samedi 26 novembre 2016

Sans ticket, il tente d’étrangler le contrôleur

C’est ce que l’on appelle ne pas en rater une. C’est vers 18h30 jeudi qu’un jeune homme de 23 ans a grimpé, sur la place de Bougainville (15e), dans un bus de la ligne 30. Sans ticket, le passager tombe nez à nez avec un contrôleur de la RTM qui, tentant de remplir sa mission, lui réclame son identité. Réponse négative doublée d’une tentative d’étranglement et de coups au visage. L’homme sera interpellé rapidement par une patrouille de police, un téléphone... volé sera découvert dans l’une de ses poches
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4216757/sans-ticket-il-tente-detrangler-le-controleur.html

vendredi 25 novembre 2016

Landes : à 66 ans, il cultivait du cannabis dans sa ferme

La police a saisi 5 kilos d’herbe cultivés, séchés ou déjà conditionnés chez un habitant.
Curieuse façon de s'octroyer un précule pour la retraite. Un homme de 66 ans, vivant dans une ancienne ferme comme on en compte beaucoup dans le Tursan (1), cultivait du cannabis de façon professionnelle.
C'est sur renseignements dévoilés aux services de police qu'une équipe s'est rendue, mercredi matin, au domicile de ce Landais. Et il y avait effectivement sur place, dans la grange, tout un système pour cultiver l'herbe.
Une chambre de culture du cannabis avait été installée, avec tout le nécessaire du parfait fabricant de drogue : les lampes et les fins tuyaux d'irrigation dans chaque pot. Une quinzaine de pieds était en plants. Mais les policiers ont également saisi 15 autres pieds déjà récoltés, en cours de séchage.
5 kilos découverts
Le sexagénaire avait, par ailleurs, déjà conditionné pour la vente une vingtaine de bocaux de 50 grammes chacun de têtes de cannabis, l'équivalent d'1 kilo d'herbe prête à consommer. « Au total, il y avait environ 2 kilos de plantes en culture, 2 kilos en cours de séchage et ce kilo pour la prévente », confirmait jeudi soir la direction départementale de la sécurité publique. Une saisie à laquelle s'ajoutaient 2 000 euros découverts dans le véhicule du retraité.
Ce dernier, placé en garde à vue, a reconnu les faits sans difficulté. Il a indiqué avoir commencé à cultiver il y a environ deux ans. Il écoulait sa récolte sur Mont-de-Marsan. L'homme à la main verte espérait ainsi gagner de l'argent pour disposer d'une retraite plus confortable, en revendant le gramme autour de 4 euros. Il n'avait jamais fait parler de lui et n'était pas connu des services de police.
Il a été laissé libre le temps de l'enquête, qui se poursuit.
(1) Pour les besoins de l'enquête, la commune de résidence du sexagénaire n'est pas divulguée
http://www.sudouest.fr/2016/11/25/a-66-ans-il-cultive-du-cannabis-dans-sa-ferme-2580392-3452.php

jeudi 24 novembre 2016

Rochefort : une commerçante braquée met ses agresseurs en fuite

La gérante du bureau de tabac a utilisé une bombe lacrymogène puissante. Les fuyards sont recherchés
Il est 19 h 30 ce mercredi quand deux individus cagoulés font irruption dans le bureau de tabac La Française, rue du 14-Juillet à Rochefort. Avec une arme au poing et une barre de fer, ils bousculent la commerçante en lui réclamant la caisse
Celle-ci refuse en braquant illico une bombe lacrymogène sur ses agresseurs. Il se trouve que cette bombe nouvelle génération envoie un gaz puissant à 25 km/heure. La riposte de la commerçante est efficace puisque l'un des deux braqueurs, fortement brûlé aux yeux, ne demande pas son reste et prend la fuite, son « collègue » sur les talons.
"Je m'attendais à ce que ça me tombe dessus"
C'est la première fois que la gérante, ancienne ostréicultrice qui a repris le bureau de tabac il y a dix-huit mois, était braquée. « J'ai eu moins peur que je pensais, raconte la commerçante. Mais je m'attendais à ce que ça me tombe dessus. »

Cas de brûlure sévère au visage recherché

La police recherche dans les services d'urgence et les cabinets médicaux des cas de brûlure sévère au visage.
Le même établissement a déjà été braqué en novembre 2014. A l'époque, les deux cambrioleurs n'étaient repartis qu'avec un maigre butin de jeux à gratter
http://www.sudouest.fr/2016/11/24/rochefort-une-commercante-braquee-met-ses-agresseurs-en-fuite-2579302-1504.php

mercredi 23 novembre 2016

Isère: deux personnes fauchées par une voiture sur l'A43

L'accident est survenu vers 6 heures 30 ce mercredi 23 novembre 2016 sur l' A43, dans le sens Chambéry-Lyon, à hauteur de la commune de Saint-Quentin-Fallavier, en Isère. Deux personnes ont été fauchées par une voiture alors qu'elles marchaient sur le bas-côté de la route. 
L'une des personnes, un homme de 43 ans, a été retrouvé sous la voiture en arrêt cardio-respiratoire. Les secours sont parvenus à faire repartir une activité cardiaque avant de le transporté à l'hôpital de Lyon.

La seconde, une femme de 63 ans, est, quant à elle, blessée légèrement.

Ils se tenaient sur le bas-côté de la route à proximité de leur voiture en panne. Un véhicule les a fauché avant de s'encastrer dans cette dernière.

Le conducteur, en état de choc, a été blessé légèrement.

Une voie de circulation a été bloquée par les forces de l'ordre le temps de l'intervention. La circulation est à présent revenue à la normale. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=alpes

Voujeaucourt (25) : condamné à quitter ses parents à 50 ans

Vous connaissez Tanguy ? Dans la comédie d’Étienne Chatiliez, sortie en 2001, Tanguy était cet adulte de 28 ans qui squattait inexorablement chez papa et maman, au grand dam de ces derniers. À Voujeaucourt, ce n’est pas une comédie mais un psychodrame qui s’est déroulé dans un huis clos familial, teinté d’alcool, de violences et de rancœurs farouchement ancrées. Comme l’illustre cet épisode du 27 juillet 2015. Le fils, alors âgé de 49 ans, la citerne dégoulinante de bière et de vin, s’en prend à son père de… 89 ans. Des coups au visage, avec un œil gauche tuméfié à la clé, et une chemise arrachée.
« Tout cela remonte à 1972… »
« C’est vrai, je l’ai maltraité. Je lui ai donné des gifles. Mais c’est moi qui ai appelé les gendarmes pour que tout ça s’arrête », précise le désormais quinquagénaire, lequel vit toujours sous le même toit que ses géniteurs.
« Mais tout cela, c’est quoi ? », interroge la présidente Audrey Vandendriessche. « Tout ça remonte à 1972 quand ma grand-mère est morte… On vit maintenant dans un système de clan… », répond le prévenu qui parle encore de problèmes de partages et d’héritage. « Mais vous aviez 6 ans en 1972 ! », s’étonne la présidente devant la réponse.
Le fils aurait frappé le père au sujet d’un terrain que ce dernier ne voudrait pas lui donner. Le fils terrorise aussi la maisonnée quand il menace d’y mettre le feu, quand il menace encore de tuer et se tuer. Des problèmes psychologiques liés à l’alcool. À la barre, il dit être sobre depuis le 13 avril dernier.
En ce lundi matin, père et fils sont venus ensemble au tribunal. Mais quand le premier est appelé à la barre, ce n’est pas le fils qui l’aide à descendre les escaliers mais le policier présent dans la salle. Difficile d’appréhender les relations entre les deux. « Ça va mieux », assure le père. « Peut-être que mon père voudrait que je quitte la maison mais ma mère veut que je reste », se retranche l’intéressé.
Le tribunal a suivi le raisonnement du procureur en prononçant une peine de prison avec sursis (6 mois) assortie d’obligations, dont celle de fixer sa résidence ailleurs que chez ses parents.
Péniblement, le père a quitté la salle d’audience. Son fils passant à côté de lui sans un regard, sans l’aider. Une fois encore, c’est le policier qui l’a soutenu et conduit vers la sortie.
Un éloignement physique après un éloignement affectif manifestement bien consommé

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/11/23/condamne-a-quitter-ses-parents-a-50-ans

mardi 22 novembre 2016

Un cadavre découvert dans un étang

Un cadavre découvert dans un étang. Macabre découverte, hier, à Roumengoux. Vers 14 h 50, les gendarmes ariégeois ont été prévenus qu'un cadavre venait d'être découvert dans un des étangs situé le territoire de cette commune située aux confins de l'Ariège et de l'Aude. Des techniciens en investigations criminelles (TIC) de la gendarmerie nationale se sont rendus sur place afin d'identifier la victime et de déterminer l'origine du décès
http://www.ladepeche.fr/communes/roumengoux,09251.html

lundi 21 novembre 2016

Deux hommes portés disparus en Dordogne




 
Deux hommes ont disparu au cours du week-end dernier en Dordogne. Les gendarmes sont à leur recherche
Le premier est un habitant de Lalinde âgé d'une soixantaine d'années. Cette disparition inquiétante a été signalée vendredi. Ses proches n'ont plus eu de nouvelles depuis la veille au soir.
L'homme s'est rendu dans un bar de la commune pour célébrer le beaujolais nouveau, il n'a plus été revu depuis. Une équipe cynophile a notamment été mobilisée, ainsi qu'un hélicoptère. Celui-ci a survolé la zone de recherche samedi, en fin d'après-midi, en vain.
Craignant une éventuelle chute dans le canal, le niveau du canal est baissé afin de pouvoir contrôler le cours d'eau.

Après une promenade

De leur côté, les gendarmes de la communauté de brigades de Sarlat ont été alertés dimanche en milieu de journée d'une autre disparition inquiétante. Ils ont passé l'après-midi à tenter de retrouver un habitant de Vitrac.
Fidèle à ses habitudes, l'homme, âgé de 80 ans, est parti se promener du côté de la Dordogne. Ses proches se sont inquiétés, ne le voyant pas revenir. Une douzaine de gendarmes ont été mobilisés dans l'après-midi pour tenter de le retrouver. Ils ont sollicité l'aide des pompiers pour que leurs plongeurs sondent la rivière. Les recherches se sont interrompues à la tombée de la nuit. Elles devaient reprendre ce lundi matin.
http://www.sudouest.fr/2016/11/21/un-sexagenaire-et-un-octogenaire-recherches-2574832-1889.php

Nîmes: le compagnon d'une étudiante trouvée morte en garde à vue

Le compagnon d'une étudiante de 20 ans trouvée morte dans son appartement dans le centre de Nîmes a été interpellé dimanche et placé en garde à vue, a révélé aujourd'hui le parquet de Nîmes.
L'étudiante, retrouvée morte dans la nuit de samedi à dimanche, portait des traces de "violences très importantes", avait indiqué le parquet dimanche
La jeune femme est morte des suites de ces violences. Elle a été retrouvée chez elle, dans un appartement de l'hyper-centre de Nîmes. Âgée de 20 ans, la victime était née à Montélimar, dans la Drôme. Une enquête a été ouverte et confiée à la SRPJ de Montpellier par le parquet de Nîmes.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Un piéton tué sur le périphérique, la conductrice avait bu

Deuxième accident mortel en moins de trois jours à Toulouse. Un piéton qui se trouvait sur le périphérique dimanche vers 3 h 45 a été fauché à Sesquières. Les secours n'ont pu le sauver. La conductrice qui a heurté le piéton, et dont l'alcoolémie était positive, a été placée en garde à vue.
Un drame de la route s'est joué dans la nuit de samedi à dimanche au nord de Toulouse, sur le périphérique à hauteur de l'échangeur numéro 33, entre Lalande et Sesquières. Un individu, plutôt jeune, a été heurté par une voiture qui roulait sur les chaussées extérieures. La conductrice au volant n'a pas pu éviter le jeune homme. Le choc a été violent. Les pompiers et une équipe médicale du Smur 31, alertés à 3 h 50, sont intervenus rapidement mais ces spécialistes des secours n'ont pas pu sauver la victime.
Hier après-midi, malgré différentes investigations, les policiers de la brigade des accidents et des délits routiers, la BADR du commissariat central de Toulouse, n'avaient pas pu identifier cet homme noir de peau, plutôt jeune. «Il portait des baskets et un pantalon noir, un tee-shirt plus clair», décrit un enquêteur. Ce jeune homme, qui serait âgé d'une vingtaine d'années, ne portait aucun papier sur lui.
Comment s'est-il retrouvé sur le périphérique, à hauteur de la sortie qui permet de rejoindre Sesquières et ses différentes discothèques ? Sortait-il d'un des établissements de nuit installé autour du lac ? Cette possibilité appartient aux hypothèses établies par les policiers mais qui demeuraient prudents hier après-midi. Le parquet a demandé une autopsie qui devrait être réalisée en début de semaine.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

samedi 19 novembre 2016

La Croix Rouge du Tarn se fait voler sa remorque

La Croix-Rouge départementale du Tarn a été victime d’un vol très préjudiciable : une grande remorque double essieux a été subtilisée alors qu’elle était stationnée de manière tout à fait exceptionnelle dans la propriété d’un bénévole à Castres.
Les faits se sont produits dans la nuit de mercredi à jeudi dernier. "Habituellement, cette remorque reste stationnée sur la base logistique départementale à Réalmont, indique la présidente du Tarn, Caroline Durand. Elle a été conduite là, à Castres, lundi après-midi car l’antenne locale est en attente d’un déménagement. Elle devait nous servir pour transporter les dons faits lors de la prochaine collecte au profit de la Banque alimentaire."
Et la présidente de regretter : "Ce vol est un coup de massue pour nous : un coup au moral et un coup au porte-monnaie ! Ce vol nous ennuie énormément car cette remorque est positionnée pour les urgences. Nous lançons donc un appel à témoins. Tout signalement nous sera utile ainsi qu’aux enquêteurs du commissariat de Castres. Merci d’avance."
http://www.ladepeche.fr/communes/castres,81065.html

vendredi 18 novembre 2016

Malaise fatal à un feu rouge pour un conducteur

Un conducteur a été victime d'un malaise cardiaque alors qu'il était arrêté à un feu rouge, hier midi, boulevard Lascrosses, au niveau de Compans-Cafarelli. Des témoins ont donné l'alerte mais, malgré l'intervention rapide des sapeurs-pompiers et du Samu, la victime, âgée 68 ans, est décédée sur place.

Mais aussi...

Colomiers > Un motard gravement blessé. Un accident s'est produit, hier matin, vers 7 h 50, rue Gilet, dans le centre de Colomiers. Une moto et une voiture sont entrées en collision. Le motard a terminé sa course contre un trottoir. Gravement blessé aux jambes, il a été pris en charge par les secours et transporté à l'hôpital.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

jeudi 17 novembre 2016

Béziers : un pompier blessé après avoir été caillassé en intervention

L es hostilités contre les soldats du feu ont débuté mardi soir à la Devèze où un pompier a été légèrement blessé. Elles se sont poursuivies dans la nuit, en centre-ville par la mise à feu de nombreuses poubelles.
Un pompier a été victime d'un caillassage, mardi soir vers 18 h, alors que son équipe intervenait sur l'avenue Armand-Vaquerin, à la Devèze. Le véhicule de lutte contre les incendies a été ciblé par une pierre qui a atteint le pare-brise alors que les pompiers de Béziers intervenaient pour éteindre un feu de scooter. Le soldat du feu a été légèrement blessé au visage et devrait subir des contrôles ophtalmologiques, ce mercredi.

Treize poubelles incendiées

Plus tard dans la nuit, une série de feux s'est produite en centre-ville. Pas moins de 13 conteneurs à ordures ont flambé dans le quartier situé derrière l'église de la Madeleine, nécessitant plusieurs interventions des pompiers. Un premier feu s'est déclaré rue André-Cadelard vers 2 h 20, puis rue Saint-Esprit, enfin rue Sainte-Claire vers 3 h 30. L'origine intentionnelle de ces sinistres ne laisse guère de doute.
http://www.midilibre.fr/2016/11/16/beziers-un-pompier-blesse-apres-avoir-ete-caillasse-en-intervention,1425488.php

mercredi 16 novembre 2016

Meurtre d'Aurélie Châtelain : arrestation de 4 complices présumés de Sid Ahmed Ghlam

Ces quatre hommes, âgés de 30 à 39 ans, arrêtés par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Eragny et Osny (Val-d'Oise), Les Mureaux et Sartrouville (Yvelines), sont "soupçonnés d'avoir apporté à des degrés divers un soutien logistique" à Sid Ahmed Ghlam, selon des sources proches de l'enquête confirmant une information de LCI. Ce dernier avait été arrêté en avril 2015. L'attentat piloté depuis la Syrie par le groupe jihadiste Etat islamique (EI) avait échoué, mais il avait toutefois fait une victime, une professeure de fitness originaire de Caudry (Nord), Aurélie Châtelain, retrouvée morte dans sa voiture.
Les investigations ont déjà permis de mettre en examen quatre complices présumés, soupçonnés d'avoir participé à la fourniture d'armes et de gilets pare-balles. Le 19 avril 2015, Sid Ahmed Ghlam appelle le Samu après s'être tiré une balle dans la jambe. A leur arrivée, les policiers trouvent le jeune homme dans une rue de Paris. Dans sa voiture et sa chambre, ils découvrent quatre kalachnikovs, deux armes de poing et des gilets pare-balles. L'analyse de son matériel informatique montre que l'Algérien, signalé pour ses velléités de départ en Syrie, projetait d'attaquer le jour de son arrestation, un dimanche, une église à Villejuif, en banlieue parisienne, trois mois après les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher.

En lien avec Abaaoud

Abdelhamid Abaaoud, un organisateur des attentats parisiens du 13 novembre 2015, est soupçonné d'avoir incité Sid Ahmed Ghlam à commettre un attentat contre une église. Agé de 25 ans, Sid Ahmed Ghlam a affirmé aux enquêteurs avoir effectivement été missionné depuis les zones turco-syriennes pour commettre un attentat après deux voyages en Turquie, fin 2014 et début 2015, mais il nie le meurtre d'Aurélie Châtelain et a multiplié les versions. Au contraire, des indices impliquent Sid Ahmed Ghlam dans ce meurtre : l'ADN de la victime a été trouvé sur la parka qu'il portait et l'expertise balistique a montré que la balle mortelle a probablement été tirée depuis son pistolet.
Depuis le début de l'année, "plus de 370 individus en lien avec des réseaux terroristes" ont été interpellés, a affirmé le ministre de l'Intérieur dans un entretien au Courrier Picard paru ce mercredi. "Le rétablissement des contrôles aux frontières a empêché 50 000 personnes d'entrer sur le territoire national, pour différents motifs. L'état d'urgence a permis 500 interpellations conduisant à plus de 400 gardes à vue et à la saisie de 600 armes", a-t-il par ailleurs déclaré


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

mardi 15 novembre 2016

Saint-Lô: un homme retranché, le RAID sur place

Une opération policière est en cours ce matin dans le quartier de l'Aurore à Saint-Lô. Un homme est retranché chez lui, rapporte France Bleu.
Les équipes du RAID, l'unité d'intervention et d'action de la police ont été appelées et sont sur place. Une opération de négociation serait en cours. Selon le maire de la ville, François Brière, des coups de feu auraient été entendus cette nuit
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 14 novembre 2016

Charente-Maritime : elle le manipule pour lui soutirer 98 000 euros

Nelly Bonnet a été condamnée à seize mois de prison pour avoir abusé de la faiblesse d’un Royannais entre 2008 et 2009
La prévenue aura brillé par son absence. Jeudi, le tribunal de grande d'instance de Saintes avait pourtant de nombreuses questions à poser à Nelly Bonnet, qui répondait d'abus de faiblesse sur un Royannais aujourd'hui âgé de 63 ans. Elle a été condamnée à seize mois d'emprisonnement, à rembourser les sommes dérobées et payer 2 000 euros au titre du préjudice moral pour des « faits particulièrement désagréables », selon les mots du président Olivier Lalande.

Il touche le RSA

Tout commence en 2007 avec la rencontre de la victime avec Nelly Bonnet. Il est architecte de formation, de bonne famille, charmant, cultivé mais aussi gros buveur. Elle est chanteuse, danseuse, alors mariée à un flûtiste cubain renommé. Pour lui, c'est la plongée dans les milieux interlopes, les virées royannaises avec sa nouvelle amie au fort tempérament. Nelly Bonnet le fait emménager au domicile familial.
En février 2008, le voilà propulsé à la tête de l'association Elegua, destinée à promouvoir la culture cubaine. Il ne semble pas particulièrement au courant. Sa vie est en train de lui échapper. Il souffre de troubles psychotiques, de dépression. Sous tutelle, un expert le déclare comme « particulièrement vulnérable ». Une grosse partie de l'argent de ses récents héritages est transférée sur le compte de l'association. Entre 2008 et 2009, Nelly Bonnet y prélève la somme de 98 000 euros. « Les dates des retraits correspondent aux périodes d'hospitalisation de la victime », constate le vice-procureur Mathieu Auriol.
Ce n'est qu'en 2010 que le Royannais se rend compte qu'il s'est fait abuser. « C'est l'argent hérité de sa mère, celui de toute une vie, rappelle son avocate Me Nathalie Bourdeau en se tournant vers son client. Aujourd'hui, il est bénéficiaire du RSA (Revenu de solidarité active). » Assis sur le banc de la salle d'audience, aux côtés de sa sœur, il n'aura pas prononcé un mot. Durant l'instruction, il avait évoqué la prévenue en la qualifiant par un terme : « Un poison. »

http://www.sudouest.fr/2016/11/14/elle-le-manipule-pour-lui-soutirer-98-000-eur-2567406-1531.php

Le procès du «Lapin» : crime passionnel ou assassinat?

Point d'orgue de cette session d'assises, le procès de l'assassin présumé de Maurice Azais débute, ce matin et jusqu'à mercredi. Une affaire sensible les parties civiles appartenant à la même fratrie de la communauté des gens du voyage. Pour ce faire, le dispositif de sécurité du palais de justice a été renforcé durant le procès.
Émile Azaïs a-t-il prémédité l'homicide de son cousin Maurice Azaïs, le 19 septembre 2013 à Malause ? Les faits du crime ayant été reconnus par l'accusé, confirmés par les témoins et les expertises de police scientifique, c'est bien cette question centrale sur laquelle les six jurés, tirés au sort ce matin, auront à trancher au terme de trois jours de procès qui s'annonce intense.
Un point sur lequel les avocats de la défense, Mes Caroline Marty-Daudibertières et Jérémie Gloriès ne manqueront pas de s'appesantir pour vraisemblablement tenter de faire requalifier l'affaire d'un assassinat (c'est-à-dire un meurtre avec préméditation) à un meurtre sans que l'intention homicide ne soit retenue par la cour.
Pour ce faire, les deux conseils du «Lapin» comme le nomment les compagnons de route de cette «figure» de la délinquance locale, s'attacheront à rappeler le contexte sur lequel s'est noué ce crime : celui d'une rivalité amoureuse entre les deux hommes se jalousant les faveurs de la même femme : Sandrine Debard, l'épouse d'Émile Azaïs. Las de ses infidélités, cette dernière aurait décidé de se venger de son mari en le trompant avec son cousin Maurice Azaïs alias «Mike».
Un vaudeville ayant pris au fil de mois de tensions entre les deux hommes : le chemin d'un drame... L'accusé soutenant depuis le début de l'instruction être menacé par l'ex amant de sa femme?
Au point où Émile Azaïs aurait été pris de panique lorsque Maurice se serait présenté de manière impromptue au domicile du couple, ce soir de 19 septembre. Une défense qui n'a pas infléchi le jugement de la juge d'instruction Sylvie Jeansous qui a renvoyé le «Lapin» devant la cour d'assises pour assassinat.
Il faut dire que les faits de l'homicide de Maurice Azaïs font froid dans le dos. Armé d'un fusil de chasse et d'un pistolet dans la poche, Émile Azaïs qui dit avoir été effrayé par les menaces de son cousin qui n'était pas armé, vidait le chargeur de son 7,65 mm dans son torse. Il tirait encore à plusieurs reprises sur lui avec son fusil de chasse alors que la victime était écroulée au sol
http://www.ladepeche.fr/communes/malause,82101.html

dimanche 13 novembre 2016

Roubaix : un corps retrouvé, flottant, dans le parc Barbieux

Un corps été retrouvé, flottant sur l'eau, ce dimanche matin, dans le parc Barbieux de Roubaix. La police est sur place
C'est un badeau qui a fait la macabre découverte, ce dimanche matin, sur un plan d'eau du parc Barbieux de Roubaix.
Le corps flottant à la surface de l'eau a pu être identifié par la police, comme celui d'un homme, âgé d'environ 65 ans, dont les services connaissent l'identité.
Le médecin légiste est sur place, pour les premières constatations. Son expertise devrait permettre de savoir si on s'oriente vers une piste criminelle

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/lille-metropole/roubaix

Un blessé sur la rocade

Samedi vers 16 h 20, sur la rocade près du giratoire de La Hurée, une violente collision frontale entre deux voitures de tourisme a fait un blessé. Cet homme de 30 ans qui circulait avec une 407 Peugeot, sérieusement atteint à une jambe, a été transporté au centre hospitalier d'Auch. L'autre conducteur, âgé de 68 ans, se déplaçant dans le sens Condom-Auch en 4X4, est indemne. Un dépassement mal maîtrisé par le conducteur de la Peugeot sur une portion de route où la ligne blanche interdit pourtant cette manœuvre, serait à l'origine de l'accident. «J'étais heureusement à toute petite vitesse après avoir franchi le giratoire» nous a confié le conducteur du 4X4 immatriculé en Ariège. La conductrice du véhicule qui venait d'être doublé, âgée de 70 ans, est également indemne
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/11/13/2457652-un-blesse-sur-la-rocade.html#8eevBAXoUWXTgCfq.99
 

samedi 12 novembre 2016

Guet-apens à 5 contre 1 sur la place de Parisot

Williams, la jeune victime de la bêtise de cinq jeunes, est venu à la barre pour tenter de savoir pour quelles raisons il a été sauvagement agressé le soir du 8 avril 2016 sur la place de Parisot. Tout près de lui, quatre autres jeunes se renvoient la balle. Le mineur, impliqué dans l'affaire, a été présenté au juge des enfants car il relève d'une autre juridiction compte tenu de son âge
Joseph, 30 ans, cinq condamnations, considéré comme l'instigateur de l'agression, a demandé à son pote Cyril, 21 ans, trois condamnations, de téléphoner à Williams car il aurait entendu dire qu'il tournait autour de sa copine.
Ce dernier, une fois arrivé en voiture sur la place, en toute confiance, a eu affaire à Joseph qui l'a frappé et lui aurait tranché un bout d'oreille d'un coup d'Opinel. Le jeune conducteur, qui tente de s'échapper, est alors rattrapé par Tiago, 32 ans, une condamnation à son casier, son copain Filipe, 31 ans et le mineur qui filme l'agression avec le portable de Cyril. Les coups pleuvent. Une personne, témoin des faits, prévient les gendarmes et éparpille les jeunes.

La mystérieuse petite amie

«On m'a dit qu'il était avec ma copine, c'est pour ça que je voulais le voir. J'ai parlé avec lui, il m'a poussé, je suis tombé et je ne l'ai pas frappé !»
Blandine Arrial, la présidente, secoue la tête. «La victime a été rouée de coups mais personne l'a frappée !» Williams confirme bien que Joseph lui a envoyé une droite et a sorti un couteau. Son avocat, Me Frédéric Albarède, tient à rappeler la violence de l'agression. «Il est dans l'incompréhension la plus totale. Il ne connaît pas et n'a jamais vu cette fameuse petite amie de son agresseur. Ils essayent tous de minimiser leur participation à ce véritable guet-apens. Si on les écoute, il n'y a pas eu de coups, pas de couteau et rien n'était prémédité !»
Pour Claude Dérens, le procureur, «c'est un dossier minable avec cinq personnes minables. À 5 contre 1 !»
Il demande 6 mois de prison pour Joseph, 100 jours-amendes à 10 € pour Tiago, un travail d'intérêt général pour Cyril et 300 € d'amende pour Filipe.
Me Emmanuelle Pamponneau, qui défend Joseph, ne croit pas au guet-apens. «À aucun moment, il n'y a eu de concertation entre eux sur ce qui allait se passer. Lui faire endosser l'idée du guet-apens est ridicule. Il a arrêté l'alcool, il faut envisager un aménagement de peine».
Le tribunal l'a suivie avec un placement sous surveillance électronique (bracelet) pendant 4 mois. Tiago devra débourser 500 € d'amende, Cyril, 800 € et Filipe, 200 €.

http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html

vendredi 11 novembre 2016

Rennes : le corps d'un jeune homme retrouvé sur la rocade

C'est peu après 4h30 que le commissariat central de Rennes a reçu plusieurs appels d'automobilistes circulant sur la rocade. Ils signalaient la présence d'un homme marchant sur les voies de circulation entre la porte des Loges et la porte d'Angers.
Sur place les policiers et les pompiers, également alertés par un appel, ont rapidement retrouvé le corps d'un jeune homme sur une glissière de sécurité. Il présentait "tous les traumatismes d'une personne ayant été percutée par un véhicule, avec de multiples blessures aux jambes et à la tête" selon une source policière. Des débris de véhicule ont été ramassés sur les lieux.

Le décès du jeune homme de 20 ans a été constaté par le Samu à 5h30. Des prélèvements sanguins ont été pratiqués sur la victime. Un examen médical du corps doit avoir lieu dans la journée afin de déterminer les circonstances exactes de la mort.

En milieu de matinée, le commissariat de Rennes n'avait reçu aucun appel ou signalement d'automobilistes ou témoins faisant état d'un accident avec un piéton à cet endroit.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes

Violences sur un lycéen : 6 mois avec sursis requis contre un policier

L'incident était devenu l’une des affaires emblématiques des violences reprochées aux forces de l’ordre pendant la mobilisation contre la loi El-Khomri.
Le parquet a requis jeudi six mois de prison avec sursis à l'encontre d'un policier jugé pour avoir asséné un violent coup de poing à un adolescent aux abords du lycée Bergson à Paris en mars, une scène dont la vidéo avait été largement diffusée sur les réseaux sociaux.
Il n'y a aucune impunité envers les fonctionnaires de police", a souligné le procureur dans son réquisitoire.
Voulant croire que le fonctionnaire de police, âgé de 26 ans, est "conscient de la gravité de son geste", le magistrat a en outre proposé au tribunal correctionnel de Paris de ne pas inscrire sa condamnation à son casier judiciaire.

"Un geste d'une illégitimité absolue"

Une vidéo de la scène, rapidement diffusée sur internet, montre le lycéen de 15 ans à terre, entouré de policiers qui le somment de se lever, avant de lui saisir les bras pour le remettre debout. C'est alors qu'un policier casqué lui porte un violent coup de poing au visage, ce qui déséquilibre l'adolescent et le fait tomber.
Geste d'une "illégitimité absolue", de la part d'un "fonctionnaire de police qui a perdu ses nerfs sur un gamin, après avoir passé un mauvais moment" en ayant subi des jets d'oeufs de la part de lycéens, a déclaré le procureur dans son réquisitoire.
Que le policier ait visé le plexus, comme il l'a soutenu à l'audience, ou le visage, toujours est-il que cela représente pour le parquet "des violences absolument injustifiées au regard des circonstances". 
A l'issue de la plaidoirie de la défense, le tribunal devrait mettre son jugement en délibéré.

http://www.sudouest.fr/2016/11/10/violences-sur-un-lyceen-6-mois-avec-sursis-requis-contre-un-policier-2564459-7.php

jeudi 10 novembre 2016

Narbonne : Ils aspergent d’essence leur copain de classe handicapé

Lundi dernier, une mère de famille s’est présentée au commissariat, affolée et très choquée suite à l’agression dont son fils, déficient mental, avait été victime la veille.
Cet ado de 15 ans était parti avec son vélo pour pêcher sur le quai de Lorraine. Il tombe nez-à-nez avec trois autres mineurs, dont deux frères, âgés de 12 et 14 ans. Ces derniers veulent en découdre avec un autre qui est dans la même classe qu’eux, mais ils n’ont pas son adresse. Ils vont ainsi faire pression sur la victime pour obtenir l’information, mais il ne cédera pas. Il va être menacé et giflé. Pour finir dans la violence de cette scène, l’un des suspects va trouver une bouteille d’essence qu’il va répandre sur les vêtements de la victime. La mère de famille va être alertée par l’odeur qui se dégageait des vêtements de son fils. Elle sera tellement choquée par les événements qu’elle ne pourra pas en parler directement aux enquêteurs.
Les suspects ont été interpellés hier au collège, puis placés en garde à vue. Pour s’expliquer, l’un des suspect a déclaré qu’il pensait que le contenu de la bouteille était du liquide vaisselle. Ils ont été remis à leurs parents, en attendant leur comparution devant le juge des enfants. Ils devront répondre des faits de « violence en réunion sur personne vulnérable ».
http://www.lindependant.fr/2016/11/09/narbonne-ils-aspergent-d-essence-leur-copain-de-classe-handicape,2275883.php

mercredi 9 novembre 2016

Incident dans un TER: 7 ados interpellés

7 adolescents ont été interpellés aujourd'hui après un incident samedi à bord d'un train régional dont des passagers ont été frappé et aspergés de gaz lacrymogène en gare de Cannes Ranguin, selon une source proche du dossier.
"On a sept jeunes en garde à vue, des mineurs de 14 à 17 ans, originaires du quartier de Cannes La Bocca", a-t-on précisé de même source. Tous ne sont peut-être pas directement en cause dans l'incident qui a eu un grand retentissement politique local et a conduit la préfecture des Alpes-Maritimes à annoncer des mesures de sécurité supplémentaires lundi. "Il y a eu un rapprochement hâtif avec des agressions style attaque de diligence pour dépouiller les passagers comme il s'en produit en région parisienne, mais il n'y a eu aucun vol", selon la même source.
A ce stade, les faits n'ont pas été encore complètement établis. Les caméras de vidéo surveillance montrent que des jeunes sont monté dans la rame, ont utilisé une bombe lacrymogène pour asperger des voyageurs et en ont frappé certains. Une plainte a été déposée par un passager, victime d'un jour d'incapacité temporaire de travail (ITT).
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Double décès à la maternité : l'attente des rapports

Dans la nuit de dimanche à lundi, les sapeurs-pompiers du Bassin ont transporté en urgence à la maternité de Rodez une maman decazevilloise en couches. L'ARS (agence régionale de santé) Occitanie a été informée de l'événement.
Une situation risquant désormais de se reproduire depuis la décision de l'ARS de suspendre les accouchements à la maternité de Decazeville, suite au décès d'une maman et de son bébé le 6 octobre dernier.
«Il y a eu ce drame, c'est horrible, terrible et pourtant exceptionnel, cela arrive aussi ailleurs et il n'y a pas pour autant de suspension des accouchements. Je suis persuadée qu'il y a bien plus de risques pour les mamans sans maternité à Decazeville ; les risques sont plus grands à prendre la route pour franchir 40 km quand on est sur le point d'accoucher», estime cette future maman decazevilloise qui accouchera bientôt à la maternité de Villefranche-de-Rouergue, et qui garde en mémoire l'exemple d'un bébé décédé dans le Lot sur l'A20 en 2012.
Un mois après le drame decazevillois, les enquêtes administratives et pénales suivent leur cours.
Contactée hier, la direction générale de l'ARS indique que le rapport initial a été transmis à la direction du centre hospitalier le 17 octobre, qui a eu une semaine pour répondre aux questions posées. Le dossier a été renvoyé à l'ARS le 24 octobre, afin que cette dernière puisse, après «une analyse technique, méthodique et scrupuleuse des réponses» établir un rapport définitif, par les médecins et inspecteurs de l'agence (et si besoin avec le recours d'experts médicaux «cette décision n'a pas pour l'heure été prise») à même d'apprécier si le protocole de prise en charge a été respecté.
«Compte tenu des échéances et pour assurer la continuité des parturientes, nous faisons au plus vite et espérons pouvoir rendre le rapport définitif fin novembre», précise l'ARS.
Ce rapport définitif permettra d'abonder l'enquête judiciaire ouverte pour déterminer les causes de la mort des deux victimes, pour faire apparaître ou écarter d'éventuelles responsabilités pénales. «Il faut comprendre au plus près ce qu'il s'est passé, nous sommes dans la recherche des causes de la mort», indique pour sa part le procureur de la République, Yves Delpérié, également joint hier.

Enjeux

Les enquêtes administrative et pénale seront donc encore longues, ce qui ajoute aux inquiétudes locales quant à l'avenir de la maternité, actuellement au ralenti via quelques consultations prénatales. D'autant plus que le recrutement du pédiatre (l'un des conditions de l'ARS en mai pour autoriser le renouvellement de l'autorisation d'exercer) n'a pas été concrétisé ; et que le nombre d'accouchements est en forte baisse (178 du 1er janvier au 6 octobre). Les naissances du dernier trimestre de 2016 n'auraient pas permis d'atteindre les 265 naissances de 2015.
Pour l'heure, la direction ne souhaite pas communiquer sur le sujet.
Côté syndicats «Nous souhaitons que le rapport puisse être rendu au plus vite pour savoir ce qu'il convient de faire».
Car les enjeux sont importants, notamment pour le service et son organisation : trois sages-femmes sur les sept en poste actuellement sont en contrat à durée déterminée.
À Decazeville, bon nombre craignent qu'une trop longue suspension des accouchements signifie au gré des semaines un fil toujours plus mince pour l'épée de Damoclès pesant sur l'avenir de la maternité. Et par conséquent sur d'autres services de l'hôpital, dans un contexte de déficit budgétaire important dû à une évidente baisse des recettes…
 

mardi 8 novembre 2016

Grasse : Il tue sa femme à l'arme blanche et se suicide

Un commerçant de Grasse est soupçonné d'avoir poignardé sa femme dans son sommeil, puis mis fin à ses jours avec une arme à feu dans la nuit d'hier à aujourd'hui, a révélé la police qui a retrouvé un mot à l'intention des enquêteurs, en cours d'examen.
Selon les premiers éléments d'enquête, "il semblerait qu'on est face à un homicide à l'arme blanche suivi d'un suicide par arme à feu. Mais il y aura des autopsies et il faut qu'on vérifie. Un mot a été laissé à destination des services de police", a-t-on indiqué de même source. Ce couple de quinquagénaires vivait dans une résidence de standing de Grasse.
"A priori il n'y a pas eu effraction", selon la même source, et "c'est la deuxième victime, l'homme, qui a donné l'alerte en allant sonner chez son voisin, avec un fort épanchement de sang à la tête". A l'arrivée des secours, "il est resté encore conscient deux ou trois minutes avant de mourir", selon l'enquête
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Retrouvé mort sur un parking, à Strasbourg

Un homme d'une trentaine d'années a été retrouvé mort, sur la voie publique, sur un parking à l'arrière d'un bâtiment, boulevard de la Victoire à Strasbourg, indiquent les sapeurs-pompiers. Le corps de l'homme était en "raideur cadavérique", indiquent encore les sapeurs-pompiers.
La police s'est rendue sur les lieux.
http://www.dna.fr/actualite/2016/11/08/retrouve-mort-sur-la-voie-publique-a-strasbourg

lundi 7 novembre 2016

Escroquerie à 10M d'euros : le courtier en assurance remis en liberté

Mis en examen pour fraude fiscale, escroquerie en bande organisée, blanchiment et abus de biens sociaux, Christrian Loubersanes, 61 ans, courtier en assurance, vient d'être remis en liberté après quatre mois de détention provisoire, à la maison d'arrêt de Seysses. Le juge des libertés et de la détention a décidé, dernièrement, de ne pas prolonger le mandat de dépôt de cette figure du milieu des affaires qui proposait de juteuses rémunérations à 9% d'intérêts en investissant dans des assurances vie. Une cavalerie financière pour un préjudice totale compris entre 6 et 10 M d'€. Durant ces derniers mois, une centaine de victimes se sont déclarées ayant perdu des sommes allant de 4 000 à 400 000€. Un grand nombre d'entre elles attend toujours le versement des investissements. Parmi ces souscripteurs, des frères de la grande loge régulière de France à laquelle Christian Loubersanes appartenait. La remise en liberté de cet ancien franc-maçon obéit à un argument juridique imparable, habilement exploité par l'avocat de Christian Loubersanes, Me Simon Cohen. «Mon client a toujours revendiqué l'entière responsabilité des faits et les indices prétendus de la bande organisée étaient absents. On ne lui a pas posé une seule question sur ce qui aurait pu constituer une bande organisée», martèle Me Cohen. La prolongation du mandat de dépôt, au-delà de 4 mois, n'est possible que si la peine encourue est supérieure à 5 ans. C'est le cas si la justice retient la bande organisée comme circonstance aggravante. Or, celle-ci vient de faire l'objet d'une requête en annulation déposée par l'avocat, devant la chambre de l'instruction qui a saisi la cour pour trancher. Dans ce contexte, le juge des libertés et de la détention, estimant qu'il pouvait y avoir un doute sur l'existence avérée de la bande organisée, a décidé de remettre en liberté Christian Loubersanes, écroué depuis le 6 juillet 2016. Le doute a donc profité au mis en cause. Une décision purement juridique qui devrait soulever un tollé parmi les nombreuses victimes qui ont perdu très gros dans cette affaire. C'est le cas notamment d'un employé municipal d'une commune de l'agglomération toulousaine. «J'ai investi 240 000€ en faisant confiance à Christian Loubersanes. Cet argent devait me rapporter 400 000€ et me mettre à l'abri pour la retraite. Je devais toucher les dividendes en 2017. Aujourd'hui, je n'ai plus d'économies. Pour moi, c'est du terrorisme financier!» Mis en relation par un proche de Christian Loubersanes, cet employé municipal a déposé plainte en septembre par le biais de son avocat Me Douchez. «On veut récupérer notre argent et que la justice reconnaisse notre statut de victimes». Une dizaine d'autres plaignants soutenus par Me Varet sont dans le même cas. «Certains sont au bord du suicide». Retaités, employés modestes ou professions libérales, ils sont plusieurs dizaines à avoir confié leur bas de laine à Christian Loubersanes, ex-gérant de la société Sabal, à Aucamville. Une société vide par laquelle ont transité les fonds des souscripteurs lésés.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

dimanche 6 novembre 2016

Bourgoin-Jallieu: un homme de 80 ans mortellement fauché sur l'A43

Un gros carambolage impliquant six véhicules s'est produit samedi 5 novembre peu avant 19 heures sur l'A43 à hauteur de Bourgoin-Jallieu. Un homme est décédé lors de l'accident,  fauché alors qu'il avait quitté son véhicule après un accrochage
Six véhicules ont été impliqués dans l'accident. Huit personnes ont été transportées à l'hôpital après le choc, dont un enfant, pour une prise en charge psychologique.
Le carambolage s'est produit sur l'A43 dans le sens Chambéry-Lyon, au niveau du point kilométrique 38, aux environs de 18 h 40.

La circulation a été interrompue le temps de l'intervention des secours

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere

Les secours visés par un cocktail Molotov à Dijon

Cette nouvelle affaire risque de ne pas apaiser l'exaspération qui agite les forces de l'ordre. En effet, des policiers et pompiers, appelés vendredi soir pour un feu de véhicule dans le quartier sensible des Grésilles à Dijon, ont été pris à partie par un groupe de jeunes qui ont lancé un cocktail Molotov sans faire de blessé. Les secours ont été appelés pour un feu de véhicule vers 21h30, rapportent les pompiers. A leur arrivée, ils ont été accueillis par une poignée de jeunes lançant des projectiles : des cailloux et un cocktail Molotov, selon la police. Le jet de cocktail Molotov a déclenché l'incendie d'un véhicule garé mais n'a pas atteint les véhicules des forces de l'ordre ou des soldats du feu et n'a fait aucune blessé, selon cette même source. Un autre cocktail Molotov, qui lui n'a pas explosé, a été retrouvé sur place, détaille encore la police qui n'a pour l'instant procédé à aucune interpellation. Une enquête a été ouverte par le parquet de Dijon. Ces violences interviennent dans un contexte d'exaspération des forces de l'ordre en France qui multiplient les manifestations après l'attaque au cocktail Molotov de quatre policiers le 8 octobre à Viry-Châtillon (Essonne), brûlant gravement deux d'entre eux. Le 19 octobre, en banlieue lyonnaise, des policiers avaient également été pris à partie par des jeunes qui avaient jeté des cocktails Molotov, sans faire de blessé.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/

samedi 5 novembre 2016

Collision frontale : une femme blessée

C'est un accident spectaculaire qui a eu lieu hier, vers 17 heures, sur la route de Bagnères (RD 935), entre Laloubère et Horgues, alors que la nuit commençait à tomber, sous une légère pluie.
La conductrice d'une Peugeot 308 qui venait de Bagnères-de-Bigorre s'est déportée pour une raison indéterminée et a percuté frontalement la Honda Jazz qui circulait en sens inverse, depuis Tarbes.
Si le conducteur de la Honda Jazz est ressorti indemne de l'accident, la jeune femme au volant de la Peugeot 308, qui réside à Bagnères-de-Bigorre, a été blessée.
Elle a été évacuée au centre hospitalier de Tarbes par l'ambulance des pompiers. Plusieurs véhicules et une dizaine d'hommes des centres de secours de Tarbes et de Rives-Adour, sous le commandement du lieutenant Jean-Pierre Atthar, se sont déplacés sur les lieux. La gendarmerie s'est également rendue sur place pour procéder à l'enquête de routine. Hier soir, les causes de la perte de contrôle de son véhicule par la jeune femme n'étaient pas connues
http://www.ladepeche.fr/communes/horgues,65223.html

vendredi 4 novembre 2016

Tarn : le pompier volontaire survit à 57 piqûres de frelons asiatiques

Un pompier volontaire a survécu à 57 piqûres de frelons asiatiques, lors d'une intervention de son entreprise de désinsectisation sur un nid proche d'une maison de retraite dans le Tarn.
Le jeune homme de 26 ans "n'était pas dans une mission de service public" quand il a été piqué par de "nombreux frelons" et pris en charge par la maison médicale de Labastide-Rouairoux (Tarn) le 27 octobre, puis par des pompiers du département voisin, a déclaré à l'AFP le colonel Christophe Dulaud, responsable du SDIS du Tarn.
"Je l'ai échappé belle... j'ai de la chance d'être jeune et sportif", a témoigné l'intéressé Yohann Revechon à l'hebdomadaire tarnais
le Journal d'Ici.
Ce chef d'une petite entreprise de désinfection avait été appelé pour détruire un nid de frelons asiatiques "placé très haut dans l'arbre", et était vêtu d'une
tenue spéciale et maniait une perche adaptée lorsqu'il a été attaqué par les frelons et piqué à 57 reprises.

Il a fait un choc anaphylactique, une grave réaction allergique qui peut être mortelle, avant d'être pris en charge. "Maintenant tout est rentré dans l'ordre",
a ajouté l'intéressé dans le journal local.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/tarn

Christian Bourdel décède pendant une visite de son musée à des lycéens

Christian Bourdel, président et fondateur du musée "Le Militarial" à Boissezon, est décédé brutalement jeudi matin à l'âge de 75 ans, alors qu'il faisait visiter son musée à des élèves du lycée du Sidobre de Castres. Il s'est effondré pendant la présentation de la salle consacrée à la guerre 14-18.
Un élève, pompier volontaire par ailleurs, lui a prodigué les premiers soins, notamment un massage cardiaque en attendant l'arrivée du Smur. Mais Christian Bourdel n'a pu être ranimé.
Ancien médecin du village de Boissezon, il était un grand collectionneur d'objets militaires, passionné des guerres du XXe siècle. Il avait baptisé "son" musée comme "mémorial pour la paix". Et avait trouvé le soutien de la mairie de Boissezon à la fin des années 90 qui lui a mis a disposition un grand local pour installer le musée qui a accueilli ses collections personnelles mais aussi des dons venant d'horizons très divers. Il était aussi un bénévole actif au sein du Souvenir Français.
Le docteur Bourdel, originaire de Carcassonne, avait passé toute sa carrière de médecin de campagne à Boissezon. Père de trois grandes filles, il avait perdu de facçon prématurée son épouse Monique Bourdel il y a une dizaine d'années, très connue elle aussi dans le Tarn pour avoir été la déléguée départementale du droit des femmes.
http://www.ladepeche.fr/communes/boissezon,81034.html

jeudi 3 novembre 2016

Marquette-lez-Lille : un corps découvert dans le coffre d'une voiture brûlée

La brigade criminelle de la police judiciaire de Lille enquête sur la découverte mardi 1er novembre vers 12h30, du corps calciné d'un homme dans le coffre d'une voiture brûlée, qui se trouvait sur un chemin de halage le long du canal de Roubaix à Marquette-lez-Lille. Une information du Parisien, confirmée par la PJ.

C'est un batelier, qui amarrait sa péniche, qui a fait cette macabre découverte et a appelé police-secours.

Le véhicule découvert n'avait plus de plaques minéralogiques et le corps se trouvant à l'intérieur était complètement calciné, ne permettant pas aux enquêteurs, à ce stade, de l'identifier. Grâce au numéro de série de la voiture, on sait qu'elle appartenait à un homme de 55 ans, au sujet duquel des investigations sont en cours.

Une autopsie de la victime doit être réalisée ce jeudi.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

Les gendarmes arrêtent un individu après une expédition punitive

On peut appeler ça une affaire rondement menée. Les gendarmes de Labruguière ont en effet mis hors d'état de nuire pendant un petit moment un individu connu pour une série de larcins sur le secteur. Ce jeune homme de 20 ans a été interpellé pour un vol et des violences commises dans la nuit de samedi à dimanche. Une véritable expédition punitive. Et comme il avait une peine de prison de 6 mois à effectuer au-dessus de la tête, il est parti en maison d'arrêt.
C'est dans la nuit de samedi à dimanche que l'individu a fait parler de lui. Pour régler ses comptes avec une de ses connaissances, quasiment un voisin, avec qui il a différend sur une sombre histoire de réparation de téléphone portable, il va s'introduire par effraction chez elle, dans son logement du centre-ville de Labruguière, pour en découdre. Une fois au domicile de son rival, il va le tabasser. Et poussé par la rage et un fond d'alcoolémie, il ne va pas y aller de main morte.
Au point que la victime, âgée de 35 ans, va devoir se faire transporter aux urgences de l'hôpital de Castres-Mazamet après ce règlement de compte et que le médecin légiste lui a prescrit une incapacité totale de travail de 10 jours, ce qui est beaucoup en matière pénale. Et l'agresseur ne s'est pas contenté de le passer à tabac. Avant de quitter son domicile, il lui a volé sa moto 250 cc3. Lundi, une fois qu'elle a retrouvé ses esprits, la victime est allée déposer plainte contre son assaillant, employé dans une entreprise de bâtiment, à la gendarmerie. Les gendarmes ont alors mené leurs investigations et sont allés interpeller mardi l'individu en question. Chez lui, les enquêteurs ont également trouvé de la drogue, un plant de cannabis et un peu d'herbes. Placé en garde à vue, le jeune homme a reconnu les faits. Il a été présenté au parquet de Castres hier qui a décidé de le convoquer devant le tribunal correctionnel le 11 janvier prochain.
Et cela sera sous escorte que l'individu comparaîtra pour ce vol avec effraction, ces violences ainsi que la détention et l'usage de stupéfiants. Puisqu'ayant une peine de 6 mois de prison à exécuter, il est parti directement en détention.
http://www.ladepeche.fr/communes/labruguiere,81120.html

mercredi 2 novembre 2016

Dijon : un piéton est mort percuté par un camion

Les pompiers de Côte-d’Or ont été appelés mardi 1er novembre vers 23 heures pour une intervention sur un accident de la circulation.
A leur arrivée, ils n’ont pu que constater le décès d’un homme âgé d’une trentaine d’années, qui a été percuté par un camion sur la route de Langres.

Le chauffeur du poids lourd a été évacué vers le CHU de Dijon en état de choc psychologique, ont précisé les pompiers

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/dijon

mardi 1 novembre 2016

Tarn-et-Garonne : un homme décède dans l'incendie de sa maison

Le feu a pris en fin de journée, lundi 31 octobre, dans une maison particulière de la commune de Montagudet, dans le Tarn-et-Garonne.
Un homme de 87 ans a péri dans l'incendie. Ses trois frère et soeurs qui vivaient avec lui ont également été blessés, dont l'une grièvement, a-t-on appris des services de secours et d'incendie du Tarn-et-Garonne, ce matin. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/tarn-et-garonne

Un mort et trois blessés dans l'incendie de la maison

Un homme de 87 ans est décédé dans l'incendie de sa maison hier soir à Montagudet, près de Lauzerte dans le Tarn-et-Garonne. Deux autres dames de 78 et 80 ans ainsi qu'un homme de 85 ans ont été blessés et hospitalisés. L'origine de l'incendie n'est pas connue
http://www.ladepeche.fr/communes/montagudet,82116.html