Les faits se sont produits à la mi-journée à Biscarrosse (Landes). Un homme circulant sur un scooter déclaré comme volé a été pris en chasse par des gendarmes.
Lors de la course-poursuite, tous sont tombés. Les militaires ont ensuite tenté de procéder à l'interpellation du suspect.
C'est dans ce contexte que le gendarme a utilisé son arme de service, vraisemblablement en raison du comportement agressif de l'individu qui a légèrement blessé un autre militaire.
L'homme, touché au niveau de l'aine, a été hospitalisé et le gendarme devait être placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Pau et à l'Inspection générale des services.
La préfecture des Landes n'a pas souhaité faire de commentaires à ce stade et les pompiers, contactés vers 13 heures, ont simplement indiqué qu' "une opération de secours était en cours en lien avec l'affaire".
L'incident intervient deux jours après une autre interpellation mouvementée dimanche soir, à Vieux-Boucau. Un gendarme de 27 ans avait alors blessé par balle un forcené. Le gendarme avait été appelé pour un conflit familial entre un homme de 42 ans et la famille de son ex-compagne chez qui il se trouvait.
Lors de l'intervention des militaires, le forcené aurait proféré des menaces avant de foncer sur les gendarmes, le couteau à la main, selon le parquet.
Le gendarme avait alors tiré sur le "forcené" le blessant au bas ventre. Brièvement placé en garde à vue, le militaire a été laissé libre lundi soir, alors que l'enquête, qui n'est pas terminée, semble pencher pour la légitime défense.
http://www.sudouest.fr/2013/07/31/biscarrosse-un-homme-blesse-par-un-gendarme-1129386-3307.php
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
mercredi 31 juillet 2013
Enquête sur un double infanticide attribué à une militaire
Caporal-chef âgée de 32 ans, la mère présumée des deux nouveau-nés, actuellement enceinte de huit mois selon les médecins qui l'ont examinée, a été mise en examen vendredi pour homicides volontaires sur mineurs, a déclaré Philippe Varin, procureur de la République à Tours.
Mère d'une fille de 14 ans, elle a été placée en détention provisoire. "On pouvait craindre, vu son état de grossesse très avancé, une récidive et aussi qu'elle tente de mettre fin à ses jours", a expliqué le procureur, évoquant une femme qui "vit seule" et "semble avoir des problèmes psychologiques".
Des nourrissons nés à 2 ou 3 ans d'intervalle
Les deux cadavres ont été découverts mardi 23 juillet dans un casier, non attribué, près des cuisine de la base aérienne. C'est l'odeur émanant de ce casier qui a alerté le personnel. A l'intérieur, deux sacs en plastique contenant des cadavres de nouveau-nés "dans un état très dégradé" ont été découverts, entraînant l'ouverture d'une enquête confiée à la gendarmerie de l'air.
Vraisemblablement, l'un des nourrissons était né il y a environ un an, et le second il y a trois ou quatre ans. Avisée qu'on s'intéressait à elle, la militaire s'est présentée à la gendarmerie. "Elle a tout de suite indiqué qu'effectivement, elle avait eu
deux nouveau-nés qu'elle avait tués, ce sont ses termes", a précisé le procureur.
Sept ans après les "bébés congelés de Séoul"
Cette affaire intervient dans le département d'Indre-et-Loire, sept ans après celle "des bébés congelés de Séoul". Un père de famille avait par hasard découvert dans le congélateur de la villa familiale, dans la capitale sud-coréenne, les corps de deux nouveau-nés. Sa femme, Véronique Courjault, devait reconnaître trois infanticides -un en France, deux en Corée du Sud- pour lesquels elle a été condamnée en 2009, à Tours, à 8 ans d'emprisonnement. Détenue pendant près de quatre ans, elle a été libérée en mai 2010.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/tours-enquete-sur-un-double-infanticide-attribue-a-une-militaire-30-07-2013-2188526.php
Mère d'une fille de 14 ans, elle a été placée en détention provisoire. "On pouvait craindre, vu son état de grossesse très avancé, une récidive et aussi qu'elle tente de mettre fin à ses jours", a expliqué le procureur, évoquant une femme qui "vit seule" et "semble avoir des problèmes psychologiques".
Des nourrissons nés à 2 ou 3 ans d'intervalle
Les deux cadavres ont été découverts mardi 23 juillet dans un casier, non attribué, près des cuisine de la base aérienne. C'est l'odeur émanant de ce casier qui a alerté le personnel. A l'intérieur, deux sacs en plastique contenant des cadavres de nouveau-nés "dans un état très dégradé" ont été découverts, entraînant l'ouverture d'une enquête confiée à la gendarmerie de l'air.
Vraisemblablement, l'un des nourrissons était né il y a environ un an, et le second il y a trois ou quatre ans. Avisée qu'on s'intéressait à elle, la militaire s'est présentée à la gendarmerie. "Elle a tout de suite indiqué qu'effectivement, elle avait eu
deux nouveau-nés qu'elle avait tués, ce sont ses termes", a précisé le procureur.
Sept ans après les "bébés congelés de Séoul"
Cette affaire intervient dans le département d'Indre-et-Loire, sept ans après celle "des bébés congelés de Séoul". Un père de famille avait par hasard découvert dans le congélateur de la villa familiale, dans la capitale sud-coréenne, les corps de deux nouveau-nés. Sa femme, Véronique Courjault, devait reconnaître trois infanticides -un en France, deux en Corée du Sud- pour lesquels elle a été condamnée en 2009, à Tours, à 8 ans d'emprisonnement. Détenue pendant près de quatre ans, elle a été libérée en mai 2010.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/tours-enquete-sur-un-double-infanticide-attribue-a-une-militaire-30-07-2013-2188526.php
Montpellier : un policier blessé dans un accident
Un policier a été blessé lundi soir dans un accident de voiture.
Un équipage de police qui rentrait au commissariat de Montpellier a eu un accident, lundi soir, vers 20 h, devant le lycée Mermoz.
Les agents conduisaient un individu tout juste interpellé lorsqu'est survenue cette collision pour un motif inconnu. Un policier a été blessé au front.
http://www.midilibre.fr/2013/07/30/montpellier-un-policier-blesse-dans-un-accident,740377.php
Un équipage de police qui rentrait au commissariat de Montpellier a eu un accident, lundi soir, vers 20 h, devant le lycée Mermoz.
Les agents conduisaient un individu tout juste interpellé lorsqu'est survenue cette collision pour un motif inconnu. Un policier a été blessé au front.
http://www.midilibre.fr/2013/07/30/montpellier-un-policier-blesse-dans-un-accident,740377.php
mardi 30 juillet 2013
Landes : fin de garde à vue pour le gendarme, le forcené devrait être présenté à la justice
L'homme qui a menacé des gendarmes mobiles, dimanche soir à Vieux-Boucau, a été placé en garde à vue depuis ce mardi matin.
Recherché depuis la veille pour divers faits de violence à l'encontre de la famille d'accueil où a été placé son enfant, ce quadragénaire avait récidivé chez la famille de son ex-compagne.
Le forcené, couteau à la main, s'en était alors pris aux deux représentants des forces de l'ordre, arrivés sur les lieux. L'un d'entre-eux avait néanmoins réussi à le neutraliser en lui tirant dans l'aine avec son arme de service.
Hospitalisé, l'agresseur a été interrogé ce mardi sur ces faits. Sa garde à vue a été prolongée à mercredi, où il devrait être déferré devant le parquet de Dax.
La mesure à l'encontre du gendarme mobile a pour sa part pris fin lundi soir. L'auteur du coup de feu, choqué, était en renfort estival sur le littoral landais. Il devrait prochainement réintégrer son escadron, à Toulouse, en attendant que l'enquête livre son avis sur son geste.
http://www.sudouest.fr/2013/07/30/landes-fin-de-garde-a-vue-pour-le-gendarme-le-forcene-devrait-etre-presente-a-la-justice-1128518-3350.php
Recherché depuis la veille pour divers faits de violence à l'encontre de la famille d'accueil où a été placé son enfant, ce quadragénaire avait récidivé chez la famille de son ex-compagne.
Le forcené, couteau à la main, s'en était alors pris aux deux représentants des forces de l'ordre, arrivés sur les lieux. L'un d'entre-eux avait néanmoins réussi à le neutraliser en lui tirant dans l'aine avec son arme de service.
Hospitalisé, l'agresseur a été interrogé ce mardi sur ces faits. Sa garde à vue a été prolongée à mercredi, où il devrait être déferré devant le parquet de Dax.
La mesure à l'encontre du gendarme mobile a pour sa part pris fin lundi soir. L'auteur du coup de feu, choqué, était en renfort estival sur le littoral landais. Il devrait prochainement réintégrer son escadron, à Toulouse, en attendant que l'enquête livre son avis sur son geste.
http://www.sudouest.fr/2013/07/30/landes-fin-de-garde-a-vue-pour-le-gendarme-le-forcene-devrait-etre-presente-a-la-justice-1128518-3350.php
Accident de train au Ferret : la famille reste très marquée
Michelle et Jean-Marc Luga vont peut-être enfin voir le bout du tunnel judiciaire après une longue et minutieuse instruction menée par Françoise Gambachidzé, doyenne des juges du tribunal de grande instance de Bordeaux. L’information ouverte au mois d’août 2010 serait désormais terminée et les parties n’auraient, pour l’instant, pas fait d’observation et n’auraient pas non plus sollicité d’investigations complémentaires. Le dossier pourrait donc être transmis prochainement au parquet afin que celui-ci rédige son réquisitoire définitif en vue d’un possible renvoi devant le tribunal correctionnel du conducteur de la machine et du maire de Lège-Cap-Ferret, Michel Sammarcelli, tous deux mis en examen.
« On a vraiment le moral à zéro, on s’est vraiment sentis abandonnés, souffle Jean-Marc Luga. On voudrait maintenant pouvoir tourner la page. » Celle-ci restera à jamais marquée dans la vie du couple venu passer ses vacances au Cap-Ferret à la fin du mois de juillet 2010. Arrivés le 26, Michelle et Jean-Marc Luga ont choisi de prendre le petit train - qui fonctionne toujours aujourd’hui via une délégation de service public - pour découvrir le site. 55 passagers se répartissent dans les wagons. Eux montent à l’avant. Arrivé dans une côte, sur la dune, le petit train a du mal à grimper. Le conducteur, inexpérimenté, cale.
Un handicap irréversible
L’ensemble part en marche arrière. Michelle Luga saute et est violemment percutée au niveau de la colonne vertébrale. Depuis, elle est paraplégique. « Je souffre de cette non-reconnaissance du statut de victime », confie cette infirmière pédiatrique de 62 ans, à la retraite depuis 2007. L’accident a causé un handicap irréversible : elle ne remarchera jamais. Le couple qui réside à Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, a été contraint de procéder à des aménagements pour permettre l’accès en fauteuil roulant. « Une indemnisation ne sera jamais à la hauteur de ce que j’ai perdu tant sur le plan physique, affectif, social et familial, poursuit Michelle Luga. Je vais être grand-mère, comment vais-je pouvoir m’occuper de ce bébé ? Mes souffrances morales sont quasi permanentes. J’ai de l’énergie pour les miens, beaucoup de volonté, mais je touche du doigt les difficultés de la vie de tous les jours. J’essaye d’en faire un maximum, d’être au plus près de ce que j’étais avant. »
20 000 euros de provision
Son mari ne décolère pas et ne comprend pas « pourquoi une assurance laisse une victime se débattre avec ses problèmes financiers qui s’ajoutent au handicap ». Après une vaine tentative de transaction à l’amiable avec la compagnie d’assurance de la commune de Lège-Cap-Ferret, le tribunal administratif de Bordeaux, à l’issue d’une bataille juridique, a condamné cette dernière à verser 20 000 euros de provision à Michelle Luga. « La Caisse d’assurances maladie a pour l’instant été mieux indemnisée que nous ! », maugrée Jean-Marc Luga qui regrette « les lenteurs de la justice au plan civil ».
Dans quelques jours, son épouse doit subir une nouvelle expertise médicale à Marseille. « Il ne faudrait pas que cela retarde encore les choses… »
http://www.sudouest.fr/2013/07/30/on-s-est-vraiment-sentis-abandonnes-1127720-4626.php
« On a vraiment le moral à zéro, on s’est vraiment sentis abandonnés, souffle Jean-Marc Luga. On voudrait maintenant pouvoir tourner la page. » Celle-ci restera à jamais marquée dans la vie du couple venu passer ses vacances au Cap-Ferret à la fin du mois de juillet 2010. Arrivés le 26, Michelle et Jean-Marc Luga ont choisi de prendre le petit train - qui fonctionne toujours aujourd’hui via une délégation de service public - pour découvrir le site. 55 passagers se répartissent dans les wagons. Eux montent à l’avant. Arrivé dans une côte, sur la dune, le petit train a du mal à grimper. Le conducteur, inexpérimenté, cale.
Un handicap irréversible
L’ensemble part en marche arrière. Michelle Luga saute et est violemment percutée au niveau de la colonne vertébrale. Depuis, elle est paraplégique. « Je souffre de cette non-reconnaissance du statut de victime », confie cette infirmière pédiatrique de 62 ans, à la retraite depuis 2007. L’accident a causé un handicap irréversible : elle ne remarchera jamais. Le couple qui réside à Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, a été contraint de procéder à des aménagements pour permettre l’accès en fauteuil roulant. « Une indemnisation ne sera jamais à la hauteur de ce que j’ai perdu tant sur le plan physique, affectif, social et familial, poursuit Michelle Luga. Je vais être grand-mère, comment vais-je pouvoir m’occuper de ce bébé ? Mes souffrances morales sont quasi permanentes. J’ai de l’énergie pour les miens, beaucoup de volonté, mais je touche du doigt les difficultés de la vie de tous les jours. J’essaye d’en faire un maximum, d’être au plus près de ce que j’étais avant. »
20 000 euros de provision
Son mari ne décolère pas et ne comprend pas « pourquoi une assurance laisse une victime se débattre avec ses problèmes financiers qui s’ajoutent au handicap ». Après une vaine tentative de transaction à l’amiable avec la compagnie d’assurance de la commune de Lège-Cap-Ferret, le tribunal administratif de Bordeaux, à l’issue d’une bataille juridique, a condamné cette dernière à verser 20 000 euros de provision à Michelle Luga. « La Caisse d’assurances maladie a pour l’instant été mieux indemnisée que nous ! », maugrée Jean-Marc Luga qui regrette « les lenteurs de la justice au plan civil ».
Dans quelques jours, son épouse doit subir une nouvelle expertise médicale à Marseille. « Il ne faudrait pas que cela retarde encore les choses… »
http://www.sudouest.fr/2013/07/30/on-s-est-vraiment-sentis-abandonnes-1127720-4626.php
Landes : menacé d'expulsion, il met le feu à son appartement
Menacé d'expulsion depuis de nombreux mois, un homme a mis le feu à son appartement, situé impasse du Bareusquit, à Saint-Vincent-de-Tyrosse mardi matin.
Visé par une procédure demandée par l'office des HLM de la commune, il a tout d'abord refusé d'ouvrir la porte à l'huissier et aux gendarmes venus se présenter chez lui, vers 8 heures.
Malgré des tentatives de négociations, l'homme a, ensuite, menacé ses interlocuteurs d'incendier les lieux avant de passer à l'acte.
Grâce à l'arrivée rapide des sapeurs-pompiers des centres de Saint-Vincent-de-Tyrosse et de Capbreton, l'incendie a été rapidement maîtrisé et l'appartement n'a été que légèrement endommagé.
Le locataire, indisposé par les fumées, a pour sa part été interpellé alors qu'il tentait de fuir par une fenêtre située à l'arrière des lieux.
Évacué vers le centre hospitalier de Dax par mesure de précaution, il en est sorti à 14 heures. Il a été placé en garde à vue et devait être interrogé par les gendarmes.
http://www.sudouest.fr/2013/07/30/tyrosse-menace-d-expulsion-il-met-le-feu-a-son-appartement-1128397-3539.php
Visé par une procédure demandée par l'office des HLM de la commune, il a tout d'abord refusé d'ouvrir la porte à l'huissier et aux gendarmes venus se présenter chez lui, vers 8 heures.
Malgré des tentatives de négociations, l'homme a, ensuite, menacé ses interlocuteurs d'incendier les lieux avant de passer à l'acte.
Grâce à l'arrivée rapide des sapeurs-pompiers des centres de Saint-Vincent-de-Tyrosse et de Capbreton, l'incendie a été rapidement maîtrisé et l'appartement n'a été que légèrement endommagé.
Le locataire, indisposé par les fumées, a pour sa part été interpellé alors qu'il tentait de fuir par une fenêtre située à l'arrière des lieux.
Évacué vers le centre hospitalier de Dax par mesure de précaution, il en est sorti à 14 heures. Il a été placé en garde à vue et devait être interrogé par les gendarmes.
http://www.sudouest.fr/2013/07/30/tyrosse-menace-d-expulsion-il-met-le-feu-a-son-appartement-1128397-3539.php
Collision sur l'A4 : une personne grièvement blessée
SAINTE-MENEHOULD (51). Smur, pompiers et gendarmes sont intervenus pendant près de deux heures ce matin pour porter secours aux occupants d'un véhicule accidenté sur l'A4, quelques kilomètres seulement après le diffuseur de Sainte-Ménehould, dans le sens Reims-Metz. La voiture semble avoir heurté l'arrière d'un poids-lourd avant de s'immobiliser sur la voie de gauche, le long de la glissière de sécurité.
A son bord quatre adultes et un enfant en bas âge. Quatre des cinq occupants sont indemnes mais la passagère située à l'avant du véhicule a été sérieusement blessée. Après l'avoir désincarcérée, les pompiers l'ont confiée à l'hélicoptère du SMUR qui l'a conduite au centre hospitalier de Reims, ville d'origine des occupants du véhicule.
http://www.lunion.presse.fr/region/collision-sur-l-a4-une-personne-grievement-blessee-ia3b24n166686
A son bord quatre adultes et un enfant en bas âge. Quatre des cinq occupants sont indemnes mais la passagère située à l'avant du véhicule a été sérieusement blessée. Après l'avoir désincarcérée, les pompiers l'ont confiée à l'hélicoptère du SMUR qui l'a conduite au centre hospitalier de Reims, ville d'origine des occupants du véhicule.
http://www.lunion.presse.fr/region/collision-sur-l-a4-une-personne-grievement-blessee-ia3b24n166686
Lyon : cinq blessés dont quatre enfants dans une collision
Une fillette de 10 ans a été grièvement blessée, ce lundi vers 15 heures dans le quartier de La Part-Dieu, dans une collision entre deux véhicules. L'accident qui, selon les premiers éléments de l'enquête, aurait pour origine un feu rouge grillé, a également fait quatre victimes plus légèrement touchées. Parmi elles, deux enfants de 1 et 3 ans.
La collision s'est produite vers 15h10 au carrefour entre la rue de la Villette et la rue Saint-Antoine (à cette intersection, la rue de Bonnel devient la rue Saint-Antoine).
Selon les premiers éléments recueillis sur place par les enquêteurs, une première voiture, dans laquelle se trouvait deux enfants âgés de 1 et 3 ans, aurait grillé le feu rouge. Elle serait alors entrée en collision avec un deuxième véhicule.
La conductrice de ce dernier, âgée de 45 an,s a été légèrement blessé. Ses deux filles de 10 et 16 ans ont été plus gravement touchées. En particulier la plus jeune, qui a été évacuée en urgence absolue
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/29/lyon-cinq-blesses-dont-quatre-enfants-dans-une-collision
La collision s'est produite vers 15h10 au carrefour entre la rue de la Villette et la rue Saint-Antoine (à cette intersection, la rue de Bonnel devient la rue Saint-Antoine).
Selon les premiers éléments recueillis sur place par les enquêteurs, une première voiture, dans laquelle se trouvait deux enfants âgés de 1 et 3 ans, aurait grillé le feu rouge. Elle serait alors entrée en collision avec un deuxième véhicule.
La conductrice de ce dernier, âgée de 45 an,s a été légèrement blessé. Ses deux filles de 10 et 16 ans ont été plus gravement touchées. En particulier la plus jeune, qui a été évacuée en urgence absolue
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/29/lyon-cinq-blesses-dont-quatre-enfants-dans-une-collision
lundi 29 juillet 2013
Béziers : un Narbonnais se défenestre du commissariat pour s'enfuir
Pour éviter la prison, le jeune homme a préféré sauter par la fenêtre.
Il y a quelques jours, un jeune Narbonnais, conduit au commissariat de police de Béziers, a tenté une spectaculaire évasion en sautant par la fenêtre du bâtiment.
Interpellé dans le cadre d’une procédure pour vols, le jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années, a été placé en garde à vue. Le dossier pénal de cet homme a démontré qu’il était déjà connu de la justice et qu’il avait été récemment condamné à une peine de trois mois de prison, qu’il n’a jamais effectuée.
Sa chute l'empêche d'aller plus loin
Lorsque les fonctionnaires de police biterrois lui ont notifié son renvoi immédiat en prison, le jeune Narbonnais est monté sur le bureau du policier et a sauté par la fenêtre qui donne sur la place Général-de-Gaulle ; fenêtre qui était ouverte pour tenter de rafraîchir l’air ambiant.
Par chance, le jeune homme a sauté du premier étage. Quelques mètres plus bas, il s’est réceptionné sur ses jambes mais, dans la chute, il s’est fait mal au dos et s’est pincé les vertèbres lombaires ; une blessure qui l’a empêché d’aller plus loin....
Il a été hospitalisé à Béziers et sa garde à vue a été levée. Le dossier doit être transmis au parquet de Narbonne pour déterminer comment sera exécutée la peine à laquelle il avait été initialement condamné
http://www.midilibre.fr/2013/07/29/se-defenestre-du-commissariat,739916.php
Il y a quelques jours, un jeune Narbonnais, conduit au commissariat de police de Béziers, a tenté une spectaculaire évasion en sautant par la fenêtre du bâtiment.
Interpellé dans le cadre d’une procédure pour vols, le jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années, a été placé en garde à vue. Le dossier pénal de cet homme a démontré qu’il était déjà connu de la justice et qu’il avait été récemment condamné à une peine de trois mois de prison, qu’il n’a jamais effectuée.
Sa chute l'empêche d'aller plus loin
Lorsque les fonctionnaires de police biterrois lui ont notifié son renvoi immédiat en prison, le jeune Narbonnais est monté sur le bureau du policier et a sauté par la fenêtre qui donne sur la place Général-de-Gaulle ; fenêtre qui était ouverte pour tenter de rafraîchir l’air ambiant.
Par chance, le jeune homme a sauté du premier étage. Quelques mètres plus bas, il s’est réceptionné sur ses jambes mais, dans la chute, il s’est fait mal au dos et s’est pincé les vertèbres lombaires ; une blessure qui l’a empêché d’aller plus loin....
Il a été hospitalisé à Béziers et sa garde à vue a été levée. Le dossier doit être transmis au parquet de Narbonne pour déterminer comment sera exécutée la peine à laquelle il avait été initialement condamné
http://www.midilibre.fr/2013/07/29/se-defenestre-du-commissariat,739916.php
Antony : la préparatrice en pharmarcie fournissait des produits dopants
Elle n’avait qu’à ouvrir les tiroirs de son commerce pour se servir... Une préparatrice en pharmacie, âgée de 23 ans, a été interpellée, en début de semaine dernière par les enquêteurs de la police judiciaire des Hauts-de-Seine. Cette jeune femme, employée dans une pharmacie, située à Antony (Hauts-de-Seine), est soupçonnée de s’être livrée à des vols de produits dopants avant de les remettre à son ex-petit ami, adepte de culturisme.
Ce dernier, également âgé de 23 ans, a aussi été arrêté.
Depuis un an, la jeune femme aurait multiplié les vols de produits contenant de la testostérone et des hormones de croissance. Le préjudice subi par son employeur s’élève à près de 70 000 €. «Cette jeune femme a indiqué avoir agi sous l’influence de son ex-petit ami, relate une source proche de l’affaire. Ce dernier est soupçonné d’avoir revendu une partie de ces produits dans des salles de sport, auprès de pratiquants du body-building. Un vice-champion de France de ce sport, déjà mis en examen pour trafic de produits dopants, aurait profité de cette filière d’approvisionnement.» A l’issue de leur garde à vue, la préparatrice en pharmacie et son ancien compagnon ont été présentés à un magistrat du parquet de Nanterre.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/antony-la-preparatrice-en-pharmarcie-fournissait-des-produits-dopants-28-07-2013-3014141.php
Ce dernier, également âgé de 23 ans, a aussi été arrêté.
Depuis un an, la jeune femme aurait multiplié les vols de produits contenant de la testostérone et des hormones de croissance. Le préjudice subi par son employeur s’élève à près de 70 000 €. «Cette jeune femme a indiqué avoir agi sous l’influence de son ex-petit ami, relate une source proche de l’affaire. Ce dernier est soupçonné d’avoir revendu une partie de ces produits dans des salles de sport, auprès de pratiquants du body-building. Un vice-champion de France de ce sport, déjà mis en examen pour trafic de produits dopants, aurait profité de cette filière d’approvisionnement.» A l’issue de leur garde à vue, la préparatrice en pharmacie et son ancien compagnon ont été présentés à un magistrat du parquet de Nanterre.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/antony-la-preparatrice-en-pharmarcie-fournissait-des-produits-dopants-28-07-2013-3014141.php
Ivre, il roule en tracteur sur l'autoroute
Il rentrait chez sa compagne après une journée de moisson. Un homme a été arrêté vendredi alors qu'il circulait en tracteur sur l'autoroute A31, près de Nancy, rapporte L'Est républicain. Âgé d'une trentaine d'années, cet agriculteur avait encore outre 2,7 grammes d'alcool dans le sang.
S'étant fait retirer son permis en mai pour conduite en état d'ivresse, il avait décidé vendredi d'opter pour le tracteur. Le véhicule, qui roule à 40 km/h maximum, représente un véritable danger sur une autoroute, précise la police. Le conducteur a été placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue. Il a ensuite été remis en liberté et sera jugé en novembre.
La voiture du couple de Marseillais finit sa course sur la ligne du Cévenol
Un couple de Marseillais, en vacances dans le département, a vécu une drôle de mésaventure ce dimanche.
Alors qu’ils avaient stationné leur Citroen C5 devant la propriété d’amis, à Pont-d’Alleyras, dans les gorges de l’Allier, leur véhicule, qui avait le frein main enclenché, a chuté de près de quinze mètres en contrebas de la route, le long de la voie ferrée sur la ligne du Cévenol, qui relie Marseille à Clermont-Ferrand, via Nîmes et Langogne. Une opération d’enlèvement du véhicule a eu lieu dimanche soir.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/07/28/la-voiture-du-couple-de-marseillais-finit-sa-course-sur-la-ligne-du-cevenol
Alors qu’ils avaient stationné leur Citroen C5 devant la propriété d’amis, à Pont-d’Alleyras, dans les gorges de l’Allier, leur véhicule, qui avait le frein main enclenché, a chuté de près de quinze mètres en contrebas de la route, le long de la voie ferrée sur la ligne du Cévenol, qui relie Marseille à Clermont-Ferrand, via Nîmes et Langogne. Une opération d’enlèvement du véhicule a eu lieu dimanche soir.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/07/28/la-voiture-du-couple-de-marseillais-finit-sa-course-sur-la-ligne-du-cevenol
dimanche 28 juillet 2013
Ariège : un enfant blessé dans un camping
Un garçonnet néerlandais d'environ quatre ans qui faisait du vélo dans un camping de l'Ariège a été blessé dimanche dans une collision avec une voiture, a-t-on appris auprès des pompiers.
L'enfant a été héliporté pour être hospitalisé à Toulouse. D'après les gendarmes, l'enfant présentait une suspicion de fractures. L'accident est survenu vers midi alors que l'enfant faisait du vélo, selon les premiers éléments de l'enquête. Des témoins ont expliqué aux gendarmes que le petit garçon n'avait pas vu arriver la voiture et l'a percutée sur le côté.
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Ariege-un-enfant-blesse-dans-un-camping-621369
L'enfant a été héliporté pour être hospitalisé à Toulouse. D'après les gendarmes, l'enfant présentait une suspicion de fractures. L'accident est survenu vers midi alors que l'enfant faisait du vélo, selon les premiers éléments de l'enquête. Des témoins ont expliqué aux gendarmes que le petit garçon n'avait pas vu arriver la voiture et l'a percutée sur le côté.
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Ariege-un-enfant-blesse-dans-un-camping-621369
Epinoy : une fillette héliportée suite à un accident de la route
Selon une information de Voix du Nord, confirmée par les pompiers, un accident de la circulation sur la D943 vers 11h30 ce dimanche matin a blessé 4 personnes dont 2 enfants. L'un des fillettes a dû être héliportée au CHRU de Lille.
Les pompiers du Pas-de-Calais et du Nord sont intervenus en fin de matinée sur la départementale 943 à hauteur d'Epinoy pour un accident entre 2 véhicules légers. D'après nos confrères, c'est un Templeuvois de 25 ans qui aurait voulu tourner et n'aurait pas vu arriver une voiture en face avec une mère et ses deux filles de 8 et 12 ans. Les quatre personnes sont blessées, deux le seraient grièvement dont la plus jeune des filles qui a dû être héliportée au CHRU de Lille, suite à des douleurs à l'abdomen.
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2013/07/28/epinoy-une-fillette-heliportee-suite-un-accident-de-la-route-294559.html
Les pompiers du Pas-de-Calais et du Nord sont intervenus en fin de matinée sur la départementale 943 à hauteur d'Epinoy pour un accident entre 2 véhicules légers. D'après nos confrères, c'est un Templeuvois de 25 ans qui aurait voulu tourner et n'aurait pas vu arriver une voiture en face avec une mère et ses deux filles de 8 et 12 ans. Les quatre personnes sont blessées, deux le seraient grièvement dont la plus jeune des filles qui a dû être héliportée au CHRU de Lille, suite à des douleurs à l'abdomen.
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2013/07/28/epinoy-une-fillette-heliportee-suite-un-accident-de-la-route-294559.html
Vol de bijoux à main armée en plein jour au Carlton de Cannes
Un vol de bijoux a été commis à main armée, dimanche peu avant midi, à l'hôtel Carlton de Cannes, où se tenait une exposition de bijoux, Un individu s'est emparé d'une mallette contenant des bijoux dont la valeur serait estimée à 40 millions d'euros.
Stupeur au Carlton de Cannes. Un vol de bijoux a été commis à main armée, dimanche peu avant midi, au palace de la ville des Alpes-Maritimes, où se tenait une exposition de bijoux, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Un individu s'est emparé d'une mallette contenant des bijoux dont la valeur serait estimée à 40 millions d'euros, selon les premiers éléments de l'enquête. La direction du palace, contactée , n'a pas souhaité faire de commentaire. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Nice.
Un individu s'est emparé d'une mallette contenant des bijoux dont la valeur serait estimée à 40 millions d'euros, selon les premiers éléments de l'enquête. La direction du palace, contactée , n'a pas souhaité faire de commentaire. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Nice.
Lors du dernier festival de Cannes, des bijoux de marque Chopard avaient été dérobés dans le coffre de l'hôtel Novotel, d'une valeur de 1,4 millions de dollars.
Noyades : 4 accidents mortels ce week-end et une femme dans le coma
Deux hommes sont morts noyés samedi, l'un en Savoie et l'autre dans les Hautes-Alpes. Ils avaient respectivement 60 et 20 ans. Dimanche matin, deux autres hommes ont péri sur le littoral de l'Hérault et une femme est dans le coma, après avoir été surpris par une forte houle sous des vents violents.
Quatre nouvelles noyades dramatique en ce dernier week-end de juillet. Il s'agit de quatre adultes.
La première victime est un Haut-Savoyard de 60 ans. L'homme s'est noyé samedi après-midi dans le plan d'eau de Motz, en Savoie, vraisemblablement par suite d'un malaise. Il n'a pu être ranimé malgré l'intervention des secours.
L'autre victime de samedi est un jeune homme âgé de 20 ans, venu dîner samedi soir avec des proches près du plan d'eau d'Eygliers, dans les Hautes-Alpes. Il a brusquement coulé à pic au cours d'une baignade, pour des raisons inconnues.
Noyades sur les plages de l'Hérault en drapeaux orange et rouge
Dimanche matin, deux personnes ont péri par noyade sur le littoral de l'Hérault et une troisième est dans le coma, après avoir été surpris par une forte houle sous des vents violents, ont indiqué pompiers, gendarmerie et préfecture. Un homme de 52 ans, orignaire de Sète, est mort au bord d'une plage de cette ville vers 9h00. Un autre homme de 57 ans, à l'identité non encore connue, est mort à Carnon, à 10h.
Une femme de 50 ans, en train de se noyer au Cap d'Agde vers 10h, a été transportée par hélicoptère à l'hôpital de Montpellier où elle se trouvait dans le coma dans la matinée.
Depuis samedi 18h, les secours ont effectué une vingtaine d'interventions pour porter secours à des personnes en difficulté. Toutes se baignaient malgré les drapeaux orange et rouge déployés sur le littoral héraultais depuis vendredi, l'homme de 57 ans se trouvant pour sa part dans une zone non surveillée. Vendredi, la mer houleuse avait fait une première victime à Sérignan, un homme de 47 ans. Un fort vent de sud-est souffle depuis vendredi sur cette zone, où se forme une houle avec des rouleaux et un ressac de 2 m.
Meurtre suivi d’un suicide à Champagne-au Mont-d’Or
Samedi matin, un homme de 87 ans a prévenu des proches qu’il avait tiré sur son épouse âgée de 84 ans. Quand les secours sont entrés dans l’appartement, l’homme et la femme étaient morts.
Avant de se donner la mort, l'octogénaire avait prévenu quelqu'un de sa famille.
L'enquête de gendarmerie est en cours.
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/27/meurtre-suivi-d-un-suicide-ce-matin-a-champagne-au-mont-d-or
Avant de se donner la mort, l'octogénaire avait prévenu quelqu'un de sa famille.
L'enquête de gendarmerie est en cours.
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/07/27/meurtre-suivi-d-un-suicide-ce-matin-a-champagne-au-mont-d-or
samedi 27 juillet 2013
Un cueilleur de genépi se tue à Oris-en-Rattier (Isère)
Vers 12h30, ce samedi 27 juillet, le PGHM de l'Isère est intervenu à Oris-en-Rattier pour secourir un homme de 68 ans qui venait de faire une chute. Les secours n'ont pas pu le ranimer.
Ce randonneur, originaire de La Mure, se baladait en montagne à 2400m avec son frère quand le drame est arrivé. Les deux hommes cueillaient du genépi. Visiblement la victime s'est aventurée dans les rochers et a basculé. Il a été retrouvé une centaine de mètres plus bas. Des témoins lui ont apporté les premiers secours et ont alerté le PGHM. Intervenus rapidement par hélicoptère, deux gendarmes et un médecin n'ont rien pu faire pour le sauver.
http://alpes.france3.fr/2013/07/27/un-cueilleur-de-genepi-se-tue-oris-en-rattier-isere-294293.html
Ce randonneur, originaire de La Mure, se baladait en montagne à 2400m avec son frère quand le drame est arrivé. Les deux hommes cueillaient du genépi. Visiblement la victime s'est aventurée dans les rochers et a basculé. Il a été retrouvé une centaine de mètres plus bas. Des témoins lui ont apporté les premiers secours et ont alerté le PGHM. Intervenus rapidement par hélicoptère, deux gendarmes et un médecin n'ont rien pu faire pour le sauver.
http://alpes.france3.fr/2013/07/27/un-cueilleur-de-genepi-se-tue-oris-en-rattier-isere-294293.html
Drôme : deux incendies éclatent, des retards de train "de 40 minutes"
Deux incendies ont éclaté samedi après-midi dans le nord de la Drôme, attisés par le vent chaud soufflant du Sud, entraînant un important déploiement de moyens et la coupure temporaire d'une départementale et d'une ligne SNCF.
De fortes chaleurs et un vent chaud soufflant du Sud. Deux incendies ont éclaté samedi après-midi dans le nord de la Drôme, entraînant un important déploiement de moyens et la coupure temporaire d'une départementale et d'une ligne SNCF. Le premier feu est parti vers 13 heures à l'usine de papier Emin Leydier de Laveyron, faisant brûler 2.500 tonnes de papier entreposées au nord de l'usine, ont indiqué les pompiers, confirmant une information de France Bleu-Drôme-Ardèche.
Il n'y a aucune victime et "il n'y aura pas de chômage technique", l'usine n'ayant pas été menacée par les flammes, a expliqué à l'AFP le lieutenant-colonel Marc-Henri Allys, du Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours. "Plus de 115 pompiers" ont été déployés pour lutter contre l'incendie, qui était "circonscrit" vers 16h30, et la route départementale RD257 ainsi que la ligne SNCF voisine, reliant Lyon à Marseille, ont été provisoirement coupées.
Des retards de train "de 40 minutes environ"
Seul un train, parti à 11h06 de Marseille en direction de Lyon-Part-Dieu avec 200 personnes à son bord a dû s'arrêter. Les passagers ont été "pris en charge par trois autocars, avitaillés en eau et acheminés à Lyon", selon la direction régionale de la SNCF. Les autres trains ont seulement été "détournés par la rive droite du Rhône" et accusaient des retards "de 40 minutes environ", d'après la même source. La ligne devait rouvrir en fin d'après-midi, à la demande des pompiers.
Un deuxième incendie a éclaté vers 16 heures à Anneyron, également dans le nord de la Drôme. Ce feu de blé "a déjà parcouru 10 hectares et menace une forêt et des villas", selon le responsable du Codis. Deux avions bombardiers d'eau, de modèle Tracker, ont été dépêchés sur les lieux. La Drôme subissait samedi de fortes chaleurs, avec 37°C attendus à Montélimar, sans toutefois être placée en vigilance orange à la canicule comme le Rhône et l'Isère voisins.
Il n'y a aucune victime et "il n'y aura pas de chômage technique", l'usine n'ayant pas été menacée par les flammes, a expliqué à l'AFP le lieutenant-colonel Marc-Henri Allys, du Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours. "Plus de 115 pompiers" ont été déployés pour lutter contre l'incendie, qui était "circonscrit" vers 16h30, et la route départementale RD257 ainsi que la ligne SNCF voisine, reliant Lyon à Marseille, ont été provisoirement coupées.
Des retards de train "de 40 minutes environ"
Seul un train, parti à 11h06 de Marseille en direction de Lyon-Part-Dieu avec 200 personnes à son bord a dû s'arrêter. Les passagers ont été "pris en charge par trois autocars, avitaillés en eau et acheminés à Lyon", selon la direction régionale de la SNCF. Les autres trains ont seulement été "détournés par la rive droite du Rhône" et accusaient des retards "de 40 minutes environ", d'après la même source. La ligne devait rouvrir en fin d'après-midi, à la demande des pompiers.
Un deuxième incendie a éclaté vers 16 heures à Anneyron, également dans le nord de la Drôme. Ce feu de blé "a déjà parcouru 10 hectares et menace une forêt et des villas", selon le responsable du Codis. Deux avions bombardiers d'eau, de modèle Tracker, ont été dépêchés sur les lieux. La Drôme subissait samedi de fortes chaleurs, avec 37°C attendus à Montélimar, sans toutefois être placée en vigilance orange à la canicule comme le Rhône et l'Isère voisins.
Auch : l'auteur des trois braquages arrêté
L’homme a avoué. Il est mineur et vit à Auch. Coiffé de sa capuche, le visage camouflé et armé d’un pistolet, il a reconnu avoir braqué l’hôtesse de caisse du magasin Shopi, rue de Lorraine à Auch, le 21 juin dernier à 9 h 30, exigeant de l’argent.
Il a dit avoir réitéré son geste, à 10 heures, après avoir pris ses jambes à son cou, à l’encontre du buraliste du quartier Le Garros. Puis, il a reconnu avoir braqué le restaurant rapide Quick de la route de Tarbes, le 23 juin à 23 h 15, avec un complice, et de manière bien plus violente et impressionnante.
L’enquête se poursuit
L’un des deux exige la caisse du responsable de l’équipe. L’autre maintient les cinq autres membres de l’équipe allongés à terre et arme braquée sur eux. Le complice avait déjà été arrêté par les services de police. Il se trouve en prison. Avant-hier, c’est le jeune Auscitain qui a été interpellé à Toulouse par le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse qui a collaboré, sur cette enquête, avec le commissariat d’Auch. Il a été incarcéré dans l’établissement carcéral pour mineur de Lavaur (81). Le juge d’instruction du tribunal d’Auch poursuit l’enquête. Le jeune sera jugé, dans quelques mois, lorsque le dossier sera clos.
Pour atteindre leur but, les policiers avaient interpellé auparavant un autre individu qui avait recelé l’arme pour la cacher dans le local de l’association Le Relais. Cette association d’insertion gérée par l’Association départementale de la sauvegarde de l’enfant et de l’adulte (ADSEA) ne fonctionne plus aujourd’hui puisque deux de ses trois éducateurs seront également jugés dans cette affaire pour avoir caché l’arme dans le tiroir de leur bureau. Ils sont mis en examen pour recel d’une arme ayant servi à commettre un délit.
http://www.sudouest.fr/2013/07/27/l-auteur-des-trois-braquages-arrete-1125937-2277.php
Il a dit avoir réitéré son geste, à 10 heures, après avoir pris ses jambes à son cou, à l’encontre du buraliste du quartier Le Garros. Puis, il a reconnu avoir braqué le restaurant rapide Quick de la route de Tarbes, le 23 juin à 23 h 15, avec un complice, et de manière bien plus violente et impressionnante.
L’enquête se poursuit
L’un des deux exige la caisse du responsable de l’équipe. L’autre maintient les cinq autres membres de l’équipe allongés à terre et arme braquée sur eux. Le complice avait déjà été arrêté par les services de police. Il se trouve en prison. Avant-hier, c’est le jeune Auscitain qui a été interpellé à Toulouse par le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse qui a collaboré, sur cette enquête, avec le commissariat d’Auch. Il a été incarcéré dans l’établissement carcéral pour mineur de Lavaur (81). Le juge d’instruction du tribunal d’Auch poursuit l’enquête. Le jeune sera jugé, dans quelques mois, lorsque le dossier sera clos.
Pour atteindre leur but, les policiers avaient interpellé auparavant un autre individu qui avait recelé l’arme pour la cacher dans le local de l’association Le Relais. Cette association d’insertion gérée par l’Association départementale de la sauvegarde de l’enfant et de l’adulte (ADSEA) ne fonctionne plus aujourd’hui puisque deux de ses trois éducateurs seront également jugés dans cette affaire pour avoir caché l’arme dans le tiroir de leur bureau. Ils sont mis en examen pour recel d’une arme ayant servi à commettre un délit.
http://www.sudouest.fr/2013/07/27/l-auteur-des-trois-braquages-arrete-1125937-2277.php
Ils voulaient faire fondre 1 tonne de cuivre volé
Deux hommes âgés de 25 ans et 32 ans ont comparu, hier, devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Mercredi, vers 22 heures, leur fourgon trop chargé avait attiré l’attention des policiers. Et pour cause. Ils transportaient entre une tonne et 1.5 tonne de câbles dérobés à la société Orange.
Noël, le conducteur du fourgon, ferrailleur de son état, a expliqué au président Leroux : «J’ai rencontré un Monsieur en allant travailler, il m’a proposé ce chargement.» «Et ça vous paraît naturel ?», a tenté de comprendre le président. «Non, mais il ne m’a pas dit que c’était volé.»
Noël et son co-prévenu, David, un ancien boxeur qui rêvait de Jeux olympiques, ont acheté la cargaison pour 200 €. «J’ai participé car j’avais besoin d’argent mais je pensais que c’était honnête, a juré David. Dans mon travail, quand j’étais dans la sécurité, je surveillais justement le cuivre. Là, je n’ai pas eu de doute. J’ai juste fait la main-d’œuvre.»
Orange, partie civile, estime le préjudice à plus de 10 000 €. «C’est un véritable fléau», a décrit l’avocate de l’entreprise.
Pour Me Olivier Vercellone, l’avocat des deux garçons, «ils avaient la volonté de se faire de l’argent sur le moment. Ils ne se sont pas vraiment posés de questions. Ce sont des personnes en difficulté d’insertion.»
Noël, le conducteur du fourgon a été condamné à 12 mois de prison avec sursis. David, dont le casier judiciaire était vierge a écopé de 8 mois avec sursis. Ils devront indemniser la partie civile, Orange, à hauteur de 10 000 €.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/27/1679306-ils-voulaient-faire-fondre-1-tonne-de-cuivre-vole.html
Noël, le conducteur du fourgon, ferrailleur de son état, a expliqué au président Leroux : «J’ai rencontré un Monsieur en allant travailler, il m’a proposé ce chargement.» «Et ça vous paraît naturel ?», a tenté de comprendre le président. «Non, mais il ne m’a pas dit que c’était volé.»
Noël et son co-prévenu, David, un ancien boxeur qui rêvait de Jeux olympiques, ont acheté la cargaison pour 200 €. «J’ai participé car j’avais besoin d’argent mais je pensais que c’était honnête, a juré David. Dans mon travail, quand j’étais dans la sécurité, je surveillais justement le cuivre. Là, je n’ai pas eu de doute. J’ai juste fait la main-d’œuvre.»
«Je savais que ce n'était pas légal de les faire brûler»
Les deux hommes ont été interpellés du côté du camp des gens du voyage de Ginestous à Toulouse. «J’ai vu des taches de brûlures noires sur le sol, admet Noël. Je suis venu la nuit parce que je sais que ce n’est pas légal de faire brûler des câbles.»Orange, partie civile, estime le préjudice à plus de 10 000 €. «C’est un véritable fléau», a décrit l’avocate de l’entreprise.
Pour Me Olivier Vercellone, l’avocat des deux garçons, «ils avaient la volonté de se faire de l’argent sur le moment. Ils ne se sont pas vraiment posés de questions. Ce sont des personnes en difficulté d’insertion.»
Noël, le conducteur du fourgon a été condamné à 12 mois de prison avec sursis. David, dont le casier judiciaire était vierge a écopé de 8 mois avec sursis. Ils devront indemniser la partie civile, Orange, à hauteur de 10 000 €.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/27/1679306-ils-voulaient-faire-fondre-1-tonne-de-cuivre-vole.html
Un homme évadé s’alcoolise et frappe sa mère
Hier après-midi, il a retrouvé sa cellule de Saint-Quentin-Fallavier après s’être momentanément évadé. Il est également poursuivi pour des violences sur sa mère.
Tout débute dans la soirée de jeudi. Vers 21 h 45, les sapeurs-pompiers de Châbons sont requis pour un coma éthylique d’un homme demeurant chemin de Vaux. Dans un premier temps, l’intéressé refuse d’ouvrir la porte aux secours. Lorsqu’ils pénètrent finalement dans le domicile, ils découvrent effectivement un homme alcoolisé et tenant des propos incohérents.
Âgé de 30 ans, il se serait même emparé d’un couteau de cuisine avant de le lâcher.Il est alors décidé de son hospitalisation. Les gendarmes du Grand-Lemps/Virieu-sur-Bourbre découvrent que l’homme est recherché par la justice pour évasion. Dans un état de surexcitationConcrètement, il n’a pas réintégré sa cellule dans le cadre de semi-liberté à Saint-Quentin-Fallavier. Aussi, les enquêteurs décident d’escorter les sapeurs-pompiers jusqu’à l’hôpital de Voiron. En raison de son état de surexcitation, l’établissement refuse de le prendre en charge.
Il sera finalement interpellé à sa sortie, sur le parking de l’hôpital, par les gendarmes qui ont sollicité le renfort de la Bac voironnaise. Ramené dans les locaux de la brigade, il est alors contrôlé avec plus d’un gramme d’alcool dans le sang. Il est alors 1 h 20 du matin.
Entre-temps, les militaires ouvrent une enquête pour violences. Durant l’après-midi du jeudi, le trentenaire aurait violenté sa mère. Cette dernière présente d’ailleurs des marques au visage.
Hier matin, l’homme a été confié aux enquêteurs de la brigade de La Verpillière dans le cadre de l’évasion, puis déféré au parquet de Vienne qui a requis la révocation de sa semi-liberté. Une révocation prononcée par les magistrats. Il devra par ailleurs répondre des faits d’évasion et de violences sur sa mère lors d’une prochaine audience.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2013/07/26/un-homme-evade-s-alcoolise-et-frappe-sa-mere
Tout débute dans la soirée de jeudi. Vers 21 h 45, les sapeurs-pompiers de Châbons sont requis pour un coma éthylique d’un homme demeurant chemin de Vaux. Dans un premier temps, l’intéressé refuse d’ouvrir la porte aux secours. Lorsqu’ils pénètrent finalement dans le domicile, ils découvrent effectivement un homme alcoolisé et tenant des propos incohérents.
Âgé de 30 ans, il se serait même emparé d’un couteau de cuisine avant de le lâcher.Il est alors décidé de son hospitalisation. Les gendarmes du Grand-Lemps/Virieu-sur-Bourbre découvrent que l’homme est recherché par la justice pour évasion. Dans un état de surexcitationConcrètement, il n’a pas réintégré sa cellule dans le cadre de semi-liberté à Saint-Quentin-Fallavier. Aussi, les enquêteurs décident d’escorter les sapeurs-pompiers jusqu’à l’hôpital de Voiron. En raison de son état de surexcitation, l’établissement refuse de le prendre en charge.
Il sera finalement interpellé à sa sortie, sur le parking de l’hôpital, par les gendarmes qui ont sollicité le renfort de la Bac voironnaise. Ramené dans les locaux de la brigade, il est alors contrôlé avec plus d’un gramme d’alcool dans le sang. Il est alors 1 h 20 du matin.
Entre-temps, les militaires ouvrent une enquête pour violences. Durant l’après-midi du jeudi, le trentenaire aurait violenté sa mère. Cette dernière présente d’ailleurs des marques au visage.
Hier matin, l’homme a été confié aux enquêteurs de la brigade de La Verpillière dans le cadre de l’évasion, puis déféré au parquet de Vienne qui a requis la révocation de sa semi-liberté. Une révocation prononcée par les magistrats. Il devra par ailleurs répondre des faits d’évasion et de violences sur sa mère lors d’une prochaine audience.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2013/07/26/un-homme-evade-s-alcoolise-et-frappe-sa-mere
vendredi 26 juillet 2013
Carlton : DSK renvoyé en correctionnelle pour "proxénétisme aggravé en réunion"
L'ancien patron du FMI, ainsi que douze autres personnes, vont être renvoyées en correctionnelle dans l'affaire du Carlton de Lille, a annoncé vendredi dans un communiqué le procureur de Lille. Le parquet avait requis un non-lieu.
Le parquet avait requis un non-lieu à son encontre. Mais les juges chargés d'instruire l'affaire dite du Carlton de Lille en ont décidé autrement. Dominique Strauss-Kahn ainsi que douze autres personnes vont être renvoyées en correctionnelle pour "proxénétisme aggravé en réunion", a annoncé vendredi dans un communiqué le procureur de Lille. Une information confirmée par Henri Leclerc, l'un des avocats de l'ancien patron du FMI. Une quatorzième personne mise en examen dans le dossier est elle renvoyée pour "complicité d'escroquerie et d'abus de confiance". Le parquet n'a pas précisé s'il ferait appel.
Eauze. Ils agressent le gérant du camping qui avait appelé les gendarmes
«On a dû fermer la piscine ce jeudi tellement ils l’avaient sali et j’ai porté plainte». Hier Michel Gabas, le maire d’Eauze exprimait son ras-le-bol. Ces dernières nuits, un groupe de jeunes élusates, bravant l’interdiction, se baignaient dans la piscine municipale au Pouy, près du camping. Bruyants, ils indisposaient en outre les touristes séjournant au camping. Avant hier soir, ils sont revenus. Le gérant du camping a alors appelé les gendarmes. Qui leur ont demandé d’aller...s’amuser ailleurs. Mais sitôt, la gendarmerie partie, le groupe est revenu. Avec encore de l’alcool. Et l’un d’eux a joué les...vengeurs en assénant un violent coup de tête au gérant pour lui faire payer son recours aux gendarmes. Le frappeur est identifié. Il se serait même, selon l’édile, vanté de son exploit sur facebook. Le gérant qui a eu deux dents détériorées portera-t-il plainte? «Pas sûrcar il est vraiment très choqué psychologiquement par cette lâche agression et il craint les représailles» indique le maire. Selon lui cette bande, le plus jeune à 15 ans, l’aîné 21, perturbe les nuits élusates «en toute impunité». Toujours selon le maire, «plusieurs ont déjà été convoqués en justice mais comme ça se termine toujours par un...rappel à la loi ce qui est sans effet pour de tels individus». L’élu ajoute qu’il a en outre découvert à cette occasion «qu’enfreindre un arrêté municipal (en l’occurrence celui interdisant de pénéter dans l’enceinte de la piscine et de s’y baigner quand elle n’est pas surveillée) n’expose qu’à une contravention de première classe». Et de regretter: «Comme quoi les pouvoirs de police des maires sont vraiment limités dans les faits
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/26/1678179-eauze-agressent-gerant-camping-avait-appele-gendarmes.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/26/1678179-eauze-agressent-gerant-camping-avait-appele-gendarmes.html
Carcassonne : l'agresseur du boulanger de Bram, pris de remords, se rend
Dans la nuit de dimanche à lundi, un Bramais de 24 ans avait gazé le boulanger pour lui voler un fond de caisse de 150 euros. Il s'est rendu de lui-même à la gendarmerie dans la nuit de mardi à mercredi.
Alors qu'il était en plein travail dans la nuit de dimanche à lundi, le boulanger de Bram a été la victime d'un vol avec violence. C'est à 4 h 30 qu'un jeune homme s'est présenté à son commerce, assurant vouloir acheter des viennoiseries. Un prétexte en réalité utilisé pour voler au boulanger son fond de caisse. Après avoir aspergé le commerçant de gaz lacrymogène, le Bramais allait saisir les 150 euros présents sur les lieux, avant de prendre la fuite.
Il sera jugé le 9 octobre à Carcassonne
Sans doute pris de remords, ce marginal d'une vingtaine d'années résidant sur la commune s'est de lui-même présenté à la gendarmerie de la commune au beau milieu de la nuit de mardi à mercredi, vers 2 h du matin. Il a remis la bombe lacrymogène aux gendarmes. Placé en garde à vue puis relâché, l'auteur présumé des faits comparaîtra devant les juges du tribunal de Carcassonne le 9 octobre prochain.
http://www.midilibre.fr/2013/07/25/bram-l-agresseur-du-boulanger-pris-de-remords-se-rend,738419.php
Alors qu'il était en plein travail dans la nuit de dimanche à lundi, le boulanger de Bram a été la victime d'un vol avec violence. C'est à 4 h 30 qu'un jeune homme s'est présenté à son commerce, assurant vouloir acheter des viennoiseries. Un prétexte en réalité utilisé pour voler au boulanger son fond de caisse. Après avoir aspergé le commerçant de gaz lacrymogène, le Bramais allait saisir les 150 euros présents sur les lieux, avant de prendre la fuite.
Il sera jugé le 9 octobre à Carcassonne
Sans doute pris de remords, ce marginal d'une vingtaine d'années résidant sur la commune s'est de lui-même présenté à la gendarmerie de la commune au beau milieu de la nuit de mardi à mercredi, vers 2 h du matin. Il a remis la bombe lacrymogène aux gendarmes. Placé en garde à vue puis relâché, l'auteur présumé des faits comparaîtra devant les juges du tribunal de Carcassonne le 9 octobre prochain.
http://www.midilibre.fr/2013/07/25/bram-l-agresseur-du-boulanger-pris-de-remords-se-rend,738419.php
jeudi 25 juillet 2013
Mérignac : à 12 ans, elle signe 2500 euros de chèques
En mars dernier, une Mérignacaise s’était fait dérober un carnet de chèques dans sa boîte aux lettres. Elle avait fait opposition et porté plainte. Les policiers de la brigade de la sûreté urbaine de Mérignac viennent de résoudre l’affaire. Ils ont en effet remonté la piste d’une… adolescente de 12 ans. Pendant deux mois, la jeune fille, peut-être poussée par des adultes, a utilisé 21 formules de chèques dans une boulangerie bordelaise qui, lorsqu’il a été temps d’encaisser les chèques, n’a pu que constater qu’ils étaient sans provision.
Le préjudice s’élève à plus de 2 500 euros. Identifiée, l’adolescente a été convoquée au commissariat de Mérignac et entendue. Elle se serait décrite comme gourmande et aurait acheté bonbons et viennoiseries en ayant la confiance du boulanger qui connaissait ses proches. Elle a été remise à ses parents qui devront indemniser.
http://www.sudouest.fr/2013/07/25/faits-divers-1124054-4584.php
Le préjudice s’élève à plus de 2 500 euros. Identifiée, l’adolescente a été convoquée au commissariat de Mérignac et entendue. Elle se serait décrite comme gourmande et aurait acheté bonbons et viennoiseries en ayant la confiance du boulanger qui connaissait ses proches. Elle a été remise à ses parents qui devront indemniser.
http://www.sudouest.fr/2013/07/25/faits-divers-1124054-4584.php
La Cour d'Appel de Bastia suspend la peine de Jacques Santoni
Jacques Santoni, présenté par la police et la justice comme étant l'un des chefs du grand bandistisme ajaccien est tetraplégique en raison d'un accident de moto.
La chambre d'application des peines de la cour d'appel de Bastia avait examiné a huis clos le 3 juillet dernier la demande de suspension de peine de Jacques Santoni, 35 ans, considéré comme un membre influent de la bande du « Petit bar » d'Ajaccio.
La chambre de la cour d'appel de Bastia avait mis en délibéré sa décision au 24 juillet.
Jacques Santoni avait été condamné en février dernier à trois ans de prison ferme dans une affaire de racket.
http://corse.france3.fr/2013/07/25/la-cour-d-appel-de-bastia-suspend-la-peine-de-jacques-santoni-293121.html
La chambre d'application des peines de la cour d'appel de Bastia avait examiné a huis clos le 3 juillet dernier la demande de suspension de peine de Jacques Santoni, 35 ans, considéré comme un membre influent de la bande du « Petit bar » d'Ajaccio.
La chambre de la cour d'appel de Bastia avait mis en délibéré sa décision au 24 juillet.
Jacques Santoni avait été condamné en février dernier à trois ans de prison ferme dans une affaire de racket.
http://corse.france3.fr/2013/07/25/la-cour-d-appel-de-bastia-suspend-la-peine-de-jacques-santoni-293121.html
Quiberon. Un avion rate son atterrissage
Ce mercredi, vers 15 h 15, un avion de tourisme en provenance de Guiscriff atterrit sur l’aérodrome. À son bord, un couple âgé de 35 ans et leur enfant âgé de 4 ans. Lors de l’atterrissage, pour des raisons encore inexpliquées, l’avion sort de la piste et termine sa course sur l’herbe endommageant au passage son train d’atterrissage et l’hélice.
Indemnes
Fort heureusement personne n’a été blessé. La piste de l’aérodrome a été interdite durant deux heures, le temps de dégager l’aéroplane. L’enquête a été confiée à la Gendarmerie des transports aériens de Quimper qui s’est transportée sur place.
Ibos. Un forcené retranché dans l’ancien hôtel
Hier soir, un individu était retranché dans l’ancien hôtel situé en haut de la côte de Ger à Ibos et cela depuis l’après-midi vers 16 h 30.
Vraisemblablement armé, l’homme menaçait de porter atteinte à ses jours et indirectement à la sécurité de ses voisins. En effet, cet ancien hôtel qui a connu plusieurs affectations fait aujourd’hui office de centre d’accueil.
Ses occupants ont été évacués par précaution. Le bâtiment a été encerclé rapidement par des policiers équipés de gilets pare-balles à tel point qu’il ressemblait un peu à un camp de retranchement.
Vers 19 h 30, le procureur de la République Chantal Firmigier-Michel s’est rendu sur les lieux.
À l’heure où nous mettions sous presse, hier soir, l’homme refusait de se rendre.
L’assaut des hommes du groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) pour tenter de déloger l’individu retranché, était imminent.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/25/1677819-ibos-un-forcene-retranche.html
Vraisemblablement armé, l’homme menaçait de porter atteinte à ses jours et indirectement à la sécurité de ses voisins. En effet, cet ancien hôtel qui a connu plusieurs affectations fait aujourd’hui office de centre d’accueil.
Ses occupants ont été évacués par précaution. Le bâtiment a été encerclé rapidement par des policiers équipés de gilets pare-balles à tel point qu’il ressemblait un peu à un camp de retranchement.
Vers 19 h 30, le procureur de la République Chantal Firmigier-Michel s’est rendu sur les lieux.
À l’heure où nous mettions sous presse, hier soir, l’homme refusait de se rendre.
L’assaut des hommes du groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) pour tenter de déloger l’individu retranché, était imminent.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/25/1677819-ibos-un-forcene-retranche.html
Monze : dans son journal intime, Christophe Motta annonçait une issue fatale
L'auteur du double homicide avait prémédité son geste. Il a croisé sa fille d'une quinzaine d'années quelques jours avant l'atroce assassinat de Géraldine et Loïc Cariou.
Il ne fait désormais plus aucun doute que le corps retrouvé mardi en fin de matinée, dans les gorges du Congoust, entre Montlaur et Camplong-d'Aude, est celui de Christophe Motta, 44 ans et demi, l'ex-compagnon de Géraldine, avec qui il a vécu en concubinage et avec laquelle il a eu une fille, il y a une quinzaine d'années.
Le seul auteur de l'atroce drame
Il ne fait non plus aucun doute que Christophe Motta est le seul auteur de l'atroce assassinat de Géraldine et Loïc Cariou, son mari, depuis au moins dix ans. Seul leur bébé de 18 mois a été épargné. Le couple portait d'innombrable coups d'armes blanches, d'hachoir et de coupe-coupe notamment.
Loïc Cariou a même été atteint d'un carreau d'arbalète au niveau du thorax. Une flèche identique à celle avec laquelle Christophe Motta s'est donné la mort, "quelques instants seulement après la mort du couple Cariou", a précisé, ce mercredi, le vice-procureur de la République.
Si le "mobile exact de cet acte odieux" reste inconnu, toujours selon Philippe Romanello, il apparaît que son auteur l'avait prémédité ! "On a retrouvé des traces manuscrites - une sorte de journal intime - qui annonçaient cette issue fatale".
A Monze depuis plusieurs jours
Selon d'autres éléments de l'enquête, Christophe Motta était arrivé dans la région il y a plusieurs jours. Il aurait même croisé sa fille, avant de passer à l'acte.
Le vice-procureur a enfin précisé que "Christophe Motta n'a jamais été décrit comme particulièrement violent. Il n'a été condamné qu'à une simple amende, en 2006, pour conduite en état d'ébriété. Et s'il présentait certaines difficultés d'insertion sociale (il était sans emploi et apparemment sans logement), rien ne le prédestinait à commettre une telle barbarie."
Rien ne le laissait présager en effet... sauf son journal intime.
http://www.midilibre.fr/2013/07/24/monze-le-journal-intime-de-christophe-motta-qui-annoncait-une-issue-fatale,738161.php
Il ne fait désormais plus aucun doute que le corps retrouvé mardi en fin de matinée, dans les gorges du Congoust, entre Montlaur et Camplong-d'Aude, est celui de Christophe Motta, 44 ans et demi, l'ex-compagnon de Géraldine, avec qui il a vécu en concubinage et avec laquelle il a eu une fille, il y a une quinzaine d'années.
Le seul auteur de l'atroce drame
Il ne fait non plus aucun doute que Christophe Motta est le seul auteur de l'atroce assassinat de Géraldine et Loïc Cariou, son mari, depuis au moins dix ans. Seul leur bébé de 18 mois a été épargné. Le couple portait d'innombrable coups d'armes blanches, d'hachoir et de coupe-coupe notamment.
Loïc Cariou a même été atteint d'un carreau d'arbalète au niveau du thorax. Une flèche identique à celle avec laquelle Christophe Motta s'est donné la mort, "quelques instants seulement après la mort du couple Cariou", a précisé, ce mercredi, le vice-procureur de la République.
Si le "mobile exact de cet acte odieux" reste inconnu, toujours selon Philippe Romanello, il apparaît que son auteur l'avait prémédité ! "On a retrouvé des traces manuscrites - une sorte de journal intime - qui annonçaient cette issue fatale".
A Monze depuis plusieurs jours
Selon d'autres éléments de l'enquête, Christophe Motta était arrivé dans la région il y a plusieurs jours. Il aurait même croisé sa fille, avant de passer à l'acte.
Le vice-procureur a enfin précisé que "Christophe Motta n'a jamais été décrit comme particulièrement violent. Il n'a été condamné qu'à une simple amende, en 2006, pour conduite en état d'ébriété. Et s'il présentait certaines difficultés d'insertion sociale (il était sans emploi et apparemment sans logement), rien ne le prédestinait à commettre une telle barbarie."
Rien ne le laissait présager en effet... sauf son journal intime.
http://www.midilibre.fr/2013/07/24/monze-le-journal-intime-de-christophe-motta-qui-annoncait-une-issue-fatale,738161.php
mercredi 24 juillet 2013
Vosges: Un pompier volontaire laisse pour morte une jeune femme qu'il a frappé
Un pompier volontaire de 26 ans a été placé en détention provisoire, soupçonné d'avoir frappé et laissé pour morte dans une forêt une jeune fille rencontrée dans une discothèque de Saint-Dié (Vosges), a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Le suspect avait rencontré la victime vendredi soir dans la discothèque et lui avait proposé de la ramener à son domicile, distant d'une cinquantaine de kilomètres.
Le lendemain, samedi matin vers 9H00, un bûcheron a découvert la jeune femme, âgée de 21 ans, qui était en hypothermie, le visage tuméfié, et qui présentait de nombreuses blessures sur tout le corps. Elle a été transportée vers l'hôpital de Saint-Dié par les pompiers, puis a été entendue par les enquêteurs, qui ont retrouvé son agresseur grâce aux bandes vidéos de la discothèque.
Le jeune homme, un pompier volontaire, a été interpellé dimanche matin à son domicile par un important dispositif policier, avant d'être placé en garde à vue. Il a d'abord nié les faits, avant de les reconnaître partiellement et de minimiser ses gestes. Présenté mardi devant un juge d'instruction, il a été mis en examen pour violences aggravées et non-assistance à personne en danger. Il a été placé en détention provisoire, décision dont il a fait appel, a indiqué son avocat
http://www.20minutes.fr/article/1192109/20130724-vosges-pompier-volontaire-laisse-morte-jeune-femme-frappe
Le suspect avait rencontré la victime vendredi soir dans la discothèque et lui avait proposé de la ramener à son domicile, distant d'une cinquantaine de kilomètres.
Il la trouvait «insupportable»
Mais une fois dans la voiture, il a pris des petits chemins forestiers, selon lui pour éviter des contrôles de police. «Il a ensuite expliqué qu'il s'était perdu, et que sa passagère était insupportable. Il l'a jetée dehors, puis l'a boxée», a raconté à l'AFP l'avocat du jeune homme, Me François Vallas. La victime est tombée dans un ravin de 300 mètres de dénivelé, tandis que l'auteur présumé est retourné seul à son domicile de Saint-Dié, en prenant soin de passer l'aspirateur dans son véhicule.Le lendemain, samedi matin vers 9H00, un bûcheron a découvert la jeune femme, âgée de 21 ans, qui était en hypothermie, le visage tuméfié, et qui présentait de nombreuses blessures sur tout le corps. Elle a été transportée vers l'hôpital de Saint-Dié par les pompiers, puis a été entendue par les enquêteurs, qui ont retrouvé son agresseur grâce aux bandes vidéos de la discothèque.
Le jeune homme, un pompier volontaire, a été interpellé dimanche matin à son domicile par un important dispositif policier, avant d'être placé en garde à vue. Il a d'abord nié les faits, avant de les reconnaître partiellement et de minimiser ses gestes. Présenté mardi devant un juge d'instruction, il a été mis en examen pour violences aggravées et non-assistance à personne en danger. Il a été placé en détention provisoire, décision dont il a fait appel, a indiqué son avocat
http://www.20minutes.fr/article/1192109/20130724-vosges-pompier-volontaire-laisse-morte-jeune-femme-frappe
Seine-Saint-Denis : un SDF tué
Un sans domicile fixe de 45 ans a été tué de plusieurs coups de couteau hier soir lors d'une rixe à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). L'homme, né en Inde, a été agressé vers 22H30 sous un pont de l'autoroute A1, où il vivait avec plusieurs autres personnes. Son meurtrier présumé n'a pas été interpellé, même si plusieurs témoins de la scène ont été entendus.
Touchée à quatre reprises au flanc, à l'abdomen et au thorax, la victime a été prise en charge par les pompiers et transportée à l'hôpital Bichat, à Paris, et y a succombé peu avant minuit.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la rixe aurait éclaté sur fond de consommation d'alcool. La victime vivotait notamment en vendant du maïs grillé sur la voie publique. Le Service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargé de l'enquête, ouverte pour homicide volontaire
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/24/97001-20130724FILWWW00398-seine-saint-denis-un-sdf-tue.php
Touchée à quatre reprises au flanc, à l'abdomen et au thorax, la victime a été prise en charge par les pompiers et transportée à l'hôpital Bichat, à Paris, et y a succombé peu avant minuit.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la rixe aurait éclaté sur fond de consommation d'alcool. La victime vivotait notamment en vendant du maïs grillé sur la voie publique. Le Service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargé de l'enquête, ouverte pour homicide volontaire
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/24/97001-20130724FILWWW00398-seine-saint-denis-un-sdf-tue.php
Meurtre d'Alexandre Junca : une requête d'annulation de mise en examen déposée
"Le 23 juillet le juge des libertés et de la détention de Pau a refusé de mettre Mme Ennajah en liberté, décision dont nous relevons appel au motif que ma cliente était en possession d'informations déterminantes pour la suite de l'enquête", a expliqué Me Thierry Sagardoytho, un des avocats de Fatima Ennajah, compagne du principal suspect.
Selon l'avocat, le juge a argué pour motiver son refus que "quand bien même Mme Ennajah n'aurait-elle pas activement participé aux faits qui sont imputés à son compagnon, elle est en possession d'informations déterminantes pour éclairer les tenants et les aboutissants de la mort puis du démembrement du corps de la jeune victime".
Or, pour Me Sagardoytho cette analyse du juge des libertés et de la détention "est rigoureusement conforme à l'absence de charges susceptibles de fonder la mise en examen"".
La requête en annulation devrait être examinée en septembre par la Cour d'appel de Pau.
Fatima Ennajah, 47 ans, a, comme les trois autres personnes poursuivies dans cette affaire, été mise en examen en avril des crimes "d'assassinat, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire de mineur de quinze ans" commis en bande organisée et placée en détention provisoire à la maison d'arrêt de Pau.
Alexandre Junca, 13 ans, avait disparu dans la soirée du 4 juin 2011 alors qu'il se rendait chez son père au centre de Pau. Un fémur de l'adolescent avait ensuite été retrouvé le 26 juin dans le gave (rivière) de Pau, et le reste du corps démembré retrouvé en octobre enfoui sous des gravats jetés dans cette même rivière.
Mickaël Baehrel, 27 ans, principal suspect, avait reconnu l'avoir frappé avec un marteau durant sa garde à vue puis s'était rétracté dans une lettre envoyée à la juge d'instruction.
http://www.sudouest.fr/2013/07/24/meurtre-d-alexandre-junca-une-requete-d-annulation-de-mise-en-examen-deposee-1123511-3.php
Selon l'avocat, le juge a argué pour motiver son refus que "quand bien même Mme Ennajah n'aurait-elle pas activement participé aux faits qui sont imputés à son compagnon, elle est en possession d'informations déterminantes pour éclairer les tenants et les aboutissants de la mort puis du démembrement du corps de la jeune victime".
Or, pour Me Sagardoytho cette analyse du juge des libertés et de la détention "est rigoureusement conforme à l'absence de charges susceptibles de fonder la mise en examen"".
La requête en annulation devrait être examinée en septembre par la Cour d'appel de Pau.
Fatima Ennajah, 47 ans, a, comme les trois autres personnes poursuivies dans cette affaire, été mise en examen en avril des crimes "d'assassinat, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire de mineur de quinze ans" commis en bande organisée et placée en détention provisoire à la maison d'arrêt de Pau.
Alexandre Junca, 13 ans, avait disparu dans la soirée du 4 juin 2011 alors qu'il se rendait chez son père au centre de Pau. Un fémur de l'adolescent avait ensuite été retrouvé le 26 juin dans le gave (rivière) de Pau, et le reste du corps démembré retrouvé en octobre enfoui sous des gravats jetés dans cette même rivière.
Mickaël Baehrel, 27 ans, principal suspect, avait reconnu l'avoir frappé avec un marteau durant sa garde à vue puis s'était rétracté dans une lettre envoyée à la juge d'instruction.
http://www.sudouest.fr/2013/07/24/meurtre-d-alexandre-junca-une-requete-d-annulation-de-mise-en-examen-deposee-1123511-3.php
Deux CRS agressés sur la Promenade des Anglais à Nice
Ils font partie des renforts de l’été. Deux CRS de Lagny patrouillaient mardi vers 17 h sur la Promenade des Anglais à Nice, à hauteur d’Opéra Plage, quand ils ont été agressés par au moins trois jeunes.
Les policiers ont voulu contrôler l’identité d’individus décrits comme très agités.Le ton est monté.Des coups de poing et de matraque ont été échangés.
Finalement, les agresseurs, en utilisant une bombe lacrymogène, ont pris le dessus et sont parvenus à s’enfuir. Des policiers se sont aussitôt déployés dans le Vieux-Nice.
Particulièrement grave
"Trois personnes ont été interpellées", a précisé, mardi soir, Marcel Authier, le directeur de la sécurité publique, choqué par cette affaire "particulièrement grave".
"Ces policiers ne sont pas à Nice pour du maintien de l’ordre, mais pour la sécurité des Niçois et des vacanciers."
Sur place, les pompiers ont pris en charge les deux fonctionnaires. L’un souffre d’une main.L’autre de multiples contusions. Ils ont été conduits à l’hôpital pour des examens complémentaires.
Unité SGP police 06, dans un communiqué, "réclame la plus grande sévérité de la justice."
http://www.nicematin.com/nice/deux-crs-agresses-sur-la-promenade-des-anglais-a-nice.1362265.html
Les policiers ont voulu contrôler l’identité d’individus décrits comme très agités.Le ton est monté.Des coups de poing et de matraque ont été échangés.
Finalement, les agresseurs, en utilisant une bombe lacrymogène, ont pris le dessus et sont parvenus à s’enfuir. Des policiers se sont aussitôt déployés dans le Vieux-Nice.
Particulièrement grave
"Trois personnes ont été interpellées", a précisé, mardi soir, Marcel Authier, le directeur de la sécurité publique, choqué par cette affaire "particulièrement grave".
"Ces policiers ne sont pas à Nice pour du maintien de l’ordre, mais pour la sécurité des Niçois et des vacanciers."
Sur place, les pompiers ont pris en charge les deux fonctionnaires. L’un souffre d’une main.L’autre de multiples contusions. Ils ont été conduits à l’hôpital pour des examens complémentaires.
Unité SGP police 06, dans un communiqué, "réclame la plus grande sévérité de la justice."
http://www.nicematin.com/nice/deux-crs-agresses-sur-la-promenade-des-anglais-a-nice.1362265.html
Dix-huit mois de prison pour un chauffard qui avait tué son ami
L’affaire était passée au tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse le 10 juillet dernier et avait été mise en délibéré.
Mardi, le tribunal a suivi les réquisitions du parquet et a condamné le jeune chauffard à 36 mois de prison dont 18 avec sursis. Il a été écroué à l’issue de l’audience.
Le jour du drame, le chauffard aujourd’hui âgé de 23 ans avait perdu le contrôle de son véhicule et avait percuté celle de son ami un jeune sapeur-pompier.
Il conduisait à une vitesse de 129 Km/H sur un axe limité à 70 et circulait avec 1,88 gramme d’alcool dans le sang
http://www.leprogres.fr/ain/2013/07/23/justice-18-mois-de-prison-pour-un-chauffard-qui-avait-tue-son-ami
Mardi, le tribunal a suivi les réquisitions du parquet et a condamné le jeune chauffard à 36 mois de prison dont 18 avec sursis. Il a été écroué à l’issue de l’audience.
Le jour du drame, le chauffard aujourd’hui âgé de 23 ans avait perdu le contrôle de son véhicule et avait percuté celle de son ami un jeune sapeur-pompier.
Il conduisait à une vitesse de 129 Km/H sur un axe limité à 70 et circulait avec 1,88 gramme d’alcool dans le sang
http://www.leprogres.fr/ain/2013/07/23/justice-18-mois-de-prison-pour-un-chauffard-qui-avait-tue-son-ami
mardi 23 juillet 2013
Des carcasses d'animaux sur la route
Un accident s'est produit entre Guise et Etreux sur la RD 946. Un poids-lourd et un véhicule de tourisme s'apprêtaient à rentrer en collision. Le chauffeur du camion des transports Van Assel, d'Etreux, a été contraint de freiner brusquement pour éviter l'impact contre le véhicule qui le précédait.
Le freinage brutal a entraîné le déchargement de la benne, remplie de nombreuses carcasses d'animaux destinées aux Equarissages de Venerolles. Les animaux se sont retrouvés sur la chaussée après être passés par-dessus et des deux côtés du camion. Le triste spectacle a été agrémenté par une forte odeur en provenance des animaux, le tout sur fond de chaleur estivale.
Le chauffeur a toutefois eu de bons réflexes en arrivant à stopper son camion d'autant qu'au même moment, un groupe d'une trentaine de cyclotouristes circulait sur cet axe. Fort heureusement, personne n'a été blessé. Quant au chauffeur du véhicule responsable des faits, il a pris la fuite à bord d'un véhicule rouge.
La circulation a été fortement perturbée mais l'intervention des services de la voirie départementale a permis de rétablir au plus vite le trafic
http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-justice/des-carcasses-danimaux-sur-la-route
Le freinage brutal a entraîné le déchargement de la benne, remplie de nombreuses carcasses d'animaux destinées aux Equarissages de Venerolles. Les animaux se sont retrouvés sur la chaussée après être passés par-dessus et des deux côtés du camion. Le triste spectacle a été agrémenté par une forte odeur en provenance des animaux, le tout sur fond de chaleur estivale.
Le chauffeur a toutefois eu de bons réflexes en arrivant à stopper son camion d'autant qu'au même moment, un groupe d'une trentaine de cyclotouristes circulait sur cet axe. Fort heureusement, personne n'a été blessé. Quant au chauffeur du véhicule responsable des faits, il a pris la fuite à bord d'un véhicule rouge.
La circulation a été fortement perturbée mais l'intervention des services de la voirie départementale a permis de rétablir au plus vite le trafic
http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-justice/des-carcasses-danimaux-sur-la-route
Mulhouse : quatre interpellations pour une série d'agressions "d'une rare violence"
L’affaire n’est pas banale et a même valu cet après-midi une conférence de presse dans le bureau du procureur de la République, Hervé Robin, accompagné, pour l’occasion, du chef de la sûreté départementale de Mulhouse, le commissaire Nicolas Grayer. Les deux hommes sont revenus dans le détail sur un dossier en cours d’instruction dans le bureau d’un juge d’instruction mulhousien et qui fait suite à des agressions de personnes seules sur le parking du zoo sur les hauteurs du Rebberg mais également à la sortie de boîtes de nuit à Bâle. Les victimes ont, semble-t-il, le même profil : elles sont seules, fragiles, sortaient tard de boîte de nuit. La plupart ont été agressées sur un parking, sorties violemment de leur voiture pour être entraînées de force en forêt dans un endroit isolé avant d’être sauvagement battues et dépouillées de leurs effets personnels (bijoux, portefeuille, téléphone portable. D’autres victimes étaient prises en charge à la sortie de boîtes de nuit avant de se retrouver prises en otage et de connaître le même sort. Les agressions comme l’a souligné le procureur, « étaient d’une rare violence. Les victimes, sous la menace d’une arme ou d'un couteau, étaient dépouillées avant d’être passées à tabac pour qu’elles donnent le code confidentiel de leur carte banciare. Pour certaines c’étaient de l’acharnement ».
En tout six victimes ont été dénombrées et se sont vues délivrer des ITT légistes allant jusqu’à 30 jours. Les premiers faits remontent au 29 septembre dernier. Il y en a eu en octobre, novembre mais également en janvier et février.
Le travail minutieux des enquêteurs de la BVU a été payant. Il faut dire qu’ils ont utilisé tous les indices possibles et les traces laissées sur place (une trace papillaire laissée dans la voiture de la 3e victime) pour faire parler la police scientifique et technique, ce qui a permis de confondre les deux principaux auteurs de ces agressions. L’un des deux mis en cause, âgé de 20 ans, était d’ailleurs déjà incarcéré pour d’autres faits à Belfort.
Le parquet a ouvert le 5 avril dernier une information judiciaire pour extorsion avec arme, actes de torture et de barbarie en bande, enlèvement et séquestration, vols et violences aggravées… des faits clairement criminels.
Depuis quatre personnes, au casier bien chargé, ont été interpellées. Ils sont tous Mulhousiens et âgés entre 20 et 25 ans. Le dernier agresseur a été interpellé la semaine dernière et vient d’être mis en examen et écroué.
En tout six victimes ont été dénombrées et se sont vues délivrer des ITT légistes allant jusqu’à 30 jours. Les premiers faits remontent au 29 septembre dernier. Il y en a eu en octobre, novembre mais également en janvier et février.
Le travail minutieux des enquêteurs de la BVU a été payant. Il faut dire qu’ils ont utilisé tous les indices possibles et les traces laissées sur place (une trace papillaire laissée dans la voiture de la 3e victime) pour faire parler la police scientifique et technique, ce qui a permis de confondre les deux principaux auteurs de ces agressions. L’un des deux mis en cause, âgé de 20 ans, était d’ailleurs déjà incarcéré pour d’autres faits à Belfort.
Le parquet a ouvert le 5 avril dernier une information judiciaire pour extorsion avec arme, actes de torture et de barbarie en bande, enlèvement et séquestration, vols et violences aggravées… des faits clairement criminels.
Depuis quatre personnes, au casier bien chargé, ont été interpellées. Ils sont tous Mulhousiens et âgés entre 20 et 25 ans. Le dernier agresseur a été interpellé la semaine dernière et vient d’être mis en examen et écroué.
La brigade des violences urbaines lance un appel à d’éventuelles autres victimes ( ✆ 03.89.56.88.00).
http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/2013/07/22/un-remake-d-orange-mecaniqueOffemont : une ancienne école incendiée
«Il était minuit 19 » raconte Emmanuel Debraize, photographe professionnel installé à Offemont, dans la banlieue nord de Belfort. « J’ai entendu une énorme explosion du côté de l’école du Martinet, tout près de mon domicile, et je me suis précipité sur place pour prendre des photos (voir ci-contre). Les flammes dépassaient du toit. » L’intensité de la détonation met en émoi l’avenue Aristide-Briand, entrée principale de la localité. Les habitants, dont certains fêtent encore ramadan à cette heure-là, sortent dans la rue, interloqués. « J’ai eu peur ! » lâche une jeune fille domiciliée non loin de l’école. Le bruit a été entendu au-delà d’Offemont. Domicilié à La Miotte, juste en face, Etienne Butzbach, maire de Belfort et président de l’agglomération, vient constater les dégâts.
Quelques minutes auparavant, l’un des riverains venait d’appeler le commissariat de police de Belfort, alerté par les flammes. Arrivés aussitôt sur les lieux, trois fonctionnaires de service pénètrent alors dans la cour et s’avancent vers le bâtiment en feu. L’explosion retentit, extrêmement violente. Choqués, les trois policiers subissent un traumatisme auditif. A quelques minutes ou quelques mètres près, ils auraient pu laisser la vie dans cet incendie savamment mis en scène. C’est ce que les premières investigations vont démontrer, alors que les pompiers de Belfort-nord maîtrisent rapidement le sinistre et que gaz et électricité sont coupés.
Heureusement, l’incendie n’a pas eu le temps de se propager totalement à l’école primaire, qui jouxte le bâtiment. La porte d’entrée, qui venait d’être changée, est cependant détruite, comme les toilettes. Il y a cinq mois, elle avait été incendiée et il y a un mois et demi, la porte du bâtiment détruit hier avait été forcée, en vain. Scènes de violence ordinaire à Offemont.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/07/22/offemont-une-ancienne-ecole-incendiee
Quelques minutes auparavant, l’un des riverains venait d’appeler le commissariat de police de Belfort, alerté par les flammes. Arrivés aussitôt sur les lieux, trois fonctionnaires de service pénètrent alors dans la cour et s’avancent vers le bâtiment en feu. L’explosion retentit, extrêmement violente. Choqués, les trois policiers subissent un traumatisme auditif. A quelques minutes ou quelques mètres près, ils auraient pu laisser la vie dans cet incendie savamment mis en scène. C’est ce que les premières investigations vont démontrer, alors que les pompiers de Belfort-nord maîtrisent rapidement le sinistre et que gaz et électricité sont coupés.
Sur un petit chariot
Il est 1 h 30 environ lorsque l’acte criminel est clairement établi. Les policiers constatent assez rapidement une effraction sur la porte d’entrée. Les poubelles de l’établissement, contenant de nombreux cartons, ne sont plus à leur place, devant le bâtiment. On retrouve aisément leurs roulettes à l’intérieur et les enquêteurs en déduisent que leur contenu a servi à allumer l’incendie. Puis, circonstance aggravante, Dominique Retailleau, le premier adjoint au maire d’Offemont, et Laurent Mougel, le directeur des services techniques, découvrent le fond d’une bombonne de gaz de grande dimension dans les décombres. « Elle a été amenée intentionnellement à l’intérieur du bâtiment, sur un petit chariot, dont on a également retrouvé les roulettes », explique Françoise Bouvier, maire de la localité. Dégoûtée, l’élue dresse un triste état des lieux : « Cette ancienne école maternelle a été transférée à l’école Jean-Macé pour devenir une maison médicale à la rentrée. J’allais déposer le permis de construire cette semaine. La dalle du plafond est très endommagée et nous allons lancer une enquête de structure pour voir si le projet, attendu par la population, est envisageable en l’état. »Heureusement, l’incendie n’a pas eu le temps de se propager totalement à l’école primaire, qui jouxte le bâtiment. La porte d’entrée, qui venait d’être changée, est cependant détruite, comme les toilettes. Il y a cinq mois, elle avait été incendiée et il y a un mois et demi, la porte du bâtiment détruit hier avait été forcée, en vain. Scènes de violence ordinaire à Offemont.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/07/22/offemont-une-ancienne-ecole-incendiee
Le Puy-en-Velay : un maître-nageur de la piscine La Vague gravement blessé
La victime s'est cognée la tête lors d'un entraînement dans l'un des toboggans extérieurs, avant l'ouverture de l'établissement au public. Le maître-nageur pourrait souffrir de blessures importantes.
Un maître-nageur du centre aqualudique La Vague, au Puy-en-Velay, a été sérieusement blessé ce lundi.
Le trentenaire a été pris en charge par les sapeurs-pompiers puis par une équipe médicale du SAMU 43. La victime s'est cognée la tête lors d'un entraînement dans l'un des toboggans extérieurs, avant l'ouverture de l'établissement au public.
Elle pourrait souffrir de blessures importantes et a été transportée à l'hôpital du Puy-en-Velay. A 14 heures, le centre aqualudique a pu ouvrir ses portes dans des conditions normales.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/07/22/le-puy-en-velay-un-maitre-nageur-de-la-piscine-la-vague-accidente-et-serieusement-blesse
Un maître-nageur du centre aqualudique La Vague, au Puy-en-Velay, a été sérieusement blessé ce lundi.
Le trentenaire a été pris en charge par les sapeurs-pompiers puis par une équipe médicale du SAMU 43. La victime s'est cognée la tête lors d'un entraînement dans l'un des toboggans extérieurs, avant l'ouverture de l'établissement au public.
Elle pourrait souffrir de blessures importantes et a été transportée à l'hôpital du Puy-en-Velay. A 14 heures, le centre aqualudique a pu ouvrir ses portes dans des conditions normales.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/07/22/le-puy-en-velay-un-maitre-nageur-de-la-piscine-la-vague-accidente-et-serieusement-blesse
lundi 22 juillet 2013
Règlement de comptes à la Kalachnikov à Marseille: La victime décédée
Un homme d'une quarantaine d'années est décédé des suites de ses blessures après avoir été pris pour cible par deux tireurs en scooter armés d'une Kalachnikov lundi soir dans les quartiers sud de Marseille, a-t-on appris auprès du parquet.
Il a été touché alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture, à proximité de la cité Saint-Thys dans le 10e arrondissement, a déclaré à l'AFP le procureur de la République Brice Robin, précisant qu'au moins 26 étuis avaient été retrouvés sur place.
http://www.20minutes.fr/article/1191267/20130722-reglement-comptes-a-kalachnikov-a-marseille-victime-decedee
Il a été touché alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture, à proximité de la cité Saint-Thys dans le 10e arrondissement, a déclaré à l'AFP le procureur de la République Brice Robin, précisant qu'au moins 26 étuis avaient été retrouvés sur place.
http://www.20minutes.fr/article/1191267/20130722-reglement-comptes-a-kalachnikov-a-marseille-victime-decedee
Dompierre-sur-Mer (17) : un cadavre dans le canal
Des promeneurs ont fait une découverte macabre hier, peu avant midi, sur un chemin de halage longeant le canal de Marans, à Dompierre-sur-Mer.
Le corps d’un homme, âgé apparemment d’une cinquantaine d’années, se trouvait dans l’eau. Il a été retiré du canal par les gendarmes de la brigade nautique. Des papiers ont été retrouvés sur lui, permettant d’identifier cet homme, originaire de Périgny. Il portait un sac à dos contenant des outils et des victuailles, laissant supposer qu’il se rendait chez des amis pour un repas.
Autopsie aujourd’hui
L’homme aurait-il été victime d’un malaise en marchant, à une heure où la chaleur était étouffante ? Une autopsie, pratiquée aujourd’hui, devrait permettre d’en savoir plus sur les circonstances de ce décès.
http://www.sudouest.fr/2013/07/22/un-cadavre-dans-le-canal-1120846-4628.php
Le corps d’un homme, âgé apparemment d’une cinquantaine d’années, se trouvait dans l’eau. Il a été retiré du canal par les gendarmes de la brigade nautique. Des papiers ont été retrouvés sur lui, permettant d’identifier cet homme, originaire de Périgny. Il portait un sac à dos contenant des outils et des victuailles, laissant supposer qu’il se rendait chez des amis pour un repas.
Autopsie aujourd’hui
L’homme aurait-il été victime d’un malaise en marchant, à une heure où la chaleur était étouffante ? Une autopsie, pratiquée aujourd’hui, devrait permettre d’en savoir plus sur les circonstances de ce décès.
http://www.sudouest.fr/2013/07/22/un-cadavre-dans-le-canal-1120846-4628.php
Bouglon. Trois spectateurs blessés lors d'une course auto
L’une des voitures de rallye engagées pour l’édition 2013 du slalom de côte d’Argenton-Bouglon a quitté la route lors de l’épreuve, hier vers 18 heures. Le pilote a semble-t-il perdu le contrôle de son bolide à quelques mètres de la ligne d’arrivée. En perte d’adhérence, la voiture a glissé vers une barrière de sécurité derrière laquelle se trouvaient deux spectatrices d’environ 40 ans, et la fille de l’une d’elle. L’une des deux souffrait de fractures aux jambes. Les trois victimes ont été transportées au centre hospitalier de Marmande. Vers 20 heures hier, le pilote bénéficiait de soins sur place. Après 10 ans d’interruption, cette épreuve de 1,1 km prisée des pilotes a été relancée en 2011 par le Club auto marmandais.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/22/1675830-bouglon-trois-spectateurs-blesses-lors-d-une-course-auto.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/22/1675830-bouglon-trois-spectateurs-blesses-lors-d-une-course-auto.html
Ils laissent leurs trois enfants seuls pendant la nuit
Les cris des enfants ont alerté des voisins. Ce sont eux qui ont prévenu les gendarmes. Dans la nuit de samedi à dimanche, une patrouille du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie d’Avignon a fait une découverte dans un pavillon de Vedène. Trois enfants âgés de 2 à 5 ans ont été laissés seuls par leurs parents.
La mère et le père sont rentrés plus tard dans la nuit. Ils étaient partis à l’hôpital suite au décès d’un membre de leur famille.
Une enquête est ouverte chez les militaires. Le Parquet d’Avignon décidera des suites à donner à l’affaire.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/07/21/ils-laissent-leurs-trois-enfants-seuls-pendant-la-nuit
La mère et le père sont rentrés plus tard dans la nuit. Ils étaient partis à l’hôpital suite au décès d’un membre de leur famille.
Une enquête est ouverte chez les militaires. Le Parquet d’Avignon décidera des suites à donner à l’affaire.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/07/21/ils-laissent-leurs-trois-enfants-seuls-pendant-la-nuit
dimanche 21 juillet 2013
Paris : secouru après un arrêt cardiaque dans le canal Saint-Martin
Un homme a été secouru par un passant, samedi 20 juillet, vers 14 h 30, alors qu’il était en train de se noyer dans le canal Saint-Martin, à hauteur du quai de Valmy dans le Xe arrondissement à Paris.
La victime, âgée de 34 ans, a été rapidement prise en charge par les secours avant d’être transportée dans un état grave vers l’hôpital Lariboisière (Xe).
Son pronostic vital est engagé.
Selon les premiers éléments de l’enquête, ce jeune homme, sous l’emprise de l’alcool, aurait entrepris de traverser le canal Saint-Martin à la nage avant de perdre connaissance.
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-secouru-apres-un-arret-cardiaque-dans-le-canal-saint-martin-21-07-2013-2997585.php
La victime, âgée de 34 ans, a été rapidement prise en charge par les secours avant d’être transportée dans un état grave vers l’hôpital Lariboisière (Xe).
Son pronostic vital est engagé.
Selon les premiers éléments de l’enquête, ce jeune homme, sous l’emprise de l’alcool, aurait entrepris de traverser le canal Saint-Martin à la nage avant de perdre connaissance.
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-secouru-apres-un-arret-cardiaque-dans-le-canal-saint-martin-21-07-2013-2997585.php
Agde (Hérault) : il provoque une course-poursuite alors qu'il devait être en prison
Pris en chasse par la brigade anti-criminalité au volant d'un cabriolet, il faisait l'objet d'un avis de recherche..
Ce samedi, vers 5 h 15, un individu a été interpellé après une course-poursuite sportive dans les rues d’Agde. Le jeune homme de 27 ans conduisait un cabriolet et montait sur les trottoirs à toute allure. Ce comportement étrange a été repéré par les policiers de la Bac qui ont essayé de contrôler le chauffeur.
Menottage difficile
Voyant qu’il était suivi, celui-ci a alors accéléré. Pris en chasse par les forces de l’ordre, il a percuté des balustres avant d’être finalement obligé de s’arrêter, toujours peu prompt, cependant, à obtempérer. "Le menottage a été difficile, confie un policier, il a fallu user de techniques professionnelles."
Garde à vue
L’homme a été placé en garde à vue pour refus de se soumettre à vérification et conduite en état d’ivresse. À 11 h, soient six heures après son interpellation, il avait encore un fort taux d’alcool dans le sang, frôlant les 0,70 g.
Avis de recherche
Mais le plus gros n’est pas là. Après vérification, il s’est avéré que le chauffard faisait l’objet d’un avis de recherche. Un jugement du tribunal de Narbonne l’avait condamné, en 2012, à 8 mois de prison ferme et 4 avec sursis. Mais l’homme avait, notamment, changé d’adresse et demeurait introuvable. Sa conduite en état d’ivresse l’a finalement trahi et il a été déféré au parquet hier, à 17 h, pour que sa peine soit mise à exécution.
Il devrait donc aller en prison pour les faits qu’il avait commis en 2012 et comparaîtra pour ceux de samedi en décembre prochain.
http://www.midilibre.fr/2013/07/21/course-poursuite-a-agde-le-conducteur-cense-etre-en-prison,736828.php
Ce samedi, vers 5 h 15, un individu a été interpellé après une course-poursuite sportive dans les rues d’Agde. Le jeune homme de 27 ans conduisait un cabriolet et montait sur les trottoirs à toute allure. Ce comportement étrange a été repéré par les policiers de la Bac qui ont essayé de contrôler le chauffeur.
Menottage difficile
Voyant qu’il était suivi, celui-ci a alors accéléré. Pris en chasse par les forces de l’ordre, il a percuté des balustres avant d’être finalement obligé de s’arrêter, toujours peu prompt, cependant, à obtempérer. "Le menottage a été difficile, confie un policier, il a fallu user de techniques professionnelles."
Garde à vue
L’homme a été placé en garde à vue pour refus de se soumettre à vérification et conduite en état d’ivresse. À 11 h, soient six heures après son interpellation, il avait encore un fort taux d’alcool dans le sang, frôlant les 0,70 g.
Avis de recherche
Mais le plus gros n’est pas là. Après vérification, il s’est avéré que le chauffard faisait l’objet d’un avis de recherche. Un jugement du tribunal de Narbonne l’avait condamné, en 2012, à 8 mois de prison ferme et 4 avec sursis. Mais l’homme avait, notamment, changé d’adresse et demeurait introuvable. Sa conduite en état d’ivresse l’a finalement trahi et il a été déféré au parquet hier, à 17 h, pour que sa peine soit mise à exécution.
Il devrait donc aller en prison pour les faits qu’il avait commis en 2012 et comparaîtra pour ceux de samedi en décembre prochain.
http://www.midilibre.fr/2013/07/21/course-poursuite-a-agde-le-conducteur-cense-etre-en-prison,736828.php
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