vendredi 31 août 2018

A26 un automobiliste a perdu son bateau sur les voies de circulation

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Info trafic RN31 entre Reims-Soissons


A26 : Sens Reims Laon avant le péage de Loivre un automobiliste a perdu son bateau sur les voies de circulation

Circulation perturbée
Secours sur place 

Boussois (Nord) : une fillette de 12 ans dans un état grave après un accident de voiture

Une fillette de douze ans a été grièvement blessée prise en charge dans un état grave après un accident de la route, jeudi matin à Boussois, dans l'Avesnois.

Une collision entre deux voitures s'est produite peu après 9h30, sur la départementale D136A qui longe la commune vers Elesmes. Trois personnes ont été blessées, dont une petite fille de 12 ans, transportée dans un état grave au Centre hospitalier de Maubeuge. 

 

Deux blessés légers


Deux autres personnes ont été plus légèrement blessées. Il s'agit d'un homme de 67 ans et d'une femme de 35 ans, bien que l'on ignore si tous les trois se trouvaient dans la même voiture.

Boussois : une fillette de 12 ans dans un état grave après un accident de voiturehttps://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/boussois-fillette-12-ans-etat-grave-apres-accident-voiture-1533112.html

Le détective privé, le mari jaloux et le GPS

D’ordinaire, les détectives privés préfèrent la discrétion. Jeudi matin, l’un d’eux s’est retrouvé à la barre du tribunal correctionnel de Vesoul.
Il lui était reproché d’avoir, en juillet 2017, installé un traceur GPS sur la voiture de la femme d’un client afin de suivre ses déplacements et d’avoir fait usage de la qualité de gendarme. À ses côtés, le mari jaloux reconnaît avoir fait appel aux services du détective privé mais sans connaître les méthodes utilisées.
Il en atteste en présentant le contrat dûment signé par les deux parties. « C’est mon avocat qui m’avait conseillé de recueillir des éléments en vue d’un futur divorce. Je l’ai embauché pour suivre ma femme mais je pensais qu’il ferait une filature », assure le mari. « Moralement, c’est répréhensible. Légalement, on ne peut pas lui reprocher de chercher à savoir si sa femme était infidèle », plaide son avocate, Me Gaume.
Le mari nie, en revanche, toute implication dans la pose du GPS sur la voiture. Ce que le détective conteste aussi de son côté : « C’est le frère du mari qui l’a installé, sur mes conseils. Moi, je ne le fais pas. »

Violation de la vie privée

Difficile de démêler le vrai du faux dans cette rocambolesque histoire. « Je travaille depuis vingt-deux ans dans ce métier. Je ne savais pas que monsieur avait une interdiction d’entrer en contact avec sa femme sinon j’aurais tout arrêté. Je me suis fait avoir », assure avec véhémence le détective. Après avoir produit des attestations d’autres clients qui louent sa probité, son avocate plaide la relaxe.
Après avoir dressé un portrait peu flatteur du mari jaloux, Me  Hertz-Ninnoli, l’avocate de l’épouse réclame des dommages et intérêts pour sa cliente car « les deux ont violé le droit à la vie privée ».
Le procureur de la République, Clément Guetaz, trouve le comportement du détective proprement « inadmissible ». D’après lui, il ne pouvait ignorer le caractère délictuel de la pose d’un traceur GPS, de même pour s’être présenté comme gendarme. Il requiert une peine de trois mois de prison avec sursis mais surtout une interdiction d’exercer pour six ans.
Finalement, le tribunal a condamné le détective à six mois de prison avec sursis et une interdiction d’exercer sa profession pendant trois mois. Il devra, en outre, s’acquitter de 1 000 € de dommages et intérêts envers l’épouse « suivie ». Pour s’être servi des données récoltées, le mari a été condamné à 120 jours amende à 10 € et 500 € de dommages et intérêts.


mercredi 29 août 2018

Ivre sur la D 8, il perd le contrôle de sa voiture entre Bohain et Busigny

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Mardi 28 août, en fin d’après-midi, un accident a eu lieu sur la D 8 entre Bohain-en-Vermandois et Busigny, mettant en cause un Bohainois d’une quarantaine d’années circulant vers le Nord. « Je l’ai vu faire des écarts, il zigzaguait, relate un témoin, il a perdu le contrôle de sa Clio pour mordre le bas-côté et finir sur le toit dans un champ en contrebas. » À l’arrivée des secours, l’homme était sorti de sa voiture. Légèrement touché, il a été transporté à l’hôpital de Saint-Quentin. Son alcoolémie était positive. Les gendarmes ont régulé la circulation sur une voie le temps nécessaire à l’intervention des secours………………………………..  Ivre sur la D 8, il perd le contrôle de sa voiture entre Bohain et BusignyIvre sur la D 8, il perd le contrôle de sa voiture entre Bohain et Busignyhttp://www.aisnenouvelle.fr/77589/article/2018-08-29/ivre-sur-la-d-8-il-perd-le-controle-de-sa-voiture-entre-bohain-et-busigny

Incendie Taverne Maitre Kanter Reims-Thillois

mardi 28 août 2018

Mesures de restriction de l'usage de l'eau dans l'Aisne

La canicule et le manque de pluie ont eu une incidence sur les débits des rivières dans le département de l'Aisne. Le préfet de l'Aisne au vue de cette situation a pris un arrêté réglementant provisoirement les usages de l'eau en plaçant en vigilance les bassins de l'Automne et de l'Ourcq.

Ces mesures de restriction  qui sont provisoires concernent l'ensemble des usagers.  Elles seront aménagées en fonction de l'évolution de la situation hydrologique et météorologique dans les semaines à venir.

Il est donc recommandé aux particuliers et aux collectivités de limiter les prélèvements d’eau. Les entreprises doivent réduire au strict nécessaire leur consommation d’eau et veiller au parfait fonctionnement des installations de traitement des eaux usées.

Les collectivités veillent au bon fonctionnement de leurs réseaux d'eau potable, d'eaux usées et des installations de traitement.

L'utilisation des eaux de récupération de pluie reste autorisée sans restriction, sous réserve des contraintes sanitaires liées à leur utilisation.

Pour les agriculteurs, les prélèvements pour l'irrigation des cultures font l'objet de restrictions volumétriques et l'irrigation est interdite le dimanche, entre 10 heures et 18 heures.

Cliquez ICI pour consulter l'arrêté.  


Aisnehttps://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/aisne

Des cambriolages en pagaille dans l’Aisne ( dont Vregny, près de Soissons)

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Lundi 27 août, six cambriolages ont été constatés par les gendarmes de l’Aisne. Une demeure d’Essômes-sur-Marne, limitrophe de Château-Thierry, a été la première victime de la journée. Vers 8 heures, il y a été observé une effraction sur la fenêtre de la salle de bain. En milieu d’après-midi, vers 15 h 30, des bijoux ont été dérobés dans une résidence secondaire de Chermizy-Ailles, au sud de Laon. Aux alentours de 17 h 45, les gendarmes sont cette fois intervenus dans une habitation cambriolée de Marest-Dampcourt, dans le pays chaunois. En début de soirée, pour des vols commis au cours de la journée, les militaires ont d’abord eu à se déplacer à Châtillon-sur-Oise, près de Ribemont. Dans une ferme isolée de la commune, des bijoux et une forte somme d’argent ont disparu. À Vregny, près de Soissons, c’est après être entrés en fracturant la porte d’une baie vitrée qu’un ou plusieurs individus se sont attaqués à un petit coffre-fort. Il contenait de l’argent et des bijoux, tout a été emporté. Enfin, dans la nuit, vers 2 h 45 du matin, tabac et bijoux ont été volés dans le salon d’une habitation de Hirson…………….  Des cambriolages en pagaille dans l’Aisne http://www.aisnenouvelle.fr/77553/article/2018-08-28/des-cambriolages-en-pagaille-dans-laisne

Un homme décède en voulant échapper à un contrôle de police

Un homme est décédé dans un accident de scooter après qu'il a voulu fuir un contrôle de police hier soir, selon les informations d'Europe 1. Sa passagère est, elle, grièvement blessée. 
Les faits se sont déroulés vers 22 heures, hier, dans le quartier de Porte de la Chapelle, au nord de Paris. Des policiers de la compagnie d’intervention parisienne qui étaient en patrouille à bord de leur fourgon ont repéré un scooter blanc avec deux personnes. Ils venaient de quitter un endroit connu des forces de l'ordre pour abriter du trafic de drogue, à l’arrière d’une station-service. Le scooter prenant une rue à contre-sens, les policiers ont tenté de lui barrer la route pour le contrôler. Le pilote, avec sa passagère, réussit à les éviter et à prendre la fuite, dangereusement. Ils prennent des rues à contre-sens, roulent sur les trottoirs et foncent plusieurs fois sur des policiers à pied, toujours selon Europe 1. 
Le scooter a alors grillé un feu rouge et a percuté violemment une voiture. Un médecin présent sur les lieux a tenté de le réanimer, en vain. Le conducteur est décédé et sa passagère, grièvement blessée à été transportée à l'hôpital. Leurs casques n'étaient pas attachés.  Une enquête a été ouverte. 
  1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/

lundi 27 août 2018

Val-de-Marne: un homme se noie dans la Seine

Un homme de 50 ans s'est noyé dans la Seine aujourd'hui après une rixe à Alfortville (Val-de-Marne), selon une source policière. "Il y a eu une rixe vers 04h00 du matin entre deux hommes alcoolisés. L'un a mis une gifle à l'autre, qui est tombé dans la Seine", a expliqué cette source.
L'auteur de la gifle, un homme de 42 ans, a appelé lui-même la police et a été placé en garde à vue, selon cette source. Le corps de la victime a été récupéré par les pompiers, qui n'ont pas réussi à la ranimer malgré un massage cardiaque. Le quinquagénaire est mort sur place. Son frère était également présent et a été témoin de la scène.
L'enquête a été confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne.

  1. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

Orange programme la fin du réseau de téléphone fixe

La fin du téléphone fixe, c'est pour bientôt.

Il faudra souscrire à une offre comprenant une box internet

En effet, à partir du 15 novembre 2019, il sera impossible de souscrire à un nouveau contrat auprès d'Orange - anciennement France Telecom- pour une ligne fixe sans passer par Internet, rapporte Le Parisien. Les clients seront obligés de souscrire à une offre comportant une box. Les appareils ne pourront à terme plus être branchés directement sur une prise T.
Tous les utilisateurs du fixe devront donc progressivement prendre une box. D'ici là, Orange promet "des équipements simplifiés pour les personnes âgées".

A partir de 2023, le réseau progressivement coupé

L'extinction du réseau téléphonique va s'étaler sur plusieurs années. Ce n'est qu'à partir de 2023 que l'opérateur commencera à couper progressivement le réseau, "groupe de communes par groupe de communes", précise le journal.
Depuis 2012, l'utilisation du téléphone fixe a été divisée par deux, rapporte le quotidien.

Des équipements qui arrivent en fin de vie

Le directeur général de la Fédération française des télécoms explique aussi la décision de l'opérateur par le fait que ce sont "des équipements [qui] arrivent en fin de vie".
Les commutateurs, technologie installée il y a 40 ans pour remplacer les opératrices, sont devenus "obsolètes" et Orange peine à trouver des pièces de rechange en cas de panne.
Aujourd'hui, selon l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), 9,4 millions de personnes, sur les vingt millions d'utilisateurs du téléphone fixe, utilisent une ligne classique (sans passer par internet).

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dimanche 26 août 2018

IMPORTANT ! Identification des frelons

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Villers-Cotterêts infos / images 


IMPORTANT !
Identification des frelons
Serait-il possible de communiquer ce message à l'ensemble de vos amis et réseaux de connaissances ?
Aucune région ne sera épargnée même au nord de la Loire.
Cela va en empirant chaque année.
Leur progression atteint maintenant la Belgique et les Pays Bas.
En étudiant le cycle de vie de ce frelon, On s'aperçoit que nous pouvons agir très utilement et individuellement contre le fléau.
En effet, les nids construits dans l'année se vident de leurs habitants en hiver
Car l'ensemble des ouvrières et des mâles ne passent pas l'hiver et meurent.
Seule les reines et jeunes reines se camouflent, dans les arbres creux, sous des tas de feuilles, dans des trous de murs etc...
Elles n’en sortent que courant février et recommencent à s'alimenter.
C'est à ce moment que nous pouvons agir.
En disposant dans nos jardins et en ville sur nos balcons, des pièges pour attraper ces futures fondatrices de nids.
1 reine = 2 000 à 3 000 individus...
Pour fabriquer ces pièges, il suffit de récupérer des bouteilles plastique d'eau minérale, de percer trois trous, puis de verser à l'intérieur 10 centimètres d'un mélange composé de
1/3 de bière brune,
1/3 de vin blanc (pour repousser les abeilles) et de
1/3 de sirop de cassis.
Il suffit de laisser en place ces pièges de la mi- février à fin avril.
Vous pouvez bien sûr prolonger l’opération jusqu'à l'arrivée du froid...
Changer la mixture de temps en temps
et surtout brûler les occupants car ils ne sont pas toujours morts, sortis du piège, ils peuvent se réveiller et repartir. Merci de votre lecture et à vos pièges !
L'an passé avec 1 seul piège à DAX (40)...
72 reines ont été éliminées...
FAITES SUIVRE A UN MAXIMUM DE PERSONNES A LA CAMPAGNE COMME A LA VILLE
Merci

Bien amicalement

Var: A 13 ans, un jeune Lyonnais sauve deux personnes de la noyade

« Bastien est un héros ! » : sa bonne bouille et son paddle s’affichent carrément à la Une du Progrès, ce dimanche matin. Mardi, ce jeune garçon de 13 ans a sauvé deux personnes de la noyade à La Croix-Valmer, dans le Var, rapportent Var-Matin et Le Progrès.

Bastien, âgé de 13 ans et originaire de Genas, dans la banlieue lyonnaise, faisait du paddle quand un homme l’a interpellé. Lui-même en difficulté, l’homme lui demandait d’aider à secourir un autre homme, en train de se noyer. Bastien et le sauveteur improvisé ont réussi à récupérer la victime, à la sortir de l’eau et à la mettre à l’abri sur les rochers.

Médaillé par la ville


« Ce qu’il a fait, Bastien l’a fait naturellement », raconte sa maman au Progrès. « Je suis fier de mon geste », dit le jeune garçon, qui réalise après-coup : « Si je n’avais pas sauvé le premier homme, on n’aurait pas pu sauver le deuxième. » Le collégien a reçu ce samedi la médaille de la Ville de La Croix-Valmer.

Besançon : Renvoyée des urgences chez elle alors qu’elle fait une fausse couche

Magdalena Cocatrix et son compagnon, Alan Thierret, n’en reviennent toujours pas de leur accueil aux urgences gynéco-obstétricales de l’hôpital de Besançon le 17 août. Surtout la jeune femme, enceinte de trois mois lorsqu’elle a perdu son futur bébé dans d’atroces conditions, seule chez elle.
« Deux violentes douleurs au ventre m’ont réveillée dans la nuit du 16 au 17 août », se souvient-elle. « Elles sont passées et je me suis rendormie. Au petit matin, j’ai constaté que mon lit était trempé de sang. Impossible d’attendre ma prochaine visite de contrôle prévue le 23 août (ce jeudi). C’était trop grave. J’ai attendu que l’hémorragie cesse et je me suis rendue, par mes propres moyens, au CHU Minjoz. J’y suis arrivée vers 8 h 20. »

« J’ai pris le tram et les contractions ont commencé »

Malgré un dossier rempli d’alertes du même type depuis un mois, elle attend plus de trois heures avant d’être prise en charge, en raison d’urgences « plus sérieuses que la sienne », lui fait-on comprendre. Ses deux passages précédents aux urgences gynéco-obstétricales, entre le 15 juillet et le 7 août, n’avaient rien révélé de périlleux pour son futur enfant toujours en vie à ces moments-là. Elle est enfin accueillie par une externe qui enregistre son problème, avant de voir une interne pour l’échographie. L’annonce du résultat des examens est sans appel : son fœtus a cessé de vivre. La praticienne lui explique qu’elle fait une fausse couche. Aucune information ne lui est fournie sur les causes et ses pertes abondantes de sang. Elle ressort avec une ordonnance d’antidouleur.
« Le personnel m’a précisé que je pouvais rentrer chez moi et que le fœtus sortirait tout seul petit à petit », rappelle Magdalena, traumatisée. « J’ai pris le tram et les contractions ont commencé. J’avais atrocement mal. A peine arrivée chez moi, j’ai senti qu’une petite masse était expulsée. Mon pantalon était recouvert de sang. Je me suis enfermée à la salle de bains et me suis dévêtue avant d’aller dans la baignoire vide. J’ai recueilli mon bébé dans les mains. Il mesurait environ 7 cm et était entier, formé. J’ai encore poussé 20 minutes pour rejeter le placenta. J’avais peur d’une infection et d’une hémorragie massive. »

« Pourquoi ne m’ont-ils pas gardée à l’hôpital ? »

Alan Thierret, affolé, appelle les urgences gynéco-obstétricales pour savoir quoi faire. Il est mal reçu dans un premier temps. Il insiste. On l’écoute. Il détaille la situation et demande s’ils peuvent revenir pour surveiller l’état de sa compagne et prendre le fœtus. La réponse est négative : « La personne au bout du fil m’a dit que l’hôpital n’en ferait rien et que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle ! », souffle le compagnon. « Comment peut-on dire une chose pareille ? Comment peut-on abandonner une maman en détresse ? J’aimerais bien le savoir. »
Le couple se tourne vers son médecin généraliste, spécialisé en suivi de la grossesse, qui les reçoit en urgence. Il examine Magdalena, retire les éléments organiques restants. Il vérifie qu’il n’y a plus aucun risque de complications et prescrit des médicaments adaptés et une prise de sang à faire toutes les 48 heures, pendant une semaine. « Pourquoi ne m’ont-ils pas gardée à l’hôpital, proposé une solution pour accélérer le processus ou un curetage, et donné un soutien psychologique ? », répète-t-elle en boucle. « Ils ne m’ont jamais demandé comment je me sentais, ni pendant, ni après. J’ai peur de retomber enceinte et de me retrouver dans la même situation. »

La réponse de l'hôpital : " Elle peut contacter la direction "
Sollicitée par nos soins, la direction de l’hôpital nous a fait parvenir la réponse suivante : « Vous nous avez transféré un témoignage que vous avez recueilli auprès de Mme Cocatrix concernant ses différents passages aux urgences gynéco-obstétricales de l’établissement. La lecture de ce témoignage douloureux, que nous regrettons de n’avoir pas reçu directement, nécessite de recueillir des éléments précis sur les conditions de prise en charge de cette patiente pour lui fournir toutes les informations qu’elle recherche. Dans ce but, Mme Cocatrix peut prendre contact avec la direction de l’établissement dès qu’elle le souhaitera. Les questions que vous posez étant liées à la situation médicale de la patiente, il ne nous est pas possible de vous fournir des réponses relevant du secret médical. Par contre, nous pouvons vous préciser que, dès le 17 août, un rendez-vous avait été donné à Mme Cocatrix pour une consultation de suivi ce jeudi 23 août, consultation à laquelle elle s’est présentée et pendant laquelle elle a reçu en mains propres un courrier détaillé à remettre à son médecin traitant. Elle a pu poser les questions qu’elle souhaitait. Un nouveau rendez-vous lui est également fixé dans 15 jours, dans le cadre des suites proposées aux femmes ayant subi une fausse couche. »