jeudi 31 mai 2018

La recette de la sole meunière aux petits pois frais

L'adieu à Pierre Bellemare

Maine-et-Loire: un homme décapité chez lui

Un homme de 64 ans a été découvert chez lui, à Châtelais dans le Maine-et-Loire mardi dernier, décapité. Sa tête a été retrouvée dans le jardin selon des informations du Courrier de l'Ouest.
Une enquête confiée à la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Segré a été ouverte. Mais aucun élément n'a pour l'instant orienté les enquêteurs vers une piste criminelle selon le Courrier de l'Ouest. Toutefois, "toutes les pistes sont étudiées, rien n'est exclu" a indiqué une source proche de l'enquête. Selon le journal toujours, l'homme serait mort naturellement. L'hypothèse la plus probable serait que, le chien du sexagénaire aurait pu commencer à dévorer le cou de son maitre. Cela expliquerait la disposition de la tête de la victime détachée du tronc.
  1. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

Distributeurs de billets attaqués à l’explosif en Lorraine et Franche-Comté : huit prévenus muets

Premier jour de procès dans une retentissante affaire d’attaques de distributeurs à billets. Depuis ce mercredi comparaissent, au tribunal correctionnel de Nancy, six individus soupçonnés d’avoir tenté - et réussi à deux reprises en 2015 à Puttelange-aux-Lacs (57) et Frasne (25) - de braquer des distributeurs automatiques de billets (DAB) en les faisant sauter à l’aide d’explosifs. Outre les sommes dérobées, dont le montant total est estimé à un peu moins de 100 000 euros, les prévenus sont également soupçonnés d’avoir volé de nombreux véhicules, des plaques d’immatriculation ainsi que du matériel nécessaire à la réalisation de leurs forfaits. Ceci dans tout le quart nord-est, en Alsace, Lorraine, Franche-Comté, Bourgogne et Champagne-Ardenne. Alors que le procès était initialement prévu au mois de mars, un vice de procédure soulevé par l’une des avocates avait entraîné son renvoi.
« Le mode opératoire est similaire dans au moins huit cas. Les plaques d’immatriculation volées brouillaient les pistes dans le but de préparer les autres délits. Elles leur permettaient de voler une voiture, sans faire partie de la liste des véhicules recherchés, avant de commettre les tentatives de vol des DAB », détaillait hier le président du tribunal correctionnel, Didier Gastaldi, égrenant en début d’audience la longue liste des faits reprochés aux prévenus.

Surveillances et relevés d’ADN

Trois d’entre eux, dont deux frères installés dans les Vosges, comparaissent alors qu’ils sont maintenus en détention provisoire depuis leur interpellation en novembre 2015. La justice reproche au trio plus de 70 délits au cours de cette même année, allant du vol en bande organisée à la dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux. Les cinq autres accusés, quatre hommes et une femme, comparaissent libres. Trois sont soupçonnés d’avoir activement participé aux braquages des DAB tandis que les deux autres, dont l’épouse de l’un des prévenus maintenu en détention, sont poursuivis pour « non-justification des ressources » et « refus d’obtempérer ». Interrogés hier par le président Gastaldi, tous ont fait valoir leur droit au silence. Aucun n’a souhaité apporter d’éléments de réponse. Lors de l’instruction, les trois principaux prévenus, déjà condamnés à plusieurs reprises dans le passé, avaient globalement contesté les faits.
L’enquête se base sur un travail de longue haleine, qui avait débuté à la suite d’un appel anonyme reçu par les forces de l’ordre. Une véritable traque avait alors été lancée dans tout le grand Est. Plusieurs véhicules employés pour la préparation des casses ou leur réalisation avaient été équipés de micros et de balises, permettant ainsi aux enquêteurs de géolocaliser et suivre les déplacements des auteurs présumés. Des relevés d’ADN et des photographies avaient également été réalisés. Diligentée par la Juridiction interrégionale spécialisée de Nancy (JIRS), une information judiciaire avait été ouverte en 2015, suite à la « recrudescence des attaques de DAB dans le grand Est ». Jusqu’à l’arrestation en novembre, du gang présumé. Le procès se poursuit ce jeudi.


mercredi 30 mai 2018

Meurtre d'un enfant dans l'Aisne : le suspect décrit comme "marginal"

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Hier un homme de 27 ans a été placé en garde à vue après la découverte du corps "dénudé" d'un enfant de 9 ans, probablement violé, dans un village de l'Aisne. La dépuille a été retrouvée sous des orties et une palette de bois. Il n'avait plus sur lui que ses chaussettes et son tee-shirt, relevé au cou.
Le suspect, décrit comme "marginal"  habite dans le même village rural d’environ 230 habitants à 30 km à l’est de Saint-Quentin. Une perquisition a eu lieu à son domicile.
Selon un enquêteur, il a été vu en compagnie du garçon et d’un adolescent qui cueillaient des fruits dans le village.

Il refuse de s'exprimer

D'après Le Parisien, l'homme entendu par la police se nomme Jonathan M. et "refuse totalement de s’exprimer sur les faits", précise une source proche de l’affaire au quotidien.
Le périodique donne également le prénom de la victime, Tom, ainsi que d'Alexandre, son ami de 13 ans qui jouait avec lui juste avant le drame.
Jonathan M. est sans emploi, vit dans un logement social du village et a comme signe distinctif une crête rose en guise de coiffure.
Il est connu pour des faits "mineurs" de droit commun et n’est pas inscrit au Fichier judiciaire des auteurs d’infractions sexuelles (Fijais).

Le suspect avait participé aux battues

D'abord interrogé en tant que témoin, Jonathan M. a même participé aux battues entreprises pour retrouver le petit garçon.
Selon sa page Facebook, l'homme interpellé se présente comme un "sataniste luciférien".
Prolongement de la garde à vue

La garde à vue de Jonathan M. a été prolongée ce mercredi.
Une autopsie du corps de Tom a été pratiquée mardi en fin de journée.
Le procureur de Laon devrait tenir une conférence aux alentours de 17H30 ce mercredi.
A la Une https://www.dna.fr/

Le SOS des parents de Loïs, une petite fille atteinte d'un cancer

Je suis courageuse, tu sais ! » Du courage, la petite Loïs en a effectivement à revendre. Cette petite fille de 3 ans et demi affiche un sourire craquant et une extraordinaire énergie. Malgré les passages à l’hôpital de Brabois. Malgré les séances de chimiothérapie qu’elle doit encaisser. Malgré ses cheveux qui se font rares.
Sa vie a basculé le 18 février dernier. « Jamais nous n’oublierons cette date », confient ses parents, Valérie Vivier et Tony Deram. Ce jour-là, ce couple de surveillants de prison de Maxéville a appris que Loïs avait un cancer. Un neuroblastome métastatique, pour être précis.
« Il s’agit d’une tumeur entre le foie et le rein qui envoie des métastases dans la moelle épinière », décrit Valérie Vivier. La maladie est classée en plusieurs stades. Sa fille est touchée par le quatrième. Le plus grave. « Elle était, au départ, en urgence vitale. Car elle une tumeur de la taille d’un pamplemousse. Le traitement a heureusement réussi à la réduire », confie la mère de Loïs.
La petite fille doit être opérée dans quelques jours afin de lui ôter ce qu’il reste de la tumeur. Elle devra ensuite subir une chimiothérapie intensive et vivre durant des semaines dans une chambre stérile. Puis sont prévus des séances de radiothérapie ainsi qu’un traitement d’immunothérapie. Le chemin de croix médical doit encore durer plus d’un an.
Les parents ont cumulé tous leurs congés pour être au chevet de leur fille. Mais ils vont bientôt arriver au bout de leur stock. Emus par leur histoire, de nombreux surveillants ont alors décidé de leur faire don de jours de congé ou de RTT.

90 jours pas plus

Mais cela ne suffira pas. L’élan de solidarité était pourtant très fort. « Des collègues de Metz voulaient participer mais cela n’a pas été possible. Et à Nancy, la direction a bloqué les dons à deux jours par agent », soupirent les parents de Loïs. Ils se heurtent, en effet, à un problème légal. Un décret limite le nombre de jours qu’un fonctionnaire peut recevoir à 90.
« Alors que dans le privé, il n’y a pas de limite », s’étonne la maman de Loïs qui devrait en théorie reprendre le boulot en octobre prochain. « Il a été décidé que la mère et le père prennent leurs 90 jours l’un après l’autre. Ce qui leur permettra d’accompagner leur fille jusqu’à la fin de l’année. Ensuite, nous verrons comment évolue leur situation », indique le service communication de la direction interrégionale de l’administration pénitentiaire.
Mais Valérie Vivier ne se voit pas retravailler tant que sa petite fille n’est pas tirée d’affaire : « C’est inimaginable ! » Son compagnon a proposé de lui donner ses 90 jours. La réponse a été également non.
Le couple de surveillants a protesté en envoyant un courrier à la direction interrégionale, au directeur national de la pénitentiaire et à l’agence régionale de la santé. « Mais nous n’avons pas eu de réponse », déplorent les parents de Loïs qui veulent se tourner vers leur député et la ministre de la Justice.
En attendant, ils ont reçu le soutien de la responsable de FO Pénitentiaire, Fadila Doukhi, qui ne mâche pas ses mots : « Ils ont toujours été assidus et volontaires dans leur boulot. Pour une fois, ils demandent quelque chose à l’administration et celle-ci ne répond pas présent. Ce n’est pas normal. Surtout que cela ne coûterait rien d’accepter plus de dons de congés ». Mais le règlement reste le règlement et pas question, pour l’instant, de tolérer une exception.

mardi 29 mai 2018

Lens : disparition inquiétante de Théo, 14 ans, la police lance un appel à témoins

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Théo, 14 ans, n'a plus donné signe de vie depuis son retour d'une discothèque en centre-ville de Lens dimanche à l'aube. La police, qui a ouvert lundi une enquête pour disparition inquiétante, lance un appel à témoins. 
La police de Lens a ouvert lundi une enquête suite à disparition inquiétante de Théo, 14 ans, qui n'a plus donné signe de vie depuis dimanche matin. C'est sa mère qui l'a vu pour la dernière fois vers 5h30. Il venait de rentrer au domicile famial avec un ami en centre-ville de Lens, de retour de la discothèque "Le Purple". Théo a annoncé à sa mère qu'il raccompagnait son ami chez lui et il n'est pas réapparu depuis, indiquent les enquêteurs. 

Son ami, qui habite non loin de chez l'adolescent, a déclaré avoir discuté quelques instants avec lui avec lui avant de le quitter. Théo n'a pas de moyen de paiement, et son téléphone est coupé.


Appel à témoins

Au moment de sa disparition, Théo était vêtu d'un jeans anthracite, d'un tee-shirt noir, de baskets "NIKE" vertes et blanches et il porte habituellement une chevalière en métal blanc à l'annulaire droit.

Théo est de type européen et de corpulence mince. Il mesure 1m80 et ses cheveux sont châtains frisés sur le dessus.

Toute personne susceptible de fournir des renseignements au sujet de cette disparition est priée de prendre contact avec l'hôtel de Police de Lens au 03.21.13.51.31 ou 03.21.13.52.47 (heures ouvrables) ou au 03.21.13.50.83 en dehors des heures ouvrables.


Lenshttps://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/pas-calais/lens

Saône-et-Loire: 17 blessés dans la collision d'un car et d'un camion

Le chauffeur d'un car a été grièvement blessé aujourd'hui en milieu de journée et 16 passagers plus légèrement dans la collision de leur véhicule avec la remorque d'un camion sur une route départementale à Gilly-sur-Loire (Saône-et-Loire), a appris l'AFP de sources concordantes.
L'accident s'est produit aux environs de 13H30. La remorque d'un camion a percuté le car "à l'emplacement du chauffeur", dans des circonstances qui restent à déterminer, a indiqué à l'AFP Hélène Geronimi, sous-préfète de Charolles.
La collision s'est produite dans un virage "avec chaussée humide", a-t-elle précisé. Le blessé grave a été évacué à Dijon par un hélicoptère du Samu, tandis que les blessés légers étaient accueillis dans la salle des fêtes de la commune voisine de Saint-Aubin-sur-Loire où un poste médical avancé a été installé. Les 37 passagers du bus étaient des employés d'une entreprise de Bourbon-Lancy, commune située à une dizaine de kilomètres.
  1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/


Obus : le vendeur toujours en garde à vue

Dimanche matin, Gérard Jacquet, un habitant de Damelevières, est décédé après avoir manipulé des obus. Il avait acheté ces vieilles munitions de guerre à un brocanteur de 49 ans, originaire d’un village du Bayonnais, sur son stand à Roville-devant-Bayon. « Je connais un peu cet homme car je cherche de temps en temps, pour un ami, du militaria (terme utilisé par les collectionneurs qui désigne tout objet témoignant de l’activité militaire de tous les pays et de toutes les époques). Mais je ne touche pas aux munitions. La législation est trop lourde et à démilitariser, ça coûte cher », témoigne un chineur de Lunéville. « Je croise ce brocanteur souvent dans les vide-greniers du secteur. Il récupère beaucoup, vide des maisons… Il y a de tout sur son stand mais je ne pensais pas qu’il vendait ce genre d’objets encore actifs ».
Sur le flyer d’une manifestation en juin à Lunéville, on peut lire dans le règlement : la vente d’arme blanche ou à percussion est prohibée. « Ce n’était pas stipulé dans le nôtre », explique Bernard Genin. La nôtre ? Celle où se sont croisés la victime et le vendeur. Ce point manquant ne soustrait personne à la réglementation interdisant toute vente ou possession d’arme si elles ne sont pas neutralisées. Le commandant Pasquier-Bernachot, patron de la compagnie de gendarmerie de Lunéville, explique : « D’une manière générale, ces munitions sont plus dangereuses maintenant à la suite des effets du temps. Les explosifs contenus peuvent devenir instables. Visuellement un néophyte ou même quelqu’un d’averti ne peut faire la différence entre un obus chargé ou inerte. La seule conduite à tenir est d’appeler la gendarmerie ou la mairie ».

Pas un apprenti sorcier »

Pour les besoins de l’enquête, « le mis en cause est toujours dans nos locaux », précise le commandant. Une décision du parquet devrait tomber aujourd’hui, à l’issue des 48 heures de garde à vue.
A Damelevières, le maire Christophe Sorel se dit surpris : « Gérard Jacquet était une personne minutieuse, rigoureuse et attentive dans tout ce qu’il faisait. Cet accident n’est pas l’œuvre de quelqu’un qui a joué à l’apprenti sorcier. J’ai eu des échanges avec des proches ». Le corps du défunt reposerait toujours à l’institut médico-légal de Nancy.


Prévisions Météo-France du 29 au 31 mai 2018

lundi 28 mai 2018

Gironde: le corps d'un bébé découvert

Le corps d'un nourrisson, qui serait né voici plusieurs semaines, a été découvert hier dans une maison de Saint-Seurin-sur-l'Isle près de Libourne (Gironde), et sa mère a été hospitalisée, son état n'étant pas compatible avec une garde à vue, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes. L'alerte a été donnée hier soir aux gendarmes par un couple demeurant à Saint-Seurin. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme, incommodé par des odeurs, aurait fouillé partout et découvert le corps d'un nouveau-né, dissimulé dans un sac-à-dos sous un canapé, a-t-on précisé de source proche de l'enquête.
L'enfant serait celui de la soeur, âgée d'une vingtaine d'années, de la femme du couple, qui était hébergée à leur domicile depuis plusieurs mois. Cette jeune femme, après un déni de grossesse, pourrait avoir accouché en mars, a-t-on précisé de même source. Une autopsie du corps du nourrisson devait être pratiquée lundi. La jeune mère, en état de choc, a été hospitalisée et devait subir des examens, son état n'étant dans un premier temps compatible avec une garde à vue, a-t-on précisé auprès du parquet de Libourne.
  1. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

Alerte Orange Orages

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Nationale 2 infos



L'OISE - L'AISNE - PARIS ET L'ÎLE DE FRANCE EST EN ALERTE ORANGE ORAGES À PARTIR DE 18H00
Evolution prévue :
Avec la hausse des températures, quelques orages isolés peuvent se développer en cours d'après-midi, mais c'est surtout en début de soirée que la situation orageuse devient plus intense.
Des orages plus violents vont se développer d'abord sur le sud de l'Aisne avec une forte activité électrique et de la grêle, puis se propager sur l'ensemble de la zone.
Avec ces orages des cumuls de précipitations de 30 à 50 mm voire très localement 60 mm sont à craindre. Les rafales de vents en revanche ne devraient pas dépasser 60 à 70 km/h.
L'activité orageuse devient plus faible en cours de nuit.

Grand-Charmont : les dessous d’un sordide enlèvement

Tout commence donc, vendredi vers 22 h, lorsque des riverains préviennent les gendarmes à la vue d’un jeune homme errant à moitié nu dans les rues de Grand-Charmont et visiblement mal en point. Mais l’intéressé n’entend manifestement pas s’épancher sur ce qui lui est arrivé.
Il prétend avoir fait le déplacement depuis Montbéliard toute proche au motif d’un rendez-vous avec une fille. Dont il ne se rappelle plus le nom, ni l’endroit où il était censé la retrouver. Certitude : il a bien été battu. Et compte tenu des antécédents du garçon, qui a notamment effectué un séjour en prison et fut condamné pour violences et séquestration, se profile alors la perspective d’un règlement de compte. Et, quelque part, les faits vont donner en partie raison à cette hypothèse. Puisque c’est au motif qu’ils le soupçonnent d’avoir eu des gestes déplacés à l’égard d’une fillette de 6 ans que quatre personnes vont lui tendre un véritable guet-apens.
Vendredi soir en effet, le jeune Montbéliardais est convié à un barbecue en bas d’un immeuble du quartier sensible des Fougères, à Grand-Charmont. Il y a là un couple. Monsieur, connu de la justice, est âgé de 38 ans. Madame, 25 ans, est la mère de trois enfants en bas âge, dont la petite fille qui se serait donc récemment confiée sur les agissements du jeune homme qui s’apprête à vivre un calvaire.
Il y a là aussi le frère de Madame, 18 ans. Et un mineur de 17 ans. À l’origine de la présence de la victime. Ce dernier, cependant, ne semble pas savoir ce qu’il se prépare. Mais il va être contraint de participer au déchaînement de violences.
Au motif d’un besoin de bois, tout ce petit monde s’enfonce dans le bois attenant. Et une fois les premières habitations suffisamment loin, le jeune Montbéliardais est alors battu. Notamment à coup de bâtons. Il est dénudé. Frappé encore aux parties génitales. Brûlé avec des cigarettes. Aspergé de vodka. Attaché à un arbre avec un câble d’antenne et abandonné. Bien qu’il refuse dans un premier temps de coopérer, la victime livre finalement le nom de ses agresseurs. Lesquels sont interpellés samedi après-midi. Ce dimanche, leur garde à vue pour enlèvement, séquestration et violences en réunion a été prolongée.
Si les trois hommes reconnaissent leur implication, justifiant ce déchaînement de violences par de présumés gestes à caractère pédophile de la part de la victime à qui 21 jours d’interruption totale de travail ont été délivrés, ce que les enquêteurs vont s’attacher à définir en entendant la fillette, la maman, elle, conteste avoir été présente sur les lieux. Ce qui ne colle pas avec les éléments de l’enquête.
Ce lundi, le quatuor sera présenté devant le parquet. En vue d’une comparution immédiate le lendemain.