Le mystère reste entier après la découverte du corps sans vie d’une Grenobloise de 38 ans, partiellement brûlée, lundi soir dans son appartement, du cours de la Libération à Grenoble. L’autopsie a établi que la victime a succombé aux blessures causées par ces brûlures vraisemblablement dues à une aspersion de produits chimiques.
Lundi, en fin de journée, une femme d’une trentaine d’années, attirée par des gémissement provenant de la chambre de sa colocataire, a en effet alerté les secours après avoir découvert cette dernière allongée sur un matelas visiblement grièvement blessée. À leur arrivée, les sapeurs-pompiers et une équipe du Samu n’ont pu que constater le décès de Sandrine Hanifi, une mère de famille de 38 ans.
Brûlée à la soude ou à l’acide
Aucune blessure par arme blanche ou par arme à feu n’aurait été découverte sur le corps de Sandrine Hanifi. Les enquêteurs, qui excluent d’ores et déjà toute autre thèse que celle du meurtre, chercheraient désormais à en savoir plus sur la victime et sur ses relations.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/05/04/le-meurtre-barbare-d-une-grenobloise
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