Metz : tué à Vallières après un différend la veille à la gare

Un peu plus de vingt-quatre heures après la mort du jeune Alexandre Bour, survenu dans la nuit de vendredi rue des Pins à Metz, quatre jeunes Messins sont actuellement présentés à un juge en vue de leur prochaine mise en examen pour meurtre.

Interpellés peu après l’agression mortelle, les comparses avaient fait l’objet d’une prolongation de garde à vue jusqu’à 14 h ce samedi. Pour l’heure, ils ont reconnu durant les auditions, leur participation active à la rixe et aux violences. Par contre, aucun d’entre eux, selon leurs dires, n’aurait porté de coups de couteau à la victime.

On apprend également que leur arrivée à tous rue des Pins, jeudi soir, en voiture, relevait de l’expédition punitive. « Ils disent avoir eu un différend, la veille à la gare, avec la victime » précise-t-on du coté du parquet de Metz.

Lorsque les premières patrouilles de police sont arrivées rue des Pins, jeudi soir, quartier de Vallières, c’est un homme à terre qui respirait encore que les agents ont découvert. Après avoir reçu les premiers soins des urgentistes, Alexandre Bour, âgé de 20 ans et domicilié chez ses parents dans le quartier, avait été transporté à l’hôpital Mercy. Il y a succombé, dans la nuit, vers 3 h du matin.

Armés de couteaux

Des premiers éléments de l’enquête en cours, il ressort que le jeune Alexandre marchait dans la rue lorsque deux véhicules ont stoppé à sa hauteur. Plusieurs individus en sont descendus, décidés à en découdre avec la victime. Une vive altercation a suivi entre les protagonistes, certains armés de couteaux avant qu’Alexandre Bour chute au sol et reçoive encore plusieurs coups de pied.

Ses agresseurs avaient pris la fuite avant l’arrivée des policiers. Deux d’entre eux, qui s’étaient présentés dans un hôpital pour des blessures, y ont été interpellés ; les deux autres complices l’ont été à leur domicile.

Tous sont respectivement âgés 21, 22, et 26 ans. Trois d’entre eux sont déjà connus de la justice pour des faits de violences, vols et filouterie. L’un d’eux plus détestablement puisqu’il est actuellement mis en examen dans une autre affaire de coups mortels.

• Tags
• Faits diverhttps://www.estrepublicain.fr/faits-divers

Accrochages en série à Tronville-en-Barrois

Il semblerait qu’il faille redoubler de vigilance ces derniers jours dans la traversée de Tronville-en-Barrois. Plusieurs accidents viennent en effet d’avoir lieu, dont deux ces deux derniers jours.

Ce jeudi en milieu de matinée, un accrochage entre un fourgon et une voiture a mobilisé pompiers et gendarmes. La veille, pratiquement au même endroit sur la RN135, à la sortie de Tronville en direction de Longeville-en-Barrois, ce sont deux voitures qui se sont heurtées.

Dans les deux cas, ces accidents, qui n’ont pas fait de blessés, ont perturbé la circulation.

Accrochages en série à Tronville-en-Barroishttps://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2018/09/27/des-accrochages-en-serie

Appel à témoins après un vol partagez !!!

Sylvie Marson

C’est arrivé dimanche à mes parents.
Je n’ai pas voulu me résigner car s’en prendre à des personnes âgées, je trouve cela tellement lâche!
J’ai contacté un journaliste qui a été touché par leur histoire et a voulu relayer.
On ne sait jamais... j’ai confiance 😊
Vous pouvez partager si vous avez des connaissances près de Saint-Quentin...

À Haguenau, un jeune cycliste renversé par une voiture

Le jeune homme à vélo venait de Schweighouse-sur-Moder et se dirigeait vers le magasin Cora quand il a été heurté par un automobiliste venant de la rue des Quatre-Vents. Ébloui par le soleil, le conducteur, âgé de 87 ans, n’a pas vu le cycliste arriver.

Blessé à la jambe droite, le jeune homme a été pris en charge par les pompiers et le Smur de Haguenau et transporté en urgence relative à l’hôpital local.

La police nationale et la police municipale étaient sur place. Les dépistages d’alcoolémie se sont révélés négatifs. La circulation a été coupée le temps de mener les opérations de secours puis rouverte vers 9 h 35.
>Haguenau https://www.dna.fr/edition-de-haguenau/haguenau

Soigné pour un cancer, Jean-Pierre Pernaut absent du JT de 13h «quelques temps»

Jean-Pierre Pernaut, le présentateur vedette du 13h de TF1, s’absente quelques semaines. Le journaliste de 68 ans a fait l’annonce, en toute transparence, sur Twitter ce mardi.

« Je dois m’absenter quelque temps de la présentation du JT de 13h. J’ai en effet subi une intervention chirurgicale pour un cancer de la prostate. Tout va bien. » Il a ensuite confirmé dans un second message que Jacques Legros se chargera de le remplacer pendant cette période.

A la barre du 13h de TF1 depuis trente ans, Jean-Pierre Pernaut « a pensé que dire la réalité était la meilleure démarche », a indiqué la chaîne au Parisien. 

Arrivé sur TF1 dès la création de la chaîne en 1975, le journaliste a pris les rênes du 13 heures le 22 février 1988, en remplaçant discret du mythique duo formé alors par Yves Mourousi et Marie-Laure Augry.

• Santé
• Maladie
• Jean pierre pernauthttps://www.20minutes.fr/dossier/jean_pierre_pernaut

Renaud hospitalisé dans un état «préoccupant»

Le chanteur Renaud a été hospitalisé ce week-end, dans un état dit « préoccupant », à Castelnau-le-lez dans une clinique spécialisée.

Régulièrement confronté à des problèmes d’alcool, le chanteur Renaud a été hospitalisé ce week-end dans un état préoccupant, selon le quotidien Le Midi Libre. Il est en cure de sevrage à la clinique du Parc, à Castelnau-le-Lez.

Selon Ici Paris, c’est sa fille Lolita, qui aurait pris la décision de le faire interner, après quelques jours de vacances passés avec lui. Il aurait fait une rechute au début de l’été.

Une triste nouvelle alors que le chanteur avait fait son retour sur scène en 2016 avec son Phénix Tour, et « toujours debout ». En février dernier, malgré tout, il était retombé dans les travers de l’alcool et avait intégré un centre de désintoxication à Paris………… AISNE NOUVELLE …………..  Renaud hospitalisé dans un état «préoccupant»http://www.aisnenouvelle.fr/78756/article/2018-09-24/renaud-hospitalise-dans-un-etat-preoccupant

Il enferme son fils de 2 ans dans la voiture et part boire un verre

Il avait délaissé son fils pour aller boire un verre... Un père de famille de 38 ans a été placé en cellule de dégrisement vendredi après-midi aux Clayes-sous-Bois (Yvelines), après que les pompiers ont trouvé son fils de 2 ans abandonné dans une voiture surchauffée, rapporte Le Parisien.

Ce sont des voisins qui avaient vu l'homme fermer son véhicule vers 15h30, dans une zone pavillonnaire, en laissant son petit garçon à l'intérieur.

Comme le père de famille ne revenait pas, les voisins ont alerté les pompiers. Ces derniers ont trouvé l'enfant de deux ans en sueur dans la voiture, dont ils ont cassé la vitre pour le délivrer. 

Le petit garçon a été emmené à l'hôpital.

L'homme a finalement été retrouvé par les policiers dans le café près de la voiture, visiblement alcoolisé, et interpellé.

Il devait ensuite être placé en garde à vue pour mise en danger de la vie d’autrui.

• Tags
• Faits divershttps://www.estrepublicain.fr/faits-divers

Besançon : deux engins explosifs découverts dans un immeuble

La nouvelle ne manquera pas d’alimenter les discussions à Planoise et au-delà. Si pour les forces de l’ordre bisontines, il est devenu fréquent de mettre à jour des caches emplies de produits stupéfiants, voire de munitions ou d’armes à feu, la découverte du 8 septembre dernier est d’un autre acabit.

Ce jour-là, un équipage de police municipale a découvert dans les communs d’un immeuble de la rue de Bruxelles deux détonateurs et deux charges explosives. Les premiers sont décrits comme « basiques », de la taille d’un crayon, et les secondes - type dynamite - d’une taille à peine plus volumineuse. Ces détonateurs et leurs charges n’étaient pas reliés. Ces informations ont été confirmées à L'Est Républicain, ce vendredi, par le procureur de la République de Besançon.

Cette explosive trouvaille a déclenché un protocole bien particulier. Des démineurs sont venus en urgence de Colmar, en Alsace, pour expertiser ces objets, puis les neutraliser.

Un minutieux travail de police scientifique a été réalisé pour tenter de prélever des empreintes digitales ou génétiques. Les analyses sont en cours. Si le résultat est positif, ces empreintes seront comparées aux bases de données nationales, pour tenter d’identifier un ou plusieurs individus. Le choix d’une cachette en lieu neutre est classique, car il permet de brouiller les pistes. Une telle découverte dans un appartement perquisitionné, par exemple, aurait été plus incriminante pour le locataire ou le propriétaire des lieux.

À quoi ces dispositifs étaient-ils destinés ? Une enquête préliminaire a été confiée à l’antenne de police judiciaire de Besançon, sous l’égide du parquet, pour tenter de le découvrir.

• Tags
• Actualitéhttps://www.estrepublicain.fr/actualite

Téléphone portable autorisé à l’école pour les enfants diabétiques

Un nouvel amendement précise que l’interdiction d’utiliser un téléphone portable à l’école ne s’applique pas aux enfants diabétiques.

Il est important pour les parents d'avoir cette information et l'intégrer au projet d'accueil individualisé (PAI) de l'enfant afin que le personnel scolaire en ait connaissance et puisse la prendre en compte.

Il est souhaitable de bien expliquer à l'enfant que l'usage du téléphone portable se limite strictement au suivi et à la surveillance de son diabète.

Source

lire sur le blog vuduchateau.com                   merci Laurence

Lire la suite > http://www.vuduchateau.com/actu-8302-t-l-phone-portable-autoris-la-cole-pour-les-enfants-diab-tiques.html

A 5 ans, il appelle les pompiers pour sauver sa mère, victime d'un malaise

Haut-Doubs : deux blessés dans un collision entre une moto et une voiture

Collision frontale entre une moto et une voiture, ce mercredi peu après 11 h au hameau chez Liadet à Mouthe, dans le Haut-Doubs. Les passagers du deux-roues, un couple de nationalité britannique, ont été blessés. Le conducteur, un homme de 45 ans, a été médicalisé sur place avant d'être transporté au centre hospitalier de Pontarlier. Sa compagne, âgée de 41 ans, est grièvement blessée. Elle a été héliportée au CHRU à Besançon. L'automobiliste s'en sort indemne.

Cinq véhicules et dix sapeurs-phttps://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubsompiers du centre opérationnel de Mouthe ont été mobilisés.

• Tags
• Edition Haut-Doubhttps://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs

Camion en Feu sur la RN31, a l’entrée de Compiègne

Info trafic RN31 entre Reims-Soissons

Camion en Feu sur la RN31, a l’entrée de Compiègne

(Venette)

Sens Soissons-Compiègne

Yvelines: 2 ouvriers meurent asphyxiés

Deux ouvriers sont décédés par asphyxie dans un puits géothermique sur un chantier hier soir à Montesson (Yvelines), selon des sources concordantes. Les deux hommes, âgés de 57 et 53 ans, ont été retrouvés vers 19h45 par le vigile d'un chantier de l'entreprise Vinci Energie, dans cette commune située à l'ouest de Paris, a indiqué une source policière. Ils se trouvaient au fond d'un puits géothermique à environ 40 mètres de profondeur, ont précisé les pompiers, qui ont engagé une équipe de sauvetage en milieu souterrain pour les atteindre.

Les salariés réalisaient le nettoyage d'un conduit avec de l'acide chlorhydrique et, "pour une raison inconnue", un dégagement d'hydrogène sulfuré, un gaz toxique, s'est produit, entraînant leur asphyxie, a indiqué la source policière. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de leurs décès.

Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

Doubs : une ancienne ferme totalement embrasée

Une vingtaine de pompiers des centres voisins d'Amancey, Ornans, Quingey et Saint-Vit ont été engagés chemin du Clos, à Rurey (Doubs), pour combattre un incendie. Le feu s'est attaqué à une ancienne ferme de 300 m² reconvertie en habitation.

Le bâtiment était totalement embrasé à l'arrivée des secours, et la toiture s'est finalement effondrée, mais aucune victime n'est à déplorer. La gendarmerie a également été appelée. Pour l'heure, l'origine de ce sinistre spectaculaire n'est pas connue.

• Tags
• https://www.estrepublicain.fr/edition-de-besanconEdition de Besançon