Ce samedi matin peu après 9 heures, une voiture transportant cinq passagers est sortie de la route au lieu-dit « L’Enfer » sur la commune de Montchal après avoir dérapé sur une plaque de verglas.
Parmi les cinq occupants, quatre ont été légèrement blessés, un jeune occupant âgé de 10 ans a été plus sérieusement touché. Tous ont été transportés aux urgences de l’hôpital de Feurs.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/11/30/cinq-blesses-dans-un-accident-de-la-route-a-montchal
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
samedi 30 novembre 2013
La mère de la fillette tuée s'était rendue à Berck pour «mettre fin aux jours de son enfant
La mère de la fillette tuée s'était rendue à Berck pour «mettre fin aux jours de son enfant», selon le parquet. «Elle l'a déposée vivante sur la plage alors que la marée montait».
Les analyses ADN réalisées après l'arrestation vendredi soir d'une femme à Saint-Mandé, près de Paris, confirment qu'il s'agit bien de la mère de la fillette retrouvée morte le 20 novembre sur une plage de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais), a-t-on appris samedi de source proche de l'enquête.
La mère «a reconnu les faits» et sera mise en examen pour assassinat, rapporte le parquet. «Ses premières explications aux enquêteurs ne sont guère convaincantes», ajoute une source proche de l'enquête.
Cette femme est en garde à vue depuis vendredi vers 18h00. La mère de la fillette faisait l'objet d'un appel à témoin de la police.
Cette femme a été arrêtée rue Jeanne d'Arc, à Saint-Mandé (Val-de-Marne), dans un immeuble de six étages, dans un quartier résidentiel de cette petite commune plutôt bourgeoise près du bois de Vincennes.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la femme est âgée de 36 ans. Hébergée chez un homme à Saint-Mandé, elle a été interpellée à son arrivée à ce logement. Elle aurait expliqué être la mère d'une fille née en août 2012 mais assuré que sa propre mère avait emmené la fillette au Sénégal.
http://www.20minutes.fr/societe/1257235-20131130-fillette-retrouvee-morte-a-berck-analyses-adn-confirment-femme-arretee-bien-mere
Les analyses ADN réalisées après l'arrestation vendredi soir d'une femme à Saint-Mandé, près de Paris, confirment qu'il s'agit bien de la mère de la fillette retrouvée morte le 20 novembre sur une plage de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais), a-t-on appris samedi de source proche de l'enquête.
La mère «a reconnu les faits» et sera mise en examen pour assassinat, rapporte le parquet. «Ses premières explications aux enquêteurs ne sont guère convaincantes», ajoute une source proche de l'enquête.
Cette femme est en garde à vue depuis vendredi vers 18h00. La mère de la fillette faisait l'objet d'un appel à témoin de la police.
Cette femme a été arrêtée rue Jeanne d'Arc, à Saint-Mandé (Val-de-Marne), dans un immeuble de six étages, dans un quartier résidentiel de cette petite commune plutôt bourgeoise près du bois de Vincennes.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la femme est âgée de 36 ans. Hébergée chez un homme à Saint-Mandé, elle a été interpellée à son arrivée à ce logement. Elle aurait expliqué être la mère d'une fille née en août 2012 mais assuré que sa propre mère avait emmené la fillette au Sénégal.
http://www.20minutes.fr/societe/1257235-20131130-fillette-retrouvee-morte-a-berck-analyses-adn-confirment-femme-arretee-bien-mere
Périgueux : le bébé mâchouillait une boulette de cannabis
Un petit garçon de 10 mois devrait être placé en famille d’accueil rapidement après avoir vécu, lundi, une mésaventure qui aurait pu avoir de graves conséquences.
Ce jour-là, dans la matinée, sa maman, une Périgourdine de 21 ans, se retrouve avec une amie pour partager un « joint » de cannabis. Les deux femmes sortent à tour de rôle fumer à l’extérieur de la pièce où elles se trouvent pour ne pas gêner le bébé qui chemine à quatre pattes. À un moment, la mère se rend compte que la bave de son petit est de couleur marron et elle découvre dans sa bouche un morceau de résine de cannabis déjà bien mastiqué.
Elle rentre alors chez elle avec le bébé et l’après-midi, au moment de la sieste, l’enfant se met à hurler, tétanisé dans son lit. Aussitôt elle prend la direction des urgences pédiatriques de l’hôpital de Périgueux où le diagnostic est formel : le bébé a bel et bien ingéré du cannabis.
Le nourrisson a été soigné et placé en observation. Ses jours ne sont pas en danger. Comme le veut la procédure, les médecins ont prévenu le procureur de la République qui a chargé les policiers de la brigade de protection de la famille d’une enquête.
La maman a été entendue et a reconnu les faits. Une décision de placement de l’enfant a été ordonnée le temps de comprendre son contexte social. La mesure devait être mise à exécution hier et une vingtaine de membres de la famille du bébé se sont retrouvés à l’hôpital pour protester contre la décision de placement. La police a été appelée pour ramener tout le monde à la raison. Il a finalement été décidé de garder le bébé à l’hôpital une nuit supplémentaire
http://www.sudouest.fr/2013/11/30/le-bebe-machouillait-un-morceau-de-cannabis-1244861-1980.php
Ce jour-là, dans la matinée, sa maman, une Périgourdine de 21 ans, se retrouve avec une amie pour partager un « joint » de cannabis. Les deux femmes sortent à tour de rôle fumer à l’extérieur de la pièce où elles se trouvent pour ne pas gêner le bébé qui chemine à quatre pattes. À un moment, la mère se rend compte que la bave de son petit est de couleur marron et elle découvre dans sa bouche un morceau de résine de cannabis déjà bien mastiqué.
Elle rentre alors chez elle avec le bébé et l’après-midi, au moment de la sieste, l’enfant se met à hurler, tétanisé dans son lit. Aussitôt elle prend la direction des urgences pédiatriques de l’hôpital de Périgueux où le diagnostic est formel : le bébé a bel et bien ingéré du cannabis.
Le nourrisson a été soigné et placé en observation. Ses jours ne sont pas en danger. Comme le veut la procédure, les médecins ont prévenu le procureur de la République qui a chargé les policiers de la brigade de protection de la famille d’une enquête.
La maman a été entendue et a reconnu les faits. Une décision de placement de l’enfant a été ordonnée le temps de comprendre son contexte social. La mesure devait être mise à exécution hier et une vingtaine de membres de la famille du bébé se sont retrouvés à l’hôpital pour protester contre la décision de placement. La police a été appelée pour ramener tout le monde à la raison. Il a finalement été décidé de garder le bébé à l’hôpital une nuit supplémentaire
http://www.sudouest.fr/2013/11/30/le-bebe-machouillait-un-morceau-de-cannabis-1244861-1980.php
A contresens, il provoque deux accidents sur la promenade des Anglais
Un automobiliste circulant dans une Renault Twingo a emprunté la chaussée nord de la Promenade des Anglais à contresens vendredi matin vers 5 heures, provoquant deux accidents.
Il a d’abord heurté une voiture circulant normalement vers l’aéroport sans heureusement faire de blessés. Puis, il a percuté au niveau de l’hôtel Radisson une Opel Corsa en stationnement, la projetant sur une dizaine de mètres sur le trottoir.
Il a pris la fuite à pied et a été interpellé par un policier national finissant son service et rentrant chez lui.
Il a été remis à une patrouille, mais a été hospitalisé sous escorte policière afin de subir des soins et un dépistage d'alcool et de stupéfiants.
http://www.nicematin.com/nice/a-contresens-il-provoque-deux-accidents-sur-la-promenade-des-anglais.1529545.html
Il a d’abord heurté une voiture circulant normalement vers l’aéroport sans heureusement faire de blessés. Puis, il a percuté au niveau de l’hôtel Radisson une Opel Corsa en stationnement, la projetant sur une dizaine de mètres sur le trottoir.
Il a pris la fuite à pied et a été interpellé par un policier national finissant son service et rentrant chez lui.
Il a été remis à une patrouille, mais a été hospitalisé sous escorte policière afin de subir des soins et un dépistage d'alcool et de stupéfiants.
http://www.nicematin.com/nice/a-contresens-il-provoque-deux-accidents-sur-la-promenade-des-anglais.1529545.html
Deux camions se renversent au Prat-d'Albis et à Lavelanet
Hier, en fin d’après-midi, un camion qui montait en direction du réservoir d’eau du Prat-d’Albis avec des produits d’assainissement, a dérapé sur la route. Il passait sur une plaque de glace qui a cédé, et s’est mis en travers bloquant le passage. Impossible de le débloquer. Les policiers ont fait appel à une entreprise spécialisée de Castelnaudary qui devait intervenir dans la soirée avec le matériel adéquat. Des promeneurs de Toulouse, Pamiers et le Carla-Bayle, au total huit personnes qui avaient passé l’après-midi au Prat d’Albis se sont retrouvés bloqués, dans l’impossibilité de passer. Ils ont été ramenés à Foix par les pompiers et ont appelé des proches pour qu’on vienne les chercher. Ils récupéreront leurs véhicules plus tard. Du côté des produits chimiques, les pompiers n’ont pas d’inquiétude ils étaient correctement stockés pour le transport et donc tout danger de pollution était écarté d’emblée.
Vu l’étroitesse du chemin, l’arrière du lourd véhicule s’est vite retrouvé au bord du talus, et l’inévitable s’est produit. Le camion s’est retrouvé sur le toit, coupant quelques arbres, mais finalement stoppé par d’autres dans sa chute, évitant ainsi de dévaler en tonneau le pré en contrebas. Plus de peur que de mal pour le conducteur, sorti indemne de cet accident. Hier matin, le camion-grue de levage était sur place, et mesurait très vite les difficultés rencontrées pour retirer le poids lourd de sa mauvaise posture. En effet, l’étroitesse des lieux, sans point d’appui pour stabiliser la grue, compliquait le problème, alors qu’il était du coup impossible de circuler sur cette route, et pas de possibilité de déviation. Hier matin, le nécessaire était fait pour retirer le camion de sa mauvaise posture.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/30/1764076-deux-camions-renversent-prat-albis-lavelanet.html
Lavelanet : un camion victime de la glace
Un accident s’est produit jeudi matin, sur la route menant au hameau de Gréoulou, sur la commune de Lavelanet. Un camion de 28 tonnes a quitté la route alors qu’il se dirigeait vers le hameau. À un kilomètre de sa destination, sur une route encore enneigée sur les bas-côtés et glacée à cet endroit à forte pente, les roues arrière ont commencé à patiner.Vu l’étroitesse du chemin, l’arrière du lourd véhicule s’est vite retrouvé au bord du talus, et l’inévitable s’est produit. Le camion s’est retrouvé sur le toit, coupant quelques arbres, mais finalement stoppé par d’autres dans sa chute, évitant ainsi de dévaler en tonneau le pré en contrebas. Plus de peur que de mal pour le conducteur, sorti indemne de cet accident. Hier matin, le camion-grue de levage était sur place, et mesurait très vite les difficultés rencontrées pour retirer le poids lourd de sa mauvaise posture. En effet, l’étroitesse des lieux, sans point d’appui pour stabiliser la grue, compliquait le problème, alors qu’il était du coup impossible de circuler sur cette route, et pas de possibilité de déviation. Hier matin, le nécessaire était fait pour retirer le camion de sa mauvaise posture.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/30/1764076-deux-camions-renversent-prat-albis-lavelanet.html
Narbonne : il va voir le film "Evasion" et finit en prison
Le cinéphile a brandi une arme, mercredi soir, au multiplexe CGR de Narbonne alors qu'il était venu voir "Evasion" avec sa petite amie.
"Généralement, au cinéma, on se trimballe avec des pop-corn, une glace, pas une arme", ne peut s’empêcher de faire remarquer l’assesseur, du président du tribunal, Fabrice Vétu. Vincent, lui, avait cru bon venir au CGR voir “Évasion ”, avec sa petite amie... Un pistolet d’alarme dans sa sacoche.
"Je ne me sens pas en sécurité. Je ne connais personne à Narbonne", tente d’expliquer à demi-mot le prévenu de 27 ans, vendredi, dans le box des prévenus. Actuellement en formation de chauffeur-livreur, il est domicilié à Ille-sur-Têt, dans les Pyrénées-Orientales, depuis sa sortie de prison en 2009, après avoir purgé des peines pour menaces de mort et vol aggravé notamment.
"Maintenant que j’ai sorti mon “tarpé”, tu la ramènes moins"
Mercredi soir, jour de son anniversaire, le jeune homme va pointer son arme en direction de Florian et Jean-Michel au milieu du hall du multiplexe CGR, à Narbonne, et suivre les deux hommes jusque dans la salle de projection.
"T’es mort, fils de p... Maintenant que j’ai sorti mon “tarpé”, tu la ramènes moins", leur lance-t-il, pointant le pistolet dans leur direction. La scène se déroule en présence de nombreux spectateurs. "C’était juste dans le but de les effrayer", minimise Vincent.
L’homme, qui était venu acheter des billets à l’avance, quitte alors le cinéma un moment, avant de revenir à l’heure de la séance. Entre-temps, la police a été avertie. Elle l’interpelle.
Un air de western
"On est plus proche du western que d’une ville civilisée. Ce qui me choque, c’est la futilité de la raison pour laquelle il a sorti son arme", fait remarquer le procureur, Nicolas Deleuze. Vincent est condamné, en récidive légale, à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis, avec maintien en détention pour violence avec arme.
Pour "un regard, de la tête au pied", que les jeunes hommes auraient lancé à sa petite amie.
http://www.midilibre.fr/2013/11/29/il-va-voir-le-film-evasion-et-finit-en-prison,790374.php
"Généralement, au cinéma, on se trimballe avec des pop-corn, une glace, pas une arme", ne peut s’empêcher de faire remarquer l’assesseur, du président du tribunal, Fabrice Vétu. Vincent, lui, avait cru bon venir au CGR voir “Évasion ”, avec sa petite amie... Un pistolet d’alarme dans sa sacoche.
"Je ne me sens pas en sécurité. Je ne connais personne à Narbonne", tente d’expliquer à demi-mot le prévenu de 27 ans, vendredi, dans le box des prévenus. Actuellement en formation de chauffeur-livreur, il est domicilié à Ille-sur-Têt, dans les Pyrénées-Orientales, depuis sa sortie de prison en 2009, après avoir purgé des peines pour menaces de mort et vol aggravé notamment.
"Maintenant que j’ai sorti mon “tarpé”, tu la ramènes moins"
Mercredi soir, jour de son anniversaire, le jeune homme va pointer son arme en direction de Florian et Jean-Michel au milieu du hall du multiplexe CGR, à Narbonne, et suivre les deux hommes jusque dans la salle de projection.
"T’es mort, fils de p... Maintenant que j’ai sorti mon “tarpé”, tu la ramènes moins", leur lance-t-il, pointant le pistolet dans leur direction. La scène se déroule en présence de nombreux spectateurs. "C’était juste dans le but de les effrayer", minimise Vincent.
L’homme, qui était venu acheter des billets à l’avance, quitte alors le cinéma un moment, avant de revenir à l’heure de la séance. Entre-temps, la police a été avertie. Elle l’interpelle.
Un air de western
"On est plus proche du western que d’une ville civilisée. Ce qui me choque, c’est la futilité de la raison pour laquelle il a sorti son arme", fait remarquer le procureur, Nicolas Deleuze. Vincent est condamné, en récidive légale, à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis, avec maintien en détention pour violence avec arme.
Pour "un regard, de la tête au pied", que les jeunes hommes auraient lancé à sa petite amie.
http://www.midilibre.fr/2013/11/29/il-va-voir-le-film-evasion-et-finit-en-prison,790374.php
vendredi 29 novembre 2013
Crime du Bois de Boulogne : le suspect reçoit les policiers avec une arbalète
Un homme est en garde à vue après la découverte d'une femme brûlée et poignardée dans le Bois-de-Boulogne lundi dernier. Il avait piégé son appartemernt avec une arbalète.
Un homme de 21 ans a été interpellé jeudi soir trois jours après la découverte du corps calciné d'une femme dans le Bois de Boulogne à Paris. La jeune femme est morte après avoir reçu plusieurs coups de couteau. Selon les enquêteurs, le ou les tueurs ont vraisemblablement tenté de faire disparaître le corps en le brûlant.
Sur la scène de crime, les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire avaient découvert un poing américain, un téléphone portable et un sac contenant un jean, du maquillage et des préservatifs. Des indices cruciaux qui ont permis de remonter la piste du tueur présumé.
Il avait piégé son appartement avec une arbalète
Lorsqu'ils sont arrivés chez lui, les policiers ont été visés par un tir d'arbalète. Le suspect avait en effet piégé son appartement. Sur place, les enquêteurs ont également découvert une quinzaine de poignards et de sabre. Rapidement arrêté, il a été placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire.
L'homme est inconnu des services de police. Il ne disposerait pas de toutes ses facultés intellectuelles.
Le crime du Bois de Boulogne a été particulièrement violent. La victime comportait des dizaines de blessures à l'arme blanche au niveau des épaules et du dos. Le crâne de la jeune femme était également "enfoncé". Plusieurs doigts de ses mains présentaient aussi d'importantes blessures. Ces dernières pourraient avoir été causées alors que la victime tentait de se défendre.
"Le ou les auteurs de ce meurtre ont ensuite tenté de faire disparaître ce corps en le brûlant mais le feu semble s'être rapidement éteint", avait indiqué une source proche de l'enquête au Parisien. Lundi, une autre avançait qu'"il pourrait s'agir d'une prostituée", le bois de Boulogne étant un haut lieu de la prostitution parisienne.
Paris : sa maman descend faire une course, son fils de 3 ans tombe du 5e étage
Alors que sa mère s'était absentée pour acheter du lait, son enfant de 3 ans et demi se serait penché par la fenêtre de la chambre d'hôtel où ils logaient. Son pronostic vital était engagé à la mi-journée.
Il était un peu plus de 11 heures, vendredi matin, quand un enfant de 3 ans et demi est tombé du 5e étage de l'Hôtel de France, situé boulevard Barbès, à Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, il serait monté sur une chaise et se serait penché par la fenêtre pour tenter de voir sa maman qui s'était absentée pour aller lui chercher du lait.
L'enfant, victime d'un arrêt cardiaque, a été transporté sous escorte par le samu pédiatrique à l'hôpital Necker. Son pronostic vital était très engagé à la mi-journée. La mère, à la recherche d'un appartement dans la capitale, avait loué cette chambre depuis plusieurs jours.
La Brigade de protection des mineurs a été saisie de l'enquête.
Bordeaux : ils se faisaient passer pour des policiers avec un gyrophare
Cinq jeunes gens à bord d’une voiture se sont fait passer pour une patrouille de la brigade anticriminalité auprès d’un homme qui vendait ses charmes sur les quais, en portant des atours féminins, dans la nuit de mardi à mercredi.
Les cinq individus, âgés d’une vingtaine d’années, avaient pour seul signe de leur appartenance à la police un petit gyrophare en vente libre dans le commerce et que l’un d’entre eux maintenait sur le toit de leur voiture. Mais la victime de leur canular ne s’en est pas laissé compter.
Elle a alerté la vraie police sur les agissements des cinq jeunes. Et une vraie patrouille de la Bac les a retrouvés à Bacalan, un peu plus tard. Ils ont été conduits au commissariat où, après quelques heures de garde à vue, ils se sont vu remettre une convocation pour une audience du tribunal correctionnel sur reconnaissance préalable de culpabilité.
http://www.sudouest.fr/2013/11/29/faits-divers-1243517-4584.php
Les cinq individus, âgés d’une vingtaine d’années, avaient pour seul signe de leur appartenance à la police un petit gyrophare en vente libre dans le commerce et que l’un d’entre eux maintenait sur le toit de leur voiture. Mais la victime de leur canular ne s’en est pas laissé compter.
Elle a alerté la vraie police sur les agissements des cinq jeunes. Et une vraie patrouille de la Bac les a retrouvés à Bacalan, un peu plus tard. Ils ont été conduits au commissariat où, après quelques heures de garde à vue, ils se sont vu remettre une convocation pour une audience du tribunal correctionnel sur reconnaissance préalable de culpabilité.
http://www.sudouest.fr/2013/11/29/faits-divers-1243517-4584.php
Un train percute une voiture sans faire de blessés au Soler
L'accident, par chance uniquement matériel, s'est produit vers 8 h 40 ce vendredi matin, au Soler.
D'après les premiers éléments, il semblerait qu'un automobiliste d'une cinquantaine d'années ait été soudain victime d'un malaise, alors qu'il franchissait un passage à niveau. Son véhicule immobilisé, l'homme a eu le temps de quitter l'habitacle et de faire signe au conducteur d'une locomotive qui arrivait sur la voie.
Le conducteur du train ainsi alerté a pu freiner, sans pour autant éviter le choc contre la voiture. La vingtaine de passagers, qui se trouvaient à bord du train, sont ressortis indemnes du choc.
Alertés, sapeurs-pompiers, gendarmes et autorités se sont rendus sur place. L'automobiliste a été conduit à l'hôpital, en raison de son malaise, tandis que la circulation ferroviaire était interrompue et que la circulation routière était déviée, le temps des constatations.
Peu avant 10 h, le train a été autorisé à repartir à toute petite vitesse en direction de la gare de Perpignan.
http://www.lindependant.fr/2013/11/29/un-train-percute-une-voiture-sans-faire-de-blesses-au-soler,1818342.php
D'après les premiers éléments, il semblerait qu'un automobiliste d'une cinquantaine d'années ait été soudain victime d'un malaise, alors qu'il franchissait un passage à niveau. Son véhicule immobilisé, l'homme a eu le temps de quitter l'habitacle et de faire signe au conducteur d'une locomotive qui arrivait sur la voie.
Le conducteur du train ainsi alerté a pu freiner, sans pour autant éviter le choc contre la voiture. La vingtaine de passagers, qui se trouvaient à bord du train, sont ressortis indemnes du choc.
Alertés, sapeurs-pompiers, gendarmes et autorités se sont rendus sur place. L'automobiliste a été conduit à l'hôpital, en raison de son malaise, tandis que la circulation ferroviaire était interrompue et que la circulation routière était déviée, le temps des constatations.
Peu avant 10 h, le train a été autorisé à repartir à toute petite vitesse en direction de la gare de Perpignan.
http://www.lindependant.fr/2013/11/29/un-train-percute-une-voiture-sans-faire-de-blesses-au-soler,1818342.php
Trafic de stupéfiants : le coup de pied des gendarmes dans la fourmilière
Un coup de pied dans la fourmilière ? Le terme est particulièrement opportun dans la mesure où l’on évoque couramment «les fourmis» constituant ces petits trafics de stupéfiants , cannabis notamment, sur un secteur donné, généralement constitués de petites mains écoulant au détail, des quantités limitées. Mais les petites rivières font les grands fleuves. Mises bout à bout, ces petites transactions finissent par constituer un trafic conséquent.
Mardi matin aux aurores, les services de gendarmerie de Tarn-et-Garonne agissant sur commission rogatoire de la juge montalbanaise Anne Kinoo ont effectivement bousculé le «train-train» d’un réseau prospérant dans plusieurs communes de l’est montalbanais notamment. C’est en tout cas sur ces territoires (et dans le secteur de Castelsarrasin) mardi matin qu’une soixantaine de militaires du PSPG de Golfech, des pelotons de surveillance et d’intervention (Psig) de Montauban, Castelsarrasin et Toulouse et de brigade des recherches (BR) de Montauban est entrée en action.
Selon nos informations, une douzaine de cibles avaient été préalablement déterminées par les forces de l’ordre et le magistrat instructeur.
Les perquisitions conduites simultanément à ces interpellations auraient également permis de découvrir une somme d’argent en espèces de plusieurs milliers d’euros ainsi que près de deux kilos de produits stupéfiants. Des véhicules et des armes ont également été saisis.
Du côté des forces de gendarmerie où l’on se montrait très discret sur les tenants et les aboutissants de cette opération effectivement placée sous l’autorité d’un magistrat, on savourait néanmoins la qualité du travail réalisé avec le sentiment d’avoir porté un coup sévère à l’organisation d’un réseau bien installé.
Cette opération de gendarmerie inscrite dans le cadre d’une vaste enquête pourrait connaître d’autres prolongements dans les jours à venir.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/29/1763686-le-coup-de-pied-des-gendarmes-dans-la-fourmiliere.html
Mardi matin aux aurores, les services de gendarmerie de Tarn-et-Garonne agissant sur commission rogatoire de la juge montalbanaise Anne Kinoo ont effectivement bousculé le «train-train» d’un réseau prospérant dans plusieurs communes de l’est montalbanais notamment. C’est en tout cas sur ces territoires (et dans le secteur de Castelsarrasin) mardi matin qu’une soixantaine de militaires du PSPG de Golfech, des pelotons de surveillance et d’intervention (Psig) de Montauban, Castelsarrasin et Toulouse et de brigade des recherches (BR) de Montauban est entrée en action.
Selon nos informations, une douzaine de cibles avaient été préalablement déterminées par les forces de l’ordre et le magistrat instructeur.
Argent, stupéfiants, armes...
Toutes auraient été atteintes provoquant autant de gardes à vue menées dans différentes brigades du secteur et au seinLes perquisitions conduites simultanément à ces interpellations auraient également permis de découvrir une somme d’argent en espèces de plusieurs milliers d’euros ainsi que près de deux kilos de produits stupéfiants. Des véhicules et des armes ont également été saisis.
Du côté des forces de gendarmerie où l’on se montrait très discret sur les tenants et les aboutissants de cette opération effectivement placée sous l’autorité d’un magistrat, on savourait néanmoins la qualité du travail réalisé avec le sentiment d’avoir porté un coup sévère à l’organisation d’un réseau bien installé.
Incarcérations et contrôles judiciaires
Sur les 12 gardés à vue, six ont néanmoins été relâchés à l’issue de leur audition, les autres se voyant prolonger leur retenue pour être présentés au magistrat instructeur à Montauban. Cette présentation programmée hier en fin d’après midi au palais de justice de Montauban a notamment débouché sur deux incarcérations et trois placements sous contrôle judiciaire. Un dernier suspect était encore hier soir devant le juge des libertés et de la détention chargé de statuer sur une éventuelle incarcération.Cette opération de gendarmerie inscrite dans le cadre d’une vaste enquête pourrait connaître d’autres prolongements dans les jours à venir.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/29/1763686-le-coup-de-pied-des-gendarmes-dans-la-fourmiliere.html
Un TGV immobilisé par un chariot de supermarché
Le TGV, qui effectuait la liaison entre Toulouse et Dijon, a roulé jeudi soir sur un chariot entre Montaudran et Labège, peu après son départ. Le chariot s'est retrouvé coincé sous les roues.
Un TGV a été immobilisé pendant près de deux heures au sud-est de Toulouse jeudi soir après avoir roulé sur un chariot de supermarché qui se trouvait sur la voie. Le TGV, qui effectuait la liaison entre Toulouse et Dijon, a roulé sur le chariot entre Montaudran et Labège, peu après son départ de la ville rose vers 18h, et l'engin s'est retrouvé coincé sous les roues.
Les pompiers ont été appelés sur les lieux pour découper le chariot et libérer le train, qui est reparti vers 20h après vérification par les équipes de la SNCF de l'état du train, précise l'entreprise ferroviaire. Des trains (TER et intercités) qui suivaient le TGV et qui étaient arrêtés dans différentes gares ont pu également reprendre leur route. On ignore dans l'immédiat les raisons pour lesquelles ce chariot se trouvait sur la voie.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-tgv-immobilise-par-un-chariot-de-supermarche-8321071.html
Les pompiers ont été appelés sur les lieux pour découper le chariot et libérer le train, qui est reparti vers 20h après vérification par les équipes de la SNCF de l'état du train, précise l'entreprise ferroviaire. Des trains (TER et intercités) qui suivaient le TGV et qui étaient arrêtés dans différentes gares ont pu également reprendre leur route. On ignore dans l'immédiat les raisons pour lesquelles ce chariot se trouvait sur la voie.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-tgv-immobilise-par-un-chariot-de-supermarche-8321071.html
jeudi 28 novembre 2013
Dax : elle cachait des tablettes numériques dans le carton d'une dinette
Une femme de 30 ans habitant Tartas a été interpellée par la police pour un vol avec ruse qu'elle venait de commettre dans une grande surface de Dax.
Le personnel de sécurité de l'établissement, aidé par la vidéosurveillance, l'a repérée, lundi en début d'après-midi.
Aidée par un couple de complices qui a disparu avant que la police arrive, elle avait vidé le contenu du carton d'une dînette pour le remplacer par divers modèles de tablettes numériques.
Arrêtée lors de son passage en caisse, la femme a reconnu les faits et ce vol d'une valeur supérieure à 2 100 euros.
Laissée libre à l'issue de sa garde à vue, elle sera prochainement convoquée devant le tribunal de Dax.
http://www.sudouest.fr/2013/11/27/dax-elle-cachait-des-tablettes-numeriques-dans-le-carton-d-une-dinette-1242266-3350.php
Le personnel de sécurité de l'établissement, aidé par la vidéosurveillance, l'a repérée, lundi en début d'après-midi.
Aidée par un couple de complices qui a disparu avant que la police arrive, elle avait vidé le contenu du carton d'une dînette pour le remplacer par divers modèles de tablettes numériques.
Arrêtée lors de son passage en caisse, la femme a reconnu les faits et ce vol d'une valeur supérieure à 2 100 euros.
Laissée libre à l'issue de sa garde à vue, elle sera prochainement convoquée devant le tribunal de Dax.
http://www.sudouest.fr/2013/11/27/dax-elle-cachait-des-tablettes-numeriques-dans-le-carton-d-une-dinette-1242266-3350.php
Rama Yade cambriolée : son appartement fouillé de fond en comble
Mauvaise journée pour Rama Yade. La vice-présidente de l'UDI et ex-secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme s'est fait cambrioler mercredi dernier dans son appartement des Hauts-de-Seine, rapporte RTL. Les cambrioleurs auraient réussi à s'introduire dans le logement par le biais d'une porte-fenêtre.
Rama Yade n'a pas encore communiqué sur la teneur des objets volés. Plus surprenant, l'appartement a été fouillé dans son intégralité, ce qui laisse penser que les voleurs cherchaient quelque chose. Papiers confidentiels, bijoux, effets personnels...? Le parquet de Nanterre a confié l'enquête à la police judiciaire.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/28/1762947-rama-yade-cambriolee-son-appartement-entierement-fouille.html
Rama Yade n'a pas encore communiqué sur la teneur des objets volés. Plus surprenant, l'appartement a été fouillé dans son intégralité, ce qui laisse penser que les voleurs cherchaient quelque chose. Papiers confidentiels, bijoux, effets personnels...? Le parquet de Nanterre a confié l'enquête à la police judiciaire.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/28/1762947-rama-yade-cambriolee-son-appartement-entierement-fouille.html
L'un des plus grands bidonvilles roms en France évacué à Saint-Ouen
La police a évacué mercredi matin à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, l'un des plus grands bidonvilles habité par des Roms en France. Ces dernières semaines jusqu'à 800 personnes dont des dizaines d'enfants y vivaient.
Environ 300 personnes avaient déjà quitté les lieux la veille au soir, et mercredi matin, 300 policiers ont fait sortir de leurs cabanons de planches les 250 occupants restants dont environ 70 enfants, sans "aucun incident" selon la préfecture.
A 22 ans, mère de quatre enfants de 5 mois à 12 ans
"Je ne sais pas où je vais aller", s'est désolée une mère de famille de 22 ans, Cassandra Punca, qui habitait avec ses 4 enfants de 5 mois à 12 ans dans le camp depuis trois mois. "On n'a pas d'argent, on est venu en France pour pouvoir (acheter de quoi) manger", raconte cette femme originaire de Bucarest. Sur ces centaines de personnes évacuées par une température d'environ 7 degrés, moins d'une dizaine se sont vu proposer un hébergement pour la nuit de mercredi à jeudi. Il s'agit des "personnes les plus fragiles" parmi les rares qui se sont soumises au "diagnostic social" que doivent réaliser les pouvoirs publics avant d'évacuer un camp de Roms, a affirmé sur place le préfet de Seine-Saint-Denis, Philippe Galli.
Site sécurisé avant de laisser la place aux bulldozers
"Des chambres supplémentaires ont également été réservées, afin de répondre à d'autres besoins pouvant émerger dans la journée", a souligné la préfecture. Les autres dormiront dehors ou rejoindront d'autres campements dans la région parisienne. L'évacuation a débuté vers 8 heures et duré une heure et demie. Des équipes de la SNCF et Réseau Ferré de France (RFF), propriétaires du terrain, ont "sécurisé" le site, ramassant notamment les bouteilles de gaz qui pouvaient encore s'y trouver, avant de laisser la place aux bulldozers.
La Voix des Roms dénonce la "brutalité de l'opération"
Vers 11 heures, la plupart des cabanes étaient encore debout, des Roms y ayant abandonné des tapis, leur télévision, ou encore des jouets d'enfants, au milieu de détritus. L'association La voix des Roms a dénoncé "une opération d'une très grande brutalité", mettant "au trottoir à l'entrée de l'hiver plusieurs centaines de personnes". L'évacuation de ce camp, qui s'est construit depuis cet été sur des terrains en friche de cette commune populaire de 46 000 habitants, au nord de Paris, était pressentie.
Leur présence perturbait l'approvisionnement d'un chauffage central
Les habitations de fortune perturbaient en effet l'approvisionnement en charbon de l'une des plus importantes centrales de chauffage urbain de la capitale, qui alimente environ 110 000 personnes mais aussi de nombreux hôpitaux parisiens. Il ne pouvait plus se faire que par camions, la voie de chemin de fer qui permet d'habitude de transporter le charbon à partir de l'automne étant recouverte sur des dizaines de mètres par des cabanons.
La maire FDG avait pris un arrêté municipal
L'évacuation a été obtenue en justice par la SNCF et RFF, puis déclenchée après un arrêté municipal de la maire Front de Gauche, Jacqueline Rouillon, qui en avait appelé, le 29 octobre, au ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, jugeant qu'il était de la "responsabilité de l'Etat" de résoudre le problème. La mairie estime avoir déjà fait son maximum pour les Roms avec la construction d'un village d'insertion.
"Péril imminent" encouru par les Roms
La préfecture a décidé de lui prêter main forte, au nom du "péril imminent" encouru selon les autorités par les Roms, à cause de "branchements électriques sauvages", de "l'absence de sanitaires et d'évacuation des eaux" ou encore de "l'amoncellement" de déchets. Ces derniers mois, les expulsions de camps de Roms se sont multipliées en Seine-Saint-Denis, permettant selon la préfecture de faire chuter le nombre de ces ressortissants roumains et bulgares dans le département, de 9 000 début 2012 à 2 500 aujourd'hui.
Meilleure répartition dans de petits camps
Aujourd'hui "les populations roms se sont un peu mieux réparties" en région parisienne, s'est félicité le préfet, soulignant que les grands camps de plusieurs centaines de personnes avaient été remplacés par des "petits sites de 20 à 30 personnes qui sont mieux supportés par le voisinage". Selon les estimations de l'Etat, corroborées par les associations, il y aurait entre 15 000 et 20 000 Roms installés en France, la grande majorité vivant dans des bidonvilles ou dans la rue.
http://www.midilibre.fr/2013/11/27/l-un-des-plus-grands-bidonvilles-roms-en-france-evacue-a-saint-ouen,789180.php
Environ 300 personnes avaient déjà quitté les lieux la veille au soir, et mercredi matin, 300 policiers ont fait sortir de leurs cabanons de planches les 250 occupants restants dont environ 70 enfants, sans "aucun incident" selon la préfecture.
A 22 ans, mère de quatre enfants de 5 mois à 12 ans
"Je ne sais pas où je vais aller", s'est désolée une mère de famille de 22 ans, Cassandra Punca, qui habitait avec ses 4 enfants de 5 mois à 12 ans dans le camp depuis trois mois. "On n'a pas d'argent, on est venu en France pour pouvoir (acheter de quoi) manger", raconte cette femme originaire de Bucarest. Sur ces centaines de personnes évacuées par une température d'environ 7 degrés, moins d'une dizaine se sont vu proposer un hébergement pour la nuit de mercredi à jeudi. Il s'agit des "personnes les plus fragiles" parmi les rares qui se sont soumises au "diagnostic social" que doivent réaliser les pouvoirs publics avant d'évacuer un camp de Roms, a affirmé sur place le préfet de Seine-Saint-Denis, Philippe Galli.
Site sécurisé avant de laisser la place aux bulldozers
"Des chambres supplémentaires ont également été réservées, afin de répondre à d'autres besoins pouvant émerger dans la journée", a souligné la préfecture. Les autres dormiront dehors ou rejoindront d'autres campements dans la région parisienne. L'évacuation a débuté vers 8 heures et duré une heure et demie. Des équipes de la SNCF et Réseau Ferré de France (RFF), propriétaires du terrain, ont "sécurisé" le site, ramassant notamment les bouteilles de gaz qui pouvaient encore s'y trouver, avant de laisser la place aux bulldozers.
La Voix des Roms dénonce la "brutalité de l'opération"
Vers 11 heures, la plupart des cabanes étaient encore debout, des Roms y ayant abandonné des tapis, leur télévision, ou encore des jouets d'enfants, au milieu de détritus. L'association La voix des Roms a dénoncé "une opération d'une très grande brutalité", mettant "au trottoir à l'entrée de l'hiver plusieurs centaines de personnes". L'évacuation de ce camp, qui s'est construit depuis cet été sur des terrains en friche de cette commune populaire de 46 000 habitants, au nord de Paris, était pressentie.
Leur présence perturbait l'approvisionnement d'un chauffage central
Les habitations de fortune perturbaient en effet l'approvisionnement en charbon de l'une des plus importantes centrales de chauffage urbain de la capitale, qui alimente environ 110 000 personnes mais aussi de nombreux hôpitaux parisiens. Il ne pouvait plus se faire que par camions, la voie de chemin de fer qui permet d'habitude de transporter le charbon à partir de l'automne étant recouverte sur des dizaines de mètres par des cabanons.
La maire FDG avait pris un arrêté municipal
L'évacuation a été obtenue en justice par la SNCF et RFF, puis déclenchée après un arrêté municipal de la maire Front de Gauche, Jacqueline Rouillon, qui en avait appelé, le 29 octobre, au ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, jugeant qu'il était de la "responsabilité de l'Etat" de résoudre le problème. La mairie estime avoir déjà fait son maximum pour les Roms avec la construction d'un village d'insertion.
"Péril imminent" encouru par les Roms
La préfecture a décidé de lui prêter main forte, au nom du "péril imminent" encouru selon les autorités par les Roms, à cause de "branchements électriques sauvages", de "l'absence de sanitaires et d'évacuation des eaux" ou encore de "l'amoncellement" de déchets. Ces derniers mois, les expulsions de camps de Roms se sont multipliées en Seine-Saint-Denis, permettant selon la préfecture de faire chuter le nombre de ces ressortissants roumains et bulgares dans le département, de 9 000 début 2012 à 2 500 aujourd'hui.
Meilleure répartition dans de petits camps
Aujourd'hui "les populations roms se sont un peu mieux réparties" en région parisienne, s'est félicité le préfet, soulignant que les grands camps de plusieurs centaines de personnes avaient été remplacés par des "petits sites de 20 à 30 personnes qui sont mieux supportés par le voisinage". Selon les estimations de l'Etat, corroborées par les associations, il y aurait entre 15 000 et 20 000 Roms installés en France, la grande majorité vivant dans des bidonvilles ou dans la rue.
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mercredi 27 novembre 2013
Disparition d'un autiste, appel à témoin lancé
Un appel à témoin a été lancé après la disparition d'un autiste de 23 ans, dont la trace a été perdue depuis lundi après un week-end chez ses parents, près d'Agen et qui pourrait se trouver à Bordeaux.
Le jeune homme, prénommé Damien, a passé le week-end chez ses parents, à Ségalas, dans le Lot-et-Garonne, au nord d'Agen, et devait prendre le train lundi pour regagner son foyer à Goudourville, près de Valence-d'Agen, dans le Tarn-et-Garonne, selon la même source. Le jeune autiste n'est jamais arrivé à la gare de Valence-d'Agen.
Selon des éléments d'enquête, il pourrait "se trouver en situation d'errance à Bordeaux", ville par laquelle "il semble être attiré", a-t-on ajouté, confirmant une information de Sud Ouest.
Il mesure 1,75 m, a des cheveux bruns et des yeux verts. Au moment de sa disparition, il portait un jean bleu, une veste molletonnée bleu marine et noire, des chaussures marrons à lacets et un sac à dos noir, selon la même source.
Les personnes susceptibles de détenir des informations permettant de localiser le jeune homme sont priées de prendre contact avec la gendarmerie de Valence-d'Agen au 05.63.29.60.50
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/27/97001-20131127FILWWW00481-disparition-d-un-autiste-appel-a-temoin-lance.php
Le jeune homme, prénommé Damien, a passé le week-end chez ses parents, à Ségalas, dans le Lot-et-Garonne, au nord d'Agen, et devait prendre le train lundi pour regagner son foyer à Goudourville, près de Valence-d'Agen, dans le Tarn-et-Garonne, selon la même source. Le jeune autiste n'est jamais arrivé à la gare de Valence-d'Agen.
Selon des éléments d'enquête, il pourrait "se trouver en situation d'errance à Bordeaux", ville par laquelle "il semble être attiré", a-t-on ajouté, confirmant une information de Sud Ouest.
Il mesure 1,75 m, a des cheveux bruns et des yeux verts. Au moment de sa disparition, il portait un jean bleu, une veste molletonnée bleu marine et noire, des chaussures marrons à lacets et un sac à dos noir, selon la même source.
Les personnes susceptibles de détenir des informations permettant de localiser le jeune homme sont priées de prendre contact avec la gendarmerie de Valence-d'Agen au 05.63.29.60.50
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/27/97001-20131127FILWWW00481-disparition-d-un-autiste-appel-a-temoin-lance.php
Des voleurs pillent un stock d'aide alimentaire près de Montauban
Des cambrioleurs ont pillé le stock d'aide alimentaire constitué par la Croix-Rouge à Montech, dans le Tarn-et-Garonne. Un vol qui pénalise la cinquantaine de familles qui vient y chercher chaque semaine un colis de nourriture.
Ils ont surtout volé du lait, des poulets et du poisson destinés à une cinquantaine de familles bénéficiant de l'aide alimentaire. Des cambrioleurs se sont servis dans le stock constitué par la Croix-Rouge à Montech, près de Montauban dans le Tarn-et-Garonne, ont indiqué mercredi l'association et la gendarmerie.
"On a quand même un gros stock et ils n'ont pas tout pris mais cela va énormément manquer", constatait mercredi Nathalie Bouyssi, une bénévole occupée à faire l'inventaire des produits volés dans le local de Montech, petite commune de 6.000 habitants.
Tous les lundis, une cinquantaine de familles viennent y chercher un colis alimentaire. "Alors tous les dons, notamment de produits frais, seront les bienvenus dans les jours qui viennent", a-t-elle dit. Le vol commis dans la nuit de lundi à mardi "pénalise des nécessiteux", "c'est minable", a commenté le président du comité local de la Croix-Rouge, Christian Gonin, cité par le quotidien La Dépêche du Midi.
Cambriolages fréquents avant les fêtes
Ciblant la nourriture, les voleurs se sont surtout servis en produits congelés, faisant main basse sur une centaine de poulets et des gratins de poissons. Les pâtes et les conserves emportées avaient été collectées le samedi précédent aux abords d'un supermarché de Montech et le reste avait été donné par l'Union européenne, a précisé Nathalie Bouyssi. Ils ont par ailleurs pris les 25 euros du fonds de caisse.
Des perquisitions ont été menées au domicile de deux personnes sur lesquelles se portaient des soupçons mais ces opérations "n'ont rien donné", a indiqué la gendarmerie, relevant par ailleurs que plusieurs commerces avaient été la cible de cambriolages, fréquents juste avant les fêtes.
"On a quand même un gros stock et ils n'ont pas tout pris mais cela va énormément manquer", constatait mercredi Nathalie Bouyssi, une bénévole occupée à faire l'inventaire des produits volés dans le local de Montech, petite commune de 6.000 habitants.
Tous les lundis, une cinquantaine de familles viennent y chercher un colis alimentaire. "Alors tous les dons, notamment de produits frais, seront les bienvenus dans les jours qui viennent", a-t-elle dit. Le vol commis dans la nuit de lundi à mardi "pénalise des nécessiteux", "c'est minable", a commenté le président du comité local de la Croix-Rouge, Christian Gonin, cité par le quotidien La Dépêche du Midi.
Cambriolages fréquents avant les fêtes
Ciblant la nourriture, les voleurs se sont surtout servis en produits congelés, faisant main basse sur une centaine de poulets et des gratins de poissons. Les pâtes et les conserves emportées avaient été collectées le samedi précédent aux abords d'un supermarché de Montech et le reste avait été donné par l'Union européenne, a précisé Nathalie Bouyssi. Ils ont par ailleurs pris les 25 euros du fonds de caisse.
Des perquisitions ont été menées au domicile de deux personnes sur lesquelles se portaient des soupçons mais ces opérations "n'ont rien donné", a indiqué la gendarmerie, relevant par ailleurs que plusieurs commerces avaient été la cible de cambriolages, fréquents juste avant les fêtes.
Cauneille (40) : "maltraitance" au foyer médicalisé ?
Le "Château" de Cauneille, qui accueille 82 résidents, handicapés et malades mentaux, fait l'objet de trois signalements auprès de l'Agence régionale de santé (ARS). S'il s'agit de signalements de "maltraitance", elle n'est toutefois pas physique mais fait plutôt référence à des brimades, des privations, des punitions.
L'ARS confirme ces signalements mais précise bien qu'une enquête est actuellement en cours et qu'aucune conclusion ne peut être tirée aujourd'hui en ce qui concerne la maltraitance. En revanche, elle consent à dire que "ces signalements démontrent que toutes les bonnes pratiques et les procédures de bien traitance ne sont pas bien maîtrisées. La difficulté est de savoir si ces pratiques sont justifiées ou pas sur le plan médical ou paramédical."
La "mission" de l'ARS devrait apporter des réponses claires et définitives à la fin de l'année.
http://www.sudouest.fr/2013/11/26/cauneille-40-maltraitance-au-foyer-medicalise-1241139-3350.php
L'ARS confirme ces signalements mais précise bien qu'une enquête est actuellement en cours et qu'aucune conclusion ne peut être tirée aujourd'hui en ce qui concerne la maltraitance. En revanche, elle consent à dire que "ces signalements démontrent que toutes les bonnes pratiques et les procédures de bien traitance ne sont pas bien maîtrisées. La difficulté est de savoir si ces pratiques sont justifiées ou pas sur le plan médical ou paramédical."
La "mission" de l'ARS devrait apporter des réponses claires et définitives à la fin de l'année.
http://www.sudouest.fr/2013/11/26/cauneille-40-maltraitance-au-foyer-medicalise-1241139-3350.php
Escroquerie à la CPAM de 166.000 €: prison avec sursis requise contre deux infirmiers antibois
Surfacturation, falsification d'ordonnances médicales... Soupçonnés d'avoir escroqué la caisse primaire d'assurance maladie de 166.000 € entre 2007 et 2009, deux infirmiers antibois, une femme de 69 ans et un homme de 62 ans, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Grasse.
Le parquet a requis à leur encontre respectivement 12 et 2 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve avec obligation d'indemniser la CPAM.
Le tribunal rendra sa décision le 14 janvier prochain.
http://www.nicematin.com/antibes/escroquerie-a-la-cpam-de-166000-%E2%82%AC-prison-avec-sursis-requise-contre-deux-infirmiers-antibois.1525139.html
Le parquet a requis à leur encontre respectivement 12 et 2 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve avec obligation d'indemniser la CPAM.
Le tribunal rendra sa décision le 14 janvier prochain.
http://www.nicematin.com/antibes/escroquerie-a-la-cpam-de-166000-%E2%82%AC-prison-avec-sursis-requise-contre-deux-infirmiers-antibois.1525139.html
Toulouse : une discothèque défoncée à la voiture bélier et incendiée
Une boîte de nuit toulousaine a été détruite par un incendie après avoir été défoncée par deux voitures bélier.
Une boîte de nuit toulousaine a été détruite par un incendie après avoir été défoncée par deux voitures bélier, a-t-on appris mardi auprès des pompiers et de la police. L'établissement, situé sur l'île du Ramier, sur la Garonne au coeur de Toulouse, était fermé au moment des faits survenus vers 4 h 30 mardi.
30 personnes au chômage technique
Il n'y a pas eu de victimes mais 30 personnes vont se retrouver au chômage technique, ont indiqué les pompiers. Deux voitures bélier ont été lancées contre la discothèque Studio One, où un incendie s'est déclaré. Les dégâts sont très importants et les pompiers ont déployé d'importants moyens pour venir à bout du sinistre.
http://www.midilibre.fr/2013/11/26/toulouse-une-discotheque-defoncee-a-la-voiture-belier-et-incendiee,788600.php
Une boîte de nuit toulousaine a été détruite par un incendie après avoir été défoncée par deux voitures bélier, a-t-on appris mardi auprès des pompiers et de la police. L'établissement, situé sur l'île du Ramier, sur la Garonne au coeur de Toulouse, était fermé au moment des faits survenus vers 4 h 30 mardi.
30 personnes au chômage technique
Il n'y a pas eu de victimes mais 30 personnes vont se retrouver au chômage technique, ont indiqué les pompiers. Deux voitures bélier ont été lancées contre la discothèque Studio One, où un incendie s'est déclaré. Les dégâts sont très importants et les pompiers ont déployé d'importants moyens pour venir à bout du sinistre.
http://www.midilibre.fr/2013/11/26/toulouse-une-discotheque-defoncee-a-la-voiture-belier-et-incendiee,788600.php
mardi 26 novembre 2013
Hendaye : une centaine d’élèves évacués en urgence
Le lycée d’enseignement professionnel (LEP) de coiffure et d’esthétique d’Hendaye a été évacué, hier soir, peu après 20 heures, dans le calme et la bonne humeur.
Une centaine de jeunes internes, âgées de 14 à 19 ans, ont récité pour la première fois les exercices d’évacuation qu’elles avaient appris durant l’année.
Pas de blessé
En deux minutes, elles étaient à l’abri sous les arcades de la rue des Allées, sans qu’aucune blessure ne soit à déplorer. Heureusement, l’incendie a été rapidement détecté, car il s’est déclaré lors de la montée dans les chambres, après le repas au réfectoire.
D’après les premières constations, la cause du feu serait dû à une prise électrique défectueuse dans les dortoirs. Le personnel encadrant a appelé le Centre départemental d’incendie et de secours (CDIS) dès les premières fumées. Le feu n’a donc pas eu le temps de prendre de l’ampleur.
Une vingtaine de pompiers d’Hendaye et Saint-Jean-de-Luz étaient sur place dans les dix minutes qui ont suivi.
Jean-Baptiste Sallaberry, le maire d’Hendaye, en sortant du conseil municipal, était aussi sur les lieux. À 20 h 30, Mattin Duhart, le lieutenant des pompiers d’Hendaye, a prié les jeunes filles de retourner dans l’établissement.
Elles ont alors suivi les surveillants dans le calme pour se réchauffer dans le réfectoire. Pendant ce temps, les pompiers faisaient tomber un mur pour trouver l’origine de l’incendie.
Quelques heures plus tard, les jeunes internes ont pu retrouver leurs chambres.
http://www.sudouest.fr/2013/11/26/une-centaine-d-eleves-evacues-en-urgence-1240217-4171.php
Une centaine de jeunes internes, âgées de 14 à 19 ans, ont récité pour la première fois les exercices d’évacuation qu’elles avaient appris durant l’année.
Pas de blessé
En deux minutes, elles étaient à l’abri sous les arcades de la rue des Allées, sans qu’aucune blessure ne soit à déplorer. Heureusement, l’incendie a été rapidement détecté, car il s’est déclaré lors de la montée dans les chambres, après le repas au réfectoire.
D’après les premières constations, la cause du feu serait dû à une prise électrique défectueuse dans les dortoirs. Le personnel encadrant a appelé le Centre départemental d’incendie et de secours (CDIS) dès les premières fumées. Le feu n’a donc pas eu le temps de prendre de l’ampleur.
Une vingtaine de pompiers d’Hendaye et Saint-Jean-de-Luz étaient sur place dans les dix minutes qui ont suivi.
Jean-Baptiste Sallaberry, le maire d’Hendaye, en sortant du conseil municipal, était aussi sur les lieux. À 20 h 30, Mattin Duhart, le lieutenant des pompiers d’Hendaye, a prié les jeunes filles de retourner dans l’établissement.
Elles ont alors suivi les surveillants dans le calme pour se réchauffer dans le réfectoire. Pendant ce temps, les pompiers faisaient tomber un mur pour trouver l’origine de l’incendie.
Quelques heures plus tard, les jeunes internes ont pu retrouver leurs chambres.
http://www.sudouest.fr/2013/11/26/une-centaine-d-eleves-evacues-en-urgence-1240217-4171.php
Narbonne : sans permis, elle renverse un motard et s'enfuit, 9 mois ferme
La jeune femme avait également fumé du cannabis. Elle était jugée hier au tribunal. A 21 ans, Françoise est en train de passer son permis. "Pour se motiver", comme elle dit, elle a même acheté une voiture, une Ford Fiesta. Le 10 octobre, elle est même au volant. Il est aux alentours de 12 h et elle roule avenue Anatole-France. Pressée, elle tente de doubler un véhicule puis coupe la route pour tourner en gauche. Au passage, elle fauche un homme qui roule à moto. Celui-ci se retrouve à terre, gravement blessé au genou. Françoise laisse sa voiture, s'enfuit puis finalement se rend une heure plus tard au commissariat. Il se trouve que le motard est fonctionnaire de police et a reconnu la jeune femme déjà connue des services de police.
Jugée hier par le tribunal correctionnel de Narbonne, la jeune femme qui porte un bracelet électronique depuis les faits, ne semble pas avoir conscience de la gravité de ses actes. Elle oppose même une certaine ironie et arrogance aux questions du président Fabrice Vétu. Elle est pourtant jugée pour défaut de maîtrise de son véhicule, conduite sans permis et sans assurance, non-assistance à personne en danger et conduite sous l'emprise du cannabis.
La jeune femme présente un taux de THC, la substance active du cannabis, qui montre qu'elle a fumé avant de prendre le volant. Plusieurs personnes ont été témoins de la scène, elle est même reconnue par certains. Françoise est décrite comme surexcitée au volant. Plus tard, face aux policiers qui l'interrogent, elle est très vindicative et refuse de répondre à certaines questions. La victime a déjà eu près de 60 jours d'arrêt de travail et 30 jours d'ITT. Après une première intervention au genou, il vient d'être opéré à l'autre jambe. Pour l'avocat du la victime, "elle n'a aucun remord et se fiche complètement que ce fonctionnaire de police ait les deux genoux bousillés". Le procureur Fabien Tourette a souligné la gravité des faits.
Elle a été condamnée à 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis, obligation de travailler et d'indemniser sa victime. Un préjudice moral de 1 000 euros a été retenu.
http://www.lindependant.fr/2013/11/26/sans-permis-elle-renverse-un-motard-et-s-enfuit,1816927.php
Jugée hier par le tribunal correctionnel de Narbonne, la jeune femme qui porte un bracelet électronique depuis les faits, ne semble pas avoir conscience de la gravité de ses actes. Elle oppose même une certaine ironie et arrogance aux questions du président Fabrice Vétu. Elle est pourtant jugée pour défaut de maîtrise de son véhicule, conduite sans permis et sans assurance, non-assistance à personne en danger et conduite sous l'emprise du cannabis.
La jeune femme présente un taux de THC, la substance active du cannabis, qui montre qu'elle a fumé avant de prendre le volant. Plusieurs personnes ont été témoins de la scène, elle est même reconnue par certains. Françoise est décrite comme surexcitée au volant. Plus tard, face aux policiers qui l'interrogent, elle est très vindicative et refuse de répondre à certaines questions. La victime a déjà eu près de 60 jours d'arrêt de travail et 30 jours d'ITT. Après une première intervention au genou, il vient d'être opéré à l'autre jambe. Pour l'avocat du la victime, "elle n'a aucun remord et se fiche complètement que ce fonctionnaire de police ait les deux genoux bousillés". Le procureur Fabien Tourette a souligné la gravité des faits.
Elle a été condamnée à 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis, obligation de travailler et d'indemniser sa victime. Un préjudice moral de 1 000 euros a été retenu.
http://www.lindependant.fr/2013/11/26/sans-permis-elle-renverse-un-motard-et-s-enfuit,1816927.php
Var: les trains stoppés après la découverte d'un corps sans tête
Un corps a été découvert mardi matin, vers 10 heures, sur la voie ferrée à hauteur de Puget-sur-Argens, provoquant l'arrêt immédiat de la circulation des trains entre Toulon et Nice.
Le conducteur du train n°17-478 a distingué un corps, en travers des rails, alors qu'il approchait de la gare de Puget-sur-Argens. Le conducteur a réussi à immobiliser la rame à temps. L'alerte a été donnée immédiatement par radio.
Les gendarmes sont arrivés sur place pour procéder aux premières constatations, sur ce corps retrouvé sans tête. La victime serait un homme, dont l'âge est estimé à 20-30 ans.
Une heure après les faits, la SNCF n'était pas encore en mesure de préciser combien de passagers sont immobilisés dans le train inter-villes, parti à 8h55 de Nice et qui était annoncé pour arriver à Marseille à 11h30.
Actuellement, le train fait marche arrière vers une gare, pour ne pas rester en pleine voie. Au moins trois autres TGV sont directement impactés par l'arrêt de la circulation.
Deux qui sont partis de Nice sont immobilisés en gare de Saint-Raphaël. Ils pourront enregistrer des retards de plus de deux heures (destinations : Lille et Paris-Lyon). Un troisième TGV en provenance de Toulon stationne ce midi en gare des Arcs.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/var-les-trains-stoppes-apres-la-decouverte-dun-corps-sans-tete.1524753.html
Le conducteur du train n°17-478 a distingué un corps, en travers des rails, alors qu'il approchait de la gare de Puget-sur-Argens. Le conducteur a réussi à immobiliser la rame à temps. L'alerte a été donnée immédiatement par radio.
Les gendarmes sont arrivés sur place pour procéder aux premières constatations, sur ce corps retrouvé sans tête. La victime serait un homme, dont l'âge est estimé à 20-30 ans.
Une heure après les faits, la SNCF n'était pas encore en mesure de préciser combien de passagers sont immobilisés dans le train inter-villes, parti à 8h55 de Nice et qui était annoncé pour arriver à Marseille à 11h30.
Actuellement, le train fait marche arrière vers une gare, pour ne pas rester en pleine voie. Au moins trois autres TGV sont directement impactés par l'arrêt de la circulation.
Deux qui sont partis de Nice sont immobilisés en gare de Saint-Raphaël. Ils pourront enregistrer des retards de plus de deux heures (destinations : Lille et Paris-Lyon). Un troisième TGV en provenance de Toulon stationne ce midi en gare des Arcs.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/var-les-trains-stoppes-apres-la-decouverte-dun-corps-sans-tete.1524753.html
Disparition d'Amandine Estrabaud à Roquecourbe : la piste de l'enlèvement toujours privilégiée
La famille d’Amandine, disparue depuis 5 mois, organise un lâcher de ballons samedi avant le match du Castres olympique au stade Pierre-Antoine.
«Pour ne pas qu’Amandine tombe dans l’oubli». Monique, la maman d’Amandine Estrabaud âgée de 30 ans qui a disparu le 18 juin dernier à Roquecourbe (voir encadré), organise un lâcher de ballons samedi vers 18h15 avant le coup d’envoi de Castres-Bayonne au stade Pierre-Antoine. Elle a écrit un texte que le speaker lira et dans lequel elle demande de l’aide «pour qu’on retrouve ma fille qui me manque tant». «Cela fait plus de 5 mois qu’Amandine a disparu, il faut qu’on en reparle, qu’elle reste dans la mémoire des gens», confie la maman qui est rentrée chez elle et qui a repris son travail après un séjour en maison de repos. Une mère qui garde l’espoir malgré une enquête qui piétine. Car pour elle, l’enlèvement est la seule piste possible. «Les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent et ne laissent rien au hasard mais cela tourne en rond. Cela n’avance pas et ce n’est pas encourageant, confie un des oncles de la jeune femme. On espère qu’en en reparlant, cela réveillera un témoin. Quelqu’un qui n’aurait pas osé parler jusque-là ou qui se souviendrait de quelque chose». Car la famille d’Amandine vit «un cauchemar» de ne pas savoir. «On ne parle que de çà et on se pose des milliers de questions», confie un autre oncle qui échafaude des dizaines de scénarios possibles pour tenter de comprendre comment Amandine a pu se volatiliser ainsi. «On remercie le Castres olympique de nous apporter son aide en nous laissant faire cette opération, confie Monique qui sera donc sur la pelouse de Pierre-Antoine samedi pour lâcher les 150 ballons offerts par le magasin castrais Presta fête et gonflés à l’hélium avec l’aide de l’association de supporters Puissance Castres. Une mère qui compte bien «faire vivre la flamme jusqu’au bout».
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/26/1761151-disparition-amandine-estrabaud-roquecourbe-piste-enlevement-toujours-privilegiee.html
«Pour ne pas qu’Amandine tombe dans l’oubli». Monique, la maman d’Amandine Estrabaud âgée de 30 ans qui a disparu le 18 juin dernier à Roquecourbe (voir encadré), organise un lâcher de ballons samedi vers 18h15 avant le coup d’envoi de Castres-Bayonne au stade Pierre-Antoine. Elle a écrit un texte que le speaker lira et dans lequel elle demande de l’aide «pour qu’on retrouve ma fille qui me manque tant». «Cela fait plus de 5 mois qu’Amandine a disparu, il faut qu’on en reparle, qu’elle reste dans la mémoire des gens», confie la maman qui est rentrée chez elle et qui a repris son travail après un séjour en maison de repos. Une mère qui garde l’espoir malgré une enquête qui piétine. Car pour elle, l’enlèvement est la seule piste possible. «Les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent et ne laissent rien au hasard mais cela tourne en rond. Cela n’avance pas et ce n’est pas encourageant, confie un des oncles de la jeune femme. On espère qu’en en reparlant, cela réveillera un témoin. Quelqu’un qui n’aurait pas osé parler jusque-là ou qui se souviendrait de quelque chose». Car la famille d’Amandine vit «un cauchemar» de ne pas savoir. «On ne parle que de çà et on se pose des milliers de questions», confie un autre oncle qui échafaude des dizaines de scénarios possibles pour tenter de comprendre comment Amandine a pu se volatiliser ainsi. «On remercie le Castres olympique de nous apporter son aide en nous laissant faire cette opération, confie Monique qui sera donc sur la pelouse de Pierre-Antoine samedi pour lâcher les 150 ballons offerts par le magasin castrais Presta fête et gonflés à l’hélium avec l’aide de l’association de supporters Puissance Castres. Une mère qui compte bien «faire vivre la flamme jusqu’au bout».
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/26/1761151-disparition-amandine-estrabaud-roquecourbe-piste-enlevement-toujours-privilegiee.html
Pyrénées-Orientales : un motard mortellement percuté par une voiture
Un motard a perdu la vie dans un accident avec une voiture à Espira-de-l'Agly dans les Pyrénées-Orientales dimanche dans la soirée. Le conducteur de l'automobile a pris la fuite.
Dramatique fin de week-end sur les routes des Pyrénées-Orientales. Un motard a perdu la vie, dimanche, vers 19 heures, dans des circonstances que l’enquête doit affiner. Mais les premiers constats effectués par la gendarmerie de Rivesaltes ne laissent pas de place au doute.
Le motard revenait d'une commémoration
L’accident concerne une moto et une voiture, circulant sur la route départementale 117, dans le sens Peyrestortes - Espira-de-l’Agly. Pour une raison encore inconnue, le véhicule léger a percuté par l’arrière le motard, qui revenait d’une journée de commémoration en mémoire des déportés juifs de France. Les deux véhicules, une Citroën Xantia immatriculée dans l’Aveyron et une Harley Davidson 1942, étaient littéralement encastrés l’un dans l’autre.
Délit de fuite du conducteur
Quand les secours sont arrivés, ils se trouvaient à environ 200 m du corps gisant du motard, témoignant de la force de l’impact. Pire : la Xantia était vide, le conducteur ayant pris la fuite après l’accident, en prenant soin d’enlever les clés du contact... Sur place vers 18 h, les pompiers de la brigade de Rivesaltes ont dépêché une dizaine d’hommes pour secourir le blessé, accompagnés des médecins du Samu. Malheureusement, après une heure d’efforts, le motard, qui n’avait plus que quelques centaines de mètres à parcourir pour arriver chez lui, était déclaré décédé.
http://www.midilibre.fr/2013/11/25/un-motard-mortellement-percute-par-une-voiture,788048.php
Dramatique fin de week-end sur les routes des Pyrénées-Orientales. Un motard a perdu la vie, dimanche, vers 19 heures, dans des circonstances que l’enquête doit affiner. Mais les premiers constats effectués par la gendarmerie de Rivesaltes ne laissent pas de place au doute.
Le motard revenait d'une commémoration
L’accident concerne une moto et une voiture, circulant sur la route départementale 117, dans le sens Peyrestortes - Espira-de-l’Agly. Pour une raison encore inconnue, le véhicule léger a percuté par l’arrière le motard, qui revenait d’une journée de commémoration en mémoire des déportés juifs de France. Les deux véhicules, une Citroën Xantia immatriculée dans l’Aveyron et une Harley Davidson 1942, étaient littéralement encastrés l’un dans l’autre.
Délit de fuite du conducteur
Quand les secours sont arrivés, ils se trouvaient à environ 200 m du corps gisant du motard, témoignant de la force de l’impact. Pire : la Xantia était vide, le conducteur ayant pris la fuite après l’accident, en prenant soin d’enlever les clés du contact... Sur place vers 18 h, les pompiers de la brigade de Rivesaltes ont dépêché une dizaine d’hommes pour secourir le blessé, accompagnés des médecins du Samu. Malheureusement, après une heure d’efforts, le motard, qui n’avait plus que quelques centaines de mètres à parcourir pour arriver chez lui, était déclaré décédé.
http://www.midilibre.fr/2013/11/25/un-motard-mortellement-percute-par-une-voiture,788048.php
lundi 25 novembre 2013
Un car scolaire accidenté dans la Somme : 11 collégiens blessés légèrement
Onze collégiens de 12 à 15 ans ont été blessés légèrement lundi dans un accident de circulation entre un car scolaire et une fourgonnette sur une route départementale de la Somme.
L'accident a eu lieu vers 17h10 au lieu-dit Le Rossignol, près de la forêt de Crécy. Onze collégiens de 12 à 15 ans ont été blessés légèrement lundi dans un accident de circulation entre un car scolaire et une fourgonnette sur une route départementale de la Somme, ont indiqué des pompiers.
"Il y avait deux adultes dans la fourgonnette, dont un blessé léger, et 28 personnes impliquées dans le car scolaire, dont 11 enfants entre 12 et 15 ans, blessés légers", selon cette source, confirmant une information de France Bleu Picardie. "Ce sont des petites coupures superficielles", ont ajouté les pompiers, qui ignorent "les circonstances exactes de l'accident". Les élèves sont scolarisés au collège de Crécy-en-Ponthieu.
Fillette noyée dans le Pas-de-Calais : la femme recherchée est de la même famille
Les interrogations demeuraient nombreuses dimanche dans l'enquête sur la noyade d'une fillette d'environ un an, dont le corps retrouvé mercredi sur la plage de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) n'a été réclamé par personne. Les policiers travaillaient "d'arrache-pied" ce week-end, officiellement sans avoir d'éléments nouveaux, après la diffusion vendredi d'un appel à témoins pour retrouver une jeune femme, dont l'image a pu être retrouvée sur une caméra de vidéosurveillance. Une femme qui est "de la même famille" que la fillette, après expertise des traces ADN, apprend-on auprès de Jean-Pierre Valensi, procureur de Boulogne-sur-Mer.
Le cadavre a été retrouvé mercredi matin sur le sable par des pêcheurs de crevettes, mouillé et habillé. Une poussette de marque "Trottine", en toile grise, se trouvait à proximité.
"L'enfant avait la peau claire, les yeux bleus, des cheveux châtains ondulés. Elle portait une combinaison intégrale foncée de marque Cyrillus à capuche avec une bordure en fourrure, des moufles assorties, ainsi que des chaussures de marque Bout'chou et une couche de marque Baby Care", décrit la police judiciaire de Lille dans son appel à témoins.
Comment est-elle morte?
Les premiers résultats d'autopsie ont permis d'établir que la petite fille est décédée "d'un œdème pulmonaire vraisemblablement consécutif à une noyade", selon le parquet. Son corps ne portait a priori pas de trace de sévices. Accident ou homicide, les enquêteurs n'écartent ni ne privilégient - officiellement - aucune piste. "On est en train d'essayer d'élucider des faits qu'on ne comprend pas et pour lesquels tout est ouvert", a indiqué le parquet.
La poussette de la photo semble correspondre à celle trouvée près du corps. "L'enfant est susceptible d'avoir été vue à Berck le mardi 19 novembre 2013", soit la veille de la découverte macabre, en compagnie de cette femme dont l'identité n'est pas connue, selon l'appel à témoins.
"Âgée d'une trentaine d'années, s'exprimant en langue française", la jeune femme semble être "le dernier adulte ayant eu en charge ce bébé dans la journée de mardi et dans la nuit de mardi à mercredi", selon une source policière. Selon une source syndicale, des images "de vidéosurveillance" ont été prises à la gare du Nord, à Paris. Depuis là, a indiqué cette source, la femme et l'enfant se sont rendues à Berck, où elles ont passé la nuit du mardi au mercredi à l'hôtel.
"L'appel à témoins sert à développer l'enquête, c'est un des moyens de l'enquête. On n'avait rien", a-t-on souligné au parquet. "L'enquête suit son cours. Il y a eu des appels. Il faut trier." Tout témoin permettant d'identifier l'enfant et son accompagnatrice est prié de joindre la police judiciaire au numéro vert suivant : 0.800.35.83.35.
http://www.sudouest.fr/2013/11/25/cannibale-presume-des-hautes-pyrenees-la-viande-dans-son-assiette-etait-bien-humaine-1240000-7.php
- Qui est la fillette ?
Le cadavre a été retrouvé mercredi matin sur le sable par des pêcheurs de crevettes, mouillé et habillé. Une poussette de marque "Trottine", en toile grise, se trouvait à proximité.
"L'enfant avait la peau claire, les yeux bleus, des cheveux châtains ondulés. Elle portait une combinaison intégrale foncée de marque Cyrillus à capuche avec une bordure en fourrure, des moufles assorties, ainsi que des chaussures de marque Bout'chou et une couche de marque Baby Care", décrit la police judiciaire de Lille dans son appel à témoins.
Comment est-elle morte?
Les premiers résultats d'autopsie ont permis d'établir que la petite fille est décédée "d'un œdème pulmonaire vraisemblablement consécutif à une noyade", selon le parquet. Son corps ne portait a priori pas de trace de sévices. Accident ou homicide, les enquêteurs n'écartent ni ne privilégient - officiellement - aucune piste. "On est en train d'essayer d'élucider des faits qu'on ne comprend pas et pour lesquels tout est ouvert", a indiqué le parquet.
- Qui est la femme recherchée par la police ?
La poussette de la photo semble correspondre à celle trouvée près du corps. "L'enfant est susceptible d'avoir été vue à Berck le mardi 19 novembre 2013", soit la veille de la découverte macabre, en compagnie de cette femme dont l'identité n'est pas connue, selon l'appel à témoins.
"Âgée d'une trentaine d'années, s'exprimant en langue française", la jeune femme semble être "le dernier adulte ayant eu en charge ce bébé dans la journée de mardi et dans la nuit de mardi à mercredi", selon une source policière. Selon une source syndicale, des images "de vidéosurveillance" ont été prises à la gare du Nord, à Paris. Depuis là, a indiqué cette source, la femme et l'enfant se sont rendues à Berck, où elles ont passé la nuit du mardi au mercredi à l'hôtel.
- De quelles pistes disposent les enquêteurs ?
"L'appel à témoins sert à développer l'enquête, c'est un des moyens de l'enquête. On n'avait rien", a-t-on souligné au parquet. "L'enquête suit son cours. Il y a eu des appels. Il faut trier." Tout témoin permettant d'identifier l'enfant et son accompagnatrice est prié de joindre la police judiciaire au numéro vert suivant : 0.800.35.83.35.
http://www.sudouest.fr/2013/11/25/cannibale-presume-des-hautes-pyrenees-la-viande-dans-son-assiette-etait-bien-humaine-1240000-7.php
Villecresnes : les policiers tirent lors d’un cambriolage qui dégénère
Un policier a tiré à deux reprises sur des voleurs qui tentaient de s’échapper, ce lundi vers 12h30 à Villecresnes. Les forces de l’ordre sont d’abord appelées pour un cambriolage en cours, à proximité de l’avenue du Château. A leur arrivée, ils voient trois hommes monter dans une voiture puis leur foncer dessus avant de s’échapper. C’est à ce moment là qu’un fonctionnaire a tiré en direction des cambrioleurs, sans les arrêter puisque leur véhicule a été découvert abandonné un peu plus loin.
Un des suspects aurait été interpellé.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-les-policiers-tirent-lors-d-un-cambriolage-qui-degenere-25-11-2013-3348421.php
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villecresnes-les-policiers-tirent-lors-d-un-cambriolage-qui-degenere-25-11-2013-3348421.php
Fumel. Elle porte plainte pour maltraitance contre l'institut où est soigné son fils handicapé
Une habitante du Fumélois a déposé plainte contre l’IME, la Maison d’enfants à Condom, pour maltraitance envers son fils, porteur d’un handicap âgé de 8 ans. La structure est dans le viseur de l’ARS.
Dimanche 7 avril dernier. Françoise* prend la route depuis son domicile du Fumélois direction Condom et la Maison d’enfants, un Institut médico-éducatif (IME). Mère de cinq enfants, elle doit récupérer son fils, Nathan*, de 8 ans qui vient de passer dix jours au sein de la structure. L’enfant souffre de problèmes psychomoteurs engendrant de sérieux retards de développement. «Il a commencé à marcher à Noël dernier», explique la maman.
Une fois sur place, elle découvre son fils «avec un œil au beurre noir». Elle demande donc des explications : «J’ai interrogé l’éducateur, et il m’a dit qu’il ne savait pas ce qui avait pu se passer. Pour moi, cela pouvait être un autre enfant, je voulais juste comprendre pourquoi il avait un coup sur le visage. J’ai donc posé la question à une autre personne qui m’a répondu qu’il s’était fait cela tout seul. Il se serait tapé sur le sol. Ensuite, elle m’a décrit un enfant violent et pénible. Je découvrais un autre enfant que le mien. Tout ce qu’elle me racontait ne correspondait pas à mon fils. Ils ont fini par me dire qu’ils aimeraient bien que je ne l’amène plus dans leur établissement».
Voyant qu’il n’y aurait guère d’autre réponse, Françoise décide de repartir dans le Fumélois. Mais avant même de quitter le parking de l’établissement, elle fait une autre découverte. «Lorsque je l’ai placé dans la voiture, j’ai vu qu’il avait des hématomes au niveau du cou. Il en avait aussi dans le dos», se souvient-elle. Inquiète, elle décide alors de se rendre aux urgences de l’hôpital de Villeneuve-sur-Lot. Nathan est pris en charge. Françoise raconte : «On s’est aperçu qu’il était couvert de bleus. Cela ne faisait plus aucun doute, il n’avait pas pu se faire cela tout seul. Ensuite, j’ai découvert qu’au niveau de ses habits au niveau des chevilles et des bras, il y avait des traces de scotch». L’enfant aurait été attaché.
Prouver qu’il n’est pas violent
Au domicile fumélois, la fille de Françoise entreprend des recherches sur l’IME de Condom. «En fouillant sur Internet, elle a trouvé que l’institut avait mauvaise réputation», se remémore-t-elle.
Françoise entreprend alors immédiatement les démarches pour porter plainte contre la structure qu’elle soupçonne de maltraitance. Elle écrit aux procureurs du Gers et du Lot-et-Garonne ainsi qu’aux agences régionales de santé (ARS) de Midi-Pyrénées et d’Aquitaine. Parallèlement, un collectif composé d’employées, d’anciens salariés et de différentes associations impliquées dans la problématique du handicap se crée pour dénoncer «les pratiques d’un autre âge de l’IME».
En juillet, l’ARS effectue un contrôle de l’établissement. Sept jours plus tard, elle notifie à l’IME un ensemble de mesures à mettre en application immédiatement, en pointant de «graves dysfonctionnements dans les conditions d’installation et de fonctionnement». Interrogé, le directeur adjoint de l’établissement, Vincent Lusiacre, explique «qu’une enquête est en cours, les personnels et la direction ont été entendus par les gendarmes et il n’y a pour l’instant pas de suites».
En attendant que les procédures ne débouchent, Françoise vit avec le poids de la culpabilité : «Je me sens responsable parce que c’est moi qui l’ai mis là-bas. Durant plusieurs jours, je ne pouvais plus le regarder dans les yeux». Surmontant ses craintes, elle a tenté de placer son fils quelques jours dans un centre des Pyrénées-Atlantiques. «Je voulais prouver que mon fils n’était pas violent», explique-t-elle. Nathan y est resté quinze jours. Il est revenu «le sourire jusqu’aux oreilles» et l’encadrement l’a trouvé «adorable». Pour autant, Françoise dit passer «encore des nuits sans dormir» dans l’attente que la justice éclaircisse cette affaire. Et de conclure : «Je ne me bats pas seulement pour mon enfant mais aussi pour tous les autres».
*Les prénoms ont été changés.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/25/1760315-fumel-porte-plainte-maltraitance-contre-institut-est-soigne-fils-handicape.html
Dimanche 7 avril dernier. Françoise* prend la route depuis son domicile du Fumélois direction Condom et la Maison d’enfants, un Institut médico-éducatif (IME). Mère de cinq enfants, elle doit récupérer son fils, Nathan*, de 8 ans qui vient de passer dix jours au sein de la structure. L’enfant souffre de problèmes psychomoteurs engendrant de sérieux retards de développement. «Il a commencé à marcher à Noël dernier», explique la maman.
Une fois sur place, elle découvre son fils «avec un œil au beurre noir». Elle demande donc des explications : «J’ai interrogé l’éducateur, et il m’a dit qu’il ne savait pas ce qui avait pu se passer. Pour moi, cela pouvait être un autre enfant, je voulais juste comprendre pourquoi il avait un coup sur le visage. J’ai donc posé la question à une autre personne qui m’a répondu qu’il s’était fait cela tout seul. Il se serait tapé sur le sol. Ensuite, elle m’a décrit un enfant violent et pénible. Je découvrais un autre enfant que le mien. Tout ce qu’elle me racontait ne correspondait pas à mon fils. Ils ont fini par me dire qu’ils aimeraient bien que je ne l’amène plus dans leur établissement».
Voyant qu’il n’y aurait guère d’autre réponse, Françoise décide de repartir dans le Fumélois. Mais avant même de quitter le parking de l’établissement, elle fait une autre découverte. «Lorsque je l’ai placé dans la voiture, j’ai vu qu’il avait des hématomes au niveau du cou. Il en avait aussi dans le dos», se souvient-elle. Inquiète, elle décide alors de se rendre aux urgences de l’hôpital de Villeneuve-sur-Lot. Nathan est pris en charge. Françoise raconte : «On s’est aperçu qu’il était couvert de bleus. Cela ne faisait plus aucun doute, il n’avait pas pu se faire cela tout seul. Ensuite, j’ai découvert qu’au niveau de ses habits au niveau des chevilles et des bras, il y avait des traces de scotch». L’enfant aurait été attaché.
Prouver qu’il n’est pas violent
Au domicile fumélois, la fille de Françoise entreprend des recherches sur l’IME de Condom. «En fouillant sur Internet, elle a trouvé que l’institut avait mauvaise réputation», se remémore-t-elle.
Françoise entreprend alors immédiatement les démarches pour porter plainte contre la structure qu’elle soupçonne de maltraitance. Elle écrit aux procureurs du Gers et du Lot-et-Garonne ainsi qu’aux agences régionales de santé (ARS) de Midi-Pyrénées et d’Aquitaine. Parallèlement, un collectif composé d’employées, d’anciens salariés et de différentes associations impliquées dans la problématique du handicap se crée pour dénoncer «les pratiques d’un autre âge de l’IME».
En juillet, l’ARS effectue un contrôle de l’établissement. Sept jours plus tard, elle notifie à l’IME un ensemble de mesures à mettre en application immédiatement, en pointant de «graves dysfonctionnements dans les conditions d’installation et de fonctionnement». Interrogé, le directeur adjoint de l’établissement, Vincent Lusiacre, explique «qu’une enquête est en cours, les personnels et la direction ont été entendus par les gendarmes et il n’y a pour l’instant pas de suites».
En attendant que les procédures ne débouchent, Françoise vit avec le poids de la culpabilité : «Je me sens responsable parce que c’est moi qui l’ai mis là-bas. Durant plusieurs jours, je ne pouvais plus le regarder dans les yeux». Surmontant ses craintes, elle a tenté de placer son fils quelques jours dans un centre des Pyrénées-Atlantiques. «Je voulais prouver que mon fils n’était pas violent», explique-t-elle. Nathan y est resté quinze jours. Il est revenu «le sourire jusqu’aux oreilles» et l’encadrement l’a trouvé «adorable». Pour autant, Françoise dit passer «encore des nuits sans dormir» dans l’attente que la justice éclaircisse cette affaire. Et de conclure : «Je ne me bats pas seulement pour mon enfant mais aussi pour tous les autres».
*Les prénoms ont été changés.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/25/1760315-fumel-porte-plainte-maltraitance-contre-institut-est-soigne-fils-handicape.html
Nîmes : un homme gravement blessé dans un accident de chasse
L'accident est survenu ce dimanche en fin de matinée dans le secteur du camp des Garrigues. Le blessé a dû être opéré en urgence au CHU de Nîmes. Le pronostic vital a été engagé. Une enquête a été ouverte par la police de Nîmes.
Lors d'une battue aux sangliers dans le secteur du camp des garrigues, un homme a été grièvement blessé ce dimanche matin aux alentours de 11 heures. Son état a nécessité l'intervention des sapeurs-pompiers de Nîmes et d'un hélicoptère du Samu. La gravité des blessures a conduit les équipes médicales à héliporter cet homme vers le CHU de Nîmes. Dès son arrivée, il a été pris en charge et transféré au bloc où il a été opéré. Le diagnostic vital a été engagé.
Dans un état critique
Selon nos informations, il serait dans un état critique. La police est intervenue sur les lieux de ce coup de feu. Une enquête a été ouverte par la police de Nîmes pour déterminer les circonstances de cet accident de chasse
http://www.midilibre.fr/2013/11/24/nimes-un-homme-gravement-blesse-dans-un-accident-de-chasse,787690.php
Lors d'une battue aux sangliers dans le secteur du camp des garrigues, un homme a été grièvement blessé ce dimanche matin aux alentours de 11 heures. Son état a nécessité l'intervention des sapeurs-pompiers de Nîmes et d'un hélicoptère du Samu. La gravité des blessures a conduit les équipes médicales à héliporter cet homme vers le CHU de Nîmes. Dès son arrivée, il a été pris en charge et transféré au bloc où il a été opéré. Le diagnostic vital a été engagé.
Dans un état critique
Selon nos informations, il serait dans un état critique. La police est intervenue sur les lieux de ce coup de feu. Une enquête a été ouverte par la police de Nîmes pour déterminer les circonstances de cet accident de chasse
http://www.midilibre.fr/2013/11/24/nimes-un-homme-gravement-blesse-dans-un-accident-de-chasse,787690.php
dimanche 24 novembre 2013
Meurtre dans un foyer d'immigrés à Paris
Un homme a été interpellé juste après les faits. La victime a été touchée au coeur. Il s'agirait d'un différend entre les deux hommes.
Un homme a été tué à coups de couteau dans la nuit de samedi à dimanche dans un foyer d'immigrés à Paris (XIIIe arrondissement) et le suspect du meurtre a été placé en garde à vue.
"Apparemment, c'est un différend entre les deux hommes qui a dégénéré", a précisé l'une des sources, mais les circonstances exactes de cette agression mortelle n'ont pu être précisées dans l'immédiat. L'auteur présumé des coups de couteau, "dont un au coeur", selon une des sources, n'a pas cherché à fuir, et a été interpellé "sur place", dans ce foyer d'immigrés, par les policiers du commissariat du XIIIe arrondissement.
Le 3e district de police judiciaire (DPJ) a été saisi de l'enquête par le parquet de Paris, a précisé une source judiciaire.
"Apparemment, c'est un différend entre les deux hommes qui a dégénéré", a précisé l'une des sources, mais les circonstances exactes de cette agression mortelle n'ont pu être précisées dans l'immédiat. L'auteur présumé des coups de couteau, "dont un au coeur", selon une des sources, n'a pas cherché à fuir, et a été interpellé "sur place", dans ce foyer d'immigrés, par les policiers du commissariat du XIIIe arrondissement.
Le 3e district de police judiciaire (DPJ) a été saisi de l'enquête par le parquet de Paris, a précisé une source judiciaire.
Houlgate. Une octogénaire très grièvement brûlée après une explosion
Ce samedi, vers midi, une maison a explosé près de la gare de Houlgate. Une femme de 87 ans était, en début de soirée, entre la vie et la mort.
L’explosion a fait tomber un mur entier à l’étage. La façade a été fissurée sur toute la longueur. Mais, curieusement, les vitres n’ont pas éclaté.
Une femme de 87 ans, profitant de sa retraite après une longue vie d’agricultrice à Gonneville-sur-Mer, vivait seule dans cette habitation. Elle a été très grièvement brûlée.
Entre la vie et la mort, elle a été transportée au CHU de Caen. Vers 18 h, l’hôpital « essayait de stabiliser son état, avant de la transporter dans un CHU parisien », a confié Christian, neveu de la victime.
http://www.ouest-france.fr/houlgate-une-octogenaire-tres-grievement-brulee-apres-une-explosion-1734733
Une femme de 87 ans, profitant de sa retraite après une longue vie d’agricultrice à Gonneville-sur-Mer, vivait seule dans cette habitation. Elle a été très grièvement brûlée.
Entre la vie et la mort, elle a été transportée au CHU de Caen. Vers 18 h, l’hôpital « essayait de stabiliser son état, avant de la transporter dans un CHU parisien », a confié Christian, neveu de la victime.
http://www.ouest-france.fr/houlgate-une-octogenaire-tres-grievement-brulee-apres-une-explosion-1734733
Lescure-d'Albigeois. Le buraliste braqué en a ras-le-bol
Jean-Louis Feniès a ouvert son commerce à l’heure prévue hier matin. Pourtant, avec ce qui lui est arrivé la veille, beaucoup de ses clients auraient compris que le tabac-presse de la place de l’Horloge reste rideau baissé. Comme nous le relations hier, le buraliste de Lescure a encore été victime d’un vol à main armée. Encore, car c’est la deuxième fois qu’il est braqué. Le 1er décembre 2012 vers 19 h 15, un homme armé lui avait dérobé plus de 300 euros.
Le cauchemar s’est reproduit avant-hier soir. «Un homme cagoulé a fait irruption vers 18 h 20. J’étais seul dans le magasin, il a dû me pister depuis l’extérieur pour attendre le moment propice. Sous la menace, il m’a demandé le contenu de la caisse. Il y avait 60 euros environ dans le tiroir-caisse. Je pense que c’était une arme factice et j’ai été à deux doigts de le repousser.»
Le commerçant a eu la sagesse d’obéir à son agresseur car qui sait comment les choses auraient pu tourner s’il avait résisté ? Ce samedi, Jean-Louis Feniès avait bien besoin du soutien des dizaines de clients venus lui acheter «La Dépêche», un paquet de cigarettes ou un jeu à gratter. «J’ai passé une mauvaise nuit et ce matin, je suis en colère. J’en ai ras-le-bol. Il va falloir que je m’équipe car je ne peux pas rester comme ça, ou sinon je serais obligé de baisser le rideau.»
Et le buraliste, qui tient ce commerce depuis 25 ans, de dresser la liste (non exhaustive) des coups durs qu’il a endurés : «J’ai été plusieurs fois cambriolé en mars et avril 1995, en octobre 1998. En 2000, ç’a été une tentative. Et je ne compte pas les vols.»
Deux braquages du même commerce en un an : une situation que la police albigeoise ne prend pas à la légère. Jean-Louis Feniès devait déposer plainte hier après-midi. Son témoignage devrait, espère-t-il, contribuer à faire avancer l’enquête car le buraliste, visiblement inquiet, en est sûr quand il évoque le braqueur de vendredi soir : «Il va revenir. Chassez le naturel, il revient au galop. Je ne vais pas vivre dans un état de stress permanent. Déjà que le contexte économique est difficile pour notre profession...»
Mais Jean-Louis Feniès ne manque pas de courage. «Je m’accroche», soupire-t-il.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/24/1759620-lescure-albigeois-buraliste-braque-ras-bol.html
Le cauchemar s’est reproduit avant-hier soir. «Un homme cagoulé a fait irruption vers 18 h 20. J’étais seul dans le magasin, il a dû me pister depuis l’extérieur pour attendre le moment propice. Sous la menace, il m’a demandé le contenu de la caisse. Il y avait 60 euros environ dans le tiroir-caisse. Je pense que c’était une arme factice et j’ai été à deux doigts de le repousser.»
Le commerçant a eu la sagesse d’obéir à son agresseur car qui sait comment les choses auraient pu tourner s’il avait résisté ? Ce samedi, Jean-Louis Feniès avait bien besoin du soutien des dizaines de clients venus lui acheter «La Dépêche», un paquet de cigarettes ou un jeu à gratter. «J’ai passé une mauvaise nuit et ce matin, je suis en colère. J’en ai ras-le-bol. Il va falloir que je m’équipe car je ne peux pas rester comme ça, ou sinon je serais obligé de baisser le rideau.»
Et le buraliste, qui tient ce commerce depuis 25 ans, de dresser la liste (non exhaustive) des coups durs qu’il a endurés : «J’ai été plusieurs fois cambriolé en mars et avril 1995, en octobre 1998. En 2000, ç’a été une tentative. Et je ne compte pas les vols.»
Deux braquages du même commerce en un an : une situation que la police albigeoise ne prend pas à la légère. Jean-Louis Feniès devait déposer plainte hier après-midi. Son témoignage devrait, espère-t-il, contribuer à faire avancer l’enquête car le buraliste, visiblement inquiet, en est sûr quand il évoque le braqueur de vendredi soir : «Il va revenir. Chassez le naturel, il revient au galop. Je ne vais pas vivre dans un état de stress permanent. Déjà que le contexte économique est difficile pour notre profession...»
Mais Jean-Louis Feniès ne manque pas de courage. «Je m’accroche», soupire-t-il.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/24/1759620-lescure-albigeois-buraliste-braque-ras-bol.html
Le sanglier charge les chasseurs dans le Forez : deux blessés
Samedi vers 16 heures, un groupe de chasseurs s’est fait charger par un sanglier lors d’une battue. Les faits se sont produits au lieu-dit La Côte du Lac, sur la commune de Boisset-Saint-Priest.
L’animal a foncé et a blessé deux chasseurs, l’un à la main, l’autre au pied. Les victimes, âgées d’une quarantaine d’années, ont été transportées sur l’hôpital de Montbrison par les pompiers.
Les chasseurs ont eu le dernier mot : l’animal a fini par être tué.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/11/23/le-sanglier-charge-les-chasseurs-dans-le-forez-deux-blesses
L’animal a foncé et a blessé deux chasseurs, l’un à la main, l’autre au pied. Les victimes, âgées d’une quarantaine d’années, ont été transportées sur l’hôpital de Montbrison par les pompiers.
Les chasseurs ont eu le dernier mot : l’animal a fini par être tué.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/11/23/le-sanglier-charge-les-chasseurs-dans-le-forez-deux-blesses
samedi 23 novembre 2013
Bébé mort : ouverture d’une information judiciaire pour homicide
Les recherches pour identifier la mère du nouveau-né retrouvé mort, le vendredi 15 novembre, à Lannion, au Moulin-du-Duc, restent vaines.
Ce vendredi, le parquet de Saint-Brieuc a ouvert une information judiciaire pour homicide sur mineur et privation de soin ayant entraîné la mort.
L’enquête, menée conjointement par le commissariat de Lannion et la police judiciaire de Rennes, se poursuit, alors que sur place, des fleurs, plus une petite peluche ont été accrochés à la grille empêchant l'accès aux murs d'escalade.
Le nouveau-né a été découvert à une trentaine de mètres de là, près d'un taillis.
http://www.letelegramme.fr/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/lannion-nourrisson-mort-ouverture-d-une-information-judiciaire-pour-homicide-22-11-2013-2312342.php
Ce vendredi, le parquet de Saint-Brieuc a ouvert une information judiciaire pour homicide sur mineur et privation de soin ayant entraîné la mort.
L’enquête, menée conjointement par le commissariat de Lannion et la police judiciaire de Rennes, se poursuit, alors que sur place, des fleurs, plus une petite peluche ont été accrochés à la grille empêchant l'accès aux murs d'escalade.
Le nouveau-né a été découvert à une trentaine de mètres de là, près d'un taillis.
http://www.letelegramme.fr/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/lannion-nourrisson-mort-ouverture-d-une-information-judiciaire-pour-homicide-22-11-2013-2312342.php
Jetée dans la Garonne pour une cigarette : le terrifiant récit
Pour les policiers de la brigade criminelle de Toulouse, le témoignage d’une femme de 67 ans qui a déclaré avoir été jetée, mercredi soir, dans la Garonne par deux hommes auxquels elle avait refusé une cigarette, est désormais authentique.
Une femme de 67 ans a été jetée dans la Garonne par deux individus mercredi soir à Toulouse, parce qu’elle ne voulait pas leur donner une cigarette. Cette retraitée venue garder son petit-fils ce jour-là avait entrepris de visiter la ville. Vers 20 h 30, elle s’est retrouvée sur le quai de Tounis, au bord du fleuve en crue. C’est là qu’elle est revenue avec les enquêteurs de la brigade criminelle. Ils ont longuement auditionné la victime et donnent désormais crédit à son témoignage. Un récit terrifiant qui commence par une banale rencontre. Mercredi soir donc, un homme l’a abordée pour lui demander du feu afin d’allumer sa cigarette. Elle s’est exécutée puis a repris son chemin. Quelques instants plus tard, l’individu est revenu accompagné d’un comparse. «Si tu as du feu, tu as des cigarettes !» ont insinué les deux agresseurs.
Cette retraitée qui ne sait pas nager perd alors connaissance. Elle se réveille 800 mètres plus loin, après avoir franchi le Pont-Neuf. Elle s’agrippe à des rondins de bois et crie de toutes ses forces. C’est là qu’un voisin qui fumait à sa fenêtre la repère. Il donne aussitôt l’alerte et les sapeurs-pompiers arrivent rapidement. L’un d’entre eux se jette à l’eau et parvient, au prix de nombreux efforts, à la ramener sur le quai de la Daurade. Très affaiblie, en état d’hypothermie avancée, la victime reçoit les premiers soins avant d’être conduite à l’hôpital Purpan.
«Miraculée», selon des proches du dossier, la victime est sortie dès jeudi de l’hôpital mais reste très choquée. Elle a passé la nuit chez son fils à Toulouse avant qu’il ne la raccompagne, hier, chez elle, à Gaillac. Côté police, les investigations se poursuivent
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/23/1759320-jetee-dans-la-garonne-pour-une-cigarette-le-terrifiant-recit.html
Une femme de 67 ans a été jetée dans la Garonne par deux individus mercredi soir à Toulouse, parce qu’elle ne voulait pas leur donner une cigarette. Cette retraitée venue garder son petit-fils ce jour-là avait entrepris de visiter la ville. Vers 20 h 30, elle s’est retrouvée sur le quai de Tounis, au bord du fleuve en crue. C’est là qu’elle est revenue avec les enquêteurs de la brigade criminelle. Ils ont longuement auditionné la victime et donnent désormais crédit à son témoignage. Un récit terrifiant qui commence par une banale rencontre. Mercredi soir donc, un homme l’a abordée pour lui demander du feu afin d’allumer sa cigarette. Elle s’est exécutée puis a repris son chemin. Quelques instants plus tard, l’individu est revenu accompagné d’un comparse. «Si tu as du feu, tu as des cigarettes !» ont insinué les deux agresseurs.
Elle ne sait pas nager
Mais la victime ne fume plus… Visiblement éméchés, les agresseurs la bousculent et l’emmènent un peu plus bas, sur la rampe d’accès au quai. Ils l’asseyent sur le parapet, l’insultent et finissent par la pousser trois mètres en contrebas dans la Garonne boueuse et glacée.Cette retraitée qui ne sait pas nager perd alors connaissance. Elle se réveille 800 mètres plus loin, après avoir franchi le Pont-Neuf. Elle s’agrippe à des rondins de bois et crie de toutes ses forces. C’est là qu’un voisin qui fumait à sa fenêtre la repère. Il donne aussitôt l’alerte et les sapeurs-pompiers arrivent rapidement. L’un d’entre eux se jette à l’eau et parvient, au prix de nombreux efforts, à la ramener sur le quai de la Daurade. Très affaiblie, en état d’hypothermie avancée, la victime reçoit les premiers soins avant d’être conduite à l’hôpital Purpan.
«Miraculée», selon des proches du dossier, la victime est sortie dès jeudi de l’hôpital mais reste très choquée. Elle a passé la nuit chez son fils à Toulouse avant qu’il ne la raccompagne, hier, chez elle, à Gaillac. Côté police, les investigations se poursuivent
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/23/1759320-jetee-dans-la-garonne-pour-une-cigarette-le-terrifiant-recit.html
Montpellier : armé d'un fusil au centre des impôts
Il voulait des explications sur sa taxe d'habitation.
Selon nos informations, un individu qui n'a pas été identifié est entré armé d'un fusil dans un centre des impôts du centre de Montpellier, jeudi après-midi.
Ce contribuable a brandi son arme pour évoquer son dossier de taxe d'habitation... L'agent l'a renvoyé vers le centre des impôts du quartier de La Paillade. Lequel a été fermé toute la journée, aujourd'hui, suite au droit de retrait exercé par les agents. La police n'a pas souhaité s'exprimer sur cette affaire.
http://www.midilibre.fr/2013/11/22/montpellier-arme-d-un-fusil-au-centre-des-impots,787057.php
Selon nos informations, un individu qui n'a pas été identifié est entré armé d'un fusil dans un centre des impôts du centre de Montpellier, jeudi après-midi.
Ce contribuable a brandi son arme pour évoquer son dossier de taxe d'habitation... L'agent l'a renvoyé vers le centre des impôts du quartier de La Paillade. Lequel a été fermé toute la journée, aujourd'hui, suite au droit de retrait exercé par les agents. La police n'a pas souhaité s'exprimer sur cette affaire.
http://www.midilibre.fr/2013/11/22/montpellier-arme-d-un-fusil-au-centre-des-impots,787057.php
vendredi 22 novembre 2013
Le cannibale présumé des Pyrénées interné en Gironde
Jusqu'ici interné à Lannemezan (Hautes-Pyrénées), Jérémy Rimbaud l'homme de 26 ans, soupçonné de cannibalisme, a été transféré dans une unité spécialisée dans le traitement des malades mentaux dangereux à Cadillac en Gironde.
Ancien soldat au régiment de Poitiers -il avait servi en Afghanistan-, Jérémy Rimbaud est soupçonné d'avoir mangé une partie du cœur et la langue d'un homme de 90 ans à Nouilhan dans les Hautes-Pyrénées. L'ancien militaire, qui quelques jours auparavant avait erré entre Tarbes et Pau, aurait tué la victime en lui fracassant le crâne avec un outil métallique le 15 novembre.
L'autopsie a montré qu'une partie du cœur avait été extraite de la cage thoracique et que la langue avait été sectionnée. Des analyses doivent encore tenter d'établir si Jérémy Rimbaud les a bien mangés.
En état de délire mystique, le jeune homme avait dit aux enquêteurs qui l'ont interpellé avoir "obéi à un message d'origine supérieure". Les analyses ont montré qu'il n'était pas sous l'emprise d'alcool ou de stupéfiants au moment des faits. Les investigations quant à la consommation d'autres produits, comme des médicaments, se poursuivent.
"C'était une machine. Ce n'était pas un homme normal. Il était comme surhumain", témoignait mercredi l'agriculteur agressé par Jérémy Rimbaud après ce meurtre. "Je ne comprends pas. "Personne ne peut comprendre, c’est trop horrible. Nous sommes une famille normale, nous l’avons élevé normalement", confiait le père du jeune homme.
Les enquêteurs continuent à rassembler les informations sur le parcours de l'ancien soldat. Il s'agit de savoir si son délire mystique du 15 novembre avait été précédé de signes avant-coureurs et si son passé de militaire y est pour quelque chose.
L'Unité pour malades difficiles de Cadillac (Gironde) est l'un de ces services spécialisés en France dans l'accueil des patients dangereux pour eux-mêmes ou pour autrui. Romain Dupuy, meurtrier d'une infirmière et d'une aide-soignante à l'hôpital psychiatrique de Pau en 2004 et bénéficiaire d'un non-lieu psychiatrique, est également interné dans cet établissement.
http://www.sudouest.fr/2013/11/21/le-cannibale-presume-des-hautes-pyrenees-interne-en-gironde-1236404-2780.php
Ancien soldat au régiment de Poitiers -il avait servi en Afghanistan-, Jérémy Rimbaud est soupçonné d'avoir mangé une partie du cœur et la langue d'un homme de 90 ans à Nouilhan dans les Hautes-Pyrénées. L'ancien militaire, qui quelques jours auparavant avait erré entre Tarbes et Pau, aurait tué la victime en lui fracassant le crâne avec un outil métallique le 15 novembre.
L'autopsie a montré qu'une partie du cœur avait été extraite de la cage thoracique et que la langue avait été sectionnée. Des analyses doivent encore tenter d'établir si Jérémy Rimbaud les a bien mangés.
En état de délire mystique, le jeune homme avait dit aux enquêteurs qui l'ont interpellé avoir "obéi à un message d'origine supérieure". Les analyses ont montré qu'il n'était pas sous l'emprise d'alcool ou de stupéfiants au moment des faits. Les investigations quant à la consommation d'autres produits, comme des médicaments, se poursuivent.
"C'était une machine. Ce n'était pas un homme normal. Il était comme surhumain", témoignait mercredi l'agriculteur agressé par Jérémy Rimbaud après ce meurtre. "Je ne comprends pas. "Personne ne peut comprendre, c’est trop horrible. Nous sommes une famille normale, nous l’avons élevé normalement", confiait le père du jeune homme.
Les enquêteurs continuent à rassembler les informations sur le parcours de l'ancien soldat. Il s'agit de savoir si son délire mystique du 15 novembre avait été précédé de signes avant-coureurs et si son passé de militaire y est pour quelque chose.
L'Unité pour malades difficiles de Cadillac (Gironde) est l'un de ces services spécialisés en France dans l'accueil des patients dangereux pour eux-mêmes ou pour autrui. Romain Dupuy, meurtrier d'une infirmière et d'une aide-soignante à l'hôpital psychiatrique de Pau en 2004 et bénéficiaire d'un non-lieu psychiatrique, est également interné dans cet établissement.
http://www.sudouest.fr/2013/11/21/le-cannibale-presume-des-hautes-pyrenees-interne-en-gironde-1236404-2780.php
Châteaulin. Le corps du jeune disparu retrouvé dans le canal
Vers 13 h, la vidange exceptionnelle du canal, associée à un important dispositif de recherche, a permis de retrouver le corps de Matthieu Hémon. Il gisait entre deux eaux à Port-Launay (29), face à l'ancien hôtel restaurant Le Bon accueil.
Originaire de la commune finistérienne de Lothey, le jeune homme de 23 ans avait disparu le 10 nombre au petit matin à la sortie de la discothèque de la ville. Depuis, les recherches n'avaient pas cessé.
Aujourd'hui, seize gendarmes, treize pompiers, quatre bateaux et un hélicoptère ont été mobilisés pour retrouver le jeune noyé.
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/chateaulin-carhaix/chateaulin/chateaulin-le-corps-du-jeune-disparu-retrouve-dans-le-canal-21-11-2013-2311143.php
Originaire de la commune finistérienne de Lothey, le jeune homme de 23 ans avait disparu le 10 nombre au petit matin à la sortie de la discothèque de la ville. Depuis, les recherches n'avaient pas cessé.
Aujourd'hui, seize gendarmes, treize pompiers, quatre bateaux et un hélicoptère ont été mobilisés pour retrouver le jeune noyé.
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/chateaulin-carhaix/chateaulin/chateaulin-le-corps-du-jeune-disparu-retrouve-dans-le-canal-21-11-2013-2311143.php
Castelsarrasin. Une lycéenne percutée par une camionnette
Hier durant la pause déjeuner, une lycéenne de 16 ans scolarisée à Jean de Prades a été percutée sur la D813 à la sortie de Castelsarrasin. Marchant loin devant deux camarades sur le bord de la chaussée, elle aurait fait un écart inexplicable sur la route. Une camionnette circulant en direction de Toulouse n’a pu éviter la jeune fille. Touchée à la tête, elle n’a pas perdu connaissance et a été emportée à l’hôpital de Montauban par les pompiers de Castelsarrasin. La victime était-elle dans son état normal ? S’était-elle disputée avec ses amies la poussant à un geste inconsidéré ? Les suites de l’enquête tenteront de déterminer les raisons de cet accident.
Nancy : "Notre papa à nous, il nous mettait des coups de ceinture"
Le trentenaire jure, la main sur le cœur, aimer les trois enfants de sa compagne, faire tout pour leur bien-être. « J’essaie de les rendre heureux. » Pour le prouver, il décline les consoles offertes à chacun d’entre eux. « Pour Noël, ils auront une Wii », ajoute-t-il encore, certain de son effet. Pas vraiment de quoi convaincre la présidente Catherine Hologne. « Sûr que le petit de 6 ans, qui se protège avec sa main lorsque vous arrivez à sa hauteur, a l’air heureux », ironise-t-elle.
Le 31 mai dernier, le petit garçon a le malheur de faire tomber un peu de pâte à tartiner sur la table et d’adopter un geste défensif. Son beau-père entre alors dans une colère noire. Il fait valser l’enfant de sa chaise, puis envoie un couvercle sur l’écran plat qui s’étoile aussitôt. Sa fureur redouble, il colle une grande claque au garçonnet. « J’avais une bague, ma compagne me l’a confisquée depuis », se justifie-t-il.
« Comme ça, il n’y aura pas de trace la prochaine fois », grommelle la présidente. Sept jours après les faits, la petite victime, toujours affublée d’un énorme cocard, confie aux gendarmes que ce fait n’est pas isolé. « Leur mère peut vous le dire, je ne les tape pas. Je ne suis pas violent », se défend l’irascible. « Ah ça, elle témoigne… C’est pathétique », siffle la présidente.
« Cette comparution devrait vous conduire à réfléchir sur votre comportement », insiste le procureur adjoint, Yvan Calvet. Il requiert 9 mois assortis de sursis. Et rassure la présidente : un signalement a été fait au juge des enfants.
« A l’époque, mon client était un zombie. Insomniaque et dépressif. Frappé d’un traumatisme à l’âge de 9 ans, il fait ce qu’il peut avec ce qu’il a. Sans diplôme, ni formation, il travaillait pourtant dans une boulangerie mais a dû arrêter après avoir développé une allergie. Alors, oui, à cette période, il ne parvenait plus à se contrôler », plaide son avocat.
Le tribunal suit les réquisitions du parquet. Le beau-père devra également payer 1.000 € à sa petite victime.
http://www.estrepublicain.fr/justice/2013/11/21/le-beau-pere-a-la-main-leste
Le 31 mai dernier, le petit garçon a le malheur de faire tomber un peu de pâte à tartiner sur la table et d’adopter un geste défensif. Son beau-père entre alors dans une colère noire. Il fait valser l’enfant de sa chaise, puis envoie un couvercle sur l’écran plat qui s’étoile aussitôt. Sa fureur redouble, il colle une grande claque au garçonnet. « J’avais une bague, ma compagne me l’a confisquée depuis », se justifie-t-il.
« Comme ça, il n’y aura pas de trace la prochaine fois », grommelle la présidente. Sept jours après les faits, la petite victime, toujours affublée d’un énorme cocard, confie aux gendarmes que ce fait n’est pas isolé. « Leur mère peut vous le dire, je ne les tape pas. Je ne suis pas violent », se défend l’irascible. « Ah ça, elle témoigne… C’est pathétique », siffle la présidente.
« Dépressif »
L’aîné a confirmé la version de son cadet. « Mais notre papa à nous, il nous mettait des coups de ceinture », a-t-il aussi nuancé. « Alors, c’est sûr, il y a un net progrès, aujourd’hui, ce ne sont plus que des torgnoles », soupire la présidente.« Cette comparution devrait vous conduire à réfléchir sur votre comportement », insiste le procureur adjoint, Yvan Calvet. Il requiert 9 mois assortis de sursis. Et rassure la présidente : un signalement a été fait au juge des enfants.
« A l’époque, mon client était un zombie. Insomniaque et dépressif. Frappé d’un traumatisme à l’âge de 9 ans, il fait ce qu’il peut avec ce qu’il a. Sans diplôme, ni formation, il travaillait pourtant dans une boulangerie mais a dû arrêter après avoir développé une allergie. Alors, oui, à cette période, il ne parvenait plus à se contrôler », plaide son avocat.
Le tribunal suit les réquisitions du parquet. Le beau-père devra également payer 1.000 € à sa petite victime.
http://www.estrepublicain.fr/justice/2013/11/21/le-beau-pere-a-la-main-leste
jeudi 21 novembre 2013
Rodez : un squelette humain dans le sous-sol d'une maison du centre
Des ossements humains ont été retrouvés dans une vieille maison du centre ancien.
C’est une découverte dont ils se seraient bien passés. Mardi, alors qu’ils étaient en train de creuser une tranchée sous le plancher d’une vieille habitation du centre-ville de Rodez, deux salariés d’une entreprise de rénovation sont tombés nez à nez avec un squelette. "Les ossements se trouvaient à une cinquantaine de centimètres de profondeur", explique l’un d’eux.
Un squelette de petite taille
En dégageant les ossements, les deux hommes constatent qu’il s’agit d’un squelette de petite taille. "À première vue, d’après la taille du crâne, je dirais que c’est celui d’un enfant de 3 ou 4 ans", avance prudemment l’auteur de cette macabre découverte. "Ensuite, on n’a plus touché à rien et on a appelé la police", ajoute-t-il. Les policiers se sont rendus sur place hier matin. Et après avoir écouté le récit des deux hommes, ils ont ramassé les ossements et les ont transportés à l’Institut médico-légal de Montpellier. C’est là que différentes analyses seront menées afin de déterminer à quelle époque correspondent ces ossements, l’âge de la victime et peut-être les causes du décès. Selon les premiers éléments, il pourrait s’agir d’un enfant ou d’une personne de petite taille.
Pas de correspondance avec une disparition
La bâtisse sous laquelle a été faite cette découverte est propriété de la même famille depuis les années cinquante. Il est donc fort probable que le corps s’y trouvait déjà à l’époque à laquelle ils en ont fait l’acquisition. "À ma connaissance, c’est la première fois que des travaux sont entrepris dans le sous-sol de cette bâtisse du centre ancien", précise le découvreur. Pour autant, d’après leur état de conservation, les ossements ne semblent pas dater du moyen âge. D’ailleurs, aucun archéologue n’a été mandaté sur place et les travaux ont pu reprendre hier, normalement, après le départ de la police. Enfin, les forces de l’ordre ne font état d’aucune disparition, récente ou remontant à une cinquantaine d’années et non élucidée. Le mystère est donc complet. Et il faudra certainement patienter jusqu’à la publication des résultats d’analyses menées à Montpellier pour en savoir davantage sur ce mystérieux squelette.
http://www.midilibre.fr/2013/11/21/un-squelette-de-petite-taille-mis-au-jour-en-centre-ville,786451.php
C’est une découverte dont ils se seraient bien passés. Mardi, alors qu’ils étaient en train de creuser une tranchée sous le plancher d’une vieille habitation du centre-ville de Rodez, deux salariés d’une entreprise de rénovation sont tombés nez à nez avec un squelette. "Les ossements se trouvaient à une cinquantaine de centimètres de profondeur", explique l’un d’eux.
Un squelette de petite taille
En dégageant les ossements, les deux hommes constatent qu’il s’agit d’un squelette de petite taille. "À première vue, d’après la taille du crâne, je dirais que c’est celui d’un enfant de 3 ou 4 ans", avance prudemment l’auteur de cette macabre découverte. "Ensuite, on n’a plus touché à rien et on a appelé la police", ajoute-t-il. Les policiers se sont rendus sur place hier matin. Et après avoir écouté le récit des deux hommes, ils ont ramassé les ossements et les ont transportés à l’Institut médico-légal de Montpellier. C’est là que différentes analyses seront menées afin de déterminer à quelle époque correspondent ces ossements, l’âge de la victime et peut-être les causes du décès. Selon les premiers éléments, il pourrait s’agir d’un enfant ou d’une personne de petite taille.
Pas de correspondance avec une disparition
La bâtisse sous laquelle a été faite cette découverte est propriété de la même famille depuis les années cinquante. Il est donc fort probable que le corps s’y trouvait déjà à l’époque à laquelle ils en ont fait l’acquisition. "À ma connaissance, c’est la première fois que des travaux sont entrepris dans le sous-sol de cette bâtisse du centre ancien", précise le découvreur. Pour autant, d’après leur état de conservation, les ossements ne semblent pas dater du moyen âge. D’ailleurs, aucun archéologue n’a été mandaté sur place et les travaux ont pu reprendre hier, normalement, après le départ de la police. Enfin, les forces de l’ordre ne font état d’aucune disparition, récente ou remontant à une cinquantaine d’années et non élucidée. Le mystère est donc complet. Et il faudra certainement patienter jusqu’à la publication des résultats d’analyses menées à Montpellier pour en savoir davantage sur ce mystérieux squelette.
http://www.midilibre.fr/2013/11/21/un-squelette-de-petite-taille-mis-au-jour-en-centre-ville,786451.php
Affaire Alexandre Junca à Pau : une nouvelle semaine d’auditions
Mickaël Baehrel, le meurtrier présumé de l’adolescent agressé dans la nuit du 4 au 5 juin 2011, à Pau, sera confronté à sa compagne Fatima Ennajah. Cette opposition avait été programmée en octobre mais repoussée en raison de la grève des avocats. Entre-temps, Fatima Ennajah a demandé à voir la juge et expliqué avoir vu des traces de sang sur les vêtements de Mickaël Baehrel, sans toutefois précisé la date de ce souvenir. Les deux compagnons seront confrontés mercredi.
La veille, Claude Ducos, le retraité de Cabidos, soupçonné notamment d’avoir aidé à se débarrasser du corps sans vie de l’adolescent, aura été lui aussi interrogé. Tout comme Mike Bonnet, l’ami SDF successivement désigné comme complice puis innocenté par Mickaël Baehrel.
Mike Bonnet est le dernier à avoir réclamé sa remise en liberté. Le parquet s’est opposé à cette demande formulée lundi à la juge d’instruction. Une décision est attendue à la fin du mois.
http://www.sudouest.fr/2013/11/21/alexandre-nouvelle-semaine-d-auditions-1236018-4071.php
La veille, Claude Ducos, le retraité de Cabidos, soupçonné notamment d’avoir aidé à se débarrasser du corps sans vie de l’adolescent, aura été lui aussi interrogé. Tout comme Mike Bonnet, l’ami SDF successivement désigné comme complice puis innocenté par Mickaël Baehrel.
Mike Bonnet est le dernier à avoir réclamé sa remise en liberté. Le parquet s’est opposé à cette demande formulée lundi à la juge d’instruction. Une décision est attendue à la fin du mois.
http://www.sudouest.fr/2013/11/21/alexandre-nouvelle-semaine-d-auditions-1236018-4071.php
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