lundi 26 novembre 2018

Communiqué des Gilets jaunes nommant leur délégation Huit personnes nommées pour les représenter




Huit personnes nommées pour les représenter

Ce lundi 26 novembre, les « gilets jaunes » ont diffusé un communiqué annonçant la création d'une délégation officielle de  huit personnes.

Cette dernière a pour mission de prendre contact avec les représentants de l'État et de son gouvernement et également faciliter la communication entre les manifestants.

Cette délégation demande a être reçue « dans un délai raisonnable » par le président de la République Emmanuel Macron, avec Edouard Philippe, Premier ministre et les membres du gouvernement.

Leur message se repose sur plusieurs propositions principales telles que : revoir à la baisse toutes les taxes, la création d’une assemblée citoyenne pour débattre des thèmes de la transition écologique, la prise en compte de la voix des citoyens, l’augmentation du pouvoir d’achat ou encore la précarité.


dimanche 25 novembre 2018

Salmonelle: retrait de reblochons, 14 personnes touchées



La Fromagerie de la Tournette en Haute-Savoie a lancé une opération de retrait de reblochons entiers et de demi-reblochons au lait cru suite à des cas d'infection à la salmonelle constatés chez 14 personnes, selon l'entreprise et des sources administratives. La fromagerie basée à Fillinges (Haute-Savoie), a décidé "par mesure de précaution de retirer de la vente et de rappeler certains reblochons entiers et demi reblochons au lait cru fabriqués sur notre site", a-t-elle indiqué samedi dans un communiqué.
Santé publique France, l'agence publique chargée de protéger la santé des populations, a indiqué dimanche que 14 personnes résidant en Haute-Savoie avaient été victimes d'une salmonelle après avoir consommé du fromage issu de cette laiterie. "Toutes ces personnes, toutes adultes, vont bien maintenant", a-t-elle indiqué. "Les investigations se poursuivent auprès d'autres personnes ayant présenté cette même salmonelle", a-t-elle précisé. Les toxi-infections alimentaires causées par les salmonelles se traduisent par des troubles gastrointestinaux souvent accompagnés de fièvre dans les quarante huit heures qui suivent la consommation des produits contaminés. Ces symptômes peuvent être aggravés chez les jeunes enfants, les sujets immunodéprimés et les personnes âgées.
Les lots retirés par la Fromagerie de la Tournette portent la marque sanitaire FR 74.128.050 CE. Leurs dates limites de consommation sont comprises entre le 17 novembre et le 16 décembre. La fromagerie recommande "aux personnes qui détiendraient des produits concernés de ne pas les consommer et de les détruire, ou de les rapporter au point de vente afin d'obtenir un remboursement". Les lots ont été commercialisés sous plusieurs marques, dont "Reflets de France", une marque du groupe Carrefour, et Metro Chef (groupe Metro). La détaillée des marques concernées, avec les dates limite de consommation afférentes, est disponible via l'adresse "http://agriculture.gouv.fr/risque-de-contamination-par-une-salmonelle-par-precaution-rappel-de-reblochons-de-la-societe". La fromagerie a ouvert un numéro vert pour les consommateurs, le 0800 94 01 64, accessible de 8h à 19h.
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jeudi 15 novembre 2018

Baisse des Températures la semaine prochaine !




Baisse des Températures la semaine prochaine !

Des dizaines de milliers de Lorrains annoncent, sur les réseaux sociaux, leur intention de bloquer "leur secteur" le 17 novembre

L’appel à la manifestation leur a parlé immédiatement. Comme un souffle qui manquait à un feu couvant. Ils portent depuis des jours le gilet jaune, ou l’ont posé fièrement sur le tableau de bord de leur véhicule. Christian, Laurie, Stéphanie, Gilbert y seront, le 17 novembre. Comme des dizaines de milliers de Lorrains qui annoncent sur les réseaux sociaux leur intention de participer à un mouvement citoyen qui pourrait paralyser le pays.
Le prix de l’essence n’est que la partie visible d’un malaise « plus profond », disent les gilets jaunes rencontrés sur la route. Un prétexte pour dire ce qu’ils ont sur le cœur. « Je vais exprimer un ras-le-bol de tout », annonce Christian. « J’ai le sentiment que les politiques se fichent de nous. Ça devient insupportable. Il faut leur faire savoir. » Pas manifestant dans l’âme, le retraité meurthe-et-mosellan se rendra à Metz, sans doute à moto. Il roulera avec sa situation personnelle dans la musette. Celle d’un homme qui a travaillé toute sa vie et qui « vit à crédit à partir du 20 du mois. Ce n’est pas normal. Cette année, nous avons pris, avec ma femme, 500 litres de fioul que l’on paie en deux fois. On aurait bien pris 1 000 litres… »
Sur la même tonalité, celle de l’exaspération, Sophie, qui manifestera à Verdun samedi, soupire : « Comme beaucoup, je suis écœurée. J’en ai ras le bol de travailler pour rien. » Partout en Lorraine, des femmes et des hommes ne se connaissant pas se sont retrouvés autour de la même amertume pour préparer le 17 novembre.
Une trentaine de gilets jaunes se sont ainsi retrouvés au plan d’eau de Remiremont pour mettre au point le blocage de la ville. « J’ai 54 ans. C’est la première fois de ma vie que je vais manifester », assure une participante.
Stéphanie a coché la date du 17 novembre. Elle se rendra sur un lieu de rassemblement à Saint-Avold. « Je suis favorable au mouvement, à l’idée de pousser un coup de gueule, parce qu’on n’en peut plus. Je me suis quand même interrogée sur l’opportunité d’un blocage général », dit cette jeune maman de 24 ans. « Ça va embêter tout le monde. Mais je ne vois pas d’autres solutions. C’est navrant, mais que faire d’autre ? »
Meneuse d’un groupe qui s’était déjà montré actif dans la fronde contre le passage aux 80 km/h, Laurie ira sur une zone commerciale : « Nous sommes apolitiques, ce qui nous importe, c’est le peuple. On sera présent en nombre, je pense. 12 000 personnes sont inscrites sur la page Facebook. À 500, on pourra tout bloquer. » Sans aucun risque de débordement, pense-t-elle. « Dans notre groupe, il y a des infirmiers, des ambulanciers, des pompiers, des gens capables de faire la sécurité aussi. Tout sera fait pour que ça se passe bien. » Lors des distributions de tracts, elle a pu mesurer que le mouvement ne faisait pas l’unanimité. Elle avoue son incompréhension : « Des personnes se moquent de payer plus de taxes. Je ne comprends pas du tout… Ils ne doivent pas connaître de gens qui vivent avec 1 100 € par mois. »


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mardi 13 novembre 2018

Guerpont (55) : un corps repêché dans le canal

Le corps d’un homme âgé de 86 ans a été retrouvé ce lundi soir dans le canal de la Marne-au-Rhin à hauteur de l’écluse n° 29, située sur la commune de Guerpont. Sa voiture a été découverte à proximité. Malade et veuf, l’octogénaire, domicilié à Guerpont, aurait déjà manifesté son intention de mettre fin à ses jours.
L’alerte a été donnée à la gendarmerie ce lundi vers 19 h 50 par la famille du malheureux, très inquiète de sa soudaine disparition. La voiture de ce dernier a rapidement été retrouvée au bord du canal et des recherches ont commencé de part et d’autre des berges, sous une pluie battante. Elles ont été menées par deux patrouilles de la communauté de brigades de Ligny-en-Barrois, coordonnées par le capitaine Laurent Cossin et renforcées dans la soirée par une équipe cynophile d’astreinte venue de Saint-Dié.
Vers 23 h, le chien a marqué un endroit précis du canal où a été découvert le corps immergé et sans vie de l’octogénaire. Une dizaine de sapeurs-pompiers de Ligny-en-Barrois et de Tronville-en-Barrois, dont une équipe de sauveteurs aquatiques, se sont rendus sur les lieux du drame. Ils étaient commandés par l’adjudant-chef Bruno Hecquet, chef de groupe.
Le corps a été repêché et déposé sur la berge. Le décès de l’octogénaire, déclaré non suspect par les gendarmes, a été constaté par son médecin traitant. Le défunt devait être pris en charge par les Pompes funèbres avant d’être restitué à la famille au cours de la nuit.


lundi 12 novembre 2018

Course-poursuite jusqu’à Nancy : deux suspects en détention

La course-poursuite entre le petit village de Lafrimbolle (57), dans le secteur de Bertrambois (54), s’était terminée à Nancy, vendredi, dans un fracas de tôles. A bord d’un véhicule volé, trois hommes suspectés de tentative de cambriolage dans une maison de Lafrimbolle, démarraient en trombe au moment où la gendarmerie voulait procéder à leur contrôle.
S’engageait alors une chasse sur plus de 50 km. L’intervention de l’hélicoptère de la section aérienne de Metz a été déterminante afin de repérer le monospace des fuyards. L’échange de renseignements entre l’appui aérien, les gendarmes et les policiers sur roues, permettait de resserrer l’étau. Jusqu’à l’accident.

Comparution immédiate

Le monospace brun percutait la voiture d’un automobiliste de passage, au carrefour des rues Marcel-Brot et Tomblaine, vers 11 h 30. Les trois suspects étaient interpellés par les policiers de la BAC de Nancy et les gendarmes de Seichamps. Avant d’être placés en garde à vue pour les besoins de l’enquête menée par les gendarmes de la Compagnie de Nancy.
L’un d’eux, passager avant du monospace volé, était remis en liberté, samedi. Il était assisté de Me Guillaume Royer qui est également l’avocat du conducteur. Ce dernier ainsi que le passager arrière, conseillé quant à lui par Me Samira Boudiba, étaient présentés ce dimanche au parquet de Nancy.
La tentative de cambriolage n’a pas été retenue. En revanche, les refus d’obtempérer, la mise en danger de la vie d’autrui, le manquement à une obligation de prudence, l’usurpation de plaques minéralogiques, le recel et/ou vol de véhicule… autant de délits dont les deux hommes pourraient devoir répondre ce lundi devant le tribunal correctionnel, lors de leur jugement en comparution immédiate. Après avoir passé une nuit en prison.
L’audience, voire d’éventuelles investigations complémentaires (ADN, exploitation de la vidéosurveillance…) permettront peut-être de lever une incertitude de taille qui plane encore sur ce dossier : lequel des trois hommes était réellement au volant du véhicule fou ?


lundi 5 novembre 2018

Ce que l'on sait de l'effondrement de deux immeubles à Marseille

Trois Belfortains, qui détroussaient les passagers du train, interpellés à Montbéliard

Le trajet, pour des voyageurs qui empruntaient le TER ce dimanche en début d’après-midi entre Besançon et Belfort, via Montbéliard, n’a pas été de tout repos. Ils ont été détroussés par de jeunes habitants du Territoire (deux mineurs de 15 ans et demi et 16 ans, un majeur de 27 ans).
Les mis en cause voyageaient sans titre de transport et n’ont pas franchement apprécié que le contrôleur (une femme) leur colle une amende. En réponse, les menaces ont fusé.
Dans le même temps, deux passagères ont remarqué que leur téléphone portable avait disparu. « L’une s’est aperçue que l’un des perturbateurs l’avait en main », note le major Verdière, de la BSU. Le contrôleur de la SNCF a alerté les policiers. Deux véhicules siglés ont filé dare-dare vers la gare de Montbéliard où le train devait s’arrêter.
La petite bande a été interpellée sans difficulté (les suspects ont essayé de se cacher dans les wagons mais n’y sont manifestement pas parvenus). Le plus jeune avait un couteau à cran d’arrêt dans les poches. Il a été également retrouvé deux cartes bancaires (à des noms différents) dans leurs affaires.
Deux plaintes sont pour l’instant enregistrées mais la liste des victimes détroussées pourrait s’allonger. En soirée, les voleurs étaient toujours entendus au commissariat. Les faits en rappellent d’autres. Le 27 octobre dernier, peu avant midi, trois individus avaient dérobé le sac à main d’une femme qui attendait son train à la gare TGV de Belfort-Montbéliard (à Méroux).
Malheureusement pour eux, les auteurs avaient été rattrapés par un proche de cette personne - rapide et qui avait gardé son sang-froid- alors qu’ils prenaient la direction des quais. « Vous n’avez pas honte de voler le sac d’une dame ? » leur avait crié l’homme.
Dans la panique, le trio avait remonté l’escalator et s’était enfui (mais sans le sac). L’un d’entre eux avait perdu son téléphone portable (dont il n’a récupéré qu’un morceau dans la précipitation) et sa capuche (retenue par le poursuivant du trio).
https://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard


dimanche 4 novembre 2018

Blocages de routes du 17 novembre: la carte se dessine



Le mouvement d’humeur, né ces dernières semaines après la hausse du prix du diesel, s’est depuis traduit par des pétitions en ligne et appels à manifestation. Point d’orgue: la journée du samedi 17 novembre, qui concentre les appels au blocage des routes. Voici la carte des endroits où ça va coincer.
Les promoteurs de ces appels au blocage se sont baptisés «les gilets jaunes». Leur objectif : faire reculer le gouvernement, à l’image des «bonnets rouges» de 2013 qui avaient contraint François Hollande à revenir sur la mise en place d’une écotaxe.
Ainsi, partout en France, des blocages sont annoncés via le site https://www.blocage17novembre.com/ et les réseaux sociaux...............…. LIRE DANS LE JOURNAL L'AISNE NOUVELLE …………….   Blocages de routes du 17 novembre: la carte se dessine http://www.aisnenouvelle.fr/80655/article/2018-11-04/blocages-de-routes-du-17-novembre-la-carte-se-dessine

Deux hommes recherchés après le braquage d'une bijouterie à Audincourt

Une demi-heure plus tard, les lieux sont étrangement calmes. Seul un passant se pose des questions à la vue d’un véhicule siglé de la police nationale stationné devant le commerce. « Que se passe-t-il ? », interroge l’habitant qui reçoit une réponse succincte d’un policier. À son tour, le fonctionnaire lui demande : « Avez-vous vu quelque chose ? ».
Tout autour de la bijouterie Riceputi, les enquêteurs se renseignent auprès des promeneurs. L’enquête de voisinage a commencé. Des agents patrouillent en voiture le secteur. Deux hommes sont activement recherchés à la suite d’un braquage qui s’est produit vers 18 h.
Profitant de la nuit tombée, les braqueurs ont fait irruption dans le commerce où se trouvait une employée. Ils étaient vêtus d’habits noirs et portaient des cagoules. Il est encore trop tôt pour connaître exactement la teneur de leur propos. Mais l’un des auteurs était muni d’un pistolet dont il s’est servi pour menacer la salariée.
Les braqueurs étaient à pied
Sous la contrainte, cette dernière a dû remettre des bijoux (entreposés dans une armoire forte) et de l’argent à ses agresseurs. Le montant du butin n’est pas connu. « Ils ont pris la fuite à pied en direction de la grande rue et de la rue des Vergers », précise le major Verdière, de la Brigade de sûreté urbaine. Les agents de l’Identité judiciaire (IJ) procèdent à des prélèvements sur les lieux. Avec un peu de chance, les braqueurs ont laissé des traces de leur passage. La vidéosurveillance de la rue sera également passée à la loupe pour tenter de les identifier.
Il y a trois ans, la bijouterie avait déjà été victime d’un braquage. En août 2015, en milieu de matinée, deux hommes y étaient entrés, armés d’une bombe lacrymogène et d’un couteau. Une employée avait été gazée, sommée de s’allonger sur le sol. L’un des assaillants avait fait voler en éclats deux vitrines. En août 2016, le duo (deux mineurs de 16 et 17 ans) avait été écroué pour ces faits et pour un autre braquage à Belfort. Espérons que les investigations menées actuellement connaissent le même dénouement judiciaire


samedi 3 novembre 2018

Oise : une morte sur un passage à niveau

Selon France Bleu, un accident mortel s'est produit vendredi soir sur un passage à niveau à Breuil-le-Vert (Oise). Vers 22h30, une automobiliste de 42 ans a été fauchée par un train qui circulait à vide sur la ligne Paris-Amiens. 
L'accident n'a pas fait d'autres blessés, mais a provoqué l'interruption du trafic dans le deux sens pendant plusieurs heures. "Le conducteur [du train] est très choqué", note France Bleu. L'enquêhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/te a été confiée aux gendarmes.
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