Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
jeudi 16 novembre 2017
mardi 14 novembre 2017
Renard, poules et chiens affamés, cadavres d'animaux... Un chenil clandestin découvert à Pantin
Une douzaine de chiens squelettiques enfermés dans des cages d’à peine deux mètres carrés, un renard guère plus en forme, une quinzaine de poules et un canari décharnés et déplumés… Dans certains box, ce sont des cadavres d’animaux en décomposition qu’ont découverts dimanche après-midi dans un jardin ouvrier au pied de la cité des Courtillières, les enquêteurs du commissariat de Pantin, en Seine-Saint-Denis. Une enquête pour « mauvais traitement sur animaux » mais également pour « recel » et « détention d’arme de catégorie B », a été ouverte par le parquet de Bobigny. Un fusil, deux pistolets et des munitions – hors d’état car mal conservés – ont été retrouvés sur les lieux, a appris 20 Minutes de source proche de l’enquête.
L’odeur est irrespirable, le sol est jonché d’excréments. « Un vieux berger allemand n’arrivait pas à se déplacer car des boules d’excréments collaient à ses pattes », précise Anne-Claire Chauvancy, responsable protection animale pour la Fondation Assistance aux animaux, qui a accompagné les forces de l’ordre pour la prise en charge. Elle décrit desscènes de maltraitance « insoutenables » : des animaux affamés et assoiffés, souffrant parfois d’escarres. « La longueur de leurs griffes nous laisse penser qu’ils ne sortaient jamais », poursuit-elle. Certains aboient à tout rompre, d’autres au contraire se terrent au fond de leur « cellule ». Au moins six cadavres de chiens en décomposition, deux dans des box, les autres dans de simples sacs-poubelle au fond d’un jardin, ont été mis à jour.
Un homme de 57 ans, qui vivait sur place, a été placé en garde à vue pendant 48 heures avant d’être libéré. Une plainte en détention d’espèce sauvage, actes de cruauté, abandon volontaire a été déposée par la fondation Assistance aux animaux. L’enquête confiée au commissariat de Pantin se poursuit.
Parishttp://www.20minutes.fr/paris/
pantin
maltraitance
Animaux
Seine-Saint-Denis
cruauté envers les animaux
Six cadavres de chiens
L’alerte a été donnée dimanche par des riverains excédés par les aboiements émanant de ce jardin de la rue Lamartine. Des nuisances sonores avaient déjà été signalées mais cette fois certains affirment avoir vu un renard en cage. En arrivant sur les lieux, les policiers découvrent un véritable chenil clandestin fait de bric et de broc. Des murs montés avec des palettes en bois ou de la taule, une bâche en guise de toit. Quelques « box » ont été aménagés, d’autres animaux sont enfermés dans de simples caisses de transport. « C’était particulièrement glauque, je crois qu’il n’y a pas d’autre mot », résume une source policière.L’odeur est irrespirable, le sol est jonché d’excréments. « Un vieux berger allemand n’arrivait pas à se déplacer car des boules d’excréments collaient à ses pattes », précise Anne-Claire Chauvancy, responsable protection animale pour la Fondation Assistance aux animaux, qui a accompagné les forces de l’ordre pour la prise en charge. Elle décrit desscènes de maltraitance « insoutenables » : des animaux affamés et assoiffés, souffrant parfois d’escarres. « La longueur de leurs griffes nous laisse penser qu’ils ne sortaient jamais », poursuit-elle. Certains aboient à tout rompre, d’autres au contraire se terrent au fond de leur « cellule ». Au moins six cadavres de chiens en décomposition, deux dans des box, les autres dans de simples sacs-poubelle au fond d’un jardin, ont été mis à jour.
Une pension pour maîtres-chiens
Selon les premiers éléments du dossier, ce chenil était en réalité une pension illégale à l'usage des maîtres-chiens dans laquelle les animaux étaient gardés mais également « dressés » pour devenir combatif. D’où la présence d’un renard sur place. « On suppose qu’il servait à exciter les chiens pour les rendre agressifs. C’est ce qu’on appelle du “dressage au mordant” », poursuit la responsable associative. Les douze chiens encore vivants ont été pris en charge par la Fondation 30 millions d’amis, les oiseaux par celle de l’Assistance aux Animaux. Le renard a, quant à lui, été conduit au centre d’accueil de la faune sauvage de Maisons-Alfort (Cedaf)Un homme de 57 ans, qui vivait sur place, a été placé en garde à vue pendant 48 heures avant d’être libéré. Une plainte en détention d’espèce sauvage, actes de cruauté, abandon volontaire a été déposée par la fondation Assistance aux animaux. L’enquête confiée au commissariat de Pantin se poursuit.
vendredi 10 novembre 2017
Paris: Un incendie ravage un immeuble d'habitation, neuf blessés légers
Neuf blessés légers dont un enfant et un soldat du feu. C’est le bilan, encore provisoire, du violent incendie qui s’est déclaré ce vendredi peu après 8 heures du matin dans la rue du Temple, au cœur du IIIe arrondissement de Paris. Une centaine de pompiers et trente engins sont encore à pied d’œuvre ce midi pour lutter contre les flammes qui ont atteint la toiture.
.
Certains blessés, notamment intoxiqués à cause de la fumée, sont sur le point d’être évacués. Un pompier se serait légèrement blessé au visage lors des opérations. « C’est un feu important et le fait qu’il soit dans un immeuble ancien et dans une zone particulièrement dense ne facilite pas la tâche », a indiqué le commandant Lecoeur
Incendiehttp://www.20minutes.fr/dossier/incendie
Paris
pompiers
feu
.
La verrière a explosé sous l'effet de la chaleur
Le feu s’est déclaré dans une boutique de vêtements située sur deux niveaux puis s’est propagé dans la cour arrière de l’immeuble. Sous l’effet de la chaleur, la verrière – sous laquelle le stock était entreposé – a explosé et le feu s’est propagé à l’ensemble des niveaux. Une personne âgée, vivant au premier étage a été évacuée et cinq autres ont été mises en sécurité.Certains blessés, notamment intoxiqués à cause de la fumée, sont sur le point d’être évacués. Un pompier se serait légèrement blessé au visage lors des opérations. « C’est un feu important et le fait qu’il soit dans un immeuble ancien et dans une zone particulièrement dense ne facilite pas la tâche », a indiqué le commandant Lecoeur
Elle fait croire à son enlevement pour pouvoir rejoindre son amant
Selon Le Progrès, une jeune femme de 25 ans aurait inventé, cet été, son enlèvement pour pouvoir rejoindre son amant au Puy-en-Velay.
Rocambolesque! Une femme, ex-candidate FN aux élections départementales, a fait croire aux autorités avoir été victime d'un enlèvement et avoir été séquestrée pour, en réalité, pouvoir passer du bon temps avec son amant.
Prévoyante, elle avait dit dans un premier SMS à son mari, avec qui elle était en instance de divorce, avoir été enlevée, ligotée et jetée dans le coffre d'une BMW noire.
Terriblement inquiet il avait prévenu les gendarmes qui avaient rapidement mis un place un dispositif d'une cinquantaine de militaire au sol et impliquant également un hélicoptère.
Le lendemain, la jeune femme était rentrée à son domicile expliquant simplement avoir été relâchée par ses ravisseurs.
Placée en garde à vue, elle avait fini par avouer son mensonge.
Convoquée au tribunal, ce jeudi, elle a écopé d'une peine de six mois de prison avec sursis assortie d'une mise à l'épreuve de deux ans et d'une amende de 5.000 euros
Faits-Divers http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
Prévoyante, elle avait dit dans un premier SMS à son mari, avec qui elle était en instance de divorce, avoir été enlevée, ligotée et jetée dans le coffre d'une BMW noire.
Terriblement inquiet il avait prévenu les gendarmes qui avaient rapidement mis un place un dispositif d'une cinquantaine de militaire au sol et impliquant également un hélicoptère.
Placée en garde à vue, elle avait fini par avouer son mensonge.
Convoquée au tribunal, ce jeudi, elle a écopé d'une peine de six mois de prison avec sursis assortie d'une mise à l'épreuve de deux ans et d'une amende de 5.000 euros
Faits-Divers http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
jeudi 9 novembre 2017
Prison de Perpignan : un détenu retrouvé mort et un autre surveillant agressé
Un détenu de la prison de Perpignan, âgé de 46 ans, a été retrouvé mort dans sa cellule mardi matin. Selon les premiers éléments, l’homme, écroué pour délits de droit commun et qui n’avait jamais posé de problèmes durant sa détention, serait décédé des suites d’une absorption massive de médicaments. Une enquête est en cours, menée par les services de police. Conformément à la procédure une autopsie a été ordonnée pour déterminer les causes exactes de son décès.
À cette malheureuse occasion, le syndicat UFAP-Unsa justice pointe des « incohérences de fonctionnement ». « Certains détenus sont suivis par le SMPR (service médico-psychologique régional) et une commission prévention suicide se réunit tous les 15 jours. Là, il est décidé de placer certains détenus sous surveillance particulière. Ainsi, nous assurons des rondes la nuit et nous avons une vigilance spéciale de ces personnes qui sont soit suicidaires, soit fragiles, soit toxicomanes. Or, on leur donne leur traitement médicaments pour 2, 3 voire 4 jours à l’avance, si il y a un jour férié en plus du week-end, et ils sont susceptibles de mettre fin à leurs jours avec ces doses-là. C’est presque une incitation pour des gens qui sont dépendants et peuvent céder à la tentation de tout prendre d’un coup. C’est peut-être ce qui s’est passé cette fois. Et nous sommes là pour palier cette contradiction ».
Prison de Perpignan : un détenu retrouvé mort et un autre surveillant agresséhttp://www.lindependant.fr/2017/11/08/prison-de-perpignan-un-detenu-retrouve-mort-et-un-autre-surveillant-agresse,3067952.php
mercredi 8 novembre 2017
Mort d'Alexia Daval : "Les enquêteurs savent où ils vont", estime l'avocat des parents
Dix jours après la découverte du corps d'Alexia Daval, la jeune femme a été inhumée ce mercredi 8 novembre dans le cimetière de Gray, sa ville natale, après un dernier adieu de sa famille et de ses proches au cours d'une cérémonie célébrée en la basilique de cette commune de Haute-Saône.
De leurs côtés, les enquêteurs sont toujours à la recherche d'un suspect alors que l'avocat des parents, Me Jean-Marc Florand, est persuadé que l'affaire va se résoudre rapidement.
Je n'ai pas de boule de cristal, tempère-t-il au micro de RTL. Je n'ai pas eu accès au dossier mais un peu par expérience, je pense qu'il ne s'agit pas d'une histoire bien compliquée et d'un crime mystérieux. Et du fait des considérables moyens techniques et humains, je ne vois pas comment cette affaire ne peut pas être résolue".
Personne connue de l'entourage, rôdeur... Le mystère demeure entier à l'heure actuelle. Mais cela n'inquiète pas l'avocat de la famille. "Je reste persuadé que les enquêteurs savent où ils vont, qu'ils ont pu refermer de nombreuses portes et qu'ils ne leur restent que quelques pistes à explorer avant de pouvoir conclure assez rapidement (...) Je crois qu'il y aura un dénouement rapide", conclut-il.
Haute-saônehttp://www.rtl.fr/sujet/haute-saone
De leurs côtés, les enquêteurs sont toujours à la recherche d'un suspect alors que l'avocat des parents, Me Jean-Marc Florand, est persuadé que l'affaire va se résoudre rapidement.
Je n'ai pas de boule de cristal, tempère-t-il au micro de RTL. Je n'ai pas eu accès au dossier mais un peu par expérience, je pense qu'il ne s'agit pas d'une histoire bien compliquée et d'un crime mystérieux. Et du fait des considérables moyens techniques et humains, je ne vois pas comment cette affaire ne peut pas être résolue".
Et le coupable pourrait même être connu de la famille. "Gray est une petit ville, il n'y a pas un million de gens, tout le monde se connaît", ajoute l'avocat. Et sur ce sujet, Me Jean-Marc Florand assure faire face à des parents particulièrement "lucides". "Ils n'excluent pas que l'assassin de leur fille soit quelqu'un qu'ils connaissent. Ils ont intégré cette possibilité. Ils redoutent cette hypothèse mais elle fait partie de leur quotidien", détaille-t-il.Je crois qu'il y aura un dénouement rapide
Personne connue de l'entourage, rôdeur... Le mystère demeure entier à l'heure actuelle. Mais cela n'inquiète pas l'avocat de la famille. "Je reste persuadé que les enquêteurs savent où ils vont, qu'ils ont pu refermer de nombreuses portes et qu'ils ne leur restent que quelques pistes à explorer avant de pouvoir conclure assez rapidement (...) Je crois qu'il y aura un dénouement rapide", conclut-il.
Haute-saônehttp://www.rtl.fr/sujet/haute-saone
Calciné à proximité de sa tondeuse
Pas moins de cinq véhicules de police - dont celui d’un technicien en identification judiciaire (IJ) - mardi soir, devant le 12, rue des Coteaux, à Villers-lès-Nancy. Les grilles du portail sont closes et des policiers sécurisent l’accès à la maison. L’important dispositif déployé dans ce quartier pavillonnaire d’ordinaire paisible, inquiète les riverains qui rentrent du travail, à la nuit tombée. « Non, je ne sais pas ce qui est arrivé, je rentre à l’instant… », confie une femme qui s’empresse de refermer sa porte de garage. Elle ne sait pas encore que le corps d’un de ses proches voisins vient d’être découvert entièrement calciné, dans le jardin.
D’après les premiers éléments recueillis, la victime - un Villarois âgé de 56 ans - avait entrepris de tondre sa pelouse en début d’après-midi, à l’arrière de sa maison. Sa compagne était sortie. L’homme se trouvait seul chez lui avant que des voisins ne fassent la macabre découverte, peu avant 17 h et alertent immédiatement les secours.
Extrêmement choqués, il leur est très difficile de témoigner tant la scène était insoutenable. Le quinquagénaire reposait sur le dos, dans la pelouse, « à deux ou trois mètres de sa tondeuse à l’arrêt ». Un bidon d’essence - ouvert - se trouvait à proximité. « En rentrant chez elle, la voisine a remarqué une odeur de brûlé et pensait que son voisin était en train de faire du feu… », confie un proche riverain, sous le choc lui aussi. « Mais en se rendant à l’étage, elle et son ami ont aperçu un corps de l’autre côté du grillage mitoyen. Ils ont tenté d’intervenir mais il était trop tard… » Trop tard également pour que les secours engagent des manœuvres de réanimation.
D’après les premiers éléments recueillis, la victime - un Villarois âgé de 56 ans - avait entrepris de tondre sa pelouse en début d’après-midi, à l’arrière de sa maison. Sa compagne était sortie. L’homme se trouvait seul chez lui avant que des voisins ne fassent la macabre découverte, peu avant 17 h et alertent immédiatement les secours.
Extrêmement choqués, il leur est très difficile de témoigner tant la scène était insoutenable. Le quinquagénaire reposait sur le dos, dans la pelouse, « à deux ou trois mètres de sa tondeuse à l’arrêt ». Un bidon d’essence - ouvert - se trouvait à proximité. « En rentrant chez elle, la voisine a remarqué une odeur de brûlé et pensait que son voisin était en train de faire du feu… », confie un proche riverain, sous le choc lui aussi. « Mais en se rendant à l’étage, elle et son ami ont aperçu un corps de l’autre côté du grillage mitoyen. Ils ont tenté d’intervenir mais il était trop tard… » Trop tard également pour que les secours engagent des manœuvres de réanimation.
L’hypothèse accidentelle
Décrit comme quelqu’un de « méticuleux », « très attentif à l’entretien de sa maison », le Villarois avait consacré une partie des vacances de la Toussaint à repeindre le portail métallique de l’entrée. Sa pelouse était toujours propre, « au carré ». L’hypothèse d’un accident lors d’une dernière tonte hivernale semble être privilégiée. La tondeuse a-t-elle présenté un problème mécanique qui a nécessité l’intervention du Villarois avant que ne s’ensuive une éventuelle explosion avec projection de carburant ? Le quinquagénaire a-t-il été victime d’un embrasement brutal de l’essence au moment de (re) faire le plein sans pour autant qu’il ne parvienne à éteindre l’incendie qui a pu se propager à l’ensemble de ses vêtements ? Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances précises du drame et les causes de la mort. Le corps a été transporté à l’institut médico-légal (IML) de Nancy pour y être autopsié.- Tags
- Edition de Nancy Agglomérationhttp://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2017/11/07/calcine-a-proximite-de-sa-tondeuse
dimanche 5 novembre 2017
Il tue sa compagne de trois coups de pistolet et retourne l'arme contre lui
Un drame s'est produit samedi en fin de matinée dans un quartier excentré de Claviers où une femme de 44 ans a été tuée de trois coups de pistolet par le compagnon de la fille de l'homme avec qui elle vivait.
L'auteur des coups de feu, déjà connu pour ses comportements violents et sa consommation de produits stupéfiants, a ensuite retourné l'arme contre lui et a été retrouvé dans un état critique.
La victime, Marylin Rittano, tenait une ferme dans laquelle elle fabriquait des confitures artisanales et des jus de fruits. C'est là qu'elle a été abattue, de dos, alors qu'elle donnait à manger à ses ânes.
Faits-Divers http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
La victime, Marylin Rittano, tenait une ferme dans laquelle elle fabriquait des confitures artisanales et des jus de fruits. C'est là qu'elle a été abattue, de dos, alors qu'elle donnait à manger à ses ânes.
jeudi 2 novembre 2017
Mort d'Alexia : "C'est le drame le plus complet", confie son père
Le père d'Alexia Daval, la joggeuse disparue en Haute-Saône depuis le 28 octobre et dont le corps a été retrouvé carbonisé lundi en forêt près de Gray, s'est confié pour la première fois au micro de RTL.
"On avait une lueur d'espoir, mais elle s'est effacée", confie ce père qui dit être "obligé de tenir le choc". "On a encore un travail devant nous, un travail pour elle, puis un travail pour sa sœur et pour continuer à vivre, tout simplement".
"On tient le coup par rapport à toutes les affections qu'on nous porte. On réalise que les gens sont avec nous, qu'il y a une forte mobilisation de soutien, d'amour. On n'est pas seuls."
>A la Unehttp://www.dna.fr/
"C'est l'inacceptable qui est arrivé" Jean-Pierre Fouillot, le père d'Alexia Daval
"C'est une tragédie. C'est l'inacceptable qui est arrivé, c'est le drame le plus complet commis par un ou des monstre(s)", souligne-t-il."On avait une lueur d'espoir, mais elle s'est effacée", confie ce père qui dit être "obligé de tenir le choc". "On a encore un travail devant nous, un travail pour elle, puis un travail pour sa sœur et pour continuer à vivre, tout simplement".
"On tient le coup par rapport à toutes les affections qu'on nous porte. On réalise que les gens sont avec nous, qu'il y a une forte mobilisation de soutien, d'amour. On n'est pas seuls."
Espérer qu'elle n'a pas souffert
Alors que l'autopsie du corps de la jeune femme doit être pratiquée aujourd'hui à l'institut médico-légal de Besançon, son papa indique "revivre toute la nuit ce qu'elle a pu vivre, en espérant qu'elle n'a pas souffert>A la Unehttp://www.dna.fr/
mercredi 1 novembre 2017
Inscription à :
Articles (Atom)