Incendie: l'A9 rouverte dans les deux sens

L'autoroute A9/AP-7 Perpignan-Barcelone, déjà fermée à deux reprises en raison de violents incendies en Catalogne, a été rouverte aujourd'hui vers 16h dans les deux sens de circulation, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la préfecture des Pyrénées-Orientales. De même, le franchissement de la frontière franco-espagnole par la route départementale D900 est ouvert, non loin de l'A9, a encore indiqué la préfecture.

Le feu qui embrase la Catalogne espagnole a provoqué la mort de quatre Français.
L'orientation du vent a changé aujourd'hui. La violente tramontane a cédé la place au marin, un vent d'est humide venant de Méditerranée, de moindre puissance. Si le feu est toujours hors de contrôle en Espagne, il a été maîtrisé du côté français, où les communes du Perthus et de Cerbère, toutes deux dans les Pyrénées-Orientales, déplorent une vingtaine d'hectares brûlées, contre plus de 13.000 en Espagne

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/23/97001-20120723FILWWW00414-incendie-l-a9-rouverte-dans-les-deux-sens.php

Saint-Pol-de-Léon (29). Deux blessés graves dans un choc frontal

Un choc frontal entre deux véhicules a fait deux blessés graves ce lundi, vers 8 h 30, près du pont de la Corde, à Saint-Pol-de-Léon (29). L’état des deux Clios accidentées témoignait de la violence du choc.
Vers 9 h, un jeune homme âgé de 25 ans et résidant à Ploufragan (22) a été transporté au centre hospitalier de Morlaix. Il souffre de multiples traumatismes.
Une jeune femme âgée de 28 ans et originaire de l’Ain conduisait l’autre véhicule. Consciente, mais souffrant de plusieurs fractures aux jambes, elle a été désincarcérée par les pompiers de Morlaix. Et, vers 10 h 30, elle a été hélitreuillée par le Dragon 29 vers le centre hospitalier de la Cavale Blanche, à Brest

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/stpoldeleon/stpoldeleon/saint-pol-de-leon-29-deux-blesses-graves-dans-un-choc-frontal-23-07-2012-1784284.php

Foix. Un dépôt de plainte qui tourne à la menace de mort

A.Z., 35 ans, ancien chercheur à Minsk, comparaît à la barre du tribunal pour outrage à personne dépositaire de l'autorité publique ainsi que conduite en état d'alcoolémie (0,80 mg) alors que son permis était déjà suspendu.
Le matin du 18 mai dernier, de retour du travail, A.Z. constate la disparition de sa carte bleue et va porter plainte. Il se rend tout d'abord à la brigade de gendarmerie de La Bastide-de-Sérou (proche de chez lui), où on le prie de s'adresser au commissariat de Foix. Parvenu sur les lieux de la préfecture en auto-stop, il se voit une fois de plus débouté par les policiers, qui l'envoyent à la brigade de gendarmerie de Foix, laquelle n'est plus habilitée à recevoir des plaintes…

«Je vais vous faire exécuter !»

Revenu à La Bastide pour, une fois encore, il se fait éconduire par la maréchaussée. Il décide de revenir à Foix, à bord cette fois-ci de son propre véhicule, non sans s'être, entre-temps, réconforté avec un petit verre.
Il insulte alors copieusement et menaçe deux gendarmes fuxéens : «On se reverra, je vais vous faire exécuter ! Celui qui m'a fait pleurer paiera chaque larme…». L'homme se fait passer pour un ancien officier russe qui a sans doute de contacts avec la fameuse Mafia.
À la barre, A.Z. s'explique et fait amende honorable : «Cela faisait trois fois que je répétais la même chose, j'ai essayé de rester correct, mais je me suis énervé… Mes paroles ont dépassé ma pensée, je n'ai rien à voir avec la Russie».

«Son comportement reste inexcusable»

Le procureur enchaînera après que la partie civile (les deux gendarmes) aura réclamé deux fois 1 000 euros de dommages et intérêts : «On peut comprendre que, baladé d'un service à l'autre (aucun n'étant habilité à recevoir sa plainte), A.Z. se soit énervé. Mais son comportement reste inexcusable». Et de requérir quatre mois assortis d'une mise à l'épreuve, obligation d'indemniser la partie civile et trois mois de suspension de permis.
La défense (Me Delrieu) appuiera sur «le contexte particulier», tentant de minimiser le comportement de son client, lequel «a absolument besoin de son permis pour travailler».
Délibéré : quatre mois assortis d'une mise à l'épreuve de dix-huit mois ; obligation de soins et d'indemniser les victimes (deux fois 300 euros).

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/23/1405318-un-depot-de-plainte-qui-tourne-a-la-menace-de-mort.html

Deux motards blessés dans un accident

Samedi, vers 22h30, une moto a été percutée à l'arrière par une voiture, à l'entrée de Quiberon. La violence du choc a projeté l'engin à plusieurs mètres, et son passager sur le pare-brise du véhicule. D'après les premiers éléments, l'automobiliste, âgé de 27ans et originaire de Larmor-Plage, était sous l'empire de l'alcool et roulait à grande vitesse. Des traces de freinage d'environ 50mètres ont, en effet, été relevées sur place. Placé en garde à vue, le jeune homme s'est vu retirer son permis de conduire. Il sera convoqué devant la justice prochainement. Les deux motards, des estivants âgés de 47et 48ans et originaires de l'Oise, blessés, ont été transportés par les sapeurs-pompiers de Quiberon au centre hospitalier de Vannes. D'après les gendarmes, ils en seraient sortis hier après-midi.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/index_morbihan.php

Foussignac (16) : il atterrit d'urgence au ras des vignes

Un avion de tourisme a atterri d'urgence ce dimanche après-midi à 16h40 dans un champ de Foussignac, près de Jarnac. Seul à bord du Pottier 230, Pierre Laborde, 64 ans, de Salle-d'Angles, est indemne.
Le pilote avait décollé de Cognac environ une heure plus tôt. Surpris par une panne moteur, peut-être une panne d'allumage, en plein vol, le pilote n'a pas eu d'autre choix que d'atterrir dans un champ, arrachant au passage une dizaine de plants de vigne.

Les gendarmes de la brigade des transports aériens de Mérignac sont attendus sur place.

http://www.sudouest.fr/2012/07/22/foussignac-16-il-atterrit-d-urgence-au-ras-des-vignes-776373-919.php

Un quadeur se blesse grièvement à Fressancourt

Dans la nuit de vendredi à dimanche, vers 23 h 30, les sapeurs-pompiers de La Fère ont reçu un appel pour un accident qui venait de se produire dans l'agglomération, à Fressancourt.
Le pilote d'un quad, âgé de 20 ans, venait de perdre le contrôle de son véhicule et avait fini sa course dans le portail d'une habitation.
Prévenus, les gendarmes de la communauté de brigades de Chauny, se rendaient également sur les lieux.
La victime, un jeune homme âgé de 20 ans, est domiciliée chez ses parents à Versigny, une commune voisine du lieu de l'accident. C'est pour une raison indéterminée que le pilote aurait perdu toute maîtrise de son quad avant de percuter violemment le portail.
À l'arrivée des secours, éjecté de son engin motorisé, il souffrait de multiples blessures en différentes parties de son corps. La victime, après avoir reçu les premiers soins sur place, a été transportée à l'hôpital de Laon. Selon les secouristes, la victime a été admise dans un état jugé sérieux, son pronostic vital pourrait être engagé.
Les militaires ont procédé aux constatations d'usage et ouvert une enquête, ils sont en attente d'une prise de sang effectuée sur le quadeur, afin d'établir s'il était ou non, sous l'emprise d'un état alcoolique. Cet accident a eu lieu sur un petit axe routier communal, dans un lotissement résidentiel.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-quadeur-se-blesse-grievement-a-fressancourt

CHAUSSOY-EPAGNY (80) Une femme de 38 ans a disparu

Samedi à 11h30, Christelle Machu, a disparu. Cette femme de 38 ans a quitté, à vélo, le domicile conjugal, à Chaussoy-Epagny et n'est jamais revenue.

Elle était alors vêtue d'un pull blanc, d'un bandeau, d'un jean et de baskets blanches. Christelle Machu mesure 1m70, pèse environ 55 kg et a les yeux bleus. Son compagnon, M. Tabar, explique que sa femme est atteinte d'un cancer.

Les gendarmes de Moreuil et d'Ailly-sur-Noye ont lancé un avis de recherche national. Des patrouilles ont d'ores et déjà contacté tous les hôpitaux et les pharmacies de garde du secteur : sans succès.

Les personnes ayant des informations doivent contacter les gendarmes au 03 22 22 51 77.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Une-femme-de-38-ans-a-disparu

Ivre, elle refuse le contrôle et mord les policiers à Nice

C'est ce qu'on appelle avoir une dent contre la police ! Une jeune femme de 37 ans qui avait sérieusement abusé de la boutanche a mordu, samedi matin, un agent des forces de l'ordre.

Cette histoire de crocs croquignolette commence quand cette jeune femme est contrôlée ivre au volant de sa voiture sur la Prom'. Les policiers se sont vite rendu compte qu'elle avait les dents du fond qui baignaient... Mais étaient loin de se douter qu'elle avait aussi la dent dure.

Bref, ils embarquent la conductrice avinée au commissariat. Las, elle refuse de se soumettre aux tests d'alcoolémie. Les policiers décident donc de la conduire à l'hôpital pour une prise de sang.

C'est au moment, où elle allait monter dans la voiture, qu'elle a sorti les crocs et gnaqué un malheureux fonctionnaire. Et si verbalement elle n'était pas très incisive, elle avait bien toutes ses dents comme a pu le constater à ses dépens le malheureux policier qui a laissé la peau du dos dans ce drame dentaire !

La croqueuse d'hommes en bleu risque de s'en mordre les doigts : non seulement, elle va passer une partie du week-end en cellule avec un bon mal de cheveux mais en plus, une fois qu'elle aura redécouvert les bienfaits de l'eau, elle sera jugée pour conduite en état d'ivresse et outrage aux forces de l'ordre !

http://www.nicematin.com/nice/ivre-elle-refuse-le-controle-et-mord-les-policiers-a-nice.940369.html

Payé 2000 € pour passer 230 kg de shit

Contre 2 000 €, un Toulousain a fait transiter 230 kg de cannabis de Madrid à Toulouse. La police l'a intercepté en janvier 2011. Le tribunal correctionnel vient de le condamner à 5 ans de prison.
Thomas Duval, tout juste 25 ans, et déjà une vie bien chargée, surtout du côté de son casier judiciaire. Quinze condamnations pour violences, ports d'arme, infractions à la législation des stupéfiants… Face au tribunal, debout, les mains dans le dos, le regard froid et le crâne rasé de près, il est de nouveau jugé pour une histoire de stupéfiants.
Il récite l'histoire presque par cœur. La présidente Rivière le coupe : «Monsieur Duval, vous aviez des condamnations au-dessus de la tête, et dans cette affaire, contre 2 000 €, vous avez accepté de transporter 230 kg de cannabis ?» Stoïque, le passeur répond : «Si j'avais su qu'il y avait autant, je ne serais pas parti».
Son histoire, telle qu'il la présente, est simple. Dans un bar PMU entre Reynerie et Bagatelle, il croise «Adi», un mystérieux inconnu, qui lui propose 2 000 € pour ramener «de la marchandise» de Madrid. «Je lui ai laissé la Clio d'un ami, et en échange il m'a prêté son Audi. Je devais me rendre sur le parking d'un hôtel à Madrid, laisser les clés sur l'accoudoir et attendre qu'on m'appelle. Après, la voiture était chargée et je pouvais rentrer, on avait rendez-vous au péage de Muret». Voilà, le deal, du moins officiellement…

Cinq ans de détention

Sauf que sur le chemin de retour, les policiers de la BRI de la police judiciaire toulousaine stoppent l'Audi. Thomas Duval est arrêté. Les complices se sont envolés, Thomas Duval est seul. Il le revendique : «J'ai agi seul !»
«Tout ce qu'il dit n'est que mensonge et invention ! On le sait dans ce milieu, c'est la loi du silence qui règne». Le procureur Paul Michel ne mâche pas ses mots. Il requiert 7 ans d'emprisonnement. «Visiblement, ces précédents passages en prison n'ont eu aucun effet sur lui».
Me Alexandre Parra-Bruguière tente d'éviter le pire : «Ce gamin n'est qu'une petite main, le premier maillon. Il a compris, il veut travailler, d'ailleurs une promesse d'embauche est jointe au dossier. Il va bientôt être papa, il veut changer de vie». Ce sera plus tard. Le tribunal a condamné le passeur à 5 ans de prison.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/22/1405050-paye-2000-pour-passer-230-kg-de-shit.html

Un habitant d’Aigues-Mortes s’échappe de sa péniche en feu

Vendredi soir, peu après 22 heures, à Aigues-Mortes, sur le quai du canal du Rhône à Sète, le propriétaire d’une péniche a échappé au pire lorsque son embarcation, pour une raison probablement accidentelle, a soudain pris feu.
"Heureusement qu’il n’y avait pas de carburant stocké"
Il a pu quitter à temps, sans subir de blessure, le bateau gagné rapidement par les flammes. Cette péniche de type Freycinet, longue de près de quarante mètres, servait en fait d’habitation à hauteur du pont de Bourguidou. "Heureusement qu’il n’y avait pas de carburant stocké", soulignait hier matin après l’intervention l’un des secouristes.
Ils étaient d’ailleurs une quarantaine de sapeurs-pompiers, venus de Terre de Camargue, de La Grande-Motte, de Vauvert, à être intervenus dans la nuit pour éviter que le sinistre ne prenne des proportions trop importantes.
Le sinistré relogé dans sa famille
Ce feu spectaculaire a toutefois endommagé plus ou moins plusieurs embarcations voisines et détruit deux vedettes dont l’une appartenait au propriétaire malheureux de la péniche en flammes.
Très endommagée par l’incendie, l’embarcation est bien évidemment inhabitable depuis vendredi soir. Le sinistré a pu toutefois trouver une solution de relogement dans sa famille qui habite la commune d’Aigues-Mortes. Les gendarmes de la brigade territoriale d’Aigues-Mortes et de la communauté de brigades de Vauvert ont fait les constatations d’usage

http://www.midilibre.fr/2012/07/21/un-habitant-d-aigues-mortes-s-echappe-de-sa-peniche-en-feu,537265.php