qui tiennent encore miraculeusement debout ont été grandement affaiblis par la forte chaleur. Le préjudice, notamment au niveau des machines, est estimé à un million d'euros. D'après William Kherif, qui a pu échanger avec Jacques Sanz, l'incendie ne devrait pas avoir d'impact au point de vue de l'emploi puisqu'aucun salarié ne travaillait sur le site. Certains éléments de la partie machinerie et des frigos ont d'ailleurs pu être sauvés.
Enfin, la ligne SNCF Agen-Bordeaux, coupée le temps de l'intervention, a été rouverte peu avant 21 h 30.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/19/1921163-un-incendie-d-origine-humaine-a-un-million-d-euros.html

Lourdes : des scouts victimes d'une intoxication alimentaire

Nouvelles intoxications dans les Pyrénées. Sept scouts, en visite à Lourdes, étaient vendredi soir en d'évacuation vers un hôpital pour réhydratation à la suite d'une légère intoxication alimentaire.

Le groupe de 63 scouts, âgés de 14 à 31 ans, venait de «l'ensemble de la France», et est arrivé à Lourdes jeudi après-midi. Les jeunes gens se rendaient dans la ville pour assister les pèlerins au niveau des Sanctuaires, et faisaient partie de trois organisations de scoutismes différentes.

L'alerte a été données par leur chef de groupe à 16 heures ce vendredi. «Une cinquantaine» ont alors été vus par un médecin, a expliqué le sous-
Jean-Baptiste Peyrat.

«Vingt-sept n'ont strictement rien. 17 ont été très légèrement intoxiqués, avec un état nauséeux, et six, qui vomissaient légèrement, ont dû être perfusés, mais uniquement pour les réhydrater», a-t-il indiqué. Ces six derniers ont «dans leur majorité entre 18 et 20 ans», selon lui.

La sous-préfecture a un peu plus tard en
précisé qu'un septième scout avait dû être perfusé.

«Aucun cas n'inquiète les médecins»

Bien que sept scouts aient été évacués vers l'hôpital de Tarbes, le sous-préfet a assuré «qu'il ne s'agit pas en soi d'une hospitalisation. Il s'agit uniquement de faciliter les perfusions. Ils n'ont aucun autre symptôme. Aucun cas n'inquiète les médecins». Le sous-préfet a indiqué avoir discuté avec l'un des scouts évacués, précisant «qu'il n'y a vraiment rien de dramatique».

Des analyses sont en cours sur les aliments que les scouts ont ingéré vendredi midi.

Cette intoxication alimentaire intervient après
le décès, le 9 juillet, d'un garçon de huit ans qui avait séjourné dans une colonie, également dans les Pyrénées, en Ariège, après avoir souffert d'une intoxication aiguë, dont l'origine reste mystérieuse.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/lourdes-des-scouts-victimes-d-une-intoxication-alimentaire-18-07-2014-4011427.php

vendredi 18 juillet 2014

Loire. La Fouillouse : deux motards très grièvement blessés dans un choc auto-moto

L’accident s’est produit vers 18h30 sur l’autoroute A72 à hauteur de La Fouillouse, dans le sens Saint-Etienne- Andrezieux-Bouthéon. Le choc a été très violent, entre une moto et une automobile : le pilote de la moto et son passager ont été violemment projetés à terre.
Devant la gravité de leurs blessures, les sapeurs-pompiers ont fait appel au Samu. Les deux motards ont été évacué dans un état d’urgence absolue sur l’hôpital Nord


http://www.leprogres.fr/loire/2014/07/18/la-fouillouse-deux-motards-tres-grievement-blesses-dans-un-choc-auto-moto

Creil : plainte contre l'hôpital pour surdosage de produits anesthésiants

Bassin d'Arcachon : un an après la mort de François Newey, sa famille attend des réponses

François Newey et son épouse Kristina rentraient de Bordeaux où ils avaient emmené en urgence leur chien malade dans une clinique vétérinaire. Cette nuit du 14 au 15 juillet 2013, il est 2 h 40 et, à quelques kilomètres de leur lieu de résidence, au Cap-Ferret, où ils sont venus passer leurs vacances, c'est soudain le drame. Face à eux une voiture devenue « folle » surgit et les percute de plein fouet au lieu dit Le Viviers, à la sortie d'une courbe à droite, au niveau du camping dans le village de Claouey à la pointe nord du bassin d'Arcachon.
 
Sous l'extrême violence du choc, François Newey, 69 ans, décède sur le coup. Son épouse, 65 ans, très grièvement blessée, souffre de plusieurs fractures au bassin, aux bras, aux lombaires. Polytraumatisée, elle est évacuée au CHU à Bordeaux où elle reste hospitalisée cinq mois avant de retrouver ses enfants à Saint-Cloud, dans les Hauts-de-Seine.
En face, dans une Audi A4 cabriolet, le conducteur, tout juste âgé de 18 ans, n'a pas encore le permis. Il pratique la conduite accompagnée. Originaire de Saint-Didier-du-Mont, dans la banlieue lyonnaise, il est en vacances. Cette nuit-là, il a emprunté la voiture de son père, à l'insu de ce dernier. Il a pris les clés et poussé discrètement le véhicule avec deux copains de Clamart. Ils sont allés sur la plage où ils ont bu puis ont fait un tour en discothèque où ils ont rencontré deux jeunes filles qu'ils ont emmenées à bord du cabriolet. Le jeune conducteur a-t-il voulu les impressionner ? Pour l'instant, cette question reste toujours sans réponse. « Nous ne disposons d'aucune information, soupire Me Lucie Teynié, avocate de la famille Newey. C'est insupportable de ne rien savoir. »
Amoureux du Bassin
Le chauffard, grièvement blessé, a été rapidement rapatrié dans le Rhône et n'aurait toujours pas été entendu par les enquêteurs. Les investigations menées par les gendarmes de la compagnie d'Arcachon sont quant à elle achevées et ont révélé que le jeune conducteur avait un taux d'alcool de 1,10 g dans le sang, soit plus du double toléré. Au moment de l'accident, il venait de dépasser une voiture à vive allure et des témoins ont indiqué l'avoir croisé phares éteints et les mains en l'air au-dessus du volant !
« Mon père était amoureux du Bassin, raconte, émue, Sophie Newey, l'un des trois enfants du couple. Le soir du 14 juillet, mes parents avaient passé la soirée avec des amis au restaurant chez Hortense. En rentrant à la maison, ils ont trouvé leur chien très malade et l'ont conduit à Bordeaux […] C'est terrible. Ma mère était très dynamique, elle faisait beaucoup de sport. Tout cela est terminé désormais. Psychologiquement, elle est très affectée. Nous avons toujours constitué une famille très unie et, aujourd'hui, notre combat est quotidien. Nous voudrions que la justice passe pour qu'elle nous apporte des réponses et que nous puissions faire notre deuil car nous n'arrivons pas à penser à notre père de manière sereine. »
Le 9 août 2013, les trois enfants Newey avaient organisé une surprise pour leur père, en Finlande, pays d'origine de Kristina. Ils devaient célébrer ses 70 ans et les noces d'émeraude de leurs parents. La fête n'a jamais eu lieu.

http://www.sudouest.fr/2014/07/18/une-terrible-douleur-qui-reste-sans-echo-1618303-2780.php

Un employé d'Alstom chute d'une nacelle de 5m de haut

Vers 3h la nuit dernière, un employé d'Alstom est tombé d'une hauteur de cinq mètres alors qu'il travaillait sur une nacelle à la station de tram Rotonde, dans le quartier de Cronenbourg à Strasbourg
L'ouvrier était en train de vérifier une ligne aérienne lorsqu'il a perdu l'équilibre et a chuté sur les rails.
Présentant de multiples douleurs au dos et aux cervicales, il a été évacué par le Samu au CHU de Hautepierre. Ses jours ne seraient toutefois pas en danger.
L'intervention des secours a entraîné des perturbations sur les lignes A et D: les rames n'ont pas pu quitter le dépôt de Cronenbourg entre 4h10, heure de la mise en service, et 4h40 environ. Durant ce laps de temps, la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) a mis en place des bus de substitution.

http://www.dna.fr/actualite/2014/07/18/un-employe-de-la-cts-chute-d-une-nacelle-de-5m-de-haut-a-strasbourg

Feu de récolte

Feu déclenché sûrement sur le moteur de la moissoneuse-batteuse et d'après le proprio Alain Rabaud de Ste Croix,un flexible cassé ou brûlé a contribué à très vite enflammer le tout.lorsqu'il s'est arrêté pour vérifier le niveau de remplissage de grain dans la trémie de la machine.
Aussitôt descendu, il a appelé les pompiers.
Un voisin Cyprien Calmettes est venu avec son tracteur et la charrue retourner de la terre et ainsi constituer une bande parefeu. Très efficace d'après les pompiers. Au moins deux hectares et demi ont brûlé sur cette grande parcelle attisé par un petit vent de Sud Ouest.
Sur place les unités d'Alban, Albi (appelés par le chef d'agrès J. Paul Stéfani), puis St Juéry et Carmaux sous la conduite du lieutenant de Carmaux Henri Puivert. Avec Troiscamions CCF et un fourgon pompe tonne. Alban est venu avec deux véhicules.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/18/1920339-feu-de-recolte.html

Aude : un feu de pinède ravage 40 hectares

Un feu a détruit jeudi une quarantaine d'hectares de garrigue, de pinède et de broussaille à Laure-Minervois (Aude), près de Carcassonne.
Le feu qui s'est déclaré vers 13 h 30 pour une raison inconnue, près du domaine viticole de Cadel, au coeur du Minervois, non loin de la zone touchée il y a dix jours par des chutes de grêle dévastatrices, a détruit 40 hectares de garrigue, de pinède et de broussaille. La tâche des pompiers a été compliquée par la grosse chaleur qui règnait sur la région et par un vent de 30 à 40 km/h venant de la mer. En milieu de soirée, le sinistre était en passe d'être fixé, c'est-à-dire empêché de s'étendre d'avantage. Les pompiers s'apprêtaient à travailler une partie de la nuit pour mener à bien des opérations de noyage et éteindre totalement le sinistre
Environ 150 pompiers, avec le renfort de deux avions Canadair, deux Tracker et un Dash, ont été mobilisés pour venir à bout des flammes. Quatre habitations ont été mises en sécurité. Le sinistre a parcouru pour l'essentiel d'anciennes parcelles agricoles inhabitées. Une ligne à très haute tension de 400 000 volts et une autre ligne de 20 000 volts situées à proximité du feu ont été coupées par précaution. L'opération a été réalisée "sans impact pour les clients", a précisé Réseau Transport d'Électricité (RTE) .

http://www.midilibre.fr//2014/07/17/aude-importante-mobilisation-contre-un-feu-de-pinede,1026243.php

jeudi 17 juillet 2014

Sète: découverte d'un corps carbonisé

Le corps d'un homme partiellement carbonisé a été découvert ce matin dans une galerie désaffectée de l'armée à Sète,rapporte le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret. Une enquête pour homicide volontaire a été confiée au SRPJ de Montpellier, a indiqué M. Barret, précisant qu'une autopsie était prévue demain matin pour déterminer les causes du décès qui remonterait à "plusieurs jours voire plusieurs semaines".

Selon les premières constatations, le cadavre portait des blessures à la tête, la trace d'un coup de feu et la carbonisation était volontaire.
L'identification de la victime était encore en cours jeudi, a encore indiqué le magistrat.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/17/97001-20140717FILWWW00374-sete-decouverte-d-un-corps-carbonise.php

CARLEPONT (60) Le corps d’une trentenaire retrouvé à son domicile

Le corps d’une femme âgée d’une trentaine d’années a été retrouvé hier, à son domicile de Carlepont, dans l’Oise, entre Compiègne et Noyon. Selon les autorités, c’est un membre de la famille qui, en entrant dans l’appartement, situé rue des Tonneliers, dans les bâtiments de l’ancien Home de l’enfance, a alerté les secours.

Une mort « d’origine médicale »

Arrivés les premiers sur place, les pompiers ont pris en charge des membres de la famille. Si une enquête de la gendarmerie a été ouverte, les causes de la mort seraient «  d’origine médicale. La jeune femme était connue des services de santé  ».

http://www.courrier-picard.fr/region/carlepont-60-le-corps-d-une-trentenaire-retrouve-a-ia201b0n406614

Un barbecue mal éteint sur le balcon provoque un grand incendie à Beaumont, en Haute-Savoie

Deux appartements ont été touchés par un important incendie, mercredi 16 juillet à Beaumont, en Haute-Savoie. A l'origine : un barbecue, mal éteint, sur le balcon de l'un des appartements. Impossible de décrire le phénomène exact, mais il est probable que des braises aient été portées par le vent jusqu'à l'intérieur de l'habitation et aient fini par enflammer mobilier.

L'incendie s'est propagé à la toiture de cet immeuble d'un étage comprenant six logements. Vingt mètres carrés ont été détruits. Une famille de deux adultes et deux enfants a été relogée.

Une trentaine de pompiers et quatre lances à incendie ont été mobilisés sur place jusqu'à 4h00 du matin. Une déviation a été mise en place par la gendarmerie pour faciliter et sécuriser l'intervention.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/07/17/un-barbecue-mal-eteint-sur-le-balcon-provoque-un-grand-incendie-beaumont-en-haute-savoie-518409.html

Charente : un routier se fait voler sa remorque sur un parking

Dans la nuit de lundi à mardi, un chauffeur routier aurait été victime d'un braquage, relataient mercredi nos confrères de la "Charente Libre"
 
Arrêté pour dormir sur un parking de la zone de Goursac, le long de la RN141, à Chasseneuil, il aurait été braqué par deux individus encagoulés qui sont repartis avec sa remorque de 1 600 pneus, accrochée à leur tracteur.
Le parquet d'Angoulême confirmait mercredi soir qu'une enquête était en cours, menée par la section de recherche de la gendarmerie de Poitiers.

http://www.sudouest.fr/2014/07/17/charente-un-routier-se-fait-voler-sa-remorque-sur-un-parking-1617657-813.php

Hautes-Pyrénées. Un bus de jeunes bretons percuté par une voiture

Un bus transportant des adolescents bretons en colonie de vacances est entré en collision mardi soir avec une voiture dans les Hautes-Pyrénées, faisant plusieurs blessés.

Le bus transportait 43 enfants dont 30 originaires du Finistère (Brest et Quimper) et 13 du Morbihan et d'Ille-et-Vilaine nous a précisé Hélène Plouzennec, la responsable de l'association Latitudes Sud, basée à Quimper.
Trois souffrent de contusions et deux sont encore en observationà l'hôpital, d'après l'organisatrice.
Les 28 autres enfants, « choqués » par l'accident, ont été pris en charge par deux pompiers.
Tous les enfants, âgés entre 8 et 17 ans, vont bien.

Plus de peur que de mal

Les circonstances exactes de la collision n'ont pas été encore déterminées : elle s'est produite sur une route de montagne assez sinueuse alors que le bus redescendait vers Saint-Lary (Hautes-Pyrénées), le camp de base de la colonie situé à une vingtaine de kilomètres de l'accident.
Le groupe revenait d'une journée de rafting en Espagne quand une voiture a percuté l'autocar mardi soir vers 18 h 30.
La colonie de vacances qui se déroule du 6 au 19 juillet devrait continuer normalement.
Seule déception, la boum de mardi soir a été reportée…

http://www.ouest-france.fr/hautes-pyrenees-un-bus-de-jeunes-bretons-heurte-une-voiture-12-blesses-2702980