samedi 30 avril 2016

La grêle provoque des accidents en chaîne ce matin en Haute-Vienne

L'averse est arrivée par l'ouest du département.
Vers 11h10, elle a provoqué deux accidents sur la RN 141, à hauteur de Saint-Victurnien, dans les deux sens de circulation.
Dans le sens est-ouest, en direction d'Angoulême, cinq véhicules se sont percutés. Une voiture a été accidentée dans le sens inverse. Au total, sept personnes étaient impliquées. Quatre sont légèrement blessées et ont été transportées vers les hôpitaux de St Junien et de Limoges.

Quelques minutes plus tard, vers 11h15, deux autres accidents se sont produits, toujours sur la RN 141, à hauteur des Vaseix, cette fois-ci.
Sur l'axe allant en direction d'Angoulême, deux véhicules se sont rentrés dedans. En face, une voiture a été accidentée. Les dégats sont uniquement matériels.

Enfin, vers 11h45, sur l'autoroute A20, à hauteur de Bessines-sur-Gartempe, un carambolage a eu lieu entre deux voitures et un poids lourd. Là-aussi, les dégats sont purement matériels.

En conclusion : prudence sur la route !

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/la-grele-provoque-des-accidents-en-chaine-ce-matin-en-haute-vienne-987276.html

vendredi 29 avril 2016

Plusieurs malaises d'élèves dans une école après un épandage de pesticides

VU SUR LE COURRIER PICARD - Lundi matin, une école située à Picquigny dans la Somme, a dû écourter la récréation de ses élèves. En cause, plusieurs d'entre-eux se sont retrouvés incommodés après le traitement aux pesticides d'un champ aux alentours.

Il est 10h30 environ lundi matin, c'est la récréation. Le personnel de l'école La Vigne de la commune de Picquigny dans la Somme évacue tous les enfants. La scène est racontée par Le Courrier picard. Un agriculteur voisin est en train de traiter ses champs avec des produits phytosanitaires. Avec le vent, celui-ci arrive dans la cour obligeant les encadrants à écourter le temps de pause.
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Ce n'est que plus tard dans la journée que plusieurs élèves vont se plaindre de maux de tête et de ventre ainsi que de vomissements, comme l'explique la source contactée par le Courrier picard. Le maire est averti tout comme les gendarmes.
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Une enquête menée pour utilisation de pesticides
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Contacté, l'exploitant minimise les évènements et explique avoir traité son champ "mais à 30-40 cm du sol alors qu'il n'y avait pas de vent". Il explique aussi ne pas avoir utilisé de pesticides mais un produit "non nocif pour la santé et les céréales". Seulement, selon les informations du Courrier Picard, il s'agit de régulateurs de croissance qui sont aussi des produits phytosanitaires, donc des pesticides.
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L'inquiétude de nombreux parents a obligé l'inspection académique à prendre contact avec l'Agence régionale de santé (ARS) et la Direction régionale de l'alimentation, de l'
agriculture et de la forêt (DRAAF). Une enquête va être menée et un médecin a été envoyé à l'école mercredi pour déterminer la nature de l'intoxication, ou non, des élèves.
 

jeudi 28 avril 2016

Marans (17) : carambolage au feu rouge, trois voitures impliquées

Un nonagénaire 93 ans ainsi qu’une fillette de 8 ans ont dû être hospitalisés à La Rochelle
Il est 11 h 50, ce mercredi, lorsque la gendarmerie de Marans est prévenue d'un accident impliquant trois véhicules sur la D938ter (Marans/Fontenay-le-Comte). À hauteur de Beauséjour, juste avant la commune de L'Ile-d'Elle.
Sur cette portion de route, des travaux de réfection sont en cours, occasionnant une circulation alternée. Une Logan Dacia, avec à son bord quatre personnes, vient de s'arrêter au feu rouge, suivie d'un Renault Espace avec à son bord une famille de six personnes, quand une Renault Clio, conduite par un habitant de Périgny de 93 ans, est venue percuter par l'arrière, sans le moindre freinage, les deux véhicules.

Hors de danger

Le nonagénaire a été conduit à l'hôpital de La Rochelle par les pompiers de Marans, ainsi qu'une fillette de 8 ans, passagère du Renault Espace. Leurs états ne seraient pas inquiétants selon les premières constatations.
D'après les témoignages des victimes, il apparaît que la Renault Clio arrivait assez vite. La circulation a été régulée par la brigade de Marans, aidée de la police municipale et de la Direction des infrastructures de Marans.
Rappelons qu'à l'endroit des travaux de réfection, un motard a trouvé la mort en septembre. Ce qui avait suscité la colère de la section charentaise-maritime de la Fédération française des motards en colère pour dénoncer de la déformation de la chaussée.
http://www.sudouest.fr/2016/04/28/carambolage-au-feu-rouge-2344044-1435.php
 

Un homme prend en otage sa famille

Hier en fin d'après-midi un homme que nous appelleront Saïd, âgé d'environ 35 ans, qui rentrait plus tôt que prévu d'un voyage au Maroc à son domicile, dans la petite maison familiale qu'il occupe avec son épouse et son fils au cœur du village de Castelreng, découvre en arrivant chez lui, un autre individu visiblement installé à sa place. Une dispute éclate entre les deux hommes, des coups sont échangés et l'intrus dans la confusion générale réussit à s'enfuir pour alerter les gendarmes sur les intentions de Saïd. Ce dernier séquestre sa femme et son fils et profère des menaces qui peuvent mettre en danger la vie de la mère et de l'enfant. Une fois sur place la quinzaine de gendarmes sous les ordres du capitaine Grau se prépare tout en négociant. Le capitaine appelle plusieurs fois de l'extérieur Saïd en lui demandant de descendre. Celui-ci rétorque qu'il est fatigué par le voyage. Avec sang-froid le capitaine appelle son épouse lui demande d'ouvrir la porte. Rien ne se passe pendant de longues minutes, seul le capitaine continue à parlementer, quand l'ordre d'intervention est donné. Les gendarmes en douceur pénètrent dans le logement et maîtrise l'individu, puis le conduisent à la gendarmerie de Limoux pour être entendu sans autres dégâts.
http://www.ladepeche.fr/communes/castelreng,11078.html

mercredi 27 avril 2016

Landes : un conducteur dans le coma après une perte de contrôle

Un automobiliste d'une cinquantaine d'années se trouve entre la vie et la mort après avoir percuté un arbre cet après-midi sur la D16 à Magescq
Un accident de la circulation est survenu ce mardi après-midi sur le coup de 15h30 sur la D16, à Magescq, Un automobiliste d'une cinquantaine d'années, seul en cause, a percuté un arbre avec violence alors qu'il roulait. Les faits se sont déroulés à hauteur du circuit de karting.
Des témoins ont vu sa voiture zigzaguer bizarrement avant le choc qui a déformé l'habitacle. Les sapeurs-pompiers ont dû désincarcérer le conducteur inconscient, pour le sortir de l'amas de tôles. Une opération longue et délicate. Le Samu-Smur a dépêché une équipe qui a décidé d'évacuer la victime par hélicoptère sur le CHU de Bordeaux.
La victime serait originaire des Pyrénées-Orientales. Son identité n'a pas été communiquée. Les gendarmes ont procédé aux constatations d'usage, effectuant des contrôles de stupéfiant et d'alcoolémie comme c'est la règle. S'agit-il d'un malaise? Le conducteur a t-il été distrait par un appel sur son portable ou son GPS ? Toutes les hypothèses sont envisageables. Le pronostic vital de la victime est engagé.
http://www.sudouest.fr/2016/04/26/landes-un-conducteur-dans-le-coma-apres-une-perte-de-controle-2342333-3452.php

Transfert de Salah Abdeslam: son avocat décrit "des conditions rapides et surprenantes

mardi 26 avril 2016

Séquestrée chez elle dans l'Aube, la vieille dame s'enfuit par la fenêtre

« N’en faites pas toute une histoire… » Un sourire éclatant barre son visage marqué par quelques années passées. À 86 ans, Monique raconte. Comme spectatrice d’une histoire dont elle ne serait pas la victime. Dans la nuit de vendredi à samedi, il est près de 3 h 30. Son vieux labrador noir ne bouge pas une oreille, lorsque cette habitante de Nogent-sur-Aube entend du bruit. « Je suis réveillée, mais allongée dans ma chambre au fond du couloir. Je regarde sous la porte et je distingue un trait de lumière. » La vieille dame avoue ne pas avoir réfléchi avant d’ouvrir la porte « courageusement ».

« Les deux malfaiteurs n’ont pas dit un mot »

C’est là qu’elle fait face à deux grandes silhouettes noires. « Leurs visages sont masqués par des cagoules. Une ou deux secondes se passent et l’un d’eux referme brutalement la porte et la maintient fermée. » Les malfaiteurs ne prononcent pas un mot. « Je laisse passer un petit moment et je tente à nouveau d’ouvrir la porte. Mais ils se trouvent toujours derrière. » Monique n’a guère d’autre choix que de s’enfuir par la fenêtre de sa chambre. « J’ai attrapé mon téléphone portable et ma robe de chambre. J’ai passé une jambe puis la seconde avant de me laisser glisser dehors. » Quelques égratignures qu’elle dit sans gravité et Monique se presse chez sa voisine. « Je n’ai même pas pensé à prévenir les gendarmes. En arrivant chez mon amie, je ne pouvais pas vraiment parler correctement. » Alors qu’elle se trouve en sécurité, Monique prend la mesure de ce qu’elle vient de vivre. « Sur le moment, je n’ai vraiment eu peur de rien. C’est après, il m’a fallu un petit moment pour me remettre… »
Alertés par la voisine, les gendarmes qui se trouvaient en patrouille à quelques kilomètres de là se lancent à la recherche des malfaiteurs. En vain. « Mon amie et sa fille avaient déjà fait le tour du quartier sans rien repérer. Pas même une voiture… »
Un scénario rocambolesque et des malfaiteurs qui connaissaient probablement les lieux. « Ils ont vraiment agi pour éviter d’être reconnus. Les visages, les voix. Peut-être que j’ai l’habitude de les croiser. Quoi qu’il en soit, il n’est pas question que je fuie ou que je vive autrement. À mon âge… » Dans la maison, les deux individus ont simplement « retourné deux ou trois choses mais rien de plus ». Prudente, Monique conserve son sac et ses bijoux dans un endroit « secret ». Dans la même nuit, l’équipe aurait tenté de s’introduire dans le salon de coiffure du village. L’enquête est d’ores et déjà en cours, diligentée par les gendarmes attachés à la compagnie de Troyes

http://www.lunion.fr/711903/article/2016-04-26/sequestree-chez-elle-dans-l-aube-la-vieille-dame-s-enfuit-par-la-fenetre

lundi 25 avril 2016

Les parents d'Agnès Marin, l'adolescente tuée au Chambon-sur-Lignon, indignés par le livre des parents du meurtrier

Nous trouvons ce livre indécent et sa sortie nous a ébahis." Paola et Frédéric Marin ont confié leur indignation, lundi 25 avril, dans Le Figaro (article payant). Ils réagissent à la diffusion d'un documentaire, début février, suivie de la publication du livre Parents à perpétuité (éd. Flammarion), le 6 avril. Un ouvrage dans lequel, Sophie et Dominique Moulinas témoignent. Or, il s'agit des parents de Matthieu, condamné à perpétuité pour le viol et le meurtre d'Agnès Marin, au collège-lycée Cévenol international, situé au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire).
Dans ce livre, le couple revient d'abord sur les faits : "Le 16 novembre 2011, [Matthieu] a violé puis assassiné Agnès Marin. Elle avait treize ans, lui dix-sept. Seize mois plus tôt, il avait déjà violé une camarade de classe puis il avait été remis en liberté dans l'attente de son jugement. Nous pensons constamment à ses victimes et à leurs proches." Ils détaillent ensuite les sentiments "de honte, de chagrin, de culpabilité" qui les habitent aujourd'hui. "Nous sommes les parents d’un tueur et violeur. (...) Pourtant, nous aimons toujours notre fils. Nous restons ses parents. A perpétuité", écrivent Sophie et Dominique Moulinas.

"Il s'agit d'une vraie campagne de show-biz"

"Pendant le procès, Dominique Moulinas ne nous a jamais regardés, jamais parlé. A la barre, il a commencé par dire qu'il n'était pas facile d'être le père de Matthieu, il s'inquiétait de ses problèmes plutôt que de ceux de son fils", rétorquent les parents d'Agnès Marin. Eux estiment dans Le Figaro que ce livre est une opération de communication.
"Les parents de Matthieu Moulinas ont passé plus de temps dans les médias en quelques semaines que nous depuis l'assassinat de notre fille. Il s'agit d'une vraie campagne de show-biz. A la limite, nous aurions pu admettre l'existence de ce livre s'ils avaient reversé l'argent à une association de protection de l'enfance, mais ce n'est pas le cas", réagissent Paola et Frédéric Marin. Ils regrettent aussi que le procès se soit tenu à huis-clos

http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/meurtres/les-parents-d-agnes-marin-l-adolescente-tuee-au-chambon-sur-lignon-indignes-par-le-livre-des-parents-du-meurtrier_1421629.html

Grenoble: Ce que l'on sait de la fusillade de ce lundi matin

Dans le quartier Tesseire, à Grenoble en Isère, déjà marqué par de nombreux drames par le passé, la piste du règlement de compte ne semble plus faire de doute ce lundi, quelques heures après la fusillade survenue devant l’école Jean-Racine.
  • Deux hommes tués, un grièvement blessé
Peu avant 10 heures, un homme cagoulé aurait tiré sur trois hommes avec une arme de poing avant de prendre la fuite à bord d’une voiture, selon BFM. L’une des victimes est morte sur le coup, la seconde est décédée peu après des suites de ses blessures et un troisième homme, grièvement blessé, a été hospitalisé. Ses jours ne seraient pas menacés. Les deux hommes tués, âgés de 22 et 28 ans, seraient connus des services de police.
>> A lire aussi : Fusillade à Grenoble: deux morts, un blessé grave
  • Une voiture brûlée retrouvée
En fin de matinée, une voiture brûlée qui pourrait appartenir au(x) auteur(s)  de la fusillade, a été retrouvée dans une commune voisine de Grenoble, à Saint-Martin-d’Hères, relate Le Dauphiné Libéré. Les hommes de la Police judiciaire, chargés de l’enquête, procèdent actuellement aux constations sur le véhicule
Pas de lien avec l'école
Selon les premiers éléments, aucun des protagonistes de cette fusillade n’aurait de lien avec l’école devant laquelle se sont déroulés les faits. Depuis ce matin, le quartier est bouclé par les forces de l'ordre. Les enfants scolarisés à l'école Jean-Racine, sont en sécurité.

http://www.20minutes.fr/dossier/fusillade

Un jeune Mirandais dans un état critique après une rixe

Les témoins font état d'un épisode ultra-violent. Lorsqu'il est sorti de la discothèque R & G Room de Tarbes, hier peu avant 6 heures du matin, ce jeune Mirandais d'environ 25 ans, aurait trouvé les pneus de sa Peugeot 308 crevés. À ce moment-là, plusieurs Mirandais, également âgés de 25 ans environ, se seraient jetés sur lui et l'auraient violemment frappé à coups de pied et de poing. Ses agresseurs seraient également originaires de Mirande, le différend opposerait deux groupes de jeunes de la commune depuis deux ans environ.
Après l'avoir fortement violenté, les agresseurs se seraient échappés, laissant leur victime, seule, sur le parking de la discothèque.
Les pompiers et le Samu des Hautes-Pyrénées sont intervenus et ont trouvé le jeune Gersois au sol, inanimé. En état d'arrêt cardio-respiratoire, il a pu être ranimé in extremis. Mais son état, jugé critique, a nécessité son transfert vers un hôpital toulousain.
Les policiers tarbais ont ouvert une enquête et conduit de nombreuses auditions hier. Plusieurs personnes ont également été placées en garde à vue.

Un phénomène de bandes ?

Ils devront répondre à plusieurs questions : Comment se sont déroulés les faits ? Qui sont les agresseurs ? S'ils sont plusieurs, qui parmi eux a frappé la victime ? Les agresseurs étaient-ils, par ailleurs, sous l'empire de l'alcool, voire de stupéfiants ?
Mais une autre problématique se pose : y'aurait-il un phénomène de bande à Mirande ? «Je n'y crois absolument pas, répond le maire de la commune, Pierre Beaudran. Je n'ai jamais été au courant qu'une ou plusieurs bandes de jeunes aient pu exister et s'opposer à Mirande. Je suis le premier surpris par cette affaire. Il n'y a jamais eu aucune bagarre dans la commune, ni aucun fait similaire qui concernaient des jeunes Mirandais.» Pierre Wiart, le principal opposant de M.Beaudran abonde d'ailleurs totalement dans ce sens : «Ça fait 20 ans que j'habite la ville et c'est la première fois que j'entends même le mot ‘bande' à Mirande. La violence n'apporte rien… sauf des situations dramatiques comme celle-là.»

http://www.ladepeche.fr/communes/mirande,32256.html

dimanche 24 avril 2016

Mouguerre (64) : un homme fait une chute de 10 mètres, du haut d'une palombière

Un homme de 41 ans a chuté d'une palombière, en haut de laquelle il réalisait des travaux d'élagage. Son état est grave mais ses jours ne sont pas en danger
Un homme a chuté de 10 mètres de haut, ce samedi, tandis qu'il procédait à des travaux d'élagage, au sommet d'une palombière. L'accident s'est produit vers 16 heures, route de Pilota Plaza, à Mouguerre. Pompiers et gendarmes se sont immédiatement rendus sur place.
Âgée de 41 ans, la victime "aurait eu beaucoup de chance de s'en sortir en vie", d'après des témoins. À l'heure où les pompiers l'ont trouvé, elle ne sentait plus ses jambes. Transporté au Centre hospitalier de la Côte basque par l'hélicoptère de la gendarmerie de Bayonne, Écu 64, l'homme serait dans un état grave, après cette chute ayant provoqué un violent tassement de vertèbres. Malgré tout, ses jours ne sont pas en danger.
"D'après mes informations, il élaguait en compagnie de deux amis, avec lesquels il a l'habitude de chasser ici, précise le maire de Mouguerre, Roland Hirigoyen. Ils voulaient préparer le site pour la saison de chasse, à la rentrée. Hélas, l'échelle qu'ils utilisaient était en portefeuille ; l'une de ses trois parties se serait repliée, provoquant la chute."
http://www.sudouest.fr/2016/04/23/mouguerre-64-un-homme-fait-une-chute-de-10-metres-du-haut-d-une-palombiere-2339760-4307.php

Deux jeunes femmes attaquées par une meute de chiens affamés

Il est midi quand deux jeunes femmes en villégiature se baladent tranquillement avec leurs deux petits chiens, des Jack Russell, dans la campagne, non loin de la propriété d'un retraité qui vit au milieu des bois avec de nombreux chiens. Ayant aperçu les Jack Russell, les chiens parviennent à s'échapper et attaquent les petits chiens des promeneuses. Voulant les récupérer, elles sont sauvagement attaquées et mordues à leur tour. Un des petits chiens est grièvement blessé, l'autre mourra dans les bras de sa maîtresse. Cette dernière, âgée d'une trentaine d'années, a dû être hospitalisée à Auch, mordue aux jambes, au cuir chevelu et aux doigts, totalisant une bonne vingtaine de points de suture. Traumatisée par cette attaque, la victime a déposé plainte. Les deux femmes ont réussi à s'échapper tant bien que mal. « De plus, ces chiens n'étant pas vaccinés, cela ajoute un stress supplémentaire, elles devront sans doute être sous traitement pour la rage, précise Alain Fréchou, le maire de Boissède. Quand je suis arrivé sur les lieux, vers 12 h 45, tout était redevenu normal. La gendarmerie est intervenue à 14 heures, a insisté pour qu'on nous ouvre. Personne n'a répondu. On a enfin réussi à voir le propriétaure des chiens au moment où il partait.» Malgré les complications administratives, le maire s'est montré déterminé à agir, ce qui a débouché sur l'intervention de vendredi. Préoccupé, il avait dans un premier temps rencontré un vétérinaire de Samatan pour faire une étude comportementale des chiens, afin de relancer l'arrêté de dangerosité de décembre 2015 et surtout pour savoir comment agir. « Maire d'un petit village, je n'ai pas de formation dans le droit, ce n'est pas mon métier, on a besoin d'aide car s'il se passe quelque chose, un arrêté mal tourné, un vice de procédure, cela peut se retourner contre nous ».
Dans le village, les habitants ont peur car ce n'est pas la première fois que ces chiens font couler le sang. Le 9 novembre dernier, deux s'étaient échappés et avaient attaqué le chien d'un voisin, qui avait succombé à ses blessures. Inquiet et conscient qu'il fallait agir, le maire avait déjà, alors, contacté la Direction départementale de la protection des populations pour être conseillé. Le 19 novembre, avec un technicien des Services vétérinaires, il avait fait le tour du parc et avait compté au moins quatorze chiens. Le maire avait alors pris un arrêté pour chiens dangereux. « Il y a quelques années déjà, leur propriétaire avait été convoqué au tribunal, ne s'y était pas rendu, sans qu'il y ait eu de suites judiciaires», regrette le maire.
Ce vendredi, les services vétérinaires et la gendarmerie sont intervenus pour procéder à l'enlèvement des chiens.

«Nous n'étions rien d'autre que de la viande»

Une semaine après avoir été attaquée par la meute de chiens, la jeune femme est encore sous le choc. Elle souffre des morsures, bien sûr, mais le traumatisme va bien au-delà. Elle revoit la scène, d'«une violence comme (elle) n'en avait jamais connu», le regard d'un homme «qui a assisté à l'agression sans bouger» et le corps de ses deux chiens éventrés. Elle raconte : «Je me promenais avec une amie de Paris et mes deux petits chiens. Nous sommes arrivés par le bois qui longe la route de campagne. Loulou et Najda aboyaient gentiment, manifestant leur bonheur de se balader. Alors que nous étions à une dizaine de mètres d'une maison, j'ai entendu du bruit. Je me suis retournée et j'ai vu une quinzaine de chiens qui sortaient d'un trou, au niveau du portail. Ils se sont d'abord jetés sur Loulou et Najda. J'ai couru pour les défendre, hurlant pour que le propriétaire de la meute rappelle ses chiens. Il n'a rien fait. Je me suis fait attaquer, principalement aux jambes mais aussi aux doigts et au cuir chevelu. Les chiens étaient faméliques. Nous n'étions pour eux rien d'autre que de la viande à dévorer. Un animal a tenté de m'attraper à la gorge. Je ne sentais rien des blessures, je me battais comme un animal. Je nous voyais tous morts.»
http://www.ladepeche.fr/communes/boissede,31072.html

samedi 23 avril 2016

Martignas : trois personnes grièvement blessées dans un accident

L'accident s'est produit aujourd'hui, samedi, sur la CD 213 au lieu dit le Pont de l'Acacia, non loin de Martignas.

Un choc frontal entre deux voitures s'est produit vers 6h45. Immédiatement les secours se sont rendus sur place. Cinq personnes étaient blessées.

Deux ont été évacuées par hélicoptère, une femme de 35 ans et un homme de 30 ans. Trois autres personnes sont gravement blessées, elles sont âgées de 37 ans, 16 ans et 12 ans. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/gironde/martignas-trois-personnes-grievement-blessees-dans-un-accident-981676.html

Albi: Une usine hydroélectrique détruite par un incendie

L’usine hydroélectrique des Avalats, située à Saint-Juéry à proximité d’Albi (Tarn), a été détruite dans la nuit de vendredi à samedi par un incendie qui n’a fait aucune victime.
Selon le CODIS du Tarn, « l’alerte a été donnée à 1h30. Les pompiers des centres de secours de Saint- Juéry, Albi et Carmaux se sont rendus immédiatement sur place mais déjà le bâtiment de 300 m2 était entièrement embrasé. Les 14 pompiers sont restés sur place jusqu’à 8h ce matin », a-t-on indiqué.
Des relevés pour la pollution, l’usine se situant en aplomb de la rivière Tarn, ont été effectués. Mais rien n’a été relevé, selon cette source.

Une centrale qui date de la fin du 19e siècle

Samedi matin, les équipes d’ERDF étaient sur place pour sécuriser le site. La centrale, qui date de la fin du 19e siècle avant d’être développée au milieu du 20e, est exploitée par le GEH Tarn Agout. Elle avait été construite pour fournir l’énergie nécessaire à un haut-fourneau de coke et au village de Saint-Juery.
Aucun responsable d’EDF n’était joignable pour commenter les conséquences de cet incendie sur l’alimentation électrique.
http://www.20minutes.fr/dossier/incendie

vendredi 22 avril 2016

Solférino (40) : un jeune homme éjecté de son véhicule et grièvement blessé

L'accident s'est produit jeudi soir, vers 21 h 30. La victime, dans un état grave, a été transportée à Pellegrin
Jeudi soir, vers 21 h 30, route de Sabres à Solférino dans les Landes, une voiture est sortie de la route pour une raison encore indéterminée. Son occupant, un jeune homme de 24 ans, a été éjecté du véhicule après que celui-ci a heurté un poteau de télécommunication puis réalisé plusieurs tonneaux.
Dans un état grave, inconscient, il a été transporté à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux par le Smur.
http://www.sudouest.fr/2016/04/22/solferino-40-un-jeune-homme-ejecte-de-son-vehicule-2338472-3557.php

jeudi 21 avril 2016

Une joggeuse de Charente-Maritime agressée par un inconnu à Touvérac (16)

Elle venait régulièrement courir le long de la voie verte qui relie Chantillac à Barbezieux (Charente). Pour cette quinquagénaire, habitante de Jonzac (Charente-Maritime), le jogging de mardi aurait pu très mal tourner. Il était environ 10 heures mardi matin, à hauteur de Touvérac, lorsqu'un homme s'est violemment jeté sur elle. Il l'aurait traînée sur plusieurs mètres, par les cheveux, pour l'amener à son véhicule stationné à proximité. La quinquagénaire a réussi à lui faire lâcher prise après l'avoir mordu au niveau de la main. Elle a trouvé secours auprès de deux marcheuses.
L'homme a eu le temps de s'enfuir au volant de sa voiture. La victime, très choquée, a été admise à l'hôpital de Barbezieux. Elle a été entendue aujourd'hui par les enquêteurs.
Pour le voisinage, c'est la stupeur. La voie verte, si elle traverse des bois et autres endroits naturels, n'est pas connue pour sa dangerosité. 
http://www.sudouest.fr/2016/04/20/touverac-16-une-joggeuse-agressee-par-un-inconnu-2336553-813.php

Loire-Atlantique : un détenu s'évade du tribunal de Nantes en pleine audience

Alors qu'il venait tout juste d'être condamné à trois ans de prison ferme, un détenu de 20 ans a pris la fuite mercredi soir du tribunal de Nantes. Il était toujours en fuite ce jeudi.
Un homme de 20 ans s'est évadé mercredi soir du tribunal de grande instance de Nantes à la fin de son procès et était toujours recherché jeudi, selon le parquet. Le jeune homme, qui comparaissait sous mandat de dépôt pour un vol à main armée en mai 2014, a pris la fuite vers 20h30, peu après sa condamnation à trois ans de prison ferme avec maintien en détention, a indiqué à l'AFP Pierre Lecat, procureur adjoint de la République à Nantes.

Trompant la vigilance des policiers qui s'apprêtaient à lui repasser les menottes et à le conduire dans les geôles du palais, il a bondi hors du box et réussi à s'échapper par l'une des portes de la salle d'audience, a raconté le magistrat. Le détenu s'est retrouvé dans la salle des pas perdus du palais de justice et a réussi à quitter le tribunal en donnant un violent coup contre une issue de secours, a-t-on poursuivi de même source.
Sa condamnation à trois ans de prison et la révocation d'un sursis avec mise à l'épreuve de quatre mois, prononcées mercredi soir, s'ajoutaient à d'autres condamnations pour lesquelles le jeune homme était détenu jusqu'en mai 2017, a précisé le procureur adjoint. Le détenu était toujours activement recherché jeudi matin pour évasion, aggravée par le bris de l'issue de secours, a ajouté M. Lecat. La sûreté départementale a été chargée de l'enquête.

mercredi 20 avril 2016

Entremont (Haute-Savoie) : une adolescente de 14 ans réanime un homme en arrêt cardiaque

Elle lui a sans doute sauvé la vie. Il était un peu plus de 11h ce mardi matin lorsqu’un homme de 59 ans a été victime d’un arrêt cardiaque à son domicile d’Entremont. S’en apercevant, une adolescente de 14 ans, vraisemblablement locataire, s’est empressée d’appeler les secours. Guidée, au téléphone, par un médecin du Samu, elle a opéré un massage cardiaque qui a permis au cœur de la victime de repartir. L’homme a été transporté, conscient, vers le centre hospitalier d’Annecy.

La jeune fille avait suivi, en classe de CM2, une formation aux gestes élémentaires de premiers secours. C’est peut-être, d’après les pompiers de Haute-Savoie, ce qui pourrait expliquer l’efficacité de son massage.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie

Centre-ville de Mont-de-Marsan : quatre policiers menacés de mort et légèrement blessés

Mardi, devant le théâtre, le contrôle d'un homme de 25 ans s'est révélé particulièrement musclé
Quatre policiers montois ont été insultés, outragés, menacés de mort et légèrement blessés, mardi matin, par un homme de 25 ans contrôlé vers 10 heures alors qu'il buvait une bouteille de vin sous les halles du théâtre, place du Général-de-Gaulle, à Mont-de-Marsan
Le marginal de bonne corpulence, sous le coup de l'arrêté municipal interdisant la consommation d'alcool sur la voie publique, n'a pas apprécié d'être contrôlé.
Après une tentative de fuite par les locaux de la Société générale voisine, l'alcoolique déjà connu des services de police a opposé une forte résistance à son interpellation. Trois fonctionnaires en sont quittes pour un à trois jours d'ITT.
L'homme, qui affichait un taux de 0,2 g/l d'alcool dans le sang (l'équivalent d'une grande bière) devait être présenté au parquet dans la soirée.
http://www.sudouest.fr/2016/04/20/centre-ville-de-mont-de-marsan-quatre-policiers-menaces-de-mort-et-legerement-blesses-2336263-3452.php

mardi 19 avril 2016

Yonne : un pompier se tue dans un accident de la route

L'accident a eu lieu vers 16h sur la D606 entre Vincelles et Cravant en direction d'Auxerre. Le pompier, unsous-officier de 43 ans, circulait à bord de son véhicule personnel quand il s'est déporté et a percuté un poids-lourd qui arrivait en face.

Malgré l'arrivée rapide des secours, l'homme n'a pas survécu. Le préfet de l'Yonne s'est rendu sur place ainsi que le commandant des pompiers de l'Yonne.

Les sapeurs pompiers d'Auxerre sont très affectés par cette disparition. Le conducteur du poids lourd est indemne

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne/yonne-un-pompier-se-tue-dans-un-accident-de-la-route-978106.html

EN DIRECT. Marseille: Une conférence de presse de Franck Passi à 12h45... Michel vient de quitter la commanderie

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12h45: Conférence de presse de Michel prévue à la Commanderie

13h05: Pas pour tout de suite apparemment Franck Passi. On attend un peu pour voir.

13h00: Voilà, c'est fini pour Romain Alessandrini. On va passer à Franck Passi. Pas de Vincent Labrune ou de Basile Boli.

13h00: "Franck Passi nous a dit qu'il fallait vite se remobiliser, oublier un peu ce qu'il se passe autour. Et être un groupe, tout simplement."

12h58: "C'est quelqu'un que j'appréciais. C'est l'histoire d'un grand club, ça bouge tout le temps. C'est dommage."

12h56: "Quand on voit les matchs qu'on fait en ce moment, on a de la chance que le Gazélec et Reims perdent, sinon on serait reléguables. Faut au moins gagner un match qu'on soit tranquilles."

12h53: Est-ce que tout le monde tire dans le même sens? "C'est compliqué, il y a des joueurs prêtés et des joueurs en fin de contrat qui ne seront pas là l'an prochain, mais je sens tout le monde concerné".

12h51: "J'ai eu une bonne relation avec lui. Il a toujours fait son boulot. C'est quelqu'un de vrai qui dit les choses. Je pense qu'il était triste de la situation, comme nous les joueurs. Mais il y a tellement de choses qui se passent autour de ce club, on est un peu dépassés parfois. Mais voilà, on va tenter de se remobiliser pour faire de beaux matchs, se sauver et se qualifier pour la finale de Coupe de France".

12h50: "C'est à moi de juger ce genre de décisions. Michel a fait son boulot."

12h49: "Je ne sais pas si il y aura un choc psychologique. Je l'espère. C'est à nous les joueurs de réagir."

12h48: "On se doit de nous révolter. C'est pas possible. Il faut montrer autre chose. Il se passe quelque chose dans la tête."

12h47: "On se sent responsable, c'est nous qui sommes sur le terrain, il faut assumer. C'est facile de faire partir quelqu'un, nous les joueurs c'est plus dur de nous faire partir."

12h45: "Le coach nous a réuni avant l'entrainement et nous a annoncé qu'il ne serait plus le coach. Il a tenu à remercier les joueurs et le staff qui va continuer." Une surprise? "Oui et non. Depuis les résultats de quelques temps on savait que sa place était fragilisée. Maintenant il va falloir soutenir Franck Passi jusqu'à la fin de saison".

http://www.20minutes.fr/sport/football/1829383-20160419-direct-om-depart-surprise-entraineur-michel-banc-face-sochaux

dimanche 17 avril 2016

Isques : une femme dans un état grave après un violent carambolage à un péage de l'A16

Nouveau drame dans le Boulonnais ce week-end. Samedi aux environs de 18h20 sur l'A16 près de Isques, un carambolage de trois voitures a impliqué six personnes, raconte la Voix du Nord. Deux blessés ont été transportés dans un état grave aux hôpitaux de Lille et Boulogne

Une jeune maman transportée à l'hôpital

Deux voitures stationnaient au péage, attendant pour l'une de reprendre l'autoroute et pour l'autre de passer à son tour, quand une troisième est venue les percuter à l'arrière. Le conducteur de la Volvo aurait perdu le contrôle de son véhicule. Il n'est que légèrement blessé.

Une des voitures a embouti la barrière du péage. S'y trouvait une femme de 35 ans et ses deux enfants en bas âge. Si les enfants ont été légèrement blessés, le pronostic vital de la maman est engagé. Dans un état grave, elle a été transportée d'urgence à l'hôpital de Lille.    

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/isques-une-femme-dans-un-etat-grave-apres-un-violent-carambolage-un-peage-de-l-a16-977179.html

lundi 11 avril 2016

Haubourdin : un automobiliste franchit une ligne continue et percute violemment un motard

Un motard a été gravement blessé dimanche soir, après avoir été percuté par une voiture qui venait de franchir une ligne blanche pour se garer. Le pronostic vital de la victime est engagé
Un jeune motard de 28 ans a été violemment percuté par une voiture, alors qu'il circulait dimanche soir vers 20h20 dans la rue Sadi Carnot à Haubourdin. La victime, qui a été projetée à une dizaine de mètres, souffre de multiples fractures aux jambes et d'un traumatisme cranien. Son pronostic vital est engagé.
 Pour se garer en face

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'automobiliste de 27 ans au volant d'une C4 a franchi une ligne continue pour se garer le long de la voie opposée, lorsqu'il a percuté le motard. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/haubourdin-un-automobiliste-franchit-une-ligne-continue-et-percute-violemment-un-motard-972910.html

Hérault : il force un contrôle de gendarmerie à La Grande Motte

U n automobiliste a été interpellé ce dimanche matin à La Grande Motte par les gendarmes aux alentours de 6 h à l'issue d'une course-poursuite. 
Un conducteur contrôlé positif à l'alcool vers 6 h lors d'une opération mise en place à la sortie des boîtes de nuit de La Grande Motte par les gendarmes de la compagnie de Lunel, est remonté dans son véhicule et a pris la fuite. Il a réussi à forcer un second contrôle routier avant d'être rattrapé par les gendarmes du Psig sur un parking, feux éteints, en direction du Grau du Roi. Cerné, il a une nouvelle fois tenté de s'échapper mais cette fois il a percuté la voiture des forces de l'ordre qui l'ont interpellé. 
http://www.midilibre.fr/2016/04/10/la-grande-motte-il-force-un-controle-de-gendarmerie,1314430.php

dimanche 10 avril 2016

Ariège : 4 personnes intoxiquées lors du violent incendie d'un immeuble à Foix

Il aura fallu une quarantaine de pompiers équipés de leur grande échelle pour venir à bout samedi soir du violent incendie qui s'est déclaré vers 21 heures 30, pour une raison encore indéterminée, dans un immeuble du centre ancien de Foix, rue du Rival.

Parti du rez-de-chaussée, le feu s'est rapidement propagé dans les étages. Un policier qui tentait de prévenir les occupants des étages supérieurs ainsi que 3 locataires ont été intoxiqués par les fumées et ont dû être hospitalisés au centre hospitalier du Val d'Ariège. 4 autres personnes ont été soignées sur place.
Au total, 7 personnes dont 2 enfants ont été évacuées par les pompiers.

Les victimes ont été relogées par la mairie de Foix.

La police a ouvert une enquête pour déterminer les causes du sinistre


http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/ariege/ariege-4-personnes-intoxiquees-lors-du-violent-incendie-d-un-immeuble-foix-972310.html

Carcassonne : laissé pour mort durant 14 heures à sa sortie de boîte de nuit

Le compagnon de Sabrina Herrador est resté 14 heures prostré, à l'abri, après une violente agression.
Il était trois heures du matin samedi devant le 'Black' route de Limoux, lorsque Benoît, 38 ans - le compagnon de Sabrina Herrador, connue pour sa fonction de vice-présidente du Medef de l'Aude - lui dit qu'il rentre à la maison, "à pied". Dans le courant de l'après-midi, n'ayant aucune nouvelle de son compagnon, Sabrina Herrador décide de déposer un avis de disparition inquiétante au commissariat, synonyme d'une ouverture d'enquête.

Dans le même temps, elle tente de réunir - notamment par le biais des réseaux sociaux - le cercle de ses proches et connaissances pour organiser une battue le long des berges de l'Aude. Les heures passent, et avec elles l'angoisse, à peine soulagée après un coup de fil du commissariat à 17 heures. Son compagnon vient d'être retrouvé par un proche à une centaine de mètres de la route de Limoux. Il a immédiatement prévenu les secours. "Il s'est réfugié, agonisant, en état de choc, dans le centre de l'Afpa" expliquait Sabrina Herrador peu après 17 heures au téléphone, en route vers l'hôpital ou les sapeurs pompiers l'ont transporté. "Vivant, conscient" mais comme on l'apprendra plus tard, roué de coups sur tout le corps, comme l'indiquent les multiples contusions et le visage tuméfié. Ses jours ne sont pas en dangers, malgré la violence de l'agression et le temps passé sans secours, incapable de bouger. L'enquête de police devrait s'employer, selon sa compagne - que les policiers ont tenté tant bien que mal de rassurer - à visionner les enregistrements de vidéosurveillance
http://www.lindependant.fr/2016/04/10/violemment-agresse-a-sa-sortie-de-boite-de-nuit,2182895.php

Belfort : une voiture immergée dans l’étang des Forges

Dans l’eau de l’étang des Forges, seul le haillon et une partie du toit de la Peugeot 107 dépassaient. Cet incident inhabituel a suscité, ce samedi matin dès 7 h 15, la curiosité de promeneurs et de joggeurs. Ils ont alerté les pompiers qui ont envoyé, sur place, une équipe de plongeurs du centre de secours de Belfort-Nord. Elle s’est vite jetée à l’eau, rejoignant les policiers déjà sur place.
« Nous vérifions que personne ne se trouve dans l’habitacle ou aux abords du véhicule », expliquent le capitaine Régis Puricelli et le lieutenant Jean-Luc Devilloni, commandant les opérations de secours.
La reconnaissance n’ayant pas décelé de victime, les pompiers sont donc repartis pour revenir quelques minutes plus tard. Après concertation avec la Communauté de l'agglomération belfortaine, la Fédération de pêche du Territoire de Belfort et la police, décision a été prise de retirer la voiture.
Le garage Lucchina a donc déployé une grue, tandis que les pompiers plongeurs ont passé des élingues à travers l’habitacle. Puis le technicien du dépanneur a ramené le véhicule vers la digue avant de la soulever puis de la déposer sur la rive. Là, les curieux ont tous constaté que les clés se trouvaient sur le contact.
À partir de l’immatriculation dans les Yvelines, les policiers ont identifié puis contacté le propriétaire. Il est arrivé à la fin des opérations de dépannages. Visiblement désemparé par l’état de son véhicule, il a présenté la carte grise et l’assurance qui se trouvaient dans la voiture.

Le propriétaire dépose plainte

Les policiers ont aussi cherché à comprendre comment le véhicule s’est retrouvé dans l’eau. Ils ont localisé des traces d’accélération dans l’herbe.
« Cela devait arriver », déplore la conseillère départementale Julie De Breza, qui vit dans le secteur. « Des poteaux qui empêchent la circulation des véhicules autour de l’étang ont été retirés pour des travaux. Nous n’arrivons pas à obtenir qu’ils soient reposés. »
Pourtant les poteaux qui réduisent la largeur des chemins piétonniers étaient bel et bien en place. Il semblerait donc que la voiture est montée sur le trottoir à l’angle des rues Bussières et de Marseille puis est passée à travers la pelouse. Qui conduisait alors la petite Peugeot ? Son propriétaire affirme que ce n’était pas lui. Lors de son audition, il a expliqué avoir participé à une soirée étudiante très arrosée où quelqu’un lui aurait subtilisé les clés pour lui voler sa voiture. Il a d’ailleurs déposé plainte.
Un des habitants du quartier des Forges rappelait hier que les abords de la base nautique de l’étang sont, à la belle saison, le théâtre de beuveries nocturnes. « On les entend parfois crier jusqu’au petit matin », se plaint-il.
De son côté, le garde-pêche Jean-Marc Michalek a examiné la surface du plan d’eau. « Il n’y a pas de traces d’irisation », note-t-il. « Nous ne devrions pas être confrontés à une pollution. C’est déjà ça. » La semaine dernière, des poissons ont été retrouvés morts dans le canal à cause de produits toxiques ayant fui dans l'eau.
Le véhicule qui est désormais inutilisable a été emmené.
Dans un second temps, il a fallu remorquer le camion de dépannage du garage Lucchina. En soulevant la voiture, ses roues arrières s’étaient enfoncées dans la terre grasse. Il s’est embourbé en tentant d’en sortir

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/04/09/belfort-une-voiture-immergee-dans-l-etang-des-forges

dimanche 3 avril 2016

Un couple en garde à vue après la mort d'un bébé de 2 ans

Un jeune couple a été placé aujourd'hui en garde à vue après la mort d'un petit garçon de 2 ans sur lequel des hématomes suspects ont été détectés par des médecins.
 Selon les premiers éléments, les médecins urgentistes ont alerté la justice en raison des hématomes qu'ils ont découverts sur le corps de l'enfant et qui pourraient avoir été provoqués par des violences.
Une autopsie de l'enfant est prévue lundi.
Une enquête pour "coups ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineur de 15 ans" a été ouverte et une autopsie de l'enfant est prévue, a-t-on précisé de source policière, confirmant une information de La Dépêche du Midi

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Narbonne: elle conduisait en pleine nuit avec 1,86 g d'alcool dans le sang

Pour cette automobiliste de 30 ans, le trajet s'est terminé en accident… fort heureusement sans gravité.
Vers 1 h 25, dans la nuit de vendredi à samedi, alors qu'elle circulait route de Perpignan, l'intéressée a en effet percuté un poteau de signalisation et le panneau d'une entreprise. Les fonctionnaires de police procéderont au contrôle d'alcoolémie de la conductrice : il confirmera que celle-ci avait sensiblement abusé de la boisson.

Avec un taux de 1,86 g d'alcool dans le sang, elle n'aurait en effet jamais dû prendre le volant. Placée en garde à vue, cette automobiliste a fait l'objet d'un retrait immédiat du permis de conduire. Le reste de la procédure dépendra d'éventuelles plaintes de la Ville et de l'entreprise, toutes deux "victimes" de cet accident.

http://www.lindependant.fr/2016/04/03/elle-conduisait-en-pleine-nuit-avec-1-86-g-d-alcool-dans-le-sang,2179540.php

De quoi est mort l'ancien légionnaire?

André Arami, âgé de 62 ans, a été découvert mort hier dans la matinée, à son domicile situé rue Jules-Ferry à Fleurance. C'est l'un de ses fils qui a fait la macabre découverte. Comme d'autres personnes, il s'inquiétait d'être sans nouvelles de son père depuis plusieurs jours. C'est dans une pièce de l'appartement situé à l'étage d'un bâtiment dont le rez-de-chaussée est occupé par un centre de dyalise qu'André Arami, un Français d'origine marocaine, a été découvert sans vie avec une blessure à la tête. De plus beaucoup de sang maculait le sol de cette pièce, «en grand désordre» se disait-il sur place. Il se colportait aussi que l'appartement était fermé à clé de l'intérieur et qu'aucune trace d'effraction n'aurait été relevée. Bien connu à Fleurance où l'on parle de lui comme «d'un homme sans histoires», André Arami, divorcé, père de plusieurs enfants, vivait seul. Mais pas en solitaire comme en témoignent tous ceux qui le croisaient ou échangeaient avec lui en divers endroits de la ville. Retraité depuis 3 ans, il avait fait partie de la légion étrangère avant de travailler pour l'entreprise de charpente industrielle fleurantine Troisel. Hier sitôt l'alerte donnée, les gendarmes de Fleurance se sont rendus sur les lieux avant d'être rejoints par ceux de l'identification criminelle. La levée du corps a eu lieu vers 16 h. Il a été transporté à l'institut médico-légal de Toulouse aux fins d'autopsie.
 

samedi 2 avril 2016

Froges (Isère) : un jeune homme de 22 ans gravement blessé dans un accident

L'accident s'est produit à 19h30 ce vendredi 1er avril. Dans des circonstances encore indéterminées, une voiture et une mobylette sont entrées en collision. Le jeune conducteur du deux-roues, gravement blessé, a été transféré sur le CHU de Grenoble
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/froges-isere-une-jeune-homme-de-22-ans-gravement-blesse-dans-un-accident-966337.html

Lot-et-Garonne: Il vient régler une facture aux impôts avec 23.000 pièces de 1 cent

Cet agriculteur ne manque pas d’imagination. En décembre 2015, il était venu régler ses impôts à Marmande, dans le Lot-et-Garonne, avec ses animaux. Le centre des finances avait déposé plainte pour dégradation de lieux publics. Jeudi, il a souhaité payer la facture de nettoyage, soit 239,40 euro, avec une valise remplie de 23.000 pièces de 1 cent, relate Sud Ouest.

« Cela fait 460 rouleaux »

« J’ai compté, cela fait 460 rouleaux », souligne cet agriculteur trentenaire dans les colonnes du quotidien régional en se disant « pris à la gorge ». Il a voulu montrer son ras-le-bol. Par ailleurs, il avait apporté une lettre d’excuses, réclamée par le centre financier lors d’une médiation judiciaire.
Cette lettre était signée de son nom, mais aussi par Lili la vache, Tao le lama, ainsi que par Nougat et Réglisse, ses chèvres des Pyrénées… Autant d’animaux présents en décembre lors sa première intervention. Finalement, ses centimes et sa lettre d’excuses ont été refusés par l'administration.
http://www.20minutes.fr/bordeaux/

Manche : grave accident de moto à Saint-Lô

Seul au guidon de sa moto, un jeune homme de 21 ans a été grièvement blessé dans un accident, ce vendredi 1er avril en soirée à Saint-Lô (Manche).
Un grave accident de moto s'est produit ce vendredi 1er avril à Saint-Lô, aux alentours de 22 heures. Dans des circonstances restant à déterminer précisément, le pilote, âgé de 21 ans, a perdu le contrôle de son deux-roues alors qu’il circulait sur le boulevard de Strasbourg. Juste avant de s'engager sur le rond-point de l’Europe, le motard serait monté sur le terre-plein central, percutant de plein fouet un panneau, qui a été arraché sous le choc, avant de finir sa course dans les buissons sur le rond-point de l’Europe, en face.
D'importants moyens de secours
Rapidement, le Service départemental d’incendie et de secours de la Manche a déployé d’importants moyens sur place : une ambulance, un véhicule de secours routier, un véhicule de balisage, sans oublier une équipe du SMUR. Soit une dizaine de sapeurs-pompiers environ, placés sous les ordres du lieutenant Thierry Dupray.
Blessé au fémur 
Le jeune motard, âgé de 21 ans, a été grièvement blessé et a dû faire l'objet d'un transport médicalisé vers l'Hôpital Mémorial de Saint-Lô. Il souffrait notamment de douleurs à une jambe, au niveau du fémur. La police a dévié les véhicules qui s'apprêtaient à prendre la voie rapide le temps de l’intervention, qui a duré une partie de la soirée.
Des chiffres alarmants… et des contrôles
Ce nouvel accident n'arrangera pas les chiffres 2016 de la sécurité routière dans la Manche, où on déplore une forte hausse des accidents de la route. Pour y remédier, le préfet Jacques Witkowski avait annoncé des contrôles intensifiés à l’occasion des départs en vacances. Dans la foulée ce vendredi, les forces de l’ordre avaient relevé 54 infractions lors d’un contrôle inopiné.
http://www.lamanchelibre.fr/actualites-recherche.html?recherchetag=+accident+de+moto
 

Gard : un homme de 41 ans tué par balles à Beaucaire

C e vendredi vers 16 h 30, un père de famille a été abattu par balles à Beaucaire (Gard).
Il était environ 17 heures, ce vendredi 1er avril, quartier chemin du Mas-des-Cailloux à Beaucaire, quand une violente dispute aurait éclaté entre un père, son fils de 17 ans, et sa fille majeure. Au cours de la dispute, un des deux enfants aurait sorti une arme à feu avec laquelle le père de famille a été abattu d'une balle dans la carotide, selon nos informations.  Les deux enfants ont été interpellés et placés en garde à vue.  L'enquête a été confiée à l'antenne de la police judiciaire de Nîmes.
http://www.midilibre.fr/2016/04/01/un-homme-de-41-ans-tue-par-balles-a-beaucaire,1310060.php

vendredi 1 avril 2016

Une enfant gravement blessée près de Rouen

Une petite fille âgée de 8 ans a été transportée dans un état grave aux urgences du CHU de Rouen en fin de journée, hier jeudi 31 mars.

C'est peu avant 18h, alors qu'elle courait après son ballon qu'elle a débouché sur la chaussée de la rue de la rue du 8 mai 1945 au moment où une voiture arrivait.
Le conducteur du véhicule (une Citroën C3) n'a rien pu faire pour éviter pour éviter la collision.

Hier, le pronostic vital de la petite fille (qui souffrait d'une hémorragie interne) était engagé.
Quant au conducteur de la C3, choqué, il ne conduisait pas vite et n'avait pas consommé d'alcool ni de produit stupéfiant…
Les experts de la brigade des accidents et délits routiers sont chargés de l'enquête.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen

Nancy : les millions s’évaporent sur le Net

Retraité d’une société internationale cotée en bourse, cet habitant de la banlieue nancéienne pensait avoir trouvé le bon filon pour doper son capital en un temps record. Pas en laissant dormir ses fonds à 0,75 % sur un livret A mais en investissant à un taux mirifique sur le marché des changes, le Forex (de l’anglais Foreign Exchange). Un marché interbancaire où s’échangent 24 h/24 h, les devises internationales. Un trading mondial sur lequel règne en maître le broker (courtier) mais qui s’est ouvert aux particuliers avec l’essor d’internet, via des sociétés de trading en ligne.
Si certaines entreprises sont reconnues par l’Autorité des marchés financiers (AMF), le régulateur de la place financière tient à jour une liste noire - consultable en ligne - de plusieurs centaines de sites suspects ou non autorisés à fournir des services d’investissements en France. Appâté par les promesses de gains et les fenêtres publicitaires (pop-up) en pleine floraison sur l’écran de son ordinateur, le retraité à la fibre boursicoteuse se laisse aller à remplir un formulaire de renseignements pour jouer l’apprenti trader. Peu après son inscription expédiée dans les méandres du Net, un interlocuteur de la société en question le contacte. L’homme se présente dans un français parfait sous une identité qui sonne « vieille France ». Un premier contact téléphonique rassurant.
Beaucoup d’autres appels suivront. Mis en confiance, conditionné par un discours bien rodé et une courbe de progression/performance de son portefeuille accessible en live, l’investisseur se laisse convaincre d’injecter quelques centaines d’euros, histoire de se faire la main. Le retour sur investissement est au rendez-vous. Le piège est en train de se refermer sur la souris dorée du retraité qui, à coups de clics, va engager un total de près de 3 millions d’euros. Avant que ses proches ne découvrent tardivement le pot aux roses en naviguant sur la fameuse liste noire de l’AMF.

Comptes bancaires rebonds

La somme - colossale - évaporée à partir du faux site de trading vers des comptes bancaires rebonds souvent domiciliés de manière éphémère en Pologne, Slovénie, République Tchèque, Royaume-Uni, Israël ou encore Hong Kong, ne sera très probablement jamais récupérée. Un mode opératoire similaire dont aurait déjà été victime une dizaine de particuliers en Lorraine mais avec un préjudice moindre. Et dès lors que le trader en herbe souhaite percevoir la valorisation de son capital, on lui réclame des frais, on l’oriente vers une (fausse) société de recouvrement…
Un nouvel écran de fumée ou le 2e essorage financier d’une victime raccrochée à l’espoir de se refaire, comme au casino. Et dès lors que la poire ne produit plus la moindre goutte de jus, elle n’a plus d’accès au site qui souvent, change de nom ; les contacts téléphoniques cessent et les numéros d’appels sonnent aux abonnés absents. Bref, le black-out total en un claquement de doigt autour d’une victime happée par une machine criminelle qui excelle dans l’art d’aspirer les millions d’euros. Sans même une rencontre physique préalable avec un investisseur. Ou l’art de surfer sur l’évolution de notre société et notre façon, exponentielle, de consommer du Net. Sans modération. Les yeux fermés.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/04/01/escoquerie-a-nancy-les-millions-s-evaporent-sur-le-net