Un nourisson de 2 mois aurait été abandonné sur un banc aujourd'hui à Toulouse, rapporte la Dépêche du Midi. Une enquête a été ouverte et la police est à la recherche de ses parents.
Selon le quotidien, le bébé est en bonne santé mais a été transféré à l'hôpital pour des examens après avoir été retrouvé par des passants.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
jeudi 30 juin 2016
Un enfant de 2 ans gravement blessé dans un accident de la route sur l'A7, à Chasse-sur-Rhône (Isère)
Un important accident de circulation s’est produit, ce mercredi 29 juin en soirée, sur l'A7, à Chasse-sur-Rhône. Un petit garçon de deux ans est dans un état grave.
Il était aux alentours de 21 heures lorsque l'accident a eu lieu sur l'autoroute dans le sens Marseille/Lyon, impliquant un véhicule seul. Le conducteur de la voiture est indemne, mais un enfant, un petit garçon de deux ans, a été grièvement blessé à la tête.
Il a été médicalisé par le SMUR et transporté à l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Lyon.
Un autre enfant se trouvait à bord du véhicule, un garçon de sept ans qui a été légèrement blessé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere
Il était aux alentours de 21 heures lorsque l'accident a eu lieu sur l'autoroute dans le sens Marseille/Lyon, impliquant un véhicule seul. Le conducteur de la voiture est indemne, mais un enfant, un petit garçon de deux ans, a été grièvement blessé à la tête.
Il a été médicalisé par le SMUR et transporté à l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Lyon.
Un autre enfant se trouvait à bord du véhicule, un garçon de sept ans qui a été légèrement blessé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere
mercredi 29 juin 2016
Alpes-de-Haute-Provence : opération de gendarmerie sur une course automobile non autorisée
Une course non-autorisée de véhicules sportifs de luxe dénommée MODBALL 2016 a traversé le département des Alpes de Haute-Provence mardi 28 juin 2016. Les gendarmes ont mis en place un dispositif de contrôle et d'interception. Plusieurs infractions ont été relevées
Cette course automobile non autorisée était partie de Londres, elle était constituée de 180 véhicules et devait rallier Monaco le plus vite possible sur plusieurs itinéraires. Cette course qui passe aujourd’hui, mercredi 29 juin, par Barcelone doit s’achever à Valence en Espagne vendredi 1er juillet.
Les gendarmes de la brigade motorisée de Digne les bains et du peloton motorisé de Peyruis avait mis en place un dispositif de contrôle et d’interception. Plusieurs infractions à la vitesse ont été relevées.
Certains véhicules ont emprunté la RN 202 sur la circonscription de la compagnie de gendarmerie de Castellane. Là aussi un dispositif de contrôle et d’interception a été mis en place avec les gendarmes de la Brigade Territoriale Autonome de Castellane, le Peloton de Surveillance et d'Intervention de Gendarmerie de Castellane, les Communautsé de Brigade Territoriale d’Annot et de Colmars-les-Alpes. Cela a permis de contrôler 26 véhicules dans le courant de l’après-midi et de relever 29 infractions dont 20 excès de vitesse, 3 détentions de détecteur de radar, 3 dépassements dangereux, 2 plaques d’immatriculation amovibles et 1 défaut de ceinture. Tous les conducteurs ont dû s’acquitter d’amendes allant de 90 à 750 euros.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/alpes-de-haute-provence
Cette course automobile non autorisée était partie de Londres, elle était constituée de 180 véhicules et devait rallier Monaco le plus vite possible sur plusieurs itinéraires. Cette course qui passe aujourd’hui, mercredi 29 juin, par Barcelone doit s’achever à Valence en Espagne vendredi 1er juillet.
Les gendarmes de la brigade motorisée de Digne les bains et du peloton motorisé de Peyruis avait mis en place un dispositif de contrôle et d’interception. Plusieurs infractions à la vitesse ont été relevées.
Certains véhicules ont emprunté la RN 202 sur la circonscription de la compagnie de gendarmerie de Castellane. Là aussi un dispositif de contrôle et d’interception a été mis en place avec les gendarmes de la Brigade Territoriale Autonome de Castellane, le Peloton de Surveillance et d'Intervention de Gendarmerie de Castellane, les Communautsé de Brigade Territoriale d’Annot et de Colmars-les-Alpes. Cela a permis de contrôler 26 véhicules dans le courant de l’après-midi et de relever 29 infractions dont 20 excès de vitesse, 3 détentions de détecteur de radar, 3 dépassements dangereux, 2 plaques d’immatriculation amovibles et 1 défaut de ceinture. Tous les conducteurs ont dû s’acquitter d’amendes allant de 90 à 750 euros.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/alpes-de-haute-provence
lundi 27 juin 2016
Un plongeur disparaît au large de Dunkerque
Samedi, vers 16h, le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) Gris-Nez a été informé de la disparition d'un plongeur du bateau de support belge "Dive star" à 15 miles marins (environ 25 km) au nord de Dunkerque. Au moment du signalement, l'homme, âgé de 63 ans, avait disparu une heure. Il faisait une sortie de plongée avec 15 autres personnes.
Immédiatement, indique un communiqué de la préfecture maritime, "le CROSS Gris-Nez a coordonné une importante opération de recherches avec le concours des autorités maritimes belges, en déployant plusieurs moyens nautiques et aériens : le canot tout temps Jean Bart II de la station SNSM de Dunkerque, la vedette côtière de surveillance maritime de la Gendarmerie maritime (VCSM) Escaut, le patrouilleur de service public de la Marine nationale Pluvier, basé à Cherbourg, un hélicoptère NH90 belge stationné à Coxyde (Belgique), l'hélicoptère Dauphin SP de la Marine nationale stationné au Touquet (62). " Trois autres moyens belges ont complété ce dispositif.
Malgré cet important dispositif, aucune trace du plongeur. Après 7 heures de recherches actives et faute d'éléments nouveaux le dispositif de recherche a été levé vers 23h.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/un-plongeur-disparait-au-large-de-dunkerque-1035141.html
Immédiatement, indique un communiqué de la préfecture maritime, "le CROSS Gris-Nez a coordonné une importante opération de recherches avec le concours des autorités maritimes belges, en déployant plusieurs moyens nautiques et aériens : le canot tout temps Jean Bart II de la station SNSM de Dunkerque, la vedette côtière de surveillance maritime de la Gendarmerie maritime (VCSM) Escaut, le patrouilleur de service public de la Marine nationale Pluvier, basé à Cherbourg, un hélicoptère NH90 belge stationné à Coxyde (Belgique), l'hélicoptère Dauphin SP de la Marine nationale stationné au Touquet (62). " Trois autres moyens belges ont complété ce dispositif.
Malgré cet important dispositif, aucune trace du plongeur. Après 7 heures de recherches actives et faute d'éléments nouveaux le dispositif de recherche a été levé vers 23h.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/un-plongeur-disparait-au-large-de-dunkerque-1035141.html
Saint-Cyprien: un bébé de 22 mois et un enfant de 11 ans blessés dans un accident de manège
La soirée détente à la fête foraine de Saint-Cyprien a tourné au cauchemar samedi pour ses deux couples d'amis. Vers 21h45, leurs enfants, l'un de 11 ans, du premier couple, l'autre de 22 mois, du deuxième couple habitant en région parisienne, vont faire du manège. Ils embarquent dans un hélicoptère, que l'on peut faire monter et descendre en appuyant sur un petit bouton qui commande un bras hydraulique.
La maman du bébé, que nous avons joint dimanche soir, raconte : "Nous les regardions. Le premier tour s'est passé normalement. Au deuxième tour, alors qu'ils étaient en haut (environ à 2 mètres de la plateforme du manège, NDLR), l'hélicoptère est tombé subitement, directement au sol. Le forain n'a pas réagi tout de suite. Mon mari a tapé sur la vitre du guichet pour faire stopper le manège. Mais il a parcouru encore au moins un quart de tour avant de s'arrêter. Nous nous sommes précipités vers les enfants, tandis que le forain vérifiait la trappe du bras de l'hélicoptère, puis celle des autres engins. J'ai appelé les policiers pour qu'ils interviennent."
Les deux enfants, encore choqués, ont été blessés. L'enfant de 11 ans ressent des douleurs dans le bas du dos et souffre de nombreux hématomes et d'un choc à la jambe occasionnés par la chute de l'engin. Le bébé, qui était sanglé dans le manège, souffre également du dos et d'une coupure à la lèvre. Une échographie pratiquée en urgence n'a pas révélé de lésions plus profondes, mais des examens radiologiques sont encore prévus ce lundi.
Les parents du bébé ont décidé de porter plainte contre le gérant du manège et contre la mairie, chargée de contrôler l'installation avant sa mise en service. Le manège a été placé sous scellés par la gendarmerie jusqu'au passage d'un expert, vraisemblablement en fin de semaine. Des enquêtes ont été ouvertes pour faire la lumière sur cet accident que pourrait expliquer une défaillance technique.
http://www.lindependant.fr/2016/06/26/saint-cyprien-un-bebe-de-22-mois-et-un-enfant-de-11-ans-blesses-dans-un-accident-de-manege,2220402.php
La maman du bébé, que nous avons joint dimanche soir, raconte : "Nous les regardions. Le premier tour s'est passé normalement. Au deuxième tour, alors qu'ils étaient en haut (environ à 2 mètres de la plateforme du manège, NDLR), l'hélicoptère est tombé subitement, directement au sol. Le forain n'a pas réagi tout de suite. Mon mari a tapé sur la vitre du guichet pour faire stopper le manège. Mais il a parcouru encore au moins un quart de tour avant de s'arrêter. Nous nous sommes précipités vers les enfants, tandis que le forain vérifiait la trappe du bras de l'hélicoptère, puis celle des autres engins. J'ai appelé les policiers pour qu'ils interviennent."
http://www.lindependant.fr/2016/06/26/saint-cyprien-un-bebe-de-22-mois-et-un-enfant-de-11-ans-blesses-dans-un-accident-de-manege,2220402.php
Drôme : deux balles dans la tête
Un homme de 25 ans était dans un état désespéré hier après avoir reçu la veille au soir deux balles dans la tête à Romans-sur-Isère (Drôme) Ce jeune homme était connu des services de police, sans que la thèse du règlement de compte puisse à ce stade être confirmée.
Doubs > D'importants dégâts dus aux inondations. Les violents orages ont causé des dégâts importants dans l'Est notamment dans le Doubs, mais aussi en Haute-Saône, où les crues ont détruit ou endommagé la voirie et inondé des habitations, Dans les 18 départements de l'Est, les pompiers ont effectué quelque 3.500 interventions entre vendredi et dimanche, mobilisant environ 2.000 sapeurs-pompiers.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
dimanche 26 juin 2016
A7 vers Donzère : décès d'un chauffeur poids lourd
Le conducteur d'un camoin frigorifique espagnol a trouvé la mort, samedi soir, sur l' autoroute A7, au niveau de Donzère, dans la Drôme. Pour une raison indéterminée, le poids lourd s'est couché en travers des trois voies de circulation, dans le sens sud-nord, provoquant un important bouchon.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/drome
http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/drome
samedi 25 juin 2016
Dans la nuit de vendredi à samedi, un important incendie a totalement détruit le bâtiment de production de l'entreprise Aptar localisé dans la zone industrielle d'Annecy (Haute-Savoie). L'usine risque d'être à l'arrêt pendant plusieurs mois.
Un violent incendie est survenu dans la nuit de vendredi à samedi dans la zone industrielle d'Annecy. Le sinistre s'est déclenché vers 01h20 dans l'unité de production de l'entreprise Aptar, répertorié site sensible. L'incendie a finalement été circonscrit vers 04h30, sans faire de victimes, a précisé samedi le Codis de Haute-Savoie.
Près d'une centaine de sapeurs-pompiers ont été mobilisés et sept lances déployées. Une cinquantaine d'employés se trouvaient dans le bâtiment incendié et ont pu être rapidement évacués, selon le directeur du site Michel Morin.
L'entreprise Aptar, employant 215 salariés et une cinquantaine d'intérimaires, est spécialisée dans le traitement de surface de l'aluminium, notamment destiné aux emballages pour l'industrie cosmétique. Le bâtiment de stockage attenant à l'unité de production détruite et renfermant les produits dangereux, a pu être protégé des flammes.
vendredi 24 juin 2016
Cadavre retrouvé à Niort : "une mort violente" selon l'autopsie
Découvert enterré mercredi matin dans le jardin d'une maison du centre-ville de Niort, le corps d'un homme a été autopsié par l'institut médico-légal de Poitiers. Les analyses révèlent que les causes de sa mort ne sont pas naturelles, selon un communiqué du Parquet.
Le communiqué de la procureure de la République de Niort, Natacha Rateau, ne laisse aucun doute quant aux circonstances de la mort de l'homme découvert dans le jardin d'une maison du centre-ville de Niort.
La police judiciaire de Poitiers rapproche ce faits divers d'une autre découverte faite en mai 2015. Un cadavre avait été retrouvé lardé de coups de couteaux dans une baignoire, également dans un appartement à Niort. Dans cette affaire, 5 personnes sont en détention provisoire. On les suspecte d'avoir tué ce SDF lors d'une soirée particulièrement arrosée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/niort
Le communiqué de la procureure de la République de Niort, Natacha Rateau, ne laisse aucun doute quant aux circonstances de la mort de l'homme découvert dans le jardin d'une maison du centre-ville de Niort.
Les examens médico-légaux qui se sont déroulés ce jour à l’institut médico-légal de Poitiers ont révélé que la cause de la mort n’était pas naturelle et pouvait être violente."En revanche, la victime n'a toujours pas été identifiée. Ce sera l'un des objectifs de l'enquête confiée par le parquet de Niort qui s'est désaisi au profit du parquet de Poitiers. Le pôle criminel ouvrira dès aujourd'hui une information judiciaire pour les faits d’homicide volontaire. On sait que le corps a été retrouvé dans une maison qui a longtemps été squattée et qui était devenue totalement insalubre au fil des années.
Natacha Rateau
La police judiciaire de Poitiers rapproche ce faits divers d'une autre découverte faite en mai 2015. Un cadavre avait été retrouvé lardé de coups de couteaux dans une baignoire, également dans un appartement à Niort. Dans cette affaire, 5 personnes sont en détention provisoire. On les suspecte d'avoir tué ce SDF lors d'une soirée particulièrement arrosée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/niort
Pyrénées : l'ami du berger fait un malaise, le berger se perd
Les gendarmes secouristes sont intervenus cette nuit pour ramener les deux égarés
La scène s'est déroulée à 1 heure du matin dans la nuit de jeudi à vendredi, non loin du plateau de Dourdins à 1500 m d'altitude. Une personne qui accompagnait un berger sur ce secteur situé sur les hauteurs de Bedous a fait un malaise sur le sentier qui conduit au plateau.
Le berger et son ami étaient alors en route pour la cabane située sur le plateau. Le montagnard prévient les secours et remonte vers la cabane. Mais il perd de vue son ami.
Le brouillard est tombé en même temps que la nuit. Il est 1 h 30 quand trois gendarmes du PGHM d'Oloron partent en formant une patrouille terrestre. Ils finiront par localiser le véhicule au bord de la piste au dessus de Bedous vers 2 heures. Parvenant à retrouver les deux hommes vers 4 heures du matin. Ils ont été conduits sains et saufs vers la cabane.
http://www.sudouest.fr/2016/06/24/pyrenees-l-ami-du-berger-fait-un-malaise-le-berger-se-perd-2412359-4344.php
Le berger et son ami étaient alors en route pour la cabane située sur le plateau. Le montagnard prévient les secours et remonte vers la cabane. Mais il perd de vue son ami.
Le brouillard est tombé en même temps que la nuit. Il est 1 h 30 quand trois gendarmes du PGHM d'Oloron partent en formant une patrouille terrestre. Ils finiront par localiser le véhicule au bord de la piste au dessus de Bedous vers 2 heures. Parvenant à retrouver les deux hommes vers 4 heures du matin. Ils ont été conduits sains et saufs vers la cabane.
http://www.sudouest.fr/2016/06/24/pyrenees-l-ami-du-berger-fait-un-malaise-le-berger-se-perd-2412359-4344.php
Avignon : ils trafiquaient les compteurs de véhicules à la vente
T rois individus, deux Avignonnais de 25 ans et un trentenaire de Saze, trafiquaient les compteurs de véhicules à la vente en baissant leur kilométrage. Ils viennent d'être confondus par les policiers avignonnais.
Le 1er avril l'acheteur d'un véhicule C3 auprès de la société avignonnaise AJ Automobile se rend compte que ce dernier présente 106 000 km de plus que le kilométrage affiché au compteur. Ne parvenant plus à joindre le vendeur qu'il avait auparavant contacté par le biais du site le bon coin, il dépose plainte.
Les investigations établissent que AJ Automobile vend des véhicules qui en moyenne affichent 100 000 kilomètres de moins que le kilométrage constaté lors des derniers contrôles techniques de ces derniers. Le gérant très défavorablement connu ne correspond cependant pas au signalement du vendeur de la C3. L'enquête permet d'établir que c'est un autre individu demeurant à Montfavet qui a effectué cette vente.
Il vend également des déclarations de cession portant le tampon de son auto-entreprise aux deux autres qui s'en servent pour vendre et immatriculer des véhicules dont le kilométrage a été rabaissé et pour lesquels de fausses factures d'entretien sont établies sur le facturier du gérant. Le trafic établi porte sur 16 véhicules. Les deux mis en cause seront convoqués pour les trois pour faux, usage de faux, complicité de ces deux délits, escroquerie le 17 octobre prochain devant un officier de police judiciaire.
http://www.midilibre.fr/2016/06/23/avignon-faux-et-usage-de-faux-escroquerie-sur-des-vehicules,1354217.php
Le kilométrage abaissé de 100 000 km environ
Les deux individus sont placés en garde à vue et l'un d'eux met en cause un troisième individu demeurant sur la commune de Saze comme étant celui qui met en vente les véhicules trafiqués sous le couvert de la société AJ Automobile. Ce dernier est lui aussi placé en garde à vue. Il ressort des investigations que le gérant vend lui-même des véhicules dont il sait le kilométrage abaissé de 100 000 km environ.Il vend également des déclarations de cession portant le tampon de son auto-entreprise aux deux autres qui s'en servent pour vendre et immatriculer des véhicules dont le kilométrage a été rabaissé et pour lesquels de fausses factures d'entretien sont établies sur le facturier du gérant. Le trafic établi porte sur 16 véhicules. Les deux mis en cause seront convoqués pour les trois pour faux, usage de faux, complicité de ces deux délits, escroquerie le 17 octobre prochain devant un officier de police judiciaire.
http://www.midilibre.fr/2016/06/23/avignon-faux-et-usage-de-faux-escroquerie-sur-des-vehicules,1354217.php
mercredi 22 juin 2016
Collision entre deux deltaplanes : un blessé grave évacué à l’hôpital
La préfecture des Hautes-Alpes vient de donner l’information par communiqué. Deux deltaplanes sont entrés en collision ce jour dans le secteur de la commune nouvelle Val Buëch-Méouge dans le secteur du mont des Espranons. Selon nos informations, l’accident a fait deux blessés dont un grave. Ce dernier a été évacué au centre hospitalier de Gap. Il s’agirait de deux ressortissants anglais.
Le plan SATER (Sauvetage aéro-terrestre) a été déclenché. Les secours sont actuellement sur place avec une ambulance, un 4x4 du Service départemental d’incendie et de secours et une patrouille de gendarmerie.
Le Détachement Aérien de la Gendarmerie (DAG) et la Compagnie Républicaine de Sécurité (deux CRS et un médecin) de Briançon sont engagés afin de porter secours aux deux pilotes.
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2016/06/22/collision-entre-deux-deltaplanes-sur-la-commune-de-val-buech-meouge
Le plan SATER (Sauvetage aéro-terrestre) a été déclenché. Les secours sont actuellement sur place avec une ambulance, un 4x4 du Service départemental d’incendie et de secours et une patrouille de gendarmerie.
Le Détachement Aérien de la Gendarmerie (DAG) et la Compagnie Républicaine de Sécurité (deux CRS et un médecin) de Briançon sont engagés afin de porter secours aux deux pilotes.
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2016/06/22/collision-entre-deux-deltaplanes-sur-la-commune-de-val-buech-meouge
Un motard du 1er RCP grièvement blessé dans un accident
Un militaire du 1er RCP a été grièvement blessé au guidon de sa moto, hier, peu après midi, après une violente collision avec un engin agricole appartenant à la société des Autoroutes du Sud de la France (ASF).
Le choc est survenu sur la RD11, à hauteur du croisement entre la route de Belpech et le tronçon menant à la voie rapide.
http://www.ladepeche.fr/communes/pamiers,09225.html
Le choc est survenu sur la RD11, à hauteur du croisement entre la route de Belpech et le tronçon menant à la voie rapide.
http://www.ladepeche.fr/communes/pamiers,09225.html
mardi 21 juin 2016
Soulce-Cernay : nouvelle monstrueuse coulée de boue qui obstrue la RD 437
«Ça ressemble à de l’acharnement. La nature est très en colère. » Olivier Billey, le maire de Soulce-Cernay est, lui, plutôt anéanti. Il pensait voir le bout du tunnel de la saga des glissements de terrain - cinq coulées successives entre le 2 et le 24 février - qui ont grandement perturbé le trafic routier sur cet axe emprunté, entre autres, par les bus scolaires et les travailleurs frontaliers. C’est raté. Les jours et les nuits du maire de ce petit village de 122 âmes ne sont pas près de retrouver la douce quiétude propre à cette vallée verdoyante où coule une rivière. Le Doubs.
Dans la nuit de dimanche à lundi, un nouveau pan du versant montagneux s’est décroché. Un glissement de terrain encore plus spectaculaire « en volume de boue » que celui du 2 février dernier. À quelques mètres du précédent affaissement.
Cette monstrueuse coulée de boue a dévalé la montagne, déraciné les arbres, traversé la Départementale, descendu le coteau, emporté un chalet de bois « comme une coquille de noix » et rejoint le Doubs gonflé par les pluies qui coule en contrebas. La 437 qui relie Vaufrey est ensevelie sous des milliers de mètres cubes de boue, roches et végétaux sur 70 m de long, plus d’un mètre de haut. Une vraie dévastation entre le pan montagneux « pelé », les abords des chalets (résidences secondaires soignées et fleuries) ravagés, la route couverte d’une masse grise gluante. « Ne vous y engagez pas un pied. C’est comme du sable mouvant », prévient un agent communal.
Les pluies quasi incessantes du mois de juin sont sans doute à l’origine de cette coulée de boue plutôt violente puisqu’elle a même emporté dans son sillage les blocs d’enrochement installé par le Département pour sécuriser la route où la circulation se faisait en alternat depuis le mois d’avril, en attendant de trouver une solution financière pour consolider cette montagne présentant des risques évidents pour les 400 usagers qui fréquentent quotidiennement la D437. Le Département a déjà pris « sa part » : 160 000 € de travaux pour dégager les 4000 m³ de gravats liés aux glissements de février et à l’enrochement. Le hasard veut qu’une réunion fût prévue mardi à la sous-préfecture entre la commune de Soulce, l’État et le Département pour coordonner les travaux à venir et déterminer, surtout, qui allait payer la note.
« J’attends beaucoup de cette expertise », confie Olivier Billey qui en a « juste marre de ces glissements de terrain. À la suite d’un petit éboulement sur la 437 entre Vaufrey et Glère, la route est aussi en alternat. Vraiment, je sature. À l’ère de l’informatique, certains pensent qu’on peut tout régler en un clic. Pas vraiment le cas avec une montagne qui s’affaisse… » Pas faux. Au vu de l’ampleur et la répétition du phénomène, l’État va-t-il décréter la catastrophe naturelle ? À tout le moins, ça coule d’eau de… Soulce car il y a péril sur ce bout de macadam qui longe une montagne à Soulce-Cernay.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/06/20/soulce-cernay-la-montagne-se-decroche-nouvelle-monstrueuse-coulee-de-boue
Dans la nuit de dimanche à lundi, un nouveau pan du versant montagneux s’est décroché. Un glissement de terrain encore plus spectaculaire « en volume de boue » que celui du 2 février dernier. À quelques mètres du précédent affaissement.
Cette monstrueuse coulée de boue a dévalé la montagne, déraciné les arbres, traversé la Départementale, descendu le coteau, emporté un chalet de bois « comme une coquille de noix » et rejoint le Doubs gonflé par les pluies qui coule en contrebas. La 437 qui relie Vaufrey est ensevelie sous des milliers de mètres cubes de boue, roches et végétaux sur 70 m de long, plus d’un mètre de haut. Une vraie dévastation entre le pan montagneux « pelé », les abords des chalets (résidences secondaires soignées et fleuries) ravagés, la route couverte d’une masse grise gluante. « Ne vous y engagez pas un pied. C’est comme du sable mouvant », prévient un agent communal.
Au sommet, une faille s’est ouverte sur 150 m
« C’est pire que l’épisode déjà désastreux du 2 février », résume Olivier Billey en enfilant ses bottes qui ne quittent plus le coffre de sa voiture. « Au sommet, une piste forestière a été engloutie. Une faille d’environ 150 m est apparue, ce qui laisse supposer que nous ne sommes pas à l’abri de nouvelles coulées. » Depuis le sommet du versant montagneux, la source du Saint-Laurent suit en cascade la coulée de boue. D’ordinaire, l’eau canalisée passe sous la route. Désormais dessus, pour jeter ses eaux boueuses dans le Doubs.Les pluies quasi incessantes du mois de juin sont sans doute à l’origine de cette coulée de boue plutôt violente puisqu’elle a même emporté dans son sillage les blocs d’enrochement installé par le Département pour sécuriser la route où la circulation se faisait en alternat depuis le mois d’avril, en attendant de trouver une solution financière pour consolider cette montagne présentant des risques évidents pour les 400 usagers qui fréquentent quotidiennement la D437. Le Département a déjà pris « sa part » : 160 000 € de travaux pour dégager les 4000 m³ de gravats liés aux glissements de février et à l’enrochement. Le hasard veut qu’une réunion fût prévue mardi à la sous-préfecture entre la commune de Soulce, l’État et le Département pour coordonner les travaux à venir et déterminer, surtout, qui allait payer la note.
Catastrophe naturelle
La montagne n’a pas attendu qu’on se penche sur son cas pour refaire des siennes. La réunion est pour autant maintenue, tandis qu’un hydrologue est attendu ce mardi sur site pour une expertise technique. En état d’urgence puisque la circulation est à nouveau coupée à Soulce avec la mise en place d’une déviation par Courtefontaine, Indevillers, Chauvilliers et Glère. « Soit un détour de 40 km aller et retour par jour pour aller travailler. Maintenant, ça n’est la faute à personne », lâche, philosophe, Geoffrey, un père de famille de Saint-Hippolyte qui travaille à Delémont. La commune de Saint-Hippolyte est d’ailleurs elle aussi coupée à la circulation. En raison de travaux au centre de la commune.« J’attends beaucoup de cette expertise », confie Olivier Billey qui en a « juste marre de ces glissements de terrain. À la suite d’un petit éboulement sur la 437 entre Vaufrey et Glère, la route est aussi en alternat. Vraiment, je sature. À l’ère de l’informatique, certains pensent qu’on peut tout régler en un clic. Pas vraiment le cas avec une montagne qui s’affaisse… » Pas faux. Au vu de l’ampleur et la répétition du phénomène, l’État va-t-il décréter la catastrophe naturelle ? À tout le moins, ça coule d’eau de… Soulce car il y a péril sur ce bout de macadam qui longe une montagne à Soulce-Cernay.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/06/20/soulce-cernay-la-montagne-se-decroche-nouvelle-monstrueuse-coulee-de-boue
lundi 20 juin 2016
AMIENS Une dame retrouvée morte dans l’incendie
Un incendie s’est déclaré ce lundi à 0 h 37 dans un immeuble de deux étages, au 29 chaussée Jules-Ferry, dans le quartier Saint-Acheul à Amiens, à proximité du lycée Robert-de-Luzarches. En intervenant pour éteindre les flammes, les sapeurs-pompiers ont découvert le cadavre d’une dame, une personne de 60 ans, qui était alitée.
Deux autres personnes vivant dans cet immeuble ont dû être relogées suite à ce sinistre.
http://www.courrier-picard.fr/region/amiens-une-dame-retrouvee-morte-dans-l-incendie-ia201b0n800459
Deux autres personnes vivant dans cet immeuble ont dû être relogées suite à ce sinistre.
http://www.courrier-picard.fr/region/amiens-une-dame-retrouvee-morte-dans-l-incendie-ia201b0n800459
Onze personnes intoxiquées dans l'incendie d'un logement
Un violent incendie s'est déclaré hier matin dans une résidence HLM de la rue d'Empare. Pas de blessé grave mais d'importants dégâts et onze personnes qui ont dû être transportées à l'hôpital par précaution ainsi que trois pompiers.
Un violent incendie d'appartement s'est déclaré pour une raison inconnue hier, au petit matin, dans une résidence HLM située tout au bout de la rue d'Empare en plein centre-ville de Castres. On ne connaît pas la raison exacte de ce sinistre mais les sapeurs-pompiers, à leur arrivée sur les lieux, ont trouvé la porte de l'appartement concerné au premier étage entrouverte et vide de tout occupant.
Un très important dispositif de sécurité a dû être mis en œuvre par les secouristes pour évacuer les onze personnes qui se trouvaient dans les différents logements de l'immeuble tandis qu'une épaisse fumée s'était propagée à tous les étages.
Cinq personnes ont fait l'objet d'un sauvetage c'est-à-dire que sans l'intervention des sapeurs, leurs vies auraient été en danger. Elles ont été évacuées notamment grâce aux deux grandes échelles mises en œuvre. L'ensemble des opérations étaient coordonné par le capitaine Morlan et le chef de groupe castrais, le lieutenant Couzinier, afin de piloter la trentaine de sauveteurs sur place, un médecin, deux infirmières, le SMUR. Car il a tout de même fallu prendre en charge les onze locataires évacués qui avaient tous inhalé des fumées. Tous ont été transportés vers l'hôpital du Pays d'autan pour de simples examens de contrôle. Mais parmi eux, se trouvait une locataire un plus âgée et qui était un peu plus affectée que ses voisins. De même, trois pompiers ayant inhalé de la fumée ont été envoyés à l'hôpital pour y subir un contrôle. Une fois les opérations de secours et de relogement provisoire terminées, les services de police de Castres ont pu commencer leurs premières investigations afin de déterminer les origines du sinistre
http://www.ladepeche.fr/article/2016/06/20/2368984-onze-personnes-intoxiquees-dans-l-incendie-d-un-logement.html
Un très important dispositif de sécurité a dû être mis en œuvre par les secouristes pour évacuer les onze personnes qui se trouvaient dans les différents logements de l'immeuble tandis qu'une épaisse fumée s'était propagée à tous les étages.
Cinq personnes ont fait l'objet d'un sauvetage c'est-à-dire que sans l'intervention des sapeurs, leurs vies auraient été en danger. Elles ont été évacuées notamment grâce aux deux grandes échelles mises en œuvre. L'ensemble des opérations étaient coordonné par le capitaine Morlan et le chef de groupe castrais, le lieutenant Couzinier, afin de piloter la trentaine de sauveteurs sur place, un médecin, deux infirmières, le SMUR. Car il a tout de même fallu prendre en charge les onze locataires évacués qui avaient tous inhalé des fumées. Tous ont été transportés vers l'hôpital du Pays d'autan pour de simples examens de contrôle. Mais parmi eux, se trouvait une locataire un plus âgée et qui était un peu plus affectée que ses voisins. De même, trois pompiers ayant inhalé de la fumée ont été envoyés à l'hôpital pour y subir un contrôle. Une fois les opérations de secours et de relogement provisoire terminées, les services de police de Castres ont pu commencer leurs premières investigations afin de déterminer les origines du sinistre
http://www.ladepeche.fr/article/2016/06/20/2368984-onze-personnes-intoxiquees-dans-l-incendie-d-un-logement.html
dimanche 19 juin 2016
Charron (17) : Un mort dans une collision frontale
Un homme de 21 ans est décédé ce dimanche dans une collision, entre Villedoux et Bourg-Chapon, sur la commune de Charron dans le nord du département de la Charente-Maritime.
Selon nos confrères de Sud-Ouest, une voiture conduite par un jeune conducteur a vraisemblablement mordu le bas-côté et l'automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule. Il a percuté une voiture qui circulait en sens inverse. C'est son passager, un habitant de Vendée, qui est décédé.
Le conducteur de la première voiture et les deux personnes qui se trouvaient dans l'autre voiture ont été hospitalisées, mais a priori elle ne sont pas grièvement blessées.
Elle ont été transportées au Centre hospitalier de La Rochelle.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/
Selon nos confrères de Sud-Ouest, une voiture conduite par un jeune conducteur a vraisemblablement mordu le bas-côté et l'automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule. Il a percuté une voiture qui circulait en sens inverse. C'est son passager, un habitant de Vendée, qui est décédé.
Le conducteur de la première voiture et les deux personnes qui se trouvaient dans l'autre voiture ont été hospitalisées, mais a priori elle ne sont pas grièvement blessées.
Elle ont été transportées au Centre hospitalier de La Rochelle.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/
Lot-et-Garonne : un corps retrouvé dans une voiture incendiée
La voiture était stationnée à Bourlens. La piste criminelle a été écartée
Ce dimanche matin à 5h20, les pompiers ont été appelés pour un véhicule en feu, stationné sur le chemin communal menant à Bourlens, lieu dit Perrissan
À l'intérieur, un corps carbonisé a été retrouvé, sans qu'il soit possible de déterminer l'âge ou le sexe de la victime.
Le propriétaire de la voiture, une Renault Twingo, résiderait dans un village alentour.
L'antenne agenaise de la Section de recherches de la gendarmerie de Bordeaux s'est rendue sur place. Une autopsie du corps devra être pratiqué pour identifiée formellement la victime grâce à son ADN.
La piste criminelle, reste toutefois à ce stade de l'enquête, écartée.
http://www.sudouest.fr/2016/06/19/bourlens-un-corps-retrouve-dans-une-voiture-incendiee-2405894-3900.php
À l'intérieur, un corps carbonisé a été retrouvé, sans qu'il soit possible de déterminer l'âge ou le sexe de la victime.
Le propriétaire de la voiture, une Renault Twingo, résiderait dans un village alentour.
L'antenne agenaise de la Section de recherches de la gendarmerie de Bordeaux s'est rendue sur place. Une autopsie du corps devra être pratiqué pour identifiée formellement la victime grâce à son ADN.
La piste criminelle, reste toutefois à ce stade de l'enquête, écartée.
http://www.sudouest.fr/2016/06/19/bourlens-un-corps-retrouve-dans-une-voiture-incendiee-2405894-3900.php
L'ancien maire de Gaujan se tue contre un arbre
Hier en début d'après-midi, Pierre Mallet, l'ancien maire de Gaujan âgé de 55 ans, a trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu sur sa commune, alors qu'il circulait seul au volant sur la départementale 12. Sa voiture a échappé à son contrôle avant de percuter un arbre. «Il était prudent, on pense qu'il a fait un malaise. Il n'y a pas de traces de freinage sur la chaussée» indique son successeur Noël Planquart. A l'arrivée des secours, le quinquagénaire était décédé. Pierre Mallet, agriculteur, était marié et père de deux enfants.Le drapeau a été mis en berne à la mairie du village et la fête de la musique prévue hier soir a été annulée.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/06/19/2368681-l-ancien-maire-de-gaujan-se-tue-contre-un-arbre.html#GZWzm851WQzJKTKd.99
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samedi 18 juin 2016
Un accident de la route fait un mort et deux blessés graves à Luquet entre Tarbes et Pau
Un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule sur la départementale 817 entre Tarbes et Pau. La voiture a violemment percuté un poteau électrique. Parmi les 3 personnes à bord du véhicule, une femme est décédée et deux autres personnes ont été transportées dans un état grave à l'hôpital
L'accident s'est produit vers 6h30 ce samedi matin sur la commune de Luquet. Le véhicule qui transportait 3 personnes circulait sur la départementale 817 entre Tarbes et Pau. Pour une raison encore inconnue, le conducteur a perdu le contrôle et la voiture est allée percuter un poteau électrique. Une femme est décédée et deux autres personnes (un homme et une femme) ont été transportées dans un état grave en hélicoptère vers l'hopital de Pau et l'hopital Purpan à Toulouse.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/tarbes
L'accident s'est produit vers 6h30 ce samedi matin sur la commune de Luquet. Le véhicule qui transportait 3 personnes circulait sur la départementale 817 entre Tarbes et Pau. Pour une raison encore inconnue, le conducteur a perdu le contrôle et la voiture est allée percuter un poteau électrique. Une femme est décédée et deux autres personnes (un homme et une femme) ont été transportées dans un état grave en hélicoptère vers l'hopital de Pau et l'hopital Purpan à Toulouse.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/tarbes
Un bébé tigre abandonné en Seine-Saint-Denis
La rumeur circulait depuis plusieurs jours, un bébé tigre était caché à Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis : moyennant quelques euros, des jeunes se prenaient en photo avec le félin, dont la présence a inquiété pendant plusieurs jours les policiers, partis à sa recherche.
Une fois les forces de l'ordre sur la piste du félin, il a été abandonné par son ou ses propriétaires, trouvé par des particuliers, et finalement transporté samedi dans un refuge de la Loire.
"Courant juin", les policiers trouvent sur le portable d'une personne placée en garde à vue dans une affaire de stupéfiants, des "vidéos montrant des jeunes de la cité des Boute-en-train avec un bébé tigre", explique le parquet de Bobigny dans un communiqué. Des photos circulent également sur les réseaux sociaux. "Des jeunes dealers s'amusaient à se prendre en photo" avec le tigre, explique un policier, selon lequel le selfie se monnayait "autour de cinq euros".
La police interpelle l'utilisatrice d'un compte Facebook sur lequel figurent des photos du félin et de sa soeur. "Les auditions et perquisitions ne permettant pas de localiser l'animal, les deux jeunes femmes étaient remises en liberté", relate le parquet.
Mais ces interpellations suscitent apparemment un "effet de panique", note le policier, et le tigre est abandonné.
Il est retrouvé le 14 juin à une dizaine de kilomètres à l'est de Saint-Ouen, à Noisy-le-Sec, "au bord de la route", selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), par des "personnes (qui) ont contacté plusieurs associations de protection de la nature qui ont ensuite contacté les services de l'ONCFS".
Le félin, une tigresse âgée d'environ trois mois, est en "très bonne santé", a précisé à l'AFP Eric Hansen, un responsable de l'ONCFS pour les régions Centre et Ile-de-France.
Il a été confié vendredi soir à l'association Tonga terre d'accueil, qui recueille des primates et des félins à Saint-Martin-la-Plaine, dans la Loire. L'animal est arrivé samedi midi dans ce centre, qui héberge 17 autres félins. "Cette petite tigresse sera installée entre deux tigresses adultes", afin de voir "avec laquelle elle s'entendra pour vivre en société", a dit à l'AFP le président de l'association, Pierre Thivillon.
Dans un communiqué, l'ONCFS - qui rappelle que "la détention des félins est interdite pour des particuliers, ces animaux pouvant être particulièrement dangereux lorsqu'ils arrivent à l'âge adulte" - note qu'il s'agit du "septième grand félin (trois lions et quatre tigres) en trois ans que les agents ONCFS découvrent chez des particuliers dans les régions Centre et Ile-de-France".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Une fois les forces de l'ordre sur la piste du félin, il a été abandonné par son ou ses propriétaires, trouvé par des particuliers, et finalement transporté samedi dans un refuge de la Loire.
"Courant juin", les policiers trouvent sur le portable d'une personne placée en garde à vue dans une affaire de stupéfiants, des "vidéos montrant des jeunes de la cité des Boute-en-train avec un bébé tigre", explique le parquet de Bobigny dans un communiqué. Des photos circulent également sur les réseaux sociaux. "Des jeunes dealers s'amusaient à se prendre en photo" avec le tigre, explique un policier, selon lequel le selfie se monnayait "autour de cinq euros".
La police interpelle l'utilisatrice d'un compte Facebook sur lequel figurent des photos du félin et de sa soeur. "Les auditions et perquisitions ne permettant pas de localiser l'animal, les deux jeunes femmes étaient remises en liberté", relate le parquet.
Mais ces interpellations suscitent apparemment un "effet de panique", note le policier, et le tigre est abandonné.
Il est retrouvé le 14 juin à une dizaine de kilomètres à l'est de Saint-Ouen, à Noisy-le-Sec, "au bord de la route", selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), par des "personnes (qui) ont contacté plusieurs associations de protection de la nature qui ont ensuite contacté les services de l'ONCFS".
Le félin, une tigresse âgée d'environ trois mois, est en "très bonne santé", a précisé à l'AFP Eric Hansen, un responsable de l'ONCFS pour les régions Centre et Ile-de-France.
Il a été confié vendredi soir à l'association Tonga terre d'accueil, qui recueille des primates et des félins à Saint-Martin-la-Plaine, dans la Loire. L'animal est arrivé samedi midi dans ce centre, qui héberge 17 autres félins. "Cette petite tigresse sera installée entre deux tigresses adultes", afin de voir "avec laquelle elle s'entendra pour vivre en société", a dit à l'AFP le président de l'association, Pierre Thivillon.
Dans un communiqué, l'ONCFS - qui rappelle que "la détention des félins est interdite pour des particuliers, ces animaux pouvant être particulièrement dangereux lorsqu'ils arrivent à l'âge adulte" - note qu'il s'agit du "septième grand félin (trois lions et quatre tigres) en trois ans que les agents ONCFS découvrent chez des particuliers dans les régions Centre et Ile-de-France".
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Meurtre de Kherroubi : le mystère de la seconde victime
Un homme d'une trentaine d'années blessé d'une balle dans le dos est toujours hospitalisé. Les enquêteurs s'interrogent sur les liens éventuels entre ces blessures et l'exécution de Miloud Kherroubi, cité Amouroux.
Alors que l'enquête sur l'exécution de Miloud Kherroubi, 40 ans, ne fait que commencer, une seconde affaire intrigue les enquêteurs du SRPJ en charge de l'assassinat de l'ex- chanteur de raï
Abattu d'une balle dans la tête par un commando armé, mercredi vers 1h45 du matin, au bar «Le Tout va bien», cité Amouroux, à Toulouse, Miloud Kherroubi avait-il un lien avec une seconde victime, un homme d'une trentaine d'années grièvement blessé d'une balle dans le dos cette même nuit ? Les circonstances de son agression restent toujours aussi mystérieuses. Cet homme se trouve toujours à l'hôpital Purpan plongé dans un coma artificiel. Dans la nuit de mardi à mercredi, après l'attaque dans le bar et l'assaut sur Kherroubi, les policiers se rendent au CHU et découvrent qu'une seconde victime vient d'être admise aux urgences, grièvement blessée par balle. Cette personne dirigée vers le bloc opératoire aurait été accompagnée à l'hôpital par des proches après une rixe qui aurait eu lieu, en haut de la rue du Faubourg-Bonnefoy, à quelques encablures du bar «Le Tout va bien». Curieuse coïncidence. Les enquêteurs du SRPJ s'interrogent sur un éventuel lien entre les blessures de cet homme et l'assassinat de Miloud Kherroubi. Mais à ce jour, aucun rapprochement formel n'a été établi. Et la prudence est de mise. Même si la concomitance de ces faits violents à de quoi surprendre, les enquêteurs ne privilégient aucun scénario. Reste que deux enquêtes distinctes sont ouvertes. Lors de ces dernières heures, les clients du bar ont été entendus par les enquêteurs. «Mon père est terriblement choqué, témoigne Mohamed Boualem, fils du gérant de l'établissement. Son bar est aujourd'hui fermé et il vient de perdre un ami sauvagement assassiné. Miloud Kherroubi fréquentait régulièrement cet établissement et avant d'être abattu il se trouvait attablé au fond de la salle. Peut-être s'est-il embrouillé avec quelqu'un...», s'interroge Mohamed. Des questions toujours sans réponse.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Abattu d'une balle dans la tête par un commando armé, mercredi vers 1h45 du matin, au bar «Le Tout va bien», cité Amouroux, à Toulouse, Miloud Kherroubi avait-il un lien avec une seconde victime, un homme d'une trentaine d'années grièvement blessé d'une balle dans le dos cette même nuit ? Les circonstances de son agression restent toujours aussi mystérieuses. Cet homme se trouve toujours à l'hôpital Purpan plongé dans un coma artificiel. Dans la nuit de mardi à mercredi, après l'attaque dans le bar et l'assaut sur Kherroubi, les policiers se rendent au CHU et découvrent qu'une seconde victime vient d'être admise aux urgences, grièvement blessée par balle. Cette personne dirigée vers le bloc opératoire aurait été accompagnée à l'hôpital par des proches après une rixe qui aurait eu lieu, en haut de la rue du Faubourg-Bonnefoy, à quelques encablures du bar «Le Tout va bien». Curieuse coïncidence. Les enquêteurs du SRPJ s'interrogent sur un éventuel lien entre les blessures de cet homme et l'assassinat de Miloud Kherroubi. Mais à ce jour, aucun rapprochement formel n'a été établi. Et la prudence est de mise. Même si la concomitance de ces faits violents à de quoi surprendre, les enquêteurs ne privilégient aucun scénario. Reste que deux enquêtes distinctes sont ouvertes. Lors de ces dernières heures, les clients du bar ont été entendus par les enquêteurs. «Mon père est terriblement choqué, témoigne Mohamed Boualem, fils du gérant de l'établissement. Son bar est aujourd'hui fermé et il vient de perdre un ami sauvagement assassiné. Miloud Kherroubi fréquentait régulièrement cet établissement et avant d'être abattu il se trouvait attablé au fond de la salle. Peut-être s'est-il embrouillé avec quelqu'un...», s'interroge Mohamed. Des questions toujours sans réponse.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
vendredi 17 juin 2016
Paris : attaqué à l’arme semi-automatique à son domicile
C’est une attaque à main armée particulièrement violente dont a été victime, jeudi, un habitant de la rue Franqueville, dans le XVIe arrondissement.
En plein après-midi, un inconnu sonne à l’interphone de ce trentenaire, manager dans un groupe international de matériel médical. Il explique qu’il a un colis à lui remettre.
La victime ne se méfie pas, invite le faux livreur à monter au cinquième étage. Au moment où il ouvre la porte, deux hommes casqués et gantés surgissent, armés de ce qui ressemble à un pistolet semi-automatique 9 mm, et s’en prennent au jeune cadre qui va tenter, en vain, de se défendre.
50 000 € de montres volées
Frappée à plusieurs reprises à la tête, la victime s’écroule. Là, les agresseurs tentent de le ligoter avec une de ses ceintures, avant de lui demander où se trouvent ses objets de valeurs. Le jeune homme va leur montrer un coffre-fort, dont la porte a été démontée, suite à l’intervention d’un serrurier un peu plus tôt dans la semaine.
Après l’attaque, la victime, qui présentait une plaie sanglante au niveau du crâne, a appelé à l’aide par la fenêtre. Ce sont deux officiers affectés à une annexe voisine de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) qui lui ont porté assistance, avant l’arrivée des secours. Une enquête est en cours.
http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/
En plein après-midi, un inconnu sonne à l’interphone de ce trentenaire, manager dans un groupe international de matériel médical. Il explique qu’il a un colis à lui remettre.
La victime ne se méfie pas, invite le faux livreur à monter au cinquième étage. Au moment où il ouvre la porte, deux hommes casqués et gantés surgissent, armés de ce qui ressemble à un pistolet semi-automatique 9 mm, et s’en prennent au jeune cadre qui va tenter, en vain, de se défendre.
50 000 € de montres volées
Frappée à plusieurs reprises à la tête, la victime s’écroule. Là, les agresseurs tentent de le ligoter avec une de ses ceintures, avant de lui demander où se trouvent ses objets de valeurs. Le jeune homme va leur montrer un coffre-fort, dont la porte a été démontée, suite à l’intervention d’un serrurier un peu plus tôt dans la semaine.
Après l’attaque, la victime, qui présentait une plaie sanglante au niveau du crâne, a appelé à l’aide par la fenêtre. Ce sont deux officiers affectés à une annexe voisine de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) qui lui ont porté assistance, avant l’arrivée des secours. Une enquête est en cours.
http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/
Maromme (Seine-Maritime) : il invente une agression à main armée
La nuit dernière à 23 heures, un homme de 32 ans alerte la police. Il a été, affirme-t-il, victime d’une agression à main armée à Maromme.
Un piéton se serait posté devant sa voiture pour qu’il s’arrête, alors qu’il circulait avec son frère âgé de 29 ans, rue de la République.
Un second individu aurait alors surgi et l’aurait violemment éjecté de son véhicule sous la menace d’une arme de poing.
Selon le conducteur, son frère et lui seraient restés sur la chaussée alors que les deux individus s’enfuyaient avec la voiture.
La police alertée, retrouvait un peu plus tard le véhicule encastré dans une voiture en stationnement.
L’enquête pour retrouver les agresseurs était confiée à la Sûreté départementales. Interrogé, l’automobiliste maintenait ses déclarations. Mais devant les nombreuses incohérences dans la narration des faits, il finissait par reconnaître dans la journée de jeudi, avoir inventé toute l’histoire. Son frère qui a également été entendu, a confirmé qu’il n’y avait jamais eu d’agression.
Selon les enquêteurs, le conducteur a tout simplement perdu le contrôle de son véhicule. Afin de se soustraire à ses responsabilités, il a eu l’idée d’inventer cette agression et le vol de son véhicule.
Placé en garde à vue et sera poursuivi pour « dénonciation d’un crime imaginaire et délit de fuite ».
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen
Un piéton se serait posté devant sa voiture pour qu’il s’arrête, alors qu’il circulait avec son frère âgé de 29 ans, rue de la République.
Un second individu aurait alors surgi et l’aurait violemment éjecté de son véhicule sous la menace d’une arme de poing.
Selon le conducteur, son frère et lui seraient restés sur la chaussée alors que les deux individus s’enfuyaient avec la voiture.
La police alertée, retrouvait un peu plus tard le véhicule encastré dans une voiture en stationnement.
Dénonciation mensongère
L’enquête pour retrouver les agresseurs était confiée à la Sûreté départementales. Interrogé, l’automobiliste maintenait ses déclarations. Mais devant les nombreuses incohérences dans la narration des faits, il finissait par reconnaître dans la journée de jeudi, avoir inventé toute l’histoire. Son frère qui a également été entendu, a confirmé qu’il n’y avait jamais eu d’agression.Selon les enquêteurs, le conducteur a tout simplement perdu le contrôle de son véhicule. Afin de se soustraire à ses responsabilités, il a eu l’idée d’inventer cette agression et le vol de son véhicule.
Placé en garde à vue et sera poursuivi pour « dénonciation d’un crime imaginaire et délit de fuite ».
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen
Toulouse : un jeune converti préparait une attaque terroriste à Carcassonne
Un homme de 22 ans arrêté par les enquêteurs de la DGSI lundi soir en gare de Carcassonne est en garde à vue à Toulouse pour "association de malfaiteurs en vue de préparer un acte de terrorisme". Fiché S, ce suspect domicilié à L’Isle-sur-Tarn (81) et originaire de Lunel (Hérault) a été interpellé en possession d’un couteau et d’une machette. Il aurait reconnu vouloir s’attaquer à des touristes américains et anglais avant de projeter un attentat contre les forces de l’ordre, policiers et militaires. Cet homme s’est converti à l’islam en 2014 et se serait radicalisé très vite sur internet et via des forums de discussion. Sa garde à vue peut durer jusqu’à 96 heures. A l’issue de ses auditions, il pourrait être présenté devant le parquet antiterroriste, à Paris.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Tribunal de Vesoul : le bracelet électronique lui grattait la cheville
Quand le grand jeune homme se présente à la barre, il suscite l’étonnement des magistrats et du public. « Je suis pressé, le travail m’attend », explique-t-il pour justifier qu’il se présente à la barre du tribunal de Vesoul en complète tenue d’électricien.
Condamné à l’automne 2015 à trois mois de prison ferme pour conduite sous l’emprise de stupéfiants, l’homme avait bénéficié d’un aménagement de peine pour lui permettre d’exercer son activité professionnelle. À l’époque, il était technicien de maintenance dans une entreprise de la région grayloise. « J’ai été appelé sur une panne. J’étais stressé, sous la pression de l’arrêt de la production », souligne-t-il. « Je n’arrivais pas à me concentrer, ça me grattait ! » Pour être à l’aise dans son intervention, il avait donc neutralisé son bracelet électronique à l’aide d’une pince coupante. « Il me restait dix jours pour arriver à la fin du contrôle », regrette l’intéressé, âgé de 28 ans, qui peut compter sur le soutien indéfectible de son papa adoptif.
« La justice vous tend une dernière fois la main », a insisté Gabi Bouyssou, substitut du procureur, à l’intention du prévenu qui a été condamné à 100 jours-amendes à cinq euros.
http://www.estrepublicain.fr/
Condamné à l’automne 2015 à trois mois de prison ferme pour conduite sous l’emprise de stupéfiants, l’homme avait bénéficié d’un aménagement de peine pour lui permettre d’exercer son activité professionnelle. À l’époque, il était technicien de maintenance dans une entreprise de la région grayloise. « J’ai été appelé sur une panne. J’étais stressé, sous la pression de l’arrêt de la production », souligne-t-il. « Je n’arrivais pas à me concentrer, ça me grattait ! » Pour être à l’aise dans son intervention, il avait donc neutralisé son bracelet électronique à l’aide d’une pince coupante. « Il me restait dix jours pour arriver à la fin du contrôle », regrette l’intéressé, âgé de 28 ans, qui peut compter sur le soutien indéfectible de son papa adoptif.
« La justice vous tend une dernière fois la main », a insisté Gabi Bouyssou, substitut du procureur, à l’intention du prévenu qui a été condamné à 100 jours-amendes à cinq euros.
http://www.estrepublicain.fr/
jeudi 16 juin 2016
Une jeune femme de 20 ans gravement blessée dans un accident de la route à Saint-Gingolph en Haute-Savoie
Un grave accident s’est produit sur la commune de Saint-Gingolph ce mercredi après-midi, aux alentours de 17h30. Trois véhicules sont entrés en collision et cinq personnes ont été impliquées: une jeune femme de 20 ans transportée en urgence au centre hospitalier de Thonon, ainsi que deux hommes de 49 et 35 ans et deux enfants de 6 et 11 ans, blessés légers.
La D1005 sur laquelle s’est produit l’accident a été coupée à la circulation.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie
La D1005 sur laquelle s’est produit l’accident a été coupée à la circulation.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie
Meurtre/Val-d'Oise: le suspect interpellé en Espagne
Un homme de 30 ans, suspecté d'avoir tué un jeune homme d'une balle dans la tête fin mai à Ezanville (Val-d'Oise), été interpellé vendredi dans le sud de l'Espagne. Les faits remontent au matin du samedi 28 mai : à l'issue d'une nuit de fête très arrosée, un petit groupe "qui trafique dans les stupéfiants" se retrouve dans un appartement de cette commune d'environ 10.000 habitants, située une vingtaine de kilomètres au nord de Paris.
Là, selon une source proche de l'enquête, se noue "un différend" entre le locataire de l'appartement, l'homme interpellé à Algésiras alors qu'il tentait de se rendre au Maroc avec de faux papiers, et un jeune homme de 25 ans. "On penche vers une thèse accidentelle : ils jouent, chahutent, et le coup de feu part", selon cette source. Le jeune homme meurt, atteint d'une balle dans la tête. Une troisième personne, témoin des faits, "alerte des camarades, qui préviennent les secours et les gendarmes", selon le parquet. L'auteur présumé prend la fuite.
Deux semaines plus tard, ce suspect "très connu des services de police" (violences volontaires, vol aggravé, stupéfiants...) qui a fait l'objet d'une fiche internationale de signalement, est interpellé par les autorités espagnoles. "Il est toujours en Espagne, et sera ramené prochainement en France dans le cadre d'un mandat d'arrêt européen", a indiqué Yves Jannier, procureur de Pontoise.
L'enquête avait été confiée aux gendarmes de la Section de recherches (SR) de Versailles
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Là, selon une source proche de l'enquête, se noue "un différend" entre le locataire de l'appartement, l'homme interpellé à Algésiras alors qu'il tentait de se rendre au Maroc avec de faux papiers, et un jeune homme de 25 ans. "On penche vers une thèse accidentelle : ils jouent, chahutent, et le coup de feu part", selon cette source. Le jeune homme meurt, atteint d'une balle dans la tête. Une troisième personne, témoin des faits, "alerte des camarades, qui préviennent les secours et les gendarmes", selon le parquet. L'auteur présumé prend la fuite.
Deux semaines plus tard, ce suspect "très connu des services de police" (violences volontaires, vol aggravé, stupéfiants...) qui a fait l'objet d'une fiche internationale de signalement, est interpellé par les autorités espagnoles. "Il est toujours en Espagne, et sera ramené prochainement en France dans le cadre d'un mandat d'arrêt européen", a indiqué Yves Jannier, procureur de Pontoise.
L'enquête avait été confiée aux gendarmes de la Section de recherches (SR) de Versailles
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Un homme tué par balles dans les quartiers nord de Marseille
Un homme de 23 ans a été abattu mercredi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille. La victime a été ciblée par un tir en rafale de kalachnikov, indiquent nos confrères de BFM TV. Des témoins affirment que les tueurs ont pris la fuite sur un deux-roues et à bord d'une voiture.
Le jeune homme tué était peu connu des services de police. Il pourrait s'agir du 13e homicide lié à des règlements de comptes dans les Bouches-du-Rhône, le 12e à Marseille, depuis le début de l'année.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/06/16/un-homme-tue-par-balles-dans-les-quartiers-nord-de-marseille
Le jeune homme tué était peu connu des services de police. Il pourrait s'agir du 13e homicide lié à des règlements de comptes dans les Bouches-du-Rhône, le 12e à Marseille, depuis le début de l'année.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/06/16/un-homme-tue-par-balles-dans-les-quartiers-nord-de-marseille
mercredi 15 juin 2016
Agen : le braqueur du supermarché U Express condamné à deux ans de prison ferme
Le jugement est tombé ce mercredi midi. L'homme qui comparaissait devant le tribunal d'Agen pour vol avec violence avec préméditation et transport d'arme a été condamné à 4 ans de prison, dont deux ferme et mise à l'épreuve.
Le procès, en comparution immédiate, de l'homme accusé d'avoir braqué un supermarché, samedi, à Agen, a eu lieu ce mercredi matin. L'homme de 29 ans est arrivé en métropole, à la mi-avril, pour suivre une formation. "Je n'avais rien prémédité. J'avais acheté une carabine pour me défendre", a assuré le prévenu qui possède, par ailleurs, un casier judiciaire vierge.
Devant l'examen des bandes de vidéosurveillance - où l'on voit l'homme pointer son arme sur les deux caissiers - le président du tribunal éprouve toutes les difficultés à obtenir des réponses.
Samedi dernier, l'homme avait fait irruption dans le supermarché U Express, rue Roland-Goumy, muni d'une arme avant d'exiger le contenu de la caisse à une première employée. Puis, devant sa fuite, le braqueur s'était alors dirigé vers son collègue et s'était fait remettre 400 euros. L'individu avait été rapidement interpellé par les policiers agenais.
http://www.sudouest.fr/2016/06/15/agen-le-proces-du-braqueur-presume-du-supermache-u-express-s-est-ouvert-2401475-3603.php
Devant l'examen des bandes de vidéosurveillance - où l'on voit l'homme pointer son arme sur les deux caissiers - le président du tribunal éprouve toutes les difficultés à obtenir des réponses.
"Une personne inquiétante"
Le procureur - qui a requis 3 ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l'épreuve - a notamment déclaré que cet individu était "une personne particulièrement inquiétante, déterminée mais qui n'arrive pas à se maîtriser". La cour est allée, finalement, au-delà en condamnant l'homme à deux ans de prison ferme, deux ans avec sursis et mise à l'épreuve.Samedi dernier, l'homme avait fait irruption dans le supermarché U Express, rue Roland-Goumy, muni d'une arme avant d'exiger le contenu de la caisse à une première employée. Puis, devant sa fuite, le braqueur s'était alors dirigé vers son collègue et s'était fait remettre 400 euros. L'individu avait été rapidement interpellé par les policiers agenais.
http://www.sudouest.fr/2016/06/15/agen-le-proces-du-braqueur-presume-du-supermache-u-express-s-est-ouvert-2401475-3603.php
Le voleur à la roulotte récidiviste écope de 6 mois de prison ferme
Mardi, un Carcassonnais a été jugé pour cinq vols à la roulotte et deux tentatives, à Villesèquelande, Villepinte, Bram, Arzens et Raissac-sur-Lampy.
S'il n'a pas voulu donner le nom de ses deux complices lors de sa garde à vue, il n'a pas non plus daigné être présent au palais de justice, mardi. C'est donc par défaut que Mathias G., âgé de 28 ans, a été jugé pour cinq vols à la roulotte, ainsi que deux tentatives. Des faits commis à Bram dans la nuit du 3 au 4 janvier dernier. Mais aussi à Arzens, Raissac-sur-Lampy, Villesèquelande, Villepinte et Bram au cours de la nuit qui a suivi.
Au regard de la personnalité de Mathias G., un an de prison ferme a été requis à son encontre par le représentant du ministère public. Le tribunal, pour sa part, a trouvé bon de peser le pour et le contre. Avant de finir par prononcer une peine de 6 mois de prison ferme, dont il a été dit qu'elle n'avait pas lieu à être aménagée.
http://www.lindependant.fr/2016/06/15/le-voleur-a-la-roulotte-recidiviste-ecope-de-6-mois-de-prison-ferme,2214502.php
S'il n'a pas voulu donner le nom de ses deux complices lors de sa garde à vue, il n'a pas non plus daigné être présent au palais de justice, mardi. C'est donc par défaut que Mathias G., âgé de 28 ans, a été jugé pour cinq vols à la roulotte, ainsi que deux tentatives. Des faits commis à Bram dans la nuit du 3 au 4 janvier dernier. Mais aussi à Arzens, Raissac-sur-Lampy, Villesèquelande, Villepinte et Bram au cours de la nuit qui a suivi.
Les portières côté conducteur pliées
Très vite, les gendarmes vont constater la similitude du mode opératoire utilisé par le prévenu, qui plie systématiquement la portière du côté conducteur pour voler ce qui se trouve dans les voitures (clés USB, autoradio, portables, sac à main, enceintes acoustiques)... Mais ils vont surtout remonter assez rapidement au prévenu, grâce à la Peugeot 106 de couleur bleu foncé qu'il a utilisée avec deux complices pour écumer les villages. Un véhicule vu par plusieurs témoins sur les lieux de vols. C'est ainsi que le 18 janvier dernier, les gendarmes se sont rendus au domicile bramais du prévenu, où près de 10 g d'herbe de cannabis ont été saisis... Avec la procédure incidente qui va avec.
Mardi, selon les éléments livrés par la présidente Céline Fleury, le prévenu a reconnu plus ou moins les faits, si ce n'est deux vols. Sans profession, son casier judiciaire fait état de deux condamnations, dont la dernière a été prononcée le 15 mars dernier, pour des faits de violences conjugales.
Un an ferme requis
Mardi, lors de son intervention, le vice-procureur Laurent Couderc n'a pas manqué de saluer le bon esprit des sept victimes, "qui ne sont pas ici pour battre monnaie, malgré les dégradations systématiques qui ont précédé les vols". Et de relever la "persévérance" du prévenu dans une même nuit et des lieux différents. "Il a de la suite dans les idées. On recherche des objets à voler, et quand on ne trouve rien, on passe à côté..." Au regard de la personnalité de Mathias G., un an de prison ferme a été requis à son encontre par le représentant du ministère public. Le tribunal, pour sa part, a trouvé bon de peser le pour et le contre. Avant de finir par prononcer une peine de 6 mois de prison ferme, dont il a été dit qu'elle n'avait pas lieu à être aménagée.
http://www.lindependant.fr/2016/06/15/le-voleur-a-la-roulotte-recidiviste-ecope-de-6-mois-de-prison-ferme,2214502.php
mardi 14 juin 2016
Côte-d'Or : une retraitée de 67 ans a été tuée à Talant
Vers 22h20, ce dimanche 12 juin 2016, à Talant, la police a envoyé une patrouille a découvert une femme de 67 ans allongée sur le sol du garage. Son corps présentait des traces importantes de violence. Les forces de l'ordre avaient été prévenues d'une altercation en cours entre deux personnes. Malgré l'arrivée rapide des secours et les soins prodigués, la victime devait décéder vers 23 heures.
Sur les indications de deux témoins, un homme de 75 ans, qui se trouvait à proximité des lieux, a été interpellé. Il tentait de fuire. Au lendemain du drame, il se trouvait toujours en garde à vue en milieu de journée.
Le corps de la victime, qui devait être autopsié aujourd'hui, présentait les traces de "plusieurs coups faits avec un marteau et un couteau", selon la procureure. D'après les premières déclarations, le suspect entretenait avec la victime un "contentieux financier depuis plusieurs années" autour d'un prêt non-remboursé, a-t-elle précisé.http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/dijon/cote-d-or-une-retraitee-de-67-ans-ete-tuee-talant-1022539.html
Sur les indications de deux témoins, un homme de 75 ans, qui se trouvait à proximité des lieux, a été interpellé. Il tentait de fuire. Au lendemain du drame, il se trouvait toujours en garde à vue en milieu de journée.
Le corps de la victime, qui devait être autopsié aujourd'hui, présentait les traces de "plusieurs coups faits avec un marteau et un couteau", selon la procureure. D'après les premières déclarations, le suspect entretenait avec la victime un "contentieux financier depuis plusieurs années" autour d'un prêt non-remboursé, a-t-elle précisé.http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/dijon/cote-d-or-une-retraitee-de-67-ans-ete-tuee-talant-1022539.html
lundi 13 juin 2016
Femme atteinte de quatre balles : deux hommes en garde à vue
Un drame s’est produit ce matin à 7 heures dans le quartier de Songy à Sciez. Un homme a tiré à quatre reprises sur son ex-compagne, la blessant grièvement.
Les faits se sont produits au domicile de la victime, laquelle avait déjà déposé plainte à plusieurs reprises à la gendarmerie pour violences conjugales. Le couple s’était installé il y a trois ans à Sciez.
La victime a été transportée d’urgence au centre hospitalier d’Annecy. Son pronostic vital était engagé.
Échange de coups de feu entre l'ex-compagnon et le nouveau compagnon de la femme ciblée
Deux hommes ont été placés en garde à vue par les gendarmes de Thonon-les-Bains. Le premier, l'ex-compagnon de la victime est soupçonné de l'avoir blessée grièvement en lui tirant quatre balles. Un second individu a également été interpellé. Il s'agit du nouveau compagnon de la sexagénaire. Pour la défendre, celui-ci se serait saisi d'une arme. Plusieurs échanges de coups de feu auraient eu lieu entre les deux hommes.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie
Les faits se sont produits au domicile de la victime, laquelle avait déjà déposé plainte à plusieurs reprises à la gendarmerie pour violences conjugales. Le couple s’était installé il y a trois ans à Sciez.
La victime a été transportée d’urgence au centre hospitalier d’Annecy. Son pronostic vital était engagé.
Échange de coups de feu entre l'ex-compagnon et le nouveau compagnon de la femme ciblée
Deux hommes ont été placés en garde à vue par les gendarmes de Thonon-les-Bains. Le premier, l'ex-compagnon de la victime est soupçonné de l'avoir blessée grièvement en lui tirant quatre balles. Un second individu a également été interpellé. Il s'agit du nouveau compagnon de la sexagénaire. Pour la défendre, celui-ci se serait saisi d'une arme. Plusieurs échanges de coups de feu auraient eu lieu entre les deux hommes.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie
Côte-d'Or : une retraitée de 67 ans a été tuée à Talant
Vers 22h20, ce dimanche 12 juin 2016, à Talant, la police a envoyé une patrouille a découvert une femme de 67 ans allongée sur le sol du garage. Son corps présentait des traces importantes de violence. Les forces de l'ordre avaient été prévenues d'une altercation en cours entre deux personnes. Malgré l'arrivée rapide des secours et les soins prodigués, la victime devait décéder vers 23 heures.
Sur les indications de deux témoins, un homme de 75 ans, qui se trouvait à proximité des lieux, a été interpellé. Il tentait de fuire. Au lendemain du drame, il se trouvait toujours en garde à vue en milieu de journée.
Le corps de la victime, qui devait être autopsié aujourd'hui, présentait les traces de "plusieurs coups faits avec un marteau et un couteau", selon la procureure. D'après les premières déclarations, le suspect entretenait avec la victime un "contentieux financier depuis plusieurs années" autour d'un prêt non-remboursé, a-t-elle précisé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/dijon
Sur les indications de deux témoins, un homme de 75 ans, qui se trouvait à proximité des lieux, a été interpellé. Il tentait de fuire. Au lendemain du drame, il se trouvait toujours en garde à vue en milieu de journée.
Le corps de la victime, qui devait être autopsié aujourd'hui, présentait les traces de "plusieurs coups faits avec un marteau et un couteau", selon la procureure. D'après les premières déclarations, le suspect entretenait avec la victime un "contentieux financier depuis plusieurs années" autour d'un prêt non-remboursé, a-t-elle précisé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/dijon
dimanche 12 juin 2016
La tyrolienne était défectueuse, la maîtresse déguisée en Mary Poppins chute de 5 mètres
Ça devait être le clou du spectacle de la kermesse de l’école Paul-Doumer, qui se tenait ce samedi, place de la mairie. L’arrivée d’une enseignante, déguisée en Mary Poppins, à tyrolienne. Sous les applaudissements de près de 200 élèves et de leurs parents. Les paillettes plein les mirettes…
Sauf que la tyrolienne était défaillante. Et que le parapluie de Mary Poppins, censé être un parachute magique, n’a pas pris le relais comme chez Disney.
Alors que l’enseignante, âgée de 38 ans, testait son entrée, en tout début d’après-midi, à quelques heures du show, elle a chuté d’une hauteur de 5 mètres environ.
Blessée aux vertèbres, elle a été conduite au Centre hospitalier Princesse-Grace.
Un défaut de montage serait en cause. Entendu au commissariat de Menton ce samedi après-midi, le technicien a reconnu avoir oublié un mécanisme dans l’installation de la tyrolienne, démontée suite à l’accident.
Quant à la kermesse, elle a pu se poursuivre. Mais avec un peu moins de magie…
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
Sauf que la tyrolienne était défaillante. Et que le parapluie de Mary Poppins, censé être un parachute magique, n’a pas pris le relais comme chez Disney.
Alors que l’enseignante, âgée de 38 ans, testait son entrée, en tout début d’après-midi, à quelques heures du show, elle a chuté d’une hauteur de 5 mètres environ.
Blessée aux vertèbres, elle a été conduite au Centre hospitalier Princesse-Grace.
Un défaut de montage serait en cause. Entendu au commissariat de Menton ce samedi après-midi, le technicien a reconnu avoir oublié un mécanisme dans l’installation de la tyrolienne, démontée suite à l’accident.
Quant à la kermesse, elle a pu se poursuivre. Mais avec un peu moins de magie…
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
samedi 11 juin 2016
Saint-Malo : une personne percutée par un TER. Trafic SNCF perturbé deux heures
Ce samedi matin, une personne a été percutée par un TER à 6h50 à la sortie de Saint-Malo. Le trafic sur la ligne Saint-Malo - Rennes a été perturbé deux heures.
Il était 6h50 lorsque le TER a percuté une personne se trouvant sur les voies, à la sortie de Saint-Malo. Le train qui venait de quitter la cité corsaire pour se rendre à Rennes a été immobilisé et le trafic interrompu. Les quelques passagers ont été pris en charge par des taxis.
Un autre TER qui effectuait un aller-retour Rennes - St-Malo a dû déposer ses voyageurs à Dol-de-Bretagne afin qu'ils terminent le trajet en car. De même, les client au départ de la cité malouine ont été emmenés à Dol par car pour retrouver le TER.
Le trafic est revenu à la normale à 8h50.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine
Il était 6h50 lorsque le TER a percuté une personne se trouvant sur les voies, à la sortie de Saint-Malo. Le train qui venait de quitter la cité corsaire pour se rendre à Rennes a été immobilisé et le trafic interrompu. Les quelques passagers ont été pris en charge par des taxis.
Un autre TER qui effectuait un aller-retour Rennes - St-Malo a dû déposer ses voyageurs à Dol-de-Bretagne afin qu'ils terminent le trajet en car. De même, les client au départ de la cité malouine ont été emmenés à Dol par car pour retrouver le TER.
Le trafic est revenu à la normale à 8h50.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine
La mère mise en examen
La mère de 25 ans qui avait accouché seule à son domicile et qui s’était débarrassée de son nouveau-né a été mise en examen hier.
L’affaire avait suscité beaucoup de questions et d’agitation dans le quartier du Drouot ce 1er juin. La présence de policiers, de spécialistes en identité judiciaire et de membres du parquet de Mulhouse, tous affairés autour des poubelles communes sur le trottoir d’un immeuble, avait provoqué un attroupement de curieux. C’est là qu’avait été retrouvé le corps sans vie d’un nourrisson, localisé grâce aux renseignements d’une femme hospitalisée quelques heures auparavant pour une importante hémorragie.
Cette mère de famille de deux enfants (4 et 6 ans) avait été prise en charge dans un premier temps dans un service gynécologique du Hasenrain avant de rejoindre une unité spécialisée dans les soins psychiatriques.
Sortie mercredi de l’hopital, la jeune mère de famille a été placée en garde à vue au commissariat de Mulhouse. Elle a été déférée hier après-midi devant le parquet mulhousien et présentée dans la foulée devant le juge d’instruction qui l’a mise en examen pour meurtre sur mineur de moins de 15 ans. Le parquet a demandé son placement en détention provisoire.
http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/mulhouse-ville
L’affaire avait suscité beaucoup de questions et d’agitation dans le quartier du Drouot ce 1er juin. La présence de policiers, de spécialistes en identité judiciaire et de membres du parquet de Mulhouse, tous affairés autour des poubelles communes sur le trottoir d’un immeuble, avait provoqué un attroupement de curieux. C’est là qu’avait été retrouvé le corps sans vie d’un nourrisson, localisé grâce aux renseignements d’une femme hospitalisée quelques heures auparavant pour une importante hémorragie.
Cette mère de famille de deux enfants (4 et 6 ans) avait été prise en charge dans un premier temps dans un service gynécologique du Hasenrain avant de rejoindre une unité spécialisée dans les soins psychiatriques.
Un accouchement dans les toilettes
Les premières analyses faites par un médecin légiste puis par le service de l’institut de médecine légale de Strasbourg, avaient juste confirmé que l’enfant n’avait pas d’air dans les poumons… laissant supposer qu’il était mort après l’accouchement. Des analyses complémentaires sont toujours en cours pour répondre à des questions essentielles notamment pour savoir si l’enfant (un garçon) était viable, s’il est mort au cours de l’accouchement qui, selon des sources proches de l’enquête, se serait déroulé dans les toilettes de l’appartement de la jeune femme. Ce qui ressort de l’enquête menée par la brigade criminelle de la sûreté départementale, c’est que la mère a bien tenté de se débarrasser de l’enfant dans les toilettes avant de se raviser et de le placer dans les poubelles communes.Sortie mercredi de l’hopital, la jeune mère de famille a été placée en garde à vue au commissariat de Mulhouse. Elle a été déférée hier après-midi devant le parquet mulhousien et présentée dans la foulée devant le juge d’instruction qui l’a mise en examen pour meurtre sur mineur de moins de 15 ans. Le parquet a demandé son placement en détention provisoire.
http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/mulhouse-ville
jeudi 9 juin 2016
Charente-Maritime : un salarié se brûle en attisant un feu de cartons
Un salarié de Compétence géotechnique, à Cozes, a été héliporté à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux
Ce mercredi matin, un salarié d'une vingtaine d'années, de l'entreprise Compétence géotechnique (bureau d'étude et de sondages) située sur la ZA des Groix à Cozes, a été grièvement brûlé en attisant un feu de cartons avec de l'essence. La scène s'est déroulée à l'extérieur de l'entreprise.
Lorsque les flammes l'ont saisi, le salarié s'est roulé sur le sol et est ensuite parvenu à retirer son tee-shirt. Il est resté conscient. Rapidement pris en charge par les pompiers, il a ensuite, au regard de ses blessures au torse et au bras droit, été pris en charge par l'équipe du Samu de La Rochelle dépêché sur le site par l'hélicoptère Dragon 17 de la Sécurité civile.
Il a été décidé d'héliporter le brûlé au centre des grands brûlés de l'hôpital Pellegrin, à Bordeaux. La gendarmerie et l'inspection du travail ont été averties de l'accident.
http://www.sudouest.fr/2016/06/08/charente-maritime-un-salarie-se-brule-en-attisant-un-feu-de-cartons-2392743-1324.php
Lorsque les flammes l'ont saisi, le salarié s'est roulé sur le sol et est ensuite parvenu à retirer son tee-shirt. Il est resté conscient. Rapidement pris en charge par les pompiers, il a ensuite, au regard de ses blessures au torse et au bras droit, été pris en charge par l'équipe du Samu de La Rochelle dépêché sur le site par l'hélicoptère Dragon 17 de la Sécurité civile.
Il a été décidé d'héliporter le brûlé au centre des grands brûlés de l'hôpital Pellegrin, à Bordeaux. La gendarmerie et l'inspection du travail ont été averties de l'accident.
http://www.sudouest.fr/2016/06/08/charente-maritime-un-salarie-se-brule-en-attisant-un-feu-de-cartons-2392743-1324.php
Pont-Saint-Esprit : le corps d'une jeune femme découvert à son domicile
U ne jeune femme de 35 ans a été retrouvée morte dans son appartement, rue de l'Union.
Mercredi matin, les sapeurs-pompiers de Pont-Saint-Esprit ont découvert le corps sans vie d'une jeune femme, résidant rue de l'Union. Les gendarmes de la brigade de Pont-Saint-Esprit et la brigade de recherche de Bagnols-sur-Cèze se sont rendus sur place. "En l'état actuel des investigations, nous n'excluons aucune hypothèse", explique le capitaine Vigneau de la gendarmerie de Bagnols-sur-Cèze.
mercredi 8 juin 2016
Un arsenal de guerre découvert en Seine-Saint-Denis
Selon nos informations, des armes de guerre, dont un fusil utilisé habituellement par les snipers, et près de 200 kilos de résine de cannabis ont été découverts par la police dans la nuit de mardi à mercredi en Seine-Saint-Denis. Un homme de 35 ans a été interpellé.
Dans la nuit de mardi à mercredi, les enquêteurs de la PJ de Bobigny ont interpellé à Saint-Denis un homme de 35 ans au moment où il entrait dans un box lui appartenant. A l'intérieur, les policiers ont mis la main sur sur 167 kilos de cannabis, mais aussi sur plusieurs armes : un fusil de précision russe Dragunov utilisé habituellement par les snipers, un pistolet-mitrailleur Skorpion ainsi qu’un pistolet automatique de calibre 9mm.
Un gilet pare-balles et 40.000 euros en liquide ont par ailleurs été saisis lors de la perquisition de l’appartement du suspect, un voyou déjà connu pour de nombreuses affaires de drogue et de violences. Sa garde-à-vue peut durer jusqu’à 96 heures.
Une fillette de 4 ans gravement blessée par une camionnette à Branoux-les-Taillades
L'accident s'est produit mardi soir vers 19h à Branoux-les-Taillades, dans le Gard. Une enfant de 4 ans a été renversée, près de son domicile, dans le quartier du Moulin, par une camionnette. La fillette très gravement blessée a été évacuée vers le CHU Carémeau de Nîmes.
Les sapeurs-pompiers du Gard ont porté secours à une fillette de 4 ans renversée par un petit camion, à proximité de son domicile, mardi soir, à Branoux-les-Taillades.
La jeune victime souffre de graves contusions et de plaies multiples. Malgré une prise en charge rapide et une médicalisation par le SAMU 30, son pronostic vital semblait être engagé, mardi soir.
Elle a été transportée et hospitalisée au CHU Carémeau de Nîmes.
La gendarmerie du Gard était présente sur les lieux et devra déterminer les circonstances de cet accident qui sont, pour l’instant, inconnues.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/nimes
Les sapeurs-pompiers du Gard ont porté secours à une fillette de 4 ans renversée par un petit camion, à proximité de son domicile, mardi soir, à Branoux-les-Taillades.
La jeune victime souffre de graves contusions et de plaies multiples. Malgré une prise en charge rapide et une médicalisation par le SAMU 30, son pronostic vital semblait être engagé, mardi soir.
Elle a été transportée et hospitalisée au CHU Carémeau de Nîmes.
La gendarmerie du Gard était présente sur les lieux et devra déterminer les circonstances de cet accident qui sont, pour l’instant, inconnues.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/nimes
Attentats de Paris : une "fausse victime" bientôt jugée pour escroquerie
Elle s'était fait passer pour une victime des attentats parisiens du 13 novembre auprès de plusieurs organismes : une jeune mère de famille doit comparaître en correctionnelle le 13 juin pour "escroquerie" et "tentative d'escroquerie". La jeune femme âgée de 24 ans s'était présentée le 22 décembre 2015 au commissariat des Mureaux (Yvelines) pour porter plainte, prétendant faire partie des victimes d'une des attaques qui ont frappé la capitale.
Aux enquêteurs de la police judiciaire qui l'interrogent le 31 décembre, elle indique avoir été présente dans le bar "Le Carillon", dans le Xe arrondissement, dont la terrasse a été l'une des cibles des assaillants. Mais la jeune femme prétend "avoir été soufflée par une explosion" - alors que la terrasse du bar a été attaquée au fusil d'assaut - et "gravement blessée à un bras". Elle porte d'ailleurs un bras en écharpe, présente des certificats médicaux montrant qu'elle doit subir une greffe de peau, produit une photo de son bras prétendument blessé et dit qu'elle a perdu ce soir-là téléphone, carte bleue et autres effets personnels.
Incohérence dans son récit
Les enquêteurs de la PJ versaillaise se mettent alors en cheville avec la Sous-direction antiterroriste de la police judiciaire (SDAT) qui ne tarde pas à souligner de nombreuses "incohérences" dans son récit, ainsi que dans les pièces produites. Le médecin prétendument à l'origine de son certificat médical ne l'a en réalité jamais reçue. Le nom de la jeune femme ne figure sur aucune liste de victimes admises à l'hôpital le soir du drame. La photo de "son" bras blessé, enfin, est retrouvée sur internet, mais... ce n'est pas le sien.
Grâce à de fausses déclarations, elle a néanmoins réussi à duper le Fonds de garantie des victimes d'actes de terrorisme et d'autres infractions (FGTI), ainsi que la Maison départementale de l'autonomie, qui aide les personnes handicapées. Brièvement placée en garde à vue en février, la jeune femme a reconnu les faits. Elle est convoquée devant le tribunal correctionnel de Versailles lundi. L'affaire pourrait être renvoyée.
La jeune femme, mariée et mère d'un nouveau-né, devrait se présenter à l'audience sans avocat. Face à elle, sur le banc des parties civiles, le médecin, dont elle a usurpé les certificats médicaux, et les deux organismes d'aide. Elle encourt jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 375.000 euros d'amende. Elle est, par ailleurs, convoquée le 21 novembre pour exercice illégal de la pharmacie.
Un patient rôde sur le parking
Ce serait, aux dires de la direction de la Fondation Bon Sauveur d'Alby, «la première fois qu'on nous rapporte un tel événement». Pourtant, il y a tout lieu de croire cet automobiliste qui, hier matin, a été témoin des agissements pour le moins étranges d'un patient de la Fondation sortant effectuer en ville sa petite promenade. L'homme, vêtu d'un survêtement, encapuchonné et marchant d'une allure hébétée comme l'est généralement celle des patients de tout établissement psychiatrique aux traitements médicamenteux lourds, effectuait tranquillement les 100 pas sur le parking du Lude, mais avec une activité un peu particulière consistant à regarder de-ci de-là à l'intérieur des véhicules (et il y en a sur cette aire gratuite !), mettant à l'occasion la main à la portière, si jamais celle-ci était ouverte… L'homme avait aussi pris la précaution de se munir d'un sac plastique vide, si à l'occasion il pouvait le remplir… Un manège, qui toujours aux dires de notre témoin durera plusieurs minutes, notre témoin allant lui-même trouver l'accueil du Bon Sauveur pour alerter sur la situation, au grand dam des employés.
«Les patients qui sortent à l'extérieur sont ceux qui sont en hospitalisation libre. Il s'agit de patients qui sont jugés stabilisés par le corps médical, donc aptes à se promener, sans comportement déplacé», tient-on à faire savoir du côté de la Fondation Bon Sauveur, qui là encore parle d'un éventuel précédent, «car encore faut-il prouver que cette personne soit effectivement un patient de notre établissement». Le Bon Sauveur qui rassure en indiquant bien que «généralement, nos patients en promenade ne présentent aucune dangerosité». Hier soir, en tout cas, aucune plainte officielle n'était remontée jusqu'aux services de police eu égard aux agissements précités.http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html
mardi 7 juin 2016
Collision sur la RD 820 : un gendarme désincarcéré
Dimanche soir, à l'approche des 20 heures, deux véhicules sont entrés en collision de front, dont un de la gendarmerie qui partait en intervention. L'enquête en cours déterminera précisément les circonstances de l'accident.
L'un des conducteurs a rapidement été évacué par les pompiers mais le gendarme est resté bloqué dans le véhicule qui, sous la force de l'impact, a été projeté dans le fossé à hauteur de l'Espace Fenouillet.
Cinq véhicules de pompiers sont intervenus pour secourir les blessés, et de nombreux gendarmes étaient présents pour mettre en place une déviation sur la «route de Paris» et protéger les victimes.
Les pompiers ont d'abord ouvert le coffre à l'aide de l'écarteur, pour permettre à l'un d'entre eux de se glisser dans le véhicule pour secourir le gendarme bloqué sur son siège. Avec la cisaille, ils ont ensuite découpé les montants du véhicule pour en déposer le toit. L'équipe médicale est immédiatement intervenue pour apporter les premiers soins puis le militaire a été évacué par l'ambulance.
À l'heure où nous écrivons ces lignes, le gendarme de la brigade de Fenouillet est en observation.
http://www.ladepeche.fr/communes/fenouillet,31182.html
Cinq véhicules de pompiers sont intervenus pour secourir les blessés, et de nombreux gendarmes étaient présents pour mettre en place une déviation sur la «route de Paris» et protéger les victimes.
Les pompiers ont d'abord ouvert le coffre à l'aide de l'écarteur, pour permettre à l'un d'entre eux de se glisser dans le véhicule pour secourir le gendarme bloqué sur son siège. Avec la cisaille, ils ont ensuite découpé les montants du véhicule pour en déposer le toit. L'équipe médicale est immédiatement intervenue pour apporter les premiers soins puis le militaire a été évacué par l'ambulance.
À l'heure où nous écrivons ces lignes, le gendarme de la brigade de Fenouillet est en observation.
http://www.ladepeche.fr/communes/fenouillet,31182.html
lundi 6 juin 2016
Dordogne (24) : un homme se fait happer la jambe par son motoculteur
Cela s'est passé dimanche alors qu'il était en train de rentrer l'engin dans son garage
Un habitant de Savignac-Lédrier, domicilié au lieu-dit Les Barrières et âgé de 90 ans, a été victime d'un grave accident. Dimanche, vers 13h30, il a glissé alors qu'il était en train de rentrer son motoculteur dans son garage.
Sa jambe a été happée par la machine. Il a été héliporté vers le centre hospitalier de Limoges
http://www.sudouest.fr/2016/06/06/savignac-ledrier-24-un-homme-a-eu-la-jambe-happee-par-son-motoculteur-2389822-4625.php
Sa jambe a été happée par la machine. Il a été héliporté vers le centre hospitalier de Limoges
http://www.sudouest.fr/2016/06/06/savignac-ledrier-24-un-homme-a-eu-la-jambe-happee-par-son-motoculteur-2389822-4625.php
dimanche 5 juin 2016
Malaise cardiaque d'un passager : un avion se pose en urgence à Limoges
Un avion qui effectuait la liaison Edimbourg-Malte a dû atterrir en urgence à l'aéroport de Limoges-Bellegarde, samedi 4 juin en début de soirée, pour évacuer un passager victime d'un malaise cardiaque
Le boeing 737-800 de la compagnie Ryanair s'est posé sur le tarmac de Limoges à 17h50.
Le passager, qui avait été victime en vol d'un malaise cardiaque, a immédiatement été transporté au CHU de Limoges.
Les 180 passagers de l'avion ont toutefois dû être débarqués pendant quelques heures, car il a fallu remplacer l'équipage qui arrivait en "butée horaire".
Un nouvel équipage est arrivé de Londres.
L'avion a pu repartir vers 22h.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges
Le boeing 737-800 de la compagnie Ryanair s'est posé sur le tarmac de Limoges à 17h50.
Le passager, qui avait été victime en vol d'un malaise cardiaque, a immédiatement été transporté au CHU de Limoges.
Les 180 passagers de l'avion ont toutefois dû être débarqués pendant quelques heures, car il a fallu remplacer l'équipage qui arrivait en "butée horaire".
Un nouvel équipage est arrivé de Londres.
L'avion a pu repartir vers 22h.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges
samedi 4 juin 2016
Incendie mortel à Paris: un homme écroué
Un homme de 20 ans a été mis en examen et écroué dans l'enquête sur un incendie dans un immeuble du XXe arrondissement de Paris qui a fait deux morts dans la nuit de mardi à mercredi, indique une source judiciaire.
Il a été mis en examen vendredi pour "destruction du bien d'autrui par l'effet d'un incendie ou d'un moyen dangereux ayant entraîné la mort" et des "incapacités de travail" inférieures et supérieures à huit jours. Le Parquet de Paris avait requis sa détention provisoire.
Le suspect a gardé le silence lors de sa garde à vue devant les enquêteurs de la police judiciaire parisienne, selon la source judiciaire.
Le feu s'était déclaré dans un immeuble de sept étages situé 158 boulevard Davout. L'incendie s'est propagé à une des trois cages d'escalier de l'immeuble et à plusieurs appartements situés entre les troisième et septième étages.
Une femme, qui a sauté par la fenêtre, est morte, selon les pompiers. Deux autres femmes avaient été grièvement blessées par des intoxications et des brûlures. L'une d'entre elles est depuis décédée, a précisé à l'AFP une source policière.
"Des traces d'hydrocarbure ont été trouvées sur les lieux par le laboratoire central", selon une source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Il a été mis en examen vendredi pour "destruction du bien d'autrui par l'effet d'un incendie ou d'un moyen dangereux ayant entraîné la mort" et des "incapacités de travail" inférieures et supérieures à huit jours. Le Parquet de Paris avait requis sa détention provisoire.
Le suspect a gardé le silence lors de sa garde à vue devant les enquêteurs de la police judiciaire parisienne, selon la source judiciaire.
Le feu s'était déclaré dans un immeuble de sept étages situé 158 boulevard Davout. L'incendie s'est propagé à une des trois cages d'escalier de l'immeuble et à plusieurs appartements situés entre les troisième et septième étages.
Une femme, qui a sauté par la fenêtre, est morte, selon les pompiers. Deux autres femmes avaient été grièvement blessées par des intoxications et des brûlures. L'une d'entre elles est depuis décédée, a précisé à l'AFP une source policière.
"Des traces d'hydrocarbure ont été trouvées sur les lieux par le laboratoire central", selon une source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Isère: un habitant de Bonnefamille tue un cambrioleur
Un jeune homme de 20 ans environ est mort, dans la nuit du vendredi 3 au samedi 4 juin. Il était sur les lieux d'un cambriolage quand un coup de feu est parti. La scène s'est passée dans le Nord-Isère, à Bonnefamille.
C'est dans une maison d'habitation située au lieu-dit La Cornière, que le drame s'est produit. Les secours ont été appelés vers 0h20, alors qu'un jeune homme était signalé comme étant blessé par balle. A leur arrivée, pompiers et équipe du SMUR ont en effet découvert une victime en arrêt cardio-respiratoire, qui n'a pu être ranimée.
Selon les premières informations, le jeune décédé serait un des quatre malfaiteurs. Un membre de la famille cambriolée aurait fait feu. Il est actuellement entendu à la gendarmerie de Bourgoin-Jallieu. La Section de Recherches de Grenoble a été saisie, et dans l'immédiat c'est une substitut du procureur de Vienne qui dirige l'enquête. http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere
C'est dans une maison d'habitation située au lieu-dit La Cornière, que le drame s'est produit. Les secours ont été appelés vers 0h20, alors qu'un jeune homme était signalé comme étant blessé par balle. A leur arrivée, pompiers et équipe du SMUR ont en effet découvert une victime en arrêt cardio-respiratoire, qui n'a pu être ranimée.
Selon les premières informations, le jeune décédé serait un des quatre malfaiteurs. Un membre de la famille cambriolée aurait fait feu. Il est actuellement entendu à la gendarmerie de Bourgoin-Jallieu. La Section de Recherches de Grenoble a été saisie, et dans l'immédiat c'est une substitut du procureur de Vienne qui dirige l'enquête. http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere
vendredi 3 juin 2016
Angoulême : un SDF passe sous les roues d'un bus
L'homme de 60 ans, polytraumatisé, risque l'amputation de ses deux jambes
Ce jeudi, il était aux alentours de 12h25 lorsqu'un SDF de 60 ans a voulu rattraper un bus en circulation. Près du Champ de Mars à Angoulême, dans la rue Raymond-Poincaré, il courrait et tapait contre la carrosserie quand il a trébuché. La roue arrière droite du bus lui a roulé sur les jambes.
Polytraumatisé et souffrant de plusieurs fractures ouvertes, le sexagénaire a été transféré à l'hôpital d'Angoulême. Il risque l'amputation de ses deux jambes. Pour l'heure, le test d'alcoolémie n'a pas rendu ses conclusions. Celui effectué sur le chauffeur de bus s'est révélé négatif
http://www.sudouest.fr/2016/06/02/angouleme-un-sdf-passe-sous-les-roues-d-un-bus-2385868-813.php
Polytraumatisé et souffrant de plusieurs fractures ouvertes, le sexagénaire a été transféré à l'hôpital d'Angoulême. Il risque l'amputation de ses deux jambes. Pour l'heure, le test d'alcoolémie n'a pas rendu ses conclusions. Celui effectué sur le chauffeur de bus s'est révélé négatif
http://www.sudouest.fr/2016/06/02/angouleme-un-sdf-passe-sous-les-roues-d-un-bus-2385868-813.php
jeudi 2 juin 2016
Pau : deux hommes renversés par une voitu
L'un d'eux, âgé de 46 ans, plus sérieusement blessé, a été transporté au centre hospitalier de Pau
Deux hommes ont été renversés par une voiture, rue Lapouble, à l'angle de la place de Verdun, mercredi soir, vers 22 heures.
Les circonstances restaient à déterminer.
L'un des deux piétons, âgé de 46 ans, plus sérieusement blessé, a été transporté jusqu'au centre hospitalier de Pau. Le second, 40 ans, moins touché, a quant à lui été transféré à la clinique Marzet, également à Pau.
http://www.sudouest.fr/2016/06/02/pau-deux-hommes-renverses-par-une-voiture-2385433-4344.php
Les circonstances restaient à déterminer.
L'un des deux piétons, âgé de 46 ans, plus sérieusement blessé, a été transporté jusqu'au centre hospitalier de Pau. Le second, 40 ans, moins touché, a quant à lui été transféré à la clinique Marzet, également à Pau.
http://www.sudouest.fr/2016/06/02/pau-deux-hommes-renverses-par-une-voiture-2385433-4344.php
mercredi 1 juin 2016
Hautes-Pyrénées : 4400 poussins périssent dans l'incendie d'une ferme à Ibos
Un éleveur d'Ibos (Hautes-Pyrénées) près de Tarbes a perdu 4400 poussins dans l'incendie d'une partie de son exploitation ce mercredi matin. L'alerte a été donnée vers 7h15, l'incendie ayant pris pour une raison indéterminée dans un batîment où étaient abrités les animaux.
Malgré l'intervention rapide des pompiers, les 4400 poussins sont morts asphyxiés. Le bâtiment menaçait ensuite de s'écrouler. Ironie du sort, les 4400 poussins avaient été livrés à l'éleveur la veille mardi à 14 heures !
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/tarbes
Malgré l'intervention rapide des pompiers, les 4400 poussins sont morts asphyxiés. Le bâtiment menaçait ensuite de s'écrouler. Ironie du sort, les 4400 poussins avaient été livrés à l'éleveur la veille mardi à 14 heures !
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/tarbes
A Annecy, vol de téléphone avec violence sur la Pâquier
L'agression a eu lieu en début de soirée, à 18h40, sur la pelouse du Pâquier à Annecy. Deux jeunes abordent un autre jeune pour lui demander une cigarette et en profitent pour lui voler son téléphone. Lorsque la victime s'en rend compte, elle revient vers les voleurs pour tenter de récupérer son appareil. La rencontre se termine dans la violence, les deux agresseurs frappent le jeune homme qui sera hospitalisé avec un nez cassé.
Les deux agresseurs, âgés de 20 et 15 ans ont été interpellés. Le plus jeune est bien connu des services de police. Malgré son jeune âge, il possède un casier judiciaire déjà lourdement chargé. Le 28 novembre 2015, il avait notamment percuté la vitrine d'une crèche de Thonon-les-Bains au volant d'une voiture. Lors du choc, une petite fille de 2 ans et demi avait subi une fracture du crâne qui a nécessité une hospitalisation en urgence à Grenoble.
Il n'avait alors que 14 ans.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/annecy
Les deux agresseurs, âgés de 20 et 15 ans ont été interpellés. Le plus jeune est bien connu des services de police. Malgré son jeune âge, il possède un casier judiciaire déjà lourdement chargé. Le 28 novembre 2015, il avait notamment percuté la vitrine d'une crèche de Thonon-les-Bains au volant d'une voiture. Lors du choc, une petite fille de 2 ans et demi avait subi une fracture du crâne qui a nécessité une hospitalisation en urgence à Grenoble.
Il n'avait alors que 14 ans.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/annecy
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