Vers 10 heures, hier, le corps sans vie d'une femme âgée de 46 ans a été découvert dans le quartier des Minimes, à l'arrière de la résidence de cinq étages Les Coureilles, située avenue du Lazaret. Les sapeurs-pompiers ont été alertés par une personne demeurant dans la résidence. Les pompiers ont constaté le décès et plusieurs fonctionnaires du commissariat ont établi différents relevés. Le parquet de La Rochelle a indiqué que la victime était domiciliée, à l'année, dans un appartement situé au 4e étage de l'immeuble.
Sous le choc
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de ce décès. Il n'est pas exclu que la femme soit tombée, ou ait sauté, du petit balcon, protégé par un haut garde-corps, à proximité de la porte-fenêtre coulissante. Hier, le concubin de la victime, sous le choc, a été hospitalisé. Il devrait être entendu aujourd'hui par les enquêteurs.
La nouvelle de la macabre découverte, à l'arrière du numéro 15, a commencé à être connue. Il s'est dit que le concubin s'était réveillé et n'avait pas vu sa compagne à ses côtés.
Troublé par ce décès, un des locataires de la résidence a précisé que la victime, Valérie Feurprier, était mère d'une fille d'une vingtaine d'années et vivait dans l'appartement de la résidence depuis deux ans et demi. Il a indiqué que le couple était de bon voisinage. « Mais on ne sait pas ce qui se passe dans la vie et la tête des gens », a-t-il lâché.
La victime était, depuis mai 2011, présidente de la petite société Éclat, basée à Aytré (sud de La Rochelle). Cette société, dont l'activité est en rapport avec les centres d'appels, a été mise, le 9 août, en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de La Rochelle
http://www.sudouest.fr/2012/08/17/deces-d-une-femme-tombee-du-4e-etage-796906-1391.php
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