Le Perpignanais de 54 ans arrêté mardi à 12 h 10 par la police judiciaire, et qui est depuis placé en garde à vue, a catégoriquement nié lors de ses auditions être impliqué dans l'épouvantable meurtre de Mokhtaria Chaïb, 19 ans, tuée et mutilée le 20 décembre 1997 dans un terrain vague proche de la gare.
Interpellé par la PJ à la suite d'un rapprochement fait entre son profil ADN et l'un des scellés prélevés sur la scène de crime, il a été interrogé très longuement, jusque tard dans la nuit de mardi à ce mercredi. Cet homme originaire Hailles, dans la Somme, a confirmé s'être trouvé à l'époque du crime à Perpignan, où il était arrivé depuis quelques mois. Il résidait alors dans des hôtels, et travaillait en intérim comme cariste et manutentionnaire.
Sa garde à vue a été prolongée de 24 h par les deux juges d'instruction chargées du dossier : ce n'est donc que jeudi, à la mi-journée, que l'on saura si les magistrates estiment avoir suffisamment d'éléments pour une mise en examen, ou bien si les explications fournies par le suspect transforment ce nouvel espoir en fausse piste supplémentaire, dans cette enquête qui dure depuis 14 ans.
http://www.midilibre.fr//2014/10/15/disparues-de-perpignan-soupconne-du-meurtre-de-mokhtaria-il-nie-les-faits,1066477.php
Interpellé par la PJ à la suite d'un rapprochement fait entre son profil ADN et l'un des scellés prélevés sur la scène de crime, il a été interrogé très longuement, jusque tard dans la nuit de mardi à ce mercredi. Cet homme originaire Hailles, dans la Somme, a confirmé s'être trouvé à l'époque du crime à Perpignan, où il était arrivé depuis quelques mois. Il résidait alors dans des hôtels, et travaillait en intérim comme cariste et manutentionnaire.
Un long passé de délinquant sexuel
Par ailleurs, il se confirme qu'il a derrière lui un long passé de délinquant sexuel, avec des condamnations qui lui ont valu de passer plusieurs années derrière les barreaux. Il a également été condamné pour des faits de violence.Sa garde à vue a été prolongée de 24 h par les deux juges d'instruction chargées du dossier : ce n'est donc que jeudi, à la mi-journée, que l'on saura si les magistrates estiment avoir suffisamment d'éléments pour une mise en examen, ou bien si les explications fournies par le suspect transforment ce nouvel espoir en fausse piste supplémentaire, dans cette enquête qui dure depuis 14 ans.
http://www.midilibre.fr//2014/10/15/disparues-de-perpignan-soupconne-du-meurtre-de-mokhtaria-il-nie-les-faits,1066477.php
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