L'accident s'est produit ce jeudi, peu avant 13 h, sur la D6 reliant Sombacour à Houtaud. C'est en voulant éviter une autre voiture arrivant en sens inverse, qui avait entrepris de doubler un vélo, que cette automobiliste a serré le côté droit de la chaussée. Son véhicule a mordu l'accotement et est violemment parti dans le décor.
Pompiers et gendarmes ont été appelés sur les lieux. Touchée aux cervicales, la victime, une habitante de Bouverans âgée de 28 ans, avait pu s'extraire seule de sa voiture retournée sur le toit. Choquée, la jeune femme a été conduite à l'hôpital pour y subir des examens complémentaires.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2015/10/29/voiture-retournee-dans-le-haut-doubs-la-conductrice-hospitalisee
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
vendredi 30 octobre 2015
mercredi 28 octobre 2015
Saint-Egrève : un homme de 25 ans gravement brûlé après un feu de voiture
Un jeune homme a été gravement brûlé au dos, aux mains et aux jambes après l'incendie de sa voiture, mercredi 28 octobre vers 2 heures, à Saint-Egrève, dans l'agglomération de Grenoble.
Agé de 25 ans, l'homme aurait tenté de récupérer du matériel dans sa voiture en feu. Il a été secouru par le Samu et les sapeurs-pompiers, puis pris en charge par le service déchocage du CHU de Grenoble.http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/saint-egreve-un-homme-de-25-ans-gravement-brule-apres-un-feu-de-voiture-839217.html
Agé de 25 ans, l'homme aurait tenté de récupérer du matériel dans sa voiture en feu. Il a été secouru par le Samu et les sapeurs-pompiers, puis pris en charge par le service déchocage du CHU de Grenoble.http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/saint-egreve-un-homme-de-25-ans-gravement-brule-apres-un-feu-de-voiture-839217.html
mardi 27 octobre 2015
Marseille : un policier de la Bac tire sur un homme qui tentait d'agresser son collègue
L'agent de la Bac a riposté pour protéger son collègue alors que le malfaiteur, pris en flagrant délit de vol, cherchait à l'agresser avec un couteau, mardi midi dans le IIIe arrondissement de la cité phocéenne, rapporte La Provence.
Il tentait de s'emparer d'une voiture. Un homme pris en flagrant délit de vol a été blessé par balle par la police, mardi, à Marseille, rapporte La Provence. Les faits se sont produits à la mi-journée rue Guibal, dans le IIIe arrondissement de la cité phocéenne.
"Un policier a dû faire usage de son arme alors que son collègue était directement attaqué par un individu porteur d'un couteau, qui avait préalablement menacé deux autres policiers", a expliqué le directeur départemental de la sécurité publique Pierre-Marie Bourniquel à l'AFP.
Touché aux lombaires, le suspect a été pris en charge par les marins-pompiers. Son pronostic vital n'est pas engagé. L'enquête a été confiée à la police judiciaire, sur instruction du procureur de la République de Marseille Brice Robin.
Belfort : une conductrice désincarcérée
Un accident de la circulation s’est produit hier soir, vers 17 h 45, sur l’autoroute à hauteur de la sortie 11, dans le sens Belfort-Montbéliard. L’accrochage s’est produit entre une voiture légère et une camionnette. Les sapeurs-pompiers de Belfort-Sud se sont rapidement rendus sur les lieux. Ils ont été contraints de désincarcérer la conductrice de la voiture avant de la transporter à l’hôpital. Deux autres personnes qui se trouvaient dans la camionnette ont été légèrement blessées. L’accident a provoqué de gros bouchons sur plusieurs kilomètres à une heure où l’autoroute est particulièrement encombrée. La gendarmerie a procédé au constat.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/27/une-conductrice-desincarceree-dubf
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/27/une-conductrice-desincarceree-dubf
lundi 26 octobre 2015
Besançon : « Il a failli renverser les policiers »
IL EST 2 H 30 de la nuit ce 20 septembre, la police vient de se rendre sur les lieux d’un accident survenu à Besançon sur la RN 57. Cet homme de 24 ans vient de quitter une soirée arrosée et arrive en voiture. « Vous avez cherché à vous frayer un passage entre les cônes de sécurité installés, vous avez forcé un barrage de policiers que vous avez frôlés. Ceux-ci ont avisé leurs collègues du deuxième barrage qu’un véhicule arrivait à vive allure », rapporte la présidente.
La suite est mouvementée, le conducteur est tiré de son véhicule par les policiers qui le décrivent comme alcoolisé, titubant et agressif. Ramené au commissariat, il refuse de se soumettre aux contrôles d’alcoolémie. Il accepte seulement, le lendemain, résultat 0,40 gr.
À la barre, le prévenu donne sa version des faits. Il reconnaît avoir bu des bières pour fêter une commande avec un client, il conteste avoir voulu forcer des barrages. « Je suis arrivé dans un virage, j’ai freiné mais l’accident était mal indiqué ». Le prévenu explique n’avoir pas compris les signaux des policiers mal installés. Surtout, il rapporte avoir reçu des coups de poing et avoir été injurié ensuite au commissariat : « Quand ils m’ont arrêté, j’étais presque fier de n’avoir tué personne ».
Partie civile pour deux policiers, Me Catherine Bresson rappelle le déroulement des faits : « Ils ont vu arriver une bombe automobile, il a failli les renverser. Il dit tout et son contraire. Il prétend avoir été frappé avec des gants. Les violences policières à son encontre ne sont pas attestées ». Le procureur s’interroge : « Tout est donc de la faute des cônes et signaux mal placés ». Le prévenu ayant bénéficié d’un sursis avec mise à l’épreuve pour une affaire de l’an dernier, il requiert une peine de 6 à 8 mois.
Le tribunal a relaxé le prévenu du refus d’obtempérer à une sommation. Pour le refus de se soumettre aux tests d‘alcoolémie, la conduite en état d’ivresse et menace de crime ou délit, il a écopé de six mois à aménager sous contrôle de bracelet électronique, d’une annulation du permis de conduire avec interdiction de le repasser avant six mois.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/10/26/besancon-il-a-failli-renverser-les-policiers
La suite est mouvementée, le conducteur est tiré de son véhicule par les policiers qui le décrivent comme alcoolisé, titubant et agressif. Ramené au commissariat, il refuse de se soumettre aux contrôles d’alcoolémie. Il accepte seulement, le lendemain, résultat 0,40 gr.
À la barre, le prévenu donne sa version des faits. Il reconnaît avoir bu des bières pour fêter une commande avec un client, il conteste avoir voulu forcer des barrages. « Je suis arrivé dans un virage, j’ai freiné mais l’accident était mal indiqué ». Le prévenu explique n’avoir pas compris les signaux des policiers mal installés. Surtout, il rapporte avoir reçu des coups de poing et avoir été injurié ensuite au commissariat : « Quand ils m’ont arrêté, j’étais presque fier de n’avoir tué personne ».
Partie civile pour deux policiers, Me Catherine Bresson rappelle le déroulement des faits : « Ils ont vu arriver une bombe automobile, il a failli les renverser. Il dit tout et son contraire. Il prétend avoir été frappé avec des gants. Les violences policières à son encontre ne sont pas attestées ». Le procureur s’interroge : « Tout est donc de la faute des cônes et signaux mal placés ». Le prévenu ayant bénéficié d’un sursis avec mise à l’épreuve pour une affaire de l’an dernier, il requiert une peine de 6 à 8 mois.
Pas d’image sur la caméra du commissariat
Le défenseur, Me Randall Schwerdorffer, décortique les pièces du dossier : « Il n’y avait pas de barrages, il n’y a eu aucune sommation de s’arrêter donc l’infraction de refus d’obtempérer à une sommation de s’arrêter n’est pas constituée. En quoi consiste l’obligation de s’arrêter sur un dispositif de déviation de véhicules ? ». L’avocat remet en question la version policière des violences : « On parle de coups que s’est donnés le prévenu. Mais la caméra vidéo filmant le couloir des geôles des gardés à vue au commissariat, ne livre aucune image ». L’avocat invite les magistrats à ne pas toujours avaler les versions des faits rapportés par les policiers surtout en ces temps où ces derniers manifestent et râlent contre la justice : « C’est à vous d’apprécier l’attitude des policiers et de juger ». Il précise au passage que le prévenu a crié aux policiers “je vais vous niquer et non je vais vous tuer”, comme ils l’ont rapporté.Le tribunal a relaxé le prévenu du refus d’obtempérer à une sommation. Pour le refus de se soumettre aux tests d‘alcoolémie, la conduite en état d’ivresse et menace de crime ou délit, il a écopé de six mois à aménager sous contrôle de bracelet électronique, d’une annulation du permis de conduire avec interdiction de le repasser avant six mois.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/10/26/besancon-il-a-failli-renverser-les-policiers
dimanche 25 octobre 2015
Vidéo : Hommage à Annie Girardot qui est née le 25 octobre 1931
Elle nous a quittés le 28 février 2011 à 80 ans.
- Le célèbre dialoguiste Michel Audiard, fait d'elle la principale interprète de son film "Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !" En 1972, elle devient une femme régnant sur un bidonville, spécialisée dans le trafic de saintes reliques, dans "Elle cause plus... elle flingue."
- En 1971 sort "Mourir d'aimer, film d'André Cayatte, ce film raconte l'histoire d'amour entre une enseignante et un de ses élèves lycéen
- En 1977, Annie reçoit le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland
- En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès.
- Après une traversée du désert de plusieurs années, l'obtention en 1996 du César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour Les Misérables, de Claude Lelouch, lui permet de « retrouver sa place ». Lors de la remise de son César à la 21e cérémonie, les larmes aux yeux, elle provoque l'émotion avec ces paroles : « Je ne sais pas si j’ai manqué au cinéma français, mais à moi, le cinéma français a manqué follement... éperdument... douloureusement. Et votre témoignage, votre amour, me font penser que peut-être, je dis bien peut-être, je ne suis pas encore tout à fait morte. »
Morteau : deux jeunes motards blessés léger à un carrefour dangereux
L’accident de la circulation s’est produit samedi après midi vers 16 heures dans un carrefour très dangereux, entre la rue des frères Frainier, celle de la Glapinée et de la Chaussée, à moins de cent mètres de la caserne des pompiers. Les secours sont donc intervenus très rapidement avec le médecin de service pour constater les dégâts et établir un premier diagnostic, pendant que la gendarmerie de Morteau, présente sur les lieux, faisait les premiers constats.
Il s’agit de deux jeunes mortuaciens sur un scooter. Ils venaient de la place de l’église pour remonter la rue Frainier. Pour une cause encore indéterminée leur engin est venu percuter violemment une voiture qui montait de la rue de la Glapinée. Blessés les deux jeunes gens ont été transportés par les pompiers sur l’Hôpital de Pontarlier pour des examens plus approfondis.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2015/10/24/morteau-deux-jeunes-motards-blesses-legers-a-un-carrefour-dangereux
Il s’agit de deux jeunes mortuaciens sur un scooter. Ils venaient de la place de l’église pour remonter la rue Frainier. Pour une cause encore indéterminée leur engin est venu percuter violemment une voiture qui montait de la rue de la Glapinée. Blessés les deux jeunes gens ont été transportés par les pompiers sur l’Hôpital de Pontarlier pour des examens plus approfondis.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2015/10/24/morteau-deux-jeunes-motards-blesses-legers-a-un-carrefour-dangereux
samedi 24 octobre 2015
Un motard grièvement blessé
Hier, vers 11 h 30, au carrefour entre la route de Lourdes et la rue de la Pène à Odos, un motard a été grièvement blessé lors d'une collision avec un fourgon. Le motard venait de Juillan alors que le conducteur du fourgon sortait du magasin de carrelage et sanitaires Pavan. Que s'est-il réellement passé ? Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs de la police, le conducteur du fourgon n'aurait pas vu arriver la moto, pour des raisons qui restent à déterminer. Toujours est-il que le test d'alcoolémie s'est révélé négatif.
Victime d'une fracture du tibia à la jambe gauche et de contusions multiples, le motard de 45 ans, qui réside à Tarbes, a été médicalisé sur place avant d'être évacué par l'ambulance des pompiers au centre hospitalier de Tarbes. Heureusement, au moment de l'arrivée des secours, le quadragénaire était conscient et ses jours ne sont pas en danger.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/24/2203949-un-motard-grievement-blesse.html
Victime d'une fracture du tibia à la jambe gauche et de contusions multiples, le motard de 45 ans, qui réside à Tarbes, a été médicalisé sur place avant d'être évacué par l'ambulance des pompiers au centre hospitalier de Tarbes. Heureusement, au moment de l'arrivée des secours, le quadragénaire était conscient et ses jours ne sont pas en danger.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/24/2203949-un-motard-grievement-blesse.html
vendredi 23 octobre 2015
Un homme retranché à Mont-Saint-Aignan
Des policiers ont du intervenir vers 2 heures du matin ce vendredi 23 octobre à Mont-Saint-Aignan, près de Rouen. Un homme s’était retranché dans une maison située rue des voûtes. Contactée ce matin, la maire de la commune a déclaré que la situation avait été maitrisée et qu’il s’agirait d’un différend de voisinage.
Selon nos confrères de Normandie Actu, l’homme aurait tiré sur les policiers sans faire de blessés.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/un-homme-retranche-mont-saint-aignan-835751.html
Selon nos confrères de Normandie Actu, l’homme aurait tiré sur les policiers sans faire de blessés.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/un-homme-retranche-mont-saint-aignan-835751.html
La course-poursuite finit contre une vitrine
Des policiers en patrouille ont eu maille à partir avec un automobiliste, mercredi soir, dans Toulouse. Il était aux environs de 21 heures lorsqu'ils ont repéré un véhicule qui roulait trop vite et venait de franchir un feu rouge à l'angle de la rue Bourbaki et du boulevard Silvio-Trentin. Ils ont voulu le contrôler. Lorsque les fonctionnaires sont arrivés à sa hauteur, le conducteur s'est déporté et a accéléré vers le boulevard de Suisse puis le port de l'Embouchure avant de prendre le périphérique en direction de Bordeaux. Il est sorti du côté de Sesquières et a emprunté l'avenue des États-Unis. C'est là qu'il a perdu le contrôle et terminé sa course dans la vitrine d'un magasin. Il est parti à pied avant d'être rattrapé par les policiers un peu plus loin. Cet homme de 27 ans, qui avait consommé des produits stupéfiants, a été placé en garde à vue
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/23/2203368-la-course-poursuite-finit-contre-une-vitrine.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/23/2203368-la-course-poursuite-finit-contre-une-vitrine.html
jeudi 22 octobre 2015
Hérault : un motard de la gendarmerie percuté, un dispositif de recherche lancé
U n important dispositif de recherche a été déployé sur le secteur de Montpellier et Lodève par les gendarmes après un incident qui est survenu mercredi 21 octobre, vers 18 h, sur l'A 750, au niveau de Saint-André-de-Sangonis, dans le sens Lodève - Montpellier.
Un important dispositif de recherche a été déployé sur le secteur de Montpellier et Lodève par les gendarmes après un incident qui est survenu mercredi 21 octobre, vers 18 h, sur l'A 750, au niveau de Saint-André-de-Sangonis, dans le sens Lodève - Montpellier.
http://www.midilibre.fr/2015/10/21/un-motard-de-la-gendarmerie-percute-un-dispositif-de-recherche-lance,1230473.php
Le motard est indemne
Un motard de la gendarmerie qui voulait contrôler une voiture a été percuté par cette dernière au moment où le gendarme venait de s'arrêter en moto. Le militaire a réussi à sauter de son deux-roues au moment du choc ; il est indemne. L'hélicoptère de la gendarmerie ainsi que la police de Montpellier ont été activés pour retrouver ce véhicule Volkswagen de type Golf impliqué dans cet incident.http://www.midilibre.fr/2015/10/21/un-motard-de-la-gendarmerie-percute-un-dispositif-de-recherche-lance,1230473.php
mercredi 21 octobre 2015
Ce que l'on sait sur la disparition d'un étudiant en médecine à Wavrechain-sous-Faulx
Que sait-on sur les circonstances de sa disparition ?
Samedi soir, Jean-Baptiste Pignède participait à une soirée au Fleury, une salle de Wavrechain-sous-Faulx près de Valenciennes. Jusqu'à minuit, il envoie des textos. A 2h du matin, son téléphone portable s'éteint, selon les expertises réalisées par la gendarmerie.On sait que des étudiants ont amené Jean-Baptiste Pignède dans une tente du camping de l'Orée du Bois vers 1h ou 2h. Il était fortement alcoolisé. Que s'est-il passé ensuite ?
Que sait-on de la soirée à laquelle il a participé ?
C'est ambigu. On sent une tension autour de cette question. Certains étudiants parlent clairement d'une soirée d'intégration. D'autres, souvent ceux qui sont proches des étudiants en 2ème année, affirment que c'était une simple soirée entre étudiants. Y participaient des étudiants en médecine de Lille mais aussi d'autres de la faculté de Valenciennes en week-end d'intégration, comme le montre cette publication Facebook (datée du samedi).http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/ce-que-l-sait-sur-la-disparition-d-un-etudiant-en-medecine-wavrechain-sous-faulx-834009.html
Un fourgon de police se renverse en pleine ville
Un accident de la circulation impliquant un fourgon de police municipale et une voiture particulière s'est produit hier, sur le coup de 18 heures, avenue Antoine-Marty à Carcassonne.
Le véhicule de police remontait l'avenue pour conduire au commissariat un homme qui venait d'être appréhendé pour une ivresse publique manifeste. Les signaux sonores et lumineux du fourgon étaient en action quand, au croisement de la rue de Lorraine, une voiture Peugeot, conduite par une jeune femme, l'a percuté sur le côté et l'a fait basculer sur le flanc.
La conductrice de la voiture et sa passagère, malgré d'importants dégâts matériels sont sorties indemne de l'accident.
Les deux hommes, âgés d'une trentaine et d'une quarantaine d'années ont donc été transportés à l'hôpital par les pompiers, souffrant de contusions multiples et se plaignant, pour l'un, de fortes douleurs à un genou et pour l'autre aux côtes.
Idem pour leur «passager» qui présentait quelques ecchymoses et a aussi été admis aux urgences.
Les dépistages d'alcoolémie et de consommation de produits stupéfiants se sont révélés négatifs pour les deux conducteurs et la police nationale a procédé aux constatations d'usage dans le but d'attribuer d'éventuelles responsabilités dans cet accident, sans trop graves conséquences heureusement.
Le véhicule de police remontait l'avenue pour conduire au commissariat un homme qui venait d'être appréhendé pour une ivresse publique manifeste. Les signaux sonores et lumineux du fourgon étaient en action quand, au croisement de la rue de Lorraine, une voiture Peugeot, conduite par une jeune femme, l'a percuté sur le côté et l'a fait basculer sur le flanc.
La conductrice de la voiture et sa passagère, malgré d'importants dégâts matériels sont sorties indemne de l'accident.
Deux agents à l'hôpital
Il n'en va pas de même pour les deux policiers municipaux qui se trouvaient dans la camionnette et qui ont été transportés à l'hôpital.Les deux hommes, âgés d'une trentaine et d'une quarantaine d'années ont donc été transportés à l'hôpital par les pompiers, souffrant de contusions multiples et se plaignant, pour l'un, de fortes douleurs à un genou et pour l'autre aux côtes.
Idem pour leur «passager» qui présentait quelques ecchymoses et a aussi été admis aux urgences.
Les dépistages d'alcoolémie et de consommation de produits stupéfiants se sont révélés négatifs pour les deux conducteurs et la police nationale a procédé aux constatations d'usage dans le but d'attribuer d'éventuelles responsabilités dans cet accident, sans trop graves conséquences heureusement.
mardi 20 octobre 2015
Saône-et-Loire : un motocycliste a été gravement blessé
Le conducteur d’un scooter a été gravement blessé ce matin vers 6h 20.
L’accident s’est produit route des Charmettes, sur la commune de Varennes-Saint-Sauveur, à 5 kilomètres de Dommartin-lès-Cuiseaux, dans la Bresse.
Selon les premiers éléments, le pilote du scooter aurait heurté un véhicule tractant une remorque qui circulait devant lui. En chutant, la victime aurait été heurtée par l’auto qui arrivait derrière lui.
Le cyclomotoriste a été évacué vers un hôpital de Lyon, ont indiqué les pompiers de Saône-et-Loire, qui sont intervenus sur les lieux de l’accident.
Un des conducteurs des véhicules impliqués a été légèrement touché et transporté à Bourg-en-Bresse.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/saone-et-loire-un-motocycliste-ete-gravement-blesse-833591.html
L’accident s’est produit route des Charmettes, sur la commune de Varennes-Saint-Sauveur, à 5 kilomètres de Dommartin-lès-Cuiseaux, dans la Bresse.
Selon les premiers éléments, le pilote du scooter aurait heurté un véhicule tractant une remorque qui circulait devant lui. En chutant, la victime aurait été heurtée par l’auto qui arrivait derrière lui.
Le cyclomotoriste a été évacué vers un hôpital de Lyon, ont indiqué les pompiers de Saône-et-Loire, qui sont intervenus sur les lieux de l’accident.
Un des conducteurs des véhicules impliqués a été légèrement touché et transporté à Bourg-en-Bresse.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/saone-et-loire-un-motocycliste-ete-gravement-blesse-833591.html
La cabine du camion accidenté atterrit de l'autre côté des voies : 2 blessés
L'accident de poids lourd qui a eu lieu hier vers 1 heure sur l'autoroute A 20, a fait-seulement- deux blessés. Le bilan aurait pu être autrement dramatique à une heure de fort trafic, la cabine du camion ayant été projetée de l'autre côté des voies. Il était 1 h 15 lorsqu'un camion frigorifique qui voyageait à vide, en direction de Toulouse, sur le tronçon autoroutier entre Cahors-Nord (sortie n° 57) et Cahors-Sud (sortie n° 58) est allé heurter la glissière de sécurité et le mur central en béton. Sous l'impact, la cabine dans laquelle se trouvaient une femme de 20 ans et un homme de 22 ans, s'est arrachée du tracteur, a traversé le terre-plein central pour finir de l'autre côté de l'autoroute. Par chance, aucun autre véhicule ne circulait à ce moment-là sur cette partie de l'A20 sinon la collision frontale aurait été inévitable. Dans les minutes qui ont suivi, des moyens de secours ont convergé vers le lieu de l'accident venant de Cahors, Labastide-Murat et Gourdon. Le chauffeur et son passager présentant des blessures sans gravité ont été pris en charge et hospitalisés à Cahors. A la lumière des projecteurs, les équipes de Vinci Autoroutes ont été mobilisées pour sécuriser la zone avec les gendarmes du PMO de Cahors. Avec la cabine d'un côté, la remorque et le tracteur fracassés contre la pile du pont en face, le trafic a été maintenu sur une seule voie dans chaque sens de circulation. L'ensemble routier était évacué à 4 h 50 et une heure plus tard, les équipes entamaient la réparation des rails de sécurité, la voie de gauche étant toujours neutralisée
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/20/2201035-cabine-camion-accidente-atterrit-autre-cote-voies-2-blesses.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/20/2201035-cabine-camion-accidente-atterrit-autre-cote-voies-2-blesses.html
lundi 19 octobre 2015
Meuse : quatre blessés dans une collision à Ménil-sur-Saulx
Une spectaculaire collision entre deux véhicules s’est déroulée hier soir sur la D129a, vers 18 h 10, entre Ménil-sur-Saulx et Maulan. Le choc, frontal et violent, a fait 4 blessés : un homme de 48 ans, domicilié à Baudignécourt, qui circulait seul à bord dans le sens Maulan/Ménil-sur-Saulx ; des parents et leur fille âgée d’une douzaine d’années qui arrivaient en sens inverse dans un véhicule de société.
Selon les premiers constats établis par les gendarmes de la communauté de brigades de Ligny-en-Barrois, le quadragénaire se serait déporté sur la gauche de la chaussée à la sortie d’une légère courbe à droite, juste après un faux plat. Une vitesse excessive n’est pas à exclure, des traces de freinage bien visibles attestant de cette hypothèse.
Sur place, les sapeurs-pompiers de Ligny-en-Barrois, Dammarie-sur-Saulx et Cousances-les-Forges, sous l’autorité du chef de groupe, le lieutenant Habib Bousba, ont prodigué les premiers soins aux victimes en procédant notamment à une désincarcération du véhicule familial.
Les quatre blessés ont été transportés au centre hospitalier de Bar-le-Duc. Des prises de sang (alcoolémie, produits stupéfiants) devaient être effectuées dans la soirée sur les deux conducteurs dans le cadre de l’enquête.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/10/19/meuse-quatre-blesses-dans-une-collision-a-menil-sur-saulx
Selon les premiers constats établis par les gendarmes de la communauté de brigades de Ligny-en-Barrois, le quadragénaire se serait déporté sur la gauche de la chaussée à la sortie d’une légère courbe à droite, juste après un faux plat. Une vitesse excessive n’est pas à exclure, des traces de freinage bien visibles attestant de cette hypothèse.
Sur place, les sapeurs-pompiers de Ligny-en-Barrois, Dammarie-sur-Saulx et Cousances-les-Forges, sous l’autorité du chef de groupe, le lieutenant Habib Bousba, ont prodigué les premiers soins aux victimes en procédant notamment à une désincarcération du véhicule familial.
Les quatre blessés ont été transportés au centre hospitalier de Bar-le-Duc. Des prises de sang (alcoolémie, produits stupéfiants) devaient être effectuées dans la soirée sur les deux conducteurs dans le cadre de l’enquête.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/10/19/meuse-quatre-blesses-dans-une-collision-a-menil-sur-saulx
dimanche 18 octobre 2015
Sauvage agression à la Cité sous l'œil des caméras
Jeudi, deux jeunes majeurs ont été interpellés à Villeneuve-Minervois et ont été placés en garde à vue pour des faits de vols avec violence commis le week-end dernier sur le parking Pautard à la Cité de Carcassonne. Les services de police ont pu formellement identifier les suspects grâce aux enregistrements vidéo du CSU (centre de surveillance urbaine) sur lesquels, selon nos sources, l'on voit clairement les individus se ruer sur deux touristes allemandes, en «plaquer» une au sol et lui porter des coups avant de lui dérober son sac à main. Selon nos informations, les images sont d'une violence extrême et inhabituelle. Le duo, en état de récidive de vol, a été présenté au parquet de Carcassonne et a été placé en détention provisoire. Il devrait être jugé dès ce lundi dans le cadre d'une comparution immédiate.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/18/2200195-sauvage-agression-a-la-cite-sous-l-oeil-des-cameras.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/18/2200195-sauvage-agression-a-la-cite-sous-l-oeil-des-cameras.html
samedi 17 octobre 2015
Incendie en Dordogne : un jeune homme sorti brûlé d'une maison
Les pompiers interviennent depuis ce samedi matin à Ginestet. La victime devrait être héliportée vers Bordeaux. Un autre homme est plus légèrement blessé
Article mis à jour à 12h55
L'alerte a été donnée ce samedi matin, à 9 h 36 : un incendie ravageait une maison de Ginestet (24), en Bergeracois. Arrivés sur place, au lieu dit Les Mérigoux, les pompiers ont porté secours à un jeune homme sorti brûlé de l'habitation.
Ses blessures seraient sérieuses, selon nos informations. Il devrait être évacué en hélicoptère vers Bordeaux. L'appareil de la Sécurité civile est arrivé sur place.
Un autre homme qui se trouvait dans l'habitation a été plus légèrement blessé. Il devrait être transporté à l'hôpital de Bergerac.
Une vingtaine de sapeurs-pompiers des centres de secours de Bergerac et Lalinde ont été mobilisés. Mais l'habitation ancienne de plain-pied, d'une centaine de mètres carrés, est entièrement détruite.
Les deux victimes seraient âgés de 22 et 25 ans, selon les premiers éléments recueillis sur place.
http://www.sudouest.fr/2015/10/17/incendie-en-dordogne-un-jeune-homme-sort-brule-d-une-maison-2158007-1854.php
L'alerte a été donnée ce samedi matin, à 9 h 36 : un incendie ravageait une maison de Ginestet (24), en Bergeracois. Arrivés sur place, au lieu dit Les Mérigoux, les pompiers ont porté secours à un jeune homme sorti brûlé de l'habitation.
Ses blessures seraient sérieuses, selon nos informations. Il devrait être évacué en hélicoptère vers Bordeaux. L'appareil de la Sécurité civile est arrivé sur place.
Un autre homme qui se trouvait dans l'habitation a été plus légèrement blessé. Il devrait être transporté à l'hôpital de Bergerac.
Une vingtaine de sapeurs-pompiers des centres de secours de Bergerac et Lalinde ont été mobilisés. Mais l'habitation ancienne de plain-pied, d'une centaine de mètres carrés, est entièrement détruite.
Les deux victimes seraient âgés de 22 et 25 ans, selon les premiers éléments recueillis sur place.
http://www.sudouest.fr/2015/10/17/incendie-en-dordogne-un-jeune-homme-sort-brule-d-une-maison-2158007-1854.php
Un garçon âgé de 15 ans blessé par balle à Empalot
Les équipes médicales des urgences de l'hôpital Rangueil ont accueilli dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 3 heures, un jeune homme blessé à une main. Une blessure par balle qui, après les premiers soins, a entraîné un signalement aux services de police. Face à la victime âgée de 15 ans (!), les policiers toulousains envoyés sur place pour poser des questions n'ont pas eu beaucoup de réponse. La victime, dont le passé judiciaire est déjà illustré malgré son jeune âge, a expliqué avoir été «agressée par au moins trois individus armés et portant des cagoules». L'expédition punitive se serait passée vers 2 h 45 dans le secteur de la rue d'Antibes, quartier d'Empalot, pas très loin du domicile de la victime. Quant à savoir pourquoi et comment, le principal intéressé, sans doute sous l'effet des calmants, n'a pas été capable d'en dire beaucoup plus. Sans illusion, les enquêteurs de la sûreté départementale ne croient pas à un subit sursaut de mémoire chez l'adolescent qui, prudent, ne semble pas très pressé à l'idée de désigner ses adversaires.
Qu'est ce qui a pu provoquer cette soudaine hausse de température sans lien direct avec la météo ? Les policiers pensent à la drogue mais ne vont pas plus loin dans l'analyse. S'agit-il d'un rappel de créance pour une livraison non honorée ou une explication violente sous fond de guerre de territoire ? Faute d'élément de preuve, la question reste sans réponse mais personne côté policier n'a envie de vivre une «guerre» de bande comme celle qui a déchiré le quartier des Izards fin 2013, début 2014 avec des conséquences humaines terribles — quatre morts par balles entre décembre 2013 et août 2014.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/17/2199722-garcon-age-15-ans-blesse-balle-empalot.html
Guerre de territoire ou impayé ?
Samedi dernier, vers 15 heures rue de Menton, des individus avaient déjà ouvert le feu sur un groupe de jeunes habitants du quartier d'Empalot. Une opération où des armes de poing avaient été utilisées à plusieurs reprises, semant une très vive inquiétude dans un quartier certes «sensible» mais pas habitué à de telles démonstrations de force, surtout en plein jour. Est ce que ces coups de feu et l'agression de la nuit dernière sont liés ? À la sûreté départementale, les enquêteurs se méfient des raccourcis mais constatent «la coïncidence». Samedi dernier, les coups de feu ressemblaient «à une opération d'intimidation», les tireurs ayant, semble-t-il, évité de blesser les membres du groupe pris pour cible. Le règlement de comptes de la nuit vient contredire l'hypothèse même si parfois, certains messages «doivent être passés deux fois pour être bien compris», envisage une source proche du dossier.Qu'est ce qui a pu provoquer cette soudaine hausse de température sans lien direct avec la météo ? Les policiers pensent à la drogue mais ne vont pas plus loin dans l'analyse. S'agit-il d'un rappel de créance pour une livraison non honorée ou une explication violente sous fond de guerre de territoire ? Faute d'élément de preuve, la question reste sans réponse mais personne côté policier n'a envie de vivre une «guerre» de bande comme celle qui a déchiré le quartier des Izards fin 2013, début 2014 avec des conséquences humaines terribles — quatre morts par balles entre décembre 2013 et août 2014.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/17/2199722-garcon-age-15-ans-blesse-balle-empalot.html
vendredi 16 octobre 2015
Les deux frères ont-ils voulu enlever une joggeuse ?
Deux frères dont un mineur ont-ils tenté d'enlever et de séquestrer une joggeuse ? C'est en tout cas ce qu'a cru une femme qui effectuait, cet été, son jogging, à Campsas. Venue déposer plainte à la gendarmerie, la joggeuse déclarait avoir été importunée par deux jeunes hommes qui s'étaient arrêtés et auraient même reculé avec leur véhicule pour se porter vers elle. Après l'avoir sifflé, ils lui auraient couru après. Une situation qui aurait effrayé la jeune femme qui se serait alors abritée au domicile d'un riverain. Une enquête ouverte pour tentative d'enlèvement a permis d'identifier les deux individus qui ont été placés, lundi, en garde à vue. Néanmoins au terme de leurs interrogatoires, les deux hommes contestaient l'intégralité des faits. Devant le manque de preuves et l'absence d'antécédent judiciaire, le parquet par la voix du substitut Mathias Marchand a décidé de classer sans suite cette affaire.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/16/2198985-les-deux-freres-ont-ils-voulu-enlever-une-joggeuse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/16/2198985-les-deux-freres-ont-ils-voulu-enlever-une-joggeuse.html
jeudi 15 octobre 2015
Un piéton renversé à Limoges : appel à témoin
Un piéton, une femme de 74 ans, a été renversé par une voiture ce 15 octobre 2015 à Limoges. Le pronostic vital de la victime est engagé. La police nationale lance un appel à témoin.
Que s'est-il vraiment passé ce 15 octobre 2015 à 8h10 avenue Jean Gagnant à Limoges ? Alors qu'il traversait la chaussée, un piéton a été heurté et renversé par une voiture. La police nationale tente d'éclaircir les circonstances de cet accident.
La victime, une femme de 74 ans a été gravement blessée. Médicalisée sur place dans un premier temps, elle a été transportée au CHU et son pronostic vital est engagé.
Si vous avez été témoin de cet accident, ou si vous disposez d'éléments pouvant aider les enquêteurs, vous pouvez prendre contact avec la Brigade des Accidents et des Délits Routiers en téléphonant au 05 55 14 31 38 ou au 05 55 14 31 37.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges/un-pieton-renverse-limoges-appel-temoin-830589.html
Que s'est-il vraiment passé ce 15 octobre 2015 à 8h10 avenue Jean Gagnant à Limoges ? Alors qu'il traversait la chaussée, un piéton a été heurté et renversé par une voiture. La police nationale tente d'éclaircir les circonstances de cet accident.
La victime, une femme de 74 ans a été gravement blessée. Médicalisée sur place dans un premier temps, elle a été transportée au CHU et son pronostic vital est engagé.
Si vous avez été témoin de cet accident, ou si vous disposez d'éléments pouvant aider les enquêteurs, vous pouvez prendre contact avec la Brigade des Accidents et des Délits Routiers en téléphonant au 05 55 14 31 38 ou au 05 55 14 31 37.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges/un-pieton-renverse-limoges-appel-temoin-830589.html
Grenoble : un homme tué par balle après une altercation
Un homme de 29 ans a été tué par balle mercredi soir à Gières, dans la métropole grenobloise, a indiqué ce jeudi la police.
La victime, connue des services de police, a reçu une balle dans le dos, au niveau du cœur, vraisemblablement après une altercation. « Les riverains ont entendu des gens en train de s'engueuler », a fait savoir la police, confirmant une information du Dauphiné Libéré. Le jeune homme a juste eu le temps de taper à la porte d’une riveraine, avant de s’effondrer sous ses yeux.
La police judiciaire a été saisie et « a priori, cet homicide n'a aucun lien avec les faits connus récemment dans la région de Grenoble », a précisé la police. Fin septembre, un jeune homme avait été tué de plusieurs balles lors d’un règlement de comptes à Saint-Martin-d’Hères, ravivant le souvenir d’une série de fusillades qu’avait connues la région dans les années 2000.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/15/2198254-grenoble-un-homme-tue-par-balle-apres-une-altercation.html
La victime, connue des services de police, a reçu une balle dans le dos, au niveau du cœur, vraisemblablement après une altercation. « Les riverains ont entendu des gens en train de s'engueuler », a fait savoir la police, confirmant une information du Dauphiné Libéré. Le jeune homme a juste eu le temps de taper à la porte d’une riveraine, avant de s’effondrer sous ses yeux.
La police judiciaire a été saisie et « a priori, cet homicide n'a aucun lien avec les faits connus récemment dans la région de Grenoble », a précisé la police. Fin septembre, un jeune homme avait été tué de plusieurs balles lors d’un règlement de comptes à Saint-Martin-d’Hères, ravivant le souvenir d’une série de fusillades qu’avait connues la région dans les années 2000.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/15/2198254-grenoble-un-homme-tue-par-balle-apres-une-altercation.html
mercredi 14 octobre 2015
Maine-et-Loire: un forcené armé se rend
Un père de famille de 35 ans s'est retranché pendant près de 24 heures, armé, à son domicile de la banlieue d'Angers, avant d'accepter de se rendre mercredi midi, a-t-on appris auprès des gendarmes.
Ce père de trois enfants, qui vivait seul, s'est retranché mardi en début d'après-midi à son domicile de Segré, une commune de près de 7 000 habitants au nord d'Angers, et a tiré "plusieurs coups de feu" avec un fusil de chasse, a expliqué le lieutenant-colonel Frédéric Monin, commandant du groupement départemental de gendarmerie, sans pouvoir préciser à ce stade d'où les tirs étaient partis et ce qu'ils visaient.
http://www.lefigaro.fr/
Ce père de trois enfants, qui vivait seul, s'est retranché mardi en début d'après-midi à son domicile de Segré, une commune de près de 7 000 habitants au nord d'Angers, et a tiré "plusieurs coups de feu" avec un fusil de chasse, a expliqué le lieutenant-colonel Frédéric Monin, commandant du groupement départemental de gendarmerie, sans pouvoir préciser à ce stade d'où les tirs étaient partis et ce qu'ils visaient.
http://www.lefigaro.fr/
Île d'Oléron : disparition inquiétante d'une femme de 54 ans à La Cotinière
Une habitante de l'Île d'Oléron a disparu depuis hier mardi. Cette disparition est jugée inquiétante par la gendarmerie. Hier matin, cette femme âgée de 54 ans n'est pas allée travailler dans la boulangerie de La Cotinière où elle est employée et n'était pas non plus à son domicile.
C'est son employeur, inquiet de ne pas la voir se présenter à son travail à la boulangerie, qui a alerté la gendarmerie.
Les recherches se sont poursuivies pendant toute la journée d'hier et ont repris ce mercredi. Un important dispositif, renforcé par un hélicoptère, a été déployé par la gendarmerie.
Une piste a été relevée par le chien des gendarmes participant aux recherches jusqu'à la plage de La Cotinière. Au domicile de la disparue, les volets sont clos et sa voiture est stationnée devant sa maison.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente-maritime/ile-d-oleron-disparition-inquietante-d-une-femme-de-54-ans-la-cotiniere-829593.html
C'est son employeur, inquiet de ne pas la voir se présenter à son travail à la boulangerie, qui a alerté la gendarmerie.
Les recherches se sont poursuivies pendant toute la journée d'hier et ont repris ce mercredi. Un important dispositif, renforcé par un hélicoptère, a été déployé par la gendarmerie.
Une piste a été relevée par le chien des gendarmes participant aux recherches jusqu'à la plage de La Cotinière. Au domicile de la disparue, les volets sont clos et sa voiture est stationnée devant sa maison.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente-maritime/ile-d-oleron-disparition-inquietante-d-une-femme-de-54-ans-la-cotiniere-829593.html
Segré: Un homme armé retranché chez lui
La situation reste tendue à Segré (Maine-et-Loire), commune de 7000 habitants située à 40 km d’Angers. Un homme est en effet retranché depuis mardi après-midi dans son habitation, en plein cœur de ville. L’indvidu, armé d’une carabine, avait tiré un coup de feu en pleine rue mardi, vers 14h, avant de s’enfermer chez lui, rapporte Ouest-France. Il garde depuis le silence.
Les gendarmes sont mobilisés sur place, aidés par un négociateur.
Par mesure de précaution, les rues alentour ont été fermées à la circulation, tandis qu’une école primaire avait été évacuée mardi par les pompiers.
http://www.20minutes.fr/nantes/1708715-20151014-segre-homme-arme-retranche-chez
Les gendarmes sont mobilisés sur place, aidés par un négociateur.
Par mesure de précaution, les rues alentour ont été fermées à la circulation, tandis qu’une école primaire avait été évacuée mardi par les pompiers.
http://www.20minutes.fr/nantes/1708715-20151014-segre-homme-arme-retranche-chez
Un homme de 93 ans porté disparu
Les gendarmes d'Auch sont mobilisés depuis hier matin, à Montaut-les-Créneaux, où un homme de 93 ans est porté disparu. Le lit de Marius Grazide était encore chaud lorsque son épouse a constaté qu'il n'était plus là. Elle a donné l'alerte à 9h45, d'autant plus inquiète que ce n'est pas dans les habitudes de son mari de partir sans prévenir. Alors qu'une fraîcheur automnale enveloppait le GErs (il ne faisait pas plus de 13° hier après-midi), le vieil homme a quitté la maison seulement vêtu d'un caleçon long, d'un maillot de corps et d'un gilet fin (des vêtements de couleur grise)... et peut-être pieds nus car Mme Grazide a fait le tour des chaussures qu'utilise son mari habituellement et aucune paire ne manque. Marius Grazide est un homme de petite taille (1m50 environ) et de corpulence mince. La compagnie de gendarmerie d'Auch était à pied d'œuvre hier après-midi, espérant retrouver le nonagénaire avant la nuit. Le chien Saint-Hubert du PSIG participe aux recherches.
Un appel à témoins est lancé : si vous avez aperçu Marius Grazide ou si vous avez une information importante qui permettrait de le retrouver, appelez d'urgence la gendarmerie d'Auch au 05.62.60.50.00 ou composez le 17.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/14/2197238-un-homme-de-93-ans-porte-disparu.html
Un appel à témoins est lancé : si vous avez aperçu Marius Grazide ou si vous avez une information importante qui permettrait de le retrouver, appelez d'urgence la gendarmerie d'Auch au 05.62.60.50.00 ou composez le 17.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/14/2197238-un-homme-de-93-ans-porte-disparu.html
mardi 13 octobre 2015
Assises de la Meuse : il tue son rival à coups de tracteur
Pendant trois jours, la Cour d'Assises de Bar-le-Duc juge un agriculteur accusé d'avoir tué, au volant de son tracteur, son rival amoureux. L'épouse de Claude avait quitté le domicile conjugal pour vivre avec Jean-Michel, un charcutier de la Haute-Marne. C'était à Couvertpuis, le 17 août 2012.
Les deux hommes se détestent cordialement et ce jour-là, Claude Boutevillain, 54 ans, égratigne avec son tracteur le camion frigorifique du charcutier, stationné dans le village. Excédé, celui-ci va sur le champ demander des explications à l'agriculteur, occupé à ramasser des balles de paille. Erreur qui lui sera fatale.
Au volant de son engin, Claude Boutevillain "charge" à plusieurs reprises, selon les témoins, la camionnette, jusqu'à la renverser. Jean-Michel Allemeersch, 49 ans, parvient à s'en extraire. Mais l'homme à pied est aussitôt pris en chasse par le conducteur du tracteur qui le renverse, l'écrase et - toujours selon les témoins - s'acharne sur lui à coups de pince porte-balle. Jusqu'à la mort.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/meuse/assises-de-la-meuse-il-tue-son-rival-coups-de-tracteur-828777.html
Les deux hommes se détestent cordialement et ce jour-là, Claude Boutevillain, 54 ans, égratigne avec son tracteur le camion frigorifique du charcutier, stationné dans le village. Excédé, celui-ci va sur le champ demander des explications à l'agriculteur, occupé à ramasser des balles de paille. Erreur qui lui sera fatale.
Au volant de son engin, Claude Boutevillain "charge" à plusieurs reprises, selon les témoins, la camionnette, jusqu'à la renverser. Jean-Michel Allemeersch, 49 ans, parvient à s'en extraire. Mais l'homme à pied est aussitôt pris en chasse par le conducteur du tracteur qui le renverse, l'écrase et - toujours selon les témoins - s'acharne sur lui à coups de pince porte-balle. Jusqu'à la mort.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/meuse/assises-de-la-meuse-il-tue-son-rival-coups-de-tracteur-828777.html
Nièvre : un homme est retrouvé mort dans son véhicule accidenté
Le corps d'un homme a été retrouvé dans un véhicule accidenté en lisière de forêt, vers 7h30, sur la commune de Bouhy dans la Nièvre, mardi 13 octobre 2015.
Un corps a été retrouvé sans vie dans une voiturette sur la commune de Bouhy dans la Nièvre. Les pompiers ont été alertés par un usager vers 7h30, mardi 13 octobre 2015.
Le conducteur a visiblement perdu le contrôle de son véhicule. Les pompiers ont retrouvé la voiture sur le bord de la chaussée, couchée sur le côté dans les ronces. L'accident s'est produit plus tôt dans la nuit à une intersection à l'entrée du lieu-dit des marquis.
L'homme âgé de 51 ans était un habitant de la commune de Bouhy. Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la compagnie de Cosnes-sur-Loire. Les causes exactes du décès ne sont pas encore déterminées.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/nievre/nievre-un-homme-est-retrouve-mort-dans-son-vehicule-accidente-828787.html
Un corps a été retrouvé sans vie dans une voiturette sur la commune de Bouhy dans la Nièvre. Les pompiers ont été alertés par un usager vers 7h30, mardi 13 octobre 2015.
Le conducteur a visiblement perdu le contrôle de son véhicule. Les pompiers ont retrouvé la voiture sur le bord de la chaussée, couchée sur le côté dans les ronces. L'accident s'est produit plus tôt dans la nuit à une intersection à l'entrée du lieu-dit des marquis.
L'homme âgé de 51 ans était un habitant de la commune de Bouhy. Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la compagnie de Cosnes-sur-Loire. Les causes exactes du décès ne sont pas encore déterminées.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/nievre/nievre-un-homme-est-retrouve-mort-dans-son-vehicule-accidente-828787.html
Le cambrioleur n'était âgé que de 14 ans
Une récente affaire de cambriolage à Colomiers résume à elle seule les particularités d'un phénomène que les policiers tendent à endiguer : des auteurs de plus en plus jeunes et des modes opératoires des plus simplistes.
Dernièrement, deux adolescents de 14 ans, un auteur présumé et son complice, ont été arrêtés par les policiers de la brigade de sûreté urbaine de Colomiers (BSU) après une série de vols avec effractions commise fin septembre.
Ces deux interpellations ont eu un effet dissuasif puisque depuis quelques jours, les policiers observent un léger «mieux» sur le front des cambriolages à Colomiers.
À la suite d'une recrudescence de différents vols, entre le 18 et le 21 septembre, les policiers interpellent une jeune collégienne qui circule sur un vélo suspect. Lors de leur enquête, les fonctionnaires de la BSU parviennent à identifier l'auteur présumé du vélo volé qui est en réalité le frère de la jeune fille, ainsi que son complice. Lors d'une perquisition, du matériel informatique, des bijoux et divers autres objets sont retrouvés. Un butin issu de quatre autres cambriolages qui sont autant d'affaires résolues par les policiers. Pour l'instant, les deux adolescents, qui ne font partie d'aucune bande ou structure organisée agissant pour le compte de réseaux criminels, ont été laissés libres avant leur comparution devant un juge des enfants. En attendant, la courbe des cambriolages connaît un net fléchissement.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/13/2196555-le-cambrioleur-n-etait-age-que-de-14-ans.html
Dernièrement, deux adolescents de 14 ans, un auteur présumé et son complice, ont été arrêtés par les policiers de la brigade de sûreté urbaine de Colomiers (BSU) après une série de vols avec effractions commise fin septembre.
Ces deux interpellations ont eu un effet dissuasif puisque depuis quelques jours, les policiers observent un léger «mieux» sur le front des cambriolages à Colomiers.
À la suite d'une recrudescence de différents vols, entre le 18 et le 21 septembre, les policiers interpellent une jeune collégienne qui circule sur un vélo suspect. Lors de leur enquête, les fonctionnaires de la BSU parviennent à identifier l'auteur présumé du vélo volé qui est en réalité le frère de la jeune fille, ainsi que son complice. Lors d'une perquisition, du matériel informatique, des bijoux et divers autres objets sont retrouvés. Un butin issu de quatre autres cambriolages qui sont autant d'affaires résolues par les policiers. Pour l'instant, les deux adolescents, qui ne font partie d'aucune bande ou structure organisée agissant pour le compte de réseaux criminels, ont été laissés libres avant leur comparution devant un juge des enfants. En attendant, la courbe des cambriolages connaît un net fléchissement.
À Toulouse, des secteurs plus touchés que d'autres
À Toulouse, certains quartiers subissent plus que d'autres les assauts répétés des cambrioleurs. Ainsi, du côté de Jolimont ou de l'Ormeau, des quartiers mêlant zones pavillonnaires et habitations collectives, on recense une hausse des vols avec effraction de plus de 20 % pour le mois de septembre, par rapport à l'année dernière, à la même époque. En revanche, dans les quartiers Nord de la Ville rose, le phénomène a tendance à se tasser, voire à baisser. Les malfaiteurs agissent souvent de la même manière en fracassant une porte-fenêtre ou une baie vitrée, lorsque les occupants sont absents. Policiers et gendarmes, sensibilisés au phénomène, parviennent à interpeller les auteurs en flagrant délit grâce, notamment, à l'intervention d'un voisin ou d'un témoin qui donne l'alerte. À Toulouse, comme en périphérie, les objets dérobés sont souvent destinés à la revente. Petit matériel informatique, téléphone portable et bijoux constituent l'essentiel d'un butin très vite monnayé dans les filières de receleurs.http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/13/2196555-le-cambrioleur-n-etait-age-que-de-14-ans.html
lundi 12 octobre 2015
Marseille: un jeune de 18 ans tué par balles
Un jeune homme de 18 ans est mort aujourd'hui après avoir été touché par une ou plusieurs balles, dans la cité du Plan d'Aou à Marseille, selon une source proche du dossier.
La victime est décédée avant son arrivée à l'hôpital. Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme a été pris pour cible en fin de matinée dans la rue, où des traces de sang ont été retrouvées. Il est ensuite parvenu à gagner l'un des immeubles de la cité, où il a frappé aux portes. L'un des habitants lui a ouvert, et a appelé les secours. Les marins-pompiers ont tenté en vain de la réanimer. La victime, qui présentait des blessures au cou et dans le dos, a été touchée par "une ou plusieurs balles". Une autopsie doit encore être pratiquée.
Le jeune adulte était connu de la police pour divers délits: vols avec effraction, violences volontaires ou encore infractions à la législation sur les stupéfiants. Le parquet a confié l'enquête à la police judiciaire de Marseille.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/12/97001-20151012FILWWW00239-marseille-un-jeune-de-18-ans-tue-par-balles.php
La victime est décédée avant son arrivée à l'hôpital. Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme a été pris pour cible en fin de matinée dans la rue, où des traces de sang ont été retrouvées. Il est ensuite parvenu à gagner l'un des immeubles de la cité, où il a frappé aux portes. L'un des habitants lui a ouvert, et a appelé les secours. Les marins-pompiers ont tenté en vain de la réanimer. La victime, qui présentait des blessures au cou et dans le dos, a été touchée par "une ou plusieurs balles". Une autopsie doit encore être pratiquée.
Le jeune adulte était connu de la police pour divers délits: vols avec effraction, violences volontaires ou encore infractions à la législation sur les stupéfiants. Le parquet a confié l'enquête à la police judiciaire de Marseille.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/12/97001-20151012FILWWW00239-marseille-un-jeune-de-18-ans-tue-par-balles.php
dimanche 11 octobre 2015
Une femme tombe du toit de Cap 3000
Ce samedi vers 13 heures, une Mandolocienne de 79 ans a chuté depuis le toit du centre commercial Cap 3000 à Saint-Laurent-du-Var.
Transportée aux urgences de Pasteur 2, la victime était consciente mais souffrait de multiples fractures. " C'est une chute de personne " explique-t-on du côté de Cap 3000.
Difficile pour l'heure de connaître les circonstances exactes de l'incident (accidentel ou suicide) mais l'enquête, menée par le commissariat de Cagnes-sur-Mer, devrait apporter certaines réponses.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/une-femme-tombe-du-toit-de-cap-3000.2363360.html
Transportée aux urgences de Pasteur 2, la victime était consciente mais souffrait de multiples fractures. " C'est une chute de personne " explique-t-on du côté de Cap 3000.
Difficile pour l'heure de connaître les circonstances exactes de l'incident (accidentel ou suicide) mais l'enquête, menée par le commissariat de Cagnes-sur-Mer, devrait apporter certaines réponses.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/une-femme-tombe-du-toit-de-cap-3000.2363360.html
samedi 10 octobre 2015
Il harcelait une automobiliste
Un homme de 45 ans a été placé en détention, hier, lors des comparutions immédiates, en attendant son prochain procès en correctionnelle le 17 novembre. Cet homme domicilié à Blagnac a été arrêté par les policiers de la BSU de Blagnac, le 6 octobre. Ce jour-là, il était au volant de sa voiture et a fait vivre un véritable cauchemar à une automobiliste sur l'autoroute A 64, entre Lavelanet-de-Comminges et Cazères. Sur 2 kilomètres, il a poursuivi cette femme dont il s'était amouraché tout en multipliant les manœuvres dangereuses en la forçant à s'arrêter. Une plainte contre ce même homme avait déjà été déposée par la victime l'année dernière. Mardi, la scène a été filmée par la caméra Go pro d'un autre automobiliste qui suivait la voiture du forcené éconduit. Le tribunal a demandé des expertises psychiatriques.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/10/2194933-il-harcelait-une-automobiliste.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/10/2194933-il-harcelait-une-automobiliste.html
jeudi 8 octobre 2015
Seine-et-Marne : un homme qui tirait sur des gens du voyage abattu par la police
Une fusillade a éclaté mercredi soir à Crégy-lès-Meaux (Seine-et-Marne), rapporte Le Parisien. Des gens du voyage ont contacté les forces de l’ordre, paniqués car un individu leur tirait dessus avec une arme à feu. Ils venaient de s’installer la veille sur un terrain inoccupé. Lorsque les policiers sont arrivés, l’agresseur âgé d’une soixantaine d’année s’est avancé droit vers eux et a continué à tirer. Les forces de l’ordre ont alors été contraintes de riposter. Malgré l’arrivée rapide des secours, le sexagénaire est décédé suite à ses blessures. « Cet homme qui habitait tout seul était connu comme un marginal », a témoigné Gérard Chomont, le maire PS de Crégy-lès-Meaux. « C’est la première fois que quelqu’un est tué de la sorte dans ma commune ». Une enquête a été ouverte et la procureure de Meaux s’est rendue sur les lieux du drame.
mardi 6 octobre 2015
Motard tué : l'automobiliste en cause mis en examen
L'automobiliste de 33 ans, à l'origine de l'accident qui a coûté la vie à un motard de 36 ans, père de deux jeunes enfants, jeudi matin à Merville, a été mis en examen samedi et placé sous contrôle judiciaire.
Il est poursuivi pour «homicide involontaire aggravé, conduite sous stupéfiant et manquement à une obligation de sécurité». À l'issue de sa comparution devant un juge d'instruction, il a été laissé libre. Sa mise en examen fait état de deux circonstances aggravantes : une conduite sous l'emprise de cannabis et un dépassement «dangereux.» Le parquet avait pris des réquisitions de mandat de dépôt.
Jeudi 1er octobre, cet automobiliste double une file de voitures, à bord de sa Renault Clio rouge, à Merville sur la route départementale 2. Il double une voiture, puis un bus de transport scolaire, dans le sens Merville-route de Grenade. C'est en engageant cette manœuvre délicate, que la collision fatale se produit avec le motard arrivant en face. Le choc est inévitable. Le motard, demeurant à Grisolles, en Tarn-et-Garonne, est décédé sur le coup. L'automobiliste est interpellé par les gendarmes et placé en garde à vue.
Des prélèvements ont été effectués pour détecter d'éventuelles prises de produit stupéfiant ou d'alcool. Ces résultats ont été rapidement connus. Des traces de drogue, en l'occurrence du cannabis, ont bien été découvertes dans l'organisme du conducteur, un homme au casier vierge et jamais condamné. Samedi, une information judiciaire a été ouverte pour poursuivre les investigations. Père de famille et inséré professionnellement, cet homme est ressorti libre du palais de justice, samedi, en attendant son procès. Il encourt une peine maximale de 10 ans de prison devant le tribunal correctionnel.
Par ailleurs, les investigations des gendarmes se poursuivent après le drame de vendredi matin sur l'A62, à Saint-Sauveur, où un jeune automobiliste de 23 ans a perdu la vie au volant de sa Renault Mégane. Vers 6 heures du matin, l'automobiliste a percuté l'arrière d'un camion qui roulait devant lui. Pour une raison toujours inexpliquée, la voiture de la victime s'est s'encastrée jusqu'au pare-brise sous le poids lourd. Depuis le début de l'année, 39 personnes ont perdu la vie sur les routes de Haute-Garonne.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/06/2191835-motard-tue-l-automobiliste-en-cause-mis-en-examen.html
Il est poursuivi pour «homicide involontaire aggravé, conduite sous stupéfiant et manquement à une obligation de sécurité». À l'issue de sa comparution devant un juge d'instruction, il a été laissé libre. Sa mise en examen fait état de deux circonstances aggravantes : une conduite sous l'emprise de cannabis et un dépassement «dangereux.» Le parquet avait pris des réquisitions de mandat de dépôt.
Jeudi 1er octobre, cet automobiliste double une file de voitures, à bord de sa Renault Clio rouge, à Merville sur la route départementale 2. Il double une voiture, puis un bus de transport scolaire, dans le sens Merville-route de Grenade. C'est en engageant cette manœuvre délicate, que la collision fatale se produit avec le motard arrivant en face. Le choc est inévitable. Le motard, demeurant à Grisolles, en Tarn-et-Garonne, est décédé sur le coup. L'automobiliste est interpellé par les gendarmes et placé en garde à vue.
Des prélèvements ont été effectués pour détecter d'éventuelles prises de produit stupéfiant ou d'alcool. Ces résultats ont été rapidement connus. Des traces de drogue, en l'occurrence du cannabis, ont bien été découvertes dans l'organisme du conducteur, un homme au casier vierge et jamais condamné. Samedi, une information judiciaire a été ouverte pour poursuivre les investigations. Père de famille et inséré professionnellement, cet homme est ressorti libre du palais de justice, samedi, en attendant son procès. Il encourt une peine maximale de 10 ans de prison devant le tribunal correctionnel.
Par ailleurs, les investigations des gendarmes se poursuivent après le drame de vendredi matin sur l'A62, à Saint-Sauveur, où un jeune automobiliste de 23 ans a perdu la vie au volant de sa Renault Mégane. Vers 6 heures du matin, l'automobiliste a percuté l'arrière d'un camion qui roulait devant lui. Pour une raison toujours inexpliquée, la voiture de la victime s'est s'encastrée jusqu'au pare-brise sous le poids lourd. Depuis le début de l'année, 39 personnes ont perdu la vie sur les routes de Haute-Garonne.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/06/2191835-motard-tue-l-automobiliste-en-cause-mis-en-examen.html
lundi 5 octobre 2015
Braquage dans un bureau de tabac
Les faits se sont produits samedi, peu après-midi, dans un bureau de tabac situé dans le centre-ville de Tarbes. Dont nous tairons le nom parce que la propriétaire, qui est en train de vendre son commerce, craint que cette «mauvaise publicité» ne fasse capoter la vente. Déjà qu'elle a assez de soucis avec ça… «Samedi, il devait être midi dix, j'allais fermer», racontait-elle, dimanche matin, encore secouée par l'histoire, «il ne restait qu'un client dans le commerce, un habitué qui grattait des jeux dans son coin, quand j'ai vu entrer un individu, qui portait une veste, genre polaire, de couleur sombre. Je n'y ai pas prêté plus attention que ça, j'avais justement le nez dans la caisse, il s'est approché du comptoir et je lui ai demandé ce qu'il désirait. Je n'ai pas compris ce qu'il répondait, alors j'ai reposé la question, il a encore marmonné quelque chose. J'ai alors levé les yeux, et j'ai compris : il avait relevé sa veste sur son visage, j'ai pensé une fraction de seconde qu'il était malade.» Pas longtemps, parce que l'individu se met soudain à hurler : «La caisse !»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/05/2190691-braquage-dans-un-bureau-de-tabac.html
Une arme à la main
Et d'appuyer sa demande en braquant sur la dame un pistolet. «Je n'ai pas eu le temps de voir si c'était un vrai ou pas, j'ai hurlé que je n'avais rien et que je devais aller derrière, tout en fermant le tiroir-caisse d'un coup de hanche. J'ai pris la fuite par la porte arrière, je l'ai entendu dire : Donne-moi ce qu'il y a dans celle-là !» La dame parvient à appeler la police depuis le téléphone d'un voisin, et attend. «J'avais peur de revenir toute seule.» À l'arrivée des policiers, l'individu avait pris la fuite. «Il a quand même réussi à vider la caisse, qui contenait quelques centaines d'euros, je n'y croyais pas, pour l'ouvrir, il faut le coup.» Et tout s'est passé très vite, puisque le client dans le bureau de tabac ne s'est presque rendu compte de rien, trop absorbé par ses jeux… Il a juste entendu l'individu lui lancer, avant de prendre la fuite : «ça y est, je lui ai tout pris !» Ce qui peut sembler un brin puéril… Une enquête a évidemment été ouverte par la police, qui a procédé aussitôt aux investigations de police scientifique. L'enquête a été confiée à la police judiciaire, seule compétente pour les braquages à main armée. Mais pour l'heure, les éventuelles avancées (empreintes digitales, images vidéo ou témoignages) n'ont pas filtré. L'enquête suit son cours, comme on dit. Et le bureau de tabac a rouvert, (presque) comme si de rien n'était.http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/05/2190691-braquage-dans-un-bureau-de-tabac.html
dimanche 4 octobre 2015
Vascoeuil (Eure) : un mort et 4 blessés dans un accident de la route samedi soir
L'accident s'est produit samedi 3 octobre vers 21 heures sur la RN 31, dans la commune de Vascoeuil (Eure).Il impliquait un seul véhicule léger.
Pour l'heure, les raisons de la perte de contrôle du véhicule restent inconnues. Mais le bilan est lourd : un mort, le conducteur de la voiture âgé de 23 ans et quatre blessés, l'un d'eux plus gravement que les autres. Ces derniers ont été conduits au CHU de Rouen.
Le drame s'est produit à 21 heures sur la Nationale 31, sur le territoire de la commune de Vascoeuil (Eure).
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/eure/vascoeuil-eure-un-mort-et-4-blesses-dans-un-accident-de-la-route-samedi-soir-821939.html
Pour l'heure, les raisons de la perte de contrôle du véhicule restent inconnues. Mais le bilan est lourd : un mort, le conducteur de la voiture âgé de 23 ans et quatre blessés, l'un d'eux plus gravement que les autres. Ces derniers ont été conduits au CHU de Rouen.
Le drame s'est produit à 21 heures sur la Nationale 31, sur le territoire de la commune de Vascoeuil (Eure).
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/eure/vascoeuil-eure-un-mort-et-4-blesses-dans-un-accident-de-la-route-samedi-soir-821939.html
samedi 3 octobre 2015
Bébé secoué, décédé : la mère relâchée, le père présenté à un juge
Le père de la petite fille décédée lundi à l'hôpital de Nancy est transféré vendredi 2 octobre 2015 au pôle de l'instruction de Nancy pour être entendu par un juge. Il devrait être poursuivi pour "coups mortels portés sur un mineur par un parent". Il risque jusqu'à trente ans de réclusion criminelle. La mère a été relâchée faute d'éléments suffisants.
Les parents, âgés de 26 et 28 ans, avaient été interpellés mercredi dans la matinée et placés en garde à vue à la gendarmerie de Commercy.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/meuse/bebe-secoue-decede-la-mere-relache-le-pere-presente-un-juge-820957.html
Les faits
Le bébé était en en difficulté respiratoire quand les secours ont été appelés vendredi 25 septembre 2015 par le père de la petite fille âgée de deux mois résidant à Revigny-sur-Ornain (55). Évacuée rapidement sur le CHU de Nancy-Brabois, l'enfant y est décédée lundi 28 septembre. L'autopsie a confirmé les suspicions du personnel soignant et des gendarmes de la brigade de recherche de Commercy (Meuse)."Très vraisemblablement, l'enfant a été manipulée violemment, voire secouée, peu avant sa mort". Rémy Coutin, procureur de la République.
Les parents, âgés de 26 et 28 ans, avaient été interpellés mercredi dans la matinée et placés en garde à vue à la gendarmerie de Commercy.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/meuse/bebe-secoue-decede-la-mere-relache-le-pere-presente-un-juge-820957.html
Libourne : une alerte à la bombe à cause... d'une drôle d'horloge
Ce vendredi soir, un passant a signalé un objet ressemblant à des pains de dynamite au début du cours Georges-Clémenceau. Le secteur a immédiatement été bouclé par les gendarmes.
Vers 17h30, ce vendredi, un passant a appelé la gendarmerie pour signaler des pains de dynamite, des fils et un détonateur vus à travers une vitre dans un local, à côté d'Or Cash, au début du cours Georges-Clémenceau. Les gendarmes prennent l'alerte au sérieux, se rendent sur place et constatent en effet un objet ressemblant à une bombe.
Ils mettent immédiatement un périmètre de sécurité en place. Une partie des Allées Robert-Boulin, le cours Georges-Clémenceau, l'avenue du Maréchal-Foch ainsi que la rue du président Carnot sont bouclés. Autant dire que Libourne était congestionnée. Les pompes de la station d'essence tout proche ont également été mises en arrêt d'urgence.
Dans le même temps, les renforts arrivent de toutes parts : gendarmes de la compagnie de Libourne, Escadron départemental de sécurité routière, renforts mobiles, les démineurs ainsi que la police municipale. Le sous-préfet et le maire étaient aussi sur place. Les militaires arrivent finalement à identifier l'occupant de ce local situé au 6 avenue Georges-Clémenceau. L'homme informe qu'il s'agit d'une horloge et arrive sur les lieux.
"Mais vous êtes fous ! Vous pouvez rouvrir les routes", crie le locataire du local en arrivant sur place peu avant 19h. L'homme s'apprête à ouvrir une société d'informatique dans ce local pour l'heure quasi-vide. Le soir-même, il a été entendu en audition libre.
Quant au réveil ou à l'horloge (difficile de savoir), même de près, ça ressemble sacrément à une bombe. Finalement, plus de peur que de mal. Mais cela aura au moins démontré qu'à Libourne, toute alerte est prise au sérieux par les forces de l'ordre.
http://www.sudouest.fr/2015/10/02/libourne-une-alerte-a-la-bombe-a-cause-d-une-drole-horloge-2142741-2966.php
Vers 17h30, ce vendredi, un passant a appelé la gendarmerie pour signaler des pains de dynamite, des fils et un détonateur vus à travers une vitre dans un local, à côté d'Or Cash, au début du cours Georges-Clémenceau. Les gendarmes prennent l'alerte au sérieux, se rendent sur place et constatent en effet un objet ressemblant à une bombe.
Ils mettent immédiatement un périmètre de sécurité en place. Une partie des Allées Robert-Boulin, le cours Georges-Clémenceau, l'avenue du Maréchal-Foch ainsi que la rue du président Carnot sont bouclés. Autant dire que Libourne était congestionnée. Les pompes de la station d'essence tout proche ont également été mises en arrêt d'urgence.
Dans le même temps, les renforts arrivent de toutes parts : gendarmes de la compagnie de Libourne, Escadron départemental de sécurité routière, renforts mobiles, les démineurs ainsi que la police municipale. Le sous-préfet et le maire étaient aussi sur place. Les militaires arrivent finalement à identifier l'occupant de ce local situé au 6 avenue Georges-Clémenceau. L'homme informe qu'il s'agit d'une horloge et arrive sur les lieux.
"Mais vous êtes fous ! Vous pouvez rouvrir les routes", crie le locataire du local en arrivant sur place peu avant 19h. L'homme s'apprête à ouvrir une société d'informatique dans ce local pour l'heure quasi-vide. Le soir-même, il a été entendu en audition libre.
Quant au réveil ou à l'horloge (difficile de savoir), même de près, ça ressemble sacrément à une bombe. Finalement, plus de peur que de mal. Mais cela aura au moins démontré qu'à Libourne, toute alerte est prise au sérieux par les forces de l'ordre.
http://www.sudouest.fr/2015/10/02/libourne-une-alerte-a-la-bombe-a-cause-d-une-drole-horloge-2142741-2966.php
Montbéliard et L’Isle-sur-le-Doubs : deux braquages élucidés
l’Intermarché de Montbéliard, le 30 juin, peu avant 14 h, l’irruption d’un homme armé, couvert d’une capuche et reparti avec la caisse avait tellement choqué une salariée que celle-ci avait dû être hospitalisée. Le 11 juillet, à L’Isle-sur-le-Doubs, une employée avait été menacée par un individu muni d’une arme de poing. Le malfaiteur avait raflé la caisse, 600€. « Grâce à une très belle enquête diligentée par la Brigade de sûreté urbaine (BSU), ces deux braquages sont résolus », souligne Carine Greff, le procureur de la République de Montbéliard.
Ce vendredi matin, l’auteur présumé, un habitant de Vieux-Charmont, âgé de 35 ans, a été mis en examen par le juge d’instruction Jérémie Mairel, la représentante du parquet ayant, au préalable, ouvert une information judiciaire pour vols à main armée. Des questions restent en suspens : l’homme a-t-il des complices ? A-t-il commis d’autres braquages dans l’arrondissement de Montbéliard ? Dans le bureau du juge-instructeur, où il est resté un peu moins d’une heure, le Doubien, défavorablement connu des forces de l’ordre, a admis sa participation. Il avait été placé en garde à vue mercredi. Un deuxième individu avait été également interpellé puis mis hors de cause.
Peu de temps avant l’audience prévue vers 13 h 30, le Doubien a été pris d’un léger malaise l’obligeant à s’allonger sur le sol dans un box. Pour autant, son état de santé n’a pas nécessité l’intervention des pompiers. Très faible et, semble-t-il, fatigué, refusant toute nourriture, le suspect a néanmoins accepté de se présenter devant le JLD pour lui faire part de sa requête. Un malaise qui pourrait être aussi dû à un sevrage brusque (l’interpellation)le suspect assurant qu’il était sous Subutex. Un traitement dont il n’avait pas informé les policiers au cours de sa garde à vue.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/02/montbeliard-et-l-isle-sur-le-doubs-deux-braquages-elucides
Ce vendredi matin, l’auteur présumé, un habitant de Vieux-Charmont, âgé de 35 ans, a été mis en examen par le juge d’instruction Jérémie Mairel, la représentante du parquet ayant, au préalable, ouvert une information judiciaire pour vols à main armée. Des questions restent en suspens : l’homme a-t-il des complices ? A-t-il commis d’autres braquages dans l’arrondissement de Montbéliard ? Dans le bureau du juge-instructeur, où il est resté un peu moins d’une heure, le Doubien, défavorablement connu des forces de l’ordre, a admis sa participation. Il avait été placé en garde à vue mercredi. Un deuxième individu avait été également interpellé puis mis hors de cause.
Débat devant le juge des libertés et de la détention reporté
Devant les éléments à charge recueillis par les enquêteurs, le trentenaire était passé aux aveux. « Les policiers de la Sûreté urbaine ont rapidement fait le rapprochement entre ces deux faits, notamment grâce à la vidéosurveillance des deux supermarchés, des témoignages et le véhicule utilisé, une 205 dérobée dans la nuit du 27 au 28 juin et retrouvée abandonnée », précise Carine Greff. Lors de la perquisition au domicile du suspect, les enquêteurs avaient également découvert le tee-shirt (reconnaissable et de marque) que portait le Doubien lors d’un des braquages. Quant à l’arme (factice ou non, ce n’est pas défini), il affirme l’avoir brûlée. Défendu par Armelle Pontvieux, l’homme a expliqué qu’il avait agi de la sorte suite à des problèmes financiers. « Il n’a pas de revenu, il vit dans une grande précarité », renseigne le procureur. Lors de son défèrement, le parquet a requis son incarcération. Mais le débat devant le juge des libertés et de la détention (JLD) n’a pas eu lieu. « L’homme a demandé un délai (ndlr : ce qui est son droit, pour préparer sa défense par exemple). Le débat contradictoire aura lieu mardi après-midi. En attendant, l’homme a été incarcéré à la maison d’arrêt de Montbéliard », indique le juge des libertés et de la détention (JLD) Jean-François Lévêque.Peu de temps avant l’audience prévue vers 13 h 30, le Doubien a été pris d’un léger malaise l’obligeant à s’allonger sur le sol dans un box. Pour autant, son état de santé n’a pas nécessité l’intervention des pompiers. Très faible et, semble-t-il, fatigué, refusant toute nourriture, le suspect a néanmoins accepté de se présenter devant le JLD pour lui faire part de sa requête. Un malaise qui pourrait être aussi dû à un sevrage brusque (l’interpellation)le suspect assurant qu’il était sous Subutex. Un traitement dont il n’avait pas informé les policiers au cours de sa garde à vue.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/02/montbeliard-et-l-isle-sur-le-doubs-deux-braquages-elucides
vendredi 2 octobre 2015
Saint-Genis d'Hiersac (16) : un motard se tue en doublant
Il est 12 h 30 jeudi, lorsque sur cette longue ligne droite qu'est la CD939 à hauteur de Saint-Genis d'Hiersac, le terrible accident s'est produit.
Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée à la gendarmerie, le chauffeur d'un camion-toupie a entrepris de doubler un tracteur qui tirait une remorque. Aucune infraction n'a été commise par le conducteur du poids-lourd qui avait parfaitement le droit d'entamer cette manœuvre à cet endroit. C'est au moment où il a souhaité se rabattre qu'il a entendu un choc à l'arrière de son camion.
Une moto, conduite par un Angoumoisin de 44 ans, venait de le percuter. Immédiatement les secours ont été dépêchés sur place. Le médecin du Samu s'est également rendu sur les lieux. La gendarmerie a, elle, mis en place une déviation.
La victime a été transportée au centre hospitalier d'Angoulême, malheureusement elle est décédée vers 14 heures dans l'ambulance.
La vitesse pourrait être à l'origine du drame.
http://www.sudouest.fr/2015/10/01/saint-genis-d-hiersac-16-un-motard-se-tue-en-doublant-2141433-813.php
Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée à la gendarmerie, le chauffeur d'un camion-toupie a entrepris de doubler un tracteur qui tirait une remorque. Aucune infraction n'a été commise par le conducteur du poids-lourd qui avait parfaitement le droit d'entamer cette manœuvre à cet endroit. C'est au moment où il a souhaité se rabattre qu'il a entendu un choc à l'arrière de son camion.
Une moto, conduite par un Angoumoisin de 44 ans, venait de le percuter. Immédiatement les secours ont été dépêchés sur place. Le médecin du Samu s'est également rendu sur les lieux. La gendarmerie a, elle, mis en place une déviation.
La victime a été transportée au centre hospitalier d'Angoulême, malheureusement elle est décédée vers 14 heures dans l'ambulance.
La vitesse pourrait être à l'origine du drame.
http://www.sudouest.fr/2015/10/01/saint-genis-d-hiersac-16-un-motard-se-tue-en-doublant-2141433-813.php
Les parents boivent, les enfants trinquent
Le tribunal correctionnel de Cahors était confronté hier à plusieurs affaires de violences en état d'ébriété, qui ont pour certains un impact dramatique sur les enfants des prévenus. Victimes directes ou témoins de violences, et alors que leurs parents déclarent ne se souvenir de rien, eux sont marqués à vie.
Au mois de juin dernier, une mère est venue chercher sa fille dans les locaux de l'Algeei, qui permet des rencontres médiatisées entre enfants et parents, dans un état flagrant d'ébriété. Les travailleurs sociaux ayant tenté de s'interposer ont été menacés par trois hommes accompagnant la prévenue de 49 ans. Les témoignages la décrivent titubant et s'appuyant sur son enfant pour garder l'équilibre. Trois jours plus tard, encore en état d'ivresse, elle est interpellée à Cahors par des agents de police ; sa fille assiste à la scène depuis l'appartement situé au-dessus. Les insultes et les coups pleuvent alors, infligeant à l'un des gardiens de la paix une incapacité temporaire de travail de trois jours.
Déjà inculpée pour dénonciation calomnieuse et appels malveillants, la mère nie les faits, ses propos se contredisent et sont à la limite de la cohérence.
Son avocat avoue lui-même que sa cliente «s'est métamorphosée au fil du temps. Ses problèmes psychologiques s'aggravent.» Elle a été condamnée à dédommager les agents de police à hauteur de 300 €, à une mise à l'épreuve de deux ans ainsi qu'une obligation de soins et une interdiction de fréquenter des débits de boisson.
Dernière affaire de ce type jugée hier, celle d'un père accusé de violences commises en état d'ivresse sur son fils de 12 ans. Parti chercher son plus jeune fils à l'école, ce Figeacois prend le temps, sur le chemin du retour, de boire «quelques bières avec des amis». Sous Lexomil, il s'effondre quelques heures plus tard avant même de passer la porte de son domicile. Des voisins l'y porteront avant de préparer le dîner des deux garçons. À 22 heures, le père décide de faire manger ses fils et les réveille. Quand il veut engager la discussion avec eux, le plus grand demande la permission d'aller se coucher. C'est alors que son père, probablement vexé, le gifle violemment et le tire par les cheveux. Deux jours après, l'hématome sur le visage de l'enfant est encore visible. L'expertise psychologique de l'enfant montre de vives séquelles. Ce père de 37 ans avait déjà été privé de la garde alternée de ses deux fils
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/02/2189249-les-parents-boivent-les-enfants-trinquent.html
Au mois de juin dernier, une mère est venue chercher sa fille dans les locaux de l'Algeei, qui permet des rencontres médiatisées entre enfants et parents, dans un état flagrant d'ébriété. Les travailleurs sociaux ayant tenté de s'interposer ont été menacés par trois hommes accompagnant la prévenue de 49 ans. Les témoignages la décrivent titubant et s'appuyant sur son enfant pour garder l'équilibre. Trois jours plus tard, encore en état d'ivresse, elle est interpellée à Cahors par des agents de police ; sa fille assiste à la scène depuis l'appartement situé au-dessus. Les insultes et les coups pleuvent alors, infligeant à l'un des gardiens de la paix une incapacité temporaire de travail de trois jours.
Déjà inculpée pour dénonciation calomnieuse et appels malveillants, la mère nie les faits, ses propos se contredisent et sont à la limite de la cohérence.
Son avocat avoue lui-même que sa cliente «s'est métamorphosée au fil du temps. Ses problèmes psychologiques s'aggravent.» Elle a été condamnée à dédommager les agents de police à hauteur de 300 €, à une mise à l'épreuve de deux ans ainsi qu'une obligation de soins et une interdiction de fréquenter des débits de boisson.
Défendu par sa victime
Un jeune père était entendu dans une autre affaire de violence. Devant ses trois enfants, après avoir bu un litre de whisky, le trentenaire a frappé sa compagne de plusieurs coups de poing au visage. Le visage en sang, elle est parvenue à appeler les gendarmes, ce qui le fit quitter le domicile après avoir tenté d'emporter avec lui leur bébé de 19 mois. En arrivant à leur domicile de Cazals, les gendarmes proposent à la mère de quitter leur logement. Elle refuse mais les rappelle quelques heures plus tard. Il est revenu et tape violemment à la porte. À la barre hier, la jeune femme défendait le père de ses enfants et certifiait que c'était la première fois qu'il levait la main sur elle. Ayant déjà engagé un traitement pour dépression et alcoolisme, il a été condamné à 10 mois d'emprisonnement dont 5 assortis d'un sursis, de deux ans de mise à l'épreuve et d'une obligation de soin.Dernière affaire de ce type jugée hier, celle d'un père accusé de violences commises en état d'ivresse sur son fils de 12 ans. Parti chercher son plus jeune fils à l'école, ce Figeacois prend le temps, sur le chemin du retour, de boire «quelques bières avec des amis». Sous Lexomil, il s'effondre quelques heures plus tard avant même de passer la porte de son domicile. Des voisins l'y porteront avant de préparer le dîner des deux garçons. À 22 heures, le père décide de faire manger ses fils et les réveille. Quand il veut engager la discussion avec eux, le plus grand demande la permission d'aller se coucher. C'est alors que son père, probablement vexé, le gifle violemment et le tire par les cheveux. Deux jours après, l'hématome sur le visage de l'enfant est encore visible. L'expertise psychologique de l'enfant montre de vives séquelles. Ce père de 37 ans avait déjà été privé de la garde alternée de ses deux fils
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/02/2189249-les-parents-boivent-les-enfants-trinquent.html
jeudi 1 octobre 2015
Vienne : un patient retrouvé mort dans une cage d’escalier de l’hôpital
Le drame s’est noué vers 19h30, ce mercredi, à l’hôpital Lucien-Hussel de Vienne. Un patient âgé de 73 ans a été retrouvé mort au bas d’une cage d’escalier. Selon nos informations, ce patient avait été admis il y a quelques jours pour une batterie d’examens dans le service gastrologie-entérologie. Sa chambre se situait alors au second étage alors que le malheureux aurait chuté du quatrième étage. Une enquête a été ouverte en recherche des causes de la mort, confiée aux policiers. L’hypothèse d’un suicide est privilégiée. Le parquet de Vienne a ordonné une autopsie qui doit être pratiquée ce jeudi.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2015/10/01/vienne-un-patient-retrouve-mort-dans-une-cage-d-escalier-de-l-hopital
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2015/10/01/vienne-un-patient-retrouve-mort-dans-une-cage-d-escalier-de-l-hopital
Saint-Denis : deux personnes blessées par balle devant un restaurant
Deux personnes ont été blessées par balle mercredi soir devant un restaurant de Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, ont indiqué une source policière et les pompiers.
Les deux victimes, une femme et un homme d’une vingtaine d’années, « ont été touchées aux jambes ». Leurs jours ne sont pas en danger, a fait savoir la source policière. Secours et policiers ont été alertés vers 22h15 par des riverains, inquiets d’entendre des coups de feu devant un restaurant de la rue Auguste-Delaune, située près de la gare RER de Saint-Denis.
Selon le capitaine Yvon Bot, porte-parole des pompiers, les deux victimes ont été prises en charge par le Samu et transportées vers des hôpitaux. Les circonstances du drame n’ont pas été précisées. Les auteurs des coups de feu, dont le nombre n’est pas connu, ont pris la fuite à scooter. Ils était activement recherchés
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/01/2188791-saint-denis-deux-personnes-blessees-par-balle-devant-un-restaurant.html
Les deux victimes, une femme et un homme d’une vingtaine d’années, « ont été touchées aux jambes ». Leurs jours ne sont pas en danger, a fait savoir la source policière. Secours et policiers ont été alertés vers 22h15 par des riverains, inquiets d’entendre des coups de feu devant un restaurant de la rue Auguste-Delaune, située près de la gare RER de Saint-Denis.
Selon le capitaine Yvon Bot, porte-parole des pompiers, les deux victimes ont été prises en charge par le Samu et transportées vers des hôpitaux. Les circonstances du drame n’ont pas été précisées. Les auteurs des coups de feu, dont le nombre n’est pas connu, ont pris la fuite à scooter. Ils était activement recherchés
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/01/2188791-saint-denis-deux-personnes-blessees-par-balle-devant-un-restaurant.html
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