Mardi, un quad est dérobé dans le garage d'un particulier domicilié à Prix-lès-Mézières. Le propriétaire du véhicule porte plainte rapidement.
Quelques heures plus tard, dans la soirée, les policiers carolomacériens repèrent dans la rue Léon Blum, à l'entrée du quartier de Manchester, deux individus sans casque sur un quad. Contrôle.
Il s'agit du quad fraîchement volé.
Les deux adolescents, âgés de 19 et 18 ans, sont placés en garde à vue. Dans un premier temps, ils nient.
Mais face aux éléments techniques accumulés par les enquêteurs, le duo finit par passer aux aveux.
Relâchés hier en début de soirée, ils sont repartis avec une convocation par officier de police judiciaire (COPJ).
Les deux mis en cause, déjà connu des services de police, habitaient dans les quartiers de la Ronde Couture et Manchester.
L'un d'eux n'est autre que le demi-frère de Jonathan Rouyer, 25 ans, interpellé la semaine dernière pour avoir menacé des policiers - il sera jugé le 23 août par le tribunal correctionnel. Histoire de famille toujours, le frère de ce dernier avait, lui, été interpellé dans le quartier Manchester en juin 2011 par le GIGN.
« Une famille un peu difficile », «euphémisait», hier soir, un enquêteur.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/deux-jeunes-interpelles-pour-avoir-vole-un-quad
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
jeudi 2 août 2012
Un randonneur miraculeusement sauvé par son GPS
Mardi en début de soirée, les CRS de Gavarnie ont secouru un randonneur de Pessac (33) égaré au massif du Pibeste entre Argelès-Gazost et Saint-Pé-de-Bigorre. Depuis Ouzous, à proximité d'Argelès-Gazost, il a pris le sentier classique pour accéder au sommet mais pour une raison inconnue a dévié de ce chemin et s'est dirigé vers la Pène de Souquet. Le Girondin s'est retrouvé en difficulté entre des pentes herbeuses très raides et des barres rocheuses. L'homme a dévissé d'une vingtaine de mètres et s'est fait une plaie profonde au genou gauche. «Il aurait pu se tuer» confie un secouriste. Coup de chance: le randonneur était équipé d'un téléphone portable GPS mais ne savait pas l'utiliser. Grâce à leur sang-froid et leurs connaissances technologiques, les secouristes ont réussi à lui faire activer son appareil et ont ainsi pu le géolocaliser. L'homme a été hélitreuillé par l'hélicoptère de la sécurité civile de Pau puis a été évacué au centre hospitalier de Tarbes.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/02/1411698-randonnee-sauve-par-son-gps.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/02/1411698-randonnee-sauve-par-son-gps.html
Quand des fils de bonnes familles cambriolent leurs propres voisins
Tous les trois sont des étudiants montpelliérains, âgés de 21 ans. Des fils de bonnes familles au train de vie à faire se pâmer la plupart de leurs contemporains. Las, il faut croire que cette vie dorée ne leur suffisait pas. Ou qu’ils n’y trouvaient plus une dose suffisante d’adrénaline.
Les 24 et 25 juillet derniers, ils n’ont rien trouvé de mieux que de cambrioler certains de leurs voisins de la résidence de standing située dans les anciens bâtiments de l’hôpital général Saint-Charles, entre Écusson et Verdanson. C’est en tout cas ce dont les suspecte la police.
Les objets volés revendus sur internet
Avant cela, tout démarre par ce coup de téléphone passé, dimanche, par une dame au commissariat central. Laquelle explique aux fonctionnaires avoir vu, sur le site de vente en ligne Le Bon Coin, un sac de marque qui lui a été subtilisé quelques jours plus tôt.
De concert avec les policiers, un rendez-vous est pris entre elle et le vendeur à l’arrêt de tramway Occitanie. Suite logique : l’intéressé est interpellé. Mais explique alors aux enquêteurs avoir acheté ledit sac pour 250 € sur internet. Disant connaître la valeur de cet objet qu’il escomptait revendre 550 €, histoire de se faire une plus-value.
Il prétend avoir passé l’annonce via l’ordinateur d’un ami et trimballe les enquêteurs vers plusieurs domiciles, avant de finir par les conduire chez cet ami. Qui, comme lui, habite cette même résidence Saint-Charles. Et finit par avouer, comme son copain, avoir cambriolé l’appartement de la dame, sans effraction, en juin dernier.
Vol pour lequel la victime n’avait pas déposé plainte, malgré la disparition d’un appareil photo et d’un caméscope. Celle-ci pensant avoir oublié ses appareils chez un tiers.
Tirant à eux le fil de la pelote, les policiers découvrent, ensuite, la présence d’un troisième garçon, lui aussi résidant du lieu. Un jeune homme qui avait gardé les clés de l’appartement de la victime en son absence. Ceci expliquant qu’aucun ouvrant n’a été forcé.
Bouteilles de vin, VTT, bijoux et snowboards...
Poursuivant plus avant, les enquêteurs (ceux de la sûreté départementale et de la sécurité publique) vont alors mettre la main sur une partie du butin dérobé par le trio. Soit le résultat du cambriolage de six boxes de la résidence. Des garages dans lesquels ils ont dérobé, le 24 juillet, une centaine de bouteilles de vin, un VTT de marque, deux snowboards, un casque de moto, une paire de ski...
Avant, enfin, de retourner chez la première victime, le lendemain, pour lui subtiliser le fameux sac à main, un collier en or, une montre de luxe et d’autres bijoux.
À l’issue de leur garde à vue, les trois voleurs présumés ont été déférés au parquet, qui a ouvert une information judiciaire. Car hier encore, les policiers cherchaient à identifier la plupart des victimes.
http://www.midilibre.fr/2012/08/01/les-fils-de-bonnes-familles-cambriolaient-leurs-voisins,542515.php
Les 24 et 25 juillet derniers, ils n’ont rien trouvé de mieux que de cambrioler certains de leurs voisins de la résidence de standing située dans les anciens bâtiments de l’hôpital général Saint-Charles, entre Écusson et Verdanson. C’est en tout cas ce dont les suspecte la police.
Les objets volés revendus sur internet
Avant cela, tout démarre par ce coup de téléphone passé, dimanche, par une dame au commissariat central. Laquelle explique aux fonctionnaires avoir vu, sur le site de vente en ligne Le Bon Coin, un sac de marque qui lui a été subtilisé quelques jours plus tôt.
De concert avec les policiers, un rendez-vous est pris entre elle et le vendeur à l’arrêt de tramway Occitanie. Suite logique : l’intéressé est interpellé. Mais explique alors aux enquêteurs avoir acheté ledit sac pour 250 € sur internet. Disant connaître la valeur de cet objet qu’il escomptait revendre 550 €, histoire de se faire une plus-value.
Il prétend avoir passé l’annonce via l’ordinateur d’un ami et trimballe les enquêteurs vers plusieurs domiciles, avant de finir par les conduire chez cet ami. Qui, comme lui, habite cette même résidence Saint-Charles. Et finit par avouer, comme son copain, avoir cambriolé l’appartement de la dame, sans effraction, en juin dernier.
Vol pour lequel la victime n’avait pas déposé plainte, malgré la disparition d’un appareil photo et d’un caméscope. Celle-ci pensant avoir oublié ses appareils chez un tiers.
Tirant à eux le fil de la pelote, les policiers découvrent, ensuite, la présence d’un troisième garçon, lui aussi résidant du lieu. Un jeune homme qui avait gardé les clés de l’appartement de la victime en son absence. Ceci expliquant qu’aucun ouvrant n’a été forcé.
Bouteilles de vin, VTT, bijoux et snowboards...
Poursuivant plus avant, les enquêteurs (ceux de la sûreté départementale et de la sécurité publique) vont alors mettre la main sur une partie du butin dérobé par le trio. Soit le résultat du cambriolage de six boxes de la résidence. Des garages dans lesquels ils ont dérobé, le 24 juillet, une centaine de bouteilles de vin, un VTT de marque, deux snowboards, un casque de moto, une paire de ski...
Avant, enfin, de retourner chez la première victime, le lendemain, pour lui subtiliser le fameux sac à main, un collier en or, une montre de luxe et d’autres bijoux.
À l’issue de leur garde à vue, les trois voleurs présumés ont été déférés au parquet, qui a ouvert une information judiciaire. Car hier encore, les policiers cherchaient à identifier la plupart des victimes.
http://www.midilibre.fr/2012/08/01/les-fils-de-bonnes-familles-cambriolaient-leurs-voisins,542515.php
Mont-de-Marsan : vol avec effraction dans une bijouterie du centre commercial Carrefour
La bijouterie Julien d'Orcel, une enseigne située dans la galerie commerciale de Carrefour, à Mont-de-Marsan, a été la cible d'un vol avec effraction dans la nuit de dimanche à lundi.
Il était environ 00 h 30 lorsque la porte d'entrée de la galerie marchande a été brisée. Malgré les caméras de vidéo surveillance et le déclenchement de l'alarme de protection, le ou les casseurs ont eu le temps de forcer la sécurité du rideau métallique de la bijouterie, de s'emparer du fond de caisse, puis de s'enfuir.
Le préjudice exact de ce vol avec effraction n'est pas encore connu puisque la gérante de la franchise montoise attendait de faire l'inventaire du magasin avant d'aller déposer plainte au commissariat. Quelques bijoux auraient néanmoins été emportés.
Une enquête de police a été ouverte. A noter que cette affaire intervient alors que les vols avec effraction sont en baisse de près de 10 % à l'échelle de la ville de Mont-de-Marsan et que le taux d'élucidation de ce commissariat est bien supérieur à la moyenne nationale, avec 32 % des enquêtes résolues.
http://www.sudouest.fr/2012/08/01/mont-de-marsan-vol-avec-effraction-dans-une-bijouterie-du-centre-commercial-carrefour-784586-3452.php
Il était environ 00 h 30 lorsque la porte d'entrée de la galerie marchande a été brisée. Malgré les caméras de vidéo surveillance et le déclenchement de l'alarme de protection, le ou les casseurs ont eu le temps de forcer la sécurité du rideau métallique de la bijouterie, de s'emparer du fond de caisse, puis de s'enfuir.
Le préjudice exact de ce vol avec effraction n'est pas encore connu puisque la gérante de la franchise montoise attendait de faire l'inventaire du magasin avant d'aller déposer plainte au commissariat. Quelques bijoux auraient néanmoins été emportés.
Une enquête de police a été ouverte. A noter que cette affaire intervient alors que les vols avec effraction sont en baisse de près de 10 % à l'échelle de la ville de Mont-de-Marsan et que le taux d'élucidation de ce commissariat est bien supérieur à la moyenne nationale, avec 32 % des enquêtes résolues.
http://www.sudouest.fr/2012/08/01/mont-de-marsan-vol-avec-effraction-dans-une-bijouterie-du-centre-commercial-carrefour-784586-3452.php
mercredi 1 août 2012
Braderie miraculeuse à la pompe: La station-service porte plainte
Un hypermarché de Montbéliard (Doubs) a déposé plainte après que 189 automobilistes ont fait le plein dans sa station-service, profitant d'un litre de gazole mystérieusement vendu à la pompe 25 centimes le litre, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.
Pour une raison qui reste à déterminer, deux pompes de la station-service du Cora de Montbéliard ont soudain affiché le litre de gazole à 0,25 euro au lieu de 1,396 euro, soit un prix en baisse de 82%, ont indiqué la direction du magasin et une source policière, confirmant une information du quotidien Le Pays.
Cette "aubaine" pour les automobilistes, survenue dans la nuit de lundi à mardi, a rapidement attiré un grand nombre de chalands, prévenus par le bouche-à-oreille, le téléphone portable ou les réseaux sociaux.
Une immense file d'attente s'est formée devant les pompes miraculeuses, amenant les services de sécurité de l'hypermarché à prévenir la police, puis à intervenir pour rétablir le prix correct. Un grand nombre de véhicules attendaient encore de pouvoir se servir au moment où l'erreur a été rectifiée.
En un plus de deux heures et demie, 10.000 à 11.000 litres de gazole sont partis à prix cassé, soit un manque à gagner de l'ordre de 12.000 euros pour le distributeur.
"Nous avons déposé plainte et nous cherchons à comprendre l'origine de ce dysfonctionnement", a indiqué Christophe Renard, de la direction du magasin.
"Pour le moment, nous n'avons pas d'éléments qui permettraient d'établir que les appareils ont été trafiqués", a observé le vice-procureur de Montbéliard, Lionel Pascal.
Rien ne pourra a priori être reproché sur le plan pénal aux consommateurs ayant profité de l'aubaine, "sauf à démontrer qu'ils avaient connaissance que l'appareil était trafiqué", a relevé le magistrat.
http://www.20minutes.fr/ledirect/980197/braderie-miraculeuse-pompe-station-service-porte-plainte
Pour une raison qui reste à déterminer, deux pompes de la station-service du Cora de Montbéliard ont soudain affiché le litre de gazole à 0,25 euro au lieu de 1,396 euro, soit un prix en baisse de 82%, ont indiqué la direction du magasin et une source policière, confirmant une information du quotidien Le Pays.
Cette "aubaine" pour les automobilistes, survenue dans la nuit de lundi à mardi, a rapidement attiré un grand nombre de chalands, prévenus par le bouche-à-oreille, le téléphone portable ou les réseaux sociaux.
Une immense file d'attente s'est formée devant les pompes miraculeuses, amenant les services de sécurité de l'hypermarché à prévenir la police, puis à intervenir pour rétablir le prix correct. Un grand nombre de véhicules attendaient encore de pouvoir se servir au moment où l'erreur a été rectifiée.
En un plus de deux heures et demie, 10.000 à 11.000 litres de gazole sont partis à prix cassé, soit un manque à gagner de l'ordre de 12.000 euros pour le distributeur.
"Nous avons déposé plainte et nous cherchons à comprendre l'origine de ce dysfonctionnement", a indiqué Christophe Renard, de la direction du magasin.
"Pour le moment, nous n'avons pas d'éléments qui permettraient d'établir que les appareils ont été trafiqués", a observé le vice-procureur de Montbéliard, Lionel Pascal.
Rien ne pourra a priori être reproché sur le plan pénal aux consommateurs ayant profité de l'aubaine, "sauf à démontrer qu'ils avaient connaissance que l'appareil était trafiqué", a relevé le magistrat.
http://www.20minutes.fr/ledirect/980197/braderie-miraculeuse-pompe-station-service-porte-plainte
Retrouvée dans la Marne, elle a succombé à une crise cardiaque
Portée sans nouvelle à partir du samedi soir, cette dame qui restait dans le quartier de la Fauvarge à Vitry-le-François, avait été retrouvée sans vie dans la Marne, à proximité de la station d'épuration.
Son corps avait probablement dérivé. Ses voisins ne l'avaient pas revue depuis le samedi 6 h 30 heures, à laquelle elle avait l'habitude de promener son petit chien, un Chitsue. Ce dernier était revenu seul de sa promenade en fin de journée dans l'immeuble de sa maîtresse. C'est en voyant le chien seul sur le palier que les voisins avaient prévenu la gendarmerie de la disparition inquiétante de cette dame qui travaillait par ailleurs pour la Ville puisqu'elle était agent territorial à l'école maternelle Louis-Pasteur. Et c'est un promeneur qui a retrouvé le corps de la victime.
L'autopsie pratiquée hier a révélé que la victime, qui vivait seule chez elle, était décédée à la suite d'une crise cardiaque. C'est après ce malaise qu'elle aurait chuté dans l'eau, précisément dans la Marne aux bords de laquelle elle avait l'habitude de promener son animal de compagnie. La victime, considérée comme une excellente nageuse par ses proches, n'est donc pas morte noyée puisque déjà décédée au moment de sa chute.
La sexagénaire, très appréciée dans le quartier, sera inhumée à 11 h 30 au cimetière du Midi de Vitry-le-François.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/retrouvee-dans-la-marne-elle-a-succombe-a-une-crise-cardiaque
Son corps avait probablement dérivé. Ses voisins ne l'avaient pas revue depuis le samedi 6 h 30 heures, à laquelle elle avait l'habitude de promener son petit chien, un Chitsue. Ce dernier était revenu seul de sa promenade en fin de journée dans l'immeuble de sa maîtresse. C'est en voyant le chien seul sur le palier que les voisins avaient prévenu la gendarmerie de la disparition inquiétante de cette dame qui travaillait par ailleurs pour la Ville puisqu'elle était agent territorial à l'école maternelle Louis-Pasteur. Et c'est un promeneur qui a retrouvé le corps de la victime.
L'autopsie pratiquée hier a révélé que la victime, qui vivait seule chez elle, était décédée à la suite d'une crise cardiaque. C'est après ce malaise qu'elle aurait chuté dans l'eau, précisément dans la Marne aux bords de laquelle elle avait l'habitude de promener son animal de compagnie. La victime, considérée comme une excellente nageuse par ses proches, n'est donc pas morte noyée puisque déjà décédée au moment de sa chute.
La sexagénaire, très appréciée dans le quartier, sera inhumée à 11 h 30 au cimetière du Midi de Vitry-le-François.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/retrouvee-dans-la-marne-elle-a-succombe-a-une-crise-cardiaque
Deux blessés graves dans un accident de parapente à Gréolières
Mardi, vers 12 h 30, un parapente biplace s'est abîmé sur le pré servant de zone d'atterrissage aux parapentes sur la commune de Gréolières.
Le moniteur, ainsi que son élève ont été gravement blessés lors de la chute.
Selon certains témoins sur place, le biplace aurait fait une chute d'une quinzaine de mètres et la voile du parapente se serait mise en torche durant la chute.
Le moniteur, un homme d'une quarantaine d'années, plus sérieusement touché, a été évacué par l'hélicoptère du SAMU vers l'hôpital Saint-Roch de Nice.
Son élève, âgé d'une trentaine d'années, a été également conduit à Saint-Roch par l'hélicoptère des pompiers.
Les deux blessés souffriraient de multiples traumatismes et de problèmes à la colonne vertébrale.
Pour le moment, les raisons exactes de l'accident ne sont pas encore connues. Défaillance technique ou humaine ?
Le moniteur était un homme chevronné.
Le vol ne présentait, a priori, aucune dangerosité compte tenu des conditions météorologiques au moment du décollage.
Les membres du peloton de gendarmerie de haute montagne, ainsi que des CRS sont intervenus pour secourir les deux hommes.
Troisième accident en dix jours
C'est le troisième accident de parapente en moins de dix jours dans le secteur grassois, dont l'un mortel.
Déjà, dimanche dernier, un homme de 51 ans avait dû faire face à un vent contraire l'obligeant à procéder à un atterrissage d'urgence.
C'est au moment où il s'est posé qu'il s'est sérieusement blessé au visage et au cuir chevelu.
Enfin, le 25 juillet, à Gourdon, Gérard Jullien, un Cagnois de 62 ans avait perdu la vie dans un crash de parapente dans des circonstances similaires.
http://www.nicematin.com/faits-divers/deux-blesses-graves-dans-un-accident-de-parapente-a-greolieres.949773.html
Le moniteur, ainsi que son élève ont été gravement blessés lors de la chute.
Selon certains témoins sur place, le biplace aurait fait une chute d'une quinzaine de mètres et la voile du parapente se serait mise en torche durant la chute.
Le moniteur, un homme d'une quarantaine d'années, plus sérieusement touché, a été évacué par l'hélicoptère du SAMU vers l'hôpital Saint-Roch de Nice.
Son élève, âgé d'une trentaine d'années, a été également conduit à Saint-Roch par l'hélicoptère des pompiers.
Les deux blessés souffriraient de multiples traumatismes et de problèmes à la colonne vertébrale.
Pour le moment, les raisons exactes de l'accident ne sont pas encore connues. Défaillance technique ou humaine ?
Le moniteur était un homme chevronné.
Le vol ne présentait, a priori, aucune dangerosité compte tenu des conditions météorologiques au moment du décollage.
Les membres du peloton de gendarmerie de haute montagne, ainsi que des CRS sont intervenus pour secourir les deux hommes.
Troisième accident en dix jours
C'est le troisième accident de parapente en moins de dix jours dans le secteur grassois, dont l'un mortel.
Déjà, dimanche dernier, un homme de 51 ans avait dû faire face à un vent contraire l'obligeant à procéder à un atterrissage d'urgence.
C'est au moment où il s'est posé qu'il s'est sérieusement blessé au visage et au cuir chevelu.
Enfin, le 25 juillet, à Gourdon, Gérard Jullien, un Cagnois de 62 ans avait perdu la vie dans un crash de parapente dans des circonstances similaires.
http://www.nicematin.com/faits-divers/deux-blesses-graves-dans-un-accident-de-parapente-a-greolieres.949773.html
L'escroc se faisait passer pour ébéniste
Les escrocs ne partent pas tous en vacances. La semaine dernière, une personne âgée qui se promenait dans une rue commerçante de Lavaur est accostée par un homme. Il se présente comme ébéniste travaillant aux meubles Cardelli, enseigne bien connue pour son sérieux dans la cité du Jacquemart. Il met l'octogénaire en confiance et lui explique qu'il faudrait qu'il vienne chez elle pour prendre les mesures d'un meuble, car son entreprise souhaite en fabriquer un autre, mais que les plans ont été égarés. La retraitée conduit donc le faux ébéniste jusqu'à son domicile situé dans le centre historique. Une fois sur les lieux, l'homme fait le tour du propriétaire.
Il fait remarquer à la brave dame qu'il y a de la sciure sous son lit et que donc le mobilier doit être attaqué par la vermine. Il s'inquiète ensuite de l'état de la literie. Justement, la personne âgée souhaite changer de matelas. Pas de problème. Le filou est aussi expert en la matière. Il lui demande 400 euros, en espèces bien entendu, pour bénéficier d'un matelas unique, exceptionnel.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/01/1411004-lavaur-l-escroc-se-faisait-passer-pour-ebeniste.html
Il fait remarquer à la brave dame qu'il y a de la sciure sous son lit et que donc le mobilier doit être attaqué par la vermine. Il s'inquiète ensuite de l'état de la literie. Justement, la personne âgée souhaite changer de matelas. Pas de problème. Le filou est aussi expert en la matière. Il lui demande 400 euros, en espèces bien entendu, pour bénéficier d'un matelas unique, exceptionnel.
«Cette mésaventure s'était déjà produite»
La retraitée ne dispose pas de cette somme. Qu'à cela ne tienne, il lui propose de l'accompagner à la banque. Mais toute cette histoire à dormir debout, commence à inquiéter la retraitée. Elle sort de chez elle, laissant l'homme dans son domicile. Au lieu d'aller à la banque, elle passe d'abord aux établissements Cardelli. Elle raconte la situation et le vendeur décide de raccompagner la dame à sa maison. Le matelas est déjà sur la terrasse, mais l'individu a déguerpi. «Cette mésaventure s'est déjà produite par le passé. Nous rappelons que nous n'intervenons jamais au domicile des clients. Il y a usurpation d'identité», indique Thérèse Hebra, la gérante des meubles Cardelli. À la police municipale, on renouvelle les conseils de prudence : ne pas ouvrir la porte à n'importe qui, vérifier l'identité et la qualité du démarcheur en lui demandant sa carte professionnelle et prévenir au moindre doute la gendarmerie ou la police.http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/01/1411004-lavaur-l-escroc-se-faisait-passer-pour-ebeniste.html
Du cannabis dans la caserne : quatre pompiers en garde à vue
Au lendemain du placement en garde à vue (prolongée jusqu’à ce matin) d’un sapeur-pompier professionnel du centre de secours de La Grande-Motte, suspecté d’avoir introduit du cannabis au sein de la caserne, les gendarmes de la brigade de recherche de Lunel ont placé, hier matin, trois autres sapeurs sous ce même régime.
Trois hommes soupçonnés, eux aussi, d’avoir consommé la dite drogue sur leur lieu de travail.
Perquisitions aux domiciles
Dans la foulée, les militaires ont mené des perquisitions à leur domicile respectif à Aigues-Mortes, Villeneuve-lès-Maguelone, puis au Bousquet-d’Orb où l’un des trois hommes vit avec sa compagne, elle aussi pompier à La Grande-Motte.
Il semble, pour la petite histoire, que cette dernière aurait, hier matin, alors qu’elle était de garde, prétexté ne pas se sentir bien avant de quitter son poste pour tenter de rallier son domicile et y faire place nette.
Une information parvenue entre-temps jusqu’aux oreilles des enquêteurs qui ont, via un coup de fil, convaincu la dame de faire demi-tour et de se présenter à la brigade. Les gendarmes ont ensuite découvert chez elle plusieurs grammes d’herbe ainsi que quelques dizaines de graines de culture.
On sait enfin que les quatre pompiers mis en cause doivent être déférés au parquet dès ce matin. Les investigations se poursuivent, notamment pour tenter de remonter jusqu’aux personnes à l’origine des vols commis ces derniers mois à la caserne. Des vols qui ont déclenché l’enquête de gendarmerie et les stupéfiantes découvertes qui en ont découlé.
Chose tout aussi certaine : l’usage de cannabis était monnaie courante depuis des années au sein du centre de secours. Un fait porté à la connaissance de la hiérarchie du Service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault. Mais ce secret de Polichinelle n’a jamais entraîné le moindre contrôle...
http://www.midilibre.fr/2012/07/31/cannabis-quatre-pompiers-en-garde-a-vue,542052.php
Trois hommes soupçonnés, eux aussi, d’avoir consommé la dite drogue sur leur lieu de travail.
Perquisitions aux domiciles
Dans la foulée, les militaires ont mené des perquisitions à leur domicile respectif à Aigues-Mortes, Villeneuve-lès-Maguelone, puis au Bousquet-d’Orb où l’un des trois hommes vit avec sa compagne, elle aussi pompier à La Grande-Motte.
Il semble, pour la petite histoire, que cette dernière aurait, hier matin, alors qu’elle était de garde, prétexté ne pas se sentir bien avant de quitter son poste pour tenter de rallier son domicile et y faire place nette.
Une information parvenue entre-temps jusqu’aux oreilles des enquêteurs qui ont, via un coup de fil, convaincu la dame de faire demi-tour et de se présenter à la brigade. Les gendarmes ont ensuite découvert chez elle plusieurs grammes d’herbe ainsi que quelques dizaines de graines de culture.
On sait enfin que les quatre pompiers mis en cause doivent être déférés au parquet dès ce matin. Les investigations se poursuivent, notamment pour tenter de remonter jusqu’aux personnes à l’origine des vols commis ces derniers mois à la caserne. Des vols qui ont déclenché l’enquête de gendarmerie et les stupéfiantes découvertes qui en ont découlé.
Chose tout aussi certaine : l’usage de cannabis était monnaie courante depuis des années au sein du centre de secours. Un fait porté à la connaissance de la hiérarchie du Service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault. Mais ce secret de Polichinelle n’a jamais entraîné le moindre contrôle...
http://www.midilibre.fr/2012/07/31/cannabis-quatre-pompiers-en-garde-a-vue,542052.php
Libourne : les agresseurs du commerçant écroués
Deux jours après les faits, trois des quatre agresseurs du commerçant de la boutique Cycles Campaners à Libourne ont été condamnés à douze mois de prison dont trois ferme et avec mise à l'épreuve, hier, à l'issue de l'audience devant le tribunal correctionnel de Libourne dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate. Le trio a été conduit à la maison d'arrêt de Gradignan. Le quatrième comparse, mineur de 17 ans, originaire de Trappes, en région parisienne, sera convoqué très vite devant un juge des enfants. Les trois agresseurs habitant Libourne qui ont comparu devant le tribunal sont âgés de 21 à 23 ans.
Samedi, vers 15 h 15, les agresseurs ont pénétré dans la boutique de Stéphane Germain, avenue de l'Epinette. Parmi eux, une jeune femme a soudain aspergé le gérant du magasin de gaz lacrymogène. Celui-ci a d'abord tenté de poursuivre la jeune femme mais a dû s'arrêter pour se rincer les yeux. C'est précisément à ce moment que l'un d'entre eux s'est emparé d'un vélo tout terrain dont la valeur est estimée à 2 000 euros et a pris la fuite sur le deux-roues. Les trois autres se sont enfuis à bord d'une voiture garée tout près. « Tout est allé très vite car ils étaient venus repérer le vélo trois quarts d'heure avant », précise le commerçant, seul dans le magasin au moment des faits. Les jeunes, connus des services de police, ont été interpellés dès le lendemain matin par les gendarmes de la compagnie de Libourne.
Un dispositif exceptionnel
L'enquête a été rapidement menée grâce à une précieuse collaboration entre la police municipale et la gendarmerie. Un portrait-robot avait été dressé grâce aux détails fournis par la victime. La police municipale a ainsi pu reconnaître trois jeunes résidant à Libourne et connus de leurs services.
Les gendarmes de la brigade de Libourne et de la brigade des recherches ainsi que le Peloton de surveillance et d'intervention (Psig) ont mené les investigations qui leur ont permis de confondre les auteurs présumés de l'agression. Dimanche matin, la bombe lacrymogène ainsi que quelques pièces du vélo ont été retrouvées au domicile de trois des suspects qui ont été interpellés. Le quatrième l'a été un peu plus tard. Tous ont été placés en garde à vue avant d'être déférés au parquet.
Le VTT, vendu pour 100 euros en pièces détachées à une personne de Fronsac, a été récupéré et restitué au commerçant.
http://www.sudouest.fr/2012/07/31/les-agresseurs-du-commercant-ecroues-783144-2966.php
Samedi, vers 15 h 15, les agresseurs ont pénétré dans la boutique de Stéphane Germain, avenue de l'Epinette. Parmi eux, une jeune femme a soudain aspergé le gérant du magasin de gaz lacrymogène. Celui-ci a d'abord tenté de poursuivre la jeune femme mais a dû s'arrêter pour se rincer les yeux. C'est précisément à ce moment que l'un d'entre eux s'est emparé d'un vélo tout terrain dont la valeur est estimée à 2 000 euros et a pris la fuite sur le deux-roues. Les trois autres se sont enfuis à bord d'une voiture garée tout près. « Tout est allé très vite car ils étaient venus repérer le vélo trois quarts d'heure avant », précise le commerçant, seul dans le magasin au moment des faits. Les jeunes, connus des services de police, ont été interpellés dès le lendemain matin par les gendarmes de la compagnie de Libourne.
Un dispositif exceptionnel
L'enquête a été rapidement menée grâce à une précieuse collaboration entre la police municipale et la gendarmerie. Un portrait-robot avait été dressé grâce aux détails fournis par la victime. La police municipale a ainsi pu reconnaître trois jeunes résidant à Libourne et connus de leurs services.
Les gendarmes de la brigade de Libourne et de la brigade des recherches ainsi que le Peloton de surveillance et d'intervention (Psig) ont mené les investigations qui leur ont permis de confondre les auteurs présumés de l'agression. Dimanche matin, la bombe lacrymogène ainsi que quelques pièces du vélo ont été retrouvées au domicile de trois des suspects qui ont été interpellés. Le quatrième l'a été un peu plus tard. Tous ont été placés en garde à vue avant d'être déférés au parquet.
Le VTT, vendu pour 100 euros en pièces détachées à une personne de Fronsac, a été récupéré et restitué au commerçant.
http://www.sudouest.fr/2012/07/31/les-agresseurs-du-commercant-ecroues-783144-2966.php
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