Dans la nuit de samedi à dimanche, un homme a été violemment battu dans la résidence du Clos Saint-Jacques, à Grasse.
Vers 1h30, un résident d’une trentaine d’années, excédé par le bruit que faisaient des jeunes dans les garages, descend pour les faire taire. Le ton monte. "Ils l’ont massacré, raconte le fils de voisins. Il a des vertèbres cassées, un œil abîmé, il est tuméfié de partout, défiguré, il ne pouvait même plus marcher. Ils lui ont dit “On va te crever” et ils l’ont laissé pour mort."
Un autre résident, alerté lui aussi par le bruit, descend à son tour, un fusil de chasse à la main, non chargé. Il met les jeunes en fuite.
Dans le même temps police et pompiers arrivent en nombre.
Le blessé a été évacué aux urgences de l’hôpital de Grasse, dont il est sorti lundi.
Une pétition pour fermer la résidence
"Saint-Jacques est devenu un quartier très chaud. Presque tous les mois il y a des affaires de drogue dans les garages. Plus personne n’ose y descendre, dénonce ce témoin. On voudrait que la résidence soit fermée, c’est ce qu’on réclame à notre bailleur." Les habitants des 42 appartements vont lancer une pétition. "On est prêts à bloquer les loyers s’il le faut."
Les agresseurs sont toujours recherchés.
http://www.nicematin.com/grasse/ils-lont-laisse-pour-mort-parce-quil-se-plaignait-du-bruit.2353250.html
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
mercredi 30 septembre 2015
mardi 29 septembre 2015
Collision entre un train et une voiture, trafic ferroviaire perturbé en Dordogne
Ce lundi après-midi vers 16 heures, une collision s'est produite à Saint-Astier, en Dordogne, au lieu-dit La Basse Vaure, impliquant une voiture et un train
La conductrice de l'automobile a eu le malheur de tomber en panne au moment de franchir le passage à niveau. Impossible de redémarrer son véhicule. Lorsque les barrières sont descendues, elle l'a prestement quitté. Le conducteur du train de marchandises n'a pu s'arrêter à temps pour empêcher le choc.
Personne n'a été blessé, mais des perturbations affectent la ligne ferroviaire reliant Bordeaux à Périgueux. La circulation va pouvoir progressivement reprendre, une des deux voies pouvant être utilisée et la voiture ayant été dégagée. Il faut en revanche attendre l'arrivée d'un responsable depuis Bordeaux avant de pouvoir déplacer le train accidenté.
http://www.sudouest.fr/2015/09/28/collision-entre-un-train-et-une-voiture-trafic-ferroviaire-perturbe-en-dordogne-2137924-2247.php
La conductrice de l'automobile a eu le malheur de tomber en panne au moment de franchir le passage à niveau. Impossible de redémarrer son véhicule. Lorsque les barrières sont descendues, elle l'a prestement quitté. Le conducteur du train de marchandises n'a pu s'arrêter à temps pour empêcher le choc.
Personne n'a été blessé, mais des perturbations affectent la ligne ferroviaire reliant Bordeaux à Périgueux. La circulation va pouvoir progressivement reprendre, une des deux voies pouvant être utilisée et la voiture ayant été dégagée. Il faut en revanche attendre l'arrivée d'un responsable depuis Bordeaux avant de pouvoir déplacer le train accidenté.
http://www.sudouest.fr/2015/09/28/collision-entre-un-train-et-une-voiture-trafic-ferroviaire-perturbe-en-dordogne-2137924-2247.php
Vesoul : interpellé après avoir frappé un SDF
Un homme de 24 ans a été placé en garde à vue, samedi, au commissariat de Vesoul, après avoir frappé une personne sans domicile fixe, quai Yves-Barbier.
L’individu s’était déjà fait remarquer par la brigade ferroviaire, à la gare de Vesoul, quelques heures plus tôt samedi après-midi. La police l’avait contrôlé une première fois, alors qu’il s’en prenait aux passants devant la gare.
Plus tard, après avoir bu de l’alcool, l’homme s’en est pris au sans domicile fixe, un homme âgé de 22 ans.
Interpellé et placé en garde à vue, l’individu originaire du Territoire de Belfort a été contrôlé à 1,86 g/L de sang. Il fera l’objet de poursuites ultérieures.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/09/29/vesoul-interpelle-apres-avoir-frappe-un-sdf
L’individu s’était déjà fait remarquer par la brigade ferroviaire, à la gare de Vesoul, quelques heures plus tôt samedi après-midi. La police l’avait contrôlé une première fois, alors qu’il s’en prenait aux passants devant la gare.
Plus tard, après avoir bu de l’alcool, l’homme s’en est pris au sans domicile fixe, un homme âgé de 22 ans.
Interpellé et placé en garde à vue, l’individu originaire du Territoire de Belfort a été contrôlé à 1,86 g/L de sang. Il fera l’objet de poursuites ultérieures.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/09/29/vesoul-interpelle-apres-avoir-frappe-un-sdf
dimanche 27 septembre 2015
Cavan (22) : deux blessés graves dans un accident de la route
L'accident s'est produit vers 16h cet après-midi entre deux voitures sur la RD 21 à Cavan, près de Lannion, dans les Côtes d'Armor. Les deux occupants de l'une des voitures, deux hommes âgés de 42 et 43 ans ont été hospitalisés dans un état grave. Dans l'autre véhicule, une mère de 42 ans et sa fillette de 7 ans sont légèrement blessées. Les circonstances de l'accident restent floues, il pourrait s'agir d'un choc frontal entre les deux véhicules.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/cavan-22-deux-blesses-graves-dans-un-accident-de-la-route-816553.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/cavan-22-deux-blesses-graves-dans-un-accident-de-la-route-816553.html
Incendie mortel à Nice: la victime s'éclairait à la bougie
Une femme âgée d'une soixantaine d'année est morte dans la nuit de vendredi à samedi dans un incendie à Nice, dans le quartier Saint-Sylvestre.
Selon les premiers témoignages recueillis sur place, la victime était bien connue des commerçants et habitants du quartier.
Elle vivait seule dans un appartement d'une quarantaine de mètres carrés et, faute de moyens, s'éclairait à la bougie.
Alertés vers 2h40, une trentaine de sapeurs-pompiers sont intervenus jusqu'à 6h30
http://www.nicematin.com/nice/incendie-mortel-a-nice-la-victime-seclairait-a-la-bougie.2349848.html
Selon les premiers témoignages recueillis sur place, la victime était bien connue des commerçants et habitants du quartier.
Elle vivait seule dans un appartement d'une quarantaine de mètres carrés et, faute de moyens, s'éclairait à la bougie.
Alertés vers 2h40, une trentaine de sapeurs-pompiers sont intervenus jusqu'à 6h30
http://www.nicematin.com/nice/incendie-mortel-a-nice-la-victime-seclairait-a-la-bougie.2349848.html
samedi 26 septembre 2015
Gers: Un homme de 60 ans tué par des frelons
Les piqûres lui auront été fatales. Un homme de soixante ans, qui vivait à Aignan (Gers) est décédé vendredi après avoir été attaqué la veille par des frelons asiatiques.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1695823-20150926-gers-homme-60-ans-tue-frelons
Victime d’un arrêt cardiaque
Comme le rapporte la Dépêche du Midi, la victime avait été retrouvée en arrêt cardiaque par les secours jeudi soir. Pendant que les pompiers détruisaient le nid d’insectes, l’homme avait été immédiatement évacué au centre hospitalier d’Auch. Après une légère amélioration de son état, le sexagénaire est décédé vendredi matin, succombant aux piqûres de frelons asiatiques.http://www.20minutes.fr/toulouse/1695823-20150926-gers-homme-60-ans-tue-frelons
Vols de vêtements, insultes et outrages à la barre
Mourad, 20 ans était à la barre du tribunal correctionnel jeudi. Le 8 mars à Lagrave, après l'accident qu'il vient d'avoir au guidon de son scooter, il s'en prend violemment, injures et menaces à l'appui, aux pompiers et gendarmes qui lui portent secours. Et lorsque la présidente énumère les insultes, le prévenu rit. Le procureur Claude Dérens intervient : «ça vous fait rire» ? S'adressant à la greffière : «Inscrivez s'il vous plaît sur son dossier». Le procureur ajoutera lors de son réquisitoire : «C'est inadmissible de rire des insultes proférées à des gens qui venaient vous porter secours. Vous êtes encore jeune, la prochaine fois ce sera la comparution immédiate». «Il a été maladroit, plaidera Me Jimenez, il reconnaît les violences et les outrages, il manque de cadre et souffre de l'absence de présence de son père». Mourad a été condamné à 4 mois de prison avec sursis, 210 heures de travail d'intérêt général à effectuer sous 18 mois et 127 € de frais de procédure.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/26/2185299-vols-de-vetements-insultes-et-outrages-a-la-barre.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/26/2185299-vols-de-vetements-insultes-et-outrages-a-la-barre.html
jeudi 24 septembre 2015
Saint-Quentin: des billets de 20€ en circulation, le bon reflexe d’un buraliste
Le buraliste du bar Le Diabolo, rue Raspail, a eu le nez creux ce jeudi. Dans l’après-midi d’hier (mercredi), il avait reçu deux billets de 20 €, qu’il a déposés à la banque. « Cet après-midi, la banque m’a rappelé pour dire que les deux billets sont des faux. Du coup quand un homme est venu avec un billet de 20 € pour me demander du tabac en disant que c’était pour quelqu’un d’autre, j’ai vérifié le billet de plus près et j’ai vu que c’était encore un faux. J’ai dit au client que je le gardais et je ne lui ai pas donné son tabac. Il n’a pas été très virulent pour récupérer son argent, relate le gérant Bruno Hédin. »
Dans la foulé, le buraliste a appelé la police en donnant le descriptif du client, qui a pu être interpellé en ville vers 16 h 30 ce jeudi.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/saint-quentin-des-billets-de-20-en-circulation-le-bon-ia44b0n270578
Dans la foulé, le buraliste a appelé la police en donnant le descriptif du client, qui a pu être interpellé en ville vers 16 h 30 ce jeudi.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/saint-quentin-des-billets-de-20-en-circulation-le-bon-ia44b0n270578
dimanche 20 septembre 2015
Ardèche : deux Néerlandais meurent noyés
Deux frères néerlandais de 11 et 18 ans se sont noyés dans l'Ardèche cet après-midi, alors qu'ils y faisaient du canoë-kayak avec leur père.
Les deux jeunes, qui étaient munis de gilets de sauvetage, se sont noyés vers 15 heures sous les yeux de leur père, qui a donné l'alerte.
Le père a emprunté le passage réservé aux canoës, mais ses deux enfants, qui partageaient la même embarcation, ont chaviré et ont été emportés par les remous de la rivière en contrebas. Leur canoë s'est renversé, puis les deux jeunes ont été emportés par des remous près d'un barrage sur l'Ardèche, au niveau de la commune de Ruoms. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/20/97001-20150920FILWWW00132-ardeche-2-neerlandais-se-noient.php
Les deux jeunes, qui étaient munis de gilets de sauvetage, se sont noyés vers 15 heures sous les yeux de leur père, qui a donné l'alerte.
Le père a emprunté le passage réservé aux canoës, mais ses deux enfants, qui partageaient la même embarcation, ont chaviré et ont été emportés par les remous de la rivière en contrebas. Leur canoë s'est renversé, puis les deux jeunes ont été emportés par des remous près d'un barrage sur l'Ardèche, au niveau de la commune de Ruoms. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/20/97001-20150920FILWWW00132-ardeche-2-neerlandais-se-noient.php
Accident sur la Coupe Icare: un pilote de delta décédé
C'est vers 13h30 que l'accident s'est produit, à hauteur du funiculaire. Un amateur de vol libre a visiblement vu son parachute de secours s'emmêler à la voile, ce qui a entraîner sa chute. L'homme est décédé après l'arrivée des secours. Il avait une trentaine d'années et c'était un pilote aguerri.
Ce dimanche, les organisateurs ont suspendu les vols en raison des conditions météo, les pilotes engagés sur l'Icarnaval n'ont pas été autorisés à prendre leur envol depuis Saint-Hilaire-du-Touvet.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/accident-sur-la-coupe-icare-un-pilote-de-delta-blesse-811477.html
Ce dimanche, les organisateurs ont suspendu les vols en raison des conditions météo, les pilotes engagés sur l'Icarnaval n'ont pas été autorisés à prendre leur envol depuis Saint-Hilaire-du-Touvet.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/accident-sur-la-coupe-icare-un-pilote-de-delta-blesse-811477.html
Noailhac : un chasseur grièvement blessé
Un accident de chasse s'est produit hier vers 18 heures, lors d'une battue aux chevreuils qui se déroulait dans les bois à proximité du lieu-dit : «Bouyssous». Pour une raison encore indéterminée, un participant à reçu une balle dans l'abdomen. Aussitôt prévenus les secours se sont rendus sur les lieux de l'accident pour secourir le blessé, âgé d'une quarantaine d'années. Devant la gravité de ses blessures, la victime a été évacuée par hélicoptère sur le centre hospitalier régional Purpan à Toulouse. Son état de santé a été jugé «préoccupant» par les médecins. Les gendarmes de Labruguière et de la section de recherches de Castres sont chargés de l'enquête.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/20/2180901-noailhac-un-chasseur-grievement-blesse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/20/2180901-noailhac-un-chasseur-grievement-blesse.html
samedi 19 septembre 2015
Les parents relaxés des faits de maltraitance
Le doute a payé. Une mère de famille de Beautor a été relaxée des faits de violence qui lui étaient reprochés à l’encontre de son garçonnet de 9 ans tout comme son compagnon, prévenu de non-dénonciation de mauvais traitement. L’avocat de la prévenue, M e Anthony Contant, n’a pas hésité à souligner les incohérences matérielles, notamment chronologiques, émises par la jeune victime devant les juges du tribunal correctionnel de Laon, ce jeudi.
Prouvant que le beau-père ne pouvant être présent au moment des faits, la défense a également su – paradoxalement – tirer profit des réquisitions du parquet. La parquetière a demandé la condamnation de la mère se fondant sur la parole du petit garçon, tout en demandant la relax pour le beau-père. « Je m’étonne que le parquet dans le même temps se fonde sur la parole (de la victime) pour laquelle il n’y a aucun doute concernant madame et demande un an ferme (…), et que par contre, pour monsieur, le doute subsiste et qu’il veuille le relaxer », a souligné M e Contant citant par ailleurs cette maxime : « Un témoin unique est un témoin sans valeur. » Le parquet a décidé de faire appel de la relax du couple.
http://www.lunion.com/node/552306
Elle avait déjà été condamnée
Des brûlures avaient été constatées en juin dernier sur sa clavicule et son cou après une journée passée chez sa mère, en droit de visite. Interrogé par l’assistante familiale chez qui il vit depuis son placement, l’enfant a toujours été constant dans ses accusations visant sa mère, comme l’ont rappelé le substitut général, Laure Camus, pour le parquet et M e Vignon, en charge de la partie civile. La prévenue âgée de 28 ans ne partait non plus en bonne posture du fait de sa précédente condamnation en 2009. C’est à cette date que ses deux enfants, alors âgés de 2 ans et demi et 4 ans, lui ont été retirés après les mauvais traitements qu’elle leur avait infligés. Des fractures aux jambes et 15 jours d’ITT qui lui ont valu une peine de deux ans de prison avec sursis.Prouvant que le beau-père ne pouvant être présent au moment des faits, la défense a également su – paradoxalement – tirer profit des réquisitions du parquet. La parquetière a demandé la condamnation de la mère se fondant sur la parole du petit garçon, tout en demandant la relax pour le beau-père. « Je m’étonne que le parquet dans le même temps se fonde sur la parole (de la victime) pour laquelle il n’y a aucun doute concernant madame et demande un an ferme (…), et que par contre, pour monsieur, le doute subsiste et qu’il veuille le relaxer », a souligné M e Contant citant par ailleurs cette maxime : « Un témoin unique est un témoin sans valeur. » Le parquet a décidé de faire appel de la relax du couple.
http://www.lunion.com/node/552306
Un ado de 12 ans blessé par balle dans l'enceinte de son collège
Un adolescent de 12 ans a été grièvement blessé dans la cour de son collège à Grisolles. Une balle de 22 long rifle lui a pénétré la cuisse jusque près de l'artère fémorale. À la recherche d'une arme, du tireur les gendarmes ont, chose exceptionnelle, fouillé les élèves.
«C'est moment où nos demi-pensionnaires faisaient la queue pour se rendre au self vers 11 h 25 (ce jeudi) que l'un d'eux s'est soudainement effondré» témoigne le principal du collège Jean-Lacaze, Claude Nabias. Le collégien de 12 ans, scolarisé en classe de cinquième, se plaignant d'une forte douleur à la cuisse, était conduit à l'infirmerie. Alertés, ses parents le transportent chez leur médecin de famille qui détecte une blessure pouvant correspondre à celui d'un tir d'une arme à feu. Transférée à l'hôpital des enfants de Purpan, la jeune victime était immédiatement prise en charge par les médecins urgentistes. Un scanner réalisé sur ce dernier confirmait la présence d'un projectile tout près de l'artère fémorale. Un laps de temps durant lequel personne n'aurait pensé à informer la gendarmerie. C'est donc trois heures après les faits qu'un impressionnant dispositif d'investigation chapeauté par le colonel du groupement de gendarmerie de Tarn-et-Garonne en personne, le colonel Christophe Daniel, a investi l'établissement secondaire. À la recherche d'une arme à feu, voire d'un tireur, les gendarmes ont, chose exceptionnelle, fouillé une centaine d'élèves encore présents avec l'accord de la procureur de la République de Montauban et celui du chef d'établissement. Des collégiens, un à un, dont les cartables ont été examinés et qui sont passés devant le chien de l'équipe cynophile des gendarmes, ce dernier pouvant détecter une arme ou de la poudre. En vain. Les enquêteurs de la brigade de recherches (BR) de Montauban chargés de l'enquête préliminaire ouverte par la procureur Alix Cabot-Chaumeton, ont poursuivi, tout hier, les auditions de plus d'une quarantaine d'élèves présents au moment des faits. Un travail de fourmi qui, pour l'instant, n'a pas donné grande chose.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/19/2180450-ado-12-ans-blesse-balle-enceinte-college.html
«C'est moment où nos demi-pensionnaires faisaient la queue pour se rendre au self vers 11 h 25 (ce jeudi) que l'un d'eux s'est soudainement effondré» témoigne le principal du collège Jean-Lacaze, Claude Nabias. Le collégien de 12 ans, scolarisé en classe de cinquième, se plaignant d'une forte douleur à la cuisse, était conduit à l'infirmerie. Alertés, ses parents le transportent chez leur médecin de famille qui détecte une blessure pouvant correspondre à celui d'un tir d'une arme à feu. Transférée à l'hôpital des enfants de Purpan, la jeune victime était immédiatement prise en charge par les médecins urgentistes. Un scanner réalisé sur ce dernier confirmait la présence d'un projectile tout près de l'artère fémorale. Un laps de temps durant lequel personne n'aurait pensé à informer la gendarmerie. C'est donc trois heures après les faits qu'un impressionnant dispositif d'investigation chapeauté par le colonel du groupement de gendarmerie de Tarn-et-Garonne en personne, le colonel Christophe Daniel, a investi l'établissement secondaire. À la recherche d'une arme à feu, voire d'un tireur, les gendarmes ont, chose exceptionnelle, fouillé une centaine d'élèves encore présents avec l'accord de la procureur de la République de Montauban et celui du chef d'établissement. Des collégiens, un à un, dont les cartables ont été examinés et qui sont passés devant le chien de l'équipe cynophile des gendarmes, ce dernier pouvant détecter une arme ou de la poudre. En vain. Les enquêteurs de la brigade de recherches (BR) de Montauban chargés de l'enquête préliminaire ouverte par la procureur Alix Cabot-Chaumeton, ont poursuivi, tout hier, les auditions de plus d'une quarantaine d'élèves présents au moment des faits. Un travail de fourmi qui, pour l'instant, n'a pas donné grande chose.
Une balle de calibre 22 long rifle extrait de la cuisse
«Nous n'avons rien trouvé, nous sommes dans l'expectative… S'agit-il d'une balle, d'un pistolet à bille ? Tout est envisagé» déclarait dans la matinée Alix Cabot-Chaumeton qui attendait comme les enquêteurs l'extraction du projectile. En fin d'après-midi, le chirurgien qui avait hésité, un moment, à opérer l'ado en raison de la proximité de la balle près d'une artère fémorale, décidait de le conduire au bloc. Il en extrayait un bout de métal qui levait bien des doutes sur l'origine de la blessure. «Il s'agit d'une balle de calibre 22 long rifle, nous confirmait en soirée la procureur. Celle-ci va être envoyée au laboratoire de police scientifique de Toulouse pour analyse.» Les enquêteurs qui poursuivront leurs auditions la semaine prochaine, ne désespéraient pas qu'une dénonciation, durant le week-end, leur permette de résoudre au plus vite cette affaire ayant semé la panique dans cet établissement de 736 élèves. Ils n'écartaient plus aussi qu'un élève ait pu être l'auteur de ce tir…http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/19/2180450-ado-12-ans-blesse-balle-enceinte-college.html
vendredi 18 septembre 2015
Après une rixe, plusieurs personnes hospitalisées à Roussillon en Isère
Une bagarre a éclaté jeudi en début de soirée à Saint-Rambert-d'Albon dans la Drôme. Plusieurs personnes ont été blessées, dont deux gravement.
La gendarmerie de Vienne est intervenue dans la nuit de jeudi 17 septembre vers 20h30 à la suite d'une bagarre sur la commune de Saint-Rambert-d'Albon dans la Drôme. Huit personnes environ sont impliquées : elles se sont battu avec des couteaux, des cutters et des bâtons, d'après la gendarmerie de Romans-sur-Isère. A l'arrivée des gendarmes, deux personnes gravement blessées ont dû être évacuées. Quatre autres se seraient présentées aux urgences de la clinique de Roussillon. Il s'agirait d'une rixe entre personnes de la communauté turque.
L'enquête à été confiée par le parquet à la Brigade de recherche de Romans-sur-Isère, avec les techniciens en investigation criminelle de Valence.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/apres-une-rixe-plusieurs-personnes-hospitsalisees-roussillon-en-isere-810013.html
La gendarmerie de Vienne est intervenue dans la nuit de jeudi 17 septembre vers 20h30 à la suite d'une bagarre sur la commune de Saint-Rambert-d'Albon dans la Drôme. Huit personnes environ sont impliquées : elles se sont battu avec des couteaux, des cutters et des bâtons, d'après la gendarmerie de Romans-sur-Isère. A l'arrivée des gendarmes, deux personnes gravement blessées ont dû être évacuées. Quatre autres se seraient présentées aux urgences de la clinique de Roussillon. Il s'agirait d'une rixe entre personnes de la communauté turque.
L'enquête à été confiée par le parquet à la Brigade de recherche de Romans-sur-Isère, avec les techniciens en investigation criminelle de Valence.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/apres-une-rixe-plusieurs-personnes-hospitsalisees-roussillon-en-isere-810013.html
Pascal Cloître, l'ex-gérant de garages auto, est en garde à vue
L'ex-gérant de garages Renault et Citroën, situés notamment à Prayssac, est entendu depuis hier matin. Soupçonné d'escroquerie sur des ventes de voitures, il avait disparu depuis fin juin.
Coup de théâtre dans l'affaire de l'escroquerie à la vente de voitures sur internet. L'ex-gérant des garages Renault et Citröen à Montayral (Lot-et-Garonne), Prayssac (Lot) et Toulouse Saint-Aubin (Haute-Garonne), Pascal Cloître, qui avait disparu depuis le 25 juin dernier, a été placé hier matin en garde à vue dans les locaux de l'antenne agenaise du SRPJ de Toulouse.
Depuis le début de la semaine, la rumeur courait dans le Fumélois : Pascal Cloître devait être de retour cette semaine. Il aurait eu à cœur de vouloir s'expliquer devant la justice. Hier, la seule confirmation obtenue, émanant d'une source proche de l'enquête, était celle de sa garde à vue, en cours depuis le matin. Selon les sources, il se serait rendu de lui-même ou aurait été arrêté. Au final, il s'explique désormais devant les enquêteurs sur ses agissements de ces derniers mois. Et les questions sont légions.
Pendant que des dizaines de clients découvraient peu à peu qu'ils s'étaient fait escroquer, Pascal Cloître, lui, envoyait une lettre de démission. Le 25 juin, celui qui était jusqu'à cette date le patron d'environ 38 employés à Montayral, Prayssac et Toulouse, expliquait par courrier qu'après avoir été désavoué quelques jours plus tôt par le conseil d'administration, il démissionnait de ses fonctions : «Où que je sois je ne vous oublierai jamais.» Pour les employés, associés, partenaires du professionnel de l'automobile, ex-ingénieur chez EADS, ancien pilote de rallye, c'est la douche froide.
Rapidement, les associés de Pascal Cloître découvrent de grosses anomalies dans les comptes de la société qui est placée sous administrateur provisoire début juillet. Elle l'est toujours. Si les employés touchent leurs salaires, en revanche l'activité des garages, ventes de voitures comme atelier, est au mieux au ralenti, voire, comme à Citröen Prayssac à l'arrêt complet.
En attendant, les enquêteurs, eux, auront cherché à démêler le montage de cette arnaque expresse. Installé depuis 2007 dans le Lot puis en Lot-et-Garonne, Pascal Cloître travaillait de manière normale avec la société AMTT : «C'était même un très bon partenaire qui remplissait ses obligations et même au-delà, puisqu'il livrait même les clients à domicile», se souvient Christophe Tournant, PDG d'AMTT, qui possède les sites internet autodiscount.fr et clubauto. «On a travaillé près de trois ans avec lui sans avoir à se plaindre de notre collaboration.»
Tout semble déraper à partir de mai dernier. Selon nos informations, un compte aurait été ouvert auprès d'une banque agenaise le 11 mai. Des chèques sont encaissés sur ce compte en provenance de clients qui achetaient des voitures neuves. Entre le 11 mai et le 25 juin, date de sa disparition jusqu'à hier, un peu plus de deux millions d'euros sont crédités. Mais ne font que transiter : au 30 juin le compte présente un solde, créditeur, de 36 990 €. Où est passé l'argent ? L'ancien garagiste sera sans nul doute interrogé à ce sujet.
La personnalité complexe de Pascal Cloître nourrit chaque jour cette histoire digne d'un roman. Décrit tout à la fois comme grande gueule, colérique, séducteur, soupe au lait, affable, et de l'avis de tous très intelligent, il pourrait avoir prémédité son coup de longue date ou agi sur un coup de tête. Une source proche de l'enquête confiait hier matin à propos de l'affaire : «C'est le début, ça sera long.»
C'était avant la garde à vue. Le premier véritable coup d'accélérateur de l'affaire Cloître ?
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/18/2179529-pascal-cloitre-est-en-garde-a-vue.html
Coup de théâtre dans l'affaire de l'escroquerie à la vente de voitures sur internet. L'ex-gérant des garages Renault et Citröen à Montayral (Lot-et-Garonne), Prayssac (Lot) et Toulouse Saint-Aubin (Haute-Garonne), Pascal Cloître, qui avait disparu depuis le 25 juin dernier, a été placé hier matin en garde à vue dans les locaux de l'antenne agenaise du SRPJ de Toulouse.
Depuis le début de la semaine, la rumeur courait dans le Fumélois : Pascal Cloître devait être de retour cette semaine. Il aurait eu à cœur de vouloir s'expliquer devant la justice. Hier, la seule confirmation obtenue, émanant d'une source proche de l'enquête, était celle de sa garde à vue, en cours depuis le matin. Selon les sources, il se serait rendu de lui-même ou aurait été arrêté. Au final, il s'explique désormais devant les enquêteurs sur ses agissements de ces derniers mois. Et les questions sont légions.
Ex-EADS et pilote de rallye
L'affaire avait fait grand bruit au début de l'été. Courant juin, des plaintes avaient commencé à fleurir, de clients qui avaient payé leur voiture neuve, achetée en ligne, auprès de sites ayant pignon sur rue, mais sans jamais en voir la couleur.Pendant que des dizaines de clients découvraient peu à peu qu'ils s'étaient fait escroquer, Pascal Cloître, lui, envoyait une lettre de démission. Le 25 juin, celui qui était jusqu'à cette date le patron d'environ 38 employés à Montayral, Prayssac et Toulouse, expliquait par courrier qu'après avoir été désavoué quelques jours plus tôt par le conseil d'administration, il démissionnait de ses fonctions : «Où que je sois je ne vous oublierai jamais.» Pour les employés, associés, partenaires du professionnel de l'automobile, ex-ingénieur chez EADS, ancien pilote de rallye, c'est la douche froide.
Rapidement, les associés de Pascal Cloître découvrent de grosses anomalies dans les comptes de la société qui est placée sous administrateur provisoire début juillet. Elle l'est toujours. Si les employés touchent leurs salaires, en revanche l'activité des garages, ventes de voitures comme atelier, est au mieux au ralenti, voire, comme à Citröen Prayssac à l'arrêt complet.
2 millions en un mois et demi
Selon nos informations, le tribunal de commerce d'Agen doit d'ailleurs examiner une demande de cessation de paiement mardi prochain 22 septembre. Procédure qui pourrait déboucher sur le redressement ou la liquidation des différentes sociétés.En attendant, les enquêteurs, eux, auront cherché à démêler le montage de cette arnaque expresse. Installé depuis 2007 dans le Lot puis en Lot-et-Garonne, Pascal Cloître travaillait de manière normale avec la société AMTT : «C'était même un très bon partenaire qui remplissait ses obligations et même au-delà, puisqu'il livrait même les clients à domicile», se souvient Christophe Tournant, PDG d'AMTT, qui possède les sites internet autodiscount.fr et clubauto. «On a travaillé près de trois ans avec lui sans avoir à se plaindre de notre collaboration.»
Tout semble déraper à partir de mai dernier. Selon nos informations, un compte aurait été ouvert auprès d'une banque agenaise le 11 mai. Des chèques sont encaissés sur ce compte en provenance de clients qui achetaient des voitures neuves. Entre le 11 mai et le 25 juin, date de sa disparition jusqu'à hier, un peu plus de deux millions d'euros sont crédités. Mais ne font que transiter : au 30 juin le compte présente un solde, créditeur, de 36 990 €. Où est passé l'argent ? L'ancien garagiste sera sans nul doute interrogé à ce sujet.
Personnalité complexe
Quant à la raison de cette arnaque, de cette disparition de trois mois avant de réapparaître, là aussi les interrogations ne manquent pas. Au cours de ces trois mois, la rumeur a fait voyager Pascal Cloître en Israël, en Croatie, en Italie… Hier, un interlocuteur croyait savoir que si Pascal Cloître avait été repéré en Israël, c'est parce qu'il avait envoyé lui-même, dans un colis, son portable, allumé, vers cette destination. Un autre croyait savoir, lui, qu'il y avait des amis.La personnalité complexe de Pascal Cloître nourrit chaque jour cette histoire digne d'un roman. Décrit tout à la fois comme grande gueule, colérique, séducteur, soupe au lait, affable, et de l'avis de tous très intelligent, il pourrait avoir prémédité son coup de longue date ou agi sur un coup de tête. Une source proche de l'enquête confiait hier matin à propos de l'affaire : «C'est le début, ça sera long.»
C'était avant la garde à vue. Le premier véritable coup d'accélérateur de l'affaire Cloître ?
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/18/2179529-pascal-cloitre-est-en-garde-a-vue.html
Un Seloncourtois tire sur son propriétaire : la victime est gravement blessée, l’auteur présumé a été interpellé
Vers 18 h, ce mercredi soir, la rue des Sources, à Seloncourt, a retrouvé sa quiétude. Pourtant, quelques heures plus tôt, les habitants ont été intrigués par des bruits de sirènes, des ballets de voitures de police, de fourgons de pompiers, d’engins de secours. Au numéro 2, une coquette et grande maison composée de plusieurs appartements, dont les balcons sont bordés de fleurs, un locataire, résidant au rez-de-chaussée (côté gauche), a tiré sur un homme, son propriétaire. Il était 14 h 50, quand des voisins, au second niveau, ont entendu la détonation.
L’homme est gravement blessé, le pronostic vital est engagé. Les médecins font appel à l’hélicoptère pour acheminer le quadragénaire vers le CHRU Jean-Minjoz de Besançon. L’appareil se posera plus tard sur le stade de la commune pour prendre en charge la victime. L’auteur présumé est interpellé à son domicile, juste après les faits, par une brigade motorisée qui se trouvait à proximité. Selon des témoins, l’homme, qui travaille dans l’industrie et qui est inconnu des forces de l’ordre, était prostré, hagard. Il a été placé en garde à vue. « Nous en sommes toujours au stade des constatations de police scientifique et technique », souligne le vice-procureur de Montbéliard Lionel Pascal qui a fait le point avec les agents de la Sûreté urbaine et les spécialistes de l’Identité judiciaire (IJ) en début de soirée, sur les lieux.
À l’origine de ce drame, qui s’est déroulé dans le salon de l’appartement, un conflit privé. Selon les enquêteurs, le propriétaire était venu réclamer les loyers que son locataire ne lui versait plus depuis deux ou trois mois. « La victime a demandé des explications. La situation a dégénéré », reprend le commandant Denis. L’alcool a sans doute exacerbé la frustration et la colère du locataire. Quant aux suites judiciaires, elles dépendront de l’évolution de l’état de santé du quadragénaire, père de deux enfants, qui lutte contre la mort. Le tireur a visé une zone létale, en état d’ivresse, ce qui est une circonstance aggravante. De plus, certains éléments laissent à penser qu’il y a eu préméditation. Enfin, il n’est pas établi que le tireur possédait légalement cette arme (de catégorie B, dont la détention est soumise à certaines obligations).
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/09/18/un-seloncourtois-tire-sur-son-proprietaire-la-victime-est-gravement-blessee-l-auteur-presume-a-ete-interpelle
Le propriétaire était venu réclamer ses loyers
La victime, un Montbéliardais de 40 ans, a été atteinte à la gorge par une balle d’une arme de poing, un Revolver calibre 38, que détenait le Seloncourtois. « L’auteur du coup de feu, âgé de 51 ans, était fortement alcoolisé. Après avoir tiré, il a appelé son ex-compagne en lui expliquant ce qu’il venait de faire. La dame est arrivée immédiatement et elle a alerté les secours. La victime gisait inconsciente », informe le commissaire-adjoint de Montbéliard, Christophe Denis.L’homme est gravement blessé, le pronostic vital est engagé. Les médecins font appel à l’hélicoptère pour acheminer le quadragénaire vers le CHRU Jean-Minjoz de Besançon. L’appareil se posera plus tard sur le stade de la commune pour prendre en charge la victime. L’auteur présumé est interpellé à son domicile, juste après les faits, par une brigade motorisée qui se trouvait à proximité. Selon des témoins, l’homme, qui travaille dans l’industrie et qui est inconnu des forces de l’ordre, était prostré, hagard. Il a été placé en garde à vue. « Nous en sommes toujours au stade des constatations de police scientifique et technique », souligne le vice-procureur de Montbéliard Lionel Pascal qui a fait le point avec les agents de la Sûreté urbaine et les spécialistes de l’Identité judiciaire (IJ) en début de soirée, sur les lieux.
À l’origine de ce drame, qui s’est déroulé dans le salon de l’appartement, un conflit privé. Selon les enquêteurs, le propriétaire était venu réclamer les loyers que son locataire ne lui versait plus depuis deux ou trois mois. « La victime a demandé des explications. La situation a dégénéré », reprend le commandant Denis. L’alcool a sans doute exacerbé la frustration et la colère du locataire. Quant aux suites judiciaires, elles dépendront de l’évolution de l’état de santé du quadragénaire, père de deux enfants, qui lutte contre la mort. Le tireur a visé une zone létale, en état d’ivresse, ce qui est une circonstance aggravante. De plus, certains éléments laissent à penser qu’il y a eu préméditation. Enfin, il n’est pas établi que le tireur possédait légalement cette arme (de catégorie B, dont la détention est soumise à certaines obligations).
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/09/18/un-seloncourtois-tire-sur-son-proprietaire-la-victime-est-gravement-blessee-l-auteur-presume-a-ete-interpelle
jeudi 17 septembre 2015
4 ans de prison pour avoir martyrisé une fillette
Cinq personnes, dont une mineure, ont été condamnées à des peines allant jusqu'à 4 ans de prison pour avoir martyrisé une fillette de 5 ans à Tarbes en 2013, a indiqué jeudi l'avocat d'un des condamnés.
L'enfant avait été confiée à sa marraine, âgée de 18 ans au moment des faits, pour les vacances de la Toussaint 2013. Dans l'appartement de cette dernière, à Tarbes, pendant plus d'une semaine, l'enfant a notamment reçu des coups de pieds, de fouet, et de ceinture, et s'est vu imposer des jeux dégradants. C'est finalement un voisin qui a signalé aux parents les blessures de l'enfant, après l'avoir aperçue dans la rue au milieu de la nuit avec une des condamnés, alors âgée de 17 ans. Les sévices, dont certains ont été filmés, ont été détaillés lors du procès au Tribunal correctionnel de Tarbes, mardi. Les mis en cause ont comparu libres. La mineure avait été jugée auparavant par un tribunal pour enfants, a indiqué l'avocat du condamné le plus âgé, Me Stéphane Jaffrain. Les 4 autres mis en cause ont tous été reconnus coupables mardi, et condamnés à des peines allant de 4 ans de prison dont 1 an avec sursis, à 1 an dont 6 mois avec sursis, avec mise à l'épreuve et obligation de soins, pour violences aggravées sur une mineure de moins de 15 ans, et pour certains, non-assistance à personne en danger.
La marraine a été présentée comme l'instigatrice principale des mauvais traitements, aux côtés de la mineure de 17 ans, les autres ayant été témoins ou exécutants. L'adolescente a été le plus lourdement condamnée. Deux des protagonistes, dont le client de Me Jaffrain, sont des adultes handicapés.
Les parties civiles avaient demandé le renvoi aux assises, mais le parquet avait choisi le renvoi en correctionnelle, indique Me Jaffrain, qui considère que son client aurait du être dispensé de peine ou relaxé du fait de "l'altération de sa conscience au moment des faits
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/17/97001-20150917FILWWW00137-4-ans-de-prison-pour-avoir-martyrise-une-fillette.php
L'enfant avait été confiée à sa marraine, âgée de 18 ans au moment des faits, pour les vacances de la Toussaint 2013. Dans l'appartement de cette dernière, à Tarbes, pendant plus d'une semaine, l'enfant a notamment reçu des coups de pieds, de fouet, et de ceinture, et s'est vu imposer des jeux dégradants. C'est finalement un voisin qui a signalé aux parents les blessures de l'enfant, après l'avoir aperçue dans la rue au milieu de la nuit avec une des condamnés, alors âgée de 17 ans. Les sévices, dont certains ont été filmés, ont été détaillés lors du procès au Tribunal correctionnel de Tarbes, mardi. Les mis en cause ont comparu libres. La mineure avait été jugée auparavant par un tribunal pour enfants, a indiqué l'avocat du condamné le plus âgé, Me Stéphane Jaffrain. Les 4 autres mis en cause ont tous été reconnus coupables mardi, et condamnés à des peines allant de 4 ans de prison dont 1 an avec sursis, à 1 an dont 6 mois avec sursis, avec mise à l'épreuve et obligation de soins, pour violences aggravées sur une mineure de moins de 15 ans, et pour certains, non-assistance à personne en danger.
La marraine a été présentée comme l'instigatrice principale des mauvais traitements, aux côtés de la mineure de 17 ans, les autres ayant été témoins ou exécutants. L'adolescente a été le plus lourdement condamnée. Deux des protagonistes, dont le client de Me Jaffrain, sont des adultes handicapés.
Les parties civiles avaient demandé le renvoi aux assises, mais le parquet avait choisi le renvoi en correctionnelle, indique Me Jaffrain, qui considère que son client aurait du être dispensé de peine ou relaxé du fait de "l'altération de sa conscience au moment des faits
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/17/97001-20150917FILWWW00137-4-ans-de-prison-pour-avoir-martyrise-une-fillette.php
En manœuvrant, il renverse son fils de 4 ans
Dans le nouveau lotissement Tibur sur les hauteurs de Limoux, après le château de Flandry, un père de famille récemment installé dans cette résidence, a mardi soir, vers 20 heures, en reculant sa voiture, renversé son fils de 4 ans qui était en train de jouer devant la maison familiale sur la partie collective de la résidence. Le père, un homme de 54 ans est monté dans sa voiture stationnée face à son garage pour faire une manœuvre en deux temps, en premier il recule pour se mettre dans le sens de la circulation du chemin pour partir, puis enclenche une vitesse, la première pour avancer. C'est à ce moment-là qui l'entend un choc se produire à l'avant de son véhicule. Il sort de la voiture et s'aperçoit alors qu‘il vient de percuter son jeune fils de 4 ans qui était en train de jouer dans la rue. Selon un témoin qui a assisté à toute la scène, le père effondré a pris immédiatement la petite victime dans ses bras. Rapidement sur place les pompiers et le Samu constataient que le jeune enfant avait un bras fracturé et probablement un traumatisme crânien avec saignement intérieur. Il était transporté immédiatement au CHU de Montpellier. Les gendarmes effectuaient un test d'alcoolémie sur le père de l'enfant, qui s'avérait négatif. Une enquête est ouverte par les gendarmes de la compagnie de Limoux sur les circonstances exactes de l'accident. Hier soir on apprenait que le pronostic vital de l'enfant était toujours engagé.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/17/2178913-en-manoeuvrant-il-renverse-son-fils-de-4-ans.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/17/2178913-en-manoeuvrant-il-renverse-son-fils-de-4-ans.html
mercredi 16 septembre 2015
Un homme retrouvé mort au Mont Revard
Le corps d'un homme porté disparu a été retrouvé, ce mercredi 16 septembre au matin, dans le secteur du Revard. Il était âgé de 40 ans.
Mardi soir, une voiture a été découverte non loin du restaurant "Les Quatre vallées". Les recherches ont alors commencé. Finalement, c'est à 7h30 que le corps sans vie d'un homme a été retrouvé au pied d'une falaise, après un examen minutieux du secteur par hélicoptère. Chute ou suicide? l'enquête devra le déterminer.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/aix-les-bains/un-homme-retrouve-mort-au-mont-revard-808359.html
Mardi soir, une voiture a été découverte non loin du restaurant "Les Quatre vallées". Les recherches ont alors commencé. Finalement, c'est à 7h30 que le corps sans vie d'un homme a été retrouvé au pied d'une falaise, après un examen minutieux du secteur par hélicoptère. Chute ou suicide? l'enquête devra le déterminer.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/aix-les-bains/un-homme-retrouve-mort-au-mont-revard-808359.html
Olonzac - Il se dispute avec un autre viticulteur et chute dans une vis sans fin
En cette période de vendange, l’activité était importante, mardi, à Olonzac, à la cave coopérative. Mais toutes les procédures ont été arrêtées en urgence à la suite de la chute d’un viticulteur d’une soixantaine d’années dans une vis sans fin.
Heureusement, cette machine venait d’être mise à l’arrêt. Cependant, les blessures de la victime sont importantes notamment à la tête.
Il a été nécessaire de transporter le blessé, qui aurait perdu conscience, vers l’hôpital de Lapeyronie à Montpellier par l’hélicoptère du SMUR 11. Les pompiers n’ont pas eu besoin de désincarcérer la victime.
Selon nos informations, cette chute serait consécutive à une dispute entre deux viticulteurs pour une raison indéterminée.
Pour ceux qui ne le savent pas, voici à quoi ressemble une vis sans fin agricole.
http://www.lindependant.fr/2015/09/15/olonzac-il-se-dispute-avec-un-autre-viticulteur-et-chute-dans-une-vis-sans-fin,2084660.php
Heureusement, cette machine venait d’être mise à l’arrêt. Cependant, les blessures de la victime sont importantes notamment à la tête.
Il a été nécessaire de transporter le blessé, qui aurait perdu conscience, vers l’hôpital de Lapeyronie à Montpellier par l’hélicoptère du SMUR 11. Les pompiers n’ont pas eu besoin de désincarcérer la victime.
Selon nos informations, cette chute serait consécutive à une dispute entre deux viticulteurs pour une raison indéterminée.
Pour ceux qui ne le savent pas, voici à quoi ressemble une vis sans fin agricole.
http://www.lindependant.fr/2015/09/15/olonzac-il-se-dispute-avec-un-autre-viticulteur-et-chute-dans-une-vis-sans-fin,2084660.php
Un désespéré sauvé des eaux par un gendarme
Vers 2 heures, le groupement départemental de la gendarmerie nationale du Lot a mis en place un vaste dispositif de recherches visant à retrouver un commerçant de Moncrabier dont le comportement laissait présager du pire à la suite d'une altercation avec un proche. Les gendarmes de Fumel ont été mis dans la boucle du dispositif aux côtés de leurs collègues de Luzech. Deux heures plus tard, le disparu a été retrouvé sur le pont enjambant le Lot à Montayral. Le sang-froid d'un gendarme a permis d'éviter le pire puisque le quinquagénaire menaçait de se jeter dans le fleuve. Les pompiers fumélois l'ont transporté au centre hospitalier de Villeneuve sur Lot.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/16/2178183-un-desespere-sauve-des-eaux-par-un-gendarme.html#foUSotyx6K1HSwq6.99
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Neuves-Maisons : l’incendiaire interpellé
Neuves-Maisons. Dans la nuit de samedi à dimanche, place de l’Eglise, à proximité de l’enseigne Carrefour City, une première voiture était incendiée. D’origine criminelle, le feu s’est ensuite propagé à un second véhicule stationné à proximité. Les flammes ont par ailleurs noirci la façade d’une maison sur une hauteur de cinq mètres et quelques morceaux de crépi sont tombés sous l’effet de la chaleur, alors qu’un troisième véhicule manquait d’y passer aussi.
Des faits qui n’ont pas arrangé un climat déjà tendu, dénoncé par les riverains du quartier Point-Central. Des riverains rassurés, en partie, par la brigade de gendarmerie de Neuves-Maisons qui a mis tous ses enquêteurs sur le pont. Si bien que dimanche, avant l’heure du déjeuner, l’incendiaire était identifié.
Agé de 57 ans, l’homme était déjà dans le collimateur des gendarmes qui l’ont finalement interpellé lundi matin pour le placer en garde à vue. Sans les motiver, il a reconnu les faits en les détaillant, expliquant qu’il avait commencé par incendier les pneus de la première voiture avec un combustible… La suite, on la connaît et il a d’ailleurs dû s’en expliquer hier, à la barre du tribunal correctionnel de Nancy, dans le cadre d’une comparution immédiate.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/09/16/neuves-maisons-l-incendiaire-interpelle
Des faits qui n’ont pas arrangé un climat déjà tendu, dénoncé par les riverains du quartier Point-Central. Des riverains rassurés, en partie, par la brigade de gendarmerie de Neuves-Maisons qui a mis tous ses enquêteurs sur le pont. Si bien que dimanche, avant l’heure du déjeuner, l’incendiaire était identifié.
Agé de 57 ans, l’homme était déjà dans le collimateur des gendarmes qui l’ont finalement interpellé lundi matin pour le placer en garde à vue. Sans les motiver, il a reconnu les faits en les détaillant, expliquant qu’il avait commencé par incendier les pneus de la première voiture avec un combustible… La suite, on la connaît et il a d’ailleurs dû s’en expliquer hier, à la barre du tribunal correctionnel de Nancy, dans le cadre d’une comparution immédiate.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/09/16/neuves-maisons-l-incendiaire-interpelle
mardi 15 septembre 2015
Deux policiers qui allaient escorter Manuel Valls sanctionnés après un accident
« Le monde à l’envers. » Au sein du service des compagnies motocyclistes de la préfecture de police, c’est l’incompréhension. Voire la colère. Selon nos informations, deux motards ont été récemment sanctionnés pour avoir causé un accident de la route, alors que leur hiérarchie leur avait demandé en urgence d’aller escorter Manuel Valls, à l’époque ministre de l’Intérieur, à l’hôtel de Beauvau.
Le policier le plus grièvement touché (en repos pour blessures en service pendant 12 mois) a reçu un blâme. Son collègue (deux jours d’ITT), lui, s’est vu aviser d’un avertissement au cours de l’été. Des sanctions jugées d’autant plus sévères que le conducteur de la voiture qui leur était rentré dedans était alcoolisé et en défaut de permis au moment des faits. De plus, un des policiers blessés avait reçu un coup de téléphone du ministre pour le soutenir au lendemain de l'accident.
Alors que le feu tricolore passait au rouge, les deux policiers ont franchi l’intersection sans voir que derrière la première file de voiture arrêtée, un véhicule avait déboîté et était engagé dans l’intersection. Le choc a été très violent, en attestent les témoignages recueillis auprès de policiers qui ont visionné la vidéo de l’accident, captée par les caméras de la préfecture de police.
L’administration a conclu que les policiers avaient respecté « les gestes réglementaires » mais n’avaient pas fait « usage des avertisseurs sonores et lumineux », note un rapport de l’administration. Cette dernière reproche aux deux policiers « des risques inconsidérés » alors qu’ils « avaient encore cinq minutes pour rejoindre le Ministère de l’Intérieur situé à environ deux cents mètres ».
Au sein de la compagnie motocycliste de Paris, c’est un sentiment d’injustice qui domine. « Les chefs leur avaient demandé de se dépêcher pour escorter Valls en urgence. Après coup, personne ne le reconnaît. Et surtout, on préfère s’en tenir aux déclarations de l’occupant de la voiture qui avait bu », grogne-t-on.
La vidéo de l’accident passe désormais de main en main dans le service en guise de prévention pour ce type d’accident. « Une file de voiture arrêtée peut cacher une autre voiture. Nous devons redoubler de vigilance », conclut un policier spécialiste des escortes de personnalités.
http://www.20minutes.fr/societe/1687267-20150915-deux-policiers-allaient-escorter-manuel-valls-sanctionnes-apres-accident
Le policier le plus grièvement touché (en repos pour blessures en service pendant 12 mois) a reçu un blâme. Son collègue (deux jours d’ITT), lui, s’est vu aviser d’un avertissement au cours de l’été. Des sanctions jugées d’autant plus sévères que le conducteur de la voiture qui leur était rentré dedans était alcoolisé et en défaut de permis au moment des faits. De plus, un des policiers blessés avait reçu un coup de téléphone du ministre pour le soutenir au lendemain de l'accident.
Ils n’ont pas vu la voiture dans l’autre file
L’affaire remonte au 13 janvier 2014. Dépêchés par leur hiérarchie pour aller escorter l’ancien locataire de la place Beauvau, en remplacement d’un fonctionnaire en retard, les deux motards de la division régionale motocycliste ont été victimes d’un accident de la route au niveau de la place Clemenceau (8e).Alors que le feu tricolore passait au rouge, les deux policiers ont franchi l’intersection sans voir que derrière la première file de voiture arrêtée, un véhicule avait déboîté et était engagé dans l’intersection. Le choc a été très violent, en attestent les témoignages recueillis auprès de policiers qui ont visionné la vidéo de l’accident, captée par les caméras de la préfecture de police.
L’administration a conclu que les policiers avaient respecté « les gestes réglementaires » mais n’avaient pas fait « usage des avertisseurs sonores et lumineux », note un rapport de l’administration. Cette dernière reproche aux deux policiers « des risques inconsidérés » alors qu’ils « avaient encore cinq minutes pour rejoindre le Ministère de l’Intérieur situé à environ deux cents mètres ».
Sentiment d’injustice
Interpellé, le conducteur de la voiture a été placé en garde à vue. A 8 h 05, soit une heure après l’accident, l’individu présentait un taux d’alcoolémie de 0,67 milligramme par litre d’air expiré (le seuil légal est de 0,25 mg par litre d'air expiré). Selon les premières constatations, il était aussi en défaut de permis de conduire. « Pourtant, l’administration a préféré retenir ses déclarations plutôt que celle des policiers qui disent avoir actionné leur deux-tons », soutient un proche des policiers.Au sein de la compagnie motocycliste de Paris, c’est un sentiment d’injustice qui domine. « Les chefs leur avaient demandé de se dépêcher pour escorter Valls en urgence. Après coup, personne ne le reconnaît. Et surtout, on préfère s’en tenir aux déclarations de l’occupant de la voiture qui avait bu », grogne-t-on.
La vidéo de l’accident passe désormais de main en main dans le service en guise de prévention pour ce type d’accident. « Une file de voiture arrêtée peut cacher une autre voiture. Nous devons redoubler de vigilance », conclut un policier spécialiste des escortes de personnalités.
http://www.20minutes.fr/societe/1687267-20150915-deux-policiers-allaient-escorter-manuel-valls-sanctionnes-apres-accident
Toulouse : il veut cracher par la fenêtre et se tue en tombant du 3ème étage
Un jeune homme s'est involontairement défenestré lundi soir à Toulouse en voulant cracher par la fenêtre. Le parquet a ordonné une autopsie.
Un jeune homme de 19ans s'est tué en se défenestrant, apparemment involontairement, lundi soir rue de Metz, en plein centre de Toulouse, a-t-on appris de source policière.
L'homme aurait voulu cracher par la fenêtre de son appartement mais aurait alors basculer dans le vide. Il a fait une chute de trois étages et n'a pas survécu à ses blessures.
Le parquet a tout de même ordonné une autopsie. L'alcool aurait selon certaines sources jouer un rôle dans cet accident dramatique.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/toulouse-il-veut-cracher-par-la-fenetre-et-se-tue-en-tombant-du-3eme-etage-807237.html
Un jeune homme de 19ans s'est tué en se défenestrant, apparemment involontairement, lundi soir rue de Metz, en plein centre de Toulouse, a-t-on appris de source policière.
L'homme aurait voulu cracher par la fenêtre de son appartement mais aurait alors basculer dans le vide. Il a fait une chute de trois étages et n'a pas survécu à ses blessures.
Le parquet a tout de même ordonné une autopsie. L'alcool aurait selon certaines sources jouer un rôle dans cet accident dramatique.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/toulouse-il-veut-cracher-par-la-fenetre-et-se-tue-en-tombant-du-3eme-etage-807237.html
Guadeloupe : un homme tué par balle, un suspect se présente de lui-même
Un homme âgé d'une vingtaine d'années a été placé en garde à vue lundi soir après s'être présenté aux enquêteurs à la suite du meurtre d'un homme de 35 ans, dimanche matin à Saint-François.
Un jeune d'une vingtaine d'années a été placé en garde à vue après s'être présenté aux enquêteurs à la suite du meurtre d'un homme de 35 ans, dimanche matin à Saint-François (Guadeloupe), a-t-on appris lundi soir de source judiciaire.
Selon une source proche du dossier, le jeune homme, résidant à Saint-François, était recherché par les gendarmes à la suite de différents témoignages le mettant en cause. Il s'est finalement présenté de lui-même lundi soir dans les locaux de la section de Recherche de Pointe-à-Pitre, chargée de l'enquête.
Près d'une discothèque
La victime, un père de famille de 35 ans, résidant à Saint-Martin, avait été abattue d'une "décharge de plombs" reçue à la tête, à quelques mètres d'une discothèque de Saint-François, vers 06h30 dimanche. "Trois coups de feu" auraient été tirés selon la même source, précisant que l'homme devait rentrer à Saint-Martin lundi.
Ce nouveau meurtre intervient alors qu'un renforcement des moyens de la gendarmerie nationale a été annoncé le 1er septembre par Victorin Lurel, le président de la Région Guadeloupe. Deux pelotons de gendarmerie mobile supplémentaires" doivent être déployés sur la zone de sécurité prioritaire de Pointe-à-Pitre/Abymes/Baie-Mahault "à partir du 1er novembre 2015", selon le communiqué de la Région.
lundi 14 septembre 2015
Villeneuve-sur-Lot : un détenu retrouvé après plusieurs semaines de cavale
Cet homme de 52 ans aurait dû réintégrer, le 27 juillet dernier, le centre de détention d'Eysses où il purge une peine pour vol et escroquerie. Mais voilà, le quinquagénaire ne l'entendait pas de cette oreille et avait décidé de prendre la fuite. Sa cavale a été interrompue vendredi à Roanne (Loire), à l'occasion de son arrestation par les gendarmes.
Présenté au parquet de Roanne, il a été incarcéré. Une information judiciaire devrait être ouverte à son encontre afin de déterminer s'il a commis d'autres délits durant sa fuite.
http://www.sudouest.fr/2015/09/14/faits-divers-2123295-4584.php
Présenté au parquet de Roanne, il a été incarcéré. Une information judiciaire devrait être ouverte à son encontre afin de déterminer s'il a commis d'autres délits durant sa fuite.
http://www.sudouest.fr/2015/09/14/faits-divers-2123295-4584.php
dimanche 13 septembre 2015
vendredi 11 septembre 2015
Course-poursuite à contresens sur l'A27 entre un 4x4 et les gendarmes
Si vous étiez sur l'A27 ce jeudi en début d'après-midi du côté de Villeneuve d'Ascq, vous avez sans doute eu peur ou au moins avez été très surpris. Sur 11 km, a eu lieu une spectaculaire course-poursuite entre un 4x4 et des véhicules de gendarmerie.
Selon la gendarmerie, la voiture, volée, avait été repérée par le système LAPI (lecture automatisée de plaques d’immatriculation). Le 4x4 noir BMW a été pris en chasse par des véhicules de gendarmerie à partir de Baisieux. la course-poursuite s'est terminée à Villeneuve d'Ascq. L'homme a été interpellé. On ignore ce qui lui est reproché et les suites judiciaires de cette arrestation.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/course-poursuite-contresens-sur-l-a27-entre-un-4x4-et-les-gendarmes-804663.html
Selon la gendarmerie, la voiture, volée, avait été repérée par le système LAPI (lecture automatisée de plaques d’immatriculation). Le 4x4 noir BMW a été pris en chasse par des véhicules de gendarmerie à partir de Baisieux. la course-poursuite s'est terminée à Villeneuve d'Ascq. L'homme a été interpellé. On ignore ce qui lui est reproché et les suites judiciaires de cette arrestation.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/course-poursuite-contresens-sur-l-a27-entre-un-4x4-et-les-gendarmes-804663.html
Essert : une motard grièvement blessé après avoir heurté une voiture arrêtée sur un trottoir
Les opérations de secours ont ralenti la circulation, hier en fin d’après-midi, à la sortie d’Essert en direction de Châlonvillars. Les pompiers de Belfort-Sud et les médecins du Samu 90 ont été déclenchés après une collision entre une voiture et une moto à l’intersection entre la RD 19 (rue du général de Gaulle) et l’entrée de l’impasse des rives de la Coulée verte. Tout commence vers 17 h 50 lorsqu’une Volkswagen Polo s’engage dans l’impasse et s’arrête devant la borne rétractable de la propriétée. A ce moment là, le véhicule du conseiller municipal délégué Gérard Paris n’est plus sur la chaussée de la RD 19 mais se trouve sur le trottoir.
« Je m’apprêtais à actionner la borne pour entrer dans la copropriété », témoigne-t-il. « C’est là que la moto a heurté l’aile avant gauche de ma voiture. J’espère quand même que les blessures de la victime ne sont pas trop graves ».
La violence du choc a fait pivoter la voiture d’un quart de tour. Elle s’est arrêtée au pied d’un panneau de signalisation. La moto, une puissante cylindrée, a fait une série de pirouettes avant de s’immobiliser sur le talus d’une pelouse.
Hier soir, on n’avait pas d’idées précises sur les causes exactes de cette collision spectaculaire.
Des témoins laissaient entendre que le motard aurait exécuté une série de roues arrières avec sa machine, avant l’accident. Puis il serait parti depuis le rond-point du Bar-48 et aurait doublé une voiture avant d’entrer en collision avec la voiture de M. Paris. Une perte de contrôle n’est évidemment pas exclue.
Dès leur arrivée sur place, les secours ont pris en charge le motard âgé d’une trentaine d’années. Il a été longuement médicalisé sur place. Les médecins suspectaient une fracture de la jambe et peut-être d’un fémur. Le véhicule du SAMU a pris la direction du centre hospitalier à faible allure. Des policiers du commissariat de Belfort ont passé du temps a régulé la circulation puis a procédé aux constatations et dépistages d’usage.
Cet accident relance le débat sur la vitesse et sur l’inconscience des usagers dans la traversée d’Essert sur la RD 19.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/09/10/essert-une-motard-grievement-blesse-apres-avoir-heurte-une-voiture-arretee-sur-un-trottoir
« Je m’apprêtais à actionner la borne pour entrer dans la copropriété », témoigne-t-il. « C’est là que la moto a heurté l’aile avant gauche de ma voiture. J’espère quand même que les blessures de la victime ne sont pas trop graves ».
La violence du choc a fait pivoter la voiture d’un quart de tour. Elle s’est arrêtée au pied d’un panneau de signalisation. La moto, une puissante cylindrée, a fait une série de pirouettes avant de s’immobiliser sur le talus d’une pelouse.
Hier soir, on n’avait pas d’idées précises sur les causes exactes de cette collision spectaculaire.
Des témoins laissaient entendre que le motard aurait exécuté une série de roues arrières avec sa machine, avant l’accident. Puis il serait parti depuis le rond-point du Bar-48 et aurait doublé une voiture avant d’entrer en collision avec la voiture de M. Paris. Une perte de contrôle n’est évidemment pas exclue.
Dès leur arrivée sur place, les secours ont pris en charge le motard âgé d’une trentaine d’années. Il a été longuement médicalisé sur place. Les médecins suspectaient une fracture de la jambe et peut-être d’un fémur. Le véhicule du SAMU a pris la direction du centre hospitalier à faible allure. Des policiers du commissariat de Belfort ont passé du temps a régulé la circulation puis a procédé aux constatations et dépistages d’usage.
Cet accident relance le débat sur la vitesse et sur l’inconscience des usagers dans la traversée d’Essert sur la RD 19.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/09/10/essert-une-motard-grievement-blesse-apres-avoir-heurte-une-voiture-arretee-sur-un-trottoir
mardi 1 septembre 2015
Un déséquilibré menace de «faire un carnage dans une école»
«Je vais faire un carnage dans une école des Izards». Hier matin, un homme visiblement déterminé a contacté la gendarmerie de Castelginest, au Nord de Toulouse. Sans beaucoup plus d'explication, il a indiqué qu'il se trouvait sur Toulouse et allait s'en prendre à un établissement scolaire en ce jour de prérentrée.
Immédiatement, les services de police ont été prévenus et ont pris la menace au sérieux. Tous les établissements du secteur concerné ont été alertés et des mesures de sécurité ont été mises en place. Des patrouilles se sont rendues dans les différents endroits et notamment au lycée Urbain-Vitry, route de Launaguet. C'est là que se trouvait la rectrice d'académie, Hélène Bernard dans le cadre de sa visite de rentrée.
L'accès a l'établissement a été fermé, comme dans les autres écoles, et sérieusement filtré. Les personnes qui se trouvaient dans les locaux ont été confinées. Pendant ce temps, l'enquête s'est accélérée. L'auteur du coup de fil a été identifié par les gendarmes et les policiers. Il s'est avéré qu'il s'agissait d'un homme de 52 ans bien connu de leurs services et, notamment, des gendarmes de Castelginest.
Ainsi, tandis que les policiers sécurisaient Toulouse, les gendarmes se sont mis en planque devant son domicile, sur la commune de Pechbonnieu.
Peu après midi, ils n'ont pas tardé à voir leur cible arriver. Il regagnait son habitation sans avoir mis ses menaces à exécution à Toulouse. Mais les militaires ont eu toutes les peines du monde à interpeller l'intéressé. À leur vue, il s'est barricadé chez lui. Était-il armé ? Les gendarmes l'ignoraient.
Un négociateur a été appelé afin de convaincre le forcené de se rendre mais ce dernier est resté sourd à tous les arguments. Un important dispositif a été mis en place autour du domicile par les gendarmes de la communauté de brigades de Castelginest et la compagnie Toulouse Saint-Michel. Le PSIG (peloton de surveillance et d'intervention) a été mobilisé avant que ne soit prise la décision d'avoir recours au PI2G (peloton d'intervention interrégional de la gendarmerie), des spécialistes des situations critiques.
Après près de six heures d'attente et alors que la situation semblait s'enliser, le forcené a fini par sortir du logement afin de se rendre. L'homme, qui n'était pas armé, a été cueilli en douceur par les militaires. Il a été placé en garde à vue où il se trouvait toujours hier soir. L'état psychiatrique de cet individu incitait certains proches de l'enquête à envisager une hospitalisation d'office dans une unité spécialisée. Décision qui n'avait pas été prise hier soir.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/01/2168376-un-desequilibre-menace-de-faire-un-carnage-dans-une-ecole.html
Immédiatement, les services de police ont été prévenus et ont pris la menace au sérieux. Tous les établissements du secteur concerné ont été alertés et des mesures de sécurité ont été mises en place. Des patrouilles se sont rendues dans les différents endroits et notamment au lycée Urbain-Vitry, route de Launaguet. C'est là que se trouvait la rectrice d'académie, Hélène Bernard dans le cadre de sa visite de rentrée.
L'accès a l'établissement a été fermé, comme dans les autres écoles, et sérieusement filtré. Les personnes qui se trouvaient dans les locaux ont été confinées. Pendant ce temps, l'enquête s'est accélérée. L'auteur du coup de fil a été identifié par les gendarmes et les policiers. Il s'est avéré qu'il s'agissait d'un homme de 52 ans bien connu de leurs services et, notamment, des gendarmes de Castelginest.
Ainsi, tandis que les policiers sécurisaient Toulouse, les gendarmes se sont mis en planque devant son domicile, sur la commune de Pechbonnieu.
Peu après midi, ils n'ont pas tardé à voir leur cible arriver. Il regagnait son habitation sans avoir mis ses menaces à exécution à Toulouse. Mais les militaires ont eu toutes les peines du monde à interpeller l'intéressé. À leur vue, il s'est barricadé chez lui. Était-il armé ? Les gendarmes l'ignoraient.
Un négociateur a été appelé afin de convaincre le forcené de se rendre mais ce dernier est resté sourd à tous les arguments. Un important dispositif a été mis en place autour du domicile par les gendarmes de la communauté de brigades de Castelginest et la compagnie Toulouse Saint-Michel. Le PSIG (peloton de surveillance et d'intervention) a été mobilisé avant que ne soit prise la décision d'avoir recours au PI2G (peloton d'intervention interrégional de la gendarmerie), des spécialistes des situations critiques.
Après près de six heures d'attente et alors que la situation semblait s'enliser, le forcené a fini par sortir du logement afin de se rendre. L'homme, qui n'était pas armé, a été cueilli en douceur par les militaires. Il a été placé en garde à vue où il se trouvait toujours hier soir. L'état psychiatrique de cet individu incitait certains proches de l'enquête à envisager une hospitalisation d'office dans une unité spécialisée. Décision qui n'avait pas été prise hier soir.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/01/2168376-un-desequilibre-menace-de-faire-un-carnage-dans-une-ecole.html
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