samedi 29 décembre 2018

Isolation à 1 €, attention aux arnaques, en Lorraine

Isoler sa maison pour 1 €, quelle aubaine grâce au plan Climaxion ! D’autant que ces aides des pouvoirs publics sont réservées aux ménages modestes ou très modestes. Pourtant, des sociétés peu scrupuleuses de travaux d’isolation ont trouvé le moyen de gagner de l’argent à moindre effort, sans assurer la qualité des prestations énergétiques. C’est la mésaventure que Sandrine à Rehainviller (54) a connue à l’été 2017. « Début août, j’avais rempli un questionnaire sur Facebook et j’ai eu la surprise de découvrir que j’étais éligible à l’isolation à 1€ », explique la jeune femme. Quelques jours après, une entreprise la contacte pour réaliser les travaux, l’isolation du plafond de son garage de plus de 30 m². « Ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas besoin de faire de devis, qu’ils verraient sur place », s’étonne la propriétaire. Et dès le 13 août, les ouvriers sont à pied d’œuvre. Le temps d’une matinée, avec une camionnette de location et des employés qui ne parlent pas la langue de Molière. Pose effectuée, elle paye son euro d’une facture totale s’élevant à 369,71 €. « Ce sont mes parents qui étaient là, quand je suis rentrée le soir, c’était très mal posé et il y avait déjà des panneaux de laine minérale qui tombaient… », s’étonne Sandrine. Alors a commencé pour elle une bataille pour faire retirer cette isolation qui n’en a que le nom. « Aux premiers appels, ils m’ont dit : “Vous n’allez pas réclamer pour une prestation qui vous a coûté 1 € quand même ?” Moi si. » Ce qu’elle demande surtout, c’est qu’ils l’enlèvent.

Des travaux qui auraient dû coûter autour de 2.000 €

Entre-temps, elle a fait venir un véritable artisan qui lui a établi un devis autour de 2.000 €, et qui était tout autant éligible à l’isolation à 1 €. Le travail de la première entreprise a fait rire jaune ce professionnel. Mais Sandrine n’a pas désarmé. Après de multiples mails et coups de téléphone, elle obtient qu’ils viennent enlever leur isolant le 23 août. Et encore, il a de nouveau fallu insister pour qu’ils emportent les débris. Ils voulaient que Sandrine apporte elle-même la laine minérale à la déchetterie. Ensuite, elle a réclamé le remboursement de l’euro et l’annulation de la facturation, pas pour l’argent, mais surtout pour qu’elle puisse à nouveau profiter du système mais pour un vrai travail. Las, au bout de quelques relances sans succès, Sandrine a baissé les bras. Au final, un an après, son garage n’est toujours pas isolé.

vendredi 28 décembre 2018

Lyon: Elle rentre chez elle après un accident de la route et meurt le lendemain

Une femme de 58 ans est décédée jeudi des suites d’un accident de voiture survenu la veille à Givors (Rhône), après lequel elle était simplement rentrée chez elle, a annoncé vendredi la police.

Dans la nuit, elle était prise de violentes douleurs et perdait connaissance. Transportée à l’hôpital, elle a succombé à ses blessures jeudi matin.

Deux hommes à l’origine de l’accident interpellés


D’après l’autopsie, elle a été victime lors de l’accident d’un traumatisme abdominal ayant entraîné la perforation de plusieurs organes vitaux, cause du décès.

L’enquête a rapidement permis d’identifier et d’interpeller les occupants d’une camionnette partie après l’accident. Ses occupants ont reconnu leur implication, mais nient le délit de fuite. Ces deux hommes âgés de 31 et 23 ans sont déférés au parquet de Lyon vendredi.


mardi 25 décembre 2018

Son véhicule tombe dans un cours d’eau à Golbey : elle se réfugie dans le coffre pour être secourue

Une conductrice d’une soixantaine d’années a frisé le pire ce lundi soir à Golbey, alors qu’elle se rendait à un réveillon de Noël chez des proches. Cette sexagénaire circulait dans les rues de golbéennes, aux environs de 19 h, lorsqu’elle s’est perdue au niveau de la rue Alexandre Dumas. Arrivée devant la confiserie Baillet, la sexagénaire a voulu rebrousser chemin. Sauf que derrière elle se trouvait un cours d’eau. En effectuant son demi-tour, elle a fait une mauvaise manœuvre et son véhicule a dévalé le talus pour finir dans le cours d’eau. Par chance, la conductrice a réussi à se dégager de son siège alors que le niveau d’eau montait dans l’habitacle. Elle a alors pu se réfugier à hauteur du coffre qui se trouvait hors de l’eau. C’est de là qu’elle a contacté les secours pour qu’ils puissent la sortir de ce guêpier. Une quinzaine de pompiers et une patrouille du commissariat de police d’Epinal ont été envoyés sur les lieux. Une fois sur place, un plongeur de l’équipe de secours aquatique de Capavenir Vosges a pu accéder au coffre et ainsi soutenir la sexagénaire, le temps qu’elle soit extirpée du véhicule.
En hypothermie, elle a été conduite au centre hospitalier d’Epinal mais ces jours ne sont pas en danger.
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samedi 22 décembre 2018

Gilets jaunes : un autre décès en marge d'un rassemblement


Dans la nuit de vendredi à ce samedi, un automobiliste de 36 ans est mort après avoir percuté un camion à l'arrêt à proximité d'un rassemblement de gilets jaunes, rapporte l'Indépendant.
L'accident a eu lieu sur la D900, au péage sud de Perpignan (Pyrénées-Orientales)lors d'un barrage filtrant.

Les gilets jaunes s'enfuient

« Le chauffeur du poids lourd est resté sur place et a attendu l’arrivée de la police, contrairement aux personnes qui bloquaient la route et qui se sont enfuies », a souligné Jean-Jacques Fagni, précisant qu’il ne restait « que deux ou trois femmes gilets jaunes choquées, qui ont aussi attendu la police ».
Une information judiciaire a été ouverte.
Il s'agit du 10e décès en France en marge des manifestations des gilets jaunes.
A la Une https://www.dna.fr/

Prévisions Météo-France du 22 au 24 Décembre 2018

jeudi 20 décembre 2018

Lorraine : attention aux accidents dûs au monoxyde de carbone

Entre octobre 2017 et avril 2018, la période hivernale, en région Grand Est, 332 personnes ont été intoxiquées au monoxyde de carbone, dont deux mortelles, au cours de 111 accidents selon l’Agence régionale de santé (ARS). Et depuis le début de l’hiver, les exemples se multiplient. Rien qu’en novembre, il y a eu 44 intoxications lors d’une réunion associative à Azannes-et-Soumazannes (Meuse), quatre à Coume en Moselle et six à Coussey (Vosges) lors de messes. Mais ces sinistres surviennent plus généralement au domicile de particuliers, avec moins de victimes mais aux conséquences souvent plus graves. Les départements les plus touchés sont la Meurthe-et-Moselle (29 accidents), le Bas-Rhin (28) et la Moselle (16) en région Grand Est. Mais contrairement à certaines croyances, dans plus de la moitié des cas, ce ne sont pas des cheminées qui produisent ce gaz mortel, mais des chaudières en mauvais état ou mal entretenues. Les appareils concernés sont les chaudières (bois, charbon, gaz, fioul), les chauffe-eau, les inserts de cheminées et poêles, les groupes électrogènes (essence, fioul), les chauffages mobiles d’appoint, les cuisinières (bois, charbon, gaz), mais également les moteurs automobiles dans les garages ou encore les appareils type brasero. Des logements mal ventilés ou dont les aérations ont été bouchées pour conserver la chaleur forment le cocktail parfait pour provoquer un accident même si au départ, l’émanation de monoxyde de carbone était relativement minime. Bien sûr, la précarité énergétique encourage souvent les occupants à se calfeutrer plus que de raison comme à négliger l’entretien tant que l’appareil chauffe.
Le monoxyde de carbone est créé lors de combustions incomplètes, mais son danger provient surtout du fait qu’il soit totalement inodore et incolore. Ainsi, même une petite émission de gaz du moyen de chauffage, va permettre une accumulation dans les locaux en se mélangeant à l’air ambiant. Le lieutenant-colonel Michael Bernier de la Sécurité civile au ministère de l’Intérieur explique que même les sapeurs-pompiers ont dû changer leurs procédures pour se prémunir des risques. « Lors des phases de déblaiement après un feu d’habitation éteint, on oblige les hommes à porter les masques respiratoires car il n’était pas rare que l’on ait des intoxications légères. » Les premiers symptômes sont difficilement détectables ou attribués à d’autres causes. Cela peut apparaître sous forme de fatigue, de vertiges, de nausées, de maux de tête ou encore de troubles visuels. L’alerte est souvent donnée quand les victimes arrivent au stade de la perte de connaissance qui peut aller jusqu’au coma. En cas de suspicion, les premiers gestes à adopter sont de couper l’appareil, d’ouvrir portes et fenêtres avant de quitter les lieux pour appeler les secours.
Et le lieutenant-colonel Michael Bernier de la Sécurité civile d’ajouter : « Statistiquement, on a une hausse des accidents quand il y a des coups de froid car les chauffages ont juste ronronné au préalable. »

mardi 18 décembre 2018

Un footballeur amateur succombe à un arrêt cardiaque en plein match

Un joueur de l'AS Miramont, dans le Lot-et-Garonne, est décédé dimanche après-midi, lors du match de football qui opposait son équipe au FC Pont-du-Casse-Foulayronnes, rapporte Sud-Ouest.
Ben Djadid Attoumane, 35 ans, s'est écroulé sur la pelouse, à 9 minutes de la fin de cette rencontre comptant pour la 4e division du championnat départemental.
Le joueur a succombé à un arrêt cardiaque, malgré les efforts pour le réanimer. Un médecin présent sur le stade lui a notamment prodigué un massages cardiaque, et le défibrillateur du le stade a été utilisé. En vain.
"On l’a vu tomber tout seul près de l’arbitre mais on ne savait pas exactement ce qu’il lui était arrivé ", a déclaré l'entraîneur du joueur à La Dépêche du Midi. Ben Djadid Attoumane était père de deux petites filles, selon La Montagne.
Une enquête a été ouverte pour "recherche des causes de la mort". Une autopsie doit notamment être pratiquée.
A la Une https://www.dna.fr/

lundi 17 décembre 2018

Collision frontale entre une voiture et un camion: 2 morts

L'accident s'est produit ce lundi matin à 4h30 sur la RN59 entre Sainte-Marie-aux-Mines et Lièpvre, sur le pont de la Sobache (ban de la commune de Sainte-Croix-aux-Mines). Selon les premiers éléments de l'enquête, une voiture qui circulait dans le sens montant a percuté un camion qui descendait la vallée. Le choc frontal a été très violent. Les deux personnes qui se trouvaient dans la voiture sont décédées sur le coup. Il s'agit de deux hommes âgés de 46 et 39 ans.
Les pompiers du Val d'Argent sont intervenus rapidement, avec le renfort de Sélestat et d'Ostheim, soit un total de 14 personnels. Deux équipages du SMUR de Sélestat et de Colmar ont également été engagés. Le chauffeur du poids lourds a indiqué qu'il n'a rien pu faire pour éviter le véhicule qui arrivait directement sur lui.
Une déviation a été mise en place par les services de la DIREst à hauteur du rond point de Lièpvre pour les véhicules dans le sens montant, qui sont invités à passer par les villages de la vallée. Prudence dans le sens descendant à hauteur de l'accident: il s'agit d'emprunter la chaussée opposée.
L'intervention s'est achevée vers 9h20, a ensuite annoncé la DIREst
>Faits divershttps://www.dna.fr/faits-divers

samedi 15 décembre 2018

Sept voitures percutées par une septuagénaire qui roulait à contresens

Une conductrice âgée de 73 ans a pris la Nationale 12 à contresens vendredi aux alentours de 17 heures. Au volant de son Audi A7, elle a percuté sept voitures dans le sens Paris-province.

La gendarmerie, alertée par de nombreux appels, a envoyé quatre équipages sur place dans le secteur de Houdan, précise Le Parisien. Les forces de l’ordre ont alors mis en place une déviation en amont de la route afin de mettre à l’abri un maximum de véhicules.
Et c’est un autre conducteur qui est parvenu à arrêter la course folle. La septuagénaire, qui roulait à allure modérée, n’a pas causé de blessure grave, a précisé la gendarmerie au média francilien.
Ce dernier a recueilli des témoignages d’un proche de la conductrice. Celle-ci souffrirait de la maladie d’Alzheimer et n’a pas été blessée. Elle a toutefois été transportée à l’hôpital de Dreux (Eure-et-Loir) pour des examens.

Faits divershttps://www.cnews.fr/faits-divers

mercredi 12 décembre 2018

Fusillade à Strasbourg: Que sait-on de Cherif. C.


Il a « semé la terreur sur trois points » de Strasbourg, mardi soir à partir de 19h50, tuant deux personnes et en blessant 14 autres, dont neuf grièvement, d’après un dernier bilan effectué mercredi à 10 heures. Selon nos informations, le suspect, qui était toujours en fuite, est un Strasbourgeois de 29 ans, Chérif C. Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « assassinat, tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste criminelle ». La préfecture a indiqué qu’il était fiché S, l’abréviation pour « Sûreté de l’Etat », par les services antiterroristes.

Sur France Inter, ce mercredi matin, Laurent Nuñez, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur a donné quelques éléments d’informations sur son profil. « C’est un individu qui est connu en droit commun pour beaucoup de délits autres que le terrorisme. Il n’a jamais été connu pour des délits liés au terrorisme. Mais il a un casier [judiciaire] important. » Raison pour laquelle le secrétaire d’Etat se garde bien, pour le moment de parler d’une « motivation terroriste » de cette attaque.

L'état de la menace terroriste en France

mardi 11 décembre 2018

Fusillade à Strasbourg: Des tirs dans le centre-ville, plusieurs blessés


Un mort et six blessés, selon la préfecture


D'après la préfecture du Bas-Rhin, une personne a été tuée et six autres blessées dans cette attaque. 


Une fusillade a eu lieu mardi soir au centre-ville de Strasbourg, où a lieu son marché de Noël, et la mairie a appelé les habitants à « rester chez eux ». Selon notre journaliste sur place, des coups de feu ont été entendus peu avant 20 heures dans une petite rue du centre-ville. 

Une source policière confirme à 20 Minutes qu'il y a eu plusieurs tirs et qu'il y a pour l'heure, plusieurs blessés.
« Fusillade dans le centre-ville de Strasbourg. Merci à tous de rester chez vous en attendant une clarification de la situation », a tweeté Alain Fontanel, premier adjoint au maire de Strasbourg.



dimanche 9 décembre 2018

Accident mortel sur la RD657 entre Vittonville et Champey

À l’arrivée des pompiers du centre de secours de Pont-à-Mousson, l’homme de 31 ans, incarcéré dans son véhicule, était décédé, samedi soir à 21 h.
Seul à bord, il a quitté la chaussée sur la départementale 657 à la sortie de Champey en direction de Vittonville. Le véhicule s’est disloqué en trois parties sous la violence du choc, elles étaient éparpillées sur plusieurs mètres.
Dix-sept sapeurs-pompiers, placés sous le commandement du lieutenant David Godnir, chef de groupe, sont intervenus pour extraire l’homme de l’habitacle.
Les gendarmes de la compagnie de Nomeny étaient également sur place afin de déterminer les circonstances de l’accident sur cette route de campagne balayée par les rafales de vent et la pluie.
https://www.estrepublicain.fr/faits-divers/accidentAcciden

vendredi 7 décembre 2018

Les lycéens de Guise réalisent un barrage filtrant ce vendredi


Comme annoncé lors de leur mouvement de jeudi, les lycéens de Guise, toujours une cinquantaine, ont installé un barrage filtrant sur le carrefour principal de la cité des Ducs. La circulation est ralentie mais pas bloquée.

Gendarmes de Guise et police municipale sont sur place pour éviter les débordements………….. LIRE DANS LE JOURNAL L'AISNE NOUVELLE ……………  Les lycéens de Guise réalisent un barrage filtrant ce vendredi http://www.aisnenouvelle.fr/82230/article/2018-12-07/les-lyceens-de-guise-realisent-un-barrage-filtrant-ce-vendredi

Voiture contre scooter : un mort à Thierville-sur-Meuse

L’accident s’est produit jeudi vers 20 h sur la D38, route de Varennes.
Selon les premiers éléments, un scooter piloté par un homme d’une petite quarantaine d’années et originaire du secteur de Verdun circulait sur cette route dans le sens Thierville-sur-Meuse - Charny-sur-Meuse. Selon toute vraisemblance, un automobiliste, originaire du secteur roulait également sur cette route et dans le même sens de circulation. Les deux véhicules, pour des raisons encore indéterminées, sont alors entrés en collision.
Le choc a été d’une rare violence. Le conducteur du scooter a été projeté à plusieurs dizaines de mètres et son véhicule a été pulvérisé. L’homme est décédé sur le coup.

Enquête

Le chauffeur de la voiture, choqué, a été transporté au centre hospitalier de Verdun.
Circulant en sens inverse, une voiture a reçu des débris issus de l’accident. La conductrice n’est pas blessée.
Sur place, les sapeurs-pompiers de Verdun, commandés par le lieutenant Thierry George, sont intervenus très rapidement. Le SAMU 55 s’est également rendu sur place et n’a pu que constater le décès du cyclomotoriste.
Les hommes du commissariat de police de Verdun ont procédé à la sécurisation des lieux ainsi qu’aux constatations d’usage. Ils sont chargés de l’enquête qui devra déterminer les causes exactes de l’accident.
La circulation a été très fortement perturbée. Elle s’est effectuée sur une voie de circulation le temps des opérations de secours.


mercredi 5 décembre 2018

Un jeune homme perd le contrôle de sa moto dans un virage et se tue

Au guidon de sa Yamaha, un motard de 26 ans est décédé tragiquement dans une collision à Tourrettes-sur-Loup, sur la route de Grasse.


Un dramatique accident de la route a endeuillé la commune de Tourrettes-sur-Loup mardi. Peu avant 20 heures, dans un virage de la sinueuse route de Grasse, un jeune motard a perdu la vie au guidon de sa Yamaha 600 XT, un trail homologué pour la route.
Le jeune homme, âgé de 26 ans, aurait perdu le contrôle de son engin qui, après une embardée, est allé percuter un véhicule qui arrivait en sens opposé.
L'automobiliste a immédiatement prévenu les secours, mais leurs efforts sont restés vains: la victime était décédée sur le coup.
En état de choc, l'automobiliste, un trentenaire grassois qui rentrait du travail, a été pris en charge par les pompiers et transporté à l'hôpital de Grasse.
La RD 2210 a dû être coupée dans les deux sens durant l'intervention des secours, et n'a pu rouvrir que vers 22h30.
Faits-Divershttps://www.nicematin.com/sujet/faits-divers