Il était aux alentours de 19 heures, hier soir, quand les sapeurs-pompiers et leur embarcation sont intervenus dans le Tarn pour repêcher un cadavre, à hauteur de l'établissement scolaire de Capou. C'est un pêcheur qui aurait repéré le corps, accroché dans les branches, et l'aurait signalé aux forces de l'ordre. Ce dernier a été évacué peu de temps après. Il s'agirait d'un homme de 63 ans, «dépressif et suivi par des services psychiatriques» selon une source proche de l'enquête. Son frère aurait signalé sa disparition dès mercredi soir au commissariat de police de Montauban. Les premières constatations effectuées sur les lieux par la police scientifique n'ont rien révélé de suspect. Une autopsie a été demandée par le parquet de Montauban
Tarn-et-Garonnehttp://www.ladepeche.fr/grand-sud/tarn-et-garonne/
Faits divers multiples...revue de la presse régionale des évènements de notre société
vendredi 26 mai 2017
jeudi 25 mai 2017
Bas-Rhin : collision entre un motard et un cycliste sur la route du Mont Saint-Odile
Un accident de la circulation s’est produit ce jeudi matin sur la route départementale 426, dans la montée du Mont Saint-Odile.
Un motard est entré en collision avec un cycliste dans un virage aux alentours de 10h.
Les pompiers, rapidement sur place, ont dû héliporter le cycliste vers Hautepierre. L'homme était inconscient et se trouvait dans un état d’urgence absolue.
Le motard n'a été blessé que légèrement et était toujours conscient. La route a dû être coupée le temps de l'intervention
Un motard est entré en collision avec un cycliste dans un virage aux alentours de 10h.
Les pompiers, rapidement sur place, ont dû héliporter le cycliste vers Hautepierre. L'homme était inconscient et se trouvait dans un état d’urgence absolue.
Le motard n'a été blessé que légèrement et était toujours conscient. La route a dû être coupée le temps de l'intervention
- Bas-Rhinhttp://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin
mercredi 24 mai 2017
Fuite d'acide chlorhydrique dans une entreprise de salades à Orgon
Les pompiers ont été alertés vers 6h20. Une citerne d'acide chlorhydrique était en train de fuir dans une entreprise de conditionnement de salades à Orgon, dans les Bouches-du-Rhône. Les 40 salariés ont été évacués. Les pompiers spécialisés dans les risques chimiques sont intervenus en scaphandre.
Dans cette entreprise, Vitacroc, on rince les salades avec de l'acide chlorhydrique et de l'eau de javel avant de les placer dans des sachets. Ce mercredi matin, autour de 6h20, une fuite est décelée sur la citerne d'acide, d'une contenance de 1000 litres. Un acide très concentré.
L'entreprise est située dans la Zone Industrielle du Pont, à Orgon, dans les Bouches-du-Rhône. Les pompiers mobilisent 40 hommes et 10 véhicules dont deux spécialisés dans les risques chimiques. Les 40 salariés présents sont évacués et mis en sécurité. Les pompiers spécialisés dans les risques chimiques sont intervenus en scaphandre. A 8h30, la fuite était colmatée.
Bouches-du-Rhônehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone
Dans cette entreprise, Vitacroc, on rince les salades avec de l'acide chlorhydrique et de l'eau de javel avant de les placer dans des sachets. Ce mercredi matin, autour de 6h20, une fuite est décelée sur la citerne d'acide, d'une contenance de 1000 litres. Un acide très concentré.
L'entreprise est située dans la Zone Industrielle du Pont, à Orgon, dans les Bouches-du-Rhône. Les pompiers mobilisent 40 hommes et 10 véhicules dont deux spécialisés dans les risques chimiques. Les 40 salariés présents sont évacués et mis en sécurité. Les pompiers spécialisés dans les risques chimiques sont intervenus en scaphandre. A 8h30, la fuite était colmatée.
Bouches-du-Rhônehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone
mardi 23 mai 2017
Dordogne : collision entre un motard de 62 ans et une voiture
L’accident s’est produit sur une route du Périgord noir, à hauteur des Coteaux Périgourdins
Dimanche après-midi, un accident de la route a impliqué une moto et une voiture sur la départementale 60, au lieu-dit Sagournat, à Chavagnac, commune des Coteaux Périgourdins, près de Terrasson-Lavilledieu.
Ceux-ci sont sortis indemnes du choc. Blessé, le motard a dû être transporté en héliSmur vers le centre hospitalier de Brive-la-Gaillarde (19).
A La UneA La Unehttp://www.sudouest.fr/
lundi 22 mai 2017
Mystère autour d'un ado blessé par balle et déposé devant l'hôpital d'Antibes
Les limiers de la Sûreté départementale des Alpes-Maritimes auront fort à faire pour démêler l'écheveau...
Ils sont en effet chargés d'une enquête compliquée après qu'un mineur souffrant d'une blessure par balle a été déposé devant l'hôpital de La Fontonne, à Antibes, dimanche soir peu avant minuit.
De source policière, confirmant une information de BFMTV, ce jeune homme de 17 ans, défavorablement connu des services de police, a été touché sous la clavicule.
Originaire de Vallauris, il a immédiatement été pris en charge à La Fontonne, avant d'être transféré à l'hôpital Pasteur 2 de Nice.
D'après BFMTV, son pronostic vital, un temps incertain, n'était plus engagé ce lundi matin. Mais son état de santé n'a pu permettre aux enquêteurs de l'entendre.
Lundi matin, ces derniers étaient toujours à la recherche de témoins.
Faits-Divers http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
De source policière, confirmant une information de BFMTV, ce jeune homme de 17 ans, défavorablement connu des services de police, a été touché sous la clavicule.
Originaire de Vallauris, il a immédiatement été pris en charge à La Fontonne, avant d'être transféré à l'hôpital Pasteur 2 de Nice.
Lundi matin, ces derniers étaient toujours à la recherche de témoins.
dimanche 21 mai 2017
Langon : (33) : deux piétons fauchés par une voiture
Un jeune homme de 23 ans a été placé en garde à vue
Deux piétons de 65 et 89 ans ont été fauchés par une voiture alors qu’ils se trouvaient sur un passage protégé et s’apprêtaient à franchir la rue Gambetta à Langon.
Le conducteur, un jeune homme de 23 ans, habitant Landiras, a été entendu par les gendarmes. Les deux blessés ont été évacués à l’hôpital.
A La Unehttp://www.sudouest.fr/
Un employé de supérette braqué sur le chemin de la banque
Bien renseignés ou très observateurs, deux individus ont suivi un employé d’un Carrefour Express, samedi matin à Toulouse. Sur le chemin de la banque, cet homme s’est retrouvé avec en arme sous le nez au moment où il allait monter dans sa voiture.
Les deux braqueurs ont dérobé la recette sans se montrer violent avant de rapidement prendre la fuite, laissant la victime choquée mais en bonne santé. Le montant du butin du braquage n’a pas été communiqué.
Le parquet a saisi le service régional de police judiciaire (SRPJ Toulouse) pour mener l’enquête. Les policiers ont entendu la victime et cherchaient hier des témoins rue des Fontaines où se situe la supérette, entre la Patte d’Oie et Purpan, à Toulouse.
Les deux braqueurs ont dérobé la recette sans se montrer violent avant de rapidement prendre la fuite, laissant la victime choquée mais en bonne santé. Le montant du butin du braquage n’a pas été communiqué.
Le parquet a saisi le service régional de police judiciaire (SRPJ Toulouse) pour mener l’enquête. Les policiers ont entendu la victime et cherchaient hier des témoins rue des Fontaines où se situe la supérette, entre la Patte d’Oie et Purpan, à Toulouse.
Toulousehttp://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
samedi 20 mai 2017
Cocaïne à Toulouse : une filière guyanaise démantelée
Une filière d'importation de cocaïne depuis la Guyane a été démantelée par les enquêteurs du SRPJ de Toulouse. Deux hommes ont été écroués jeudi soir
Depuis plusieurs mois les importations de cocaïne depuis la Guyane se multiplient. En région toulousaine, les saisies de cette drogue dure, la deuxième la plus consommée en Europe, ne faiblissent pas. Les affaires liées à ces business augmentent et les interpellations aussi.
En tirant de nombreux fils de ces trafics internationaux, brassant des millions d'euros, les enquêteurs parviennent à identifier des filières d'importation implantées à Toulouse.
Les enquêteurs du SRPJ de Toulouse ont interpellé, en début de semaine, deux hommes de 21 et 28 ans. Originaires de Guyane et de Haïti, ces deux suspects ont été écroués jeudi soir pour trafic de stupéfiants en bande organisée.
Les enquêteurs de la PJ ont saisi au domicile de l'un d'eux, quartier des Izards, à Toulouse, ainsi que dans une voiture, une somme de 1 600 euros en liquide et 850 grammes de cocaïne. Une marchandise qui avait été réceptionnée à Toulouse ces derniers jours. La cocaïne était destinée au marché toulousain.
«Environ 60 % des mules qui arrivent à Paris par avion depuis la Guyane sont attendues à Toulouse», commente un spécialiste de ce genre de trafic. Des membres de la filière établis en région toulousaine réceptionnent le transporteur dès son arrivée à Toulouse. Dans de nombreux cas, le produit ingéré atteint un taux de pureté proche des 90 %, avant d'être conditionné et revendu sur le marché illicite, entre 45 et 65 euros le gramme, dans la rue. Rémunérées entre 2 000 à 3 000€ pour le transport, les «mules» sont logées dans un hôtel, le temps pour elles «d'évacuer» la marchandise qui est ensuite préparée et conditionnée pour la revente en intégrant des produits de coupure pour accroître les quantités et donc les gains. Les bénéfices issus des transactions illicites repartent très souvent en Guyane ou dans les territoires voisins, comme le Suriname. L'un des deux hommes écroués jeudi soir était de passage à Toulouse. Originaire de Guyane, il résidait aux Pays-Bas.
Toulousehttp://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Depuis plusieurs mois les importations de cocaïne depuis la Guyane se multiplient. En région toulousaine, les saisies de cette drogue dure, la deuxième la plus consommée en Europe, ne faiblissent pas. Les affaires liées à ces business augmentent et les interpellations aussi.
En tirant de nombreux fils de ces trafics internationaux, brassant des millions d'euros, les enquêteurs parviennent à identifier des filières d'importation implantées à Toulouse.
Les enquêteurs du SRPJ de Toulouse ont interpellé, en début de semaine, deux hommes de 21 et 28 ans. Originaires de Guyane et de Haïti, ces deux suspects ont été écroués jeudi soir pour trafic de stupéfiants en bande organisée.
Les enquêteurs de la PJ ont saisi au domicile de l'un d'eux, quartier des Izards, à Toulouse, ainsi que dans une voiture, une somme de 1 600 euros en liquide et 850 grammes de cocaïne. Une marchandise qui avait été réceptionnée à Toulouse ces derniers jours. La cocaïne était destinée au marché toulousain.
Les dessous d'un trafic
Depuis de nombreux mois, des transporteurs appelés aussi des «mules» originaires de Guyane et arrivés à Toulouse, depuis Paris, par avion ou par train, sont pris en charge par une filière de trafiquants de drogue très active. Ces transporteurs prennent le risque d'ingérer jusqu'à 800 grammes de cocaïne et de voyager avec la poudre contenue dans des petits sachets, in corpore.«Environ 60 % des mules qui arrivent à Paris par avion depuis la Guyane sont attendues à Toulouse», commente un spécialiste de ce genre de trafic. Des membres de la filière établis en région toulousaine réceptionnent le transporteur dès son arrivée à Toulouse. Dans de nombreux cas, le produit ingéré atteint un taux de pureté proche des 90 %, avant d'être conditionné et revendu sur le marché illicite, entre 45 et 65 euros le gramme, dans la rue. Rémunérées entre 2 000 à 3 000€ pour le transport, les «mules» sont logées dans un hôtel, le temps pour elles «d'évacuer» la marchandise qui est ensuite préparée et conditionnée pour la revente en intégrant des produits de coupure pour accroître les quantités et donc les gains. Les bénéfices issus des transactions illicites repartent très souvent en Guyane ou dans les territoires voisins, comme le Suriname. L'un des deux hommes écroués jeudi soir était de passage à Toulouse. Originaire de Guyane, il résidait aux Pays-Bas.
Toulousehttp://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
vendredi 19 mai 2017
Montpellier : ils leur refusent une part de pizza et se font tabasser
L
es auteurs des coups, âgés de 32 ans et 23 ans, identifiés par la
vidéosurveillance, devraient être déférés devant le parquet de
Montpellier.
Dans la nuit du mardi 16 au mercredi 17 mai, à Montpellier, vers 2 h 50,
un couple prévient la police. Il vient de se faire agresser par quatre
individus au niveau de l'arrêt de tram Observatoire. Ils expliquent que
tous les deux étaient en train de déguster une pizza lorsque l'un des
quatre agresseurs leur a demandé une part. Ils refusent. Une pluie de
coups s'abat sur eux.
Interpellés puis placés en garde à vue
Les quatre suspects sont interpellés puis placés en garde à vue. L'exploitation de la vidéosurveillance permet de déterminer les rôles de chacun dans cet enchaînement de violences. Deux des mis en cause, âgés de 37 ans et 21 ans, sont finalement relâchés, puisque mis hors de cause. Mais leurs deux comparses, âgés de 32 ans et 23 ans, identifiés comme les auteurs des coups et le vol de pizzas, devraient être déférés devant le parquet de Montpellier.Faits diverhttp://www.midilibre.fr/faits-divers/
jeudi 18 mai 2017
Meurtre d'une octogénaire à Reims : un homme de 16 ans placé en garde à vue ce jeudi matin
Un homme de 16 ans et connu des services de police a été interpellé par la police et placé en garde à vue ce jeudi matin dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'une Rémoise de 86 ans. Mardi, l'octogénaire avait été retrouvée morte à son domicile, situé dans le quartier Croix-Rouge de Reims.
L'enquête a rapidement progressé après la macabre découverte mardi dans un appartement du quartier Croix-Rouge.
Des indices permettant de l’incriminer auraient été retrouvés au domicile de la victime. L’individu aurait été identifié par le biais de ses empreintes digitales, retrouvées sur le lieu du crime.
Une Rémoise de 86 ans avait été retrouvée morte à son domicile de la rue Madeleine-Terrien. C'est son infirmière qui avait découvert le corps.
L'autopsie, pratiquée mercredi, a confirmé la piste criminelle.
Très tôt ce jeudi matin, les policiers ont interpellé un homme dans le cadre de cette affaire. Il a été entendu et placé en garde à vue.
L'enquête ouverte pour "meurtre" est menée par le SRPJ de Reims.
L'enquête a rapidement progressé après la macabre découverte mardi dans un appartement du quartier Croix-Rouge.
Des indices permettant de l’incriminer auraient été retrouvés au domicile de la victime. L’individu aurait été identifié par le biais de ses empreintes digitales, retrouvées sur le lieu du crime.
Une Rémoise de 86 ans avait été retrouvée morte à son domicile de la rue Madeleine-Terrien. C'est son infirmière qui avait découvert le corps.
L'autopsie, pratiquée mercredi, a confirmé la piste criminelle.
Très tôt ce jeudi matin, les policiers ont interpellé un homme dans le cadre de cette affaire. Il a été entendu et placé en garde à vue.
L'enquête ouverte pour "meurtre" est menée par le SRPJ de Reims.
- Reimshttp://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/marne/reims-metropole/reims
mardi 16 mai 2017
Charente : un train percute un piéton à La Couronne
Le piéton est décédé. Plusieurs trains ont été retenus en gare.
A 10h35 ce mardi matin, un TGV a percuté un piéton, à La Couronne, près d’Angoulême. Lequel est décédé.
Quatre trains ont été retenus en gare sur l’axe Bordeaux-Paris, avec des retards d’une heure en moyenne selon la SNCF.
Le trafic est en cours de rétablissement mais des retards sont à prévoir.
A La Unehttp://www.sudouest.fr/
dimanche 14 mai 2017
Gilley : un homme d'une quarantaine d'années décède dans un accident de la route
Il était un peu plus de 21h30 samedi soir lorsque les Pompiers du Doubs ont été appelé pour un accident de la circulation impliquant une voiture qui avait percuté un arbre, A l'arrivée des secours, le conducteur avait été éjecté du véhicule,
Agé d'une quarantaine d'années, il était "en urgence absolue, en arrêt cardio ventilatoire". Les secours ont tenté, en vain, de le réanimer. Le décès a été constaté par l"équipe du SMUR de Pontarlier. L'accident a eu lieu au Bois de la Joux Dessous
Agé d'une quarantaine d'années, il était "en urgence absolue, en arrêt cardio ventilatoire". Les secours ont tenté, en vain, de le réanimer. Le décès a été constaté par l"équipe du SMUR de Pontarlier. L'accident a eu lieu au Bois de la Joux Dessous
- Haut-Doubshttp://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/doubs/haut-doubs
samedi 13 mai 2017
Var: La piste du règlement de comptes envisagée après l’assassinat d’un convoyeur de fonds
C’est une vieille histoire qui refait surface. Un ancien convoyeur de fonds contraint de remettre sa collecte à des braqueurs en 2008, a été retrouvé assassiné de plusieurs balles dans la tête sur la commune de Tourves (Var) le 6 mai, a-t-on appris samedi auprès du parquet de Draguignan.
Confirmant cette information de Var-Matin, le parquet de Draguignan indique que cet homme, devenu tatoueur à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (Var), avait été victime d’un braquage en 2008 alors qu’il était employé comme convoyeur de fonds à Brignoles par la société Sazias.
L’autopsie, qui n’a pas encore eu lieu, devrait notamment confirmer le nombre de projectiles dont la victime a été atteinte.
convoyeur de fondshttp://www.20minutes.fr/dossier/convoyeur_de_fonds
Confirmant cette information de Var-Matin, le parquet de Draguignan indique que cet homme, devenu tatoueur à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (Var), avait été victime d’un braquage en 2008 alors qu’il était employé comme convoyeur de fonds à Brignoles par la société Sazias.
Victime d’un braquage en 2008
Dans la nuit du 5 au 6 août 2008, trois malfaiteurs s’étaient introduits à son domicile de Brignoles, prenant sa femme en otage et l’obligeant à effectuer sa tournée le lendemain en compagnie de ses collègues avant de leur remettre les fonds collectés. Le butin s’était élevé à 7 millions d’euros.L’hypothèse du règlement de comptes
L’enquête sur l’assassinat de cet homme a été confiée à l’antenne toulonnaise de la section de recherches de la gendarmerie de Marseille. Selon le parquet de Draguignan, l’hypothèse d’un règlement de comptes en lien avec le braquage de 2008 est « envisagée » par les enquêteurs, mais « toutes les hypothèses restent ouvertes » à ce stade.L’autopsie, qui n’a pas encore eu lieu, devrait notamment confirmer le nombre de projectiles dont la victime a été atteinte.
vendredi 12 mai 2017
Exclusif - Marseille : deux interpellations pour un règlement de comptes aux Lauriers (13e)
Selon nos informations, deux hommes sont en garde à vue dans les locaux de la brigade criminelle de la Police judiciaire depuis mardi. Ils devraient être présentés dans les prochaines heures à la justice.
Les enquêteurs, après deux mois d'investigations éclairs, auraient constitué un dossier assez solide pour prouver que ce duo aurait été directement impliqués dans l'assassinat d'Ali Ibouroi, 21 ans, abattu à l'arme de guerre le 18 mars dernier en plein cœur de la cité des Lauriers (13e). Le dernier règlement de comptes en date dans la cité phocéenne.
Toujours selon nos sources, ce jeune homme était sorti en janvier de prison, après 20 mois d'incarcération. Il avait été "emporté" dans l'important coup de filet de mai 2015 effectué par la brigade des stups de la PJ, qui avait démantelé une grande partie du trafic des Lauriers dont il était, malgré son jeune âge, l'un des cadres.
Exclusif - Marseille : deux interpellations pour un règlement de comptes...+Plus de brèveshttp://www.laprovence.com/actu/en-direct/4445525/exclusif-marseille-deux-interpellations-pour-un-reglement-de-comptes-aux-lauriers-13e.html
Les enquêteurs, après deux mois d'investigations éclairs, auraient constitué un dossier assez solide pour prouver que ce duo aurait été directement impliqués dans l'assassinat d'Ali Ibouroi, 21 ans, abattu à l'arme de guerre le 18 mars dernier en plein cœur de la cité des Lauriers (13e). Le dernier règlement de comptes en date dans la cité phocéenne.
Toujours selon nos sources, ce jeune homme était sorti en janvier de prison, après 20 mois d'incarcération. Il avait été "emporté" dans l'important coup de filet de mai 2015 effectué par la brigade des stups de la PJ, qui avait démantelé une grande partie du trafic des Lauriers dont il était, malgré son jeune âge, l'un des cadres.
Exclusif - Marseille : deux interpellations pour un règlement de comptes...+Plus de brèveshttp://www.laprovence.com/actu/en-direct/4445525/exclusif-marseille-deux-interpellations-pour-un-reglement-de-comptes-aux-lauriers-13e.html
jeudi 11 mai 2017
Cinq policiers se jettent à l’eau pour sauver deux SDF de la noyade à Toulouse
L’un des hommes avait lourdement chuté. L’autre a voulu lui porter secours mais s’est retrouvé lui aussi en difficulté
Mardi en fin de journée, des policiers en patrouille sur les berges de la Garonne, à Toulouse, ont aperçu deux personnes chuter dans l’eau. Ils n’ont pas hésité à plonger pour repêcher les malheureux, qui semblaient en difficulté, rapporte La Dépêche du Midi.
A La Unehttp://www.sudouest.fr/
mercredi 10 mai 2017
Refuge SPA de Pau-Berlanne : la vétérinaire convoquée devant le Conseil de l’ordre
Selon une association, 1700 chiens et chats adultes avaient été abattus entre 2010 et 2013
L’affaire avait fait grand bruit, en 2014, en Béarn, suite aux révélations de l’association Animal Cross, mais s’était soldée, sur la plan judiciaire, par un simple rappel à la loi d’un des soigneurs du refuge SPA (Société protectrice des animaux), aujourd’hui en retraite.
Selon Animal Cross, 1700 chiens et chats adultes avaient été abattus entre 2010 et 2013, à Pau-Berlanne. Pour les années 2012 et 2013, la moitié l’aurait été avant le délai légal de 10 jours (8 jours francs selon la loi), délai réservé à la recherche des propriétaires
Ce mardi soir, Benoît et Valérie Thomé, responsables locaux de l’association qui entend relancer l’enquête, ont annoncé que la vétérinaire qui était en fonction en 2013 était convoquée mercredi 10 mai, à 9 heures devant la chambre de discipline de l’Ordre des vétérinaires de Nouvelle-Aquitaine, à Bordeaux.
"Environnement consentant’
Selon l’association, ces "massacres" qu’elle dénonce "n’auraient pas eu lieu sans un environnement consentant". L’association rapporte que la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) a conclu à la conformité de la SPA à deux reprises, en 2012 et 2013.
Piqués directement au cœur sans étourdissement préalable, semble-t-il, les animaux adultes "euthanasiés" étaient ensuite placés dans des congélateurs en attendant le passage de l’équarisseur, tous les jeudis.
Sur la seule année 2013, les registres récupérés par huissier font apparaître que 56% des animaux (152 chiens et 258 chats) auraient été éliminés avant la fin des 10 jours.
L’avocat d’Animal Cross, Me Christophe Arcaute, du barreau de Pau, a déposé une nouvelle plainte devant le doyen des juges d’instruction pour actes de cruauté et sévices graves.
"Sud Ouest" n’avait pas réussi à joindre la vétérinaire mardi soir.
A La Unehttp://www.sudouest.fr/
Ce mardi soir, Benoît et Valérie Thomé, responsables locaux de l’association qui entend relancer l’enquête, ont annoncé que la vétérinaire qui était en fonction en 2013 était convoquée mercredi 10 mai, à 9 heures devant la chambre de discipline de l’Ordre des vétérinaires de Nouvelle-Aquitaine, à Bordeaux.
"Environnement consentant’
Selon l’association, ces "massacres" qu’elle dénonce "n’auraient pas eu lieu sans un environnement consentant". L’association rapporte que la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) a conclu à la conformité de la SPA à deux reprises, en 2012 et 2013.
Piqués directement au cœur sans étourdissement préalable, semble-t-il, les animaux adultes "euthanasiés" étaient ensuite placés dans des congélateurs en attendant le passage de l’équarisseur, tous les jeudis.
Sur la seule année 2013, les registres récupérés par huissier font apparaître que 56% des animaux (152 chiens et 258 chats) auraient été éliminés avant la fin des 10 jours.
L’avocat d’Animal Cross, Me Christophe Arcaute, du barreau de Pau, a déposé une nouvelle plainte devant le doyen des juges d’instruction pour actes de cruauté et sévices graves.
"Sud Ouest" n’avait pas réussi à joindre la vétérinaire mardi soir.
A La Unehttp://www.sudouest.fr/
Retranché chez lui, il se rend après une demi-heure de négociations
Les sapeurs-pompiers et la police sont intervenus dans le quartier de la Montagne-Verte à Strasbourg vers 2h30 dans la nuit de mardi à mercredi. Une centaine de personnes ont été évacuées pendant une demi-heure.
Après une demi-heure de négociations, les policiers ont réussi à convaincre l'occupant d'ouvrir sa porte. L'homme âgé de 48 ans a été placé en garde à vue au commissariat pour les violences commises sur son épouse. Les policiers ont également récupéré deux bouteilles de gaz ouvertes qui se trouvaient à l'intérieur de l'appartement.
Les pompiers ont évacué les occupants de 42 appartements, soit une centaine de personnes, pendant la durée de l'intervention. Ils ont ensuite ventilé l'immeuble.
mardi 9 mai 2017
Il fonce sur un policier puis le roue de coups
Un adjoint de sécurité (ADS) de la police nationale du commissariat de Mulhouse a été sauvagement agressé ce matin alors qu’il rentrait à son domicile à Soultz. L’homme de 25 ans rentrait, après son service, à son domicile situé à Soultz. Il était en tenue civile et après avoir garé son véhicule dans la rue, rentrait à pied. C’est à ce moment qu’il a vu un véhicule lui foncer dessus. Il a eu le temps de l’esquiver, même s’il a été accroché par le rétroviseur.
Son cauchemar était loin d’être terminé puisque le conducteur s’est arrêté quelques mètres plus loin, est sorti de sa voiture et s’est approché du policier pour le rouer de coups. La victime s’est retrouvée à terre avec des hématomes et des douleurs à la mâchoire. Son agresseur s’est enfui, mais le policier, encore en formation, a tout de même pu identifier l’individu : une ancienne connaissance.
La Brigade de recherche de Soultz, qui a mené l’enquête, a réussi à interpeller l’agresseur présumé en fin de journée
Faits divershttp://www.dna.fr/faits-divers
Son cauchemar était loin d’être terminé puisque le conducteur s’est arrêté quelques mètres plus loin, est sorti de sa voiture et s’est approché du policier pour le rouer de coups. La victime s’est retrouvée à terre avec des hématomes et des douleurs à la mâchoire. Son agresseur s’est enfui, mais le policier, encore en formation, a tout de même pu identifier l’individu : une ancienne connaissance.
La Brigade de recherche de Soultz, qui a mené l’enquête, a réussi à interpeller l’agresseur présumé en fin de journée
Faits divershttp://www.dna.fr/faits-divers
lundi 8 mai 2017
Ivresse et tonneaux sur la route
Un automobiliste âgé de 46 ans a fait une violente sortie de route samedi soir (vers 21 heures), alors qu'il circulait à Sainte-Livrade. Arrivé au lieu-dit «Portely», il a percuté un talus avant de réaliser deux tonneaux. Le chauffeur a été légèrement blessé lors de l'accident et a été transporté à l'hôpital de Villeneuve-sur-Lot. Le dépistage d'alcool réalisé par les gendarmes s'est avéré positif.
Sainte-Livrade-sur-Lothttp://www.ladepeche.fr/communes/sainte-livrade-sur-lot,47252.html
Sainte-Livrade-sur-Lothttp://www.ladepeche.fr/communes/sainte-livrade-sur-lot,47252.html
dimanche 7 mai 2017
Enlevée par son ex à Port-La Nouvelle, elle est récupérée au Viaduc de Millau
Mardi dernier, en début d’après midi, une jeune femme, âgée de 19 ans, a été enlevée à Port-la-Nouvelle. L’auteur des faits, un membre de la communauté gitane de 21 ans, et défavorablement connu des services de police, est entré par effraction au domicile de la victime, avant de l’embarquer d’autorité dans un véhicule Clio.
Arrêtés à Millau
La Nouvelloise a tout de même pu alerter sa mère par téléphone, qui a, à son tour, prévenu la gendarmerie. Après de rapides investigations, qui ont permis d’établir que le suspect résidait dans le Puy-de-Dôme et qu’il s’agissait de l’ex-compagnon de la jeune femme, les enquêteurs ont exploité la téléphonie mobile et la vidéosurveillance urbaine. Ils ont constaté que les deux intéressés remontaient en direction de l’Auvergne.
Une bonne coordination entre départements permettra au peloton autoroutier de Millau d’intercepter le véhicule, au niveau du péage du viaduc, avec cinq personnes à son bord, dont la victime qui indiquera aux enquêteurs ne jamais avoir été violentée.
L’ensemble des protagonistes - l’auteur, ses trois complices, et la victime - a été récupéré par les Psig (peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie) de Narbonne et Carcassonne et la brigade de Port-la-Nouvelle. Le parquet de Narbonne a confié l’enquête à la brigade de recherche de Narbonne.
La victime venait de rompre une relation qui datait de quelques années avec le suspect. La perquisition du véhicule n’a rien révélé.
L’auteur, ayant déjà proféré des menaces à l’encontre de son ex-petite amie, a été placé sous contrôle judiciaire. Ses trois complices, dont un mineur, font l’objet d’une convocation en justice pour le 19 juin. Les menaces de mort, la violation de domicile et l’enlèvement ont été retenus.
Enlevée par son ex à Port-La Nouvelle, elle est récupérée au Viaduc de Millauhttp://www.lindependant.fr/2017/05/06/enlevee-par-son-ex-a-port-la-nouvelle-elle-est-recuperee-au-viaduc-de-millau,3012369.php
samedi 6 mai 2017
Un homme séquestré et défenestré, un couple en garde à vue
En garde à vue au commissariat depuis mardi soir, un couple a été conduit au palais de justice jeudi, et présenté au procureur de la République dans le cadre d'une affaire de séquestration. Les deux personnes mises en cause dans ce dossier, un homme et une femme issus de la communauté gitane et âgés d'une trentaine d'années, ont été placées en détention provisoire jeudi, dans l'attente de la transmission du dossier à un magistrat du pôle de l'instruction criminelle de Narbonne.
Carcassonnehttp://www.ladepeche.fr/communes/carcassonne,11069.html
Séquestration sur fond de dette ?
Sur les faits, nous avons appris qu'ils remontent à mardi soir. Ce jour-là, les secours ont été alertés à 21 h 20 par un témoin qui venait de voir sauter un homme depuis le 2e étage de l'immeuble situé au n° 11 de la rue Tranquille, en plein centre de Carcassonne. Souffrant de multiples fractures, la victime, 46 ans, a été prise en charge par les pompiers et les urgentistes du Smur, avant d'être évacuée dans un état jugé critique vers un hôpital toulousain, où il a été plongé dans un coma artificiel.
Une chute du 2e étage qui pourrait être accidentelle ou suicidaire, mais il semble que l'homme ait voulu s'échapper d'un appartement où il était retenu de force par le couple. Une dette d'argent sur fond de trafic de Subutex pourrait être à l'origine de cette séquestration, à laquelle la victime a cherché à échapper en voulant s'enfuir par la fenêtre du second étage. L'a-t-on aidé à tomber alors qu'il voulait descendre par la gouttière ? C'est l'une des questions auxquelles les enquêteurs devront répondre. Suite à leur audition, nous avons appris hier que l'un des deux mis en cause dans ce dossier, à savoir l'homme, a été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire. La femme, quant à elle, a été incarcérée.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/05/06/2569516-homme-sequestre-defenestre-couple-garde-vue.html#SF6HWZFTESI3Ctjg.99
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/05/06/2569516-homme-sequestre-defenestre-couple-garde-vue.html#SF6HWZFTESI3Ctjg.99
vendredi 5 mai 2017
Lyon : elle soutire 200 000 euros à une femme âgée lourdement handicapée
Une femme a été interpellée mercredi dans un hôtel d'Ecully pour avoir utilisé un numéro de carte bleue qui n'était pas à elle. Surprise : les enquêteurs ont découvert que la titulaire de la carte était une femme agée et lourdement handicapée, et qu'elle avait été délestée de 200 000 euros
A l'origine, il s'agit d'une interpellation dans un hôtel d'Ecully (métropole de Lyon) : une femme de 47 ans, originaire de Sainte-Foy-les-Lyon, qui avait réservé une chambre à l'hôtel en utilisant le numéro de la carte bancaire d’une dame âgée de 83 ans, lourdement handicapée.
Sauf qu'au moment de présenter la carte lors de sa présentation à l'hôtel, la cliente n'a pu s'exécuter. Ne disposant pas de la CB , la femme a été interpellée et a déclaré connaître la victime depuis vingt ans. Selon la quadragénaire, la vieille dame lui aurait donné, à sa demande, la somme d’environ 200 000 euros, à raison de 1 000 à 1 500 euros par mois.
Elle a été présentée au parquet jeudi et laissée libre avec ouverture d'information judiciare pour escroquerie, tentative d'escroquerie et abus de faiblesse.
A l'origine, il s'agit d'une interpellation dans un hôtel d'Ecully (métropole de Lyon) : une femme de 47 ans, originaire de Sainte-Foy-les-Lyon, qui avait réservé une chambre à l'hôtel en utilisant le numéro de la carte bancaire d’une dame âgée de 83 ans, lourdement handicapée.
Sauf qu'au moment de présenter la carte lors de sa présentation à l'hôtel, la cliente n'a pu s'exécuter. Ne disposant pas de la CB , la femme a été interpellée et a déclaré connaître la victime depuis vingt ans. Selon la quadragénaire, la vieille dame lui aurait donné, à sa demande, la somme d’environ 200 000 euros, à raison de 1 000 à 1 500 euros par mois.
Elle a été présentée au parquet jeudi et laissée libre avec ouverture d'information judiciare pour escroquerie, tentative d'escroquerie et abus de faiblesse.
- Lyonhttp://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon
jeudi 4 mai 2017
Voiture contre bus : deux blessées
Une voiture et un bus sont entrés en collision ce matin vers 7 h 10 sur la RD19 entre Bollwiller et Staffelfelden. Les deux occupantes du véhicule léger ont été touchées. La passagère, 41 ans, a pu s’extraire de la voiture par elle-même. La conductrice, 61 ans, a dû être désincarcérée par les sapeurs-pompiers. Elles ont toutes deux été prises en charge par les secours. La conductrice du bus – qui circulait à vide – n’a pas été blessée.
La RD19 a été coupée le temps des opérations. Les gendarmes ont procédé aux constations d’usage.
Pays de la potassehttp://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/pays-de-la-potasse
La RD19 a été coupée le temps des opérations. Les gendarmes ont procédé aux constations d’usage.
Pays de la potassehttp://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/pays-de-la-potasse
mercredi 3 mai 2017
Maine-et-Loire: Une octogénaire soupçonnée d'avoir empoisonné son mari à la mort aux rats
Une information judiciaire a été ouverte, selon le parquet d’Angers. Une octogénaire, habitant à Challain-la-Potherie dans le Maine-et-Loire, est soupçonnée par les enquêteurs d’avoir empoisonné son mari, rapporte ce mercredi le quotidien Ouest-France.
Elle lui aurait administré de la mort-aux-rats.
Les soupçons se sont portés sur son épouse, qu’il avait rencontrée il y a une trentaine d’années. Cette femme lui rendait visite tous les jours à l’heure du déjeuner, à la maison de retraite de Pouancé, dans laquelle il résidait
Elle lui aurait administré de la mort-aux-rats.
L’homme est décédé fin 2016
Le vieil homme, âgé d’environ 85 ans, est décédé en décembre dernier après avoir été hospitalisé quelques mois auparavant, pour des hémorragies. Toujours selon le quotidien régional, les médecins avaient alors retrouvé des traces du poison dans son sang.Les soupçons se sont portés sur son épouse, qu’il avait rencontrée il y a une trentaine d’années. Cette femme lui rendait visite tous les jours à l’heure du déjeuner, à la maison de retraite de Pouancé, dans laquelle il résidait
- Maine-et-Loirehttp://www.20minutes.fr/dossier/maine-et-loire
lundi 1 mai 2017
Montreuil: Il étrangle sa mère de 86 ans sans pouvoir expliquer son geste
Un homme a avoué dimanche avoir étranglé sa mère de 86 ans à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Le moment du décès de l’octogénaire n’avait pas été déterminé lundi. La victime a été découverte par ses filles dimanche à la mi-journée, morte étranglée dans son lit.
L’auteur présumé du meurtre n’a pu expliquer son geste aux enquêteurs. Agé de 50 ans, il « vivait en ermite » dans le même logement que sa mère octogénaire. Il a été examiné par un psychiatre, qui a estimé que son discernement n’était « ni altéré ni aboli », a ajouté cette source.
La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est saisie de l’enquête.
Montreuilhttp://www.20minutes.fr/dossier/montreuil
L’auteur présumé du meurtre n’a pu expliquer son geste aux enquêteurs. Agé de 50 ans, il « vivait en ermite » dans le même logement que sa mère octogénaire. Il a été examiné par un psychiatre, qui a estimé que son discernement n’était « ni altéré ni aboli », a ajouté cette source.
La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est saisie de l’enquête.
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